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Réponse à l’avis de la Mission régionale d’autorité environnementale Projet de parc photovoltaïque

Communes de et

Date Version Rédacteur Approbateur 31/07/2019 A M. Sautier J-B. Boinet

Juin 2018

Réponse à l’avis de la MRAE – Projet de centrale photovoltaïque de Diesen et Porcelette – Plateforme de Diesen- Porcelette

1. PREAMBULE

L’ancienne plateforme de stockage de charbon et de cokes de Diesen-Porcelette, située sur les communes de Diesen et Porcelette en (57), fait aujourd’hui l’objet d’un projet de revalorisation énergétique par la production d’électricité d’origine photovoltaïque.

Les sociétés MontanSolar et Luxel ont déposé des permis de construire le 20 août 2018 (PC n° 057 550 18 S0005 pour la première tranche de 17 MWc (seuil limite de l’appel d’offres tarifaire pour les installations photovoltaïques au sol) et PC n° 057 550 18 S0006 pour la tranche 2.

La Mission régionale d’autorité environnementale (MRAE) du a émis un avis en date du 6 juin 2019 (avis n° 2019APGE49). L’objectif du présent document est d’apporter des éléments de réponse aux remarques formulées dans cet avis. De manière synthétique, l’autorité environnementale recommande : - De compléter la présentation des impacts positifs concernant la production d’énergie renouvelable ; - De réaliser une analyse plus poussée de la caractérisation de la pollution des sols et des risques éventuels associés ; - De confirmer la prise en compte des risques liés à la présence et à l’usage des voies ferroviaires voisines du site.

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2. IMPACT POSITIF DU PROJET SUR L’ATTENUATION DU CHANGEMENT CLIMATIQUE

Avis de l’autorité environnementale

2.1 Une réponse à des objectifs politiques

2.1.1 A l’échelle nationale L’accord de Paris sur le climat, approuvé par 195 pays le 12 décembre 2015, a pour objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C. Dans ce cadre, la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte a été votée en le 18 aout 2015. Elle fixe notamment comme objectif de porter à 32 % la part des énergies renouvelables dans la consommation énergétique finale en 2030 ; et de réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité à 50% à l’horizon 2025.

La France s'est engagée, avec la première Stratégie Nationale Bas-Carbone adopté en 2015, à réduire de 75 % ses émissions GES à l'horizon 2050 par rapport à 1990 (le Facteur 4). Le ministère de la Transition écologique et solidaire a rendu public le 6 décembre 2018 le projet de Stratégie nationale bas-carbone (SNBC) révisée. Elle dessine le chemin de la transition écologique et solidaire vers la neutralité carbone en 2050. Ce principe de neutralité carbone impose de ne pas émettre plus de gaz à effet de serre que notre territoire peut en absorber via notamment les forêts ou les sols. Ce projet sera transmis à l’Autorité environnementale et fera l’objet d’une consultation publique. Son adoption est prévue au

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deuxième trimestre 2019. Le premier objectif affiché pour atteindre la neutralité carbonne est de décarbonner la production d’énergie.

Dans le cadre de la programmation pluriannuelle de l’énergie de 2016 (PPE), la politique énergétique française a retenu comme objectif de développement de la filière photovoltaïque une puissance installée de 10 GW en 2018 et 20 GW en 2023. Ces objectifs ont été revus à la hausse en novembre 2018 dans la PPE 2019-2023 : la France vise une puissance installée de 20,6 GW en 2023 et 35,6 GW en 2028 (option basse). Selon les perspectives de RTE, les estimations sur la production d’énergie solaire en 2025 sont comprises entre 24 et 48 GW. Au 31 décembre 2017, la puissance installée en photovoltaïque en France a atteint 7,6 GW1. L’atteinte des objectifs nationaux nécessite donc un renforcement de la production d’énergies renouvelables, et passe par une multiplication des projets.

2.1.2 A l’échelle régionale Le SRADDET Grand Est (schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires) définit une stratégie à horizon 2050 déclinée en 30 objectifs pour lutter contre l’urgence climatique et les inégalités territoriales. Le projet de parc solaire de Diesen et Porcelette s’inscrit dans les objectifs : - N°1 : Devenir une région à énergie positive et bas carbone à l’horizon 2050. - N°4 : Développer les énergies renouvelables pour diversifier le mix énergétique, avec pour but 41% en 2030 de la consommation finale d’énergie couverte par les énergies renouvelables, et 100% en 2050.

