La session fédérale Le saint-Siège plaide en laveur d'une aide

Le morceau de choix (ct de « résistan- Ce pavé dans le jardin socialiste n'a pas élé trop mal reçu par M. von Steiger, qui OUK réfugiés de cette dernière semaine fédérale discrimination I) sans ce » a élé l'adoption par le Conseil national du a même annoncé qu 'un texte élail déjà pré- (Kipa.) — Le 21 mars 1950, à la S éance du Con- yeux, la scène émouvante de 1 inoubliable film proje t de réforme des finances, déjà passé paré à ce sujet. Le parlement jugera si de seil général de l'Organisation Internationale pour « Monsieur Vincent ». Tandis que le Saint de la les avec succès au Conseil des Etats. telles dispositions pourront être inclues Réfugiés, le R. Père Killion, délégué du Saint- Charité parle avec la reine de France, qui em- Siège auprès de cette Organisation, a fait une in- dans la revision en cours. Le chef du Dé- ploie des arguments analogues à ceux que je Ouf I Voflù donc ce serpen t de mer en- tervention très remarquée en faveur d'une aide sans viens de citer, le Saint lui a répondu : « Da- partemen t de justice el police estime que fin sorti des eaux parlementaires... Un discrimination à tous les réfugiés. Il faut «avoir en vantage, Madame, davantage ». temps, on put désespérer. Qui ne se rap- cela devrait attendre une autre revision ; effet que VOIR doit officiellement terminer son ac- Après cette intervention, le président du Con- tivité le 31 mars 1951 ; elle n' pelle les propos désabusés des chroniqueurs mais on ne voit pas très bien pourquoi. Il en aura pas pour au- seil général de l'OIR a remercié chaleureuse- tant achevé sa mission, qui est immense, tant le ment le R. Père Killion pour les paroles pro- au sujet de cette « commission de concilia- nous semble au contraire que cela presse monde des sans-patrie est considérable. On com- noncées et a ajouté que c c'est le haut privilè- lion » assez I , petit parlement en réduction auquel prendra dès lors la valeur des paroles suivantes ge de l'Observateur du Saint-Siège de rappe- on ne prêtait pas plus de vertus qu'au Le Conseil des Etats s'est occupé des ob- prononc ées par le représentant du Saint-Siège : ler que les réfugiés sont les créatures de Dieu « grand » ? Les positions r jecteurs de conscience, à propos d'une ré- et des êtres humains tous dignes de notre con- espectives du * Je tiens tou t d'abord à vous remercier du . Ii taire. sidération ». Nationa l et des Etals, disait-on, son t irré- vision partielle du Code pénal m* droit de parole que vous venez de m'accorder, ductibles ; pourquoi une délégation de cha- M. Picot , libéral genevois, a tenté de fai- car en m'invitant à dire ma pensée, vous avez cun d'eux réussirait-elle la où les Cham- re sensiblement adoucir des peines prévues bien prévu que je ne voudrais et ne pourrais pailler des aspects bres onl échoué ? Eh bien I une fois de pour ceux que leur consc ience retient d'ap- techniques de votre travail Nouvelles étrangères ni des sommes considérables investies dans cette plus, il faut se rend re ù cetle évidence prendre l'art de la guerre. Mais M. Malche, as- tâche. Après une proposition de Bonn sez peu « » radical du même canton, s'y est opposé, démocratique que moins une Cela a été un privilège pour moi, et je vous LES AUTORITES DE LA ZONE RUSSE réunion est nombreuse, imiettx elle travail- craignan t que cela ne propage le refus dc en remercie tous, que d'avoir pu partioper à tou- PRENNENT POSITION servir. Il serait en ef fet loisible à chacun tes les activités l'OIR le ! le règlement de l'Assemblée féd érale, de depuis ss débuts dif- Les réactions des autorités dc la zone soviéti- ficiles en 1947. en prévoyant cel ultime moyen de concilier d'invoquer des motifs de conscience, et une J'ai admiré silencieusement, et que en face des propositions du gouvernement à diverses reposes, j'ai proclamé publiquement les inconciliables, contient là une heureuse classe de privilégiés se créerai! rapidement, de Bonn au surjet d'élections libres sont toutes résultats bienfaisants de votre organisation dans , complices de l'invasion possible. négatives. On ne trouve des différences que dans disposition par laquelle l'inefficace grand son effort surhumain pour convaincre le monde le ton des réponses. Tandis que le parti com- nombre s'incline en dernier ressort devant Le Conseil a suivi, avec raison , celte der- que plus d'un million d'êtres humains méritent muniste et sa presse se servent de l'initiative l'utile petit nombre... que l'on s' nière opinion. occupe de leur sort. En observateur de Bonn pour couvrir l'Allemagne occidentale fidèle de tout le développement de votre Le compromis financier a élé adopté au C. Bodinicr. orga- et les Alliés des injures les plus grossières, dans nisatfon, j'ai vu l'espoir succéder au désespoir le ministère de M. Dertinger, on s'efforce visi- Conseil national par 41 radicaux, 38 con- l' et optimiste prendre le pas Sur pessimisme. blement, de garder un ton conforme aux usages servaleura-catholiquej, 7 libéraux et 9 agra- ila IMPRESSIONS DE ROME J'ai vu sombre et mélancolique histoire du de la diplomatie internationale. rions ; refusé par 4 agrariens, 44 socialis- « Hard Core », du reliquat des inemployables, D'après 'le ministère des affaires étrangères prendre une nouvelle tournure ; j' tes, 5 démocrates, 8 indépendants, 6 com- ai vu le nom- de l'Allemagne orientale, un contrôle quadri- munistes. Il y a eu, en outre, 19 absten- bre de ces malheureux diminuer grandemen t au parti d'« éventuelles » élections générales n'en- Visite des Basiliques poin t de faire entrevoir une solution satisfai- tions. tre pas en considération parce que la Républi- sante, et céda grâce à la générosité d'Etats et Nous n'en ferons pas une description architec- que démocratique allemande est un Etat « sou- Les 95 occupants ne représentent pas la d'organisations privées «'inspirant d'une charité turale, les manuels étant assez répandus pour y verain », de sorte qu'un contrôle par les puis- moitié des députés ; au surplus, les por- toute chrétienne. puiser des renseignements à ce sujet. Chacun qui sances d'occupation devrait être considéré com- te-parole des groupes acceptants n'ont pas Messieurs, l'intensité de vos labeurs a dépassé le désire peut s'y rapporter. Pour gagner l'In- me une immixtion inadmissible dans les affaires son plus haut point, et graduellement, vous vous élé aussi enthousiastes que les adversaires dulgence du Jubilé, nous avons commencé par la nationales. On relève notamment que les So- acheminez maintenant vers la clôture de vos ac- sont échauffés. C'est naturel, car, si pour visite de la Basilique de St-Pierre. Au premier viets ont donné au gouvernement oriental pleins tivités. Je crois cependant exprimer les senti- ' moment, nous avons presque éprouvé une décep- pouvoirs en ce qui concerne les affaires alle- la première fois depuis longtemps on s est msnts de presque tous ceux qui sont ici pré- tion. Notre imagination a été tellement hantée de mandes. passé de l'approbation des