REPOBLIKAN’i MADAGASIKARA Tanindrazana - Fahafahana - Fandrosoana

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE Comite National De Lutte Contre Le VIH/Sida Secrétariat Exécutif

Plan d’Action de pour une réponse efficace face au VIH et au Sida 2007-2012

à l'abri du VIH et du Sida Mai 2007 SOMMAIRE

LISTE DES ABREVIATIONS 3

MESSAGE DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE 5

RESUME EXECUTIF 7

PREMIERE PARTIE : ANALYSE DE LA SITUATION 11 1. PRESENTATION DU PAYS 12 2. STADE ET DYNAMIQUE DE L’EPIDEMIE Du VIH et du Sida 13 3. IMPLICATIONS PROGRAMMATIQUES DES FACTEURS DE RISQUE ET DE VULNERABILITE EN TERMES DE CIBLES DES INTERVENTIONS 18 4. IMPLICATIONS DES FACTEURS DE RISQUE ET DE VULNERABILITE SUR LE TYPE ET CONTENU DES INTERVENTIONS 24

CONCLUSION 26

DEUXIEME PARTIE : ANALYSE DE LA REPONSE 27 1. RENFORCEMENT DU CADRE POLITIQUE ET INSTITUTIONNEL 29 2. MISE EN PLACE ET RENFORCEMENT DES SERVICES CLINIQUES PREVENTIFS ET THERAPEUTIQUES ET DU SOUTIEN PSYCHOSOCIAL 37 3. PLAIDOYER, COMMUNICATION POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT ET TRANSFORMATION SOCIALE 49 4. MISE EN PLACE ET STIMULATION DE LA REPONSE LOCALE 66 5. RENFORCEMENT DU PARTENARIAT ET DE LA COLLABORATION INTERNATIONALE 75

CONCLUSION 85

TROISIEME PARTIE : ORIENTATIONS STRATEGIQUES, CADRE LOGIQUE, CADRE DE SUIVI - EVALUATION ET BUDGETISATION 87 1. ORIENTATIONS STRATEGIQUES DU PLAN D’ACTION (2007-2012) 89 2. AXES STRATEGIQUES, OBJECTIFS SPECIFIQUES ET ACTIVITES GENERIQUES DU PLAN D’ACTION 2007-2012 98 3. CADRE LOGIQUE DE LA MISE EN ŒUVRE DU PLAN D’ACTION 2007-2012 107 4. CADRE DE SUIVI ET EVALUATION DU PLAN D’ACTION 2007-2012 122

5. FINANCEMENT DU PLAN D’ACTION 2007-2012 130

ANNEXES 131

ANNEXE 1 : RESUME DU PLAN NATIONAL DE RIPOSTE AU SIDA POUR LES POPULATIONS CLES LES PLUS EXPOSEES AU RISQUE D’INFECTION PAR LE VIH (2007 - 2012) II

ANNEXE 2 : ORGANISATION DE LA LUTTE CONTRE LE VIH ET LE SIDA A MADAGASCAR VI

ANNEXE 3 : ORGANIGRAMME DU SECRETARIAT EXECUTIF DU CNLS VII

ANNEXE 4 : LISTE DES COMMUNES ABSOLUMENT PRIORITAIRES POUR LES INTERVENTIONS (2007) VIII

ANNEXE 5 : PRINCIPALES ENQUÊTES ET ÉTUDES X

ANNEXE 6 : DEMARCHE ADOPTEE POUR L’ELABORATION DU PSN 2007-2012 XI

ANNEXE 7 : LISTE DES PERSONNES AYANT CONTRIBUE A L’ELABORATION DU PSN 2007-2012 XIII Lis t e d es t a b lea u x

Tableau 1 : Disparités des taux de prévalence du VIH selon les provinces 13 Tableau 2 : Données relatives au taux de prévalence du VIH 14 Tableau 3 : Disparités des taux de prévalence de la syphilis selon les provinces 15 Tableau 4 : Données relatives au taux de prévalence de la syphilis 15 Tableau 5 : Les principaux facteurs de risque à Madagascar 15 Tableau 6 : Les principaux facteurs de vulnérabilité à Madagascar 16 Tableau 7 : Catégories professionnelles mobiles selon le secteur d’activités économiques. 19 Tableau 8 : Groupes de population prioritaires pour les interventions 21 Tableau 9 : Principes de localisation des communes vulnérables 23 Tableau 10 : Implications programmatiques sur le type et contenu des interventions 24 Tableau 11 : Organisation du CNLS et SE/CNLS aux différents niveaux administratifs 30 Tableau 12 : Structures décisionnelles et opérationnelles 37 Tableau 13 : couverture des interventions par cible 48 Tableau 14 : utilisation des media par les associations et groupement 60 Tableau 15 : Réseau confessionnel 63 Tableau 16 : Les trois piliers de la réponse locale 66 Tableau 17 : Rapport couverture et intensité pour les sous projets par région 71 Tableau 18 : Contribution des partenaires à la réalisation du PSN 2001-2006. 81

Lis t e d es s c h é mas

Schéma 1 : Modalités principales de diffusion de l’infection à VIH par voie sexuelle à Madagascar 17 Schéma 2 : Dispositif envisagé pour la banque de données 36 Schéma 3 : Media mix pour l’IEC/CCC pour la lutte contre les IST et VIH/Sida 56 Schéma 4 : Organisation de la réponse locale au niveau des communes 67 Schéma 5 : Triptyque Besoins – Offre – Demande 72 Schéma 6 : Schéma du circuit de financement des OCBs et Associations 73 Schéma 7 : Dynamique évolutive de la réponse locale 74 Schéma 8 : Organisation de la lutte contre le VIH et le Sida à Madagascar 76 Schéma 9 : Le système de suivi évaluation national 124

Photos - Illustrations : A. Haja - R. Eric Marc - PRM Conception : Andriamiharisoa Haja lis t e d es a b r é v iat io n s ABC Abstinence - Bonne Fidélité - Condom PEC Prise En Charge ABCD Abstinence - Bonne Fidélité – Condom – Demande pour les PF Planning Familial services cliniques préventifs et thérapeutiques PIP Programme d’Investissement Public AFD Agence Française pour le Développement PLACE Priorités aux efforts locaux de contrôle du Sida ARV Anti-Rétro Viraux PLLS Plan Local de Lutte contre le SIDA ASAP Aids Strategy Action Plan PNUD Programme des Nations Unies pour le Développement BCIR Bureau de Coordination Inter-Régionale PMPS Projet Multisectoriel pour la Prévention du VIH et du Sida BM Banque Mondiale POI Plan Opérationnel Intégré CAC Cadre d’Auto-évaluation des Compétences PRM Présidence de la République de Madagascar CAP Connaissance Attitude Pratique PSI Population Services International CCC Communication pour le Changement de Comportement PSN Plan Stratégique National de Lutte contre le VIH et le Sida CID Centre d’Information et de Documentation PTA Plan de Travail Annuel CISCO Circonscription Scolaire PTME Prévention de la Transmission Mère-Enfant CNLS Comité National de Lutte contre le SIDA PU Précaution Universelle CLLS Comité Local de Lutte contre le SIDA PVVIH Personnes Vivant avec le Virus du SIDA CPN Consultation Pré-Natale SBCI Surveillance bio-comportementale intégrée CRLS Comité Régional de Lutte contre le SIDA SE/CNLS Secrétariat Exécutif du Comité National de Lutte contre le SIDA CTV Conseil et Test Volontaire SIDA Syndrome d’Immunodéficience Acquise DAS Direction des Affaires Sociales SIG Système d’Information pour la Gestion EDS Enquête Démographique et de Santé SNU Système des Nations Unies FAP Fonds d’Appui à la Prévention SSD Service de Santé de District FM Fonds Mondial TB Tuberculose GAMET Global Aids Monitoring and Evaluation Team TDS Travailleurs de Sexe GSS Groupe Stratégique Sectoriel TS Transfusion Sanguine GTZ Coopération Allemande pour le Développement UDI utilisateurs de drogues injectables HSH Hommes ayant des rapports sexuels avec les hommes UCR Unité de Coordination Régionale IPM Institut Pasteur de Madagascar UNGASS United Nations General Assembly Special Session (Session IO Infections Opportunistes spéciale en Juin 2001 : Déclaration d’Engagement de IST Infections Sexuellement Transmissibles l’Assemblée Générale des Nations Unies) MAP Madagascar Action Plan UNICEF Fonds des Nations Unies pour l’Enfance MINDEF Ministère de la Défense Nationale UNFPA Fonds des Nations Unies pour la Population MINSANPF Ministère de la Santé et du Planning Familial USAID Agence des Etats Unis pour le Développement International OCB Organisation communautaire de Base VIH Virus de l’Immunodéficience Humaine OEV Orphelins et Enfants Vulnérables ONG Organisation non Gouvernemental ONUSIDA Programme Commun des Nations Unies sur le VIH et le Sida OMS Organisation Mondiale de la santé

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Messa g e d u Pr é si d e n t d e la Ré p u b li q u e

Le VIH/SIDA continue de progresser et de se propager dans le monde surtout en Afrique avec ses menaces et ses impacts désastreux sur le développement socio- économique. La communauté internationale et la grande famille des scientifiques à l’unisson, ne ménagent pas leurs efforts dans la recherche de nouveaux moyens plus efficace et abordables pour combattre et freiner cette progression. Conscient des dangers du VIH/SIDA, Madagascar, depuis la découverte du virus jusqu’à ce jour a toujours mené une lutte contre le fléau. De 2001 à 2006, un Plan Stratégique National (PSN) de lutte contre le VIH/SIDA a été mis en oeuvre. Il a permis de mobiliser toutes les forces en présence dans une guerre sans merci sous tendue par des interventions programmatiques et multisectorielles. Les résultats sont là. Ils sont la preuve de notre volonté politique et de notre détermination à éradiquer cette pandémie :  Les informations sont véhiculées dans les zones les plus reculées du pays pour mobiliser la population à relever les défis du développement grâce à des moyens appropriés. Marc RAVALOMANANA  Les populations vulnérables et à risque accèdent mieux aux soins et aux Président de la République traitements par la mise à disposition, jusque dans les communes, de Président du CNLS différents services de prise en charge et de counselling.  Les communautés, mobilisées, s’organisent et s’engagent dans la lutte à travers les Organisations Communautaires de Base (OCB).  Le taux de prévalence du VIH/SIDA reste relativement faible à 1%. Malgré les efforts fournis et ces résultats concluants, de nombreux obstacles dont certaines pratiques traditionnelles dans les us et coutumes sont encore à surmonter et la lutte est loin d’être finie. Nous devons encore redoubler d’efforts et multiplier nos actions pour une réponse plus élargie, globale et équilibrée. D’où l’élaboration du nouveau Plan d’actions 2007 - 2012, qui est actuellement entre vos mains. Il matérialise le défi 3 “Gagner la lutte contre le VIH et le Sida “, engagement 5 “ Santé, Planning familial et Lutte contre le VIH/SIDA “ du Plan d’Action pour Madagascar (MAP). Son objectif est de renforcer pour les cinq années à venir les actions pour la santé en général et pour la lutte contre le VIH/ SIDA en particulier. C’est un document de référence pour tous ceux qui entendent grossir nos rangs dans cette noble mais exaltante tâche. C’est la feuille de route pour laquelle j’invite tous ceux qui consentent à faire le chemin ensemble avec nous à consulter. Notre défi est de maintenir à moins de 1% le taux de prévalence du VIH/SIDA à Madagascar, de réduire encore le nombre de personnes nouvellement infectées et d’augmenter le nombre de malades du SIDA bénéficiant d’une prise en charge thérapeutique. Je vous exhorte alors à poursuivre la lutte avec moi, avec nous, pour les cinq années à venir ! Je vous remercie déjà pour votre engagement !

Que Dieu bénisse notre pays !

7 RESUME EXECUTIF

La mise en œuvre du Plan Stratégique National de lutte contre le VIH et le Sida (PSN) 2001-2006 a été caractérisée par trois phases. La première phase (2002-2003) a été axée sur la mise en place des mécanismes institutionnels, la définition des axes majeurs d’intervention, la création d’un partenariat et la mobilisation des leaders pour un engagement des parties prenantes dans la mise en œuvre de la réponse nationale. La seconde phase (2003- 2004) a été marquée par : (i) le renforcement du cadre politique et institutionnel de la réponse nationale, avec l’engagement présidentiel, la poursuite des Trois Principes d’Unicité et le renforcement du partenariat intersectoriel et de la collaboration internationale, qui s’est soldé, à partir de fin 2003, par une intensification sans précédent des activités, financées par un nombre croissants de partenaires ; (ii) la mise en place d’une « veille informationnelle » et d’un réseau de communication de proximité qui a permis de faire connaître l’existence du VIH et du Sida dans l’ensemble des communes du pays et a été axée sur la promotion des comportements sexuels à moindre risque (Abstinence, Bonne fidélité, utilisation du Condom) ; (iii) la mise en place et renforcement de la disponibilité des services cliniques préventifs et thérapeutiques et des préservatifs ; (iv) l’implication des Personnes Vivant avec le VIH (PVVIH) dans la programmation et la mise en œuvre des activités ; (v) une mobilisation des leaders locaux pour une organisation de la communauté et sa participation active dans les activités promotionnelles. La troisième phase (2005-2006) s’est traduite par une intensification des activités menées lors de la deuxième phase : (i) la stimulation du partenariat pour une réponse multisectorielle au VIH/Sida, l’adoption d’une approche programme versus projet dans la gestion de la réponse nationale et un meilleur alignement des efforts des partenaires au développement sur les systèmes nationaux ; (ii) le renforcement du paquet d’activités promotionnelles et cliniques accompagné de mesures propres à faciliter l’accessibilité géographique et financière des cibles aux services et le maintien de leurs droits ; (iii) la consolidation de la réponse locale qui a été mise en œuvre dans 52% des communes du pays et constitue un axe programmatique transversal, parce qu’orienté vers la décentralisation dans la gestion et mise en œuvre des interventions ; (iv) la documentation et capitalisation de l’expérience pour en maximiser l’efficience et l’impact. Le Programme national de lutte contre le VIH et le Sida commence à être reconnu au niveau international pour son dynamisme et les investissements qu’il a consentis en termes de réflexion stratégique.

Les principales faiblesses rencontrées dans la mise en œuvre du PSN 2001-2006 sont : (i) une définition et couverture insuffisante des groupes les plus susceptibles de contracter et diffuser l’infection dans la population générale ; (ii) les interventions insuffusantes basées sur l’évidence axées sur les populations clés les plus à risque ; (iii) un « pilotage à vue » dans la définition des zones géographiques prioritaires pour les interventions en direction de la population générale ; (iv) insuffisance de l’intégration du VIH dans les secteurs clés du développement ; (v) une intégration sectorielle réduite de la programmation VIH/Sida ; (vi) une coordination intra sectorielle insuffisante dans le secteur de la santé ; (vii) un démarrage tardif dans la dynamisation de la lutte contre les IST classiques ; (viii) une couverture des activités de dépistage du VIH et de prise en charge médicale et psychosociale des PVVIH insuffisante par rapport aux objectifs nationaux ; (ix) une communication qui s’est concentrée sur la promotion de l’ABC, aux dépens de la demande pour les services cliniques ; (x) un morcellement dans la documentation relative au programme. Ces faiblesses sont liées à la jeunesse du programme, qui n’a véritablement pris forme qu’à partir de fin 2003, s’est greffé à de multiples autres priorités de santé publique et de développement et dont la mise en œuvre a été sous-tendue par l’approche du « learning by doing ». Cette approche a permis de construire les fondations d’un programme structuré et éprouvé par les réalités du terrain en un temps record. Elle a également permis d’isoler les trois « piliers » du PSN 2007-2012 : (i) la compréhension de la dynamique de l’infection ; (ii) le renforcement et la décentralisation de la gestion de programme (personnel qualifié, outils et mécanismes) ; (iii) l’intensification des activités promotionnelles et cliniques dans les communes vulnérables, notamment à travers des «Initiatives à Résultats Rapides» et la motivation des acteurs qui réalisent des objectifs annuels de couverture réalistes.

Le PSN 2007-2012 est baptisé Plan d’Action de Madagascar pour une réponse efficace face au VIH et au Sida pour la période 2007-2012. La première partie du document consiste en une analyse de la situation du pays face au VIH/Sida. Elle identifie les cibles prioritaires et orientations programmatiques du Plan d’Action qui sont dictées par le stade de l’épidémie à Madagascar et l’analyse des facteurs de risque et de vulnérabilité sous-tendant la dynamique de l’évolution de l’infection dans le pays. La seconde partie du document consiste en une analyse de la réponse du pays face au VIH/Sida. Elle documente les acquis et contraintes dans la mise en œuvre du PSN 2001-2006 par rapport aux cibles et orientations stratégiques définies par l’analyse de la situation. En explicitant la logique programmatique qui sous-tend les réalisations du PSN 2001-2006 et en tirant les implications stratégiques des leçons tirées de l’expérience, elle montre clairement la continuité qui existe entre le PSN 2001-2006 et le Plan d’Action 2007-2012. La troisième partie du document inscrit les orientations programmatiques identifiées dans un cadre logique des interventions et de suivi et évaluation. Le Plan d’action 2007-2012 ne prétend pas être un document exhaustif : il fournit la synthèse des données disponibles actuellement et les analyse dans le but de définir « ce qu’il faut faire et pourquoi » pour orienter la réflexion stratégique future du SE/CNLS et ses partenaires sur « qui doit le faire et comment » pour améliorer l’efficience des interventions. Le Plan d’action 2007-2012 a en effet pour priorité fondamentale d’intensifier la mise en œuvre des interventions – maintenant relativement bien définies - pour une amélioration tangible dans la réalisation des objectifs nationaux de contrôle de l’infection à VIH. 8

La vision de Madagascar en matière de lutte contre le VIH et le Sida est la suivante : « D’ici 2015, Madagascar sera un pays où tous les Malagasy et en particulier les jeunes sont conscients des risques personnels, s’impliquent activement avec l’engagement des leaders dans la lutte contre le VIH/ Sida. Chaque individu accèdera facilement aux méthodes de prévention appropriées et les utilisera de façon responsable. Individu, famille et communauté apporteront soins et soutien aux personnes infectées et affectées par le VIH.» Le Plan d’Action 2007-2012 se fixe pour but de matérialiser cette vision par : (i) la réduction de l’incidence du VIH, qui sera mesurée par la réduction de la prévalence du VIH dans les groupes (les plus) vulnérables et celle des IST ; (ii) la maintenance de la prévalence du VIH à moins de 2% dans les groupes les plus vulnérables et à moins de 1% dans la population générale ; (iii) l’amélioration de la qualité de vie et bien être des PVVIH, mesurée par la couverture de services de PEC clinique et psychosociale « amis » des PVVIH et l’existence d’instruments de protection de leurs droits. En ligne avec les meilleures pratiques internationales, il retient comme objectifs généraux : (i) l’adoption de comportements susceptibles de réduire la transmission des IST et du VIH par les pupulations clés les plus vulnérables ; (ii) l’utilisation accrue des services cliniques préventifs et thérapeutiques par les pupulations clées plus vulnérables ; (iii) le maintien des droits des PVVIH dans la société, particulièrement en matière d’accès aux soins et de participation à la vie sociale et économique ; (iv) la constitution d’une « immunité » de la société malgache face au VIH, évaluée à partir des actions prises par les éléments-clés du corps social pour la développer . Les données épidémiologiques sur les IST et le VIH et le Sida sont parcellaires. Les groupes cibles et types d’interventions prioritaires ont donc été définis sur la base d’une analyse qualitative des facteurs de risque et de vulnérabilité sous- tendant la dynamique de l’épidémie du VIH à Madagascar, encore classée comme peu active. La définition de ces groupes cibles devra être vérifiée/ajustée sur la base de données bio-comportementales additionnelles, à recueillir dans le cadre d’une surveillance élargie et intégrée au système de planification et de suivi et évaluation. La nature des interventions devra également être revue sur cette base, pour un ajustement dans la distribution des ressources existantes/à mobiliser pour la couverture des différents groupes de population, en raison notamment de la discordance notée entre la faible prévalence du VIH et la forte prévalence des IST dans la population générale, également observée aux Seychelles et aux Comores et catégorisée par certain comme « le paradoxe de l’Océan Indien ». Le PSN 2007-2012 se fixe comme cibles prioritaires des interventions les groupes de population les plus susceptibles de contracter et diffuser l’infection par voie sexuelle (TDS et leurs clients) et les groupes de population générale en situation de vulnérabilité accrue face au VIH/Sida parce qu’ayant des contacts sexuels avec les premiers ou vivant dans une commune où ils sont concentrés considérée comme foyer de diffusion de l’infection à VIH, y compris les femmes, les jeunes et tout autre groupe de population disproportionnellement affecté par les facteurs de risque et de vulnérabilité. Il met ainsi davantage l’accent sur la couverture des groupes (les plus) vulnérables que le PSN 2001- 2006. Les stratégies prioritaires pour ces groupes de population incluent le renforcement de : (i) l’accessibilité des préservatifs ; (ii) la promotion de comportements sexuels responsables (ABC) ; (ii) le renforcement de la disponibilité et de la demande pour les services cliniques préventif ; (iii) le renforcement des services de prise en charge médicale et psychosociale des PVVIH ; (iv) le renforcement des précautions universelles/sécurité transfusionnelle dans les milieux médicaux) ; (v) la création d’un environnement favorable à la prévention et PEC du VIH et du Sida, au niveau sociétal, communautaire et familial. Par rapport au PSN 2001-2006, le PSN 2007-2012 met également davantage l’accent sur : (i) la compréhension des facteurs sous-tendant la dynamique de diffusion de l’infection à Madagascar ; (ii) la promotion du délais dans le début de la vie sexuelle chez les jeunes ; (iii) la dynamisation de la lutte contre les IST classiques ; (iv) l’intensification du dépistage du VIH avec des tests rapides et son inscription dans une référence opérationnelle pour la prise en charge à la fois médicale et psychosociale des PVVIH ; (v) la lutte contre la stigmatisation et discrimination des PVVIH, particulièrement dans le milieu médical et du travail ; (vi) la consolidation du système de suivi et évaluation. Le Plan d’Action 2007-2012 assigne à la mise en œuvre de ces interventions les principes directeurs suivants : (i) leadership national ; (ii) appropriation nationale de la réponse ; (iii) renforcement des capacités nationales en gestion et mise en œuvre de la réponse et pérennisation des interventions ; (iv) poursuite des trois Principes d’Unicité et alignement des efforts des partenaires; (v) respect de l’équité dans l’accès aux interventions ; (vi) responsabilité collective et (vii) obligation pour le Gouvernement Malagasy et ses partenaires de procéder à l’exercice d’un contrôle et de rendre des comptes. Sur la base des leçons tirées de la mise en œuvre du PSN 2001-2006, le Plan d’Action 2007-2012 préconise d’opérationnaliser ces stratégies à travers : (i) le renforcement de l’intégration du VIH et du Sida dans les plans de développement nationaux et sectoriels, avec un accent particulier sur le secteur de la santé, de l’éducation et de la sécurité ; (ii) le renforcement des capacités en gestion de programme, i.e en planification, budgétisation, gestion des intrants et suivi et évaluation des performances par rapport à des objectifs annuels de couverture ; (iii) le renforcement de la coordination intra sectorielle et du partenariat avec la société civile, y compris le secteur privé, avec un accent particulier sur le secteur de la santé, le secteur de la communication et le milieu du travail, notamment dans les secteurs économiques vulnérables ; (iv) la décentralisation de la gestion de programme pour une réponse multisectorielle coordonnée à son niveau opérationnel de mise en œuvre – la région et ses districts; (v) l’intégration des prestations cliniques IST et VIH/Sida dans les services de routine aux différents niveaux de la pyramide sanitaire (stratégie fixe et avancée) dans une double perspective de renforcement de l’efficience du programme de lutte contre les IST et VIH/SIDA et du renforcement du système de santé ; (vi) l’intensification d’une « veille informationnelle » et d’une communication de proximité caractérisés par une approche participative/interactive sur des thèmes plus diversifiés ; (vii) la mobilisation et organisation communautaire pour une réponse par l’individu là où il vit et il travaille ; (viii) le renforcement des compétences des jeunes et la promotion de leur participation dans la réponse face au VIH et au Sida en tant qu’acteurs et non seulement cibles des interventions à la santé de la reproduction(ix) l’évaluation des besoins et la mobilisation des ressources techniques et financières pour assurer une couverture effective des groupes et communes vulnérables prioritaires. 9

Les objectifs stratégiques visés durant la mise en œuvre du Plan d’Action sont repris dans le tableau suivant:

AXE STRATEGIQUE 1 : Mise en place d’un cadre juridique, politique et opérationnel pour une réponse aux IST/Sida multisectorielle, intégrée, efficace et protégeant les droits des personnes

OS 1.1: Renforcer le dispositif juridique et politique de lutte contre les IST et le VIH et le Sida en veillant au respect des droits des PVVIH et à la mise en place de dispositifs appropriés à la lutte et en diffusant au moins deux documents de meilleures pratiques de la réponse chaque année

OS 1.2 : Renforcer la Coordination intra –sectorielle dans la mise en œuvre de la réponse national aux IST et VIH/Sida en assurant l’intégration de la lutte contre les IST/VIH/SIDA dans les plans d’action de tous les ministères d’ici 2012

OS 1.3 : Renforcer la décentralisation de la gestion du programme pour une réponse locale aux IST et au VIH/SIDA à travers l’élaboration et la mise en œuvre de Plans locaux de lutte contre le SIDA au niveau de chacune des 1549 communes que comptent le pays et en encourageant la participation des PVVIH dans la coordination de la lutte au niveau d’au moins 10% des communes d’ici 2012

OS 1.4: Renforcer l’efficience du système de la santé dans la réponse aux IST et au VIH/SIDA en assurant une gestion efficace des réactifs, consommables et médicaments pour éviter les ruptures et pour réduire le taux de péremption des stocks à moins de 1%

OS 1.5: Renforcer l’engagement du secteur travail dans la réponse nationale aux IST et au VIH/SIDA à travers des appuis pour la mise en œuvre et l’adoption de politique de lutte contre le VIH et le Sida dans 40% des grandes entreprises d’ici 2012.