2.1.3 A l’échelle locale Le SCoT Rosselle est porté par le Syndicat mixte du Val de Rosselle créé en juillet 2004. Le SCoT actuel a été approuvé en 2012 et couvre 47 communes sur 370 km² (dont 91 km² urbanisé). Néanmoins les modifications du périmètre du SCoT (intégration de la CC La Houve (18/09/2015),retrait de la CC La Houve (01/01/2017), Intégration de la CC Centre Mosellan 01/01/2017)) ont ralenti la révision du présent schéma qui comprendra à l’avenir 78 communes (185 604 habitants (2013)). Prescrit le 20 mars 2013, le SCoT est non arrêté à ce jour. Dans le PADD du SCoT du Val de Rosselle, des orientations en faveur des énergies renouvelables sont à relever. Le redéploiement industriel sera orienté entre autres dans les énergies renouvelables. L’axe 3 préconise de « développer des pistes d’économie d’énergie et faire face au changement climatiques » par le soutien aux énergies renouvelables. Le DOO prescrit donc de « permettre le développement de telles énergies, en ne créant pas d'interdiction pour ces équipements dans les zones urbanisées des PLU en dehors de cas particuliers justifiés (périmètre de MH, AVAP, zone paysagère sensible…) ». Tout en précisant que « les parcs photovoltaïques ne seront pas autorisés en zone agricole », il est recommandé que « les friches industrielles puissent être utilisées pour les projets importants. ».

2.2 Un projet en substitution d’une électricité plus polluante

En opposition à la production nucléaire (production de base), la production électrique d’origine photovoltaïque est une production de pointe qui vient assurer l’approvisionnement des évolutions de consommation journalière.

1 Source : RTE, Bilan électrique 2017 Page 4 / 15

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Besoin en pointe journalière

Besoin en base

Modélisation de l’intégration de la production photovoltaïque sur le réseau par RTE

La production du parc solaire de la plateforme de Diesen et Porcelette viendra en substitution des autres énergies de pointe correspondant aux systèmes de production pouvant être activé très rapidement, soit l’énergie hydraulique ou le thermique classique sous ses différentes variantes (gaz, fioul, charbon). Dans la région Grand Est, d’après les données de RTE ci-dessous, la grande majorité de l’électricité produite provient du nucléaire. L’énergie solaire vient se substituer à l’énergie thermique, qui constitue le l’énergie de pointe la plus utilisée.

Dans une logique de réduction des émissions de CO2, la production photovoltaïque se substituera prioritairement aux énergies à plus fort taux d’émission de CO2 à savoir le fioul et le charbon présentant un taux d’émission de 300 g équivalent CO2 par kWh. Cette substitution interviendra aux horaires de journée (avec un pic entre 10 h et 18 h), et principalement en été.

(Valeurs pour le mois de Juillet 2018)

Mix de production énergétique dans la région Grand Est en 2018 (graphe annuel à gauche, répartition pour le mois de juillet 2018 à droite) – source : RTE, eco2mix

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Evolution du mix de production énergétique dans la région Grand Est sur la semaine du 16 au 22 juillet 2018 – source : RTE, eco2mix

La quantité d’émissions équivalent CO2 évitée est estimée 10 280 tonnes/an, hors prise en compte des émissions liées à la fabrication du matériel et au chantier d’installation. Celles-ci sont compensées en 2 à 3 ans d’exploitation. Les émissions évitées s’élèvent donc à environ 175 000 tonnes équivalent CO2 sur 20 ans.

2.3 Précisions sur les incidences du projet

Incidences négatives économisées par substitution : Parmi les autres gains environnementaux issus de la substitution de sources d’énergies fossiles et nucléaires par de l’électricité photovoltaïque, on peut citer que : - Un parc solaire ne consomme pas d’eau et ne rejette pas d’eaux usées ni de polluants en phase exploitation. - En fin de vie du projet, tous les composants du parc sont démontés et sont acheminés, après tri sélectif, vers les filières de retraitement et/ou récupération les plus proches. Les composants nécessitant un recyclage spécifique (modules, transformateurs, onduleurs, équipements informatiques) seront traités conformément à la directive DEEE. Tous les matériaux nécessaires à la fabrication d’un module sont des composants inertes. Pour les autres composants de la centrale, la majeure partie est composée de produit valorisable avec une valeur ajoutée en fin de vie : acier, cuivre, aluminium.

Maximisation des incidences positives du projet : Une optimisation de la production d’électricité sur le site de Diesen-Porcelette a été recherchée, notamment en comparaison au projet initialement envisagé en 2012 d’une puissance de 12 MWc. Ainsi, il a été fait le choix d’utiliser des modules parmi les plus performants du marché (420 Wc) et de densifier le nombre de modules en diminuant les espaces inter rangées. La puissance cumulée des deux centrales au sol sera d’environ 30 MWc. En termes de réponse aux objectifs politiques de production d’énergie solaire, le projet a donc une surface réduite au regard de la quantité d’électricité qu’il produit.