socialistes pour sents, ainsi que du monde convulsé qui nous descriptions merveilleuses qu'elle s'est exalée ou- M. Dertinger lui-même a déclaré que les pro- édifier un projet, ce qui est remarquable, entoure, en vou s rappelant que votre tâche ne tre mesure, notre œil n'est pas encore habitué posions de Bonn étaient « sans aucun dou te un sera pas terminée le 31 mars 1951. Puis-je me on a néanmoins tenté de les « pigeonner > , aux proportions si harmonieuses de l'ensemble. document politique très intéressant », mais que, permettre d'évoquer à nouveau dans vos esprits notamment en laissant il la Confédération Il faut visiter en détail le monument colossal de eu égard à son importance, il ne pouvait pas l'angoisse de la « grande marée », dont a parlé un impôt direct sur les personnes morales. St-Pierre pour saisir tout ce qu'il a de grandiose encore prendre position. si éloquemment un de vos délégués. Cette an- et d'artistique. D'après le témoignage de voyageurs rentrant Cette tactique bourgeoise ne paie jamais, et goisse, domTnée provisoirement, risque de sur- L'obélisque, au milieu de la place, frappe d'a- de Leipzig et de Dresde, l'initiative de M. Ade- nous voudrions qu 'on cessât d'y recourir. gir à nouveau et surgira probablement, en trou- bord le regard du visiteur. Puis deux fontaines nauer a rencontré un écho extrêmement favora- Le résultat est ' blant profondément la conscience du monde oc- que les fédéralistes n ap- splendides à jets d'eau continus ornent l'esplana- ble dans la population de la zone orientale. Dans cidental. Laissez-moi vous dire, que ce serait puient pas le projet sans arrière-pensée, et de et rappellent l'antique usage des chrétiens de une méconnaissance totale de la réalité, on en- passer à côté de la vérité, que de fa ire croire que ce gros morceau de sucre n'a pas fait se laver et de se purifier avant d'entrer dans les visage déjà la transformation des élections dans à cehiri qui vous succédera, c'est-à-dire au Haut églises. Aux deux extrémités de l'escalier condui- la zone et en une consultation populaire éten- cesser les aboiements socialistes. Pour com- Commissaire, que l'œuvre est accomplie, et qu'il sant dans St-Pierre, ont été placées par Pie IX due à l'Allemagne entière. Ces suppositions ble, on a .môme en t endu le socialiste zuri- n'y a plus grand sujet d'inquiétude ou de souci. les statues colossales de S. Pierre et de S. Paul. sont naturellement sans fondement, bien qu'il chois Meierhans s'écrier que l'impôt sur les Autorisez-moi aussi à vous suggérer que, quel- Quant à la Coupole, il faut la contempler de loin, soit indéniable que les propositions de Bonn le que soit la définition que vous adoptiez du personnes morales est injuste !... C'est ce par exemple du Pincio » pour se rendre comp- aient provoqué le t rouble dans certains milieux * mot « réfugié », vous ne pouvez en justice, ou qui s'appelle être pavé d'ingratitude. te de sa structure gigantesque. gouvernementaux de l'Allemagne de l'Est. On en tenant compte de la Déclaration des Droits entend garder une porte ouverte pour le cas d'u- Qu'une voi x socialiste aille jusqu'à défen- Si le Colisée est imposant par sa masse, s'il de l'Homme, omettre délibérément de cette ca- ne évolution inattendue, c'est-à-dire dans l'é- « nous fait remonter dans l'histoire de la Rome dre les sociétés anonymes, rempart du tégorie d'êtres humafns qui vivent, respirent, souf- ventualité que les puissances d'occupation se païenne, si nous nous représentons l'empereur Né- cap italisme » , pour les besoins de la cau- frent persécution ou tremblent de crainte, en les mettent d'accord et décident quand même d'or- ron assistant aux combats des gladiateurs contre se, fait présager à quels déchaînements on discriminant quant à leur origine e'hnique. gara:ser des élections générales. On relève en les bêtes fauves dans l'arène immense, nous pou- Vous ne pouvez les écarter parce qu'ils sont ou t re qu'en tout état de cause, il faudrait lais- peut s'attendre lorsque ce sera au peuple vons cependant, aussi et à bon droit, nous autres porteurs de quelque documen t prouvant leur ser aux partis le temps d'organiser la campagne de se prononcer. Et, de fait, le plus dur catholiques, être fiers de la Rome chrétienne qui un aue vous ao^artenance à groupe condamnez électorale et qu'en conséquence, « la date des ne le cède en rien au paganisme, car depuis des est pour les mois qui viennent. Les adver- officiellement, ou parce qu'ils ont réussi à fran- élections ne saurait être rapprochée ». siècles, malgré les persécutions et les guerres, la saires dc ce retour partiel au fédéralisme chir le « ri deau de fer » avant ou après une M. Otto Nuschke, présiden t de l'Union chré- Basilique de St-Pierre demeure le centre de la mettront tout en oeuvre, jusq u'à la plus certaine date du calendrier. tienne démocratique de la zone orientale, a chrétienté, toujours embellie par les Papes qui se Enfin, je voudrais répondre à l'avance à l'ob- prononcé le 21 mars à Berlin un d scours carac- basse démagogie, pour la faire échouer. succéderont jusqu'à la fin du monde, témoignant jection la plus forte que vous me présenterez : téristique de l'atmosphère d'espionna*ge et de Mais celle démagogie qui a d'ailleurs dé- par là de la pérennité de l'Eglise du Christ : « Je « Nous avons fait tout oe que nous pouvions », trahison qui empoisonne les relations entre le ira sans doute à fins con- serai avec vous jusqu'à la consommation des siè- jà commencé, me direz-vous, « nous avons voté d'énormes cré- gouvernement de Bonn et celui de l'Est. Après cles ». traires. dits, nous avons imposé de lourdes charges à nos avoir attaqu é la proposition de M. Adenauer re- , • Nous ne pouvons quitter la majesté de ces lieux populations, que pouvons-nous fai re dc plus ? » lative à la consti tution d'une union franco-alle- • * sans visiter la Pinacothèque, restaurée par Pie XL En guise de réponse, j'évoquerai devant vos mande. M. Nuschke a déclaré, selon le jour- nous Un postula t a été développé au Conseil Nous la traversons en toute hâte, pressés que nal « Neue Zeit ». que « l'on s'efforce de faire , sommes d'assister à l'audience pontificale. Mais un national par M. Bûhler. radical zurichois portent les instruments passer un tel plan dans l'ombre en réclamant arrêt s'impose à la Chapelle Sixtine dont Michel- tence. Au haut, les Anges qui n'est pas sans rapport avec la révi- la céation d'une Assemblée nationale alleman- 1508, or- de la Passion ; plus bas, les apôtres et les martyrs Angle, sous le Pontificat de Jules H en de. C'est là le signe que M. Adenauer a au sion du Code pénal actuellement en dis- du rappellent au juge leurs mérites en lui montrant na la voûte des fresques de la « Création mo;ns appris auelque chose de M. McOloy. » cussion. etc. les instruments de leurs supplices ; plus bas en- monde », de la Création d'Adam et d'Eve », (De la « Tribune de Genève »). 