N° 28

Stoumont VRIL 2004 A Site d'Exception

Les grands feux ont vaillamment brillé dans la plupart de nos villages durant les samedis de fin février et début mars. Bonhomme hiver a dû avoir chaud et est probablement bien fondu. Ici le spécimen de La Gleize… fort pareil, sans doute, aux autres grands feux…

Pages Les conseils Au Votre agenda 15 à 17 communaux centre trimestriel L’origine des grands feux se perd dans la nuit des temps. Leurs significa- tions et leurs buts furent nombreux et variables selon les époques, les lieux, les influences païennes, religieuses ou laïques. Ils font parties de nos traditions et de notre culture. Mort donc à Bonhomme-Hiver et vivent les Grands Feux.

Ci-dessus de jeunes et jolies personnes de La Gleize, très recueillies en cette circonstance, se laissent photographier pour la postérité…

Ci-dessus et ci-contre : La chapelle Saint Gilles de Chauveheid à quelques années d’intervalle. CHAUVEHEID

proximité des pittoresques hameaux des Forges, de Neucy et de Neufmoulin, se situe à 300 mètres d’altitude, ’’Chauveheid’’, un hameaux paisible aux élans bucoliques qui domine la vallée de la Lienne. On peut y accéder A par les Forges, en traversant le vieux pont de la Lienne , la route gravit une pente raide qui aboutit à un petit pla- teau où l’on remarque de suite devant soi, la vieille chapelle de Chauveheid entourée de hêtres et de chênes. Ce hameau, d’où l’on découvre la vallée de la Lienne, et, en face, au-dessus de la Heid des Forges, Chevron et son égli- se, a la saveur paisible d’autrefois. Jadis, Chauveheid était le fief de et s’appelait Kalveheis en 1104, Cavseis en 1135, et Chaveheis en 1188 . Son nom signifie naturellement ’’Heid chauve’’, c’est-à-dire côte couverte d’un maigre taillis . La vieille chapelle est depuis les temps immémoriaux, un but de pèlerinage très fréquenté. On y invoque Saint-Gilles pour la guérison des maladies nerveuses et infantiles. La vénération d’une relique du Saint se fait solennellement à Chauveheid le 1er septembre ou le dimanche qui précède. Et le dicton populaire de s’exclamer : Vorchal sint Djîles avous sès vints, C’èst lu qu’amonne dèdja l’freûd tins . Revoilà Saint-Gilles avec ses vents. C’est lui qui amène déjà le temps froid. Les traces de la vénération de Saint-Gilles sont présents d’abord au Monastère de Saint Hubert où le culte de Saint-Gilles fut introduit vers 1060 par Thierry Ier, Abbé (1055-1086). La Chapelle doit donc être postérieure au XIe siècle parce que le culte de ce saint patron n’était pas connu dans le pays avant cette époque. La chapelle dépendait de l’église de Rahier, filiale de Bodeux en 1670, et a été rattachée à la paroisse de Chevron en 1803. Au-dessus de la petite porte d’entrée figure la date de 1801, indiquant la construction à cette époque de la petite annexe ajoutée au corps principal pour agrandir la chapelle et ainsi accueillir prés de 200 pèlerins. On ignore qui la fit construire mais c’est probablement par la volonté des villageois et leurs dons, tout comme pour celle de Habièmont. Entre la chapelle et la route de Bodeux il y a un large chemin qui est réputé être une ancienne ‘’voie Romaine ‘’. Cet antique chemin de Stavelot à Chevron, monte au-dessus de Chauveheid et suit la Crête des bois vers Trois-Ponts. Avant 1800, Chauveheid et Neucy dépendaient, comme Chevron, de la Principauté de Stavelot, mais formaient une com- munauté distincte ayant sa Cour de Justice, son mayeur et ses magistrats habituels. Après la Révolution Française en l’an 1803, les hameaux de Chauveheid et de Neucy furent annexés à la commune de Chevron avec les 12 autres hameaux présents. Cet ensemble formant dès lors, l’ancienne entité de Chevron avant les fusions communales de 1977, et qui depuis, s’intègre à la commune élargie actuelle de .

D’après le livre «Chevron dans le passé» de Walther JAMAR de BOLSÉE Paolo TATULLO

3 Le billet du Commissaire

Quand vous lirez ces lignes, le nouveau code de la route lourdes ou qui sont susceptibles d’avoir des conséquences sera devenu réalité depuis déjà plus d’un mois. dommageables. On y retrouve ainsi, les excès de vitesse de 40 Km/h et plus ou de 20 Km/h et plus en zone 30, en zone Si la presse a déjà fait un large écho de cette nouvelle résidentielle ou aux abords des écoles, le dépassement à réglementation, je me propose néanmoins de parcourir l’approche du sommet d’une côte ou dans un virage alors avec vous de la façon la plus simple possible, les principaux que ce dépassement y est interdit, le fait de ne pas obtem- changements. pérer aux injonctions d’un agent qualifié… Première modification importante, la nouvelle caté- Seconde modification significative, le recours plus gorisation des infractions. large à la perception immédiate. En effet, à côté des infractions dites ordinaires, nous trou- vons maintenant trois degrés d’infractions graves. Pour autant que l’infraction n’ait pas causé un dommage à autrui, que le contrevenant soit âgé d’au moins 18 , et Le premier degré d’infractions graves concerne notam- que s’il est belge, il n’ait pas commis une infraction grave du ment les comportements susceptibles de gêner ou de troisième degré, la perception immédiate peut être propo- mettre indirectement en danger les usagers vulnérables (pié- sée par la police. Le contrevenant dispose alors d’un délai tons, cyclistes..). de 5 jours pour s’acquitter du payement de cette percep- On y retrouve par exemple les excès de vitesse qui se tion immédiate, qui sera dans tous les cas, toujours inférieu- situent entre 10 et 20 Km/H au delà de la vitesse autorisée, re au montant d’une amende traditionnelle (voir ci-après). Le l’arrêt sur un passage pour piéton ou un trottoir, l’utilisation paiement de cette perception immédiate se fera pour le d’une bicyclette sans l’éclairage requis… citoyen belge, au moyen de timbres amendes et bientôt Le deuxième degré d’infractions graves, concerne princi- aussi au moyen d’une carte de banque ou de crédit. palement les comportements qui mettent directement les Les autres sanctions restent bien évidemment la transaction autres usagers en danger. On y retrouve par exemple, l’ex- ordinaire, les mesures alternatives et l’amende prononcée cès de vitesse entre 20 et 40 Km/H au delà de la vitesse par le juge du tribunal de police. réglementaire, mais aussi l’excès de vitesse entre 10 et 20 Pour les infractions graves du premier et deuxième degré, Km/H dans les zones 30, les zones résidentielles et aux le juge pourra prononcer une déchéance du droit de abords des écoles, le franchissement de la ligne blanche conduire. Pour les infractions graves du troisième degré, il continue, le fait de circuler avec un véhicule à moteur, y devra même prononcer obligatoirement une déchéance. compris les cyclomoteurs, sans l’éclairage requis… Le montant dont vous devrez vous acquitter en cas d’in- Le troisième degré d’infractions graves reprend quant à lui, fraction, varie selon qu’il s’agit d’une perception immédiate notamment les comportements qui mettent les autres usa- ou d’une amende. gers en danger et qui en plus, sont assimilables à des fautes Le tableau ci-dessous vous donne une idée de ces montants. Catégorie d’infractions Perception immédiate Amende Infractions ordinaires 50 euros 55 à 1375 euros Infractions graves premier degré 150 euros 275 à 1375 euros Infractions graves deuxième degré 175 euros 275 à 2750 euros Infractions graves troisième degré 300 euros (uniquement pour étrangers) 550 à 2750 euros Alcoolémie entre 0.22 et 0.35 mg/l 137,50 euros 137,50 à 2.750 euros