AXE STRATEGIQUE 2 : Amélioration de l’Accès à l’information et à des services cliniques de prévention des IST et du VIH et du Sida de qualité OS 2.1 : Promouvoir les comportements à moindre risque face aux IST et du VIH et du Sida et la demande des services de cliniques en touchant lors des interventions des activités de proximité environ 4 000 000 de personnes par an dont 40% des jeunes de 15-24 ans et 20% de groupes vulnérables (y compris les TDS, les clients et les populations clés en interaction), et en distribuant environ 20 000 000 préservatifs par an et contribuer à l’atteinte d’un taux d’utilisation du préservatif chez les jeunes garçons âgés de 15 à 24 ans de 45 %et chez les Travailleurs de Sexe de 95 % d’ici 2012 OS 2.2 : Intensifier le dépistage de la Syphilis et de la PEC des cas d’IST classiques en assurant le dépistage de la Syphilis des femmes enceintes au moins dans 70 % des CSB mais aussi en assurant une prise en charge correcte des IST d’au moins 80% des TDS identifiés et d’atteindre une réduction de 25 % de la prévalence des IST d’ici 2012 OS 2.3 : Intégrer le Conseil et Dépistage confidentiel et volontaire du VIH dans les services de routine dans au moins 70 % des communes et en dépistant au moins 3 000 000 de personnes dont 15 % parmi les jeunes de 15-24 ans et 15% parmi les groupes vulnérables (TDS, camionneurs, HSH, UDI, militaires, etc) d’ici 2012 OS 2.4 : Renforcer la disponibilité de services de prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant en rendant fonctionnels des sites PTME au niveau d’au moins 70 % des communes et avec un taux d’acceptation de 90 % chez les femmes enceintes et en dépistant 1700 femmes enceintes séropositives dont 80% seront mises sous prophylaxie ARV pour réduire le risque de transmission du VIH de la mère à l’enfant à moins de 5% dans les sites PTME d’ici 2012

OS 2.5 : Intensifier les précautions universelles et la prévention de la transmission sanguine du VIH et du Sida en milieu de travail en assurant la sécurisation de toutes les poches de sang utilisées et en assurant la prise en charge d’au moins 80% des cas d’accident d’exposition au sang rapportés

AXE STRATEGIQUE 3 : Réduction de l’impact du VIH et du SIDA sur les personnes infectées et affectées par l’épidémie OS 3.1 : Renforcer l’accessibilité et la disponibilité des services de prise en charge médicale des PVVIH en rendant disponible et fonctionnel des centres de référence dans 45% des districts pour assurer la prise en charge et le traitement sous ARV de 2500 PVVIH d’ici 2012, et en assurant la survie des 95% d’entre eux après 12 mois du début de traitement

OS 3.2. : Renforcer la disponibilité de la prise en charge psychosociale des PVVIH au niveau communautaire en assurant le prise en charge de 5000 PVVIH et de 5000 OEV d’ici 2012

AXE STRATEGIQUE 4 : Renforcement de la gestion de la réponse nationale

OS 4.1 : Mettre en place un système de planification et de suivi et évaluation intégré fonctionnel pour une meilleure gestion de la mise en œuvre des interventions afin d’atteindre un taux de complétude du dépôt des rapports des communes à 80% d’ici 2012

OS4.2 : Mobiliser des fonds pour la mise en œuvre du plan d’action 2007-2012 en faisant le plaidoyer auprès des partenaires nationaux et internationaux et pour l’effectivité des trois Principes d’Unicité à tous les niveaux 10 PREMIERE PARTIE

ANALYSE DE LA SITUATION 1 ère Partie 12 Toutefois, ilconvient denoter uneévolution croissante del’indice dupays (0,400en1975). Indice Indice de Développement Humain : le Sidaaégalement été intégrée, traduit lavolonté manifeste decette dupays situation. àsortir contrelutte le la où et 2007-2012 » VIH Plan Action maintenantrenforcée 2003, « Madagascar depuis le (DSRP) par pauvreté la contre lutte de nationale stratégie la de œuvre en mise La rural. milieu en vivant majorité grande une de la pauvreté. En 2003, on évaluait à 74% la population vivant en dessous du seuil national absolu PIB/habitant : de pauvreté,Avec avec un PIB par habitant évalué à 294 USD en 2003, Madagascar fait face au défi majeur de la réduction la différence entre lessexes estrelativement faible. L’écart2005. en 63% à 1990 en 58% de passé est malgaches considérablemais est rural et urbain entremilieux les humain durable, le pays a déployé des efforts considérables dans ce domaine. Le taux d’alphabétisation des adultes Alphabétisation : par femme contre enmilieuurbain 5,7enmilieurural. une disparité importante entre le milieu urbain et le milieu rural : l’indice synthétique de fécondité est de féconde.3,7 vie de fin Toutefois,enfants en enfants 5,2 moyenne,existeà naissance,en il donné ayantfemme élevée,chaque demeure malgaches femmes des fécondité la enregistrée, baisse la de dépit En fécondité : de synthétique Indice vie àlanaissance aatteint 55,5ans en2005. fortement a malgache. Evaluée à 52,1 ans en 1993, l’espérance de juvénile et infantile contribué à améliorer la mortalité qualité de vie de la la population de continue baisse La naissance : la à vie de Espérance de (17 500 administrative base. quartiers l’unité tour constituant en Fokontany), leur divisées elles-mêmes à sont qui communes, sont régions 1549 et districts 116 régions, deux en découpées vingt Les maintenant administratives. comprend Elle 2003, autonomes. administratives provinces jusqu’ensix en divisée était, L’île administrative : Division cette dans connaît quedefaiblesvariations dialectales. uni ne qui Malagasy, est le langue, même paysune par diversité Le chinoise. et indienne et indonésienne d’originepopulationcomprend de sous-groupes des et africaine d’origine de groupes population de composée essentiellement est Elle dans la de capitale et 25% dans population les autres 5% de prèsmilieux rural, milieu en urbains.vivent 70% environdont la 2006, juin d’habitants, étaitestiméeà17,8Millions Madagascar 30 Au Population : etSainteBe Marie. Nosy sont importantes plus les dont îles petites des avec Indien, l’Océan par l’Est, à et, Mozambique de canal le par l’Ouest, à 000 baignées, côtes 5 de kilomètres de plus comprend et largeur dans grande kilomètres plus sa 500 de près sur et kilomètres 500 1 de longueur une sur s’étend Elle km². 401 587 de : Superficie par lecanalduMozambique. africain continent du séparé est et Indien l’Océan de Localisation : Madagascar est situé dans le Sud-Ouest 1. PRESENTATION DUPAYS Analyse delasituation est » Ile « Grande la de superficie la eonisn léuain t ’lhbtsto cme e fneet d développement du fondements des comme l’alphabétisation et l’éducation Reconnaissant Avec un IDH évalué à 0,499 en 2003, Madagascar est classé 146

LES REGIONSDEMADAGASCAR A A A A A A A A A t t t t t t t t t s s s s s s s s s i i i i i i i i i m m m m m m m m m o o o o o o o o o

A A A A A A A A A M M M M M M M M M n n n n n n n n n M M M M M M M M M A A A A A A d d d A A A d d d e e e d d d e e e e e e e e e e e e r r r e e e n n n r r r n n n n n n r r r n n n n n n n n n e e e e e e l l l e e e l l l l l l d d d d d d a a a a a a d d d a a a a a a a a a a a a f f f f f f f f f r r r a a a r r r k k a k a a b b b r r r k k k a a a b b b k k k b b b o o o o o o o o o y y n n n y y n y y n n e e e y y n y n n e e e e e e y y y y y y y y y a a a a a a a a a I I I I I I I I I h h h H H H h h h H H H h h h H H H o o o o o o o o o B B B B B B a a a B B B a a a a a a r r r r r r A A A r r r A A A A A A u u u A A A o o o u u u A A A o o o o o o u u u A A A o o o o o o o o o V V V V V V V V V m m m t t t m m m i i i t t t m m m i i i m m m t t t n n n i i i m m m n n n m m m n n n n n n e e e n n n e e e A A A n n n e e e A A A a a a A A A a a a a a a o o o o o o o o o o o o a a a

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b b b k k k t t t k b b b k k t t t B B B M M M k k k t t t B B B M M M B B B M M M s s s s s s s s s r r r s s s s s s r r r s s s r r r e e e i i i e e e i i i e e e i i i o o o n n n o o o y y y e e e n n n o i i i y y y o o e e e n n n i i i y y y e e e i i i a a a a a a m m m a a a I I I m m m I I I m m m I I I n n n a a a n n n t t t a a a t t t n n n t t t A A A a a a t t t t t t A A A t t t t t t A A A t t t s s s t t t a a a s s s a a a s s s a a a s s s ' ' ' s s s n n n ' ' o o o ' s s s n n n o o o ' ' ' n n n o o o i i i i i i n n n i i i i i i n n n i i i s s s n n n

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M M M a a a M M M a a a a a a A A A y y y a a a A A y y y a a a A A A A y y y o o o a a a o o o a a a o o o a a a t t t t t t t t t l l l l l l V V V a a l l l a V V V r r r t t t a a V a V V r r r a a a t t t k k k a a a r r r r r r a a a t t t k k k r r r a a a k k k r r r s s s a a a s s s a a a s s s a a a a a a a a a n n n a a a n a n a a a a a n m m m a a a a a a n n n m m m a a a a a a m m m i i i i i i i i i t t t n n n t t t n n n i i i t t t n n n i i t t t i t t t i i i t t t r r r a a a r r r a a a r r r o o o a a a a a a o o o a a a o o o a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a v v v n n n v v v n n n v v v n n n n n n n n n A A A n n n A A A A A A a a a a a a g g g a a a g g g a a a g g g a a a a a a l l l l l l l l l v v v v o o o v v a a a o v o o v v a a a o o o n n n a a a n n n n n n y y y y y y a a a y y y a a a a a a a a a a a a a a a

t t t t t t F F F t t t F F F S S S F F F S S S r r r S S S r r r r r r a a a a a a i i i a a a i i i i i i o o o t t t o o o t t t o o o t t t

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o o o f f f M M M f f f M M M f f f M M M i i i v v v i i i v v v i i i v v v a a a a a a A A A A a a a A A A A A i i i a a a i i i a a a i i i a a a n n n n n n n n n t t t t t t t t t n n n n n n s s s n n n s s s a a a s s s a a a a a a g g g i i i g g g i i i g g g i i i n n n n n n n n n A A A n n n n n n A A A n n n A A A o o o o o o D D D o o o D D D D D D y y y y a a a y y a y a a y y a a a n n n n n n n n n r r r r r r r r r ème i i i n n n i i i n o o o n n i i i o o n n n o a a a o o o a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a l l l n n n l l l n n n l l l n n n a a a a a a a a a n n n n n n n n n a a a a a a a a a n n n n n n n n n sur 177 pays. a a a a a a a a a j j j j j j j j j i i i i i i i i i r r r S S S r r r S S S r r r S S S o o o o o o o o o a a a a a a a a a f f f f f f f f f o o o o o o v v v o o o v v v v v v a a a a a a a a a ère 13 1 Partie 0,44 0,84 1,11 2,25 0,43 0,97 0,91 Analyse de la situation Analyse Tuberculeux siècle. Les chrétiens constituentchrétiens siècle. Les ème Il importe de signaler que ... de signaler Il importe 0,61 2,75 1,33 0,00 2,01 1,22 1,36 TDS* Taux de prévalence du VIH (%) Taux et les tatouages. et les tatouages. » « Andriamanitra le ou Zanahary » « le Dieu, son en croit Malagasy Communauté La ou le « Andriananahary ». Dans beaucoup de cas, elle pratique en même temps le des ancêtres. culte au début du 19 a été introduit christianisme Le actuellement environ 40% de la population appartenant essentiellement aux quatre quatre aux essentiellement appartenant population la de 40% environ actuellement et Madagascar) de Eglises des Œcuménique (Fédération FFKM la de issues églises groupements D’autres 200.000. de l’ordre de sont musulmans Les catholicisme. au pentecôtistes Eglises (Jesosy Mamonjy, du terrain commencentreligieux à gagner …). Le pouvoir des chefs traditionnels et religieux est un atout pour la lutte contre le VIH et le Sida dans la mesure où : (i) les anciens, les aînés, les « loholona », les « ray », aman-dreny les » « mpitan-kazomanga (détenteurs du spectre), les « ombiasy » une occupent placeencore au sein prépondérante de la communauté rurale malagasy où ils sont considérés comme les garants et les détenteurs du savoir et de la sagesse et sont par conséquent consultés pour tous les problèmes pouvoir un ont religieux leaders les (ii) communauté ; la et familles les touchent qui consultés par leursde ouailles dissuasion, de pour réconciliation et sont souvent de la vie quotidienne ou sociale. des solutions aux problèmes trouver Du fait de la diversité de sa population, Madagascar grande est variété caractérisée par de une traditions et de coutumes. Certaines favorisent le pratiques multi coutumières partenariat sexuel. C’est le cas, par exemple, de la » coutume dans le Sud régionale de de qui Madagascar « l’Ampela consiste Tovo à séparer aussi coutumesprésentent D’autres parent. leur de domicile du femmes jeunes les sang le l’alliancepar que telles Sida du et VIH du transmission la pour risques des

0,30 1,51 1,32 1,49 0,79 1,17 0,95 Femmes enceintes Femmes Sites Antsiranana Fianarantsoa Toamasina Toliara Ensemble Données relatives aux chefs lieux de provinces * Données relatives : Femmes enceintes (Enquête de 2003), TDS (ESB 2005), Tuberculeux (Enquête de 2005) (Enquête de 2003), TDS (ESB 2005), Tuberculeux (Enquête enceintes : Femmes Source(s) Tableau 1 : Disparités des taux de prévalence du VIH selon les provinces Tableau Le premier cas Le de Sida à Madagascar a été détecté été a Sida du et VIH du l’épidémie 2005, En 1987. en classée comme peu active, comme considérés avec groupes les dans 2% à une inférieure prévalence les plus vulnérables (1.36 % Travailleuses parmi les du sexe et 0,69% parmi les clients IST) et inférieure à 1% dans la présente population une générale, tendance à bien la qu’elle généralisation. les Chez femmes enceintes, le taux de de séroprévalence l’infection à VIH et était de de 0,95% 0,04% (2003), (1985-1988) montrant taux une d’infection suffisamment évolution élevée pour du qu’elle puisse être pour utilisée méthodologie la de indépendamment considérée les comme différentes enquêtes. Les dernières estimations significative, faites par l’ONUSIDA donnent une prévalence du VIH de 0,5% dans la population adulte de 15 à 49 ans pour l’année 2005. Les données biologiques disponibles montrent que l’épidémie est présente dans chacune des 6 provinces de Madagascar, en permettent ne mais rurale, zone en et urbaine zone pas d’évaluer l’importance de l’infection qui peut varier d’une région ou d’un district fonction de à la l’autre, localisation en des foyers Les d’infection. tableaux qui suivent donnent un aperçu de la VIH à Madagascar : du épidémiologique situation 2. STADE ET DYNAMIQUE DE L’EPIDEMIE Du VIH et du Sida Du VIH DE L’EPIDEMIE ET DYNAMIQUE 2. STADE 1 ère Partie 14 : situation delasyphilisàMadagascar allait rapport même jusqu’à ce Fianarantsoaquatre à cinq fois.et (OR=4,52 Mahajanga et 4,78). Lescomme tableaux qui provincessuivent donnent un aperçu certaines de la Dans (p<.03). VIH le d’attraper risque de plus fois 1,85 présentaient syphilis la de malades femmes les alarmante : tendance une montré ont syphilis entrerelationet VIH de la syphilis chez les militaires a montré un taux de prévalence de la syphilis de 16,6%. Les données de 2003 sur la parmi les patients IST et 16,6% parmi les travailleuses du sexe. Une étude menée en 2005 par l’IPM sur la prévalence femmesenceintes,les 7% parmi active syphilis la de prévalence5,1% une de indique 2005 générationde seconde active chez les femmes de 15-49 ans était de 4,2% et de 3,5% chez les hommes. L’enquête femmes, présenceexaminaitla qui marqueurs2003-2004 bio montréde des a syphilis la l’EDS que échantillonde sous d’un de les surveillance biologique pour particulièrement L’analyse important, jeunes. sont elles quand risque notamment hommes, les de que l’infection à vulnérables plus facteur physiologiquement un constitue sexuels rapports des précocité la Mais VIH. au face protection une représenter peut qui ce circoncis, sont hommes des 95% Madagascar,environ A : l’âge,de co-facteurs lesexe féminin etlesISTclassiques. protégéd’autantnon élevéeest multiple qu’ilplus sexuel protégés.non rapport au vulnérabilitéliée La coupléest et de Santé (EDS) indiquent que 95,4% des femmes et 86,9% des hommes ont déclaré avoir eu des rapports sexuels avecle ignoremajorité encoresérologique.statutforte son la dontDémographique VIH l’Enquête Lesde données transmission sanguine. On ne dispose pas non plus de les la et données bisexuelle et en homo- transmission sur la sur fiables et données de les pas dispose ne connus on national,niveau comportements au extrapolant cas à les risque interrogeantdes en personnes épidémiologique,vivant enquête par déterminés sont VIH du transmission de A Madagascar, le taux de transmission du VIH et du Sida par voie hétérosexuelle est évalué à 97%. Comme les modes autres instruments (parexemple, rasoirs, …)utiliséesencommun. ou d’aiguilles l’utilisation et sécurisé non sang du avec sanguines transfusions les santé, de soins de cadre le dans protectionavec dontpersonnes des ignore on statutle sérologique règlesdes respect non le VIH, prophylactiques Certains l’infection. contracter facteurs génèrent cede risque et sont, de ce individu fait, appelés « facteurs de ». risque C’estun le cas des relationspour sexuelles sans probabilité la comme traditionnellement définit se risque Le 2.1 F Tableau 2:Donnéesrelatives duVIH deprévalence autaux Analyse delasituation Année 2005 2005 2005 2005 2005 2003 a t c e u S R

d e

S I R prévalence (%) prévalence u q e Taux de 0,95* 0,69 1,36 0,90 0,5 0 Intervalle de [0,86-2,03] [0,33-1,29] [0,46-1,34] [0,7-1,14] confiance [0,2-1,2] [0-0,44] Adultes de15à49ans Travailleurs desexe Patients IST Militaires Femmes enceintes Tuberculeux Population cible ONUSIDA (2006),EstimationàpartirdeEPP sentinelles situés dans les 6 chefs lieux deprovincesentinelles situésdansles6chefslieux MINSAN PF(2005),Enquête biologiqueauniveau de6sites sentinelles MINSAN PF(2005),Enquête biologiqueauniveau de11sites IPM/MINDEF (2005),Enquête nationaleauprèsdesmilitaires enceintes MINSAN PF(2003),Enquête deséroprévalence chezlesfemmes MINSAN PF(2005),Enquête surlaco-infection VIH/tuberculose Source dedonnées ère 15 1 Partie 16 22,2 15,9 26,4 23,4 15,1 12,9 Militaires Analyse de la situation Analyse 8,5 6,9 TDS 16,6 17,1 39,3 13,0 12,6 Source de données Source 7,6 8,7 6,8 5,2 8,9 3,6 16,8 Femmes Femmes enceintes 3,8 6,2 5,3 8,6 1,8 5,7 0,9 Ensemble 15-49 ans L’ONUSIDA estime le nombre de personnes séropositives séropositives personnes de nombre le estime L’ONUSIDA séropositives personnes Ces personnes. 000 49 environ à devraient connaître bénéficier d’un suivi médical et biologique et un soutien leur psychosocial. Parmi statut eux, 10% nécessitent une sérologique prise charge thérapeutique en ARV soit environ 4900 personnes. pour le Or, taux de dépistage est encore très faible (moins de 1% en 2005). Le nombre de PVVIH sous suivi médical est actuellement sous de 184 sont et 89 personnes éligibles pas connu. de vue n’est taux de perdus Le ARV. Taux de prévalence la syphilis (%) de Taux MINSAN PF (2005), Enquête biologique au niveau de 6 sites sentinelles de 6 sites biologique au niveau PF (2005), Enquête MINSAN situés dans les 6 chefs lieux de province sentinelles de 11 sites biologique au niveau PF (2005), Enquête MINSAN nationale auprès des militaires IPM/MINDEF (2005), Enquête et de Santé (2003-2004) Démographique Enquête et de Santé (2003-2004) Démographique Enquête et de Santé (2003-2004) Démographique Enquête MINSAN PF (2003), Enquête de séroprévalence chez les femmes enceintes chez les femmes de séroprévalence PF (2003), Enquête MINSAN

3,5 3,9 4,8 8,0 3,0 4,5 0,6 Hommes 15-49 ans Population cible Population

Travailleurs de sexe Travailleurs Patients IST Patients Militaires 15-49 ans Population Hommes 15-49 ans 15-49 ans Femmes Femmes enceintes Femmes 4,2 9,3 8,3 5,7 0,7 1,2 7,1 Femmes Femmes 15-49 ans confiance [14,8-18,5] [15,3-19,9] [5,80-8,50] [7,07-8,12] Intervalle de Intervalle [3,26- 4,33] [2,76- 4,23] [3,41- 4,99] Facteurs de risque Facteurs 16 3,8 3,5 4,2 (%) 16,6 7,07 7,61* Taux de Taux Sites prévalence Exposition au sang ou par des instruments contaminés Rapport (précoce) sexuel de la femme Présence d’IST des PVVIH Sero-ignorance de vue PVVIH perdues Rapport à risque (précoce) sexuel non protégé Enquête Démographique et de Santé (2003-2004), Enquête de Séroprévalence chez les Femmes Enceintes (2003), Enceintes chez les Femmes de Séroprévalence et de Santé (2003-2004), Enquête Démographique Enquête (2005) nationale auprès des militaires biologique chez les TDS (2004), Enquête de Surveillance Enquête Tableau 5 : Les principaux de risque à Madagascar facteurs Tableau 2005 2005 2005 2004 2004 2004 2003       Année Ensemble Toamasina Toliara Mahajanga Fianarantsoa Antananarivo Antsiranana • • Tableau 4 : Données relatives au taux de prévalence de la syphilis 4 : Données relatives Tableau : Sources Tableau 3 : Disparités des taux 3 : Disparités de prévalence les provinces de la syphilis selon Tableau 1 ère Partie 16 : plus elle est grande, plus la transmission des IST et du VIH des groupes noyaux etvecteurs versdes lapopulation générale sera rapide. VIH du et IST des transmission la plus grande, est elle plus intergroupe : perméabilité la de fonction l’infectiongroupesde générale.populationdiffusion noyaux la rapiditéla généraleest et populationLa de la dans les entre passerelles » ou relais « groupes l’infectionou de », transmission de vecteurs « groupes des partie comme faisant considérées sont Ils VIH. du et IST des diffusion la dans majeur aussi tout rôle un jouent des noyaux groupes comme considère l’on que ce de partie font risque haut « groupes noyaux de diffusion à de l’infection ». Lescomportements personnes qui ont des de rapports sexuels avec les membres plus de ces le ont qui individus Les groupes, ces à pas s’identifient ne arejetéMadagascar cettequi appellation. personnes les chez engendrer peut qu’elle ». risque risque la haut et du stigmatisation « à la dépersonnalisation de raison groupes en et des risque à sont à qui personnes appartenant les non et dans comme comportements les d’autres, caractérisés sont ce Comme que parfois plus sont s’engagent, et individus risque Certains à sont population. comportements ne la des et dans élevé homogène plus au façon moindre de du distribués vont VIH pas du hétérosexuelle transmission de risque à comportements Les 2.3 D Tableau facteurs devulnérabilité àMadagascar 6:Lesprincipaux élevé est VIH du propagation de risque le ou commune représenteune devulnérabilité unfacteur majeurpourl’individu. dans résidence la termes, la d’autresdans élevées En seront VIH du et commune. IST des comportements prévalences les des que ont grand plus qui encore sera ceux risque avec Ce risque. sexuels moindre à rapports des également ont élevé risque à comportements des effet en seront risque moindre à comportements des davantage vulnérables ontà l’infection, qui particulièrement si le réseauet sexuel est communes ouvert, c’est-à-dire,ces si les dans individus ayant vivant individus Les virus. le diffuser et contracter de probabilité forte une présentent risque, à sexuels comportements leurs de fait du qui, la difficulté d’accès de géographiquesanté, aux services … et (ii) qui regroupent un nombre significatif d’individus celles qui : (i) présentent un certain nombre de paramètres socio-économiques comme le A faible Madagascar, accès le concept de à vulnérabilité est l’information,également appliqué aux communes. Les communes vulnérables sont àrisque). (comportement commercial sexe au recours le favorisant vie de conditions des à exposées sont mobiles personnes (effet Or,les travail direct). du trouver pour déplacer se à personnes les parfois obligent indirect) (effet ménages des niveau ressourcesau de manque le donc, et structurel) (aspect pauvreté la exemple, Par structurel. et indirect direct, effets renvoyantcausalitévulnérabilité », vulnérabilité.de de « arbre formentde un Ces facteurs facteurs des de à autant constituent qui … santé, de services des disponibilité de manque préservatifs, aux d’accès difficultés personnel, risque du minimisation VIH, du réalité la de déni pairs, des pression risqués, moins comportements de l’adoption Les facteurs de risque ont des causes diverses : manque d’information sur le VIH, manque de pouvoir de décision pour 2.2 F Analyse delasituation a n y t c        I M A e u S R u q Faible utilisationdesservicespréventifs etcondoms. négativement lepouvoir oulimitant dedécisionpersonnel Pression influençant pairs) sociale(couple,famille, PVVIH, etc.) stigmatisationdes VIH, minimisationdurisquepersonnel, comportements favorables àlasanté(dénideréalitédu Croyances générant attitudesnégatives vis-à-visdes Faible desIST connaissance etVIH/Sida formel, informel ouoccasionnel Chômage/revenus insuffisantsfavorisant sexe commercial Consommation d’alcool/drogue Mobilité liéeàl’emploi

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A L l é n

d A R F F I b u I L I O I S é t n

d e Facteurs immédiats

l ’ i n fe ct io n

        contracter etdiffuser l’infection comportementsde leurs àrisque,présentent uneforte probabilité de regroupant dansunecommune Résidence desindividusqui,dufait deforte dansunecommune Résidence duVIH prévalence deforte dansunecommune Résidence desIST prévalence et PECduVIH servicesdeprise enchargepréservatifs, aux desIST etdedépistage Faiblesse desressources destinéesàl’information préventive, aux culturelles àl’utilisationdupréservatif, …) valabe,bilo,havoria, fitampoha, (ex. asalolo,sambatra, résistances Normes et pratiques sociales favorisant le rapport sexuel non protégé depouvoirRapports entre lessexes (dominationdeshommes) niveauAnalphabétisme/faible d’éducation Pauvreté Facteurs deprédisposition ère 17 1 Partie Analyse de la situation Analyse Schéma 1 : Modalités principales de diffusion de l’infection à VIH par voie sexuelle à Madagascar sexuelle à VIH par voie de diffusion de l’infection Schéma 1 : Modalités principales A Madagascar, ces groupes noyaux et passerelles sont considérés groupes les « plus vulnérables» à l’infection. Ils - et VIH est la plus élevée des IST et du – ou la prévalence du sexe des travailleuses constitués essentiellement sont donc, de leurs clients. Les femmes, les jeunes, les groupes de population marginalisés ou parfois comme été faisant considérés partie les des de groupes population les plus vulnérables. En les effet, plus données démunies ont biologiques montrent que dans les épidémies généralisées, c’est le groupe d’âge des jeunes des 15 à 24 est, ans qui numériquement, le plus touché. Le nombre de beaucoup plus femmes élevé infectées au par fur rapport et à aux mesure hommes que est comme l’épidémie se à également répand. Madagascar, communes les Cependant, les dans dans femmes, vivent qui les démunis les ou jeunes marginalisés épidémies population et de peu groupes les les et actives, groupes femmes les de jeunes, les risque : population ne les sont Madagascar VIH. pas au exposés tous plus les sont exposés élevé plus au le est même l’infection de diffusion de risque le où soit, vulnérables ». vulnérables « groupes comme catégorise 1 ère Partie 18 base de données pour la plupart anecdotiques. Ellessont consignéesbase dedonnéespourlaplupart letableausuivant : secteurs Les rares. sont Madagascar pouvant constituer des à leviers pour des rapports sexuel économiquesà risque de propager l’infectiond’activités ont donc été définies secteurs sur la des sein au professionnels groupes des mobilité la sur données les Malheureusement, VIH. au et IST aux face population de groupes ces de vulnérabilité la à contribuant facteurs de autant sont masculine,…) surpopulation solitude, régulier,de sentimentpromiscuité, constructions et du permettant transport. Les conditions de vulnérabilité vie minier,agricole,des dans secteur le les dans exemple,localités par de saison, de une pour destinationou déterminée (séparation période une pour du facteur déplacent se partenaire sexuel le les commequi travailleurs « groupes de dépendantes sont comme économiques activités Madagascar Madagascar,TDS certaines à les effet, En que vulnérables ». par plus titre même retenue au considérés, passerelles donc population de est -groupes les travail d’identifier au liée mobilité La à unemaind’œuvre étrangère, originaire depays parfois oul’épidémie du VIH estgénéralisée. par la construction de nouvelles infrastructures et les activités économiques, qui pourraient faire notamment appel de routes, la migration de plus en plus accentuée vers longtemps. les La centres situation est urbains, cependant les trèsamenée mouvementsdepuis majeur à publique santéde de changer problème un population assez constitue qui générale,occasionnés rapidement,population la dans du IST des prévalencefait de l’accent mis sur la construction la maintenance du taux de prévalence du VIH à moins de 1% au cours des 20 dernières années, en dépit de la forte La faiblesse du réseau de communication à Madagascar a été identifiée comme l’un des facteurs pouvant expliquer comme ayant unerelation decauseàeffet avec lapropagation del’infection, vialerecours ausexe commercial. clairement les mouvements de population, essentiellement imposés par les conflits d’ailleurs identifientet pays les nombreux activités de professionnelles,dans menées études Les « voyager ». doit il propage, se virus le que pour l’on puisse isoler des tendances en termes de sous-groupes de population masculine les plus que touchés. pour Cependant,nombreux peu trop eux à quant sont VIH de cas IST.Lespatients des professionnel profil le sur précises à diffuser l’infection dans la population générale ne sont pas disponibles. On ne dispose pas davantage de données De façon générale, les informations sur qui composent les clients des TDS et sur la façon dont ils pourraient contribuer Groupes professionnels mobiles considérée commedutravail unecaractéristique dusexe. marchands n’estsexuel zébus, professionnelles sexe.rapport du Madagascar,le A financièrepour contrepartie la nécessairementpas de convoyeurs (exemple : des passerelles comme pas considèrent se ne Elles groupes risque. moindre à comportements des ont qui certains hommes les et ambulants) entre relais de rôle le jouer peuvent Elles budget. leur arrondir d’argentpour les besoin ont qui regroupentmariées) femmes compris (y filles» aux occasionnelles«marchés des filles TDS Les premières. les que nombreuses plus beaucoup seraient et métier le dans venuesnouvelles les incluentenregistrées. Elles pas sont ne mais clients mêmes des direction en et formelles TDS sont estimées à 5000 par l’ONG Alliance International. Les TDS informelles travaillent dans les mêmes zones que les suivi de consultations de services des niveau « enregistréesau sont » qui celles commeLes formelles,définies TDS aux TDS informelles et occasionnelles et leur contribution respective dans la propagation du VIH n’est pas connue. Nosy Boraha, Taolanaro, Be, Toamasina.Nosy Mahajanga, Il Fianarantsoa,n’existe Antsiranana, Antsirabe, Toliara,Antananarivo,recherchepas : non plus de de définition sites standardisée des des TDS partir formelles par à rapport définis puisque conservateurs, sont chiffres TDS Ces 10 000. des de plus nombre peu un le à d’estimerinformelles, TDS des et permis 5000 à a formelles 2006 en Alliance l’ONG par effectuées groupes ces sur d’études résultats des compilation La précisément. localiser les de ni exhaustive façon de n’estd’estimernombre Il possible leur pas des entre passerelle de rôle le joué ont TDS les personnes venues d’ailleurs etleursclients danslepays. que sont suppose on identifiés, VIH noyaux » de sous-types 6 « groupes existe il Comme les 2000). jour à 97%, mise – épidémiologique Fiche (ONUSIDA/OMS 1995 en à positives étaient 1% de Toamasina,A moins estimée est VIH des 2% Antsiranana,à A 1 1998. en 1% sontrévéléesà dépistéesse 1995 TDS en positives.0,3% de passée ainsi est du hétérosexuelle Antananarivo à formelles TDS les che INTERVENTIONS O R u S E P

