10 FÉVRIER 2010 Copies Neuves (Vf - Vostf) SYNOPSIS
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présente 10 FÉVRIER 2010 copies neuves (vf - vostf) SYNOPSIS Charlie, enfant issu d’une famille pauvre travaille pour subvenir aux besoins des siens, il doit économiser chaque penny, et ne peut s’offrir les friandises dont raffo- lent les enfants de son âge. Il participe à un concours organisé par l’inquiétant Willy Wonka, le légendaire propriétaire de la fabrique de chocolat de la ville. Celui qui découvrira l’un des cinq tickets d’or que Wonka a caché dans ses barres de chocolat gagnera une vie de sucreries… FICHE ARTISTIQUE FICHE TECHNIQUE Réalisateur : Titre original : MEL STUART WILLY WONKA & THE CHOCOLATE FACTORY Avec : GENE WILDER Producteur : JACK ALBERTSON Stan Margulies, David Wolper PETER OSTRUM JULIE DAWN COLE Chef Opérateur : Arthur Ibbetson Scénario : ROALD DAHL Directeur artistique : d’après son roman Harper Goff Montage : DISTRIBUTION : David Saxon Splendor Films 8, rue Molière 93100 Montreuil Costumes : 01 42 87 92 67 Hélène Colvig [email protected] ÉTATS-UNIS - 1971 - 1h40 Format : 1:66 PRESSE : Son : mono Anne-Charlotte Bappel Genre : comédie 01 48 70 39 73 copies vostfr et vf [email protected] Visa n° 39068 Dossier de presse et photos téléchargeables sur www.splendor-films.com NOTES DE PRODUCTION En 1969, la fille de Mel Stuart âgée de douze ans vient voir son père avec un livre de Roald Dahl dans les mains. Elle lui annonce qu’elle avait lu Charlie et la chocolate- rie trois fois de suite : « Papa, je veux que tu fasses un film. » Pour Mel Stuart qui travaillait à la télévision et réalisait surtout des documentaires, filmer un livre surréaliste commeCharlie et la chocolaterie n’était pas évident. Mais il était fasciné par la façon bizarre et amusante de raconter une simple morale qui récompense la vertu et punie la vilenie. Décidé à adapter à l’écran Charlie et la chocolaterie, Mel Stuart s’adresse à son ami producteur David L. Wolper qui arrivait toujours à concrétiser tous les pro- jets de Stuart. Avec un producteur de bonbons comme investisseur il achète les droits du livre. Une condition : Wolper doit engager Roald Dahl pour écrire le scénario. Stuart et Wolper croyaient que Charlie et la Chocolaterie étaient un livre qui conte- nait tous les éléments pour devenir un film à succès, mais seulement si le bon sens du réalisme pénètrait la fantaisie. Ils ont voulu des changements considérables. Cela a même concerné le personnage principal de Willy Wonka qui dans l’histoire originale était un petit homme dansant avec une barbe noire pointue ce qui ne cor- respond pas à l’archétype du héros au cinéma. Pour ce rôle, Stuart cherchait un acteur avec une présence imposante qui pouvait dégager à la fois la folie et l’innocence, à qui on peut faire confiance et se méfier en même temps. Cette ambiguïté devait créer une certaine tension dans les scènes. Il devait aussi savoir chanter. Après une semaine de casting, Gene Wilder est venu se présenter à Stuart et Wolper. Il n’était pas encore au sommet de sa gloire, mais il a commencé à construire sa réputation en jouant dans Bonnie et Clyde, Les Pro- ducteurs et Commencez la révolution sans nous. Son apparence diabolique, son sourire sardonique, ses cheveux et la grâce dans sa manière de se tenir et de bouger faisaient de lui un parfait Willy Wonka. Stuart a proclamé tout de suite son enthou- siasme. Wolper était fou furieux de se retrouver en mauvaise position pour négo- cier le salaire. Contrairement au personnage de Wonka, Stuart a voulu être le plus proche possible de l’histoire originale pour les cinq rôles principaux des enfants. Plusieurs scénaristes ont participé au développement de l’histoire, ils ont intégré quelques nouveautés, par rapport au premier scénario de Roald Dahl, dont : - le personnage de Slugworth, concurrent principal de Wonka - le test de l’honnêteté et de l’intégrité avec les bonbons Everlasting Gobstopper, - la scène de la pièce à bulles où Charlie et Grandpa Joe désobéissent aux ordres de Wonka - les scènes de l’école et les moments de danger avant d’arrivée dans la pièce prin- cipale de la fabrique. La punition de Veruca par les écureuils a été transformée à cause des limites des moyens techniques de l’époque. Après avoir lu le script final, Roald Dahl a approu- vé les changements. Pour commencer le tournage, Stuart et Wolper cherchaient un lieu assez grand où ils pouvaient créer la pièce principale de la fabrique avec sa cascade et sa rivière de chocolat. Pour chercher le lieu de tournage Wolper part en Europe en compagnie de Hank Wynands, le chef décorateur, qui plus tard travaillera avec Mel Brooks pour Le Shé- rif est en prison et Frankenstein Jr et Harper Goff, directeur artistique de 20000 Lieues sous les mers et Le Voyage fantastique de Richard Fleisher. Après avoir