Vous trouverez le nouveau code de la route dans son intégralité ainsi que les lois coordonnées, sur le site internet http://www.mobilit.fgov.be du Ministère des Communications et de la Mobilité ainsi que sur les sites http://poldoc.be de la police et http://ibsr.be de l’IBSR. Je vous rappelle aussi que le radar de notre zone de police effectue quotidiennement des contrôles sur l’ensemble des communes de la zone. Et enfin pour terminer, je voudrais attirer votre attention sur le fait que le printemps va ramener sur nos routes de nombreux cyclomoteurs. Comme l’année dernière, nous ne tolérerons pas les cyclomoteurs trafiqués ni les conducteurs sans le casque. Je vous invite donc à prendre dès maintenant avec vos enfants, les mesures qui s’imposent. Espérant avoir pu vous éclairer sur la matière traitée, je reste avec mes collaborateurs à votre disposition pour tout autre renseignement utile. Commissaire Emile DELHEZ 4 VOICI REVENU LE TEMPS DES COASSEMENTS…

Avec les premiers beaux jours du début de l’année, et ceci depuis des millénaires, certaines espèces de batraciens de nos régions ont entamé une migration de leurs lieux d’hivernage vers leurs sites de reproduction. Ils ont traversé prairies, bois, jardins et routes pour aller déposer des œufs dans la mare qui les a vu naître…Peut-être avez-vous une mare au fond du jardin, peut-être avez-vous pu observer quelqu’individu traversant une route à la nuit tombée… Etait-ce un crapaud ou une grenouille ? Avez-vous observé des tritons ?

Parmi les différentes espèces de batraciens indigènes (14 espèces recensées en Wallonie), c’est la gre- nouille rousse qui se montre la plus précoce. Ses œufs agglomérés en masses gélatineuses compactes flottent à la surface de l’eau. Le crapaud commun, un peu plus tardif, accroche sa ponte, sous forme d’un chapelet double autour des plantes aquatiques et des racines. Les tritons, quant à eux, déposent leurs œufs de façon isolée sur les feuilles des végétaux. Les pontes de la grenouille verte passent souvent inaperçues car elles sont immergées. Une fois la ponte réalisée, la plupart des batraciens quittent la mare ou l’étang et rejoignent leurs quartiers d’été. Il s’agi- ra d’un site humide car ces animaux sont sensibles à la sécheresse. Ils vont se mettre à engloutir quantité de limaces, vers de terre, insectes, araignées…En réalité, tout ce qui bouge et qui est plus petit qu’eux est une proie poten- tielle. Ce sont ainsi de précieux alliés du jardinier !

Les batraciens sont également les proies de nombreux prédateurs (des oiseaux, des poissons mais aussi des mammifères), à tous les stades de leur vie.

Toutes les espèces indigènes de batraciens vivant sur notre territoire sont protégées. Mais donner un statut de protection ne suffit pas à leur garantir un bel avenir. Parmi les diverses causes de disparition progressive des batraciens dans notre pays, nous pouvons citer: le comblement des zones humides ou leur drainage, la dégrada- tion physico-chimique de la qualité des eaux, la capture à des fins mercantiles, le développement croissant du tra- fic routier, l’évolution du climat, l’introduction d’espèces prédatrices…

Pour différencier un crapaud d'une grenouille, voici quelques indices: Grenouille Crapaud Silhouette élancée Silhouette lourde et trapue Avance en sautant Avance en marchand, fait parfois des bonds Peau humide et lisse Peau sèche et verruqueuse (avec une grosse glande à venin en relief derrière chaque œil)

Nous restons à votre disposition pour toute information concernant les diverses espèces. Bonnes observations à tous ! N'hésitez pas à nous transmettre vos découvertes ! G.Delhaye, pour l'a.s.b.l. Stoumont Nature. 080/78.66.18.

