, Sainte-Jamme-sur-Sarthe Antoigné

Fonderie d'Antoigné

Références du dossier Numéro de dossier : IA72001664 Date de l'enquête initiale : 2014 Date(s) de rédaction : 2015 Cadre de l'étude : inventaire topographique Degré d'étude : monographié

Désignation Dénomination : ensemble de transformation des métaux Appellation : forge d'Antoigné Destinations successives : ensemble industriel

Compléments de localisation Milieu d'implantation : en écart Réseau hydrographique : Sarthe Références cadastrales :

Historique Le site d’Antoigné semble avoir accueilli des activités métallurgiques depuis la préhistoire. Néanmoins, les forges sont surtout connues depuis le début du 17e siècle. Elles produisent alors du fer à partir de minerai extrait à La Bazoche. Leur activité fluctue jusqu’au 19e siècle malgré la construction d’un haut fourneau au 18e siècle ; puis, dans la deuxième moitié du 19e siècle, elles sont transformées en fonderie, une activité qui consiste à mouler de la fonte après une deuxième fusion. Une fois lancée, cette technique reste la seule employée à Antoigné jusqu’au 4e quart du 20e siècle. La mise en activité des forges d’Antoigné Des “ titres authentiques ” mentionnés en 1815, il est possible de déduire que les forges ont été construites pour Jean III de Beaumanoir (1551-1614), maréchal de et marquis de Lavardin, ou pour son fils. Elles sont dirigées jusqu’au 3e quart du XVIIe siècle par la famille Bouteiller, marchands ferronniers manceaux. A partir de 1673, la famille Ricoeur, maîtres de forges normands, dirige l'usine et construit probablement la première fenderie. Le marquisat d’Antoigné est vendu en 1705, à René III de Froullay (1648-1714), comte de Tessé. Les forges sont exploitées de 1706 à 1714 par René-Gabriel Mauloré. Les forêts et les bois du marquisat sont arpentés durant son bail afin que les forges disposent d'un affouage – droit de bois de chauffage – de 160 arpents alors qu’auparavant, le maître des forges devait acheter son bois en plus du bail. A partir de 1715, la gestion du domaine de la baronnie d'Antoigné est réunie à celle de l'usine dans un bail à ferme général. Quatre fermiers se succèdent jusqu’à la Révolution : Henry Desportes et son fils, Charles-Henry Desportes de Linières, puis Jean-François Biseuil et son fil Jean-François Gabriel. La baronnie d'Antoigné et ses forges produisent 25 000 livres par an. Elles occupent la première place dans les revenus des possessions mancelles du comte de Tessé. La Révolution Le comte de Tessé émigre en 1791. Ses biens sont alors mis sous séquestre. Le domaine d’Antoigné est alors amputé de six métairies et bordages qui sont vendus comme biens nationaux. Il est mis en fermage, avec les forges, en attendant sa vente. Il est adjugé aux Guérin pour neuf ans. Le loyer se monte à 4 000 livres et 100 000 livres de fer de toute espèce et de fer “ propre à bandager ”, livrables de six mois en six mois au Mans. Les forges conservent leur affouage. La forge fonctionne alors dans des conditions difficiles : son fer est réquisitionné en 1794 par le représentant de “ l'agence des armes portatives ” pour le district de Château-du-Loir et sa fonte est envoyée à la fonderie de canons nouvellement

