RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS

N° 7 – JUILLET 2013

Depuis le 1er janvier 2010, les actes de l'agence régionale de santé Rhône-Alpes sont publiés dans des numéros spéciaux du recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes – adresse : 31 rue Mazenod – 69426 LYON Cedex 3 Internet : www.rhone-alpes.pref.gouv.fr

Date de parution : 18 septembre 2013

1 SOMMAIRE DE JUILLET 2013

REGLEMENTATION...... 9

I – ACTES DE LA PRÉFÈTE DE LA ...... 11

CABINET...... 12

BUREAU DU CABINET ET DE LA SÉCURITÉ...... 12 ARRÊTÉ N° 336/2013 16/07/2013 FIXANT LA COMPOSITION DE LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DES SYSTÈMES DE VIDÉO PROTECTION...... 12 DIRECTION DE LA CITOYENNETE ET DES LIBERTES PUBLIQUES...... 13

BUREAU DES ELECTIONS ET DE L'ADMINISTRATION GÉNÉRALE...... 13 ARRETE DU 26/062013 PORTANT HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNERAIRE...... 13

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° R 47 /2013 DU 26/06/2013 PORTANT AUTORISATION D'APPELA LA GÉNÉROSITÉ PUBLIQUE POUR LE FONDS DE DOTATION"AIDE A L'ENSEIGNEMENT LIBRE DU SECTEUR DE "...... 14 DIRECTION DES COLLECTIVITES ET DU DEVELOPPEMENT LOCAL...... 15

BUREAU DU CONTRÔLE DE LÉGALITÉ, DE L'INTERCOMMUNALITÉ ET DES ENQUÊTES PUBLIQUES...... 15 ARRETE N° 174 / 2013 DU 01/07/2013PORTANT MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT MIXTE À VOCATION ZAIN A 89 – LOIRE CENTRE...... 15

ARRETE N° 180 DU 09/07/2013 CONSTATANT LA COMPOSITION NOMINATIVE DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE L'ETABLISSEMENT PUBLIC D'AMÉNAGEMENT DE SAINT-ETIENNE (EPASE)...... 16

ARRETE N° 171 DU 15/07/2013 ACTANT LES RÉSULTATS DE FONCTIONNEMENT ET LES RÉSULTATS D'INVESTISSEMENT DES COMMUNAUTÉS AYANT FUSIONNÉ AU 1ER JANVIER 2013, EN APPLICATION DE L'ARTICLE 14 DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 438 DU 18 DÉCEMBRE 2012 PORTANT FUSION DE LA COMMUNAUTÉ D'AGGLOMÉRATION «GRAND AGGLOMÉRATION» ET DES COMMUNAUTÉS DE COMMUNES DU PAYS DE LA PACAUDIÈRE, DE LA CÔTE ROANNAISE, DE L'OUEST ROANNAIS ET DU PAYS DE PERREUX, ET INTÉGRATION DE LA COMMUNE DE SAINT ALBAN LES EAUX ...... 18

ARRETE N° 172 DU 15/07/2013 ACTANT LES RÉSULTATS DE FONCTIONNEMENT ET LES RÉSULTATS D'INVESTISSEMENT DES COMMUNAUTÉS AYANT FUSIONNÉ AU 1ER JANVIER 2013, EN APPLICATION DE L'ARTICLE 14 DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N°305 DU 11 DÉCEMBRE 2012 PORTANT FUSION DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU PAYS DE CHARLIEU ET DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU CANTON DE BELMONT DE LA LOIRE...... 19

ARRETE N° 189 DU 20/07/2013 PORTANT MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL DES EAUX DU FURAN (SIDEFU)...... 20 SOUS-PREFECTURE DE ROANNE...... 21 ARRETE PREFECTORAL N° DT – 13 – 602 DU 27/06/2013 PORTANT SUR LE REGLEMENT PARTICULIER DE POLICE DE LA NAVIGATION SUR LA RETENUE DE ...... 21

ARRETE PREFECTORAL N° DT–13-603 DU 27/06/2013 PORTANT REGLEMENT DE POLICE DE LA NAVIGATION DE PLAISANCE ET DES ACTIVITES SPORTIVES ET TOURISTIQUES SUR LE PLAN D'EAU DU BARRAGE DE ROANNE ET DE SES ABORDS...... 27 SOUS-PREFECTURE DE MONTBRISON...... 28 ARRÊTÉ N° 13/93 DU 14/06/2013 PORTANT RENOUVELLEMENT DE L'HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNÉRAIRE...... 28

2 AUTRES SERVICES DE L'ETAT DANS LE DEPARTEMENT...... 29

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES...... 29 ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-466 DU 24/06/2013 DÉFINISSANT LES NORMES USUELLES ET LES RÈGLES RELATIVES AUX BONNES CONDITIONS AGRICOLES ET ENVIRONNEMENTALES DES TERRES DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 29

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° DT- 13-608 DU 25/06/2013 RELATIF RELATIF À LA RECONNAISSANCE DE CIRCONSTANCES EXCEPTIONNELLES SUITE AUX INTEMPÉRIES DU PRINTEMPS 2013 POUR LES MESURES AGROENVIRONNEMENTALES (MAE)...... 34

ARRETE PREFECTORAL N° DT 13-607 DU 25/06/2013 MODIFIANT L’ARRÊTÉ PRÉFECTORAL 13-466 DU 24 JUIN 2013 DÉFINISSANT LES NORMES USUELLES ET LES RÈGLES RELATIVES AUX BONNES CONDITIONS AGRICOLES ET ENVIRONNEMENTALES DES TERRES DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE...... 35

ARRETE N° DT-13-513 DU 05/06/2013 CONFERANT LE CARACTERE EXECUTOIRE A UN TITRE DE RECETTE D’UN ORGANISME PRIVE AYANT ASSURE UN HEBERGEMENT OU UN RELOGEMENT...... 36

ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-622 DU 02/07/2013 PORTANT APPLICATION DU REGIME FORESTIER A PLUSIEURS PARCELLES DE TERRAIN...... 37

ARRETE N° DT 13-573 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LAREGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.041...... 39

ARRETE N° DT 13-574 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.019...... 40

ARRETE N° DT 13-575 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.025...... 41

ARRETE N° DT 13-576 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.017...... 43

ARRETE N° DT 13-577 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.108...... 44

ARRETE N° DT 13-578 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.043...... 45

ARRETE N° DT 13-579 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.049...... 46

ARRETE N° DT 13-580 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.068...... 47

ARRETE N° DT 13-581 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.069...... 48

ARRETE N° DT 13-582 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.073...... 50

ARRETE N° DT 13-583 DU 17/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.085...... 51

ARRETE N° DT 13-584 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.092...... 52

3 ARRETE N° DT 13-585 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.093...... 53

ARRETE N° DT 13-586 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.110...... 54

ARRETE N° DT 13-587 DU 17/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.072...... 55

ARRETE N° DT 13-588 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.074...... 56

ARRETE N° DT 13-590 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.077...... 57

ARRETE N° DT 13-591 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.078...... 58

ARRETE N° DT 13-592 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.081...... 59

ARRETE N° DT 13-593 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.084...... 60

ARRETE N° DT 13-594 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.089...... 61

ARRETE N° DT 13-595 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.082...... 62

ARRETE N° DT 13-596 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.087...... 63

ARRETE N° DT 13-597 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.088...... 65

ARRETE N° DT 13-598 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.091...... 66

ARRETE N° DT 13-599 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.109...... 67

ARRETE PREFECTORAL DT-13-639 DU 05/07/2013 PORTANT AUTORISATION DE PÉNÉTRER SUR DES PROPRIÉTÉS PRIVÉES...... 68

ARRETE N° DT-13-637 DU 10/07/2013 RENOUVELANT LA COMPOSITION DE LA SECTION «AGRIDIFF» DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'ORIENTATION DE L'AGRICULTURE...... 69

ARRETE N° DT-13-635 DU 10/07/2013 ETABLISSANT LA COMPOSITION DE LA SECTION « ECONOMIE-STRUCTURES » DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'ORIENTATION DE L'AGRICULTURE...... 71

ARRETE N° DT-13-636 DU 10/07/2013 RENOUVELANT LA COMPOSITION DE LA SECTION « MAE » DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'ORIENTATION DE L'AGRICULTURE...... 75

ARRETE N° DT-13-634 DU 10/07/2013 ETABLISSANT LA COMPOSITION DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'ORIENTATION DE L'AGRICULTURE...... 79

4 ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-641 DU 11/07/2013 PORTANT APPLICATION DU REGIME FORESTIER A PLUSIEURS PARCELLES DE TERRAIN...... 84

ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-642 DU 11/07/2013 PORTANT DISTRACTION DU REGIME FORESTIER D'UNE PARCELLE DE TERRAIN...... 85

DÉCRET DU 14/06/2013 AUTORISANT POUR UNE NOUVELLE PÉRIODE DE CINQ ANNÉES LA SOCIÉTÉ D’AMÉNAGEMENT FONCIER ET D’ÉTABLISSEMENT RURAL RHÔNE-ALPES À EXERCER LE DROIT DE PRÉEMPTION ET À BÉNÉFICIER DE L’OFFRE AMIABLE AVANT ADJUDICATION VOLONTAIRE...... 86

ARRETE PREFECTORAL N°DT-13-633 DU 15/07/2013 PORTANT AUTORISATION AU TITRE DE L'ARTICLE L.214-3 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT CONCERNANT LA DEVIATION DU COURS D'EAU L'ALAIZE AU LIEU-DIT "PONT BAYARD" SUR LA COMMUNE DE TALAUDIERE...... 88

ARRETE PREFECTORAL DT-13-648 DU 18/07/2013 AUTORISANT LA CAPTURE TEMPORAIRE SUIVIE D’UN RELACHER, LE TRANSPORT, LE MARQUAGE LEGER, DE CHIROPTERES À L’EXCLUSION DES ESPÈCES FIGURANT À L’ARRÊTÉ DU 9 JUILLET 1999 MODIFIÉ...... 93

ARRETE PREFECTORAL DT-13-649 DU 18/07/2013 AUTORISANT LA CAPTURE TEMPORAIRE SUIVIE D’UN RELACHER, LE TRANSPORT, DE CHIROPTERES À L’EXCLUSION DES ESPÈCES FIGURANT À L’ARRÊTÉ DU 9 JUILLET 1999 MODIFIÉ...... 95

ARRETE PREFECTORAL DT-13-650 DU 18/07/2013 PORTANT DEROGATION AU REGIME D'INTERDICTION DE CAPTURE D'ESPECES PROTEGEES DE FAUNE...... 96

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N°DT-13-677 DU 19/07/2013 PORTANT AUTORISATION DE PÉNÉTRER SUR DES PROPRIÉTÉS PRIVÉES DANS LE CADRE DE LA RÉALISATION DE L'ÉTUDE DE DÉTERMINATION DES COURS D'EAU SUR LE BASSIN VERSANT DU GIER...... 98

ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-678 DU 18/07/2013 FIXANT LES CONDITIONS D'EFFACEMENT DU PLAN D'EAU « AVAL » AU LIEU-DIT « LA SAUDIAT » COMMUNE DE ...... 98

ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N°DT-13-675 DU 26/07/2013 PORTANT PRESCRIPTIONS COMPLÉMENTAIRES À AUTORISATION AU TITRE DE L'ARTICLE L. 214-3 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT CONCERNANT LA GESTION DES EAUX PLUVIALES DES SECTEUR « COLLÈGE » ET « PIERRE CHARVE » COMMUNE DE CHAZELLES SUR LYON...... 100

ARRETE PREFECTORAL N°DT-13-674 DU 26/07/2013 PORTANT COMPLEMENT A L'AUTORISATION AU TITRE DE L'ARTICLE L. 214-3 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT CONCERNANT LES PRÉLÈVEMENTS DANS LE JANET ET LE GARON COMMUNE D’ARCON...... 105 SERVICE DEPARTEMENTAL D'INCENDIE ET DE SECOURS DE LA LOIRE...... 108 ARRÊTÉ DU 07/06/2013 ACCORDANT LA MÉDAILLE D’HONNEUR DES SAPEURS-POMPIERS PROMOTION DU 14 JUILLET 2013...... 108 DELEGATION TERRITORIALE DE L'AGENCE REGIONALE DE SANTE...... 112 ARRÊTÉ N° 072/2013 DU 03/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 112

ARRÊTÉ N° 090/2013 DU 14/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 113

ARRÊTÉ N° 078/2013 DU 07/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 114

ARRÊTÉ N° 096/2013 DU 02/07/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 115

5 MENTION DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2013-076 DU 17/06/2013, SIGNE PAR FABIENNE BUCCIO, PREFETE DE LA LOIRE, AUTORISANT LA SOCIÉTÉ EUREAU SOURCES À CONDITIONNER EN BONBONNES DE 18,9 LITRES L’EAU DE LA SOURCE « PERLE DES ROCHES » CONSTITUÉE DU MÉLANGE DES FORAGES F1 « FORAGE DU CHEMIN DES CRÊTES » ET F3 « FORAGE ROCHE DES PRÉS » SOUS LA DÉNOMINATION « EAU DE SOURCE » SUR LA COMMUNE DE ...... 116

MENTION DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2013-081 DU 04/07/2013, SIGNE PAR FABIENNE BUCCIO, PREFETE DE LA LOIRE,AUTORISANT PROVISOIREMENT LA SOCIÉTÉ REFRESCO (SITE DE ST ALBAN) À EXPLOITER LA SOURCE D’EAU MINÉRALE FAUSTINE, SITUÉE SUR LA COMMUNE DE ST ALBAN LES EAUX, À DES FINS DE CONDITIONNEMENT...... 116

ARRÊTÉ N° 080/2013 DU 07/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 117

ARRÊTÉ N° 097/2013 DU 02/07/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 118

ARRÊTÉ N° 083/2013 DU 14/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 119

ARRÊTÉ N° 087/2013 DU 14/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 120

ARRÊTÉ N° 088/2013 DU 14/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 121

ARRÊTÉ N° 086/2013 DU 14/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 122

ARRÊTÉ N° 079/2013 DU 07/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 123

ARRÊTÉ N°2013-2393 EN DATE DU 20/06/2013 PORTANT REJET DE LICENCE DE TRANSFERT DE L’OFFICINE DE PHARMACIE GÉRÉE PAR LA SARL « PHARMACIE DU BOIS MONZIL » À VILLARS (LOIRE)...... 124

ARRÊTÉ N° 2013-2391 EN DATE DU 18/06/2013 PORTANT ANNULATION DE LA LICENCE D’EXPLOITATION D’UNE PHARMACIE D’OFFICINE SISE À BOEN SUR LIGNON (LOIRE)...... 125

ARRÊTÉ N° 2013-2582 DU 23/07/2013 AUTORISANT L’EXTENSION D’1 PLACE DU SERVICE DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE (SSIAD) GÉRÉ PAR L’ASSOCIATION « DOMISOINS » À SAINT ETIENNE...... 125

ARRÊTÉ N° 098/2013 DU 23/07/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES...... 127 DIRECTION DEPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES ...... 128 CONVENTION GLOBALE D’UTILISATION 042-2010-6 DU 13/12/2012...... 128

CONVENTION D’UTILISATION GLOBALE 042-2012-0076 DU 26/03/2013...... 132

CONVENTION D’UTILISATION 042-2010-12 DU 02/04/2013...... 135

CONVENTION D’UTILISATION 042-2010-10 DU 22/02/2013...... 139

CONVENTION GLOBALE D’UTILISATION 042-2011-0059 DU 06/05/2013...... 142

6 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS...... 146 ARRETE N° 248-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME NATHALIE BAZILE...... 146

ARRETE N° 249-DDPP-13 DU 26/06.2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR IVAN CHOL...... 148

ARRETE N° 250-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME CATHERINE FAISANDIER - KIRCHHOF...... 149

ARRETE N° 251-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME CATHERINE GIGOT...... 150

ARRETE N° 252-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME CÉLIA LAMY...... 152

ARRETE N° 253-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME ANNE REYMONDON...... 153

ARRETE N° 254-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME KARINE WITZ...... 154

ARRETE N° 255-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR MAXIME CHASSAING...... 155

ARRETE N° 256-DDPP13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR MARC EVRARD...... 157

ARRETE N° 257-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR GUY FEVRE...... 158

ARRETE N° 259-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR JACQUES THOMAS...... 159

ARRETE N° 260-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR ROLAND VAN UNEN...... 161 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE...... 162 ARRETE PREFECTORAL DU 28/06/2013 FIXANT LA DOTATION GLOBALE DE FINANCEMENT DU CENTRE D’ACCUEIL POUR DEMANDEURS D’ASILE GÉRÉ PAR L’ASSOCIATION ENTRAIDE PIERRE VALDO POUR L’ANNÉE 2013...... 162

CONVENTION ATTRIBUTIVE DE SUBVENTION DU 05/07/2013...... 164 UNITE TERRITORIALE DE LA DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI...... 165 RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP503979650 - N° SIRET : 50397965000010 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL)...... 165

RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP792633208 N° SIRET : 79263320800014 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL)...... 166

ARRETE PREFECTORAL N°13-07 DU 25/06/2013 PORTANT SUR LES CONDITIONS D’EMPLOI DES CRÉDITS 2011 DE L’AIDE PERSONNALISÉE DE RETOUR À L’EMPLOI (APRE)...... 167

7 ARRETE PREFECTORAL N°13-08 DU 25/06/2013 PORTANT MODIFICATION DANS L’AFFECTATION DES CRÉDITS DE L’AIDE PERSONNALISÉE DE RETOUR À L’EMPLOI (APRE) ATTRIBUÉE AUX BÉNÉFICIAIRES DU REVENU DE SOLIDARITÉ ACTIVE...... 168

RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP793867334 - N° SIRET : 79386733400013 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL)...... 169

RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP792693194 - N° SIRET : 79269319400013 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL)...... 170

RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP792994188 - N° SIRET : 79299418800011 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL)...... 171

RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP498283811 - N° SIRET : 49828381100020 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL)...... 172

ARRÊTÉ N° 13-09 DU 27/06/2013 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE N° SAP498283811...... 173 II – ARRETES CONJOINTS...... 175 ARRETE INTERPREFECTORAL N° 2013-101-0008 DU 11 AVRIL 2013 RELATIF AUX STATUTS ET COMPÉTENCES DU SYNDICAT MIXTE RHINS RHODON TRAMBOUZAN ET AFFLUENTS "SYRRTA"...... 176

ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-559 ET N° 2013157-0029 DU 27/06/2013 AUTORISANT DES TRAVAUX DANS LA RÉSERVE NATURELLE NATIONALE DE L’ÎLE DE LA PLATIÈRE PAR RÉSEAU DE TRANSPORT D’ÉLECTRICITÉ (RTE)...... 180

ARRETE INTERPREFECTORAL N° 2013204-0003 DU 23/07/2013 RELATIF À LA MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT MIXTE DU SCOT DES MONTS DU LYONNAIS ...... 182 III- ACTES DES AUTRES AUTORITES...... 187

DIRECTION INTERDEPARTEMENTALE DES ROUTES CENTRE-EST – SERVICE REGIONAL D'EXPLOITATION DE MOULINS – DISTRICT DE MOULINS...... 188 ARRETE DE VOIRIE DU 27/07/2013 PORTANT PERMISSION DE VOIRIE...... 188 RESEAU FERRE DE FRANCE...... 191 DÉCISION DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE RÉSEAU FERRÉ DE FRANCE (165ÈME SÉANCE) DU 6 JUIN 2013...... 191

DÉCISION DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE RÉSEAU FERRÉ DE FRANCE (165ÈME SÉANCE) DU 6 JUIN 2013...... 191 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE SAINT-ETIENNE...... 192 DECISION CONJOINTE N°2013-20 DU 01/07/2013 RELATIVE A LA CREATION D’UNE FEDERATION MEDICALE INTERHOSPITALIERE EN SSR...... 192

DÉCISION N° 2013-74 DU 12/07/2013 COMPLÉTANT LA DÉCISION N°2013-33 DU 28 MARS 2013 RELATIVE A LA VENTE D’UNE PARCELLE DU CHU DE SAINT-ETIENNE SUR LE SITE DE L’HOPITAL DE BELLEVUE...... 193

8 REGLEMENTATION

9 10 I – ACTES DE LA PRÉFÈTE DE LA LOIRE

11 CABINET

Bureau du Cabinet et de la Sécurité

ARRÊTÉ N° 336/2013 16/07/2013 FIXANT LA COMPOSITION DE LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DES SYSTÈMES DE VIDÉO PROTECTION La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur Officier de l'ordre National du Mérite

VU le Code de la Sécurité intérieure, notamment ses articles L.251-1 à L.255-1 ; VU le le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 modifié, relatif à la vidéoprotection ; VU la circulaire ministérielle n° INT/D/09/00057/C du 12 mars 2009 relative à la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée ; VU l'ordonnance du premier président de la cour d'appel de Lyon du 27 juin 2013 désignant les magistrats pour siéger en qualité de président, titulaire et suppléant, à la commission départementale de vidéoprotection, à partir du 01 septembre 2013 ; SUR proposition de Madame la directrice de Cabinet de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

Article 1er : La Commission départementale de vidéo protection est composée ainsi qu'il suit :

Président :Monsieur Denis BREUIL, vice-président chargé de l'instruction au tribunal de grande instance de SAINT ETIENNE Président suppléant : Monsieur Pierre DEFAY, vice-président au tribunal de grande instance de SAINT ETIENNE

Membres désignés par la fédération des maires de la Loire : • M. Philippe KIZIRIAN, maire de Saint Chamond, titulaire • M. Jacques FRECENON, maire de Saint Jean Bonnefonds, suppléant

Membres désignés par les Chambres de Commerce, Industrie et services : • M. Jean BANCEL, représentant la Chambre de commerce et d'industrie territoriale de ST Etienne/Montbrison, titulaire • M. Jean-Bernard DEVERNOIS, président de la Chambre de commerce et d'industrie territoriale du Roannais, suppléant

Membres désignés en qualité de personnalités qualifiées : • M. Pierre EYNARD, 41, rue Pierre Curie 69 600 OULLINS, titulaire • M. Michel GUILLEMIN, La Bruyère, 42380 ABOEN, suppléant.

Article 2 : Le mandat de Messieurs BREUIL et DEFAY arrivera à expiration le 01 septembre 2016. Le mandat des autres membres expirera le 16 mai 2014.

Article 3 :L' arrêté préfectoral du 08 novembre 2012 est abrogé.

Article 4 : Madame la Sous Préfète, Directrice de Cabinet, est chargée de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs et dont une copie sera adressée à chacun des membres de la Commission.

Fait à Saint Etienne, le 16 juillet 2013 Pour la préfète et par délégation La sous-préfète, directrice de Cabinet Carine TRIMOUILLE

12 DIRECTION DE LA CITOYENNETE ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Elections et de l'Administration Générale

ARRETE DU 26/062013 PORTANT HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNERAIRE La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment les articles L 2223-19, L 2223-23 et suivants, R 2223-56 et suivants ; VU la demande reçue en préfecture le 12 juin 2013 et complétée le 17 juin suivant par l'établissement POMPES FUNÈBRE DU PILAT sis à Pélussin, 3 place Nôtre Dame en vue d'obtenir l'habilitation de son établissement secondaire dénommé POMPES FUNEBRES DU PILAT SAMUEL JOLY sis à , 1 Grande rue ; CONSIDERANT que l'intéressé remplit les conditions requises ; SUR PROPOSITION de M. le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire ;

ARRETE

ARTICLE 1er : L'établissement secondaire de l'établissement POMPES FUNÈBRES DU PILAT susvisé, dénommé POMPES FUNEBRES MARBRERIE DU PILAT SAMUEL JOLY sis à Chavanay, 1 Grande rue, exploité par Monsieur Samuel JOLY est habilité pour exercer sur l'ensemble du territoire, les activités funéraires suivantes : − Transport de corps avant mise en bière − Transport de corps après mise en bière − Organisation des obsèques − Soins de conservation (qui devront être pratiqués uniquement par Monsieur CARDON Arnaud, thanatopracteur) − Fourniture des housses, des cercueils et de leurs accessoires intérieurs et extérieurs, ainsi que des urnes cinéraires − Fourniture des corbillards − Fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations et crémations

ARTICLE 2 : Le numéro d'habilitation est : 13 42 03 07.

ARTICLE 3 : La durée de la présente habilitation est valable jusqu'au 19 septembre 2018

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Fait à SAINT ETIENNE, le 26 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation le Secrétaire Général signé Patrick FERIN

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13 ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° R 47 /2013 DU 26/06/2013 PORTANT AUTORISATION D'APPELA LA GÉNÉROSITÉ PUBLIQUE POUR LE FONDS DE DOTATION"AIDE A L'ENSEIGNEMENT LIBRE DU SECTEUR DE CHARLIEU" La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur Officier de l'ordre National du Mérite

VU la loi n° 91-772 du 7 août 1991 relative au congé de représentation en faveur des associations et des mutuelles et au contrôle des comptes des organismes faisant appel à la générosité publique ; VU la loi n° 2008-776 du 4 août 2008 de modernisation de l'économie, notamment son article 140 ; VU le décret n° 92-1011 du 17 septembre 1992 relatif au contrôle des comptes des organismes faisant appel à la générosité publique ; VU le décret n° 2009-158 du 11 février 2009 relatif aux fonds de dotation, notamment les articles 11 et suivants ; VU l’arrêté ministériel du 30 juillet 1993 portant fixation des modalités de présentation du compte d’emploi annuel des ressources collectées auprès du public par des organismes faisant appel à la générosité publique ; VU la demande en date du 12 juin 2013, présentée par M. GIRARDON Michel, président du fonds de dotation dénommé "Aide à l'enseignement libre du secteur de Charlieu" (AELSC) ; Considérant que la demande présentée par le fonds de dotation est conforme aux textes en vigueur ;

A R R Ê T E :

Article 1er : Le fonds de dotation dénommé "Aide à l'enseignement libre du secteur de Charlieu" dont le siège social est situé 9 rue Cacherat à CHARLIEU, est autorisé à faire appel à la générosité publique pendant l'année 2013. L’objectif du présent appel à la générosité publique est de recueillir des fonds pour l'action de la fondation : aider les crèches, les écoles, collège et lycée libres du secteur de Charlieu à assurer une éducation et un enseignement dans des locaux correspondant aux normes imposées, par un soutien financier et matériel (remise aux normes des bâtiments et amélioration de ceux-ci, diminution de production de CO2 et application des normes d'accessibilité des bâtiments aux handicapés). Les appels à la générosité publique seront réalisés par les moyens de communication classiques : courriers, mailings, courriels auprès des personnes et entreprises susceptibles de nous apporter leur contribution..

Article 2 : Conformément à la réglementation en vigueur, le fonds de dotation a l’obligation d’intégrer dans ses comptes annuels un compte d’emploi annuel des ressources collectées auprès du public qui précise notamment l'affectation des dons par type de dépenses et qui mentionne les informations relatives à son élaboration. Le compte d’emploi des ressources doit être présenté suivant les modalités fixées par l’arrêté ministériel du 30 juillet 1993.

Article 3 : La présente autorisation pourra être retirée ou abrogée en cas de manquement aux règles régissant les fonds de dotation et/ou à la réglementation relative aux appels à la générosité publique.

Article 4 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Loire et notifié au président du fonds de dotation visé à l’article 1er du présent arrêté.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la préfète et par délégation le secrétaire général signé Patrick FÉRIN

14 DIRECTION DES COLLECTIVITES ET DU DEVELOPPEMENT LOCAL

Bureau du Contrôle de Légalité, de l'Intercommunalité et des Enquêtes Publiques

ARRETE N° 174 / 2013 DU 01/07/2013PORTANT MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT MIXTE À VOCATION ZAIN A 89 – LOIRE CENTRE La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d' Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

Vu le code général des collectivités territoriales et notamment les articles L 5721-1 et suivants ; Vu l'arrêté préfectoral du 9 mars 2010 portant création du syndicat mixte à vocation ZAIN A 89 – Loire Centre ; Vu la délibération du conseil communautaire de la communauté de communes des Collines du Matin en date du 26 mars 2013 sollicitant son retrait du syndicat mixte à vocation ZAIN A 89 – Loire Centre ; Vu les délibérations des conseils municipaux des communes de du 16 mai 2013, de , de Saint Martin Lestra et de Rozier en Donzy du 21 mai 2013, de Saint Barthélémy Lestra du 24 mai 2013, de Panissières du 28 mai 2013, d'Essertines en Donzy du 5 juin 2013 et de Jas du 21 juin 2013 approuvant le retrait de la communauté de communes des Collines du Matin du syndicat mixte à vocation ZAIN A 89 – Loire Centre ; Vu la délibération du comité syndical du syndicat mixte à vocation ZAIN A 89 – Loire Centre en date du 15 mars 2013 approuvant le retrait de la communauté de communes des Collines du Matin, et actant le remplacement de la taxe professionnelle par la Contribution Économique Territoriale ; Vu les délibérations des conseils communautaires des communautés de communes de en Forez du 2 avril 2013 et de du 10 avril 2013 approuvant le retrait de la communauté de communes des Collines du Matin et actant le remplacement de la taxe professionnelle par la Contribution Économique Territoriale ; Vu la délibération du comité syndical du syndicat mixte à vocation ZAIN A 89 – Loire Centre en date du 14 mai 2013 approuvant l'élargissement du périmètre de compétence du syndicat mixte et la modification des statuts du syndicat ; Vu la délibération des conseils communautaires des communautés de communes de Feurs en Forez du 3 juin 2013 et de Balbigny du 5 juin 2013 approuvant les nouveaux statuts du syndicat mixte à vocation ZAIN A 89 – Loire Centre ; Vu la décision de la commission permanente du conseil général du 3 juin 2013 approuvant les nouveaux statuts du syndicat mixte à vocation ZAIN A 89 – Loire Centre ; Considérant que les conditions de majorité prévues par les statuts de la communauté de communes des Collines du Matin autorisant son retrait d'un syndicat mixte sont remplies ; Considérant que les modalités financières de retrait de la communauté de communes des Collines du Matin du syndicat mixte à vocation ZAIN A 89 – Loire Centre ont été approuvées par délibération du comité syndical en date du 15 mars 2013 ; Considérant que les conditions de majorité prévues par l'article L.5721-2-1 du code général des collectivités territoriales sont remplies ; Sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture de la Loire

A R R E T E :

Article 1 er : Est autorisé le retrait de la communauté de communes des Collines du Matin du syndicat mixte à vocation ZAIN A 89 – Loire Centre selon les modalités financières approuvées par délibération du comité syndical en date du 15 mars 2013.

Article 2 : Les statuts du syndicat mixte à vocation ZAIN A 89 – Loire Centre sont modifiés comme suit : Article 1 : Composition - Le Département de la Loire - La Communauté de communes de Balbigny - La Communauté de communes de Feurs en Forez. Le reste est sans changement.

15 Article 4 : Objet du syndicat Le syndicat a pour objet la conduite des études d’aménagement, l’aménagement, la commercialisation, la gestion et le développement : - de la zone d’activités de La Font de l’Or (dont le périmètre d’études de la ZAD comprend les communes de Cleppé, et de Chambéon). - de la zone d’activités de Balbigny (ZAD prise par arrêté préfectoral du 25 avril 2008 qui s’étend sur les communes de Balbigny et de St Marcel de Félines) - du site industriel ex-SAMRO à Balbigny.

Article 6 : Composition du comité syndical

- Département de la Loire : 5 sièges - Communauté de communes de Balbigny : 4 sièges - Communauté de communes de Feurs en Forez : 3 sièges Le reste est sans changement.

Article 15 : Répartition des contributions financières :

- 40 % pour le Département de la Loire - 34 % pour la Communauté de communes de Balbigny - 26 % pour la Communauté de communes de Feurs en Forez

Le reste est sans changement.

Article 3 : Un exemplaire des statuts modifié du syndicat mixte à vocation ZAIN A89- Loire Centre est annexé au présent arrêté.

Article 4 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON cedex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou notification.

Article 5 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire et les présidents du conseil général de la Loire et des établissements publics de coopération intercommunale, membres du syndicat mixte, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un extrait sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et copie adressée à : - M. le président du Conseil Général de la Loire, - M. le président de la communauté de communes de Balbigny, - M. le président de la communauté de communes de Feurs en Forez, - M. le président de la communauté de communes des Collines du Matin, - MM. les sous-préfets de Montbrison et de Roanne, - M. le payeur départemental, comptable du syndicat mixte, - M. le Directeur Départemental des Finances Publiques, - M. le Directeur Départemental des Territoires.

Fait à Saint Etienne, le 1er juillet 2013 Pour la préfète et par délégation, Le Secrétaire Général signé Patrick FERIN

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ARRETE N° 180 DU 09/07/2013 CONSTATANT LA COMPOSITION NOMINATIVE DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE L'ETABLISSEMENT PUBLIC D'AMÉNAGEMENT DE SAINT-ETIENNE (EPASE) La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de l'urbanisme, notamment ses articles L 321-14 à L 321-28, R 321-2 à R 321-22, VU le décret n°94-582 du 12 juillet 1994 relatif aux conseils et aux dirigeants des établissements publics et entreprises du secteur public,

16 VU le décret n°2007-88 du 24 janvier 2007 portant création de l'établissement public d'aménagement de Saint Etienne et notamment son article 3, VU l'arrêté du 18 juin 2013 du ministre de l'égalité des territoires et du logement nommant Mme Valérie WEBER- HADDAD, chargée de mission à la délégation interministérielle à l'aménagement du territoire et à l'attractivité régionale, représentant de l'Etat au titre de l'aménagement du territoire, en remplacement de Mme Christine COT au sein du conseil d'administration de l'EPASE, Sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture de la Loire,

ARRETE

Article 1er : La composition nominative du Conseil d'Administration de l'Etablissement Public d'Aménagement de Saint-Etienne (EPASE ) est la suivante :

 8 membres désignés par les ministères chargés respectivement de : • l'urbanisme : M. Jérôme MASCLAUX • des transports : M. Jean-Philippe DENEUVY • de l'aménagement du territoire : Mme Valérie WEBER-HADDAD en remplacement de Mme Christine COT • de l'économie : M. Alexandre MOULIN • du budget : Mme Marion OECHSLI • des collectivités locales : M. Patrick FERIN • du logement : Mme Claire LEPLAT • de la culture : M. Yves BELMONT

 un représentant de l'Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine : M. Philippe ESTINGOY

 9 membres représentant les collectivités territoriales et leurs établissements publics: • le maire de St Etienne : M. Maurice VINCENT • le maire de St Jean Bonnefonds : M. Jacques FRECENON • le président de St Etienne métropole ou son représentant : M. Raymond JOASSARD • le président du conseil général ou son représentant : M. Georges ZIEGLER • le président du conseil régional ou son représentant : M. Gérard LERAS • un représentant du conseil municipal de St Etienne : M. Florent PIGEON • un représentant de St Etienne métropole : M. Gérard MANET • un représentant du conseil général : M. Gilles ARTIGUES • un représentant du conseil régional : M. Jean-Louis GAGNAIRE

Article 2 : Est abrogé l'arrêté préfectoral n°140 du 13 mai 2013 constatant la composition nominative du Conseil d'Administration de l'Etablissement Public d'Aménagement de Saint-Etienne (EPASE).

Article 3 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et dont copie sera adressée à : • M. le ministre de l'économie et des finances, • Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie • Mme la ministre de l'Egalité des territoires et du Logement, • M. le ministre de l'intérieur, • M. le président du conseil d'administration de l'agence nationale pour la rénovation urbaine • Mmes et MM. les membres du conseil d'administration • M. le directeur de l'EPASE • M. le directeur départemental des finances publiques • Mme le receveur percepteur, comptable de l'EPASE • M. le directeur départemental des Territoires

Fait à Saint-Etienne, le 9 juillet 2013 signée Fabienne BUCCIO

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17 ARRETE N° 171 DU 15/07/2013 ACTANT LES RÉSULTATS DE FONCTIONNEMENT ET LES RÉSULTATS D'INVESTISSEMENT DES COMMUNAUTÉS AYANT FUSIONNÉ AU 1ER JANVIER 2013, EN APPLICATION DE L'ARTICLE 14 DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 438 DU 18 DÉCEMBRE 2012 PORTANT FUSION DE LA COMMUNAUTÉ D'AGGLOMÉRATION «GRAND ROANNE AGGLOMÉRATION» ET DES COMMUNAUTÉS DE COMMUNES DU PAYS DE LA PACAUDIÈRE, DE LA CÔTE ROANNAISE, DE L'OUEST ROANNAIS ET DU PAYS DE PERREUX, ET INTÉGRATION DE LA COMMUNE DE SAINT ALBAN LES EAUX La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales et notamment l'article 60 III, VU la loi n°2012-281 du 29 février 2012 visant à assouplir les règles relatives à la refonte de la carte intercommunale, VU l'article L 5211-41-3 III du code général des collectivités territoriales, VU les arrêtés préfectoraux du 27 novembre 1991 portant création du District de l'Agglomération Roannaise, du 9 décembre 1999 transformant le District en communauté d'agglomération dénommée « Grand Roanne Agglomération », du 23 octobre 2001, du 15 février 2002, du 15 décembre 2004, du 11 juin 2008 et 23 mai 2011 relatifs à la modification des statuts de la Communauté d'Agglomération « Grand Roanne Agglomération », VU l'arrêté préfectoral du 28 décembre 1994 portant création de la Communauté de Communes du Pays de la Pacaudière, modifié par les arrêtés du 10 janvier 1995, 11 avril 1996, 28 juin 2002 et 27 novembre 2002 ainsi que les arrêtés du 28 décembre 2004, 5 août 2005, 31 octobre 2008 et 4 novembre 2011 relatifs à la modification des statuts de la Communauté de Communes du Pays de la Pacaudière, VU l'arrêté préfectoral du 31 décembre 1998 portant création de la Communauté de Communes de la Côte Roannaise, et les arrêtés du 25 octobre 2000 et du 28 juin 2006 relatifs à la modification des statuts de la Communauté de Communes de la Côte Roannaise, VU l'arrêté préfectoral du 14 décembre 1993 portant création de la Communauté de Communes de l'Ouest Roannais, modifié par arrêtés du 8 juillet 1996, 18 septembre 1997, 11 juillet 2000, 22 décembre 2000, et 20 décembre 2002, l'arrêté du 24 décembre 2002 autorisant l'extension du périmètre de la communauté à la commune de , et les arrêtés du 15 mars 2004, 28 avril 2005, 28 août 2007 et 6 aout 2008 relatifs à la modification des statuts de la Communauté de Communes de l'Ouest Roannais, VU l'arrêté préfectoral du 28 décembre 1994 portant création de la Communauté de Communes du Pays de Perreux, modifié par arrêtés du 29 juin 2000 et du 5 octobre 2000, et les arrêtés du 18 septembre 2006 et du 9 octobre 2008 relatifs à la modification des statuts de la Communauté de Communes du Pays de Perreux, VU l'arrêté préfectoral du 28 décembre 2011 portant schéma départemental de coopération intercommunale de la Loire, VU l'arrêté préfectoral n°438 du 18 décembre 2012 portant fusion de la Communauté d'Agglomération « Grand Roanne Agglomération » et des Communautés de Communes du Pays de la Pacaudière, de la Côte Roannaise, de l'Ouest Roannais et du Pays de Perreux, et intégration de la commune de Saint Alban les Eaux, VU le courrier du 12 juin 2013 par lequel l'administrateur des finances publiques, receveur des finances de Roanne, a transmis à la préfète le tableau de consolidation des comptes des communautés ayant fusionné au 1er janvier 2013, qui comporte les résultats de clôture de l'exercice 2012 certifiés par les Trésoriers de Roanne Municipale, de Roanne Banlieue et de Renaison, Considérant qu'en application de l'article 14 de l'arrêté du 18 décembre 2012 susvisé, la Communauté d'Agglomération du Roannais reprendra les résultats de fonctionnement et les résultats d'investissement des communautés ayant fusionné, ces deux résultats étant constatés pour chacune d'entre elles au 1er janvier 2013, conformément au tableau de consolidation des comptes établi par les comptables publics, Sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture de la Loire,

ARRETE

Article 1er : Il est acté les résultats de fonctionnement et les résultats d'investissement des communautés ayant fusionné au 1er janvier 2013, à savoir : – la Communauté d'Agglomération « Grand Roanne Agglomération », – la Communauté de Communes du Pays de la Pacaudière, – la Communauté de Communes de la Côte Roannaise, – la Communauté de Communes de l'Ouest Roannais, – la Communauté de Communes du Pays de Perreux.

18 Article 2 : Les résultats sont constatés au 1er janvier 2013, pour chacune des communautés citées à l'article précédent, conformément au tableau de consolidation des comptes certifiés par les trésoriers de Roanne Municipale, de Roanne Banlieue et de Renaison,

Article 3 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON cedex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire et notification à la Communauté d'Agglomération du Roannais.

Article 4 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le sous-préfet de Roanne, le directeur départemental des finances publiques, le président de la Communauté d'Agglomération du Roannais, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et dont copie sera adressée à :

Fait à Saint-Etienne, le 15 juillet 2013 signée Fabienne BUCCIO

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ARRETE N° 172 DU 15/07/2013 ACTANT LES RÉSULTATS DE FONCTIONNEMENT ET LES RÉSULTATS D'INVESTISSEMENT DES COMMUNAUTÉS AYANT FUSIONNÉ AU 1ER JANVIER 2013, EN APPLICATION DE L'ARTICLE 14 DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N°305 DU 11 DÉCEMBRE 2012 PORTANT FUSION DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU PAYS DE CHARLIEU ET DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU CANTON DE BELMONT DE LA LOIRE La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales et notamment l'article 60 III, VU la loi n°2012-281 du 29 février 2012 visant à assouplir les règles relatives à la refonte de la carte intercommunale, VU l'article L 5211-41-3 III du code général des collectivités territoriales, VU l'arrêté préfectoral du 21décembre 1993 portant création de la communauté de communes du Canton de Belmont de la Loire et les arrêtés modificatifs des 17 mai 1995, 21 novembre 1995, 18 septembre 1996, 23 octobre 1998, 11 juillet 2000, 22 décembre 2000, 20 janvier 2003, 18 février 2005, 4 août 2005, 15 janvier 2009 et 25 juin 2012, VU l'arrêté préfectoral du 20 décembre 1993 portant création de la communauté de communes du Pays de Charlieu et les arrêtés modificatifs des 11 avril 1994, 10 janvier 1995, 19 septembre 1996, 19 juillet 2000, 28 septembre 2000, 22 décembre 2000, 10 décembre 2001, 21 novembre 2002, 30 mars 2005, 11 avril 2006 et 18 juillet 2011 et 5 décembre 2012, VU l'arrêté préfectoral du 28 décembre 2011 portant schéma départemental de coopération intercommunale de la Loire, VU l'arrêté préfectoral n°305 du 11 décembre 2012 portant fusion de la communauté de communes du Pays de Charlieu et de la communauté de communes du Canton de Belmont de la Loire, VU le courrier du 12 juin 2013 par lequel l'administrateur des finances publiques, receveur des finances de Roanne, a transmis à la préfète le tableau de consolidation des comptes des communautés ayant fusionné au 1er janvier 2013, qui comporte les résultats de clôture de l'exercice 2012 certifiés par le trésorier de Charlieu, Considérant qu'en application de l'article 14 de l'arrêté du 11 décembre 2012 susvisé, la Communauté de Communes du pays de Charlieu Belmont reprendra les résultats de fonctionnement et les résultats d'investissement des communautés ayant fusionné, ces deux résultats étant constatés pour chacune d'entre elles au 1er janvier 2013, conformément au tableau de consolidation des comptes établi par le comptable public. Sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture de la Loire,

ARRETE

Article 1er : Il est acté les résultats de fonctionnement et les résultats d'investissement des communautés ayant fusionné au 1er janvier 2013, à savoir : – la Communauté de communes du Pays de Charlieu, – la Communauté de communes du Canton de Belmont de la Loire .

Article 2 : Les résultats sont constatés au 1er janvier 2013, pour chacune des communautés citées à l'article précédent, conformément au tableau de consolidation des comptes certifiés par le trésorier de Charlieu.

19 Article 3 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON cedex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire et notification à la Communauté de communes du pays de Charlieu Belmont.

Article 4 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le sous-préfet de Roanne, le directeur départemental des finances publiques, le président de la Communauté de communes du pays de Charlieu Belmont, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et dont copie sera adressée à :

Fait à Saint-Etienne, le 15 juillet 2013 signée Fabienne BUCCIO

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ARRETE N° 189 DU 20/07/2013 PORTANT MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL DES EAUX DU FURAN (SIDEFU) La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d' Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

Vu le code général des collectivités territoriales et notamment ses articles L.5711-1 et suivants, L.5216-6 et L.5216- 7 ; Vu l'arrêté préfectoral du 28 décembre 2007 portant création du syndicat intercommunal des eaux du Furan (SIDEFU) ; Vu l'arrêté préfectoral du 30 décembre 2010 étendant le périmètre du SIDEFU à la commune de Roche le Molière ; Vu l'arrêté préfectoral du 15 février 2012 modifiant les statuts du SIDEFU ; Vu l'arrêté préfectoral du 8 novembre 2012 portant extension du périmètre de la Communauté d'Agglomération de Saint Etienne Métropole aux communes d'Andrézieux-Bouthéon et ; Considérant que le périmètre d'intervention du SIDEFU est inclus en totalité dans celui de Saint Etienne Métropole ; Considérant que la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole est substituée de plein droit pour la compétence assainissement collectif au SIDEFU ; Considérant que l'extension de périmètre de la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole à la commune de la Fouillouse a pour conséquence le retrait de la communauté d'agglomération et de la commune de la Fouillouse du SIDEFU ; Vu le courrier du préfet de la Loire en date du 13 décembre 2012 invitant le président du SIDEFU à mettre à jour les statuts du syndicat ; Vu la délibération du comité syndical du SIDEFU en date du 19 février 2013 approuvant la modification de ses statuts suite à l'extension de périmètre de la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole à la commune de la Fouillouse ; Vu les délibérations concordantes des conseils municipaux des communes de la Talaudière du 6 mai 2013, de l'Etrat du 14 mai 2013, de Saint-Christo-en-Jarez du 30 mai 2013, de Saint-Etienne et de Saint-Priest-en-Jarez du 3 juin 2013, de Villars du 17 juin 2013, de du 20 juin 2013, de Sorbiers du 3 Juillet 2013e et de Fontanès du 9 juillet 2013 approuvant les nouveaux statuts du SIDEFU ; Considérant qu'en absence de délibération dans un délai de trois mois à compter de la notification de la décision, l'avis est réputé favorable ; Considérant que les conditions requises par le code général des collectivités territoriales sont remplies ; Sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture de la Loire

ARRETE

Article 1er : Les statuts du SIDEFU sont modifiés.

Article 2 : Un exemplaire des statuts modifiés est annexé au présent arrêté.

Article 3 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Lyon (184 rue Duguesclin 69433 LYON cedex 03) dans un délai de 2 mois à compter de sa publication ou notification.

20 Article 4 : Le Secrétaire Général de la préfecture de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de l'Etat et dont copie sera adressée à :

- M. le Président du Syndicat Intercommunal des Eaux du Furan, - M. le Président de la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole, - M. le Maire de la Fouillouse, - Madame et Messieurs les maires des communes membres, - M. le Directeur Départemental des Finances Publiques de la Loire, - M. le percepteur de Saint-Etienne Banlieue, receveur du syndicat, - M. le Directeur Départemental des Territoires de la Loire.

Fait à Saint-Etienne le 20 juillet 2013 Pour la préfète et par délégation La Directrice de Cabinet signé: Carine TRIMOUILLE

SOUS-PREFECTURE DE ROANNE

ARRETE PREFECTORAL N° DT – 13 – 602 DU 27/06/2013 PORTANT SUR LE REGLEMENT PARTICULIER DE POLICE DE LA NAVIGATION SUR LA RETENUE DE VILLEREST La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d’Honneur, Officier de l’Ordre national du Mérite

VU la loi n° 78.773 du 12 juillet 1978 relative aux piscines et aux baignades aménagées ; VU la loi n° 92.3 du 3 janvier 1992 sur l’eau ; VU la loi n° 95.101 du 2 février 1995 relative au renforcement de la protection de l’environnement ; VU le décret n° 73.151 du 9 février 1973 concernant les contraventions applicables aux bateaux circulant ou stationnant sur les eaux intérieures ; VU le décret n° 73.912 du 21 septembre 1973 portant règlement général de police de la navigation intérieure et modifié par le décret n° 77.330 du 28 mars 1977 ; VU le décret du 18 avril 1977 déclarant d’utilité publique les travaux de construction du barrage de Villerest ; VU le décret n° 81.324 du 7 avril 1981 fixant les normes d’hygiène et de sécurité applicables aux piscines et aux baignades aménagées ; VU le décret n° 91.731 du 23 juillet 1991 relatif à l’équipage et à la conduite des bateaux circulant et stationnant sur les eaux intérieures ; VU l’arrêté interministériel du 7 avril 1981 relatif aux dispositions administratives applicables aux piscines et aux baignades aménagées ; VU l’arrêté ministériel du 3 juillet 1992 modifié relatif à la délivrance du certificat de capacité pour la conduite des bateaux de navigation intérieure ; VU l’arrêté ministériel du 25 septembre 1992 modifié par l’arrêté du 9 octobre 1985 relatif aux conditions d’inscription et d’apposition de marque extérieure d’identité des bateaux de plaisance circulant et stationnant sur les eaux intérieures ; VU l’arrêté préfectoral du 21 juin 1984 réglementant l’organisation de la sécurité des lieux de baignades publiques et le canotage ; VU l'arrêté préfectoral n° 13-27 du 6 juin 2013 portant délégation de signature au Sous Préfet de Roanne ; VU l’évaluation des incidences produite par la DDT de la Loire ; VU les observations du public suite à la mise à disposition du projet d'arrêté par voie électronique sur le site des services de l'Etat du 31 mai au 20 juin 2013 ; SUR PROPOSITION de Monsieur le Secrétaire général,

A R R E T E :

21 ARTICLE 1er : Portée du présent arrêté Sur le plan d’eau de Villerest, dans le département de la Loire, l’exercice de la navigation de plaisance, des activités sportives et touristiques est régi par le règlement général de police et le présent arrêté et les cartes annexées.

Le présent arrêté annule et remplace les arrêtés précédents : - du 28 janvier 1988 - du 19 octobre 1988 - du 13 juillet 1990 - du 27 juillet 2011 ainsi que tous les arrêtés modificatifs antérieurs à la date du présent arrêté.

ARTICLE 2 : Dispositions d’ordre général L’exercice de la navigation de plaisance et de toute activité sportive ou touristique exercée sur le plan d'eau est subordonné aux fonctions principales du barrage, écrêtement des crues et soutien des étiages et à la fonction secondaire qui est la production d’électricité.

ARTICLE 3 : Définition des différentes zones du plan d'eau Les conditions d’utilisation du plan d’eau sont réglées en tenant compte des périodes de l’année : 14 juin –10 septembre et 11 septembre-13 juin et des zones définies ci-après et selon les dispositions prévues par le schéma directeur d’utilisation du plan d’eau joint en annexe.

1/. Zone de sécurité du barrage : la zone comprise entre le barrage et une ligne située à 400 m en amont de l’ouvrage, matérialisée sur les rives droite et gauche en amont du barrage, est délimitée pour la sécurité du barrage. Dans cette zone la circulation et le stationnement des bateaux, véhicules nautiques à moteur, embarcations légères ou engins flottants, sont interdits à l'exception des services indiqués ci-dessous : Électricité de France (EDF) – Établissement Public Loire (EPL) - Gendarmerie - Sécurité Civile – Direction Départementale des Territoires (DDT) – Syndicat Mixte de la Retenue du Barrage de Villerest (SMRBV) - autres avec autorisation préfectorale.

2/. Bande de Rive : la zone continue d’une largeur de 20 m le long des rives, et en limite des zones de baignades, est dénommée bande de rive. Dans cette zone, la navigation est autorisée pour l’accostage et l’appareillage, c'est à dire à la perpendiculaire des rives. La vitesse de navigation est limitée à 5 km/h maximum.

3/. Zones de baignade : les zones de baignade sont délimitées côté plan d’eau par une ligne de bouées selon les dispositions réglementaires applicables ; la navigation y est interdite sauf pour raisons de secours, de police ou de surveillance.

4/. Chenal d'accès à la rampe de mise à l'eau de Villerest : ce chenal ne peut être utilisé que pour les embarcations au départ ou à destination de la rampe de mise à l'eau. La vitesse y est limitée à 5km/h, afin de ne créer aucun remous. Selon la saison, le chenal ne donne pas lieu dans tous les cas à une matérialisation par des bouées.