4 core, la lutte des anges avec les démons ; les jus- L' quelles mesures lc La grande œuvre du < Jugement dernier », qui orateur a demandé vers le ciel, aidés date de 1524, remplit toute la paroi du fond au- tes vont à droite et montent gouvernement compte prendre pour empê- feu dessus de l'autel. Le Christ n'est plus ici le Dieu par les anges ; les réprouvés tombent dans le cher les délits conlre la volonté populaire, miséricordieux, mais le juge inexorable devant le- éternel de la vengeance divine. soit les actes de violence, soit les menaces quel les justes même ne sont pas rassurés. La C'est une impression de grandeur et d'éternité dirigées conlre les citoyens qui ne font rien Mère du Sauveur elle-même semble se réfugier, qui se dégage de cette première visite. P. D. qu'user du droit de référendum. craintive près de son fils qui prononce la sen- L'alfaiie du faux évêque Ce geste;, qui est dan s les meilleures tradi- peuple suisse ayant accepté les articles- économi- tions suisses, a. soulevé de la part d'une mino- ques, il a- donné à la Confédération les compé- Bibliographie rité, peu- importante, un «débat moins agréable tences pour prendre des mesures en vue dil oui es) „ mgr Bélier? au Conseil municipal de Zurich. Le « Volks- maintien de branches économiques memrcées Le Numéro spécial de mode de • Bouquet » recht- » a cru devoir lui donner, un écho chargé dans leur existence et tous les efforts doivent vient de paraître sur 68 pages. Il contient des di- Le commissaire chargé de l'enquête sur Léon d'amertume en accusant l'Abbaye d'Einsiedeln être faits pour que la législation agricole en zaines de modèles du printemps qui tous sont ins-« phés de Paris, Page, a reçu vendredi d'un prêtre de Rabat, au d'ètr une institution capitaliste peu scrupuleuse, chantier puisse être réalisée et appliquée en mais adaptés aux goûts et aux Maroc, une lettre fournissant certains éléments moyens des femmes et jeunes filles de Suisse ro- propriétaire de diveirs immeubles de gros rap- temps utile. Avec le nouveau tarif douanier si mande. D vous permettra de renouveler votre gar- sur .cette affaire. Selon cette lettre, « Mgr Bél- port dans la ville de Zurich. La vérité est que urgent, il sera possible de maintenir à l'agri- de.robe à bon compte et d'être au courant de tout let » avait été engagé à la Légion étrangère l'Abbaye 'd'Einsiedeln ne possède, aucun immeu- culture son rôle capital dans l'économie suis- ce qui se porte actuellement. Ce numéro inté- sous le nom de Léon Page, qui est un faux ble à Zurich et que les ridicules critiques de se et de créer l'équilibre entre toutes les bran- ressera les hommes aussi, qui ne manqueront pas nom. Il avait épousé peu après une jeune fille de lire «A voix basse s* et la grande nouvelle in- quelques mécontents, n'ont pas réussi à faire ches économiques du .pays. titulée : « A qui la faute ? .» d'origine italienne dont il a divorcé il y a quel- ^désapprouver par: les Zurichois le. geste bien- ——o que temps. Le prêtre de Rabat indique en ou- veillant de leu r Municipalité. Accident d'avion LA PATRIE SUISSE tre que le faux évêque appartiendrait à une fa- o No 12, du 25 mars 1950 : Une scène de la Belle époque : Le Casino-Théâtre • de Genève mille de la haute noblesse belge. Lç commissai- , par J LE PROCES DES INDICATEURS Aeschliman. — La plongée en benthoscope d'Oti* re attend confirmation de ces renseignements DE LA DOUANE FRANÇAISE Le pilote est tue sur le coup Barton. — Vieilles autos. — Sans fil ni micro, pai qui son t en cours de vérification. Squibbs. — Le Salon de l'Auto et le Rallye des La parole a été donnée vendredi à la défense. Au cours de son interrogatoire, M. Léon Pa- ¦Le Département mlilitaire fédéral communi- Neiges. — La Belgique à Pregny. — Prenez garde Me Hug, défenseur de Brand, commence par aux couleurs. — Début d'un nouveau feuilleton : ge a notamment déclaré: « Ce n'est pas à moi que : remarquer que le chef d'agissements interdits en « Le cygne jaune », par le cap. Johns. de vous indiquer ma véritable identité... Que lé Vendredi après-midi, 'à 15 h. 45, un avion du faveur d'un Etat étranger ne peut être retenu, juge dlinstruction de Bourg la cherche, cela l'a- type « Mustang », piloté par le Plt Baer Al- VOCATION ALPINE non plus que oelliui . d'enlèvement, car personne musera ». bert, escadrille , d'aviation 21, de Zurich, est tom- Souvenirs d'un dc montagne ' l' o—— n a été eontretfnt par accusé de se rendre à bé dans les environs dc Heimerischwand, près par Armand Charlet ' ' Préface du Dr Azéma Paris. Il admet qu on puisse s arrêter au délit de Thôuhe. de service de renseignements économiques, oar 1 vol. in-8 écu avec 12 illustrations hors-texte, Des personnes virent l'avion du Plt. 'Baer , qui Fr. 7.50, rel. fr. 12.—, ex. numéroté sur vergé le Tribunal fédéral /interprète cette notion de Pas de erèue à cnereourg rentrait à Mèiringen d'tme mission d'observa- fr. 10.— manière très extensive. En ce qui concerne l'ac- Voici, dans son genre, un ouvrage exceptionnel. tion, piquer verticalement dans une forêt. Le Le bon sens reprend ses droits cusation d'escroquerie, il relève qu'elle doit être Armand Charlet prend place dans Ja lignée des 'malheureux pilote a été tué sur le coup. mise à la charge de- la douane française, que plus grands qui forcèrent la conquête des Pour la 3e fois les dockers du port de Cher- grands des Alpes .Mais lui, qui est de son époque, Brand ne saurait étire considéré en l'occurrence connaît de l'alpinisme sa forme la plus moderne : bourg se sont prononcés contre la grève et pour TERRIBLE COLLISION ENTRE. MOTO le débarquement du matériel militaire américain. comme complice, et quTil a tout au plus joué c'est un « as » du 6e degré, cette forme de l'es- d' ET AUTO calade qui touche à la limite des possibilités hu- Lés dirigeants du syndicat des ports et docks le crôlé auxiliaire. Me • Hirschel demande l'acquittement de son maines. Parmi les habitués de , dans tous avaient convoqué vendredi les dockers de Cher- Un mort et un blessé les cercles d'alpinisme, Armand Charlet est célè- client, Rosset, dans les trois premiers cas (Zu- bourg à une réunion au cours de laquelle , ils Vendredi en fin d'après-emidi, un motocyclis- bre. Un col même, dans les Aiguilles, porte son rich, Bâle et Genève) et la condamnation des nom. tentèrent de les faire revenir soir leur décision te de (Dombresson, M. Charles Fallet, a été plaignants au paiement d'une indemnité. Il ad- Arrière-petit-fils, petit-fiis et petit-neveu de de débarquer le matériel américain. Sur les 145 renversé par une automobile sur la route entre met que dans l'affairé de Berne, 1 Rosset puisse guides connus, dès son enfance de paysan monta- dockers présents, 140 se prononcèrent' pour le les Grattes et Montmollin. Le malheureux a été gnard, Armand Charlet se sent poussé vers la con- être reconnu coupable de service de renseigne- travail quel qu'il soit. Ils décidèren t en outre tué sur le coup. Sa femme qui avait pris pla- quête des cimes. Sa vocation est tracée. Dans ses ments économiques et de complicité par assis- « souvenirs », étape par étape nous suivons son de renouveler leur bureau