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[063q1.ebook] Maison Ikkoku - Bunko Vol.1 Pdf Free

Par TAKAHASHI Rumiko audiobook | *ebooks | Download PDF | ePub | DOC

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Détails sur le produit Rang parmi les ventes : #277773 dans LivresPublié le: 2007-03-21Langue d'origine:Français 4.33 x .87l x 6.69L, Reliure: Broché335 pages | File size: 79.Mb

Par TAKAHASHI Rumiko : Maison Ikkoku - Bunko Vol.1 before purchasing it in order to gage whether or not it would be worth my time, and all praised Maison Ikkoku - Bunko Vol.1:

Commentaires clientsCommentaires clients les plus utiles4 internautes sur 5 ont trouvé ce commentaire utile. Chère KyokoPar LudoMaison Ikkoku, que de souvenir! ce tome 1 est excellent, l'auteur a certainement écrit là son meilleur !, on passe du rire aux larmes constamment! ce manga a toutes les qualités pour plaire à tout le monde: homme, femme, ado! et pour le prix pourquoi s'en passé, il y a quand même 335 pages! mais justement faite bien attention, ses pages sont très fines, et se déchire très facilement! l'impression est de qualité moyenne, certaines planches sont très claires, d'autres trop foncées!.0 internautes sur 0 ont trouvé ce commentaire utile. Juliette de papierPar TheArkin17Le manga qui a inspiré la série télé 'Juliette je t'aime' ! L'histoire est prenante et amusante, elle fourmille de détails absents dans la version vidéo. A recommander aux amoureux de la série.

