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Jean-Philippe Billarant, Président du Conseil d’administration Laurent Bayle, Directeur général

Samedi 25 novembre Orchestre Philharmonique de Radio France

Dans le cadre du cycle New York | novembre 25 Samedi Du samedi 11 novembre au samedi 2 décembre 2006

Vous avez la possibilité de consulter les notes de programme en ligne, 2 jours avant chaque concert, à l’adresse suivante : www.cite-musique.fr

La librairie-boutique reste ouverte jusqu’à la fin de l’entracte. Un stand de vente est disponible dans le hall à l’issue du concert. Orchestre Philharmonique de Radio France France Philharmonique de Radio Orchestre NP REICH 25 novembre:REICH 25 novembre NY 17/11/06 15:39 Page 2

Cycle New York DU SAMEDI 11 NOVEMBRE AU SAMEDI 2 DECEMBRE

New York, ville des contrastes, capitale du jazz, de la comédie musicale, SAMEDI 11 NOVEMBRE, 20H des avant-gardes minimalistes, des expériences éphémères ou durables… SALLE PLEYEL

Né à New York en 1936, Steve Reich est l’un des principaux représentants du Samuel Barber courant dit minimaliste, qui vit le jour dans la mégalopole américaine au milieu Adagio pour cordes op. 11 des années soixante. Si Music for Eighteen Musicians (1976) est un classique George Gershwin du genre, sa musique se fait aussi le reflet du monde qui l’entoure, que ce soit Rhapsody in Blue avec les Daniel Variations, ancrées dans l’actualité politique des États-Unis, Charles Ives ou avec You are et Tehillim, qui évoquent l’importante communauté juive de Three Places in New England New York. George Gershwin/Robert Russell Bennett Il en est de même pour City Life, œuvre phare dans laquelle résonne Porgy & Bess, A Symphonic Picture le paysage sonore urbain de New York, interprétée le 21 novembre par l’Ensemble intercontemporain. Au programme également, le compositeur Orchestre National de France new-yorkais Elliott Carter et le musicien français Tristan Murail, qui enseigne Kurt Masur, direction la composition depuis 1997 à l’université Columbia, à New York. Fazıl Say, piano

Jean-Yves Thibaudet et James Conlon avec l’Orchestre National de France présentent le 22 novembre trois visions différentes de la musique MARDI 14 NOVEMBRE, 20H new-yorkaise, de Leonard Bernstein à Aaron Jay Kernis, représentant d’une nouvelle génération de compositeurs américains, en passant par Philip Glass, Steve Reich toujours fidèle, dans le Concerto-fantaisie pour deux timbaliers et orchestre Daniel Variations (création française) (2000), au style répétitif qu’il a développé à la fin des années soixante. Music for 18 Musicians L’Orchestre National d’Île-de-France, avec le violoniste Olivier Charlier et sous la direction de Yoel Levi, confronte de son côté Bernstein à Samuel Barber Steve Reich and Musicians et Aaron Copland. Synergy Vocals Brad Lubman, direction Le 28 novembre, les quatre membres du groupe Sex Mob investissent Steve Reich, percussions, diffusion l’Amphithéâtre de la Cité : le trompettiste Steven Bernstein est une figure sonore connue de la scène new-yorkaise, tandis que Briggan Krauss, Tony Scherr et Kenny Wollesen comptent parmi les meilleurs musiciens new-yorkais. SAMEDI 18 NOVEMBRE, 20H Né à New York en 1953, le saxophoniste et compositeur John Zorn, qui se produit dans la Salle des concerts le 30 novembre, est une figure inclassable Samuel Barber dont les influences – les cartoons, la pop, Anthony Braxton, Stravinski Souvenirs op. 28 ou Kagel – sont aussi variées que le paysage musical contemporain. Leonard Bernstein Serenade Du côté du jazz, enfin, deux ensembles : celui de Maria Schneider, new-yorkaise Aaron Copland d’adoption dont les compositions, originales et ambitieuses, témoignent d’une Symphonie n° 3 conception très personnelle et aboutie de l’orchestration, et le Dizzy Gillespie All Star Big Band, formé en 1998 pour rendre hommage au maître disparu Orchestre National d’Île-de-France en 1993. Yoel Levi, direction Olivier Charlier, violon

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MARDI 21 NOVEMBRE, 20H SAMEDI 25 NOVEMBRE, 11H JEUDI 30 NOVEMBRE, 20H Concert éducatif Tristan Murail John Zorn « Moonchild » Légendes urbaines (création) Musiques de la ville Elliott Carter John Zorn, machines Concerto pour clarinette Steve Reich Mike Patton, voix Steve Reich City Life Trevor Dunn, basse City Life Joey Baron, batterie Emmanuelle Cordoliani, texte Ensemble intercontemporain et mise en espace Jonathan Nott, direction Ensemble intercontemporain SAMEDI 2 DÉCEMBRE, 16H30 Alain Damiens, clarinette Jonathan Nott, direction Victor Duclos, présentation Maria Schneider Orchestra