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établie à Alençon. Par la suite, une partie de la fonte est à nouveau transformée en outils agricoles en raison de la pénurie ressentie sur le territoire. En outre, dès 1795, le fonctionnement de l'usine est entravé par les opérations menées par les chouans entre et Sillé. Le commissaire qui devait marquer les coupes dit alors craindre de s'exposer à leur “ fureur ”. De même, lors de l’estimation des forges en août 1798, cinq barres de fer verticales ont été posées aux fenêtres de la maison du fendeur qui craint pour sa sécurité. En septembre 1798, le domaine est vendu à Nicolas-Jacques-Augustin Hébert de Hauteclerc, un ingénieur des Ponts et Chaussées résidant à Arçonnay pour 2 010 000 francs. Le nouveau propriétaire prend comme fermier, Nicolas-Louis Juteau du Houx fils. Au décès de M. Hébert de Hauteclerc, en novembre 1807, Nicolas-Louis Juteau père achète les forges. Au décès de celui-ci, en 1818, les forges et les bâtiment y afférant échoient à Anne-Françoise Juteau, épouse de Jean- Jacques Duboys, ancien magistrat angevin. Charles Drouet, ancien officier de l'armée napoléonienne devenu propriétaire-cultivateur et naturaliste manceau, loue l'usine en juin 1827. Il commence à diversifier la production de fonte marchande vers 1833 en fabriquant des fontes d'architecture et d'ornement prisées à l'époque. Il présente la production d'Antoigné à l'exposition du Mans de mai-juin 1836, notamment en fonte de 10 m de haut destinée à la tour de la cathédrale Saint-Julien. Les Duboys d'Angers cessent d'affermer l'usine à partir de 1841. La fonderie Le site s’endort donc jusqu’en 1854, date à laquelle Victor Doré et Joseph Chevé, deux anciens ouvriers d’Antoigné, décident de louer leur ancienne usine à la descendante des Duboys d'Angers, madame du Puisard. L'établissement renouvelé fonctionne rapidement comme fonderie à part entière. Il en sort des objets moulés en seconde fusion (coussinets pour rails, tuyaux de conduite et autres). Les associés se séparent en novembre 1860. Victor Doré reste donc seul patron des usines du Mans et d'Antoigné. Cette dernière produit, en 1863, 24 tonnes de moulages par jour, obtenus à partir de fonte anglaise. Le nombre des ouvriers passe de 166 en 1862 à 240 en 1865, effectif qui se maintient avec quelques fluctuations jusqu'en 1870. Victor Doré se retire en 1875 et partage ses usines entre ses filles. Antoigné échoit à Victorine, épouse d'Armand Chappée. L’ère Chappée Armand Chappée est la figure tutélaire de l’entreprise. Comptable de l’entreprise de Victor Doré dès 1856, il épouse Victorine Doré en 1865. Il prend les rênes de l’usine d’Antoigné en 1875 lorsque sa femme hérite du site. Jusqu'à sa mort, il n’aura de cesse de développer la société. Ses efforts sont récompensés lorsqu'il obtient le grand prix de fonderie à l'Exposition universelle de 