visité des brasseries et des fabriques de chocolat en Irlande, en Espagne et en Alle- magne, ils ont trouvé le lieu idéal au Bavaria Film Studio à Munich. En 1970, l’année de tournage, aux Etats-Unis la question raciale était très sen- sible. Dans les illustrations du livre Charlie et la Chocolaterie, les Oompa-Loompas étaient des pygmées noirs importés d’Afrique pour les travaux forcés à la fabrique de Wonka. Un groupe d’acteurs noirs est venu voir Mel Stuart à ce propos. En pen- sant aux créatures mystérieuses Stuart décide leur attribuer des cheveux verts et des visages oranges. Plus tard dans les illustrations de nouvelles éditions du livre de Dahl, les Oompa-Loompas sont devenus blancs. Dans un premier temps, Mel Stuart n’avait pas l’intention de mettre des chansons dans son film. Wolper insista que cela pouvait contribuer au succès du film en citant les autres films de l’époque en exemple. Stuart a cédé. Mais quand les chansons ont été prêtes, Mel Stuart a changé d’avis et trouvait désormais cette idée merveilleuse. Par contre, il détestait toujours l’autre idée de Wolper de mettre les paroles des chansons des Oompa-Loompas en animation graphique. Au début des années 70, c’était « très tendance ». Dans cette bataille avec son producteur, Mel Stuart a perdu. Les auteurs de la musique et des chansons Leslie Bricusse, Anthony Newley et Wal- ter Scharf ont reçu une nomination à l’Oscar pour leur travail dans Charlie et la chocolaterie. Finalement les chansons ont largement contribué au succès du film. Au début de l’écriture du scénario, l’investisseur Quaker Oats a commencé à tra- vailler sur la formule de la « Wonka Bar ». Quaker Oats devait profiter du film pour lancer la campagne publicitaire de leur nouvelle barre chocolatée. Cela reste une idée très créative et unique à Hollywood malgré le fait que la «Wonka Bar» n’ait jamais été fabriquée. MEL STUART (1928) « Charlie et la Chocolaterie m’a permis d’accéder au panthéon des films populaires. C’est une œuvre qui a gagné un énorme public. Le film est devenu culte pour toute une génération de cinéphiles. » Mel Stuart Mel Stuart est né à New York en 1928. Durant ses années de collège il aspirait à devenir compositeur. Après avoir terminé ses études à New York University, il dé- cide de changer de direction et commence à poursuivre la carrière de réalisateur. En 1954, Mel Stuart devient assistant de la réalisatrice Mary Ellen Bute. Quelques années plus tard il intègre le département des archives de la 20th Century Fox. En 1959, David Wolper lui propose de le rejoindre dans la compagnie de production qu’il vient de créer. Pendant dix-sept ans, Mel Stuart profite exclusivement deWol - per Organization pour ses projets cinématographiques. Pendant ce temps il réalise beaucoup de documentaires – parmi lesquels The Making of the President, Four Days in November et Wattstax. Il réalise aussi des fiction commeCharlie et la cho- colaterie et If It’s Tuesday, This Must Be Belgium. Parmi de nombreuses récompenses, Mel Stuart a reçu quatre Emmies, un Peabody Award, une Nomination à l’Oscar et plusieurs prix de festivals des quatre coins du monde. Il est souvent invité pour donner des cours du cinéma et de production dans différentes universités des Etats-Unis. Durant sa carrière Mel Stuart a réalisé et produit plus de cent quatre-vingt films. Mel Stuart vit à Los Angeles avec sa femme, Roberta, et leurs trois enfants, Made- line, Peter et Andrew. Madeline et Peter sont apparus dans Charlie et la Chocola- terie. FILMOGRAPHIE sélective (comme réalisateur) 1964 : Hollywood and the Stars - Natalie Wood/ documentaire 1966 : Wall Street- Where the Money Is/ documentaire 1967 : A Nation of Immigrants/ documentaire 1968 : The Making of the President/ documentaire 1969 : If It’s Tuesday, This Must Be Belgium (Mardi, c’est donc la Belgique) 1970 : The Unfinished Journey of Robert Kennedy/ documentaire 1971 : Willy Wonka & the Chocolate Factory (Charlie et la chocolaterie) 1973 : Wattstax / documentaire 1974 : Love from A to Z - with Liza Minelli & Charles Aznavour/ documentaire 1978 : Ruby et Oswald 1996 : Man Ray: Prophet of the Avant-Garde/ documentaire 1997 : Billy Wilder - The Human Comedy/ documentaire 1998 : AFI’s 100 Years-100 Movies/ documentaire, TV série 2002 : Still Perfect - Twenty Memorable Photographs/ documentaire 2004 : The Poet’s View - Hecht, Ashbery, Merwin, Gluck/ documentaire, TV série GENE WILDER (1933) Fils d’un couple russe de confession juive ayant émigré aux Etats-Unis, Gene Wil- der décide d’étudier l’art dramatique à l’Université de l’Iowa, dont il sort diplômé en 1955. Après un passage par l’armée de 1956 à 1958 puis part en Angleterre où il fréquente la Old Vic Theatre School de Bristol, il revient aux Etats-Unis où il donne des cours d’escrime et conduit des limousines afin de continuer le théâtre.