Rapport de prospection inventaire (autorisation n°2008-251 jusqu'au 31/12/08)

Alain Triste - Sébastien DARE

Liberté • Egalité • Fraternité :.} RÉPUBLIQUE FRANÇAISE C.E.R.A.M. Centre d'Etudes et de Recherches Archéologiques du 6, rue de la Tannerie - 56000

Service régional de l'archéologie, DRAC Bretagne Rapport de prospection inventaire 2008 (autorisation n°2008-251 jusqu'au 31/12/08)

DRAC-SRA -2FE120Q9

COURRIER ARRIVEE

Alain Triste - Sébastien DARE

C.E.R.A.M. Centre d'Etudes et de Recherches Archéologiques du Morbihan 6, rue de la Tannerie - 56000 Vannes Service régional de l'archéologie, DRAC Bretagne La prospection-inventaire 2008

La prospection, menée en 2008 par le C.E.R.A.M., a permis d'étudier 33 sites se répartissant ainsi : - 25 nouvelles découvertes - 8 sites qui font l'objet de données complémentaires ou d'une correction de localisation.

Nouvelles découvertes (en gras : période médiévale) :

Arradon : île de grande Logoden : La forge de la Lande : Le Crouesty Grandchamp : Le moulin de Toulnay Larré : La lande du moulin : Le château de Trégouët : Grandchamp : Le château de Coëtcandec Locmaria : Grandchamp : Le pont du Loc'h - est : Le Guérie Marzan : Le château de l'Isle Marzan : La chapelle Saint-André : Le château de Penmur Muzillac : Toul Coquenn Muzillac : Coëtsurho 3 Muzillac : Kerantré Péaule : Le Bocéno Péaule : Le château : La zone artisanale de Mané-Coëtdigo 1 Ploeren : La zone artisanale de Mané-Coëtdigo 2 Saint-Armel : La vache enragée - clos eur guen Saint-Avé : Saint-Thébaud : Kerassel-est Séné : Le Péchit : La lande d'en bas - Le Peuh Le Tour-du-Parc : Le manoir de Données complémentaires :

Ambon : Cromenac'h- 56 002 005 Arzon : Pointe Saint-Nicolas - Pen Castel - 56 005 001 AH : Porh Hoet er Salo - 56 031 016 Elven : Saint-Christophe - 56 053 008 AH : Crévéac - La lande de la chaussée - 56 111 002 : La Maillardière - 56 171 014 Sarzeau : Truscat - 56 240 004 AH Treffléan : Le petit Bézy - 56 255 002

La première catégorie est largement dominée par les sites de la période médiévale avec 13 déclarations sur 25. Il faut ainsi signaler les châteaux de Penmur (Muzillac), de lTsle (Marzan), de Coëtcandec (Locmaria-Grandchamp), de Tregouët (Le Cours) et de Caden (Le Tour-du-Parc). A noter que le château de Coëtcandec est déjà classé monument historique. L'importance d'inscrire ces sites à la carte archéologique apparaît nettement avec le château de Trégouët, ancienne demeure des seigneurs de et sénéchaux de Rohan attestée dès la fin du Xlle siècle, et dont les derniers vestiges encore en élévation viennent d'être démolis pour récupérer les matériaux. Aujourd'hui, le terrain a fait l'objet d'un nivellement général. Trois sites d'habitat - Toul-Coquenn, Coëtsurho 3 et Kerantré (Muzillac) - méritent une attention particulière. Ils présentent des caractéristiques identiques (superficie et position en arrière d'une ligne de hauteur qui domine l'estuaire de la Vilaine), s'inscrivant au moins pour Coëtsurho 3 et Kerantré au sein de parcellaires, de forme plus ou moins circulaire. Par ailleurs, leur chronologie (XlVe-XVe siècle) laisse penser que leur implantation est peut-être à rapprocher du développement de la toute proche abbaye cistercienne de Prières, fondée au XÎIIe siècle. La céramique recueillie en surface montre deux sources d'approvisionnement : les ateliers de Saint-Jean-la-Poterie et un autre atelier, non identifié pour l'instant, qui se caractérise par des productions à pâte blanche (cruches mais aussi marmites). Rappelons, l'existence d'un grand établissement gallo-romain, possédant un bâtiment thermal (Coëtsurho I et 2). Ce secteur constitue donc un terroir particulièrement intéressant pour étudier sur la longue durée (depuis la période gallo-romaine jusqu'à la période moderne) l'évolution de l'occupation rurale. Cette problématique se trouve renforcée par la situation en bordure d'estuaire de cet espace.

Parmi les nouveaux sites déclarés, celui du Château à Péaule constitue un site majeur. II s'agit d'une puissante enceinte fortifiée ovalaire, située à l'extrémité d'un plateau qui surplombe d'une quarantaine de mètres un méandre de la Vilaine et bénéficie d'un panorama exceptionnel sur la vallée de ce fleuve, en direction de l'est. Un rempart couronne la partie sommitale et délimite une superficie de 10 ha. Large de plus de 10 m, sa hauteur varie de 3 m à l'ouest à près de 10 m au nord où il est précédé d'un imposant fossé. Ce site a un peu l'allure d'un éperon barré. Cette fortification n'est pas datée (protohistoire, haut Moyen- Age ?). Selon l'abbé Piéderrière, le premier a signalé le site et a en réalisé un plan sommaire, des vestiges d'une occupation antique (tuiles et céramiques), auraient été trouvés au niveau du village du Château. De plus, plusieurs autres enceintes ont été mises en évidence par une étude approfondie des cadastres napoléoniens du Morbihan, complétée par celle de la bibliographie ancienne : le moulin de Toulnay (Grandchamp), La lande du Moulin (Larré), Pont du Loc'h est (Locmaria-Granchamp), Le Mané-Coëdigo 1 et 2 (Ploeren), La lande d'en bas - le Peuh (Sulniac). Les enceintes du Mané-Coëtdigo, commune de Ploeren, nécessitent une inscription rapide car elles subissent une forte pression immobilière, liée au développement de la zone artisanale. Les deux enceintes circulaires du moulin de Toulnay et de Pont du Loc'h-est ont des dimensions identiques (diamètre de 40 m) et une situation semblable : une légère éminence dominant la rivière le Loc'h. Ces structures datent sans doute de la période médiévale, comme semble le prouver la mention « vieux fort en terre » notée pour le moulin de Toulnay sur le cadastre de 1850 de la commune de Grandchamp.

En ce qui concerne la seconde catégorie, les sites de Saint-Christophe (Elven), Crévéac (Limerzel), Truscat (Sarzeau) et Le petit Bézy (Treffléan) sont à souligner. Truscat a fait l'objet d'une mauvaise localisation, lors de sa première déclaration, faite par G. Leroux en 1988. Il ne situe pas devant le château mais sur la presqu'île. L'erreur vient d'une mauvaise lecture de la bibliographie ancienne et de l'absence d'une prospection au sol. On retrouve une telle erreur à Saint-Christophe, le petit Bézy ainsi qu'à Crévéac où celle-ci a eu pour conséquence la destruction de l'essentiel du site à l'occasion de l'aménagement de la nouvelle route reliant à . Ces trois sites, auxquels nous pouvons ajouter par exemple ceux de Lirey et de Talhouët (Theix), rectifiés en 2002 et 2006, soulèvent une interrogation sur l'exactitude de nombre de données de la carte archéologique pour certaines

communes du Morbihan. Le site de Saint-Christophe se distingue par son développement sur une superficie de plus de 3 ha. En 1842, un bâtiment a été partiellement mis au jour. Cette construction, dotée d'un vaste hypocauste à conduits rayonnants et décorée d'enduits peints et de stucs, doit très certainement être interprété comme la partie résidentielle de cet établissement. Saint Christophe se place parmi les plus vastes villae du territoire vénète. - île de grande Logoden Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0921 OT - Vannes, golfe du Morbihan - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème). Le site de briquetage découvert par Y. Coppens (en orange) en 1954 sur l'île de petite Logoden est également figuré, à titre d'information. Déclaration de découverte archéologique Annexe I.,

«.Service Régional de fArchéologie de Bretagne %. du C2vÊ&bm. 150«* *«cn« Çràtx.

Première mention = Données complémentaires^ Année première mention

Année = 2 0 0 8 Nature oe r opération = piospeclion.inventaire.

Responsable .Alain. Triste _ organisme = .CJiULA-M....

Déparlement :.. MQEJ&IBAN commune = ....ARRAD.QN.(.a° JNJSEE.i.5.6„0.Q3).

Lieu-dit (du Cadastre) : ....GRANBE.LQGGûEN.

Ueu-dit (de ri.G.N.) : ...ÎLES.LO.GODEN.

Nom du site : .GRAJND£.LQG.OD.EN.

Cadastre <*• *»w joui 19 8 3 Section(s) et parcelles) : .. .E.l.r..par£elle.«°.2

Observations : _ .....

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d" édition 1021 OT Vannes - Golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centresite: X= 12) 1121 . 18 1 61 5i x> Va a r» • Y= > 21310|2{ . 1 9j4j 5\ Xe Te X4 r* Rayon du site (mètres) : 5]m XM V»

Circonstances de la découverte : — „ „ _

Techniques de repérage : ....praspecfiOjuiaju.SQl

Ilnformateur : „„

Description des vestiges : ....démeirJjs^

Etat de conservation : ....mauvais Eléments de datation :.. fragments. d:a.ug.ç.ts..trftncpiism&tiq.ue.a.pEQ.fonds..

chronologie proposée : .se.c.Qnd.âge..du.Eer..(.T.ène.fmal.e.)...,

Mobilier Oui Q Non [><3 Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CAORE Res€«ve ceu.u.6 CA*TC **cxot.«wx€.

N* de site attribué | 1 1 1 I i 1 1111 Code AP / AH

N* d'enregistrement DRACAR I 1 I 1 I Modification

ARZAL - La forge de la lande Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (1022 OT - La Roche-Bernard - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (carrés blancs) (Géoportail - éch. l/5000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe l.<

A.««^«Service Régional de rArchéologie de Bretagne I.UU CT^p»«. iS

Prerniôre mention = ^ Données comp»émentaires= . Année première mention

Année - 2 0 0 8 Nature de ropération = PEO^tectiOJXiav.entatte

Responsable = Alaitt.Txiate, Organisme = .CE.R_A.M_

Département : MORBIHAN. commune » ARZAL.(ja.°.JLNSEE.:.5.6.0.Q.4)

Lieu-dit ( du Cadastre) : ..XAEOJRGEJQEIAIJLNDE

Lieu^it (de n.G.N.) : LA FQRGEXA.LANjDE

Nom du site : IAE.ORGE.DE.LAEAM)E

Cadastre * *»w^ m » ; Section(s) et parcelie{s) : D..-.parjceUesi»° 128r.13.L,.132.et 294

Observations : - „

Carte I.G.N Numéro Nom Année d" édition 1022 OT La Roche-Bernard - parc naturel régional de Brière 1991

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Cent»site: X= i 2| 41 41 . | 21 11 01 X» Y* Xb Yfc Y- |2|2|9l0l,r9T7m xe Ye M Y4 Rayon du site (mètres) : ) 2 1 0 j m Xm Y»

Circonstances de ta découverte : .

Techniques de repérage : ...pr.ospection!au.sol.. (informateur : „ „..

Description des vestiges : ...;tak.petjte.s..enmntes.qua^ ...laigejQss.e4pljjj^ „

Etat de conservation : .B.on.car..siliié.dam..ua.bo^ 31).est.. légèrement recoupée par un champ en prairie. Eléments de datation : ...aucun ; chronologie proposée : ..époque.indéteiminée

Mobilier Oui £ Non fX] Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CAORÊ RESCRVE ca.Lu.6 CAATE AA&eotcxaaue

N* de site attribué 1 1 1 I I ! I Mil Code AP / AH [ 1 1

N* û"enregistrement DRACAR I 1 1 1 I I Modification

ARZON - Le crouesty Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0921 OT - Vannes, golfe du Morbihan - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe l.«

Servies Régional de [Archéologie de Bretagne

Première mention = )\ Données complémentaires2 Année première mention =

Année = 2 0 0 8 Nature de ropération = prospection .inventaire.

Responsable Alain..Triste _ Organisme = .CvEULA~M

Département :.. MORBIHAN Commune « .....O^

Lieu-dit (du Cadastre) :.. ..LE.CROUESIY

Lieu-dit (de ri.G.N.) : ...LE..CRO.UES.T.Y Nom du sHe : LE..CRQUEST.Y

Cadastre * tmun m« > m : Section(s) et parcelles) : ....AJS..T.parc£lle.n°..2.47..

Observations ;

Carte I.G.N. Numéro Nom Année cf édition 1021 OT Vannes - Golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centresite: X= \ 21 11 21 . |8 1 6} 5| Xa V» Xa Tb Yc Y= UI310121,mim Xe X4 T4 Rayon du site (mètres) s X. Y»

Circonstances de ia découverte : _

Techniques de repérage : ....prQSpection;a,u.Sol. Ilnformateur :

Description des vestiges : „..éléments..dej^ .k.de^crjptim.qum^^ ..rMaç.her..çj?^ augets.à bords parallèles aussi nommés : "barquettes". Etat de conservation : ....mauvais Eléments de datation : ....c.éjmajjques..etfragmerits..de.biiquetage Chronologie proposée : .se.ç.Qnd..âge..du.Eer.

Mobilier Oui [j>

Documentation :

Bibliographie :

CAORE RESCRVE CEUU.E CARTE AAœoLOdaje

N* de site attribué | 1 1 1111 | | | | Code AP / AH

N* d'enregistrement DRACAR 1 1 I [ I I Modification éch. : I/2000ème

ARZON - Le Crouesty Cadastre actuel - section AS - parcelle n° 247. Port-N&valo. — 3 gisements se font suite i quelques mètres d'intervalle dans la coupe de la cote Nord de la baie du Croitty. Les 2 premiers, en partant de l'Ouest, sont bouleversés. Notons, parmi les objets intéressants quelques éclat» de silex, de» cales et un curieux objet en T, en terra cuite. Le gisement 3 ne présente pas d'augets mais il a livré un gros tortillon, de nombreuses pièces en T, des débris de poteries importantes dont I un orné de 1/2 cercles en pointillé «'entre- croisant et surmontés de cercles concentriques, décor caractéristique de la Tène II ou III période de la belle poterie vénète. Il doit y avoir contemporanéité entre les gisements i, 2 et 3 et cette poterie apporte une précieuse indication sur l'âge des fours à augets.

COPPENS (Y.), "Nouveaux fours à augets de la côte morbihannaise", B.S.P.M., 1951-1952, pv. p. 93.

COMMUNE O'AHZON l'ort-Naonlo. Versant nord de l'anse du Croisly, en face du Petit Mont. — Coppens, 1951. — Y. COFPBNS, BSPM, 1961, p.v., p. 32, cl 19SS, p.v., p. 93. Trois stations s'Alignent sur celle côte : les deux première* contiennent un mélange de poteries diverses (augets et poterie courante noire ou rouge), de tortillons, ainsi que quelques éclats de silex; la troisième, par contre, n'a livré que de la poterie noire ou rouge grossière, épaisse, dont un morceau orné de cercles concentriques reliés par des demi-cercles en pointillé s'entrecroisant, décor caractéristique de la Tcne 2 et 3 (7). Un gros tortillon et de nombreux objets en terre cuite a usage inconnu, dits « pièces en T », y ont été également recueillis.

COPPENS (Y.), Inventaire des stations d'augets morbihannaises", Annales de Bretagne, 1954, p. 297.

Fig. 3 ; Poterie de Port-Navalo (décor).

Fig. 4 Î Pièces en T (Port-Navalo).

COPPENS (Y.), "Notice sur les fours à augets de la côte mériodionale bretonne et plus spécialement du Morbihan", Annales de Bretagne, 1953, p. 340-341.

Fia. 2. — Mobilier accessoire des sites i augets. 1, fragment de rebord d'auget parallélépipédlque portant les extrémité* de 3 tortillons (Port-Navalo, A non, Morbihan) (collection Y. Coppens) ; 2, reconstitution de l'utilisation des tortillons 6 Port-Navalo ; 3, fragment de paroi d'auget tronc-prisma- tique profond portant une extrémité de tortillon (Moustérian, Séné, Morbihan) ; 4, reconstitution de l'utilisation des tor- tillons à Moustérian ; S, boudin de terre culte (Mesperleuch, Plouhinec, Finistère). La partie Inférieure est rugueuse et porte l'empreinte d'une pierre, la partie supérieure, lisse montre la trace du fond d'un auget ; cette remarque s'appli- que également aux n" 6 (Le Fort-Bloqué, , Morb.), 7 (La Tara, La Plalne-sur-Mer, L.-A.), 8 (KerhilUo, , Morb.) ; 9, boulette d'argile séparant deux augets parallélepi- pédiques (reconstitution) (Port-Navalo, Anton, Morb.) ; 10, cale d'argile destinée à soutenir des rangées d'augets (Mesper- leuch). GOULETQUER (P.), "Les briquetages de l'âge du Fer sur les côtes sud de la Bretagne", bulletin de la société préhistorique française, 1970, p.402. ARZON - Le crouesty Sources bibliographiques. GRANDCHAMP - Le moulin de Toulnay Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0820 E - Baud - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/5000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe 1.»

«Service Régional de rArchéologie de Bretagne i,M3j Qvipbr, terrai Cc4«x.

Première mention = ^ Données complémentaires3 Année première (ne ni ion

Année = 2 0 0 8 Nature de F opération * ...... p.m§p.6CtiQn..in.y.eataixe

Responsable = Alain .Triste.. Organisme = .G.E.3LA-M.

Département : MORBIHAN. commune = GRAND.CHAMP...(JI?.L^SEE..;..5<5..067)

Lieu-dit ( du Cadastre) : LE MQUimBE.T.QLLNAY

Lieu-dit (den.G.N.) : ... LE MQ.U.LIN.DE..T.QULISAY.

Nom du sHe : ...LE MOIXLIN..DLE.IOU.LNAY

Cadastre <**>*« *• MI» *n* % jxn : Sections) et parcelles) : ..:XN.-.p.amelle.n?..21.

Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 0920 O G, A U £

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X= 1 2j 0| 9| . 1219101 X» Y» Xb Tt> rc Y* 12)312121,roTTTTI Xc X4 Rayon du site (mètres) : 1 | 1 2f0l m Y»

circonstances de la découverte : i.tu.de.du..cjdasjxç.m^

Techniques de repérage : ...pr.ospectionlau.sol (Informateur : „ ;

Description des vestiges : ...eadûs..cimil^ . ...Grmdr-Qjampiga^

Etat de conservation : Mo.y.en.(.paxcfiÙe.sii.prairie.).... Eléments de datation : ...aucun. Chronologie proposée : .indéterminée.

Mobilier Ouf 1 1 Non tXl Lieu de conservation :

Documentation : ,

Bibliographie :

CAORE RÊSÊKVC C6UUUÊ CASTE ARCXOLOGWK N* de site attribué | I | 1111 1111 Code AP / AH 1 1 1

N* tfenregistrement DRACAR Modification [^J

I ! : GRANDCHAMP - Le moulin de Toulnay cadastre de 1850 - section E dite de Saint-Laurent - 1ère feuille LARRE - La lande du moulin Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (1020 O - - éch. l/12500ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/5000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe i.i

«Service Régional de l'Archéologie de 8retagne ■«, mm du dvwttc. Ctd**.

Première mention = Données complémentaires2 Année première mention =

Année = OjO|8 Nature de ropération = .prospection jnv.entaiie

Responsable = Alain.Triste. Organisme = .G.E.ILA-M-

Département : MORBIHAN commune = .LARRE4n?..lNîiEE..;..56..L0.8)....

Lieu-dit (du Cadastre) : 1.A IA.\DJlD.l...MO.LJJN..

Lieu-dit (deri.G.N.) : . ...LA BELIJL ALOUETTE

Nom du sKe :....LAI^LNDE DJJ.MO.ULIN

Cadastre (Ar«« *. aariin rtn t p-l : Sections) et parcelles) : ..ZD.-.4mcdle.a?..25.

Observations;

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 1020 O Malestroit 1997

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X= | 21 3 ! 71 . 1 4 j 6 1 5 1 X* ) V» » TU • Y= J213I1131.11 3101 Xc Te X4 Yd Rayon du site (mètres) : j 2 5 \ m x> j

Circonstances de la découverte : ..B.ibiiûgiapMe„andermas^^^

Techniques de repérage : ...pr.ospectionlau.sol. —, - Ilnformateur : , ; -

Description des vestiges : ..SftegM£.q.uadxan&uI^ .-. „ Iams.de.2,m.de.Mut. *

Etat de ccnsenratton : ..MQym.(i'.enp.gin^

Eléments de datation : jaufilffi , , '. Chronologie proposée : ...p.éiiQ.de.in.dét.exminée •■

Mobilier Oui [] Non [Xj Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CAÛRE Rese*ve CELLULE CASTE ASCMEOLOocue.

N* de site attribué | | 1 MM 1111 Code AP / AH

N* d'enregistrement 0RACAR i 1 j ] 1 1 Modification □

Cadastre ancien daté de 1823 - section B dite de la Haye - 2ème feuille Enceinte : parcelle n° 600

Cliché aérien - source : photoexplorer - Bayo - 1999.

LARRÉ.—Auprès du moulin i vent le la liai", a 1,500- mètres m nord-est du bourg, sur le boni du chemin uni conduit au chà-

— 213 — leau de Larré, se trouve un retranchement carré dont les cotes ont environ 50 mètres de longueur ; les parapets ont une hau- teur de i mètres. Ce retranchement est a peu près à 4 kilomè- tres de la voie de Vannes a Angers.