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à VIH ère 19 1 Partie Analyse de la situation Analyse Catégorie professionnelle Catégorie Camionneurs, Chauffeurs de taxi-brousse, Marins étrangers et locaux, Missionnaires nationaux et locaux, et régionaux, Missionnaires Missionnaires Marins étrangers Camionneurs, de taxi-brousse, Chauffeurs internationaux. Ouvriers des Ouvriers des routes, industriels, Ouvriers des ponts, Ouvriersdes barrages, Ouvriers des ports, Ouvriers des sites bâtiments, écoles et marchés. de produits halieutiques. Collecteurs dans les élevages Pêcheurs industriels nationaux, Pêcheurs locaux, industriels Travailleurs halieutiques. ambulants des villes/ports. Marchands de zébus, (communes), ambulants Convoyeurs Marchands du riz, des usines de transformation Employés industries textiles, des grandes Employés industries sucrières, des grandes Employés des usines de transformation du maïs en farine, Employés des usines de transformation Employés du coton, de transformation Employés laitiers. des produits industrielle et/ou à vocation vivrières des cultures pour la récolte saisonnière agricoles, Main d’œuvre de produits Collecteurs d’exportation., détenus. Policiers, Militaires, Revendeurs. Collecteurs, Prospecteurs, Touristes. et restaurants, des hôtels Personnels Guides touristiques, Secteur Centres industriels Centres Mines Tourisme Construction. Pêche Commerce Agriculture Sécurité Transport. PVVIH Avec faible. trop encore est médicalement et psychologiquement charge en prises et dépistées PVVIH de nombre Le de 0,5% dans la (17.8 générale millions), population il y un Madagascardans aurait taux tout de séroprévalence au et sérologique statut leur pas connaissent ne elles d’entre majorité La VIH. le par infectées personnes 89,000 moins sont personnes 89 et médical suivi sous sont personnes 184 seules Actuellement l’infection. propager à continuent pas connu. de vue n’est des perdus nombre Le antirétroviral. sous traitement L’expérience internationale a L’expérience montré que le milieu carcéral présente des risques de commerce et sexuel hétéro homosexuel. A Madagascar, le séjour en vulnérabilité, notamment liées univers à la carcéral promiscuité et place l’absence de les préservatif. Il détenus de est constituée est population de 70% de cette Plus 18 442 personnes. de 13 222, mais inclut en réalité carcérale conçu dans pour une des population situations de forte prévenus dont 94,92% sont des hommes et 91,44% ont un âge moyen de 33,5 ans. Cette population carcérale Toamasina. à Mahajanga, 18,66% 18,31% à : 24,06% à Antananarivo, provinces dans trois est concentrée Population carcérale Population Hommes ayant des rapports sexuels avec les hommes (HSH) des rapports avec Hommes ayant sexuels La récente étude menée par l’ONG Alliance a permis des sont recensés d’identifier HSH des 1015 97% de Près HSH dans Toamasina). et 7 Andilamena Antsiranana, Mahajanga, sites Ilakaka,Antananarivo, de recherche (Taolanaro, ; nationaux 77% eux d’entre ont eu pour premier partenaire sexuel un Malgache de sexe masculin dans 51% des cas, en majorité avant l’âge de neuf 20 Trente pour eux ans. cent sont d’entre des hommes qui tiennent le rôle de femme d’hommede ou rôle le indifféremment tiennent qui hommes des sont rapport30% du lors sexuel, femmes et 24% sont des hommes qui tiennent uniquement le rôle d’homme. Sept pour cent sont des travailleurs de sexe. cacher pour notamment union, en vivre 32% et célibataire être déclarés ont 35% ans ; 30 de moins ont 75% de Plus leur orientation ; sexuelle les autres n’ont pas clarifié leur ont situation. déclaré Soixante avoir eu cinq plus de pour 20 cent partenaires sexuels des au HSH cours pas utilisé de préservatifdes à chaque rapport sexuel. enquêtés 3 au moins n’ont pour cent quatre Cinquante derniers mois et 17%, plus de 80 partenaires. Tableau 7 : Catégories professionnelles mobiles selon le secteur d’activités économiques. d’activités le secteur mobiles selon professionnelles 7 : Catégories Tableau 1 ère Partie 20 PVVIH suiviesauprès del’associationPVVIH FIFAFI sont desexe féminin. des jeunes femmes âgées de 15 à 24 ans ; les données sur la selon répartition l’âge des PVVIH montre que 71% des et sexuelles indiquent que parmi les (violences 106 femmes maltraitance enceintes confirmées et séropositives (sur violence 9623 enquêtées), la de moitié (58) étaient victimes parfois et conjugales, viol, incestes,…). besoins Bien que non concluants,sont les résultats de l’enquêteleurs elles de séroprévalence du outre,à VIH de 2003 En subvenir famille. pour leur informel de ou ceux formel à commercial sexe au recourir de parfois retrouvent se elles de raison en vulnérables plus également sont femmes Les l’abandon précocefemmes. des études, de la les discrimination sexuelle sur le marchépour du travail et de ans la nécessité dans laquelle 29 et hommes les pour de ans est femmes 30 des mobilité la pour d’âge moyenne la : Madagascar à hommes les que tôt plus migrent femmes les Enfin, protégé. non sexuel rapport un refuser de droit le pas confère leur ne filles des et femme la de statut le avéré.désirésexuelnon protégé ou faible.est régionsLeur plusieurs Dans rapport pays,un du capaciténégocier à sont elles quand particulièrement l’infection, contracter de jeunes. Les femmes ont, de plus, un risque faible contrôle sur leur sexualité, dans un contexte de comportements à risque à plus physiologiquement sont femmes Les Les femmes (LNR) Référence de National Laboratoire du données indiquent qu’enles 1999,15%desséropositifs confirmés étaient desjeunesâgésde15à24ans. concluantes, non que Bien sexes. deux les de pour est migrantsans des moyen30 l’âge et ans 44 à 10 de âgés sont migrants des 68% jeunes : des fait le également est en raison notamment du sentiment d’invulnérabilité aux infections qui les caractérisent. La migration à Madagascar sexuelle. Les jeunes ont en outre une vie sexuelle très active, avec de multiples partenaires, et ne se protègent pas, 5,5 % à 20-24 ans et 7,5 % à 25-30 ans). Trente pour cent des jeunes de moins de 15 ans ont déjà commencé leur vie séroprévalencede taux relativementest syphilis la de élevégroupeans, le 15-19 dans à % d’âge(2,1 ans 15-30 des IST.Leaux vulnérables très sont et malgache population la de 56.2% représentent ans 20 de moins de jeunes Les Les jeunes vulnérable. Danstous lescasdefigure, laprésence detransmission desISTjoueradu comme co-facteur VIH. commune une s’ilsdans viventparticulièrement vulnérabilité, de facteurs les par affectés disproportionnellement sont les femmes, les jeunes, les populations marginalisées ou les plus démunies, ou tout autre groupe de à l’infectionpopulation à VIH si elle se répand dans la localité et affecte leur partenaire sexuel occasionnel ou régulier. Enfin, ce de l’infection à VIH. Bien qu’ayant des comportements sans risque connu ou à moindre risque, elle sera plus sexuel exposée à risque de leurs partenaires. Il s’agit pas s’engageantégalement de la population ne générale vivant près que d’un foyer de diffusion bien passerelles : et nécessairement noyaux dans des groupes rapports sexuels aux à appartenant risque, ils personnes sont vulnérables des partenaires à des réguliers l’infections’agit sexuelsIl à l’infection. VIH à en d’autres raison que du exposés comportement davantage sont certains générale, population la Dans est très élevée, reflétant lamesure danslaquellele VIH etleSidapeuts’étendre. est générale population approche la dans classiques IST Cette des prévalence la où l’infection. mais » les risque haut dans à de concentrée comportements à « groupesfort propagation reste VIH du de prévalence la où risque Madagascar, comme pays de de un à situation local adaptée en particulièrement contexte trouve se du qui raison celle particulier en en accrue, générale, population vulnérabilité la de possible nombre grand plus du et Une approche pragmatique de la prévention vise à assurer à la fois la couverture des populations les plus vulnérables 3.2 G est seringue La pharmacies. les et utilisée encommun par2à6UDIenraison ducoûtinformelles) delaseringue. affaires petites les dans sont qui (personnes » men business « les de port Madagascar (plus de 90% des IDU identifiés). grand plus le Toamasina,principalement TaolanaroAntananarivo, et de sites les dans recensés, HSH les mieux être pour encourager les comportements à risque. L’ONG doit l’alcooll’effetAlliance de a à identifié conjuguant 183 mais utilisateursse cultivés,de droguesont injectable parmi ils où régions répandue des boissons de débits pratique les dans consommé souvent une encore être Quat le et cannabis le surtout pas concernent drogue de consommation la sur disponibles données semble Lesdocumentée. ne injectables drogues de L’utilisation Utilisateurs (UDI) dedrogues injectables sociodémographiques etpr O R u S E P

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é n é g E L A R

u v l é n A R b S E L Les principales sources de drogue sont les navigateurs, les étrangers, ère 21 1 Partie Analyse de la situation Analyse Groupes de population vulnérables de population Groupes et passerelles noyaux régulier des groupes sexuel Partenaire dans une zone de concentration vivant générale de groupes Population et passerelles noyaux Femmes Jeunes d’alcool Consommateurs sans abris, handicapés, …) marginalisées (OEV, Populations Porteur IST Porteur Groupes de population les plus vulnérables de population Groupes Travailleuses du sexe Travailleuses mobiles Populations les hommes avec sexuels des rapports Hommes ayant Détenus injectables de drogues Utilisateurs sexuel et leur partenaire leur statut sérologique PVVIH qui ignorent Tableau 8 : Groupes de population prioritaires pour les interventions de population prioritaires 8 : Groupes Tableau L’Organisation Mondiale de 8 la et Santé 10% estime L’Organisation d’unequ’entre population quelconque est handicapée et risques des courent personnes Ces handicaps. avec donc vivent malgaches adultes des millions 1,6 à 1,3 de que plus sociale, élevés de de non-respectde pauvreté, chômage, de d’exclusion leurs droits, et ont un accès membres limité des un dont ménages les pour pauvreté de taux Le général. en population la à rapport par services aux supérieur étant aux autres. comme connu handicaps est reconnu vit avec Les personnes vivant avec des handicaps avec personnes vivant Les Les personnes sans abris personnes Les Il s’agit de personnes ou de familles pas n’ayant d’habitation. A la fin de l’année 2000, 5 et La Antsirabe réunies. 054 consommation de Fianarantsoa drogue et en 1 053 personnes familles pour les villes d’Antananarivo, réparties de personnes sans abri. nombre un grand touche d’alcool Les orphelins et enfants vulnérables orphelins enfants et Les la avec d’évoluer risque chiffre ce millions, deux à estimé est Madagascar à difficile situation en d’enfants nombre Le de moins de enfants 770000 presque 2001 en Ainsi travaillent. qui enfants des : s’agit Il démographique. croissance à livrent se qui enfants des ; commerce,…) mines, (agriculture, production de activités les dans travaillaient ans 15 sociales vues de traditionnelles, familiales structures des désintégration la de pauvreté, la de fait du prostitution la permissives vis-à-vis de la sont prostitution, ils et faits, de ces sexuelle De l’idée s’agit qu’il des d’argent tourisme. facile. enfants du L’exploitation à développement au face ampleur une prendre à commence commerciales fins des vulnérables notamment aux IST et VIH au ; des enfants contraints à des travaux domestiques et qui sont victimes des abus physiques, sexuels et verbaux. Il s’agit en général de jeunes filles en provenance de milieux ; ruraux des orphelins qui dans la majorité sont pris en charge par les orphelinats et/ou les centres sociaux. la population âgée de moins Environ de 15 ans, soit 6,4% 600 000 étaient enfants, comme considérés orphelins de ou abandonnés dans intégrés sont orphelins des majorité grande La 2001). (INSTAT vivant parent aucun n’avaient 0,4% et 2001, en vivant enfants des sociaux ; centres les ou orphelinats les dans réfugie se minorité qu’une tandis famille, grande leur avec handicaps qui sont estimés entre 650 000 et 800 000 ; des enfants des rues dont les estimations en l’an 2000 étaient de 2208 337 à à Antsirabe et Antananarivo, 247 d’un à Il Fianarantsoa. phénomène s’agit qui se manifeste villes malgaches. les grandes dans essentiellement 1 ère Partie 22 unrblt su-edn s dnmqe l S/NS rtn cme rtrs or oaie ls communes les localiser pour critères comme retenu a SE/CNLS de vulnérables : et le risque de dynamique, facteurs des et sa Madagascar à sous-tendant Sida du vulnérabilité et VIH du l’épidémie de statut du l’analyse de base la Sur 3.3 C Analyse delasituation M M O     n u a est dmgahqe e rio d l péaec éeé ds S casqe dn l population la dans classiques IST des élevée prévalence la de raison en démographique, densité la maisons et prisons groupes, ces sur d’enquêtes (sites avérée est UDI et d’HSH présence la où sites les lessites desexe commercial (sites deconcentration detravailleurs mobiles, marchés auxfilles ; S E le Fitampoha, leSambatra, leFanompoambe, le Valabe, … ; générale. d’arrêt) ; les fêtes traditionnelles périodiques favorisant les comportements sexuels à risque traditionnelles telles traditionnelles risque à sexuels comportements les favorisant périodiques traditionnellesfêtes les

u v l é n A R b S E L ère 23 1 Partie Analyse de la situation Analyse Justification du choix du site Justification Arrêts transitoires/terminus des camionneurs sur axe bitumé le plus des camionneurs sur axe Arrêts transitoires/terminus fréquenté bitumé des camionneurs sur axe Arrêts transitoires/terminus fréquenté connu de taxi des chauffeurs brousse Arrêts/terminus et nationaux marins étrangers Arrêt de longue durée des ambulants, collecteurs. marchands Arrêt de durée limitée des hommes d’affaire. des touristes, ou de longue durée Arrêt transitoire hommes d’affaires touristes, des missionnaires, Arrêt temporaire hommes d’affaires des missionnaires, Arrêt temporaire d’importance de travaux pour en œuvre identifiées pour la mise Villes des fréquente rotation (avec économique du pays le développement travailleurs) non résidents (célibataires vacataires de longue durée avec Travaux géographiques). non résidents (célibataires vacataires de longue durée avec Travaux géographiques). géographiques. l’or des célibataires Ruée vers importance identifiés sur la base de leur économique. Sites non résidents. vacataires de travailleurs/ Existence collecte). la plantation (repiquage, vers saisonnières Migrations agricoles. Lieux des produits de collecte géographiques). non résidents (célibataires Utilisation de vacataires pour halieutiques (port d’embarquement de produits de collecte Sites l’exportation) de et vendeurs/acheteurs des convoyeurs Arrêt temporaire/terminus zébus. de zébus (abreuvage/prairie préféré des convoyeurs Arrêt transitoire pour les zébus). à risque. comportements reflétant prévalence des IST Forte en mission. en uniforme Arrêt des agents prostitution homosexuelles, Pratiques Présence de lieux de rencontres. aux occasionnelle dans les marchés filles Prostitution à risque Comportements Prévalence des IST Communes vulnérables Nouveaux sites miniers. sites Nouveaux locaux. des produits industriels de transformation Sites pour exportation en dehors du district. de production sites halieutiques d’exportation. de produits de production Sites de zébus. où sont localisés les marchés Sites hôtelière nationales et l’infrastructure Entrées des réserves des marchés/foires Sites périodiques traditionnelles des fêtes Sites densité démographique de forte Sites Sites de concentration des équipements (logement/loisirs) aux de concentrationéquipements (logement/loisirs) des Sites camionneurs des national et/ou terminus du réseau carrefours dans ville concentration de des équipements (logement/loisirs) Sites (port international) portuaire dans ville avec hôtelière concentration de de l’infrastructure Sites international. aéroport où et sites de concentration des équipements (logement/loisirs) Sites dans les migrants des travailleurs est construit l’habitat temporaire (PIC). Pôles Intégrés de Croissance Villes fixes des casernes et camps militaires Sites (logement/loisirs) aux concentration de des équipements (logement/loisirs) Sites des camionneurs du réseau régional et/ou terminus carrefours de la ville principale Communes situées à l’entrée dans ville concentration de des équipements (logement/loisirs) Sites au moins (portfluvial intérieur avec maritime et secondaire portuaire par semaine). 1 accostage dans ville aéroport hôtelière de concentration de l’infrastructure Site par jour). national principaux (au moins 1 vol dans ville aéroport hôtelière de concentration de l’infrastructure Site par semaine). (au moins 1 vol secondaire migrants des travailleurs où est construit l’habitat temporaire Sites bitumées. routes pour la construction de nouvelles et où de concentration des équipements (logement/loisirs) Sites pour la migrants des travailleurs est construit l’habitat temporaire portuaires). aménagement (bâtiments, barrages, construction lourde du secteur structuration de miniers ciblés par le programme Sites minier. et eau. où il y a pâturage de transit Sites mobiles des postes Sites Prisons et maisons d’arrêt. Secteur Transport Transport Routes Transport maritime voie /fluvial Transport Aéroports Construction Mines Industrie Agriculture des Elevage produits halieutiques. de Elevage zébus. Sécurité. Tourisme. Commerce Loisirs Santé Tableau 9 : Principes de localisation des communes vulnérables localisation des communes 9 : Principes de vulnérables Tableau 1 ère Partie 24 Tableau 10:Implicationsprogrammatiques surletypeetcontenu desinterventions etlecontenucibles maisletype desinterventions Les facteurs de risque ou de vulnérabilité ont également des implications programmatiques non seulement sur les 4. IMPLICATIONS DESFACTEURS DERISQUEETVULNERABILITESUR LETYPEETCONTENU DESINTERVENTIONS en données est prioritaires communes ces de liste La terrain. le annexe3. sur activités zones des des l’intensificationconstitueront qui pour et régions pilotes 22 les dans localisées prioritaires communes 119 d’identifier permis a et pour la focalisation des base interventions en 2007. de Elle a administratives été développée d’unités en l’identificationcombinantla les par résultats des de disponibles,deux méthodes rationalisationactuellement données de des effort partir à premier communes.planification, un 90 constitue Elle seconde, exhaustive. la n’estpas et prioritaires communes prioritaires des communes liste 48 La d’identifier permis a scorage de méthode première La des communes faiblement vulnérables (score 2à9). groupe ; 15) à 10 vulnérablesmoyennement (scorecommunes des groupe ; 21) à 16 (score vulnérables fortement L’utilisation de cette seconde méthode a permis de classifier les communes en trois à l’estimationgroupes : démographique de respectiveleur groupeimportance détermine le niveau de vulnérabilité de la commune. des communes combiné sites des nombre Le vulnérables. plus les groupes des concentration de site chaque de démographique l’importance l’estimationde de base en la sur forte définie été « importance a pour importance Cette 3 VIH ». du VIH », diffusion de de du et risque de VIH » propagationtermes du diffusion de de risque risque de de termes en termes moyenne en importance « importance pour 2 « faible pour de de 0 facteur de pour est facteur 1 un de à », facteur correspondant de score « absence le régionales, données de bases les 656 Dans les étudiées. pour pondéré communes scorage de méthode une qui utilise régionales, mais centrale données donnée de de base bases la que des format même dans le entréesont été également ont Elles binomial). type de (scorage central régional (iii) groupe des communes faiblement vulnérables (0 à 9 facteurs cumulatifs). Les cumulatifs); informations facteurs recueillies au 15 niveau à vulnérables (10 moyennement communes des groupe (ii) ; cumulatifs) facteurs 35 à (16 vulnérables fortement communes des groupe (i) groupes : 3 en communes les catégoriser de permis a cette L’applicationméthode de commune. la de vulnérabilité de niveau le détermine facteurs les tous de l’ensemble pour scoresobtenusfacteur. des l’absence d’un somme présenceou La la traduisant 0), et (1 binomial type de scoreest facteur.Le chaque à score un attribuer à consiste a vulnérabilité de degré le selon communes des classification la au disponibles données des informations recueillies partir au niveau central ont été entrées dans une base à de donnée informatisée. La méthode pour national, territoire le de accessibles.Lesplus les communes 656 de niveau régionalau niveau sitesau données sur de collecte la (ii) centralniveau ; les vulnérables identifier plus pour documentaire, les revue groupes d’une des partir concentration à Madagascar, de application communes son et 1549 risque des du niveau cartographie de au outil d’un développement le (i) étapes : deux en fait s’estexercice Cet régional. et central niveau au vulnérables communes des localisation de principes les appliqué a SE/CNLS Le Analyse delasituation       PVVIH perdus devue Sero-ignorance desPVVIH d’ISTPrésence femme de la sexuel (précoce) Rapport instruments contaminés Exposition ausangoupardes non protégé sexuel àrisque(précoce) Rapport Facteurs derisqueindividuel ont permis de compléter (en partie) les données nationales entrées dans la base de donnée du niveau du donnée de base la dans entrées nationales données les partie) (en compléter de permis ont          services promotionnelsservices etcliniques Accent surlesbesoinsspécifiquesdes femmes etdesfillesdanslaprogrammation durenforcement des Accent surlanotificationaupartenaire despatientsIST etdépistésVIH+ desprécautionsuniverselles/sécuritéMise enplace médicaux transfusionnelle danslesmilieux ISTservices etdépistage duVIH) Promotion BonneFidélitéetCondomsDpourdemandeles del’ABCD(ABCpourAbstinence, Promotion dudélaidansledébutdel’activitésexuelle comportementsIST àrisquequ’ellereflète etaux Personnalisation detransmission durisqueindividueletcollectif duVIHassocié àlaforte des prévalence Renforcement delaréférence pourlaPECcliniqueetpsychosociale desPVVIH Renforcement dedépistage deladisponibilitédesservices duVIH syndromique desIST classiquesetdespréservatifs Renforcement dedépistage deladisponibilitédesservices delasyphilisetpriseencharge Implication programmatique ère 25 1 Partie Analyse de la situation Analyse Implications programmatiques Implications Implications programmatiques pour une couverture maximale des groupes mobiles (y compris des groupes maximale pour une couverture ciblées interventions des Renforcement mobilité saisonnière) informelles, maximale des TDS (formelles, couverture ciblées pour une des interventions Renforcement occasionnelles) soit, les groupes primaires) (et non seulement audiencesCommunication axée sur les secondaires et familial communautaire d’influence au niveau (également de rencontre maximale des sites couverture ciblées pour une des interventions Renforcement consommation de d’alcool et de cannabis). sites ciblant les populations de réduction de la pauvreté du VIH et du Sida dans les stratégies Prise en compte du sur le marché recrues – afflux commercial de nouvelles au sexe susceptibles de se livrer défavorisées occasionnel commercial et sexe commercial sexe des des localités où existent maximale ciblées pour une couverture des interventions Renforcement à risque (Fitampoha, …) vakivala, culturelles manifestations de la syphilis et de la PEC de la demande pour et disponibilité des services de dépistage Renforcement dans les communes vulnérables en particulier IST syndromique pour référence du VIH avec de la demande pour et disponibilité des services de dépistage Renforcement vulnérables dans les communes des PVVIH) en particulier la PEC clinique et psychosociale sociétal et au niveau PVVIH « friendly », dans le milieu médical, au niveau Création d’un environnement communautaire. Communication axée sur la transformation sociale/changement normatif : normes et coutumes sur la sociale/changement Communication axée sur la transformation sur discussion ouverte homme et femme, entre acceptabilitésexualité, de pouvoir rapport du préservatif, etc. la sexualité, d’éducation et du niveau du sexe Communication adaptée auxde l’âge, cibles en fonction optique de et le VIH et le Sida dans une les IST contre de lutte de programme de la gestion Renforcement de la réponse efficacité coût- Renforcement des interventions ciblées pour une couverture maximale des quartiers défavorisés, des quartiers maximale défavorisés, ciblées pour une couverture des interventions Renforcement dans les communes vulnérables particulièrement              prédisposition Mobilité commercial Sexe sociale Pression Consommation d’alcool/cannabis insuffisants Chômage/revenus favorisant culturelles Manifestations le multi-partenariat Résidence dans commune de forte prévalence des IST Résidence dans commune de forte prévalence du VIH Marginalisation et stigmatisation pour les Demande insuffisante et cliniques. services promotionnels des Disponibilité insuffisante et cliniques services promotionnels Pauvreté/marginalisation pour les culturelle Tolérance à risque sexuels comportements sur les discussions sexuelles Tabou et enfants, partenaires parents entre des jeunes en et vis-à-vis sexuels, général à l’utilisation Résistance culturelle du préservatif Analphabétisme/faible niveau d’éducation de genre Inégalités ou insuffisante Couverture de lutte inadaptée du programme et VIH/Sida les IST contre Facteur de vulnérabilité collective vulnérabilité de Facteur Facteurs de vulnérabilité individuelle/ de vulnérabilité Facteurs                   1 ère Partie 26 de Surveillance). de Surveillance). composition de ces cibles - par rapport aux interventions en direction de la la et population générale– (Ref.ciblées Infra. interventions Système des relative l’importance évaluer pour profondeur,être notamment, de doit plus avec question étudiée la mais VIH, le contrenotamment terme IST,moyen aux ou court rapport à protection par une représenterVIH, peuvent du syphilis, la récente relativement introduction une à du couplée pays,faible le prévalence dans la réduite et - monde au élevée mobilité plus la Madagascar,et à généralisée circoncision, La Seychelles. aux des et Comores aux observée également l’une VIH, comme considérée – IST des élevée prévalence la bisexuels, groupes rapports professionnelsdiscordancedes la ou de hommes et des relevéemobiles, PVVIH) entre avec sexuels rapports des ayant hommes formelles,versus occasionnelles et informelles (TDS vulnérables plus les tendant la transmission de l’infection à VIH, compte tenu de la rareté des données L’analysesur les groupesde la situation met en effet en évidence une considérés fondamentalepriorité : mieux comprendre les sous- facteurs comme personnes des stigmatisation une ou Madagascar, à circoncision vulnérables parceux quines’identifient la pasauxgroupes depopulation auxquels ellesappartiennent. de généralisée pratique la raison, de en syndrom) notamment, me (not risque du pour dépersonnalisationêtre une devront générer critiques recherches pas ces ne stratégiques pour de précaution, résultats avec priorités Lesmanipulés générale. les population la et de direction prioritaires en et vulnérables ciblées interventions groupes les des localisation et composition la vérifiés être devra conclusions ses de précisefaçon de identifiantdémographiques et biologiques,comportementales enquêtes des ultérieurementpar pertinence La Madagascar. à VIH du l’épidémie de dynamique la sous- tendantvulnérabilité de et risque de facteurs des l’analyse et monde le dans hétérosexuelle voie l’épidémiepar de des analyse d’une nature partir de est à analyse qualitative mais fournit une Cettebase de planification valideMadagascar. parce que fondée définies sur les connaissancesà sur la propagation VIH sont à l’infection de Sida dynamique le la et et stade le VIH sur le disponibles données contre lutte de prioritaires interventions et cibles Les CONCLUSION Analyse delasituation DEUXIEME PARTIE