5/. Zone de navigation : Cette zone se situe de l’amont de la zone de sécurité de Villerest au nord au lieu-dit « le Grand Moulin » au niveau du pont de l'A89 au sud. Elle comporte plusieurs sous-secteurs définis par des limites supérieures de vitesse spécifiques, repérés sur le schéma directeur joint en annexe.

6/. Zone de pêche exclusive : • les 300 derniers mètres de la Goutte Lourdon ; • les 600 derniers mètres de la Goutte Fronde.

ARTICLE 4 : Baignade En dehors des zones où elle est totalement interdite et des zones aménagées où elle est surveillée, la baignade est pratiquée entièrement aux risques et périls de ceux qui s’y livrent, et sous réserve du résultat favorable des analyses de l’eau de la retenue. Les zones balisées de protection de baignade susceptibles d’être établies à l’intérieur de la bande de rive après autorisation préfectorale sont exclusivement réservées aux baigneurs. Au droit des plages et baignades aménagées, la surveillance de la baignade ne dispense pas les utilisateurs de prendre en tout temps les mesures de prudence indispensables.

22 Elle est interdite : • dans la zone des 400 mètres en amont du barrage dite zone de sécurité ; • à proximité des lieux de mise à l’eau ; • dans les emplacements signalés comme dangereux par arrêté municipal, il appartient aux communes riveraines de recenser les points dangereux et d’y installer des pancartes visibles mentionnant la nature des dangers ; • au-delà de la bande de rive sauf si les baigneurs sont accompagnés par une embarcation assurant leur sécurité et leur signalisation ; • dans la zone exclusive de pêche ; • dans la zone de vitesse maximum 50 km/h.

RÉGLEMENTATION DES ACTIVITÉS :

ARTICLE 5 : Autorisation de naviguer, titres du propriétaire et équipement des bateaux

Chaque bateau à moteur ou à voile et autres véhicules nautiques à moteur mis en circulation devra posséder l’équipement prévu par la réglementation nationale en vigueur en fonction de sa catégorie.

Pour toute embarcation motorisée supérieure à 6 CV circulant sur la retenue, le pilote devra être porteur du permis fluvial en cours de validité prévu par la réglementation nationale.

Pour des raisons d'étroitesse de certains tronçons, seront autorisées à circuler sur le plan d’eau de Villerest les embarcations d’une longueur inférieure à 12 m, hors dérogation spécifique.

ARTICLE 6 : Etat du plan d'eau et responsabilités

Les usagers navigants sont tenus de prendre à leurs frais toutes précautions appropriées pour éviter accidents et avaries, en particulier pour ce qui concerne les risques liés aux variations du niveau de l'eau, compte-tenu de la fonction première du barrage et la possibilité de flottants en surface ou entre deux-eaux, et à la suite de fortes pluies, de crues et débâcles :

a) la navigation sera interdite en dessous de la cote 291.00 NGF ; b) des témoins de niveau d'eau sont mis en place au niveau des rampes de mise à l'eau et dans les ports. Cet équipement est effectué par le syndicat des communes riveraines et sous sa responsabilité. c) le balisage des zones de baignade et des récifs sera contrôlé et remis éventuellement en état en début de saison nautique ainsi qu’après chaque crue de la Loire par le SMRBV et sous sa responsabilité. L'attention des usagers sera attirée sur le fait que ces bouées peuvent être immergées du fait des variations du plan d’eau.

ARTICLE 7 : Conditions de circulation

La vitesse sera réduite de façon à ne créer aucun remous au droit de chaque port, dans les gouttes, ainsi que lors de croisements ou dépassements d’embarcations en particulier à voiles ou à rames.

La vitesse sera réduite à 15 km /h par temps de brouillard (visibilité inférieure à 100 m) dans les zones 25 et 50 km/h.

La navigation de nuit est interdite sauf autorisation préfectorale dans le cadre de manifestation spéciale ou travaux réalisés par le concessionnaire.

Règles de route : Ordre de priorité pour la navigation en dehors des services de police, de gendarmerie et de sécurité civile : • bateau de sécurité de base nautique en cas de sauvetage • bateau à passagers • bateau à voile • bateau à rames • bateau à moteur

Dans chaque catégorie l’embarcation la plus lente a priorité sur l’embarcation la plus rapide.

23 Toute embarcation à moteur devra naviguer normalement en tenant sa droite.

Les embarcations exerçant du ski nautique devront respecter, dans leurs évolutions, un sens giratoire (sens inverse des aiguilles d’une montre).

Toute embarcation naviguant sur le plan d’eau devra posséder le matériel d’arrêt et de sécurité en vigueur prévu dans sa catégorie.

Conditions de limitation de vitesse suivant les périodes :

1. du 11 septembre au 13 juin :

* la vitesse est limitée à 5 km/h avec interdiction de créer des remous : - dans la bande de rive où la navigation ne peut s’effectuer que pour des raisons d’accostage ou d’appareillage ; - dans toutes les gouttes de la retenue. * la vitesse est limitée à 10 km/h : - de l'amont de la zone interdite jusqu’au lieu-dit Moreau (commune de Villerest) ; - du lieu-dit « Servol », commune de Saint-Jean-Saint-Maurice sur Loire, à l'amont de la retenue. * la vitesse est limitée à 25 km/h : - du lieu-dit Moreau, commune de Villerest, au lieu dit « Servol », commune de St Jean St Maurice sur Loire.

2. du 14 juin au 10 septembre :

* la vitesse est limitée à 5 km/h : - dans la bande de rive où la navigation ne peut s’effectuer que pour des raisons d’accostage ou d’appareillage ; - dans toutes les gouttes de la retenue. * la vitesse est limitée à 10 km/h : - de l’amont de la zone interdite au lieu-dit Moreau ; - du lieu dit « Servol », commune de St Jean-St Maurice sur Loire à l’amont du camping d’Arpheuilles ; - de l’aval du Château de la Roche à l’amont de la retenue. * la vitesse est limitée à 25 km/h : - du lieu-dit Moreau au lieu dit « Servol », commune de St Jean-St Maurice sur Loire ; - du camping d’Arpheuilles à l’aval du Château de la Roche. * La vitesse maximum de 50 km/h est autorisée pour toutes les embarcations à moteur ainsi que la pratique du ski nautique uniquement de 10 heures à 20 heures dans la zone comprise entre le lieu-dit la Gobertière et le lieu-dit Servol (commune de St Jean-St Maurice sur Loire). En dehors de ces horaires, la vitesse maximale autorisée est de 25 km/h.

Dans le tiers aval de cette zone, les Véhicules Nautiques à Moteur (VNM) seront autorisés à évoluer de façon sportive tout en respectant les règles de navigation.

La vitesse de toutes les embarcations à moteurs sera réduite de façon à ne créer aucun remous au droit de la mise à l’eau de Villerest, du port de la Caille, du port de Bully et du camping d’Arpheuilles.

ARTICLE 8 : Règles particulières à certains sports ou activités nautiques

Interdictions Les activités mentionnées ci-dessous sont interdites sur tout le plan d’eau de Villerest : • l’hydravion et assimilés ; • la pratique de la traction de bouées ou engins flottant et assimilés ; • le parachute ascensionnel et assimilé ; • la pêche subaquatique et la plongée subaquatique, sauf activités de sauvetage, d’entraînements des plongeurs de la Sécurité civile ou de la gendarmerie ou pour tous travaux lié à la gestion de la retenue ou des ouvrages, dans le respect de la signalisation et de la réglementation en vigueur.

24 Ski nautique et Véhicules Nautiques à Moteur (VNM) La pratique du ski nautique et des Véhicules Nautiques à Moteur (VNM) est autorisée à plus de 20 m des rives et uniquement dans la zone compatible avec ces activités.

Toutes les activités de plaisance et sportives non interdites peuvent s’exercer dans les limites et conditions générales définies dans l'arrêté aux risques et périls des pratiquants sans que la responsabilité de l’Administration ou d’EDF (Électricité de France) et d’EPL (Établissement Public Loire) puisse être engagée.

La pratique de toute activité reste subordonnée à l'application de la réglementation en vigueur

Tout usager du plan d'eau qui, lors de la pratique de son activité, causerait des dégradations/détériorations sur des biens en sera seul responsable et en supportera la totalité des frais de remise en état.

ARTICLE 9 : Définition du balisage des différentes zones du plan d'eau

Balisage bande de rive : La bande de rive ne donne pas lieu à une matérialisation par des bouées.

Balisage zones de baignade et protection : Il est interdit à tous bateaux, véhicules nautiques à moteur, planches à voiles et autres embarcations légères de s’approcher à moins de 20 mètres des zones de baignade, des pontons, tremplins ou installations similaires sauf en cas de sauvetage. Les zones de baignade sont matérialisées par des bouées jaunes réglementaires.

Balisage zone de sécurité du barrage : La zone de sécurité du barrage (400 m en amont) donne lieu à un balisage par des bouées coniques blanches. Un panneau rappelant l'interdiction est disposé sur chaque rive.

Balisage des hauts fonds et récifs: Les principaux récifs, dangereux ou pas selon la hauteur d'eau, sont balisés par des bouées réglementaires.

Autres balisages éventuels : • Mouillages et stationnements ; • Zones temporaires de régate ou de manifestation.

ARTICLE 10 : Stationnement et mouillage

Stationnement : Les associations ou particuliers disposant de bases ou appontements organisés pour la baignade, le ski nautique ou la navigation devront avoir passé une convention avec le propriétaire du foncier pour être locataires de ces emplacements.

Le propriétaire ou le gestionnaire du Domaine Public Fluvial pourra autoriser les particuliers à installer des piquets sur les parcelles faisant partie de son domaine pour permettre l’amarrage des bateaux.

Toutes les installations devront permettre le libre passage des piétons le long de la retenue. Les permissionnaires devront assurer ce passage ou le rétablir à l’aide de tout dispositif agréé par la Direction Départementale des Territoires dans le cas où leurs installations ne permettraient pas le passage sur les berges.

Mouillage : Le mouillage au niveau des méandres, dans les passes étroites ou dans les bras morts (gouttes) repérés par des limitations de vitesse, est interdit à l'exception de la bande de rive.

En aucun cas les arbres ou toute installation non dédiée ne devront être utilisés pour l'amarrage.

ARTICLE 11 : Rampes de mise à l'eau et entretien des fonds

Le nombre de rampes de mise à l'eau et leur usage est réglementé :

25 - Rampes autorisées à toutes embarcations légères, navires et véhicules nautiques à moteur : - base de Villerest (rive gauche) - port de Bully (rive gauche) - port de la Caille (rive gauche)

- Autre rampes autorisées pour embarcations légères : - Arpheuilles (rive gauche) - Matrat (rive droite) - la Roche (rive droite) - la Vourdiat (rives droite et gauche)

Le Syndicat Mixte de la Retenue du Barrage de Villerest (SMRBV) assurera l'affichage de ces restrictions au niveau des rampes.

ARTICLE 12 : Restrictions temporaires et manifestations ponctuelles

Des restrictions temporaires à la navigation pourront être arrêtées par la préfecture.

Les manifestations sportives, fêtes nautiques, et autres activités collectives ne peuvent avoir lieu qu'après autorisation préfectorale. La demande devra être formulée à la préfecture deux mois avant la date prévue pour la manifestation.

ARTICLE 13 : La signalisation des différents points nommés ci-dessous devra être mise en place et entretenue par le Syndicat Mixte de la Retenue du Barrage de Villerest (SMRBV) :

- les récifs situés dans la zone de navigation et les limites de cette même zone - les limitations de vitesse ou de remous - les noms des gouttes et des ponts - la zone de sécurité interdite à toutes activités - les mises à l’eau et au droit les panneaux d'affichage du présent arrêté - les zones de baignade - les dispositifs d'information sur les hauteurs du plan d’eau.

ARTICLE 14 : Transport de passagers

Aucun service de transport en commun des voyageurs par bateaux sur la retenue de Villerest ne pourra être organisé sans autorisation de la préfecture .

ARTICLE 15 : Installations et balisages divers

Chaque appareil de signalisation devra porter le nom et l’adresse de son propriétaire qui demeurera responsable des accidents qu’il pourrait provoquer par un défaut d’amarrage en particulier.

Les pontons ainsi que les bouées de sauvetage mouillés à plus de vingt mètres de la rive devront être équipés d’un dispositif réfléchissant agréé, les rendant nettement visibles la nuit.

ARTICLE 16 : Mesures de publicité

Le présent arrêté sera publié et affiché par les maires des communes intéressées en lieu et place des panneaux d’affichage des actes administratifs. Il sera en outre affiché par le Syndicat Mixte de la Retenue du Barrage de Villerest aux abords des zones de mise à l'eau.

Il est disponible : • dans les mairies riveraines de la retenue, • aux bases nautiques ou ports.

ARTICLE 17 : Sanctions

Les infractions aux présentes dispositions seront constatées et poursuivies conformément aux lois et règlements en vigueur.

26 ARTICLE 18 : Ampliations

- Monsieur le secrétaire général de la Préfecture de la Loire, - Monsieur le sous-préfet de Roanne, - Mesdames et Messieurs les maires des communes riveraines, - Monsieur le commandant du Groupement de Gendarmerie de la Loire, - Monsieur le directeur départemental des Territoires de la Loire, - Monsieur le directeur départemental des Services d’Incendie et de Secours de la Loire, - Monsieur le directeur départemental de la Cohésion sociale, - Monsieur le directeur d’Electricité de France Energie Rhône - Auvergne à Lyon, - Monsieur le directeur régional de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement, - Monsieur le directeur de l'établissement public Territorial de Bassin Loire sont chargés chacun en ce qui les concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Roanne, le 27 juin 2013 La Préfète de la Loire, par délégation, Le Sous-Préfet de Roanne Jérôme DECOURS

Délais et voies de recours : le présent arrêté pourra être contesté devant le tribunal administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de sa publication Les cartes annexées au présent arrêté peuvent être consultées à la Sous-Préfecture de Roanne.

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ARRETE PREFECTORAL N° DT–13-603 DU 27/06/2013 PORTANT REGLEMENT DE POLICE DE LA NAVIGATION DE PLAISANCE ET DES ACTIVITES SPORTIVES ET TOURISTIQUES SUR LE PLAN D'EAU DU BARRAGE DE ROANNE ET DE SES ABORDS La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite

Vu la loi n° 78-773 du 12 juillet 1978 relative aux piscines et aux baignades aménagées ; Vu la loi n° 92-3 du 3 janvier 1992 sur l'eau ; Vu la loi n° 95-101 du 2 février 1995 relative au renforcement de la protection de l'environnement ; Vu le décret n° 73-912 du 21 septembre 1973 portant règlement général de la police de la navigation intérieure et modifié par le décret n° 77-330 du 28 mars 1977 ; Vu le décret n° 81-324 du 7 avril 1981 fixant les normes d'hygiène et de sécurité applicables aux piscines et aux baignades aménagées ; Vu le décret n° 91-731 du 23 juillet 1991 relatif à l'équipage et à la conduite des bateaux circulant et stationnant sur les eaux intérieures ; Vu l'arrêté ministériel du 3 juillet 1992 modifié relatif à la délivrance du certificat de capacité pour la conduite des bateaux de navigation intérieure ; Vu l'arrêté préfectoral du 21 juin 1984 réglementant l'organisation de la sécurité des lieux de baignades publiques et le canotage ; Vu l'arrêté préfectoral du 12 décembre 2011 approuvant le document d'objectifs du FR 8201765 ; Vu l'arrêté préfectoral n° 13 – 27 du 6 juin 2013 portant délégation de signature au Sous Préfet de Roanne ; Vu l'évaluation des incidences produite par la DDT de la Loire ; Vu les observations du public suite à la mise à disposition du projet d'arrêté par voie électronique sur le site des services de l'Etat du 31 mai au 20 juin 2013 ; Considérant que le plan d'eau de Roanne est situé en milieu urbain, dans un secteur très proche d'une zone résidentielle, et qu'il est donc nécessaire de limiter les nuisances liées au bruit ; Considérant que la pratique d'activités nautiques non motorisées sur ce plan d'eau doit, compte-tenu de sa configuration, être encadrée afin d'assurer la protection des personnes et des biens ; Considérant que ce plan d'eau est situé à l'intérieur du site Natura 2000, que ce site héberge une mosaïque d'habitants alluviaux dont la conservation nécessite la protection de la ripisylve et des berges, qu'il héberge également des espèces sensibles au bruit ;

27 A R R E T E

Article 1 er : Sur le plan d'eau de Roanne, dans le département de la Loire, l'exercice de la navigation de plaisance, des activités sportives et touristiques est régi par le règlement général de police et le présent arrêté. Le présent arrêté annule et remplace les arrêtés précédents.

Article 2 : Les activités nautiques motorisées sont interdites dans la zone de 50 m en amont du barrage et lors d'un débit de la Loire supérieur à 80 m3/s.

Article 3 : La baignade est interdite sur l'ensemble du plan d'eau.

Article 4 : La plongée subaquatique est interdite sur toute la retenue sauf travaux dans le respect des procédures de plongée édictées par les ministères de tutelle.

Article 5 : Sont autorisées les activités non motorisées, notamment la pratique de l'aviron, du kayak, de la joute (et l'embarcation motorisée assurant la sécurité des évolutions) et de la pêche en barque.

Article 6 : Toutes les activités nautiques sont interdites de nuit sur l'ensemble de la retenue.

Article 7 : La navigation des engins motorisés est autorisée uniquement pour effectuer des interventions d'urgence, de sécurité rapprochée des utilisateurs cités article 5, et d'entretien du plan d'eau et des berges. La plongée est autorisée en cas de sauvetage et lors d'entraînement des plongeurs de la sécurité civile.

Article 8 : Toutes les demandes de dérogation au présent arrêté seront déposées auprès de la Sous-Préfecture de Roanne et feront l'objet d'une évaluation d'incidence.

Article 9 : Les manifestations sportives, fêtes nautiques et autres activités collectives ne peuvent avoir lieu qu'après autorisation préfectorale. La demande devra être formulée à la préfecture deux mois avant la date prévue pour la manifestation.

Article 10 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Sous-Préfet de Roanne et Monsieur le Directeur Départemental des Territoires de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Roanne, le 27 juin 2013 La Préfète de la Loire, par délégation, Le Sous-Préfet de Roanne Jérôme DECOURS

Délais et voies de recours : cette décision peut être déférée au tribunal administratif de Lyon ; le délai de recours est de deux mois à compter de la date de notification du présent arrêté.

SOUS-PREFECTURE DE MONTBRISON

ARRÊTÉ N° 13/93 DU 14/06/2013 PORTANT RENOUVELLEMENT DE L'HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNÉRAIRE La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Général des Collectivités Territoriales ; VU la loi n° 93-23 du 8 Janvier 1993 relative à la législation dans le domaine funéraire ; VU le décret n° 95-330 du 21 Mars 1995 relatif aux modalités et à la durée de l'habilitation dans le domaine funéraire ;

28 VU l'arrêté préfectoral n° 13-10 du 5 février 2013 donnant délégation de signature à M. Jean Michel PORCHER, sous-préfet de Montbrison ; VU l'arrêté n° 2012/80 du 19 juin 2012 habilitant M. Grégory MARIANI, gérant de la société POMPES FUNEBRES MARIANI, sise 9 rue Emile Reymond à SURY-LE-COMTAL à exercer sur l'ensemble du territoire les activités funéraires de transport de corps avant et après mise en bière, d'organisation des obsèques, de soins de conservation, de fourniture des housses, des cercueils et de leurs accessoires intérieurs et extérieurs ainsi que des urnes cinéraires, de fourniture des corbillards et des voitures de deuil, de fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations et crémations ; VU la demande présentée le 3 juin 2013 par M. Grégory MARIANI, gérant de la société POMPES FUNEBRES MARIANI, sise rue 9 rue Emile Reymond à SURY-LE-COMTAL, aux fins d'obtenir l'habilitation funéraire ; VU les pièces du dossier ;

A R R E T E

Article 1er : M. Grégory MARIANI, gérant de la société POMPES FUNEBRES MARIANI, sise 9 rue Emile Reymond à SURY-LE-COMTAL, est habilité pour exercer sur l'ensemble du territoire les activités funéraires suivantes : ➢ Transport de corps avant mise en bière ➢ Transport de corps après mise en bière ➢ Organisation des obsèques ➢ Fourniture des housses, des cercueils et de leurs accessoires intérieurs et extérieurs, ainsi que des urnes cinéraires ➢ Fourniture des corbillards et des voitures de deuil ➢ Fourniture de personnel, objets et prestations nécessaires aux obsèques, inhumations, exhumations et crémations.

Article 2 : Le numéro de l'habilitation est (13) 12-42-01-2.

Article 3 : La durée de la présente habilitation est valable pour une durée de UN AN.

Article 4 : M. le Sous-Préfet de MONTBRISON est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Montbrison, le 14 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation, Le Sous-Préfet Jean-Michel PORCHER

AUTRES SERVICES DE L'ETAT DANS LE DEPARTEMENT

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES

ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-466 DU 24/06/2013 DÉFINISSANT LES NORMES USUELLES ET LES RÈGLES RELATIVES AUX BONNES CONDITIONS AGRICOLES ET ENVIRONNEMENTALES DES TERRES DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite

Vu le règlement (CE) n° 1698/2005 du Conseil du 20 septembre 2005 modifié concernant le soutien au développement rural par le fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER) ; Vu le règlement (CE) n° 65/2011 de la Commission du 7 décembre 2006 portant modalités d’application du règlement (CE) n° 1698/2005 du Conseil en ce qui concerne l’application de procédures de contrôle et de conditionnalité pour les mesures de soutien au développement rural ;

29 Vu le règlement (CE) n° 1974/2006 de la Commission du 15 décembre 2006 portant modalités d’application du règlement (CE) n° 1698/2005 du Conseil concernant le soutien au développement rural par le Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER) ; Vu le règlement (CE) n° 1234/2007 du Conseil du 22 octobre 2007 portant organisation commune des marchés dans le secteur agricole et dispositions spécifiques en ce qui concerne certains produits de ce secteur (dit règlement «OCM unique») Vu le règlement (CE) n° 73/2009 du Conseil du 19 janvier 2009 établissant des règles communes pour les régimes de soutien direct en faveur des agriculteurs dans le cadre de la politique agricole commune et établissant certains régimes de soutien en faveur des agriculteurs, modifiant les règlements (CE) no 1290/2005, (CE) no 247/2006 et (CE) no 378/2007, et abrogeant le règlement (CE) no 1782/2003 ; Vu le règlement (CE) n° 1120/2009 de la Commission du 29 octobre 2009 portant modalités d’application du régime de paiement unique prévu par le titre III du règlement (CE) n° 73/2009 du Conseil établissant des règles communes pour les régimes de soutien direct en faveur des agriculteurs dans le cadre de la politique agricole commune et établissant certains régimes de soutien en faveur des agriculteurs Vu le règlement (CE) n° 1121/2009 de la Commission du 29 octobre 2009 portant modalités d’application du règlement (CE) n° 73/2009 du Conseil en ce qui concerne les régimes d’aide en faveur des agriculteurs prévus aux titres IV et V dudit règlement ; Vu le règlement (CE) n° 1122/2009 de la Commission du 30 novembre 2009 fixant les modalités d’application du (CE) n° 73/2009 du Conseil en ce qui concerne la conditionnalité, la modulation et le système intégré de gestion et de contrôle dans le cadre des régimes de soutien direct en faveur des agriculteurs prévus par ce règlement ainsi que les modalités d’application du règlement (CE) n° 1234/2007 du Conseil en ce qui concerne la conditionnalité dans le cadre du régime d’aide prévu pour le secteur vitivinicole; Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment les sections 4 et 5 du chapitre Ier du titre IV du livre III, la section 4 du chapitre V du titre I du livre VI (partie réglementaire) et les articles D.665-17 et D.615-12 ; Vu le code de l'environnement, notamment les articles L. 214.1 à L. 214.6 et L. 214-8 ; Vu l’arrêté du 26 mars 2004 relatif au report de la date de broyage et de fauchage de la jachère de tous terrains à usage agricole ; Vu l’arrêté modifié du 13 juillet 2010 relatif aux règles de bonnes conditions agricoles et environnementales; Vu l’arrêté modifié du 16 décembre 2010 fixant certaines modalités d’application pour la mise en œuvre de certains régimes de soutien en faveur des producteurs dans le cadre de la politique agricole commune, Vu l'arrêté préfectoral n° DT-10-113 portant définition des cours d'eau devant être bordés par des bandes tampons au titre des Bonnes Conditions Agricoles et Environnementales (BCAE), Vu l’avis de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture Section Economie et Structures en date du 13/06/2013, Sur proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

TITRE I Bonnes conditions agricoles et environnementales

Article 1er : Bande tampon – cours d'eau:

1°- Selon la réglementation en vigueur au titre de la conditionnalité, les cours d'eau correspondent à ceux figurant en bleu sur les cartes IGN au 1/25 000ème tel que définis dans l'arrêté préfectoral n° DT-10-113 du 24 mars 2010 sus- visé.

Le long des cours d'eau, la largeur des surfaces en couvert environnemental mentionnée au 2ème alinéa de l'article D615-46 du code rural et de la pêche maritime doit être au minimum de 5 mètres à partir du haut de la berge du cours d'eau en question.

Article 2: Bande tampon – couverts autorisés:

En application du 2° de l’arrêté du 13 juillet 2010 susvisé, la liste des espèces herbacées et des dicotylédones autorisées comme bande tampon le long des cours d’eau figure en annexe II.

La liste des espèces considérées comme invasives en application du 1° de l’article 2 de l’arrêté du 13 juillet 2010 figure en annexe IV.

30 Article 3 : Bande tampon – modalités d'entretien:

Les bandes tampons respectent les modalités d’entretien précisées par l’article D.615-46 du code rural et de la pêche maritime et l’article 3 de l’arrêté du 13 juillet 2010 visé ci-dessus. Les bandes tampons respectent les modalités d’entretien des surfaces pour lesquelles elles sont déclarées.

En application du 3° de l’arrêté du 13 juillet 2010, le broyage et le fauchage des surfaces en bande tampon sont interdits sur une période de 40 jours consécutifs entre le 15 mai 2013 et le 23 juin 2013 inclus. Toutefois la surface en bande tampon localisée sur des parcelles déclarées en herbe (prairies temporaires, prairies permanentes, estives, landes et parcours) n’est pas concernée par cette interdiction.

Article 4 : Diversité de l’assolement : En application du 4° de l’article 4 de l’arrêté du 13 juillet 2010 susvisé, les dispositions de l’arrêté préfectoral EA-09- 627 portant sur le 4ème programme d’action à mettre en oeuvre en vue de la protection des eaux contre la pollution par les nitrates d’origine agricole et relatif à l’implantation d’un couvert hivernal et la gestion des résidus de culture s’applique en cas de non respect de la BCAE “diversité des assolements”.

Article 5 : Règles minimales d'entretien des terres:

En application de l’article D.615-50 du code rural et de la pêche maritime, les règles d’entretien des terres sont détaillées à l’annexe I.

Article 6 : Maintien des particularités topographiques:

En application du 3° de l’article 8 de l’arrêté du 13 juillet 2010, la largeur maximale d’une haie pouvant être retenue comme particularité topographique est fixée à 4 mètres.

En application du 3° de l’article 8 de l’arrêté du 13 juillet 2010, la largeur maximale d’une bande tampon pouvant être retenue comme particularité topographique est fixée à 5 mètres.

Sont considérés comme particularité topographique, les éléments figurant dans la liste de l'annexe V. A chaque particularité topographique correspond une valeur de surface équivalente topographique (annexe V).

Les règles d’entretien des éléments retenus comme particularités topographiques figurent en annexe III.

Article 7 : BCAE herbe – exigences de productivité minimale:

En application du premier tiret de l’article 9 de l’arrêté du 13 juillet 2010, le chargement minimal est fixé à 0,05 UGB/ha pour les estives collectives et à 0,2 UGB/ha pour le reste du département.

En application du deuxième tiret du 1° de l’article 9 de l’arrêté du 13 juillet 2010, le rendement minimal des surfaces de référence en herbe pour les exploitations commercialisant tout ou partie de leur production herbagère est fixée à 3 tonnes de MS/ha.

Aucune productivité minimale n'est exigée pour les parcelles engagées dans un engagement agro-environnemental de reconversion des terres arables ou dont le cahier des charges n'exige pas de productivité minimale.

TITRE II Déclaration de surfaces - Modalités de prise en compte des normes usuelles

Article 8 : Les usages locaux applicables aux surfaces bénéficiant d'un régime de soutien aux producteurs de certaines cultures arables sont fixés comme suit:

La superficie exploitée des parcelles est prise en compte, y compris les haies, dès lors que celles-ci ne dépassent pas 4 mètres de largeur totale (la largeur de la haie est mesurée à hauteur d'homme).

Dans le cas où la haie se situe en bords de cours d'eau, la superficie graphique de la parcelle sera prise en compte si la largeur de la haie mesurée à partir du bord de la berge n'excède pas 4 mètres.

31 La superficie exploitée des parcelles est prise en compte, y compris les fossés, dès que ceux-ci ne dépassent pas 2 mètres de largeur totale.

La superficie exploitée des parcelles est prise en compte, y compris les murets, dès que ceux-ci ne dépassent pas 2 mètres de largeur totale.

Dans tous les cas, la largeur cumulée de ces éléments fixes du paysage ne doit pas dépasser 4 mètres.

En outre, les espaces nécessaires au passage des équipements et matériels utiles à la conduite normale des cultures sont également à prendre en compte dans la superficie des parcelles exploitées.

Sont visés pour les cultures irriguées: • les passages d'enrouleurs utilisés pour l'irrigation, • les dégagements appelés communément "fourrières", utilisés pour déplacer et mettre en place les matériels d'irrigation

Compte-tenu des avantages agronomiques du compost et de son développement en agriculture, il est accepté la présence d’andains de fumier ayant pour vocation le compostage dans la limite de 3% de la surface de la parcelle.

Article 9 : Les usages locaux applicables aux surfaces fourragères éligibles sont ainsi définis:

Compte tenu de la géographie, de la qualité des paysages et de la biodiversité du département, différents types de surfaces fourragères exploitées peuvent être éligibles dés lors qu’elles permettent l’alimentation effective des animaux et qu’elles sont accessibles aux animaux. Les caractéristiques des surfaces fourragères admissibles sont ainsi définis :

Les prairies temporaires : c’est une culture d’herbe sur une terre labourable. La présence de refus, broussailles ou ligneux de manière diffuse est tolérée jusqu’à 5% de la surface de la parcelle.

Les prairies permanentes : surfaces en herbe pâturées et/ou fauchées ayant une productivité très saisonnée, à durée souvent illimitée (hors système de rotation des cultures) mais pouvant faire l’objet de rénovation régulière. La présence de refus, broussailles ou ligneux de manière diffuse est tolérée jusqu’à 5% de la surface de la parcelle pour les prairies mécanisables et 10% pour les prairies non mécanisables. si les parties ligneuses sont par endroit suffisamment denses pour empêcher le pâturage des animaux, elles doivent être exclues de la surface fourragère.

Les prairies humides : Elles sont caractérisées par une végétation adaptée (jonc, carex…) potentiellement inondables, gorgées d’eau ou de mouillères et sont comprises dans les surfaces en prairies permanentes.

Les landes et parcours : surfaces rarement mécanisables, pouvant développer plusieurs strates de végétations (herbes, arbustes, arbres). Elles sont utilisées pour le pâturage avec une productivité faible mais offrant des ressources alimentaires variées. La présence de refus, broussailles ou ligneux de manière diffuse est tolérée jusqu’à 25% de la surface de la parcelle. Les mares, les trous d’eau, ainsi que les affleurements rocheux peuvent être inclus dans la parcelle culturale déclarée dans la limite de 10% de la surface totale de la parcelle.

Les estives : surface toujours en herbe constituée par des pâturages d’altitude formant une unité géographique d’un seul tenant pouvant être relativement importante et utilisée de mai à octobre pour le pâturage des animaux. Dans ce type de surface, la présence d’affleurements rocheux, de refus et/ou ligneux arbustifs de manière diffuse sera tolérée dans la limite de 25% de la surface totale de la parcelle culturale.

Dans les surfaces fourragères peu productives (landes, parcours, estives, alpages …), les airelles (Vaccinium myrtillus (myrtilles) et Vaccinium vitis ideae) et les callunes (calluna vulgaris) sont considérées comme des surfaces fourragères éligibles aux aides , hors Prime Herbagère Agroenvironnementale productive (PHAE2), dès lors qu’elles sont effectivement pâturées et ne sont de ce fait pas concernées par les seuils définis ci-dessus.

Fougères aigle : Le contrôle et la maîtrise des fougères est indispensable pour maintenir les surfaces fourragères et donc l’intérêt pas- toral des parcelles. Pour cela, différentes méthodes de lutte existent et certaines demandent que les fougères aient at- teint leur taille maximale pour être efficaces, notamment lorsque l'intervention est mécanique

32 De ce fait, il pourra être accepté la présence de fougères dans les surfaces fourragères dans les conditions suivantes : • Conditions d'admissibilité et d'éligibilité : Dans les surfaces fourragères autres que prairies temporaires, la présence de fougères peut être acceptée sous la condition suivante : • la présence d'une ressource fourragère, sous les fougères doit obligatoirement être constatée, • Conditions du maintien des terres en de Bonnes Conditions Agricoles et Environnementales (BCAE) : • Absence d'un tapis de fougères aigle sèches conséquent et uniforme, • Un entretien doit être réalisé avant le 30 septembre de l’année par lutte chimique ou mécanique (broyage, fauchage, rouleau brise-fougère, bastonnade), • L’exploitation de ces surfaces par les animaux doit être effective (traces d'abroutissement, passages, féces).

Vergers pâturés : Les prairies permanentes sous couvert d’arbres fruitiers haute tige peuvent être déclarées en surfaces fourragères aux conditions suivantes : • Vergers de plein vent, les 1ères branches partant du tronc à plus de 2 mètres du sol ; • Une densité de plantation maximale de 120 arbres/ha; • Aucun travail du sol au pied des arbres ou entre les rangs ; • Le développement du couvert fourrager est homogène et pâturable ; • Aucune installation technique permanente d’entretien du verger (palissage, irrigation…) ; • La parcelle est pâturée (trace de pâturage) ; Dans le cas contraire, la parcelle sera considérée comme verger.

Article 10 : Les usages locaux applicables aux surfaces fourragères éligibles concernées par une mesure agroenvironnementale (MAE) sont ainsi définis:

Certains programmes de mesures agroenvironnementales (MAE) concernent des zones à pâturages très extensifs. Il convient de garder « ouverte » la totalité du parc de pâturage alors que l’on trouve dans le parc, à la fois des parties en pelouses ou prairies peu productives et des parties très embroussaillées : au delà de 25 % de ligneux. Ces surfaces pourront être retenues par l’opérateur lors de l’élaboration du diagnostic, en cohérence avec le cahier des charges de la mesure agroenvironnementale proposée. L’engagement dans une MAE des parties du parc comportant plus de 25 % de ligneux est possible si les animaux peuvent traverser cette zone et ont ainsi accès aux parties du parc qui sont pâturées. Le socle PHAE de la mesure sera adapté en fonction de la productivité moyenne du parc. Au niveau de la déclaration de surfaces, les parties pâturées sont déclarées en surfaces fourragères, les parties comprenant plus de 25 % de ligneux sont à déclarer « hors culture » (HC).

Article 11 : Les usages locau x applicables aux surfaces en vignes:

Les surfaces suivantes peuvent être prises en compte dans la surface de la parcelle: • les tournières dans la limite de 10 mètres, • les charrois (chemins de desserte des vignes) d'une largeur maximum de 4 mètres, • lorsque les limites de la parcelle ne sont pas visibles, la surface mesurée est alors la surface de cep à cep augmentée d'une bordure égale à un demi intervalle, dans la limite de 5 mètres à partir du pied du cep, • les haies en bordure de parcelle, les fossés, les murets et bords de cours d'eau peuvent être pris en compte, dans les limites définies à l'article 1.

En revanche, les surfaces suivantes doivent être exclues de la surface à déclarer: • les surfaces consacrées à un autre usage (bâtiment, aires de chargement et de remplissage) • les tournières au-delà de 10 mètres, • les charrois au-delà de 4 mètres

TITRE III Dispositions finales

Article 12 : L'arrêté préfectoral n° DT-12-395 du 21 juin 2012 définissant les usages locaux, les surfaces éligibles, l’entretien des jachères et fixant les règles relatives aux bonnes conditions agricoles et environnementales des terres du département de la Loire est abrogé.

33 Article 13 : Outre les recours gracieux et hiérarchiques qui peuvent s'exercer dans un délai de 2 mois, le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon, dans un délai de 2 mois à compter de la publication au recueil des actes administratifs, ou en cas de recours gracieux ou hiérarchique, à compter de la réponse ou du rejet implicite de l'autorité compétente

Article 14 : Le directeur départemental des territoires est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de l’Etat dans le département de la Loire.

Saint-Etienne, le 24 juin 2013 La Préfète, Fabienne BUCCIO

Les annexes peuvent être consultées à la Direction Départementale des Territoires – 2 avenue Grüner – CS 90509 – 42007 SAINT-ETIENNE CEDEX 1.

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ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° DT- 13-608 DU 25/06/2013 RELATIF RELATIF À LA RECONNAISSANCE DE CIRCONSTANCES EXCEPTIONNELLES SUITE AUX INTEMPÉRIES DU PRINTEMPS 2013 POUR LES MESURES AGROENVIRONNEMENTALES (MAE) La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'ordre national du mérite

Vu le règlement (CE) n° 1290/2005 du Conseil du 21 juin 2005 relatif au financement de la politique agricole commune ; Vu le règlement (CE) n° 1698/2005 du Conseil du 20 septembre 2005 concernant le soutien au développement rural par le Fonds européen agricole pour le développement rural (Feader), notamment son article 39 ; Vu le règlement (UE) n° 65/2011 de la Commission du 27 janvier 2011 portant modalités d’application du règlement (CE) n° 1698/2005 du Conseil en ce qui concerne l’application de procédures de contrôle et de conditionnalité pour les mesures de soutien au développement rural ; Vu le règlement (CE) n° 1974/2006 de la Commission du 15 décembre 2006 portant modalités d’application du règlement (CE) n° 1698/2005 du Conseil, et notamment son article 47 ; Vu le règlement (CE) no 73/2009 du Conseil du 19 janvier 2009 établissant des règles communes pour les régimes de soutien direct en faveur des agriculteurs dans le cadre de la politique agricole commune et établissant certains régimes de soutien en faveur des agriculteurs, modifiant les règlements (CE) no 1290/2005, (CE) no 247/2006 et (CE) no 378/2007, et abrogeant le règlement (CE) no 1782/2003, et notamment son article 31 ; Vu le code rural et des pêches maritimes, et notamment son article D.341-17 ; Vu le décret n° 2007-1342 du 12 septembre 2007 relatif aux engagements agroenvironnementaux et modifiant le code rural ; Vu l’arrêté du 12 septembre 2007 modifié relatif aux engagements agroenvironnementaux ; Sur proposition du Directeur départemental des territoires de la Loire,

ARRETE

ARTICLE 1er : En application de l'article D. 341-17 du Code rural et des pêches maritimes, les accidents de culture intervenus dans la zone géographique décrite à l'article 3 de ce présent arrêté sont reconnus au titre d'une situation de circonstances exceptionnelles du fait des intempéries du printemps 2013.

ARTICLE 2 : La reconnaissance de circonstances exceptionnelles permet le paiement des aides agroenvironnementales pour les surfaces concernées dans la mesure où les surcoûts liés au cahier des charges des MAE ont d'ores-et-déjà été supportés.

ARTICLE 3 : Les zones concernées par cette reconnaissance de circonstances exceptionnelles sont jointes en annexe.

34 ARTICLE 4 : Les exploitants concernés par ces circonstances exceptionnelles doivent en informer par écrit la Direction départementale des territoires de la Loire, dans un délai de 10 jours après publication de cet arrêté. Cette déclaration peut être réalisée de manière collective par les organismes de conseil ou les opérateurs agroenvironnementaux.

ARTICLE 5 : Le Secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental des territoires sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la préfecture.

Fait à Saint Etienne, le 25 juin 2013 Pour le Directeur Le Directeur adjoint Jacques DUMEZ

Cette décision peut être contestée dans les deux mois suivant son affichage ou sa publication : - par recours gracieux auprès de l'auteur de la décision ou par recours hiérarchique adressé au ministre en charge de l'agriculture. (L'absence de réponse dans un délai de deux mois fait naître une décision implicite de rejet qui peut être déférée au tribunal administratif dans les deux mois suivants.) - par recours contentieux devant le tribunal administratif.

ZONES CONCERNÉES PAR LA RECONNAISSANCE DE CIRCONSTANCES EXCEPTIONNELLES EN FONCTION DES MAE SOUSCRITES

MAE rotationnelles : Les communes concernées sont CHAMBEON, CUZIEU, PONCINS et RIVAS. MAET avec l’engagement unitaire PHYTO_04. Il s’agit des MAET COISE, Plaine du Forez et Piémont du Forez et Haut Anzon. L’ensemble des territoires de ces MAET sont concernés.

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ARRETE PREFECTORAL N° DT 13-607 DU 25/06/2013 MODIFIANT L’ARRÊTÉ PRÉFECTORAL 13-466 DU 24 JUIN 2013 DÉFINISSANT LES NORMES USUELLES ET LES RÈGLES RELATIVES AUX BONNES CONDITIONS AGRICOLES ET ENVIRONNEMENTALES DES TERRES DU DÉPARTEMENT DE LA LOIRE La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite

Vu le règlement (CE) n° 1122/2009 de la Commission du 30 novembre 2009 fixant les modalités d’application du (CE) n° 73/2009 du Conseil en ce qui concerne la conditionnalité, la modulation et le système intégré de gestion et de contrôle dans le cadre des régimes de soutien direct en faveur des agriculteurs prévus par ce règlement ainsi que les modalités d’application du règlement (CE) n° 1234/2007 du Conseil en ce qui concerne la conditionnalité dans le cadre du régime d’aide prévu pour le secteur vitivinicole; Vu le règlement (CE) n° 73/2009 du Conseil du 19 janvier 2009 établissant des règles communes pour les régimes de soutien direct en faveur des agriculteurs dans le cadre de la politique agricole commune et établissant certains régimes de soutien en faveur des agriculteurs, modifiant les règlements (CE) no 1290/2005, (CE) no 247/2006 et (CE) no 378/2007, et abrogeant le règlement (CE) no 1782/2003 ; Considérant l’article 75 du règlement du 30 novembre 2009 susvisé qui prévoit, lorsque des circonstances exceptionnelles prévues à l’article 31 du règlement du 19 janvier 2009 susvisé ne permettent pas à l’agriculteur de respecter les exigences réglementaires en matière de bonne conditions agricoles et environnementales, de ne pas appliquer les réductions définies aux articles D. 615-57 à D.615-61 du code rural et de la pêche maritime. Considérant, au vu du rapport départementale établi en date du 21 juin 2013, que les conditions climatiques intervenues dans le département de la Loire ont pu provoquer des dégâts importants aux cultures et relèvent de circonstances exceptionnelles : • Pluies exceptionnelles et persistantes depuis fin 2012 au printemps 2013 ; • Engorgement des sols en eau ne permettant plus son absorption sur une période durable de plusieurs semaines voir plusieurs mois ;

35 Considérant que les dégâts des précipitations exceptionnelles ont pu conduire à : • Une faible densité du couvert des cultures d’hivers ou à sa répartition hétérogène sur la parcelle ; • Une absence de semis de cultures de printemps ; • La difficulté voire l’impossibilité d’entrer dans les parcelles agricoles gorgées d’eau ; • La présence d’adventices indésirables. Sur proposition du directeur départemental des territoires ;

ARRETE

Article 1 : L’article 5 de l’arrêté préfectoral DT 13-466 du 24 juin 2013 est modifié en ajoutant le second alinéa suivant :

Pour l’application de l’article 75 du règlement du 30 septembre 2009 susvisé, les agriculteurs situés au sein des zones définies à l’annexe VI notifient leur situation auprès de la direction départementale des territoires de la Loire dans un délai de dix jours ouvrables à compter de la date de publication du présent arrêté. L’agriculteur précise notamment si l’ensemble des surfaces agricoles de son exploitation est inclus dans l’une des zones déterminées à l’annexe 6 en indiquant, le cas échéant, la liste des îlots concernés.

Article 2 : une annexe 6 est ajoutée à l’arrêté préfectoral 13-466 du 24 juin 2013

Article 3 : Le directeur départemental des territoires est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de l’Etat dans le département de la Loire.

Fait à Saint Etienne, le 25 juin 2013 Pour le Directeur Le Directeur adjoint Jacques DUMEZ

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ARRETE N° DT-13-513 DU 05/06/2013 CONFERANT LE CARACTERE EXECUTOIRE A UN TITRE DE RECETTE D’UN ORGANISME PRIVE AYANT ASSURE UN HEBERGEMENT OU UN RELOGEMENT La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur Officier de l’ordre national du mérite

Vu le I de l’article L.521-3-1 et le VI de l’article L.521-3-2 du code de la construction et de l’habitation ; Vu l’arrêté n°2011-058 du 14 juin 2011 portant sur l’insalubrité remédiable des locaux à usage d’habitation, situé hameau Le Prélager à St Régis du coin, propriété de Mme Marie Claude Souvignet et occupé à cette date par M.Weslinger et Mme Ponot ; Vu le relogement effectué par le PACT-Loire suite à la défaillance de Mme Souvignet et vu la convention tripartite signée le 18 décembre 2012 entre le PACT-Loire et M. Weslinger ; Vu l’avis d’échéance en date du 25 juin 2012 émis par le PACT-Loire concernant la période du 15 décembre 2011 au 30 juin 2012, adressé à Mme Souvignet pour le logement occupé par M. Weslinger ; Vu l’arrêté n°DT-12-641 du 30 août 2012 conférant un caractère exécutoire au titre de recette du PACT-Loire pour un montant de 3707,69€ (loyer + charges) suite au relogement de M. Weslinger ; Vu la lettre du PACT-Loire en date du 21 février 2013 adressant un nouveau titre de recette à la Direction Départementale des Territoires de la Loire relatif au non paiement des loyers et des charges par Mme Souvignet du logement occupé par M. Weslinger pour la période du 15 décembre 2011 au 31 janvier 2013, constituant une créance ; Considérant la défaillance de Mme Souvignet pour la prise en charge de l’hébergement temporaire de M. Weslinger ; Considérant que le relogement a été assuré par le PACT-Loire à la demande de l’Etat et en vertu de l’article L.521- 3-2 du code de la construction et de l’habitation, Mme Souvignet est tenue de verser au PACT-Loire les frais relatif à l’hébergement de M. Weslinger pour la période du 15 décembre 2011 au 31 janvier 2013, soit la somme de 6 206€ ; Considérant que précédent arrêté du 30 août 2012 s’appuyait sur un titre de recettes où certaines charges n’étaient pas imputables à Mme Souvignet Sur proposition de Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture,

36 A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Souvignet Marie-Claude, propriétaire des locaux à usage d’habitation situé hameau Le Prélager à St Régis du Coin, est tenue de prendre en charge la créance résultant du relogement temporaire de M.Weslinger par le PACT-Loire, suite au non-respect des dispositions de l’article 7 de l’arrêté n°2011-058 du 14 juin 2011.

ARTICLE 2 : Le présent arrêté annule et remplace l’arrêté DT- 12-641 du 30 août 2012

ARTICLE 3 : Est rendu exécutoire le titre produit en pièce jointe arrêté à la somme de 6 206 €

ARTICLE 4 : Le cas échéant, la contestation du bien fondé de la facture jointe devra être présentée avant tout recours juridictionnel au PACT-Loire dans un délai de deux mois à compter de la notification de l’état exécutoire.

Fait à Saint-Étienne, le 5 juin 2013 La Préfète de la Loire Fabienne BUCCIO

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ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-622 DU 02/07/2013 PORTANT APPLICATION DU REGIME FORESTIER A PLUSIEURS PARCELLES DE TERRAIN La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU les articles L 211.1, L 214.3, R 214.1 à R 214-2 et R 214-6 à R 214-9 du code forestier ; VU la délibération du 4 mars 2013 par laquelle la commission permanente du conseil général de la Loire demande l’application du régime forestier à plusieurs parcelles de terrain ; VU les attestations notariales, l’extrait de matrice cadastrale et les plans cadastraux ; VU l'avis de l’agence interdépartementale Ain-Loire-Rhône de l'office national des forêts du 21 juin 2013 ; VU l'arrêté préfectoral n° 13-28 du 6 juin 2013, portant délégation de signature à M. Jacques Dumez, directeur départemental des territoires par intérim de la Loire ; VU l'arrêté préfectoral n° DT-113-515 du 6 juin 2013, portant subdélégation de signature à M. Denis Thoumy , chef du service eau et environnement,

ARRETE

ARTICLE 1 : relèvent du régime forestier :

Propriétaire Commune Section N° Parcelle lieu-dit Surface concernée en ha Conseil général Saint Chamond 111BD 5 Grange du Bois 0,2240 de la Loire 111BD 6 Grange du Bois 0,2785 111BD 10 Grange du Bois 0,2020 111BD 16 Grange du Bois 1,2400 111BD 24 Grange du Bois 0,2995 Sous total : 2,2440

37 Propriétaire Commune Section N° Parcelle lieu-dit Surface concernée en ha

Conseil général Saint Chamond 111BD 25 Grange du Bois 0,7080 de la Loire 111BD 27 Grange du Bois 0,4785 111BD 31 Bois des Egauds 0,5290 111BD 34 Bois des Egauds 2,8090 111BD 36 Bois des Egauds 0,3275 111BD 41 Bois des Egauds 2,2895 111BD 42 Bois des Egauds 1,1310 111BD 43 Bois des Egauds 1,2630 111BD 53 Les Egauds 1,9185 111BD 54 Les Egauds 2,6640 111BD 56 Les Egauds 0,2815 111BD 58 Les Egauds 0,4135 111BD 72 Les Egauds 0,2305 111BD 74 Les Egauds 0,2675 111BD 84 Salvaris 0,8745 111BD 85 Salvaris 0,0140 111BD 90 Salvaris 0,3985 111BD 99 Le Devet 0,2480 111BD 169 Les Crêts 1,2680 111BD 172 Les Crêts 0,0120 111BD 178 Les Crêts 0,4360 111BD 179 Les Crêts 0,5500 111BD 181 Les Crêts 0,0260 111BD 182 Les Crêts 0,0245 111BD 186 Bois des Egauds 1,0170 111BD 187 Bois des Egauds 2,7245 111BD 189 Les Crêts 0,5486 Saint Etienne 190B 6 Aux Adrets 1,6000 190B 7 Rochetaillée 0,6400 190B 8 Aux Adrets 0,4420 190B 15 Rochetaillée 0,0410 190B 102 Aux Adrets 0,5770 190B 103 Rochetaillée 0,0880 190B 109 Aux Adrets 0,3330 190B 110 Rochetaillée 5,2480 190B 111 Au Drevet 0,6020 190B 116 Au Drevet 0,1100 190B 121 Au Drevet 2,0850 190B 122 Au Drevet 0,7210 190B 162 Au Drevet 0,2120 190B 168 Au Crepon 0,0780 190B 171 Au Crepon 0,3105 190B 173 Au Crepon 0,3565 190B 177 Les Bois 0,2010 190B 269 Les Bois 4,0355 190B 270 Les Bois 2,4395 190B 271 Les Bois 1,8500 190B 272 Les Bois 0,8165 190B 273 Le Sapey 1,8375 190B 276 Le Sapey 2,1658 190B 280 Le Sapey 4,2975 190B 281 Le Sapey 0,2220 La Valla en Gier BL 2 Le Sapey 4,0770 Le Sapey Le Sapey Le Sapey Font Choreyre Sous total : 58,8389 Total : 61,0829

Application du régime forestier pour une surface de : 61 ha 08 a 29 ca Nouvelle forêt départementale de Salvaris relevant du régime forestier : 61 ha 08 a 29 ca

38 ARTICLE 2 : Cet arrêté est susceptible d'un recours auprès du tribunal administratif de Lyon dans un délai de 2 mois à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Monsieur le président du conseil général est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la mairie de Saint Chamond, à la mairie de Saint Eienne et à la mairie de La Valla en Gier et inséré au recueil des actes administratifs et dont copie sera adressée à M. le directeur départemental des territoires et à Mme le chef de l'unité territoriale de la Loire de l’office national des forêts accompagné du certificat d’affichage.