syndical, ce, sur le siège arrière de la motocyclette, a eu tance. essor, des premiers essais solitaires, des courses o une jambe cassée et a été conduite à l'hôpital. Me Selhofer observe que Tsohanz a agi de comme porteur aux brillantes conquêtes de sa o carrière exceptionnelle. Mais pour arriver là, que Des lais pour Tctiano-Kai-ïcuen bonne foi et ne saurait donc être condamné pour d'efforts, de ténacité et d'audace ! recel. Il demande également l'acquittement de PRIX LITTERAIRE Ce qui frappe en lisant ces pages, c'est l'extrê- Lébet qui, selon lui, a agi sans se rendre comp- DE LA GU1LDE DU LIVRE me sobriété de ton de l'auteur pour nous parler dc Le cargo canadien « Argovan » dont la car- te de son rôle. C'est aussi l'acquittement qu'il 1950 ses exploits les plus sensationnels. H faut presque gaison comprend 75 iànks provenant des stocks faire' effort pour saisir à quel point l'aventure mo- réclame pour Chassot qui a droit, dit-il, à une La Guilde du Livre renouvelle pour 1950, son excédentaires de l'armée américaine, a appareil- destement contée est un haut fait qui passe l'or- indemnité. Brand et Rosset déclareront d'ail- Prix littéraire. Le montant de.ee .prix est de cinq dinaire. Quelle différence avec les récits d'un lé pour Formose. Pendant 2 jours, des .piquets leurs après que cet hoimme est iinnocent. mille francs suisses. Ce concours est ouvert à tous Blanchet, par exemple (t Hors des chemins bat- du parti travailliste (progressiste) ont défilé sur les auteurs de langue française. Le jugement sera rendu samedi à midi. tus » ou « Au bout d'un fil ») dont Charlet fut le dock où était amarré le navire pour protester Le genre prévu est le roman. Les ouvrages à le guide dans quelques-unes des plus difficiles o contre l'envoi de ces armes à Ja*Chine natio- tendance politique seront écartés. Le texte soumis premières ascensions des ! devra comporter un minimum de deux cents pages Tous deux, co-équipiers de la même -cordée, nous naliste. ihcoieei la «uoiK Ouuriere» condamnes de justification typographique moyenne. Seuls les content à leur façon leurs impressions sur les mê- inédits seront pris en considération. Ds seront sou- mes conquêtes. L'un, avec la fougue de l'artiste mis, « dactylographiés », au jury de la Guilde du (Blanchet était pianiste virtuose), nous rend sen- a une forta amende Livre, 4, avenue de la Gare à Lausanne (Suisse). sibles par la magie Mes mots ses violentes sensa- Nouvelles suisses Les titres des manuscrits, non signés, seront re- tions. L'autre, homme d'action avant tout, fonce La 3e Chambre du Tribunal de première ins- produits sur un pli cacheté contenant les nom et droit au but avec des mots aussi simples et pré- tance a rendu son jugement dans'le procès en Les bons rapports entre l'Abbaye adresse de l'auteur. Les ouvrages non retenus ne cis que ses gestes, mais d'un élan qui nous entraî- diffamation intenté par M. Vallo.tton , ^ministre seront pas retournés, mais resteront à la disposi- ne irrésistiblement après lui. De ces récits si op- d'Einsiedeln et la ville de Zurich de Suisse à Stockhol m , à Më Léon Nicole et tion de leur auteur au siège de la Guilde du c Li- posés de ton, l'un et l'autre sont d'ailleurs remar- vre pendant trois mois. quables. « Voix Ouvrière ». Elle a condamné M. à la Le jury est composé de MM. Jacques Cheneviè- Ce livre nous rend sensible aussi 1 extraordinai- Amere critique du „ uottectii Nicole et, 'solidairement, la •« Voix Ouvrière », re, président, Gustave Roud, Jacques Mercanton, re évolution de l'alpinisme : là où ses devanciers à 5000 ifrancs de doramagesc-intérêts et 1000 Marcel Raymond, Albert Mermoud et Mme Do- de l'époque héroïque ont reculé avec effroi, Char- La Munidipal'ité de Zurich vient de faire un francs de frais de justice. minique Aury. let passe, et d'autres passeront après lui. Mais son message est autre. H se dégage de ces pages une , " L'attribution du prix confère à la Guilde du Li- gste . des plus délicats à l'égard de l'Abbaye O grande leçon de force et d'énergie ; c'est *un livre d'Einsiedeln. Se souvenant des liens historiques vre là faculté de publier le texte primé' en édition : Session des Chambres originale à 10,000 exemplaires. II sera édité ensui- tonique. (Editions Victor Attinger). qui unissent ila ville dé Zurich au célèbre mo- te, au plus tôt suc moix après cette publication, nastère bénédictin — l'Abbé d'Einsiedeln est AU GROUPE CATHOLIQUE- par un éditeur de France. Lin Yutang notamment citoyen d'honneur de Zurich — elle CONSERVATEUR La participation au Prix de la Guilde implique LA SAGESSE DE CONFUCIUS a décidé de faire une don d'honneur de 2500 Le groupe oatlhoiique-conservateur de l'As - l'acceptation des conditions telles qu'elles sont traduit de l'anglais par Th. Bridel-Wasem, Collec- tion « ORIENT », 1 volume in-8 écu broché Fr. francs à l'Abbaye, à l'occasion de Ja réfection semblée fédérale, dans une séance présidée par contenues dans le règlement du Prix de la Guil- de 1950, règlement que le secrétariat de la Guil- 6.45, relié Fr. 10.95. Editions Victor Attinger, de sa cfaçade monumen t ale. lé conseiller national A. Muller, d'Oltenr a sou- Neuchâtel et Faris ' de du Livre (4, avenue de la Gare, Lausanne), mis à une examen minutieux la situation dans tient à la disposition des concurrents. Lin Yutang, le célèbre écrivain chinois, si par- l'agriculture. Après un exposé du conseiller na- Si le jury net rouve pas, dans les envois, un ou- faitement au fait de notre mentalité occidentale, tional Hess, de Zoug, sur,des questions agrai- vrage lui paraissant digne dû prix, il en repor- est aujourd'hui l'interprète le plus averti de la Chine ancienne et moderne. C'est une aubaine pour res, le groupe s'est livré à une ample discus- tera l'attribution en - 1951. Les membres du jury ne participeront pas au concours. le lecteur européen de pouvoir bénéficier d'un sion. guide aussi remarquable pour pénétrer la sages- l' Tous les textes devront parvenir à la Guilde du se d' Une résolutlion a été prise à unanimité di- Livre avant le 1er septembre 1950. un Confucius. sant que les difficultés croissantes d'écoulement Car la pensée profonde du grand initié est mal L'attribution du prix aura lieu • le 1er octobre connue de nous. Elle ne l'est guère que par ses des produits agricoles et pour beaucoup de pro- 1950. aphorismes, qui sont comme la fleur des pen- Flacon original Fr. 5.- 25 doses. duits de la petite industrie conduisent à une Le même auteur peut présenter plusieurs ouvra- sées du maître ; mais dépouillées de leur contexte, Sachet d'essai Fr. 0.60 chez votre pharmacien insécurité qui aiugmçnte sans cesse et donnent ges. L'affranchissement "des envois devra être con- elles sont loin de nous faire connaître tout le sys. lieu. à de soucis quant à l'avenir de l'agri- forme. tème philosophique dont Confucius est le créa- ou en envoyant 60 ds en timbres-posfe aux ( teur. Elablissemenls R. BARBËROT S. A., Genève culture et du secteur des arts et métiers Cest à nous faire comprendre l'ensemble de 7 . rue du Levant travaillant pour le ravitaillement du pays. Le Rédacteur responsable : André Luisier cette doctrine que s'est appliqué Lin Yutang.