ANALYSE DE LA REPONSE

ème 29 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse

ale n io t a N n io t a n i d oor C e d

e n c a t s n I e n : U té i c i n ’U d

ipe nc ri P remier P e Le Comité National de Lutte contre le SIDA (CNLS) – une structure de coordination intersectorielle intersectorielle de coordination (CNLS) – une structure le SIDA contre de Lutte Le Comité National Au niveau central, le SE/CNLS est composé par un Secrétaire Exécutif, nommé par décret, et appuyé par une équipe une par appuyé et décret, par nommé Exécutif, Secrétaire un par composé est SE/CNLS le central, niveau Au nationale dont les membres ont des compétences en planification, suivi et évaluation, santé publique, plaidoyer, communication, démographie, économie, finance. nouvelles Cette équipe est renforcée par techniques des experts nationaux et d’information, internationaux, en fonction des CNLS réalise administration, ses besoins. missions de Le façon continue. Il SE/ est chargé de : (i) assurer le secrétariat du CNLS logistique dont il organise les et ; réunions (ii) fournir un appui technique et administratif au CNLS dans coordonner l’accomplissement de les ses activités fonctions ; des (iii) structures dans d’exécution la mise en œuvre des politiques par le CNLS ; et (iv) veiller au stratégies bon financière déroulement adoptées de de l’exécution la lutte contre les IST et VIH le et le Sida ; (v) le entre assurer l’interface CNLS et les autres instances ; de (vi) coordination assurer la gestion des informations stratégiques et de la ; documentation (vii) veiller à la bonne gestion des équipements, matériels et infrastructures l’épidémie contre nationale réponse la sur annuel rapport le publier et préparer (viii) ; lutte la de disposition la à mis par le CNLS. validation VIH et du Sida après du Le SE/CNLS est l’organe d’exécution du CNLS. Il fournit un soutien politique et stratégique à la lutte contre le VIH et VIH le contre lutte la à stratégique et politique soutien un IlCNLS. fournit du d’exécution l’organe est SE/CNLS Le le Sida, promeut les partenariats, mobilise des ressources au niveaux national et international et défend les droits des personnes. Le Secrétariat Exécutif du Comité National de Lutte contre le VIH et le Sida (SE/CNLS) opérationnelle : une instance contre Le Secrétariat de coordination Exécutif du Comité National de Lutte Au Au niveau communal, le Comité Local de Lutte contre le maximum, VIH qui et représentent le les Sida institutions (CLLS) publiques est et composé base de santé de privées, centre du chef le de président, vice comme a maire, le par présidé est CLLS la Le locaux. professionnels 25 société membres civile au et les différents groupements les tous 4 mois et une en Ilfois un de en agent la session se commune. ordinaire réunit secrétaire, et comme (CSB), session extraordinaire, autant de fois que de besoin et sur convocation de son président. Il est chargé de traduire le PSN en un Plan Local de Lutte contre le Sida (PLLS), de mobiliser stimulation les et Place Mise en ressources locales IV. Infra. (Ref. pour exécution son de suivi le assurer et coordination la la d’assurer et plan mise ce de œuvre en de la Réponse Locale). meilleure efficience de la lutte multisectorielle contre les IST et le VIH et le Sida au niveau intermédiaire. Il représente Au représente Il niveau intermédiaire. niveau au provincial, Sida le le et VIH Comité le et Provincial IST les de comprend contre multisectorielle et Lutte lutte la Province contre de la efficience le de meilleure VIH auprès privé, et secteur le le compris y Sida civile, a (CPLS) société la pour et publiques mission institutions d’assurer différentes les une 40 membres au maximum. Il se réunit en autant que de besoin Ilde et son sur est Président. convocation présidé par de la le Président Délégation Spéciale, session ordinaire une fois par semestre du le Bureau Directeur permanent, et secrétaire et comme de la Santé Provincial le Directeur président vice a comme en session lutte de extraordinaire, programme du l’ensemble de générale supervision une faire (i) de : chargé est Il Provincial. Coordination de politique globale définie par le CNLS ; (iii) le développer ; (ii) le respectassurer au provincial de niveau l’orientation partenariat le renforcer de nécessité la et administratives régions des L’avènement provincial. niveau au partenariat institutionnel requiertréajustement un œuvre en mise de opérationnel niveau son multisectorielleà réponse pour pour décentraliser les CPLS au niveau des régions autonomes et constituer des antennes de district de ces futurs Comités Régionaux de Lutte contre le Sida ou Locale). CRLS (Ref. Infra IV. Mise en place et stimulation de la Réponse Au Au niveau central, le CNLS est présidé par SEM de diverses le institutions publiques Président et bureau, de Son de Président. son la la de société convocation sur République. an, civile, par y fois Ildeux compris moins au le ordinaire est session en secteur réunit se privé composé Il maximum. et de comprend 70 représentants membres au composé du Président, des vice-présidents (Le Premier Ministre, Le Ministre de la Santé et un représentant Société de la civile) et du Secrétariat (Secrétaire Exécutif du SE/CNLS) intercessions. Il assume a les pour mission responsabilités principale du de CNLS veiller à durant l’atteinte des les objectifs du PSN politique et ; à stratégique (ii) travers: la mobilisation (i) de ; ressources une (iii) le orientation développement et la promotion du partenariat les à la ONG civile, société et propice institutionnel les avec ; bailleurs (iv) d’unde la fonds création environnement VIH et le Sida. les IST et le contre la lutte Le Le CNLS le représente dispositif institutionnel du National Programme de lutte contre VIH le et le Sida. Sa mission est double : coordonner la lutte contre le VIH et le Sida et guider du l’exécution Plan Stratégique Le National CNLS (PSN). et ses instances des niveaux provincial et local, les Comités Provinciaux de Lutte contre le VIH et (CPLS) et le les Sida Comités Locaux de Lutte contre le VIH et le Sida (CLLS) ont été créés chaque par décret niveau, en ces octobre 2002. instances A sont constituées des parties prenantes du des Gouvernement, PVVIH, représentants du Non des secteur(ONG), Gouvernementales Organisations et privé de la lutte contre le Sida, notamment des communautaires. et religieuses des organisations 1.1 L 1. RENFORCEMENT DU CADRE POLITIQUE ET INSTITUTIONNEL DU CADRE 1. RENFORCEMENT 2 ème Partie 30 a oriain e prears a eepe éalseet ’n ln ainl e asto ds acé qui marchés des passation de national plan d’un établissement inclurait tous les bailleurs, évaluations fiduciaires communes… exemple, par partenaires des coordination la Enfin, le SE/CNLS prévoit un audit institutionnel externe, qui permettra d’identifier d’autres mesures pour renforcer (niveau central œuvre.en mise de opérationnelniveau niveau leur renforcementà le interventions pour des priorités les au sur décision) de consensus le le sur renforcer conjointespour utiles suivi avérées de également visites sont Les se calendaire. 2005, l’année en de initiées terrain,fin la suivant mois 3 les dans diffusé sera qui annuel les par définis feral’objetet semestrielles ForumréunionstraversPartenaires le des à rapport des par assuré d’indicateursserad’un plan ce de partir œuvre en à mise la de mesurée suivi Le suivi-évaluation). de prestation), cadre un d’unicité : de principe troisième Le Infra. (Ref. type partenaires du fonction (en couverture et/ou utilisation l’accessibilitéde plan le sur cliniques et (géographique financière),et qualitéservices), disponibilitécompris des (y Opérationnel Annuel du SE/CNLS pour la réalisation d’objectifs annuels de renforcement des services promotionnel annuels desprojets avec despartenaires lePlan Opérationnel Intégré àtravers ledéveloppement conjoint duPlan un d’unicité : principe second Le Infra. cadre d’action). Le SE/CNLS (Ref.oriente ses actuellement de efforts coordination vers l’alignementprojets des plans d’activités différents les dans activités des planification la faciliter pour d’une budgétisé intégrébase opérationnel plan la un en sur traduit programme, participatif,du possible processus que exhaustive d’un aussi documentation cadre le dans développé 2007-2012, national stratégique plan du évaluation et suivi le et œuvre en mise la financement, le pour internationale) collaboration la de et intersectoriel place de structures d’alignement et harmonisation des des efforts (Ref.partenaires V. Renforcement du partenariat La mise en place de ces structures de coordination de la lutte contre le VIH et le Sida a été accompagnée de la mise en Tableau 11:Organisation différents aux niveaux etSE/CNLS administratifs duCNLS stimulation delaréponse locale). Les doiventUCR capacitésdes être renforcées, évaluationet (Ref.suivi le notammentpour IV. Infra placeet en (CT). Mise TechniqueCoordonnateur unique d’un constituée est Elle administratives. régions 22 des niveau au Au niveau régional, le SE/CNLS est représenté par une Unité de Coordination Régionale (UCR). L’UCR est présente de lutte auniveau régional ; (iv)assurer latransmission desdonnéesauSecrétariat Exécutif. rapports de suivi et évaluation des ; activités (iii) assurer la planification et la budgétisation intégrée des activités par toutes les agences d’exécution au niveau des régions; (ii) présenter au Président régionsde la Délégation troisSpéciale les à par le unebureau. de . Ces couvreBCIR sont chargés BCIRde : (i) assurer Chaquela supervision et la coordination (BCIR). de la mise en œuvre InterRégionale administrativesdu PSN et Coordination comporte un de Directeur Bureau et un en ou plusieurs constitué coordinateurs ététechniques, en fonction de l’aire couverte Au niveau provincial, le SE/CNLS était représenté par le Bureau de Coordination Provincial (BCP). Il a récemment SE/CNLS). une transparence dans la gestion des projets placés sous exécution nationale (Ref. Annexe 1. Organigramme du au interventions des coordination niveau la central favoriser par pour une organisationnelle approche structure programmesa revu(versus a projet) SE/CNLS de le la 2005, gestion de En la réponse nationale tout en assurant etfaiblessedesmécanismesdecirculationactivités del’information entre partenaires. des dispersion une encorepar marquémais dynamique œuvre en mise contextede un dans interventions, des coordination la renforcer pour outil un représente projets des nationale gestion cette politique, sa de moyens et la GTZ. En 2005, il a été désigné pour gérer le PMPS II 2006-2009. Parce que fournissant au Gouvernement les l’exécutionde chargéété égalementPNUD, a le il l’UNFPApar financésprojets2004, des Depuis 2005). - round Madagascar notamment en ce qui concerne le projet – VIH/Sida Sida du financement que (3ème le du Fonds Mondial de lutte round contre et le VIH – et le Sida, VIH le Paludisme 2004) et la du tuberculose a octroyé Préventionet à d’Exécution)(Agence le Principal la Bénéficiaire devenu projet est pour et 2003 septembre Tuberculoseen Multisectoriel Mondiale) Banque (Projet la (4ème par financé I PMPS le gérer pour désigné été a SE/CNLS Le Analyse delaréponse Communal District Régional Interrégional Provincial Central Niveaux administratifs CLLS Antennes dedistricts duTFR(àconstituer) TFR (àinstituer) (àdécentraliserauniveauCPLS des régions) CNLS CNLS UCR BCIR SE/CNLS SE/CNLS ème 31 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Le Le Gouvernement doit encore

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e Le processus de développement du Plan d’Action 2007-2012 du Plan d’Action de développement Le processus Sous le leadership du Secrétariat Exécutif du Comité National de Lutte contre le VIH et le Sida (SE/CNLS), un large consensus s’est dégagé parmi les partenaires 012, quant à à partir d’une la compréhension nécessité commune et risque du de analyse une mené des partenairesont ses et SE/CNLS le partir2005, à des conséquence, En d’avancement. fondements développer épidémiologiques le de Plan la réponse d’Action et 2007-2012 de son de la vulnérabilité du pays à état la diffusion de VIH/Sida à l’infection et documenté les réalisations du PSN 2001-2006, Les instruments normatifs Le SE/CNLS a développé, avec ses partenaires et notamment le Ministère de la ce Santé qui et du concerne Planning les Familial en aspects sanitaires de la lutte, assurer la un conformité avec les normes dans ensemble la mise en œuvre de des activités. Elles politiques incluent : (i) la et stratégie nationale stratégies IST et VIH/Sida, ; de (ii) la communication politique nationale pour la prise en des charge PVVIH ; (iii) pour la politique pour la PTME ; (iv) du compte en prise la (vi) médicaux ; déchets des gestion la pour CTV nationale le politique pour la politique (v) la ; VIH et du Sida dans la politique de nutrition ; (vii) la du de stratégie VIH (draft)dépistage renforcement du ; (viii) la stratégie de dynamisation de la lutte contre les IST classiques (draft) ; (ix) la stratégie de promotion et d’utilisation rationnelle des ; préservatifs (x) le document cadre avec la fins composante commerciales Exploitation (ESEC) sexuelle liée des à enfants la à la et lutte communautaire des santé la notamment, contre programmation, la le renforcer pour normatifs instruments VIH d’autres établir et le Sida pour les enfants. transfusion sanguine. Il existe déjà des textes législatifs protégeant les droits des PVVIH sur les lieux du travail. La VIH et en le lieu Sida est et dans planifiée, les entreprises le de politique de contre lutte de l’élaboration promotion ponctuelles. des interventions de communication place Les Plans Locaux de Lutte contre le SIDA. Les Plans Locaux contre de Lutte Le SE/CNLS appuie la traduction du d’Appui PSN un Fonds par les acteurs civile à travers de la société locaux mises en œuvre en (PAF) Actions Faisables Petites Plans Locaux de Lutte contre le SIDA Mise de la Réponse et stimulation Locale). en place IV. (PLLS) VIH et du Sida (Ref. du charge en et Prise qui à la Prévention comprennent des Les Stratégies Sectorielles Les Stratégies sectoriels plans en décline se National Stratégique Plan le dans présentée Sida le et VIH le contre Lutte de Stratégie La Secteur rural, qui Développement Secteur clarifient Communication, et le Information Secteur rôle publics), catalyseur travaux transport, de (tourisme, huit secteurs-clés : Secteur Travail, Secteur Santé, Secteur Education Sécurité, et Secteur Jeunesse et Renforcement du SecteurV. Population. (Ref. partenariat intersectoriel et Infrastructures internationale). de la collaboration Le Le PSN 2001-2006 est articulé autour de 5 axes : stratégiques (i) création d’un environnement propice à une lutte multi- sectorielle ; efficace (ii) amélioration de l’accès aux (iii) informations assurance et de aux la qualité moyens de de services prévention (individus, ; primaire famille, communauté, et évaluation institution) ; de (iv) la lutte renforcement du contre le suivi Sida ; (v) 2004- (POI Intégré développement Opérationnel Plan Un stratégiques. objectifsde 13 en traduits été ont stratégiques la axes 5 Ces Sida. collaboration internationale contre le VIH et le et responsables entités attendus, résultats chiffrées, activités en PSN du stratégiques orientations les formule 2007) produits partirde à organisé être doit PTA Ce (PTA). Annuel Travail de Plan en traduit est POI Le travail. de calendrier attendus pour l’année, identifiés par des l’ensemble partenaires comme contribuant aux produits définis dans le définis pour le PTA. sur les produits doit s’aligner projets des différents attendus des produits PSN. La formulation Les Les objectifs du PSN 2001-2006 sont dans la l’achèvement de continuité l’accélération et l’UNGASS Unies, Nations des des Générale engagements l’Assemblée de pris d’engagement Déclaration par Madagascar par rapport à la des Objectifs de Développement du Millénaire (ODM), en culturel et institutionnel particulier juridique, environnement d’un création la (i) les : sont ODM des réalisation la pour objectifs escomptés 4, 5 de services des et qualité la de 6. renforcement Les le (ii) ; communautaire principaux niveau au Sida effets le et VIH le contre lutte la à propice VIH. et du des IST ; (iii) la réduction de l’incidence et de prise en charge prévention Le Le Plan Stratégique National de lutte contre le VIH et le Sida (PSN) Sida définit le à cadre Madagascar de pour la la lutte période contre le 2001-2006. VIH Ilet le est avec sous-tendu la par situation une économique, démarche sanitaire multisectorielle, et en sociale rapport du pays. Il a de pour prévalence en objectifs dessous généraux connaissances de les de ait 1% ; Malagasy chaque : (ii) que d’assurer assurer (i) spécifique le objectif maintenir pour bien-être a Ille médicale. des et taux personnes psychosociale charge vivant avec le VIH grâce à leur prise en requises pour pouvoir adopter des comportements et préventifs l’accès aux services et produits de prévention et VIH et du Sida. du de traitement 1.2 L Le Plan Stratégique National de lutte contre le VIH et le Sida 2001-2006 le VIH contre National de lutte Le Plan Stratégique 2 ème Partie 32 ; (v) de la disponibilité des ressources pour la mise en œuvre des enquêtes d’envergureenquêtes des œuvre en mise la pour ressources des disponibilité la de (v) place ; en mis ou retirés d’interventionsecteurs ; (iv) des outils de suivi des composantes de la réponse nationale qui sont progressivement différents les pour données des analyse et collecte la dans niveaux différents des des responsabilités et rôles réalisation des (iii) la mesurer pour partenaires ses et SE/CNLS objectifs le de l’UNGASS, de l’accès universel par et des activités des différents utilisés projets contribuant à indicateurs la réalisation du PSN ; les réconcilierde nécessité et la de prioriser (ii) ; Madagascar à épidémiologique situation la avec conformité en 2005), (août l’UNGASS de indicateurs des définition du la l’ONUSIDApour de directives nouvelles des objectifs (i) compte : tenant en définis des été ont PSN réalisation de indicateurs Les internationaux. d’experts l’appui avec 2007-2012, période la pour suivi évaluation. En conséquence, le PSE a été revu pour tenir compte des nouvelles orientations programmatiques de plan son et l’élaborationentrePSN décalage du s’expliquele données) par représentativitédes notamment de problème indicateurs, des définition la dans diversité d’informations, (manque 2005 en l’UNGASS de notammentindicateurs s’est qui évaluation, en Suivi du élaboré faiblesse La été 2005. a en nécessairesmesuremanifestéela des difficultésdonnées rencontrées les analysepour des dans et collecte la pour partenaires 2001-2006 les par National validé Stratégique et 2004 Plan en le revu 2003, accompagnant Suivi-Evaluation de National Plan Le Le PlanNationaldeSuivi-Evaluation qui nesont pastoujours réconciliées et utiliséespourréorienter laplanification. données des multiplicité la (ix) ; niveauxfeedback les entrede manque le et données les circulerfaire pour (NTIC) moyens communicationmodernes des de différents d’utilisation d’interventionles manque dans le secteurs (viii) ; nécessité de préciser les rôles et responsabilités des différents niveaux dans la mise en œuvre du suivi et évaluation l’absenceniveaux(vi) d’évaluationles tous ; à E & programmesous-programmechaque la ou pour (vii) spécifique ; S du charge en personnels des formation l’insuffisancede (v) qualité ; et fréquence sa dans rigueur de différentsfaiblesse la les retenus par et indicateurs périodique rapportage de nombreuxformats les dans d’harmonisation (trop) manque ou l’absence (iv) des projets ; et programmes vérification et financiers la moyens assurer de pour manque le humaines (iii) ressources ; en PSN du programmatiques champs les dans interventions des l’impact devraientqui outils des nécessaires générique fournir strictement données les suivrepour processusle mesurer et par : (i) le décalage entre l’adoption du PSN en 2002 et du Plan de Suivi et Evaluation (PSE) en 2005 ; (ii) le caractère Les difficultés rencontrées dans le suivi et évaluation à tous les niveaux de la mise en œuvre du PSN peut s’expliquer évaluer lesrésultats desprojets/sous-programmes constitutifs duprogramme national. les si déterminer à (iii) relatives ; futures disponibles décisions fixésobjectifs par le programmeressources national de lutte de contre les IST et les VIH/Sida ont été atteints ; prises (iv) suivre, contrôler et efficacement les plus guider utiliser (ii) pour programme Sida ; du le réorientation et la VIH le et activités IST des les planification contre la lutte d’améliorerde programme(i) du : permettant national programme du un évaluation place et en suivi mettre de pour système étapes des constituent réalisations pratiques ».Ces « meilleures des documentation la l’expériencede et capitalisation la (iv) stratégique ; planification la pour épidémiologique données de manque au pallier pour vulnérabilité la de et risque du cartographique de outil développementd’un séroprévalencele la (iv) ; différentes enquêtes dont la surveillance de seconde génération (composantes biologique et comportementale) et suivi et évaluation national ; (ii) la création d’une Unité de suivi et évaluation au sein du SE/CNLS ; La (iii) composante la suivi évaluation réalisation du de PSN 2001-2006 a été mise en œuvre à travers : (i) le développement d’un plan de 1.3 en prises été compte delaversion parleSE/CNLS danslarédaction finaledudocument. ont GAMET de d’ASAPet contributions d’Action.Les Plan du indicateurs et objectifs des révision la Un partenaires. ses et l’ONUSIDA de Exécutif consultant international Secrétariat GAMET a également du apporté son soutien au nom Groupe Techniqueau de Mondiale Suivi et Evaluation Banque dans la Plan par Action administré and Strategy (ASAP), AIDS service au revue pour soumise et Partenaires des Forum le par validée été a 2012 étapes du processus de développement du Plan d’Action E L

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s u i v i / e v L A u a t O I n ème 33 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse En principe 2004, Ce interventions. le ses SE/CNLS réorienté a a identifié national 20 programme le « zones lesquelles », rouges considérées vers comme et à économique, développement risque, du fait de leur potentiel de de focalisation des interventions dans les zones géographiques à risque accru de diffusion de l’infection a été formalisé en 2006, à travers le développement d’un outil de cartographie du épidémiologiques, données de risque et l’insuffisance par de marqué contexte la un Dans vulnérabilité vulnérables). (Ref. Communes 3.3. Supra. la cartographie du risque constitue une approche pragmatique pour localiser les groupes considérés comme les plus vulnérables et circonscrire des groupes prioritaires pour les interventions dans la population générale. Elle pourra être précisée à partir de : (i) une surveillanceanalyse bio-comportementale (SBCI) intégrée critique de tous les groupes considérés plus comme les plus vulnérables, poussées des enquêtes ; existantes (ii) une particulièrement les travailleurs du les sexe, travailleurs mobiles et tout autre groupe de population localisable exercice un (ii) VIH ; du transmission la dans majeur rôle un jouer pouvant comme PLACE études les par identifié de cartographie plus poussé, au niveau décentralisé, qui permettra de localiser les sites de concentration des Parce Parce qu’utilisant des méthodologies différentes, les résultats des certains enquêtes résultats varient sont d’une également étude mis à surveillancede données l’autre Les en l’échantillon. de réduite et taille la de fait du question, représentative statistiquement pas serait tels ceux de caractéristiques aux population la de groupes des dernière à risque à comportements enquête les rarement lient de comportementales qui surveillance, ne localisables et ne permettent pas d’identifier de façon précise les modalités de propagation de l’infection vers et dans la population Degénérale. plus, elles ne sont que modestement prédictibles de VIH, la transmission du que Madagascar. aussi compliqué particulièrement dans un contexte enceintes vues en CPN dans quelques sites sentinelles non représentatifs. Chez les patients IST, considérés comme comme considérés IST, patients les Chez Des enquêtes représentatifs. de surveillance non biologiques sentinelles ont été sites effectuées quelques auprès de TDS dans formelles, CPN patients IST en et vues femmes enceintes groupe des plus vulnérables, la prévalence du VIH est de 0.69% et 0,15% par chez rapportles femmes à enceintes 1.36% – chez où la les TDS prévalence est formelles estimée nationale. à Les 0.95% données biologiques par nationales sur l’enquête de les séroprévalence groupes considérés comme passerelles ne portent que sur les militaires et montrent une prévalence de la syphilis active VIH. de 16,6% mais aucun cas de séropositivité Le Le suivi de l’épidémie a été essentiellement orienté de vers la la planification mesure stratégique. de En la raison prévalence de la disponibilité l’épidémie, limitée des de financières ressources nationale, et humaines et des performances inégales aux l’étendue des du dépens pays, de sa charge services cliniques démographique, et promotionnels, du la planification stade doit obéir de à un phasage géographique pour des le interventions renforcement de la réponse. Or, les données épidémiologiques sur pour le la plupartVIH des et données nationales, statistiquement le représentatives au niveau Sida des provinces uniquement disponibles sont 2003). (stratification ; (iii) enquête de séroprévalence du VIH Le du système séroprévalence de de surveillance enquête est (iii) partiellement ; spécifiques opérationnel population depuis de collecte et 1996. analyse groupes des données Les pour des le suivi méthodologies de dans : sont l’épidémie (i) utilisées analyse enquêtes des données du pour (ii) Rapport Mensuella ; (RMA) d’Activités avec génération seconde de surveillance (iv) ans ; 5 les tous effectuée enceintes femmes les chez syphilis la de et annuellement et la surveillance2 : composantes la comportementalesurveillance qui biologique qui s’effectue a lieu tous les 2 ans (femmes prochaine la et 2003-2004 enceintes, en réalisée jeunes, été a EDS travailleurs enquête dernière La (EDS). du sanitaire et démographique sexe, enquête camionneurs, militaires, patients IST ; (v) est prévue en 2008. La réalisation de la de première série surveillance d’enquêtes de seconde génération a été SE/CNLS Le biologique. surveillance la pour 2005 en et comportementale surveillance la pour 2004 en effectuée a initié une compilation des données épidémiologiques existantes, afin de fournir un profil et et cohérent intégré dégager les implications des données épidémiologique pour existantes et la pour programmation le suivi de surveillance dans son ensemble). du système (révision de l’infection Le Système de surveillance de l’épidémie de surveillance Le Système Le Le Plan de Suivi IlEvaluation est en définit cours de d’élaboration. façon précise les structures clés pour la mise en œuvre du système de suivi évaluation national, les différents niveaux de la mise en œuvre ainsi que le circuit des informations. Les termes de (TdR) des référence acteurs impliqués précisent leur rôle et responsabilités respectifs 2007-2012). d’Action du Plan de Suivi Evaluation Infra Cadre (voir nationale (Ref. Infra Plan de suivi et évaluation du Plan d’Action 2007-2012). Les indicateurs retenus sont basés sur les sur basés sont retenus indicateurs Les 2007-2012). d’Action Plan du évaluation et suivi de Plan Infra santé (Ref. de nationale système le renforcer de nécessité la de compte tiennent et couverture de termes en actuelles performances pour réaliser les objectifs mondiaux auxquels le Gouvernement a souscrit. En conséquence, en dépit d’initiatives aux résultats rapides qui devrait permettre d’augmenter la demande pour et utilisation des services, ils prévoient une augmentation modérée de la couverture seront des servicesIls pendant les opérationnel. 3 premières années pleinement mais une système amélioration le fois une années, dernières deux les pour performances, des drastique revus à mi-parcours pour un réajustement, qui sera fonction de des 5 évaluation progrès et du suivi enregistrés. L’annexe du Plan d’Action renforcement du cadre le dans mener à recherches et études des liste la fournit 2007-2012 la réponse nationale, en la avec conformité méthodologie de calcul des indicateurs qui différents a été définie par Infra IIIème partie). les partenaires (ref. 2 ème Partie 34 à laréponse nationale. en liaison avec le SIG, pour un suivi et une mesure de la contribution pour des différents internationale projets sous exécution expertise nationale une à réalisées activités centralisée,les données égalementmettra de qui banque une en intégrerdonnées appel de bases ces fera SE/CNLS le complétés, inventaires ces fois Une et préventifs thérapeutiques.) cliniques services des renforcement et place en Mise II. (Ref. prestations ces délivrent qui sanitaires structures des performances des monitorage de système d’un place en mise la de cadre le dans faire se doit Sida) VIH/ et IST prestations des disponibilité et l’accessibilité de (renforcement réponse la de clinique composante la L’inventaire de cadre le dans normatif). réaliséeschangement le activités et des comportement de changement le CAP études les relatives(i) aux sur : IST, cartographique) visualisation TB (avecet informatisées VIH/Sida ; données (ii) le de potentiel bases et la de couverture placedes media en (Ref. mise III. Plaidoyerla abouti et à ont Communication inventairespour Ces promotionnels. et cliniques services les par desservies mieux être pourraient ou sont risque communesà les mesure laquelle identifierla dans et risque) du cartographie la par définis (telsque besoins inventairesdes initié Leaveca réalisées, SE/CNLS l’adéquationévaluerréponseles activités pour laactuelle des de Banque dedonnéeIST etVIH/Sida de l’ensemble desprojets placés sousexécution nationale (approche programme versus projet). d’autre part. Ce SIG est en cours de révision, pour assurer une gestion informatisée desles intrants et donnéesles produits avec relationles résultatsde en et impacts mettred’une et part, suivile de suivi financier permettreavec etle devrait suivi programmatiquequi évaluationpermanent et simple système un place en mis a SE/CNLS le décision, Pour assurer une meilleure gestion des données au niveau central et afin de faciliter leur utilisation dans la prise de finsdegestionLe Système d’Information aux (SIG) que l’estimationtitre même ducoût dusystème desuivietévaluation. au d’Action2007-2012, Plan du budget le dans refléter à importants, financiers engagements des de permettre pour nécessaires,mesureà et fur au disponibilitéla de nouvellesde données. Cette étendue nécessitera surveillance intégrés, étroitement soient évaluation et suivi d’interventionsajustementsstratégiques faireles types et et cibles les dans optimal ordre priorité un de définir le et planification la surveillance, la primordialque est Il évaluation. et suivi planification, de rationnel système d’un vertébrale colonne la former doit En conclusion, dans le contexte épidémiologique particulier de Madagascar, la surveillance bio-comportementale interventions, de ladynamiquedetransmission etdeszones géographiques oùl’épidémie sembleconcentrée. concentration pourra de être définie ressources de sitesdes façon et rigoureuse, activités sur des la des base priorisation de l’importance cette La analyse des de comportementales. groupes l’estimationdonnées vulnérables prioritaires les pour VIH, et les vulnérables du les groupes prévalencedes SBCI la la de par partir identifiés risque à (iv) de modélisation, générale ; facteurs la des population et Sida, la de rapportés à cas passerelles des l’analyse et utilisant en noyaux estimations, groupes des les liant comportementales tendances les sur portant bio-comportementales études des analyse des (iii) ; rurales communes certaines dans probablement, groupes les plus vulnérables identifiés par les enquêtes dans bio-comportementales les communes urbaines et, Analyse delaréponse ème 35 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Schéma 2 : Dispositif envisagé pour la banque de données pour la banque envisagé Schéma 2 : Dispositif 2 ème Partie 36 Analyse delaréponse ème