CAYOT-DELANDRE, Le Morbihan, son Histoire, ses monuments, 1847, p. 242-243.

LARRE - La lande du moulin Cadastre ancien (1823), cliché aérien (photoexplorer) et source bibliographique. LE COURS - château de Trégouèt Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (1020 O : Malestroit - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (zone entourée) (Géoportail - éch. l/5000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe I.»

i Service Régional de l'Archéologie de Bretagne

Première mention = ^ Données complémentaires3 Année première mention =

Année = 2 0 0 8 Nature oe ropération = pxo.speciion.inYentaire.

Responsable = Alain. Triste- Organisme = ..C.JE.RAM..

Département :.. MORBIHAN Commune = ...LE..C0.URS..(JL°. JNJSEE.J..5.6..0.45)

Lieu-dit ( du Cadastre) : ...TREGOUEX Lieu-dit (de H.G.N.} : .. .IRE.GOIIEX Nom du site : .CHÂTEAU.HH.TREG.QLTE.T.

Cadastre <*>«** * m* • ^ : Sections) et parcelles) : ....ZH..-:.par£elle.B.° .75-C,

Observations:

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 1020 O Malestroit 1996

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X= 1 21 31 81 . 12 12101 x> Y» Xb Yb Y- ,213|1|4|.[T1TEH Xc Yc X4 Y4 Rayon du site (mètres) : £T J5j| m Xm Y*

Circonstances de la découverte : ..Stads.iiu,cadasta.anfiisrj.^^^^ a été démembrée de Molac et érigée en commune en 1932. Techniques de repérage : ...prQspeC.tion;a.U.SQl Ilnformateur : .

Description des vestiges : „Le.sit&.esLioslaué.sui:.k^ „dè^.l327.Jd.s!agit.dlu&.site.f^^

Etat de conservation : ..May.en-.LfiS.derm^ détruits pour récupérer les matériaux et le terrain a été entièrement nivelé. Eléments de datation :

Chronologie proposée : ..p.éxiQde.médiév.ale.eLmodejcne.(.XIIe.T.XyjIIe.siècle)

Mobilier Oui [><[] Non Q Lieu de conservation : ...dépôl.aichéo.logique.duMorbjjian.-..5.6ÛÛQ.Van.nes.

Documentation :

Bibliographie : ■

CACRE R6SCRVC CELLULE CASTE AUCXOLOGMLe N* de site attribué | j | 1111 MM Code AP / AH I 1 1

N* d'enregistrement DRACAR Modification

cadastre ancien de Molac (1823) section G dite de Tregouet 2ème feuille

Cadastre ancien et clichés photographiques (réalisés le 6/12/2008). LOCMARIA-GRAND-CHAMP - Le château de Coëtcandec Localisation du site (cercle rouge) sur la carte IGN (0920 O : Elven ouest - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (cercle blanc) (logiciel photoexplorer 1999 - éch. l/5000ème) r Déclaration de découverte archéologique Annexe t.,

.Service Régional de r Archéologie de 8retagoe M du 0*ptt«. 3S0« ««XB CtOt*.

3 Première mention : Données complémentaires . Année première mention =

Nature de ropération = .pro§p,ecttQn..in.Y.en.tajxs Année = 2 0 0 8

Responsable = Alain.Tlis.te... Organisme = .C.E.RAM..

Département : MORBIHAN. Commune = XQCMARIA.GRAjNiJJ.CHAMF.. (n° INSEE : 56 115) Lieu-dit ( du Cadastre) : CO.E.T.CANDJEC

Lieu-dit (de ri.G.N.) : .....COETCAMXEC Nom du site : .XE. CHATEAU.DE.C.OETCAÎiDE.C..

..ZB .Jl Cadastre <*• ttnun >m > jw : Sections) et parcelles) : ..-..parcelle .°..113.Jb^.C.fit.d..

Observations : ..

Carte l.G.N. Numéro Nom Année o* édition 0920 O Eiven - ouest 1979

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centresite: X= 1 21 11 61 . \ 61 41 01 Y* Xb Yo • Y- 121312121.1210101 Xc Y« Xd Yd Rayon du site (mètres) : 9TÔ1m Xm Y«

Circonstances de ta découverte : „

Techniques de repérage : ..,pr.ospectian!aii.SQ.L Ilnformateur :

Description des vestiges :Le.cMteau.aampL^e.me.i^ £û§?,é.s,..Ç.sr^ N.-E), ..k4.Eâdî.Ç.lâ.Bl.ys.ancienn^ date.du.Ji£.siècla.etJii ..l&e.^àçJ,e„JL^.foçâii£.E Etat de conservation : MauYais..(.abarîd.Qnné.dep.uis J5.65Xs.e.dé.graa^..prQgxessiy.ement... Eléments de datation : '.

Chronologie proposée : ..p.é.rio.de.mé.di^ siècle)

Mobilier OuiQ] Non^| Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CADRE RÉSERVE CELLULE CARTE ARCHÉOLOGIQUE.

N* de site attribué | | | | | [ | 1 I I [ Code AP / AH | 1 1

N* cfenregistrement DRACAR Modification

Vue du château de Coëtcandec depuis le nord.

LOCMARIA - GRANDCHAMP - Le château de Coëtcandec Deux vues de l'état actuel du château. LOCMARIA-GRAND-CHAMP - Le pont du Loc'h Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0920 O : Elven ouest - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (cercle blanc) (logiciel photoexplorer 1999 - éch. l/5000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe I..

«Service Régional de l'Archéologie de Bretagne 4» n-t 4u C^pflsr e, terwi Cedex.

Première mention = ^ Données ccmp»émentaires= Année première mention = □

Année = 2|0 10| 8 Nature de ropération = pi95p.6CtiQJl.iny.eataîie

Responsable = Alaia.Tiis.te. , Organisme = .CE.JR_A.M_

Département : MORBIHAN. Commune = LQCj\IAJ^4.GRAIffi.CHMïP.. (n° ENSEE : 56 115) Lieu-dit ( du Cadastre) : LE PONXÛILL.O.CI1..QLJ1SI

Lieu-dit (de n.G.N.) : ...XE.P.QN.T..D.U.LO.C.'H.

Nom du site : ...LE.P.QJN.T..D.L. LO.CH.QLUSX

Cadastre (**^ * **« » j_un : Section/s) et parcelie

Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 0920 O Eh en - Ouest 1979

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Y» Centre site: X= 1 21 11 51 . I 21 51 01 X* Xb Yl> Y= I2131 2111. 1 llOlOj Xe Y* » Y* Y» Rayon du site (mètres) : | 21 2 m

Circonstances de la découverte : ..„QgieieLphûtfXXploi£I.M^

Techniques de repérage : ...pr.ospectioniau.sol

Ilnformateur : „

Description des vestiges : „.£riçio.S..£kc.ul^ ..Mgère.émin^ ..skU&.SQimu.n^ être d'une motte castrale. , Etat de conservation : Mo.y.en.(.parceIle..en..prairiÊ.) ■

Eléments de datation : ...aucun

Chronologie proposée :.. radé.tercnjnie.

Mobilier Oui Q Non p*Ç] Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CAÛRE RÊSCRVÉ C&.IU.É CA«xt wjo-cotcoo-ç.

N* de site attribué 1 1 | I I I I 1111 Code AP / AH I I I

N* d'enregistrement DRACAR Modification [^} LOCMARIA GRANDCHAMP Le pont du Loch ouest cadastre actuel section ZN parcelle n° 93 cercle noir : enclos visible sur cliché aérien MARZAN - Le Guérie Localisation des découvertes (en rouge) sur la carte IGN (1022 OT - La Roche-Bernard - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe I.»

.Service Régional de rArchéologie de Bretagne «. mm du Omettre. ÏSO« Ctdtx.

Première mention = |^| Données comptémentaires= Année première mention = [ | [

Année « j 2 | 0 | 0 | 8] Nature de rooération = .p.TOSp.6Ctioaiav.en.taiie

Responsable = Alaitt.Triste. Organisme = .C.E.R-AJVL

Département : MORBIHAN- Commune - MAJBZAN.Xn?..INSEE..:.56.12.6).

Lieu-dit (du Cadastre) : LA LANDE DE IABAUCHE.IIl'.ARZAL

Lieu-dit (de n.G.N.) : ...XE..GUERIC Nom du site. . EE.G.LERIC r. LA.L^

Cadastre <* n» > pin Section(s) et parceUe

Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 1022 OT La Roche-Bernard 1991

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X* MM . I 1 I I Xi Y» Xb Yb M i i i.cm Xc Ve X4 Y» Rayon du site (mètres) m Xm Y.

Circonstances de la découverte : „ _,

Techniques de repérage : ...décGuverteiartui.te.. (Informateur :

..hach.e^..Quicagmeats.d6.haches.poJies.. Etat de conservation :

Eléments de datation : ....ohje.tS.mis.iiU.jo.ur. ....

Chronologie proposée : ...paléolitJiiq.uerJiéoliM^ Mobilier Oui (><[| Non Q Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CAME Resenve ctum.. OME «e»«oi.0Gioue

N*desHeattribué 1 1 I I I I I I I I I CodeAP/AH | | |

N* d'enregistrement DRACAR 1111 Modification cadastre actuel - section YB - parcelles n° 45, 63 et 64. Cercle rouge : emplacement des découvertes (les chiffres renvoient à la planche de photographies des objets)

MARZAN - château de risle Localisation du site (ovale noir et rouge) sur la carte IGN (1022 OT - La Roche-Bernard - Parc naturel régional de Brière - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (en blanc) (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe !..

«Service Régional de fArchéologie de 8retagne 4,

Première mention = ^ Données complémentaires2 Année première mention =

Année = 0 0 8 Nature de ropération = piospectim-inventaixe

Responsable = Akin.Irjste.. Organisme = C.EJLAJVL

Département : M.QRBIHA.N Commune = ....^XARZAN.^°MSEjE,;..5„6.116}^.,

Lieu-dit ( du Cadastre) :. ...XHATEAU.J)E.L:ISLE : :

Lieu-dit (ce H.G.N.) : ...OLITEAII.JÎE.L'.ISLE. , Nom du site : ....CEAIEAU REXIISLE

( Cadastre «V tmniin nu > joun 2 | 0| 0| 8~] Sectfon(s) et parcelles) : ....ZW.r..par.celies.û. ?..7û.et.7I

Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 1022 OT La Roche-Bernard - Parc naturel régional de Brière 1991

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X= {2 I 41 7 i . I 1 I 7 I 01 x» Y« Xb Tb Y- j 2|2I9|0 <. il 1810 } Xc Ye M . j Yd r« Rayon du site (mètres) : : Tffî] Xa j

Circonstances de !a découverte : _ „ _ Techniques de repérage : ....pX0S.pe.Ç.tm^ très.de.nse.).. Ilnformateuf : ,

Description des vestiges : La.siie.ûccupeauiipeio.u.de.2^ •• Deuxlarges.£i.pj£fQ.n^ des.jj^es.de.hâriments..En.aiin^^ Etat de conservation : Moyen. Eléments de datation :

Chronologie proposée : ...pMQde.jmé.diàv.ate.(XÏÏ^^

Mobilier Oui Non | j Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CAORE RCSCRVE ctume CARTE ARoeo<.cxvoje.

N* de site attribué | | I 1111 1111 Code AP / AH 1 1 1

N* d'enregistrement DRACAR i 1 1 1 Modification

MARZAN - chapelle saint-André Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (1021 E - Allaire éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème). Déclaration de découverte archéologique Annexe i..

-«Service Régional de (Archéologie de Bretagne ■«. M «i due**, asm K«™«r« CtOtl

2 Première mention = ^ Données complémentaires Année première mention =

Année = 2 0 0 8 Nature de Fopération = piDiipeclioJi.inveiitairs.

Responsable = Akin.XoSte. Organisme = C.EJLA.M

Département : MQRBfflA.N commune = ... MARMN.(alINSEE..;.5£126.)..

Lieu-dit ( du Cadastre) : CHAP.ELJJ£.SAX^1TANI)JRE

Lieu-dit (de tï.G.N.) : ...C.KAPEIJLJLSA

Nom du site : XHAPEIXE.5Am.X-AjNIXRE

Cadastre *■ »*• > jsu-i : 2 0 0 8 Section

Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d* édition 1021 E Allaire 1993

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site: X= 12|5|01 , j3l4j 5| XJ y» Xb ra Xc T« Y- |2|2 9 | |jj,[ni]Zl X4 Y* Ym Rayon du site (mètres) un m Xm

Circonstances de la découverte : .étude.du.C^a_dJ£_arj^^ (section F dite de Ténurien 2ème feuille) Techniques de repérage : .p.r.QSp.ectiQn.àn..S.Qj.

Ilnformateur :.

Description des vestiges : ruinej-.d„une.e]-apelle.q^ .par..raprx>rt.aw.t^ain.«n.vif^^ Ia.femie,— -

Etat de conservation : ..Moyen

Eléments de datation : ..aucun

Chronologie proposée : péxiode.médiévaie.(hautMo.y£nAge.peut-être en. .raison de. La .présence de sarcophages)

Mobilier Oui { | Non 1 ] Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie : ,

CAORE Reseuve CELLULE CARTE ARO^OLCGWUE

N* de sHe attribué | 1 | 1 i i j 1 1 | | Code AP / AH | 1 |

N* cfenregistrement DRACAR j |_ Modification

Cadastre ancien de Marzan - 1834 - section F dite de Ténurien, 2ème feuille.

MARZAN - Chapelle Saint-André Cadastre ancien de 1834. Epoque mérovingienne.

§ I. — Sarcophages en pierre à Kerjean.

Au village de Kerjean, à l'est du bourg, « dans un terrain « inculte, on voit plusieurs cercueils de pierre qui affleurent « le sol, et qui indiquent què des recherches dans cet endroit « en feraient découvrir beaucoup d'autres. La tradition du

AVENEAU DE LA GRANCIERE (P.), "La région de la Roche-Bernard aux époques préromaine, gallo-romaine et mérovingienne ".Extrait du bulletin archéologique de l'Association Bretonne, congrès de la Roche-Bernard, 1903, p. 17.

— M. le Président demande si la découverte des sarcophages de Marzan a été enregistrée dans notre Bulletin ? Ces sarcophages, au. nombre de quatre, ont été trouvés dans un champ situé entre te village de Kerjean et la ferme de Sainl-André, à un kilomètre environ du bourg et à quelques centaines de mètres du château de Marzan. Trois étaient intacts, le quatrième brisé ; aucun n'avait de eouverele. ' En granit, sans aucune gravure, ils mesuraient ln!, 80 de longueur — m m ra 0 , 60 de largeur à !a tête et 0 , 30'au pied — et 0 ? 30 de profondeur.

Bulletin de la société polymatiiique du Morbihan, 1923, p. v. 7.

Plusieurs sarcophages de granité affleurant du sol furent exhumés au XTXèrne siècle dans un champ situé entre Kerjean et le village de St-André, à quelques centaines de mètres du château de Marzan, datant du XLXème siècle. Dépourvus de couvercle, ils mesuraient en moyenne 1,80 m de longueur, 0,60 m de largeur (à la tête), 0,30 m (au pied), et étaient profonds de 0,30 m; un panneau de tête, ramassé sur le site, montre une amorce I de logette céphaloïde, marquée par au moins un bour- relet. On prétendait que ce lieu avait été un cimetière public. Cet endroit, un promontoire délimité par la Vilaine et un petit affluent, dit «La Cour de Marzan», pourrait être un site de hauteur occupé durant le haut Moyen Age; la nécropole, la dédicace à saint André du heu de culte voisin, sont des indices pour penser à une christianisation ancienne (Aveneau de la Grancière, 1903,17; Bulletin de la Société polymathique du Morbi- han, 1923, p.-v., 7; Cayot-Delandre, 1847, 271; Guyot- Jomard, 1862, 227; Le Méné, 1891, 1.1, 509; Marsille, 1935,19; Rosenzweig, 1863, col. 207; Rosenzweig, 1867, 3). GUIGON (P.), Les sépultures du Haut Moyen-Age en Bretagne, ICB - CeRAA, 1994, p. 79.

MARZAN - La chapelle Saint-André Sources bibliographiques. ."237 4V :IJ3S:I)IWI?J|I/C(I /. , j 238 JO I' 4

Copyright IGN ■ Projection Lambert II étendu / NTF I 500 m |

MUZILLAC - Château de Pen-Mur Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (1021 O - Questembert / - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe !..

Service Régional de TArchéologie de Bretagne «. M <*i Cfcapfe*. ÎSO« C «4M.

Première mention = ^ Données complémentaires3 Année première mention

Année = 2 0 0 8 Nature de ropération = piQSpeclim.iByentaire.

Responsable = .„ Alain.Iriste. Organisme = CEKAM

commune = .MTIZILLAC.Xn0..INSEE..;..$6. .143). Département : MORBIHAN Lieu^ît (du Cadastre) : ..CHATEAU..DE.EEJM.MIIBL

Lieu-dit (ce H.G.N.) : ..CH VIl^U DE fit>i.-\II.Ji... Nom du site : ...CJBL4XEAU.nE.PJEN.MKR

Sections) et parcelle.8.7.,.257 Cadastre pin : 2 0 0 8 2.7.8,.279,.281,.285 Observations : Année d'édition Carte I.G.N Numéro Nom 1021 OT Uuestembert - Damgan 1991

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Y« CentresHe: X= \1\1\6\ . 17)8101 x> j Xb Yb Xe Ye Y - m^m.Emu X4 Y4 Km r« j Rayon du site (mètres) : \ 4"' TT\ m

Circonstances de la découverte : ..manrjxait.a?..13.8..de.l^s^ Techniques de repérage :

Ilnformateur :

Description des vestiges :Lur^.d£s.fauilles^exs.l&5iL^é^^ ..appartmant.au.cr^^ .xtePrières... - Etat de conservation : ....Moyen.

Eléments de datation : ...aucun

Chronologie proposée : ..pé.riQ.de„mé.di^

Mobilier Oui £ Non { ) Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie : , ■

CADRE Reseuve cs.iu.e c**ri A*cxcxocxxe N* de site attribué I 1 I 1 I i I Mil Code AP/AH I I I

N* rfenregistrement DRACAR Modification Q

MUZILLAC- Château de Pen Mur Archives de la société polymathique du Morbihan - manuscrit n° 138 Vestiges de construction dégagés en 1858. / ûui- du, Çt>uA*t*¥

MUZELLAC - Château de Pen Mur Archives de la société polymathique du Morbihan - manuscrit n° 138 Vestiges de construction dégagés en 1858. MUZILLAC - Château de Pen Mur Archives de la société polymathique du Morbihan - manuscrit n° 138 Vestiges de construction dégagés en 1858. MUZILLAC - Château de Pen Mur- Archives inédites de l'abbé Piédérrière - 10 juillet 1858 Les abords de la petite ville de Muzillae sont pleins de souve- nirs. Il y a là, auprès de l'étang de Penmeur, le lieu où s'élevait la Chambre des comptes de Bretagne, qui eut son siège à Mu- zillae pendant plusieurs siècles. A quelques pas plus loin, on vous montre l'emplacement d'un beau tumulus que le proprié- taire du terrain a fait raser il y a peu d'années. Plus loin encore, Ruines du château de Penmeur. Substructions mises et sur le bord de l'étang, se trouve un retranchement presque récemment à découvert lors de la nouvelle construc- circulaire -, il est la propriété de M. Bézard, juge de paix de Mu- tion élevée par le propriétaire, M. Burgault. (Voir aux zillae, qui eut l'extrême obligeance de m'accompagner dans l'ex- archives de la Société le mémoire de M. l'abbé Piédér- rière, accompagné de quatre dessins de MM. Marquer ploration de son canton. Ce retranchement est placé sur la pente et Bézard, octobre 1858; et chez M. Burgault, plu- d'un coteau d'où l'on plonge sur ce vaste et sinueux étang. Plus sieurs objeis enfer, mors, boucle, armes, serrure, ainsi au nord, et sur la rive opposée, on voit quelques restes de ma- que des boulets de pierre et quelques pièces de mon- çonneries, derniers vestiges du château de.Penmeur, forteresse naie; autres objets divers chez M. Bézard.) Ce château, qui avait succédé sans doute à un retranchement ro- féodale qui avait probablement succédé à un camp romain ; car l'emplacement qu'il occupait était admirablement choisi pour sur- main , semble avoir été détruit lui-même par un incen- die , à une époque qu'on ne peut fixer.— veiller la voie de Nantes à Vannes, qui passe à peu de distance de ce point. C'est au château de Penmeur que furent détenus quel- ques-uns des étages donnés par Charles de Blois à Jean de Mont- fort , lors du traité d'Evran , en 1363 , ainsi qu'on le voit dans Vllistoire de Jean IV, rimée par maitre Guillaume de Saint- André , et insérée aux Preuves de Lobineau.