5 L’EAU.

L’eau est essentielle à la vie. L’eauIl est est primordial essentielle de à lala préservervie. tant du point de vue qualitatif que quantitatif. Il estJe laisseprimordial à votre de réflexion la préserver les « tant bons du mots point de de Jacques vue qualitatif Mercier que » quantitatif. Jeparus laisse dansà votre la Revueréflexion « Dialogue les « bons Wallonie mots de » de Jacques décembre Mercier 2003. » parusDidier dans Gilkinet. la Revue « Dialogue Wallonie » de décembre 2003. Didier Gilkinet. Officiellement, il ne semble pas que l’appellation « or bleu » pour désigner l’eau existe ! Officiellement, il ne semble pas que l’appellation « or bleu » pour désigner l’eau existe ! On trouve « l’or noir pour le pétrole, « l’or blanc » pour le platine, mais aussi pour les ressources procurées par la miseOn entrouve valeur « l’oret l’exploitationnoir pour le pétrole, des stations « l’or deblanc sports » pour d’hiver, le platine, « l’or maisvert »aussi pour pour les ressourcesles ressources de l’agricultureprocurées par ou lade mise la envente valeur de et terrainsl’exploitation agricoles des enstations vue de sportsla construction d’hiver, « immobilière l’or vert » pour et «les l’or ressource rouge » depour l’agriculture l’énergie ousolaire. de la Dansvente un de terrains« Guide agricoles du buveur en vue d’eau de »,la constructionje lis que l’eau immobilière en bouteille et est« l’or parfois rouge baptisée » pour l’énergie « l’or blanc solaire. », mais Dans pas un de« Guide trace dude buveur « l’or d’eaubleu », », jeune lis appellationque l’eau en que bouteille l’eau potable est parfois mériterait baptisée sans « doute. l’or blanc Car », elle mais doit pas être de protégéetrace de «comme l’or bleu l’or », etune utilisée appellation avec queéconomie. l’eau potable Un récent mériterait décret sans relatif doute. à la Car qualité elle dedoit l’eau être destinée protée comme à notre l’orconsommation et utilisée avec a d’ailleurs économie. été Un promulgué récent décret par relatifle Ministère à la qualité de lade Région l’eau destinéeWallonne àpour notre « protégerconsommation notre santé».a d’ailleurs été promulgué par le Ministère de la Région wal- lonne pour « protéger notre santé». Comme l’eau elle-même, le mot a évolué au fil des années. On sait qu’il vient du latin « aqua ». En 1050, il s’écrit « eguaComme » ; enl’eau 1150 elle-même : « ewe »le ; moten 1185 a évolué : « eaue au »fil et des en années.1490 enfin On : sait« eau qu’il ». Levient mot du a deux latin synonymes« aqua ». En principaux, 1050, il s’écrit l’un « eguaest familier, » ; en l’autre1150 :est « ewelittéraire » ; en ! Nous 1185 avons : « eaue « flotte » et »en et 1490« onde enfin ». : « eau ». Le mot a deux synonymes principaux, l’un est familier, l’autre est littéraire ! Nous avons « flotte » et « onde ». « Ribouldingue, un jour qu’il faisait les cent pas sur le pont, histoire de braver le roulis, perdit l’équilibre et tomba dans« Ribouldingue, la « flotte ». un(Louis jour Fortonqu’il faisait dans les les cent « Aventures pas sur le des pont, Pieds histoire Nickelés de braver ») L’origine le roulis, de perdit« flotte l’équilibre » est incertaine, et tomba disent dans la les« flotte spécialistes ». (Louis ; leForton mot voulaitdans les dire « Aventures« inondation des » auPieds Moyen Nickelés Age. ») Le L’origine mot «onde de « » flottequant » àest lui, incertaine, trouve son disent origine les dans spé- cialistesle mot ;latin le mot « unda voulait », eau dire courante. « inondation « Le »Rhône, au Moyen avec Age. ses ondes Le mot fatiguées, «onde » dormantes,quant à lui, trouvemajestueusement son origine tranquilles,dans le mot pas- latin « undasait » »,(Frédéric eau courante. Mistral dans« Le Rhône, « Mireille avec ») ses ondes fatiguées, dormantes, majestueusement tranquilles, passait » (Frédéric Mistral dans « Mireille ») Quant aux expressions et locutions avec « eau », elles sont fort nombreuses et souvent drôles. Elles sont égale- mentQuant très aux « limpides expressions », se etcomprennent locutions avec sans « beaucoup eau », elles d’explications. sont fort nombreuses Ainsi se noyeret souvent dans undrôles. verre Ellesd’eau, sont être également comme trèsle feu« limpides et l’eau, », mettre se comprennent de l’eau dans sans son beaucoup vin, suer d’explications.sang et eau, faire Ainsi venir se l’eaunoyer au dans moulin, un verre les eaux d’eau, sont être basses, comme donner le feu etun l’eau, coup mettre d’épée de dansl’eau dansl’eau, sonêtre vin, comme suer sangun poisson et eau, dansfaire venirl’eau, l’eaul’eau auva moulin,toujours les à laeaux rivière, sont clair basses, comme donner de l’eau un coup de d’épéeroche, dans faire l’eau,venir l’eauêtre commeà la bouche… un poisson « Nager dans entre l’eau, deux l’eau eaux va toujours » qui au à figuré la rivière, signifie clair ménager comme lesde uns l’eau et de les roche,autres, fairese venirmaintenir l’eau àentre la bouche… les partis « et Nager les opinions entre deux opposés, eaux » auqui propre au figuré s’applique signifie ménager au nageur les qui uns a etla têteles autres, et tout se le maintenircorps enfon- entre lescés partis au-dessous et les opinions de la surface opposés, de aul’eau. propre « Il plongea. s’applique Il aimait au nageur ouvrir quiles ayeux la tête sous et l’eau,tout leet, corps déplongeant, enfoncés repiquer au-dessous entre de la deuxsurface eaux, de commel’eau. « Ilun plongea. dauphin. Il aimait » (Louis ouvrir Aragon les yeux dans sous « Aurélien l’eau, et, »). déplongeant, repiquer entre deux eaux, comme un dauphin. » (Louis Aragon dans « Aurélien »). Etant moi-même un grand buveur d’eau, j’ai écrit un « grand livre de l’eau » (Renaissance du Livre) et j’ai décou- vertEtant à cette moi-même occasion un beaucoupgrand buveur de d’eau,choses. j’ai Savez-vous, écrit un « grand par exemple, livre de l’eau que »l’eau (Renaissance qui ruisselle du en Livre) surface et j’ai vers découvert les cours à cetted’eau occasion et puis versbeaucoup la mer, dereste choses. dans lesSavez-vous, océans 40.000 par exemple, ans avant que d’être l’eau reprises qui ruisselle dans en le cyclesurface d’évaporation vers les cours ? d’eauSavez- et puisvous vers qu’au la mer, Moyen reste Age, dans des les tuyauxocéans accrochés 40.000 ans aux avant façades d’être évacuaient reprises dans l’eau lesur cycle la chaussée. d’évaporation Quand ? Savez-vousce n’était pas qu’au le Moyencas, on Age, jetait des les tuyaux eaux usées accrochés sur la auxrue façadesen criant évacuaient « Gare à l’eau l’eau ! ».sur Un la chaussée.métier naît alors,Quand celui ce n’étaitdu « passeur pas le cas,de ruisseaux on jetait les » eauxqui uséesà l’aide sur d’une la rue planche, en criant fait « Garetraverser à l’eau les !riches ». Un d’un métier côté naît à alors,l’autre celui de ladu rue. « passeur de ruisseaux » qui à l’aide d’une planche, fait traverser les riches d’un côté à l’autre de la rue. On sait aussi qu’une douche consomme de 40 à 80 litres d’eau, mais qu’un bain en consomme de 150 à 200 litresOn !sait On aussi sait aussiqu’une que douche le corps consomme d’un homme de 40adulte à 80 contient litres d’eau, 60% mais d’eau, qu’un que bain la pommeen consomme de terre de en 150 contient à 200 91%litres ! Onet saitque aussi la méduse que le estcorps faite d’un de 95%homme d’eau adulte ! On contientsait enfin 60% que pourd’eau, produire que la pommeun litre de de bière, terre ilen faut contient 25 litres 91% d’eau, et quepour la méduseproduire est un faite 1kg de de 95% papier, d’eau il faut ! On 250 sait litres enfin d’eau que etpour pour produire 1 kg d’aluminium, un litre de ilbière, en faut il faut 100.000 25 litres litres d’eau, ! pour produire un 1kg de papier, il faut 250 litres d’eau et pour 1 kg d’aluminium, il en faut 100.000 litres !

6 MAISON DU TOURISME

La Maison du Tourisme Ourthe-Amblève et le GREOA nous informent Gîtes ruraux, gîtes à la ferme, Chambres d’hôtes, meublés de tourisme.

Vous disposez d’une maison ou d’une partie d’immeuble et vous désirez les rentabiliser ? Pourquoi ne pas exploiter cette opportunité en créant un hébergement touristique ?