37 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Missions ; (i) sanitaire planification politique et stratégique du développement (ii) établissement des normes de ; sanitaire (iii) coordination base nationale des en activités et mobilisation matière de ; (iv) contrôle qualité ; (v) suivi et évaluation des ressources gestion (i) renforcement de la compétence, de l’effectif du sanitaires personnel, districts aux technique des appui d’un apport (ii) équipements ; (SSD) ; (iii) coordination et la supervision de la mise en œuvre des plans d’action des districts ; sanitaires (iv) planification stratégique des besoins des 22 régions (i) assurance de la qualité des prestations curatives et préventives, dans privés et publics santé de centres les et hôpitaux les par menées sa zone de compétence, avec la participation de la (ii) appui communauté ; à l’élaboration du Plan de développement du district ; (iii) supervision des prestations de soins des centres de santé de district et de base

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Structures décisionnelles Structures n e

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n io n t e Programme de Programme Lutte contre les IST et VIH/Sida du MinSan/ PF (Service du Partenariat) Directions et Services centraux Secrétariat Général regroupés du autour Ministère du révisé (selon du MinSan/PF), Laboratoire organigramme National de Référence (LNR), Directions Directions Régionales de la Santé et du Planning Familial (DRSPF) de 22 au nombre Services de Santé et du de santé du système (SSPFD) : unité opérationnelle Planning Familial de District é v pr

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es Niveaux c i v er PSYCHOSOCIAL Central Intermédiaire Périphérique Organisation du système de santé du système Organisation Tableau 12 : Structures décisionnelles et opérationnelles décisionnelles 12 : Structures Tableau Le Ministère de la Santé et du Planning Familial (MinSan/PF) assure la gestion technique de la composante clinique clinique composante la de technique gestion la (MinSan/PF)assure Familial Planning du et Santé la de Ministère Le du Cabinet au rattaché directement est qui Sida le et VIH le et IST les contre Lutte de Programme le travers à PSN, du niveau d’un constitué est dernier Ce de santé. de système intermédiaire le et niveau SE/CNLS le un entre d’interface pays, rôle le le joue qui pour et Ministère santé de programme du stratégique plan le et objectifs les définit qui central sanitaires formations 3101 de réseau d’un constitué est Il œuvre. en mise de périphérique niveau un et coordination centres 2 et régionale référence de hospitaliers centres 20 et districts, de hôpitaux 132 privées, et publiques base de répartis sont VIH/Sida et IST prestations des fourniture la dans responsabilités et rôles Les universitaires. hospitaliers des fonctions. pour une complémentarité de référence, sanitaire de la pyramide niveaux sur les différents 2.1 S 2. MISE EN PLACE ET RENFORCEMENT DES SERVICES CLINIQUES PREVENTIFS CLINIQUES ET DU SOUTIEN ET THERAPEUTIQUES DES SERVICES ET RENFORCEMENT PLACE 2. MISE EN 2 ème Partie 38 Analyse delaréponse Périphérique Régional National Niveaux District 56 Centre dedépistage VIH(16publicset40privés) dedistrict privé enmajoritélocalisésdansleschefslieux secteur du hôpitaux 40 (iii) publics ; CHD2 23 (ii) CHD1 publics ; 69 (i) (CHD) : District de Hospitaliers Centres 132 (CHRR) Régional Référence localisés auniveau ducheflieuderégion. de Hospitaliers Centres 20 de médecine,Institutsformation desParamédicaux FacultéCommunautaire, et Publique Santé de National Institut LNR etInstitutPasteur Mahajanga. 2 Centres UniversitairesHospitaliers (CHU) à Antananarivo et 281 dispensaires d’entreprises (iii) privées ; sanitaires organisations des santé de de 396 centres (ii) public ; secteur du CSB les 2424 dans (i) : localisés (CSB) communes Base de Santé de Centres 3101 Structures opérationnelles été formé et dépistage enconseil duVIHchezlespatientstuberculeux. a CDT 15 de personnel Le traitement). de et diagnostic de (centre CDT des Le diagnostic et la prise en charge des patients tuberculeux se fait au niveau sont actuellement réaliséesauniveau de284CSB. VIH du Enfant Mère Transmission la de Prévention de activités Les PVVIH. des opportunistes) infections (biologique, suivi le assurer pour PVVIH des médicale charge en prise la urbain sur base de notions milieu en formation une reçu ont du CSB des médecins Les syndromique. l’approche selon fait se sanitaires formations ces de niveau au IST des charge en prise La prévention. de activités les dans communautaires partenaires aux technique appui un également fournissent service de rural prestataires Les milieu maternité. une du possède CSB des plupart La ensemble. collaborent formation et de types coexistent deux dispose les Parfois total) privé. ou au public CSB d’un (1549 moins au commune Chaque infectieuses. maladies les des différentes maladies telles que le paludisme, les infections respiratoires, charge des IST, de la Santé Maternelle et Infantile, des consultations externes en prise de et prévention de activités des comprend qui d’Activités(PMA) Minimum Paquet un dispensant population la de contact premier de Centre 25 districts de niveau au VIH du anonyme et volontaire dépistage le assurent CTV Les assurer lesuivi(biologique,infections opportunistes) desPVVIH. pour chargePVVIH en des prise médicale la sur base de notions en formés chefs lieux de district et comprennent au moins un médecin et un paramédical des CHD les dans localisés sont PVVIH chargedes en prise de réseaux Les humaines plusnombreuses quelesCHD1. ressources de et complets plus usuels complémentaires examens les pour laboratoires de disposent CHD2 Les référés. cas des PEC la et courantes chargeen prise la assurentinterventionsde médicale, les plus chirurgicales en qui, privé secteur du hôpitaux les et 2 CHD les (ii) référés ; médicaux de cas types des charge en prise deux la assurent 1 CHD comprenant Les (i) sanitaires : formations recours premiers de hospitaliers Centres niveau des6ex- deschefslieux provinces. équipements des laboratoires sont plus complets dans les CHRR localisés au techniques permettant la PeC médicale et le suivi biologique des PVVIH. Les chirurgicale et spécialisée. Ils possèdent du personnel qualifié et des plateaux vocationrecoursà médicale, deuxième référencede de Centreshospitaliers Formation initialeetcontinue laboratoire de technique en formation biologiques, examens opérationnelle, Recherche en compteurs CD4 dotés sont CHU Ces recherche. établissements de et formative vocations plusieurs à et de spécialisés composés nationaux référence de Centres Attributions ème 39 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Certains partenaires se sont demandés si la priorité accordée à la mise en place des services cliniques VIH/Sida était était VIH/Sida cliniques services des place en mise la à accordée priorité la si demandés sont se partenaires Certains niveau au santé de généraux services les améliorer pour fonds les d’utiliser adéquat plus pas serait ne s’il et justifiée communautaire, le VIH en constituant une part (modeste). La réponse est négative. D’abord, le renforcement de pour l’offre les prestations VIH/Sida est indissociablement lié au Sida le et VIH renforcement des le contre serviceslutte la de cadre le dans dans initiée classiques, IST lesquels les contre lutte ils la de dynamisation La sont intégrés. et planifiée dans une double optique de lutte contre la syphilis congénitale et de contrôle des IST classique et du VIH et du Sida en est un exemple. Ensuite, le renforcement de pour l’offre les prestations IST et VIH/Sida ne être peut oblitéré en faveur du renforcement des services où ils sont intégrés. Le programme de lutte contre le VIH et le Sida doit comme s’imposer une priorité de santé publique, pour prévenir les conséquences dévastatrices de sa propagation, notamment sur le système de santé. Madagascar est encore médicale charge un en prise et pays prévention la à vers orientées faible spécifiquement donc, et prévalence – adéquates et mesures des si peut rester le Enfin, des VIH soit dans IST et hors son et du contrôle. ensemble, Sida du sont mises en que place avant l’épidémie le de programme lutte les VIH/Sida contre IST contribuera à et la mise en œuvre du PDSS du pour le renforcement système de santé à la travers levée des obstacles communs du à paquet l’ensemble IST d’activités VIH/Sida, et qui Le Le MinSan/PF est en orientations train stratégiques d’élaborer dans un la Politique Plan Nationale de de (DCPE) Santé, et Développement les le documents du document cadre de Système de Stratégie Politique de de adapter Economique Réductionle système Santé de national de la (PDSS). santé sur Pauvreté la (DSRP), Puisant base du il principe ses a de (ii) renforcer l’autonomie la pour et lutte de intégrée objectif contre la les décentralisation de maladies effective transmissibles ; : et le (i) VIH et réformer le la promotion de Sida ; et la santé (iii) dans la lutte intégrer contre la la pauvreté. En terme de protection du renforcement système de et santé, ce plan de développement du système de santé est focalisé sur 8 axes stratégiques : du système (i) de santé à décentralisation différents niveaux ; et (ii) l’amélioration des organisation couvertures sanitaires et qualité des services ; (iii) disponibilité et accessibilité des médicaments essentiels des consommables sanguins ; médicaux, (iv) des développement ou réactifs des (FANOME santé et ressources secteur du financement humaines produits du renforcement (gestion (v) ; sanitaires infrastructures des aux humaines effectifs, ressources plan de carrière, alignement des et sécurité social) ; ; participation(vi) hospitalière (vii) réforme renforcement financière des d’équité fonds usagers, du suivi évaluation du système d’information et en santé. recherche de la ; communication (viii) renforcement du partenariat ; (ix) Plan de Développement du Système de Santé du Système Plan de Développement obstacles majeurs à l’intégration effective des prestations de service IST et VIH/Sida dans les soins de santé primaires. primaires. santé de soins La les centralisation dans et VIH/Sida verticalité dans et la IST service mise de en prestations œuvre des des effective composantes cliniques l’intégration de à la majeurs réponse obstacles représentent des des coordonnée gestion d’une plan le sur principalement système, du dysfonctionnement du compte rendent Elles intrants et la mise en place d’une effective référence pour la d’appropriation PEC manque clinique et un le soutien par psychosocial des traduit PVVIH. se Le sanitaires districts et régions des niveau au responsabilisation de manque La des politique effective objectifs nationale de a santé du mis programme. en place un de système recouvrement de coûts à travers une participation financière des usagers. Il hospitaliers mais pas pour les de centres subvient santé de base, ce qui constitue un facteur au de démotivation un personnel paiement de primes pour les centres de santé qui doit intégrer de nouvelles prestations IST et VIH/Sida dans la système fourniture de des santé services dans public de intégrées souffre routine. pas Le d’un sont ne manque Sida de le et personnel VIH qualifié le humaines. et et IST d’une Les les répartition contre médecins lutte inégale la et des de volets ressources paramédicaux différents les dans spécialisés techniques formations sont en majorité concentrés dans les la formation grandes initiale et ne sont pas inscrites dans villes. un programme de Les suivi agents formatif. formés sont souvent Les l’approvisionnement pour d’Achat services les attaché d’uneCentrale MinSan/PF s’est Le postes. d’autres à affectés en kits consommables IST, et préservatifs (SALAMA) mais elle ne comprend pas une d’une unité spécialisée dans la gestion des réactifs et médicaments négatif pour effet le un paquet d’activité ont VIH/Sida. administratives Les réactifs lenteurs être inscrits et les dans consommables le et système doivent logistique de d’approvisionnement) distribution des sources médicaments essentiels. Au (multiples niveau central, unifié le système pas n’est logistique d’information système le dans faiblesses les district, du niveau Au santé. de produits des continue disponibilité la sur des coordination la à obstacle font programmes de gestionnaires des managériales capacités les et gestion la pour plan de commande, Le périphérique. au logistiques niveau actionet les une problèmes pro intrants pour résoudre de performances des fonction en définis être doivent moyenne consommation la et d’alerte stock sécurité, de stock des services. L’offre différents des cible population la de indépendamment ensemble, son dans sanitaire structure la services varie d’un district à et l’autre au sein de ce district,les responsables d’une Or, formation sanitaire à l’autre. des niveau au régulière supervision d’une faute situation, la difficilement appréhendent Districts des et Régions des tous entre communication de dispositif du faiblesse La appropriés. monitorage de d’outils et sanitaires formations les niveaux de la pyramide sanitaire représente également un obstacle à la bonne gestion et opérationnalisation TDS. les et jeunes les pour privées cliniques de réseau d’un place en mise la appuie Gouvernement Le activités. des Les directives de traitement instaurant un suivi des travailleuses du sexe tous les trois du personnel des la formation requérant mois limités, sont à leur intention les services2001. Cependant du programme ont été adoptées en option aucune eux, à quant n’ont sexe du travailleuses des clients Les vulnérables. plus les groupes des PEC en CSB privés. de santé ou les centres de services primaire de santé particulière en dehors des centres Contraintes structurelles à la réalisation des objectifs nationaux des objectifs à la réalisation structurelles Contraintes 2 ème Partie 40 », financée par la Banque Mondiale dans le cadre du projet PMPS a en effet été confiée à une à confiée été effet en a PMPS projet du agence indépendante (AGF).cadre le dans Mondiale Banque la par financée locale », « Réponse la de composante cette de financière gestion La PVVIH. des charge en Prise et Prévention La d’AppuiFondsà ou FAPdu cadre le AGF,dans des comme par assurée être pourrait gestion la dont SE/CNLS, le par exécuté cliniques programme àsonniveau opérationnel demiseenœuvre maisdeladéconcentration dufinancement desactivités clinique de la réponse par le doit MinSan/PF s’accompagner, non seulement de la décentralisation de la gestion de composante la de technique gestion la dans leadership ceterme, moyen A programme. de gestion et et VIH/Sida IST en formation la de institutionnalisation une et groupesvulnérables des maximale couverture intrants,une des formation de institutions les et carcéral) (milieu justice initiale, pour une la harmonisation des outils de de gestion, ministère une complémentarité le dans les circuits DCSM, d’approvisionnement la avec partenariat le renforcer les cabinets médicaux des ONGs et associations médicaux et inter-entreprises.les services Enfin, doit le MinSan/PF avec le secteur privé, pour améliorer la disponibilité des prestations IST et renforcementstratégiede partenariat une œuvre du en mettre et définir VIH, doit il public, secteur à du capacités des et travers les cabinets médicaux privés, fonction de la méthodologie de calcul définie). En parallèle avec en indicateursle des renforcementmesure de la la et coordination formation) intra-sectorielle traitement, de (protocoles qualité d’assurance système d’un place en effectif de la réalisation des objectifs nationaux de suivi couverture, un à et traversconsommables) et la médicaments mise réactifs, en équipement, place en de dotation tableaux formation, personnel,de bord,en (dotation la mise d’outils de gestion et la formation développementà leur utilisation. le Ils doiventtravers pouvoir à assurer une niveauxgestion coordonnéedifférents des intrantsdes opérationnelles et décisionnelles structures des compétences rôle de leader pour la gestion technique de la composante clinique de la réponse. Elle requiert le renforcement des Cette restructuration du Programme IST et VIH/Sida s’inscrit dans le cadre du renforcement du MinSan/PF dans son de laPopulation. ministère du départements certains 2007 depuis intègreministère, qui du restructuration la de compte tenant en seront d’activité annuel plan et MinSan/PF,TdRdu structures Leurs autres les aveccoordination programme. la renforcementde de optique de une dans définis également gestion la de plan le sur intégration et coordination une favoriser pour VIH/Sida, et l’épidémieIST prestations (iv) l’ensemble des de pour comportementale) et suivi biologique logistique ; (surveillance (vi) (programme) ; la évaluation et de suivi (v) équipement/consommables/réactifslogistique ; la composante de médicaments/ARV/IO (iii) composante formation ; (ii) planification ; (i) en : coordination la de chargés respectivement également seront focaux points Ces psychosociale. et clinique PEC la des clinique PEC la de biologique et médical ; PVVIH (iv) suivi la composante ARV prophylactiquecomposante et thérapeutique de la la PEC clinique des ; PVVIH (v) (iii) la référence ; VIH pour du dépistage le (ii) IST ; des PEC la (i) révision.Pour programmatiques,besoins les référenceprévoitde il termesredéfinir les de focauxpoints pour : des de cours concernées, en MinSan/PF est VIH/Sida du et L’organigrammeIST structures Programmepériphérique. du des et intermédiaire directe central, responsabiliténiveau au la sous placées est œuvre en mise la dont Sida et VIH/ IST cliniques activités MinSan/PF,les le coordonnant et en SE/CNLS le entred’interface rôle son jouer pour de l’organigramme du MinSan/PF. Le Programme IST et VIH/Sida a également été renforcé en ressources humaines jusqu’alorshors Maladies Transmissibles(DULMT) les contre Lutte la de et Urgences des Direction la à et VIH/Sida Programmele rattachant,cetteremédier2006, en à situationpour en dispositions des IST Lepris a Gouvernement des suivi-évaluation de système du faiblesse la (v) intrants ; des gestion sanitaires desstructures pourréaliser annuelsdecouverture.performances lesobjectifs la un de (iv) niveau privé ; secteur le au compris y dysfonctionnement civile, société la avec limité encore partenariat un (iii) ; MinSan/PF du sein au de mise la place vers orientée en « projet » approche d’une héritée interventions, des verticalité la à (i) donc : et programme Lescontraintes renforcementau principales prestationsdes caractèrerelativementau tiennent VIH/Sida récent du Contraintes spécifiquesau renforcement desprestations IST e ; (ii) un défaut de coordination intra-sectorielle intra-sectorielle coordination de défaut un (ii) intégrées ; « prestations » de que plutôt » «services ème 41 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Les Les infirmiers/infirmières et les médecins des services de pédiatrie, l’enfant de sont néonatologie, de initiés structures santé des capacités pendant des de 15mn la L’inventaire mère à IST. des fait au et plus sont 1h l’HIS à de rotation une effectuent qui en Ceux formation. moyenne sur la syphilis et la syphilis sanitaires prévu dans le congénitale cadre de la mise en au place de la banque de cours donnée pour la gestion de des intrants permettra leur de déterminer le type de test qui peut être curriculum et calendrier de formation utilise pour des en le compétences de la renforcement Les professionnels matière. pour le syndromique l’approche sur dépistage formation la de l’impact de limite qui ce la IST, des carte la syphilis à PEC la de l’habitude et ont santé la donc, le type d’audience, (2 jours seulement), 75%. qui ne Elle fonctionne ne qu’à fait pas partieencore de du initiale formation programme encore pas n’existe Il sites. des niveau au formative supervision d’aucune l’objet fait ne et infirmiers et médecins des de check-list de supervision standard pour les prestataires de prise en charge des cas d’IST et depuis l’évaluation des indicateurs IP6 et IP7 en 2000, il n’y a pas eu de contrôle de systématique prise en de charge des la cas Le MinSan/PFIST. qualité prévoit de collaborer des avec le CDC services Atlanta dans le en choix des matière tests qui seront nécessaires pour la PEC syndromique des IST et pour les renforcer capacités des laborantins en techniques pour la détection et de diagnostic des IST. sérologique de culture, spécifiques, moléculaires On estime à seulement 30% le nombre l’accouchement. de Les aux femmes spécialisés services services des testées offrent de privés pour santé dépistage de la centres et des et syphilis ONG PEC Quelques insuffisants. au des également sont jeunes moment IST en de direction la des grossesse groupes ou les de plus vulnérables populations pas vulnérables, par SISAL de exemple, et serviceet PSI, et public il spécialisé n’existe dans le traitement des des IST pour les groupes les plus vulnérables. Le manque de d’énergie, réfrigérateurs de et de réactifs rotateurs dans dans les les sites plus grandes reculés ainsi formations que sanitaires le coût ou des tests pour les patients sont des contraintes majeures. La mise en place d’une base le de niveau central donnée (formation, médicaments, réactifs, du équipement) est Minsan/PF en cours sur de développement, les pour éviter intrants les gérés par des 327 CSB2 dysfonctionnements pas observés en à l’équipement rotateurs à énergie n’a exemple, ce Par niveau. été accompagné d’une dotation en réactifs et médicaments et la formation à l’usage pas de faite ces tests ne s’est traduire se doit qui intrants, ces de gestion la dans coordination meilleure une d’assurer permettra Elle parallèle. en par le développement de plans annuels intégrés pour et médicaments. consommables réactifs, équipement, la formation/remise à niveau et l’approvisionnement en En 1997, le gouvernement a adopté l’approche syndromique pour le diagnostic et le traitement des IST. A partirA de IST. des traitement le et diagnostic le pour syndromique l’approche adopté a gouvernement le 1997, En 2000, la PEC des IST classiques a dans été intégrée les services de soins de santé primaires publics et privés (ONG). En 2003-2004, 1775 prestataires privés ont suivi une formation de remise à niveau en approche syndromique. En 2004, 2500 prestataires publics ont reçu une formation théorique. Deux mis kits au de point pour traitement traiter préemballés les ont écoulements été génitaux et les : ulcères le kit kitGeniCure (chancre CURAmou et 7 syphilis). (gonocoque La distributionet de chlamydia) ces et kits le préemballés faite s’est au travers du social marketing pour le secteur privé et via une centrale d’achat pour le secteur public. distributionLe des kits une meilleure assuré RPR, des tests la disponibilité pour augmenter MinSan/PF solaire énergie à rotateurs équipé 327 CSB2 en de traitement et réduit leur coût jusque unitaire, là prohibitif pour la majorité des Ilpatients. a lancé une étude de pharmaco résistance des germes IST aux traitements, élaboré un contrôle de draftet congénitale syphilis la de réduction de perspective double une dans inscrit classiques, IST les de contre politique de dynamisation de la lutte a été les IST conventionnelles contre de lutte VIH et du du programme En Sida. 2005, la dynamisation des IST et du une objectif d’assurer comme fixé MinSan/PF s’est Le VIH/Sida. et IST Programme du priorité une comme identifiée d’IST, symptômes des présentent qui malades les pour syphilis la de sérologique dépistage du maximale couverture les femmes enceintes vues en consultation prénatale en clinique et les autres groupes de population considérées comme présentant un risque élevé de contracter des IST. Il CDC a Atlanta également pour initié celles une de mener personnel au collaboration les alternatives des offrir étroite et évaluations RPR avec test le et réaliser le de mesure interventions en sanitaires formations nécessaires des technique pour renforcer les capacités du personnel type pas équipés pour offrir qui ne sont ce prestation. de Prise en charge des IST classiques des IST Prise en charge Paquet d’activités IST et VIH/Sida d’activités IST Paquet des IST classiques – inscrit dans le MAP 2007-2012 comme priorité pour la lutte contre le VIH et le Sida ; (ii) le dépistage dépistage le (ii) ; Sida le et charge VIH en prise la (i) de : le renforcement le sur l’accent contre mettre doit MinSan/PF le cliniques, lutte prestations des plan le la Sur pour priorité comme 2007-2012 MAP le dans inscrit – classiques IST des du VIH, qui doivent être tous deux être disponibles en priorité dans les communes vulnérables mais intégrés aux services de routine de des l’ensemble structures sanitaires au niveau national d’ici fin 2012. En collaboration avec amélioration une pour Rapides Résultats aux d’Initiatives l’objet feront cliniques composantes deux ces SE/CNLS, le immédiate des performances dans les structures MinSan/PF doit sanitaires également où PVVIH assurer des médicale PEC et les en VIH du dépistage de priorité : structures compétences les entre partenariat le (i) renforcer ont (ii) PVVIH ; des la médicale été/seront mise en renforcées. place Le lutte la et d’une psycho-social encadrement leur pour PVVIH référence de associations les opérationnelle et confessionnelles organisations pour les avec la PEC contre la stigmatisation et discrimination, en particulier, en milieu médical, également liée à la mise en place des universelles. précautions 2 ème Partie 42 gestion syndromique desISTàMadagascar.la soutenir pour utilisées tard plus seront qui sérologiques et culture de moléculaires, spécifiques techniques les sur laboratoires des personnel du formation la pour technique aide une également apportera qui CDC de auprès programme national d’AQ/CQ pour le test sérologique de la syphilis la appuyé pour par le Atlanta laboratoire CDC de référencele de avec l’OMS mise collaborer en place de du LNR, la donc série de prévoittests nécessaires pour MinSan/PF soutenir la Le gestion syndromique test. des MST et le la création réaliser d’un à personnel laboratoire du de effective capacité et la médical de et utilisés tests des qualité la de monitorage le faire de LNR au permettant système un sans faire se peut ne syphilis la pour appropriés dépistage de d’algorithmesl’introduction syphilis : la de dépistage du nationale échelle à mise la à préalable condition une effet en est fonctionnel qualitéd’assurance système d’un place en mise La périphériques. sites les sur syphilis la de sérologie une AQ/CQpour de programme un maintenant et introduisant en pays, le tout dans laboratoire de tests des qualité la assureren syndromiques (iv) conséquence ; algorithmes les informer (iii) pathologique ; schéma du niveau au temporels déterminer changements (ii) IST ; les des microbiologique surveillance une assurer (i) de : chargé sera qui Tuberculosela et IST les le système, leGouvernement estentrain deconstruire unLaboratoire National deRéférence pourle VIH etleSida, rationaliserPour l’année. de cours au non et surveillance de période la pour que IST des qualité de contrôle du et recommandation du Laboratoire National de Référence pour le pour VIH et MinSan/PF le Sida (LNR) le mais il par n’estpied en sur fait chargé statuermise sur le genre de du test à utiliser dans le public.secteur test Lesété décisions relatives au test à utiliser sont prises sur a la biologique commission Une contacts. des recherche de activités des situation la sur et syphilis la de symptômesprésentent les qui personnes les parmi syphilis la de sérologiepositive de taux les sur personnel, en et médicaments en besoins les sur vulnérables, groupes les chez asymptomatiques cas d’IST par âge et par sexe, sur le schéma pathologique, notamment l’étiologie des ulcérationsles sur génitales informera qui et national des niveau au IST sérologique dépistage de système un place en mettre de nécessaire est Il n’ont paslacapacité d’effectuer destests RPR,peud’entre euxréalisent destests delasyphilis. CSB plusieurs que et limité est région chaque à alloué montant le comme plus, De stock. de ruptures des entraîne commandes,souventqui excluscedes donc sont et cetteliste sur figurentpas ne GenicureCura7 et pré-emballés kits les et RPR tests Les qui besoin. a elle dont SALAMA, médicaments les pour catalogue, la du passe partir à public,dernière SALAMA, la Cette à commanderégion. organisme chaque pour d’un spécifiques montants niveau en répartie au gouvernement centralisédu budget est un reçoit médicales fournitures en et médicaments en Il enceinte). femme la de » syphilis « kit compte également évaluer les maladies ulcéreuses pour une évaluation ducontenu L’approvisionnement deskits. bactérienne, vaginose (dose traitements la les compléter pour et métronidazole simplifier d’azithromycine, pour unique GeniCure et 7 CURA kits les revoir de envisage MinSan/PF Le etstandardsles normes définisparleGouvernement, àtravers desstratégies fixes etnocturnes/avancées. le vulnérables, plus les groupesconformitésavecl’intentionen population, à groupesde ces de services étendreleurs pour ONGs les mobiliser de des direction vulnérables », en groupes des « amies IST performantes plus les des sanitaires formations les rendre PEC de envisage MinSan/PF de services des disponibilité la augmenter Pour de lasyphilisPOCàMadagascar. de substitution pour la syphilis congénitale. Le CDC fournira également un appui technique pour le roll-out du test critère que tant en compte en prise sera district le dans mortinatalité la congénitale, syphilis la de surveillance de de Rio Tinto travaillant dans l’exploitation minière) pour monter ce district de démonstration. Comme il n’existe pas proposé. Le collaborera MinSan/PF également avec privé du secteur (par exemple, les partenaires QMM, une filiale syndromique surveillance de système du base la sur suivi l’objetferont d’un séropositivité de taux Les prestation. de santé primaire tandis que les formations qui réalisent actuellement le test RPR continueront d’assurer ce type de centresdeux et CSB-1 les tous dans traitementserontdispensés le et POC syphilis la profonde.de eau Lestests en port créationd’un la de et minières activités des déploiement du raison en prévuspopulation mouvementsde les et Antananarivo à rapport par éloignemen ème