1889, après une première participation à celle de 1878. La production journalière est alors de 100 tonnes de moulages, obtenus à partir de fontes d'Écosse et de fontes françaises de diverses provenances. En 1895, Armand Chappée fonde, pour neuf ans, avec son fils Louis, la société Chappée & Fils afin d'exploiter industriellement et commercialement les usines de Sainte-Jamme et de Port-Brillet en Mayenne. Il cède alors à la société le bail d'Antoigné qui doit arriver à échéance en janvier 1897. Il semble que son fils Julien rejoigne l’association dès 1896 sans s’impliquer réellement dans la gestion de l’entreprise. La fabrication en série des radiateurs en fonte, mise au point à partir de 1897, inaugure une nouvelle phase d'expansion de l'usine. Les premiers modèles sont présentés, avec une chaudière, à l'Exposition universelle de 1900. En 1911, Armand Chappée achète Antoigné aux descendants de Mme de Puisard. L’usine entre alors dans une phase d’agrandissement intense que la première guerre mondiale va encourager : Antoigné s'équipe pour produire les obus nécessaires à l'armée. Armand Chappée décède en 1922. Son décès entraine la dissolution de la société Chappée et fils, et la création de la Société Anonyme des Etablissements Chappée par ses fils et petits-fils. Les dissensions familiales entraînent peu à peu une perte de vitesse de l’entreprise. Julien Chappée évince Louis à la tête de la société et commet de grandes erreurs de gestion. Louis Chappée quitte définitivement la société en 1926. Pour éviter la liquidation, les Etablissements Chappée sont vendus à Jean Raty, le gérant de la Société des hauts fourneaux de Saulnes en Lorraine, en 1928. La Société Générale de Fonderie A la suite de cet achat, Jean Raty crée la Société générale de fonderie (SGF) pour exploiter les diverses entreprises qu’il acquiert au même moment. Peu à peu, Antoigné va être consacré de façon accrue à la fabrication des radiateurs. A la fin de l'année 1968, l’usine d’Antoigné est intégrée à la société Générale d'hydraulique et de mécanique (GHM), dont les usines se trouvent dans le nord et l'est de la France et dont la SGF devient alors le principal actionnaire (36 % des actions). La mono-industrie d'Antoigné conduit à sa perte lorsque le chauffage électrique séduit la France entière. De ce fait, les premières destruction de bâtiments se font en 1979 : toute l'ancienne fonderie est mise à terre. La fonderie d'Antoigné cesse son activité en 1984. Les bâtiments sont alors achetés par des particuliers et par la municipalité. Les particuliers créent dans les anciens bâtiments industriels des habitations et aménagent les entrepôts pour leur activité professionnelle. la municipalité loue les bâtiments à de multiples entreprises. Période(s) principale(s) : 1ère moitié 20e siècle () Période(s) secondaire(s) : 2e moitié 19e siècle (), 1ère moitié 17e siècle ()