A Saint Etienne, le 2 juillet 2013 Pour la préfète et par délégation, Le directeur départemental des territoires par intérim et par subdélégation Le chef de service, Denis THOUMY

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ARRETE N° DT 13-573 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LAREGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.041 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 4 février 2013 par Messieurs Jean- Claude et Christian HENRY, GAEC HENRY, dont le siège social est situé sur la commune de FEURS, au lieu-dit « Bigny », qui désirent reprendre sur la commune de , une superficie de 4ha 59, propriété THIVOLET. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° et 5° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque, d'une part, l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation du GAEC de 148ha 83 à 153ha 42, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 72ha dans cette région agricole et, d'autre part, les biens sollicités (en totalité ou en partie) sont distants de plus de 5 km du siège d’exploitation du demandeur. VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 6 mai 2013 par Madame Odile PEPIN et Monsieur Philippe PEPIN, EARL PEPIN domicilié sur la commune de SALVIZINET, au lieu-dit « Route de Feurs », qui désirent reprendre les mêmes terrains (parcelles A 166 et 167). VU l’arrêté préfectoral DT n° 13-361 du 22 avril 2013, prolongeant jusqu’à six mois, soit jusqu’au 4 août 2013, le délai permettant de statuer sur la demande d’autorisation préalable d’exploiter présentée par le GAEC HENRY. VU l’avis défavorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013 :

39 CONSIDERANT que les terrains sollicités permettraient : • à l'EARL PEPIN, en référence à l'article 3, 3°, 3-4 et 3-10 du SDDS, d'une part, l'agrandissement de son exploitation afin d'atteindre le seuil de contrôle des agrandissements fixé à de 1UR par associé participant effectivement aux travaux, ou 45ha dans cette région agricole et, d'autre part, l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains contigus et à proximité; • au GAEC HENRY, en référence à l'article 3, 3°, 3-10 du SDDS, l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains contigus et à proximité; la demande d'autorisation d'exploiter de l'EARL PEPIN relève d'un niveau de priorité supérieur à la demande du GAEC HENRY, au regard de la politique départementale d’aménagement des structures des exploitations agricoles.

A R R E T E

ARTICLE 1er : La demande d'autorisation préalable d'exploiter présentée par Messieurs Jean-Claude et Christian HENRY, GAEC HENRY, est rejetée car relevant d'un niveau de priorité inférieur à celui de l'EARL PEPIN .

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-574 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.019 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim,

40 VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 8 janvier 2013 par Monsieur Pierrick JACQUET, domicilié sur la commune de , au lieu-dit « Changy », qui désire reprendre sur la commune de CORDELLE, une superficie de 6ha 41. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de Monsieur JACQUET de 83ha 55 à 89ha 96, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole. VU l’arrêté préfectoral DT n° 13-357 du 22 avril 2013, prolongeant jusqu’à six mois, soit jusqu’au 8 juillet 2013, le délai permettant de statuer sur la demande d’autorisation préalable d’exploiter présentée par Monsieur Pierrick JACQUET. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Pierrick JACQUET, est autorisé à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de son exploitation, tel que prévu à l’article L.331.3 7° du Code Rural.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-575 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.025 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations,

41 VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 15 janvier 2013 par Madame Françoise LAURIER et Monsieur Dominique, EARL DES RIVIERES, dont le siège social est situé sur la commune de FEURS, au lieu-dit « Etang Neuf », qui désirent reprendre sur cette commune et celle de SALT EN DONZY, une superficie de 74ha 35. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de l'EARL de 146ha 61 à 220ha 96, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 50ha dans cette région agricole. VU l’arrêté préfectoral DT n° 13-369 du 30 avril 2013, prolongeant jusqu’à six mois, soit jusqu’au 15 juillet 2013, le délai permettant de statuer sur la demande d’autorisation préalable d’exploiter présentée par l'EARL DES RIVIERES. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Françoise LAURIER et Monsieur Dominique LAURIER, EARL DES RIVIERES, sont autorisés à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet :

• permet de préparer l’installation de Monsieur Thomas LAURIER, en vue de prétendre et solliciter l’octroi de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, tel que prévu à l’article 3 1° 1.4 du SDDS. • l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains contigus et à proximité, tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

Cette autorisation est conditionnée à l’installation de Monsieur Thomas LAURIER en qualité de chef d’exploitation à titre principal, avec bénéfice de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, dans un délai de un an.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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42 ARRETE N° DT 13-576 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.017 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 7 janvier 2013 par Monsieur Patrick DUCREUX, domicilié sur la commune de ESSERTINES EN DONZY, au lieu-dit « Chez Valette », qui désire reprendre sur la commune de JAS, une superficie de 9ha 30, propriété VIVERT. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de Monsieur DUCREUX de 35ha 40 à 44ha 70, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 36ha dans cette région agricole. VU l’arrêté préfectoral DT n° 13-360 du 22 avril 2013, prolongeant jusqu’à six mois, soit jusqu’au 7 juillet 2013, le délai permettant de statuer sur la demande d’autorisation préalable d’exploiter présentée par Monsieur Patrick DUCREUX. VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter concurrente déposée et enregistrée le 4 février 2013 par Madame Laurence PACCARD et Monsieur Laurent DALATOUCHE, GAEC DES DEUZELLES, dont le siège social est situé au Bourg de la commune de LES HALLES, qui désirent reprendre sur la commune de JAS, une superficie de 1ha 96 (parcelles A 326, 328, 329, 331, 439, 441). VU l'accord tacite émis pour la superficie de 1ha 96 en concurrence et l’avis favorable émis pour le reste de la superficie demandée, par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013 : CONSIDERANT que par courriel du 17 juin 2013, le GAEC DES DEUZELLES retire sa candidature sur la superficie de 1ha 96, par conséquent il y a disparition de la concurrence entre Monsieur Patrick DUCREUX et le GAEC DES DEUZELLES.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Patrick DUCREUX est autorisé à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

43 ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-577 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.108 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 6 mai 2013 par Madame Odile PEPIN et Monsieur Philippe PEPIN, EARL PEPIN, dont le siège social est situé Route de Feurs à SALVIZINET, qui désirent reprendre sur cette commune une superficie de 10ha 05, propriété THIVOLET. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de l'EARL de 62ha 61 à 72ha 66, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Odile PEPIN et Monsieur Philippe PEPIN, EARL PEPIN, est autorisé à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet :

• l'agrandissement de l'exploitation du GAEC afin d'atteindre le seuil de contrôle des agrandissements fixé à de 1UR par associé participant effectivement aux travaux, ou 45ha dans cette région agricole, tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-4 du SDDS, • l’amélioration des structures foncières de l'exploitation du GAEC, disposant de terrains contigus et à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

44 ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-578 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.043 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 5 février 2013 par Madame Christelle MURON et Messieurs Pascal et Claude MURON, GAEC DU PUY, dont le siège social est situé sur la commune de ST JEAN-ST MAURICE SUR LOIRE, au lieu-dit « Le Puy », qui désirent reprendre sur la commune de BULLY, une superficie de 13ha 41. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° et 5° du Code Rural et de la Pêche Maritime, puisque, d'une part, l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation du GAEC de 189ha 64 à 203ha 05, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 72ha dans cette région agricole, et d'autre part, puisque les biens sollicités (en totalité ou en partie) sont distants de plus de 5 km du siège d’exploitation du demandeur. VU l’arrêté préfectoral DT n° 13-362 du 22 avril 2013, prolongeant jusqu’à six mois, soit jusqu’au 5 août 2013, le délai permettant de statuer sur la demande d’autorisation préalable d’exploiter présentée par le GAEC DU PUY. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

45 A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Christelle MURON et Messieurs Pascal et Claude MURON, GAEC DU PUY, sont autorisés à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains contigus et à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-579 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.049 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 14 janvier 2013 par Monsieur Sylvain VOUTA, domicilié sur la commune de ST HEAND, au lieu-dit « La Granjasse », qui désire reprendre sur la commune de ST HEAND, une superficie de 12ha 63 dont il est propriétaire. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 5° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque les biens sollicités (en totalité ou en partie) sont distants de plus de 5 km du siège d’exploitation du demandeur.

46 VU l’arrêté préfectoral DT n° 13-365 du 22 avril 2013, prolongeant jusqu’à six mois, soit jusqu’au 14 juillet 2013, le délai permettant de statuer sur la demande d’autorisation préalable d’exploiter présentée par Monsieur Sylvain VOUTA. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Sylvain VOUTA est autorisé à réaliser l'opération envisagée puisque cette reprise lui permet de s’installer sur une superficie dont il assurera la conduite, tel que prévu à l’article L.331.3 4° et 5° du Code Rural.

Cette autorisation est conditionnée au respect de l'accord signé le 28 mai 2013 à la Direction Départementale des Territoires, entre Monsieur Sylvain VOUTA et Monsieur Patrice VOUTA, EARL VOUTA.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-580 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.068 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim,

47 VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 19 février 2013 par Messieurs Jérôme MAGNOULOUX et Henri CUBIZOLLE, GAEC DU BRUAND (en création), dont le siège social est situé sur la commune de ST REGIS DU COIN, au lieu-dit « Le Bruand », en vue de la création du GAEC sur une superficie de 24ha 42 en SAUP sur cette commune et celle de ST SAUVEUR EN RUE, par réunion : • d'une partie, 6ha 50, de l'exploitation de l'EARL DE BELLEVUE, • d'une convention pluriannuelle de pâturage, portant sur une superficie de 3ha 21, conclue entre la commune de ST REGIS DU COIN, propriétaire, et Monsieur Henri CUBIZOLLE. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 5° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque les biens sollicités (en totalité ou en partie) sont distants de plus de 5 km du siège d’exploitation du demandeur. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Messieurs Jérôme MAGNOULOUX et Henri CUBIZOLLE, GAEC DU BRUAND (en création), sont autorisés à opérer réaliser l'opération envisagée puisque la création du GAEC permet de préparer leur installation en vue de prétendre et solliciter l’octroi de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, tel que prévu à l’article 3 1° 1.4 du SDDS.

Cette autorisation est conditionnée à l’installation de Messieurs Jérôme MAGNOULOUX et Henri CUBIZOLLE en qualité de chef d’exploitation à titre principal, avec bénéfice de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, dans un délai de un an.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-581 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.069 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture,

48 VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 7 mars 2013 par Madame Marie- Christine BERTHELOT et Messieurs Noël et Sébastien BERTHELOT, EARL DE LA CHEVRERIE, dont le siège social est situé sur la commune de , au lieu-dit « Le Mont », qui désire reprendre sur cette commune et celle de ST GERMAIN LA MONTAGNE, une superficie de 21ha 46. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime, puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de l'EARL de 100ha à 121ha 46, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 72ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Marie-Christine BERTHELOT et Messieurs Noël et Sébastien BERTHELOT, EARL DE LA CHEVRERIE, sont autorisés à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet de préparer l’installation de Monsieur Sébastien BERTHELOT, en vue de prétendre et solliciter l’octroi de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, tel que prévu à l’article 3 1° 1.4 du SDDS.

Cette autorisation est conditionnée à l’installation de Monsieur Sébastien BERTHELOT en qualité de chef d’exploitation à titre principal, avec bénéfice de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, dans un délai de un an.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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49 ARRETE N° DT 13-582 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.073 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean- François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 25 février 2013 par Monsieur Jean- François PEYRON, domicilié sur la commune de CHALMAZEL, au lieu-dit « La Fontbonne », qui désire reprendre sur cette commune et celles de , MIZERIEUX, JEANSAGNIERE et une superficie de 54ha 86. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° et 5° du Code Rural et de la Pêche Maritime, puisque Monsieur Jean- François PEYRON s’installe sur une exploitation dont la superficie est supérieure à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole, et d'autre part les biens sollicités (en totalité ou en partie) sont distants de plus de 5 km du siège d’exploitation du demandeur. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Jean-François PEYRON est autorisé à réaliser l'opération envisagée puisque cette reprise lui permet de préparer son installation en vue de prétendre et solliciter l’octroi de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, tel que prévu à l’article 3 1° 1.4 du SDDS. Cette autorisation est conditionnée à l’installation de Monsieur Jean-François PEYRON en qualité de chef d’exploitation à titre principal, avec bénéfice de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, dans un délai de un an.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET ******************

50 ARRETE N° DT 13-583 DU 17/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.085 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 13 mars 2013 par Messieurs Daniel KER et Rémy CHAUX, GAEC KER CHAUX (en création), dont le siège social est situé sur la commune de ST JULIEN D'ODDES, au lieu-dit « Le Four à Chaux », en vue de la création du GAEC sur une exploitation d'une superficie de 147ha 61 située sur cette commune et celles de ST GERMAIN LAVAL, ARTHUN et POMMIERS, par réunion : • de l'exploitation de Monsieur Daniel KER, d'une superficie de 75ha 39, • d'une partie, 72ha 22, de l'exploitation de l' EARL FECHE, Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° et 5° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’installation s’opère au sein d’une société dont la superficie est supérieure à 1,2 UR ou 72ha dans cette région agricole et, d'autre part, les biens sollicités (en totalité ou en partie) sont distants de plus de 5 km du siège d’exploitation du demandeur. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Messieurs Daniel KER et Rémy CHAUX, GAEC KER CHAUX (en création), est autorisé à opérer l'agrandissement envisagé puisque la création du GAEC permet de préparer l’installation de Monsieur Rémy CHAUX, en vue de prétendre et solliciter l’octroi de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, tel que prévu à l’article 3 1° 1.4 du SDDS.

Cette autorisation est conditionnée à l’installation de Monsieur Rémy CHAUX en qualité de chef d’exploitation à titre principal, avec bénéfice de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, dans un délai de un an.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

51 ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs. Saint-Etienne, le 17 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-584 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.092 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 26 mars 2013 par Madame Brigitte CHAZAL, domiciliée sur la commune de ST BONNET LE COURREAU, au lieu-dit « La Roffin », qui désire reprendre sur la commune de MARCILLY LE CHATEL, STE AGATHE LA BOUTERESSE, ST BONNET LE COURREAU, une superficie de 34ha 54. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 5° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque les biens sollicités (en totalité ou en partie) sont distants de plus de 5 km du siège d’exploitation du demandeur. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Brigitte CHAZAL est autorisée à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet lui permet de s’installer sur une exploitation dont elle assurera la conduite, tel que prévu à l’article L.331.3 4° et 5° du Code Rural.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

52 ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-585 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.093 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 27 mars 2013 par Monsieur Ludovic FAVEROT, domicilié sur la commune de POMMIERS, au lieu-dit « Les Crevants », qui désire reprendre sur cette commune et celle ST GEORGES DE BAROILLE, une superficie de 92ha 11. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° puisque Monsieur FAVEROT s’installe sur une exploitation dont la superficie est supérieure à 1,2 UR ou 72ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Ludovic FAVEROT est autorisé à réaliser l'opération envisagée puisque cette reprise lui permet de s’installer sur une exploitation dont il assurera la conduite, tel que prévu à l’article L.331.3 4° et 5° du Code Rural,

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

53 ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-586 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.110 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 15 mai 2013 par Madame Catherine BARGE et Messieurs Jean-Pierre et Christophe BARGE, GAEC BARGE (en création) dont le siège social est situé sur la commune de REGNY, au lieu-dit « Le Bois Dieu », en vue de la création du GAEC sur une exploitation de 141ha 00 située sur cette commune et celles PRADINES, ST SYMPHORIEN DE LAY et . Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° et 5° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque, d'autre part, l’installation s’opère au sein d’une société dont la superficie est supérieure à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole et, d'autre part, les biens sollicités (en totalité ou en partie) sont distants de plus de 5 km du siège d’exploitation du demandeur. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Catherine BARGE et Messieurs Jean-Pierre et Christophe BARGE, GAEC BARGE (en création) sont autorisés à réaliser l'opération envisagée puisque la création du GAEC permet de préparer l’installation de Monsieur Christophe BARGE, en vue de prétendre et solliciter l’octroi de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, tel que prévu à l’article 3 1° 1.4 du SDDS.

Cette autorisation est conditionnée à l’installation de Monsieur Christophe BARGE en qualité de chef d’exploitation à titre principal, avec bénéfice de la Dotation à l’installation des Jeunes Agriculteurs, dans un délai de un an.

54 ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-587 DU 17/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.072 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 22 févr 2013 par Messieurs Mathieu et Jean-Baptiste POINARD, GAEC DES TROIS ETANGS, dont le siège social est situé sur la commune de ST REGIS DU COIN, au lieu-dit « Bourgaud », qui désirent reprendre sur cette commune une superficie de 6ha 53. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation du GAEC de 93ha 40 à 99ha 93, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

55 ARTICLE 1er : Messieurs Mathieu et Jean-Baptiste POINARD, GAEC DES TROIS ETANGS, sont autorisés à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de l'exploitation du GAEC, disposant de terrains contigus et à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 17 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-588 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.074 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 25 février 2013 par Madame Lucie RELAVE et Messieurs Hervé et Bruno CIZERON, GAEC DU POLISAN, dont le siège social est situé sur la commune de ST HEAND, au lieu-dit « Monichard », qui désirent reprendre sur la commune de LA FOUILLOUSE, une superficie de 13ha 59. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation du GAEC de 72ha 35 à 85ha 94, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

56 A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Lucie RELAVE et Messieurs Hervé et Bruno CIZERON, GAEC DU POLISAN, sont autorisés à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l'agrandissement de l'exploitation du GAEC afin d'atteindre le seuil de contrôle des agrandissements fixé à de 1UR par associé participant effectivement aux travaux, ou 45ha dans cette région agricole, tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-4 du SDDS

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs. Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-590 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.077 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 4 mars 2013 par Monsieur Robert Claude BRUEL, domicilié sur la commune de , au lieu-dit « Chemin de Port Garets », qui désire reprendre sur cette commune, une superficie de 6ha 17. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de Monsieur BRUEL de 87ha 41 à 93ha 58, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 72ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

57 A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Robert Claude BRUEL est autorisé à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-591 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.078 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 5 mars 2013 par Madame Annie BROUILLER et Monsieur Bernard BROUILLER, GAEC DE LA ROCHE POINTUE, dont le siège social est situé sur la commune de ST LAURENT ROCHEFORT, au lieu-dit « Tavel », qui désirent reprendre sur cette commune et celles de DEBATS RIVIERE D'ORPRA, L'HOPITAL SOUS ROCHEFORT et ST SIXTE, une superficie de 18ha 33. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° et 2° a) du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque, d'une part, l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation du GAEC de

58 72ha 77 à 91ha 10, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole et, d'autre part, le GAEC contribue à la suppression de l’exploitation du précédent occupant dont la superficie (47ha 38) est ramenée en deçà de 1 UR ou 45ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Annie BROUILLER et Monsieur Bernard BROUILLER, GAEC DE LA ROCHE POINTUE, sont autorisés à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-592 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.081 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement,

59 VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 11 mars 2013 par Madame Sylviane PITIOT et Messieurs Raymond et Emmanuel PITIOT, GAEC DE LA REVOLANCHE, dont le siège social est situé 900 Route de la Revolanche à ST PAUL EN JAREZ, qui désirent reprendre sur cette commune et celle de ST CHAMOND, une superficie de 18ha 94. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° et 2° a) puisque, d'une part, l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation du GAEC de 65ha 92 à 84ha 86, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole et, d'autre part, le GAEC contribue à la réduction de l’exploitation du précédent occupant dont la superficie (53ha 26) est ramenée en deçà de 1 UR ou 45ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Sylviane PITIOT et Messieurs Raymond et Emmanuel PITIOT, GAEC DE LA REVOLANCHE, sont autorisés à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de l'exploitation du GAEC, disposant de terrains contigus et à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-593 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.084 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations,

60 VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 13 mars 2013 par Madame Gisèle DARNON, domiciliée 1280 Route de la Barollière au lieu-dit « Marcieux » sur la commune de ST PAUL EN JAREZ, qui désire reprendre sur cette commune une superficie de 35ha 40. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 2° a) du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque Madame DARNON contribue à la réduction de l’exploitation du précédent occupant dont la superficie (53ha 26) est ramenée en deçà de 1 UR ou 45ha dans cette région agricole VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Madame Gisèle DARNON est autorisée à réaliser l'opération envisagée puisque cette reprise lui permet de s’installer sur une exploitation dont elle assurera la conduite, tel que prévu à l’article L.331.3 4° et 5° du Code Rural.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-594 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.089 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations,

61 VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 15 mars 2013 par Monsieur Pierre PEILLON, domicilié 895 Route de la Révolanche à ST PAUL EN JAREZ, qui désire reprendre sur cette commune une superficie de 12ha 95. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 2° a) du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque Monsieur PEILLON contribue à la réduction de l’exploitation du précédent occupant dont la superficie (53ha 26) est ramenée en deçà de 1 UR ou 45ha dans cette région agricole. L’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de Monsieur PEILLON de 29ha 72 à 42ha 67. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Pierre PEILLON est autorisé à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l'agrandissement de son exploitation afin d'atteindre le seuil de contrôle des agrandissements fixé à 1UR ou 45ha dans cette région agricole, tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-4 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-595 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.082 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture,

62 VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 13 mars 2013 par Monsieur Jean- François GUYONNET, domicilié 412 Chemin de Verdilly sur la commune de POUILLY LES NONAINS, qui désire reprendre sur la commune de RENAISON, une superficie de 1ha 34. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° et 2° a) du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque, d'une part, l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de Monsieur GUYONNET de 138ha 22 à 139ha 56, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 72ha dans cette région agricole et, d'autre part, Monsieur GUYONNET contribue à la suppression de l’exploitation du précédent occupant dont la superficie (71ha 24) est ramenée en deçà de 1 UR ou 60ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Jean-François GUYONNET est autorisé à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains contigus et à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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ARRETE N° DT 13-596 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.087 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture,

63 VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 15 mars 2013 par Messieurs Romain et André MAY, EARL DE MOREL, dont le siège social est situé sur la commune de ST SAUVEUR EN RUE, au lieu- dit «Morel», qui désirent reprendre sur la commune de ST SAUVEUR EN RUE, une superficie de 7ha 56. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de l'EARL de 61ha 37 à 68ha 93, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Messieurs Romain et André MAY, EARL DE MOREL, sont autorisés à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet :

• l'agrandissement de l'exploitation du GAEC afin d'atteindre le seuil de contrôle des agrandissements fixé à 1UR par associé participant effectivement aux travaux, ou 45ha dans cette région agricole, tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-4 du SDDS, • l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours

Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui :

• soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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64 ARRETE N° DT 13-597 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.088 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 15 mars 2013 par Monsieur Raymond SABOT, domicilié sur la commune de ST MAURICE EN GOURGOIS, au lieu-dit « Prunerie », qui désire reprendre sur cette commune une superficie de 2ha 27. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de Monsieur SABOT de 64ha 35 à 66ha 62, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Raymond SABOT est autorisé à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains contigus et à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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65 ARRETE N° DT 13-598 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.091 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 25 mars 2013 par Monsieur Jean- Bernard CIZERON, domicilié sur la commune de ST HEAND, au lieu-dit « Le Marthouret », qui désire reprendre sur les communes de L'ETRAT et LA TOUR EN JAREZ, une superficie de 6ha 43. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de Monsieur CIZERON de 40ha 17 à 46ha 60, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 36ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Jean-Bernard CIZERON est autorisé à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains contigus et à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET ******************

66 ARRETE N° DT 13-599 DU 19/06/2013 PORTANT SUR LA REGLEMENTATION DU CONTROLE DES STRUCTURES - DOSSIER N° 13.109 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le Code Rural et de la Pêche Maritime, notamment les articles L 331.1 à L 331.11 et les articles R 331.1 à R 331.7 relatifs au contrôle des structures des exploitations agricoles, VU l’arrêté préfectoral n° 2008.951 du 5 décembre 2008 établissant le Schéma Directeur Départemental des Structures (SDDS) du département de la Loire, VU le décret n° 99.731 du 26 août 1999 relatif à la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.560 du 28 octobre 1999, fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° DT 12-238 du 30 avril 2012, actualisant la composition de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture, VU l’arrêté préfectoral n° 99.632 du 24 novembre 1999, fixant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l’arrêté préfectoral n° DT 13-503 du 6 juin 2013, actualisant la composition de la Section Economie et Structures des Exploitations, VU l'arrêté préfectoral n° 13-29 du 6 juin 2013 portant délégation de signature à Monsieur Jacques DUMEZ, Directeur Départemental des Territoires par intérim, VU l'arrêté préfectoral n° DT 13-515 du 6 juin 2013 portant subdélégation de signature à Monsieur Bertrand DUBESSET, Chef du Service Economie Agricole, et à Monsieur Philippe THEODORE, Chef de Service Adjoint et à Monsieur Jean-François ERTEL, Ingénieur de l’Agriculture et de l’Environnement, VU la demande d’autorisation préalable d’exploiter déposée et enregistrée le 15 mai 2013 par Monsieur Pierre DUPIN, domicilié sur la commune de PERIGNEUX, au lieu-dit « Béalet », qui désire reprendre sur cette commune une superficie de 1ha 47. Cette demande est obligatoire en application de l’article L 331.2 1° du Code Rural et de la Pêche Maritime puisque l’agrandissement envisagé aura pour effet de porter la superficie de l’exploitation de Monsieur DUPIN de 58ha 90 à 60ha 37, soit une superficie supérieure au seuil de contrôle fixé à 1,2 UR ou 54ha dans cette région agricole. VU l’avis favorable émis par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, Section Economie et Structures des Exploitations, dans sa séance du 13 juin 2013.

A R R E T E

ARTICLE 1er : Monsieur Pierre DUPIN est autorisé à opérer l'agrandissement envisagé puisque cette reprise permet l’amélioration des structures foncières de son exploitation, disposant de terrains contigus et à proximité , tel que prévu à l’article 3, 3°, 3-10 du SDDS.

ARTICLE 2 : Délais et voies de recours Cet arrêté préfectoral peut être contesté. Il est possible de déposer contre le présent arrêté, justifications à l'appui : • soit un recours gracieux auprès du Préfet du département • soit un recours hiérarchique auprès du Ministère de l’Agriculture et de l'Agroalimentaire. Celui-ci est interruptif du délai de recours contentieux s’il est déposé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la présente notification • soit un recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans les deux mois à compter de la réception de la présente notification

ARTICLE 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Saint-Etienne, le 19 juin 2013 Pour la Préfète et par délégation P. le Directeur Départemental des Territoires par intérim Le Chef de Service Bertrand DUBESSET

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67 ARRETE PREFECTORAL DT-13-639 DU 05/07/2013 PORTANT AUTORISATION DE PÉNÉTRER SUR DES PROPRIÉTÉS PRIVÉES La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite

Vu le titre 1er du livre IV du code de l'environnement et notamment son article L 411-5 ; Vu la loi du 29 décembre 1892 sur les dommages causés à la propriété privée par l’exécution des travaux publics ; Vu l’arrêté préfectoral n°13-14 en date du 21 mars 2013 portant délégation de signature à Madame Françoise NOARS, directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement Rhône-Alpes ; Vu la décision de la directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement Rhône-Alpes portant subdélégation de signature aux agents de la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement Rhône-Alpes pour les compétences générales et techniques pour le département de la Loire ; Considérant que la mise en œuvre d’une étude scientifique de faisabilité en vue d’un projet de réserve naturelle du fleuve Loire en Forez conduite par l'État nécessite des inventaires naturalistes, qui s'inscrivent dans l'inventaire du patrimoine naturel prévu par l'article L.411-5 du code de l'environnement ; Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

A R R E T E

Article 1 er En vue d’exécuter les opérations d'inventaires nécessitées par une étude scientifique de faisabilité en vue d’un projet de réserve naturelle du fleuve Loire en Forez, ceux auxquels cette administration aura délégué ses droits, à savoir les personnels du bureau d’études CESAME mandatés, sont autorisés à procéder, sur les communes de Craintilleux, Rivas, , Cuzieu, Montrond-les-Bains, Boisset-les-Montrond, Chalain-le-Comtal, , Magneux-Haute-Rive, Saint- Laurent-la-Conche, Chambéon, Feurs, et Cleppe à toutes les opérations qu’exigent leurs travaux et, à cet effet, à pénétrer dans les propriétés privées, closes ou non closes (à l’exception des locaux consacrés à l’habitation), à franchir les murs et autres clôtures et obstacles qui pourraient entraver leurs opérations. La présente autorisation est accordée jusqu’au 31 décembre 2013 sous réserve des dispositions de l'article 5.

Article 2 Chacun de ces agents sera en possession d’une copie certifiée conforme au présent arrêté ainsi que d’un ordre de mission, qui devront être présentés à toute réquisition.

Article 3 Les maires des communes concernées sont invités à prêter leur concours et, au besoin, l’appui de leur autorité pour écarter les difficultés auxquelles pourrait donner lieu l’exécution des opérations envisagées.

Article 4 Les indemnités qui pourraient être dues pour dommages causés aux propriétaires seront à la charge de l’administration. A défaut d’entente amiable, elles seront réglées par le tribunal administratif de Lyon.

Article 5 La présente autorisation sera caduque si les travaux d'inventaire n'ont pas commencé dans un délai de six mois à compter de la date de sa publication.

Article 6 Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, la directrice régionale de l’environnement de l’aménagement et du logement Rhône-Alpes, le directeur départemental des territoires de la Loire et les maires des communes de Craintilleux, Rivas, Unias, Cuzieu, Montrond-les-Bains, Boisset-les-Montrond, Chalain-le-Comtal, Marclopt, Magneux-Haute-Rive, Saint-Laurent-la-Conche, Chambéon, Feurs, Civens et Cleppe sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire et affiché dans chaque mairie concernée, au moins dix jours avant le début des opérations d’inventaire.

Fait à Lyon, le 5 juillet 2013 Pour la Préfète et par délégation La directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement Rhône-Alpes, Pour la directrice régionale et par délégation, Le chef de service Ressources, Energie, Milieux et Prévention des Pollutions Signé Jean Marc CHASTEL ********************

68 ARRETE N° DT-13-637 DU 10/07/2013 RENOUVELANT LA COMPOSITION DE LA SECTION « AGRIDIFF » DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'ORIENTATION DE L'AGRICULTURE La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite,

VU le Code Rural, VU l'ordonnance n° 2004-637 du 1er juillet 2004 relative à la simplification de la composition et du fonctionnement des commissions administratives et à la réduction de leur nombre, VU l'ordonnance n° 2005-727 du 30 juin 2005 portant diverses dispositions relatives à la simplification des commissions administratives, VU le décret n° 2006-665 du 7 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la composition de diverses commissions administratives, VU le décret n° 2006-672 du 8 juin 2006 relatif à la création, à la composition et au fonctionnement des commissions administratives à caractère consultatif, VU l'arrêté préfectoral n° 99-632 du 24 novembre 1999 créant trois sections spécialisées, SUR proposition de Monsieur le Secrétaire Général,

A R R E T E

ARTICLE 1er : La section « Agriculteurs en difficulté » de la Commission départementale d'orientation de l'agriculture de la Loire, présidée par Mme la Préfète de la Loire ou son représentant, est renouvelée comme suit :

Membres avec voix délibératives :

1) Le Président du Conseil général ou son représentant, 2) Le Directeur départemental des Territoires ou son représentant, 3) Le Directeur départemental des finances publiques ou son représentant, 4) Trois représentants de la Chambre d'agriculture dont un au titre des coopératives, membres titulaires :

♦ M. Louis METTON - Lorgues – 42590 ♦ Mme Danièle PETIT – Mons – 42550 USSON EN FOREZ

membres suppléants :

● Mme Bénédicte CHAUSSE – Les Gaux – 42660 ST GENEST MALIFAUX ● M. Jean-François COL – Fraisse – 42560 ST JEAN ● Mme Valérie LALEUF – Lieu dit Le Bessy – 42123 CORDELLE ● M. Laurent FOND – 456, route des 4 vents – 42320 membre titulaire au titre des coopératives :

♦ Mme Cécile VIALLA – La Fulie – 42380 PERIGNEUX

membres suppléants au titre des coopératives :

● M. Christophe CHAVOT – Les Places – 42110 ● M. Joseph ARNAUD – Bel Air – 42660 ST GENEST MALIFAUX

5) Trois représentants de la FDSEA membres titulaires :

♦ Mme Marie-Pierre FULCHIRON – L'Hôpital – 42140 MARCENOD ♦ M. Jean-Luc PERRIN – Le Freyssonnet – 42240 ST MAURICE EN GOURGOIS ♦ M. Dominique THIZY – Le Clair – 42360 PANISSIERES

69 membres suppléants :

● M. Gérard GALLOT – La Voute – 42290 SORBIERS ● M. Bertrand LAPALUS – Domaine de Matherat – 42300 MABLY ● M. Guy LAFAY - Le Colombier – 42310 ● M. Philippe VIGNON – Au Crêt – 42360 PANISSSIERES ● M. Emmanuel PETIT – Les Arbres – 42470 LAY ● M. Laurent GENEVRIER – Fontannes – 42600 CHALAIN LE COMTAL

6) Deux représentants des Jeunes Agriculteurs membres titulaires :

♦ M. Emmanuel BORY – 3, avenue Charles de Gaulle – 42600 SAVIGNEUX ♦ M. Julien RAMBAUD – Les Chezeaux – 42590 PINAY

membres suppléants :

● M. Florent VILLEMAGNE – Le Viannet – 42360 ESSERTINES EN DONZY ● M. Mathieu AUCOURT – Boulogne – 42720 LA BENISSON DIEU ● M. Stéphane BABE – Maroille – 42540 ST JUST LA PENDUE ● M. Nicolas CHARRETIER – La Montagne – 42210 ST CYR LES VIGNES

7) Deux représentants de la Confédération paysanne membres titulaires :

♦ Mme Annie ROUX – Chemin des Salettes – 42220 ST SAUVEUR EN RUE ♦ M. Serge REULIER – Grandchamps – 42123 ST CYR DE FAVIERES

membres suppléants : ● Mme Blandine DREVET-ODOUARD – La Seuve – 42660 ST GENEST MALIFAUX ● M. François PITAVAL – La Bessia – 42320 ST CHRISTO EN JAREZ ● M. Denis FANGET – Chalet de Cotaviol – 42220 BOURG ARGENTAL ● M. Laurent GALIPAUD – Le Bourg – 42220

8) Un représentant de la Coordination rurale membre titulaire :

♦ Mme Laurence GAILLAT – Relange – 42440

membres suppléants :

● M. Jean-Paul MICHEL – 14, impasse du Montillet – 42210 BELLEGARDE EN FOREZ ● M. Jean CHARRET – Le Bourg – 42260 DANCE

9) Un représentant de la Mutualité Sociale Agricole

10) Un représentant de l'ADASEA membre titulaire :

♦ M. Yves CHAZELLE – Les Jordanes – 42130

membres suppléants : ● M. Hubert GRAYEL – Rampeau – 42140 CHEVRIERES ● M. Hervé CIZERON – Monichard – 42570 ST HEAND

70 11) Un représentant de la Caisse régionale de Crédit Agricole Loire Haute-Loire membre titulaire :

♦ M. André PEYRET – Meyrieux – 42170

membre suppléant :

● M. Jacques CHARGUERAUD – Le Bas – 42300 MABLY

Experts permanents, sans voix délibérative :

1) Deux représentants du CER France Loire, Mme Marie-Françoise VERNAY et M. Jocelyn OUILLON, ou M. Jean- Bernard MILLET, suppléant, 5, rue Jean Zay – 42272 ST PRIEST EN JAREZ 2) Un représentant du Centre du Conseil Juridique et Fiscal 3) Un représentant de l'Inspection du Travail, de l'emploi et de la protection sociale agricole, Mme Nathalie ROCHE 4) Un représentant de l'Association SOS Solidarité Paysans 42, M. Michel SAVATIER, Président de SOS Solidarité Paysans – 4, rue Philibert Mottin – 42110 FEURS 5) Un représentant de la Fédération départementale des CUMA, M. Ludovic GIRAUDON – Fressonnet – 42380 PERIGNEUX 6) Un représentant de la Fédération départementale de la Coopération agricole

Des experts pourront être convoqués au cas par cas selon la nature de l'ordre du jour, sans voix délibérative, notamment des représentants de filières (horticulture, arboriculture...) et des représentants de banques intervenant dans le financement de l'agriculture (Caisse de Crédit Mutuel du Sud-Est, Banque Populaire du Massif Central...)

ARTICLE 2 : les compétences suivantes sont déléguées par la Commission départementale d'orientation de l'agriculture à la section « Agriculteurs en difficulté » : préparation des prises de décisions individuelles au moyen d'avis concernant les demandes d'aides favorisant l'adaptation de l'exploitation agricole (procédure « agriculteurs en difficulté »).

ARTICLE 3 : Outre les recours gracieux et hiérarchiques qui peuvent s'exercer dans un délai de 2 mois, le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon, dans un délai de 2 mois à compter de la publication au recueil des actes administratifs, ou en cas de recours gracieux ou hiérarchique, à compter de la réponse ou du rejet implicite de l'autorité compétente.

ARTICLE 4 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire et Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 10 juillet 2013 La Préfète, Fabienne BUCCIO

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ARRETE N° DT-13-635 DU 10/07/2013 ETABLISSANT LA COMPOSITION DE LA SECTION « ECONOMIE-STRUCTURES » DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'ORIENTATION DE L'AGRICULTURE La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite,

VU le Code Rural, VU l'ordonnance n° 2004-637 du 1er juillet 2004 relative à la simplification de la composition et du fonctionnement des commissions administratives et à la réduction de leur nombre, VU l'ordonnance n° 2005-727 du 30 juin 2005 portant diverses dispositions relatives à la simplification des commissions administratives, VU le décret n° 2006-665 du 7 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la composition de diverses commissions administratives,

71 VU le décret n° 2006-672 du 8 juin 2006 relatif à la création, à la composition et au fonctionnement des commissions administratives à caractère consultatif, VU l'arrêté préfectoral n° 99-632 du 24 novembre 1999 créant trois sections spécialisées, SUR proposition de Monsieur le Secrétaire Général,

A R R E T E ARTICLE 1er : La section « Economie-Structures » de la Commission départementale d'orientation de l'agriculture de la Loire, présidée par Mme la Préfète de la Loire ou son représentant, est composée comme suit :

Membres avec voix délibératives :

1) Le Président du Conseil général ou son représentant,

2) Le Directeur départemental des Territoires ou son représentant,

3) Le Directeur départemental des finances publiques ou son représentant,

4) Trois représentants de la Chambre d'agriculture, dont au titre des coopératives membres titulaires :

♦ M. Laurent FRECON - Les Buillons - 42110 CHAMBEON ♦ Mme Corinne DESCOMBE - Lieu dit Odenet - 42155 ST JEAN ST MAURICE

membres suppléants :

● M. Noël FOND - 3, chemin du Plan - 42800 ● M. Hervé SIVET - Les Etigonnes- 42310 VIVANS ● M. Bernard VERNAY - 36, rue de la Barre - 42110 FEURS ● M. André PERRET - Verlieu - 42410 CHAVANAY dont un membre titulaire au titre des « Coopératives » :

♦ M. Pierre-Olivier RAJOT - Issoire - 42260 DANCE

membres suppléants « Coopérative » :

● M. Christophe CHAVOT - Les Places - 42210 VALEILLES ● M. Joseph ARNAUD - Bel Air- 42660 ST GENEST MALIFAUX

5) Trois représentants de la FDSEA membres titulaires :

♦ M. Emmanuel PETIT - Les Arbres - 42470 LAY ♦ M. Guy LAFAY - Le Colombier – 42310 VIVANS ♦ M. Jean-Luc PERRIN - Le Freyssonnet - 42240 ST MAURICE EN GOURGOIS

membres suppléants :

● M. Gérard GALLOT - Le Banc - 42290 SORBIERS ● M. Bertrand LAPALUS - Domaine de Matherat - 42300 MABLY ● Mme Marie-Pierre FULCHIRON - L'Hôpital - 42140 MARCENOD ● M. Dominique THIZY - Le Clair - 42360 PANISSIERES ● M. Laurent GENEVRIER - Fontannes - 42600 CHALAIN LE COMTAL ● M. Philippe VIGNON - Au Crêt - 42360 PANISSSIERES

6) Deux représentants des Jeunes Agriculteurs

72 membres titulaires :

♦ M. Florent VILLEMAGNE - Le Viannet - 42360 ESSERTINES EN DONZY ♦ M. Julien RAMBAUD - Les Chezeaux - 42590 PINAY

membres suppléants :

● M. Emmanuel BORY - 3, avenue Charles de Gaulle - 42600 SAVIGNEUX ● M. Mathieu AUCOURT - Boulogne - 42720 LA BENISSON DIEU ● M. Stéphane BABE - Maroille - 42540 ST JUST LA PENDUE ● M. Nicolas CHARRETIER - La Montagne - 42210 ST CYR LES VIGNES

7) Deux représentants de la Confédération paysanne membres titulaires :

♦ M. Denis FANGET - Chalet de Cotaviol - 42220 BOURG ARGENTAL ♦ M. Christophe LYONNET - Le bois des Souches - 42310

membres suppléants :

● M. Jean-Luc BARD - Le Bourg -42260 DANCE ● M. François PITAVAL - La Bessia - 42320 ST CHRISTO EN JAREZ ● M. Laurent GALIPAUD - Le Bourg - 42220 BURDIGNES ● M. Serge REULIER - Grandchamp - 42123 ST CYR DE FAVIERES

8) Un représentant de la Coordination Rurale membre titulaire :

♦ Mme Laurence GAILLAT - Relange - 42440 LES SALLES

membres suppléants :

● Mme Carene FOND - Leymieux - 42800 ● M. Raphaël FOND - Leymieux - 42800 CHAGNON

9) Un représentant de la Mutualité Sociale Agricole membre titulaire :

♦ M. Louis METTON - Lorgues - 42590 NEULISE

membres suppléants :

● M. Gérard AUBERGER - Plasse - BELMONT DE LA LOIRE ● M. Charles DUCREUX - Grand Champ - 42360 PANISSIERES

10) Un représentant de l'ADASEA membre titulaire :

♦ M. Hervé CIZERON - Monichard - 42570 ST HEAND

membres suppléants :

● M. Hubert GRAYEL - Rampeau - 42140 CHEVRIERES ● M. Dominique THIZY - Le Clair - 42360 PANISSIERES

73 11) Un représentant de la Caisse régionale de Crédit Agricole Loire Haute-Loire membre titulaire :

♦ M. Jacques CHARGUERAUD - Le Bas - 42300 MABLY

membres suppléants :

● M. Jacques PLASSE - Lieu-dit Bel Air - 42370 ST ANDRE D'APCHON ● M. André PEYRET - Lieu-dit Meyrieux - 42170 CHAMBLES

12) Un représentant des fermiers métayers membre titulaire :

♦ M. David DUPERRAY - Les Varennes - 42114 ST CYR DE VALORGES

membre suppléant :

● M. Robert DECHELETTE - 247, rue Ste Anne - 42720 POUILLY SOUS CHARLIEU

13) Un représentant des propriétaires agricoles membre titulaire :

♦ M. Philippe NOUVELET - Le Treillart - 42310 LA PACAUDIERE

membres suppléants :

● Mme Véronique KEMLIN - Ferme de l'Etang - 42110 CLEPPE ● M. Baudoin HEME de LACOTTE - 7, petite rue de la préfecture - 42600 MONTBRISON

Experts permanents, sans voix délibératives :

1) Deux représentants du CER France Loire, Mme Marie-Françoise VERNAY et M. Jocelyn OUILLON, ou M. Jean- Bernard MILLET, suppléant, 5, rue Jean Zay - 42272 ST PRIEST EN JAREZ 2) Un représentant de l'Inspection du Travail, de l'emploi et de la protection sociale agricole, Mme Nathalie ROCHE 3) Un représentant de l'Association SOS Solidarité Paysans 42, M. Joseph VIRICEL, SOS Solidarité paysans - 4, rue Philibert Mottin - 42110 FEURS 4) Un représentant de la Fédération départementale des CUMA, M. Bertrand DREVET - 43, avenue Albert Raimond - 42272 ST PRIEST EN JAREZ ou son représentant M. Guillaume RAVEAUD - La Roarie - 42720 POUILLY SOUS CHARLIEU 5) Un représentant de la Fédération départementale de la Coopération agricole 6) Un représentant de la SAFER

Des experts pourront être convoqués au cas par cas selon la nature de l'ordre du jour, sans voix délibérative, notamment des représentants de filières (horticulture, arboriculture...) et des représentants de banques intervenant dans le financement de l'agriculture (Caisse de Crédit Mutuel du Sud-Est, Banque Populaire du Massif Central...)

ARTICLE 2 : les compétences suivantes sont déléguées par la Commission départementale d'orientation de l'agriculture à la section « Economie-Structures » : préparation des prises de décisions individuelles au moyen d’avis concernant notamment : - les demandes individuelles d’aides au boisement des terres agricoles, - les autorisations préalables dans le cadre du contrôle des structures, - (les demandes de préretraite des exploitations agricoles), - l’agrément des groupements pastoraux, - l’agrément des coopératives agricoles, - les demandes d’aides à l’installation des jeunes agriculteurs, - les programmes d’investissements des CUMA qui demandent à bénéficier de prêts spéciaux,

74 - (la répartition ou) transferts de références de production de lait de vache, - le transfert des droits à prime dans les secteurs bovin, ovin et caprin, et toutes les autres décisions à titre individuel.

ARTICLE 3 : Outre les recours gracieux et hiérarchiques qui peuvent s'exercer dans un délai de 2 mois, le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon, dans un délai de 2 mois à compter de la publication au recueil des actes administratifs, ou en cas de recours gracieux ou hiérarchique, à compter de la réponse ou du rejet implicite de l'autorité compétente.

ARTICLE 4 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire et Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 10 juillet 2013 La Préfète, Fabienne BUCCIO

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ARRETE N° DT-13-636 DU 10/07/2013 RENOUVELANT LA COMPOSITION DE LA SECTION « MAE » DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'ORIENTATION DE L'AGRICULTURE La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite,

VU le Code Rural, VU l'ordonnance n° 2004-637 du 1er juillet 2004 relative à la simplification de la composition et du fonctionnement des commissions administratives et à la réduction de leur nombre, VU l'ordonnance n° 2005-727 du 30 juin 2005 portant diverses dispositions relatives à la simplification des commissions administratives, VU le décret n° 2006-665 du 7 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la composition de diverses commissions administratives, VU le décret n° 2006-672 du 8 juin 2006 relatif à la création, à la composition et au fonctionnement des commissions administratives à caractère consultatif, VU l'arrêté préfectoral n° 99-632 du 24 novembre 1999 créant trois sections spécialisées, SUR proposition de Monsieur le Secrétaire Général,

A R R E T E

ARTICLE 1er : La section MAE de la Commission départementale d'orientation de l'agriculture de la Loire, présidée par Mme la Préfète de la Loire ou son représentant, est renouvelée comme suit :

Membres avec voix délibératives :

1) Le Président du Conseil général ou son représentant, 2) Le Directeur départemental des Territoires ou son représentant, 3) Le Directeur départemental des finances publiques ou son représentant, 4) Trois représentants de la Chambre d'agriculture, dont un au titre des coopératives, membres titulaires :

♦ Mme Véronique MURAT – Les Narces – 42990 ♦ M. Laurent FRECON – Les Buillons – 42110 CHAMBEON

membres suppléants :

● M. Frédéric ROUX – Valensanges – 42600 LEZIGNEUX ● M. Hubert GRAYEL – Rampeaux – 42140 CHEVRIERES ● M. Georges BLANC – Grande route de Lupé – 42520 ● Mme Bénédicte CHAUSSE – Les Gaux – 42660 ST GENEST MALIFAUX

75 membre titulaire au titre des coopératives :

♦ M. Christophe CHAVOT – Les Places - 42110 VALEILLE

membres suppléants au titre des coopératives :

● Mme Cécile VIALLA – La Fulie – 42380 PERIGNEUX ● M. Joseph ARNAUD - Bel Air – 42660 ST GENEST MALIFAUX

5) Trois représentants de la FDSEA membres titulaires :

♦ M. Bertrand LAPALUS – Domaine de Matherat – 42300 MABLY ♦ M. Laurent GENEVRIER – Fontannes – 42600 CHALAIN LE COMTAL ♦ Mme Marie-Pierre FULCHIRON – L'Hôpital – 42140 MARCENOD

membres suppléants :

● M. Gérard GALLOT – Le Banc – 42290 SORBIERS ● M. Guy LAFAY - Le Colombier – 42310 VIVANS ● M. Philippe VIGNON – Au Crêt – 42360 PANISSIERES ● M. Jean-Luc PERRIN – Le Freyssonnet – 42240 ST MAURICE EN GOURGOIS ● M. Emmanuel PETIT – Les Arbres – 42470 LAY ● M. Dominique THIZY – Le Clair – 42360 PANISSIERES

6) Deux représentants des Jeunes Agriculteurs membres titulaires :

♦ M. Mathieu AUCOURT – Boulogne – 42720 LA BENISSON DIEU ♦ M. Florent VILLEMAGNE – Le Viannet – 42360 ESSERTINES EN DONZY

membres suppléants :

● M. Stéphane BABE – Maroille – 42540 ST JUST LA PENDUE ● M. Nicolas CHARRETIER – La Montagne – 42210 ST CYR LES VIGNES ● M. Emmanuel BORY – 3, avenue Charles de Gaulle – 42600 SAVIGNEUX ● M. Julien RAMBAUD – Les Chezeaux – 42590 PINAY

7) Deux représentants de la Confédération paysanne membres titulaires :

♦ M. Laurent GALIPAUD – Le Bourg – 42220 BURDIGNES ♦ M. Jean-Yves LYONNET – Lachat – 42510 BALBIGNY

membres suppléants :

● M. Denis FANGET – Chalet de Cotaviol – 42220 BOURG ARGENTAL ● M. François PITAVAL – La Bessia – 42320 ST CHRISTO EN JAREZ ● M. Serge REULIER – Grandchamps – 42123 ST CYR DE FAVIERES ● M. Laurent PINATEL – Landuzière – 42530 ST GENEST LERPT

8) Un représentant de la Coordination Rurale membre titulaire :

♦ M. Dominique RIVORY – La Guintranie – 42410 PELUSSIN

76 membres suppléants :

● Mme Sandrine RIVORY - La Guintranie – 42410 PELUSSIN ● M. Louis GILLIER – 20, chemin des Viaures – 42400 ST CHAMOND

9) Un représentant de la Mutualité Sociale Agricole

10) Un représentant de l'ADASEA membre titulaire :

♦ M. Yves CHAZELLE – Les Jordanes – 42130 MONTVERDUN

membres suppléants :

● M. Hervé CIZERON – Monichart – 42570 ST HEAND ● M. Raymond VIAL – Le Farrou – 42260ST MARTIN LA SAUVETE

11) Un représentant de la Caisse régionale de Crédit Agricole Loire Haute-Loire membre titulaire :

♦ M. André PEYRET – Meyrieux – 42170 CHAMBLES

membre suppléant :

● M. Jacques CHARGUERAUD – Le Bas – 42300 MABLY

12) Un représentant des fermiers métayers membre titulaire :

♦ M. David DUPERRAY – Les Varennes – 42114 ST CYR DE VALORGES

membre suppléant :

● M. Robert DECHELETTE – 247, rue Ste Anne – 42720 POUILLY SOUS CHARLIEU

13) Un représentant des propriétaires agricoles membre titulaire :

♦ M. Philippe NOUVELET – Le Treillard – 42310 LA PACAUDIERE

membres suppléants :

● Mme Véronique KEMLIN – Ferme de l'Etang – 42110 CLEPPE ● M. Baudoin HEME de LACOTTE – 7, petite rue de la préfecture – 42600 MONTBRISON

14) Un représentant des consommateurs membre titulaire :

♦ Mme Jacqueline GALLEY – Comité de coordination des associations de consommateurs de la Loire – 42 bis, rue Gayet – 42000 ST ETIENNE

membre suppléant :

● M. François JACOB – 22, rue des Genêts d’Or – 42320 FARNAY

77 15) Un représentant de la FRAPNA membre titulaire :

♦ Mme Jeanine GARCIN-PERALDI – FRAPNA Loire – 4, rue de la Richelandière – 42100 ST ETIENNE

membres suppléants :

● M. Raphaël DELPI – FRAPNA Loire – 4, rue de la Richelandière – 42100 ST ETIENNE ● M. Sébastien TEYSSIER – FRAPNA Loire – 4, rue de la Richelandière – 42100 ST ETIENNE

16) Un représentant de la Fédération départementale des chasseurs membre titulaire :

♦ M. Gilles CHAVAS – Impasse Saint Exupéry – 42160 ANDREZIEUX BOUTHEON

membres suppléants :

● M. Julien HUREAU – Fédération départementale des Chasseurs de la Loire - Impasse Saint-Exupéry – 42160 ANREZIEUX BOUTHEON ● M. Bernard REYMOND - Fédération départementale des Chasseurs de la Loire – Impasse Saint-Exupéry – 42160 ANDREZIEUX BOUTHEON

17) Un représentant de l'artisanat membre titulaire :

♦ M. Jean-André PORTENEUVE – Rue de l’artisanat – BP 724 – 42951 ST ETIENNE cedex 09

membres suppléants :

● M. Michel GOUTTENOIRE - Rue de l’artisanat – BP 724 – 42951 ST ETIENNE cedex 09 ● M. Gabriel ROUDON - Rue de l’artisanat – BP 724 – 42951 ST ETIENNE cedex 09

18) Un représentant de la distribution des produits agroalimentaires membres titulaires :

♦ M. Jean-Paul CHAMPAILLER – Intermarché – Cholniz – route de Roanne – Pont de Tigny – 42720 ST NIZIER SOUS CHARLIEU ♦ M. Jean-Régis ABRIAL – 14, rue Feria – 42660

membres suppléants : ● M. Michel DERINCK – CCI Roanne – Loire Nord – 4, rue Marengo – 423340 ROANNE cedex ● M. Eric COLLET – Laiterie Collet – Grange Vigniat – ZA – 42370 RENAISON ● Mme Christine LOUIS – Commerce fruits et légumes – Sté Nouvelle Fruiteleg – 10, bd Palissy – 42300 ROANNE ● Mme Christine CRUZ – Au Panier Neulisien – 21, place de Flandre – 42590 NEULISE

19) La Présidente du Parc Naturel régional du Pilat ou son représentant

20) Le Proviseur du Lycée d'Enseignement Général et Technologique Agricole de Roanne-Chervé, ou son représentant.

