Vmg7j (Library Ebook) Weirdworld: Warriors of the Shadow Realm Online
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vmg7j (Library ebook) Weirdworld: Warriors of the Shadow Realm Online [vmg7j.ebook] Weirdworld: Warriors of the Shadow Realm Pdf Free Par Doug Moench ebooks | Download PDF | *ePub | DOC | audiobook Download Now Free Download Here Download eBook Détails sur le produit Rang parmi les ventes : #268275 dans eBooksPublié le: 2015-04-21Sorti le: 2015-04- 01Format: Ebook Kindle | File size: 57.Mb Par Doug Moench : Weirdworld: Warriors of the Shadow Realm before purchasing it in order to gage whether or not it would be worth my time, and all praised Weirdworld: Warriors of the Shadow Realm: Commentaires clientsCommentaires clients les plus utiles1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile. Pour l'effet nostalgiquePar PrésenceCe tome comprend toutes les histoires parues relatives à Weirdwrold, un monde de Fantasy, créé par Doug Moench. Tous les scénarios sont de Doug Moench. Toutes les histoires sont en couleurs, sauf la première.-- Marvel super action 1 (1976, dessins et encrage de Mike Ploog, noir blanc, 9 pages) – Tyndall est un jeune elfe, sans souvenir de ses premières années, vivant dans un village de nains, sur un monde moyenâgeux appelé Weirdworld, où vivent des créatures fantastiques. Suite à plusieurs attaques de créatures ailées aux allures de chauve- souris dopées aux amphétamines, les nains le cooptent pour aller tuer le cœur des ténèbres.Avec cette courte histoire, Doug Moench donne naissance en 1976, à ce monde de Fantasy qui évoque de loin Tolkien (que Moench n'avait pas lu à cette époque). Le lecteur plonge dans un décor à consistance suffisante, pour une aventure rondement menée, avec une chute des plus inattendues. Mike Ploog réalise des dessins aux textures particulières, et à l'esthétique éloignée de celle des superhéros.Il s'agit de l'équivalent d'une nouvelle rapide et dense utilisant les conventions de la Fantasy. 3 étoiles.-- Marvel premiere 38 (1977, dessins de Mike Ploog, encrage d'Alex Niño) – Tyndall et Velanna sont capturés par un sorcier qui exige de Tyndall qu'il aille récupérer du sang de dragon sur l'île flottant dans les airs (en forme d'anneau), abritant les elfes.À nouveau, Doug Moench déroule une histoire linéaire et classique utilisant les conventions de la Fantasy, avec deux, trois touches d'humour, et un héros qui est loin d'être tout puissant. Par contre Velanna (la compagne elfe de Tyndall) est réduite à l'état d'otage. L'encrage d'Alex Niño confère une texture assez intéressante aux dessins de Mike Ploog (en particulier les créatures de cire dégoulinantes). 3 étoiles pour un récit divertissant, mais vite oublié.-- Marvel Fanfare 24 à 26 (1986, dessins de Mike Ploog, puis Pat Broderick, encrage de P. Craig Russell, puis Brett Breeding) – Tyndall et Velanna continuent leurs errances sur Weirdworld. Alors qu'ils s'apprêtent à entrer dans une taverne, ils se heurtent à Mud-Butt (ainsi nommé du fait de sa propension à se retrouver régulièrement le derrière dans la boue). Ils finissent par voyager ensemble et aboutissent dans le château de Lord Raven, un sorcier qui ne leur veut pas du bien.Cette histoire est la dernière publiée, mais comme elle se situe chronologiquement avant les 2 suivantes, elle a été placée à cet endroit dans le recueil. Elle raconte comment les 2 elfes ont fait connaissance avec le nain Mud-Butt. Doug Moench propose une intrigue assez classique de sorcier cherchant à s'accaparer un objet de pouvoir, en éliminant ses possesseurs du moment. L'humour de Mud-Butt est assez lourd et peu drôle. Velanna est toujours aussi inexistante. Tyndall se rapproche des archétypes du héros valeureux, habile à l'épée.Le lecteur remarque que Mike Ploog a beaucoup épuré ses dessins dans l'épisode 24 (pour ne pas dire simplifié) et que l'encrage personnel de P. Craig Russell ne suffit pas à leur redonner de la consistance. L'arrivée de Brett Breeding rapproche les dessins de l'ordinaire des superhéros, ou tout du moins des stéréotypes développés par John Buscema sur la série "Conan". En outre il est difficile de déterminer si le dessinateur le fait exprès, si c'est l'encreur qui sabote le travail, ou encore si c'est involontaire, mais régulièrement les personnages arborent des expressions d'ahuris, avec un effet comique involontaire qui dissipe toute tension narrative.Pour cette première longue histoire, l'inspiration de Doug Moench n'est pas au rendez-vous et les dessins perdent leurs particularités pour devenir plus génériques. 1 étoile.