CAYOT-DELANDRE, Le Morbihan, son Histoire, ses monuments, 1847, p. 2117. ROSENZWEIG (L.), Répertoire archéologique du Morbihan, . : 1863, p. 193-194. § III. — Penrne

Le château de Penmeur, berceau de la famille de ce nom(l), était construit sur une langue de terre qui s'avance dans rëtang;de Penmeur.-Voici.ce-qu'en dit Ogée : « En 1290, ■i existait encore dans le territoire de Mussilac le château de

(t) vivait en 1252, Roland en 1266,. 1274', 127-7,'et 1281. — JTest à Penmeur que furent détenus quelques-uns des otages, donnés en 1565 .par Charles de Blois à Tean de Monfdrt, lors du " traite- d'Evran (Dom LOBINEAU. Preuves, t. ll, p.518. — Chanoine.-LE MENÉ, t. II, p. 27. — CAYOT-DÉLANDRE, : P- 227). . " C'est une preuve que la place était forte et, de plus, qu'elle était confortable, étant donné:l'importance des. personnages qui appartenaient a de puissantes- maisons bretonnes. . : . -"- ." (2) « Un aveu de l'abbaye de Prières, datant du xv» siècle, ll96, donne sur le château de Penmeur le renseignement qu'il est détruit et que les ruines appartiennent à l'abbaye. On sait que bon nombre de forteresses furent abat- tues à l'occasion du mariage d'Anne "d e Bretagne et de Charles VIII ; cependant des traces "évidentes d'incendie ont' été remarquées et feraient croire à la des-

AVENEAU DE LA GRANCIERE (P.), "La région de la Roche-Bernard aux époques préromaine, gallo-romaine et mérovingienne", Extrait du bulletin archéologique de l'Association Bretonne, congrès de la Roche-Bernard, 1903, p. 41.

MUZILLAC - Le château de Pen-Mur I[Sources bibliographiques L'autre terre noble notable de Muzillac est la terre de Penmur. Voici ce que dit l'Abbé Piederrière, historien local, recteur de Noyal-Muzillac dans la deuxième partie du XLXème siècle. Je me permets d'y ajouter quelques notes que l'abbé me semble ne pas avoir vues.

LE CHÂTEAU DE PENMUR

" Dans le dictionnaire d'Ogée, à l'article Bourgpaul Musillac, on lit de qui suit sur le château de Penmur : " En 1290 existait encore sur le territoire de Muizillac le château de Penmur situé sur une pointe de terre avancée sur l'estang du même nom. Sa situation avantageuse sur un rocher escarpé, environné d'un étang large et profond, où la mer montait alors, son entrée d'environ 80 pieds de large rendoient cette place une des plus sures et des plus fortes de Bretagne. On n'y voit plus que des ruines, avec quelques souterrains presque comblés. On ne sait rien de positif sur le temps où il fut construit. Il est à croire qu'il fut bâti par les Romains. Ce qui le fait soupçonner, c'est le chemin tracé par cette nation, qui vient du château de Gavre, et se rend à Muzillac, Penmur et Vannes, par Pont-Château, le Château de l'Isle, le territoire d'Anal et la marais de Trégrehenne. Le chemin paraît presque sans interruption depuis Vannes jusqu'à Gavre, où l'on prend ses traces, que l'on ne retrouve plus que dans la forêt du Cellier et dans le territoire de Couffé, dans une étendue peu considérable; là se perd tout à fait sa direction. Cette seigneurie de Penmur appartient aujourd'hui à l'Abbaye de Prières (écrit vers 1780) à qui elle fut donnée par le Duc Jean Le Roux, fondateur de cette communauté. " Tel est l'article d'Ogée sur le château de Penmur. Ses continuateurs dans la nouvelle édition disent du dictionnaire, avec raison, qu'Ogée dit des choses peu exactes relativement à la voie romaine qui passe à un kilomètre et demi environ au nord des ruines en question. Monsieur Bizeul l'a bien mieux suivie, et comme les mêmes continuateurs ajoutent qu'il y avait au XILTème siècle des seigneurs de Penmur, et cela est bien vrai; aussi Ogée est dans l'erreur quand il affirme que Jean Le Roux, Duc de Bretagne et fondateur de Prières donnât à cette communauté la seigneurie de Penmur, attendu qu'il n'en était pas possesseur et que cette donation n'eut lieu que plus tard, je ne sais par qui, ni à quelle époque.(l) Comme Ogée je croirais volontiers que les romains avaient profité de la belle situation de Penmur située non loin de leur voie et dans un pays qu'ils possédèrent longtemps, comme le prouvent les ruines si nombreuses que l'on trouve partout, et qui consistent, non seulement en briques à rebords, constructions à petit appareil,

(l)Dans la liasse 3H8 des Archives départementales du Morbihan, j'ai relevé : " Le 2 mai 1460, François IL Duc de Bretagne, donne à l'Abbave de Prières : l'enclos de Penmur. les moulms. les prairies jusqu'au pont Saint-Yves, et la Prée que l'on appelle de Madame, et cela en échange de 200 livres de rente à rabattre sur les 250 qu'il payait sur la recette de Musuillac. Le Duc permit de construire deux métairies qui seront exemptes de tout tribu et de construire un ou plusieurs moulins à van...etc mais encore, médailles et monnaies à l'éffigie de leurs Empereurs et de leurs Dieux. Néanmoins, sur la pointe de Penmur elle-même, on n'a encore rien trouvé qui rappelle directement et incontestablement le souvenir et le passage des Romains. " - A^bj P. « «*»ct»M ^ A la suite de quoi l'Abbé se lance dans une tentative d'explication du sens étymologique du toponyme, genre d'exercice délicat, qui en général ne satisfait personne et donne naissance à des contradictions souvent farfelues. Qui étaient donc ses seigneurs de Penmur? Les premières preuves de leur existance nous sont données par les actes de fondation de l'Abbaye de Prières, Dom Lobineau nous dit à peu près ceci : - " ...Nous Jean, Duc de Bretagne, savoir faisons qu'ayant fondé en l'honneur du Dieu tout puissant de la glorieuse vierge Marie et de tous les Saints, une abbaye de l'ordre de Citeaux, du nom de Prières, dans la paroisse de Bêler (), près de la mer, nous voulons constituer une rente perpétuelle pour l'entretien de l'église de ladite abbaye et les frères qui doivent la désservir, et à cet effet nous donnons et assignons les terres et possessions et droits qui suivent : - La propriété de Bagan, sur laquelle est placée l'abbaye et que nous avons acquise par échange d'avec Pierre de Muzillac, milite (chevalier). - La propriété de Brébaudien que nous avons achetée d'avec Guillaume de Bignon ? - La propriété du Loue, que nous avons achetée d'avec Josselin de Penmur. - Le passage de la Rochebernard, que nous avons achetée de Guillaume de la Roche. Donné au mois de Novembre 1252 "

Dans le testament de Jean fi, Duc de Bretagne, en 1302, nous retrouvons une référence à Penmur : Le Duc lègue " L livres à Lorriz, châtelain de Penmur ". Dans un autre article donné par Dom Lobineau, nous relevons : - " Tous les meubles et joyaux, que le Duc destinait pour l'exécution de ce testament étaient en partie à la Tour Neuve du château de Nantes, et le reste à Scucinio. On fit la visite de ce qui était à Nantes huit ou neuf mois après, en présence de Jean Le Maure, de Jacques de Saint Loup, de Guillaume de Montauban, de Remond du Chastel et deBertrand de Penmur. Dom Lobineau écrit encore : " Jean II n'oublia pas les officiers de sa Maison dans son acte de dernière volonté... " Il cite, parmi beaucoup d'autres : Guillaume de Penmur. Nous retrouvons Penmur mis en évidence quelques décennies plus tard lors du conflit fraticide qui oppose Montfort et Blois. Le Roi de Jean II Le Bon, et celui d'Angleterre Edouard III, signèrent en 1360 un traité de paix, dans lequel ils

Et pour mieux la chose afermer Il convient ostages bailler Pour mieux faire tenir la chose Mais qu'en que fut dire je n'ose Car il vaut mieux d'assez se taire Qu'entamer douloureuse matere Charles bailla es mains Jehan Premier le Vicomte de Rohan, Léon, & Rays, & Malestroit Qui furent tenus à destroit, Rochefort, Rieux, & Chatillon, Et Beaumanoir le bon Baron, Et quatr'autres de bon estât Furent baillés sans nul débat. Ceux furent gardez bien assur En Guerrande et Penmur. Doze en yot tous d'une route De place notable en nul doute

Ce que ne nous dit pas De Saint André, est la destination de chaque illustre prisonnier. Qui logeait à Guérande, qui logeait à Penmur? Nous l'ignorons. L'héritière Jeanne de Penthièvre, réagit très mal lorsque lui parvient les termes du traité signé en 1363 par son mari. Pour elle il n'était pas question qu'on la dépouille de la moitié de son héritage. La guerre reprit. Revenons à Penmur, en 1363 la terre de Penmur appartenait-elle encore à un seigneur ? Les deux prétentants auraient-ils pris le risque de confier de tels otages à un hobereau. Le seul fait que le site présentait une défense naturelle exceptionnelle ne me semble pas suffisant. Tout porte à croire que Penmur était à cette date une possession du Duc. D'ailleurs un acte du 8 octobre 1343, établi à Jugon, par Jeanne de Penthièvre, qui est une donation viagère à Charles de Blois, dans laquelle elle s'oblige, elle, ses hoirs, ses successeurs audit Duché etc.. pour ses biens du Brouareuc. vers la fin de l'acte il est dit : - "... ge oblige moy, mes hoirs, mes successeurs u dit duchie e touz mes biens meubles et non meubles presenz et avenir en quelque lieu estanz et a tout ce que parsouzmet des choses dessusdite suspeinne et à peinne de mes chastellenyes de : Susceniou, de Banastier (Banastère), de Pemur (Penmur), de Lille (l'isle), Lille de Rhuys, la ville et la chastellenie de Venues, et les seneschaussees de Ploermel et de Brouareuc, ensemble avec touz ces droiz, destroiz, feautez, hommages, hautes et basses seignouries, feuz nobles et non noble ou roturier, fammes?, drois, o les villes, chasteaulx, manoeir, forez, boez, estanz, eues, moulins, fours, salines, emulumenz, rachaz...etc..(M.Jones - Actes de Charles de Blois et Jeanne de penthièvre). Donc on peut dire que Penmur, appartenait au XUIème siècle à un seigneur local, nous avons fait connaissance de Josselin, Lorriz, Bertrand et Guillaume de Penmur. A la mort de Jean LT en 1305, plus de référence à un seigneur de Penmur. La terre de Muzillac venait d'être faite terre Ducale par Jean 1er le Roux vers 1250/1260. Jean II qui lui succède en 1289, aménage sa nouvelle terre. Arthur II, fils de Jean fi eut un règne très court (1305-1312), ses deux mariages avec 1/ La comtesse de Limoges et 21 Yolande de Dreux allaient être à l'origine de cette déplorable guerre de succession. Du 1er mariage naquirent : Jean LU, Guy et Pierre. Pierre meurt sans hoir. Guy se marie avec l'unique héritière des Penthièvre duquel maraiage naitra : Jeanne de Penthièvre. Du second mariage avec Yolande de Dreux, comtesse de Montfort-l'Amaury nait Jean de Montfort Ce sont ces deux personnages qui vont se disputer l'héritage de Jean III mort sans hoir. C'est durant cette période incertaine que Penmur revient au Duc? Jeanne de Penthièvre nous le confirme par son acte ci-dessus, mais comment?

En conclusion nous pouvons avancer qu'il existait une famille noble du nom de Penmur jusqu'en 1341, date de la mort du Duc Jean III. Ensuite la terre de Penmur est ducale jusqu'au 2 mai 1460, date à laquelle le Duc François II donne Penmur aux moines de Prières qui conservent le bien jusqu'à la Révolution. MUZILLAC - Toul Coquenn, Coëtsurho 3 et Kerantré Localisation des trois sites (en rouge) sur la carte IGN (1022 OT - La Roche-Bernard - parc naturel régional de Brière - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème). Déclaration de découverte archéologique Annexe

Service Régional de rArchéologie de Bretagne 4. AJ Chapitre. iSO*4 «ta™ C«*M.

Première mention « Données complémentaires9 Armée première mention ÏÏTj

Année* |2 j 0 j 0 | 8 Nature de retperation ■ praspecticm.ijiventaire.

Responsable = Alamlrisla., Organisme - C.E,P>..A.M..,

0 Département : MORBIHAN commune « MJIZILLAC,(tt ..INS.i;K..;..56..143).

Lieu-dit ( du Cadastre) : ..TQUL.GQQUENN Lieu-dii (de H.G.N.) : ..TQU.L.CO.Q.UENN..... Nom du site : ..XQIXL.C.QQUHNjS

Cadastre (*»>*« 4t*nMr*i>*MtjMi: 1 2 | 0| 0| §1 Sections)etparcelle

Carte I.G.N. Numéro Nom Année rf édition 1022 OT La Roche-Bernard - parc naturel régional de Brière 1991

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre sfte: X= 1 2 1 3 | *>1 . X» V» Xb Tb Xs Y« Y- iZIZLin] • CLTETZ1 X4 Y* r» Rayon du site (mètres) : [ \" )'T \ ft | m X.

Circonstances de la découverte : .„labo.urs.„

Techniques de repérage : .pr0Spec.timau.S0l. (Informateur : .....M*AuiM.TjÀb.alUet

Description des vestiges : ...gm?..bIge;Lde4M à.uii£xanceflu:alian.as^z.de

Etat de conservation : ...Moyen Eléments de datation : ,.Ç£Kuiu\que.j^ à pâtehlanche)..

Chronologie proposée : XIYe..T.XVe..siècle

Mobilier Oui^J NonQ Lieu de conservation : ..dépQt.arcMolQgi.que..du.M^

Documentation :

Bibliographie :

CAORE REsenve COUAC CARTE Mcxoioaiaue.

N* de site attribué I 1 I I ! I I I I I I Code AP / AH U_l

N* d'enregistrement DRACAR I 1 I I I Modification □

Déclaration de découverte archéologique Annexe I.»

w Service Régional de rArchéologie de Bretagne

Première mention = Données complémentaires» Année première mention * mm Année « \l | 0 10 1 8 Nature de ropération = praspectian.invenuiLr£L Responsable = AkjjQ.Iostfi. Organisme =...

Département : MQ.RBJHAN. Commune = 3.tl./JLIACj(tt0.J^S.E]lv.;..5.LÎ.43).

Lieu-d» ( du Cadastre) : ...C.QEISURHO,

Lieu-dit (de n.G.N.) : ...C.QE1SUKHQ Nom du site : COEXSU.RHOJ

Cadastre ******■*«»>«i: 2 01 0j 8] SecUon(s) et parcelle{s) : jL^..T..parcelle&.tt?..6..et58..

Observations : ~~

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 1Ô22 Ôï La Roche-Bernard - parc naturel régional de Brière 1991

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site: X= |213|9| , [TUTT] x» Y* Xtt Yh Y= 12 12|S 19{.17 17 10 1 Xc Ye X4 « Rayon du site (mètres) : | \" \T\'5\ m X« Y*

Circonstances de la découverte : ...trayâU&.agaCQteS„

Techniques de repérage : .pxo.&pe.C.tijaàau.Sûl

informateur : ....M>.AMœ JrihalUer.

.AxtQtei:.au^.d£S.JGi:agrr^

Etat de conservation : ...Mfly.en... Eléments de datation : .cirarmque.mMéYak^ blanche)., denier du duc de Bretagne Jean 1er le Roux Chronologie proposée : .ûaXUIe.au.Xy&siid.e

Mobilier Oui[X] Non| j Lieu de conservation : ...dép.Qt.ar.çMQlogique.4u.MoA^

Documentation :

Bibliographie: ■ •■•

CMME REsenve ceuuus CAKIÎ «icxtxooxt

N* de site attribué I I 1 11(1 I I I 1 Code AP/AH

N# d'enregistrement DRACAR 111111 Modification

Déclaration de découverte archéologique Annexe !..

«Service Régional de rArchéologte de Bretagne «. M du Qv»p»

Première mention = ^ Données complémentaires3 Année première mention

Année = 2 0 0 8 Nature de ropéraubn = piûspeclian.inveûtaire

Responsable = Alairt.Xrisle Organisme = CE.B..A.M,

Département : MORBIHAN commune = ..M.UZILLAC./n0..IKS.M..;.56 143). Lieu-dit (du Cadastre) : KERANIRE

Lieu-dit (de IÏ.G.N.) : KERAN.TRE... Nom du site : JEŒRAN.TRE

Cadastre (*«<*« *. **w*r» «m > joui 2 0 0 8 Sections) et parcelles) : ...... AV-..pax.ceUes.n° .69, J.Q.et„79

Observations ; ~ ,

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 1022 OT La Roche-Bernard - parc naturel régional de Brière 1991

Coordonnées Lambert Zone : □ Contours Centre site : HIDO . cnnu X* Y» Xh Yb Xc Y« XI VU Rayon du site (mètres) : I I 12 |0 jm X. Y»

circonstances de la découverte : ..LabauxaJ.fûssés..de.diaiuage Techniques de repérage : .pXQSpS.Ç.tlah.au.5ûl , informateur : M..Atidxé..Irihallier. ; Description des vestiges : ...mçl.lonç,.^fi$.biQ^^ àraaibriexmceiittatiua..d£.^ trauve.4ins..foirtam«....

Etat de conservation : ...Mûy.en.

Eléments de datation : „..Q.ér.aMqtte.m£diéyal&^ céramique moderne Chronologie proposée: XIYe..T.XY£..siècle.(po.ur.l^

Mobilier 0UIL

Documentation :

Bibliographie :

CADRE RÉSERVE CEUU.E CARTE AACXOCOG*CL^.

N* de site attribué | 1 1 | 1 [ | 1111 Code AP / AH

N* d'enregistrement DRACAR Modification MUZILLAC - Kerantré Cadastre actuel - section AV parcelles n° 69, 70 et 79.

Zone hachurée : matériaux de construction et céramiques médiévales Trait rouge : fossé livrant des tessons de céramiques médiévales et modernes y i \ 7 i \ 007 # \ 008

MUZILLAC - Kerantré - section AV : parcelles 69 et 79. 001 à 004 : céramiques à pâte blanche ; 005 à 011 : céramiques de Saint-Jean-la-Poterie (XIVe - XVe siècles). PEAULE - Le Boceno Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (1021 E - Allaire - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/5000ème). Déclaration de découverte archéologique Annexe I.»

AMOIMNService Régional de rArchéologie de Bretagne

Première mention = Données c^rjJérnentaires= Année première mention =

Année * 2 0 0 8 Nature oe ropération = .piQsp.ectiQEin.v.entaire

Responsable ...AAam.Tiis.te.. Organisme = .C-E.R.A.M,.

Département : ...... MORBIHAN Commune = P.EAllLK.(,nlMSJEE..;..5.053)...

Lieu-dit (du Cadastre) : ..XE.JS.Q.CEN.O. Lieu-dit (de D.G.N.) : LE. .BQSS.EMQ. Nom du site : ...lJLB.O.Cr^Q4t^Qayme.aûjà£^ .

Cadastre iAm*e *t »

Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 1021 Ë Allaire 1993

1

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site: X= | 2 |4 | 6 j . 1 8j 8j 01 X* Y» Xb Tb • Xc Yc X4 Y4 Rayon du site (mètres) : | j j 2* "Ô"*| m Xm Y»

Circonstances de ta découverte : ..améjaager^jiLdlm Techniques de repérage : ....pmspec.tioji.au.Sol Ilnformateur : Description des vestiges : .„.QisçmejrJ;.a§^ .par£eU\e..yL..T.15.5...D^ ..appar.aj^akat.d£^ Etat de conservation : ...Mo.y.e.a Eléments de datation : ...ÇSiarjxique.GQmm^

Chronologie proposée : ..pMo.de.galio.-XOXrtaip,e.

Mobilier Oui[X] NonQ Ueu de conservation : ..Dé^Pl^cMQlogiqmdttMoiiàhaa..

Documentation ;

Bibliographie : •

CAORE RESERVE CELLULE CARTE ARIXOtCaOL*. N* de site attribué 1 1 1 1 I S 1 1111 Code AP/AH U_J N* d'enregistrement DRACAR Modification □

PEAULE - Le château Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (1021 E - Allaire - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (en blanc) (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe !..

►.Service Régional de rArchéologie de Bretagne «, MX «u Chip»*. SSm R«*»« Cedex.

Première mention = ^ Données complémentaires3 Année première me ni ion =

I 2 j 0 | 01 8 Nature de f opération = .. ..prosp.ection.iav.enlaixe

Responsable = Aiaia.Txijs.te.. Organisme = CE.R-A-M,

0 Département : MORBIHAN commune * .REAULE.(,ra -INSEE,.;..56..153)..

Lieu-dit ( du Cadastre) : ...JLE..CHÂTEAU.

Lieu-dit (deri.G.N.) : ...... LE..CHÂXEAU.... Nom du sHe : ...JJLCHÂ.T.EAH

Cadastre «*m*« *> ««w*re m« > jnn : Sections)et parcette

Carte I.G.N. Numéro Nom Année tf édition 1021 E Allaire 1993

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Y» Centresite: X= 1 2| 5| 21 . I 11 71 01 X* Xh Yb

Xc YC X4 fi Rayon du site (mètres) : (1115 | Ô j m X* Y»

Circonstances de la découverte : site.sigaalé.ejL.liï6.Lda^ Techniques de repérage : ....prospeC.tiori.a.U.SOi (Informateur : ;

Description des vestiges : .UrLiropartat^

large et. profond fossé et un second ensemble talus fossé. Site exceptionnel. Etat de cor^rvation : ...Bon.dans la coupé pour l'aménagement du chemin rural n° 337 Eléments de datation : ...AuÇ.vt^au.XIXe..s^

Chronologie proposée : ..P.éri.Qds.Méte.OT^

Mobilier Oui £ Non [><Ç| Lieu de conservation :

Documentation :

Bibfiographie : •

CAORE Resesve CELLULE CARTE **CXOLOGKX*E

N* de site attribué I 1 j MM MM Code AP / AH

N* d'enregistrement DRACAR Modification PEAULE - Le château cadastre actuel - section ZW parcelles n° 152, 155 à 166 et 174 à 177.