Experts permanents, sans voix délibératives :

1) Un représentant de la Fédération départementale de la coopération agricole

78 2) Un représentant de la Fédération départementale des CUMA, M. Bertrand DREVET – 43, avenue Albert Raimond – 42272 ST PRIEST EN JAREZ ou son représentant : M. Guillaume RAVEAUD – La Roarie – 42720 POUILLY SOUS CHARLIEU 3) Un représentant de la SAFER, M. le Président du CTD SAFER ou son représentant – 43, avenue Albert Raimond – BP 10038 - 42272 ST PRIEST EN JAREZ 4) Un représentant de l'ASP 5) Un représentant de l'ARDAB (Association régionale pour le développement de l'agriculture biologique), M. Laurent LACHAT – Route de Chatelville – 42560 CHAZELLES SUR

Des experts pourront être convoqués au cas par cas selon la nature de l'ordre du jour, sans voix délibérative.

ARTICLE 2 : les compétences suivantes sont déléguées par la Commission départementale d'orientation de l'agriculture à la section MAE : préparation et mise en œuvre des mesures agro-environnementales, attribution des aides individuelles.

ARTICLE 3 : Outre les recours gracieux et hiérarchiques qui peuvent s'exercer dans un délai de 2 mois, le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon, dans un délai de 2 mois à compter de la publication au recueil des actes administratifs, ou en cas de recours gracieux ou hiérarchique, à compter de la réponse ou du rejet implicite de l'autorité compétente.

ARTICLE 4 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire et Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 10 juillet 2013 La Préfète, Fabienne BUCCIO

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ARRETE N° DT-13-634 DU 10/07/2013 ETABLISSANT LA COMPOSITION DE LA COMMISSION DEPARTEMENTALE D'ORIENTATION DE L'AGRICULTURE La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d‘Honneur, Officier de l‘Ordre National du Mérite,

VU le Code Rural, VU l'ordonnance n° 2004-637 du 1er juillet 2004 relative à la simplification de la composition et du fonctionnement des commissions administratives et à la réduction de leur nombre, VU l'ordonnance n° 2005-727 du 30 juin 2005 portant diverses dispositions relatives à la simplification des commissions administratives, VU le décret n° 2006-665 du 7 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la composition de diverses commissions administratives, VU le décret n° 2006-672 du 8 juin 2006 relatif à la création, à la composition et au fonctionnement des commissions administratives à caractère consultatif, VU l'arrêté n° DT-10-066 du 17 mars 2010 fixant la composition de la commission départementale d'orientation de l'agriculture, SUR proposition de Monsieur le Secrétaire Général,

A R R E T E

ARTICLE 1er : La commission départementale d'orientation de l'agriculture de la Loire, présidée par Mme la Préfète de la Loire ou son représentant, est établi comme suit :

1) Le Président du Conseil régional ou son représentant,

2) Le Président du Conseil général ou son représentant,

3) La Présidente du Syndicat mixte de gestion du parc naturel régional du Pilat ou son représentant,

79 4) Le Directeur départemental des Territoires ou son représentant,

5) Le Directeur départemental des finances publiques ou son représentant,

6) Trois représentants de la Chambre d'agriculture dont un au titre des coopératives, membres titulaires :

♦ M. Raymond VIAL, Président de la Chambre d'agriculture – Lotissement le Farrou – 42260 ST MARTIN LA SAUVETE ♦ Mme Chantal BROSSE – Chanry – 42600

membres suppléants :

● M. Frédéric DUCHENE – La Gentillère – 42360 PANISSIERES ● Mme Véronique MURAT – Les Narces – 42992 SAUVAIN ● M. Laurent FRECON – Les Buillons – 42110 CHAMBEON ● M. Hervé SIVET – Les Etigonnes – 42310 VIVANS membre titulaire au titre des coopératives :

♦ M. Philippe DUMAS - Bardillon – 42470 ST SYMPHORIEN DE LAY

membres suppléants :

● M. RAJOT Pierre-Olivier – Issoire – 42260 DANCE ● Mme VIALLA Cécile – La Fulie – 42380 PERIGNEUX

7) Le Président de la Caisse de mutualité sociale agricole ou son représentant,

8) Deux représentants des activités de transformation des produits de l'agriculture,

– pour les entreprises non coopératives : membre titulaire :

♦ M. Alain GARDON – LNUF – Service Appro. Lait – ZI Nord – 6, bd Pierre Desgranges – 42160 ANDREZIEUX BOUTHEON

membre suppléant :

● M. Simon REY – DANONE – ZI Les Verchères – 38540 ST JUST CHALEYSSIN

– pour les coopératives : membre titulaire :

♦ M. Jean-Michel JAVELLE – L'Oyasse – 42650 ST JEAN BONNEFOND

membres suppléants :

● M. Christophe CHAVOT – Lieu dit Les Places – 42210 VALEILLES ● M. Dominique GIGANDON – Les Bruyas – 42140 ST DENIS SUR COISE

9) Huit représentants des organisations syndicales d'exploitants agricoles à vocation générale habilitées en application de l'article 1er du décret n° 90-187 du 28 février 1990, dont au moins un représentant de chacune d'elles :

► 3 pour la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles de la Loire (FDSEA)

80 membres titulaires :

♦ Mme Marie-Pierre FULCHIRON - L'Hôpital – 42140 MARCENOD ♦ M. Bertrand LAPALUS – Domaine de Matherat – 42300 MABLY ♦ M. Gérard GALLOT – Le Banc – 42290 SORBIERS

membres suppléants :

● M. Guy LAFAY - Le Colombier – 42310 VIVANS ● M. Philippe VIGNON - Au Crêt – 42360 PANISSIERES ● M. Jean-Luc PERRIN – Le Freyssonnet – 42240 ST MAURICE EN GOURGOIS ● M. Emmanuel PETIT – Les Arbres – 42470 LAY ● M. Dominique THIZY – Le Clair – 42360 PANISSIERES ● M. Laurent GENEVRIER – Fontannes – 42600 CHALAIN LE COMTAL

► 2 pour les Jeunes Agriculteurs (JA) membres titulaires :

♦ M. Stéphane BABE – Maroilles – 42540 ST JUST LA PENDUE ♦ M. Nicolas CHARRETIER – La Montagne – 42210 ST CYR LES VIGNES

membres suppléants :

● M. Mathieu AUCOURT – Boulogne – 42720 LA BENISSON DIEU ● M. Emmanuel BORY – 3 avenue Charles de Gaulle – 42600 SAVIGNEUX ● M. Florent VILLEMAGNE – Le Viannet – 42360 ESSERTINES EN DONZY ● M. Julien RAMBAUD – Les Chezeaux – 42590 PINAY

► 2 pour la Confédération paysanne membres titulaires :

♦ M. Denis FANGET – Chalet de Cotaviol – 42220 BOURG ARGENTAL ♦ M. Christophe LYONNET – Le bois des souches – 42310 URBISE

membres suppléants :

● Mme Blandine DREVET-ODOUARD – Le Seuve – 42660 ST GENEST MALIFAUX ● M. François PITAVAL – La Bessia – 42320 ST CHRISTO EN JAREZ ● M. Laurent GALIPAUD – Le Bourg – 42220 BURDIGNES ● M. Serge REULIER – Grandchamps – 42123 ST CYR DE FAVIERES

► 1 pour la Coordination Rurale membre titulaire :

♦ M. Eric JAYOL – Molley – 42190 SOLEYMIEUX

membres suppléants :

● M. Hervé GERIN – La Berne – 42330 ● M. Hervé GRATALOUP – Le Broailly – 42140 ST DENIS SUR COISE

10) Un représentant des salariés agricoles membre titulaire :

♦ M. Bruno CHANVILLARD – 6, rue Beaumartel – 42600 MONTBRISON

81 membres suppléants :

● M. Jacky DUMAS – 162, rue d’Enfer – 42640 ST GERMAIN LESPINASSE ● Mme Angélique GRAVIER – Vachon – 42440 NOIRETABLE

11) Deux représentants de la distribution des produits agroalimentaires, dont un au titre du commerce indépendant de l'alimentation membres titulaires :

♦ M. Jean-Paul CHAMPAILLER – Intermarché – Cholniz – route de Roanne – Pont de Tigny – 42720 ST NIZIER SOUS CHARLIEU ♦ M. Jean-Régis ABRIAL – 14, rue Feria – 42660 LE BESSAT

membres suppléants :

● M. Michel DERINCK – CCI Roanne – Loire Nord – 4, rue Marengo – 42334 ROANNE cedex ● M. Eric COLLET – Laiterie Collet – Grange Vigniat – ZA – 42370 RENAISON ● Mme Christine LOUIS – Commerce fruits et légumes – Sté Nouvelle Fruiteleg – 10, bd Palissy – 42300 ROANNE ● Mme Christine CRUZ – Au Panier Neulisien – 21, place de Flandre – 42590 NEULISE

12) Un représentant du financement de l'agriculture membre titulaire :

♦ M. Jacques CHARGUERAUD – Le Bas – 42300 MABLY

membres suppléants :

● M. Jacques PLASSE – Bel Air – 42370 ST ANDRE D'APCHON ● M. André PEYRET – Meyrieux – 42170 CHAMBLES

13) Un représentant des fermiers métayers membre titulaire :

♦ M. David DUPERRAY – Les Varennes – 42114 ST CYR DE VALORGES

membre suppléant :

● M. Robert DECHELETTE – 247, rue Ste Anne – 42720 POUILLY SOUS CHARLIEU

14) Un représentant des propriétaires agricoles membre titulaire :

♦ M. Philippe NOUVELET – Le Treillard – 42310 LA PACAUDIERE

membres suppléants :

● Mme Véronique KEMLIN – Ferme de l'Etang – 42110 CLEPPE ● M. Baudoin HEME de LACOTTE – 7, petite rue de la préfecture – 42600 MONTBRISON

15) Un représentant de la propriété forestière membre titulaire :

♦ M. Philippe GOURBIERE - Montvadan- 42600 ROCHE

82 membres suppléants :

● M. Henri BEAUPERTUIT – Bas-Joly – 42460 ● M. Jacques GRENOT – 127, avenue de Saxe -69003 LYON

16) Deux représentants d'associations agréées pour la protection de l'environnement membres titulaires :

♦ Mme Jeanine GARCIN-PERALDI – FRAPNA Loire – 4, rue de la Richelandière – 42100 ST ETIENNE ♦ M. Gilles CHAVAS – Fédération départementale des Chasseurs de la Loire – Impasse Saint Exupéry – 42160 ANDREZIEUX BOUTHEON

membres suppléants :

● M. Raphaël DELPI – FRAPNA Loire – 4, rue de la Richelandière – 42100 ST ETIENNE ● M. Sébastien TEYSSIER – LPO – 4, rue de la Richelandière – 42100 ST ETIENNE ● M. Julien HUREAU – Fédération départementale des Chasseurs de la Loire – Impasse Saint Exupéry – 42160 ANDREZIEUX BOUTHEON ● M. Bernard REYMOND – Fédération départementale des Chasseurs de la Loire – Impasse Saint Exupéry – 42160 ANDREZIEUX BOUTHEON

17) Un représentant de l'artisanat membre titulaire :

♦ M. Jean-André PORTENEUVE – Président de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat – rue de l'artisanat – BP 724 – 42951 ST ETIENNE cedex 9

membres suppléants :

● M. Michel GOUTTENOIRE – Chambre de Métiers et de l’Artisanat – rue de l’artisanat – BP 724 – 42951 ST ETIENNE cedex 09 ● M. Gabriel ROUDON - Chambre de Métiers et de l’Artisanat – rue de l’artisanat – BP 724 – 42951 ST ETIENNE cedex 09

18) Un représentant des consommateurs membre titulaire :

♦ Mme Jacqueline GALLEY – Comité de coordination des associations de consommateurs de la Loire – 42 bis, rue Gayet – 42000 ST ETIENNE

membre suppléant :

● M. François JACOB – 22, rue des Genets d’Or – 42320 FARNAY

19) Deux personnes qualifiées membre titulaire :

♦ M. Hubert GRAYEL, Président de l'ADASEA – Rampeau – 42140 CHEVRIERES

membres suppléants :

● M. Hervé CIZERON – Monichard – 42570 ST HEAND ● M. Yves CHAZELLE – Les Jordanes – 42130 MONTVERDUN

83 membre titulaire :

♦ M. Hubert MARTIN – Proviseur de l’EPL Roanne-Chervé – CS 90023 – 42124 PERREUX Cedex

membres suppléants :

● Mme Gisèle BAULAND – Précieux – BP 204 – 42605 MONTBRISON Cedex ● M. Pascal CHORGNON – EPL Roanne-Chervé – CS 90023 – 42124 PERREUX Cedex

ARTICLE 2 : sont habilités à siéger à titre d'experts, sans voix délibérative :

► deux représentants du CER France Loire, Mme Marie-Françoise VERNAY – 5, rue Jean Zay – 42272 ST PRIEST EN JAREZ, et M. Jocelyn OUILLON -5, rue Jean Zay – 42272 ST PRIEST EN JAREZ, ou leurs suppléants : M. Jean-Bernard MILLET et Mme Nathalie CORNET

► un représentant de la Fédération départementale des CUMA, M. Bertrand DREVET – 43, avenue Albert Raimond – 42272 ST PRIEST EN JAREZ, ou son suppléant : M. Guillaume RAVEAUD – La Roarie – 42720 POUILLY SOUS CHARLIEU

► un représentant de la profession horticole, M. Jacques MANNEVEAU – Les Serres de Commières – Aiguilly – 42720 VOUGY

► un représentant de la Caisse de Crédit Mutuel du Sud-Est, M. Régis THOLONIAT – 8-10, rue Rhin et Danube – CP 111 – 69266 LYON cedex 09

► un représentant de la Banque Populaire du Massif Central – 18, bd Jean Moulin – BP 53 – 63002 CLERMONT FERRAND cedex

► un représentant de l'association S.O.S Solidarité Paysans 42, M. Joseph VIRICEL, SOS Solidarité paysans - 4, rue Philibert Mottin – 42110 FEURS

► un représentant de la fédération départementale des Associations Agréées de Pêche et de Protection du Milieu Aquatique (AAPPMA) de la Loire, M. Jacques DUMAS, Président de l'AAPMA – ZI le Bas Rollet – 14, allée de l'Europe – 42480 LA FOUILLOUSE

ARTICLE 3 : Outre les recours gracieux et hiérarchiques qui peuvent s'exercer dans un délai de 2 mois, le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon, dans un délai de 2 mois à compter de la publication au recueil des actes administratifs, ou en cas de recours gracieux ou hiérarchique, à compter de la réponse ou du rejet implicite de l'autorité compétente.

ARTICLE 4 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire et Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 10 juillet 2013 La Préfète, Fabienne BUCCIO

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ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-641 DU 11/07/2013 PORTANT APPLICATION DU REGIME FORESTIER A PLUSIEURS PARCELLES DE TERRAIN La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU les articles L 211.1, L 214.3, R 214.1 à R 214-2 et R 214-6 à R 214-9 du code forestier ; VU la délibération du 1er mars 2013 par laquelle le conseil municipal de la commune de Montarcher demande l’application du régime forestier à plusieurs parcelles de terrain ;

84 VU l’extrait de matrice cadastrale, l'attestation notariale et le plan cadastral ; VU l'avis de l’agence interdépartementale Ain-Loire-Rhône de l'office national des forêts du 9 juillet 2013 ; VU l'arrêté préfectoral n° 13-28 du 6 juin 2013, portant délégation de signature à M. Jacques Dumez, directeur départemental des territoires par intérim de la Loire ; VU l'arrêté préfectoral n° DT-113-515 du 6 juin 2013, portant subdélégation de signature à M. Denis Thoumy , chef du service eau et environnement,

ARRETE

ARTICLE 1 : relèvent du régime forestier :

Propriétaire Commune Section N° Parcelle lieu-dit Surface en ha Commune de Montarcher Montarcher AH 221 Le Four 0,1288 AH 222 Le Four 0,0036 AH 223 Le Four 0,0844 AH 224 Le Four 1,3030 AH 226 Le Four 0,3066 AI 46 Bois du Marais 0,4896 AI 47 Bois du Marais 0,3381 AI 69 Pré du Marais 0,0350 AI 146 Pré du Marais 0,4134 AI 147 Pré du Marais 3,0726 AI 149 Les Clos 0,0410 AI 151 Les Clos 3,8519 Total 10,0680

Application du régime forestier pour une surface de : 10 ha 06 a 80 ca Surface de la forêt communale de Montarcher relevant du régime forestier: 10 ha 06 a 80ca

ARTICLE 2 : Cet arrêté est susceptible d'un recours auprès du tribunal administratif de Lyon dans un délai de 2 mis à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Monsieur le maire de la commune de Montarcher est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la mairie de Montarcher et inséré au recueil des actes administratifs et dont copie sera adressée à M. le directeur départemental des territoires et à Mme le chef de l'unité territoriale de la Loire de l’office national des forêts accompagné du certificat d’affichage.

A Saint Etienne, le 11 juillet 2013 Pour la préfète et par délégation, Le directeur départemental des territoires par intérim, et par subdélégation Le chef de service, Denis THOUMY

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ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-642 DU 11/07/2013 PORTANT DISTRACTION DU REGIME FORESTIER D'UNE PARCELLE DE TERRAIN La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU les articles L 211.1, L 214.3, R 214.1 à R 214-2 et R 214-6 à R 214-9 du code forestier ; VU la délibération du 27 juin 2013 par laquelle le conseil municipal de la commune de Çaloire demande la distraction du régime forestier d'une parcelles de terrain ; VU l’extrait de matrice cadastrale et le plan cadastral ; VU l'avis de l’agence interdépartementale Ain-Loire-Rhône de l'office national des forêts du 10 juillet 2013 ; VU l'arrêté préfectoral n° 13-28 du 6 juin 2013, portant délégation de signature à M. Jacques Dumez, directeur départemental des territoires par intérim de la Loire ; VU l'arrêté préfectoral n° DT-113-515 du 6 juin 2013, portant subdélégation de signature à M. Denis Thoumy , chef du service eau et environnement,

85 ARRETE

ARTICLE 1 : est distraite du régime forestier :

Propriétaire Commune Section N° Parcelle lieu-dit Surface concernée en ha Commune de Çaloire A 1926 Planbeau 0,0061 Çaloire Total 0,0061

Surface de la forêt avant distraction du régime forestier : 30 ha 46 a 40 ca Surface du présent arrêté de distraction du régime forestier : 0 ha 00 a 681ca Nouvelle surface de la forêt relevant du régime forestier : 30 ha 45 a 79 ca

ARTICLE 2: Cet arrêté est susceptible d'un recours auprès du tribunal administratif de Lyon dans un délai de 2 mois à compter de sa notification.

ARTICLE 3 : Monsieur le maire de la commune de Çaloire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la mairie de Çaloire et inséré au recueil des actes administratifs et dont copie sera adressée à M. le directeur départemental des territoires et à Mme le chef de l'unité territoriale de la Loire de l’office national des forêts accompagné du certificat d’affichage.

A Saint Etienne, le 11 juillet 2013 Pour la préfète et par délégation, Le directeur départemental des territoires par intérim, et par subdélégation, Le chef de service, Denis THOUMY

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DÉCRET DU 14/06/2013 AUTORISANT POUR UNE NOUVELLE PÉRIODE DE CINQ ANNÉES LA SOCIÉTÉ D’AMÉNAGEMENT FONCIER ET D’ÉTABLISSEMENT RURAL RHÔNE-ALPES À EXERCER LE DROIT DE PRÉEMPTION ET À BÉNÉFICIER DE L’OFFRE AMIABLE AVANT ADJUDICATION VOLONTAIRE

NOR: AGRT1310869D

Publics concernés : Société d’aménagement foncier et d’établissement rural (SAFER) Rhône-Alpes ; notaires ; propriétaires de biens à usage agricole situés dans les départements de l’Ain, de l’Ardèche, de la Drôme, de l’Isère, de la Loire, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie ; acquéreurs potentiels de ces biens.

Objet : SAFER Rhône-Alpes ; droit de préemption.

Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.

Notice : le décret autorise la SAFER Rhône-Alpes à exercer le droit de préemption prévu par les dispositions des articles L. 143-1 à L. 143-15 du code rural et de la pêche maritime pour une période de cinq années dans les départements de l’Ain, de l’Ardèche, de la Drôme, de l’Isère, de la Loire, du Rhône, de la Savoie et de la Haute- Savoie. L’article 2 fixe la superficie minimale des parcelles susceptibles d’être préemptées à 10 ares ; toutefois, aucune superficie minimale n’est imposée s’agissant des parcelles situées dans les zones classées agricoles ou naturelles par les documents locaux d’urbanisme ou dans un périmètre de protection et de mise en valeur des espaces agricoles et naturels périurbains, ou dans un périmètre d’aménagement foncier rural. L’article 3 impose aux propriétaires qui souhaitent vendre par adjudication volontaire des biens d’une superficie supérieure à un hectare ― ou à 15 ares dans les aires de production de produits bénéficiant d’une appellation d’origine protégée ou d’une indication géographique protégée ―, et qui sont situés sur le territoire de certaines communes, de les offrir à la SAFER deux mois au moins avant la date prévue pour la vente, dans les conditions prévues par les dispositions de l’article L. 143-12 du code rural et de la pêche maritime.

86 Références : le décret peut être consulté sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr).

Le Premier ministre,

Sur le rapport du ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, Vu le code civil ; Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment ses articles L. 143-1 et suivants ; Vu le code de l’urbanisme ; Vu les propositions des préfets des départements de l’Ain, de l’Ardèche, de la Drôme, de l’Isère, de la Loire, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie, Décrète :

Article 1 : La Société d’aménagement foncier et d’établissement rural Rhône-Alpes est autorisée à exercer le droit de préemption défini aux articles L. 143-1 à L. 143-15 du code rural et de la pêche maritime, pour une période de cinq années, dans les départements de l’Ain, de l’Ardèche, de la Drôme, de l’Isère, de la Loire, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie.

La Société d’aménagement foncier et d’établissement rural Rhône-Alpes ne peut exercer ce droit que si les droits de préemption prévus aux articles L. 142-3, L. 211-1 et L. 212-2 du code de l’urbanisme n’ont pas été exercés par leurs titulaires.

Article 2 : La superficie minimale des biens susceptibles d’être préemptés par la Société d’aménagement foncier et d’établissement rural Rhône-Alpes est fixée à 10 ares.

Les dispositions de l’alinéa précédent ne sont pas applicables aux biens :

― classés par un plan local d’urbanisme en zone agricole ou en zone naturelle et forestière ;

― classés par un plan d’occupation des sols en zone de richesses naturelles ou en zone à protéger en raison de l’existence de risques ou de nuisances ou en raison de la qualité des sites ;

― inclus dans un périmètre délimité en application de l’article L. 143-1 du code de l’urbanisme ;

― inclus dans un périmètre délimité en application de l’article L. 123-2 du code rural et de la pêche maritime, lorsque la préemption est effectuée pendant la durée des opérations d’aménagement ;

― dont le propriétaire peut réclamer sur les fonds de ses voisins un passage suffisant pour assurer la desserte complète de ses fonds en application de l’article 682 du code civil.

Article 3 : I. ― Les propriétaires de biens susceptibles d’être préemptés par la Société d’aménagement foncier et d’établissement rural Rhône-Alpes qui souhaitent les vendre par adjudication volontaire sont tenus, lorsque ces biens satisfont aux conditions prévues aux 1° et 2° du II, de les lui offrir préalablement, dans les conditions et selon les modalités prévues à l’article L. 143-12 du code rural et de la pêche maritime.

II. - Sont soumis à l’obligation prévue au I les propriétaires de biens :

1° Qui supportent des vergers intensifs ou dont la superficie est égale ou supérieure à un hectare, ou à 15 ares lorsqu’ils sont situés dans une aire de production de produits bénéficiant d’une appellation d’origine protégée ou d’une indication géographique protégée ;

2° Qui ne sont pas situés sur le territoire des communes énumérées ci-après :

Département de l’Ain

Communes de Bellegarde et Oyonnax.

Département de l’Ardèche

Communes d’Annonay, Aubenas, Largentière, Privas et Tournon.

87 Département de la Drôme

Communes de Valence, Montélimar et Romans.

Département de l’Isère

Communes d’Echirolles, Fontaine, Saint-Egrève, Saint-Martin-d’Hères et Grenoble.

Département de la Loire

Communes de , Montbrison (sauf la commune associée de Moingt), Roanne, Saint-Chamond (sauf les portions de territoire correspondant aux anciennes communes d’Izieux, de Saint-Julien-en-Jarez et de Saint-Martin- en-Coailleux) et Saint-Etienne (sauf la commune associée de Rochetaillée et la portion de territoire correspondant à l’ancienne commune de Saint-Victor-sur-Loire).

Département du Rhône

Communes de Bron, Champagne-au-Mont-d’Or, Charbonnières-les-Bains, Ecully, Lyon, La Mulatière, Oullins, Pierre-Bénite, Saint-Fons, Sainte-Foy-lès-Lyon, Tassin-la-Demi-Lune, Vénissieux, Villefranche-sur-Saône et Villeurbanne.

Département de la Savoie

Communes d’Aix-les-Bains, Albertville, Moûtiers, Saint-Jean-de-Maurienne, toutes les communes des cantons Nord, Sud et Sud-Ouest de Chambéry, Saint-Alban-Leysse et La Ravoire.

Département de la Haute-Savoie

Communes d’Ambilly, Annecy, Annecy-le-Vieux, Annemasse, Chamonix-Mont-Blanc, Cluses, Cran-Gevrier, Etrembières, Evian-les-Bains, Gaillard, Marnaz, Meythet, Scionzier, Thonon-les-Bains et Ville-La-Grande.

Article 4 : Le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt est chargé de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait le 14 juin 2013. Par le Premier ministre : Jean-Marc AYRAULT

Le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, Stéphane LE FOLL

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ARRETE PREFECTORAL N°DT-13-633 DU 15/07/2013 PORTANT AUTORISATION AU TITRE DE L'ARTICLE L.214-3 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT CONCERNANT LA DEVIATION DU COURS D'EAU L'ALAIZE AU LIEU-DIT "PONT BAYARD" SUR LA COMMUNE DE TALAUDIERE La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de l'environnement et notamment ses articles L. 211-1, L. 214-1 à L. 241-6, R. 123-1 à R. 123-46 et R. 214-1 à R. 214-56 ; VU le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) ; VU le dossier de demande d'autorisation complet et régulier déposé au titre de l'article L. 214-3 du code de l'environnement reçu le 3/06/2012, présenté par le CONSEIL GENERAL DE LA LOIRE représenté par Monsieur le Président BONNE Bernard, enregistré sous le n° 42-2011-00100 et relatif à la déviation du cours d'eau l'Alaize ; VU l'enquête publique réglementaire qui s'est déroulée du 10/01/2013 au 08/02/2013 ; VU le rapport et les conclusions du commissaire enquêteur déposés le 11/03/2013 et émettant un avis favorable au projet ;

88 VU le rapport rédigé par le service police de l'eau en date du 17/05/2013 ; VU l'avis favorable émis par le conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques de la Loire en date du 3/06/2013 ; VU le projet d'arrêté adressé à Monsieur le Monsieur le Président du CONSEIL GENERAL DE LA LOIRE en date du 7/06/2013 ; Considérant que le pétitionnaire n'a pas émis d'avis dans le délai de 15 jours qui lui est réglementairement imparti sur le projet d'arrêté d'autorisation qui lui a été transmis par courrier du 7/06/2013 ; Considérant que les prescriptions du présent arrêté permettent de garantir une gestion globale et équilibrée de la ressource en eau ; Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

TITRE I OBJET DE L'AUTORISATION

Article 1er : Objet de l'autorisation Le pétitionnaire, le CONSEIL GENERAL DE LA LOIRE, représenté par son Président, est autorisé en application de l'article L. 214-3 du code de l'environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, à réaliser l'opération suivante : Déviation du cours d'eau l’Alaize sur la commune de LA TALAUDIERE.

Les rubriques définies au tableau de l'article R. 214-1 du code de l'environnement concernées par cette opération sont les suivantes :

Rubrique Intitulé Régime 3.1.1.0 Installations, ouvrages, remblais et épis, dans le lit mineur d'un cours Déclaration d'eau, constituant : 1° Un obstacle à l'écoulement des crues (A) ; 2° Un obstacle à la continuité écologique : a) Entraînant une différence de niveau supérieure ou égale à 50 cm, pour le débit moyen annuel de la ligne d'eau entre l'amont et l'aval de l'ouvrage ou de l'installation (A) ; b) Entraînant une différence de niveau supérieure à 20 cm mais inférieure à 50 cm pour le débit moyen annuel de la ligne d'eau entre l'amont et l'aval de l'ouvrage ou de l'installation (D). Au sens de la présente rubrique, la continuité écologique des cours d'eau se définit par la libre circulation des espèces biologiques et par le bon déroulement du transport naturel des sédiments. 3.1.2.0 Installations, ouvrages, travaux ou activités conduisant à modifier le Autorisation profil en long ou le profil en travers du lit mineur d'un cours d'eau, à l'exclusion de ceux visés à la rubrique 3.1.4.0, ou conduisant à la dérivation d'un cours d'eau: 1° Sur une longueur de cours d'eau supérieure ou égale à 100 m (A) 2° Sur une longueur de cours d'eau inférieure à 100 m (D) 3.1.3.0 Installations ou ouvrages ayant un impact sensible sur la luminosité Déclaration nécessaire au maintien de la vie et de la circulation aquatique dans un cours d'eau sur une longueur : 1° Supérieure ou égale à 100 m (A) ; 2° Supérieure ou égale à 10 m et inférieure à 100 m (D). 3.1.5.0 Installations, ouvrages, travaux ou activités étant de nature à détruire les Déclaration frayères, les zones de croissance ou les zones d'alimentation de la faune piscicole, des crustacés et des batraciens : 1°) Destruction de plus de 200 m2 de frayères (A), 2°) Dans les autres cas (D)

Article 2 : Caractéristiques des ouvrages Les travaux autorisés concernent la section du cours d’eau L’Alaize sur la commune de LA TALAUDIERE, au lieu- dit Pont-Bayard, au niveau de l’intersection entre la RD3 et la RD1498, et en amont immédiat de la confluence avec le cours d’eau l’Onzon.

89 La localisation du projet est reportée sur le plan joint en annexe 1.

2.1 Seuils en travers de cours d’eau Seront implantés 10 seuils d’une hauteur maximale de 30 cm.

2.2 Modification en long et en travers du profil du cours d’eau Les travaux consistent à dévier le lit actuel du cours d’eau sur une longueur de 180 mètres de l’ouvrage de franchissement de la RD3, à la confluence avec l’Onzon. Le tracé est figuré en annexe 2.

2.3 Ouvrage de franchissement de la RD3 L’Alaize sera couverte par un ouvrage de franchissement par la RD3, sur une longueur d’environ 13 m. L’ouvrage construit en remplacement de l’existant sera un ouvrage voûte d’une longueur d’environ 13m , d’une largeur de 4m, et d’une hauteur de 2.80m.

TITRE II : PRESCRIPTIONS

Article 3 : Prescriptions spécifiques 3.1 Caractéristiques géométriques du lit mineur Le lit à créer se rapprochera du gabarit naturel du cours d’eau : il sera de forme trapézoïdale avec une largeur en fond de 1.10 m minimum, et présentant une diversité de largeurs de lit et de pente de talus.

3.2 Caractéristiques des seuils Les 3 seuils existants seront remplacés par 10 mini-seuils cintrés de 30 cm de hauteur. Ils permettent d’avoir un profil de pente régulier de 1.2% entre seuils. Ils devront permettre de concentrer les écoulements à l’étiage en présentant un point bas.

3.3 Reconstitution du fond du lit mineur Les conditions granulométriques du fond du lit sont reconstituées à l’identique à celles présentes dans le lit actuel. A cet effet, la réutilisation des matériaux issus du lit existant est privilégiée.

3.4 Reconstitution des berges Les berges sont intégralement reconstituées par des techniques végétales vivantes, sauf à l’amont et aval immédiat de l’ouvrage hydraulique: • Protection contre l’érosion en pied de berges par mise en place de fascines fixées par des pieux en acacia, ou par mise en place de tressage en saule selon les zones ; • Les talus de berge seront protégés par la mise en place de nattes de coco biodégradables • Engazonnement des talus pour éviter l’apparition de plantes envahissantes par semis de type prairie

L’annexe 3 présente un profil type.

3.5 Ouvrage de franchissement par la RD3 Cet ouvrage devra permettre la continuité sédimentaire et biologique. Il sera implanté dans l’axe actuel du lit du cours d’eau au niveau de la RD3. Il s’agira d’un ouvrage voûte d’une longueur d’environ 13m , d’une largeur de 4m, et d’une hauteur de 2.80m. L’ouvrage sera calé à une pente respectant celle du cours d’eau et son radier sera calé à 30 cm minimum en dessous du fond du lit du ruisseau. Le fond de l’ouvrage sera équipé de barrettes alternées pour tenir le substrat du lit en place. Il sera mis en place une banquette béton avec raccordement sur les berges aux sorties de l’ouvrage pour la passage de la petite faune terrestre. La tête amont de l’ouvrage sera protégée par un ouvrage d’entonnement composé d’un mur de tête, des murs en aile sur les talus, et d’une protection fond de lit en pied d’ouvrage. La tête aval sera protégée par une bêche parafouille, un mur de tête prolongé sur les talus par de murs en aile. Des enrochements seront mis en place au niveau des murs en aile en sortie d’ouvrage pour raccordement sur les berges. L’ouvrage est figuré en annexe 4.

3.6 Prescriptions relatives à la phase chantier

3.6.1 Phase chantier Les travaux doivent être réalisés avec le souci constant de l'environnement et des milieux aquatiques. Plan de chantier

90 Le pétitionnaire établit un plan de chantier et un planning visant, le cas échéant, à moduler dans le temps et dans l'espace l'activité en fonction : • des conditions hydrodynamiques, hydrauliques ou météorologiques ; • de la sensibilité de l'écosystème et des risques de perturbation de son fonctionnement : Ce plan de chantier précise : • la destination des déblais et remblais éventuels ainsi que les zones temporaires de stockage • les mesures mises en œuvre pour maîtriser les eaux de ruissellement sur le chantier • Les mesures mises en œuvre pour assurer la continuité hydraulique en phase chantier, et la protection du milieu aquatique Ce plan est actualisé autant que nécessaire et transmis, au moins huit jours avant les phases de travaux correspondantes, au service chargé de la police de l'eau. Compte-rendus de chantier Le pétitionnaire adresse au service chargé de la police de l'eau les compte-rendus de chantier qu'il établit au fur et à mesure de l'avancement de celui-ci, dans lequel il retrace le déroulement des travaux, toutes les mesures qu'il a pris pour respecter les prescriptions du présent arrêté ainsi que les effets qu'il a identifié de son aménagement sur le milieu et sur l'écoulement des eaux. Protection du milieu aquatique Toutes les mesures sont mises en œuvre pour éviter toute forme pollution des eaux, de perturbation sensible du milieu et du régime hydraulique de l’Alaize et de l’Onzon pendant la phase chantier. Les installations de chantier, les zones de stationnement et d'entretien des engins, et les produits susceptibles de porter atteinte à la qualité des eaux sont implantées hors de tout risque d’atteinte des crues. Les eaux pluviales de ces zones sont maîtrisées avec une attention particulière aux risques de pollution par les hydrocarbures. Des bacs ou des zones de rétention sont le cas échéant mis en œuvre pour éviter tout rejet de matières polluantes et toxiques dans le cours d'eau et dans le sol. Les eaux ruisselant sur les surfaces décapées devront être maîtrisées ; des dispositifs de décantation et de filtration seront mis en œuvre pour éviter les départs de matières en suspension dans le cours d'eau. Lors d'emploi de béton, les laitances de ciment, les eaux de lavage des toupies et de matériels ne doivent pas rejoindre le cours d'eau. Le travail se fera à sec, selon une méthodologie décrite dans le plan de chantier : Espèces végétales invasives Afin de protéger le site contre l'introduction de toutes espèces végétales invasives dont notamment la renouée du Japon, les matériels affectés au chantier devront y arriver propres afin d'éviter toute dissémination. 3.6.2 Fin des travaux - Récolement: Le pétitionnaire adresse au service police de l'eau les plans de récolement des ouvrages objet de la présente autorisation.

Article 4 : Moyens d'analyses, de surveillance et de contrôle (y compris auto contrôle) 4.1 Surveillance et contrôle de l’ouvrage hydraulique Une visite annuelle et après chaque crue sera effectuée pour vérifier le bon fonctionnement de l’ouvrage. 4.2 Surveillance du nouveau lit La pérennité des aménagements passe par leur surveillance et leur entretien réguliers, en particulier en ce qui concerne les berges en génie végétal. Il convient donc de prévoir un entretien de la végétation adaptée au contexte rivulaire et à la présence d’ouvrages en aval, notamment : recépage des massifs arbustifs, abattage des sujets dangereux ou inadaptés au contexte hydraulique local, élagage des arbres. Le suivi portera également sur les aspects morphologiques et piscicoles : • Suivi de l’évolution des berges et du lit : formation et évolution d’atterrissement, radiers/mouilles … • Reconquête piscicole du site, • Evolution des habitats aquatiques (caches, substrat, herbiers, frayères… ) Les résultats seront transmis au service police de l’eau 1 an, 3 ans, et 5 ans après la mise en service du chenal.

Article 5 : Mesures correctives et compensatoires Les mesures correctives sont intégrées au projet : reconstitution d'une ripisylve des berges, suppression des seuils infranchissables, et mise en place d’une banquette dans l’ouvrage hydraulique pour la faune terrestre.

Titre III : DISPOSITIONS GENERALES

Article 6 : Conformité au dossier et modifications Les installations, ouvrages, travaux ou activités, objets de la présente autorisation, sont situés, installés et exploités conformément aux plans et contenu du dossier de demande d'autorisation sans préjudice des dispositions de la présente autorisation.

91 Toute modification apportée aux ouvrages, installations, à leur mode d'utilisation, à la réalisation des travaux ou à l'aménagement en résultant, à l'exercice des activités ou à leur voisinage et entraînant un changement notable des éléments du dossier de demande d'autorisation doit être porté, avant sa réalisation à la connaissance du préfet, conformément aux dispositions de l'article R. 214-18 du code de l'environnement.

Article 7 : Caractère de l'autorisation L'autorisation est accordée à titre personnel, précaire et révocable sans indemnité de l'état exerçant ses pouvoirs de police. Faute pour le pétitionnaire de se conformer dans le délai fixé aux dispositions prescrites, l'administration pourra prononcer la déchéance de la présente autorisation et, prendre les mesures nécessaires pour faire disparaître aux frais du pétitionnaire tout dommage provenant de son fait, ou pour prévenir ces dommages dans l'intérêt de l'environnement de la sécurité et de la santé publique, sans préjudice de l'application des dispositions pénales relatives aux contraventions au code de l'environnement. Il en sera de même dans le cas où, après s'être conformé aux mesures prescrites, le pétitionnaire changerait ensuite l'état des lieux fixé par cette présente autorisation, sans y être préalablement autorisé, ou s'il ne maintenait pas constamment les installations en état normal de bon fonctionnement.

Article 8 : Déclaration des incidents ou accidents Le pétitionnaire est tenu de déclarer, dès qu'il en a connaissance, au préfet les accidents ou incidents intéressant les installations, ouvrages, travaux ou activités faisant l'objet de la présente autorisation, qui sont de nature à porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L. 211-1 du code de l'environnement. Sans préjudice des mesures que pourra prescrire le préfet, le maître d'ouvrage devra prendre ou faire prendre les dispositions nécessaires pour mettre fin aux causes de l'incident ou accident, pour évaluer ses conséquences et y remédier. Le pétitionnaire demeure responsable des accidents ou dommages qui seraient la conséquence de l'activité ou de l'exécution des travaux et de l'aménagement.

Article 9 : Accès aux installations Les agents chargés de la police de l’eau et des milieux aquatiques auront libre accès aux installations, ouvrages, travaux ou activités autorisés par la présente autorisation, dans les conditions fixées par le code de l’environnement. Ils pourront demander communication de toute pièce utile au contrôle de la bonne exécution du présent arrêté.

Article 10 : Droit des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 11 : Autres réglementations La présente autorisation ne dispense en aucun cas le pétitionnaire de faire les déclarations ou d’obtenir les autorisations requises par d’autres réglementations.

Article 12 : Publication et information des tiers Un avis au public faisant connaître les termes de la présente autorisation sera publié à la diligence des services de la Préfecture de la Loire et aux frais du demandeur, en caractères apparents, dans deux journaux locaux ou régionaux diffusés dans le département de la Loire. Une copie de la présente autorisation sera transmise pour information au conseil municipal de LA TALAUDIERE. Un extrait de la présente autorisation énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles cette autorisation est soumise sera affiché dans les mairies dont la liste est annexée au présent arrêté pendant une durée minimale d’un mois. Un exemplaire du dossier de demande d'autorisation sera mis à la disposition du public pour information à la Préfecture de la Loire, ainsi qu’à la mairie de la commune de LA TALAUDIERE. La présente autorisation sera à disposition du public sur le site Internet de la préfecture de la Loire pendant une durée d’au moins 1 an.

Article 13 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif de Lyon (184 rue Duguesclin – 69003 Lyon), conformément à l'article R. 514-3-1 du code de l'environnement : • par les tiers dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage en mairie prévu au R. 214-19 du code de l'environnement. Toutefois, si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la publication ou l'affichage du présent arrêté, le délai de recours continue jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après cette mise en service ;

92 • par le pétitionnaire dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle le présent arrêté lui a été notifié. Dans le même délai de deux mois, le pétitionnaire peut présenter un recours gracieux. Le silence gardé par l’administration pendant plus de deux mois sur la demande de recours gracieux emporte décision implicite de rejet de cette demande conformément à l’article R. 421-2 du code de justice administrative.

Article 14 : Exécution Le président du Conseil Général de la Loire Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, Le maire de LA TALAUDIERE, Le directeur départemental des Territoires de la Loire, Le Responsable départemental de l’ONEMA, Le commandant du Groupement de gendarmerie départementale de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire, et dont une ampliation sera tenue à la disposition du public dans chaque mairie intéressée.

Saint-Etienne, le 15 juillet 2013 La Préfète de la Loire Fabienne BUCCIO

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ARRETE PREFECTORAL DT-13-648 DU 18/07/2013 AUTORISANT LA CAPTURE TEMPORAIRE SUIVIE D’UN RELACHER, LE TRANSPORT, LE MARQUAGE LEGER, DE CHIROPTERES À L’EXCLUSION DES ESPÈCES FIGURANT À L’ARRÊTÉ DU 9 JUILLET 1999 MODIFIÉ La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite

DEROGATION AUX INTERDICTIONS RELATIVES AUX ESPECES PROTEGEES Soumises au titre 1er du livre IV du code de l’environnement relatif à la protection de la faune et de la flore

Bénéficiaires : Groupe Chiroptères Rhône-Alpes

Vu le code de l’environnement et notamment ses articles L.411-2 et R.411- 1 à R.411-14 ainsi que les arrêtés pris pour leur application ; Vu l’arrêté du 23 avril 2007 fixant la liste des mammifères terrestres protégés sur l’ensemble du territoire et les modalités de leur protection ; Vu l’arrêté du 9 juillet 1999 fixant la liste des espèces de vertébrés protégées menacées d'extinction en France et dont l'aire de répartition excède le territoire d'un département ; Vu l’arrêté du 19 février 2007 fixant les conditions de demande et d'instruction des dérogations définies au 4° de l'article L. 411-2 du code de l'environnement portant sur les espèces de faune et de flore sauvages protégées ; Vu l’arrêté préfectoral n° 13-28 en date du 6 juin 2013 portant nomination de M. Jacques DUMEZ en qualité de Directeur Départemental par intérim de la DDT de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 13-29 en date du 6 juin 2013 portant délégation de signature à M. Jacques DUMEZ, Directeur Départemental par intérim de la DDT de la Loire ; Vu la demande de dérogation pour la capture temporaire suivi d’un relâcher, le transport et le marquage léger de spécimens d’espèces animales protégées faite par la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO), groupe chiroptères Rhône-Alpes, le 25 mars 2013 ; Vu l’avis favorable de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement en date du 9 avril 2013 ; Vu l’avis favorable du Conseil National de Protection de la Nature en date du 9 juin 2013; Considérant le bien fondé et l'intérêt du projet qui s'inscrit dans le cadre du plan national d’actions - PNA- en faveur des chiroptères, décliné au niveau régional, aux fins de leur protection et de leur conservation ; Considérant l’opportunité des opérations qui seront réalisées par des personnes dont le travail est reconnu dans ce domaine ;

A R R E T E

Article 1

93 Nom ou dénomination et forme juridique du bénéficiaire de Ligue de Protection des Oiseaux (LPO), groupe chiroptères l’autorisation Rhône-Alpes Nom du mandataire Stéphane VINCENT Adresse 10, rue Roc Grivel 26400 CREST EST AUTORISE A voir conditions particulières Pour l’ensemble du département de la LOIRE SPECIMEN (S) VIVANT (S) de (taxon(s) concerné (s)) DE L’ESPECE Toutes les espèces de chiroptères présentes en région Rhône-Alpes à l’exclusion des espèces figurant à l’arrêté du 9 juillet 1999

DESCRIPTION Protection, inventaire de population, étude éco-éthologique, sauvetage, conservation des habitats

CONDITIONS PARTICULIERES - Capturer, poser des marquages légers et temporaires, relâcher des spécimens vivants de chiroptères – à l'exclusion des espèces figurant à l'arrêté du 9/07/1999. Ces opérations se feront dans le cadre des actions du Plan National d'Actions Chiroptères et de sa déclinaison régionale, en privilégiant les méthodes acoustiques (détecteurs d’ultrasons) pour les inventaires et les captures ne devant être pratiquées que pour les études nécessitant celles-ci (étude génétique, reproduction), - Transporter des chiroptères nécessitant des soins vers un centre de soins agréé, - Transporter des spécimens de chiroptères morts dans le cadre d’un suivi épidémiologique et de recherche sur des mortalités groupées, - Intervenir chez des particuliers, avec leur accord, dans le cadre de sauvetage de spécimens sous réserve que l'état de conservation de la population de l'espèce incriminée ne soit pas affectée. Dans le cas où l'état de conservation devrait être affecté, une demande de dérogation, conformément à l'article L.411-2 du Code de l'Environnement, devra être déposée, - Capturer, transporter et relâcher des individus dans le cadre de chantiers impliquant maître d'ouvrage et maître d’oeuvre. En outre, pour des interventions de sauvetage, elles sont autorisées sous conditions que le maître d'ouvrage ou le maître d’oeuvre ait déposé une demande de dérogation, conformément à l'article L.411-2 du Code de l'Environnement, et ait reçu un avis favorable de l’autorité administrative compétente. AUTORISATION VALABLE du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2017 Pour les opérations effectuées un rapport annuel récapitulatif de l’ensemble des données devra parvenir à la DREAL Franche-Comté coordinatrice du PNA Chiroptères, ainsi qu’à la DREAL Rhône-Alpes, selon la trame proposée par le MNHN.

Article 2 : La présente décision ne dispense pas de l'obtention d'autres accords ou autorisations par ailleurs nécessaires pour la réalisation de l'opération sus-mentionnée et du respect des autres dispositions réglementaires susceptibles d'être applicables sur les espaces protégés du territoire d'étude.

Article 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Régional de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes et Monsieur le Directeur Départemental des Territoires de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2013 Pour le Préfète et par délégation Le Directeur Départemental des Territoires par intérim Jacques DUMEZ

Personnes du groupe chiroptères Rhône-Alpes habilitées dans le cadre de cette dérogation : • ISSARTEL Gérard • PEYRARD Yoann • DEANA Thomas • CORNUT Julien • GIRARD-CLAUDON Julien • VINCENT Stéphane • LETSCHER Robin • RIBATTO Edouard • SOUSBIE Olivier ******************

94 ARRETE PREFECTORAL DT-13-649 DU 18/07/2013 AUTORISANT LA CAPTURE TEMPORAIRE SUIVIE D’UN RELACHER, LE TRANSPORT, DE CHIROPTERES À L’EXCLUSION DES ESPÈCES FIGURANT À L’ARRÊTÉ DU 9 JUILLET 1999 MODIFIÉ La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite

DEROGATION AUX INTERDICTIONS RELATIVES AUX ESPECES PROTEGEES Soumises au titre 1er du livre IV du code de l’environnement relatif à la protection de la faune et de la flore

Bénéficiaires : Groupe Chiroptères Rhône-Alpes

Vu le code de l’environnement et notamment ses articles L.411-2 et R.411- 1 à R.411-14 ainsi que les arrêtés pris pour leur application ; Vu l’arrêté du 23 avril 2007 fixant la liste des mammifères terrestres protégés sur l’ensemble du territoire et les modalités de leur protection ; Vu l’arrêté du 9 juillet 1999 fixant la liste des espèces de vertébrés protégées menacées d'extinction en France et dont l'aire de répartition excède le territoire d'un département ; Vu l’arrêté du 19 février 2007 fixant les conditions de demande et d'instruction des dérogations définies au 4° de l'article L. 411-2 du code de l'environnement portant sur les espèces de faune et de flore sauvages protégées ; Vu l’arrêté préfectoral n° 13-28 en date du 6 juin 2013 portant nomination de M. Jacques DUMEZ en qualité de Directeur Départemental par intérim de la DDT de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 13-29 en date du 6 juin 2013 portant délégation de signature à M. Jacques DUMEZ, Directeur Départemental par intérim de la DDT de la Loire ; Vu la demande de dérogation pour la capture temporaire suivi d’un relâcher et le transport de spécimens d’espèces animales protégées faite par la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO), groupe chiroptères Rhône-Alpes, le 25 mars 2013 ; Vu l’avis favorable de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement en date du 9 avril 2013 ; Vu l’avis favorable du Conseil National de Protection de la Nature en date du 9 juin 2013; Considérant le bien fondé et l'intérêt du projet qui s'inscrit dans le cadre du plan national d’actions - PNA- en faveur des chiroptères, décliné au niveau régional, aux fins de leur protection et de leur conservation ; Considérant l’opportunité des opérations qui seront réalisées par des personnes dont le travail est reconnu dans ce domaine ;

A R R E T E

Article 1 Nom ou dénomination et forme juridique du bénéficiaire Ligue de Protection des Oiseaux (LPO), groupe de l’autorisation chiroptères Rhône-Alpes Nom du mandataire Stéphane VINCENT Adresse 10, rue Roc Grivel 26400 CREST

EST AUTORISE A voir conditions particulières

Pour l’ensemble du département de la LOIRE

SPECIMEN (S) VIVANT (S) de (taxon(s) concerné (s)) DE L’ESPECE Toutes les espèces de chiroptères présentes en région Rhône-Alpes à l’exclusion des espèces figurant à l’arrêté du 9 juillet 1999

DESCRIPTION Protection, inventaire de population, étude éco-éthologique, sauvetage, conservation des habitats

CONDITIONS PARTICULIERES - Capturer, relâcher des spécimens vivants de chiroptères – à l'exclusion des espèces figurant à l'arrêté du 9/07/1999.