— N'est-ce pas, Msieur le docteur, qu'il né faut deux de plus qui changeront grand'chose à l'af- ¦ ¦ pas qu'il songe à quitter lé chalet pour le mo- FEUILLETON DU * NOUVELLISTE * faire. ment ? Il voulait déjà partir l'autre jour. — J'ai peur que vous ayez des ennuis avec vos — Si c'est pour reprendre le travail, répondit JULIEN PEKRIN parents. le médecin, il ne vaut mieux pas. Du reste, vous — Eh quoi ! ce n'était pas la peine de vous ti- n'êtes pas à même de faire une course dé quel- rer de la mort, si c'est pour vous abandonner après que durée. D. vous faudra vous habituer, petit à quand c'est encore dangereux pour vous ! Dan? petit, prudemment. Vous ferez chaque jour une quelque temps, on verra, mais pour le moment, je courte promenade à skis, autour du chalet. Vous L'EVADE reste. Que je fasse des tricotages là-bas ou ici, en augmenterez, peu à peu, la durée. c'est bien la même chose. Du reste, je l'ai dil , — Mais, il n'a pas de skis, dit Léa ; il ne sait j ltuitan. j'irai m'éxpliquer à la maison un de ces jours , même pas skier ! puis je reviendrai vite : comme ça, a près, vous — Eh bien ! j'en apporterai une paire prochai- le voyage ensemble. Michel. Vous ne pouvez pas encore faire le vail- serez tranquille... nement. Vous n'aurez pas besoin d'être un skieur — C'est trop tard pour partir aujourd'hui, je ne lant, allez ! Vous n'avez plus que là ' peau et lés Michel, songeur, ne répondit rien. accompli pour partir d'ici, pourvu que vous sa- pourrais pas être de retour avant la nuit. os, n'est-ce pas André ? Après l'avoir observé durant quelques instants, chiez marcher avec vos skis, cela suffira: Ce qu'il Michel s'interposa : Le jeune garçon approuva : Michel n'avait pas Léa reprit : . faut, avant tout, c'est faire disparaître cette fai- — Je peux bien passer la nuit tout seul, Léa, l'air bien fort. — Où irez-vous, Michel, quand vous pourrez blesse avec un peu d'exercice journalier en plein qu'est-ce que ça peut faire ? Puisque vous vou- Michel résista encore quelques instaïits, puis se quitter le chalet ? air.„ Maintenant, s'il le fallait absolument.. Un lez descendre quand même, il faut profiter de des- rendit. Il haussa les épaules. C était bien cela, le poinl motif impérieux vous oblige-t-il à partir immé- cendre avec votre frère. Quand le visiteur fut parti, il dit à Léa : noir du proche avenir. Mais il cela son appréhen- diatement ? — Non, répondit Léa avec résolution. Le doc- — Ecoutez, Léa, vous dites que je suis sencore sion et dit, d'un air optimiste : — Ma foi non ! s'empressa de répondre Léa. Ni teur a dit qu'il fallait faire encore bien atten- malade : il me faudra des mois pour redevenir — Je ne sais pas encore, mais je me débrouil- lui, ni moi, ne sommes pressés, je vous assure ! tion. Si je ne suis pas là, vous oublierez votre comme auparavant. Ça ne veut pas dire que vous lerai. Je trouverai bien du travail. — Alors, je n'insiste pas. tisane,, vous ferez des imprudences... Et si vous soyez obligée de rester pour me soigner. Faudra — Ei si vous n'en trouvez pas ? C'est bien dif- Quelques jours plus tard, le jeune André, le avez mal pendant la nuit ? Vous toussez encore pourtant bien, un de ces jours prochains, que je ficile de trouver du travail, en plein hiver . frère de Léa, leur fit visite. Il venait informer tellement ! Non, je ne serais pas tranquille. me débrouille tout seuil*. Seulement, plus vous Il se tut, embarrassé. sa sœur que ses parents trouvaient bizarre cette — Mais, Léa, je ne suis plus . un enfant ! attendez, plus vous risquez d'avoir des ennuis Elle continua : absence prolongée : ils exigeaient sa rentrée. Léa — Un homme, quand il est malade, c'est com- chez vous. Alors ? — En tous cas, vous n'en trouverez sûrement prit sur le champ sa décision. me un enfant. — Tous les jours, vous reprenez des forces, Mi- pas tout de suite ; alors, vous aurez faim , vous — J'irai , un de ces jours, là-bas, leur expli- — Je ne suis plus malade, voyons ! chel, et plus on retarde, moins c'est dangereux de aurez froid et vous retomberez malade, quer. — Vous savez ce que le médecin a dit. Du - res- vous laisser tout seul. Tandis qu'à là maison, s'ils — Eh bien ! viens aveejmui, dit Aûdcé, ofi f ara te, vous ne vous êtes pas regardé, mon pauvre né sont pas contente, ce n'est pas un jour ou (A suivre.) Après une importante introduction «ur le carac- a déjà reçu des demandes pour des cartes d'entrée, . Dans certaines communes du Valais, les autorités i Vernay, instituteur, dont le talent égale la mo tère j géncéral d , harmonisation par M, sentences choisies la musique, le tout émaillé de assistés. H. Vernay du beau chœur de Monod et surtout à ainsi tout leur sens. et qui prennent la « Chanson du vent clair >de J. Bovet. Aucune ^ les écrits du grand Sage de la Certes, il est délicat de falloir s'immiscer dans Depuis 2500 ans recherche de vains efforts, mais un souci de tendre Chine ont représenté les principes mer?*» am- Nouvelles locales la vie des individus et de menacer celui qui se peuples de 1 Oneçt. Au- vers la perfection que le chroniqueur a plaisir à nombrablea millions de conduit mal de représailles. Mais. ne. vaut-il pas jourd'hui plus que jamais ses doctrines mfluen- noter. nation la mieux, s'attirer l'ire du buveur ou de ses pro- cent la façon de vivre de la P'uf P^- La partie littéraire était assurée par la jeune et et le lecteur occidenta lui-*neme ches, que de laisser engloutir la fortune fami- plfa de la terre A U Mk ét&ifo déjà brillante Compagnie Michel-Villard tirera lc plus grand profit à les connaître mieux. liale ? , de Lau- sanne, qui, le jeudi soir déjà, avait rapidement con- «. Je nie fiche des lois et du gouvernement. Je * quis le public et de louables lauriers en interpré- rum-r.w..f.' t ny «nartive 1 suis libre de faire ce que bon me semble, sans La Suisse a un budget annuel de 500 millions tant avec un bel entrain deux comédies du spirituel demander l'avis de personne ». de francs pour sa défense nationale. Mais elle Roger Ferdinand : « 6 heures, Chaussée d'Antin - et «7, rue de la Paroisse > . Dimanche DU MONDE Ce raisonnement stupide, nous avons l'occasion dépense actuellement le double pour les bois- , ce fut enco- CHAMPIONNATS de l'entendre à tout bout de champ. , re du bon Roger Ferdinand : « Trois garçons, une GYMNASTIQUE, A BALE, Et parfois sons alcooliques et le tabac. Est-ce croyable que DE la pitié vous étreint le cœur devant ces malheu- chaque habitant de notre pays consomme en mo- fille », drame en 3 actes, bien connu, et que Mi- DU 14 AU 16 JUILLET 1950 reuses victimes de la boisson, victimes innombra- yenne Fr. 250.