Traits rouges : fortfications trait épais : rempart principal et localisation en orientation des clichés photographiques

PLOEREN - Zone artisanale de Mané-Coëdigo - sites 1 et 2 Localisation des 2 sites (en rouge) sur la carte IGN (0921 OT - Vannes, golfe du Morbihan - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (tracés en blanc) (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe L«

^ Service Régional de rArchéologie de Bretagne «, M «< OwpOx. 3S044 Kamt C«l

Première mention = S? Données complémentaires^ Armée première mention MM]

Année = 0 0 8 Nature de l'opération = PXQ&pectlQn.mYentair.e

Responsables .„ Akin..Trist£... Organisme = C..ELR..A.M.

Déparlement : MORBIHAN Commune = ...ELO£REN.Xû°

Lieu-

Lieu-dit (defl.G.N.) :.XONEARJ iSANALE.DE MANErtOE-DiGO

Nom du site : ...ZONE ARTISANALEDE.MANE,COE.DI.GO.».site l

Cadastre t«m*«un**joui: 2 0 0 8 Sectior*» et parcelle

Observations : .„

Carte I.G.N Numéro Nom Année édition 0921 OT Vannes- Golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : Contours

CentresHe: X= 121 1|0| . 1 1 j 0 j 0 j X» Y» X» TO Y» 12>3 lOj 91.078X51 Xe Ye X4 Y4 T Y* Rayon du site (mètres) : ( \" ) 2 1 0 l m Ma

Circonstances de la découverte : ....élude.duxadastr£..anca^^ Techniques de repérage : prjOspection.aa.SQl Ilnformateur : .,

Description des vestiges : ±inc£int&.ckci)la^ ,peu.raar;qH£..L£.fa^ m...Une. autre—. e^etate.S£nabL£.aœ^ constructions récentes. Etat de conservation :Ban..(enœmte.située.dam à-proximité - Eléments de datation : ..aucun., Chronologie proposée : .épo.queïadéteiramée.(p.^ site.de.Luhan-,.. commune de ) Mobilier Oui j 1 Non [><3 Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :..

CAOAE CÊUU.6 OATE AftCHÊOcOGiOue N* de site attribué 1 I 1 I 1 I i i 1 I I Code AP / AH LJ_I N* d'enregistrement DRACAR 1 1 1 1 I I Modification □ Déclaration de découverte archéologique Annexe !.. .Service Régional de rArchéologie de Bretagne

Première mention = ^ Données ce

Année = }2 |0 1 Oj 8| Nalureropération = Pio.s.pecliQn.mYentair.e

Responsable = A3ain.Tr.iste... Organisme » .CJELR. A,M.

Département : MORBIHAN Commune « .. PLOEREN.^il?. JKSEE.lM.lM)..

Ueu-dit (du Cadastre) : LE.CQED1GO. :

Ueu-dit (de ri.G.N.) : ZONE ARTISANALE.DEMANETCQEIHGQ Nom du site : ..ZONE.ARXISANALE..DE.MAN.ErCOEDIG.O- *ite-2

Cadastre \ 2 } 0 | 0(1T] Section(s) et parcelte(s) : B. -. ua IV.e ile. 11° 69ii. et. h

Observations : „ „ . „ _ „

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 0921 OT Vannes- Golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centresite: X* 12 | 1 j 0 | . 1 0|3| 51 X* Y» 1 Xb Yb *- m3iom.rrran Xc Ye X4 Y4 j Rayon du site (mètres) : "{'" ]"6"1Ô*| m X. Y* i

Circonstances de la découverte : ...àtude..dll.cadaât^

Techniques de repérage : ..piûSpâCtiQttàu.JSûl. ... Ilnformateur : „ ,

Description des vestiges : ...gr.aade..eP4;idn^ ..~ ...... ualQssé.£btfgGur.m\:ko.^

Etat de conservation : ...Mayen.{une.maison.constmte Eléments de datation : ..aucun

Chronologie proposée : ..épûque.indétenninée.(comparaisQin.possib.le avec l'enceinte de-Botalec à-Landévant)

Mobilier Oui 1 1 Non [><} Lieu de conservation :

Documentation : ;

Bibliographie :

CAORE REsenvc CELLULE CARTE AROXOLOGMUE

N* de site attribué ( 1 j 1111 1111 Code AP/AH

N* d'enregistrement DRACAR 111111 Modification

Cadastre de 1851, section B 1ère feuille dite de Kermurier I - •M *m ™ *o - es i—i •M B 4) O *J B ■r. ■** " a u « « c T C es 3 •« -S 4) £ a J w u a •a ■g o M eu X B Z J~ a A Z 't n v a « •*> EU a. * "O 3 M M C « » « 3 z < g a o a h o u s t. — J » < •a .. « 13 o> - § -o Sc « a * § ^ - » a, B « B s; ci s « S B o u 5 .2 w B — a > CS "S £ B a s o » S JB u £ a - a ""* "S . c ! a » S I-s v* ISa ai • a 2 S o ai '■g S 4> c "a 3 B a a w « 93 '« a V > s 3— :a .2 < a 03 s: o il « © c «s Cv « W u

a c «s S S : -o c * « S , a a 3 . — ers aCl e-.— » -a a «s 1 U •ï -a 3 a a S. g 5 51SI =g & « 1, 5 5 H a Ë - ■Ji! * - v: ■SE c » S «s ^ ij ? =3 I U z » " _ * s s» t» = s g z :Ï .2 1 z K 'C w 3 S J _ a m? <" o « ^ X - s 01 fc a ?1 * " .> ,KH c < a c -Cl >c ** z § a E «75'° = > S m _ = 2 M fi. = * ~ «i 9 o •S E ■s > < .... h B z S - m 5 X < u a 8 d « t. Cft r. U CM ."S z c •* lf il* «ô * S =.as (A s « ^ s . B s S « =x » a B 3 "S 2 £ H S S O BC iS g 1 ■ U B - t — s s * - N ° — S c ©>.:? * = i « ci 2 9 35 * I to JS a C a o 11 3 £ o, • = 3 U .a. * o «Il -£ = S Ci •-m m a S c - ï . :ii a £ a « "53 S •fi! £ «j -«as « " £1 ** M ~ «, * i * ï | c a£ ce • CS £ s « ; a. i : a e> Ci es — , . s — " -" ? -S — « C w - ■ w ^ T a a S = - s -x r- a- .«J41 S. O a. *~ ii^ r* — — a 5 a v * 15* , 5 — -4

PL0EREN - Zone artisanale de Mané-Coedigo - sites 1 et 2 Extrait d'un article de J. André : "Deux cours carolingiennes", Mémoires de la S.H.A.B., t. XLII, 1962, p. 53-54 u — o 4) 4< c *4; ' te -r 4» o r c> ci 3 -s fi £ s c X fi 3 ."S B o 3 * E E 3* et c a 4) £ .S co -i _ ta •3 m •41 8 5 •m = c/i He enS £ E S 5 C J 4) fil S " o 3 uy 4) c 4) e B S-. .a C S ailo « S E « to 3 C 4> >~ 3 a* s« « 2 •S §•© 4> B 4) «I a o . *b ce C g c fi, 5C fi, A fi. g s ■ W a -S -~ » s M) «1 g S CR 4* 4> . ^ g 41a, -4) B g •a ic c S- ej s i . S » .5 Misess not «a *4> a) 3 2 ci M ce iffére 4* c ,ï s ïg B* Z Î5 s SO 0 ,< f° S Z xistuplus h ^ c I c ? (A M s H, te M c > Z i 1 S ""S ■W cl U 4) detronçonenon iq =î S s « te o S s • !3 Cl *î — * fie S « e O5 »B Z ■ * su -8 « «S 4* i E ™ <- 4/ nombreuxpoint > a s 2 « * » «S - O . o _ 4) .3 Xi » c 3 h n C C 3 •3 B E il « 3 S a S «o O - « 3 S2 -(A a -r 11 U z § «* U 3 se % > c £ c £ o te ~ -M o s S o -3 ■A •• E •c c o «e E M • S 4> •c o V 3 "O B V . 4> ce 0 *" M "B a — — 4»— 41 -4> «o• «I3 5 s z il (R = S"* C U C ."3 C O 3" . 3 3 * 5. 4 ? CS •" X "S ï 3 C 3 « E Cl « 4) 3 9 *> g - i t. 4* 'x s ■y, fi a= Z i r 2 -a M " B" - O* s y: c s, _3 s o -fi g "g 6 13 r» a 5 9 E E «- .£ 5 E J — 3 « S 2" a e S" I» C "15 '• & 2 « a a 3 «S <*»> Cl mù* u ™ •* <*! I i • * S xS- _ S i 3 "C •B p *- Cl ~ ■ as > «e «* *' O, 3 4) — Ci «0 >■>■> 2 E 4> 4) 'S 3 4) e « 3a *-a 3 •» 3 3 E = S ■c aE ■&a ■s _ f s 3 3 a , c > er . «- : « -s c „ -3 s i J « a « C 3 C V C S *3 g .2 ■«» "S 5 g ^ Z.x c ■ 3 c r; 4* " »« a s É- •s *» « B ' e c S « B 3 — a -o s:» 4/ o i. u — c Se .2 J) ~ C! ce ■$ 'S a ISS •y ~ ~

te f. 4> 4» X c ce e -S B 4) a a 4! s « -c s c s C n 2 § 4> S « « ^ fi * > 3 4» t" .5,a, "* t o «o •« o w •- O JB *• a i I •3 o Xi e B *" fiiW Ta u ce x 5^ S 6 ? ,-t° § 4> B eu Cl B _4> <0 _ - fi, •4( ow . « a: tu g c. 3 W "3 ce c cfl — C S 3 _3 ce 3 3 S v. * « 0. o o s- G "O "B oâ a "a> .a ? fi « Cl a- L< S fi, "3 3 S B a C C ce ti — S a t. B n — 4) S a « 0 O U ~ a —i 3 C'a s E -5 g. a s •?a z • te ts i s S 8 « • « *3* a £ § a _ *j ce ce C u .2 3 ■~ î J» -S * - S •3 4» J, a 4) «jj *" Cl J Cl S ce ^ S 3 — s z .M il fi S a si- ^3 -a 3 4> — 2 a « -4) ■as i.s 3 m* —«■ M a «aj «j Ma" a fi, x » sa»i—i te B — "3 S 3 o a î»>.a B c "3 41 ii «4J -j,« s»U S - U *B t. sr B 4> B B fi, B •* te ce 3 *3 .2 ' "O te '4» a .-. B TJ Té ■< ii w 4) C 2 g u U |*| gai fi, o a c a a t*« •C* « 4) ce 4> 4) •* i lï 5 3 ° 2 S 1 £ £ a. E ce 4> a. c ■a os - — a fi, w « 2. a 53? sie h u a 1 *& •- S — — ~ « 8 fil fi i " S «c Cl 4» S S -a'-| £ | a* .S B Cl B S ° o. h S •O 4) g *a â "B2 —'«■ .2 Cl — O 3 4) "4> jî •s g « 5 :* *. c « 3 k te U "3 a <= -S ■3 ^t- âa, 2 VU 4) te .o- 2 *- a ci !" 4) ™ .3 c S « Q S a |ll 4> 4) o> a 4) 4) C ESC oïï>!a S. a X 4» 4> 3 w a a •3 > " E ij .a • s 41 4> E cr a •3 3 ■3 fi -3 C | C a O ■a* 3 a 4) ce a 3 b 3 4) ^ B U B B U 3 £ ce 2-aTw -S e S B 4) - 5. • 1^2" -:ï»-§ O Ci 3 a a 3 "B c , = a », "g ^—' ji 4Ï U TS "s -Ë — 4) a" 41 o a z. * s B 5 « _f 4) S *£ o. a 4) *3 t. tm 4) Sb a B 5 53 ï«3. O . 3 S 15 « ■— 4) X ~ tuB e — . . Bs -O B 3 ci _ fi, 4» 4) -a 4) —' 4) C 4) .2 t- S .2 te _m »> te te u fi a ' S-3 B fi, E ~ S IL) fi ^ 91 3 ■«3 4) u. C 4) ta s-S S te 4> E « •û S 3 -4) •4) 5 C g W « 4> O S O « 3 B S o .2 3 ~ o o — C -S t- iaa 05 ja— ce s -î 3 ce <; *• s; <, 4) ce «S aa V s —• o : ce a <" Sce _ >—*-•>' "ÇJ Cl a* —• 2 _ C « il « a 3 "a «" . **. "" te S 4) "B "3I i4) ,»i B U B 4) E a t i s, U ce s g a ce «aj c c * e S B

PL0EREN - Zone artisanale de Mané-Coedigo - sites 1 et 2 Extrait d'un article de J. André : "Deux cours carolingiennes", Mémoires de la S.H.A.B., t. XL1I, 1962, p. 55 [9] DEUX COURS CAROLINGIENNES :>7

Destination.

Cette dernière remarque (16) empêche de voir dans ces monuments des camps ou autres établissements militaires, ce qui ne veut évidemment pas dire que les talus n'aieni eu un but défensif. Comme pour les autres mottes bre- tonnes de ce type, il faut probablement y voir des cours. Le mot Sal à Luhan plaide pour cette hypothèse.

Age.

C'est encore la grande inconnue. Ce sont sûrement des monuments postérieurs aux romains. Les seuls éléments de datation sont la toponymie de Bodieu (et éventuellement le fait que Judicaël y aurait séjourné) et le tesson sérici- tcux de Luhan. On ne peut donc guère les baptiser que de carolingiens. Mais notre intention n'est pas de dater ces cours.

Espérons, pour conclure, que d'autres monographies soient faites sur ces monuments, avant qu'il paraisse une synthèse pour la Bretagne. Nancy, 16 juin 1962.

Jacques ANDRÉ.

(16) Que nous avons déjà faite pour la motte de Penhouêt en PIoéren.

PLOEREN - Zone artisanale de Mané-Coedigo - sites 1 et 2 Extrait d'un article de J. André : "Deux cours carolingiennes", Mémoires de la S.H.A.B., t. XL11, 1962, p. 57 SAINT-ARMEL - la Vache enragée Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0921 OT - Vannes, golfe du Morbihan - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe i.i

r «Service Régional de T Archéologie de Bretagne «. M «i Chat*».. ISO** K~***t C«**.

Première mention Données ccmpiémentaires= Année première mention

Année ■ 2 0 0 8 Nature ce rooération = pio.ape.c.tian. inventaire.

Responsabte = Alaia.Tiis.te Organisme = .C.E.R.A.-M~

Département : MORBIHAN Commune = SAINTrARMEL

Lieu-dit (du Cadastre) : ...CLO.S.EIJIL.GUEîj. :

Lieu-dit (deri.G.N.) : ...-LA VAG-HE-EN-RA-G-EE ■-•

Nom du sHe : „IA,-VACHE ENRAGEE ^ GLOS EUR.GIÎEN

Cadastre <*<*«•« *t***** im • puo : Section(s) et parcelle

Observations: L.e.S..pM.QeUeS.so.r^iegr&

Carte t.G.N. Numéro Nom Année d'édition 0921 OT Vannes - golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X= 12 |2 |0 j . 14 15 10 1 Xa Y» Xa Ytt • Xc Y« X4 V4 Rayon du site (mètres) : m Xa

circonstances de la découverte : ...traY.aux.agricoies.en.l9.88..et.labauia..

Techniques de repérage : ...pCQSpectiûILau..S.Ql llnformateur : —M..fit.Mme.Beunon. ;

Description des vestiges : ...g^emenLassex.a^us.de.jjagm^ .

Eléments de datation :eéramkpe.sigiUée5..mé.taU^^ Chronologie proposée : Ile..- IJk.SiàcJe. .

Mobilier Oui ^ Non Q Lieu de conservation : ..dépôt-archéologiquedu-Morbihan --56000- Vannes sauf la meule : M. et Mme Beunon - Manoir de Caden - 56370 Le Tour-du-Parc Documentation :

Bibliographie :

CAORE RescHve eeuu.e oatt *«o€(xc

N* de site attribué j 1 | 1 i I I 1111 Code AP / AH L_i_J

N* d'enregistrement DRACAR Modification N | ii'c\plnitB|ioii

À *K \ ZD

I I // SAINT-ARMEL "•iv, 100 m La vache enragée - Clos eur guen éch. : l/2000ème cadastre actuel - section ZD parcelles n° 35 à 40 001 : sigillée (coupe Lez. 042) ; 002 : céramique métallescente ; 003 : terra nigra ; 004 à 006 et 008 à 014 : céramique commune sombre ; 007 et 015 : céramique commune claire SAINT-ARMEL - La vache enragée / Clos eur Guen Céramiques découvertes en 1988. Copyright IGN - Projection Lambert II étendu ! HTF 500 m I En orange : " Vieux grand chemin de Vannes à Saint-Jean-Brévelay " cadastre napoléonien de Saint-Avé - 1811 - section F, feuille unique, dite de Coètdigo En marron : " Ancienne route bien empierrée présumée conduire de Vannes à Corseul " cadastre de Saint-Avé - 1844 - section G, 1ère feuille dite de Coètdigo

En vert : alignement de parcelles observé sur le cadastre de 1811 et dont le tracé concorde avec avec les observations réalisées dans les coupes de la voirie.

Carré rouge : sites répertoriés à la carte archéologique

SAINT-AVE - Saint-Thébaud Localisation du site (cercle rouge) sur la carte IGN (0921 OT - Vannes, golfe du Morbihan - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Copyright IGN - Projection Lambert II étendu I NTF | 500 m En orange : " Vieux grand chemin de Vannes à Saint-Jean-Brévelay " cadastre napoléonien de Saint-Avé - 1811 - section F, feuille unique, dite de Coètdigo En marron : " Ancienne route bien empierrée présumée conduire de Vannes à Corseul " cadastre de Saint-Avé - 1844 - section G, 1ère feuille dite de Coètdigo

En vert : alignement de parcelles observé sur le cadastre de 1811 et dont le tracé concorde avec avec les observations réalisées dans les coupes de la voirie.

Carré rouge : sites répertoriés à la carte archéologique

SAINT-AVE - Saint-Thébaud Localisation du site (cercle rouge) sur la carte IGN (0921 OT - Vannes, golfe du Morbihan - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe I.,

«Servi» Régional de rArchéologie de Bretagne *. «■ 4j Chap*». ism ctdu.

Première mention : Données complémentaires3 Année première mention = □

Année = 2 0 0 8 Nature ce rocération = .pm§p.ectiQJiiny.en.taiie

Responsable = Alain.Txis.te.. Organisme = .CE.R_A.M-.

Département : MORBIHAN. commune « SAINXAYE4n?..INSJEE..;.5.6.2Q6)

Lieu-dit ( du Cadastre) : ZAC.DJE.SAJNX.XBLEBA1ID

Lieu-dit (de rï.G.N.) : SAINT. T.HLEBAUD.

Nom du site :... Z..V(...D£S..U^:J...I.UJ;R..VI:I).

Cadastre u**** Mn pun : SecuorKs) et parcelles) : ..AZ.T..parceJie.a?..3.8.7.

Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 0921 OT Vannes - golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X= 1 21 11 81 . 1 51 11 51 Xi Y» Xb vu V- 12|3| H01 , 1 912101 Xc Y« X* Y4 Rayon du site (mètres) : j j 1 Ij Ôj m Km Y»

Circonstances de la découverte : ...fray.aiiX.d'^

Techniques de repérage : ...pr.ospeciion!au.so.L .....

Hnformateur :

Description des vestiges : .Tr.QnçQa.dlu&j,tk&^^ Deux.Mg£s.e£4xofau^ ds.pLerx§s,..a'.m^^ derrière la coupe). , état de conservation : ...Mauvais.(.aménagem^

Eléments de datation : ..aucun

Chronologie proposée : ...péli.Qde.Jmd^ Structure)...

Mobilier Oui Non Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CAORE R6S€RVC CO.UA. e CARTE AftcxotcGwue

N* de site attribué i 1 I 1{(1 | [ [ [ Code AP / AH I II

N* d'enregistrement DRACAR 1 1 1 [ i I Modification SAINT-AVE - ZAC de Saint-Thébaud cadastre actuel - section AZ - parcelle n° 387 zone en rouge : localisation de l'itinéraire ancien observé Les deux fossés très visibles de la voie dans la coupe nord de la rue et détail de l'un de ces fossés ci-contre.

SAINT-AVE - Saint-Thébaud Vues de la voie ancienne dans la coupe nord de la rue en cours d'aménagement (octobre 2008). A

250 m éch. : l/5000ème J± En orange : " Vieille route de Saint-Jean-Brévelay " (appelé vieux grand chemin de Vannes à Saint-Jean-Brévelay sur le tableau d'assemblage) En marron : tracé présumé de la voie antique de Vannes à Corseul d'après les sources bibliographiques et noté sur le cadastre de Saint-Ave de 1844 En vert : alignement de parcelles qui concorde avec l'itinéraire ancien mis en évidence dans les coupes de la voirie de la ZAC de Saint-Thébaud (zone entourée en rouge). SAINT-AVE - ZAC de Saint-Thébaud Localisation de l'itinéraire ancien mis au jour lors des travaux d'aménagement de la ZAC de Saint-Thébaud sur le cadastre napoléonien de Saint-Avé - 1811 - section F, feuille unique, dite de Coëtdigo huîtres f

I 500 m I Copyright IGN - Projection Lambert II étendu / NTF

SARZEAU - Kerassel-est - anse de Logeo Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0921 OT - Vannes, golfe du Morbihan - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe !..