MERCREDI 22 NOVEMBRE, 20H Maria Schneider, direction SAMEDI 25 NOVEMBRE, 20H et composition Leonard Bernstein Symphonie n° 2 « The Age Steve Reich of Anxiety » You Are (Variations) SAMEDI 2 DÉCEMBRE, 20H Aaron Jay Kernis (création française) SALLE PLEYEL Newly Drawn Sky (création française) Tehillim Philip Glass Dizzy Gillespie All Star Big Band Concerto-fantaisie pour deux Orchestre Philharmonique timbaliers et orchestre de Radio France Slide Hampton, direction Synergy Vocals Orchestre National de France Brad Lubman, direction James Conlon, direction Jean-Yves Thibaudet, piano Jonathan Haas, Didier Benetti, MARDI 28 NOVEMBRE, 20H timbales Sex Mob

Steven Bernstein, trompette Briggan Krauss, saxophones Tony Scherr, basse Kenny Wollesen, batterie

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SAMEDI 25 NOVEMBRE – 20H Salle des concerts

Steve Reich You Are (Variations) – création française

entracte

Tehillim, pour voix et orchestre de chambre

Orchestre Philharmonique de Radio France Svetlin Roussev, violon solo Synergy Vocals Brad Lubman, direction

Ce concert est enregistré par France Musique, partenaire de la Cité de la Musique.

Coproduction Cité de la Musique, Radio France.

Fin du concert vers 21h40.

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Steve Reich (1936) You Are (Variations) – création française

You are wherever your thoughts are Shiviti Hashem L’negdi (« Je sens la présence de l’Éternel devant moi ») Explanations come to an end somewhere Ehmor m’aht, v’ahsay harbay (« Dis peu et fais beaucoup »)

Composition : 2004. Commande : Los Angeles Master Chorale, Lincoln Center et Ensemble Modern. Création : octobre 2004 à Los Angeles. Création française. Effectif : 3 sopranos, alto, 2 ténors – 2 flûtes, hautbois, cor anglais, 3 clarinettes en si bémol – 4 pianos, 2 marimbas, 2 vibraphones – cordes. Durée : environ 25 minutes.

You Are (Variations) (2004) comporte quatre mouvements dont chacun correspond à la mise en musique d’un court texte. Les mouvements/textes en question sont :

You are wherever your thoughts are Shiviti Hashem L’negdi (« Je sens la présence de l’Éternel devant moi ») Explanations come to an end somewhere Ehmor m’aht, v’ahsay harbay (« Dis peu et fais beaucoup »)

Le premier texte est une traduction anglaise des paroles de Rabbi Nachman de Breslov, l’un des mystiques hassidiques les plus profonds et les plus magnétiques de la fin du XVIIIe siècle. La citation est extraite de son Likutey Moharan I : 21.

Le deuxième texte provient du Psaume 16 dans sa version originale (c’est-à-dire en hébreu) ; il signifie : « Je sens la présence de l’Éternel devant moi ».

Le troisième texte a été traduit de l’allemand vers l’anglais : il est emprunté aux Investigations philosophiques de Ludwig Wittgenstein.

Le quatrième texte est une citation du Pirke Avot, l’une des plus anciennes parties du Talmud et, de loin, son traité le plus célèbre. Le texte hébreu, qui est attribué à Rabbi Shammai, peut être traduit de la façon suivante : « Dis peu et fais beaucoup ».

Tous ces textes étant relativement courts, l’idée consistant à les répéter en variant leur mise en musique à chaque répétition s’est imposée d’elle-même. On peut donc considérer que c’est le choix des textes qui a imposé la forme de la pièce. Mais la façon dont les variations se produisent est elle-même soumise à des variations considérables.

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Pour commencer, je me suis inspiré de ce qu’avaient fait nombre de mes prédécesseurs en établissant un plan harmonique qui revenait à utiliser le même cycle d’accords dans l’ensemble des variations. Cependant, après avoir terminé la mise en musique de « You are wherever your thoughts are », je me suis surpris à modifier les harmonies dès la première variation. Et plus j’avançais, plus je m’éloignais du plan de départ. J’ai beaucoup apprécié cette expérience dans la mesure où elle m’a amené à suivre mon intuition musicale, à retrouver une certaine spontanéité. Dans la troisième variation, on peut reconnaître des citations de « L’Homme armé », la fameuse chanson populaire du XIVe siècle. La cinquième variation débute par l’empilement des pianos les uns au-dessus des autres, leurs harmonies dissonantes introduisant un élément de nouveauté, particulièrement énergique. Dans la sixième variation, enfin, il est possible d’entendre des échos de James Brown.

Le deuxième texte (en hébreu) est chanté une première fois avant d’être repris en canon, le canon étant lui-même répété et augmenté de manière à créer l’impression d’une sorte de canon au ralenti ; les marimbas, les vibraphones et les pianos entraînent l’ensemble dans un enchaînement de mesures dont le chiffrage change en permanence. Après une courte pause commence le troisième mouvement, dans lequel les répétitions du texte s’accompagnent de variations harmoniques (le plus souvent sur des accords mineurs). Le dernier mouvement (de nouveau en hébreu) revient quant à lui au tempo initial : il est composé de canons en augmentation semblables à ceux du deuxième mouvement.