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3. SOLS POLLUES

Avis de l’autorité environnementale

3.1 Etat actuel du sous-sol

Une étude de caractérisation de l’état du sous-sol a été réalisée par la société GEOTEC en août 2018. Celle-ci a consisté en une enquête documentaire et historique, ainsi qu’en la réalisation de 17 tranchées avec prélèvements et analyses chimiques. En synthèse, les conclusions sont les suivantes. La localisation des sondages et le détail des résultats analytiques sont donnés en annexe.

D’après les photographies aériennes, et selon les informations issues du fascicule Moselle Est mentionnées ci-dessus, les diverses occupations du site au cours du temps sont les suivantes :

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 De 1950 à 1976, le site a été utilisé comme bassin de décantation des cendres de fumées de la centrale Emile Huchet ;

 A partir de 1976 et jusqu’à l’arrêt des activités de Charbonnages de France en 2007, la plate-forme a servi à stocker la houille extraite des puits voisins et le coke produit par la cokerie de Carling. En 1979, de nombreuses lignes de chemin de fer parallèles entre elles sont présentes sur le site. Celles-ci étaient utilisées par les Charbonnages de France pour la mise en dépôt de houille extraite des puits voisins et le coke produit par la cokerie de Carling. En effet, de nombreuses zones de stockage sombres (probablement de charbon) sont visibles sur les clichés aériens. L’ensemble des voies de chemin de fer sont visibles jusqu’en 1999 ;

 En 2007, l’EPFL a fait l’acquisition du site, à la demande de la Communauté de Communes du Pays Naborien.

Les investigations de terrain ont permis de mettre en évidence la présence de deux types de remblais :  Des remblais composés de sable fin noir à cailloux et blocs de schistes houillers noir et rose comprenant des résidus charbonneux, reconnus au droit de toutes les fouilles entre 0.20 et 0.90 m de profondeur/TA ;  Ceux-ci reposent sur un second type de remblais, formés par une alternance de sable fin gris +/- induré (voir du grès), de niveaux argileux et de niveaux riches en poussières de charbon et/ou de matière organique, observé sur toutes les fouilles jusqu’à la profondeur d’arrêt des investigations, soit entre 2.90 et 3.0 m de profondeur/TA. Cette formation est probablement issue des dépôts des anciens bassins de décantation des fumées de l’usine Emile Huchet.

Les remblais ayant été observés jusqu’à la profondeur d’arrêt des sondages, soit entre 2.90 et 3.0 m de profondeur/TA, et le terrain naturel sous-jacent n’ayant pas été mis en évidence, l’épaisseur maximale des remblais au droit du site n’a pas pu être déterminée.

Les résultats d’analyse ont mis en évidence des teneurs variables en composés organiques (HCT, HAP, BTEX), organo-chlorés (COHV) et métaux ; restant néanmoins modérées sans laisser apparaître une logique de répartition. Aucune pollution concentrée dans les sols n’a été mise en évidence. Les teneurs mesurées peuvent être associées à la qualité intrinsèque des remblais, en cohérence avec la présence de résidus charbonneux et les activités passées du site.

3.2 Risque de percolation

Le terrain naturel au droit du site est constitué de grès silicieux friables et de sables (formation du Grès Vosgien supérieur). La masse d’eau souterraine présente sur le territoire d’étude couvre une surface affleurante de 3 075 km², c’est l’aquifère des Grès du Trias inférieur. Son fonctionnement est détaillé en pages 132-138 de l’étude d’impact. D’après les informations du SAGE du bassin houiller, la piézométrie du site est de 203 m NGF à l’Est du site et de 212 m NGF à l’Ouest du site. L’altitude du site étant de 250 m NGF, le toit de la nappe est donc rencontré à environ 38 à 47 m de profondeur.

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L’aquifère est sans couverture et a une certaine vulnérabilité. Toutefois la nappe est située à plusieurs dizaines de mètres de profondeur, et les formations gréseuses affleurantes sont filtrantes ; elles comportent des niveaux argileux et assurent ainsi une certaine protection de l’aquifère.

Par ailleurs, le risque de cheminement préférentiel des ruissellements le long des pieux d’ancrage apparait très faible : - La technique de battage permet de creuser à l’exact diamètre des pieux - La profondeur des pieux est faible (2 mètres maximum) au regard de la profondeur de la nappe (38 à 47 m).

Ainsi, en l’absence de source concentrée de pollution des sols, l’ancienneté de la pollution existante, au vu de la profondeur de la nappe et de sa relative protection par les formations sus-jacentes, ainsi que de la faible probabilité de cheminements préférentiels, il n’est pas jugé nécessaire de mettre en place un suivi qualitatif des eaux souterraines.