95 Ces opérations se feront dans le cadre des actions du Plan National d'Actions Chiroptères et de sa déclinaison régionale, en privilégiant les méthodes acoustiques (détecteurs d’ultrasons) pour les inventaires et les captures ne devant être pratiquées que pour les études nécessitant celles-ci (étude génétique, reproduction), - Transporter des chiroptères nécessitant des soins vers un centre de soins agréé, - Transporter des spécimens de chiroptères morts dans le cadre d’un suivi épidémiologique et de recherche sur des mortalités groupées, - Intervenir chez des particuliers, avec leur accord, dans le cadre de sauvetage de spécimens sous réserve que l'état de conservation de la population de l'espèce incriminée ne soit pas affectée. Dans le cas où l'état de conservation devrait être affecté, une demande de dérogation, conformément à l'article L.411-2 du Code de l'Environnement, devra être déposée, - Capturer, transporter et relâcher des individus dans le cadre de chantiers impliquant maître d'ouvrage et maître d’oeuvre. En outre, pour des interventions de sauvetage, elles sont autorisées sous conditions que le maître d'ouvrage ou le maître d’oeuvre ait déposé une demande de dérogation, conformément à l'article L.411-2 du Code de l'Environnement, et ait reçu un avis favorable de l’autorité administrative compétente. AUTORISATION VALABLE du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2017 Pour les opérations effectuées un rapport annuel récapitulatif de l’ensemble des données devra parvenir à la DREAL Franche-Comté coordinatrice du PNA Chiroptères, ainsi qu’à la DREAL Rhône-Alpes, selon la trame proposée par le MNHN.

Article 2 : La présente décision ne dispense pas de l'obtention d'autres accords ou autorisations par ailleurs nécessaires pour la réalisation de l'opération sus-mentionnée et du respect des autres dispositions réglementaires susceptibles d'être applicables sur les espaces protégés du territoire d'étude.

Article 3 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Régional de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes et Monsieur le Directeur Départemental des Territoires de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2013 Pour le Préfète et par délégation Le Directeur Départemental des Territoires par intérim Jacques DUMEZ

Personnes du groupe chiroptères Rhône-Alpes habilitées dans le cadre de cette dérogation : • RASPAIL Loïc • FONTERS Rémi • BILLARD Gilbert • MANALT Frédéric • TRAVERSIER Julien • SCHÖNBÄCHLER Cyril • LE BARZ Céline • BERETZ Manuelle • ALLEGRINI Benjamin • THEPAUT Erwann • PRAT Christian • SOL Mickaël • CHICO-SARRO Pierre • LOUIS Jean-Claude • BERANGER Myrtille

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ARRETE PREFECTORAL DT-13-650 DU 18/07/2013 PORTANT DEROGATION AU REGIME D'INTERDICTION DE CAPTURE D'ESPECES PROTEGEES DE FAUNE La Préfète de la Loire, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite Vu le titre 1er du livre IV du code de l'environnement et notamment les articles L 411-1 et L 411-2, R 411-6 à R 411 14 ; Vu l'arrêté du 19 février 2007 fixant les conditions de demande et d'instruction des dérogations définies au 4° de l'article L 411-2 du code de l'environnement portant sur des espèces de faune et de flore sauvages protégées ;

96 Vu l’arrêté préfectoral n° 13-28 en date du 6 juin 2013 portant nomination de M. Jacques DUMEZ en qualité de Directeur Départemental par intérim de la DDT de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 13-29 en date du 6 juin 2013 portant délégation de signature à M. Jacques DUMEZ, Directeur Départemental par intérim de la DDT de la Loire ; Vu le dossier déposé le 2 avril 2013 par la LPO Rhône-Alpes, pour une demande d'autorisation de capture d'espèce protégée (sonneur à ventre jaune Bombina variegata) dans le cadre du plan régional d'actions en faveur du sonneur à ventre jaune ; Vu l'avis favorable du 11 avril 2013 de M. le Directeur Régional de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes ; Vu l'avis favorable du 12 juin 2013 du Conseil National de Protection de la Nature sur la demande sus mentionnée ; Considérant qu'il n'existe pas d'autre solution satisfaisante pour éviter de solliciter une dérogation aux mesures de protection des espèces de faune et de flore sauvages ; Considérant que cette dérogation ne nuit pas au maintien de l'état de conservation favorable des espèces dans les aires de répartition naturelle ;

A R R E T E

Article 1 er : La demande de dérogation au régime d'interdiction prévu à l'article L 411-1 du code de l'environnement est accordée à la LPO Rhône Alpes dans les conditions définies à l'article 2.

Article 2 : Conditions de l'autorisation : - mise en oeuvre des mesures de protection sanitaire dans la manipulation des spécimens (mycoses à Batrachochytridés) - formation au préalable des mandataires de la LPO Rhône-Alpes à la capture d'amphibiens et au protocole d'hygiène établi par la SHF - transmission des données recueillies à la DREAL Lorraine coordinatrice du PNA.

Article 3 : 1/ Mandataires : Julien CORNUT Rémi FONTERS Adrien BOYER Ludivine QUAY 2/ Objet de la demande : capture d'espèce protégée (sonneur à ventre jaune Bombina variegata) dans le cadre du plan régional d'actions en faveur du sonneur à ventre jaune. 3/ Durée de validité de la demande de dérogation : 2013 à 2015 4/ Lieu d'intervention : département de la Loire 5/ Suivi de la demande de dérogation : un rapport annuel devra être rédigé et transmis à la Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes et à la Direction Départementale des Territoires de la Loire.

Article 4 : La présente décision ne dispense pas de l'obtention d'autres accords ou autorisations par ailleurs nécessaires pour la réalisation de l'opération sus-mentionnée et du respect des autres dispositions réglementaires susceptibles d'être applicables sur les espaces protégés du territoire d'étude.

Article 5 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Loire, Monsieur le Directeur Régional de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Rhône-Alpes et Monsieur le Directeur Départemental des Territoires de la Loire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 18 juillet 2013 Pour le Préfète et par délégation Le Directeur Départemental des Territoires par intérim Jacques DUMEZ

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97 ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N°DT-13-677 DU 19/07/2013 PORTANT AUTORISATION DE PÉNÉTRER SUR DES PROPRIÉTÉS PRIVÉES DANS LE CADRE DE LA RÉALISATION DE L'ÉTUDE DE DÉTERMINATION DES COURS D'EAU SUR LE BASSIN VERSANT DU GIER La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le titre 1er du livre IV du code de l'environnement ; VU la loi du 29 décembre 1892 sur les dommages causés à la propriété privée par l’exécution des travaux publics ; VU le SDAGE Rhône-Méditerranée ; Considérant les conclusions de l'étude volume prélevable sur le bassin du Gier et la nécessité de définir les cours d'eau sur ce bassin pour faciliter la gestion de la ressource ; Sur proposition de Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

Article 1er : Les agents de la DDT, de l'ONEMA ainsi que les chargés d'études mandatés du bureau d'études d'Artelia, chargés des opérations d'inventaire des cours d'eau sont autorisés, sur les commune de Saint-Chamond, Marcenod, Génilac, Chagnon, Saint-Christo-en-Jarez, Saint-Joseph, Lorette, , Rive-de-Gier, Saint-Martin-la-Plaine, , La Grand-Croix et Saint-Romain-en-Jarez, à toutes opérations qu'exigent leurs travaux et à cet effet, à pénétrer dans les propriétés privées, closes ou non (à l'exception des locaux consacrés à l'habitation).

Article 2 : Chacun de ces agents sera en possession d’une copie au présent arrêté ainsi que d’un ordre de mission, qui devront être présentés à toute réquisition.

Article 3 : Les maires des communes concernées sont invités à prêter leur concours et, au besoin, l’appui de leur autorité pour écarter les difficultés auxquelles pourrait donner lieu l’exécution des opérations envisagées.

Article 4 : Les indemnités qui pourraient être dues pour dommages causés aux propriétaires seront à la charge de l’administration. A défaut d’entente amiable, elles seront réglées par le tribunal administratif de Lyon.

Article 5 : La présente autorisation sera caduque si les travaux d'inventaire n'ont pas commencé dans un délai de six mois à compter de la date de sa publication.

Article 6 : Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, l'ONEMA, le directeur départemental des territoires de la Loire et les maires des communes de Saint-Chamond, Marcenod, Génilac, Chagnon, Saint-Christo-en-Jarez, Saint- Joseph, Lorette, Valfleury, Rive-de-Gier, Saint-Martin-la-Plaine, Cellieu, La Grand-Croix et Saint-Romain-en-Jarez sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire et affiché dans chaque mairie concernée, au moins dix jours avant le début des opérations d’inventaire.

Saint-Etienne, le 19 juillet 2013 La Préfète Fabienne BUCCIO *******************

ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-678 DU 18/07/2013 FIXANT LES CONDITIONS D'EFFACEMENT DU PLAN D'EAU « AVAL » AU LIEU-DIT « LA SAUDIAT » COMMUNE DE CHIRASSIMONT La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de l'environnement et notamment ses articles L. 211-1, L. 214-1 à L. 214-6 et R. 214-1 à R. 214-56 ; VU le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) Loire-Bretagne ; VU les observations de la part de M. Roger DAMIAN-FARJOT sur le projet d'arrêté qui lui a été transmis le 14 juin 2013 ; Considérant que le plan d'eau « aval » appartenant à Monsieur Roger DAMIAN-FARJOT, situé sur la parcelle section C n°38 sur la commune de Chirassimont, intercepte la totalité des écoulements du ruisseau de Pirotte et relève par conséquent d'une procédure d'autorisation au titre de la loi sur l'eau notamment pour la rubrique 3.1.1.0 de l'article R. 214-1 du Code de l'environnement ;

98 Considérant qu'aucune autorisation n'a été délivrée pour la création de ce plan d'eau ; Considérant que M. Roger DAMIAN-FARJOT a confirmé par courrier, daté du 10 mars 2013 et reçu le 15 avril 2013, son choix de supprimer le plan d'eau ; Considérant qu'il convient de fixer les conditions de réalisation des travaux d'effacement du plan d'eau ; Sur proposition du Directeur départemental des territoires de la Loire ;

ARRETE

Article 1 : Objet Monsieur Roger DAMIAN-FARJOT, demeurant au Bourg 42114 CHIRASSIMONT, procèdera à l'effacement du plan d'eau « aval » sis au lieu-dit « La Saudiat » parcelle section C n°38 commune de Chirassimont dans les conditions fixées à l'article 2 du présent arrêté.

Article 2 : Conditions de réalisation Cet effacement sera réalisé dans les conditions suivantes :

2.1. Vidange du plan d'eau L'abaissement du plan d'eau sera réalisé de manière progressive par enlèvement successif des tuyaux de 50 cm emboités les uns dans les autres et constituant le dispositif de vidange. Le cours d'eau de Pirotte étant busé sur une grande partie de son linéaire en aval du plan d'eau, une grande attention devra être portée à l'opération de vidange pour éviter que les boues ne viennent colmater les buses en aval. Un dispositif de filtration des eaux de vidange pourra notamment être installé. Le plan d'eau n'ayant pas le statut d'eau close, les poissons et crustacés éventuellement présents devront être récupérés par l'AAPPMA locale qui décidera après tri de leur destination. Les espèces envahissantes (perche soleil, poisson-chat, écrevisses américaines) devront être détruites. Les espèces de carnassiers (brochet, sandre, black bass, perche) ne devront pas rejoindre le milieu naturel (cours d'eau de première catégorie piscicole).

2.2. Ressuyage des boues et rétablissement du libre écoulement des eaux du ruisseau de Pirotte A l'issue des opérations précédemment décrites, l'ensemble des tuyaux de vidanges devra avoir été retiré de manière à permettre le ressuyage des boues et l'installation d'une végétation spontanée à même d'assurer leur minéralisation et leur stabilisation. Cette complète ouverture des ouvrages de vidange permettra aussi de rétablir le libre écoulement du ruisseau de Pirotte. Le lit du cours d'eau se créera naturellement au sein des sédiments de la retenue vide. Le cas échéant, une végétalisation complémentaire des berges sera prévues afin d'éviter les érosions. La période de ressuyage des boues devra être d'au moins 6 mois pour éviter leur relargage.

2.3. Démantèlement du barrage de retenue

Après ressuyage des boues, le barrage de retenue sera progressivement démantelé à la pelle mécanique. Les matériaux seront extraits depuis la crête du barrage jusqu'à son pied sur au moins la moitié de sa longueur de manière à ce que celui-ci ne fasse plus obstacle à l'écoulement des crues. Les matériaux pourront éventuellement être stockés sur place, mais en dehors du champs d'expansion des crues du ruisseau de Pirotte. Toutes les précautions devront être prises afin de ne pas porter atteinte au milieu aquatique, en particulier : • veiller à ce que les engins de chantier n'effectuent pas de passages répétés dans les zones d'écoulement, • éviter tout rejet d'hydrocarbures et d'autres substances utilisées par les engins de chantier, • le cas échéant, un dispositif de filtration sera mis en place pour limiter le départ des matières en suspension. Une attention particulière sera portée à cette opération afin d'éviter l'obstruction des buses situées en aval du plan d'eau par les matériaux constitutifs de la digue.

Article 3 : Délai de réalisation Les travaux d’effacement du plan devront être réalisés dans le délai d'un an suivant la notification du présent arrêté. Le service chargé de la police de l'eau (04 77 43 34 97) ainsi que l'ONEMA (M. Valfort 06 30 48 87 61) seront avisés du démarrage et de la fin des travaux. Il en sera de même en cas d'incident durant les travaux.

Article 4 : Contrôle des travaux Le pétitionnaire est tenu de laisser accès aux agents chargés du contrôle dans les conditions prévues à l'article L. 216- 4 du Code de l’environnement.

99 Article 5 : Sanctions En cas de non respect des dispositions prévues par le présent arrêté, Monsieur Roger DAMIAN-FARJOT est passible des sanctions administratives prévues par les articles L. 216-1 du Code de l’Environnement, ainsi que des sanctions pénales prévues par les articles L. 216-9 et L. 216-10 du même code.

Article 6 : Droit des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 7 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif de LYON (184 rue Duguesclin - 69003 Lyon), conformément à l'article R. 514-3-1 du code de l'environnement : • par les tiers dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage en mairie prévu au R. 214-19 du code de l'environnement. Toutefois, si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la publication ou l'affichage du présent arrêté, le délai de recours continue jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après cette mise en service ; • par le pétitionnaire dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle le présent arrêté lui a été notifié. Dans le même délai de deux mois, le pétitionnaire peut présenter un recours gracieux. Le silence gardé par l’administration pendant plus de deux mois sur la demande de recours gracieux emporte décision implicite de rejet de cette demande conformément à l’article R. 421-2 du code de justice administrative.

Article 8 : Publication et information des tiers Une copie du présent arrêté sera transmise à la mairie de la commune de CHIRASSIMONT, pour affichage pendant une durée minimale d'un mois. Ces informations seront mises à disposition du public sur le site Internet de la préfecture de la Loire pendant une durée d’au moins 6 mois.

Article 9 : Exécution Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, Le maire de la commune de Chirassimont, Le directeur départemental des territoires de la Loire, Le commandant du Groupement de gendarmerie départementale de la Loire, Le responsable de la brigade départementale Loire de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 18 juillet 2013 La Préfète Fabienne BUCCIO

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ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N°DT-13-675 DU 26/07/2013 PORTANT PRESCRIPTIONS COMPLÉMENTAIRES À AUTORISATION AU TITRE DE L'ARTICLE L. 214-3 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT CONCERNANT LA GESTION DES EAUX PLUVIALES DES SECTEUR « COLLÈGE » ET « PIERRE CHARVE » COMMUNE DE CHAZELLES SUR LYON La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de l'environnement et notamment ses articles L.211-1, L. 214-1 à L.241-6 et R.214-1 à R.214-56, R.214- 122 à R.214-124 et R.214-136; VU le code général des collectivités territoriales ; VU le code civil et notamment son article 640 ; VU le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) Loire-Bretagne ; VU la reconnaissance d'antériorité de l'ensemble des rejets d'eaux pluviales de la commune de CHAZELLES SUR LYON en date du 03 septembre 2009 ; VU le dossier de demande de modification d'autorisation déposé au titre de l'article L. 214-3 du code de l'environnement reçu le 17 décembre 2012, présenté par la commune de CHAZELLES SUR LYON représentée par Monsieur le Maire relatif à la gestion des eaux pluviales des secteurs « Collège » et « Pierre CHARVE » ;

100 VU l'avis de l'Office National de l'eau et des milieux aquatiques en date du 8 février 2013 ; VU le rapport rédigé par le service police de l'eau et le service chargé de la sécurité des ouvrages hydrauliques en date du 3 juin 2013 ; VU l'avis favorable émis par le conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques de la Loire en date du 1er juillet 2013 ; VU l'invitation faite au déclarant de présenter ses observations sur le projet d'arrêté qui lui a été transmis le 4 juillet 2013 ; Considérant que le pétitionnaire n'a pas fait d'observations dans le délai qui lui est réglementairement imparti sur le projet d'arrêté qui lui a été transmis le 4 juillet 2013 ; Considérant que le projet a été engagé avant le 07 avril 2011 et par conséquent ne nécessite pas que les ouvrages soient conçus par un organisme agréé Considérant que les bassins de rétention et leurs équipements permettront de limiter les débits rejetés dans le milieu naturel et d'assurer la dépollution de l'eau ; Considérant que les prescriptions du présent arrêté permettent de garantir une gestion globale et équilibrée de la ressource en eau ; Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

TITRE I OBJET DE L'AUTORISATION

Article 1 : Objet de l'autorisation Le pétitionnaire, la COMMUNE DE CHAZELLES SUR LYON représentée par Monsieur le Maire est autorisé en application de l'article L.214-3 du code de l'environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, à réaliser l'opération suivante : Modification des conditions de gestion des eaux pluviales des secteurs du « Collège » et «Pierre CHARVE». La localisation des bassins versants concernés est reportée en annexe 1 du présent arrêté.

Les rubriques définies au tableau de l'article R. 214-1 du code de l'environnement concernées par cette opération sont les suivantes :

Rubrique Intitulé Régime 2.1.5.0 Rejet d'eaux pluviales dans les eaux douces superficielles ou sur le sol Autorisation ou dans le sous-sol, la surface totale du projet, augmentée de la surface correspondant à la partie du bassin naturel dont les écoulements sont interceptés par le projet, étant : 1° Supérieure ou égale à 20 ha (A) 2° Supérieure à 1 ha mais inférieure à 20 ha (D) 3.2.3.0 Plans d'eau, permanents ou non : 1° Dont la superficie est supérieure Déclaration ou égale à 3 ha (A) 2° Dont la superficie est supérieure à 0,1 ha mais inférieure à 3 ha (D) 3.2.5.0 Barrage de retenue et digues de canaux : Déclaration 1° De classes A, B ou C (A) ; 2° De classe D (D).

Article 2 : Caractéristiques des ouvrages, installations, travaux, activités liés à la réalisation de l’opération soumis à autorisation ou à déclaration Les installations, ouvrages, travaux, activités concernées par cette autorisation ont les caractéristiques suivantes :

• 2.1 Rejets d'eaux pluviales Le bassin versant total intercepté par le projet et dont les eaux pluviales sont recueillies, a une superficie d'environ 41,65ha, l'ensemble des eaux pluviales étant rejeté dans le ruisseau via un fossé de voirie. Les points de rejets élémentaires sont les suivants selon le plan annexé :

Numéro de l'ouvrage Bassins de rétention Surface du bassin versant Sous Bassin versant Milieu récepteur de rejet liés à ce rejet intercepté (ha) Rejet 1 Le Collège BR1 La Gimond BV1 : 8,3 Rejet 2 Pierre CHARVE BR2 BV2 :33,25

101 • 2.2 Plans d'eau Deux plans d'eau ayant la fonctionnalité de bassins de rétention d'eaux pluviales seront créés :

Dénomination Surface indicative (m2) Volume indicatif (m3) BR1 1065 1190 BR 2 810 1520 Total 1875 2710

• 2.3 Barrage de retenue BR1 BR 2 Hauteur par rapport au terrain naturel 2,31 mètres 2,90 mètres Largeur en crête 1,5 mètres 1,5 mètres Matériaux constitutifs Terre compactée Terre compactée H2/√V < 1 < 1

Les schémas de principe des barrages de retenues figurent en annexe 2 du présent arrêté..

Article 3 : Classement du barrage Les barrages de retenue des bassins de rétention relèvent de la classe D, selon les dispositions de l'article R. 214-112 du Code de l'environnement.

TITRE II PRESCRIPTIONS

Article 4 : Prescriptions générales Le pétitionnaire doit respecter les prescriptions générales définies dans les arrêtés suivants :

Arrêté du 27 août 1999 modifié par l'arrêté du 27 juillet 2006 portant application du décret no 96-102 du 2 février 1996 et fixant les prescriptions générales applicables aux opérations de création de plans d'eau soumises à déclaration en application des articles L.214-1 à L.214-3 du code de l’environnement et relevant de la rubrique 3.2.3.0 (2°) de la nomenclature annexée à l'article L 214-1 du code de l'environnement

Arrêté du 29 février 2008 modifié par l’arrêté du 16 juin 2009 fixant des prescriptions relatives à la sécurité et à la sûreté des ouvrages hydrauliques

Article 5 : Prescriptions spécifiques • 5.1 Barrages de retenues • 5.1.1 Conception Les ouvrages doivent être conçus suivant les préconisations de l'étude géotechnique réalisée dans le cadre du projet. Notamment, un dispositif de drainage du corps des barrages est mis en œuvre. Les évacuateurs de crue sont dimensionnés pour les occurrences suivantes : .

Crue projet Surverse (évacuateur de crue) BR1 Occurrence décennale soit 2,2 m3/s - Largeur: 6 m - Hauteur: 0,75 m dont 0,4 m de revanche BR2 Occurrence centennale soit 5 m3/s -Largeur: 8 m - Hauteur: 0,90 m dont 0,4 m de revanche

Une revanche minimale de 0,40 mètre au-dessus des plus hautes eaux est assurée. Un coursier en enrochement bétonné et un ouvrage de dissipation sera créé dans le prolongement de chaque évacuateur de crue. Ils permettront aux eaux surversées de rejoindre le fossé de collecte implanté en pied d'ouvrage. • 5.2. Prescriptions relatives à l'exploitation et à la surveillance des barrages Le pétitionnaire devra assurer les prescriptions suivantes : constitution ou mise à jour du dossier de création des ouvrages, constitution du registre de suivi des principaux renseignements relatif aux travaux, l'exploitation et la surveillance des ouvrages,

102 description de l’organisation mise en place pour assurer l’exploitation et la surveillance de l’ouvrage (production des consignes écrites), réalisation d’une visite technique approfondie au moins une fois tous les 10 ans. Les produits de curage des bassins seront évacués dans des filières adaptées.

• 5.3 Prescriptions spécifiques relatives à la phase chantier • 5.3.1 .Maîtrise des eaux de ruissellement Les eaux de ruissellement des zones décapées lors des terrassements seront maîtrisées. Les zones décapées seront isolées des zones hors chantier par des fossés de ceinture. Les eaux issues des zones décapées seront tamponnées par des bassins de rétention provisoires qui auront pour objet la décantation des eaux, la maîtrise des débits de rejet. • 5.3.2 Prescriptions relatives à la lutte contre la renouée du Japon

Les prescriptions suivantes seront respectées afin de limiter au maximum les risques de propagation de la renouée du Japon : ➢ Arrachage manuel ou coupe franche et collecte manuelle de toutes les parties aériennes et de tous les dépôts susceptibles de contenir des fragments de Renouée. Ce matériel vivant sera soit brûlé avec beaucoup de précaution, soit traité chimiquement sur une aire vouée à cet effet et identifiée à une distance éloignée du cours d’eau. ➢ Intervention mécanique sur les rhizomes de Renouée du Japon : excavation de l’ensemble de la partie souterraine, tri des rhizomes à l’aide d’un cribleur, afin de recueillir la majeur partie des parties souterraines de la plante.

Les précautions suivantes devront être prises : ➢ la mise en place d’une bâche pourra faciliter la récupération de l’ensemble des déchets de découpes, ➢ toutes les précautions seront prises pour qu’aucun débris ne soit disséminé lors du transport, ➢ le matériel utilisé sera nettoyé avec précaution (benne de transport, outils…), ➢ en cas de traitement chimique justifié par la difficulté de brûler du matériel vivant riche en eau, les déchets obtenus devront être stockés en site agréé.

Article 6 : Moyens d'intervention en cas d'incident ou d'accident Les bassins seront munis d'un équipement permettant d'interdire le rejet au milieu en cas de pollution. Le pétitionnaire met en œuvre une organisation permettant d'assurer une surveillance régulière des ouvrages. Il veille notamment à ce que sur le moyen terme, la végétation implantée dans les bassins n'obère pas leur capacité de stockage.

Article 7 : Mesures correctives et compensatoires

Rejets d'eaux pluviales Les mesures correctives consistent en la mise en place de bassins de rétention décrits au paragraphe 2.3. Les débits de fuite de ces bassins seront les suivants

La description de chacun des bassins est la suivante : Dénomination Débit de fuite (l/s) Mode de régulation du débit de fuite BR 1 - Orifice de fond du bassin: 25 l/s soit 3 l/ha ajutage bassin versant intercepté - Orifice intermédiaire: 124 l/s soit 15 l/s/ha BR 2 - Orifice de fond du bassin: 70 l/s soit 3 l/ha ajutage - Orifice intermédiaire: 354 l/s soit 15 l/s/ha

TITRE III DISPOSITIONS GENERALES

Article 8 : Conformité au dossier et modifications Les installations, ouvrages, travaux ou activités, objets de la présente autorisation, sont situés, installés et exploités conformément aux plans et contenu du dossier de demande d'autorisation sans préjudice des dispositions de la présente autorisation. Toute modification apportée aux ouvrages, installations, à leur mode d'utilisation, à la réalisation des travaux ou à l'aménagement en résultant, à l'exercice des activités ou à leur voisinage et entraînant un changement notable des éléments du dossier de demande d'autorisation doit être porté, avant sa réalisation à la connaissance du préfet, conformément aux dispositions de l'article R. 214-18 du code de l'environnement.

103 Article 9 : Caractère de l'autorisation L'autorisation est accordée à titre personnel, précaire et révocable sans indemnité de l'État exerçant ses pouvoirs de police. Faute pour le pétitionnaire de se conformer dans le délai fixé aux dispositions prescrites, l'administration pourra prononcer la déchéance de la présente autorisation et, prendre les mesures nécessaires pour faire disparaître aux frais du pétitionnaire tout dommage provenant de son fait, ou pour prévenir ces dommages dans l'intérêt de l'environnement de la sécurité et de la santé publique, sans préjudice de l'application des dispositions pénales relatives aux contraventions au code de l'environnement. Il en sera de même dans le cas où, après s'être conformé aux mesures prescrites, le pétitionnaire changerait ensuite l'état des lieux fixé par cette présente autorisation, sans y être préalablement autorisé, ou s'il ne maintenait pas constamment les installations en état normal de bon fonctionnement.

Article 10 : Déclaration des incidents ou accidents Le pétitionnaire est tenu de déclarer, dès qu'il en a connaissance, au préfet les accidents ou incidents intéressant les installations, ouvrages, travaux ou activités faisant l'objet de la présente autorisation, qui sont de nature à porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L. 211-1 du code de l'environnement. Sans préjudice des mesures que pourra prescrire le préfet, le maître d'ouvrage devra prendre ou faire prendre les dispositions nécessaires pour mettre fin aux causes de l'incident ou accident, pour évaluer ses conséquences et y remédier. Le pétitionnaire demeure responsable des accidents ou dommages qui seraient la conséquence de l'activité ou de l'exécution des travaux et de l'aménagement. Article 11 : Remise en état des lieux Si à l’échéance de la présente autorisation, le pétitionnaire décide de ne pas en demander le renouvellement, le préfet peut faire établir un projet de remise en état des lieux total ou partiel accompagné des éléments de nature à justifier celui-ci.

Article 12 : Accès aux installations Les agents chargés de la police de l’eau et des milieux aquatiques auront libre accès aux installations, ouvrages, travaux ou activités autorisés par la présente autorisation, dans les conditions fixées par le code de l’environnement. Ils pourront demander communication de toute pièce utile au contrôle de la bonne exécution du présent arrêté.

Article 13 : Droit des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 14 : Autres réglementations La présente autorisation ne dispense en aucun cas le pétitionnaire de faire les déclarations ou d’obtenir les autorisations requises par d’autres réglementations.

Article 15 : Publication et information des tiers Un extrait du présent arrêté complémentaire à autorisation énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles cette autorisation est soumise sera affiché à la mairie de CHAZELLES SUR LYON pendant une durée minimale d’un mois. Un exemplaire du dossier de demande d'autorisation sera mis à la disposition du public pour information à la Préfecture de la Loire, ainsi qu’à la mairie de la commune de CHAZELLES SUR LYON. La présente autorisation sera à disposition du public sur le site Internet de la préfecture de la Loire pendant une durée d’au moins 1 an.

Article 16 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif de LYON (184 rue Duguesclin - 69003 Lyon), conformément à l'article R. 514-3-1 du code de l'environnement : • par les tiers dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage en mairie prévu au R. 214-19 du code de l'environnement. Toutefois, si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la publication ou l'affichage du présent arrêté, le délai de recours continue jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après cette mise en service ; • par le pétitionnaire dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle le présent arrêté lui a été notifié. Dans le même délai de deux mois, le pétitionnaire peut présenter un recours gracieux. Le silence gardé par l’administration pendant plus de deux mois sur la demande de recours gracieux emporte décision implicite de rejet de cette demande conformément à l’article R. 421-2 du code de justice administrative.

104 Article 17 : Exécution Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, Le maire de CHAZELLES SUR LYON, Le chef de la brigade départementale de la Loire de l'office national de l'eau et des milieux aquatiques, Le directeur départemental de la Direction Départementale des Territoires de la Loire, Le directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et et du logement Rhône-Alpes, Le commandant du Groupement de gendarmerie départementale de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire, et dont une copie sera tenue à la disposition du public en mairie de Chazelles-sur-Lyon.

Saint-Etienne, le 26 juillet 2013 La Préfète de la Loire, Fabienne BUCCIO

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ARRETE PREFECTORAL N°DT-13-674 DU 26/07/2013 PORTANT COMPLEMENT A L'AUTORISATION AU TITRE DE L'ARTICLE L. 214-3 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT CONCERNANT LES PRÉLÈVEMENTS DANS LE JANET ET LE GARON COMMUNE D’ARCON La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'honneur Officier de l'Ordre national du mérite

VU le code de l'environnement et notamment ses articles L. 211-1, L. 214-1 à L. 241-6 et R. 214-1 à R. 214-56 ; VU le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) ; VU la déclaration d’utilité publique en date du 10 avril 2000 valant autorisation au titre des articles du code de l'environnement et relatif aux prélèvements dans le Janet et le Garon ; VU le dossier de demande d'arrêté complémentaire d'autorisation complet et régulier déposé au titre de l'article L. 214-3 du code de l'environnement reçu le 28/05/2013, présenté par le SYNDICAT D'ETUDES,D'EXECUTION ET DE DISTRIBUTION D'EAU POTABLE DE ST ANDRE D'APCHON ET ARCON représenté par son président, enregistré sous le n° 42-2013-00114 et relatif à l'opération susvisée ; VU le rapport rédigé par le service police de l'eau en date du 14 juin 2013 ; VU l’avis favorable du CODERST en date du 1er juillet 2013 ; VU l’invitation faite au déclarant de présenter ses observations sur le projet d’arrêté qui lui a été transmis le 4 juillet 2013 ; Considérant que le pétitionnaire n’a pas émis d’avis dans le délai de 15 jours qui lui est réglementairement imparti sur le projet d’arrêté d’autorisation qui lui a été transmis le 4 juillet 2013 ; Considérant l’étude effectuée par ASCONIT HYDRATEC quant à l’évaluation du débit minimum biologique à l’aval des prises d’eau du syndicat des eaux de Saint-André-d’Apchon et Arcon, que les éléments de cette étude permettent de mettre en œuvre un débit réservé en application de l’alinéa II de l’article L 214-18, correspondant, pour le prise d’eau sur le Janet au 1/10ème du module estimé du cours d’eau soit 1,5 l/s et pour la prise d’eau sur le Garon au débit minimum biologique soit 0,5 l/s ; Considérant que les prescriptions du présent arrêté permettent de garantir une gestion globale et équilibrée de la ressource en eau ; Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de la Loire ;

ARRETE

TITRE - OBJET DE L'AUTORISATION

Article 1 : Objet de l'autorisation Le pétitionnaire, SYNDICAT D'ETUDES,D'EXECUTION ET DE DISTRIBUTION D'EAU POTABLE DE ST ANDRE D'APCHON ET ARCON représenté par son président est autorisé en application de l'article L. 214-3 du code de l'environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, à poursuivre les prélèvements sur le Janet et le Garon sur la commune de ARCON, Les rubriques définies au tableau de l'article R. 214-1 du code de l'environnement concernées par les installations sont les suivantes :

105 Rubrique Intitulé Régime 1.2.1.0 A l'exception des prélèvements faisant l'objet d'une convention avec Autorisation l'attributaire du débit affecté prévu par l'article L.214-9 du code de l'environnement, prélèvements et installations et ouvrages permettant le prélèvement, y compris par dérivation, dans un cours d'eau, dans sa nappe d'accompagnement ou dans un plan d'eau ou canal alimenté par ce cours d'eau ou cette nappe : 1° D'une capacité totale maximale supérieure ou égale à 1 000 m3/heure ou à 5 % du débit du cours d'eau ou, à défaut, du débit global d'alimentation du canal ou du plan d'eau (A) 2° D'une capacité totale maximale comprise entre 400 et 1 000 m3/heure ou entre 2 et 5% du débit du cours d'eau ou, à défaut, du débit global d'alimentation du canal ou du plan d'eau (D) 3.1.1.0 Installations, ouvrages, remblais et épis, dans le lit mineur d'un cours d'eau, Autorisation constituant : 1° un obstacle à l'écoulement des crues (A) 2° un obstacle à la continuité écologique a) entraînant une différence de niveau supérieure ou égale à 50 cm, pour le débit moyen annuel de la ligne d'eau entre l'amont et l'aval de l'ouvrage ou de l'installation (A) b) entraînant une différence de niveau supérieure à 20 cm mais inférieure à 50 cm, pour le débit moyen annuel de la ligne d'eau entre l'amont et l'aval de l'ouvrage ou de l'installation (D) Au sens de la présente rubrique, la continuité écologique des cours d'eau se définit par la libre circulation des espèces biologiques et par le bon déroulement du transport naturel des sédiments. 3.1.3.0 Installations ou ouvrages ayant un impact sensible sur la luminosité Déclaration nécessaire au maintien de la vie et de la circulation aquatique dans un cours d'eau sur une longueur : 1° Supérieure ou égale à 100 m (A) 2° Supérieure ou égale à 10 m et inférieure à 100 m (D)

Article 2 : Caractéristiques des ouvrages Prélèvements Les débits maximaux instantanés et les volumes annuels maximum autorisés à être prélevés dans le lit des cours d’eau sont les suivants :

Point de prélèvement Débit maximum instantané Volume maximum annuel Le Janet 10 l/s Ensemble 90 000 m3/an Le Garon 1,7 l/s

Ouvrages dans le lit mineur Chacun des ouvrages de prise d’eau est constitué d’un chenal d’amenée en béton établi en continuité du lit de chacun des cours d’eau en béton. Le prélèvement d’eau est effectué latéralement à ce chenal ; il est muni d’une grille et d’une vanne de régulation . Ouvrages ayant un impact sur la luminosité A l’aval de la prise d’eau sur le Janet, le cours d’eau est canalisé par une conduite de diamètre 500 mm sur un linéaire de 95 m.

TITRE II - PRESCRIPTIONS

Article 3 : Prescriptions générales relatives à certaines rubriques

Le pétitionnaire doit respecter :

• les prescriptions générales définies dans l'arrêté du 11 septembre 2003 modifié portant application du décret n°96-102 du 2 février 1996 et fixant les prescriptions générales applicables aux prélèvements soumis à autorisation en application des articles L. 214-1 à L. 214-3 du code de l'environnement et relevant des rubriques 1.1.2.0, 1.2.1.0, 1.2.2.0 ou 1.3.1.0 de la nomenclature définie au tableau de l'article R. 214-1 du ode de l'environnement et joint à la présente autorisation. • L’arrêté du 19 décembre 2011 relatif à la mesure des prélèvements d'eau et aux modalités de calcul de l'assiette de la redevance pour prélèvement sur la ressource en eau

106 Article 4 : Prescriptions spécifiques 4.1 Débit réservé Les ouvrages permettant le prélèvement d’eau doivent comporter des dispositifs maintenant dans ce lit un débit minimal garantissant en permanence la vie, la circulation et la reproduction des espèces vivant dans les eaux au moment de l'installation de l'ouvrage ainsi que, le cas échéant, des dispositifs empêchant la pénétration du poisson dans les canaux d'amenée et de fuite. Pour chacun des prélèvements, le débit minimal ne devra pas être inférieur aux valeurs indiquées ci-dessous , ou au débit à l'amont immédiat de l'ouvrage, si celui-ci est inférieur :

Point de prélèvement débit réservé

Le Janet 1,3 l/s

Le Garon 0,5 l/s

Le pétitionnaire propose au visa du service chargé de la police de l’eau le dispositif permettant de garantir le débit réservé ; cette proposition comprend les plans d’exécution et les notes de calcul hydraulique justifiant les dimensionnements du dispositif.

4.2 Conditions relatives à la gestion de la ressource Le cas échéant, il revient au pétitionnaire de mettre en œuvre les mesures de restriction d’usage de l’eau sur le réseau syndical afin de limiter les prélèvements et d’assurer le respect des valeurs de débit réservé. En application du 2ème alinéa du II de l’article L 214-18 du code de l’environnement, le préfet peut fixer des débits minimaux temporaires pour une période d’étiage exceptionnel. Dans ce cas de figure, le pétitionnaire adresse une demande motivée au préfet (service chargé de la police de l’eau), où il propose un débit temporaire à maintenir en aval de l’ouvrage et les mesures de restrictions d’usage de l’eau mises en œuvre sur le réseau syndical.

Article 5 : Moyens d'analyses, de surveillance et de contrôle (y compris auto contrôle) Le dispositif de restitution du débit réservé est muni d’une échelle limnimétrique ou d’un repère fixe, aisément visibles y compris des tiers, correspondant à la valeur du débit réservé fixée pour chacun des prélèvements.

Article 6 : Moyens d'intervention en cas d'incident ou d'accident Le pétitionnaire est tenu de déclarer au préfet, dès qu'il en a connaissance, les accidents ou incidents intéressant les installations, ouvrages, travaux ou activités faisant l'objet de la présente autorisation, qui sont de nature à porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L. 211-1 du code de l'environnement. Sans préjudice des mesures que pourra prescrire le préfet, le pétitionnaire devra prendre ou faire prendre les dispositions nécessaires pour mettre fin aux causes de l'incident ou accident, pour évaluer ses conséquences et y remédier. Le pétitionnaire demeure responsable des accidents ou dommages qui seraient la conséquence de l'activité ou de l'exécution des travaux et de l'aménagement.

TITRE III - DISPOSITIONS GENERALES

Article 7 : Abrogations L’article 2 de la déclaration d’utilité publique du 10 avril 2000 est abrogé pour ce qui concerne la fixation des débits réservés au Janet et au Garon.

Article 8 : Publication et information des tiers Une copie du présent arrêté sera transmise pour information au conseil municipal de la commune d’Arcon. Un extrait du présent arrêté énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles cette autorisation est soumise sera affiché en mairie d’Arcon pendant une durée minimale d’un mois. Un exemplaire du dossier de demande d'arrêté complémentaire d'autorisation sera mis à la disposition du public pour information à la Préfecture de la LOIRE, ainsi qu’à la mairie de la commune de ARCON. Le présent arrêté sera à disposition du public sur le site Internet de la préfecture de la LOIRE pendant une durée d’au moins 1 an.

107 Article 9 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent, conformément à l'article R. 514-3-1 du code de l'environnement : • par les tiers dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage en mairie prévu au R. 214-19 du code de l'environnement. Toutefois, si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la publication ou l'affichage du présent arrêté, le délai de recours continue jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après cette mise en service ; • par le pétitionnaire dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle le présent arrêté lui a été notifié. Dans le même délai de deux mois, le pétitionnaire peut présenter un recours gracieux. Le silence gardé par l’administration pendant plus de deux mois sur la demande de recours gracieux emporte décision implicite de rejet de cette demande conformément à l’article R. 421-2 du code de justice administrative.

Article 10 : Exécution Le secrétaire général de la préfecture de la Loire, Le président du syndicat intercommunal des eaux de Saint-André-d’Apchon et Arcon ; Le maire de la commune d’Arcon, Le directeur départemental des territoires de la Loire, Le responsable du service départemental de l’ONEMA de la Loire ; Le directeur de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, Le commandant du Groupement de gendarmerie départementale de la Loire, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juillet 2013, La Préfète de la Loire Fabienne BUCCIO

SERVICE DEPARTEMENTAL D'INCENDIE ET DE SECOURS DE LA LOIRE

ARRÊTÉ DU 07/06/2013 ACCORDANT LA MÉDAILLE D’HONNEUR DES SAPEURS-POMPIERS PROMOTION DU 14 JUILLET 2013 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

VU le Code des Communes, livre III, titre V, relatif à la protection contre l’incendie, et notamment ses articles R 352- 50 et R 352-52 ; VU la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ; VU le décret n° 68-1055 du 29 novembre 1968 portant déconcentration en matière d’attribution de la Médaille d’Honneur des Sapeurs-Pompiers ; VU le décret n° 90-850 du 25 septembre 1990 portant dispositions communes à l'ensemble des sapeurs-pompiers professionnels, et notamment ses articles 13 et 16 ; VU le décret n° 99-1039 du 10 décembre 1999 relatif aux sapeurs-pompiers volontaires, et notamment les articles 47 à 50 ; Sur proposition de Madame la Directrice de Cabinet ;

ARRETE

ARTICLE 1 - La Médaille d’Honneur d’ancienneté est décernée aux sapeurs-pompiers dont les noms suivent, qui ont constamment fait preuve de dévouement :

108 MEDAILLE D’OR

Compagnie Sornin • M. DECLAT Marc, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Charlieu,

Compagnie Roannaise • M. MENDONCA Antonio, lieutenant volontaire au centre d’incendie et de secours de La Pacaudière,

Compagnie Gorges de la Loire • M. OBLETTE Christophe, adjudant volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Just-en-Chevalet,

Compagnie Est Forez • M. MOULIN Jean-Jacques, adjudant volontaire au centre d’incendie et de secours de Montrond-les-Bains, • M. PERROT François, lieutenant volontaire au centre d’incendie et de secours de Feurs, • Mme WILHELM-NENOT Françoise, lieutenant-colonel volontaire au centre d’incendie et de secours de Feurs,

Compagnie Ouest Forez • M. DUBIEN Jean-Paul, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Sail-sous-Couzan,

Compagnie Sud Forez • M. POSLENSKI Alain, lieutenant 2ème classe professionnel à la cellule métier de la compagnie sud-forez,

Compagnie La Métare Haut-Pilat • M. ANDRUSSO Patrick, lieutenant 2ème classe professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne la métare, • M. JABRIN Paul, lieutenant volontaire au centre d’incendie et de secours de / St-Régis-du-Coin,

Compagnie Gier • M. REYMOND Alain, lieutenant volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Martin-la-Plaine,

Compagnie Pilat sud • M. BAJU Alain, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Pierre-de-Boeuf, • M. BARRALLON Christian, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Bourg-Argental,

Compagnie Nord stéphanois • M. FAVERJON Thierry, lieutenant 1ère classe professionnel à la section ressources de la compagnie nord stéphanois,

Compagnie Ondaine Haut-Forez • M. BEYSSAC Richard, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Bonnet-Saint-Nizier, • M. DUMOND Jean-Claude, sergent-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Firminy, • M. GRILLET Dominique, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours d’Usson-en-Forez, • M. MALLARD Philippe, adjudant volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Maurice-en-Gourgois,

Compagnie Ouest Stéphanois • M. CHAPELANT Philippe, capitaine professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne-Séverine,

UTA NORD • M. DALBEIGUE Jean-François, adjudant professionnel à l’UTA-NORD,

UTA SUD • M. RABERIN Daniel, lieutenant 1ère classe professionnel à l’UTA-SUD,

Pôle performance et qualité • M. HUGONNARD Robert, lieutenant 1ère classe professionnel à la cellule Artémis du bureau outils d’informations,

109 MEDAILLE DE VERMEIL

Compagnie Sornin • M. CORNELOUP Jacky, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Denis-de-Cabanne, • M. FAYOLLE Gérard, adjudant volontaire au centre d’incendie et de secours de Pouilly-sous-Charlieu, • M. VALOIS Frédéric, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Belmont de la Loire, Compagnie Roannaise • M. DE ALMEIDA Roger, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Montagny, • M. DESSERT Philippe, lieutenant volontaire au centre d’incendie et de secours de Renaison, • M. GAY Samuel, sergent-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Roanne, • M. MARCHAND Marc, lieutenant volontaire au centre d’incendie et de secours de Régny, • M. ROCHET Christophe, adjudant-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Roanne, • M. TOMEK Didier, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Roanne, Compagnie Gorges de la Loire • M. CHERBUT Laurent, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Symphorien-de-Lay, • M. CHOSSON Laurent, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Balbigny, Compagnie Est Forez • M. BERTHET Pierre, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Feurs, • M. BONNAMOUR Bernard, major volontaire au centre d’incendie et de secours de Rozier en Donzy, • M. LACASSAGNE Frédéric, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Montrond-les-bains, • M. ROCHE Olivier, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Martin-Lestra, • M. THIOLLIER Philippe, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Chazelles-sur-Lyon,

Compagnie Ouest Forez • M. BESSAY Daniel, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Georges-en-Couzan, • M. CHAZELLE Alain, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Sail-sous-Couzan, • M. CHAZELLE Patrick, adjudant volontaire au centre d’incendie et de secours de Chalmazel, • M. VINCENT Hervé, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Montbrison, Compagnie Sud Forez • M. MICHALON Jean-Luc, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Périgneux, • M. PHALIPPON Eric, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Sury-le-comtal, • M. RAQUIN Richard, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours d’Andrézieux-Bouthéon, Compagnie La Métare Haut Pilat • M. BERTHET Cyrille, adjudant professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne La Métare,

Compagnie Gier • M. ABRIAL Philippe, adjudant volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Chamond, • M. LANTOINE Marc, sergent volontaire au centre d’incendie et de secours de Rive de Gier, • M. VACHON Gilles, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Rive de Gier, Compagnie Pilat-sud • M. QUIBLIER François, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Bourg-Argental, Compagnie Nord Stéphanois • M. BLANCO Xavier, adjudant-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne La Terrasse, • M. JOURDA Guy, capitaine professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne La Terrasse, • M. RIVOIRE Xavier, lieutenant 1ère classe professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne La Terrasse, • M. SEIVE Bertrand, adjudant professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne La Terrasse, Compagnie Ondaine Haut Forez • M. BACHEKOUR Mourad, sergent professionnel au centre d’incendie et de secours de Firminy, • M. BONELLI Vicenzo, adjudant-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Firminy, • M. CUNCHON Olivier, adjudant-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Firminy, • M. DAUTECOURT Franck, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Firminy, • M. DECHAUD David, adjudant-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Firminy,

110 Compagnie Ouest Stéphanois • M. BOURGOIS Philippe, lieutenant 1ère classe professionnel à la section ressources de la compagnie ouest stéphanois, • M. CHALMANDRIER Bruno, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de ,

Pôle santé • M. FAISANT Jean-Paul, expert volontaire à la section santé au travail,

Pôle métier • M. REYMOND Pascal, lieutenant 1ère classe professionnel à la section doctrine opérationnelle du bureau des opérations,

MEDAILLE D'ARGENT Compagnie Sornin • M. BOLERY Richard, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Charlieu, • M. CLEMENCIN Ludovic, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de , • M. DUBOUIS Alain, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de , • M. DUBOUIS Didier, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Cuinzier, • M. MATTRAY Gilles, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Charlieu, • M. PICHON Pascal, lieutenant 2ème classe professionnel à la cellule métier de la compagnie Sornin,

Compagnie Roannaise • M. BEAUREGARD Christophe, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Cordelle, • M. DADOLLE Marcel, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Renaison, • M. DELORME Emmanuel, sergent professionnel au centre d’incendie et de secours de Roanne, • M. DESMULES David, sergent-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Roanne, • M. DI GUISTO Dominique, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Roanne, • M. DUBESSY Dominique, adjudant-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Roanne. • M. MERCIER Pascal, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Renaison, • M. PETIT Frédéric, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Cordelle, • M. ROUGERT Stéphane, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Roanne, Compagnie Gorges de la Loire • M. CHABRY Pascal, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Symphorien de Lay, • M. COMBRONDE Philippe, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Neulise, • M. MATHELIN David, sergent volontaire au centre d’incendie et de secours de Bussières, • M. MUSELLE Richard, sergent volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Just la Pendue, • M. PERRETTE Patrice, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Balbigny, • M. VERNAY Jean-Yves, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Balbigny, • M. VERNE Richard, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Cyr de Valorges, Compagnie Est Forez • M. BONNET Philippe, adjudant volontaire au centre d’incendie et de secours de Panissières, • M. COLOMB Yannick, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Panissières, Compagnie Ouest Forez • M. COMBE Christophe, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Boën sur lignon, • M. JOUSSERAND Jérôme, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint Romain le Puy, • M. MICHALET David, adjudant volontaire au centre d’incendie et de secours de Montbrison, • M. TISSIER Christophe, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Boën-sur-Lignon, Compagnie Sud Forez • M. BIANCHIN Franck, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Sury-le-comtal, • M. BONHOMME Mickaël, adjudant volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Galmier, • Mme CHARMET Lolita, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Périgneux, • M. CHARTIER Frédéric, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Galmier, • M. DUFOUR Philippe, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours d’Andrézieux, • M. NUNES Philippe, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Sury-le-Comtal, • M. PERONNET Daniel, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Sury-le-Comtal, • M. RICHARD Yves, caporal volontaire au centre d’incendie et de secours de Périgneux,

111 Compagnie La Métare Haut Pilat • M. CESAR Stéphane, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de , • M. POULIGNY Lionel, caporal volontaire au centre d’incendie et de secours de Jonzieux, • M. ZAMBON Stéphane, sergent-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne La Métare, Compagnie Gier • M. CROZET Sylvain, adjudant volontaire au centre d’incendie et de secours de , • M. DUCULTY Olivier, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de La Terrasse sur Dorlay, • M. GUICHERD Rémy, adjudant professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Chamond, • M. ROCHE Olivier, sergent-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Chamond, Compagnie Pilat-sud • M. DELERS Julien, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Maclas, • M. LAFERTIN Noël, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Maclas, Compagnie Nord Stéphanois • M. DECHAUMET Jean-Jacques, caporal-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Héand, • M. LE SAUDER Gaël, adjudant-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne la Terrasse, • M. MARTINEZ Jérôme, sergent-chef professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne la Terrasse, • M. RICHARD Nicolas, adjudant professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne la Terrasse, • M. ROCHE David, adjudant professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne la Terrasse, Compagnie Ondaine Haut-Forez • M. CLAVIER Bernard, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Saint-Maurice en Gourgois, • M. GUILLARME Éric, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Le Chambon-Feugerolles, • M. HUET David, sergent-chef volontaire au centre d’incendie et de secours de Le Chambon-Feugerolles, Compagnie Ouest Stéphanois • M. SAMPSON Marc, sergent professionnel au centre d’incendie et de secours de Saint-Etienne Séverine,

Pôle métier • M. CARNEIRO Jean-Paul, lieutenant 1ère classe professionnel à la section appui du bureau prévention, • M. CIZERON Franck, capitaine professionnel à la section appui du bureau prévention.