La pièce doit son unité harmonique à l’omniprésence de l’accord de dominante de ré majeur joué, le plus souvent, avec un sol au lieu d’un la à la basse. Les rayons lumineux de ré majeur éclairent l’essentiel de la pièce, tout particulièrement le dernier mouvement.

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Tehillim

Composition : 1981. Commande : SDR de Stuttgart, WDR de Cologne et Rothko Chapel de Houston. Création : le 20 septembre 1981, à Cologne, WDR, par Steve Reich and Musicians, sous la direction de George Manahan. Effectif : 3 sopranos, contralto – flûte piccolo, flûte, hautbois, cor anglais, 2 clarinettes – 6 percussions, 2 orgues électriques manuels – cordes – régie son. Durée : environ 32 minutes.

« Tehillim » est le mot hébreu ancien pour « psaumes ». Traduit littéralement, cela veut dire « louanges » ; le mot lui-même est issu d’une racine hébraïque formée des trois lettres heh, lamed, lamed (hll), qui est également la racine du mot « alléluia ». Tehillim est une mise en musique des psaumes 19 : 2-5 (19 : 1-4 dans les versions chrétiennes), 34 : 13-15 (34 : 12-14), 18 : 26-27 (18 : 25-26), et 150 : 4-6.

La version pour ensemble est orchestrée pour quatre voix féminines (un soprano léger, deux sopranos lyriques et un contralto), flûte, flûte piccolo, hautbois, cor anglais, deux clarinettes, basson (facultatif), percussion (petits tambourins accordés sans sonnailles, battement de mains, maracas, marimba, vibraphone, crotales), deux orgues électriques, deux violons, alto, violoncelle, et contrebasse.

Les petits tambourins sans sonnailles employés ici ressemblent peut-être à celui appelé tof en hébreu dans le Psaume 150 et ailleurs dans le texte biblique. Battements de mains et crotales étaient aussi communément employés à l’époque biblique dans tout le Moyen-Orient, ainsi que les petites cymbales accordées. À part cela, Tehillim est vide de tout contenu musicologique. Le matériel mélodique ne contient pas de thème juif. J’ai préféré mettre en musique des psaumes plutôt que des textes tirés de la Torah ou des Prophètes, en partie parce que chez les Juifs occidentaux la tradition orale concernant le chant des psaumes s’est perdue (elle n’est encore vivace que chez les Juifs yéménites). Je veux dire que si la cantillation des textes de la Torah et des Prophètes est restée une tradition toujours vivante depuis vingt-cinq siècles dans les synagogues du monde entier, la tradition orale du chant des psaumes dans les synagogues occidentales s’est perdue. Ainsi, je me trouvais libre de composer les mélodies de Tehillim, sans avoir à craindre d’imiter ou d’ignorer une tradition orale vivante.

Contrairement à la majorité de mon oeuvre antérieure, Tehillim n’est pas composé de motifs courts et répétitifs. Bien que l’on puisse y trouver une mélodie entière se répétant comme thème d’un canon ou de variations, cette œuvre, en fait, suit de près les structures que l’on trouve tout au long de l’histoire de la musique occidentale. Si les canons à quatre parties du premier et du dernier mouvements peuvent rappeler à des auditeurs mes anciennes compositions sur bande magnétique, It’s Gonna Rain et Come Out, écrites en courtes phrases parlées se répétant maintes fois en canon serré, Tehillim se révélera

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à la plupart des auditeurs comme une œuvre très différente de celles qui l’ont précédée. Il n’y a pas dans Tehillim de rythme ni de motif rythmique fixes comme dans mes autres compositions ; ici, le rythme de la musique jaillit directement du rythme du texte hébraïque, et varie ainsi avec souplesse suivant les changements constants du mètre. C’est la première fois que j’ai mis un texte en musique depuis mes années d’études ; le résultat est une œuvre basée sur l’élément mélodique dans le sens le plus fort de ce terme.