Définitions : • Le gîte rural est un logement meublé aménagé dans des bâtiments situés dans un environnement rural ; • Le gîte à la ferme est un logement meublé aménagé dans une exploitation agricole ; • La chambre d’hôtes est une chambre meublée faisant partie de l’habitation personnelle et habituelle d’un propriétaire ; • Le meublé de tourisme est un logement consistant en une maison ou un appartement meublé, loué à des fins touris- tiques. Ces quatre types d’hébergement sont destinés à être loués à des fins touristiques. La Région Wallonne a organisé, par voie de décret, un système de reconnaissance avec label officiel, ainsi qu’une procédure de subsidiation des travaux d’aménagement (jusqu’à e 7.500,00 sauf pour les chambres d’hôtes ou le montant maximum de subsidiation est de e 1.250,00 par chambre). Le Commissariat Général au Tourisme (CGT) publie une brochure instructive sur la question. Si vous souhaitez développer un tel projet, n’hésitez pas à vous la procurer auprès de la Maison du Tourisme du Pays d’Ourthe-Amblève. Vous pouvez également consulter «Accueil Champêtre en Wallonie», une asbl spécialisée dans l’encadrement de propriétaires porteurs de projets de gîtes et/ou de chambres d’hôtes. Celle-ci pourra utilement vous informer sur le sujet. Par ailleurs, soucieux de mieux faire connaître les capacités touristiques de la région Ourthe-Amblève, le GREOA, gestionnai- re de la Maison du Tourisme du Pays d’Ourthe-Amblève, édite depuis plusieures années un guide qui reprend de façon exhaustive les différentes possibilités offertes aux touristes de passage sur le territoire des communes de , , Comblain-au-Pont, , , , Ouffet, et Stoumont. Ce guide est disponible sur simple demande adres- sée à la Maison du Tourisme. Adresses utiles : • La Maison du Tourisme du Pays d’Ourthe-Amblève Route de Louvegnée, 3 à 4920 – Remouchamps Tél : 04/384.35.44 – Fax : 04/384.35.46 – E-Mail : [email protected] - Site : www.ourthe-ambleve.be • Accueil Champêtre en Wallonie Chaussée de Namur, 47 à 5030 – Gembloux Tél : 081/60.00.60 – Fax : 081/60.04.46 – E-Mail : [email protected] •Office de Tourisme de la Commune de Stoumont (OTCS) Route de l’Amblève, 45 à 4987 – Stoumont Tél : 080/292.680 – Fax : 080/292.669 – E-Mail : [email protected] BRICOLAGE Merci Père Noël ! Il n’est jamais trop tard pour bien faire, dit-on avec raison. C’est pourquoi le Centre Récréatif Educatif Bricolage Stoumont ( CREBS), plus facilement appelé ‘Atelier de Bricolage de Stoumont’, remercie chaleureusement toutes les personnes qui au cours de l’année 2003 ont bien voulu lui confier des jouets usagers et réparables. C’est ainsi que Monsieur Angelo Pianezze, véritable ‘moteur’ de cet atelier, aidé par quelques bonnes volontés de tous âges, a pu, en fin d’année 2003, confier au CPAS de Stoumont toute une série de jouets réparés et remis à neuf. Avec cette hotte, le CPAS a joué le Père Noël auprès de 17 enfants moins privi- légiés de notre commune. Au nom de ces enfants, MERCI aux donateurs de jouets, merci aux réparatrices et réparateurs, et en premier lieu à Monsieur A. Pianezze et merci au CPAS de Stoumont pour la distribution. Mais l’Atelier de Bricolage de Stoumont continue et prépare déjà Noël 2004. C’est pourquoi les dons de jouets sont dès maintenant et pendant toute l’année bienvenus. Les bonnes volontés pour venir en aide à Monsieur Pianezze sont également attendues. Pas besoin d’être ingénieur, artis- te confirmé ou 1ère couturière chez Dior. Chacun peut, à sa manière et à son rythme, porter sa pierre à l’édifice. Réunion les lundis après-midi à la salle ‘L’Ecole des Filles’ à Stoumont. Infos : Monsieur Angelo Pianezze : 0476/43.48.89 ou 080/39.83.62

7 LES ECOLES DANS NOTRE

COMMUNE. ((SSuuiittee))

Loin du bruit qui nous entoure, perchée sur la colline, telle une vigie, se situe l’école de La Gleize. Remontons un peu le fil du temps. En 1584, Ernest de Bavière publie une ordonnance qui stipule : « …de diligemment instruire et enseigner les enfants tant masles que femelles, les faisant tenir, selon leur possibilité et faculté, la science de bien et parfaitement lire… » Jusqu’à la fin du 18e siècle, cette ordonnance a été suivie de manière faible et irrégulière. Les leçons se donnaient à l’église ou dans des locaux peu appropriés comme des remises ou des granges. Ce n’est qu’en 1825 que le conseil communal de La Gleize décide de fournir à l’instituteur le local de la maison communale, qui était situé sur le tracé de la route La Gleize-Rahier. En 1849, 72 enfants de familles peu fortunées sont admis à l’école, en plus de ceux venant des familles plus aisées. En 1862, un nouveau bâtiment est construit à l’emplacement actuel de l’école, qui sert en outre de maison communale. Malheureusement, l’école est réduite en ruines lors des batailles de 1944. La reconstruction ne sera achevée qu’en 1951, ce qui oblige entre-temps les enfants de La Gleize à voyager de local en local. A cette époque, une partie du bâtiment servait d’habitation à l’instituteur et à sa famille. Au rez-de-chaussée se trouvait une seule classe qui regroupait tous les élèves et un local tenant lieu de « halte poste ». A l’étage on trouvait le bureau du secrétaire communal et la salle de conseil. Les locaux d’aujourd’hui sont organisés tout autrement. Que trouve-t-on au rez-de-chaussée ? A l’avant du bâtiment, un grand réfectoire, équipé d’une cuisine, accueille les enfants pour le repas du midi. Un menu complet est servi, pour une somme modeste, aux enfants qui le désirent. A l’arrière de l’école, sont installées les classes maternelles. On peut y trouver le coin qu’ils appellent « l’arbre », où des histoires leur sont racontées et où un tableau présente les activi- tés de la journée et de la semaine. Dans l’arbre, Madame Fontaine les rassemble tous à certains moments de la journée. Parmi les activités proposées, on peut trouver un atelier d’écriture, un de dessins, un de bricolages avec un banc de menuisier, une belle mezzanine avec des ordinateurs comprenant des jeux éducatifs pour les enfants de troisième maternelle. Un magnifique bac à sable, dans une véranda bien éclairée, permet aux petits de jouer à l’abri. Les classes de primaires sont divisées en deux, dans de larges locaux au premier étage. Les classes 1, 2 et 3 ont comme professeur Madame André-Hugo. Les classes 4, 5 et 6 sont suivies par Madame Dumez-Bodeux, chef d’école. Le souci majeur de Madame Dumez-Bodeux, c’est que les enfants sachent travailler seuls et de façon organisée et apprennent à respecter les autres et leur environnement. Cela implique que le professeur prépare le programme des exercices, après les cours, sur différentes feuilles qui sont à la dis- position des élèves. Cette façon de procéder permet à chaque élève de travailler à son rythme, tout en étant responsable de son travail et sans avoir toujours quelqu’un derrière lui. Les travaux terminés doivent être déposés dans des pochettes de couleurs différentes suivant les matières.