«Service Régional de rArchéologie de Bretagne A « *J Cha$*re. 15044 bnm Ce*cx

Première mention = ^ Données complémentaires= Année première mention =

Année = 2 0 0 8 Nature de ropération = .PÏOSpeCtiQainy.eDtaixe

Responsable = Aiaia.Txiste.. Organisme = .CE.ILA-M

Département: MORBIHAN. Commune = .SARZEAIJ..(jl.° JJSSEE.^.Sfi.îâQ)

LtoHfit (du Cadastre) : ...KERASSELrES.T.

Lieu-dit (dettCN.) : KERASSEL, ANSE DEXOGEO

Nom du site : JKERASSEL ES.T..7. ANSEJDEXOGEO..

Cadastre ** t*r*<™ «v» s ^ : I Section/s) et parceiie(s) : ...BL.-..par.cel!es-ii°.386.et38.7....

Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 0921 OT Vannes - golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : □ Contours Centre site : X = 2TTT61. PHTTin Xi Y« Xh Yb

• Y= I 2j 21 9!4j . 1 818 j 5 j Se Ye X4 Y* Rayon du site (mètres) ; TT2lm Xm Y»

Circonstances de la découverte : .Yisjhle.m.ÇjQupe.dar)Sia.M^ ,

Techniques de repérage : ...pr.Qspection.'au.sol

! informateur : „ - „..

Description des vestiges : .£ûucke.d';tfgikxubéiï^ la.falaise. .avec.aur.u^-us.une.jCZQÛ^ égalauent.prafandément xubifié .

Etat de conservation : .mauvais.(ir.ûsi.Qn. japide.eLimpQrtarn;e.de.cette.partie.dulittoraLdu.golfe du-Morbihan)

Eléments de datation : ...aucun

Chronologie proposée : .périûde.hdétenmnée.^ le littoral de.Sarzeau)

Mobilier Oui[X[] NonQ Lieu de conservation : .dépÔt.arehéologique.du.Mojbihan.-.560ÛO..Vannes

Documentation :

Bibliographie :...... _ _

CAORÎ RES€RV6 CCUU.É CARTE «CXtXOOOut

N* de sKe attribué [ 1 | | j | | | j | [ Code AP / AH [ j |

N* d'enregistrement DRAGAR I 1 1 I 1 1 Modification £~| IN

~~ SARZEAU - Kerassel est - anse de Logeo cadastre actuel - section BL - parcelles n° 386 et 387 (source : www.cadastre.gouv.fr)

Vue générale du site depuis le nord-ouest.

Le four. (A noter que le trou à la base de la falaise Détail de la structure de ce four ne communique pas avec la structure) (du haut vers le bas : coquilles d'huîtres, argile rubéfiée et substrat présentant de très nettes traces de chauffe) SARZEAU - Kerassel est - anse de Logeo Localisation du site sur le cadastre actuel de la commune et vues du site (clichés réalisés le le 11/01/2009). — 89 -

La fabrication du mortier est la tâche réservée aux « servans ». Ils vont chercher l'eau au puits de l'église avec divers récipients appelés « seilles », « rangeots », « tines » ou « buies de terre » et la déversent dans des cuves ou dans des « pipes » pour être utilisée au fur et à mesure des besoins (34). La recette du ciment mérite d'être décrite. Les ouvriers utilisent naturellement du sable, venu de la côte et de la chaux de « croquille », importée « vive » ou « veille et estainte » de Calmont et surtout de la presqu'île de Rhuys (35). La fabrique l'achète par tonneaux entiers à des « chaufieours » professionnels, dont les noms nous sont parfaitement connus et la fait transporter par « estaffes ». La traversée du golfe du Morbihan est parfois dangereuse et le prix de revient

(31) 74 G 3 f° 97 ; 74 G 4 P 34. 51 ; 74 G 5 f" 37. En 1485. 550 pieds de pierre de ta.Ile sont amenés par mer par Jehan Granot et Guillaume Le Joubreu.x. mariniers de Calmont. La pierre < estoyt fort belle et avantageuse >.

(32) 74 G 2 f 71.

.33) 74 G 5 f 13 v° 37.

(34) 74 G 2 f° 28 ; 74 G 3 f 43 ; 74 G 5 f" 14, 35. 37 ; 74 G 7 f 37. Les rangeots sont des seaux en bois cerclés de fer ou d'osier. Les seilles sont une variété de rangeots. Les buies sont des cruches en terre ; les tines des baquets.

(35) 74 G 2 f° 29 ; 74 G 3 f° 35. 36. 99 ; 74 G 5 f 14. 15. 29. 35 ; 74 G 7 f 32. 34. 36 ; 74 G 9 f° 32 ; 74 G 10 f 36. 38 ; 74 C 12 f 37,

— 90 —

s'en ressent (36). Mais les maçons font entrer également dans la composition de leur mortier, de la résine « à faire cyment à coller la pierre de taille » (3y) et de la tuile pillée, venue de Calmont (38). Ainsi préparé, remué à la « paele » ou à la « cuillier de fer » (sic), le ciment est porté à pied d'œuvre dans des « cabatz », dans des « oyseaux » ou à l'aide de civières closes dont les plus perfectionnées sont qualifiées de « rouleresses » (3g).

(36) 74 G 5 f° 5 v. Le prix du tonneau varie entre 15 et 30 sous (1483-1491). Les principaux fournisseurs sont Jehan Le Peietier. Mahé Le Peletier, Eon Lôhéac. Vincent Guynebaud. Jehan Kernech. Guill. Conan. Henri Pecart. Pierre Meilleur, tous de Sarzeau.

(37) 74 G 6 f° 47. (38) 74 G 4 f° 32 ; 74 G 9 f° 33. 74 ; 74 G 10 f° 36 : 74 G 13 f° 38. (39) 74 G 2 f° 26. 36 ; 74 G 4 f 25. Un oiseau est une auge à porter le mortier.

LEGUAY (J.-P.), « Vannes au XVe siècle », B.S.PM, t. 103, 1976, p. 89 et 90. SENE - Le péchit Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0921 OT - Vannes, golfe du Morbihan - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe !..

«Servies Régional de rArchéotcgie de Bretagne t,«*iO»(«t.«IX4««™«'«*«-

Première mention = Données complémentaires^ Année première mention =

Année = 2 0 0 8 Nature de rooération = .px9sp.ectiûîamY.en.tajxe

Responsable = Alam.T.ris.te. , Organisme = .CE.R_A.M_

0 Département : MORBIHAN. commune = SEME..(JI .INSEE.:.56.243.). Lieu-dit (du Cadastre) : ..i_._.\.lLIJ_NJ£.l..VJE

Lieu-dit (de ri.G.N.) : ...LE.EECHIT.

Nom du site : ....LE.PECHIT Sections) et parcelte

Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année tf édition 0921 OT Vannes - golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Y» CentresHe: X= t 21 11 91 . I 21 01 01 XM » Yb Yc Y= » 2i3i oi o«. rrrsTsi Xc X4 Y4 Rayon du site (mètres) : | "ï [ 5 j m Xa Y»

Circonstances de ta découverte : ...élûsiû.n.de.te.rxu^ Techniques de repérage : ...pr.ospectiojxau.sol (Informateur : „..

.djuMoihiharL.. Etat de conservation : ....Mau.Yais.(éraS„Qrxiap^ ; Eléments de datation : ...fragmente„dlaugete^

Chronologie proposée : ....S£.CQnd.âg£.du.Eer.

Mobilier Oui[X] Non[[j| Lieu de conservation : ..dép.Ôlaichéologique.du.Morhihan.T.5j50ÛO..Varojaes...

Documentation : ,

Bibliographie :

CAÛRE RÉSERVE CELLULE CARIE ARCHÉOLOGIQUE.

N* de site attribué [ | | | j | | | | | | Code AP/AH [ | |

N* tf enregistrement DRACAR 11111 Modification

Sîaîion à auget3 du Peschit (Communication du D' Lejards). — Située dans l'ancienne il? du Peschit. près de Montsarrac en Séné, cette station se trouve à la pointe W. N. W. de l'Ile, à peu près face au Grand Rohu. Elle occupe une micro falaise de 40 à 50 cm. de hauteur , elle mesure 5 à 6 m. de développement dans le sens N, W.-S. £., c est à dire parallèlement à la côt°. F.llfl semble avoir été installée en terrasses à trois nivaux différents L.«ï niveau inférieur, encore atteint par les très for'es marées, n est plus r^pr^s^nié que par une zone à peu près circu: laire de 0,60 m. de diamètre, faite de gneiss fendillés et rougis par le feu, avec, épcrrs alentour et parmi les fissures, des fragments d'augets. Environ 1.50 m. en arrière, une terrasse argileuse, présentant des traces assez nettes de cuisson, se développe à environ 30 cm. au dessus du niveau précédent. Sur cette terrasse se trouve une couche d'environ 7 cm. de fragments d'augets mêlés de terre : ce niveau peut être suivi sur une quarantaine de centimètres, toujours en s'éloignant du rivage.

Une autre terrasse argileuse lut fait suite : elle n est épaisse que de 4 ou 5 cm. et présente de nombreux fragments d'augets qui sont intimement mélangés à la couche de terre végétale de surface, épaisse de 2 à 5 cm. seulement. Cette couche superficielle semble se prolonqer sur 2 ou 3 m encore. A part les fragments d auqets. extrêmement nombreux, on ne peut recueillir de-ci de-là qu» quelques rares fragments informes de briques, ou plutôt de terre cuite grossière et très mal cuite, mais ni tortillons, ni vases ou autres poteries Les auqets sont exactement de même structure et de même composition que ceux récoltés dans les fours de Moustérian

Bulletin de la société polymathique du Morbihan, 1964, p. v. p. 22-23.

Nouveaux tours sur la cote S-E. du Peschi! an Sénà .Commu- nication du 0' Lejardj . — Css tours, qui m'ont ète signales tout récemment ocr notre ami J André, ne scr.t cas, semble-t-ii, des IQUI3 a augets. ni une station d'augets comme sa voisine de la pointe W. N. W du Peschit. Dans une nxicro-lalaise de 0,62 m. au-dessus de la laisse des hautes mers de vives eaux, on peut voir sur 11,50 m. de long des frag- ments de pierre micaschistes) rougis par Le feu, répartis en quatre groupes principaux, semblant constituer quctre petits fours rudimentaires de 50 cm. de diamètre environ, creusés dans un paléosol d'une épaisseur moyenne de 20 cm. Ce paléosol est surmonté d'une couverte de terre arable de 20 à 30 cm. et est lui-même sus-jacent d un sous-sol constitué d'un tufteau assez détritique de gneiss et micaschiste faisant saillie sur la plage actuelle de 18 à 30 cm.

- 20 —

J'ai récolté dans la tranche de ce paléosol, tant dans ce qui parait être 1 inteneur des fours qu'à leur proximité immédiate, une très faible quantité de charbons, insuffisante pour une datation, et une dizaine de très petits tessons (dont deux de fonds), en très mauvaise poterie, rouge brunâtre ou noire, assez éoaisse. analogue aux tessons sans caractère défini au on ramasse en grande quantité à Er Lanmc. D'assez nombreux débris minuscules d'une poterie rouge, mince, mais grossière, sont épar- pilles dans cette zone Deux fragments gréseux, semblant avoir été uti- lisés comme outils ont été recueillis. Je pense qu'il s'agit de vestiges de fours primitifs de potiers d'époques anciennes fin du Chalcoiithique à la transition Halstatt-Tène .

Bulletin de la société polymathique du Morbihan, 1965, p. v. p. 19-20. LE TOUR-DU-PARC - Manoir de Caden Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0921 OT : Vannes, golfe du Morbihan et 1021 O : Questembert Déclaration de découverte archéologique Annexe I.»

.Service Régional de rArchéologie de Bretagne ■«, tut «i a_(«*r«. iUw» CtMtx.

Première mention * Données complémentaires3 Année première mention =

Année » 2 0 0 8 Nature de r opération = . ....prosp6ctiQairiY.sn.taixe

Responsable = Alain.Trisle., Organisme = .CE.E_A.M_

Département : MORBIHAN. Commune * LE.IQXJR-D.Ur.PAHC. (n° INSEE : 56 252) Lieu-dït ( du Cadastre) : . ..CAD.EX

Lieu-dit (de ri.G.N.) : ..CADEN.-MANOIR

Nom du site : MANOraDECADEN

Cadastre *• taHtn *»*• a : section

Observations ;

Carte I.G.N. Numéro Nom Année tf édition 0921 OT Vannes - golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centresite: X= 1 2| 2| 21 . 1'812 I 0< X» T» Xb Yt>

Y» 12|2|9|4|. LHHH Xc Yc M Y*

Rayon du site (mètres) : I 31 01m Xm Y»

Circonstances de ta découverte : ..teâY.ajj&.d'^JS^

Techniques de repérage : llnformateur : ...M..£tMm£.BEIIN.QN..(p^^ Description des vestiges : ...ManQir.d£.la.fc.u^ .Al_-cxasiQn.d&la.nùs^ ..fkux.caniYaau^ Découverte d'une'fosse le long de la chapelle avec du mobilier de la première moitié du XVIIe siècle (verre et grès rhénan) Etat de conservation : B.on.(.en.dehors.de.l.-ïr^ .' Eléments de datation : céraaàque&xianmiuiL^ carreaux de terre cuite décorés (identique à des exemplaires du Plessis-Josso à Theix) Chronologie proposée :..Début.duXIVe.siècle..r.XVTIIe.siècle.

Mobilier Oui [X] Non Lieu de conservation : .M .&J^£.BmWiQa.- M^CWl.de.Cadfin.T.^63.7.0.Le..Toïu:rvdu-Parc t Documentation : ; '.

Bibliographie :

CADRE RescRve CEUIA.- CASTE A*CHEC*.C«*-_€.

N'de site attribué | | | | | [ | 1 ! I i Code AP / AH | 1 j

N* ^enregistrement DRACAR ! 1 1 I I I Modification LE TOUR-DU-PARC Manoir de Caden cadastre actuel - section AC parcelles n° 19 et 20 zone hachurée : découvertes de structures maçonnées médiévales lors du creusement d'une fosse septique Copyright IGN - Projection Lambert II étendu / NTF I 500 m

AMBON - Cromenac'h - site n° 56 002 00 Localisation des découvertes (en rouge) sur la carte IGN (1021 O - Questembert / Damgan - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/5000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe I.»

A KUW w Service Régional de f Archéologie de Bretagne ■X « «« Q*w*re. ISM-t tlmn Cttt*.

Première mention = Données compiérnentaires= Année première mention =

Année; Tfoiol si Nature de ropération = .pr.o§pectÏQD.iav:e]itajie

Responsable = Alam.Tïi&te.. Organisme = .C.E.R_AJSd»

Département : MORBIHAN. Commune = AMB.QH.(n° JLNSEJE.;.5.6..0.02.).... Lieu-dit (du Cadastre) : .CROMEHAC.'H.

Lieu-dit (de ri.G.N.) : ... CRQMENAC.'H

Nom du site : .. .CROME.NA CH

0 Cadastre navort m. * joun : Section/s) et parcelle(s) : ...L.l..-.pat:C£lLes..ll ..258..

Observations;

Carte I.G.N. Numéro Nom Année rf édition 1021 O Questembert - Damsan 1994

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X= j 21 31 41 . | 11 1 j 0| Y* Yb

• Y= 121219111,1912101 Xc Yc X4 Y4 Rayon du site (mètres) : | | j 2|'5f m Xm Y»

Circonstances de la découverte : ..i.œsiooi.de.la.falais.e..

Techniques de repérage : ...pr.ospectioa!au.sol Ilnformateur : , „ ,

Description des vesfjges : ...FoMatiQM.dlUH .ajs.&Q.déà.^ ...nive.amdA.to Etat de conservation : MQy.en.(le.site.s.'éxDde.iapideirj£rjit) .' Eléments de datation : ..ciramique.Qnctuei^^

Chronologie proposée : ...pmodeaïiédi£y.ak.(XLIIe..^.Xiy£.siècle.)

Mobilier Oui j^j Non^^ Lieu de conservation : ..dépôts

Documentation : '.

Bibliographie :

CAORE RÊMIWÉ ca.uu.6 CARTE ARoeoLocioue.

N* de site attribué | j 1 MM Mil Code AP / AH [ [_

N * d'enregistrement D RAC AR Modification

AMBON - Cromenac'h Céramiques (recueillies en novembre 2008) et vues des substructions apparaissant en coupe dans la falaise. 500 m |

ARZON - pointe Saint-Nicolas - site n° 56 005 001AH Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0921 OT - Vannes, golfe du Morbihan - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien ( traits blancs : fortifications) (Géoportail - éch. l/10000ème). Déclaration de découverte archéologique Annexe \.%

«Service Régional de rArchéologie de Bretagne «

Première mention * Données complémentaires^ j^XJ Année première mention rrm Année « 12 10 j 0 f 8 ] Nature * ropératton = .piQs^e.QtiQ&.iav.eatake

Responsable = Alaia.Triste.. Organisme = .L.b. RAM...

Département : MORBIHAN. commune = ARZ.QN.(..tt?..M&EE..:.56..Q05)....

Lieumit ( du Cadastre) : .E.QINIE.SAINX:N1CQLAS Lieu-dit (den.G.N.) : ... P.OIN.T.E.SAIN.TrNICQLAS.. Nom du site :.. JR.Q1XXE. SAJNXrNlC.Ol^S Section(s) et parcelte(s) :... .Ml -..par.ceJle.H°..78a...„ Cadastre «mtt^M^iKHiiwi: 2 0 | 0 1 8]

Observations : „ „..„ „..

Carte l.G.N Numéro Nom Année d'édition 0921 OT Vannes - golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centresile: X= 1 21 01 81 . I 51 21 01 X» Y« Xk Y» Xe Ye Y* nui9ivi.rnrm X4 Y4 Y* Rayon du site (mètres) : j 1 j 21 5 \ m X>

Circonstances de la découverte : jèSS^uâsU^ISS^ Techniques de repérage : ...Er.Q.sp.ecîipn;au.s.Q.l

Ilnformateur : „ , Description des vestiges :Jragîaçnts de tegujae, et de céxamigjie.ga^^ ..Jakts.e.de.k£ÔXe.x)cddetà^ ...&eJ!A£e.daEei.eldeiapérm^ venaitbarrer la pointe, en plus de, l'imposant talus-fossé encore conservé en élévation. Etat de conservation : Boa Eléments de datation : xér^mique.cojmrujuie.gaJJor.rQmaine. Chronologie proposée : ...période.gaUo.-xonaahie

Mobilier Oui^J Non £3 Lieu de conservation : ..dép.Qt.aichéologiq.ue.du.Morhihan.T.560QÛ .Vannes-

Documentation : :

Bib)k^phv. • Dg ÇLOgMADfiyC (G.)., "Pointe de Pen-Castel ou de Saint-Nicolas. eaAreon".flSPM 1887>.p. 199à 207.

CAME «se** ceuu.e CMTC «cxotoooue

N* de sKe attribué I I I I i I I I I I I Code AP / AH | | 1

N* d'enregistrement DRACAR | Modification

— 199 -

POINTE DE PEN-CASTEL

OU DE SAINT-NICOLAS, EN ARZON

FOUILLES DK 1887

(Rapport de M. le Dr de Closmadeuc).