Steve Reich

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Steve Reich moins de dix-huit membres (voire plus récipiendaire d’une bourse de Depuis ses premières pièces pour selon les circonstances). Depuis 1971, l’Université de Californie, Berkeley, bandes magnétiques comme It’s Gonna Steve Reich and Musicians tourne dans il a également été élu « Compositeur Rain (1965) et Come Out (1966) jusqu’à le monde entier et joue régulièrement de l’année » par le magazine Musical sa récente collaboration avec Beryl à guichet fermé dans des lieux aussi America. Korot sur l’opéra vidéo Three Tales divers que Carnegie Hall ou le Bottom The Cave, l’opéra vidéo de Steve Reich (2002), Steve Reich n’a eu de cesse Line Cabaret. et de Beryl Korot, raconte l’histoire de marier la musique savante En 1988, Different Trains a marqué biblique d’Abraham, de Sarah, d’Agar, occidentale avec les structures, l’apparition d’une nouvelle façon de d’Ismaël et d’Isaac. Cette œuvre a été les harmonies et les rythmes des composer dans le travail de Steve saluée par Time Magazine comme musiques extra-européennes et des Reich. Cette dernière trouvait son « un aperçu fascinant de ce à quoi musiques populaires américaines – origine dans des œuvres plus pourrait ressembler un opéra au XXIe en particulier le jazz. anciennes comme It’s Gonna Rain et siècle. » Après la création à Chicago, Steve Reich a passé son enfance entre Come Out, où des enregistrements John von Rhein a écrit dans le Chicago sa ville natale de New York et la de voix fournissaient le matériau Tribune : « Les techniques utilisées Californie. Il a obtenu une licence mélodique des instruments. En 1990, dans cette œuvre ont le pouvoir de philosophie avec mention à l’enregistrement de Different Trains par de décupler le potentiel de l’opéra en l’Université Cornell en 1957. Il a étudié le Kronos Quartet a valu à Steve Reich tant qu’art vivant […] The Cave parvient la composition avec Hall Overton le Grammy Award de la « Meilleure (et c’est là sa force) à mettre notre pendant les deux années qui ont suivi composition contemporaine ». époque tourmentée en perspective avant d’entrer dans les classes de En juin 1997, la maison de disques avec les temps anciens tout en nous William Bergsma et de Vincent Nonesuch a célébré le soixantième invitant à porter un regard neuf Persichetti à la Juilliard School of anniversaire de Steve Reich en sortant sur notre héritage culturel commun. » Music (1958-1961). Il a ensuite travaillé une rétrospective de son œuvre en Three Tales, un opéra vidéo avec Luciano Berio et Darius Milhaud dix CD – cette rétrospective comprenait documentaire en trois parties, est la au Mills College, où il a obtenu une des réenregistrements récents ainsi deuxième collaboration en date de maîtrise de musique en 1963. que des enregistrements plus anciens Steve Reich et de Beryl Korot. Il porte Pendant l’été 1970, une bourse de remastérisés. Music for 18 Musicians sur trois événements fameux du l’Institute for International Education (également sorti chez Nonesuch) lui a vingtième siècle, chacun de ces lui a permis d’aller étudier les valu un deuxième Grammy Award en événements nous amenant à nous percussions à l’Institut d’études 1999. En juillet de la même année, le interroger sur la place grandissante africaines de l’Université du Ghana Festival du Lincoln Center a organisé de la technologie dans le monde et sur (Accra). En 1973 et en 1974, il a étudié une rétrospective majeure de l’œuvre ses implications : le crash d’un zeppelin le gamelan balinais (Semar Pegulingan de Steve Reich – une dizaine d’années allemand dans le New Jersey en 1937 et Gambang) à la Société américaine auparavant, en 1988, le South Bank (Hindenburg) ; les essais nucléaires des arts orientaux à Seattle et à Centre de Londres avait déjà dans les atolls de Bikini entre 1946 et Berkeley, Californie. De 1976 à 1977, programmé une série de concerts 1954 (Bikini) ; et les problèmes posés il a étudié les formes traditionnelles de analogue. par le génie génétique et la robotique cantillation des écritures hébraïques à En 2000, Steve Reich a reçu le Prix (Dolly, en référence au mouton cloné New York et à Jérusalem. Schuman de l’Université Columbia et en 1997). Three Tales se présente En 1966, Steve Reich a créé son propre une bourse Montgomery du Dartmouth comme un opéra en trois actes dans ensemble. Composé à l’origine de trois College. Docteur honoris causa de lequel des images d’archive et des musiciens, il compte aujourd’hui pas l’Institut californien pour les Arts, séquences vidéo, des interviews