43 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Conseil et test volontaires du VIH volontaires Conseil et test districtsen de lieux chefs 111 des et régions de lieux chefs 22 des l’ensemble pourvoir de prévoit gouvernement dans Le implantés publics CTVs centres 16 existe il Actuellement, 2009. (CTV) d’ici volontaires test et conseils de centres CTVs CTVs centres répartis37 et inégalement ONGs centres dans des 3 par privés gérés province, de lieux chefs les les Ilsprovinces. sont situés surtout (18 dans centres). Les la autres province provinces d’Antananarivo ont entre 3 et des 8 CTVscentres. L’implantation publics suit plusieurs localisés soit modèles. Dans indépendants, soit les sont structures ils sanitaires, sanitaire, ils structure Hors constituent intégré. service un soit indépendant, service un soit dans une structure sociale ou administrative. Ils emploient des pour la plupart conseillers par l’Institut National et de Publique Santé (INSPC), mais techniciens qui devraient pouvoir bénéficier d’un de stage laboratoire formés d’immersion après leur formation théorique. Les centres privés sont le plus souvent intégrés dans des structures de soins préexistantes et utilisent le même personnel. Certains centres privés ont cessé de fonctionner partenariatune de fois le conventions des problème, ce prévenir Pour suspendu. consommables et tests les pour financement sont envisagées pour l’approvisionnement des centres privés en réactifs et consommables (système logistique à définis par le MinSan/PF. du respect des normesdéfinir) mais sous condition et standards Généralement, en dehors d’Antananarivo, les centres séropositivité de jour), ce suspicion CTVsqui de une l’avis des conseillers, à tiendrait au associée peu de d’intérêt la connaissent car population pour le demande, dépistage VIH. du la De peu plus, toujours pas favorise d’affluence ne centres certains (2 de l’implantation à 5 personnes par et donc, une peur de la stigmatisation. Enfin, pour des raisons médecin traitant. à leur demander le test de confidentialité, les patients préfèrent primaire souvent santé de services les tous dans VIH du dépistage du disponibilité la d’assurer est gouvernement du L’objectif avantages Les vulnérables. communes des couverture la sûr, bien priorisant, en national, territoire du l’ensemble sur liés à cette stratégie de dépistage de routine incluent la banalisation du test, la normalisation de la connaissance du statut et sérologique donc, la réduction de la stigmatisation. Le dépistage VIH du est déjà dans intégré les 284 structures sanitaires qui délivrent des prestations de PTME, dans 48 districts. Le Gouvernement prévoit d’assurer la couverture des 111 districts sanitaires du pays par les activités de PTME d’ici 2007. dans les Il servicesest en de voie dépistage d’intégration et traitement des Tuberculeux (CDT), avec la formation du personnel Le nombre de de nouveaux cas 15 attendus TPM+ de est CDTs. estimé à 20,000/an, dont 57% utilise les servicesCe sont CDT. donc 12 000 tuberculeux/an, qui pourront avoir accès au dépistage du VIH. Le taux de séroprévalence du VIH est de 0,91% parmi les TB, ce qui fait 18% environ par 200 fréquentés patients TB PF, servicesséropositifs de les dans qui intégré être bénéficieront également devrait VIH d’un du dépistage suivi Le médical ARV. par traitement et du 650 000 femmes/an. active soit environ sexuellement des femmes renforcée été a dépistage le pour demande la où et Rapides(IRR) Résultats à l’Initiative par ciblées régions les Dans par la réponse locale, les utilisateurs se plaignent de la difficulté à accéder au conçue dépistage. La comme stratégie mobile une est stratégie mesure à et fur au de réduite, progressivement sera Elle substitution, faibles. sont fixes postes des performances les où et pour enclavées renforcer l’utilisation des services dans primaire. du dépistage dans les soins de santé les de l’intégration de la généralisation zones à risque, VIH. du test le pour qualité de contrôle de systèmes des et pourcentage Procédures le de Manuels des actuellement réduire élabore LNR de Le permettront qui cours), en (test rapides tests des adoption après jour à mis être devront Ils soins les dans dépistage du l’intégration de échelle à mise La jour). même le résultats des (remise vue de perdus des de santé primaire requiert également le renforcement de et l’effectif des compétences du personnel de santé de base. Pour éviter les dysfonctionnements, le MinSan/PF adoptera une appro Le Le MinSan/PF prévoit également de collaborer avec le CDC Atlanta, le Ministère de concevoir la Défense et et des réaliser ONG pour des projets spécifiques, pour groupes de population vulnérable, identifier déterminer le potentiel d’une le épidémie généralisée de scénario VIH/Sida, élaborer des et le post-partum et PID complication aux liées (ex. asymptomatiques maladies les identifier appropriées, interventions poids véritable des entreprises seront IST enquêtes Les IST. dans des verticale transmission la à associé des potentiel risque le déterminer infertilité), auprès des groupes : suivants (i) les travailleuses du sexe qui se plaignent de symptômes aux normalement IST ; associés (iii) les travailleuses du sexe qui ne présente pas de ; symptômes sexe (ii) féminin) les qui jeunes (du se sexe masculin plaignent et de du symptômes normalement associés pas de aux symptômes (du ; IST sexe (iv) masculin Les et les du PF. clientes les jeunes sexe (vi) ; symptômes ; de féminin) pas présente qui (v) ne qui militaire le personnel le ne (vi) personnel IST ; aux associés normalement militaire présentent qui se plaint de symptômes tests requis pour ces études : sont (i) détection des ulcères génitaux pathogènes par PCR en temps y réel, compris l’herpès, le chancroide, la syphilis et le ; LGV (ii) détection des pertes organiques par PCR en temps réel, telles que C. trachomatis, N. gonorrhoeae, M. genitalium vaginalis. Le T. and CDC réalisera à Atlanta les tests qui ne peuvent être faits à Madagascar (coût des réactifs seulement). ailleurs, Par deux études spécifiques seront entreprises pour revalider ou modifier les algorithmes existants, : notamment (i) une évaluation de actuellel’étiologie stockage et des identification ulcères propagation, génitaux la à à LNR Madagascar ; le (ii) formera une CDC le évaluation étude, des seconde susceptibilités la antimicrobiennes à des préalable Comme isolats de Madagascar. la blennorragie à des germes de Neisseria gonorrhoeae, utilisation des E--tests sérologie et la techniques syphilis, la de susceptibilité de dilution des test agar le souches pour pour gonococciques qualité à déterminer contrôle des la le groupes dans d’antibiotiques. malgache) Enfin, gouvernement le le CDC pour apporteracoût (sans une technique assistance bactériale pour la vaginose et candidiase. herpes et la microscopie 2 ème Partie 44 grands établissements estprévu. Uneprogrammation estenvisagée surunpremier site pilote pour2007. les d’équiper principe le d’équipementces plan de un retenud’importation, chambre double à incinérateurségalement des avec hospitaliers centresayant grands Nationale Politique La réalisation. de cours en sont nationale Un plan d’équipement et deux prototypes des quatre (4) solutions d’élimination pour les CSB prévues par la politique chefs àtravers desdistricts, undispositifdeformation encascade. de construction la Inspecteurs/Médecins- Médecins les par assurés interrégionalesontformation la par couverts de établissements non suivi gestion, activités de des plan et du l’incinérateurformationet opérateurs).l’élaboration des et formation personnel La du les dans théoriques gestion de plan du élaboration l’établissement, enseignements de des pratiques dispensés des sont pratiques (audit où » hospitaliers-écoles « centres formations de 9 niveau de au organisée partir est et districts, à de hôpitaux des districts, Médecins-chefs et (SSPFD) District 111 de Familial Planning du des et Santé de couverture la assurer pour conçu interrégionales. La formation été sur la sécurité des injections a et la gestion des déchets formations’adresse aux Chefs des de Services dispositif Le puisdesuiviaprès 6mois. desupervision déchets ; (v)actions fourniture(iv) ; soins de déchets des gestion de d’équipements des d’assurervue stockage en le et collecte la tri, le plan d’un élaboration (iii) médicaux ; déchets d’éliminationdes Direction matière en la normes les suivrede l’établissementà de engagement (ii) personnel ; du formation et sensibilisation (i) à d’accompagnement : Montfort mesures incinérateur des des construction la associe il système, du place en mise la dans dysfonctionnements éviter Pour les matière. la en programme un initié et 2005 en médicaux déchets des gestion de Nationale Politique une développé a MinSan/PF le alarmante, situation une montré ayant 2004 et 2002 entre réalisés diagnostics Les Précautions Universelles d’activités périodiques). réactifs et consommables et l’amélioration du suivi niveau dans l’utilisation du rationnelle TS des de intrants centres(supervision et rapports 36 les renforcementtraversdans le à amélioréeêtred’approvisionnementcircuit intermédiaire peut (4-8/province).du en Elle et sanguine transfusion de national centre testées) au non sang de poches de qu’il1% (bien actuellement restesang de poches des systématique la dépistage Transfusionsur le et Sanguine s’esttransfusionnelle sécuritévolet Nationaledu œuvre politique en mise développementd’une La le par traduite Sécurité transfusionnelle du sang(sérum),lecircuit desrésultats dutest etladate pourlaremise desrésultats du test auxpatients. circuit le dans concordance meilleure une également requiert de PTME centres des notamment performances des l’amélioration raison en pourcentage important, Le être évident. peut est l’accouchement stigmatisation après proximité.biologiquede et dépistage, médical de l’absencesystèmesuivi de d’un autresCommeles services pour de et avant risque vue le de PTME), perdues la parturientes à de formé toujours pas n’est personnel le (où en régional. Les prise accouchements se faisant La généralement hors l’accouchement.de ces centres pendant de PTME, niveau au référent,dans localisé médecin au verticale une appel faire doit maternitéenfant son de de et patiente transmission la référencede ultérieure médicale charge la réduire pour prophylactique traitement du que La des plupart centres publics ou privés (confessionnels ou non) qui pratiquent des activités de PTME ne disposent des services. l’autre ou l’un dans stocks de ruptures les éviter pour coordination, de mécanisme n’aitqu’ildifférentes,de y sans sources de du VIH dépistage de tests reçoiventleurs PTME de centres les et CTVs les service), de prestationversus des intrants par le niveau central). Conséquence d’une logique de programmation (approcheverticale programme l’approvisionnement en réactifs et consommables, qui n’a pas suivi la formation (dysfonctionnement dans la centresété14 ontrendus et soinsimmédiatementde opérationnels. Lesdans délais autresde centres gestion souffert ont hôpitaux Onze initiale. formation la dans inscrit être maintenant doit PTME de pour curriculum Leest inexistant. formésdire ainsi agents des suivi Le l’INSPC. par formés été ont services de prestataires 1374 2006, et 2003 Entre enfants encharge pouruneprise médicaleetpsychosociale. l’enfant, à traversà mère l’administration la d’ARVde primaire VIH du prophylactiqueprévention ; transmission (iii) la la la référencede prévention des la pour femmes (ii) séronégativesenceintes ; sérologiqueétant séropositives enceintes et femmes statut des des majorité du la – connaissance la (i) : ob ème

45 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Actuellement, Actuellement, seuls l’IPM, le LNR et le CHU de Mahajanga effectuent le comptage génotypiquesdes CD4 tests par de Cytométrie de flux. réalisation la et virale charge la de comptage le pour technique plateau du dispose l’IPM Seul en cas d’échecs thérapeutiques. Les échantillons aérienne des ou routière patients pour de être analysés. l’intérieur des L’acheminement prélèvements du pour le pays l’intermédiaire du dosage réseau des sont des PVVIH, : la CD4 prélèvements FIFAFI acheminés envoyés avec nom se du par fait malade sans ; par anonymat il voie en est de même pour les médicaments et les résultats, d’où l’existence d’un Une médical. extension de la prise en charge par risqueles ARV obéit à une du technique logique plateau d’amélioration manifeste de rupture du secret sur du l’ensemble territoire national. Dans une optique de coût efficacité, les 6 chefs lieux de possibilités partiedes faire provinces devrait devraient Virale Charge la de comptage Le CD4. de dosage le faire de moyens les posséder Les ARV, Les d’abord fournis ARV, gratuitement par l’association RIVE de l’Ile de la Réunion, sont maintenant achetés par le Gouvernement. Ils sont distribués à partir par d’Antananarivo le programme IST/VIH/Sida du La MinSan/PF. mise en œuvre du volet relatif à l’approvisionnement en médicaments en gestion se de fait médicaments ARV ; par : (ii) l’inclusion (i) des ARVla et formation MIO dans de LNM et 15 Essentiels gestion des médicaments l’utilisation des essentiels pour PVVIH. les d’un formateurs ARV plan ; Ildes d’enrôlement (iii) doit l’élaboration être outils de et sécurisation l’amélioration des infrastructures à de travers stockage de au renforcé des référence niveau centres et la traçabilité des médicaments. La question de clairement abordée. Certains médecins la ont signalé des difficultés dans pérennisation l’approvisionnement en ARV les de obligeant la gratuité des ARV à doit la substitution également de être certaines molécules par d’autres dans leurs prescriptions. ARV au La sein de désignation assisté la de DPLMT, 2 du responsables de suivi coordonnateur et contrôle des médicaments ARV et des devrait MIO, besoins, des (compilation gestion de système d’un place en mise la travers à problème, ce à face faire de permettre coordination des commandes, distribution médicaments ARV et suivi MIO, de la gestion au niveau des centres de référence). pérennisation de la prise en charge des PVVIH, qui doit suivre le processus de l’accès aux ARV; (ii) un comité de gestion de comité un (ii) ARV; aux l’accès de multidisciplinaire PVVIH des ARVles de par charge comité prise en un la (i) : appuyer pour prévus sont entités processus Trois le suivre doit qui PVVIH, des charge en prise la de pérennisation en d’approvisionnement système le appuyer doit qui (CGAMR) réactifs et médicaments en d’approvisionnement et médicaments et réactifs pour assurer sa ; pérennisation (iii) un coordinateur du système d’approvisionnement en ARV et réactifs sérologiques qui doit assurer du l’opérationnalisation système d’approvisionnement et la gestion des médicaments en ARV et contre les : opérationnelles le comité de pas pérennisation n’a infections encore été mis en et place le CGAMR a opportunistes.peu de réunions à son Ces différentes structures ne actif. sont pas toutes : (i) : référence de centre chaque de niveau au disponibles également sont PEC de activités des gestion de outils Des le répertoriant confidentiels registres (ii) médicales ; d’informations confidentiel transfert le pour référence de fiches individuelle fiche (ii) cliniques ; données des résumé le et référence de centre chaque dans traités PVVIH de nombre de suivi résumant les schémas rapport trimestriel thérapeutiques, de suivi et prise les en charge des effets PVVIH. Les carences secondaires dans le suivi sont et par caractérisées les centres par : de le références (i) la calendrier non disponibilité des des données ; suivi consultations des pour malades les pour (iv) suivre rapportsles indicateurs de d’activité, PEC ; y (ii) le compris manque de une suivi technique fiche des ; central (iii) centres de l’absence par de le système de niveau rapportage et de suivi des effets indésirables des médicaments. Le système mis en place. être y doit également de pharmacovigilance ; (ii) le guide de prise de guide le (ii) PVVIH ; des charge en prise de politique la (i) : incluent développés normatifs documents D’autres réseaux les tous dans distribué et simplifier le pour révisé être doit qui l’enfant, et l’adulte chez PVVIH des charge en un (ii) ; antirétroviraux médicaments aux d’accès politique une (i) par : complétés être doivent Ils charge. en prise de guide pour le du suivi traitement sous de ARVl’observance ; (iii) un guide pour les soins à domicile ; (iv) un guide pour l’enfant. ; (vi) un guide de traitement VIH/Sida ; (v) un guide des soins palliatifs Nutrition et La prise en charge médicale des personnes vivant avec infections le VIH opportunistes et et le le Sida est traitement assurée Dix à antiretroviral. travers neuf lieux le des provinces, du y curriculumcompris traitement le médecins dans L’introduction CHU la des d’Antananarivo. formation initiale référents des exercent dans les médecins permettra 6 d’augmenter chefs le ont d’abord pratiqué un nombre Réunion la de traitement à Rive la de carte. Les recommandations de médecins l’Association référents/réseaux. par Les formés médecins prescripteurs d’ARV l’atelier de Mars 2005 et la réunion de validation du protocole ARV de juin 2005 ont tranché en faveur du schéma standardisé avec une clef de répartition. Le protocole thérapeutique de traitement a antirétroviral été remanié en internationales. recommandations aux dernières 2005 pour se conformer décembre Prise en charge des personnes vivant avec le VIH et le Sida des personnes avec vivant Prise en charge Le Le dispositif de prise en charge des Accidents minimiser d’Exposition les inquiétudes au du personnel Sang soignant et (AES) la discrimination n’est pas que le encore risque peut d’AES mis générer en en milieu de soins et place. de l’atelier laboratoires, de validation des protocoles thérapeutiques de décembre 2005 Pour a développées institué une être doivent exposition post évaluation Prophylaxie du risque, – un suivi VIH biologique, une chimioprophylaxie et au une référence avec un (professionnelle) kit AES. Des directives d’exposition Accidents les sur claires disponibles. et les kits rendus ARV être les AES doivent pour 2 ème Partie 46 ’uis e eto, e rsosbe d nva dcnrlss tedn ls ietvs e er ieu supérieur, niveau leur de directives train en est L’outilsystématique.régulière, les MinSan/PF façon le de que pas monitorage attendentde parviennent leur ne qui décentralisés niveau du responsables les gestion, de d’outils Fauterapides. résultats aux l’Initiative comme central, niveau du l’impulsion sous en ponctuelles, d’initiativesmise œuvre la sur bien, ou responsables des motivation la sur repose objectifs des poursuite La décentralisé. niveau au activités des et par intrants des gestion objectifs la de programmationces de exercice un de à procéder ni poursuite sanitaires structures les la dans suivi le assurer conséquence, en peuvent, ne Ceux-ci décentralisé. niveau du responsables les par méconnaissance leur à ou précis et réalisteset VIH/Sida IST prestations des couverture de avec DRSPF, des la sous-utilisation une ou d’objectifsdéfinition l’absencede bien à liée est nationauxmicroniveau la du Cettedéfaillance périmés). intrants(parfois ou SSPFD stocks et de stock ruptures le des de par pour traduisant gestion se intrants, disponible la différents n’est l’approvisionnement,des consommation commande, monitoring la le entre pour dysfonctionnement un suivi conséquence, de pour outil aucun micro, niveau Au pas font ne qui duRMA avecpartie desprotocolesvariables définis selonlesbesoins. les pour données Des les programme. collecter au de permettre nécessaires également strictement peuvent informationsponctuelles enquêtes les que demandant ne en rationalisée, être doit mais fiche entraînent : qu’ilstravail PTME, fiche de L’utilisationCTV. surcharge de cesla fiches doit être généralisée à de l’ensembleraison des activités du paquet IST et en VIH/Sida santé, de agents les par acceptés difficilement outils, d’autresmoyen au mesurés sont et VIH/Sida IST programme le pour supplémentaires indicateurs Des et VIH/Sida. IST prestations des suivi le pour nécessaire variables les toutes inclure d’y possible été pas n’a niveauil chargé, très au déjà mensuellement jour à mises sont données étant n’estRMAet limitée.Leanalyse Les programmeIST VIH/Sida, leur le mais décentralisé MINSAN/PF.pour et,systématique pas du sanitaire statistique de service le par District de Familialcentralniveau au Familial Planning(iii) du ; (DRSPF) Planning et Santé la sur de Régionale du Direction la de niveau au (ii) et (SSPFD) ; Santé données de Service les du niveau enregistrerau (i) pour effectuées : sont prévu données des compilations intégré sanitaire.Trois gestion formation chaque par de VIH/Sida, et IST prestations outil les compris y cliniques, un services des l’utilisation est (RMA) mensuel d’activités rapport Le Mécanisme desuivietévaluation Suivi etévaluation delaréponseclinique stimulation locale). delaRéponse II) a prévu ced’utiliser fonds pour des de activités prévention et prise en charge (Ref. des PVVIH IV. en placeMise et (PMPS projetFonds d’Appuice traversle Prévention de (FAP).à la phase Sida à seconde le La et le contreVIH lutte Avecl’appui projetdu PMPS financé Mondiale,Banque la soutenupar a SE/CNLS œuvrele en mise la d’activités de référence avec lessoinscliniques. représente une confessionnelles opportunité organisations pour les renforceravec partenariat le Lesoutien périphériques. psychosocial zones aux les PVVIH dans une dans optique surtout de soutien référence/contrede groupes de nombrelimité le psychosocialeet charge en prise de guide le vulgariser nécessitépsychosocialeefficace,de la contraintes rencontrées renvoient à une compréhension et une qualification insuffisantes pour et une prise techniqueen charge appui la un (iv) associationset s’occupant(FIFAFI)des financier nutritionnel.soutien Lesle (v) psychosocial ; charge en psychosociale PVVIH, prise aux la de soutien de Sida réseau le du travers régionaleset antennesà VIH 11 le avecde placevivantcivile en personnes société mise de la de ONGs les implication et forte confessionnelles la ONGs les (iii) notamment privé, ONGs secteur des du et public secteur du psychosociale issus PEC formateurs en formées 25 personnes 47 formation la travers à capacités des renforcement le (ii) , charge en s’est l’élaborationprise PVVIH (i) de des par : psychosocialeguide traduitecharge essentiellement d’un en prise La référence. centresde les dans PVVIH de associations les par offert émotionnel et spirituel l’évacuationsoutien un et sanitaire en mise œuvre des La soins palliatifs s’opèrepsychosocial. soutien à traversle la pour prise en chargeinstitutions des d’autrespatients en vers fin référencede vie la dans les et centres de référence,PVVIH de associations les dans pairs des soutien le service, son de paramédical un et référent médecin le par fourni est l’adhérence à soutien Le médic ème

