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Détails sur le produit Rang parmi les ventes : #947640 dans LivresPublié le: 1976-04-23Langue d'origine:Français .35 x 4.25l x 7.01L, .0 livres Reliure: Poche192 pages | File size: 65.Mb

Par Auguste Le Breton : Le Rouge est mis before purchasing it in order to gage whether or not it would be worth my time, and all praised Le Rouge est mis:

Commentaires clientsCommentaires clients les plus utiles1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile. Truand mon ami, gaffe aux gonzesses!Par Bertrand LE FOLLLa trameConnaissez le gang des tractions ? Des zigues qui châssent le braquage, le préparent avec soin, l''exécutent avec ou sans violence -'plutôt avec- et se remettent au vert une heure après, tout tranquilles ? Cherchez pas, c''est les hommes qui suivent. Celui qu''indique, qui réfléchit, qui prépare, c''est Fredo dit « Quesquidi » du temps où il était aux Amériques pour éviter Verdun et ses tranchées. Le gonze à la bastos facile, vacharde, volontaire voire sadique, c''est Pépito « Le Gitan ». L''homme aux nerfs d''acier, conducteur émérite de Citroëns 15, dur avec tout le monde mais tendre avec sa M''man, c''est Louis, « Le Blond ». Pis y'a aussi Raymond « Le Matelot ». S''fait repasser à la moitié du bouquin, c''lui là.Braque, braque, re-braque' Fredo n''en peut plus, il a les foies, y va tout laisser tomber. Ses potes pensent le dessouder -'manque de confiance- mais en auront pas le temps. S''ront faits aux pattes avant.Y''a une mousmée aussi, Hélène, une belle garce qu''aime le pognon, surtout le pognon. Voilà-t-y-pas que Pierre, le frangin de Louis, en est dingue. Mais fait pas le poids, le Pierrot, un jeunot qu''a un cœur trop tendre et pas grand-chose dans l''falzar. Gaffe aux gonzesses ! Louis l''avait bien compris, lui : il consomme, c''est tout. Quand on est truand, le premier duce à suivre, c''est qu''il faut jamais s''attacher. Aux potes, à la rigueur, aux gonzesses, jamais.L''avisExcellentissime polar, tout ce que j''aime. D''abord, ça se lit en trois heures et j''ai jamais compris pourquoi certains (surtout des saxons d''ailleurs) voulaient toujours rajouter des pages et des pages. Ici, l''histoire est brute de coffrage, sans fioritures complètement inutiles, sans bluette qui vient comme un œuf à la coque dans une cafetière. Brute, oui, simple, oui, mais bien écrite, crédible. On retrouve un Paris des années cinquante, avec la Butte, la rue Lepic où la vieille M''man vend ses cerises. Les truands sont pas des fous de Dieu, ils sont simplement fous d''artiche, de flouze, de grisbi qui permet de boire le Champ'' avec des nanas, et de se promener en fil à fil gris, borsalino sur la calebasse, au lieu de se traîner misérablement en bleu de chauffe. Bon évidemment, ce sont des affreux, c''est sûr, qui n''hésitent pas à repasser de braves pères de famille pour s''approprier l''oseille. N''empêche qu''on ressort de tout ça avec une certaine sympathie pour Louis « Le Blond », et un mépris certain pour son frangin.A lire d''urgence si ce n''est déjà fait. Publié en 1954, « Le rouge est mis » a été remarquablement porté à l'écran par Gilles Grangier, avec Gabin, Ventura, Frankeur, Bozuffi et en salope haïssable. Sorti en DVD récemment, le film est fidèle au roman.3 internautes sur 3 ont trouvé ce commentaire utile. le rouge est mis (roman)Par Habryn StanislasCe roman a été adapté au cinéma en France en 1957par Gilles Grangier, avec , ,Paul Frankeur, Annie Girardot et Marcel Bozzuffidans les principaux rôles.Magnifique polar !Une remarque : le roman est écrit en Argot,heureusement, un lexique d'Argot figure à la findu livre.C'est l'histoire d'une redoutable bande de truandsqui n'hésitent pas à tuer pour réussir leurs coups.On retrouve toute l'ambiance de la France de cetteépoque aujourd'hui disparue à jamais.A lire absolument !1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile. du rebecca dans le MitanPar GwenAh, Auguste Le Breton! Le sympathique écrivain que voilà, mes amis... Quelle belle oeuvre que la sienne... Et quelle vie bien remplie... Né en 1913 dans le Finistère, il s'appelait en réalité Auguste Montfort et c'est peu dire que ses premières années furent difficiles! Privé de son père emporté dans la grande boucherie de 14/18, abandonné par sa mère, il est placé, très jeune, dans un orphelinat de guerre. Mais son goût de la liberté le pousse à s'en évader. Résultat, à 14 ans, il échoue en maison de correction! Lorsqu'il en sort, la rage au coeur, c'est pour aller traîner sa misère dans le Paris des années 30. Là, il survit en alignant les petits boulots, dort dans la rue, fréquente des voyous qui lui font connaître le Milieu et l'affublent du surnom qu'il fera