8 LES ECOLES DANS NOTRE COMMUNE. ((SSuuiittee))

Les élèves qui ont achevé leurs exercices passent à d’autres activités suivant un choix qu’ils ont fait au début de l’année et dif- férentes pour chaque jour de la semaine. Par exemple : lecture à la bibliothèque, calcul écrit, utilisation du dictionnaire, mots croisés ou dessin. L’école initie aussi les élèves aux problèmes de notre époque en les guidant dans la lecture des journaux. Les élèves doivent venir expliquer ce qu’ils ont lu et ouvrir ainsi le dialogue. Pour être complet, il faut mentionner aussi une salle de gymnastique aménagée avec soin dans les greniers. Il n’est pas difficile de conclure que l’intérêt est grand d’avoir autant d’écoles dans notre Commune. Cette petite école du village de la Gleize s’implique dans son village par des visites aux personnes âgées à Noël ou à la Saint- Nicolas et par l’organisation d’autres activités. Au sein de cette école travaillent 3 enseignantes à temps plein qui se voient plusieurs fois par jour et qui peuvent ainsi com- muniquer entre elles, sans attendre des réunions plus formelles. Par le fait que les classes ne sont pas cloisonnées, les élèves peuvent être mieux suivis, car il y a une continuité sur trois ans et des contacts journaliers entre professeurs et aussi avec les parents. Cette situation très privilégiée, dans nos petites écoles, permet ainsi une excellente préparation pour affronter le niveau secon- daire. Que ces articles sur les écoles dans notre commune nous rendent tous conscients de la chance que nous avons d’avoir des écoles à taille humaine. (Les données historiques sont tirées du livre de Monsieur Serge Fontaine intitulé : « Histoire et histoires La Gleize »)

9 Les horaires du Bibliobus dans notre commune

Le bibliobus passe dans notre commune tous les deuxièmes et quatrièmes mardis du mois.

A Rahier : à l’école communale de 13h40 à 14h25. A Cheneux : village de 14h30 à 15h00

Attention les 13/04 ; 13/07 et 24/08 les horaires de vacances sont de 13h30 à 14h00 à Rahier et de 14h10 à 14h30 à Cheneux.

Bibliothèque communale de Stoumont

NOUVEL HORAIRE

Depuis le mois mars, la bibliothèque de Stoumont est ouverte : Le jeudi de 17 à 19 heures. Le samedi de 10 à 12 heures (possibilité de consulter Internet à la bibliothèque le samedi)

Pour tous renseignements : à la bibliothèque, route de l’Amblève, 45 ou au 080/292.689.

Consultation de la population sur «l’avant-projet de plan fédéral de développement durable 2004-2008»

Depuis le 15 février et jusqu’au 14 mai 2004, l’autorité fédérale consulte la population sur l’avant-projet de plan fédéral de développement durable 20004-2008. Cet avant-pro- jet peut être consulté à l’administration communale durant les heures d’ouverture nor- males. Les citoyens qui désireraient obtenir un exemplaire de l’avant-projet peuvent en faire la demande à la boîte postale 2004 à 1000 – Bruxelles. Des renseignements complémentaires peuvent également être disponibles sur le site Internet www.plan2004.be

10 SAGA DES HÔTELS OUBLIÉS

Le saviez-vous ?

Notre superbe région, grâce au chemin de fer a connu un essor touristique sans précédent. Voici la merveilleuse histoire de l’Hôtel de la Station à Roanne-Coo. Jean Joseph Philippe, cheminot né à Coo le 13 mars 1851, va décider de construire un hôtel à proxi- mité de l’emplacement de la future gare dont il a été informé dans le cadre de son travail. Le devis de la construction s’élevait à dix mille francs ! Ce n’était pas une mince affaire car il a fallu creuser dans le rocher, mais heureusement il a pu récupérer les pierres enlevées du rocher pour les utiliser à la construction. Le gros œuvre de la maçonnerie n’a donc nécessité que les briques et les pierres de taille pour la faça- de. La construction de l’hôtel de la station est achevée en1886 Marie Catherine, l’épouse de monsieur Philippe, et sa belle sœur Marie Filot, l’aideront au mieux car elles bénéficient d’une expérience acquise à l’hôtel « Britannique » à Spa. Jetons un coup d’œil sur le registre de fréquentation de l’hôtel qui est une véritable mine d’informations car les voyageurs de l’époque devaient décliner leurs identités ainsi que leurs professions.

Nous y trouvons traces des séjours :

- de nombreux ouvriers et employés du chemin de fer. - des touristes visitant la région, à noter : la proximité de la cascade de Coo. - des vacanciers souvent réguliers, seuls ou en famille. - des professeurs, des médecins, belges ou étrangers, des avocats ainsi que des artistes peintres. Nous remarquons également la présence d’artisans venus là dans le cadre de leur métier : des charretiers, des journaliers, des colporteurs, des bourreliers, des cochers, des marchands de draps et bien d’autres encore qui représentaient les activités de l’époque.

Evoquons quelques personnages parmi d’autres :

- le docteur Andreie, professeur à Wageningen, Hollande était de passage le16 août 1886. - Monsieur K Meyer, professeur à l’université de Liverpool, domicilié à Middlesbrough le 15 août1893. - Mademoiselle A Marcotte, cantatrice de Paris ainsi que Louise Bourdais, professeur de Paris - Monsieur , consul général à Bruxelles, passe une semaine de vacances en septembre1901. - Monsieur Marcotte, artiste peintre d’Anvers en 1902. - Monsieur Vleminchx Charles, artiste peintre en juillet 1907. - nous ne pouvons taire ces deux petites notes originales : - Th. Hellinchx, profession : gratte-papier dont on note la présence en 1902. - Le chat de Perse, souverain et mangeur …………de souris ! domicilié à Téhéran. Des groupes arrivent également pour passer quelques jours de vacances à la campagne.

11 SAGA DES HÔTELS OUBLIÉS (SUITE)

Notons :

- Jean Van Hoeymissen, instituteur âgé de 28 ans ; accompagné de 23 enfants en juin 1913. Mademoiselle Mertens, institutrice à Bruxelles accompagnée de 28 jeunes filles. L’hôtel de la station fut réquisitionné par les Allemands durant la guerre de 1914-1918.