— par an en boisson et en tabac ? chel-Villard a inscrit à son programme de tournées Le comité d'organisation des championnats du bles d'un vice, d'une passion maladive qui ne fait Faites le calcul et vous serez édifiés. pour cette saison. Dire ce que fut la réaction du inonde de gymnastique qui se tiendront du 14 au que s'aggraver et s'amplifier: public est facile : un gros enthousiasme, de ces , a décidé d'avancer d'un jour Que chaque vrai chrétien fasse . son devoir au- IG juillet 1950 , à Bâle Les buveurs invétérés, les ivrognes — pour les éclats de rire qu'il fait bon entendre. A tel point l'ouverture officielle de la manifestation. Le 13 tour de lui. Une croisade doit être tentée énergi- juillet 1950 auront lieu , en fin d'après-midi, une appeler par leur nom — sont bien des malades. quement pour sauver tous ceux et celles qui sont qu'il était près de minuit et que le public, genti- réception par le Conseil d'Etat de Bâie-Ville, à Parfois, il y a de leur faute, mais souvent les tombés par l'alcoolisme. Du haut en bas de l'é- ment exigeant, ne voulait pas quitter la salle... Il Ville, puis une courte cérémonie d'ou- l'Hôtel de coupables se retranchent dans l'ombre et laissent chelle sociale il faut unir les volontés conju- fallut donner à nouveau « 6 heures, Chaussée d'An- verture nu stade de la Schlitzenmatte. , , le mal prendre des proportions effrayantes, ca- guer les efforts pour opérer un redressement se. tin » , pièce qui n'était pas prévue au programme tastrophiques ! de dimanche ! Après quoi, nul ne pourra * rieux, durable, efficace. douter de la valeur de la Compagnie Michel-Villard ! La liste des nations qui participeront probable- Que d'hommes se laissent abrutir par la bois- Qui osera se récuser devant cette urgente croi- ment à Ces championnats a enregistré, à fin février son ! Que de pères de familles, de jeunes gens, sade des temps modernes ? pd. Nen disons pas plus sur cette agréable soirée, de nouvelles inscriptions. Le Mexique se fera re- n'ont plus la force de caractère voulue pour « te- o c mais félicitons vivement ses organisateurs, les présenter par 8 gymnastes en catégorie B. Le nom- nir » tête aux tentations et se laissent gagner chanteurs et les comédiens pour leur talents divers bre des pays annoncés jusqu'à maintenant est donc Riddes-Iséiables do 17, soit un chiffre qui n'a jamais été atteint, aus- par cette plaie nationale qu'est devenu l'alcoolis- et estimables, mis au service d'une belle cause : cel- si bien que l'ors des précédents Jeux Olympiques. me insidieux ! MATCH DE REINES le du chant. D'Argentine parvient la nouvelle que la fédéra- Que d argent gaspillé en beuveries inutiles De tous les spectacles de Société à grandes sen- J. D. , alors l'occa. tion nationale de gymnastique étudie très attenti- sations que le public du Valais central à o—— vement. In possibilité d'envoyer une équipe à Bâle. que la famille manque souvent du nécessaire ! sion de voir aux premiers beaux jours de prin- Il est très probable — ainsi que des nouvelles de Passons même sur les privations vestimentaires, temps, il en est un seul qui remporte régulière- Echo montheysan Buenos-Ayres le laissent fortement supposer — que alimentaires. Mais n'oublions pas les causes de ment le plus éclatant succès. ; SOIREE ANNUELLE des gymnastes de l'Amérique du Sud également scandale inévitables dans un foyer où le père se Eh bien ! ce speetacle auquel le. comité voue à DE LA CHORALE l'aligneront à ces proches championnats. la fois un soin jaloux et minutieux pour assurer dégrade par sa hideuse passion, et comprenons les Monthey n'est pas seulement la ville du carna- la réussite là plus complète, c'est' le

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ITIIlTmill—— , de Châteauneuf Ainsi introduits, nous sommes prêts pour enten- l'Ecole s'était parée de dre la louange par excellence des créatures devant Par un temps radieux pour accueilUr autorités, in- le trône de Dieu, le « Sanctus » de la liturgie, tout L'ex-iniendant de l'arsenal de Fribourg ses plus beaux atours cérémonie agrémentée enveloppé, celui-ci, de nostalgie slave. Un poème vités, parents et amis. La luges collision de dein cargos élè- aux phrases ardentes comme les paysages brûlés deuant ses Grave par d'excellentes productions de la chorale des art que l'on sait par M. le rec- de la Castille où naquit une Thérèse d'Avila, nous ves dirigée avec l' FRIBOURG, 25 mars. (Ag.) — Lundi matin Sept disparus par le dis- mène devant le Christ crucifié béni par les peu- teur Crettol. débuta vers les 10 heures s'ouvrira à la maison de justice de Fribourg le cette louange chantée de Crocé « Bene- TOKIO, 25 mars. (AFP) — 2 cargots nippons de cours rapport de M. le directeur Albert Luisier. ples dans procès intenté à Fernand Bulliard, âgé de 42 ans, » . Puis une prière à la Vierge nous 1500 tonnes sont entrés en collision au large de Les questions traitées concernaient la brillante dicam Domino ex-intendant de l'arsenal, et à Charles Aebischer, la silhouette mariale qu'un « Vittoria » l'île de Sikicu. L'un d'eux, le « Shiun Mari » a cou- activité agricole de notre canton. met devant 52 ans, ex-comptable du même établissement. Les musique pure et profonde de lé en 5 minutes. 7 membres de son équipage ont Ce fut ensuite la lecture du palmarès dont cer- a su glorifier par la débats sont présidés par M. Xavier Neuhauser, son « Ave Maria » et que la Chorale n a point tra- disparu. L'autre, cargot gravement endommagé, n'a tains résultats méritent vraiment des éloges les président du Tribunal de la Sarine, assisté de qua- hie. Verlaine, ou plutôt l'homme de tous les temps pu poursuivre sa route. plus chaleureux et la distribution de nombreux et tre juges. M. Pierre de Week occupe le siège du ¦ ¦ qu'il représente, blessé dans son âme et affamé ——o magnifiques prix. procureur général nous , fait songer qu'il y a un festin qui attend les lin fou useurtrier Puis M. le directeur Luisier donna la parole à âmes depuis ce premier repas au Cénacle, ou pour L'acte d'accusation comprend une vingtaine de M. le conseiller d'Etat Troillet. Celui-ci dans une de nouveau, se déroule le grand événement pages, le dossier un millier. vibrante intervention insista surtout sur la ques- nous, (AFP) — Devenu su- ressuscité par la musique religieuse de tialler. A la suite de diverses interventions au Grand BUENOS AIRES, 25 mars. tion des organisations agricoles. Il fit une allusion le plongeur d'un restaurant de L'Alléluia de Tinel clôt, cette austère splendeur de Conseil, le Tribunal cantonal ordonna, en octobre bitement fou, très pertinente sur l'inutilité, de .certains verbia- personne et en a blessé la musique sacrée sur une vision de résurrection. 