47 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse La prévalence déclarée des IST dans la population générale (15-49 ans), étant estimée à 5%, ce sont environ 350,000 environ sont ce 5%, à estimée étant ans), (15-49 générale population la dans IST des déclarée prévalence La personnes/an qui nécessitent une PEC syndromique des IST avec les kits de traitement pour ulcérations génitales les utilisés ont IST malades des 40% seulement d’IST).cas des Or, (70% génitaux d’IST) cas écoulements des et (30% que plus est partenaire au notification La environ. personnes 000 140 soit traiter, faire se pour sanitaires formations limitée (moins de 1%). Les données disponibles montrent que soit bien accepté qu’il à 98% quand il est proposé, le dépistage de la syphilis chez les femmes enceintes ne se fait que environ. dans 24% des cas soit 120 000 parturientes La séroprévalence VIH parmi les femmes enceintes (4,5% de la population générale) étant de 0,95%, ce sont environ environ sont ce 0,95%, de étant générale) population la de (4,5% enceintes femmes les parmi VIH séroprévalence La 6800 femmes enceintes/an qui nécessitent une prophylaxie aux ARV pour VIH. prévenir Jusqu’ici, 7 la femmes transmission enceintes verticale HIV+ ont du bénéficié d’ARV prophylactiques. Le pas connu. taux n’est qui a accouché séropositive de la femme biologique de référence pour le suivi La population sexuellement active des plus de 15 environ ans 10.5 millions étant de estimée personnes qui, à dans 60% une optique de d’accès universel la à population la aux soins prévention et au générale, devraient leur traitement) connaître Seulement statut (et sérologique. 33% des ont femmes enceintes non ce uniquement sont bénéficié d’un dépistage du VIH, dans les CSB délivrant des prestations de PTME. femmes enceintes Le n’a pas dépistage fait du d’un l’objet VIH suivi parmidans les les autres formations de sanitaires. données des En 2005, L’analyse moins VIH. du de dépistage et conseil servicesde 1% des bénéficié avait ans de 18 de plus des la population 2006 devrait montrer une augmentation nette de ce pourcentage, en raison notamment de la mise en œuvre de VIH. dépistage du du l’Initiative Rapides à Résultats (IRR) pour le renforcement Selon les estimations de l’ONUSIDA, 49 000 PVVIH nécessitent un suivi médical et biologique et nombre Le un personnes. 900 4 ARVsoit encadrement thérapeutique charge en prise une nécessitent 10% eux, Parmi psychosocial. de perdus de taux Le ARV. sous sont éligibles personnes 89 et 184 de actuellement est médical suivi PVVIHsous de le monitorage. dans intégré et doit être pas connu vue n’est Couverture des populations cible Couverture Au Au niveau macro, les données du RMA de l’année précédente sont réalisation des analysées objectifs nationaux pour à une long terme vision par les d’ensemble districtsde sanitaires. nationaux A la ce objectifs niveau, le ces monitorage de devrait : réalisation (i) des districts les réalisation mesurer par rapport sanitaires la aux objectifsà déterminer sur de la couvertures annuels, à contraintes les sur porter (ii) ; précédente l’année de performances des base annuels pour guider et Utilisation les Disponibilité, d’Accessibilité, réorientations indicateurs des l’analyse et mesure La stratégiques. central. niveau le pour Le monitorage MinSan/PF donc d’identifier performances, des annuel a suivi un d’assurer initié permettront VIH/Sida et IST le services des (ADUC) Couverture développement d’outils de annuel district. chaque pour L’exercice problèmes des (gravité) l’ampleur mesurer de et d’étranglement goulots les du monitorage au niveau central doit également permettre de comparer les intrants injectés à la performance du inclura qui central programme en niveau termes pour du d’ADUC, chaque donnée district de sanitaire, année base par la année. Les bases alimenteront de intrants) données du des niveau gestion et cliniques (données décentralisé les intrants gérés à central ce niveau niveau au (réhabilitation ainsi de permettra Elle l’infrastructure, affectation consommables). du et personnel, médicaments formation/recyclage réactifs, du équipement, en dotation personnel, décentralisé. activités des au niveau la mise en œuvre pour des intrants le suivi de la gestion d’assurer de développer pour le niveau du district sanitaire et de la œuvre en mise région la que (présentation montré a Elle graphique PEV. du des performances l’expérience de inspiré est des nationaux) objectifsrapport servicesaux par d’un tableau de bord niveaux les par de l’appropriation assurer pour instrument un suivi comme conçu est Il niveaux. au ces à objectifs des niveau l’atteinte intermédiaire et IST prestations décentralisé des effective a l’intégration de non maximisé qua sine condition PSN, la du objectifs des gestion décentralisés décisionnels des intrants pour niveau au donnée de base d’une constitution la de accompagné est Il primaires. santé de soins les dans VIH/Sida et périphérique, à partir des objectifsdes données nationaux annuels, mensuelles du et alloués des RMA par intrants le niveau central. De ce fait, le système ne constitue pas une surcharge de travail supplémentaire pour les agents de santé. Au il contraire, les permet activités d’optimiser de collecte de données de routine et d’asseoir le plan de peut qui périphérique, plus le niveau le par comprendre à faciles actualisés et chiffrés, supervisionrésultats des sur sur ses performances. et continu rapide un feedback ainsi recevoir 2 ème Partie 48 L’adoption de la loi de Février 2006 qui autorise la distribution des préservatifs dans les prisons représente une représente prisons les dans préservatifs pourrenforceropportunité lamiseenœuvre d’interventiondes pourle contrôle du VIH etduSidaenmilieucarcéral. distribution la autorise qui 2006 Février de loi la L’adoptionde et Toamasina.Antananarivo, Mahajanga à concentrée la est carcéralede population La (CICLD). Interministérielle Drogue la CommissioncontreLutte la de d’activités plan le dans figure Sida le et VIH le contre lutte de politique L’élaborationSida. le et le VIH contrela lutte de l’intégrationla pour de cadre un offre qui et opérationnel qui déjà est drogue la contre lutte de matière en directeur plan d’un dispose Taolanaro, Madagascar Boraha, Toamasina. Taolanaro ; (iii) pour les TDS : Toliara, Antananarivo, Antsirabe, Antsiranana, Fianarantsoa, Mahajanga, Nosy Be, Nosy Mahajanga, Toamasina,UDI : Toamasina,les Antananarivo,Andilamena,pour Antananarivo,Taolanaro, (ii) ; Ilakaka de l’infection. propagation L’étudela à contribution de respectives menée modalités en leurs 2006 et par nombre l’ONGleur localisation, Alliance leur a sur identifié données les de sites suivants : (i) pour les HSH : HSH : Anstiranana, La logique impose de renforcer les interventions dans les sites où ils ont été déjà identifiés, en attendantn’existe il lesquels spécifique.pour d’avoirprofessionnel profilet le service mal de connaît pas des on plus clientsdont les TDS pour ni UDI, et des cliniques HSH TDS, services des couverture la sur nationales données d’aucunes dispose ne On Tableau 13:couverture desinterventions parcible Analyse delaréponse Dépistage syphilisfemme enceinte PEC IST ARV prophylactique Dépistage VIH ARV Suivi médical Interventions 500 000/an 350 000/an 6800/an 10.5 millions 4 900 49 000 Cibles 120 000/an 140 000/an 7 Moins de1% 89 184 Résultats ème 49 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse if t orma n

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er PLAIDOYER, COMMUNICATION POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT ET TRANSFORMATION SOCIALE ET TRANSFORMATION DE COMPORTEMENT POUR LE CHANGEMENT COMMUNICATION PLAIDOYER, y o d lai Législations, mesures d’équité et protection des groupes vulnérables des groupes d’équité et protection Législations, mesures est L’équité garantie à : travers (i) le renforcement des services de prévention Sida et prisedans en le charge secteur des public IST pour et toutes VIH/ les catégories de et IST PVVIH,des traitement prisedu charge la en subsidiée VIH, fortement PEC la du et syphilis la de dépistage de ; patients (ii) l’engagement de l’Etat sur la gratuité du la fourniture des préservatifs (gratuit pour les groupes vulnérables) – une nécessité dans un contexte où plus de 70% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté et où les dépenses du ménage pour limitées. les très fait, de ce sont, soins de santé Le code du VIH/Sida du en a l’approbation travail avec Parlement le 2003. décembre intégré volet Une loi intitulée « Loi sur la lutte contre le la de VH/Sida Président le par promulguée et Sénat, le et Nationale et l’Assemblée par votée Gouvernement, le par la approuvée protection des droits des personnes vivant avec république le le 20 février 2006 (loi n° 2005-040). Son Droit texte d’application est Cette en loi cours doit de et d’élaboration. VIH » a été être largement diffusée pour permettre aux PVVIH de connaître leurs droits et les media doivent être encouragé à aux permettre pour place, en mises être également doivent structures Des droits. ces de violation de cas les couvrir actionPVVIH en conséquence. et prendre de rapporter de leurs droits les cas de violation Sous le leadership du Président de la République, prise été le a Sida le et VIH programme le de contre lutte la 2003, partir lutte de A développement. programme-cléde un contre comme reconnu les IST et le VIH et le Sida a été en compte dans du l’élaboration Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP) dont elle constitue l’axe stratégique N° 3, ce qui projets les a dans VIH/Sida permis d’inclure dimension des la modalités de spécifiques de lutte contre L’intégration le VIH développement. de et régionaux le plans Sida des dans le d’élaboration guide de développement économique traduite par s’est la signature de conventions de partenariat avec des projets de développement (FID, PSDR, SECALINE, PNUD, BIT, CARE, ). CRS, Le CCP, document « Madagascar Action » Plan ou MAP définit les engagements du Président pour la conduite du pays vers un développement rapide et durable. Il est appelé à remplacer le DSRP pour la période 2007–2012. La lutte contre les IST et le VIH et le Sida figure parmi ses 8 engagements. Le MAP se fixe trois objectifs : (i) réduire à moins de 0,80% le taux de prévalence du VIH chez les femmes ; enceintes (ii) augmenter l’utilisation du condom dans les rapports à risque de 45% chez les hommes mois 12 après vie en encore sont qui enfants et adultes des 90% atteindre (iii) ans) ; (15-24 femmes les chez 20% et de Nationale thérapie (Politique jeunes des avec et les PANAGED) ARV. et Les PARGED indicateurs de (PNPF, femmes des réalisation de l’endroit à nationaux ces plans et objectifsstratégies sont ceux de l’UNGASS. Les politiques/ de la Jeunesse, Politique Nationale de Santé de la Reproduction des adolescents) ont également intégré des axes VIH et le Sida. le contre de lutte niveau au lutte la de sectorielle l’intégration de l’opérationnalisation (i) sur : centré être maintenant doit plaidoyer Le du secteur public ; (ii) le du renforcement partenariat avec les projets de développement pour une intégration de la lutte contre le VIH et le Sida, (PRSD, FID, PIC, Projet AGR/PNUD, MCA, etc.) ; (iii) le renforcement avec du les organisations partenariat de la société civile à couverture nationale pour leur implication dans la mise en œuvre des activités de prévention et prise en charge du VIH et du Sida, notamment les organisation ; confessionnelles (iv) la secteurs les dans cliniques et promotionnelles d’activités œuvre en mise la pour privés opérateurs des mobilisation économiques ; vulnérables (vi) la Partenariat V. (Ref. aspectsfinanciers les compris y gestion, la de plan mobilisation le sur réponse la de effective décentralisation des partenaires du secteur internationale). et collaboration public et internationaux pour une au plus haut niveau de l’Etat L’engagement a d’assurer jeté les chargés bases pour CLLS une de appropriation de constitution la la réponse niveau jusqu’au et régionaux fora de l’organisation travers à promue été a Elle décentralisé. la dans leadership Le communes. des niveau au bénéficiaires les par œuvre en mis PLLS de suivi le et planification la gestion de la au et réponse niveau doit intermédiaire périphériqueêtre renforcé pour effective une de intégration du partenariat VIH et le Sida dans les le Plans Régionaux la de et lutte contre Développement l’opérationnalisation avec la société civile, y compris le secteur privé, pour une couverture des populations, communes et secteurs locale). Mise de la réponse et stimulation en place de IV. (Ref. vulnérables développement Intégration du VIH et du Sida dans les Plans de Développement du VIH et du Sida Intégration 3.1 P Les Les activités Sida, du et de VIH du plaidoyer réalité la à et générale population la de et vulnérables groupes communication les leaders, les mises conscientiser de objectifs en œuvre dans le cadre du PSN 2001-2006 motiver ont ceux ayant eu pris pour conscience du risque à se communication de politique La VIH/Sida. et IST les protéger contre lutte la à favorable environnement un contre créer et préventifs l’infection par l’adoption de comportements mise intensive, en œuvre à grande échelle à les travers media de masse et de a proximité permis de rendre visible a et administratifs niveaux les tous à stratégique et politique niveau au Sida le et VIH le contre lutte la de enjeux les niveau jusqu’au nationale réponse la de appropriation une et leadership un pour locale réponse d’une bases les jeté communautaire. 3. 2 ème Partie 50 Harmonisation desefforts une institutionnalisation de la formation, avec un souci d’opérationnalisation immédiate des stratégies de stratégies des immédiate d’opérationnalisation souci un avec renforcéformation, être la doit de spécialisées institutionnalisationorganisations des pour une avec partenariat Le variable. qualité de et hoc ad formation de Le renforcement des compétences en planification stratégique de la communication s’est fait dans le cadre d’ateliers la promotion delaPECdesISTclassiques). niveaux de risque (par exemple, budgétisation de la communication pour la sécurité transfusionnelle par à rapport dans l’offre des services et produits de santé. de Elle doit données être de traduite disponibilité en partir la avecconformité un en à et plan media différentsrisque, des opérationnel couverture CAP,de du recherchebudgétisé potentiel du sur fonction cartographie en la la base des de moyen au localisée vulnérabilité dans la et de l’espacebase dans la planifiée sur temps,être le doit communication de nationale stratégie la de objectifs des réalisation La doit être priorisée. Etant donné son importance cruciale pour le contrôle de l’infection, la couverture des groupes noyaux de et services passerelles santé les et utilisent les qui jeunes. femmes La les communication privilégier en générale, direction population des la groupes dans les et, plus clients) vulnérables sexe, est du insuffisamment (travailleuses développée. et influentes personnes les inclure doivent vulnérablesElles plus les groupes les incluredoivent Elles comportement. familles. de changement du cibles les seulement non et communautés les dans et sociétal niveau au VIH le pour par affectées et infectéesdemande personnes des psychosocialela charge en prise de la de augmentationpromotion (iii) cliniques ; l’ABC(ii) services les de ; promotion (i) : Sida du et VIH du charge en prise et prévention de objectifs l’ensembledes à rapport par redéfinies être doivent communication la de cibles Lesl’expérience. de tirées leçons et développements les intégrer pour jour à mise être doit communication de nationale stratégie La enchargeet laprise médicaledesfemmes enceintes séropositives. la PTME qui définit les modalités pour promouvoir le conseil et dépistage volontaire du VIH dans le cadre de la CPN pour communicationstratégie de développementd’une le IST.par complétéeétédes également PEC a et Elle VIH du SE/CNLS qui indique les axes de communication pour augmenter la demande pour les de services dépistage du En VIH/Sida. au 2006, en raison du face renforcement de responsables l’offre comportements pour les services cliniques, elle des a été complétée promotionpar une note stratégiquela sur centrées communication, de d’activités œuvre en mise la à cadre de servir Communicationpour Stratégiede Nationaleune élaboré a SE/CNLS le 2004, En Cadres deplanification 3.2 C mobiles, quiseront également ciblésparlesUnitésde Mobiles Vidéo.travailleurs des direction en interventions des offre pour mines secteurs les ces de et mobilisation la transport renforcer de du opportunité secteur une le dans investissements les sur (MAP) notamment Plan Action sexualité, Madagascar la le par sur mis ouvert plus discussion de outre,protégés.l’accentsexuelsEn rapports contextedes à femme la de droits des promotion la (iv) jeunes ; les par et d’un pour création la (ii) ; risque des lors préservatif à du l’acceptabilité (i) comportements ; jeunes les sexuelle par vie la de début le dans report le (i) : promouvoir pour stratégique réflexion s’accompagner d’une également doit Il communication. de nationale stratégie la dans incorporé être programmatiquedoit plaidoyerCe stigmatisation/discrimination. la et risque à comportements les encourageant socioculturelles et traditionnelles pratiques et valeurs normes, des transformation comportements la les et associations préventifs,promouvoir à locaux leaders et les amener pour plaidoyer confessionnelles de programme d’un œuvre organisations en mise Sida. des le et VIH affaires, le VIH et et structuration la nécessitetravaillent) et IST des vivent du gens les où les là (i.e., L’intensificationbase contrede dépistage communication la milieu de lutte la du dans s’impliquer du promotion traditionnelles) pour (chefferies la dirigeants traditionnelle base dans à des politiques leaders mobilisation des la participation et la par traduit s’est plaidoyer Le Mobilisation desleaders en dangersont entrain d’émerger. Lacoordination desdifférents desactions doitêtre acteurs renforcée. enfants des protection la pour œuvrant associations enfance.Des petite la de Développement le et Soins les pour pour les orphelins et enfants abandonnés doivent être révisées, en place.tenant compte des normes minimales en de service mis encours été de développement privés et publics établissements ont les ré M M O n u i c a t O I n

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ème 51 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Base de données sur le potentiel et la couverture des media des et la couverture Base de données sur le potentiel media différents aux cibles des l’accessibilité sur données des analyse et collecte la à procédé a SE/CNLS le 2006, En de masse et leur utilisation pour la lutte contre les IST et le VIH et le Sida. Ces base données de données ont informatisée (avec visualisation été cartographique) pour entrées être corrélées avec dans les données une CAP et de vulnérabilité des communes (cartographie du et risque). localisation L’inventaire des stations TV et radio et de la couverture des différents media l’amélioration de pour écrite) masse presse privés radio, (TV,et modernes publics media des (radio, l’utilisation télévision, planifier presse de permettre écrite, doit unités manivelles) mobiles, radio des CAP de la population ayant accès à ces media. Elle doit également fournir les données de base pour orienter les media de proximité radio (UMV, manivelles) vers la couverture des communes sur vulnérables écrites non et électrifiées. audio-visuelles productions La des répertoire le inclut qui communication, de media des donnée de base les IST et VIH/Sida par les différents partenaires doit être complétée pour refléter les performances des différents medias. des L’inventaire organisations à base communautaire (OCBs) et associations villageoises mobilisés la pour promotion des comportements préventifs doit être complété par un profil des cibles promotionnelles et et contenu des un activités recensement des ONGs pouvant assurer leur encadrement et suivi communes de vulnérables (Ref. proximité Infra dans IV. Réponse locale). les La base de donnée a été conçue pour entrer et avoir accès aux informations voulues par le modèle de fait changement la synthèse des de modèles utilisés en promotion comportement de la santé, ajustée repris à acquise dans l’expérience les activités dans de le tableau VIH et le Sida. le contre pour la lutte communication suivant, qui Cette Cette compilation et analyse des données existantes doit être suivie comportement de changement le pour communication la du de planification la (i) : pour budgétisé recherche développement de plan et mise en œuvre d’un pour des groupes cibles spécifiques (TDS, (ii) populations mobiles, l’évaluation femmes du enceintes, objectifs des fonction les en revus être doivent recherches processus de protocoles clients Les comportementales. et épidémiologiques IST et et TB, de ; etc.) l’impact des différentes enquêtes et de pour assurer une collecte et la analyse de données quantitatives et qualitatives ; sur communication des bases scientifiques. (iii) la triangulation entre les données En 2006, les études et enquêtes socioculturelles et comportementales menées dans le de cadre de la mise identifie, groupe Elle en œuvre données. de et base d’une constitution la géographiques pour exhaustive revue zones d’une les l’objet fait (i) ont 2001-2006 PSN VIH/Sida : du et IST les contre lutte de programme du composante chaque pour inventoriées CAP données des L’analyse recherches. ces de CAP résultats les (ii) ; enquêtes et études des population a montré une confusion, sur le communication, plan la mesure des de son objectifs impact et et la surveillance méthodologies comportementale. Les recherches de formatives Elles portent essentiellement vulnérables. les plus ciblent aux dépens des groupes générale, la population le plus souvent recherche, entre la planification les rarement de inventorient Elles services. les pour demande la de dépens aux la l’ABC de promotion la pour CAP les sur facteurs sous-tendant le changement de comportement et ne sont pas traduites en recommandations concrètes sur le choix des messages pas n’associent non plus la de nature et la fréquence des communication comportements à risque à pour des groupes de population aux les caractéristiques localisables. différents Les groupes données socioculturelles et sont rarement segments collectées et guider les interventions. de analysées dans population. le but Elles de Base de données CAP Base de données communication sectorielles à travers leur traduction en plans de campagnes budgétisés, près à passer sur les ondes/ les sur passer à près budgétisés, campagnes de plans en traduction leur travers à sectorielles communication être mis en œuvre sur le terrain, qui utilisent les interventions. des d’impact techniques l’évaluation prévoient et qui promus de marketing pour positionner les comportements 2 ème Partie 52 plus en plus dans la sensibilisation. Cet effort doit être renforcé, à travers l’intensification de la communication de communication la l’intensificationtraversrenforcé,de êtreà doit effort Cet sensibilisation. la à dans plus s’investissentde en plus qui rapport jeunes, les par parmi considérables Sida progrès des enregistrédu a elle parler 2005, entendu de avaientpartir A hommes) 1997. en des 69% % 88 résultats (contre des femmes montré des a 79% Madagascar 2004, à en l’épidémie tangibles : de réalité la de conscientisation la sur axée communication La Conscientisation delaréalitél’épidémie duVIHetSidaàMadagascar cibles comme lesjeunes, lesfemmes, lesmilitaires, lestravailleurs etc. lestransporteurs, desexe (TDS), communication plus 2001- ciblées ont été PSN développées, avec du des messages spécifiques œuvre en direction de en certaines groupes mise la de début Au 2006, les actions de préservatif.communication ont essentiellement ciblé du à la population générale. Ensuite,social des campagnes de marketing (iv) ; risque le réduire pour action sont Sida le et un problème pour sa VIH communauté à la base pour ; amener (iii) les actions communautés le et les individus à prendre et IST les que convaincu soit (i) malagasy chaque suivante : que pour façon sensibilisation de la programmes (ii) de structurées été ont nationale stratégie la campagnes de d’information d’envergure œuvre pour faire connaître en aux Malagasy la réalité du mise VIH et du Sida à ; Madagascar la pour interventions Les Approches etmessages decommunication de supports de production la dans cibles des participation la communication adaptés aucontexte local. et communication en locales compétences des en œuvre d’une stratégie de communication pour chaque région, l’identification des besoins pour le renforcement dans PVVIH les régions. Ces structures interrégionales doivent être chargées d’élaborerdes charge et assurer en le suivi de la prise mise la et VIH/Sida et IST des prévention la pour communication la dynamiser de responsabilité la également être accompagnée de la création de plateformesdoit de communication Elle au niveau interrégional,périphérique. qui niveau auront au et communication) de agences les journalistes, les exemple, (par central niveau de œuvre,en au mise media de partenaires les par des activités coordination de des la assurer doit Cettecommunication. structure et CAP données de bases structure des jour à mise la concertés, d’une annuels d’action plans de œuvre place en mise la en société la mise de et la public secteur civile impliqués dans du la nécessitantgestion de la communication. Elle doit être chargée d’assurer partenaires le développement et suivi de des fragmentés, représentants des encore constituée central, niveau restent au coordination communication de efforts Les Structures decoordination Analyse delaréponse ème 53 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Les leaders politico administratifs, traditionnels et religieux doivent être mobilisés pour un soutien public aux PVVIH aux public soutien un pour mobilisés être doivent religieux et traditionnels administratifs, politico leaders Les et promouvoir le témoignage des PVVIH dans les communautés, en le positionnant comme un service rendu à la Cette initiative doit communauté. être menée en parallèle la avec lutte les contre idées fausses sur la transmission du réduction la que indiquent disponibles données Les »). misconceptions « debunk de (stratégie Sida du et VIH du stigma et de la discrimination est également prioritaire en milieu médical, de où la elle mise doit à s’accompagner la à relatives notamment idées, fausses les contre lutte la avec parallèle En universelles. précautions des disposition personnel du conscientisation de programme un Universelles, Précautions aux formation la et VIH, du transmission médical, en impliquant les PVVIH, dans pays. parmi le personnel médical dans d’autres positives d’attitudes la mesure où leur témoignage a eu un impact sur le développement Actuellement, Actuellement, les gens ne voient pas les avantages du dépistage du VIH et sont effrayés à l’idée de faire face aux conséquences d’un statut séropositif, y compris la stigmatisation et discrimination des PVVIH. Pour dédramatiser la décision de se faire dépister, l’augmentation collaboration avec des personnes de crédibles, par effective exemples, les la référence matrones d’une pour place les en mise femmes demande la enceintes. Elle discrimination, et doit stigmatisation être pour la contre lutte la le avec parallèle en menée dépistage du VIH doit être menée des en séropositifs pour les soins cliniques, le soutien psychosocial et la promotion de prise la de PEC conscience du des risque IST individuel classiques : et la collectif au VIH/Sida, du fait de la haute prévalence des peut IST, utilisée être comme point d’entrée par la communication pour attitude empathique (ça lutter pourrait/aurait pu être contre moi). En l’augmentation de retour, la le demande pour le « not dépistage me » syndrom et de générer routine du une VIH favorisera la déstigmatisation de l’infection, à statut travers sérologique. la Le renforcement normalisation de de la la référence pour connaissance le du soutien psychosocial nécessite société civile, la notamment les organisations mobilisation confessionnelles, et le de renforcement de leurs compétences en la conseil et appui. Comme Comme l’impact du VIH et du Sida n’est pas encore indique visible, que 17% le des niveau femmes et de 38 préoccupation % des reste hommes 2004 L’EDS faible. ont eu un mois. comportementBien soit qu’elle à plus risque forte au dans cours les des populations 12 ayant derniersdes partenaires sexuels occasionnels, l’utilisation préservatif reste du faible : seulement 13% des hommes et 5% des femmes ont utilisé un préservatif lors du rapport dernier sexuel avec un partenaire occasionnel. Une grande majorité des que considèrent malgaches l’abstinence préservatif. le que option - est une meilleure relative – toute pas possible et que la fidélité n’est La connaissance du rapport entre IST VIH/Sida et est très insuffisante. Les symptômes d’IST sont mal connus de la population en général et des ruraux en communication de particulier, matière en efforts tout Les fréquent. comme est (décoction) traditionnelle leurs médecine la à et conséquences l’automédication préjudiciables. Le recours à pour le changement de comportement doivent être plus orientés vers l’utilisation des services cliniques (passage de l’ABC à l’ABCD avec D pour demande pour les services). (i) Cette réorientation un de réajustement des la messages communication : nécessite de communication pour la promotion des cadre prestations services IST où et elles VIH/Sida sont dans ; le délivrées (ii) l’opérationnalisation de des structuresservices cliniques et la demande par ; générée la (iii) communication pour l’offre une assurer adéquation entre de coordination à tous les niveaux le des renforcement compétences des prestataires de services sociaux en communication pour les IST et VIH le et le Sida. Les Les connaissances sur les leaders/ comportements les notamment impliquant en sur media, préventifs des les l’ensemble restent travers modes à diffuser de à cependant arguments contre transmission. des développer entachées Les pour idées inventoriées, les fausses concernant IST de et le VIH conceptions et le Sida erronées, être doivent les contre faiseurs lutter de d’opinion et en permettra privilégiant une approche communication la interactive. des personnes Cette influentes dans l’implication de stratégie de « debunk » misconceptions renforcement le couplée avec de du risque, stigmatisation de minimisation de négatives l’infection attitudes et de discrimination à l’endroit des PVVIH. La communication axée sur la connaissance partenairessexuels de nombre le limiter que savaient 2004, en qui, hommes des des 73 % et femmes des 60% : positifs comportements préventifs a également montré des à résultats un seul partenaire sain peut les protéger contre le VIH (contre 38% des femmes femmes qui en savaient que 1997). l’utilisation du Le préservatif pourcentage peut protéger des du virus avait nettement augmenté (de 27 % à (61%) et parmi des hommes %). les jeunes filles (44 à celui inférieur 51%) mais restait Connaissances, attitudes et comportements Connaissances, attitudes et comportements proximité, notamment en direction des hommes et des femmes sans instruction, des jeunes non scolarisés et de la de et scolarisés non instruction, jeunes sans des femmes des et hommes des direction en notamment proximité, niveau au et régions des socioculturel contexte au adaptés communication de supports des avec rurale, population de surmonter le et déni à de l’âge des la du cibles. réalité La communication doit d’éducation également s’efforcer Madagascar, à l’infection de fantomatique encore caractère du raison en communes, certaines dans persiste qui VIH notamment à travers l’intensification du témoignage à visage découvert des PVVIH, en publics national. au niveau restreints avec FIFAFI, la 2 ème Partie 54 inconvénients etqu’ils invitent ainsilesaudiences àessayer etmaintenir lenouveau comportement. comportements promus - ABC et demande pour les services cliniques – soient perçus comme plus importants que leurs support àlacommunication par les mediademasseproximitésupport etinterpersonnelle. en prévention, la et sensibilisation la pour régional et national niveau au internationaux les et nationaux organismespar périodiquement utilisés sont Posters) - Prospectus – Brochures – Dépliants – (Affiches écrits supports Les audiovisuels. et audio produits des production la technique, conception la disposent pour techniques ne moyens de assez TV des pas et radios des majorité La limitées. sont proximité de et régional niveau au production de et dépliants, manuels ….) et les diffuse en utilisant 2 canaux médiatiques (radio communes) produit des et émissions/spots (audio LesTV). et infrastructures (districts audiovisuels) proximité et de de des et conceptionrégional supports scripto-visuels niveau Le(affiches-affichettes, nationale. échelle une à manuels….) dépliants, (affiches-affichettes, Le niveau central produit et diffuse des supports audiovisuels (films, spots), audio (émissions/spots) et scripto-visuels Supports decommunication « un stimuler à avec médiatiques propres supports contenus de production des la dans professionnalisation pour une renforcé être doit spécialisées organisations des avec partenariat Le sous-tendant. le facteurs les stimuler et comportement de changement au à visage humain pour vendre un « produit » social (i.e : La planification message stratégique à de la transmettre) communication doit positionné s’orienterde versfaçon le à développement de lever stratégie les de » « marketing obstacles Analyse delaréponse