-- Marvel super special 11 à 13 (1979, dessins de John Buscema, encrage de Rudy Nebres, couleurs de Peter Ledger) – Mud-Butt (le nain) est en train de se livrer à la pêche pour le repas du soir, sous le regard de Tyndall et de Velanna (2 elfes). Vient à passer un elfe sauvage en courant, pourchassé par un dragon d'eau douce, puis par 3 créatures volantes mi chauve-souris géantes, mi ptéranodons. Après la fuite de cet elfe, Mud-Butt décide d'emmener ses 2 compagnons dans la Cité des 7 délices. Ils devront par la suite se mettre à la recherche du sorcier Zarthon.Doug Moench avait donc créé le monde de Weirdworld, avec ces elfes et ces créatures magiques, sans oublier ses sorciers, avec l'aide de Mike Ploog. Cette nouvelle histoire répond à une demande des projets spéciaux de l'époque chez Marvel : produire un comics à la qualité technique supérieure (meilleur papier, format magazine, couleurs chatoyantes). Le responsable accepte l'idée de mettre en scène Weirdworld (plutôt qu'une adaptation d'une œuvre plus connue, comme le Seigneur des Anneaux). Il assemble une équipe de choc : Doug Moench (le créateur de Weirdworld), John Buscema (dessinateur aguerri aux personnages pleins de vie), Rudy Nebres (un encreur méticuleux), et Peter Ledger qui assure la mise en couleurs à l'aérographe.Dans un premier temps, le lecteur de l'époque en prend plein les mirettes avec cette palette de couleurs étendues, élargissant les possibilités existantes (l'infographie n'existait pas dans ces années-là) à l'infini, pour un comics publié par Marvel. L'aérographe permet de créer des nuances de couleurs jusqu'alors inaccessibles à la reprographie de masse de l'époque, de se faire côtoyer des surfaces de couleurs différentes, dont les teintes se rapprochent jusqu'à fusionner, tout ça permettant de s'affranchir par endroit des traits encrés délimitant les contours. Le résultat était à couper le souffle à l'époque. Il est toujours spectaculaire aujourd'hui, et beaucoup plus chaud que l'infographie, avec le petit bémol que ces épisodes sont réédités en format comics beaucoup plus petit que l'original.La deuxième composante qui marque les esprits réside dans l'approche graphique de Buscema. Même le lecteur familier de cet artiste était loin de soupçonner qu'il était capable de créer un monde de Fantasy qui ne soit pas dérivatif de ses planches pour les aventures de Conan. De page en page, il est évident que John Buscema s'est beaucoup investi pour définir une apparence unique pour les personnages, les environnements et les créatures.Le lecteur découvre ainsi des elfes à l'apparence originale, un nain au visage tout ridé témoignant de son âge, un sorcier impressionnant dans son habit chamarré (bien qu'un peu bedonnant) avec une pilosité sauvage (en particulier de magnifiques moustaches), une ville décadente à l'échelle des elfes et des nains, etc. Le lecteur est séduit par cette vision de la Fantasy qui mêle à la fois le côté fantastique de créatures imaginaires (avec une esthétique différente de celles des épisodes de Conan), et des décors soignés. Les couleurs permettent de conférer plus de consistance aux personnages (la brillance du loup blanc), comme aux décors (l'étonnant marais dans lequel progresse la barque de Mud-Butt à la forme ingénieuse).À nouveau, Doug Moench se défend d'avoir été influencé par le Seigneur des Anneaux, et pourtant le lecteur a l'impression d'en lire un passage à une ou deux reprises (en particulier ces 3 cavaliers imposants et ténébreux à la recherche de l'elfe fuyard). Le moteur de l'intrigue s'avère aussi classique qu'aguichant : empêcher la résurrection d'un sorcier dont le retour risque de plonger le monde dans le chaos. Il y a à la fois la trame de la quête traditionnelle, et des personnages originaux qui sont loin de maîtriser chaque situation.Le lecteur ressort donc conquis par la qualité phénoménale du premier épisode : maelstrom de couleurs chaudes, personnages originaux et sympathiques, endroits merveilleux, intrigue captivante. Son attention se maintient tout au long des 3 épisodes, même s'il note que l'intrigue devient de plus en plus convenue et que l'implication de John Buscema fond comme neige au soleil. Les arrière-plans se vident lentement mais sûrement, les personnages prennent des postures stéréotypées, l'artiste n'innove plus, une fois le premier épisode achevé.Au final, ces 3 épisodes constituent une aventure complète à la richesse incroyable dans le premier épisode, plus convenus dans les 2 suivants, avec une intrigue qui tient la route jusqu'au bout, même si là aussi elle est plus inventive dans le premier tiers. 4 étoiles.-- Epic illustrated 9, 11 à 13 (1981/1982, dessins de John Buscema, encrage de Marie Severin, couleurs de Steve Oliff) – Mud-Butt, Tyndall et Velanna font à nouveau équipe pour 64 pages. Ils recherchent un méchant sorcier qui veut asservir Weirdworld, mettant ainsi fin à la vie d'une belle magicienne.Après le succès mérité de "Warriors of the shadow realm", les responsables éditoriaux de Marvel récidivent en proposant à Doug Moench d'écrire une nouvelle aventure se déroulant sur Weirdworld pour remplir les pages (euh, non, pardon, pour profiter d'un nouveau magazine de prépublication haut de gamme appelé "Epic magazine).