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filmées, des photographies, des textes intercontemporain (direction David Arts et des Lettres. et, tout particulièrement, des images Robertson), London Sinfonietta En 2006, des manifestations seront arrêtées sont projetés sur grand écran (direction Markus Stenz et Martyn organisées dans le monde entier pour après avoir été transférés sur bande Brabbins), Theatre of Voices (direction célébrer le soixante-dixième vidéo. Les chanteurs et les musiciens Paul Hillier), Ensemble Schoenberg anniversaire de Steve Reich – on pourra sont disposés sur la scène en fonction (direction Reinbert de Leeuw), notamment entendre de vastes de ce qui apparaît à l’écran, de sorte Philharmonique de Brooklyn (direction rétrospectives de sa musique au que l’ensemble symbolise le conflit Robert Spano), Symphonique de Barbican Centre de Londres et entre les dimensions physique, éthique Saint-Louis (direction Leonard Slatkin), dans plusieurs salles new-yorkaises. et religieuse du progrès technologique. Philharmonique de Los Angeles Three Tales a été créé au Festival de (direction Neal Stulberg), Orchestre Brad Lubman Vienne en 2002 avant d’être joué en symphonique de la BBC (direction Peter Depuis deux décennies, le chef et tournée en Europe, aux États-Unis, en Eötvös) et Orchestre symphonique de compositeur Brad Lubman est une Australie et à Hong Kong. Cette œuvre Boston (direction Michael Tilson figure incontournable de la musique est sortie en CD et en DVD chez Thomas). moderne. Il a été chef assistant d’Oliver Nonesuch à l’automne 2003. Steve Reich a inspiré de célèbres Knussen au Centre de musique de Au cours de sa carrière, Steve Reich chorégraphes, dont Anne Teresa de Tanglewood de 1989 à 1994 et s’est a reçu des commandes du Barbican Keersmaeker (Fase, en 1983, sur imposé depuis comme l’un des chefs Centre de Londres, du Festival de quatre œuvres de jeunesse, ainsi les plus polyvalents au monde. Il a Hollande, du Symphonique de que Drumming en 1998 et Rain sur travaillé avec des musiciens issus San Francisco, de la Chapelle Rothko, Music for 18 Musicians), Jirí Kylián des horizons les plus divers et aussi du Festival de Vienne, du Théâtre (Falling Angels sur Drumming Part I), renommés que John Adams, Pierre Hebbel de Berlin, de la Brooklyn Jerome Robbins pour le New York City Boulez, Luciano Berio, Elliott Carter, Academy of Music pour le guitariste Ballet (Eight Lines) et Laura Dean, Elvis Costello, Steve Reich, DJ Spooky, Pat Metheny, du Festival de Spoleto qui lui a commandé Sextet – le ballet, Michael Tilson Thomas, Charles (États-Unis), de la Radio de Cologne, intitulé Impact, a été créé au Next Wave Wuorinen ou John Zorn. du Festival Settembre Musica de Turin, Festival de la Brooklyn Academy of On a pu l’entendre avec le New Music de la Fondation Fromm pour Music et a valu un Bessie Award à Steve Group de l’Orchestre philharmonique le clarinettiste Richard Stoltzman, Reich et à Laura Dean en 1986. Parmi de Los Angeles, le Philharmonique de l’Orchestre symphonique de les autres chorégraphes ayant utilisé de Brooklyn, l’Ensemble Modern, Saint-Louis, de Betty Freeman pour le la musique de Steve Reich, on peut l’Ensemble Steve Reich, Kronos Quartet, du Festival d’automne mentionner Eliot Feld, Alvin Ailey, Lar le Symphonique de la Radio de de Paris et de l’État français pour le Lubovitch, Maurice Béjart, Lucinda Sarrebruck, le Deutsches Symphonie- bicentenaire de la Révolution française. Childs, Siobhan Davies et Richard Orchester Berlin, l’Orchestre La musique de Steve Reich a été jouée Alston. En 2006, Variations for vibes, symphonique du Nouveau Monde, par les orchestres et les ensembles les pianos and strings a par ailleurs été le Symphonique de la Radio de plus prestigieux au monde : London créé par la Compagnie Akram Khan Francfort, le Symphonique de la Radio Symphony Orchestra (direction Michael avec le London Sinfonietta. finlandaise, l’Ensemble Asko et le New Tilson Thomas), New York Philharmonic Steve Reich a été élu à l’Académie Millenium Ensemble. Ses disques sont (direction Zubin Mehta), Symphonique américaine des Arts et des Lettres en sortis chez Auvidis Montaigne, de San Francisco (direction Michael 1994 et à l’Académie des Beaux-Arts de BMG/RCA, Bridge, Col Legno, CRI, Tilson Thomas), Ensemble Modern Bavière l’année suivante. En 1999, Centaur, Koch et Nonesuch. Brad (direction Bradley Lubman), Ensemble il a été fait Commandeur de l’Ordre des Lubman est aujourd’hui Maître de