1948, une enquête sur la gestion de l'arsenal. Elle Buenos Aires a tué une ges concernant le travail qui devrait, paraît-il, être est armé d'un couteau Et puis, il nous fait bien descendre sur terre : fut confiée â M. Roger Pochon, président du Tri- grièvement 11 autres. Il s' fait encore car il est évident qu'il ne • servirait à abord dans le restau- celle-ci d'ailleurs nous accueille avec ce qu'elle a bunal de la Gruyère, actuellement juge cantonal. de cuisine et se précipita d' rien de crier ou de vouloir donner des conseils si en commet- de plus gracieux : un groupe de chanteuses dont les Les investigations durèrent cinq mois. Elles en- rant de son patron puis dans la rue les autorités compétentes manquent de moyens ma- au passage. Le fou meurtrier a costumes aux couleurs irisées, incarnat, mauves et traînèrent bientôt l'arrestation des prévenus. Dès tant ses méfaits tériels, de les réaliser. Ensuite on eut . le plaisir ' roses font penser à une poignée de fleurs qu'un 1940 déjà, l'expert 'comptable avait signalé des ir- été arrêté. d'entendre M. le Dr Yaggi, directeur de l'Union magicien, pour nous reposer de l'austérité de tout régularités. En mars 1943 , l'intendant du matériel suisse des paysans. ' à l'heure, aurait jeté sur la scène. : de guerre dé Berne écrivit que la gestion de l'ar- L agitation en Italie Cette cérémonie, à la fois simple et émouvante, On connaît ce Chœur de Dames de Monthey, senal de Fribourg, qui laissait une impression,dé- GRAVE ECHAUFFOUREE A PONTICELLI se termina par un banquet des mieux servis. dont le nom aérien, enlevé à une portée, de musi- favorable. Les observations de l'expert se pour. NAPLES, 25 mars. (AFP). — Une echauffou- Nous avons remarqué parmi les personnalités 1946, que : «La Clé de Sol » indique le souci de s'em- suivent durant les années suivantes. En rée a eu lieu vendredi soir à Ponticelli, dans la présentes et les invités : M. Feist, ancien minis- parer de la technique musicale dans ce qu'elle on procéda à un règlement de comptes dans le- région de Naples entre des agents de police et des tre de Suisse en Hongrie, M. Edmond Giroud, qui, a de meilleur. Et c'est bien notre impression en quel Bulliard versa environ 25,000 francs à ti- manifestants qui avaient formé un cortège non d'ailleurs a participé à la distribution des prix, les écoutant. On leur reprochera peut-être de n'a- tre de restitution à l'amiable. autorisé par la préfecture. La force publique ayant MM. Germanier, président de Vétroz, Papilloud, voir pas assez donné dans le « facile » . Peut-être. En récapitulant les postes de ces dix dernières été rapidement déportée, des renforts ont aussi- président de Conthey, Bochatay, président de Ver- Mais laissons ce rôle à la radio, encore qu'il n'y années, on conclut à des détournements s'élevant tôt été dépêché de la ville de Naples. Accueillis à nayaz, Miohaud, directeur des Caves Coopératives, à la radio... D ailleurs le public ait pas que cela à environ 400,000 francs. Ce chiffre pourra subir Ponticelli à coups de pierre ceux-ci ont eu beau- M. Cappi, vétérinaire cantonal, l'ingénieur Wolf, pas gâter, applaudit, rap- qui est un enfant à ne des diminutions où des augmentations Suivant la coup de mal à rétablir l'ordre. 7 agents de police le Révérend Père Gardien, du Couvent des capu- honneur. Il a un visible in- pelle. C'est tout à son tournure deg débats. Voici quelques postes sou- ont été blessés. cins de Sion, etc. on lui apporte : « La Marion et térêt pour ce qu' tenus à la charge de Juilliard : détournement de o C'est volontairement que nous avons été excessi- « Rossignol qui vas en France », « Les le Bossu » , 48,700 francs sur compte de chèque, 33,000 francs vement brefs dans ce compte rendu car nous comp- », Albanie Chevaux de bois » , « L'égoïste de la Commune sur assignations à la>recette de l'Etat, 95,000 francs tons y revenir plus longuement dans un de- nos et une « Chanson triste » , qui ne l'est pas. sur compte en Banque; 25,000 francs pour indem- SCISSION AU SEIN DU PARTI prochains numéros et nous aurons entre autres le La Chorale, qui décidément ne veut rien accor- nités de route touchées à double, 103,000 francs COMMUNISTE plaisir de publier très en détail les divers dis- der à la médiocrité, nous donne alors une série de pour dépenses personnelles mises au compte de Belgrade, 25 mars. (AFP) — « Politika » , journal cours prononcés puisqu'ils intéressent au plus haut chœurs d'une tenue musicale toujours plus haute. l'arsenal, 94,000 francs pour indemnités de route indépendant, publie samedi matin, une dépêche point la paysannerie non seulement cantonale mais Il n'est point besoin de prononcer le nom du di- touchées indûment, soit environ 980 francs par datée de Tirana et annonçant l'arrestation des an- confédérée. recteur, M. Charly Martin, l'âme de cette soirée. mois. ciens membres du comité central du parfi com- o Tout le monde le sait : parler des succès d'un élè- Les abus de confiance, détournement au compte muniste albanais qui auraient été récemment ex- LES TRAVAUX SUR LA ROUTE DU ve, c'est faire l'éloge du maître. Et le maître mé- de Charles Aebischer se montent à 8,400 francs, clus du parti. SIMPLON rite toute notre gratitude. mais Aebischer est également retenu pour falsifi- « Politika » affirme qu'une scission s'est produite (Inf. part.) — On sait qu'il est dans l'intention de Cette soirée, qui a intéresse une si nombreuse cation de comptabilité, destruction de pièces comp- dans de nombreux comités d'arrondissements où les nos autorités d'ouvrir la route du Simplon pour le assistance, laissera un beau souvenir. Elle vous au- tables et favorisation des détournements de Jull- membres du parti jouissaient d'une grande popula- 1er avril prochain. Hier le déblaiment des neiges ra montré qu'il y a en chacun de nous un fond de lard. rité. Le journal ajoute que l'un d'eux aurait mê- était terminé à deux kilomètres de Schallbeth et ¦' ¦ parenté avec l'art : notre civilisation chrétienne, ¦• ' - o ' ' me été assassiné. aujourd'hui la route doit être ouverte jusqu'au col. o d'où cet art même est né. Il suffit d'en présenter UN DEPUTE DE NEW-YORK une expression vraie pour que la foule le recon- VEUT L'EXECUTION IMMEDIATE L'ETAT DE SANTE DES SURVIVANTS Radio - Programme naisse et y trouve sa joie. A ce titre, le concert de DES CONDAMNES A L'EXPLOSION DE LA la Chorale laisse un enseignement et une direc- DE NUREMBERG BOMBE ATOMIQUE Lundi 27 mars tive. L. S. WASHINGTON, 25 mars. (Reuter). — M. Dol- WASHINGTON, 25 mars. (AFP). — Les rapports SOTTENS. — 7 h. 10 Le bonjour matinal de linger, député démocrate (New-York), a adressé en provenance de la Commission de l'énergie ato- Paul Chaponnière. 7 h. 15 Informations. 7 h. 20 Troistorrents mique indiquent que les survivants des attaques Au saut du lit. 11 h. Emission relayée par l'en- une lettré à M. John McCloy, haut commissaire semble des émetteurs nationaux suisses. atomiques de Nagasaki et Iroshima sont actuelle- Oeuvres GRAVE CHUTE D'UN CYCLISTE américain en Allemagne, lui rappelant qu'il n'a de Léo Delibes. 11 h. 45 Deux pièces françaises l'exécution des grands ment hors de danger. L'examen physique démontre pour le violon. 11 h. 55 Refrains et chansons mo- (Inf. part.) — Vendredi matin, M. S. Morisod aucune excuse de retarder criminels de guerre nazis. Le département d'E- qu'ils peuvent mener maintenant une vie normale. dernes. 12 h. 15 Les nouveautés de la semaine. 12 roulait à bicyclette sur la route du Pas quand, sou- h. 46 Informations. 12 h. 55 Faust, Gounod. 13 h. communiqué à M. Dollinger que le haut Leur sang et leurs tissus semblant être redevenus dain, un débris de bois entra dans les rayons de tat aurait 15 Oeuvres de Messager et de Gabriel Fauré. 