Si vous jetez les yeux sur une carie du golfe du Morbihan, par exemple celle de M. Bassac, et que vous suiviez la ligne déchiquetée de la côte d'Arzqn, à l'ouest .en face de l'Ile-aux- Moines, vous apercevez, à quelque distance de Kerné, une petite langue de terre, en forme de poire, dont l'extrémité s'avance dans la grande baie dë Creizic. Cette presqu'île s'appelle la pointe de Saint-Nicolas ou encore Pen-Castel. ■ Lorsqu'il y a une vingtaine d'années, je m'occupais de rechercher, sur toutes' les -îles et tous les îlots. du golfe, les monuments ou les ruines de monuments anciens, il m'était arrivé souvent d'atterrir à la -pointe de Saint-Nicolas, et, chaque fois, j'avais été frappé de la quantité de briques à rebords, de tessons de poteries, et de débris de constructions qui jonchaient la rive ; et, lorsque je parcourais le sol de la presqu'île, je distinguais, à travers les landes et les brous- sailles , des pans de vieux murs qu'on désignait dans le pays comme étant les restes d'une chapelle de Moines rouges. Tout à fait à la pointe, d'autres ruines, également visibles,, étaient désignées sous le nom de Couvent. La presqu'île était, en outre, barrée à sa base par un énorme rempart de terre et de pierres, n'ayant pas moins de dix mètres de hauteur. ■ 11 n'était pas difficile, lorsqu'on faisait le tour de la pres- qu'île, de s'assurer qu'elle était cernée par une muraille épaisse dont on retrouvait la trace, et qui, se reliant au rempart de barrage, formait un ensemble de fortifications, justifiant le nom de Pen-Castel, donné, de temps immémorial, à la: pointe de Saint-Nicolas. Les gens de Kerné, que nous - 200 — interrogions, nous apprenaient que cet établissement de Moines rouges remontait à une époque très reculée ; ils tenaient de leurs ancêtres qu'il avait été envahi et saccagé , et que les moines avaient disparu en une nuit, après avoir jeté dans un puits ce qu'ils avaient de plus précieux. En dehors de ce que nous apprenait la tradition locale, on ne savait absolument rien sur l'histoire de la pointe de Pen- Castél. Aucun document authentique n'existait qui pût mettre sur la voie de l'origine et de la destination précise des cons- tructions dont les ruines se cachaient sous les broussailles. Le premier écrivain qui a fait mention, des ruines de la pointe de Saint-Nicolas est l'auteur de l'article supplémentaire du dictionnaire d'Ogée, 2e édition, article écrit en 1840, par M. Am. de Francheville, un de nos plus anciens membres, encore vivant. " « Un monument, .dit M. de Francheville, dont personne n'a parlé jusqu'ici, se trouve à la pointe de Saint-Nicolas, sur. lès bords du Morbihan; c'est un retranchement en terre, barrant l'isthme de cette espèce de presqu'île dans toute sa .largeur, sur une étendue de 180 pieds. Le parapet, haut de 30 pieds, -est précédé d'un fossé de 48 pieds de largeur » Du côté du rivage, tout' le pourtour des rochers a' été- garni d'une muraille dont l'origine paraît plus - moderne que celle du premier retranchement. Dans son enceinte, on aperçoit des vestiges de constructions qui ont dû être consi- dérables : la tradition les regarde comme ayant appartenu à un couvent de Templiers. Une petite chapelle "dédiée à saint Nicolas avait été construite sur les ruines-du couvent ;■ •elle lut détruite pendant la Révolution. Une croix s'élève maintenant à l'endroit où jadis fut l'autel'..... » (DicL Ogée, art. Arzon, page 51, 1er vol,) Nous citons l'article sans commentaire ; les détails qui vont suivre nous diront ce. qu'il faut retenir de cette description et des renseignements qui l'accompagnent. . Cayot-Délandre, qui a publié un livre si remarquable pour l'époque, sur le Morbihan, n'a pas manqué de s'arrêter à la pointe de Saint-Nicolas. Voici ce qu'il en.disait en 1847 : . _ 201 — « A là pointe d'une langue de terre qui se projette dans le Morbihan' auprès du moulin de Pen-Castel, se trouvent des ruines qu'on dit' être celles d'un couvent. Cette pointe est séparée du continent par .un fossé de 16 mètres de largeur, bordé d'un-parapet élevé de 10 mètres. Ce barrage s'étend dans toute la largeur de. l'isthme qui a 60 mètres de largeur ;' du côté .de la mer la ceinture de rochers avait été garnie d'une épaisse muraille qui existe encore en partie. 11 est ' évident pour moi que cet ouvrage n'était autre, chose qu'un retranchement qui se trouvait en rapport avec la voie romaine ' de Port-Navalo, et le nom de Pen-Castel (tête ou pointe du château) que porte le moulin, m'en fournit la preuve. »'On dit dans le pays que ce lieu fut occupé par les Tem- pliers. Il so ptïut que lés moines -soldats aient assis une dè leurs'maisons sur l'emplacement d'un poste romain, de même qu'une petite chapelle dédiée- à saint Nicolas a été élevée depuis sur les ruines de leur couvent. Cette chapelle a été détruite pendant la Révolution ; une croix en marque aujour- d'hui la place. » (Cayot-Délandre, page 215. — Morbihan.)■ Au.congrès.de l'Association bretonne.de Vannes, en 1874, M. le docteur Fouquet signalait Ta presqu'île de Saint-Nicolas ■ « comme pouvant présenter l'emplacement d'un oppidum gaulois. >, On y aurait trouvé « des poteries gauloises et ro- maines. On y remarque aussi une muraille très ancienne, mais du moyen âge, d'une chapelle de Templiers. » (Bull, ass. Bret. 1874, p. 24.) Si les renseignements donnés par ces trois auteurs sont exacts, la presqu'île de Saint-Nicolas comprendrait : 1° Les ruines d'un retranchement remontant.à l'époque gallo-ro- maine ; 2° Les ruinesj d'un couvent de Templiers remontant au moyen âge ; 3° Les ruines d'une chapelle plus moderne qui n'aurait été détruite qu'à la Révolution. A défaut de preuves authentiquesnous demanderons à notre collègue M. Bassac, qui est compétent dans.la matière, en quoi les fouilles, 'dirigées par lui avec tant d'intelligence et de soin, confirment les données fournies par la tradition et recueillies par MM; de Francheville et Cayot-Délandre. Quoi qu'il en soit, ce qui est avéré, c'est que, longtemps avant 1840 , une-croix de bois était plantée sur un soubas- sement de grosse maçonnerie, à l'endroit où, disait-on, était Y autel de l'ancienne-chapelle des moines rouges-, ■ - On y venait en pèlerinage implorer la protection de saint Nicolas, pour la guérison des enfants malades, de toutes les contrées environnantes. On y venait également demander au saint patron un vent propics aux navigateurs. Les .femmes de la presqu'île'de Rhuys, qui avaient des parents en mer. ne s'en allaient pas sans élever de leurs mains- un petit édifice de pierres sèches, dont elles avaient soin de tourner l'entrée du côté du -vent qu'on désirait pour le retour de l'absent. Nous avons vu construire de ces maisonnettes, improvisées à la minute, en l'honneur de saint Nicolas. Vers 1850 (?), M. Machefaux, capitaine au cabotage, .de l'Ile-d'Arz, ayant acheté la pointe de Saint-Nicolas, eut l'idée d'en défricher une partie. Pour tranquilliser les habitants de Kerné qui craignaient que cette prise de possession ne gênât le pèlerinage, M. Machefaux engloba, la croix dans un édicule en maçonnerie qu'il fit construire avec une niche, au fond de ■ laquelle il plaça une statuette de saint Nicolas. C'est ce petit oratoire, fort peu élégant du reste, crépi en chaux blanche, surmonté d'une croix noire, qu'on aperçoit de loin lorsqu'on navigue dans la grande baie de Ker'delan. Deux personnes peuvent s'y tenir à genoux, en' face de la statue. De chaque côté sont étalés des ex-voto, des béquilles, des bonnets d'enfants et autres pièces de vêtements. J'ai dit que M. Machefaux avait opéré un défrichement partiel de la presqu'île. Les champs de blé et de pommes de terre, qu'on voit aujourd'hui, datent de cette époque. La veuve Machefaux, qui vit encore, nous raconte que le défrichement fut long et onéreux, tant le sol était encombré de débris d'anciens bâtiments, tels que pierres de diverses grosseurs, tuiles, ardoises, etc. Elle nous dit qu'en avant du retranchement qui barre l'isthme, il y avait une douve pro- fonde, large d'environ 15 mètres, et longue de 60 mètres. Cette douve était'divisée, dans son milieu, par une chaussée • . — 203 — de .grosses pierres qu'on appelait .le pont-levis, et qui abou- tissait à l'écbancrure du'retranchement, qui se voit, encore, et qui représentait l'entrée de l'enceinte. .Une route pavée,, partant de cette entrée', allait de là jusqu'à .l'extrémité de la presqu'île, aboutissant aux ruines du couvent. M. Machefaux fit.disparaître la douve en la comblant. Pour l'a combler,, il entama toute la surface sud du talus, dont il rejeta les matériaux dans la cavité. On fit de même de l'autre côté pour aplanir, et agrandir le champ cultivé-. C'est ce qui explique pourquoi aujourd'hui le parapet n'a plus à sa base la largeur qu'il avait, lorsque.M., de Franche- ville le mesura en 1840. . On découvrit a cette époque, dans l'épaisseur du talus, une urne en terre cuite contenant des os incinérés. Si le fait avait été constaté authentiquement, il faudrait en conclure que ce retranchement en vase qui barre l'isthme est antérieur au moyen âge et -se rapporte au moins à l'époque gallo- romaine, car rien ne.prouve que, dans nos contrées, on- ait pratiqué l'incinération dans les sépultures au delà du vie siècle: Sur tous les points où portèrent les travaux de défrichement Mme Machefaux nous apprend qu'on rencontra des quantités considérables de débris': matériaux de constructions de toute nature : briques à rebords et briques de carrelage, ardoises longues et épaisses, poteries, ossements d'animaux, clous et chevilles en fer, plomb. Elle nous a montré, dans la cour de son habitation à Kerné , deux pierres de granit excavées, qui proviennent des ruines de la chapelle de Saint-Nicolas, et ■ pourraient bien être des bénitiers. Elle nous a montré éga- lement des fragments de minerai de cuivre, ayant subi la fusion et qu'on a trouvés en dehors du pignon sud. • Tous ces'détails- étaient nécessaires pour vous expliquer quel intérêt s'attachait à icette pointe de Pen-Castel, où M. de Francheville, dès 1840, souhaitait que'des recherches soient faites. •''■;'_' Lorsque, il y a deux ans, je pratiquai des fouilles dans l'emplacement de l'ancienne chapelle de Gavr'inis, et que j'eus découvert ces cinq tombes de- pierre, .si curieuses, contenant - 204 — des squeleltes entiers et des vases à encens, que vous avez' vus en ' place , je songeai aux ruines de Saint-Nicolas. A Gavr'inis; comme, à Saint-Nicolas, la légende attribuait les ruines à un couvent de moines rouges, qui avait été dévasté et incendié en une nuit.. . • L'année ' dernière, lors de son excursion sur le golfe, la Société polymalhique est descendue à.la pointe de S.-Nicolas et a examiné les lieux. Enfin cette année, la Commission spéciale, dont jé fais partie avec M. Bassac,. a décidé qu'on pratiquerait des fouilles, et un crédit, a' été mis à'la disposition de la Commission. Nous avons fait des démarches près de la propriétaire. Mnie Mache- faux a donné son consentement par écrit ; et les travaux ont commencé immédiatement sous la direction de notre honorable collègue M. Bassac. ' ■• ■ Vous verrez par les plans et croquis'que nous mettons sous vos yeux, que la besogne a été considérablé, plus considérable que nous ne l'avions cru au premier abord. La végétation cachait la plus grande partie dès ruines que la pioche a fait sortir de terre. Nous avons mis à jour un ensemble de constructions très importantes et nous n'avons qu'un regret, c'est de n'avoir pu achever le déblaiement total,- par suite de l'épuisement du crédit.' ' *'•

Les travaux de fouilles, qui ont été dirigés par M. Bassac, ont d'abord porté sur les ruines du premier bâtiment qu'on rencontre en avançant dans la presqu'île, là où est actuellement le petit oratoire moderne surmonté d'une croix. Ce bâtiment ancien, qui "a été déblayé, et que vous voyez indiqué sur le plan par le N° 1, représente un parallélogramme à.trois compartiments, avec deux contreforts ■ extérieurs. ■ Orientation : S.-O. N.-E. • . ' 1° Le premier compartiment n'est clos que sur les côtés sur une largeur d'environ 12 mètres. 2° Le deuxième est pourvu d'une porte d'entrée au' milieu du pignon, et d'une petite ouverture latérale,.du côté sud. Ce compartiment, que nous avons supposé être la nef de — 205 - l'ancienne chapelle, a été déblayé en entier: Il était comblé par-une quantité considérable de débris de l'édifice. Pierres de gros et de moyen appareil ; ardoises, grav.ois, mortier; Dans le milieu à gauche, il y avait, un cube de maçonnerie, dont nous n'avons pu découvrir la destination (à moins que ce n'ait été le socle d'une croix ou d'une statue). Aux environs de la-porté principale, une masse de .plomb ayant-subi la fusion ; des fragments de fer,, clous ou autres. Du reste , aucune trace de dallage, ni de sépulture. . Le 3e compartiment, qui fait suite au précédent, a des dimensions moins grandes. Nous avons extrait des masses de matériaux ayant subi l'action du feu, et un certain nombre de corbèlets ou consoles en granit ;' du fer, du plomb, et quelques fragments de tuiles et de poteries. Ces premières fouilles achevées, M. Bassac a dirigé les ouvriers à l'extrémité nord de la presqu'île, dans l'endroit où la tradition plaçait le- couvent des Moines rouges, et où quelques pans de muraille apparaissaient sous des amas de décombres et de broussailles. Le déblaiement a mis successivement à jour une suite de bâtiments, dont les appartements affectent une forme et une distribution dont le plan seul peut donner une idée. Les constructions, dans leur ensemble, sont constituées par des murs assez, épais, faits de- moellons unis par un mortier . de chaux de coquillage ; la pierre de taille étant réservée aux ouvertures et aux cheminées. Dés vastes cheminées, il ne reste plus que les jambages,- en pierre taillée, sans ornementation, les manteaux ayant disparu. . • * Une particularité : en avant de chacune des cheminées, était creusé une sorte d'entonnoir à paroi d'argile • cuite, rempli, à l'intérieur, de cendres et de charbon. Le déblaiement des appartements à mis à découvert de' nombreux débris provenant de l'effondrement des édifices, —' pierres de construction, ardoises longues et épaisses, clous en fer, tuiles de carrelage, etc., çà et là des poteries brisées, des ossements d'animaux, une corne-de cerf, etc., etc! _ 206 — • . - • Dans le mur nord du grand bâtiment qui- regarde la baie, les fouilles ont mis en évidence quatre meurtrières verticales, dont la destination défensive se devine. Dans une encoignure, on a rencontré un petit anneau, en bronze. Tous les. murs des bâtiments étaient revêtus à l'extérieur d'un enduit grossier en chaux de coquillage. Quant aux parois de l'intérieur des appartements, elles étaient partout.recouvertes d'un enduit de même nature, plus, lisse, ayant-pour décoration une combinaison de lignes peintes en rouge, formant des carrés. Ce genre d'ornementation- murale, était surtout usité au xmc siècle, nous dit M. Bassac.

En somme, l'établissement fortifié de la presqu'île de Saint- Nicolas comprend trois groupes de monuments séparés et distincts : - ... 1° Au milieu de la presqu'île, les ruines d'un corps de bâtiments qui, d'après la tradition, porte le nom de : Chapelle;- 2° A environ 400 mètres de la chapelle, à l'extrémité dé la presqu'île, les ruines d'autres bâtiments, désignés également par la tradition comme étant ceux du couvent des Moines rouges-; . • 3° Un mur de ceinture qui garantissait de tous côtés l'accès de la presqu'île, ceinture complétée, à la'base de-l'isthme, par cette levée de vase compacte"et de pierres, • sorte de rempart précédé d'une douve, qui barrait l'entrée et que nous avons décrit plus haut. . . • . La présence sur les lieux de nombreuses briques à rebords et la découverte de médailles impériales mentionnée par. le Dr Fouquet, donne à penser que l'établissement, religieux, fondé au moyen âge, a succédé à un établissement ou à un Castrum gallo-romain. . .- D'autre part, si nous prenons pour, constant ce que nous ont "affirmé Mme Machefaux et des ouvriers qui ont été témoins, à savoir.qu'il y a une vingtaine .d'années, on a découvert une — 20? — urne funéraire, contenant des ossements brûlés, dans l'é- paisseur même du rempart de vase, qui ferme l'entrée de la presqu'île, il faudrait en conclure que cette fortification est antérieure au moyen âge et remonte au moins à l'époque ■ gallo-romaine,- .rien ne pouvant laisser supposer qu'après- cette époque on ait continué à pratiquer l'incinération des ■' morts. Cayot-Délandre et le Dr Fouquet, dans les articles que j'ai cités plus haut, paraissent d'accord pour considérer ce rempart de vase comme primitivement indépendant de l'établissement du moyen âge et .antérieur à lui. Si je ne me trompe, ce serait aussi l'opinion de notre collègue M. Bassac. Comme on le voit, nos fouilles sont loin, d'avoir élucidé tous les points obscurs, de l'histoire de cette presqu'île de Pen-Castel, où la main des hommes semble avoir laissé des traces depuis les époques les plus reculées jusqu'à nos'jours.. Nous n'avons même pas la solution des principales questions qui' se-rattachent au couvent des Moines rouges, dont nous avons déblayé les ruines. Nous ne sommes pas parfaitement fixés sur le fait de la ■ chapelle. Moins heureux qu'à Gavr'inis, nous n'avons trouvé ni chapiteaux romans, ni crucifix byzantin, ni objet caracté- ristique. Nous n'avons découvert ni le lieu de sépulture (il devait y en avoir un), ni le fameux puits qui, dit-on, recèle les trésors des Templiers. Il est vrai que nos fouilles n'ont pas été complètes, par suite de l'épuisement du crédit ; leur continuation n'est que- retardée, et nous ne désespérons pas de les achever-, le jour où les finances de la Société le permettront.

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500 m Copyright IGN - Projection Lambert II étendu / NTF

CAMORS - Le moulin la motte - Porh Hoet er Salo Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0820 E Baud - éch. l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe i.i

.Servies Régional de rArchéologie de Bretagne A««4jO<«*t.35IM<««n«CrtB.

Première mention Données complémentaires= Année première mention = □ Année = 2 0 0 8 Nature de ropération = ....piospectiorjLiny.enjtajxs

Responsable = Alaia.Tris.te.. Organisme = .C.E.ÏLA.M.

Département : MORBIHAN. Commune = ..CAMQRS..(Js° INSEE.:.5.6JMX

Lieu-dit ( du Cadastre) : - ■

Lieu-dit (de ri.G.N.) :...XEMQ1JIJNm.lJLMQTXE.r.JP.QfiH.HO£X.£R.SAm Nom du site : .JBÛRH.JBLO£X.£RJSALQ '.

0 Cadastre & nantn > : I Section

Carte l.G.N Numéro Nom Année d" édition 0820 G Baud 1986 | j | '

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre sfte : X= 1 1| 91 91 . 1519101 Xa Ya Ta Y- j 2131 310i . 1 216101 Xe Ve X4 Yi Rayon du site (mètres) : nu m X. r*

Circonstances de ta découverte : „,

Techniques de repérage : ...pr.QSpectioiLau.soL (Informateur : , ,

Description des vestiges : ..ép.er.on.sLay.ançaoLei^ Mgë.êt.piQloM

Etat de conservation : ...M.Qy.e.p

Eléments de datation : ...aucun

Chronologie proposée : ..p.éjio.dS.rn,é.diéyak

Mobilier Oui £ Non P*3 Lieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CAORE «escRve ca.tu.6 CARTC ARcxocccacxe.

N* de site attribué j j | | 1 [ | 1 I 1 [ Code AP / AH | | |

N* d'enregistrement DRACAR I 1 1 1 I Modification 0 éch. : l/1500ème

CAMORS - Porhoet er Salo Cadastre actuel - section A 3ème feuille : parcelle n° 43 - coupe n° 13. ELVEN - Saint-Christophe - site n° 56 053 008AH Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0920 E : Elven est - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/5000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe I.»

Service Régional de rArchéologie de Bretagne

Première mention = Données comc4érnentaires= Année première mention = 19 8 9

Année = 2 0 0 8 Nature de l'opération = .prospection -.jLnyjentaire

Responsable = Alain.Triste.. Organisme = .C.E,JB.A..M_..

o Département :... MORBIHAN commune = ...E.LY.EN..(ji. .INSE£.:.5.6..0.53.)..

Lieu-dit (du Cadastre) : SAMI-CHRIST.QEHE. Lieu-dit (de n.G.N.) : SAMTr.CHRISTOPHE.

Nom du site : ...SAINITCHRISTOPHE

Sections) et parceiie(s) : .D..T.paEcelles..a° 6Û3,.6.04,.6.Q6^.607 Cadastre v*r** *■ ««Mn >m< • j«i : 2 0 0 8 626,.62.7,.628».63.Q.et.631 Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 0920 Est Ëïven est 1979

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site: X= j2 j 3|5 j . |2|6|Oj X* Y» Xb Yl> Yc Y= S 2 t 311 14| . 17 (515 j Xe X4 Y4 Rayon du site (mètres) : 1 1 | 5 jTj m X» Y»

Circonstances ce la découverte : ....lahoxirs.£.t.par£elles.cuiti.Yées.. Techniques de repérage : pr.QSpectiûh.au.^Ql (informateur : ..M_X)idier.le.Clainche

Description des vestiges : ....Eluskw"S.gi&emfirvj&.ds^

Etat de conservation : Moyen Eléments de datation : ....Te.gnlae.2t.imb]:ices

Chronologie proposée : ...époqne..gallaTromaine

Mobilier Oui Non 1X3 tieu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CAORE RÊSCRVE CELLULE CARTE AAœtxcoxe N* de site attribué | 1 | 1111 | | j | Code AP / AH | 11

N* d'enregistrement DRACAR 1111 Modification ELVEN - Saint-Christophe cadastre actuel - section D parcelles n° 603, 604, 606, 607 626 à 628, 630, 631. (entourées en rouge)

Zone orange : gisements très dense de tuiles

Zone orangé très clair : emplacement probable de la partie fouillée en 1842 d'après les données bibliographiques et les agriculteurs rencontrés lors de la prospection g > M 3 en J» o n> |-t en » p. 1 O CD 00 3 o P g» — » S" &° ON çn H r> ON s. y en CD- R O ft>- on CD 3. T3 o B O "O B' & tr CD 1 " B CD »£'c oo n Cu G OO O 8-

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0 THANf, « Notice sur la villa gallo-romaine de Saint-Christophe en Elven (Morbihan) », Annuaire du Morbihan, 1843, p. 168-174.