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conférences au département enregistrements, l’ensemble est à Philharmonique, refondé en 1976 sur « Direction et ensembles » de la tête de plusieurs projets des bases originales, sous l’inspiration l’Eastman School of Music, Université pédagogiques (séances de répétition des critiques formulées par Pierre de Rochester (New York). avec des chanteurs, collaborations Boulez à l’encontre des formations avec des compositeurs travaillant sur symphoniques traditionnelles, Synergy Vocals de nouvelles œuvres vocales) au à l’époque où il était le directeur L’ensemble Synergy Vocals s’est fait Conservatoire royal de La Haye, musical des orchestres connaître en travaillant avec à l’Université de Princeton, à l’Eastman philharmoniques de New York et de microphone dans une grande variété School of Music, à l’Université d’Oberlin la BBC de Londres. de genres musicaux. Apprécié pour et avec l’Orchestre symphonique de L’originalité de ce nouvel orchestre sa cohésion sonore, sa précision Chicago. Sa discographie comprend philharmonique, rebaptisé Orchestre rythmique et ses concerts dynamiques, Music for Eighteen Musicians de Steve Philharmonique de Radio France en il est un collaborateur régulier des Reich avec l’Ensemble Modern 1989, est de pouvoir s’adapter à toutes ensembles Steve Reich and Musicians, (BMG/RCA), Drumming avec Ictus les configurations possibles du Ictus et Ensemble Modern. (Cyprès), Three Tales avec Steve Reich répertoire, du classicisme à nos jours ; Synergy Vocals a travaillé avec de and Musicians (Nonesuch DVD) et ses 141 musiciens peuvent se partager nombreux orchestres ou ensembles Imagined Oceans de Karl Jenkins (Sony simultanément en plusieurs formations de renommée internationale (BBC Classical). On peut en outre l’entendre pour jouer aussi bien en ensemble Symphony Orchestra, Symphonique sur les bandes originales de films instrumental, en orchestre de chambre de Boston, Philharmonique de Booklyn, comme Harry Potter et la coupe de feu, ou en grande formation symphonique. Symphonique de Chicago, Ensemble Nanny McPhee et Les Frères Grimm. L’Orchestre Philharmonique permet Bash, Ensemble intercontemporain, ainsi à Radio France d’offrir à son Kroumata, London Sinfonietta, London Micaela Haslam public et à ses auditeurs une très Symphony Orchestra, Orchestre Amanda Morrison grande variété de programmes philharmonique de Monte-Carlo, Andrew Busher originaux, présentés Salle Pleyel, Symphonique de la Radio des Gerard O’Beirne Salle Olivier Messiaen, à la Cité de Pays-Bas, New World Symphony Suzanne Wilson la musique et au Théâtre du Châtelet. Orchestra, Nexus, Remix, Sinfonia 21 Heather Carincross La plupart des œuvres du répertoire et Smith Quartet). Il a également pour grand orchestre sont désormais collaboré avec le Royal Ballet Orchestre Philharmonique présentées dans la Salle Pleyel (Royaume-Uni) et avec les compagnies de Radio France rénovée, qui accueille l’Orchestre de danse Mark Baldwin (Royaume-Uni) La saison 2006-2007 est celle d’un Philharmonique de Radio France en et Rosas (Belgique). double anniversaire pour l’Orchestre résidence pour un minimum de Étroitement lié à des compositeurs Philharmonique de Radio France. 20 programmes originaux à partir contemporains comme Steve Reich, C’est en 2007 le 70e anniversaire du de sa réouverture en septembre 2006. Steve Mackey, Louis Andriessen, premier Orchestre Philharmonique de L’Orchestre Philharmonique se John Adams ou Luciano Berio, la Société nationale de radiodiffusion consacre par ailleurs à des œuvres plus Synergy Vocals s’est produit dans les française fondé dans les années 1930 rares et à la musique d’aujourd’hui lieux et dans les festivals les plus aux côtés de l’Orchestre national, de dans la Salle Olivier Messiaen de la prestigieux aux États-Unis, en Australie, l’Orchestre lyrique et de l’Orchestre de Maison de Radio France, pour une en Extrême-Orient, au Royaume-Uni chambre de la radio française. dernière saison avant la rénovation et dans le reste de l’Europe. Mais nous fêtons surtout le 30e complète du bâtiment qui permettra En marge de ses concerts et de ses anniversaire de l’actuel Orchestre la création d’un nouvel auditorium de