Revue de presse"À la pension des Mimosas, tout le monde est heureux, même si quelques fois-"Oui, l'intro était facile, mais elle paraît nécessaire. À l'instar d'un Ranma 1/2, ce titre de Rumiko Takahashi s'est d'abord fait connaître en tant qu'animé. Et il faut bien le dire, avec un nom pas très vendeur, pour la gente masculine tout du moins. "Juliette, je t'aime", franchement... Ca sent bon l'oeuvre à l'eau de rose, alors qu'il n'en est pourtant rien. Sans compter que la voix française de Juliette était assez crispante, il faut bien le dire. En ce temps là, on nous vendait vraiment n'importe quoi. Heureusement, la version manga est parue dans nos contrées, et l'injustice fut ainsi réparée. Car sans concessions, Maison Ikkoku est une des meilleures oeuvres de R. Takahashi, et même de l'univers manga tout court. Déjà parue une première fois chez Tonkam en grand format, mais en arrêt de commercialisation dans cette version, l'éditeur nous re- propose cette oeuvre majeure dans un format plus réduit, mais qui rend davantage justice au titre, notamment pour la traduction, plus proche d'un parler français naturel. Au risque de choquer les puristes.Tout commence lors d'une dispute dans une pension. Yusaku Godai, un jeune étudiant ayant échoué une première fois aux examens d'entrée à l'université, un rônin comme on dit usuellement chez les Japonais, tempête qu'il souhaite à tout prix quitter son logement actuel. Il y a de quoi. Les autres habitants de la pension sont en effet bruyants, roublards, malpolis, profiteurs, moqueurs, n'ont aucun respect pour l'intimité, et beaucoup d'autres vices (alcoolisme, tabagisme, etc.). Cependant, juste au moment de passer la porte, Kyoko Otonashi, une superbe jeune femme apparaît et se présente comme la nouvelle gérante de la pension. Ni une ni deux, le jeune homme se ravise, et se dit que finalement, la vie à la pension risque d'être bien plus agréable à partir de maintenant. C'est ainsi qu'il embarque pour une des plus grandes quêtes amoureuses de tous les temps, où se mêlera réalisme, humour et quiproquo, le tout formant un joyeux mélange que seule R. Takahashi est capable de créer.Ce premier tome est mené tambour battant et quasiment tous les éléments de l'histoire principale sont introduits. L'obstacle créé par la situation de Kyoko est vite établi, et un rival pour Yusaku apparaît rapidement, ainsi qu'une jeune fille qui le mettra dans des situations bien difficiles, à cause de son manque de volonté. Chaque chapitre apparaît comme plus ou moins indépendant, tout en restant bien sûr dans la continuité de l'intrigue et des personnages.Si il y a bien une série où le talent de Rumiko Takahashi apparaît d'emblée, c'est dans Maison Ikkoku. Se lançant dans une oeuvre plus réaliste et plus adulte tout en dessinant son autre immense succès, Urusei Yatsura (Lamu, publié chez Glénat en format bunko), la mangaka conserve néanmoins sa patte unique dans son humour, très quotidien et de situation, et une fois qu'elle a cerné ses personnages, son trait évolue rapidement au sein même de ce premier volume, très chaleureux, clair et détaillé à la fois. Les personnages présentés sont immédiatement sympathiques et attachants, comme toutjours chez Takahashi. La mangaka est au sommet de son art à tout niveau, et va encore en s'améliorant au fil des tomes. Littéralement, on est transporté dans cette histoire, où les difficultés amoureuses sont bien vite contrebalancées par l'auteure grâce à son approche humoristique qui a fait sa renommée.Un premier tome solide, direct et incisif, où tous les éléments et les personnages sont introduits en douceur, et ne demandent qu'à être développés. Souvent imité, jamais égalé (de près ou de loin), Maison Ikkoku reste une oeuvre l'aura particulière, à la frontière des genres. Tout simplement parce que, à la manière d'un Mitsuru Adachi, Rumiko Takahashi possède un style inimitable et immédiatement reconnaissable, quelle que soit son angle d'attaque, mais parvenant toujours à se renouveler. Dommage que de si grands mangakas à la personnalité bien affirmée et à l'univers pourtant tellement accessible soient si boudés dans nos contrées... Une oeuvre douce, tendre et immensément drôle, Maison ikkoku est un titre incontournable. Et là, tout est dit. Sorrow (Critique de www.manga-news.com)Présentation de l'éditeurYusaku Godai, étudiant raté, vit à la maison Ikkoku, une pension dont les locataires hauts en couleur passent le plus clair de leur temps à faire la fête. Selon lui, le bruits et les nuisances engendrés par ses voisins sont la sources de ses échecs. C'est pourquoi il est bien décidé à quitter cette maison de fou. Seulement voilà , le jour du grand départ arrive Kyoko, une charmante jeune femme qui se présente comme la nouvelle gérante !Biographie de l'auteurElle a suivi des e?tudes a? l’universite? de To?kyo?, en vivant dans un petit appartement d'étudiant, une expérience qui lui servira pour réaliser Maison Ikkoku.Dans la même période, et sans connaissance préalable, elle s'inscrivit aux cours de scénario et dessin de (Ce grand scénariste, auteur avec Kojima de Lone wolf and cub et avec Ikegami de Crying freeman, a fondé cette célèbre école d’où sont sortis bon nombre d’auteurs de talent). Elle va suivre pendant 2 ans les cours et les conseils personnels et avisés de Kazuo Koike.C’est avec des bases solides et la certitude que de bons personnages font de bonnes histoires qu’en 1978 elle décroche le premier prix des « jeunes artistes » de Shogakukan. La même année, Urusei Yatsura est publié dans le Shonen Sunday. Le succès de cette série n’est pas immédiat mais il devient évident qu’elle ne peut que percer professionnellement par son graphisme, son originalité et sa persévérance. Seuls ses parents ne semblent pas de cet avis et Rumiko doute beaucoup à cette époque de vaches maigres. Une fois sur les bons rails le succès d’Urusei Yatsura ne va pas se démentir pendant les 9 années suivantes et va modifier radicalement le train de vie de Rumiko. Ce succès sera renforcé par la transposition en animé du manga dès 1981. A son apogée, le fan club d’Urusei Yatsura comptait 250 000 membres. Maison Ikkoku connu le même succès au Japon et chez nous (plus tardivement aux USA). La reconnaissance internationale vient avec sa série suivante, Ranma ½.La série Ranma ½ introduite chez nous par le dessin animé ouvre à l’auteure le marché américain et puis européen des rayons BD. Signe de sa renommée, ses séries se rallongent (34 tomes pour Urusei yatsura, 38 pour Ranma ½, 58 pour Inu Yasha, et on ne sait pas encore où s’arrêtera Rinne, sa nouvelle série). Elle daigne à peine prendre des assistants (elle en a eu malgré tout jusqu'à 4 au sommet de sa production dans les années 90) ce qui est fort rare et, de la même façon que Tezuka, elle se dit «mariée avec les et incapable de penser à autre chose.»Elle continue à ce jour à produire une quantité considérable de pages et à s’angoisser jusqu’à la nausée quand l’inspiration vient à manquer.Gardant en mémoire les acquis de l’enseignement de Koike, Rumiko Takahashi cherche des noms à double ou triple sens et construit énormément la psychologie des personnages. Le nom est important parce qu’il définit en partie ce personnage. Pour elle, une histoire avec un point de départ difficile à résumer n’est pas bonne, par contre l’abondance de personnages et leurs interactions contribuent à complexifier la série suffisamment pour la rendre captivante sur la longueur. Très connue pour ses comédies romantiques, Rumiko est également l'auteure de quelques histoire d'horreur avec la saga des Mermaid. La structure est celle d’un thriller fantastique dont la violence est clairement montrée. Takahashi voit dans ces récits une sorte de catharsis, une façon de libérer le coté sombre de sa personnalité enjouée. Elle s’est aussi mise plusieurs fois en scène dans des histoires courtes (Kemo*kobiru no nikki) parues dans le Shonen Sunday dans les années 80 et des bonus de ses recueils, non pour se plaindre du rythme de travail et des éditeurs mais pour raconter de façon cocasse quelques épisodes de son quotidien.

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