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4. VOIES FERROVIAIRES

Avis de l’autorité environnementale

4.1 Risque de transport de matières dangereuses

Les mesures de réduction du risque incendie en provenance de l’extérieur du site sont les suivantes, conformément aux recommandations du SDIS :  Réduction - Sécurité des locaux techniques : Les locaux techniques intégrant les organes électriques les plus sensibles sont équipés de parois coupe-feu 2h00. Le poste de livraison possède un extincteur spécifique au risque électrique de 6 litres (CO2).

 Réduction - Organes de coupure : La centrale sera d'autre part équipée d'un système de coupure électrique à distance. Des organes de coupures permettront de limiter le risque d’incendie d’origine électrique : o Au niveau des onduleurs : présence d’un disjoncteur principal Courant Continu (CC) et d’un disjoncteur principal Courant Alternatif (CA) ; o Au niveau des transformateurs : installation d’une cellule de protection type fusible (courts circuits) ; et mise en place d’une protection en cas de défaillance ou surcharge du transformateur par détecteur de gaz, pression et température 2 niveaux (DGPT2) ; o Au niveau des câbles électriques : protections de type fusible et/ou disjoncteur côté CC et CA.

 Réduction - Prévention et organisation de sécurité : Toutes les précautions seront prises afin de faciliter l’alerte et l’accès des secours en cas de catastrophe. Ainsi, le projet inclura : o Une signalisation du risque électrique à l’entrée du parc et l'affichage des coordonnées de l'exploitant, o Un affichage des consignes de sécurité, o La mise en place d’un téléphone sur le site, o Des pistes internes de plus de 3 m de largeur, o Les panneaux photovoltaïques seront à plus de 4 m des limites de propriété. o Une aire permettant le retournement / déchargement des camions d’intervention,

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o Un portail avec une serrure à clef normalisée Services Publics.

 Réduction - défense extérieure contre l’incendie : Une vérification des capacités de défense contre l’incendie sera effectuée auprès des services du SDIS. En cas d’insuffisance des capacités existantes, elles seront complétées par la réalisation d’une des deux alternatives suivantes : o Installation d’un poteau hydrant, o Pose d’une citerne souple en bordure du site, avec un accès aménagé pour les véhicules incendie.

Rappelons également qu’il n’y a pas de personnel présent sur la centrale solaire (mis à part des interventions ponctuelles de maintenance), le risque en termes de santé humaine est donc négligeable.

Inversement, grâce aux mesures précédemment citées, le risque induit par les installations photovoltaïques (départ de feu) vers les wagons transportant des matières dangereuses est négligeable. De plus, une bande tampon de 20 mètres minimum existe entre les panneaux solaires et les voies ferrées.

MontanSolar et Luxel n’ont pas connaissance d’une étude de danger concernant la zone de triage à l’est du site.

4.2 Franchissement de la voie ferrée pour accéder au site

Les représentants de la société LUXEL et MontanSolar ont rencontré le gestionnaire de la voie ferrée (VFLI) en octobre 2018 et février 2019. Les modalités de sécurisation du franchissement des voies ont été précisées à cette occasion. Il y a 2 passages à niveaux à traverser pour pouvoir accéder au site. - Premier passage à niveau : voies principales o Ce passage est déjà équipé de barrières. Des panneaux de signalisation de chantier (panneaux stop, etc) seront posés par VFLI en amont du passage à niveau. o Lors des convois exceptionnels, un agent de VFLI sera missionné pour être présent au droit du passage à niveau. Des tôles de renforts seront installées pour protéger le passage à niveau. o Une visite contradictoire sera effectuée avant le démarrage du chantier pour enregistrer l’état du passage à niveau, ainsi qu’à l’issue des travaux. En cas de dégradation constatée liée au chantier, les travaux seront pris en charge par le maitre d’ouvrage. - Second passage à niveau : accès au garage wagons de Diesen o La circulation ferroviaire sera bloquée le temps des travaux. L’ensemble des wagons stationnés sur le garage seront préalablement dégagés, car les voies de garages ne seront plus accessibles pendant ce laps de temps. o Pour sécuriser l’accès sur le double passage à niveau sans risque de détérioration, une protection avec du laitier et pose de géotextile sera mise en place par VFLI. o Ces travaux de sécurisation et de manœuvre prendront environ 1 mois.

En phase d’exploitation, les conditions opérationnelles des traversées de véhicules seront décrites au travers d’une consigne opérationnelle reprenant l’organisation et les personnes à contacter. Elle sera rédigée par VFLI et soumise pour accord au maitre d’ouvrage.

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1er passage à niveau équipé de barrières  Renforcement de la signalisation

2nd passage à niveau  Voie ferrée fermée pendant les travaux

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5. ANNEXE : EXTRAITS DE L’ETUDE DE CARACTERISATION DE L’ETAT DU SOUS-SOL REALISEE PAR GEOTEC EN AOUT 2018 (REF RAPPORT : 18/01030/NANCY/01)

Plan de localisation des sondages

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