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SAMEDI 25 NOVEMBRE

1500 places à l’horizon 2010-2012. Gustavo Dudamel, Mikko Franck, Alan Emmanuelle Blanche-Lormand À la Cité de la musique, l’orchestre est Gilbert, Paavo Järvi, Philippe Jordan, Martin Blondeau heureux de contribuer à une Kazushi Ono, Pascal Rophé et Tugan Floriane Bonanni programmation thématique originale. Sokhiev. Ils continuent également de Florence Bouanchaud Cette saison l’orchestre axe ses travailler avec Vladimir Fedosseiev, Florent Brannens concerts autour de grands Eliahu Inbal, Armin Jordan et Leonard Solange Couture compositeurs du XXe siècle. Cette Slatkin. Par ailleurs, Paul Mc Creesh Thérèse Desbeaux collaboration se trouvera renforcée et Ton Koopman développent avec Aurore Doise et diversifiée pendant la construction l’Orchestre Philharmonique l’approche Béatrice Gaugué-Natorp du nouvel auditorium de Radio France. du répertoire classique qu’ils ont Edmond Israelievitch L’Orchestre Philharmonique contribue renouvelée sur instruments anciens. Mireille Jardon aussi à la programmation lyrique du Principal acteur du festival Présences Lyodoh Kaneko Théâtre du Châtelet, aussi bien pour de Radio France et partenaire du Jean-Philippe Kuzma des opéras mis en scène que pour des festival Agora de l’Ircam, l’Orchestre Jean-Christophe Lamacque concerts d’oratorio. Enfin, l’Orchestre Philharmonique a aussi accueilli de François Laprévote Philharmonique est heureux d’offrir nombreux compositeurs-chefs Arno Madoni les clefs du répertoire symphonique au d’orchestre tels Luciano Berio, Witold Virginie Michel public scolaire comme au public Lutoslawski, Thomas Adès, George Simona Moïse familial, en musique et avec humour, Benjamin, Marc-André Dalbavie, Pascal Oddon avec la complicité du compositeur, Magnus Lindberg, Krzysztof Françoise Perrin pianiste et improvisateur Jean-François Penderecki; il poursuit aujourd’hui une Cécile Peyrol Zygel. Les musiciens de l’Orchestre relation privilégiée avec Peter Eötvös. Céline Planes Philharmonique de Radio France et Sophie Pradel leur directeur musical Myung-Whun Directeur musical Marie-Josée Romain-Ritchot Chung travaillent ensemble depuis Myung-Whun Chung Mihaëla Smolean mai 2000. De nombreuses tournées, Isabelle Souvignet en Asie, aux États-Unis et en Europe, Violons Thomas Tercieux ont marqué cette collaboration. Elisabeth Balmas, 1er solo Véronique Tercieux-Engelhard L’orchestre est ainsi invité cette saison Hélène Collerette, 1er solo Anne Villette pour une résidence de quatre concerts Svetlin Roussev, 1er solo NN au Musikverein de Vienne, ainsi qu’en Virginie Buscail, 2e solo NN Allemagne, aux États-Unis au Carnegie Bernadette Gardey, 2e solo Hall de New York et pour la première M. Laurence Camilleri, 3e solo Altos fois à Chicago, et pour une série de Mihaï Ritter, 3e solo Jean-Baptiste Brunier, 1er solo concerts en Asie qui réunit le Japon, Catherine Lorrain, Christophe Gaugué, 1er solo la Corée et la Chine. Les musiciens de 1er chef d’attaque Setrag Koulaksezian, 1er solo l’Orchestre Philharmonique de Radio NN, 1er chef d’attaque Vincent Aucante, 2e solo France ont eu le plaisir de jouer la Juan-Firmin Ciriaco, Fanny Coupé, 2e solo saison passée avec des personnalités 2e chef d’attaque Daniel Vagner*, 3e solo aussi exceptionnelles que Pierre Boulez Guy Comentale, Elisabeth Audidier et Valery Gergiev. Ils ont développé une 2e chef d’attaque Marie Emeline Charpentier relation privilégiée avec les meilleurs Emmanuel André Diane Dubon chefs de la nouvelle génération : Cyril Baleton Sophie Groseil

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Elodie Guilllot* 2e solo et flûte en sol Gérard Boulanger, 2e solo Anne Michèle Liénard Emmanuel Burlet, piccolo solo Jean-Pierre Odasso, 2e solo Jacques Maillard Nels Lindeblad, piccolo solo Gilles Mercier, Frédéric Maindive 3e solo et 1er cornet solo Benoît Marin Hautbois Jean-Luc Ramecourt, 4e solo Martine Schouman Jean-Louis Capezzali, 1er solo Aurélia Souvignet-Kowalski Hélène Devilleneuve, 1er solo Trombones Marie-France Vigneron Jean-Christophe Gayot, 2e solo Patrice Buecher, 1er solo Stéphane Part, Antoine Ganaye, 1er solo Violoncelles 2e solo et cor anglais Alain Manfrin, 2e solo Eric Levionnois, 1er solo Stéphane Suchanek, cor anglais solo David Maquet, 2e solo Nadine Pierre, 1er solo Daniel Raclot, 1er solo Clarinettes Trombones basses NN, 2e solo Jérôme Voisin, 1er solo* Franz Masson NN, 2e solo Francis Gauthier, 1er solo Raphaël Lemaire* Anita Barbereau-Pudleitner, 3e solo Jean-Pascal Post, Jean-Claude Auclin 2e solo et cor de basset solo Tuba Yves Bellec NN, petite clarinette solo Victor Letter Marion Gailland Didier Pernoit, clarinette basse solo Anne Girard NN, 2e clarinette basse solo & 2e cor Timbales Renaud Guieu de basset Adrien Perruchon, 1er solo Karine Jean-Baptiste NN, 1er solo Elisabeth Maindive Bassons Jérôme Pinget Jean-François Duquesnoy, 1er solo Percussions Catherine de Vençay NN, 1er solo Renaud Muzzolini, 1er solo Stéphane Coutaz, 2e solo Francis Petit, 1er solo Contrebasses Francis Pottiez, contre-basson solo Benoît Gaudelette, 2e solo et timbales Christophe Dinaut, 1er solo Denis Schricke, contre-basson solo Gabriel Benlolo, 2e solo Gérard Soufflard, 1er solo Gérard Lemaire, 3e solo Jean Thévenet, 2e solo Cors Jean-Marc Loisel, 3e solo Antoine Dreyfuss, 1er solo Harpes Daniel Bonne Jean-Jacques Justafré, 1er solo NN, 1er solo Jean-Pierre Constant NN, 1er solo NN, 2e solo Michel Ratazzi Sylvain Delcroix, 2e solo Véronique Sauger Paul Minck, 2e solo Claviers Dominique Serri Xavier Agogué, 3e solo Catherine Cournot Dominique Tournier Jean Pincemin, 3e solo Henri Wojtkowiak Jean-Claude Barro, 4e solo * musiciens non titulaires Isabelle Bigaré, 4e solo Flûtes Magali Mosnier, 1er solo Trompettes Thomas Prévost, 1er solo Bruno Nouvion, 1er solo Michel Rousseau, NN, 1er solo Concert enregistré par France Musique