En août 1842, j'eus l'honneur d'informer M. le préfet du Morbihan que, par suite de nombreuses fouilles pratiquées dans un champ voisin du village de Saint-Christophe en Elven, j'avais découvert une vaste habitation d'origine romaine, situé à 3,600 mètres au nord-est du camp de Lez-Castel, et à environ 3 kilomètres au nord de la voie romaine qui conduisait de Vannes à Blain. Dans ce même village une colonne romaine, élevée à Aurélien par ses soldats victorieux gisait sur le sol depuis des siècles ; aujourd'hui, grâce à nos fantassins, aidés des habitans (sic), elle est debout et chacun peut y lire cette inscription parfaitement conservée : MAGN IMPCAES AVRELIAN INVICT TRIBPO III- PP ADM J'ai fait relever cette curieuse colonne sur le lieu même où je l'ai trouvée ; et, pour en assurer la conservation, je l'ai fait surmonter d'une croix. C'est en interrogeant le sol autour de ce monument du 3eme siècle que nos fouilles ont commencé. Après un travail de plusieurs mois, souvent interrompu par les exigences de mon état, je pensai qu'il convenait de placer cette découverte sous la protection éclairée et bienveillante de l'autorité, heureux d'avoir payé moi-même mon tribut le premier. Une somme de 500 francs fut accordée et je continuai avec une nouvelle ardeur, malgré la distance de près de trois lieues que nous avions chaque jour à parcourir pour l'aller et le retour. Bientôt on vit sortir de la terre une villa gallo-romaine, présentant dans sa partie découverte un développement de 40 m de longueur sur 20 de largeur. Comme toutes les villas gallo-romaines, celle de Saint-Christophe n'était composée que d'un rez-de-chaussée formé de plusieurs pièces qui se succédaient, et dont les plus petites n'ont pas plus de 3 mètres 33 centimètres sur 3 mètres de largeur. Plusieurs de ces pièces étaient revêtues de pierres de petit appareil, et, dans la partie que les terres dérobaient à l'action de l'air, recouvertes de mortier enduit de stuc qui avait été peint. Un mur de refend règne dans toute la longueur de l'édifice ; il semble clore toutes ces différentes cellules, qui ne présentent aucune trace de passage pour communiquer de l'une à l'autre. Entre ce mur de refend et un second qui lui est parallèle se trouvent plusieurs grandes pièces ; dans l'une d'elles deux aires superposées feraient croire à des constructions de deux époques différentes ; sous ces aires un lit de cailloux d'une profondeur d'un mètre à un mètre vingt centimètres, servait soit à exhausser le sol, soit à défendre contre l'humidité du climat. La pièce de l'hypocauste se reconnaît à son sol calciné, séparé d'un second sol par des colonnettes de briques de quinze à seize pouces de hauteur, et surtout par ses conduits carrés chargés de répandre le calorique dans les autres pièces. A l'extrémité opposée de l'édifice, un de ces conduits se relevait perpendiculairement et laissait apercevoir une ouverture carrée intacte. Ces deux sols étaient de ciment fait avec des briques pilées, du sable, des cailloux anguleux noyés dans la chaux, et si parfait, qu'aujourd'hui même il résiste à l'action de l'air et des eaux. Pour protéger cette pièce j'ai laissé un arbre sur la partie des colonnettes qui subsiste encore, car les curieux en ont détruit une partie et enfoncé le sol. Il serait à désirer que l'administration acheta le terrain, qui a peu de valeur, et le fit fermer. Les murs de l'hypocauste n'existaient plus, mais en creusant j'en ai retrouvé une partie qui avait disparu par suite d'une dépression du sol : c'était un amas confus de corniches, de moulures dont quelques-unes étaient coloriées, de modillons et de fresques représentant des bandes de diverses couleurs, des dessins et des ornemens (sic) de feuillage ; tout annonçait dans cette pièce des dispositions intérieures recherchées. La grande quantité de clous, de cendres et de charbon trouvés sur le sol autour des murs extérieurs donne lieu de croire que cette villa a dû être palissadée ; le peu d'issues qu'on y trouve semblerait en effet indiquer la demeure d'hommes qui avaient à se défendre des embûches de leurs voisins. Les nombreuses substructions du sol ne nous ont pas encore tout révélé ; la continuation des fouilles nous apprendra si l'établissement de Saint-Christophe appartient à une villa close ou à une villa ouverte ; en d'autres termes, s'il a été créé au siècle de la conquête ou pendant le calme de l'occupation. Toutefois il est impossible de méconnaître son importance comme position militaire ; en jetant un coup d'œil autour de ces ruines antiques on est frappé du discernement qui présida au choix de cet emplacement situé à 4 lieues de Vennes, ville principale de la Gaule celtique, autour de laquelle rayonnaient tant de voies romaines, entre le camp de Lez-castel et la voie qui conduit de Vennes à Blain. Il fut certainement un des établissements militaires importans (sic) destinés à couvrir et à enceindre Vennes. La colonne d'Aurélien ne semble-t-elle pas d'ailleurs témoigner elle- même par sa présence de l'importance stratégique de cette position ? Un chemin ferré dont les traces s'aperçoivent à cent pas de la colonne et connu sous le nom d'Ancienne chaussée, dans les bois du Helfaut mérite toute l'attention des hommes recommandables qui se sont occupés des voies romaines de la Bretagne et en particulier de celles du Morbihan. De nouveaux fonds, n'en doutons pas, seront accordés pour achever de mettre à découvert les richesses archéologiques de la villa de Saint-Christophe. Une seule médaille de Claude le Gothique, une fibule, une clef en bronze, un pommeau de poignard, une anse de vase en bronze, terminée par une tête de dauphin, une soucoupe de même métal, ont été trouvés en déblayant les terres ; car il est bon de dire que le plan n'a pas été sacrifiée aux fouilles ; une fois entièrement à découvert on pourra pousser jusqu'à la terre vierge si l'on veut. Que de raisons pour ne pas abandonner une découverte destinée à jeter peut-être quelque jour sur l'histoire de la Bretagne sous la domination romaine ! Il a été trouvé dans différentes parties de l'édifice une quantité innombrable de briques de différentes formes, des tuiles à rebord, des fragmens (sic) de plus de 150 vases de poterie étrusque et romaine, de différentes couleurs avec des dessins en relief. Sur un fragment de poterie fine, rouge, étaient des colonnettes réunies par de légères arcades ; des fragmens (sic) de bols,n d'assiettes, de patères et d'amphores de la plus grande dimensions ; de petites coupes en verre, des morceaux de verre en tablette épais comme celui de nos glaces, des fragmens (sic) d'urnes remplis de cendres et d'ossemens (sic) brûlées ; des clous à deux têtes ; des fragmens (sic) d'armes et autres objets en fer oxydé ; ajoutons à cette nomenclature de la poterie grise gallo-romaine. J'oubliais de dire que j'ai trouvé moi-même dans un des conduits de l'hypocauste un fragment de bronze représentant une femme jusqu'à la ceinture, le sein nu et les cheveux flottans (sic). Ce beau fragment s'est adapté parfaitement à l'anse du vase dont j'ai parlé ci-dessus, grâce à l'essai qu'en fit M. le conservateur du musée de la société polymathique de Vannes en le recevant. Il recouvrait la panse du vase ; ainsi maintenant c'est un morceau complet. On trouvera aussi dans les cabinets de M. de la Monneraye, au Clio, et de M. l'abbé Marot, recteur de la paroisse de Sérent, une grande quantité de rebords de différentes formes et de différentes couleurs, dont je n'ai pas voulu encombrer le musée ;mais qui cependant méritent d'être étudiés. CAYOT-DELANDRE, « Villa gallo-romaine découverte au village de Saint-Christophe en Elven (Morbihan) », Annuaire du Morbihan, 1843, p. 163-168.

Dans les premiers mois de l'année 1842, M. le capitaine Than, du 4eme régiment de ligne, fut envoyé avec sa compagnie en cantonnement à Elven, petit bourg de l'arrondissement de Vannes, situé à deux myriamètres à l'est de cette ville. Les nombreux loisirs d'un officier dans une garnison de ce genre permirent à M. le capitaine Than de se livrer à son goût éclairé pour la recherche des antiquités. Le hasard voulut que dans ce temps- là même les habitans (sic) du petit village de Samtôchristophe, qui font partie de la commune d'Eîven, eussent l'idée de vendre, au profit de leur chapelle, un bloc de granit creusé en forme d'auge, qui gisait à cent pas du village depuis des temps immémorial. On le connaissait aux alentours sous le nom de tombeau de Monsieur Saint-Christophe. Il fut acquis au prix de 10 francs. La société polymathique de Vannes, informée par l'un de ses membres que cette pierre portait une inscription qui présentait des caractères d'Antiquité, se hâta de la racheter, et se disposait à prendre des mesures pour l'étude des lieux, quand la nouvelles étant parvenue à M. le capitaine Than, celui-ci trouva dans cet indice un aliment à son zèle d'explorateur ; il se rendit à Saint-Christophe, fit soulever la pierre, et reconnut qu'elle portait à la face opposée à celle qui avait été creusée, une inscription romaine, que par grand bonheur, le marteau avait épargnée. Il n'y avait ni doute à exprimer ni hésitation à ressentir, car l'inscription n'avait éprouvé ni mutilation, ni altération. Cette pierre, dont on avait fait pendant plusieurs siècles un si vil usage était une colonne votive élevée à l'empereur Aurélien par les soldats d cantonnement de Saint-Christophe, ainsi que l'expriment les caractères AD. M, qui forment la dernière ligne de l'inscription, et que nous interprétons par Adventus militum, arrivée des soldats. La découverte était importante. Le poids énorme de cette colonne dont la hauteur dépasse deux mètres et dont le diamètre est de 35 centimètres, ne permettait pas de penser qu'elle eût été apportée de bien loin sur le lieu où elle se trouvait alors ; d'ailleurs, en regardant attentivement autour de soi, on reconnaissait que le sol était parsemé de nombreux fragments de briques qui ne pouvaient échapper à l'œil exercé d'un observateur. M. Than fut bientôt conduit par ses recherches sur le point le plus curieux de la station. Une fois assuré que ses efforts pouvaient aboutir à quelque découverte utile pour la science, il consacre à la fouille de ce terrain tous les instants dont il peut disposer, et bientôt il mit à jour des substructions tellement considérables par leur nature et par leur développement, qu'il crut que le moment était venu d'appeler sur le résultat de ses travaux l'attention des amis de l'étude. Ce fut je crois vers le mois de juillet que quelques membres de la société polymathique, au nombre desquels je me trouvais, se rendirent au matin au bourg d'Elven, où les attendait le capitaine Than. D'Elven à Saint-Christophe le trajet s'effectua tout en causant de l'objet qui avait déterminé cette excursion. Nous pûmes juger dès lors combien de connaissances solides et variées possédait notre guide, et quelle chose heureuse avait été pour la science son séjour dans le voisinage d'un tel monument. Au reste M. Than n'en était point à son début dans les travaux de déblaiement de constractions antiques ; en Algérie il avait assisté et participé à des opérations de ce genre, et il trouvait, nous disait-il une analogie frappante entre certains monumens (sic) romains et découverts dans l'Afrique française et celui qu'il venait de trouver à Saint-Christophe. Arrivés dans ce petit village, établi au fond d'une assez forte dépression du sol et composé d'une demi-douzaine de chaumières et d'une chapelle, notre premier soin fut de nous rendre au lieu où s'élève la colonne. Là nous pûmes l'examiner à loisir et nous étonner de ce que l'inscription en ait été si complètement préservée de toute altération, qu'on la lit aujourd'hui sans le moindre effort et la moindre hésitation. De là au lieu de la fouille, il n'y a qu'un pas ; on s'engage dans un chemin étroit, l'on franchit l'un des talus qui le bordent, et l'on se trouve sur la fouille même, c'est-à-dire sur les ruines d'une habitation romaine construite il y a seize siècles. A l'aspect des débris qui n'offrent rien d'analogue aux ruines des époques postérieures, il ne reste pas un doute dans l'esprit ; on se reporte involontairement au temps de l'occupation ; on reconstruit par la pensée cette villa romaine ; on ressuscite les soldats d'Aurélien qui stationnaient autour d'elle, on détruit ce pauvre village et les arbres qui le cachent ; puis on porte au loin la vue dans la direction de la voie romaine qui conduisait de Vannes à Blain, pour découvrir si quelqu'une des légions impériales ne traverse le pays. La villa de Saint-Christophe est située sur le bord d'un plateau assez élevé qui domine le village, et d'où découvrirait un vaste horizon si les plantations qui l'entourent n'y mettaient obstacle. Cette habitation, dont l'importance était sans doute en rapport avec elle qu'on attribuait à la position considérée militairement, se trouvait complètement enfouie sous une couche peu épaisse de terre mélangée d'une innombrable quantité de débris de briques et de poteries romaines dont on retrouve çà et là des fragmens (sic) dans les champs environnants. Le travail de déblaiement était déjà avancé lorsque nous visitâmes ; la partie mise à découvert présentait un développement de plus de 20 mètres ; c'est-à-dire toute la largeur de la petite pièce de terre dans laquelle s'exécutait la fouille. Nous fîmes donner quelques coups de pioche dans un petit chemin adjacent, et nous y retrouvâmes le prolongement des maçonneries. L'intérêt de l'opération augmentait en raison de l'importance que paraissait acquérir le monument. M. Le capitaine Than continua depuis cette époque à diriger les travaux, et son départ seul en amena l'interruption. Au commencement de l'automne il reçut l'odre de quitter le cantonnement d'Elven pour se rendre à Belle-Isle-en-Mer, où il est encore aujourd'hui et d'où il a bien voulut m'adresser la notice suivante, dans laquelle il rend compte de ses travaux de fouille, décrit le monument et indique les objets curieux qu'il y a trouvé. Après avoir lu sa description, il est impossible de ne pas s'associer au vœu qu'il forme pour l'achèvement des fouilles et pour l'exploration complète des lieux environnans (sic). L'ajoute que son absence sera vivement sentie dans le cours de ce travail, si l'on peut obtenir qu'il le dirige lui-même et qu'il le facilite par les observations nombreuses qu'il a faites sur les lieux.

Archives Départementales du Morbihan - 2 J 64 : Fonds Galles Dessin sans date. LIMERZEL - Crévéac - La lande de la chaussée Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (1021 E - Allaire - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe I..

«Service Régional de 'Archéologie de Bretagne ^MiiQ\*p*r*. 33044 Acmés Crd«x

Première mention = Données complémentaires^ ^ Année première mention 19 8 8

Année = 2|010 1 8 Nature de f opération = .. ..p105p.6ctioa.in.ven.take

Responsable = Alainlriste.. Organisme = .CE.RAJM......

Département : MORBIHAN. commune = .LIMERZEL.(n° JLNSEE.;..5.6...in) Lieu^lit ( du Cadastre) : LA1ANDE..DR.LA.CHAUSSEE.

Lieu-dit (de ri.G.N.) : .....CREVEAC

Nom du site : .....CREYEAC. T. JLALAKDE.DJ1.LA.CHAUJSSEI1

Cadastre <*• «*r* I sectes) et parceiie

Observations : _

Carte l.G.N. Numéro Nom Année rf édition 1021 E Àllaire

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X= j 21 4| 81 . I 01 91 01 Xa Ya Xb Yti Y= 121310171.1015|0| Xe Yc X4 Y4 Rayon du site (mètres) ; m Xm Y.

Circonstances de la découverte : ..&.r.ch,ive.sJnMte.§.d.'A,. Lepart,

Techniques de repérage : ...pr.QspectioJxau.sol Ilnformateur : „

Description des vestiges : ..gisement.tr.às.&e,ns£^^ .(y.aii.arebïv£&.jai

Etat de conservation : ...MauvaisXl&-ui&jeuie..par^ par.r.aménagement.de. la 2x2.vo.ies.de.. Questembert.à Malansac, achevée en 2004) Eléments de datation : ..ceramques.sigulée..et.cQm

Chronologie proposée : ...période.ga].lo.-.r.oraaine

Mobilier Oui J^j Non Q Lieu de conservation : ..dép.ÔlaicMologique.du.Mojhihan - .56000.Vannes-

Documentation : '.

Bibliographie :

CADRE RÉSERVE CEU.U.E CARIE ARcxoioGKxe

N* de site attribué j | | 1111 1 | | | Code AP / AH ( 1 j

N" d'enregistrement DRACAR Modification LIMERZEL Crévéac - la lande de la chaussée cadastre actuel -section ZD parcelles n° 7, 109 et 111

Zone orange : gisements très dense de tuiles

Zone orangé clair : concentration plus faible de fragments de tuiles

En vert : tracé de la 2x2 voies

100 m éch. : l/2000ème LIMERZEL - Crévéac - la lande de la chaussée Archives inédites d'A. Lepart. LIMERZEL t ( Crévéac ) Fragments de tuiles, briques et poteries gallo-romaines.

23 MARS 1952.- Entre l'Ardoise et Crévéac,à droite et m

bordure du large chemin qui relie ces deux villages, je trouve dans

SB champ ,ancien bois de pins,de très nombreux fragments de tuiles, et de briques.

8 KQVEMBRB 1952.- Je retourne sur la parcelle là0 2£ dite " Clôture de la Chaussée " qui appartient à la Section £.!&I du lieu dit M Crévéac I . Dans ce champ fx*aîchement labouré a, surtout

dans l'angle nord-est sont semés à profusion en plus de morceaux de tuiles,des fragments de poteries de toutes tailles,de toutes

■.ft uoiiu o«ru^.ins cm-S. itn. K•S meuie en ■ *

granit qui mi a là pour empierré le chemin M. également été décou- vert dans la parcelle de la "Clôture de la Chaussée".Je 1* rap- porte chez moi.

Dans la parcelle K° 33 de la même section," les Gra Clos " qui est située au nord-ouest de la parcelle K°28,le l'autre coté du chemin je ralèvs de nombreux débris de tuiles.

LIMERZEL - Crévéac - la lande de la chaussée PLUHERLIN - La Maillardière Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (1021 E - Maire - éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/5000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe I.»

.Service Régional de rArchéologie de Bretagne «.M «i CS**&B*. ÎSm Kwrt Ceàt*.

Première mention □ Données complémentaires^ [Xj Année première mention = Année = 2 |Q j pj 8| Nature ce rocération = pj.Qsp.ectioji.iu.Y.eD.taij:e.

Responsable = „ Alain..Triste.. Organisme = .CJLRA.JVL...

Département : MORBIHAN. commune » PLUHERLIN..(.a0.XNJSEJE.i.5.6.173l) Lieu-dit ( du Cadastre) : ...IA.MAILXARDIERE

lieu-dit (den.G.N.) : 1A.MAIIXAJRDIERE Nom du site : XAMAILLARD.JDERE

Cadastre t**+* *, *»r«*n> * : Sections) et parceJle

Observations : „„ „

Carte I.G.N. Numéro Nom Année tf édition 1021 E Alla ire 1993

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X= 1 21 41 61 . 1417101 x> Y» n> Yb Y» | 21310| 91, fflXjTj Xc Yc X4 Y4 Rayon du site (mètres) ; | 3 | Ô j m Xm r»

Circonstances de la découverte : ..éti^.des.axchLv«&,ijaédites.dA_Xepail..

Techniques de repérage : ...pr.ospecticua.au.sci Ilnformateur :

Description des vestiges : .Le.site.compreiixtimJiahiM.co 9 ,.celle.au.aca413..xJû.m^^ d'un-»nBorta»t.taïtt& à structures qualifiées de "tombelles" par le découvreur (A. Lepart), mais dont l'usage précis reste à déterminer. Etat de conservation : moyen.(les.slxiiatates.^ ; Eléments de datation : ...aucun

Chronologie proposée : .période. mé.cUéyale..(site^ par.exemple)...

Mobilier Oui 1 1 Non EK} Lieu de conservation : ...

Documentation :

Bibliographie :

CADRE RÉSERVE CELLULE CASTE A/uxoLOGwue.

N* de sHe attribué | j | | j | 1 | | | | Code AP / AH | | |

N* d'enregistrement DRACAR 1 I 1 I 1 I Modification

GROUPE le. • LES GREES DE BAS » en PLUHERU.N ( Morbihan)

Ie.- SITUATION t De part et d'autre de la route de Pluherlin à Car- moisan (Chemin rural N°I2j et autour de l'ancienne croix des " Grées de Bas ".Sur une colline qui domine le ruisseau desnPérriàres". *

* • •

{SECTION dus N° du ! COMMUNE LIEUX-DITS CADASTRE.- PLAN,.. ' NATURE de la PARCELLE ■• • •■ » C PLUHERLÏN ? L" : 16 : Le Fraîche î Lande et futaie résineuse r> , n : 17 : Le Clos de la Vache. Bois (Feuillus & résineux) n < M :, 21 îLes Grées de Bas Lande et bois (rP-) - w II • ■ 1 : :. r: • Le Troche •

» '.. > *• 672 : Les Grées de Bas ! ■ - d° • n i w : :si • d° ! Lande

•* • . : -

. - - • 2°.- DESCRIPTION !