À suivre Merci à René pour toutes ces précisions Yvette et Liliane

12 UN SERVICE DE SOIN ET Le coin du poète… D’AIDE À DOMICILE MAI DANS LES BOIS ! 1 Dans cette aube de Mai la bise âpre et tenace SACODO est un service de soins et d’aides Souffle sur la montagne et marque le retour coordonnés à domicile. Toujours si redouté des fameux Saints de Glace Que l’on charge à l’envi de plus d’un mauvais tour. SACODO couvre six communes dont STOU- Mais très tôt le soleil à l’horizon se lève MONT, , Stavelot, Trois-Ponts, Lierneux et Et dans l’azur du ciel pointe son char de feu, . La nature s’éveille, et, secouant son rêve, Chante l’hymne du jour à l’astre radieux. SACODO a pour but d’aider toute personne qui désire être à domicile et pour qui une aide est 2 utile et nécessaire voire indispensable. C’est le moment d’aller, en longeant la prairie Dont la rosée encor baigne les frais gazons. Promener dans les bois sa lente rêverie Vous aider à rester à domicile. COMMENT ? En Tout en prêtant l’oreille aux chansons des buissons. L’air est pur et limpide, et la bise est tombée, vous rencontrant à votre domicile ou en clinique On aspire à longs traits l’ineffable senteur ou en institution, en vous apportant une aide en Des tendres arbrisseaux dont la jeune feuillée fonction de vos besoins que ce soit aide familia- De ses bourgeons nacrés étale la splendeur ! le, aide ménagère, repas, infirmière, télévigilance, 3 matériel sanitaire,… Comme on savoure alors l’intense jouissance De s’évader un jour des bruyantes cités, De n’entendre plus rien qui rompe le silence Vous aider à rester à domicile. POUR QUI ? Pour Que le bruit des sapins par la houle agités, toute personne ayant un problème de santé que Et le chant des oiseaux enivrés de lumière Qui gazouillent joyeux, dans les arbres blottis, ce soit physique, mental ou social. Tandis que le Coucou drapé dans son mystère Semble nous crier l’heure au fond de son taillis ! Comment joindre SACODO ? Les coordinatrices 4 assurent une permanence téléphonique du lundi Salut beau mois de Mai ! Salut à ton sourire, au vendredi de 9h00 à 11h00 au 080/880.880. A ton riant soleil, à tes premières fleurs ! Les coordinatrices fixeront un rendez-vous avec Sois le présage heureux, pour qui pleure et soupire De retour à la Paix des Nations et des Cœurs. vous et se déplaceront à votre domicile, si néces- saire et ce gratuitement. Poésie écrite par Monsieur l’Abbé Fincoeur le 5 mai 1942. SACODO n’a pas de propres services excepté Cependant ce poème vaut aussi pour 2004, y com- une équipe de bénévoles qui assurent essentiel- pris, malheureusement, les deux derniers vers. lement le transport mais travaille avec tous les ser- Monsieur l’Abbé Fincoeur a été aumônier à Saint- vices à domicile qui existent sur la commune. Edouard pendant et un peu après la guerre. Il s’est admirablement dévoué pour les enfants en cure à Saint-Edouard. Durant la guerre 40-45, il fut un SACODO – Rue neuve, 30 à 4970 – Stavelot héros qui a travaillé dans l’ombre. Il respirait la sym- Tél : 080/880 880 – Fax : 080/880 353 – E-mail : pathie et la bonté. [email protected] Entre le 19 et le 22 décembre 1944, lors de l’offen- sive qui a détruit les bâtiments de Saint-Edouard, il a été le soutien et le réconfort de plus de 150 enfants Information communiquée par et religieuses. Il est décédé dans les années 60. Les personnes qui l’ont connu en gardent un souve- Yvonne Vannerum – Conseillère CPAS nir attachant.

13 Maison de l’Emploi de Stavelot, Le coin du poète… Stoumont, Trois-Ponts et du souvenir

A la demande de Monsieur Arnold PERMANENCES Targnion, membre du CADUSA (Comité A STOUMONT d’Accueil des U.S. Air Born), nous publions ici un poème qui nous rappel- le l’importance du souvenir, et ce dans Comme vous le savez sans doute, l’espoir que l’Histoire cesse d’être un votre commune et votre CPAS, en collaboration avec FOREM Conseil éternel recommencement dans ses , se sont investis dans la création d’une Maison de l’Emploi située errances et ses barbaries. à Stavelot.

Espace ouvert et gratuit, vous pouvez y bénéficier de l’aide et de l’orien- tation des conseillers, y effectuer vos démarches administratives concer- Cérémonies nant le maintien de vos droits en tant que demandeur d’emploi, utiliser Commémoratives librement les ordinateurs, téléphones, fax et photocopieur, consulter les offres d’emploi mises à jour quotidiennement, consulter une riche docu- Beaucoup de gens affirment que nous mentation sur des matières telles que la législation sociale, l’emploi, les for- accordons mations et les professions, le travail à l’étranger, le travail indépendant, Bien trop d’honneur à ces commémo- etc… rations, Que nous pourrions animer l’actualité En fonction des partenariats qui seront développés, diverses activités, Tout en ignorant cet illustre passé. dont nous vous tiendrons informés, verront également le jour. Dores et déjà, vous pouvez bénéficier de l’aide d’une assistante sociale du CPAS, Plusieurs milliers de braves se sont tous les jeudis de 13h30 à 16h30 (à Stavelot). révoltés En entendant ces générations d’excités Afin de vous offrir un service de proximité, nous serons dans votre Irrespectueux de ces jours bouleversés commune 2 fois par mois. Venez donc nous rencontrer lors des Par la convoitise d’un voisin enragé. permanences que nous tenons au CPAS de Stoumont les 2ème et 4ème mercredis du mois de 9h00 à 12h00. Vous pourrez y bénéficier Sans leurs aînés pourtant ils seraient des de nos conseils, vous inscrire ou réinscrire comme demandeur valets, d’emploi, recevoir des conseils quant à l’accès ou la préservation A une langue imposée tous obligés, de vos droits, consulter notre documentation. Asservis, jugés comme engeance infé- rieure, Soumis au conquérant imbu de sa Message important !!!! valeur. Sachez que toutes les démarches administratives liées à votre ins- cription comme demandeur d’emploi que vous effectuez au FOREM Ces cérémonies tellement émouvantes Conseil, Font chez nos anciens revivre l’épou- vante, peuvent être réalisées à la Maison de l’Emploi de Stavelot ou lors des Elles ravivent en eux de tristes souvenirs permanences à Stoumont et Trois-Ponts, soit : Que jamais plus nos enfants ne doivent ressentir. • Votre inscription comme demandeur d’emploi • Votre réinscription comme demandeur d’emploi après Les sacrifices d’antan méritent nos hom- une période d’interruption (travail, intérim, dispense, mages, maladie…) Supprimer ces rites serait grand dom- • L’obtention de diverses attestations d’inscription mage. comme demandeur d’emploi Nous ne pouvons les laisser sombrer dans l’oubli, Il faut à nos sauveurs adresser GRAND Bienvenue à la maison…à Stavelot, tous les jours matin de 8h30 à 12h ainsi MERCI. que le lundi, mercredi et jeudi de 13h30 à 16h30. Maison de l’Emploi de Stavelot, Stoumont, Trois-Ponts – Place Saint- Michel Hallet Remacle,33/4 à 4970 STAVELOT tél. : 080/29.29.80 Boussu, le 5 /7 /2001.