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Description Etablies sur la Sarthe entre le manoir d'Antoigné et le village de Sainte-Jamme, au niveau d'un gué, les forges d’Antoigné ont une évolution morphologique parallèle au développement de leur activité. Au 18e siècle, un plan du marquisat de Lavardin livre un dessin sommaire mais néanmoins riche d'informations précieuses sur l’environnement général de la forge. L’isolement du lieu est marquant : la forge et le village de Sainte-Jamme ne sont desservis que par le « chemin ferré » qui passe devant le château et l’ancienne forteresse d’Antoigné. Sur chaque bord de la Sarthe, à Antoigné et Montbizot, un bâtiment fumant est installé et, au centre de la rivière, deux roues à aube tournent. Elles étaient vraisemblablement installée dans l'actuel barrage. La visite et montrée du marquisat, faite en août 1743, complète ce dessin sommaire. Elle indique que la forge se compose d'une douzaine de bâtiments construits en terrain plat. Le haut-fourneau et la halle de forge sont le coeur du site. Celle-ci abrite une forge à deux affineries, une chaufferie, un marteau et un bocambre, machine composée d’un moulin à pilons mû par un moteur qui sert à broyer le minerai destiné à la fonte. Autour de ces bâtiments utilitaires, des habitations en rez-de-chaussée hébergent les ouvriers que la forge emploie. Les ouvriers les plus qualifiés occupent une ou deux pièces à feu tandis que les autres ont des pièces froides. Au centre du site, le logis du maître de forges se distingue par son élévation à un étage carré, desservi par une galerie extérieure en charpente. Ecurie, cellier, puits et fournil complètent l'ensemble. Toutes ces maisons sont construites en pan-de-bois sur solin de pierre et leurs toits sont couverts de tuiles, à l'exception de ceux de l'écurie couverts de bardeaux. Dans la deuxième moitié du 18e siècle, les forges évoluent peu. La maison des maîtres de forges est reconstruite et pourvue d’une couverture d'ardoises ; un magasin aux fers en charpente est élevé à l'opposé de la coulée du haut-fourneau ; et une seconde écurie est bâtie. La chambre des soufflets et les deux halles à charbon sont également reconstruites tandis que la fenderie occupe un bâtiment de 104 m² en moellons, couvert de tuiles. De nouveaux logements ouvriers sont élevés. D'après le plan de 1815, les forges s'étendent sur la rive droite de la Sarthe et sur deux îlots, l'un occupé par la forge proprement dite et l'autre par la fenderie et ses annexes. Le gué reste accessible par le chemin Ferré, servitude passive dont les maîtres de forges cherchent sans succès à s'affranchir. Le site compte alors plusieurs habitations ainsi qu'une boulangerie, une écurie et une sellerie, une étable, et une grange. Antoigné est un hameau avec une activité économique, des habitations et des moyens de subsistance vivrière. Ainsi, avant 1850, le site est remarquable par la succession de presqu’îles qui le compose. Celles-ci sont formées par les différents bras de la Sarthe plus ou moins canalisés. Le barrage prend appui sur deux langues de terre pour former deux bassins de retenue d’eau. Sur la langue médiane, la forge est installée perpendiculairement à la Sarthe, sur le bras d’eau. L’installation est idéale pour un mécanisme meut par une roue à aube. A quelques mètres, les maisons ouvrières sont parallèles à la Sarthe. Sur la terre ferme, bâtiments de stockage, maisons et jardins complètent l’ensemble du dispositif. Lorsqu'il reprend la forge, Victor Doré et son associé réaménagent le site. Il construisent un nouveau haut fourneau sur la terre ferme, le long du premier canal. De plan circulaire et haut de 12 mètres, il s'inscrit dans un bâtiment rectangulaire divisé par un refend destiné à le séparer de l'emmagasinage. Sur le second canal, ils installent une turbine et une machine soufflante. L'ancienne fenderie est transformée : sa roue à eau meut une machine à battre le chanvre. Entre 1854 et 1873, la construction d’ateliers finit par former un conglomérat de bâtiments qui couvre tout l'espace qui séparait autrefois l'ancienne forge de l'ancienne halle à charbon du haut fourneau. Un des canaux de dérivation est comblé. Le haut fourneau incendié en 1859 est définitivement remplacé en 1860 par un cubilot, four vertical de fusion des métaux dans lequel les ferrailles sont en contact direct avec le combustible Entre 1873 et 1880, de nouveaux ateliers comblent pratiquement tout l'espace resté libre entre l'ancienne forge et la fenderie. Le canal de dérivation qui les séparait est partiellement couvert. Dès 1877, Armand Chappée demande l'autorisation d'établir sur la voie publique une voie ferrée destinée à relier l'usine à la station de la ligne Le Mans-Alençon. Le tronçon Antoigné-Montbizot de la ligne Ballon-Montbizot est ouvert en février 1882 et est concédé à la Compagnie des tramways de la Sarthe. Poussé par une croissance exceptionnelle, le site va alors se densifier. En 1907 d'une salle d'étude et d'un théâtre sont construits. Des vestiaires et un réfectoire sont installés en 1914 et l’atelier de chaudronnerie est achevé. En 1917, une grande partie des ateliers est augmentée et de nouveaux sont construits. La centrale électrique est achevée en 1921. Un nouvel atelier est élevé en 1923 de l’autre côté de la ligne de tramway. Sa construction marque la fin de l’extension géographique du site. A partir de cette date, le site d’Antoigné est circonscrit et sera ensuite densifié ou élagué selon les années.