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> CONCERT > DOMAINE PRIVÉ BETSY JOLAS > MÉDIATHÈQUE Du mercredi 6 au dimanche 10 décembre VENDREDI 19 JANVIER, 20H • Venez réécouter ou revoir 6/12 • Orchestre National de Lyon, Jun les concerts que vous avez aimés. Œuvres de Luigi Nono et Wolfgang Rihm Märkl (direction), Antoine Tamestit (alto) • Enrichissez votre écoute en suivant la Œuvres de Igor Stravinski, Betsy Jolas partition et en consultant Ensemble intercontemporain et Robert Schumann les ouvrages en lien avec l’œuvre. Jonathan Nott, direction • Découvrez les langages et les styles Noa Frenkel, contralto 8/12 • Solistes de Lyon-Bernard Tétu, musicaux à travers les repères Susan Otto, contralto Solistes de l’Orchestre National de Lyon, musicologiques, les guides d’écoute Étudiants de la classe de percussion Bernard Tétu (direction) • Portraits croisés et les entretiens filmés, en ligne du Conservatoire de Paris Betsy Jolas/Roland de Lassus sur le portail. Experimentalstudio der Heinrich- http://mediatheque.cite-musique.fr Strobel-Stiftung des SWR Freiburg 9/12, 15h • Forum Betsy Jolas Concert avec Jay Gottlieb (piano), LA SÉLECTION DE LA MÉDIATHÈQUE Dominique My (piano, voix et direction), Paul-Alexandre Dubois (baryton), Frédéric CONSULTER EN LIGNE dans les Monino (guitare basse), Antoine Illouz « Dossiers pédagogiques » : > LEÇON MAGISTRALE (trompette), Sarah Breton (mezzo-soprano) La Musique américaine au XXe siècle et Dorothée Lorthiois (soprano) dans les « Repères musicologiques » Musique savante, musique populaire : une transmission ? 9/12 • Orchestre du Conservatoire ECOUTER EN SUIVANT LA PARTITION : Guillaume Kosmicki, musicologue de Paris, Dominique My (direction) Tehillim de Steve Reich par l’Ensemble mardi 28 novembre, de 14h à 15h Raphaël Oleg (violon) intercontemporain et les Synergy vocals, Œuvres de Betsy Jolas, Claude Debussy, dir. Peter Rundel, enregistré lors du Henri Dutilleux et Leonard Bernstein concert à la Cité de la musique le 18 juin 2004 • Tehillim de Steve Reich par le > COLLÈGE 10/10 • Solistes de l’Ensemble Schönberg ensemble et le Groupe de intercontemporain, Marie-Bénédicte Percussions La Haye, dir. Reinbert de

La musique contemporaine 757543 757542, 757541, Souquet (soprano) Leeuw o Œuvres de Betsy Jolas, François 15 séances du mercredi 14 février Narboni/Mark André/Thierry Blondeau, VOIR : Atelier-concert autour de Steve Reich au mercredi 27 juin, de 19h30 à 21h30 Luciano Berio et Pascal Dusapin LIRE : You are, variations de Steve Reich par Marc Mathey in L’Éducation musicale, n° 523/524, mai-juin 2005 . Écrits et > JOURNÉES D’ÉTUDE > JEUNE PUBLIC entretiens sur la musique de Steve Reich • Entre détermination et aventure : essais Musique et architecture : de quel espace MERCREDI 22 NOVEMBRE, 15H sur la musique de la deuxième moitié du sensible la musique est-elle contemporaine ? JEUDI 23 NOVEMBRE, 10H ET 14H30 XXe siècle de Ivanka Stoianova Samedi 25 novembre, de 10h à 18h Le Mouton-cachalot Musique et politique : de quel monde la musique est-elle contemporaine ? Texte de Ramona Badescu Samedi 13 janvier, de 10h à 18h > MUSÉE DE LA MUSIQUE Sophie Agnel, piano Musique et littérature : de quelle prose la Catherine Jauniaux, voix VISITES GUIDÉES POUR ADULTES musique est-elle contemporaine ? Juliette Agnel, images La ville, le voyage Samedi 17 mars, de 10h à 18h Samedi 18 et samedi 25 novembre à 15h Photo couverture © Burt Glinn/Magnum Photos n couverture | Licences Photo Repro | Imprimeur SIC | France

Éditeur: Hugues de Saint Simon | Rédacteur en chef: Pascal Huynh | Rédactrice: Gaëlle Plasseraud | Correctrice : Jean-Guillaume Lebrun | Maquette: Ariane Fermont