ARTICLE 3 - Le présent arrêté sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Saint-Etienne, le 7 juin 2013 La Préfète, Fabienne BUCCIO

DELEGATION TERRITORIALE DE L'AGENCE REGIONALE DE SANTE

ARRÊTÉ N° 072/2013 DU 03/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet;

112 Considérant l’extrait K bis du 24 novembre 2011; Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ;

- ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à : SARL BONNET MIALON gérée par Monsieur Dominique BONNET MIALON et Madame Annie BONNET MIALON 22 boulevard du Vernay – 42380 Saint Bonnet la Château Sous le numéro : 42 005

AR TICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 0 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 2 VEHICULES DE CATEGORIE C – (Type A) - 3 VEHICULES SANITAIRES LEGERS DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé :

• toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, • toute embauche de nouveau personnel, • toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, • toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession, L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs. Fait à Saint-Etienne, le 3 juin 2013 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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ARRÊTÉ N° 090/2013 DU 14/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait Kbis du 24/01/2013;

113 Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ;

- ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

AMBULANCES RIPAGERIENNES gérée par Monsieur Frédéric MARC 23 rue des Martyrs de la Résistance 42800 Saint Joseph Sous le numéro : 42 031

AR TICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 0 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 2 VEHICULES DE CATEGORIE C – (Type A) - 2 VEHICULES SANITAIRES LEGERS DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, • toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, • toute embauche de nouveau personnel, • toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, • toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession, L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint-Etienne, le 14 juin 2013 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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ARRÊTÉ N° 078/2013 DU 07/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 ; VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait du registre du commerce et des sociétés du 5/10/2009;

114 Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ;

- ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

AMBULANCES BOUCHET gérée par Monsieur Sylvain CELLE 17 rue du Président Kennedy – 42240 Sous le numéro : 42 009

ARTICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 0 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 2 VEHICULES DE CATEGORIE C – (Type A) - 3 VEHICULES SANITAIRES LEGERS DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, ➢ toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, ➢ toute embauche de nouveau personnel, ➢ toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, ➢ toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession, L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint Etienne, le 7 juin 2013 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial signé Marc MAISONNY

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ARRÊTÉ N° 096/2013 DU 02/07/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait Kbis du 28/12/2011; Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ;

115 - ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

LV AMBULANCES gérée par Monsieur Laurent VESSYLIER 6 rue de la République 42360 PANISSIERES Sous le numéro : 42 050

ARTICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 0 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 1 VEHICULE DE CATEGORIE C – (Type A) - 1 VEHICULE SANITAIRE LEGER DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, • toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, • toute embauche de nouveau personnel, • toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, • toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession, L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint-Etienne, le 2 juillet 2013 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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MENTION DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2013-076 DU 17/06/2013, SIGNE PAR FABIENNE BUCCIO, PREFETE DE LA LOIRE, AUTORISANT LA SOCIÉTÉ EUREAU SOURCES À CONDITIONNER EN BONBONNES DE 18,9 LITRES L’EAU DE LA SOURCE « PERLE DES ROCHES » CONSTITUÉE DU MÉLANGE DES FORAGES F1 « FORAGE DU CHEMIN DES CRÊTES » ET F3 « FORAGE ROCHE DES PRÉS » SOUS LA DÉNOMINATION « EAU DE SOURCE » SUR LA COMMUNE DE MONTARCHER

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MENTION DE L'ARRÊTÉ PRÉFECTORAL N° 2013-081 DU 04/07/2013, SIGNE PAR FABIENNE BUCCIO, PREFETE DE LA LOIRE,AUTORISANT PROVISOIREMENT LA SOCIÉTÉ REFRESCO FRANCE (SITE DE ST ALBAN) À EXPLOITER LA SOURCE D’EAU MINÉRALE FAUSTINE, SITUÉE SUR LA COMMUNE DE ST ALBAN LES EAUX, À DES FINS DE CONDITIONNEMENT

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116 ARRÊTÉ N° 080/2013 DU 07/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 ; VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait Kbis en date du 23/01/2013 ; Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ;

- ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

CENTRE AMBULANCIER DE LA LOIRE gérée par Monsieur Philippe DAVIN 4 rue des aciéries - 42000 Saint Etienne Sous le numéro : 42 019

ARTICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 0 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 11 VEHICULES DE CATEGORIE C – (Type A) - 11 VEHICULES SANITAIRES LEGERS DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, ➢ toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, ➢ toute embauche de nouveau personnel, ➢ toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, ➢ toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession, L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint Etienne, le 7 juin 2013 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial signé Marc MAISONNY

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117 ARRÊTÉ N° 097/2013 DU 02/07/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait Kbis du 26/09/2012; Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules;

- ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

SARL d’exploitation des établissements LABBE gérée par Monsieur Didier LABBE 60 route des balcons 42130 Sous le numéro : 42 027

ARTICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 1 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 1 VEHICULE DE CATEGORIE C – (Type A) - 4 VEHICULES SANITAIRES LEGERS DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, • toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, • toute embauche de nouveau personnel, • toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, • toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession, L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint-Etienne, le 2 juillet 2013 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial signé Marc MAISONNY

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118 ARRÊTÉ N° 083/2013 DU 14/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait Kbis du 7/11/2012 ; Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ;

- ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

S.O.S AMBULANCES gérée par Monsieur Roger BOYER 9 rue Docteur Paul Michelon 42100 Saint Etienne Sous le numéro : 42 008

ARTICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 0 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 3 VEHICULES DE CATEGORIE C – (Type A) - 3 VEHICULES SANITAIRES LEGERS DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, • toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, • toute embauche de nouveau personnel, • toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, • toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession, L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint-Etienne, le 14 juin 2013 Pour le directeur général et par délégation Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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119 ARRÊTÉ N° 087/2013 DU 14/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 ; VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait du registre du commerce et des sociétés du 12/01/2010 Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ;

- ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

AMBULANCE C. GAGNAIRE gérée par Madame Christelle Piazzon 2 rue des Martyrs de la Résistance – Le clos de l’école – 42230 Roche la Molière Sous le numéro : 42 041

ARTICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 0 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 1 VEHICULE DE CATEGORIE C – (Type A) - 2 VEHICULES SANITAIRES LEGERS DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, ➢ toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, ➢ toute embauche de nouveau personnel, ➢ toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, ➢ toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession,

L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint Etienne, le 14 juin 2013 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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120 ARRÊTÉ N° 088/2013 DU 14/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 ; VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait Kbis du 20/11/2011 Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ;

- ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

AMBULANCE PIAZZON gérée par Monsieur Gilbert Piazzon 36 rue Edouard Martel – 42000 Saint Etienne Sous le numéro : 42 051

ARTICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 0 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 3 VEHICULES DE CATEGORIE C – (Type A) - 6 VEHICULES SANITAIRES LEGERS DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, ➢ toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, ➢ toute embauche de nouveau personnel, ➢ toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, ➢ toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession,

L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint Etienne, le 14 juin 2013 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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121 ARRÊTÉ N° 086/2013 DU 14/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 ; VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait du registre du commerce et des sociétés du 23/01/2009 Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ; - ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

NORD AMBULANCE PIAZZON gérée par Madame Christelle Piazzon 10 rue de la République – 42390 Villars Sous le numéro : 42 052

ARTICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 0 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 2 VEHICULES DE CATEGORIE C – (Type A) - 3 VEHICULES SANITAIRES LEGERS DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, ➢ toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, ➢ toute embauche de nouveau personnel, ➢ toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, ➢ toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession,

L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint Etienne, le 14 juin 2013 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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122 ARRÊTÉ N° 079/2013 DU 07/06/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 ; VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait du répertoire des métiers du 13/11/2012; Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ;

- ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

AMBULANCE Pascale TRONCY gérée par Madame Pascale TRONCY Place du petit Louvre – Le bourg - 42310 La Pacaudière Sous le numéro : 42 048

ARTICLE 2 : l’agrément est délivré pour la mise en service des véhicules de transports sanitaires suivants : - 0 VEHICULE DE CATEGORIE A – (Type B) - 1 VEHICULE DE CATEGORIE C – (Type A) - 2 VEHICULES SANITAIRES LEGERS DE CATEGORIE D

ARTICLE 3 : les véhicules de transports sanitaires énumérés à l’article 2 du présent arrêté font l’objet d’une autorisation préalable à leur mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 4 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, ➢ toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, ➢ toute embauche de nouveau personnel, ➢ toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, ➢ toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession,

L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entrainer une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 5 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 6 : le délégué territorial du département de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint Etienne, le 7 juin 2013 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué territorial Signé Marc MAISONNY

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123 ARRÊTÉ N°2013-2393 EN DATE DU 20/06/2013 PORTANT REJET DE LICENCE DE TRANSFERT DE L’OFFICINE DE PHARMACIE GÉRÉE PAR LA SARL « PHARMACIE DU BOIS MONZIL » À VILLARS (LOIRE) Le directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes

Vu le Code de la Santé Publique et notamment les articles L. 5125-1 à L. 5125-32 et R 5125-1 à R 5125-13 relatifs aux pharmacies d’officine ; Vu le décret N 2000-259 du 21 mars 2000 relatif aux modalités de création, de transfert et de regroupement et aux conditions minimales d'installation des officines de pharmacie ; Vu l'arrêté du 21 mars 2000 fixant la liste des pièces justificatives devant être jointes à une demande de création, de transfert ou de regroupement d'officines de pharmacie ; Vu l’arrêté préfectoral du 07 septembre 1979 accordant la licence numéro 392 pour la pharmacie d’officine située à VILLARS (Loire) au 1, place de Bois Monzil ; Vu la demande de licence en date du 11 mars 2013 présentée par Monsieur Mathieu NOIRBENT, pharmacien, associé unique et gérant de la SARL « Pharmacie du Bois Monzil », pour le transfert de son officine de pharmacie située au 1, place du Bois Monzil à VILLARS à l’adresse suivante : Centre commercial – Porte du Forez – Chemin de Montravel, dans la même commune, enregistrée le 18 mars 2013 par les services de la Délégation territoriale de la Loire de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes sous le numéro 42-13-02 ; Vu les pièces justificatives à l’appui ; Vu la demande d’avis au Syndicat des pharmaciens de la Loire en date du 18 mars 2013, réceptionnée le 21 mars 2013 et l’avis du Syndicat des pharmaciens de la Loire en date du 22 avril 2013 ; Vu la demande d’avis au Syndicat « Fédération de la Loire » en date du 18 mars 2013, réceptionnée le 22 mars 2013 et l’avis du Syndicat « Fédération de la Loire » en date du 21 mai 2013 ; Vu la demande d’avis au Conseil Régional des Pharmaciens d’Officine Rhône-Alpes en date du 18 mars 2013, réceptionnée le 25 mars 2013 et l'avis du Conseil Régional des Pharmaciens d’Officine Rhône-Alpes en date du 23 mai 2013 ; Vu l’avis à Madame la Préfète de la Loire en date du 03 juin 2013, arrivé hors délai au regard des dispositions de l’article R 5125-2 du Code de la Santé Publique ; Vu le rapport de l’enquête effectuée le 25 avril 2013 par le pharmacien inspecteur de santé publique et ses conclusions en date du 15 mai 2013 en ce qui concerne les conditions minimales d’installation ; Considérant qu’un transfert d’officine de pharmacie ne doit pas avoir pour effet de compromettre l’approvisionnement en médicaments de la population résidente du quartier d’origine ; Considérant qu’un transfert d’officine doit permettre de répondre de façon optimale aux besoins en médicaments de la population résidant dans le quartier d’accueil ; Considérant que l’emplacement proposé par Monsieur NOIRBENT se situe dans une zone dépourvue de population résidente ; Sur proposition de Madame la directrice de l’Efficience de l’Offre de Soins ;

Arrête

Article 1er: La demande de licence présentée par Monsieur Mathieu NOIRBENT, associé unique et gérant de la SARL « Pharmacie du Bois Monzil » pour le transfert de son officine de pharmacie sise 1, place du Bois Monzil à VILLARS (42290) à l’adresse suivante : Centre commercial – Porte du Forez – Chemin de Montravel, dans la même commune est rejetée.

Article 2 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet : • d’un recours gracieux auprès de Monsieur le directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, • d’un recours administratif auprès de Madame le Ministre des Affaires Sociales et de la santé, • d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 3 : Le directeur général et le délégué territorial de la Loire de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié aux recueils des actes administratifs des préfectures de la région Rhône-Alpes et du département de la Loire.

Lyon, le 20 juin 2013 Le directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, Christophe JACQUINET

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124 ARRÊTÉ N° 2013-2391 EN DATE DU 18/06/2013 PORTANT ANNULATION DE LA LICENCE D’EXPLOITATION D’UNE PHARMACIE D’OFFICINE SISE À BOEN SUR LIGNON (LOIRE). Le directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes,

Vu le Code de la Santé Publique et notamment les articles L. 5125-1 à L. 5125-32 et R 5125-1 à R 5125-13 relatifs aux pharmacies d’officine ; Vu l’arrêté préfectoral en date du 03 mai 1943 accordant la licence numéro 112 pour l’exploitation de la pharmacie d’officine située Place de l’Hôtel de Ville à BOEN SUR LIGNON (Loire) et les arrêtés suivants dont le dernier en date est l’arrêté préfectoral n°2004-197 du 08 juin 2004 enregistrant la déclaration d’exploitation de l’officine par Messieurs Philippe ECHEGUT et Christian PONE, membres de la SNC « Pharmacie PONE-ECHEGUT », à compter du 13 juillet 2004 ; Vu la demande d’avis en date du 25 février 2013 de Maître Jean-Marc MEUNIER, avocat, concernant l’opération d’achat-fermeture de la S.N.C. « PHARMACIE CENTRALE » sise 3, place de l’Hôtel de Ville à BOEN SUR LIGNON (Loire) et les pièces qui l’accompagne ; Vu l’avis préalable favorable donné le 03 mai 2013 par Monsieur le Directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes au sujet de cette opération de restructuration du réseau officinal ; Vu le courrier en date du 03 juin 2013 par lequel Messieurs Philippe ECHEGUT et Christian PONE, membres de la SNC « Pharmacie PONE-ECHEGUT » ont confirmé la fermeture de leur officine de pharmacie sise 3, place de l’Hôtel de Ville à BOEN SUR LIGNON (42130) à partir du 1er juin 2013 et restitué la licence numéro 112 ; Considérant que la commune de BOEN SUR LIGNON qui dénombre 3160 habitants au dernier recensement, dispose de trois officines de pharmacie et que la fermeture de l’une d’entre elles ne compromet pas l’approvisionnement nécessaire en médicaments de la population résidente ; Sur proposition de Madame la Directrice de l’efficience de l’offre de soins ;

Arrête

Article 1 : L’arrêté préfectoral en date du 03 mai 1943 susvisé accordant la licence numéro 112 pour l’exploitation de la pharmacie d’officine située 3, place de l’Hôtel de Ville à BOEN SUR LIGNON (42130)) est abrogé à compter du 1er juin 2013.

Article 2 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet : ➢ d’un recours gracieux auprès de Monsieur le Directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône- Alpes, ➢ d’un recours administratif auprès de Madame le Ministre des Affaires Sociales et de la santé, ➢ d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon - 184, rue Duguesclin - 69433 LYON Cedex 3.

Article 3 : Le Directeur général et le Délégué territorial de la Loire, de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié au demandeur et publié au recueil des actes administratifs des préfectures de la région Rhône-Alpes et du département de la Loire.

Lyon, le 18 juin 2013 Le Directeur général de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, Pour le Directeur général et par délégation, Le Directeur général adjoint Gilles LACAUSSADE

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ARRÊTÉ N° 2013-2582 DU 23/07/2013 AUTORISANT L’EXTENSION D’1 PLACE DU SERVICE DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE (SSIAD) GÉRÉ PAR L’ASSOCIATION « DOMISOINS » À SAINT ETIENNE Le directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes,

Vu le code de l’action sociale et des familles, livre troisième, titre premier (établissements et services soumis à autorisation), sections première et troisième du chapitre II, et section première du chapitre III; VU la loi n° 2002.2 du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale ; VU la loi n° 2005.102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées ;

125 VU la loi n° 2009-879 du 21 janvier 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, modifiée par la loi 2011-940 du 10 août 2011 ; VU le schéma régional d’organisation médico-sociale 2012-2016 arrêté le 30 novembre 2012 sur décision du Directeur général de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes ; VU le schéma départemental des personnes handicapées pour la période 2010-2014 ; VU le programme interdépartemental d’accompagnement des handicaps et de la perte d’autonomie (PRIAC) 2012- 2016 de la région Rhône-Alpes ; VU la circulaire inter ministérielle n° DGCS/5C/DSS/CNSA/2013/106 du 15 mars 2013 relative aux orientations de l’exercice 2013 pour la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes handicapées et des personnes âgées ; VU la demande présentée par l’association DOMISOINS sise au 9 rue de la Lithographie à Saint-Etienne (42 000) de création d’un SSIAD de 40 places dont 38 pour personnes âgées et 2 pour personnes handicapées sur la ville de Saint- Etienne ; VU l’avis favorable émis par le Comité Régional de l’Organisation Sociale et Médico-sociale du 20 novembre 2009 ; VU l’arrêté N° 2009-625 du 15 décembre 2009 portant création du service de soins infirmiers « Domisoins » d’une capacité de 10 places ; VU l’arrêté N° 2010-3370 du 27 octobre 2010 portant extension du service de soins infirmiers « Domisoins » de 15 places ; VU l’arrêté N° 2012-1530 du 10 juillet 2012 portant extension du service de soins infirmiers « Domisoins » de 12 places ; Considérant que le projet est compatible avec les objectifs et répond aux besoins médico-sociaux fixés par le schéma d’organisation médico-sociale dont il relève ; Considérant que le projet satisfait aux règles d’organisation et de fonctionnement et prévoit les démarches d’évaluation et les systèmes d’information édictés par le code de l’action sociale et des familles ; Considérant que le projet est compatible avec le programme interdépartemental mentionné à l’article L 312-5-1 du code de l’action sociale et des familles et présente un coût de fonctionnement en année pleine qui est compatible avec le montant des dotations mentionnées à l’article L. 314-4 du code de l’action sociale et des familles au titre de l’exercice 2013 (financement au titre des mesures nouvelles 2013 à hauteur de 10 500 €); Sur proposition de Monsieur le délégué territorial du département de la Loire, de l’agence régionale de santé Rhône- Alpes ;

ARRETE

Article 1 er : L'autorisation visée à l’article L. 313-1 du Code de l’Action Sociale et des Familles est accordée à l’association « Domisoins » pour l’extension de 1 place au titre de 2013 du SSIAD « Domisoins » sis 57 rue des Docteurs Charcot, 42000 Saint Etienne, portant ainsi sa capacité globale à 38 places pour personnes âgées.

Article 2 : L’autorisation est délivrée pour 15 ans à compter du 15 décembre 2009 ; elle est renouvelable au vu des résultats positifs d’une évaluation externe prévue par l’article L 312-8 du code de l’action sociale et des familles

Article 3 : La mise en œuvre de l’autorisation est conditionnée au résultat de la visite de conformité mentionnée à l’article L.313-6 du code de l’action sociale et des familles suivant les dispositions réglementaires des articles D.313- 11 à D.313-14.

Article 4 : la présente autorisation sera caduque si elle n’a pas reçu un commencement d’exécution dans un délai de trois ans suivant sa notification, conformément aux dispositions de l’article L 313-1 du code de l’action sociale et des familles.

Article 5 : Tout changement important dans l’activité, l’organisation, la direction ou le fonctionnement de l’établissement par rapport aux caractéristiques prises en considération pour son autorisation devra être porté à la connaissance de l’autorité compétente selon l’article L. 313-1. L’autorisation ne peut être cédée sans l’accord de l’autorité compétente concernée.

Article 6 : Cette extension de place sera enregistrée au fichier national des établissements sanitaires et sociaux (FINESS).

Article 7 : Dans les deux mois suivant sa notification ou sa publication, le présent arrêté peut faire l’objet soit d’un recours gracieux devant les autorités compétentes, soit d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Lyon (depuis le 1er octobre 2011, les recours devant le tribunal administratif doivent être accompagnés d’un timbre fiscal de 35 €).

126 Article 8 : Monsieur le délégué territorial du département de la Loire, de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes, est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié sous pli recommandé, au demandeur et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Rhône-Alpes.

Fait à Lyon, le 23 juillet 2013 Pour le directeur général, et par délégation, Docteur Vermorel Adjoint au directeur Direction handicap et grand âge

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ARRÊTÉ N° 098/2013 DU 23/07/2013 PORTANT AGRÉMENT POUR EFFECTUER DES TRANSPORTS SANITAIRES TERRESTRES Le directeur général de l’agence régionale de santé Rhône-Alpes,

VU le Code de la Santé Publique et notamment les articles L 6312-1 à L 6313-1 et R 6312-1 à R 6314-6 ; VU l’arrêté du 21 décembre 1987 modifié, relatif à la composition du dossier d’agrément des personnes effectuant des transports sanitaires et au contrôle des véhicules affectés aux transports sanitaires ; VU l’arrêté ministériel du 10 février 2009 modifié fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires terrestres ; VU l’arrêté en date du 22 novembre 2012 portant agrément de la société Jarez assistance Considérant que le dossier de demande d’agrément a été déclaré complet; Considérant l’extrait Kbis du 14/09/2011; Considérant l’état nominatif précisant la qualification des personnes constituant les équipages des véhicules autorisés; Considérant les contrôles des véhicules ;

- ARRETE -

ARTICLE 1 : un agrément pour effectuer des transports sanitaires terrestres sur prescription médicale et dans le cadre de l’aide médicale urgente est délivré à l’entreprise :

JAREZ ASSISTANCE, gérée par Monsieur Julien GIRE et Monsieur Jeoffrey GOY 3 rue du quartier Moulin – 42152 L’HORME Sous le numéro : 42 024

ARTICLE 2 : les véhicules de transports sanitaires associés à cette implantation font l’objet d’une décision d’autorisation de mise en service conformément aux dispositions de l’article R.6312-4 du code de santé publique.

ARTICLE 3 : la personne titulaire de l'agrément devra porter sans délai à la connaissance de l’agence régionale de santé, ➢ toutes modifications au regard des normes prévues, toute mise hors service, cession ou modification des véhicules indiqués, ➢ toute embauche de nouveau personnel, ➢ toute cessation de fonctions d’un ou plusieurs membres de leur personnel, ➢ toute obtention par le personnel de diplôme relatif à la profession, L’inobservation de tout ou partie de ces dispositions est susceptible d’entraîner une suspension ou un retrait d’agrément.

ARTICLE 4 : le présent arrêté peut faire l'objet d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent, dans un délai de deux mois à compter de sa notification pour le titulaire et de sa publication au recueil des actes administratifs pour les tiers.

ARTICLE 5 : le délégué départemental de la Loire est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint Etienne, le 23 juillet 2013 Pour le directeur général et par délégation, Le délégué départemental Signé Marc Maisonny

127 DIRECTION DEPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES

CONVENTION GLOBALE D’UTILISATION 042-2010-6 DU 13/12/2012

Les soussignés :

1°- L’administration chargée des domaines, représentée par Mr Marc CANO, directeur départemental des finances publiques du département de la Loire, dont les bureaux sont à Saint-Etienne, 11 rue Mi-Carême, stipulant en vertu de la délégation de signature de Madame la Préfète qui lui a été consentie par arrêté du 24 octobre 2011, ci-après dénommée le propriétaire,

D’une part,

2°- Le Ministère de la Défense, représenté par monsieur le contrôleur général des armées, Eric Lucas, directeur de la mémoire, du patrimoine et des archives, dont les bureaux sont situés 37 rue de Bellechasse dans le 7ème arrondissement de PARIS, ci-après dénommé l’utilisateur,

D’autre part, se sont présentés devant nous, préfète du département de la Loire, et sont convenus du dispositif suivant :

EXPOSE

L’utilisateur a demandé, pour l'exercice de ses missions, la mise à disposition d’un immeuble dénommé Maison de l’Armée, situé à Saint-Etienne, 31 rue Voltaire. Cette demande est mise en œuvre dans les conditions fixées par la présente convention et par les circulaires du Premier ministre n° 5362/SG et n° 5363/SG du 16 janvier 2009 relatives à la politique immobilière de l’Etat.

CONVENTION

Article 1 er Objet de la convention

La présente convention, conclue dans le cadre des dispositions des articles R. 2313-1 à 2313-5 du code général de la propriété des personnes publiques, a pour objet de mettre à la disposition de l’utilisateur pour les besoins de la base de Défense de Lyon-Mont Verdun l’ensemble immobilier désigné à l’article 2 selon les modalités fixées par les articles suivants.

Article 2 Désignation de l’immeuble

Ensemble immobilier appartenant à l’Etat sis 31 rue Voltaire 42000 Saint-Etienne d’une superficie totale de 5632 m², cadastré section HT n°57 , et enregistré sous le numéro Chorus 159713, composé de plusieurs bâtiments : • Bâtiment A inscrit sous le n° Chorus : 159713/241856, immeuble de bureaux, pour une SHON de 566 m2, une SUB de 522 m2, une SUN de 416 m2, dont 208 m2 de surface de bureaux. • Bâtiment B inscrit sous le n° Chorus : 159713/241713, immeuble de bureaux, pour une SHON de 2123 m2, une SUB de 1615 m2, une SUN de 1454 m2, dont 1292 m2 de surface de bureaux. • Bâtiment de logement inscrit sous le n° Chorus : 159713/237754, pour une SHON de 440 m2. • Bâtiment Technique inscrit sous le n° Chorus : 159713/239244, Transformateur, pour une SHON de 43 m2. • Bâtiment inscrit sous le n° Chorus : 159713/239220, Local Poubelle, pour une SHON de 10 m2. • Bâtiment inscrit sous le n° Chorus : 159713/238644, Voiries de 3176 m2. • Terrain bâti inscrit sous le n° Chorus 159713/237821. Sauf prescription contraire, les dispositions de la présente convention s’appliquent automatiquement aux constructions nouvelles qui viendraient à être édifiées sur la dépendance domaniale désignée ci-dessus. Le propriétaire est informé de la réalisation de toute nouvelle construction.

128 Article 3 Durée de la convention

La présente convention est conclue pour une durée de NEUF années entières et consécutives qui commence le PREMIER JANVIER DEUX MILLE ONZE, date à laquelle les locaux sont mis à la disposition de l’utilisateur.

La présente convention prend fin dans les conditions prévues à l’article 14.

(1) Neuf ans maximum pour les immeubles à usage de bureaux qui ne sont pas affectés aux besoins du service public pénitentiaire, de la défense nationale et de la sécurité civile et autres cas mentionnés dans la circulaire.

Article 4 Etat des lieux

SANS OBJET

Article 5 Ratio d’occupation (1)

Les surfaces des deux immeubles de bureaux désignés à l’article 2 sont les suivantes (cf annexe 1) :

Bâtiment A : Surface Utile Brute : 566 m² dont Surface Utile Nette : 416 m² dont Surface de Bureaux : 208 m² .

Bâtiment B : Surface Utile Brute : 1 615 m² dont Surface Utile Nette : 1 454 m² dont Surface de Bureaux : 1292 m² .

Au 1er janvier 2011, les effectifs présents dans l’immeuble sont les suivants :

Bâtiment A : effectifs physiques : 38 ; effectifs administratifs : 33 ; nombre de postes de travail : 38.

Bâtiment B : effectifs physiques : 30 ; effectifs administratifs : 30 ; nombre de postes de travail : 30. En conséquence, le ratio d’occupation des Bâtiments A et B désignés à l’article 2 s’établit à 27.50 mètres carrés par agent ( SUN/Poste de travail). (1) immeubles à usage de bureaux

Article 6 Etendue des pouvoirs de l’utilisateur

6.1. L’usage de l’ensemble immobilier objet de la présente convention est strictement réservé au service désigné à l’article 1er et pour l’objet mentionné au même article.

6.2. Locations, autorisations d’occupation, et autres droits qui pourraient être consentis sur l’ensemble immobilier qui fait l’objet de la convention d’utilisation. L’occupation par un tiers de cet immeuble pendant la durée de la convention donne lieu à la délivrance d’un titre d’occupation, dans les conditions de droit commun. Préalablement à sa délivrance, l’utilisateur en informe le propriétaire.

Article 7 Impôts et taxes

L’utilisateur acquitte l’ensemble des taxes et contributions afférentes à l’immeuble qui fait l’objet de la présente convention.

Article 8 Responsabilité

L’utilisateur assume, sous le contrôle du propriétaire, l’ensemble des responsabilités afférentes à l’immeuble désigné à l’article 2 pour la durée de la présente convention.

129 Article 9 Entretien et réparations

L’utilisateur supporte l’ensemble des dépenses d’entretien courant et de petites réparations relatives à l’immeuble désigné à l’article 2.

L’utilisateur convient, avec le propriétaire, d’une programmation pluriannuelle des travaux qui s’appuie sur son contrat d’objectifs (ou sa lettre de mission ou tout document en tenant lieu).

La réalisation des dépenses d’entretien lourd mentionnées à l’annexe 1 à la charte de gestion du programme 309 « Entretien des bâtiments de l’Etat », à la charge du propriétaire, est confiée à l’utilisateur qui les effectue, sous sa responsabilité, pour le compte du propriétaire : 1. avec les dotations inscrites sur son budget ; 2. avec les dotations du programme 309 « Entretien des bâtiments de l’Etat » qui ont vocation à prendre le relais des premières. L’utilisateur qui ne dispose pas des services ou compétences nécessaires peut, après information du propriétaire, déléguer à un tiers l’exécution des travaux sous sa responsabilité.

Néanmoins, à terme dans le cadre d’un avenant à la présente convention, l’exécution des travaux pourra revenir au propriétaire, dès lors que les crédits nécessaires auront été ouverts sur le budget de l’Etat propriétaire

Afin de permettre le respect des objectifs fixés par l’Etat dans la loi du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement pour les bâtiments publics, une annexe pourra être adjointe à la présente convention, visant à déterminer les droits et obligations respectifs des bailleur et preneur en la matière et les conséquences qui en résulteraient.

Article 10 Engagements d’amélioration de la performance immobilière (1)

Il est convenu, d’un commun accord entre le propriétaire et l’utilisateur que l’ensemble immobilier désigné à l’article 2, fait l’objet d’engagements d’amélioration de la performance immobilière, pour les bâtiments consacrés exclusivement à l’usage de bureaux. Dans ce cas, les ratios d’occupation de l’immeuble désigné à l’article 2, seront ceux qui figurent à l’annexe 1. Bien entendu, ces engagements doivent être cohérents avec les schémas directeurs immobiliers et les SPSI validés.

A chacune de ces dates, le propriétaire effectuera une vérification des conditions d’application de cet article. Les engagements seront définis à cette occasion. • immeubles à usage de bureaux

Article 11 Loyer (1)

La présente convention est conclue moyennant un loyer trimestriel de 36 137 euros, à compter du 1er janvier 2011, payable d’avance au CSDOM, 3 Avenue du Chemin de Presles 94 417 Saint Maurice Cedex, par le biais de formulaires remplis simultanément par le Service France Domaine DDFIP de la Loire, 11 rue Mi-Carême, BP 502 42007 SAINT-ETIENNE cedex 1.

Ce loyer ne concerne que les immeubles A et B, désignés à l’article 2, dans la mesure où ces derniers sont composés à plus de 51% de bureaux ; les autres bâtiments étant enregistrés avec un loyer égal à zéro. La première échéance devra être réglée dès réception de l’avis de paiement correspondant. Les échéances suivantes devront être payées au plus tard le dernier jour du trimestre précédent le terme. Par dérogation aux dispositions qui précèdent, le loyer exigible, le cas échéant, au titre du premier trimestre, est payable avant la fin du mois de janvier de l’année considérée.

(1) Les loyers des immeubles à usage de bureaux utilisés par les services de l’Etat sont fixés par référence aux valeurs de marché, dans les conditions précisées par la circulaire du Premier ministre n° 5362 SG du 16 janvier 2009 relative à la politique immobilière de l’Etat. Pour les autres biens, le loyer est égal à zéro.

130 Article 12 Révision du loyer (1)

Le loyer sera révisé chaque année au 1er janvier en fonction de la variation de l’indice des loyers des activités tertiaires (ILAT) publié à cette date par l’Institut de la statistiques et des études économiques (INSEE) soit celui du 3ème Trimestre 2010. Le niveau de départ de l’indice est le dernier publié par l’INSEE au 1er janvier de prise d’effet (article3) de la convention.

(1) Cette clause concerne les immeubles à usage de bureaux dont l’utilisation par les services de l’Etat donne lieu à la fixation d’un loyer en valeur de marché. (2) Les signataires peuvent retenir un autre indice (ex : indice des loyers commerciaux ILC, indice applicable aux loyers de bureaux ILB), dans les cas prévus par l’instruction relative à l’application des conventions d’utilisation.

Article 13 Contrôle des conditions d'occupation

Le propriétaire s’assure périodiquement des conditions dans lesquelles est entretenu et utilisé l’immeuble remis à l’utilisateur. Il vérifie notamment l’évolution du ratio d’occupation par agent . Lorsque la mise en œuvre de ce contrôle permet de constater que l’immeuble est devenu inutile ou inadapté aux besoins de l’utilisateur, le propriétaire en informe l’utilisateur. Celui-ci dispose d’un délai d’un mois pour apporter des éléments de réponse. Le propriétaire dispose ensuite d’un nouveau délai d’un mois pour répondre à ces observations. A l’issue de ce délai, le préfet peut mettre en demeure le service utilisateur de restituer les surfaces devenues inutiles à l’accomplissement du service public mentionné à l’article 1er. Dans ce cas, la présente convention fait l’objet d’un avenant.

(1) phrase à mentionner pour les immeubles à usage de bureaux.

Article 14 Terme de la convention

14.1. Terme de la convention : La présente convention prend fin de plein droit le TRENTE ET UN DECEMBRE DEUX MILLE DIX-NEUF (31/12/2019). Elle prend également fin lorsque la cession de l’immeuble a été décidée, selon les règles prévues par le code général de la propriété des personnes publiques.

14.2. Résiliation anticipée de la convention : La convention peut être résiliée avant le terme prévu : • En cas de non-paiement à l’échéance du loyer ou de non-respect par l’utilisateur d'une autre obligation, dans un délai de six mois après mise en demeure ; • A l’initiative de l’utilisateur moyennant le respect d’un préavis de six mois, sauf en cas d’urgence. • Lorsque l’intérêt public, tel qu’il est déclaré par le préfet dans une lettre adressée aux signataires de la présente convention, l’exige. • Lorsque le schéma directeur de l’immobilier ou le SPSI décide d’une nouvelle implantation. La résiliation est prononcée par le préfet.

Article 15 Pénalités financières

En cas de retard dans le paiement des loyers, les sommes dues portent intérêt au taux légal sans nécessité de mise en demeure.

Le maintien sans titre du service occupant dans l’immeuble à l’issue de la présente convention ou après la prise d'effet de la résiliation anticipée de la convention donne lieu au paiement d’une pénalité mensuelle correspondant à trois fois le montant du loyer au maximum. A défaut de paiement dans le délai d’un mois à compter de la date limite de paiement du loyer, le comptable spécialisé du domaine adresse à l’utilisateur une lettre de rappel valant mise en demeure.

131 L’intégralité des sommes dues et non payées (capital et intérêts) est traitée dans les mêmes conditions que les restes à payer liés à des baux commerciaux par le comptable spécialisé du domaine, les contrôleurs budgétaires et comptables ministériels et la direction du budget jusqu’à règlement des sommes dues, à chaque étape de fin et de début de gestion.

Un exemplaire du présent acte est conservé à la préfecture.

Le représentant du service utilisateur, Le représentant de l'administration Pour le Directeur de la mémoire du patrimoine chargé des domaines et des archives L'administrateur des Finances Publiques L'ingénieur en chef des ponts des eaux et de la Loire des forêts, Jean-Marc VERILHAC Sous-Directeur de l'Immobilier et de l'Environnement Stanislas PROUVOST La Préfète, Fabienne BUCCIO

Visa du contrôleur budgétaire comptable ministériel ou du contrôleur financier régional,

L'annexe peut être consultée à la Direction Départementale des Finances Publiques de la Loire – 11 rue Mi-Carême – BP 502 – 42007 SAINT-ETIENNE CEDEX 01.

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CONVENTION D’UTILISATION GLOBALE 042-2012-0076 DU 26/03/2013

Les soussignés :

1°- L’administration chargée des domaines, représentée par Monsieur Marc CANO, directeur départemental des finances publiques du département de la Loire, dont les bureaux sont à Saint-Etienne, 11 rue Mi-Carême, stipulant en vertu de la délégation de signature de Mme la Préfète qui lui a été consentie par arrêté du 24 octobre 2011, ci-après dénommée le propriétaire,

D’une part,

2°- Le Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, pour des locaux occupés par le Bureau de Recherche Géologique Minière, représenté par son Président Directeur Général, Monsieur J.F. ROCCHI , dont les bureaux sont 39-45 Quai André Citroën à PARIS 75015, ci-après dénommé l’utilisateur,

D’autre part, se sont présentés devant nous, préfète du département de la Loire, et sont convenus du dispositif suivant :

EXPOSE

L’utilisateur a demandé, pour l'exercice de ses missions, la mise à disposition d’immeubles situés dans le département de la Loire. Cette demande est mise en œuvre dans les conditions fixées par la présente convention et par les circulaires du Premier ministre n° 5362/SG et n° 5363/SG du 16 janvier 2009 relatives à la politique immobilière de l’Etat

CONVENTION

Article 1 er Objet de la convention

La présente convention, conclue dans le cadre des dispositions des articles R. 128-12 à R. 128-17 du code du domaine de l’Etat, a pour objet de mettre à la disposition de l’utilisateur pour les besoins du BRGM, les ensembles immobiliers désignés à l’article 2 selon les modalités fixées par les articles suivants.

132 Article 2 Désignation de l’immeuble

Les ensembles immobiliers sont des terrains nus appartenant à l’Etat sis dans le département de la Loire, tels qu'ils figurent en détail dans le tableau ci-joint. Sauf prescription contraire, les dispositions de la présente convention s’appliquent automatiquement aux constructions nouvelles qui viendraient à être édifiées sur la dépendance domaniale désignée ci-dessus. Le propriétaire est informé de la réalisation de toute nouvelle construction.

Article 3 Durée de la convention

La présente convention est conclue pour une durée de NEUF années entières et consécutives qui commence le 1er janvier 2012, date à laquelle les locaux sont mis à la disposition de l’utilisateur.

La présente convention prend fin dans les conditions prévues à l’article 14.

Article 4 Etat des lieux

Un état des lieux, établi en double exemplaire, est dressé contradictoirement entre le propriétaire et l’utilisateur au début de la présente convention ainsi qu’au départ de l’utilisateur. SANS OBJET

Article 5 Ratio d’occupation (1)

SANS OBJET.

Article 6 Etendue des pouvoirs de l’utilisateur

6.1. L’usage de l’ensemble immobilier objet de la présente convention est strictement réservé au service désigné à l’article 1er et pour l’objet mentionné au même article. 6.2. Locations, autorisations d’occupation, et autres droits pourraient être consentis sur l’ensemble immobilier qui fait l’objet de la convention d’utilisation. L’occupation par un tiers de ces immeubles pendant la durée de la convention donne lieu à la délivrance d’un titre d’occupation, dans les conditions de droit commun. Préalablement à sa délivrance, l’utilisateur en informe le propriétaire. (Préciser le cas échéant les autorisations consenties ainsi que les règles s’appliquant au régime financier).

Article 7 Impôts et taxes

L’utilisateur acquitte l’ensemble des taxes et contributions afférentes aux immeubles qui font l’objet de la présente convention.

Article 8 Responsabilité

L’utilisateur assume, sous le contrôle du propriétaire, l’ensemble des responsabilités afférentes aux immeubles désignés à l’article 2 pour la durée de la présente convention.

Article 9 Entretien et réparations

L’utilisateur supporte l’ensemble des dépenses d’entretien courant et de petites réparations relatives aux immeubles désignés à l’article 2.

133 L’utilisateur convient, avec le propriétaire, d’une programmation pluriannuelle des travaux qui s’appuie sur son contrat d’objectifs (ou sa lettre de mission ou tout document en tenant lieu).

La réalisation des dépenses de grosses réparations mentionnées à l’article 606 du code civil, à la charge du propriétaire, est confiée à l’utilisateur qui les effectue avec les dotations inscrites sur son budget.

Afin de permettre le respect des objectifs fixés par l’Etat dans la loi du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement pour les bâtiments publics, une annexe pourra être adjointe à la présente convention, visant à déterminer les droits et obligations respectifs des bailleur et preneur en la matière et les conséquences qui en résulteraient.

Article 10 Engagements d’amélioration de la performance immobilière (1)

SANS OBJET.

Article 11 Loyer (1)

SANS OBJET.

Article 12 Révision du loyer (1) SANS OBJET.

(Article 13 Contrôle des conditions d'occupation

Le propriétaire s’assure périodiquement des conditions dans lesquelles sont entretenus et utilisés les immeubles remis à l’utilisateur.

Lorsque la mise en œuvre de ce contrôle permet de constater que les immeubles sont devenus inutiles ou inadaptés aux besoins de l’utilisateur, le propriétaire en informe l’utilisateur. Celui-ci dispose d’un délai d’un mois pour apporter des éléments de réponse. Le propriétaire dispose ensuite d’un nouveau délai d’un mois pour répondre à ces observations.

A l’issue de ce délai, le préfet peut mettre en demeure le service utilisateur de restituer les surfaces devenues inutiles à l’accomplissement du service public mentionné à l’article 1er. Dans ce cas, la présente convention fait l’objet d’un avenant. Si à l’expiration d’un délai de un an, le service utilisateur n’a pas donné suite à l’objet de la mise en demeure, la présente convention est résiliée par le préfet qui détermine la nouvelle localisation du service.

Article 14 Terme de la convention

14.1. Terme de la convention : La présente convention prend fin de plein droit le TRENTE ET UN DECEMBRE DEUX MILLE VINGT (31/12/2020). Elle prend également fin lorsque la cession des immeubles a été décidée, selon les règles prévues par le code général de la propriété des personnes publiques.

14.2. Résiliation anticipée de la convention : La convention peut être résiliée avant le terme prévu : • En cas de non-paiement à l’échéance du loyer (actuellement sans objet) ou de non-respect par l’utilisateur d'une autre obligation, dans un délai de six mois après mise en demeure ; • A l’initiative de l’utilisateur moyennant le respect d’un préavis de six mois, sauf en cas d’urgence ; • Lorsque l’intérêt public, tel qu’il est déclaré par le préfet dans une lettre adressée aux signataires de la présente convention, l’exige.

La résiliation est prononcée par le préfet.

134 Article 15 Pénalités financières

SANS OBJET

Un exemplaire du présent acte est conservé à la préfecture.

Le représentant du service utilisateur, Le représentant de l'administration Jean-François ROCCHI chargé des domaines Président l'Inspecteur Divisionnaire des Finances Publiques de la Loire Roland MOREL La Préfète, Fabienne BUCCIO

Visa du contrôleur budgétaire comptable ministériel ou du contrôleur financier régional,

Le tableau peut être consulté à la Direction Départementale des Finances Publiques de la Loire – 11 rue Mi-Carême – BP 502 – 42007 SAINT-ETIENNE CEDEX 01.

*******************

CONVENTION D’UTILISATION 042-2010-12 DU 02/04/2013

Les soussignés :

1°- L’administration chargée des domaines, représentée par Monsieur Marc CANO, Directeur départemental des finances publiques du département de la Loire, dont les bureaux sont à Saint-Etienne, 11 rue Mi-Carême, stipulant en vertu de la délégation de signature de Madame la Préfète qui lui a été consentie par arrêté du 24 octobre 2011, ci- après dénommée le propriétaire,

D’une part,

2°- Le Ministère de l'Intérieur, représenté par Monsieur Jean-Pierre CAZENAVE-LACROUTS, Préfet délégué pour la défense et la sécurité auprès du Préfet de la zone de défense et de sécurité Sud-Est, chargé du S.G.A.P. de LYON dont les bureaux sont à LYON 69003, 215 rue André Philip, ci-après dénommé l’utilisateur,

D’autre part, se sont présentés devant nous, préfète du département de la Loire, et sont convenus du dispositif suivant :

EXPOSE

L’utilisateur a demandé, pour l'exercice de ses missions, la mise à disposition d’un immeuble situé à Saint-Chamond, 64 rue Waldeck Rousseau.

Cette demande est mise en œuvre dans les conditions fixées par la présente convention et par les circulaires du Premier ministre n° 5362/SG et n° 5363/SG du 16 janvier 2009 relatives à la politique immobilière de l’Etat.

CONVENTION

Article 1 er Objet de la convention

La présente convention, conclue dans le cadre des dispositions des articles R. 128-12 à R. 128-17 du code du domaine de l’Etat, a pour objet de mettre à la disposition de l’utilisateur pour les besoins des bureaux du Commissariat de Police de Saint-Chamond l’ensemble immobilier désigné à l’article 2 selon les modalités fixées par les articles suivants.

135 Article 2 Désignation de l’immeuble

Ensemble immobilier appartenant à l’Etat sis 64 rue Waldeck Rousseau 42400 Saint-Chamond d’une superficie totale de 706,62 m², cadastré section BK n° 7 , tel qu'il figure, délimité par un liseré (cf plan) et enregistré sous le numéro Chorus 139591/127987.

Sauf prescription contraire, les dispositions de la présente convention s’appliquent automatiquement aux constructions nouvelles qui viendraient à être édifiées sur la dépendance domaniale désignée ci-dessus. Le propriétaire est informé de la réalisation de toute nouvelle construction.

Article 3 Durée de la convention

La présente convention est conclue pour une durée de NEUF années entières et consécutives qui commence le PREMIER JANVIER DEUX MILLE DIX, date à laquelle les locaux sont mis à la disposition de l’utilisateur.

La présente convention prend fin dans les conditions prévues à l’article 14.

Article 4 Etat des lieux

Un état des lieux, établi en double exemplaire, est dressé contradictoirement entre le propriétaire et l’utilisateur l’occupant au début de la présente convention ainsi qu’au départ de l’utilisateur.

Article 5 Ratio d’occupation (1)

Les surfaces de l’immeuble de bureaux désigné à l’article 2 sont les suivantes : SUB : 574 m2- SUN : 256 m2. Suite à l’effondrement du plafond sur une partie des locaux, dans le courant de l’année 2011, la surface occupée par le personnel n’est plus que de 172 m2 de surface utile brute et 72 m2 de surface utile nette, toutefois le loyer budgétaire a été diminué en conséquence au premier janvier 2011. Au 1er janvier 2011, les effectifs présents dans l’immeuble sont les suivants : effectifs physiques : 6 ; nombre de postes de travail : 7. En conséquence, le ratio d’occupation de l’immeuble désigné à l’article 2 s’établit à 12.29 m2 par poste de travail .

Article 6 Etendue des pouvoirs de l’utilisateur

6.1. L’usage de l’ensemble immobilier objet de la présente convention est strictement réservé au service désigné à l’article 1er et pour l’objet mentionné au même article.

6.2. Locations, autorisations d’occupation, et autres droits qui pourraient être consentis sur l’ensemble immobilier qui fait l’objet de la convention d’utilisation. L’occupation par un tiers de cet immeuble pendant la durée de la convention donne lieu à la délivrance d’un titre d’occupation, dans les conditions de droit commun. Préalablement à sa délivrance, l’utilisateur en informe le propriétaire.

Article 7 Impôts et taxes

L’utilisateur acquitte l’ensemble des taxes et contributions afférentes à l’immeuble qui fait l’objet de la présente convention.

Article 8 Responsabilité

L’utilisateur assume, sous le contrôle du propriétaire, l’ensemble des responsabilités afférentes à l’immeuble désigné à l’article 2 pour la durée de la présente convention.

136 Article 9 Entretien et réparations

L’utilisateur supporte l’ensemble des dépenses d’entretien courant et de petites réparations relatives à l’immeuble désigné à l’article 2.

L’utilisateur convient, avec le propriétaire, d’une programmation pluriannuelle des travaux qui s’appuie sur son contrat d’objectifs (ou sa lettre de mission ou tout document en tenant lieu).

La réalisation des dépenses d’entretien lourd mentionnées à l’annexe 1 à la charte de gestion du programme 309 « Entretien des bâtiments de l’Etat », à la charge du propriétaire, est confiée à l’utilisateur qui les effectue, sous sa responsabilité, pour le compte du propriétaire : ➢ avec les dotations inscrites sur son budget ; ➢ avec les dotations du programme 309 « Entretien des bâtiments de l’Etat » qui ont vocation à prendre le relais des premières.

L’utilisateur qui ne dispose pas des services ou compétences nécessaires peut, après information du propriétaire, déléguer à un tiers l’exécution des travaux sous sa responsabilité.

Afin de permettre le respect des objectifs fixés par l’Etat dans la loi du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement pour les bâtiments publics, une annexe pourra être adjointe à la présente convention, visant à déterminer les droits et obligations respectifs des bailleur et preneur en la matière et les conséquences qui en résulteraient.

Article 10 Engagements d’amélioration de la performance immobilière (1)

A la suite de l’effondrement d’un plafond, la plus grande partie des locaux est inutilisée. Un nouveau commissariat va être construit sur la commune de Saint-Chamond en 2015. L’article 10 est sans objet

Article 11 Loyer (1)

La présente convention est conclue moyennant un loyer trimestriel de 9 113 euros à partir du 1er janvier 2010, payable d’avance au CSDOM 3 Avenue du Chemin de Presles 94 417 Saint Maurice Cedex sur la base d’un avis d’échéance adressé par Service du Domaine TG de la Loire 11 rue Mi-Carême BP 502 42007 Saint-Etienne cedex 1.

La première échéance devra être réglée dès réception de l’avis de paiement correspondant. Les échéances suivantes devront être payées au plus tard le dernier jour du trimestre précédent le terme. Par dérogation aux dispositions qui précèdent, le loyer exigible, le cas échéant, au titre du premier trimestre, est payable avant la fin du mois de janvier de l’année considérée.

Au 1er janvier 2011, et suite au sinistre intervenu dans les locaux, le loyer trimestriel a été ramené à 3 034 euros.

Article 12 Révision du loyer (1)

Le loyer sera révisé chaque année en fonction de la variation de l’indice national du coût de la construction (ICC) publié par l’institut national de la statistique et des études économiques, le niveau de départ étant le dernier publié au jour de la prise d’effet de la présente convention, soit celui du 3 ème Trimestre 2009 publié le 8/10/2009 soit 1 498 et l'indice-référence celui du 3ème trimestre de l'année qui précède celle de la révision.

Article 13 Contrôle des conditions d'occupation

Le propriétaire s’assure périodiquement des conditions dans lesquelles est entretenu et utilisé l’immeuble remis à l’utilisateur. Il vérifie notamment l’évolution du ratio d’occupation par agent.

137 Lorsque la mise en œuvre de ce contrôle permet de constater que l’immeuble est devenu inutile ou inadapté aux besoins de l’utilisateur, le propriétaire en informe l’utilisateur. Celui-ci dispose d’un délai d’un mois pour apporter des éléments de réponse. Le propriétaire dispose ensuite d’un nouveau délai d’un mois pour répondre à ces observations.

A l’issue de ce délai, le préfet peut mettre en demeure le service utilisateur de restituer les surfaces devenues inutiles à l’accomplissement du service public mentionné à l’article 1er. Dans ce cas, la présente convention fait l’objet d’un avenant.

Si à l’expiration d’un délai de un an, le service utilisateur n’a pas donné suite à l’objet de la mise en demeure, la présente convention est résiliée par le préfet qui détermine la nouvelle localisation du service.

Article 14 Terme de la convention

14.1. Terme de la convention : La présente convention prend fin de plein droit le TRENTE ET UN DECEMBRE DEUX MILLE DIX-HUIT (31/12/2018). Elle prend également fin lorsque la cession de l’immeuble a été décidée, selon les règles prévues par le code général de la propriété des personnes publiques.

14.2. Résiliation anticipée de la convention : La convention peut être résiliée avant le terme prévu : 3. En cas de non-paiement à l’échéance du loyer ou de non-respect par l’utilisateur d'une autre obligation, dans un délai de six mois après mise en demeure ; 4. A l’initiative de l’utilisateur moyennant le respect d’un préavis de six mois, sauf en cas d’urgence ; 5. Lorsque l’intérêt public, tel qu’il est déclaré par le préfet dans une lettre adressée aux signataires de la présente convention, l’exige. La résiliation est prononcée par le préfet.

Article 15 Pénalités financières

En cas de retard dans le paiement des loyers, les sommes dues portent intérêt au taux légal sans nécessité de mise en demeure.

Le maintien sans titre du service occupant dans l’immeuble à l’issue de la présente convention ou après la prise d'effet de la résiliation anticipée de la convention donne lieu au paiement d’une pénalité mensuelle correspondant à trois fois le montant du loyer au maximum. A défaut de paiement dans le délai d’un mois à compter de la date limite de paiement du loyer, le comptable spécialisé du domaine adresse à l’utilisateur une lettre de rappel valant mise en demeure.

L’intégralité des sommes dues et non payées (capital et intérêts) est traitée dans les mêmes conditions que les restes à payer liés à des baux commerciaux par le comptable spécialisé du domaine, les contrôleurs budgétaires et comptables ministériels et la direction du budget jusqu’à règlement des sommes dues, à chaque étape de fin et de début de gestion.

Un exemplaire du présent acte est conservé à la préfecture.