LIEDX-DITS * N° du 1 N° des 1 FORME des * DIAMB-.: GRAND ' PETIT18 ci-dessus désignés :' PLAN. :T0MBELLE3î TOMBELLES : TRE j AXE : AXE » flfl-"J-]!'0tt

Le 81os de la Vache : 17 I 5 Circulaire . 13 m. t —. . | "° { I m. Le Tronche . 671 2 < d° :3m. . — , {. —. • • 0 m.45 Les Gréés de Bas : 681 3 ! d° 3 m.80 - . • «!• j 0 m«60 - •• n ; n 4 ! Ovoïde • • - •: 5 m.40 j 4 m..40 t 0 m.70 M ; 672 Circulaire : 2m. . : — • C ffi-«40 - n . n 6 ! : d° -:3m. :■ • - • : - : 0 m.70 n î 21 j d° i 3 m. •t t - t Arrasée il • n • î ' Ovoïde ; — 5 2 m.80 x 2 a, t d° n * n 9 ! à° : - : 6 m.30 ; 4 m. : d° u • M • 10 ■ " d° • - . 2 m„80 • 2 m. • 0 m.45 n • n • : II : d° • - S 5 m. : 2 m.IO : 0. jff.40 H -• M • 12 • : d* : - : 3 m.50: 2 m.IO . 0 m.40

TOTAL • , 12 : à reporter.

PLUHERLIN - La Maillardière source : Archives A. Lepart : dossiers " tumulus et tombelles " fc* ...... , , . . - 1 * «f-T** l SOiME desî ' N* du 1 N° des DIAMEU* GRAND 1 PETIT.5 HàUTllUïï ci-dtïBsus désigné s ; iîniK» î Tïfls ; AAE ■ AXE ;

12 : JLes Grées de Bas 21 T5 Ovoïde 2 m.70 *> Arrasée ... LA îVs^lift... - f 16 S TA : A* -s - m.IO i 7 m.TO ! 0 m.^ N 15 : d6 s - :4 m.60 ! 3 m.30 ! 0 m. 55 II : » Î 16 : d° : - $4 m.70,! 3 m. ! 0 m.60 M - - Î W : 17 : Circulaire: 2 m. : - i 0 m.50 II ; H • 18 d° : I m.70 î - , 0 m.25 II » n < ... 19 : Ovoïde s - s 3 m. 12 m.IO ! 0 m.40 • H < 20 : de : s 2 m«30 il m.50 ! 0 m.20 "• W < 21 . d° i - :5m.60 ! 4 miT ! 0 m.60 « • » i 22... d° ! — : • 6 m. !4 m.80 ! 0 m.60 M • n < 23 d3 i ■ En partie détrîd te.immesurable. n • H ! 24 : Circulaire! i2 BU70 : : Arrasée n * n ï 25 : Ovoïde '2m®SM:Z m.IO ■ ! d° n • n t : d° ; - Ï2 m.70 : 2 nu ! 0m.30 n • w : 27 : 0blongue Î - :5 m.50 ;2 m.50 : Arrasée •t • N : 28 •: Circulaire > 4.m.50 s - • : 0 m.85 M . n : 29 ; Ovoïde ! - :2 m.60 : 2 m. s 0 m.45 n . u : 30 î d& t : 3 m.IO j2 m.20 : 0 m.50 N - n : 31 : î - : 4 m.20 î2 m.50 • 0 m.50 n H : : d° • - ; 3 m.50 •! m.75 : 0 m.56 • 33 à» — 3 m. 2 a. 25 ti : 34 :. : _ m.7n î Ci m. «SB . •■ TOTAL....'.". : s1 dont 10 tombelles circulaires __tombelles oblongues 23 tombelles avides _~ tombellesellipsoïdales.

3e.- REMARQUES:;. A 1»Ouest du groupe des tombelles.dans la parcelle N°I6. plusieurs structures indéterminées ;- Ie Une enceinte elliptique Nord-Sud, de 16 x 9 m. d'où, pgrt perpendiculaireffient.en son;ailieu ouest,un talus épais qui va rejoindre en Est le fossé rie la parcelle N° 669»- 2° Une a'utre enceinte elliptique Est-Ouest avec ouverture sur le mi- lieu de son c8té midiîdimensions extérieures : 13 z 10 m. limitée par un taluë de 2 m de lar- ge qui semble être tta vestige ou'reste de murets.Une autre enceinte de 10 x 8 m. lui est ac- colée et semble §tre-rectangulaire,elle est dirigée Nord-Sud.

PLUHERLIN - La Maillardière source : Archives A. Lepart : dossiers " tumulus et tombelles " PLUHERLIN - La Maillardière source : Archives A. Lepart : dossiers " tumulus et tombelles SARZEAU - presqu'île de Truscat - site n° 56 240 004 AH Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (0921 OT - Vannes, golfe du Morbihan éch. : l/25000ème) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe I.»

.Service Régional de rArchéotogie de 8retagrw •«, M

Première mention □ Données cc>mplérnentaires- Année première mention = 1 j 9 I 8 | 8 Nature de r opération = ....pïc?sp.ectiQri.iaYeataiie. Année - 2 10 10181 Responsable = Alaia.Tiiste,. Organisme = .CE.jELA.M_

Département : MORBIHAN. .. commune - SAF^EAU..(a

Lieu-dit ( du Cadastre) : ERESQ.H'.ÎLE.J>E.TRIISCAX

Lieu-dit (deri.G.N.) : ... PlŒSQIi:tLE.DE..mU&CAI Nom du site :. ..PRESQ.U:ÎLEJ>E..TJRE&CAT.

Cadastre _» **** t pun : Sections) et parcelles) : ..I-..pacce.U.es..n.° .42,..43..et.4.4

Observations :

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d'édition 0921 OT Vannes - golfe du Morbihan 1997

Coordonnées Lambert Zone : □ Contours

Centre site : X = 2TTT61. loin 51 XM v« Xb Yb Y= |21219141.I818151 Xe Ye M Y4 Rayon du site (mètres) : i r 14ii m Xm Ym

Circonstances de la découverte : ..Labo.UIS£t.él.Qsian.de.ia.digue.,

Techniques de repérage : ...pr.ospecuon.au.sol , llnformateur : „

Description des vestiges : Jfoâg[&mfàAçj£guLÇMj£wktiÇ.ëS^

.A&QXex,.]jLdé£Q.w.&ïe.&^ que dans la vase du marais (OI - parçelle 42) Etat de conservation : .Moy.en.(le.^te.a.peiÙT&re.sté.partie.llemeH[4.détnxit.lors-de-lWénag^nent' des-mafais -salantS'- à l'époque moderne). Eléments de datation : jœramiques.sigillée.etcornmunfi.gallori:oinaines Chronologie proposée : .périûde.gaUo-r.cjrnaiae

Mobilier Oui [X] Non £3 Lieu de conservation : ..dép.Ô.t.aichéologique.du.Morhihan.-.5l50ÛO..Vannes..

Documentation : i

Bibliographie :

C*ORE RÊSCRVE CeUUtE CARTt ARCXCXOOCX^

N* de site attribué | \ \ \ \ \ | | | { j Code AP / AH [ | |

N* cfenregislrement DRACAR 1 | 1 Modification

Le vaste territoire de Sarzeau présente aussi quelques châ- teaux modernes : Kcrlevenan, Truscat, Kcrolier. Le premier, qui date seulement de la fin du XYill* siècle, peut être consi- déré comme Tune des plus élégantes constructions de la pro- vince; il est à 4 kilomètres de Sarzeau, sur le bord de la route de Vannes. Truscat est situé sur le bord du Morbihan ; il ne se fait point remarquer par son architecture ; mais sa position est charmante. Sans doute- il y eut ià, au temps de l'occupation, quelque établissement important, quelque riche villa gallo-ro- maine ; car on retrouve sur le rivage, auprès du château, une grande quantité de briques à rebords et de nombreuses petites pierres appareillées, qui doivent provenir d'une construction an- tique. De pareils débris se retrouvent sur d'autres points de la presqu'île et notamment à Pcnvins.

CAYOT-DELANDRE, Le Morbihan, son Histoire, ses monuments, 1848, p. 223

Cet explorateur, en présence, de celte importante découverte,.a dû s'enquérir de la provenance de ce» marbres. On lui aura sans doute appris qu'une villa romaine, dont il reste encore des ruines très-connues dans le pays, s'élevait jadis sur le bord même du golfe du Morbihan, tout auprès du château actuel de Truscat, au nord et à quelques centaines de mètres seulement de Sarzeau. On aurait même pu lui foire savoir aussi que des tuyaux d'hypocaustès, extraits naguère de ces mines, se trouvent à Vannes, dans le musée archéo- logique de la Société polymatbique (i). J'ignore si l'on poussa plus loin les renseignements; mais u'ëtaienl-îls pas déjà suffisant? pour indiquer la provenance de l'inscription à notre voyageur, qui -dut écrire sur ses tablettes que ce bienheureux marbre sortait de la villa romaine de Truscat?

LUCO (abbé). Inscription chrétienne de Sarzeau (Morbihan), s. d., p. 4 (N.B. : l'inscription en question dans le titre de l'article a été rapportée de Rome par le propriétaire du château de Truscat).

SARZEAU - Truscat - site n° 56 240 004 AH Sources bibliographiques. SULNIAC-LePeuh Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN (1021 O - Questembert - Damgan - ech. : l/25000eme) et sur cliché aérien (en blanc) (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe !..

«Service Régional de f Archéologie de Bretagne ■ lue «j CN-0tte. «3044 ferme* Ce***.

Première mention = Données cc«nplémenlaires= Année première mention =

r— Année - 2 0 0 8 Nature de ropération » .prospsctiQrjLiay.eatajie

Responsable = Alaitt.Triste. _ Organisme = .G.E.ÏLA-M—

Département : MORBIHAN. commune « S.ULjmC.Xn?..I]vlSEE..:..56.24.7.). Lieu-dit (du Cadastre) : LANDE.D.1EN.BAS

Lieu-dit (deri.G.N.) : .....LEPEUH Nom du site :... .LE.PELIH.-JLAND.E. D.1EJ1BAS.

Cadastre secUon

Observations;

Carte I.G.N. Numéro Nom Année d" édition 1021 O Questembert - Damçan 1994

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centre site : X= 1 21 31 31 . 1312151 X* Y» Xh Yt> Xc Ye Y- I2131 0161, raTTri m Y4 Rayon du site (mètres) : | 5 [ 0 | m Xm Y»

Circonstances de la découverte : ..i&de..dja.Cada£tt£.a&^ Techniques de repérage : „ ,

Itnformateur : „ „., ;

Oescripticfl des vestiges :„.çM^ ..Cel.ej}£lQs.ne.pr.éseat^ Etat de conservation : ...MQ.y.e.n..(te.sil^

Eléments de datation : jaU-GUEL \ Chronologie proposée : ...MW!^jÊâè!§XSSÈÊÇ.l}R^§. de. nombreuses œ^p^ç^ss^^j^Ys^.^xe faites ay.ecle&.enclos gaulois) Mobilier Oui | | Non |X3 tjeu de conservation :

Documentation :

Bibliographie :

CAORE n6se«ve ceuu.6 CARTE *ao«xcciaue.

N* de site attribué | \ j I I I 1 1111 Code AP / AH | | |

N* d'enregistrement DRACAR Modification SULNIAC - Le Peuh - La Lande d'en bas Cadastre actuel - section ZP parcelle n° 1. SULNIAC - Le Peuh - La Lande d'en bas Cadastre ancien de Sulniac (1830) section E dite de Tréguern - 2ème feuille. TREFFLEAN - Le petit Bézy Localisation du site (en rouge) sur la carte IGN ( 1021 O : Questembert / Damgan - éch. : l/25000eme) et sur cliché aérien (Géoportail - éch. l/10000ème) Déclaration de découverte archéologique Annexe I.»

Service Régional de rArchéologie de 8retagne «.«<•«'Oui**. 33044 IWnCtdu.

Première mention * Données complémentaires3 Année première mention 1 1 1 9 | 8 | 8 )

Année» |2 |Q | 0| 8| Nature de l'opération s ...... prospectiQaiaY.enlajxe

Responsable = Alaia.Triste. Organisme = .G.E.K_A_M_

Département : MORBIHAN. commune =. JREEELEAN..(jQ° JMSEE.;..5625.5.) Lieu-dit (du Cadastre) : LE CLQS.KERNO.

Lieu-d» (de n.G.N.) : ...XE PE.TIT.BEZY. Nom du site : ...LEP.ETIT BJEZ.Y.r..LE..CLQS.KERNO

Cadastre

Carte I.G.N Numéro Nom Année d'édition 1021 O Ouestembert - Damean 1994

Coordonnées Lambert Zone : Contours

Centresite: X« I 21 21 81 . I 01 11 51 X» Y» Xb tv Xe Te Y= |2|3|i|o|.EHDg X4 Y4 Rayon du site (mètres) : □nig- Xm r»

Circonstances de ta découverte : „

Techniques de repérage : ...prospectionlau-saL.. I Informateur : „

Description des vestiges : ..gisemejat.dejj^..^ .&e.siûie.px)iJ£ilesi^^ Recouvert a. prnxuffltf en 1961 (frfr « 56 255 QQ|Jr ' .„ état de conservation : ..MflyfiJi.(Jtabûuxs.et.ojs^^ très prochesdu-site Eléments de datation : xémmiqEexojmjoijme.gaJJo.-ramaiae : Chronologie proposée : ...période.gallo.-.r.Qmaijae .

Mobilier Oui^J NonQ Ueu de conservaUon : ..dép.Ô.t.aichéologiq.ue.du.Mcu-hihaa.T.560Û0..Varmes. Documentation : '.

Bibliographie :

CADRE «SCRVC CELLULE CMTE AKOCOLOOIOUE. N* de site attribué | 1 | | | [ | 1111 Code AP / AH U_! N* d'enregistrement ORACAR I 1 I I Modification □ éch. : l/2000ème TREFFLEAN - Le petit Bézy / le clos Kerno cadastre actuel - section ZB : parcelle n° 49 et section ZV : parcelle n° 20. En rouge : gisement de tuiles observé en prospection ; en orange : localisation des vestiges signalés en 1885 par E. Rialan 50 m

TREFFLEAN - Le petit Bézy - Le clos Kerno Localisation sur le cadastre ancien de treffléan (1830) des vestiges (parcelles entourées en rouge et carré blanc - emplacement approximatif pour ce dernier) signalés dans l'ouvrage : RIALAN (E.), Nouvelles découvertes archéologiques dans le Morbihan : en 1885, Vannes, 1886, p. 17 et 18. ^ I ï EnTrefiéan.— M. Leiournly sa rappelant u propos au nom/.e:;/, avoir remarqué, il y a longtemps, pondant, son service d'agent-voyer, beau- coup de briques à !a ferme du l'etit-Iiô;y en Tivlléan, a bien voulu, à mon instigation, y retour'cr récemment examiner les lieux. Il y a constate, dans le N* 531 section B du Lkmrg, lande, nommé l'arc Lanit, contigu à la maison d'habitation cl derrière elle au nord ri à l'est, des restes de noirs antiques ayant encore plusieurs centimètres au-dessus du sol, oteuviioii un mètre de fondement dans les endroits près (lesquels on a creusé. Situes à 8 m. au N. O. do celte maison, ces murs forment un carré do li m do coté. Ils sont en pierres de petit appareil maçonnées à chaux cl à saMe ; cer- taines parties de leur face intérieure sont encore revêtues d'un enduit. f/in- térieur, comprenant une surface d'environ 25 mètres carrés, est tout cou- vert de briques et de tuiles à rebord, dont la plupart des fragments sont très grands ; il y aurait là plusieurs charretées de ces débits, el il semblerait que la toiture se serait elfundrée d'un bloc. Sous cette couche do tuiles se trouve une couche de cendres el de décombres, dans laquelle il y a proba- blement des tegilloi entières. M. Létounny y a pris et a rapporté un grand fragment de tuile avec rebord tout noirci et décomposé par le feu ; on dirait d'un morceau tiré d'un incendie. 11 pense que celle, construction servait pour les bains ; elle lui parait semblable à celles qu'il a vues à Trcalvc en St-Àvé, et à Pen-er-Mcn, près Kerran en Arradon, et qui avaient celle destination.' Le sieur Le Brun, fermier, a mis en culture, il y a 10 ans, le terrain N" 524, à l'est do la maison, et coniigu à celui où se trouve la construction susdite, et il y a rencontré les restes d'une autre construction antique, mêlés aussi de beaucoup de briques el de tuiles ; il les a démolis el portés daus les chemins de la ferme où on en voit encore. 11 en est do même du grand courtil N" 526, nommé l.iorh bras, contigu au sud du précédent, el situé devant et au S. O. de la maison ; il contenait une grande quantité de décombres remplis de briques et de tuiles à rebord, qui ont été employés également à l'entretien des chemins do la ferme. M. Létourmy a remarqué, dans ces chemins des fragments depîc-ires brûlées provenant de ces démolitions. Les constructions romaines qui se trouvaient eu ces lieux, devaient cou- vrir au moins une quinzaine d'ares et èlre très importantes. On dit et on croit dans le pays que ces ruines sont celles d'un monastère. Il y avait dans le court il N° 52$, nommé Liorh Guinaud, au sud et devant la maison, et contigu à l'est au N° 526 précité, de nombreux vieux planta de buis; le fermier Le Brun les a déracinés, il y a 10 ans ; il n'en reste plus aucun. Cela est vraiment fâcheux, car ces buis étaient à la fois la cause du nom de ce lieu, une partie vivante do ces ruines romaines, l'indi- cation positive de leur existence, et la confirmation du système que j'établis.

Dans la lande N° 519, Er L'hoz bras, contigue à l'est au N° 528 susdit, et au sud-est do la maison, se trouve, à environ 75 m. E. 8. E.dela maison

d'habitation, un tumulus en terre haut de h m. et dont la base a 50 m. de tour. M. Orinel de Vannes, propriétaire de la ferme, a fouillé ce tumulus, il y aurait iO ou 15 ans, en pratiquant une tranchée jusqu'au centre, sans la pousser au-dessous de la surface du sol ; il n'y a trouvé ni chambra ni mobilier funéraire. On a recomblé la tranchée. Ce tumulus près de cette habitation romaine, rappelle ceux qui sont à peu près à mémo distance et dans des circonstances semblables, près du Uoe'h-llis à Trelléher, et près des ruines romaines à Talhouet. Le L'élit lîézy et ces ruines sont à environ 250 m. au nord de la voie ro- maine, do Vannes à Angers, dont une partie est encore utilisée pour des- servir des terres au sud de cette ferme.

RIALAN (E.), Découvertes archéologiques dans le Morbihan, Vannes, 1885, p. 17 et 18.

TREFFLEAN - Le petit Bézy Sources bibliographiques. Découverte de monnaies romaines au Pstiî-Béziî en Treiîléan, — MM. Rollando ei Thomas - Lacroix se sont rendus à Treffléan pour examiner ce trésor. H a été découvert, le 24 avril, par M. Jégousse, pro- priétaire de la métairie du Petit-Bézit qui se trouve au N.-O. du village de Treffléan, à proximité de la voie romaine d'Angers à Vannes. C'est au cours d'un défrichement de la parcelle en lande n° 519 section B, que le tracteur a mis à Jour deux poîs de terre contenant une dizaine de kilos de pièces de monnaies ,• ils se trouvaient à trois mètres du talus, enfouis à environ 30 centimètres de profondeur. La poterie, rouge, à grains fins, faite au tour, s'est naturellement brisée en morceaux. Les pièces qui ont pu être examinées sont au nombre de 63. Leur ma- tière est de cuivre recouvert d'une mince couche d'argent. Les effigies relevées se décomposent ainsi : 37 pièces de Postumus, 15 de Gallien, 6 de Salomiria, épouse de Gallien, 1 de Valérien, 1 de Philippe, 1 d'Otalicia Severa, femme de Philippe. Si l'on s'en rapporte au lot examiné, l'en- fouissement des pièces' ne peut être antérieur à 258 après Jésus-Christ, début du règne de Postumus. L'examen complet de toutes les monnaies permettrait peut-être de trouver quelques exemplaires plus tardifs. Néan- moins on peut considérer dès maintenant que la cachette remonte à la deuxième moitié du IIIe siècle. C'est une époque d'insécurité où, après la mort de Postumus, les Germains et les Saxon3 envahissent la Gaule, soit par voie de terre soit par voie de mer.

Le Trésor de Treîlléans (Communication de M. J. André). — Le trésor du Petit Bezit en Treffléans (V. séance de mai 1960) était enfoui à quelques mètres seulement d'une villa romaine (Rialan, Nouvelles dé- couvertes, p. 17, et BSPM 1924, p. 70). On trouve encore des tegulse dans les parcelles 519, 529 et 531 de le section B. A signaler aussi la pré- sence de buis qui ont peut-être donné le nom au village. Le trésor contenait environ 22 kg. de monnaies. Nous en avons examiné

1618 (soit environ la moitié) : 667 Postume ; 415 Gallien ; 115 Valérien -,

82 Salonine ; 17 Victorin ,• 9 Gordien ,■ 8 Claude ,■ 6 Philippe ; 4 Treb. Galle , 3 Volusianus ,■ 1 Otacilia Severa et 291 indéterminées. La date d'enfouissement serait donc sous- Claude (268-270), sauf nouvelles déter- minations. Enfin dans le lot déjà étudié par M. Thomas-Lacroix figurait au moins une pièce « barbare » de Gallien (revers se rapprochant du n° 417 de Merlat, AB, LXIV, 1957, 1, p. 119-137), c'est-à-dire frappée dans un atelier régional ou non officiel. Cette pièce confiime l'hypothèse de Merlat comme quoi l'économie des Vénètes, comme celle des Osismes, fut mo- mentanément coupée des ateliers monétaires de Cologne, Trêves ou Lyon, au moment des invasions du IIIe siècle (Cf. P. Merlat, MSHAB XXXIX, 1959, p. 31 et n. 86).

Bulletin de la société polymathique du Morbihan, 1961, p. v. p. 45 et 53.

TREFFLEAN - Le petit Bézy Sources bibliographiques.