14 Conseil du 9 décembre 2003

Le Conseil, à l’unanimité : 5. Voirie vicinale - plan d’aligne- - approuve le cahier spécial ment du chemin vicinal n°1 à des charges n°29/09/2003 Roanne-Coo – adoption provi- relatif au marché de fourniture soire du plan et décision de le d’un photocopieur pour l’ad- soumettre à enquête publique Présents : M. Dupont, bourg- ministration communale (mai- et à l’avis des propriétaires mestre ; son Goffart) ; riverains : MM. Fontaine et Mme - approuve le devis au montant Cornet-Bonivers, échevins ; total de 2.000 e T.V.A .C. ; Le Conseil, à l’unanimité : Mmes Wansart- - choisit la procédure négociée - adopte provisoirement le plan Grégoire, Rondeux- sans publicité comme mode d’alignement du chemin vici- Philippe, Legrand- de passation du marché pré- nal n°1 à Roanne-Coo repré- Delnoy, Sacré et MM. cité. sentant la situation réelle sur le Monville et Gilkinet, terrain tel qu’il est établi sur le conseillers ; 4. Travaux – aménagement et rac- plan du 02 décembre 2003 M. Godart, cordement du nouveau réser- dressé par le Géomètre secrétaire voir de Moulin du Ruy - cahier expert J. Werner ; communal spécial des charges – devis – - décide de le soumettre à a. i. ; mode de passation du marché enquête publique (21 jours) – approbation : et d’avertir les propriétaires Excusés : M. Lambotte, échevin riverains. et M. Jamar de Bolsée, conseiller ; Le Conseil, à l’unanimité : - approuve le cahier spécial 6. Plan communal pour l’emploi – SEANCE PUBLIQUE des charges n°25/11/2003 reconduction – décision : relatif au marché d’aménage- 1. Eglise protestante baptiste ment et de raccordement du Le Conseil, d’Aywaille - modification bud- nouveau réservoir de Moulin - décide, à l’unanimité, de gétaire 2003/2 – avis : du Ruy présenté comme suit : reconduire le Plan Communal pour l’Emploi pour l’année Le Conseil, par 7 voix pour et une Lot Libellé 2004 ; -et prend acte : abstention, émet un avis favorable 1 Empierrement du passage à gué sur la modification budgétaire • de la décision 2003/2 de l’Eglise Protestante 2 Empierrement du chemin d’ac- d’Electrabel de se retirer Baptiste d’Aywaille. cès du financement des plans 3 Matériaux de gros-œuvre pour communaux pour l’em- 2. Fabrique d’église de Moulin du la chambre de vannes ploi de manière dégressi- Ruy - modification budgétaire ve à partir de 2004 à rai- 4Fournitures techniques (pièces 2003/1 – avis : son d’une diminution en fonte) pour le raccordement d’un tiers de sa participa- du réservoir Le Conseil, par 7 voix pour et une tion chaque année. abstention, émet un avis favorable 5Machine spécifique de levage • de la décision du sur la modification budgétaire pour la pose du réservoir Gouvernement de la 2003/1 de la Fabrique d’église de Région wallonne qui, face Moulin du Ruy. - approuve le devis au mon- à cette situation, a chargé tant total de 10.000 un groupe de travail 3. Administration – achat d’un e T.V.A .C. ; d’étudier toutes les alter- photocopieur – cahier spécial - choisit la procédure négo- natives crédibles au finan- des charges – devis – mode de ciée sans publicité comme cement des plans com- passation du marché – appro- mode de passation du mar- munaux pour l’emploi. bation : ché précité.

15 Conseil du 30 décembre 2003

Receveur – lecture : 2. Fabrique d’église de Lorcé – modification budgétaire Il est donné lecture du procès- Présents : M. Dupont, bourg- 2003/1 – avis : verbal de la vérification de l’en- mestre ; caisse du Receveur régional MM. Fontaine et Mme Le Conseil, par 8 voix pour et établi en date du 30 sep- Cornet-Bonivers, échevins ; une abstention, émet un avis tembre 2003 par M. Stassen, Mmes Rondeux-Philippe, favorable sur la modification Commissaire d’Arrondissement. Legrand-Delnoy, budgétaire 2003/1 de la Sacré et Fabrique d’église de Lorcé. 6. Finances – un douzième MM. Monville, Jamar de provisoire – décision : Bolsée et Gilkinet, 3. Fabrique d’église de Le Conseil, considérant que le conseillers ; Targnon – budget 2004 – budget 2004 n’est pas encore M. Godart, secrétaire com- avis : voté ; vu la nouvelle loi com- munal a. i. ; munale ; Le Conseil, par 8 voix pour et - autorise, par 8 voix pour et Excusés : M. Lambotte, éche- une abstention, émet un avis une abstention, le collège à vin et Mme favorable sur le budget 2004 effectuer, pour l’exercice Wansart-Grégoire, de la Fabrique d’église de 2004, les dépenses néces- conseillère ; Targnon. saires à concurrence d’un douzième des crédits pré- SEANCE PUBLIQUE 4. Fabrique d’église de Lorcé – vus au budget de 2003. budget 2004 – avis : 1. Fabrique d’église de 7. C.P.A.S. – Modification bud- Targnon – modification bud- Le Conseil, par 8 voix pour et gétaire 2003/1 – avis : gétaire 2003/1 – avis : une abstention, émet un avis favorable sur le budget 2004 Le Conseil, à l’unanimité, émet Le Conseil, par 8 voix pour et de la Fabrique d’église de un avis favorable sur la modifi- une abstention, émet un avis Lorcé. cation budgétaire n° 2003/1 du favorable sur la modification C.P.A.S.. budgétaire 2003/1 de la 5. Correspondance – vérifica- Fabrique d’église de Targnon. tion de l’encaisse du Conseil du 27 janvier 2004

Conseil communal - Séance du 27 janvier 2004 1. Finances – Un douzième provisoire supplémentai- re – Décision : Présents : M. Dupont, bourgmestre ; MM. Fontaine, Lambotte et Le Conseil, Considérant que le budget 2004 n’est pas enco- Mme Cornet Bonivers, échevins ; re voté; Attendu qu’en sa séance du 30 décembre 2003, le Mmes Wansart-Grégoire, Rondeux-Philippe, conseil communal a autorisé le collège à effectuer, pour Legrand-Delnoy, Sacré et MM. Jamar de l’exercice 2004, les dépenses nécessaires à concurrence Bolsée et Gilkinet, conseillers ; M. Godart, d’un douzième des crédits prévus au budget de 2003 ; Vu secrétaire la nouvelle loi communale ; communal A l’unanimité, a. i. ; -Autorise le collège à effectuer, pour l’exercice 2004, les dépenses nécessaires à concurrence d’un deuxième Excusés : M. Monville, conseiller ; douzième des crédits prévus au budget de 2003.

SEANCE PUBLIQUE 2. Levers de terrain par géomètre – Marché de servi- ce annuel - Cahier spécial des charges – Mode de 16 N° prêt 1083 1032 Conseil du 27 janvier 2004 Code fonction 421 874 (suite) Dette 92.788,90 5.029,02 Durée 10 20 passation du marché : Echéance 01/07/2007 01/10/2004 Le Conseil, à l’unanimité, - approuve le cahier spécial des charges n° 2004/003 rela- Ancienne révision 19/06/2004 13/04/2004 tif au marché de service annuel de levers de terrain par Nouvelle révision 01/07/2007 01/10/2004 géomètre ; Code révision 8 8 - choisit la procédure négociée sans publicité comme Ancien taux 5,14 3,78 mode de passation du marché précité. Nouveau taux 4 3,19 3. Intercommunale Intermosane – Assemblée géné- Impact 2004 858,64 19,51 rale extraordinaire – Point à l’ordre du jour - Prise Impact 2005 680,51 de position – Décision : Impact 2006 417,32 Le Conseil, Attendu que M. le Président présente une note Impact 2007 140,62 explicative relative à l’évolution des intercommunales mixtes de distribution vers un marché libéralisé ; Attendu qu’il est Récapitulatif actuellement complexe et aléatoire de mesurer les retom- Nombre de prêts 2 bées financières exactes pour la commune de Stoumont Dette 97.817,92 euros des transpositions des dispositions relatives à la libéralisation des marchés de l’électricité et/ou du gaz en Région wallon- Taux moyen ancien 4,45 ne ; Attendu qu’une réunion sera organisée le 12 février Taux moyen nouveau 3,60 2004 par Intermosane à l’attention des communes afin de Impact jusqu’à échéance 2.116,60 euros clarifier le sujet ; Après en avoir délibéré, A l’unanimité, - Décide d’ajourner le vote du point 3 à l’ordre du jour de la séance publique. Attendu que l’opération proposée s’intègre dans le cadre de la gestion de la dette et de contrats existants et se trou- 4. Imarco - Les Ateliers du relais a.s.b.l. – Bilan 2002 ve de ce fait exclue du champ d’application de la régle- - Avis : mentation sur les marchés publics ; Attendu que les condi- tions de l’opération ont une durée de validité très courte et Le Conseil, à l’unanimité, qu’il est donc nécessaire de réagir rapidement ; Après déli- - Emet un avis favorable sur le bilan et les comptes bération, à l’unanimité, de l’a.s.b.l. Imarco - Les Ateliers du relais établis - Décide de marquer son accord sur : au 31 décembre 2002. • la fixation des taux d’intérêt des crédits énu- mérés dans le tableau ci-dessus jusqu’à la 5. Dépôt communal – Achat de mobilier - Cahier date d’échéance finale, conformément à la spécial des charges – Devis - Mode de passation proposition de DEXIA Banque S.A. ; du marché : • le maintien des tranches d’amortissements actuelles jusqu’à l’échéance finale des Le Conseil, à l’unanimité, emprunts ; - approuve le cahier spécial des charges relatif au marché • le remplacement de la clause d’indemnité de fourniture de mobilier pour le dépôt communal ; de remploi actuelle par la clause suivante : - approuve le devis au montant total de 10.500 e T.V.A .C. ; «Toute opération non prévue contractuelle- - choisit la procédure négociée sans publicité comme ment est assimilée à une résiliation unilatéra- mode de passation du marché précité. le du contrat par l’administration. Dans ce cas, la banque a droit à une indemnité qui 6. Finances – Emprunts – Révision anticipée des taux correspond à la perte financière réellement d’intérêt : encourue.