Le représentant du service utilisateur, Le représentant de l'administration Le Préfet délégué pour la défense et la sécurité chargé des domaines auprès du Préfet de la zone de défense Sud-Est l'Inspecteur Divisionnaire des Finances Préfet de la région Rhône Alpes Préfet du Rhône Publiques de la Loire Jean Pierre CAZENAVE-LACROUTS Roland MOREL La Préfète, Fabienne BUCCIO

Visa du contrôleur budgétaire comptable ministériel ou du contrôleur financier régional, *******************

138 CONVENTION D’UTILISATION 042-2010-10 DU 22/02/2013

Les soussignés :

1°- L’administration chargée des domaines, représentée par Monsieur Marc CANO, Directeur départemental des finances publiques du département de la Loire, dont les bureaux sont à Saint-Etienne, 11 rue Mi-Carême, stipulant en vertu de la délégation de signature de Madame la Préfète qui lui a été consentie par arrêté du 24 octobre 2011, ci- après dénommée le propriétaire,

D’une part,

2°- Le Ministère de l'Intérieur, représenté par Monsieur Jean-Pierre CAZENAVE-LACROUTS, Préfet délégué pour la défense et la sécurité auprès du Préfet de la zone de défense et de sécurité Sud-Est, chargé du S.G.A.P. de LYON dont les bureaux sont à LYON 69003, 215 rue André Philip, ci-après dénommé l’utilisateur,

D’autre part, se sont présentés devant nous, préfète du département de la Loire, et sont convenus du dispositif suivant :

EXPOSE

L’utilisateur a demandé, pour l'exercice de ses missions, la mise à disposition d’un immeuble situé à Firminy, 15 Avenue de la Gare.

Cette demande est mise en œuvre dans les conditions fixées par la présente convention et par les circulaires du Premier ministre n° 5362/SG et n° 5363/SG du 16 janvier 2009 relatives à la politique immobilière de l’Etat.

CONVENTION

Article 1 er Objet de la convention

La présente convention, conclue dans le cadre des dispositions des articles R. 128-12 à R. 128-17 du code du domaine de l’Etat, a pour objet de mettre à la disposition de l’utilisateur pour les besoins des bureaux du Commissariat de Police de Firminy l’ensemble immobilier désigné à l’article 2 selon les modalités fixées par les articles suivants.

Article 2 Désignation de l’immeuble

Ensemble immobilier appartenant à l’Etat sis 15 Avenue de la Gare 42700 Firminy d’une superficie totale de 613,04 m², cadastré section AH n°720, AH n° 468, AH n°467 et AH n° 454 tel qu'il figure, délimité par un liseré (cf plan). Il est à noter que le commissariat de police de Firminy s’étend également sur une partie location, dans le cadre de deux baux signés par la Mairie de Firminy, et enregistré sous le numéro Chorus 138424/125140 décomposé ainsi : • Garage, propriété de l’Etat (surface louée 9), pour une surface utile brute de 19 m2 • Bureaux, propriété de l’Etat (surface louée 17), pour une SHON de 432 m2, une SUB de 377 m2, une SUN de 225 m2 (dont 214 m2 de surface de bureaux et 11 m2 de surface annexe de travail). • Bureaux, propriété de la Commune (surface louée 19), pour une SHON de 265 m2, une SUB de 265 m2, une SUN de 157 m2 (dont 60 m2 de surface de bureaux, 82m2 surface espace de réunion, 14 m2 surface annexe de travail) et 52 m2 autres surface de travail). Sauf prescription contraire, les dispositions de la présente convention s’appliquent automatiquement aux constructions nouvelles qui viendraient à être édifiées sur la dépendance domaniale désignée ci-dessus. Le propriétaire est informé de la réalisation de toute nouvelle construction.

Article 3 Durée de la convention

La présente convention est conclue pour une durée de NEUF années entières et consécutives qui commence le PREMIER JANVIER DEUX MILLE DIX, date à laquelle les locaux sont mis à la disposition de l’utilisateur. La présente convention prend fin dans les conditions prévues à l’article 14.

139 Article 4 Etat des lieux

Un état des lieux, établi en double exemplaire, est dressé contradictoirement entre le propriétaire et l’utilisateur au début de la présente convention ainsi qu’au départ de l’utilisateur.

Article 5 Ratio d’occupation (1)

Les surfaces de l’immeuble de bureau désigné à l’article 2 sont les suivantes : SUB : 642 m² , (377 m2 propriété de l’Etat), SUN : 371 m² ( 225 m2 propriété de l’Etat,), dont surface de bureaux : 274 m2 (214m2 propriété de l’Etat), dont surface d’espace de réunion : 82 m² entièrement en location, et surface annexe : 25 m² (11 m2 propriété de l’Etat). Au 1er janvier 2010, les effectifs présents dans l’immeuble sont les suivants : effectifs physiques : 100 ; effectifs administratifs : 9 ; nombre de postes de travail : 32. En conséquence, le ratio d’occupation de l’immeuble de bureaux désigné à l’article 2 s’établit à 11.60 mètres carrés par poste de travail, (3.71 mètres carrés par agent) . (1) immeubles à usage de bureaux

Article 6 Etendue des pouvoirs de l’utilisateur

6.1. L’usage de l’ensemble immobilier objet de la présente convention est strictement réservé au service désigné à l’article 1er et pour l’objet mentionné au même article.

6.2. Locations, autorisations d’occupation, et autres droits qui pourraient être consentis sur l’ensemble immobilier qui fait l’objet de la convention d’utilisation. L’occupation par un tiers de cet immeuble pendant la durée de la convention donne lieu à la délivrance d’un titre d’occupation, dans les conditions de droit commun. Préalablement à sa délivrance, l’utilisateur en informe le propriétaire.

Article 7 Impôts et taxes

L’utilisateur acquitte l’ensemble des taxes et contributions afférentes à l’immeuble qui fait l’objet de la présente convention.

Article 8 Responsabilité

L’utilisateur assume, sous le contrôle du propriétaire, l’ensemble des responsabilités afférentes à l’immeuble désigné à l’article 2 pour la durée de la présente convention.

Article 9 Entretien et réparations

L’utilisateur supporte l’ensemble des dépenses d’entretien courant et de petites réparations relatives à l’immeuble désigné à l’article 2.

L’utilisateur convient, avec le propriétaire, d’une programmation pluriannuelle des travaux qui s’appuie sur son contrat d’objectifs (ou sa lettre de mission ou tout document en tenant lieu).

La réalisation des dépenses d’entretien lourd mentionnées à l’annexe 1 à la charte de gestion du programme 309 « Entretien des bâtiments de l’Etat », à la charge du propriétaire, est confiée à l’utilisateur qui les effectue, sous sa responsabilité, pour le compte du propriétaire : • avec les dotations inscrites sur son budget ; • avec les dotations du programme 309 « Entretien des bâtiments de l’Etat » qui ont vocation à prendre le relais des premières. L’utilisateur qui ne dispose pas des services ou compétences nécessaires peut, après information du propriétaire, déléguer à un tiers l’exécution des travaux sous sa responsabilité.

140 Afin de permettre le respect des objectifs fixés par l’Etat dans la loi du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement pour les bâtiments publics, une annexe pourra être adjointe à la présente convention, visant à déterminer les droits et obligations respectifs des bailleur et preneur en la matière et les conséquences qui en résulteraient.

Article 10 Engagements d’amélioration de la performance immobilière (1)

A la date de signature de la convention le ratio d’occupation étant de 11.60 m² par agent, l’engagement d’amélioration de la performance immobilière est atteint. A chacune de ces dates, le propriétaire effectuera une vérification des conditions d’application de cet article. En cas d’inexécution des engagements pris, le préfet informera le ministre chargé du Domaine afin de l’inviter à réviser la dotation de loyers budgétaires et effectuera une proposition pour que celle-ci corresponde aux mètres carrés nécessaires compte tenu des engagements souscrits au présent article. Lorsque l'application du présent article aboutit à une libération partielle d'une partie de l'immeuble, la dotation budgétaire allouée à l’origine sera maintenue pendant les deux années suivantes, alors même que les surfaces libérées ne seront plus employées par l’utilisateur. Bien entendu, ces engagements doivent être cohérents avec les SPSI validés. • immeubles à usage de bureaux

Article 11 Loyer (1)

La présente convention est conclue moyennant un loyer trimestriel de 7 650 euros, payable d’avance au CSDOM 3 Avenue du Chemin de Presles 94 417 Saint Maurice Cedex sur la base d’un avis d’échéance adressé par Service du Domaine TG de la Loire 11 rue Mi-Carême BP 502 42007 Saint-Etienne cedex 1. Ce loyer ne concerne que l’immeuble 1 désigné à l’article 2, propriété de l’Etat ,dans la mesure où ce dernier est composé à plus de 51% de bureaux. Les extensions du rez-de-chaussée et 1er étage du Commissariat, loués à la Ville de Firminy n’entrent pas dans le champ d’application des conventions d’utilisation. La première échéance devra être réglée dès réception de l’avis de paiement correspondant. Les échéances suivantes devront être payées au plus tard le dernier jour du trimestre précédent le terme. Par dérogation aux dispositions qui précèdent, le loyer exigible, le cas échéant, au titre du premier trimestre, est payable avant la fin du mois de janvier de l’année considérée.

Article 12 Révision du loyer (1)

Le loyer sera révisé chaque année en fonction de la variation de l’indice national du coût de la construction (ICC) publié par l’institut national de la statistique et des études économiques, le niveau de départ étant le dernier publié au jour de la prise d’effet de la présente convention, soit celui du 3 ème Trimestre 2009 publié le 8/10/2009 soit 1 498 et l'indice-référence celui du 3ème trimestre de l'année qui précède celle de la révision.

Article 13 Contrôle des conditions d'occupation

Le propriétaire s’assure périodiquement des conditions dans lesquelles est entretenu et utilisé l’immeuble remis à l’utilisateur. Il vérifie notamment l’évolution du ratio d’occupation par agent . Lorsque la mise en œuvre de ce contrôle permet de constater que l’immeuble est devenu inutile ou inadapté aux besoins de l’utilisateur, le propriétaire en informe l’utilisateur. Celui-ci dispose d’un délai d’un mois pour apporter des éléments de réponse. Le propriétaire dispose ensuite d’un nouveau délai d’un mois pour répondre à ces observations.

A l’issue de ce délai, le préfet peut mettre en demeure le service utilisateur de restituer les surfaces devenues inutiles à l’accomplissement du service public mentionné à l’article 1er. Dans ce cas, la présente convention fait l’objet d’un avenant. Si à l’expiration d’un délai de un an, le service utilisateur n’a pas donné suite à l’objet de la mise en demeure, la présente convention est résiliée par le préfet qui détermine la nouvelle localisation du service.

141 Article 14 Terme de la convention

14.1. Terme de la convention : La présente convention prend fin de plein droit le TRENTE ET UN DECEMBRE DEUX MILLE DIX-HUIT (31/12/2018). Elle prend également fin lorsque la cession de l’immeuble a été décidée, selon les règles prévues par le code général de la propriété des personnes publiques.

14.2. Résiliation anticipée de la convention : La convention peut être résiliée avant le terme prévu : • En cas de non-paiement à l’échéance du loyer ou de non-respect par l’utilisateur d'une autre obligation, dans un délai de six mois après mise en demeure : • A l’initiative de l’utilisateur moyennant le respect d’un préavis de six mois, sauf en cas d’urgence ; • Lorsque l’intérêt public, tel qu’il est déclaré par le préfet dans une lettre adressée aux signataires de la présente convention, l’exige. La résiliation est prononcée par le préfet.

Article 15 Pénalités financières

En cas de retard dans le paiement des loyers, les sommes dues portent intérêt au taux légal sans nécessité de mise en demeure. Le maintien sans titre du service occupant dans l’immeuble à l’issue de la présente convention ou après la prise d'effet de la résiliation anticipée de la convention donne lieu au paiement d’une pénalité mensuelle correspondant à trois fois le montant du loyer au maximum. A défaut de paiement dans le délai d’un mois à compter de la date limite de paiement du loyer, le comptable spécialisé du domaine adresse à l’utilisateur une lettre de rappel valant mise en demeure. L’intégralité des sommes dues et non payées (capital et intérêts) est traitée dans les mêmes conditions que les restes à payer liés à des baux commerciaux par le comptable spécialisé du domaine, les contrôleurs budgétaires et comptables ministériels et la direction du budget jusqu’à règlement des sommes dues, à chaque étape de fin et de début de gestion.

Un exemplaire du présent acte est conservé à la préfecture.

Le représentant du service utilisateur, Le représentant de l'administration Le Préfet délégué pour la défense et la sécurité chargé des domaines auprès du Préfet de la zone de défense Sud-Est l'Inspecteur Divisionnaire des Finances Préfet de la région Rhône Alpes Préfet du Rhône Publiques de la Loire Jean Pierre CAZENAVE-LACROUTS Roland MOREL La Préfète, Fabienne BUCCIO

Visa du contrôleur budgétaire comptable ministériel ou du contrôleur financier régional,

*******************

CONVENTION GLOBALE D’UTILISATION 042-2011-0059 DU 06/05/2013

Les soussignés :

1°- L’administration chargée des domaines, représentée par Monsieur Marc CANO, Directeur départemental des Finances Publiques du département de la Loire, dont les bureaux sont à Saint-Etienne, 11 rue Mi-Carême, stipulant en vertu de la délégation de signature de Madame la Préfète qui lui a été consentie par arrêté du 24 octobre 2011, ci- après dénommée le propriétaire,

D’une part,

142 2°- Le Ministère de l’Intérieur, pour des locaux occupés par la CRS 34 représenté par Monsieur Jean Pierre CAZENAVE-LACROUTS, Préfet délégué pour la défense et la sécurité, auprès du Préfet de la zone de défense et de sécurité Sud-Est, chargé du SGAP de Lyon, dont les bureaux sont à LYON, 215 rue André Philip, ci-après dénommé l’utilisateur,

D’autre part, se sont présentés devant nous, préfète du département de la Loire, et sont convenus du dispositif suivant :

EXPOSE

L’utilisateur a demandé, pour l'exercice de ses missions, la mise à disposition d’un immeuble situé à MABLY 42300, rue Pierre Corneille.

Cette demande est mise en œuvre dans les conditions fixées par la présente convention et par les circulaires du Premier ministre n° 5362/SG et n° 5363/SG du 16 janvier 2009 relatives à la politique immobilière de l’Etat.

CONVENTION

Article 1 er Objet de la convention

La présente convention, conclue dans le cadre des dispositions des articles R. 128-12 à R. 128-17 du code du domaine de l’Etat, a pour objet de constater la disposition de l’utilisateur pour les besoins de la CRS 34 à MABLY 42300, l’ensemble immobilier désigné à l’article 2 selon les modalités fixées par les articles suivants.

Article 2 Désignation de l’immeuble

Ensemble immobilier appartenant à l’Etat, sis à MABLY, rue Pierre Corneille, d’une superficie totale de 42 849 m2, cadastrés AZ section 26 et 28, AM section 2, tel qu'il figure, délimité par un liseré (annexer un plan) et enregistré sous les numéros CHORUS : ➢ 120184/198639 : terrain ➢ 120184/367697 : terrain aménagé entièrement, pur une superficie de 1800 m2 ➢ 120184/125216 : Bâtiment 1, pour une SHON DE 236 m2, une SUB de 193 m2, dont surface de soutien de 145 m2 , SUN de 44m2 dont 26 m2 de bureaux ➢ 120184/125645 : Bâtiment 2, pour une SHON de 1547 m2, une SUB de 1483m2, dont surface de soutien de 297 m2, SUN de 686 m2, dont 321 m2 de surface de bureaux et 156 m2 espace de réunion. ➢ 120184/126207 : Bâtiment 3, pour une SHON de 911 m2, une SUB de 907 m2, dont surface de restaurants administratifs de 618 m2, surface de soutien de 229m2, une SUN de 29 m2, dont 29m2 de surface de bureaux ➢ 120184/129352 : Bâtiment 4, pour une SHON de 523 m2, une SUB de 521 m2, dont 108 m2 de surface de soutien, une SUN de 13 m2 dont 13 m2 de bureaux, surface logements de fonction de 214 m2. ➢ 120184/348910 : Bâtiment 5, pour une SHON de 133 m2, dont 133m2 de logements de fonction. ➢ 120184/367695 : bâtiment 6, pour une SHON de 990 m2, une SUB de 67 m2, une SUN de 21 m2 dont 21 m2 de bureaux.

Et dont le détail figure dans le tableau annexé. Sauf prescription contraire, les dispositions de la présente convention s’appliquent automatiquement aux constructions nouvelles qui viendraient à être édifiées sur la dépendance domaniale désignée ci-dessus. Le propriétaire est informé de la réalisation de toute nouvelle construction.

Article 3 Durée de la convention

La présente convention est conclue pour une durée de NEUF années entières et consécutives qui commence le Premier janvier 2011, date à laquelle les locaux sont mis à la disposition de l’utilisateur.

La présente convention prend fin dans les conditions prévues à l’article 14.

143 Article 4 Etat des lieux

Un état des lieux, établi en double exemplaire, est dressé contradictoirement entre le propriétaire et l’utilisateur au début de la présente convention ainsi qu’au départ de l’utilisateur.

Article 5 Ratio d’occupation (1)

Les surfaces de l’immeuble désigné à l’article 2 sont les suivantes : Surface Utile Brute : 3 171 m2 dont Surface Utile Nette : 793 m2 , dont surface de bureaux : 410 m2, dont 156 m2 espaces de réunion. Au 1er janvier 2011, les effectifs présents dans l’immeuble sont les suivants : effectifs physiques : 170, Effectifs administratifs : 6, Nombre de poste de travail : 28. La surface utile nette étant inférieure à 51 % de la superficie utile brute, le bâtiment relève de la catégorie 2 des immeubles de l’Etat. En conséquence l’article 5 est sans objet.

Article 6 Etendue des pouvoirs de l’utilisateur

6.1. L’usage de l’ensemble immobilier objet de la présente convention est strictement réservée au service désigné à l’article 1er et pour l’objet mentionné au même article.

6.2. Locations, autorisations d’occupation, et autres droits qui pourraient être consentis sur l’ensemble immobilier qui fait l’objet de la convention d’utilisation.

L’occupation par un tiers de cet immeuble pendant la durée de la convention donne lieu à la délivrance d’un titre d’occupation, dans les conditions de droit commun. Préalablement à sa délivrance, l’utilisateur en informe le propriétaire.

Article 7 Impôts et taxes

L’utilisateur acquitte l’ensemble des taxes et contributions afférentes à l’immeuble qui fait l’objet de la présente convention.

Article 8 Responsabilité

L’utilisateur assume, sous le contrôle du propriétaire, l’ensemble des responsabilités afférentes à l’immeuble désigné à l’article 2 pour la durée de la présente convention.

Article 9 Entretien et réparations

L’utilisateur supporte l’ensemble des dépenses d’entretien courant et de petites réparations relatives à l’immeuble désigné à l’article 2.

L’utilisateur convient, avec l’administration chargée du domaine, d’une programmation pluriannuelle des travaux qui s’appuie sur son contrat d’objectifs (ou sa lettre de mission ou tout document en tenant lieu).

La réalisation des dépenses d’entretien lourd mentionnées à l’annexe 1 à la charte de gestion du programme 309 « Entretien des bâtiments de l’Etat », à la charge du propriétaire, est confiée à l’utilisateur qui les effectue, sous sa responsabilité, pour le compte du propriétaire : • avec les dotations inscrites sur son budget ; • avec les dotations du programme 309 « Entretien des bâtiments de l’Etat ». L’utilisateur qui ne dispose pas des services ou compétences nécessaires peut, après information du propriétaire, déléguer à un tiers l’exécution des travaux sous sa responsabilité.

144 Afin de permettre le respect des objectifs fixés par l’Etat dans la loi du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement pour les bâtiments publics, une annexe pourra être adjointe à la présente convention, visant à déterminer les droits et obligations respectifs des bailleur et preneur en la matière et les conséquences qui en résulteraient.

Article 10 Engagements d’amélioration de la performance immobilière (1)

Actuellement sans objet

Article 11 Loyer (1)

Actuellement sans objet

Article 12 Révision du loyer (1)

Actuellement sans objet

(1) Cette clause concerne les immeubles à usage de bureaux dont l’utilisation par les services de l’Etat donne lieu à la fixation d’un loyer en valeur de marché. (2) Les signataires peuvent retenir un autre indice (ex : indice des loyers commerciaux ILC, indice applicable aux loyers de bureaux ILB), dans les cas prévus par l’instruction relative à l’application des conventions d’utilisation.

Article 13 Contrôle des conditions d'occupation

Le propriétaire s’assure périodiquement des conditions dans lesquelles est entretenu et utilisé l’immeuble remis à l’utilisateur. Il vérifie notamment l’évolution du ratio d’occupation par agent (1). Lorsque la mise en œuvre de ce contrôle permet de constater que l’immeuble est devenu inutile ou inadapté aux besoins de l’utilisateur, le propriétaire en informe l’utilisateur. Celui-ci dispose d’un délai d’un mois pour apporter des éléments de réponse. Le propriétaire dispose ensuite d’un nouveau délai d’un mois pour répondre à ces observations. A l’issue de ce délai, le préfet peut mettre en demeure le service utilisateur de restituer les surfaces devenues inutiles à l’accomplissement du service public mentionné à l’article 1er. Dans ce cas, la présente convention fait l’objet d’un avenant. Si à l’expiration d’un délai de UN AN, le service utilisateur n’a pas donné suite à l’objet de la mise en demeure, la présente convention est résiliée par le préfet qui détermine la nouvelle localisation du service.

Article 14 Terme de la convention

14.1. Terme de la convention : La présente convention prend fin de plein droit le TRENTE ET UN DECEMBRE 2019 (31/12/2019). Elle prend également fin lorsque la cession de l’immeuble a été décidée, selon les règles prévues par le code général de la propriété des personnes publiques.

14.2. Résiliation anticipée de la convention : La convention peut être résiliée avant le terme prévu : • En cas de non-paiement à l’échéance du loyer ou de non-respect par l’utilisateur d'une autre obligation, dans un délai de six mois après mise en demeure ; • A l’initiative de l’utilisateur moyennant le respect d’un préavis de six mois, sauf en cas d’urgence ; • Lorsque l’intérêt public, tel qu’il est déclaré par le préfet dans une lettre adressée aux signataires de la présente convention, l’exige. La résiliation est prononcée par le préfet.

145 Article 15 Pénalités financières

Le maintien sans titre du service occupant dans l’immeuble à l’issue de la présente convention ou après la prise d'effet de la résiliation anticipée de la convention donne lieu au paiement d’une pénalité mensuelle correspondant à trois fois la valeur locative de l’immeuble au maximum. A défaut de paiement dans le délai d’un mois à compter de la date limite de paiement du loyer, le comptable spécialisé du domaine adresse à l’utilisateur une lettre de rappel valant mise en demeure. L’intégralité des sommes dues et non payées (capital et intérêts) est traitée dans les mêmes conditions que les restes à payer liés à des baux commerciaux par le comptable spécialisé du domaine, les contrôleurs budgétaires et comptables ministériels et la direction du budget jusqu’à règlement des sommes dues, à chaque étape de fin et de début de gestion.

Un exemplaire du présent acte est conservé à la préfecture.

Le représentant du service utilisateur, Le représentant de l'administration Le Préfet délégué pour la défense et la sécurité chargé des domaines auprès du Préfet de la zone de défense Sud-Est l'Inspecteur Divisionnaire des Finances Préfet de la région Rhône Alpes Préfet du Rhône Publiques de la Loire Jean Pierre CAZENAVE-LACROUTS Roland MOREL La Préfète, Fabienne BUCCIO

Visa du contrôleur financier régional,

L'annexe peut être consultée à la Direction Départementale des Finances Publiques de la Loire – 11 rue Mi-Carême – BP 502 – 42007 SAINT-ETIENNE CEDEX 01.

DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS

ARRETE N° 248-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME NATHALIE BAZILE La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ;

146 Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Madame Nathalie BAZILE domiciliée professionnellement au 1 bd Lachèze BP 47 42600 MONTBRISON ; Considérant que Madame Nathalie BAZILE remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Madame Nathalie BAZILE docteur vétérinaire, administrativement domiciliée :

1 bd Lachèze BP 47 42600 MONTBRISON pour les départements suivants : Loire (42) - Ain (01) - Haute-Loire (43) - Puy de Dôme (63) - Rhône (69) pour une activité Canine.

Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

Article 3 Madame Nathalie BAZILE s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Madame Nathalie BAZILE pourra être appelée par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Elle sera tenue de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

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147 ARRETE N° 249-DDPP-13 DU 26/06.2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR IVAN CHOL La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Monsieur Ivan CHOL domicilié professionnellement au 85 bd Jean Jaurès 42170 ST JUST ST RAMBERT ; Considérant que Monsieur Ivan CHOL remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Monsieur Ivan CHOL docteur vétérinaire, administrativement domicilié :

85 bd Jean Jaurès 42170 ST JUST ST RAMBERT pour le département de la Loire (42) pour une activité Canine.

Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

Article 3 Monsieur Ivan CHOL s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Monsieur Ivan CHOL pourra être appelé par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels il a été désigné vétérinaire sanitaire. Il sera tenu de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

148 Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

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ARRETE N° 250-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME CATHERINE FAISANDIER - KIRCHHOF La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Madame Catherine FAISANDIER - KIRCHHOF domiciliée professionnellement au 85 bd Jean Jaurès 42170 ST JUST ST RAMBERT ; Considérant que Madame Catherine FAISANDIER - KIRCHHOF remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Madame Catherine FAISANDIER - KIRCHHOF docteur vétérinaire, administrativement domiciliée :

85 bd Jean Jaurès 42170 ST JUST ST RAMBERT pour le département de la Loire (42) pour une activité Canine.

149 Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

Article 3 Madame Catherine FAISANDIER - KIRCHHOF s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Madame Catherine FAISANDIER - KIRCHHOF pourra être appelée par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Elle sera tenue de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7

Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

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ARRETE N° 251-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME CATHERINE GIGOT La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ;

150 Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Madame Catherine GIGOT domiciliée professionnellement au Grataloup - Route de Mornand 42110 PONCINS ; Considérant que Madame Catherine GIGOT remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Madame Catherine GIGOT docteur vétérinaire, administrativement domiciliée :

Grataloup - Route de Mornand 42110 PONCINS pour le département de la Loire (42) pour une activité Canine.

Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

Article 3 Madame Catherine GIGOT s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Madame Catherine GIGOT pourra être appelée par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Elle sera tenue de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

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151 ARRETE N° 252-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME CÉLIA LAMY La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Madame Célia LAMY domiciliée professionnellement au ZAC de Crémérieux BP 35 Savigneux 42601 MONTBRISON ; Considérant que Madame Célia LAMY remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Madame Célia LAMY docteur vétérinaire, administrativement domiciliée :

ZAC de Crémérieux BP 35 Savigneux 42601 MONTBRISON pour le département de la Loire (42) pour une activité Canine.

Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

Article 3 Madame Célia LAMY s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Madame Célia LAMY pourra être appelée par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Elle sera tenue de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

152 Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

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ARRETE N° 253-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME ANNE REYMONDON La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Madame Anne REYMONDON domiciliée professionnellement au 85 bd Jean Jaurès 42170 ST JUST ST RAMBERT ; Considérant que Madame Anne REYMONDON remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Madame Anne REYMONDON docteur vétérinaire, administrativement domiciliée : 85 bd Jean Jaurès 42170 ST JUST ST RAMBERT pour le département de la Loire (42) pour une activité Canine.

Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

153 Article 3 Madame Anne REYMONDON s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Madame Anne REYMONDON pourra être appelée par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Elle sera tenue de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

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ARRETE N° 254-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MADAME KARINE WITZ La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Madame Karine WITZ domiciliée professionnellement au 1 bd Lachèze BP 47 42600 MONTBRISON ; Considérant que Madame Karine WITZ remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

154 ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Madame Karine WITZ docteur vétérinaire, administrativement domiciliée :

1 bd Lachèze BP 47 42600 MONTBRISON pour les départements suivants : Loire (42) - Ain (01) - Haute-Loire (43) - Puy de Dôme (63) - Rhône (69) pour une activité Canine.

Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

Article 3 Madame Karine WITZ s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Madame Karine WITZ pourra être appelée par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Elle sera tenue de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

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ARRETE N° 255-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR MAXIME CHASSAING La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ;

155 Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Monsieur Maxime CHASSAING domicilié professionnellement au Chemin d'Urfé 42260 ST GERMAIN LAVAL ; Considérant que Monsieur Maxime CHASSAING remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er

L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Monsieur Maxime CHASSAING docteur vétérinaire, administrativement domicilié :

Chemin d'Urfé 42260 ST GERMAIN LAVAL pour le département de la Loire (42) pour une activité Mixte.

Article 2

Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

Article 3

Monsieur Maxime CHASSAING s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4

Monsieur Maxime CHASSAING pourra être appelé par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels il a été désigné vétérinaire sanitaire. Il sera tenu de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5

Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

Article 6

La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

156 Article 7

Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

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ARRETE N° 256-DDPP13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR MARC EVRARD La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Monsieur Marc EVRARD domicilié professionnellement au 453 rue de Magellan 42190 ST NIZIER SOUS CHARLIEU ; Considérant que Monsieur Marc EVRARD remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Monsieur Marc EVRARD docteur vétérinaire, administrativement domicilié :

453 rue de Magellan 42190 ST NIZIER SOUS CHARLIEU pour les départements suivants : Loire (42) et Saône et Loire (71) pour une activité Mixte.

Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

157 Article 3 Monsieur Marc EVRARD s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Monsieur Marc EVRARD pourra être appelé par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels il a été désigné vétérinaire sanitaire. Il sera tenu de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

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ARRETE N° 257-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR GUY FEVRE La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Monsieur Guy FEVRE domicilié professionnellement au Avenue du 8 mai 1945 42430 ST JUST EN CHEVALET ; Considérant que Monsieur Guy FEVRE justifie d’une seule session de formation suivie au cours de ses 5 dernières années d’exercice ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

158 ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de un an à Monsieur Guy FEVRE docteur vétérinaire, administrativement domicilié :

Avenue du 8 mai 1945 42430 ST JUST EN CHEVALET pour les départements suivants : Loire (42) - Allier (03) et Puy de Dôme (63) pour une activité Mixte.

Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

Article 3 Monsieur Guy FEVRE s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Monsieur Guy FEVRE pourra être appelé par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels il a été désigné vétérinaire sanitaire. Il sera tenu de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

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ARRETE N° 259-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR JACQUES THOMAS La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ;

159 Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Monsieur Jacques THOMAS domicilié professionnellement au Avenue du 8 mai 1945 42430 ST JUST EN CHEVALET ; Considérant que Monsieur Jacques THOMAS remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Monsieur Jacques THOMAS docteur vétérinaire, administrativement domicilié :

Avenue du 8 mai 1945 42430 ST JUST EN CHEVALET pour les départements suivants : Loire (42) - Allier (03) et Puy de Dôme (63) pour une activité Mixte.

Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

Article 3 Monsieur Jacques THOMAS s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Monsieur Jacques THOMAS pourra être appelé par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels il a été désigné vétérinaire sanitaire. Il sera tenu de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE ********************

160 ARRETE N° 260-DDPP-13 DU 26/06/2013 ATTRIBUANT L'HABILITATION SANITAIRE À MONSIEUR ROLAND VAN UNEN La préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Chevalier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. Vu le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; Vu le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1174 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la Loire ; Vu l’arrêté préfectoral n° 1175 du 24 octobre 2011 portant délégation de signature en tant qu’ordonnateur secondaire délégué à Monsieur Didier PERRE, directeur départemental de la protection des populations de la LOIRE ; Vu l’arrêté préfectoral n° 433-DDPP-11 du 25 octobre 2011 portant subdélégation de signature pour l’exercice de la compétence d’ordonnateur secondaire délégué ; Vu l’arrêté préfectoral n° 33-DDPP-13 du 5 février 2013 portant subdélégation de signature pour les compétences générales et techniques ; Vu la demande présentée par Monsieur Roland VAN UNEN domicilié professionnellement au Chemin d'Urfé 42260 ST GERMAIN LAVAL ; Considérant que Monsieur Roland VAN UNEN remplit les conditions permettant l'attribution de l'habilitation sanitaire ; Sur la proposition du directeur départemental de la protection des populations de la Loire ;

ARRÊTE

Article 1er L'habilitation sanitaire prévue à l’article L.203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans à Monsieur Roland VAN UNEN docteur vétérinaire, administrativement domicilié :

Chemin d'Urfé 42260 ST GERMAIN LAVAL pour le département de la Loire (42) pour une activité Rurale.

Article 2 Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier, le cas échéant, à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de la Loire du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12 du code rural et de la pêche maritime.

Article 3 Monsieur Roland VAN UNEN s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 4 Monsieur Roland VAN UNEN pourra être appelé par le préfet de ses départements d'exercice pour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels il a été désigné vétérinaire sanitaire. Il sera tenu de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.

Article 5 Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime.

161 Article 6 La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Lyon dans un délai de deux mois à compter de la date de notification.

Article 7 Monsieur le Secrétaire général de la Préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Saint-Etienne, le 26 juin 2013 Pour la Préfète, et par délégation Le directeur départemental de la protection des populations Didier PERRE

DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE

ARRETE PREFECTORAL DU 28/06/2013 FIXANT LA DOTATION GLOBALE DE FINANCEMENT DU CENTRE D’ACCUEIL POUR DEMANDEURS D’ASILE GÉRÉ PAR L’ASSOCIATION ENTRAIDE PIERRE VALDO POUR L’ANNÉE 2013 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

VU le code de l’action sociale et des familles, notamment les articles L.313-8, L.314-3 à L.314-7, R.314-1 à R.314 110 et R.314-150 à R314-157 VU l’ordonnance n°2010-177 du 23 février 2010 de coordination avec la loi n°2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, VU le décret N°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et départements, VU le décret n°2004-1085 du 14 octobre 2004 relatif à la délégation de gestion dans les services de l’Etat, VU l’arrêté du 22 octobre 2003 fixant les modèles de documents prévus aux articles 9,12, 16, 18, 19, 47 et 83 du décret n°2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financière, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l’article L312-1 du code de l’action sociale et des familles VU l’arrêté du 13 mars 2013 pris en application de l’article L.314-4 du code de l’action sociale et des familles fixant les dotations régionales limitatives relatives aux frais de fonctionnement des centres d’accueil pour demandeurs d’asile et centres de transit, publié au Journal Officiel du 21 mars 2013, VU la convention de délégation de gestion du 7 novembre 2011 entre M. le Préfet de la région Rhône Alpes et Mme la Préfète de la Loire confiant à la Préfète de la Loire, en son nom et pour son compte, la réalisation de l’ensemble des actes afférents à la procédure budgétaire des établissements et services, VU les délégations de crédits reçues imputées sur le programme 303 du budget de l’Etat – Ministère de l’Intérieur, de l’Outre-Mer, des Collectivités Territoriales et de l’Immigration VU le rapport d’orientations budgétaires 2013 du 3 mai 2013 des Centres d’Accueil pour Demandeurs d’Asile (CADA) et du Centre de Transit, VU les courriers transmis les 31 octobre 2012 et 21 mai 2013 par lequel la personne ayant qualité pour représenter le CADA ENTRAIDE PIERRE VALDO a adressé ses propositions budgétaires et leurs annexes pour l’exercice 2013, VU la procédure contradictoire prévue par l’article R.314-24 du Code de l’action sociale et des familles, modifié par le décret n°2006-422 du 7 avril 2006, Sur proposition de M. le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale,

162 ARRETE

Article 1er : Pour l’exercice budgétaire 2013, les dépenses et les recettes prévisionnelles du CADA ENTRAIDE PIERRE VALDO de la Loire sont autorisées comme suit :

Groupes fonctionnels Montants en Euros Total en Euros

Groupe I 423 923 Dépenses afférentes à l’exploitation courante Groupe II Dépenses 854 165 2 256 388 Dépenses afférentes au personnel Groupe III 978 300 Dépenses afférentes à la structure Groupe I 2 199 088 Produits de la tarification Recettes Groupe II 2 256 388 14 000 Autres produits relatifs à l’exploitation Groupe III 43 300 Produits financiers et produits non encaissables

Article 2 : Pour l’exercice budgétaire 2013, la dotation globale de financement du CADA ENTRAIDE PIERRE VALDO est fixée à 2 199 088€.

La fraction forfaitaire, en application de l’article R.314-107 du Code de l’Action Sociale et des Familles, égale au douzième de la dotation globale de financement est fixée à 183 257.33€.

Les versements seront effectués au compte n°42559 00017 21028860201 75 auprès du Crédit Coopératif.

Article 3 : A compter du 1er janvier 2014, sans préjudice de la campagne budgétaire 2013, la dotation globale de financement reconductible est fixée à 2 199 088€.

La fraction forfaitaire égale au douzième de la dotation globale de financement est arrêtée à : 183 257.33€.

Article 4 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale sis Palais des Juridictions, Cour Administrative d’Appel, 184 rue Duguesclin, 69433 LYON CEDEX 3, dans le délai d’un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il sera notifié, à compter de sa notification.

Conformément à l’article 1635 Q bis du Code Général des Impôts, par dérogation aux articles 1089A et 1089B, une contribution pour l’aide juridique de 35€ est perçue par instance introduite en matière civile, commerciale, prud’homale, sociale ou rurale devant une juridiction judiciaire ou par instance introduite devant une juridiction administrative.

Article 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement ou au service concerné.

Article 6 : Le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des actes administratifs.

Saint-Etienne, le 28 juin 2013 La Préfète Fabienne BUCCIO

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163 CONVENTION ATTRIBUTIVE DE SUBVENTION DU 05/07/2013 La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Service Chargé de suivre l'exécution de la Convention : Direction Départementale de la Cohésion Sociale Ordonnateur de la Dépense : Direction Départementale de la Cohésion Sociale Comptable assignataire : Direction Régionale des Finances Publiques

ENTRE :

L'Etat représenté par Mme la Préfète de la Loire,

ET :

L'Association PACT Loire, association régie par la loi du 1er juillet 1901, représentée par Monsieur Henry DUPOIZAT son Président, désignée sous le terme « l'association »

Vu la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances, Vu le décret n°82-390 du 10 mai 1982 relatif aux décisions de l’Etat en matière d’investissements publics, Vu le décret n° 99-1060 du 16 décembre 1999 portant réforme du régime des subventions d’investissements accordés par l’Etat, Vu le décret n° 2005-54 du 27 janvier 2005 relatif au contrôle financier au sein des administrations de l’Etat, Vu l’arrêté du 5 juin 2003 relatif aux pièces à produire à l’appui des demandes de subvention de l’Etat pour des projets d’investissement, Vu la loi d’orientation relative à la lutte contre les exclusions du 29 juillet 1998, dans sa version consolidée du 5 mai 2004, Vu l’attestation en date du 12/06/2013 déclarant complet le dossier de demande de subvention Vu la subdélégation d’autorisation d’engagement émise 2013 HCV04 d’un montant de 220 000 € faisait l’objet d’une opération d’investissement individualisée sur le BOP 135-02 sur le budget 223 du Ministère de la ville et du logement Vu le projet de Maîtrise d'œuvre Urbaine et Sociale (MOUS) élaboré pour l’année 2014 par le PACT Loire, relative au logement des personnes ayant des difficultés d'accès au logement sur le territoire de la Loire en date du 27 mai 2013, Sur proposition de M. le Secrétaire Général de la Préfecture,

IL A ETE CONVENU CE QUI SUIT

ARTICLE 1 : Une subvention d’un montant de 120 000 euros est accordée à l'Association PACT Loire afin de lui permettre de conduire son action de Maîtrise d'Oeuvre Urbaine et Sociale (MOUS).

Par la présente convention, l'association s'engage conformément à son objet social à réaliser le programme d’action de la Maîtrise d'Oeuvre Urbaine et Social (MOUS) dont le contenu est précisé dans son projet. Elle devra mettre en œuvre, à cette fin, tous les moyens nécessaires à sa bonne exécution.

Pour sa part, l'administration s'engage, sous réserve de l'inscription des crédits en loi de finances, à soutenir financièrement la réalisation de cet objectif.

ARTICLE 2 :

Le concours financier de l’Etat est accordé à l'Association PACT Loire suivant les conditions ci-dessous :

Montant des dépenses subventionnables 527 707 € (exonéré de TVA) Taux de subvention 22,74 % Montant de la subvention 120 000 euros

Ce montant est un montant maximum prévisionnel : le montant définitif devant être calculé en fonction des dépenses effectivement réalisées et des résultats obtenus.

164 ARTICLE 3 : La promesse de subvention sera caduque si, à l’expiration d’un délai de deux ans à compter de la notification de la présente convention, l’opération au titre de laquelle elle a été accordée n’a reçu aucun commencement d’exécution.

ARTICLE 4 : Le versement de la subvention sera effectué sur justification de la réalisation de l’opération et de sa conformité au projet visé dans la présente décision comme suit : • Une avance au premier jour du début de la mission, égale à 30 % maximum de l'aide octroyée soit une somme de 36 000 euros. • 30 % au 6ème mois, soit une somme de 36 000 euros sur présentation par le titulaire du bilan intermédiaire de l’action subventionnée. Au vu de cette pièce, le montant de l’acompte pourra varier selon les résultats intermédiaires obtenus. • le solde à l'échéance soit une somme de 48 000 euros, sur présentation par le titulaire, du bilan annuel de l'action subventionnée. Au vu de cette pièce, le montant du solde pourra varier selon les résultats définitifs obtenus. Il sera alors établi, par l’ordonnateur, un certificat administratif attestant que l’action a bien été réalisée. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances. L’Etat se libérera des sommes dues par virement effectué au profit du PACT Loire auprès du Crédit Mutuel Saint Etienne Hôtel de Ville, sous le n° 00050880440 47

ARTICLE 5 : En cas de non réalisation ou de réalisation partielle de l’action, l’aide sera réduite au prorata des sommes engagées.

Au cas où les contrôles feraient apparaître que tout ou partie des sommes versées n’ont pas été utilisées ou ont été utilisées à d’autres fins que celles prévues à l’article 1, il sera exigé le reversement des sommes indûment prévues par le titulaire.

ARTICLE 6 : Les pièces constitutives de la convention sont le présent document et le projet MOUS intégré dans le dossier de demande de subvention.

ARTICLE 7 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture, Monsieur le Directeur Départemental de la Cohésion Sociale de la Loire et le Directeur Régional des finances Publiques sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution de la présente convention qui sera publiée au Recueil des Actes Administratifs. La présente décision vaut engagement de la Dépense, en application de l’article 29 du décret n°62-1587 du 29 décembre 1962.

Fait à Saint Etienne, le 05 Juillet 2013

Le Titulaire, La Préfète de la Loire J.L. LEMIRE Fabienne BUCCIO Directeur du PACT Loire

UNITE TERRITORIALE DE LA DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI

RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP503979650 - N° SIRET : 50397965000010 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL) La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-18 à R.7232-24, D.7231-1 et D.7233-1 à D.7233-5, Vu l’arrêté préfectoral n° 13-22 du 26 avril 2013 accordant délégation de signature à Monsieur Philippe NICOLAS, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes,

165 Vu l’arrêté n° 13-024 du 29 avril 2013 de Monsieur Philippe NICOLAS, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

Constate

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Loire le 20 juin 2013 par Monsieur Pierre-Alain COROMPT, entrepreneur individuel, pour son organisme, dont le siège social est situé Chemin d’Urfé – Les Vincents – 42210 MONTROND LES BAINS et enregistrée sous le n° SAP503979650 pour les activités suivantes :

• Assistance informatique à domicile

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232- 20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Saint-Étienne, le 20 juin 2013 P/La Préfète, Par délégation, P/Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

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RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP792633208 N° SIRET : 79263320800014 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL) La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-18 à R.7232-24, D.7231-1 et D.7233-1 à D.7233-5, Vu l’arrêté préfectoral n° 13-22 du 26 avril 2013 accordant délégation de signature à Monsieur Philippe NICOLAS, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, Vu l’arrêté n° 13-024 du 29 avril 2013 de Monsieur Philippe NICOLAS, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

Constate

166 Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Loire le 13 juin 2013 par Monsieur Jean-Luc FRERE, auto-entrepreneur, pour son organisme, dont le siège social est situé La Pacotière – 42290 SORBIERS et enregistrée sous le n° SAP792633208 pour les activités suivantes :

• Petits travaux de jardinage • Travaux de petit bricolage

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232- 20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Saint-Étienne, le 14 juin 2013 P/La Préfète, Par délégation, P/Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

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ARRETE PREFECTORAL N°13-07 DU 25/06/2013 PORTANT SUR LES CONDITIONS D’EMPLOI DES CRÉDITS 2011 DE L’AIDE PERSONNALISÉE DE RETOUR À L’EMPLOI (APRE) La Préfète du département de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment son article L.262-32, Vu le code du travail, notamment ses articles L.5133-8 à L.5133-10 et R.5133-9, Vu l’arrêté du 15 mai 2013 relatif à la fixation de la fraction des crédits du Fonds national des solidarités actives consacrée à l’aide personnalisée de retour à l’emploi, Vu la circulaire n° DGCS/SD5A/SD1C/2013/258 du 30 mai 2013 relative aux conditions d’emploi des crédits de l’Aide Personnalisée de Retour à l’Emploi (APRE), Vu la convention d’orientation et d’accompagnement de la Loire, Vu l’acte de l’organe décisionnaire de la structure versant l’APRE, Sur proposition du Directeur de l’Unité territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône Alpes,

ARRETE

Article 1 er : Le montant des crédits déconcentrés 2013 réservés au financement de l’aide personnalisée au retour à l’emploi (APRE) s’élève à 160 843 € pour le département de la Loire. Ces crédits visent à permettre aux bénéficiaires du revenu de solidarité active, soumis aux obligations prévues à l’article L.262-28 du code de l’action sociale et des familles, de pouvoir bénéficier de cette aide selon les modalités définies par la convention d’orientation susvisée.

167 Article 2 : 80 % des crédits 2013 visés à l’article 1 du présent arrêté, est confiée à « Pôle Emploi Direction Régionale Rhône Alpes », situé 13 rue Crépet – 69007 Lyon cedex 03, en charge de l’accompagnement des bénéficiaires.

Article 3 : L’organisme gestionnaire en charge du paiement de l’APRE aux bénéficiaires réalisé sur la base de la prescription des référents susvisés perçoit à ce titre les crédits suivants : • Pôle Emploi Direction Régionale Rhône Alpes : 128 674 € dont 6 434 € en rémunération de sa charge de gestion, soit 5 %

Article 4 : L’organisme mentionné aux articles 2 et 3 transmet, 15 jours après la fin de chaque trimestre à la personne ressource désignée pour le suivi de la consommation de l’Apre dans le département, un état trimestriel et en cumul annuel, les indicateurs de suivi et d’évaluation suivants

• Nombre de bénéficiaires du revenu de solidarité active suivis par l’organisme, • Nombre de bénéficiaires de l’APRE, • Nombre et montant des aides attribuées, • Détail des aides versées selon la typologie

A cette occasion, l’organisme fera part également des observations et difficultés rencontrées ainsi que de l’efficacité de ces aides.

Article 5 : Pour l’année 2013, le versement des montants alloués à l’organisme gestionnaire visé à l’article 3 sera réalisé par la Caisse des dépôts et consignations en un seul versement, à savoir à la notification du présent arrêté et du formulaire CDC

Article 6 : Au regard du suivi de la dépense Apre, il sera possible, dans la limite des crédits délégués, de modifier la répartition des crédits prévue aux articles 2 et 3 de l’arrêté initial. Toute modification dans la répartition des crédits fera l’objet d’un arrêté préfectoral modificatif qui sera adressé à la CDC avant le 2 novembre 2013 selon les mêmes modalités que l’arrêté initial.

Article 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Loire est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 25 juin 2013 Fabienne BUCCIO

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ARRETE PREFECTORAL N°13-08 DU 25/06/2013 PORTANT MODIFICATION DANS L’AFFECTATION DES CRÉDITS DE L’AIDE PERSONNALISÉE DE RETOUR À L’EMPLOI (APRE) ATTRIBUÉE AUX BÉNÉFICIAIRES DU REVENU DE SOLIDARITÉ ACTIVE La Préfète du département de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment son article L.262-32, Vu le code du travail, notamment ses articles L.5133-8 à L.5133-10 et R.5133-9, Vu l’arrêté du 15 mai 2013 relatif à la fixation de la fraction des crédits du Fonds national des solidarités actives consacrée à l’aide personnalisée de retour à l’emploi, Vu la convention d’orientation et d’accompagnement de la Loire, Vu l’acte de l’organe décisionnaire de la structure versant l’APRE, VU l’arrêté préfectoral n° 13-07 du 25 juin 2013 fixant la répartition des crédits de l’Aide Personnalisée de Retour à l’Emploi dont le montant, au niveau départemental, est de 160 843€ au titre de l’année 2013, Considérant qu’il convient d’apporter une aide d’urgence et ponctuelle à la mobilité des bénéficiaires du Revenu de Solidarité Active lors de leur reprise d’une activité, que cette aide à la mobilité figure au nombre des aides qui peuvent être apportées, Sur proposition du Directeur de l’Unité territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

ARRETE

168 Article 1 er : Afin de répondre aux demandes d’aide d’urgence en matière de mobilité des bénéficiaires du Revenu de Solidarité Active (RSA), une part fixée à un montant de 32 169 € des crédits de l’APRE affectés à la Direction Régionale de Pôle Emploi en vertu de l’arrêté préfectoral du 25 juin 2013 sera versée dès réception de cet arrêté à l’association « Aid’Auto 42 » sise 34, avenue Paccard à (42340).

Article 2 : En vertu de la convention de gestion passée entre l’Etat et Aid’Auto 42 en date du 14 octobre 2009, celle- ci s’engage à gérer la somme qui lui est confiée et à payer les aides d’urgence dans les meilleurs délais. De même, Aid’Auto 42 s’engage à fournir un document statistique complet sur l’utilisation de ces aides, conformément à ladite convention.

Article 3 : Aid’Auto 42 pourra prélever, au titre de la charge de gestion, une somme de 5 % du montant fixé à l’article 1, au titre des frais de gestion.

Article 4 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Loire, le Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE sont chargés de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Loire.

Fait à Saint-Etienne, le 25 juin 2013 Fabienne BUCCIO

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RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP793867334 - N° SIRET : 79386733400013 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL) La Préfète du département de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-18 à R.7232-24, D.7231-1 et D.7233-1 à D.7233-5, Vu l’arrêté préfectoral n° 13-22 du 26 avril 2013 accordant délégation de signature à Monsieur Philippe NICOLAS, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, Vu l’arrêté n° 13-024 du 29 avril 2013 de Monsieur Philippe NICOLAS, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

Constate

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Loire le 27 juin 2013 par Madame Annick PONCET, auto-entrepreneur, pour son organisme, dont le siège social est situé 128 bis rue Bergson – 42000 SAINT-ETIENNE et enregistrée sous le n° SAP793867334 pour les activités suivantes :

• Cours particuliers à domicile

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232- 20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

169 Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Saint-Étienne, le 28 juin 2013 P/La Préfète, Par délégation, P/Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

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RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP792693194 - N° SIRET : 79269319400013 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL) La Préfète du département de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-18 à R.7232-24, D.7231-1 et D.7233-1 à D.7233-5, Vu l’arrêté préfectoral n° 13-22 du 26 avril 2013 accordant délégation de signature à Monsieur Philippe NICOLAS, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, Vu l’arrêté n° 13-024 du 29 avril 2013 de Monsieur Philippe NICOLAS, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

Constate

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Loire le 26 juin 2013 par Monsieur Frédéric VERDIER, auto-entrepreneur, pour son organisme, dont le siège social est situé 74 route de l’Aérodrome – 42152 L’HORME et enregistrée sous le n° SAP792693194 pour les activités suivantes : • Petits travaux de jardinage • Travaux de petit bricolage

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable. Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles. Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232- 20 du code du travail. Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément. Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps. L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture. Saint-Étienne, le 27 juin 2013 P/La Préfète, Par délégation, P/Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

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170 RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP792994188 - N° SIRET : 79299418800011 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL) La Préfète du département de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-18 à R.7232-24, D.7231-1 et D.7233-1 à D.7233-5, Vu l’arrêté préfectoral n° 13-22 du 26 avril 2013 accordant délégation de signature à Monsieur Philippe NICOLAS, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, Vu l’arrêté n° 13-024 du 29 avril 2013 de Monsieur Philippe NICOLAS, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

Constate

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Loire le 18 juin 2013 par Monsieur David FAUVERTEIX, auto-entrepreneur, pour son organisme, dont le siège social est situé 18 impasse des Lauriers – 42740 SAINT PAUL EN JAREZ et enregistrée sous le n° SAP792994188 pour les activités suivantes :

• Commissions et préparation de repas • Entretien de la maison et travaux ménagers • Livraison de courses à domicile • Maintenance et vigilance de résidence • Petits travaux de jardinage • Soins et promenades d'animaux de compagnie • Travaux de petit bricolage

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232- 20 du code du travail.

Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément.

Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Saint-Étienne, le 27 juin 2013 P/La Préfète, Par délégation, P/Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

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171 RÉCÉPISSÉ DE DÉCLARATION D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE ENREGISTRÉ SOUS LE N° SAP498283811 - N° SIRET : 49828381100020 (ARTICLE L. 7232-1-1 DU CODE DU TRAVAIL) La Préfète du département de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-18 à R.7232-24, D.7231-1 et D.7233-1 à D.7233-5, Vu l’arrêté préfectoral n° 13-22 du 26 avril 2013 accordant délégation de signature à Monsieur Philippe NICOLAS, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, Vu l’arrêté n° 13-024 du 29 avril 2013 de Monsieur Philippe NICOLAS, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes,

Constate

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Loire le 2 avril 2013 par Madame Sandrine PIOT, en qualité de responsable d’agence, pour l’organisme O2 SAINT-ETIENNE, dont le siège social est situé 85 rue de la Montat – 42100 SAINT-ETIENNE et enregistrée sous le n° SAP498283811 pour les activités suivantes : • Garde d'enfant +3 ans à domicile • Accomp./déplacement enfants +3 ans • Soutien scolaire à domicile • Cours particuliers à domicile • Entretien de la maison et travaux ménagers • Commissions et préparation de repas • Garde d'enfant -3 ans à domicile - Loire (42) • Accompagnement/déplacement enfants -3 ans - Loire (42) • Assistance aux personnes âgées - Loire (42) • Garde-malade, sauf soins - Loire (42) • Conduite du véhicule personnel - Loire (42) • Accompagnement hors domicile PA et/ou PH - Loire (42) • Assistance aux personnes handicapées - Loire (42)

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L.7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles. Les effets de la déclaration courent à compter du jour de la demande de déclaration, conformément à l'article R.7232- 20 du code du travail. Toutefois, en application des articles L.7232-1 et R.7232-1 à R.7232-17, les activités nécessitant un agrément (I de l'article D.7231-1 du code du travail) n'ouvrent droit à ces dispositions que si la structure a préalablement obtenu l'agrément ou le renouvellement de cet agrément. Sous cette réserve, le présent récépissé n'est pas limité dans le temps. L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-22 à R.7232-24 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Saint-Étienne, le 27 juin 2013 P/La Préfète, Par délégation, P/Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

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172 ARRÊTÉ N° 13-09 DU 27/06/2013 PORTANT MODIFICATION D’AGRÉMENT D'UN ORGANISME DE SERVICES À LA PERSONNE N° SAP498283811 La Préfète du département de la Loire Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

Vu le code du travail, notamment ses articles L. 7232-1, R. 7232-1 à R. 7232-13, D. 7231-1, D.7231-2 et D.7233-1, Vu l'arrêté du 26 décembre 2011 fixant le cahier des charges prévu à l'article R. 7232-7 du code du travail, Vu l’arrêté préfectoral n° 13-22 du 26 avril 2013 accordant délégation de signature à Monsieur Philippe NICOLAS, Directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Rhône-Alpes, Vu l’arrêté n° 13-024 du 29 avril 2013 de Monsieur Philippe NICOLAS, DIRECCTE de la région Rhône-Alpes, accordant subdélégation de signature à Monsieur Jean-Daniel CRISTOFORETTI, Directeur de l’Unité Territoriale de la Loire de la DIRECCTE Rhône-Alpes, Vu la demande de modification d'agrément présentée le 2 avril 2013 par Madame Sandrine PIOT en qualité de responsable d’agence, Vu l’avis émis le 3 juin 2013 par le Président du Conseil Général de la Loire,

ARRETE

Article 1 : L'agrément de l’organisme O2 SAINT-ETIENNE, dont le siège social est situé 85 rue de la Montat – 42100 SAINT-ETIENNE, accordé pour une durée de cinq ans à compter du 2 octobre 2012, porte sur les activités et les départements suivants, à compter du 1er juillet 2013 :

• Garde d'enfant -3 ans à domicile - Loire (42) • Accompagnement/déplacement enfants -3 ans - Loire (42) • Assistance aux personnes âgées - Loire (42) • Garde-malade, sauf soins - Loire (42) • Conduite du véhicule personnel - Loire (42) • Accompagnement hors domicile PA et/ou PH - Loire (42) • Assistance aux personnes handicapées - Loire (42)

La demande de renouvellement devra être déposée dans les conditions fixées par l'article R.7232-9 et, au plus tard, trois mois avant la fin de cet agrément.

Article 2 : Les activités mentionnées à l'article 1 seront effectuées en qualité de prestataire.

Article 3 : Si l'organisme envisage de fournir des activités ou de fonctionner selon des modes d'intervention autres que ceux pour lesquels il est agréé ou de déployer ses activités sur un département autre que celui pour lequel il est agréé, il devra solliciter une modification préalable de son agrément.

La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants dans les conditions fixées par la réglementation.

L'ouverture d'un nouvel établissement ou d'un nouveau local d'accueil dans un département pour lequel il est agréé devra également faire l'objet d'une information préalable auprès de l'Unité Territoriale.

Article 4 : Le présent agrément pourra être retiré si l'organisme agréé :

• cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R.7232-4 à R.7232-10 du code du travail, • ne respecte pas les dispositions légales relatives à la santé et à la sécurité au travail, • exerce d'autres activités ou sur d'autres départements que ceux mentionnés dans le présent arrêté, • ne transmet pas au préfet compétent avant la fin du premier semestre de l'année le bilan quantitatif et qualitatif de l'activité exercée au titre de l'année écoulée.

Article 5 : Cet agrément n'ouvre pas droit aux avantages fiscaux et sociaux fixés par l'article L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale.

173 Conformément à l'article L.7232-1-1 du code du travail, pour ouvrir droit à ces dispositions, l'organisme doit se déclarer et n'exercer que les activités déclarées, à l'exclusion de toute autre (ou tenir une comptabilité séparée pour les organismes dispensés de cette condition par l'article L. 7232-1-2).

Article 6 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Il peut, à compter de sa notification, faire l'objet :

- d'un recours gracieux auprès de la DIRECCTE - Unité Territoriale de la Loire, - ou d'un recours hiérarchique adressé au ministre du redressement productif - Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services - Mission des services à la personne - 6 rue Louise Weiss - 75703 PARIS CEDEX 13.

Il peut également faire l'objet d'un recours contentieux dans un délai de deux mois à compter de sa notification auprès du Tribunal Administratif - 184 rue Duguesclin - 69433 LYON CEDEX 03.

Saint-Etienne, le 27 juin 2013 P/La Préfète, Par délégation, P/Le DIRECCTE, Par subdélégation, Le Directeur, Jean-Daniel CRISTOFORETTI

174 II – ARRETES CONJOINTS

175 ARRETE INTERPREFECTORAL N° 2013-101-0008 DU 11 AVRIL 2013 RELATIF AUX STATUTS ET COMPÉTENCES DU SYNDICAT MIXTE RHINS RHODON TRAMBOUZAN ET AFFLUENTS "SYRRTA" Le Préfet de la région Rhône-Alpes, La préfete de la Loire, Préfet du Rhône Chevalier de la légion d'honneur Officier de la légion d’honneur Chevalier de l’ordre national du mérite Officier de l’ordre national du mérite

VU l'article 60-III de la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010 et l'article L 5211-41-3 III du code général des collectivités territoriales ; VU l'arrêté interpréfectoral n° 3005 du 16 avril 2010 relatif à la création du syndicat mixte Rhins Rhodon Trambouzan et Affluents (SYRRTA) ; VU l'arrêté préfectoral n° 1313 du 10 février 2012 relatif à la modification des statuts et compétences du syndicat mixte Rhins Rhodon Trambouzan et Affluents (SYRRTA) ; VU l'arrêté préfectoral n° 305 du 11 décembre 2012 portant fusion de la communauté de communes du Pays de Charlieu et de la communauté de communes du canton de Belmont de la Loire ; VU l'arrêté préfectoral n° 438 du 18 décembre 2012 portant fusion de la communauté d'agglomération « grand Roanne agglomération » et des communautés de communes du Pays de la Pacaudière, de la côte Roannaise, de l'Ouest Roannais et du Pays de Perreux et intégration de la commune de Saint Alban les eaux ; VU la délibération en date du 31 janvier 2013 par laquelle le conseil syndical du SYRRTA prend acte des modifications induites par les fusions d'EPCI à fiscalité propre au 1er janvier 2013 ; CONSIDERANT que l'établissement public issu de la fusion est substitué de plein droit, pour l'exercice de ses compétences, aux anciens établissements publics et aux communes incluses dans son périmètre dans toutes leurs délibérations et tous leurs actes ; SUR proposition des secrétaires généraux des préfectures du Rhône et de la Loire,

ARRETENT :

Article 1 er – Les articles 1 à 13 de l’arrêté préfectoral n° 3005 du 16 avril 2010 relatif à la création du SYRRTA sont remplacés par les dispositions suivantes :

« Article 1 er : Dénomination des membres

En application des dispositions de l’article L 5711-1 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales, il est constitué entre : - La Communauté de Communes du Pays d’Amplepuis Thizy (CCPAT), - La Communauté de Communes des Pays entre Loire Et Rhône (COPLER), - La Communauté d’agglomération Roannais agglomération, - La Communauté de Communes du Pays de Charlieu-Belmont, - Les communes de Saint Cyr de Valorges, et Sainte Colombe sur Gand, - La communauté de communes de la Haute Vallée d’Azergues,

le syndicat mixte fermé à la Carte dénommé Syndicat mixte Rhins Rhodon Trambouzan et Affluents (SYRRTA).

Article 2 : Périmètre

Le syndicat a vocation à intervenir sur l’ensemble des bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan situés sur le territoire des collectivités et EPCI ci-dessus énoncés, à l’exception du site du Lac des Sapins. En application de l’article L5211-61 du CGCT, la Communauté de Communes du Pays d’Amplepuis Thizy et le Syndicat mixte pour l’aménagement du Lac des Sapins conservent leurs compétences respectives sur le site du Lac des Sapins (parcelles appartenant à la CCPAT ou au Syndicat mixte).

Article 3 : Compétences

La liste des blocs de compétences du syndicat est fixée ainsi qu'il suit. Le syndicat exerce en lieu et place de toutes les communes et EPCI membres, les compétences obligatoires et tout ou partie des compétences optionnelles suivantes :

176  Compétences obligatoires

Compétence 1 : Etudes liées à une démarche contractuelle sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan.

- Réalisation d’études préalables à la mise en œuvre d’une procédure contractuelle (Contrat de Rivières ou autres sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan, plans d’actions, programmes de mesure) et d’études de gestion à caractère global des milieux aquatiques ;

- Réalisation d’études hydrauliques et de ruissellement ayant une portée générale sur l’ensemble des bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan et permettant la définition de travaux nécessaires à la prévention et la protection contre les inondations ;

Compétence 2 : Mise en œuvre des actions pour la gestion des milieux aquatiques sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan.

- Elaboration des programmes pluriannuels de travaux de restauration et d’entretien du lit des cours d’eau et de leurs berges ainsi que des ouvrages hydrauliques associés aux cours d’eau hormis le lac des sapins, coordination et suivi de leur réalisation ;

- Gestion, animation, suivi des démarches contractuelles de gestion globale et concertée de l’eau et des milieux aquatiques, (tels que Contrat de Rivières en phase préalable ou en réalisation, ou autre procédure à venir) ayant pour objectif la gestion, la restauration et la mise en valeur des milieux aquatiques ;

- Mise en œuvre d’actions de communication et de sensibilisation au fonctionnement, à la protection et à la gestion des milieux aquatiques, y compris la pose et l’entretien des repères de crue, en direction de tous publics.

Compétence 3 : Travaux de renaturation, de restauration et d’entretien

- Réalisation des travaux de renaturation, de restauration et d’entretien du lit, des berges et de la ripisylve des cours d’eau ainsi que des milieux aquatiques ayant un intérêt patrimonial et/ou fonctionnel, des bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan prévu dans un programme pluriannuel de travaux.

- Réalisation des travaux d’aménagement des ouvrages hydrauliques (seuils, autres ouvrages) sur les cours d’eau des bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan prévu dans un programme pluriannuel de travaux.

Il est ici précisé que chaque établissement public ou collectivité membre du syndicat mixte conserve ses agents et en assure la rétribution.

 Compétences optionnelles

Compétence 4 : Mise en valeur paysagère et touristique liée à l’eau et aux cours d’eau.

Réalisation des travaux de mise en valeur paysagère et touristique liée à l’eau et aux cours d’eau. Les travaux concernés sont ceux qui s’inscrivent dans une démarche contractuelle concernant les cours d’eau sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan.

Compétence 5 : Travaux hydrauliques pour prévenir les inondations liées à des débordements de cours d’eau

Réalisation de travaux hydrauliques prévus et programmés dans le cadre des démarches contractuelles de gestion globale et concertée de l’eau et des milieux aquatiques, (tels que Contrat de Rivières en phase préalable ou en réalisation, ou autre procédure à venir) Ces travaux devront prévenir ou protéger contre le risque d’inondation sur les cours d’eau des bassins versant du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan. Cette compétence exclut la gestion des eaux pluviales.

177 Compétence 6 : Acquisitions foncières de parcelles de bords de cours d’eau ou de zones humides nécessaires à la mise en œuvre de programmes et présentant un intérêt particulier pour la gestion des milieux aquatiques. Celles-ci seront réalisées dans le cadre d’une politique d’acquisitions foncières validée par le comité syndical et ne peuvent avoir qu’un caractère ponctuel pour des opérations très précises.

Les structures membres ont transféré les compétences suivantes :

Ste Compé- Roannais CC Charlieu- St Cyr de CCPAT COPLER CCHVA Violay Colombe tences agglomération Belmont Valorges sur Gand

1 û û û û û û û û 2 û û û û û û û û

3 û û û û û û û û

4 û û û* û û û û û

5 û û* û

6 û û û û û û û û

*Pour Roannais agglomération, la compétence 4 est transférée uniquement sur le territoire de l’ancienne communauté de communes du Pays de Perreux, la compétence 5 est transférée uniquement sur le territoire de l’ancienne communauté d’agglomération du Grand Roanne.

Article 4 : Prestation de service :

Le syndicat peut assurer, à titre accessoire et ponctuel, dans le cadre de ses compétences et dans le respect du code des marchés publics, des prestations de service à la demande et pour le compte de collectivités territoriales non membres dont une partie du territoire est incluse dans les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan.

Ces prestations interviennent dans le cadre d’une maîtrise d’ouvrage déléguée en application de la loi 85-704 du 12/07/1985 et concernent la compétence 3 (Travaux de renaturation, de restauration et d’entretien des milieux aquatiques des bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan) ; la compétence 4 (Mise en valeur paysagère et touristique) et la compétence 5 (Travaux hydrauliques sur les cours d’eau).

Le syndicat peut aussi être coordonnateur de commandes publiques de collectivités membres pour les achats se rattachant à son objet.

Article 5 : Siège Le siège du syndicat mixte est situé à la Maison de l’Europe, 69 550 CUBLIZE. Il est établi une convention d’accueil entre l’EPCI hébergeant le siège et le syndicat.

Article 6 : Durée Le syndicat mixte est constitué pour une durée illimitée.

Article 7 : Comité Syndical

Le syndicat mixte est administré par un comité syndical composé de 36 représentants titulaires. Les sièges sont répartis au prorata du nombre d’habitants* (population légale issue du recensement de 2006 des communes du bassin versant à l’exception de Roanne) pour moitié et du linéaire de cours d’eau de leur territoire sur le bassin versant pour l’autre moitié.

Le nombre de sièges est ainsi réparti comme suit : - 11 représentants titulaires et 6 suppléants pour la Communauté de Communes du Pays d’Amplepuis Thizy, - 9 représentants titulaires et 5 suppléants pour la Communauté de Communes du Pays entre Loire Et Rhône, - 10 représentants titulaires et 5 suppléants pour Roannais agglomération, - 2 représentants titulaires et 1 suppléant pour la Communauté de Communes du Pays de Charlieu-Belmont,

178 - 1 représentant titulaire et 1 suppléant pour la commune de Saint Cyr de Valorges, - 1 représentant titulaire et 1 suppléant pour la commune de Violay, - 1 représentant titulaire et 1 suppléant pour la commune de Sainte Colombe sur Gand, - 1 représentant titulaire et 1 suppléant pour la Communauté de Communes de la Haute Vallée d’Azergues.

Article 8 : Bureau

Le comité syndical élit un bureau parmi ses membres titulaires. Les dispositions liées à son fonctionnement sont décrites dans le règlement intérieur.

Article 9 : Contribution des membres - Dépenses de fonctionnement d’administration générale du Syndicat Le coût des dépenses de fonctionnement et d’administration générale sont répartis de la façon suivante, au prorata du nombre d’habitants* (population légale issue du recensement de 2006 des communes du bassin versant à l’exception de Roanne) pour moitié et du linéaire de cours d’eau de leur territoire sur le bassin versant pour l’autre moitié.

Taux de participation Communes ou EPCI (%) CCPAT 34 ,79 COPLER 28,90 Roannais agglomération 28,38 CC du Pays de Charlieu-Belmont 3,43 Saint Cyr de Valorges 0,48 Violay 1,84 Sainte Colombe sur Gand 1,09 CC de la Haute Vallée d’Azergues 1,09

- Compétence 1 : Etudes liées à un Contrat de Rivières sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan.

Le coût des dépenses pour la compétence 1 est réparti selon la clé de répartition présentée ci-dessus.

- Compétence 2 : Mise en œuvre des actions pour la gestion des milieux aquatiques sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan.

Le coût des dépenses pour la compétence 2 est réparti selon la clé de répartition présentée ci-dessus.

- Compétence 3 : Travaux de renaturation, de restauration et d’entretien sur les bassins versants du Rhins, du Rhodon et du Trambouzan.

Le coût des dépenses pour la compétence 3 est supporté par les collectivités membres en fonction des travaux réalisés sur leur territoire.

- Compétence 4 : Mise en valeur paysagère et touristique liée à l’eau et aux cours d’eau

Le coût des dépenses pour la compétence 4 est supporté par les collectivités membres en fonction des travaux réalisés sur leur territoire.

- Compétence 5 : Travaux hydrauliques

Le coût des dépenses pour la compétence 5 est supporté par la ou les collectivités membres concernées. Si plusieurs collectivités se déclarent concernées, la clé de répartition est fixée, préalablement au lancement de l’opération, par délibération des membres concernés.

- Compétence 6 : Acquisitions foncières

Le coût des dépenses pour la compétence 6 est réparti selon la clé de répartition présentée ci-dessus.

179 Article 10 : Receveur

Les fonctions de receveur seront exercées par le comptable du trésor public qui sera désigné par le Préfet sur proposition du Trésorier Payeur Général du département du siège du syndicat.

Article 11 : Adhésion d’un membre à une compétence optionnelle

Chacune des compétences optionnelles des présents statuts peut être transférée au syndicat par ses adhérents, par une délibération de son organe délibérant, approuvée par le comité syndical et entérinée par arrêté préfectoral.

Article 12 : Reprise d’une compétence optionnelle

La reprise d’une compétence par une commune ou un EPCI ne pourra être réalisée avant une durée de 6 ans à compter du transfert au syndicat. La reprise se fait par une délibération de l’organe délibérant de la commune ou de l’EPCI, approuvée par le comité syndical et entérinée par arrêté préfectoral.

Article 13 : Retrait du syndicat

Chaque commune ou EPCI membre du syndicat ne peut solliciter son retrait du syndicat qu'après une durée de six années à compter de son adhésion au syndicat.

Article 2 : La secrétaire générale de la préfecture du Rhône, le secrétaire général de la préfecture de la Loire, le Directeur régional des finances publiques de la région Rhône-Alpes et du département du Rhône, le président du SYRRTA, les présidents des établissements publics de coopération intercommunale membres et les maires des communes membres sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs des préfectures du Rhône et de la Loire.

Fait à Lyon, le 11 avril 2013 Fait à Saint Etienne, le 4 avril 2013 le préfet du Rhône, la préfète de la Loire, Pour le Préfet, Pour la Préfète et par délégation La Secrétaire Générale Le Secrétaire Général signé Isabelle DAVID signé Patrick FERIN

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ARRETE PREFECTORAL N° DT-13-559 ET N° 2013157-0029 DU 27/06/2013 AUTORISANT DES TRAVAUX DANS LA RÉSERVE NATURELLE NATIONALE DE L’ÎLE DE LA PLATIÈRE PAR RÉSEAU DE TRANSPORT D’ÉLECTRICITÉ (RTE)

La Préfète de la Loire Le Préfet de l'Isère Chevalier de la Légion d'Honneur Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite Chevalier de l'Ordre National du Mérite

Vu les articles L332-9 et R332-23 à R332-27 du code de l'environnement ; Vu le décret n° 86-334 du 6 mars 1986 portant création de la réserve naturelle de l'Ile de la Platière (Isère, Ardèche, Loire) ; Vu le décret n°2011-1697 du 1er décembre 2011 relatif aux ouvrages des réseaux publics d’électricité ; Vu la demande d’autorisation, au titre de la réglementation de la réserve, de travaux de maintenance et d’optimisation de la ligne électrique à 400 000 Volts entre Le Chaffard et Coulange via Pivoz Cordier, présentée par RTE en octobre 2010 ; VU l’avis favorable du Conseil scientifique de la réserve naturelle nationale de l'Ile de la Platière, en date du 8 février 2011 ; Vu l’avis du Conseil scientifique régional du patrimoine naturel en date du 17 février 2011, favorable sous réserve de l'équipement a minima de quatre portées de la ligne 63 000V (traversée du Vieux Rhône et trois portées suivantes à l'est) et, selon les priorités qui seront définies par l'étude devant être conduite par la LPO coordination régionale, de la poursuite de l'équipement en balise de cette même ligne dans son prolongement Sud – Sud-Est dans le site Natura 2000 jusqu'à la traversée du Rhône, de l’étude de l’évolution des champs électromagnétiques après les travaux et de la réalisation d’une étude, le cas échéant bibliographique, de l’impact des champs électromagnétiques sur la faune sauvage, notamment sur les groupes d’espèces a priori les plus sensibles ;

180 VU l’avis favorable du Comité consultatif de la réserve naturelle nationale de l'Ile de la Platière, en date du 13 avril 2011 ; VU l’avis favorable de la Commission départementale de la nature, des paysages et des sites de la Loire, en date du 24 juin 2011 ; VU l’avis favorable de la Commission départementale de la nature, des paysages et des sites de l'Isère, en date du 29 juin 2011 ; Considérant que les travaux doivent être réalisés en surplomb de la réserve, sans impact au sol ni sur la végétation dans la réserve ; Considérant que les travaux n’occasionneront qu’un dérangement mineur et bref de la faune de la réserve, y compris si un hélicoptère devait être utilisé ; Considérant que RTE, société anonyme à capitaux publics, était à la date de création de la réserve une filiale d’EDF, alors établissement public à caractère industriel et commercial ; Considérant que les hélicoptères utilisés par RTE pour l’entretien ou les travaux sur cette ligne doivent donc être assimilés à des « aéronefs de l'État dans l’exercice de leurs missions », selon les termes de l’article 21 du décret de création de la réserve sus-visé ; Considérant que les champs électromagnétiques ne devraient pas évoluer sensiblement dans les conditions habituelles d’exploitation de la ligne ; Sur proposition de Messieurs les Secrétaires Généraux des préfectures de l'Isère et de la Loire ;

ARRETE

ARTICLE 1er : La société anonyme Réseau de Transport d’électricité, ci-après dénommée RTE, est autorisée à procéder, ou à faire procéder sous sa responsabilité, à des travaux de maintenance et d’optimisation de la ligne électrique à 400 000 V « Le Chaffard – Coulange via Pivoz Cordier » dans sa traversée de la réserve naturelle nationale de l'Ile de la Platière, ceci dans les conditions du dossier de demande ainsi que celles fixées aux articles 2 à 5 du présent arrêté.

ARTICLE 2 : Les travaux sont réalisés exclusivement en surplomb de la réserve. Les opérations susceptibles de perturber la faune sauvage, notamment les oiseaux, sont réalisées en dehors de la période de reproduction, y compris les travaux concernant les pylônes n° 171 à 174 situés à proximité de la réserve (cf. carte de localisation en annexe 1).

L’utilisation d’un hélicoptère est autorisée dans le cadre de la dépose et de la repose des dispositifs de visualisation des lignes pour les oiseaux. Cependant, d’autres solutions techniques pourront être mises en place préférentiellement si RTE considère qu’elles présentent des garanties de sécurité équivalentes. Dans tous les cas, la durée maximale entre la dépose et la repose des dispositifs de visualisation de la ligne ne doit pas excéder un mois. En complément du balisage aéronautique, la portée 170-171 est équipée d’un balisage avifaune complémentaire type gaine thermo-rétractable colorée. Quatre portées de la ligne à 2 circuits 63 000 Volts - Champ-Rolland (cf plan en annexe 2) à savoir celles qui traversent le Vieux Rhône (120-121) et trois portées suivantes à l'est (pylônes121 à 124) seront équipées de balises « avifaunes » selon les modalités suivantes : • Les câbles de garde de la portée 170-171 de la ligne 2*400 kV seront équipés de balises Avisphères (en quinconce avec les balises aéronautiques), • 4 portées 2*63 kV (du 120 au 124) de la ligne Bessey-Gampaloup seront équipées d’un balisage mixte avifaune mixte (avispheres sur les conducteurs externes et garnitures colorées sur le câble de garde). Selon les priorités qui seront définies par l'étude avifaune à lancer par RTE, L'équipement en balises de cette même ligne pourra être poursuivi dans son prolongement Sud – Sud-Est, dans le site Natura 2000 et ce, jusqu'à la traversée du Rhône.

ARTICLE 3 : Dans un délai de deux ans à compter de la mise en service effective de la ligne après travaux, RTE réalise une modélisation des champs électromagnétiques en régime normal d’exploitation sur l’ensemble de la portée traversant la réserve, en comparant la situation avant et après les travaux. Cette modélisation met en évidence les valeurs des champs au niveau de différents compartiments utilisés par la faune sauvage : rivière, sol, végétation arbustive et houppiers. Dans le même délai, la modélisation est confrontée à une campagne de mesure des champs électromagnétiques, réalisée conformément au plan de contrôle et de surveillance établi en application des dispositions du décret n°2011- 1697 du 1er décembre 2011 relatif aux ouvrages des réseaux publics d’électricité. Les résultats sont présentés aux préfets de l'Isère et de la Loire et à la DREAL Rhône-Alpes, avec information du Conseil scientifique régional du patrimoine naturel.

181 ARTICLE 4 : Dans un délai de deux ans à compter de la mise en service effective de la ligne après travaux, RTE réalise une étude bibliographique de l’impact des champs électromagnétiques sur la faune sauvage. Les résultats sont présentés aux préfets de l'Isère et de la Loire, à la DREAL Rhône-Alpes pour information du Conseil scientifique régional du patrimoine naturel.

ARTICLE 5 : Au vu des résultats des modélisations et de l’étude prévues par les articles 3 et 4, les préfets de l'Isère et de la Loire pourront prescrire par arrêté, après avis du Conseil scientifique régional du patrimoine naturel, la mise en œuvre par RTE de mesures visant à compenser toute perturbation avérée de la faune sauvage induite par l’évolution des conditions d’exploitation de la ligne.

ARTICLE 6 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de GRENOBLE et devant le tribunal administratif de LYON, dans un délai de deux mois à compter de sa notification.

ARTICLE 7 : Le directeur départemental des territoires de l'Isère, le directeur départemental des territoires de la Loire, le directeur régional de l’environnement, de l’aménagement et du logement de Rhône-Alpes, le chef du service départemental de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage de l'Isère, le chef du service départemental de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage de la Loire, le chef du service départemental de l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques de l'Isère, le chef du service départemental de l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques de la Loire et le conservateur de la réserve naturelle nationale de l’Île de la Platière sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié à RTE et publié aux recueils des actes administratifs des Préfectures de l'Isère et de la Loire.

Saint-Etienne, le 27 juin 2013

La Préfète de la Loire Le Préfet de l'Isère Fabienne BUCCIO Pour le Préfet et par délégation le Secrétaire Général Frédéric PERISSAT

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ARRETE INTERPREFECTORAL N° 2013204-0003 DU 23/07/2013 RELATIF À LA MODIFICATION DES STATUTS DU SYNDICAT MIXTE DU SCOT DES MONTS DU LYONNAIS

Le Préfet de la région Rhône-Alpes, La préfète de la Loire, Préfet du Rhône Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de la légion d’honneur Officier de l’ordre national du mérite

VU le code général des collectivités territoriales et notamment l'article L 5211-20 ; VU l'arrêté interpréfectoral n° 4116 du 7 août 2009 fixant le périmètre du Schéma de COhérence Territoriale (SCOT) des Monts du Lyonnais ; VU l'arrêté interpréfectoral n° 4032 du 4 juin 2010 relatif à la création du syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais ; VU les arrêtés interpréfectoraux n° 7083 du 23 décembre 2010 et n° 4503 du 11 août 2011 relatifs à la modification des statuts et compétences du syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais ; VU la délibération en date du 9 janvier 2013 par laquelle le comité du syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais propose de modifier l'article 8 de ses statuts relatif aux contributions de ses membres ; VU les délibérations par lesquelles les conseils municipaux des communes de Chatelus, , La Gimond, , Saint Denis sur Coise, Saint Médard en Forez et approuvent la modification statutaire proposée par le syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais ; Considérant que l'absence de délibération des communes de Chevrières et dans les 3 mois suivant la notification de la délibération du conseil syndical vaut avis favorable ; VU les délibérations par lesquelles les conseils communautaires des communautés de communes des Hauts du Lyonnais et de Chamousset en Lyonnais approuvent la modification statutaire proposée par le syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais ; Considérant que les conditions de majorité sont remplies : SUR proposition des secrétaires généraux des préfectures du Rhône et de la Loire,

182 ARRETENT :

Article 1er – Les articles 1 à 12 de l’arrêté n° 4032 du 4 juin 2010 relatif à la création du syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais sont remplacés par les dispositions suivantes :

"Article 1 : Création

En application de l’article L.5711-1 du CGCT, il est créé un syndicat mixte dénommé « Syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais ».

Article 2 : Membres

Le syndicat mixte est formé entre :

 Dans le département du Rhône :

6. la communauté de communes Chamousset en Lyonnais, 7. la communauté de communes des Hauts du Lyonnais.

 Dans le département de la Loire :

8. les communes de Chatelus, Chevrières, Grammond, La Gimond, Maringes, Saint Denis sur Coise, Saint Médard en Forez, Viricelles et Virigneux.

Article 3 : Objet et compétences

Le syndicat mixte a pour objet l’élaboration, l’approbation, le suivi et la révision du schéma de cohérence territoriale dont le périmètre a été fixé par arrêté interpréfectoral n° 2009-4116 du 7 août 2009.

Article 4 : Durée

Le syndicat mixte est constitué pour une durée illimitée.

Article 5 : Siège

Le siège est situé au Château de Pluvy, à Pomeys.

La réunion du comité syndical a lieu soit au siège du syndicat mixte, soit dans un lieu choisi par le comité syndical dans l’une des communes ou EPCI membres.

Article 6 : Comité syndical

Le syndicat mixte est administré par un comité syndical composé de délégués des collectivités adhérentes telles que définies à l’article 2.

Ce comité est composé de la façon suivante :

- 1 délégué par commune de moins de 1000 habitants, - 2 délégués par commune de 1000 habitants et moins de 2000 habitants, - 3 délégués par commune de 2000 habitants et moins de 3000 habitants, - 4 délégués par commune de 3000 habitants et moins de 4000 habitants, et au delà de 4000 habitants, 1 délégué supplémentaire par tranche de 1000 habitants commencée.

- 19 délégués pour la communauté de communes Chamousset en Lyonnais. - 19 délégués pour la communauté de communes des Hauts du Lyonnais.

Ainsi les communes de Chatelus, Grammond, La Gimond, Maringes, Saint Denis sur Coise, Saint Médard en Forez, Viricelles et Virigneux ont 1 délégué.

183 La commune de Chevrières a 2 délégués.

Le nombre total de délégués du syndicat mixte est donc de 48.

Des délégués suppléants, qui pourront siéger en cas d’empêchement d’un délégué titulaire, sont désignés dans les mêmes conditions.

La population à prendre en compte pour la durée du mandat de l’organe délibérant est celle qui est déterminée en fonction de la population municipale INSEE et valable jusqu’à la date du renouvellement général des conseils municipaux.

Article 7 : Bureau

Le comité syndical élit à bulletin secret parmi ses membres un bureau dont le président du syndicat, et le ou les vices présidents sont membres de droit. Le bureau assiste le président dans la préparation des délibérations du comité syndical et peut se voir chargé par le comité syndical de toute autre mission dans le cadre de l’article L5211-10 du Code Général des Collectivités Territoriales.

Article 8 : Recettes du syndicat

Les recettes du budget du syndicat comprennent :

1 La contribution des communes et des EPCI associés, déterminée annuellement par le comité syndical en fonction de la population DGF et de la richesse de chaque membre du syndicat ; 2ºLe revenu des biens, meubles ou immeubles, du syndicat ; 3ºLes sommes qu'il reçoit des administrations publiques, des associations, des particuliers, en échange d'un service rendu ; 4ºLes subventions de l'Etat, de la Région, du Département et des communes ; 5ºLes produits des dons et legs ; 6ºLe produit des taxes, redevances et contributions correspondant aux services assurés ou aux investissements réalisés ; 7ºLe produit des emprunts.

Les contributions des membres seront calculées annuellement par le conseil syndical au pro rata de la population DGF et au pro rata de la richesse de l’année N-1.

La richesse de chaque membre est estimée par le potentiel financier de la commune, ou par la somme des potentiels financiers de chaque commune composant les communautés de communes.

Les critères de population et de richesse sont pris chacun en considération à raison de 50 %.

La répartition des contributions communales et des communautés de commune Chamousset en Lyonnais et des Hauts du Lyonnais s’applique à la charge nette du syndicat, lors du budget primitif, après prise en compte de toutes recettes du syndicat en provenance d’autres personnes morales et notamment celles provenant de contributions de l’Etat, du Département et de la Région.

Article 9 : Règlement intérieur

Le règlement intérieur précisera les modalités de fonctionnement du syndicat dans le cadre des dispositions législatives et réglementaires en vigueur ainsi que des présents statuts.

Article 10 : Receveur

Les fonctions de receveur syndical seront exercées par le trésorier désigné par le Préfet sur proposition du directeur régional des finances publiques de la région Rhône-Alpes et du département du Rhône.

Article 11 : Modifications statutaires

La modification des compétences, du périmètre ou de l'organisation du syndicat intervient dans les conditions prévues par le CGCT.

184 Article 12 : Dissolution

La dissolution du syndicat mixte pourra intervenir dans les conditions fixées par le CGCT."

Article 2 : Les secrétaires généraux de la préfecture du Rhône et de la Loire, le directeur régional des finances publiques de la région Rhône-Alpes et du département du Rhône, le président du syndicat mixte du SCOT des Monts du Lyonnais, les maires et présidents des communes et EPCI membres du syndicat sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs des préfectures du Rhône et de la Loire.

Fait à Lyon, le 23 juillet 2013 Fait à Saint-Etienne, le 11 juillet 2013 Pour le Préfet, et par délégation Pour la Préfète et par délégation La Secrétaire Générale La Sous-Préfète, Directrice de Cabinet signé Isabelle DAVID signé Carine TRIMOUILLE

185 186 III- ACTES DES AUTRES AUTORITES

187 DIRECTION INTERDEPARTEMENTALE DES ROUTES CENTRE- EST – SERVICE REGIONAL D'EXPLOITATION DE MOULINS – DISTRICT DE MOULINS

ARRETE DE VOIRIE DU 27/07/2013 PORTANT PERMISSION DE VOIRIE La Préfète de la Loire Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l'Ordre National du Mérite

VU la demande référencée en date du 23 Juillet 2013 reçue le 23 Juillet 2013 par laquelle Madame SOTTON Mercédès, demeurant à 24 rue du clos 42300 Villerest demande l'autorisation d'occuper le domaine public pour créer un accès au droit de sa propriété située route du Sud 42640 Saint-Forgeux-Lespinasse en bordure de la route nationale 7, au PR 17+450, côté gauche, hors agglomération, commune de Saint-Forgeux-Lespinasse . VU le code général de la propriété des personnes publiques, VU le code de la voirie routière, VU le code général des collectivités territoriales, VU le code du domaine de l'Etat, VU le code de l'Urbanisme, VU la loi 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions, modifiée et complétée par la loi n° 82-623 du 22 juillet 1982 et par la loi n° 83-8 du 7 janvier 1983, VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements, VU le décret n°2006-304 du 16 mars 2006 portant création et organisation des DIR, VU l'arrêté du 29 mai 2005 portant constitution des Directions Interdépartementales des Routes, modifié par arrêté du 26 mai 2006, VU l'arrêté préfectoral du Rhône n°2010 6446. du 01/12/2010. portant délégation de signature à Monsieur le Directeur Interdépartemental des Routes Centre-Est, VU l’arrêté préfectoral de La Loire n°11/99.du 24/10/2011, portant subdélégation de signature en matière de gestion du domaine public routier et de circulation, VU le règlement général de voirie du 24 Novembre 1989 relatif à l’occupation du domaine public routier national, VU l'état des lieux,

ARRETE

ARTICLE 1 - Autorisation.

Le pétitionnaire est autorisé à occuper le domaine public pour y réaliser les travaux ayant fait l'objet de sa demande en date du 23 Juillet 2013, sur le domaine public de la route nationale 7, au PR 17+450, côté gauche, commune de Saint Forgeux Lespinasse, à charge pour lui de se conformer aux dispositions de l'arrêté préfectoral du 24 Novembre 1989, portant règlement de l'occupation du domaine public routier national, ainsi qu’aux conditions spéciales énoncées dans les articles qui suivent, la Direction Interdépartementale des Routes Centre Est, district de Moulins, étant ci-après dénommée "gestionnaire de la voirie".

ARTICLE 2 – Prescriptions techniques particulières.

• L'accès sera implanté conformément au plan annexé à la demande du pétitionnaire, et aux prescriptions suivantes : • Les accès devront être revêtus pour éviter tout rejet de gravillon ou boue sur la chaussée de la voie publique • La marge de recul entre le portail et la plate-forme revêtue sera d’au moins 3 mètres • Sauf dérogation exceptionnelle du gestionnaire de la voirie, l’accès se raccordera au bord de la chaussée sans creux ni saillie, et présentera une pente comprise entre 2 et 5% ; ces limites sont imposées pour assurer l'écoulement des eaux pluviales et pour éviter une pente trop importante de nature à ralentir l'insertion des véhicules accédant à la voie publique • le bénéficiaire prendra toutes les précautions pour ne pas entraver l'écoulement des eaux de la voie publique. • aucun dépôt de matériaux n'est autorisé sur la voie publique

188 • Les ouvrages ainsi créés seront maintenus en parfait état d'entretien par le permissionnaire de façon à ce que l'écoulement des eaux ne soit jamais gêné, quelle qu'en soit la cause. • L'aqueduc sur fossé sera réalisé avec des tuyaux PVC type ECOPAL de 400 mm de diamètre sur une longueur de 6 mètres; chaque extrémité devra être équipée de têtes de sécurité normalisées. • Le fil d'eau des tuyaux devra respecter la pente du fossé existant et ne pas entraver le libre écoulement. • Le remblayage sera réalisé en grave 0/20 ; en aucun cas, l'enrobage des buses ne sera réalisé en béton. • Le pétitionnaire sera tenu à réquisition du gestionnaire de la voirie de remplacer les ouvrages implantés qui s'avéreraient sous-dimensionnés du fait de la modification des débits d'eau supportés par le fossé ainsi busé.

ARTICLE 3 – Prescriptions administratives particulières.

Les prescriptions énoncées ci-dessous ne concerne que les aménagements implantés sur le domaine public routier national.

L'accès sera réalisé conformément au projet une fois que ce dernier aura été validé par les services de la DIRCE – District de Moulins.

Le pétitionnaire sera tenu de démolir l’ancien accès et de rétablir l’écoulement des eaux de la route nationale 7 sous un délai de un mois après la mise en service du nouvel accès.

La conformité des travaux sera contrôlée par les gestionnaire de la voirie au terme du chantier.

ARTICLE 4 - Signalisation temporaire

La signalisation du chantier dans la zone intéressant la circulation sur la voie publique, sera, s’il y a lieu, mise en place, exploitée et entretenue à ses frais par le pétitionnaire. Elle devra être conforme au Livre I de l'instruction interministérielle sur la signalisation routière, notamment à sa 8éme partie.

Un schéma de signalisation est joint à titre indicatif en fonction des indications communiquées par le pétitionnaire. (cf fiche n°CF 11 du Manuel du Chef de Chantier)

Le gestionnaire de la voirie se réserve la possibilité de prescrire, en cours de chantier, toute modification des mesures imposées initialement si les conditions de circulation ou de sécurité l'exigent.

Avant le début des travaux et pendant tout le cours de ceux-ci, le pétitionnaire (ou son entrepreneur) doit faire connaître nominativement, au gestionnaire de la voirie, le responsable de l'exploitation et de la signalisation du ou des chantiers. Ce responsable devra pouvoir être contacté 24h/24 et 7j/7.

ARTICLE 5 : Arrêté de circulation

Le présent arrêté ne dispense pas le pétitionnaire de solliciter, auprès du gestionnaire de la voirie, un arrêté temporaire de circulation si des restrictions de circulation devaient être mises en place pour permettre la réalisation des travaux.

ARTICLE 6 - Ouverture du chantier, vérification de l’implantation et récolement

Le pétitionnaire informera le signataire du présent arrêté ou son représentant au plus tard 3 jours avant l'ouverture du chantier , de façon qu'il puisse être procédé à la vérification de l'implantation.

La réalisation des travaux autorisés dans le cadre du présent arrêté ne pourra excéder une durée de 30 jours.

Le gestionnaire de la voirie se réserve le droit de contrôler à tout moment la conformité des travaux.

Les travaux réalisés sur le domaine public devront faire l'objet d'une remise de plans de récolement (plan d'implantation définitif des ouvrages après travaux).

ARTICLE 7 : Autres formalités

Le présent arrêté ne dispense pas le bénéficiaire de procéder aux formalités prévues par la réglementation en vigueur.

Le présent arrêté ne confère aucune autorisation d'exploitation commerciale du bâtiment.

189 ARTICLE 8 - Conditions financières

Toute occupation du domaine public routier national est soumise à redevance sauf cas d'exonération prévue par la loi. Le montant sera fixé le cas échéant, sur proposition du gestionnaire de la voirie, par le service France Domaines et notifié au pétitionnaire.

ARTICLE 9 - Responsabilités

Cette autorisation est délivrée à titre personnel et ne peut être cédée.

Son titulaire est responsable tant vis-à-vis de l'État que des tiers, des accidents de toute nature qui pourraient résulter de la réalisation de ses travaux ou de l'installation de ses biens mobiliers.

Le permissionnaire se devra d'entretenir les ouvrages implantés sur le domaine public, à charge pour lui de solliciter l'autorisation du signataire du présent arrêt pour intervenir aux abords de la voie publique afin de procéder à cet entretien,

Dans le cas où l'exécution de l'autorisation ne serait pas conforme aux prescriptions techniques définies précédemment, le pétitionnaire s'engage sans délai à mettre en conformité les ouvrages réalisés sur domaine public, ou à compléter la signalisation temporaire de chantier, l'autorisation étant retirée en cas de maintien de la non conformité.

Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

ARTICLE 10 - Validité et renouvellement de l'arrêté ; remise en état des lieux

La présente autorisation est délivrée à titre précaire et révocable, et ne confère aucun droit réel à son titulaire; elle peut être retirée à tout moment pour des raisons de gestion de voirie sans qu'il puisse en résulter pour le pétitionnaire de droit à indemnité.

Elle est consentie, en ce qui concerne l'occupation de la dépendance domaniale, pour une durée de quinze ans à compter de la date de la délivrance de la présente autorisation.

Elle pourra être renouvelée à la demande du pétitionnaire, celle-ci étant adressée au service gestionnaire de la voirie DEUX mois avant l’expiration de la présente permission de voirie.

En cas de révocation de l'autorisation ou au terme de sa validité en cas de non renouvellement, son bénéficiaire sera tenu, si les circonstances l'exigent, de remettre les lieux dans leur état primitif dans le délai d'un mois à compter de la révocation ou du terme de l'autorisation. Passé ce délai, en cas d'inexécution, procès-verbal sera dressé à son encontre, et la remise en état des lieux pourra être exécutée d'office aux frais du bénéficiaire de la présente autorisation.

Le gestionnaire de voirie se réserve le droit de demander le déplacement des ouvrages autorisés aux frais de l'occupant, dès lors que des travaux de voirie seront exécutés dans l'intérêt du domaine occupé.

Fait à Toulon sur Allier, le 24 Juillet 2013 La Préfète, par délégation Pour Le Directeur Interdépartemental des Routes Centre-Est, Le Chef de district de Moulins D. DARNET

Conformément aux dispositions de la loi 78-17 du 06/01/1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, le bénéficiaire est informé qu’il dispose d’un droit d’accès et de rectification qu’il peut exercer, pour les informations le concernant, auprès de la subdivision départementale de l’équipement ci-dessus désignée.

La présente décision pourra faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif compétent dans les 2 mois à compter de sa notification.

190 RESEAU FERRE DE FRANCE

DÉCISION DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE RÉSEAU FERRÉ DE FRANCE (165ÈME SÉANCE) DU 6 JUIN 2013

Le Conseil d'administration de Réseau ferré de France,

Vu le Code des transports et notamment les articles L. 2111-9 et suivants ; Vu le décret n° 97-444 du 5 mai 1997 modifié relatif aux missions et aux statuts de Réseau ferré de France ; Considérant l’autorisation du ministre chargé des transports, en date du 4 avril 2013, de fermeture de la section, comprise entre les PK 2,983 et 18,289, d’une longueur de 15,306 kilomètres, du Coteau à Pouilly-sous-Charlieu (Loire) de l’ancienne ligne n° 769000 du Coteau à Montchanin et sa demande du maintien des emprises ;

Et après en avoir délibéré,

DECIDE:

ARTICLE 1er La section, entre les PK 2,983 et 18,289, du Coteau à Pouilly-sous-Charlieu de l’ancienne ligne n° 769000 du Coteau à Montchanin, est fermée à tout trafic.

ARTICLE 2 La présente décision, immédiatement exécutoire, sera affichée en mairies de , Perreux, Pouilly-sous- Charlieu et Vougy et publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire et au Bulletin Officiel de Réseau ferré de France consultable sur son site Internet (http://www.rff.fr/).

Fait à Paris, le 6 juin 2013 Le Président du Conseil d’administration Jacques RAPOPORT

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DÉCISION DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE RÉSEAU FERRÉ DE FRANCE (165ÈME SÉANCE) DU 6 JUIN 2013 Le Conseil d'administration de Réseau ferré de France,

Vu le Code des transports et notamment les articles L. 2111-9 et suivants ; Vu le décret n° 97-444 du 5 mai 1997 modifié relatif aux missions et aux statuts de Réseau ferré de France ; Considérant l’autorisation du ministre chargé des transports, en date du 4 avril 2013, de fermeture de la section, comprise entre les PK 0,000 et 5,250, d’une longueur de 5,250 kilomètres, de Pouilly-sous-Charlieu à Charlieu (Loire) de l’ancienne ligne n° 774000 de Pouilly-sous-Charlieu à Clermain ;

Et après en avoir délibéré,

DECIDE:

ARTICLE 1er La section, entre les PK 0,000 et 5,250, de Pouilly-sous-Charlieu à Charlieu de l’ancienne ligne n° 774000 de Pouilly- sous-Charlieu à Clermain, est fermée à tout trafic.

ARTICLE 2 La présente décision, immédiatement exécutoire, sera affichée en mairies de Saint-Nizier-sous-Charlieu, Pouilly-sous- Charlieu et Charlieu et publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Loire et au Bulletin Officiel de Réseau ferré de France consultable sur son site Internet (http://www.rff.fr/).

Fait à Paris, le 6 juin 2013 Le Président du Conseil d’administration Jacques RAPOPORT

191 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE SAINT-ETIENNE

DECISION CONJOINTE N°2013-20 DU 01/07/2013 RELATIVE A LA CREATION D’UNE FEDERATION MEDICALE INTERHOSPITALIERE EN SSR

Le Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne Le Directeur du Centre Hospitalier de Firminy Le Directeur du Centre Hospitalier de Claudinon Le Directeur du Centre Hospitalier du Pays du Gier

VU l’article L. 6135.1 du code de la santé publique ; Vu les délibérations de la Commission Médicale d’Etablissement en du date 21 janvier 2013 et du Comité Technique d’Etablissement en date du 11 décembre 2012 du CHU de Saint Etienne ; Vu les délibérations de la Commission Médicale d’Etablissement en date du 19 décembre 2012 du CH de Firminy ; Vu les délibérations de la Commission Médicale d’Etablissement en date du 20 septembre 2012 et du Comité Technique d’Etablissement en date du 20 septembre 2012 du CH de Claudinon ; Vu les délibérations de la Commission Médicale d’Etablissement en date du 20 mars 2012 et du Comité Technique d’Etablissement en date du 20 décembre 2012 du CH du Pays de Gier ; Considérant l’accord des responsables des structures médicales concernées.

RAPPELLENT QUE

Le CHU de Saint-Etienne, le CH de Claudinon, le CH de Firminy et le CH du Pays de Gier ont engagé une démarche de coopération étroite dans le domaine des soins de suite et de réadaptation.

DECIDENT CONJOINTEMENT

De créer une fédération médicale inter-hospitalière visant à organiser un rapprochement des activités médicales concernées.

ARTICLE 1 : Intitulé de la fédération La fédération médicale interhospitalière créée par la présente décision conjointe est intitulée « Fédération inter hospitalo-universitaire de territoire en soins de suite et réadaptation Saint-Etienne-Firminy-Claudinon-Pays de Gier ».

ARTICLE 2 : Statut de la fédération Les statuts annexés à la présente décision conjointe précisent :

• l’organisation, le fonctionnement, la nature et l’étendue des activités de la fédération ; • les modalités d’association de personnels des établissements à ces activités ainsi que les conditions de désignation et le rôle du praticien coordonnateur sous la responsabilité duquel elles sont placées.

ARTICLE 3 : Publicité de la présente décision La présente décision sera transmise à M. le Directeur Général de l’ARS Rhône Alpes. Elle fera en outre l’objet d’une publication au recueil des actes administratifs.

Fait à Saint-Etienne, le 1er juillet 2013

Le Directeur Général du CHU de Saint-Etienne La Directrice du CH Pays de Gier Chevalier de la Légion d’Honneur Laurence NART Frédéric BOIRON

Le Directeur du CH de Firminy Le Directeur du CH Claudinon Gilles-André CUCHET Gilles-André CUCHET

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192 DÉCISION N° 2013-74 DU 12/07/2013 COMPLÉTANT LA DÉCISION N°2013-33 DU 28 MARS 2013 RELATIVE A LA VENTE D’UNE PARCELLE DU CHU DE SAINT-ETIENNE SUR LE SITE DE L’HOPITAL DE BELLEVUE Le Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire de Saint-Etienne Chevalier de la Légion d’Honneur

VU le code général de la propriété des personnes publiques et notamment ses articles L.2141-1 et suivants, VU le code de la santé publique et notamment son article L.6143-1, VU l’avis émis par le Conseil de Surveillance lors de sa séance du 28 mars 2013, CONSIDERANT l’avis de France Domaine en date du 28 février 2013,

DECIDE

ARTICLE 1 La présente décision complète la décision n°2013-33 en date 28 mars 2013 du relative à la mise en vente de la parcelle située sur le site de l’Hôpital de Bellevue du CHU de Saint-Etienne, sous la référence cadastrale section LR n°128, à la société SOFARI/AXENTIA ou à toute autre personne physique ou morale souhaitant se porter acquéreur pour un montant de 500 000 €.

ARTICLE 2 La parcelle mentionnée à l’article 1 est déclassée et désaffectée de l’usage hospitalier afin de permettre sa mise en vente.

ARTICLE 3 Monsieur le Directeur Coordonnateur du pôle support est chargé de l’application de la présente décision qui fera l’objet d’une publication au recueil des actes administratifs du Département.

Fait à Saint-Etienne, le 12 juillet 2013 Frédéric BOIRON

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