Eléments descriptifs

Références documentaires

Documents d'archive • Archives privées Sainte-Jamme-sur-Sarthe Archives privées Sainte-Jamme-sur-Sarthe. Collection particulière

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• Dossier Forges d'Antoigné Dossier Forges d'Antoigné. Archives départementales de la Sarthe, Le Mans : 7 S 33

Bibliographie • La métallurgie du Maine. De l'âge du fer au milieu du XXe siècle BELHOSTE, Jean-François, ROBINEAU, Evelyne (dir.). La métallurgie du Maine. De l'âge du fer au milieu du XXe siècle. Paris : Editions du patrimoine, 2003

Illustrations

Paul Soyer, l'Intérieur de la Vue des forges d'Antoigné Grande Halle d'Antoigné, 1880 au milieu du 18e siècle IVR52_19867200761XA Vue aérienne de la fonderie IVR52_19867200603P IVR52_19977200420XA

Plan des forges d'Antoigné en 1814 IVR52_19867200624P

Plan du circuit incendie de la fonderie en 1945 Phot. Julie Aycard IVR52_20157200194NUC

Plan des forges d'Antoigné en 1814 IVR52_19867200613P

La fonderie vers 1890 IVR52_19887201043XA Plan de la fonderie en 1907 Phot. Julie Aycard IVR52_20157200202NUC

Plan des forges d'Antoigné en 1854 IVR52_19887200158XAB

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Projet d'implantation du bâtiment d'ajustage vers 1914 Phot. Julie Aycard IVR52_20157200197NUC La fonderie vers 1910 Projet d'implantation Phot. Julie Aycard de la "23" vers 1915 IVR52_20157200201NUC Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157200209NUCAB

La fonderie vers 1918 Phot. Pierre-Bernard Fourny La fonderie vers 1925 (?) IVR52_20157201858NUCAB IVR52_19947200904X

Plan de la fonderie en 1946 IVR52_19967200538V

Ancien bâtiment de sablerie, détruit Ancien atelier IVR52_19887201010V IVR52_19947200947X

La fonderie d'Antoigné vers 1960 (?) IVR52_19975300178X

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Ancien chantier semi- Le magasin des modèles en 1988 automatique de la fonderie IVR52_19887201011V "nord", mis en place en 1970 IVR52_19947200946X

Les cubilots Gervais et Benoît, installés dans la fonderie "nord" IVR52_19947200945X

Plan et coupe de la charpente métallique de l'ateleir de l'appareil des voies Magasin général et Le bâtiment des fours Phot. Pierre-Bernard Fourny atelier d'ajustage en 1988 électrique et les ateliers de IVR52_20157201854NUCAB IVR52_19887201008V fonderie de bronze vers 1988 IVR52_19887201009V

Plan d'ensemble des cubilots, 1903 Plan de l'installation du Phot. Pierre-Bernard Fourny matériel dans l'atelier 220, 1929 IVR52_20157201863NUCAB Phot. Pierre-Bernard Fourny Catalogue de vente des IVR52_20157201859NUCAB radiateurs Chappée, années 1950 Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201873NUCAB

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Catalogue de vente des gazinières Chappée, années 1950 Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201875NUCAB Catalogue de vente des roues en fer de la SGF Catalogue de vente de matériel Phot. Pierre-Bernard Fourny de chemins de fer, 1911 IVR52_20157201878NUCAB Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201888NUCAB

Sortie des ouvriers de la Sortie des ouvriers de la fonderie, début du XXe siècle fonderie, rails au premier Phot. Pierre-Bernard Fourny plan, début du XXe siècle IVR52_20157201966NUCAB Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201965NUCAB

Plan de la fonderie, date inconnue Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201927NUCAB

Vue intérieure de l'usine avec le Fabrication des obus, réseau ferré, début du XXe siècle 1er quart du XXe siècle Phot. Pierre-Bernard Fourny Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201960NUCAB IVR52_20157201970NUCAB

Coulée, années 1970 Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201967NUCAB

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Matériel d'armement, Charpente en béton armé d'un des 1er quart du XXe siècle lieux de stockage, date inconnue Phot. Pierre-Bernard Fourny Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201971NUCAB IVR52_20157201976NUCAB

Etape de fabrication des radiateurs, années 1960 Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201973NUCAB

Vue générale de la fonderie, Intérieur de la fonderie, date inconnue début du XXe siècle Phot. Pierre-Bernard Fourny Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201979NUCAB IVR52_20157201984NUCAB

Cubilots, années 1970 Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157201977NUCAB

Vue générale de la fonderie, Coulée, 1er quart du XXe siècle début du XXe siècle Phot. Pierre-Bernard Fourny Phot. Pierre-Bernard Fourny IVR52_20157202002NUCAB IVR52_20157201985NUCAB

Cubilots, vue intérieure, 1ère moitié du XXe siècle Phot. Pierre-Bernard Fourny

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IVR52_20157201988NUCAB

Four à chaux, 1930. Phot. Eric Zeimert IVR52_20157202005NUCA

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Auteur(s) du dossier : Julie Aycard Copyright(s) : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

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