Le Conseil, Considérant la composition du portefeuille • les autres modalités et conditions des «dette» de l’administration communale de Stoumont en contrats d’emprunts, qui resteront inchan- date du 27 janvier 2004 ; Attendu que les taux d’intérêt se gées. Les modifications énumérées ci-avant situent actuellement à un niveau historiquement bas ; Vu les entreront en vigueur le jour de la conclusion techniques de financement alternatives proposées par de l’opération, à savoir le jour de la récep- DEXIA Banque S.A. permettant de tirer avantage de la situa- tion par DEXIA Banque S.A. de l’accord tion des taux actuelle et qui offrent la possibilité à la com- signé par le Collège. mune de réduire son risque de taux d’intérêt tout en profi- tant de la courbe des taux actuellement favorable ; Vu la Le Conseil communal décide, à l’unanimité, d’approuver proposition ci-après de DEXIA Banque S.A., qui comprend séance tenante le procès-verbal relatif au point 6 de l’ordre une simulation chiffrée permettant de mesurer l’impact de du jour. l’opération pour la commune ; M. le Président donne lecture du procès-verbal relatif au point 6. 17 Le jeu du proverbe caché Jouez et gagnez un bon de 25 euros La solution du jeu du bulletin communal précédent était : « Les chiens qui chassent ne sentent pas leur puces ». Bravo aux bonnes réponses et à Coralie qui nous donne sa réponse très bien illustrée. Une gagnante a été tirée au sort parmi les bonnes réponses ( encore une dame – défendez-vous messieurs !): il s’agit de Madame Hélène DUMONT de Moulin du Ruy qui gagne un Panier garni offert par l’épicerie «Joëlle Grégoire-Maréchal » à La Gleize. Pour jouer :Placez les colonnes dans le bon ordre et vous pourrez lire horizontalement un proverbe. Quel est-il ? Les réponses sont à faire parvenir sous pli fermé LE 15 mai 2004 AU PLUS TARD à l’adresse suivante : Administration communale de Stoumont « Jeu-concours n° 28 » Route de l’Amblève, 41 - 4987 – STOUMONT N’oubliez pas de mentionner sur votre courrier réponse: 1. la phrase du proverbe 2. Vos nom et adresse Le règlement du concours peut vous être envoyé sur demande

18 PRIMES DE NAISSANCE

Trente-trois petits stoumontois de plus en 2003. Depuis de nombreuses années la commune de Stoumont alloue une prime de naissance à toute famille domiciliée sur son territoire au moment de la naissance. Et notre population s’est donc agrandie par naissance de 33 petits bambins auxquels nous souhaitons tout le bonheur du monde. Pour les stati- tiques, sachons qu’il est né 13 filles et 20 garçons (ce n’est pas habi- tuel), que le premier de l’année est né le 1er janvier (on ne peut faire mieux) et le dernier de l’année est né le 12 décembre. Sept enfants sont de Chevron, 11 de La Gleize, 6 de Lorcé, 4 de Rahier et 5 de Stoumont. Bravo donc aux La Gleizoises et La Gleizois chez lesquels un bon vent vivifiant a soufflé ces 20 derniers mois ! Ce samedi 28 février dernier, et pour la première fois depuis l’instauration de cette prime, le Collège avait décidé d’organiser une petite réception à la salle «l’Ecole des Filles» plutôt que d’envoyer la somme par ver- sement comme précédemment. Nos petits nouveaux «cuvée 2003» sont :

Date de Nom 08/07/2003 Servaty Coline Prénom Date de Nom naissance Prénom naissance 01/01/2003 Closon François 03/01/2003 Prince Simon 01/08/2003 Detroz 07/01/2003 Masson Jérémy Alexis 19/01/2003 Kistemann Lindsay 11/08/2003 Crahay Luka 24/01/2003 Laffineur Norat 13/08/2003 Lambotte 15/02/2003 Thoumsin Valentine Arthur 04/03/2003 Dester Fannie 20/08/2003 Legros Julie 26/03/2003 Paris Geoffroy 04/09/2003 Simon 26/03/2003 Paris Auriane Gilles 14/04/2003 Maréchal Maxine 09/09/2003 Tixhon 06/05/2003 Crawford Florent Dylan 09/05/2003 Wery Thomas 19/09/2003 Dublet Lisa 19/05/2003 Onana Alima Guillaume 30/09/2003 Van Bogget 25/06/2003 Noël Léna Rémy 26/06/2003 Siquet Romain 10/10/2003 Hebrant 02/07/2003 Adam Aymeric Jason

19 ESPACE PHOTOS e Vielsalm – Imprimerie Andrianne

Depuis quelques mois nous réservons un espace photos aux amateurs de notre commune qui auraient l’une ou l’autre photo typique, insolite ou simplement belle de notre commune. Nous publions ci-dessus et ci-dessous à gauche deux très belles photos qui sont en notre possession mais dont nous ne connaissons pas l’auteur. Si celui-ci se recon- naît qu’il n’hésite pas à nous contacter car il a vraiment beaucoup de talent. Ci-dessous à droite une jolie photo d’un coin fleuri de terrasse roannaise. Pourquoi Roanne ? “C’est typique d’une jolie terrasse”, nous direz-vous, “mais pas nécessairement d’une jolie terrasse de Stoumont”. Nous le savons car la photo a été prise par Madame Marcelle Goffin Veuve Vauchel qui habite Roanne et que nous remercions. Editeur responsable : Monsieur José Dupont- Bourgmestre • Communication : Jean Lebrun • Mise en page & impression : L’Annonce d Editeur responsable : Monsieur José Dupont- Bourgmestre • Communication Jean Lebrun Mise en page & impression L’Annonce 20