sien: Le Breton!... Puis c'est la guerre, à nouveau... Bookmaker clandestin sous l'Occupe, il tâte aussi de la Résistance, ce qui lui vaut d'être décoré à la Libération... Mais son véritable destin est en marche: depuis des années, il rêve de Littérature... Fort de son expérience des bas-fonds, il se décide finalement à prendre la plume et, touché par la grâce, accouche en 53 d'un classique entre les classiques, premier jalon d'une oeuvre abondante qui prend la pègre pour toile de fond... La suite, vous la connaissez! C'est la consécration littéraire puis la reconnaissance du 7ème Art... Un parcours sans faute qui se terminera en 1999, à 86ans...Paru en 1954, "Le rouge est mis" est le troisième roman noir de Le Breton. C'est aussi l'un des meilleurs, à mon humble avis. Sec et nerveux, c'est un polar court, sans fioritures, écrit d'une plume formidable, et dont l'intrigue est un modèle du genre. Nous v'là à Pantruche à l'orée des années 50. La guerre est déjà un souvenir et le Milieu prospère entre Montmartre et Pigalle. De casse en braquage, les affranchis s'en mettent plein les fouilles. Justement, Louis, Frédo, Raymond et Pépito sont sur un coup... Deux convoyeurs... Une sacoche pleine d'oseille... Du billard, en principe... Mais l'affaire se passe mal et un condé récolte un pruneau... Du coup, voilà nos malfrats dans le collimateur du redoutable inspecteur Pluvier, bien décidé à se payer le Gang des Tractions...Pas de lézard, ici, vous l'aurez compris: c'est du noir de chez noir, la quintessence du genre! Des lardus... Des gangsters... Des poupées... C'est à une chronique du Mitan en bonne et due forme que nous invite dans ces pages notre cher Auguste... Une tranche de vie et de mort au pays des pègriots... Paradoxalement, tout ça est à la fois terriblement folklorique (surtout avec le recul du temps) et pourtant réaliste (maint passage fleure le "vécu") mais ce livre est surtout empreint d'une grande poésie populaire, une poésie décalée, marginale, interlope, héritée de Carco et de Mac Orlan, la poésie du quotidien, des arrière-cours, des marchands de quat'saisons, la poésie du linge qui sèche aux fenêtres, des marchés de quartier, des bars louches où se tiennent des pokers clandestins, la poésie, en somme, du Paris intime, celui que les touristes en goguette ne verront jamais, trop occupés qu'ils sont à mitrailler la tour Eiffel... Poésie renforcée, bien sûr, par la savoureuse gouaille argotique et colorée dans laquelle cette histoire nous est contée...Mais, me direz-vous, Le Breton nous peint-il ici une vision romantique du Milieu? Eh bien, je ne crois pas... Romanesque, sans doute... Romantique, non... Pas de héros chez lui... Nulle glorification des truands... Comme Simonin, comme Héléna, Le Breton est extrêmement lucide. Il n'enjolive pas, au contraire il voit le Milieu tel qu'il est, c'est-à-dire comme une jungle où tous les coups sont permis, où l'on n'est jamais mieux trahi que par ses potes, où faire confiance à une gonzesse peut vous conduire direct à l'échafaud... Z'ont beau être sapés chicos, les gangsters, ici, n'ont rien de glamour... Ce sont des hommes, tout simplement, avec leurs faiblesses et leurs fragilités... leurs vices... leurs jalousies... leurs petites et grandes bassesses... Bref des types comme on en croise tous les jours sauf que ceux-là portent le Borsalino et préfèrent gagner leur pognon à coups de flingue plutôt qu'en allant turbiner à l'usine... En fait, Le Breton a ceci d'intéressant qu'il joue de la mythologie truandesque, mais qu'il la subvertit en même temps, par petites touches, comme par exemple lorsqu'il nous montre Louis, un dur de dur, un vrai cador, se faire baffer comme un sale mouflet par sa vieille maman... Ca vous remet les clichés sur la pègre en perspective, une scène pareille!Quoi qu'il en soit, ce livre, 60 ans après sa parution, reste un "must" du roman noir à la française. Pensé comme une tragédie cornélienne, narré dans une langue jubilatoire, c'est un bonheur de bout en bout. Gilles Grangier, et Le Breton himself en tirèrent un excellent film en 57. Il est vrai que Jean Gabin, Lino Ventura et Annie Girardot s'y donnent la réplique. Comme casting, on a vu pire!

Présentation de l'éditeurPas de la tarte, cette putain de vie ! On va sur un braquage. On croit que c'est du tout cuit. Puis crac... Un encaisseur qui renaude. Un jeune flic qui s'en ressent. Et c'est la panique. Faut s'tracer en vitesse. Mais pour échapper aux poulets... Et comme Louis le Blond, Raymond le Matelot, Fredo Quesquidi, et Pépito le Gitan se servent pas de pistolets à bouchons... Tout ça, c'est de la vie, à pleine pogne, et de la tuerie, à pleine rage. Ça fume...

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