13 dispose de toute l'autorité nécessai- normaux. la roue avant, provoquant ainsi la chute du cy- commissaire h. 35 Sonate pour piano et violoncelle. exécution des condamnés de Nuremberg. 16 h. 10 L'angals par la radio. 16 h. 30 Emission cliste. Il fut relevé avec de multiples contusions, à re pour l' «La responsabilité est donc parfaitement établie Turquie relayée par l'ensemble des émetteurs nationaux la tète surtout. Cependant après avoir reçu les suisses. 1) Sonate. 2) Musique hongroise. 17 h. 30 vous. Tout retard de votre part soins du docteur Choquard, de Monthey, la victime et elle repose sur DISSOLUTION Le séjour à Genève des communards de Paris. 18 injustifié et deviendrait une en- a pu regagner son domicile. serait absolument DE L'ASSEMBLEE NATIONALE h. Les ondes du Léman. 18 h. 30 La femme et les torse à votre devoir et une trahison vis-à-vis de temps actuels. 18 h. 45 Un disque. 18 h. 50 Reflets a EN VUE DES ELECTIONS d'ici et d' la justice. En dorlotant les plus grands criminels ailleurs. 19 h. 10 Demain, l'Europe ! 19 ANKARA, 25 mars. (AFP). — La grande as- h. 15 Informations. Le programmé de la soirée. Conthey , les Etats-Unis y perdent le respect de l'histoire semblée nationale a voté dans la nuit de samedi 19 h. 25 Music-Box. 20 Enigmes et aventures : du monde.» Le Chantier des rêves (I) . 21 h. POUR LA NOUVELLE EGLISE sa dissolution malgré les protestations de l'oppo- Lucas et Lucette. M. Dollinger a dbrmé connaissance de cette lettre 21 h. 30 Variétés-Express. 21 h. 50 Ombres et lu- Âvez-vous remarqué le communiqué paru dans sition. Celle-ci affirmait en effet que les condi- mières. La grande cité. 22 h. 10 Pour les amateurs des représentants et a ajouté - que la presse ces jours . derniers, concernant la fête en à la , Chambre tions climatiques régnant en Turkie avant le 14 de jazz hot. 22 h. 30 Informations. 22 h. 35 La voix la peine de mort faveur de la nouvelle église ? Les préparatifs avan- tout retard dans l'exécution de mai, date d'une nouvelle élection, empêcherait le du monde : Les travaux de l'Unesco. 22 h. 50 Mu- la « foi du monde entier sique de danse. çait à grand train. Le rayon des lots se garnit détruirait d'un seul coup déroulement normal de la campagne électorale. dans la justice américaine »; ' BEROMUNSTER. — 6 h. 15 Informations. 6 h. de manière inespérée. Toutes les sociétés locales * •'¦ '-' '' ¦ h. 20 Heure. Gymnastique. o ï 6 h. 40 Disques. 7 h. prêteront leur concours pour cette fête qui promet FUSILLADE EN PLEIN PARIS Informations. 7 h. 05 Heure. Disques. 7 h. 10 Le d'être grandiose. UN ESCROC INTERNATIONAL à la poursuite de bandits en auto programme. 11 h. Emission relayée par les émet- ARRETE teurs nationaux. 12 h. 15 Disques. 12 h. 30 Infor, N'hésitez pas, retenez votre dimanche , 2 avril PARIS, 25 mars. (CP) — Un taxi roule quai des mations. 12 h. 40 Radio-Orchestre. 13 h. 25 Im- pour Conthey. vous en serez enchantés. U était recherché par la police suisse Grands-Augustins. Quatre clients sont à l'intérieur. prévu. Soudain, le chauffeur sent un revolver sur la nu- 13 h. 35 Nouveaux disques. 13 h. 39 Chant. 14 h. PARIS, 25 mars. (AFP) — Un voleur internatio- que. On le prie de descendre. Un des quatre voya- Discussion entre femmes. 14 h. 30 Heure. 16 h. Chippis nal, d'origine russe, Orpiczewski, ancien officier geurs prend le volant. Concerto en mi bémol. 16 h. 15 Livres anciens et du tzar, recherché notamment par la Suisse pour Quelques minutes plus tard, rue Dauphine, le taxi nouveaux pour enfants. 16 h. 30 Emission relayée INAUGURATION : s'arrête devant une bijouterie. Un pavé fracasse la a été appréhendé à Paris. Depuis par les émetteurs nationaux. 17 h. 30 Petit roman D'UN ATELIER-ECOLE escroqueries, vitre. Main basse est faite sur un million de bi- policier pour enfants. 18 h. Récital de piano. quelques années, il parcourait les capitales euro- joux. Le taxi repart à toute allure. (Inf. part.) — En présence de M. le Conseiller 18 h. 30 Jazz-Session. 18 h. 50 Disaues. 19 h. In- péennes où il commettait de nombreuses escro- Mais un commis boucher, qui a vu la scène, sau- termède. 19 h. 25 Communiqués. 20 h. Les cloches d'Etat Cyrille Pitteloud, chef du Département de queries. A Paris, il était recherché depuis 6 mois te dans la traction avant de son patron : chasse- du pavs. 20 h. 30 Fantaisie. 21 h. 30 Chants tziga- l'instruction publique, la Commission cantonale des un agent saute en renfort sur le marche-pied de pour vols. La Sûreté nationale a arrêté d'autre nes. 22 h. Informations. Heure. 22 h. 05 Chroni- apprentissages vient d'inaugurer un atelier-école la traction avant. Fusillade. Le taxi échappe à ses que hebdomadaire. 22 h. 15 Musique d'église an- part, à Paris, plusieurs individus qui se livraient poursuivants. Cet atelier installé dans des locaux obligeamment glaise ancienne. à des achats de marchandises en Allemagne, mar- Mais l'agent, grâce à des témoins, rejoint un des mis à disposition par les Laminoires de Chippis chandises qu'ils payaient en faux billets notam- bandits, qui a abandonné le taxi, sur le quai de la aura pour but de compléter l'instruction station de métro St-Jacques. Arrestation. Bijoux des ap- ment suisses et belges et transportaient en contre- prentis mécaniciens-électriciens et mécaniciens sur récupérés à moitié. Ovation générale pour le gar- bande en Espagne. paix. autos. Avant la visite de l'établissement M. Cyrille dien de la Lors du grand deuil qui vient de la frapper, la Pitteloud fit un remarquable exposé sur le princi- famille Basi'e BALET, à Grimisuat, a été très tou- pe des ateliers-écoles en Valais. AUX PEPINIERISTES ET PRODUCTEURS Passe les dates précitées, 1 assurance ne couvrira chée des marques de sympathie qu'on lui a témoi- lus aucun dégâts causés aux végétaux par les fu- Nous reviendrons mardi sur les détails de cette D'ARBRES FRUITIERS p gnées. migations insecticides. Dans l'impossibilité de répondre à toutes les importante manifestation. Vu l'état avancé de la végétation, nous prions Station cantonale d'entomologie. personnes qui se sont associées à sa douleur, elle tous les pépiniéristes ou producteurs d'arbres frui- les perie de trouver ici l'expression de leur sincè- tiers de prendre leurs dispositions pour que le ma- re reconnaissance. tériel qu'ils ont encore à faire désinfecter au mo- LA FOIRE DE SION yen du gaz cyanhydrique soit gazé : (Inf. part.) — Hier, la première foire du prin- a été relativement bien fréquentée. 1. Pour les arbres fruitiers à noyaux: jusqu'au temps, à Sion, r.niiKnnnoc mortuaires naturelles et nrti- samedOer _ aprll 1950., __ Nous avons noté sur le marché 118 pièces de gros LOUrOnneS tlUtue. par le spécialiste c fleuri.t., Place Centrale. 2. Pour les arbres fruitiers à petit bétail. Les tracta- J.I LDDIHHflï FFM/l VNll pépins : jusqu'au bétail et 427 pièces de MARTIGNY . t«. 6.i3.i 7. samedi J? avril 1950, tions n'ont pas été nombreuses. + STHAUHICE de la fïare tél. j.ii.M