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pstf u ieu éiine si, or u ls vnae des avantages les que pour soit, décisionnel niveau au positif » ème 55 2 Partie Niveau Régional Central régional Analyse de la réponse de la Analyse Amélioration Le format « dédicace » est forme la de production radio plus la employée par les individus et les groupements d’individus au niveau rural mais également urbain chez les proximité. L’insertion de ce type radios de de production est des stations conseillée au niveau fortement inclure influentes les (leaders…) personnalités proximité dans les réalisations de locales vidéo productions Duplication Chaque station radio détenant émission reçue partenaires (exemple spots et par les messages conçues) dans une commune devrait dupliquer sa production destination réalisée à des radio des autres stations communes district au même appartenant Les produits réalisés par les partenaires du niveau central devraient être dupliqués destination des stations radios à demandeurs vidéo productions les multiplier de proximité en tenant compte des spécificités locale) dans les scénarii et les (réponse productions/réalisations Adaptation Création de production supports de car directe diffusion productions des sans support au préalable enregistré émissions Les produits en numériques supports réalisés niveau central devraient être au reformatés en analogique à stations des radios destination de proximité orientées vers être devraient en audio par les radios privées, la radio publique, des matériels les produits partenaires Le contenu but informatif). (versus de comportement le changement Inclure/insérer les locales productions dans valeurs vidéo réalisées, locaux spécifiques (folks,coutumes…) les En vue d’une identification (glace) des téléspectateurs (TV et UMV) et face à la pandémie, les productions vidéo devraient être : (i) orientées vers un du accroissement de ; validée nombre vidéo production (ii) de une proximité augmentation du de nombre personnalités influentes locales participant dans les productions réalisées ; (iii) la valorisation des spécificités locales (réponse activités aux rapport par M/car à pandémie la contre lutte la de spécificités des valorisation la (iv) ; productions les dans locale) dans le monde de lutte Type de support Type ; messages ; messages et messages de et messages sensibilisation ; prévention ; radiophoniques (ii) concours de jeux ; (iii) Animations radios (iv) débats ; ; (v) sketches ; radio (vi) feuilletons débats (vii) conférences Format Audio : Format (i) spots radios : Vidéo Format (i) clips vidéo et (ii) spots vidéo et (iii) film de fiction ; (iv) film documentaire La stratégie de communication pour la lutte contre les IST et le VIH et le Sida a utilisé un media mix une pour assurer couverture maximale des messages et une pour synergie la transmission factuelle des d’information sur le media. VIH et le Sida en Les vue de media sensibiliser la population de à de l’existence masse ont l’infection d’abord à utilisés Madagascar. Ils communication interactive. Le recours à la ont communication de radio proximité (UMV, locales, media traditionnels) pris ensuite un caractère plus participatif, orienté vers l’éducation et la Il existe à Madagascar : (i) 1 station radio publique et 197 stations radio privées légales en exercice dont 33 en cours cours en 33 dont exercice en légales privées radio stations 197 et publique radio station 1 (i) : Madagascar à existe Il (iii) ; relais stations 100 ses TVM avec la TVet privées de stations 24 (ii) ; recensés 230 sur 2005) (fin régularisation de 28 journaux (quotidiens– bihebdomadaires – hebdomadaires – mensuels) ; (iv) 11 UMV opérationnelles (fin 2005) pour SE/CNLS et 8 Cinémobiles pour PSI ; (v) L’ensemble démographique. 3000 densité forte électrifiéesà zones les dans district, de radios lieux chefs des niveau plupartmanivelles. au Les media de masse sont localisés pour la des media modernes couvre 1498 communes sur 1557 : (i) 1469 communes couvertes par les radios privées et la radio publique ; (ii) 897 communes couvertesTV par les privées et public ; (iii) 395 communes couvertes par les 11 (données Manivelles radios 2093 de bénéficiaires communes 142 (iv) PSI ; de Cinémobiles 8 les et SE/CNLS du UMV de Faute Journal. le par couverts communes) 100 à (correspondant districts de lieux chefs 111 (v) 2006) ; mai à 2004 le de nombre tournées des UMV dans les pas communes couvertes possible d’inventorier données de suivi, il n’est est de 1498 communes. des media modernes La couverture confondus des radio-manivelles. ainsi que l’audimat Stratégies et canauxStratégies de communication 2 ème Partie 56 l’administration de prix annuels pour récompenser la meilleure performance pour chaque type de media, décernés ; comportement (iii) leur implication dans des évaluations d’impact de l’utilisation des méthodes ; participatives (iv) de changement le vers orientés médiatiques supports de production en recyclage leur (ii) PSN ; du activités les et Sida des le et le VIH sur direction régulièreinformation une communicateurs des en disposition la à plaidoyermettant en presse, de patrons le (i) cibles par : renforcée être des peut communicateurs participation L’implicationdes communication. et de décentralisationinterrégionales plateformes l’opérationnalisationdes de avec renforcée être approchepourra supports Cettede production la local. dans socioculturel contexte au adaptées être plus pour cibles populations des participation la avec réalisés été ensuite ontde public Ils le villes. grandes cibler des et à capitale tendance la eu d’abord ont supports Les cibles. des réactions des fonction en productions les TV, magazine Verte,orienter d’ajusterou Ligne permis a calendrier.productions UMVs,et les radio,affiches écrite,sur feedbackLepresseémissions radios, : media synergie des une assurer pour supports, différents les par traité été a thème Chaque jeunes…). famille, de mères spécifiques (camionneurs, cibles de et public grand du direction en périodiques, thèmes des sur continue, façon de messages, des diffuser pour disponibles modernes media des l’ensembleutilisé a Elle informationnelle ». « veille d’une cadre le dans réalisées été ont Sida, le et VIH le et IST les Les campagnes d’information, destinées à transmettre les connaissances et compétences de base pour lutter contre Veille informationnelle UMV etradio manivelle. Ces communes sont prioritaires pour l’extension de moderne.la couverture en électricité media et prioritaires pour la les couverture en par couvertes pas sont ne qui vulnérables communes des liste la identifier.L’annexeinclut 2 VIH. du diffusion s’y puissent cibles la les que pour communes, ces de à locale réalité la refléter possible, que vulnérables autant doivent, nationale plus les étant comme communes 119 La communication identifiétous média confondus a doit se concentrer risque sur ces communes du vulnérables. Les media cartographie à couverture La Schéma 3:Mediamixpourl’IEC/CCC pourlalutte contre lesIST etVIH/Sida communication interpersonnelle. de media Les écrite). presse radio, (TV, modernes masse et de media proximité ont égalementaux été utilisés par accès les associations et n’ontgroupements,pas également qui impliqués dans la cibles des toucher de permis a Analyse delaréponse

ème

57 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Perspectives (i) coordination des activités de production des Entités au niveau TV s’avère indispensable pour la sensibilisation la et prévention de la lutte contre les IST et utilisation VIH de ; toutes SIDA les stations (ii) TVM ; relais (iii) utilisation incitation et technique Appui (iv) privées ; TV stations 24 des des groupements pour une - utilisation/collaboration avec chaque station TV locale ; (iv) à long nationale par les chaînes TV : terme couverture Partenaires PSI Madagascar SE/CNLS Nationaux Organismes et Internationaux Associations Utilisation 100 stations relais de stations TV privées TVM et 6 100 stations relais de stations de TV privées TVM et 5 100 stations relais collaboration de occasionnelle avec les TVM 24 stations Privées et 9 stations TV privées et 100 stations de TVM relais Potentiel 24 stations TV privées et 100 stations relais TV de TVM dans les 22 régions : (Total 25 stations) La radio est l’un des canaux les plus accessible et les émissions radiophoniques, très appréciées par les Malagasy, constituent le moyen le plus efficace pour transmettre des messages à un stations coût radio, fortementréduit. impliqués Les dans communicateurs la des lutte contre les IST et VIH/Sida, utilisent tous les : formats VIH/ reportages, les partenairesIST et principauxLes pour contre la spots… lutte interviews, les tables rondes, trottoir, radio Sida sont : (i) SANTENET qui utilisées appuie dans comme partenaire60 le stations radios de stratégique proximité processus de renvoit développement de (mobilisation proximité communautaire) liée à la santé communautaire à l’approche travers de spécificité La proximité. de communautés les sont cibles Les Mendrika » « kôminina l’approche à la complémentarité des productions diffusées par les animateurs radios formés et les activités de sensibilisation communautaire sur la santé et notamment les IST et VIH/SIDA effectuées par les animateurs communautaires Depuis fin 2004, de nombreuses chaînes de télévision malagasy ont été mobilisées pour la diffusion d’un magazine d’un diffusion la pour mobilisées été ont malagasy télévision de chaînes nombreuses de 2004, fin Depuis mensuel sur le thème de la des prévention IST VIH/Sida et et de la prise en charge des PVVIH. Le SE/CNLS exploite le média TV au niveau national (TVM) et régional (TVSida VIH le et IST les plus/MBS contre lutte la TV dans prévention la et sensibilisation La Miatrika Malagasy« Sida ». mensuelle ny reportages, – des M3TV) travers à Sida » à ny Miatrika travers « Malagasy la mensuelle TV diffusion d’une l’émission émission dans traitées sont national niveau au permanence en également diffuse Il /Sida. VIH le contre lutte la de l’évolution et situation la sur marquants faits des des spots TVs en collaboration avec des et Plus personnalités (RTA/MBS/TV influentes régional (chefs et d’institution, artistes,national niveau sportifs, TVau …).La média cible le exploite Madagascar PSI générale. population la est M3TVMahajanga, Mahajanga, TVRTA Toamasina, TVRTA TVMSambava, Antsiranana, – Varatraza TV : régionaux TVs TVM Fianarantsoa, TVM TVTaolanaro, Soatalily et Soleil Tuléar) à travers de la sensibilisation diffusion et d’une de émission prévention périodique sur les IST et Les VIH groupements Sida locaux « Ahy ny de Safidy » proximité qui utilisent cible également les le jeunes communautés de média Les proximité. Organismes nationaux téléspectateurs. et TV Internationaux utilisent le TV média au au niveau national niveau régional et national pour et les régional en diffusant des films, des des courts clips métrages, vidéo, des en spots collaboration audiovisuels, avec des des témoignages personnalités et audiovisuels, la influentes prévention sur (artistes, les sportifs, IST et …) le dans VIH et la le proximité sensibilisation Sida. en Les cibles particulier. La sont majorité les jeunes, des les Vidéo-VCD-DVD-SVCD- productionssupports et K7 adolescents, formats sous sont etc.) clips, les messages, de insérés spots audiovisuelles témoignages, spots communautés de de sensibilisation et de prévention (films, MP3… et sont exploités conjointement par le média TV et passés le du média styleUMV. Les informatif magazines à sont un progressivement style participatif, interpellant dans directement la et la prévention s’investir prise en charge les des PVVIH. Le lien publics entre les émissions télévisées et la concernés ligne verte, et les invitant à majoritairement utilisée par les jeunes, doit être renforcé pour publiciser leur intérêt et pour VIH/Sida la lutte et contre les contribuer IST à faire accepter les socialement activités l’éducation sexuelle de des prévention. Les jeunes différentes et chaînes leur de la télévisés. implication Ils ont télévision largement dans contribués à malagasy alerter les malgaches diffusent sur du VIH l’existence et régulièrement du Sida des à Madagascar et spots à diffuser des connaissances de base sur ses modes de transmission. En 2005, ils ont, comme les affiches, été créés cependant doit avec la spots participation de des grands production artistes La et champions cibles. sportifs malagasy différentes et remportésaux un adaptés grand succès auprès du progressivement été ont messages Les public. un prendre caractère par par plus exemple, une interactif, approche de diffusion en deux : temps dans un premier temps un spot posera une question et dix jours plus tard un second spot doit donnera également les refléter éléments l’identité culturelle de des réponse. Elle régions pour que les gens puissent s’identifier aux messages. Les infrastructures techniques pour la couverture TVpar sont également à renforcer au niveau national (TVM) en car, dépit de l’utilisation de la satellite, capacité technique des TV stations relais qui captent et réémettent les signaux vers les districts et communes est insuffisante. Les stations TV privées assurent une couverture comblent partielle pas la mais carence. ne Les techniciens de la branche TV pensent pouvoir obtenir une couverture basée sur le 8. une stratégie adopte totale si l’on par les autorités, sur la recommandation des pairs communicateurs. des pairs communicateurs. sur la recommandation par les autorités, 2 ème Partie 58 très à l’affût de toutes les sont informationsécrite presseconcernant la la de prévention journalistes la Les lutte développement. contrede les secteurs IST/VIH/Sida les et dans la Sida prise en du charge et l’intégrationVIH du pour administratifspolitico leaders des auprès plaidoyerutile de représententoutil un journaux outre, les En journaux. leurs volontiersprêtent se malagasy les mais n’est journaux important des pas tirage Le couverture. d’oùfaible sa couverture – Presse IV écrite). La annexe Presse(ref régionsécrite à 5 Madagascar est implantéedans uniquement dans districts les grands7 centresde urbains, communes 9 couvrent Mensuels Les régions. 8 dans districts 8 pour communes 8 couvrent Bihebdomadaires Lesrégions. 4 de districts 6 pour communes 10 de moyenne couverture une ont Hebdomadaires Lesrégions. 21 de districts 55 pour communes 110 de couverture une moyenne, en ont, utilisées sporadiquement sont pour (bihebdo-hebdo-mensuel) la sensibilisation et parutions la prévention. autres La cible est Les la population prévention.générale lectorat de de chaque journal. Les et quotidiens sensibilisation de messages des diffusion la pour sollicitées régulièrement sont (quotidiens) 14 proximitéles : sur de quotidiennes groupementsparutions 5 les et internationaux et nationaux organismes les par exploité est Journal Média Le faudra entenir Il compteles 111districts. danslastratégie (appelvert). dans mobile téléphonie la de l’utilisation de explosion une à assiste on Enfin, Sida. le le et dontle VIH appréhende public façon la de partir à émissions leurs construire de animateurs aux permettre pour nationale, couverture à radios aux généralisé être doit locales, radios les par initié locale, réponse la avec en lien Lerenforcé.initié être verte, doit ligne 2006, la avec radio lien le télévision, la pour Comme communication. de supports des diffusion la la car lacune cette exploitée par l’ensemble combler des communicateurs, pour mettre en relation la fréquence et localisation des appels êtreavec peut pouvoir devrait données Verte de base Ligne Sa appels. La des immédiatement provoque prévention. supports différents de des diffusion matière en informations les sur émissions des d’écoutetaux le développer.mesurer à pour thèmes dispositif n’yl’impactdes de il et choix pas Actuellement, le a mais répertoriés et l’analyse de la fréquence des appels sur les différents thèmes permet d’orienter la conception et confidentiels sont appels Les et VIH/Sida. IST les sur connaissance de d’évaluerniveau et leur appelants des santé de problèmes les connaître de permettent mais anonymes sont appels Les vécu. leur à rapport par rassurer se ou s’informer,pour Madagascar tout conseils de des appellent obtenir surtout jeunes les de et adultessuccès.Les grand cadre le dans téléphonique) Cette (opérateur CELTELPVVIH. Ligne des de Verte qui charge permet d’appeler concours gratuitementen un écoutant, formé le prise à l’accueil téléphonique la avecet à l’écoute,et l’écoute place connaît un pour en créée (FIFAFI),Finoana-Fanantenana-Fitiavanal’Association mise été a Verte Ligne Une faudrait il mettre enplace lesinfrastructuresrisque, techniques (relais). publique à communes 119 radio des radio par la couverture la assurer Pour de important. réseau techniques à et performantes infrastructures des direction renforcement en Sida le le Outre et (obsolètes ou inadéquates), il VIH proximité.est nécessaire le d’appuyer (à traverset de des conventions IST fermes) les communautéstations radios les privées santé, la la sur de sensibilisation de émissions des diffuser et concevoir pour locales) et (radioproximitéproximité média de information,les aprèsbesoins avoirutilisenten qui, les identifiéTV de Les associations les (v) partenaires…)familial….etc. ; réseaux et planning Jeunes Associations,proximité, de de communautés les kits sont cibles des l’utilisation préservatifs, de promotion la jeunes, des et adolescents des reproductive santé la santé : la à liées thèmes différents sur émissions et spots ses de diffusion la de pour régionscommunes 14 34 dans radios stations 38 exploite PSI qui (iv) locales ; autorités les et proximité de groupements les sont cibles Les locale. population la de santé la de prévention/amélioration une pour radios programmes les de l’intégrationle paludisme,dans et etc) le IST Sida, les VIH malnutrition, et la santémère-enfant, santé(la la sur spécifiques thèmes producteurs journalistes des et producteurs animateurs des formation la pour centaine) (une proximité de radios les notamment radios, stations les avec également L’Uniceftravaille (iii) qui locales ; autorités les et proximité de groupements les sont cibles Les radio. thèmes programmes les dans Les auditeurs d’intérêtsdes centres émissions. émissions/ des diff en exercice public et privées légales radios 198 stations Potentiel 60 stations radios 60 stations 36 stations radios 36 stations radios 100 stations radios 38 stations radios 198 stations Utilisation SANTENET communes communes localesdansles Associations UNICEF PSI SE/CNLS Partenaires fort taux d’écoute dansles111districts des1549communes fort taux radiosdistrict (111)etlesstations deproximité performantes età decouverture important taux etperformantes dechaquecheflieu performantes ; (iii)avec (réseauimportant) radios à lesstations ; (ii)avec(réseau important) lesradios communautaires rurales entité devrait collaborer : (i)avec laRNM,LaMBS,RDB,RTA par lespartenaires enrapport avec lepotentiel actuel,chaque Pour radios uneutilisation/collaborationmaximaledesstations Perspectives ème 59 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Communication de proximité PSI Madagascar exploite 8 Cinémobiles dans 102 communes de 102 districts de 21 régions (à part la région et les districts de Melaky (5), les districts de Varika Nosy (1), Marolambo (1), (1) et de Belo Tsiribihina sur (1). La couverture actuelle des Cinémobiles est limitée aux chefs lieux de district (1 commune/district) - données de mai 2006. Les bases de sensibilisation et de vidéo projection, de d’animations, de de kitsprésentation visites protocolaires, de de soins, dotations de brochure prévention sur les IST et le VIH Sida et sont dépliants exploitées et à de partir promotion de de préservatifs. Les cibles sont les autorités locales et les associations, institution sanitaire données de (CSB-SSD). proximité Le SE/CNLS les - exploite ses 11 –-) UMV opérationnels Itasycommunauté – Melakyde part (à proximité, régions les 18 de districts 89 de communes 320 de niveau au février 2006. La sensibilisation et prévention sur les IST et VIH Sida se fait dans le cadre de d’animation, de séances vidéoprojections de et plaidoyer, de débats. Les cibles sont les groupements de proximité et autorités locales. Le dispositif des Unités Mobile Vidéo prévoit une UMV par région mais devra être En renforcé. effet, la démarche, a dû être modifiée pour essentiellement informative, une réelle implication des publics : l’UMVà l’origine ne passe développement le localement d’appuyer permet lui qui ce jours, trois mais commune la dans soirée seule une plus des Plans Locaux de Lutte contre le Sida Les cibles abordent non seulement la question des IST et VIH/Sida mais les autres questions de santé et développement. Les orientent les animateurs cibles vers les autres secteurs Ces animations concernés. par les par UMV des se doivent être renforcées concentre sur la réponse au VIH/Sida mais visites de suivi, pour faire la projection et stimuler la duplication des meilleures pratiques à Madagascar. De plus, Le Le SE/CNLS a mis en place un Centres modèle d’Information et (ii) VIH/Sida ; et de IST les sur ouvrages des (i) : rassemble Documentation CID Ce personnes. et (CID) associations institutions, des sur l’intention les IST et VIH/Sida à une médiathèque avec des l’ensemble films vidéos, spots, clips produits et diffusés à Madagascar ainsi que sur documentaires les expériences et de des de prévention prise en charge des PVVIH dans les de pays la ; sous région une (iv) ; visiteurs les emportéspar être peuvent qui affiches livrets, dépliants, communication supportsde des (iii) salle de projection pour visionner sur place des à et vidéos ; documentation la à (v) accès d’avoir une et Sida le borne et VIH tactilele sur connaissances ses qui de bilan le permet, minutes quelques en en faire touchant de l’écran, des lieux chefs les dans place en mis être doivent Documentation de et d’Information Centres Les médiathèque. la de Madagascar. puis les régions ex-provinces Des fonds pour d’écrans ordinateur ont été créés et diffusés, en utilisant prévention la dans acteuressentiellement comme positionner se de les utilisateurs aux permettent messages animés des d’écran fonds spots Ces télévisés. et ont remporté un vif succès. Cette initiative est en étendue voie par d’être le Ministère de l’Education Nationale et de la Recherche Scientifique (MENRS) : 400 ordinateurs seront dotés de fonds d’écran avec des VIH/Sida conçus messages par les IST/ jeunes pour les jeunes. La collection de ces messages permettra au SE/CNLS d’évaluer le prisela de et IST/VIH/Sida des prévention de matière en jeunes des préoccupations les et connaissance de niveau en charge des PVVIH pour orienter la production des supports en conséquence. Ce partenariat doit être étendu secteurs. aux autres Le Le calendrier annuel illustré diffusé multimédia. Il reprend les visuels des par autres supports pour les mettre à le la portée des personnes là où SE/CNLS elles vivent fait et/ou travaillent en partie synergie avec la intégrante radio. Lors du de changement de la thème personnes le qui calendrieront reçu à Destourner la du page. émissions autour conçues visuel radio du calendrier tous les pour stratégie calendrier deux du l’utilisation mois, succès, son la de de raison radio en 2006, invite En communication les commenter. le de publics différents aux permettent la prévention des IST/VIH/Sida a été reprise au niveau des avec la provinces, production de supports plus adaptés au contexte local. Cette initiative doit également être renforcée par public général. la production de petits calendriers pour le Le Le SE/CNLS utilise depuis 2005 les panneaux publicitaires 3X4 et les afficher des panneaux les messages. Tous d’affichage deux mois, des une campagne abris d’affichage a bus lieu pour sur un y thème différent. Un repérage minutieux des endroits d’affichage permettant de toucher un public maximum a été effectué. Les mêmes affiches sont diffusées dans l’objet les lieux faire publics, en également format doivent A2. Elles campagnes peuvent également Ces être reproduites productions. en des plus petit efficacité format coût le maximiser pour journaux, les dans de concours pour impliquer le davantage public dans la production des illustrations et slogans. Ces panneaux ont utilisé les chanteurs, les sportifs...., comme rôle modèles, pour problématique du attirer VIH l’attention et du du Sida. public Ils et devraient maintenant les évoluer vers intéresser une à sélection la dans les actions de sensibilisation. davantage des se reconnaisse pour que le public générale, population rôles modèles dans la des PVVIH. Toutes les des manifestations concernant le PVVIH.Toutes thème VIH du et du Sida sont couvertes par la presse. Certains journaux publient tous les jours des encarts en transmission couleur du VIH et du rouge Sida. Les informations pour restent cependant très factuelles donner et doivent prendre la des forme de informations sur les modes reportage de écrits plus fouillés, par exemple, sur du l’évolution Sida et ses impacts, requérant la mise à d’une disposition information régulière aux journalistes. La formation en VIH éthique et le pour Sida doit la être étendue diffusion aux journalistes des de la informations la dans presse s’impliquer pour écrite. sur formés et mobilisés être doivent Des et malgache) langue en parution et (coût électorat grand éditions le ont commencé à cibler un plus le Sida. VIH et les IST et le contre pour la lutte communication 2 ème Partie 60 142 communes de 20 districts dans 9 régions (données février 2006) Les facteurs à prendre en compte dans la dans compte en prendre à facteurs Les radio l’existencedes l’extension(i) couverture pour 2006) sont : radiosla manivelles stationsradio de de des distribution février (données régions dans 9 SE/CNLS dans par districts proximité media 20 de de les communautés communes sur aux 142 donnée distribués de été ont base la Manivelles dans Radio incluse Les être communication. doit de manivelles radios ces de villages les localisation dans d’écouteLa groupes électrifiés. 4000 non de formation la stimuler pour distribuées, été ont manivelles radio des parallèle, En rural. milieu en développement le pour utilisables directement thèmes des sur radio animateurs des premier niveau de la cascade de formation, a été créée pour assurer le suivi, l’évaluation, et la association Une formation du ‘’Concorde’’formateurs permanentede composée Développement), le pour Communicateurs des (Collectif à travers ladécentralisation delaligne verte. communicationsde encourageant avecdialogue le implicationleur évaluations,et des cibles dans les notamment (coût/ interactives d’émissionsd’outils production en production recyclage le équipement, en dotation la la par réduiteêtre peut à …) matériels,temps/moyens radio stations certaines de réticence La saturation. la éviter pour émissions sur la prévention des IST et du VIH et des du produisent Sida et émissions avecmais des petits Participatifgroupes dispersés sur l’ensembledoivent,Production du territoire.de développerCes animateurs Cycleproduisent en priorité des d’autresau formés thèmes été de ont développement rurale radio de animateurs vingt cent Deux Madagascar est dotée de 230 stations radio fonctionnelles (dont 198 légales) dispersées sur l’ensemble du territoire. de thèmes autres les avec une Sida assurerVIH et IST également développement. volet devrait du prévention masse de et de sensibilisation de communication activités La des intégration développement. de thématiques autres les travaillent qui dans communes 1549 associations les les dans impliquées entre non implantées d’activité associations les synergie et impliquées une actuellement créer faudrait il Toutefois, communauté. la dans interpersonnelle et contenu en alimentent qui ceux de capacités animent ces des médias (les animateurs). renforcementLes Associations de proximité un constituent une base solide de communicationégalement nécessitent Ils Sida). le et VIH le contre lutte de d’associations/clubs réseaux permanents, d’échanges foyers scrypto/audio/visuels, magazines proximité, théâtrerenforcement ambulant ou les représentationsun scéniques légères, nécessitentanimations culturelles mobiles, forathèmes en ligne, aux et groupes aux (UMV,masse de d’accompagnementde radiomédias d’appuiet communication stations des de équipements des rapport par ciblés plus être doivent qui messages les n’ontUMV : qui vulnérablesles communes par les couvertes et étéencore pas districts les recensesuivant tableau de changement du plan le Le 2. l’annexe dans sur listées sont effetUMV les par un couvertes non communes obtenir Les sensibilisation). (versus pour comportement media) au expositions/an (4 répétée façon de faire se UMV doit les par communication la de avancée stratégie Cette routière.l’accessibilité (ii) ; km2) au + et habitants 80 jusqu’à60 de partir (à commune la de démographique densité la (i) stratégie : la de planification de base comme La communication par les UMV doit cibler les communes à risque non couvertes par les media de masse, en utilisant, assurer lacouverture del’ensemble descommunes et groupes vulnérables. comportement. Avec la diversification des messages et activités, les 22 UMV et les 8 cinémobiles de PSI ne pourront foisla l’ABCà de changementsous-tendant le concentrer se responsablesfacteurs et les sur comportements les et du diversifiéssaturation,éviterplus la pour en promouvoirêtre plus doit de cettethèmes et des VIH animationsur les UMVchargées del’animation sont entrain d’être jumeléesavec lesUnitéspour le dépistagevolontaire Mobiles Analyse delaréponse 3000 19 UMVopérationnelles Radio manivelles Radio Potentiel Potentiel 3000 couvertes etPSI communémentparSE/CNLS 8 Cinémobile/99 communes avec 90 communes 11 UMV/320communes Radio manivelles Radio Utilisation Couverture SE/CNLS Partenaire PSI SE/CNLS Partenaires compte delacouverture sensibles 88communes deces en œuvre delaprochaine distributiondesRMdevrait tenir trèsmalcouvertes88 communes ; (iii)lamise parlaRadio les radios –page desGEdansles 19) ;(ii)Miseenplace par lesradios (ref. vulnérables noncouverts communes par radio, vulnérables enprioritéles6communes noncouverts relais radios noncouvertes pourles88communes parla (i) Miseenœuvre duprogramme extension desstations communes vulnérablescommunes noncouverts parUMV. 39 des priorité en couverture d’une vue en SE/CNLS et PSI de couverture de activités des Coordination Perspectives Perspectives ème 61 2 Partie 0 0 Journaux 0 0 UMV Analyse de la réponse de la Analyse Télévision 9 stations locales et nationale + vidéoprojections 10 stations locales Radio 36 stations locales 10 stations locales Audimat 2229 groupements impliqués dans TB et VIH SIDA la les IST, contre lutte Les Les entités de la société civile ayant une représentation au niveau provincial, régional, district ont des objectifs, été des et inventoriés rôles des claire définition d’une vue en concertation une souhaite et coopérer à prêtes sont qui : dans le tableau suivant des activités reprises sont de pérennisation moyens La couverture des activités promotionnelles financées par le Fonds à d’Appui la prévention est (FAP) de 52% des communes de Madagascar, avec au moins un projet par commune (Ref. Infra. Mise en place Réponse et locale). Les communes vulnérables stimulation identifiées par la de cartographie du risque la et qui ne sont pas couvertes par les activités promotionnelles menées par les associations à base communautaires ou groupement sont listées 2. dans l’annexe L’ordre de TV L’ordre sur récurrence TV spots pour de diffusion le (ii) projection) ; (vidéo format téléviseur TV audiovisuel poste sur (TV films projection (i) : suivant le local est – national) Vidéo Projection – utilisation Poste téléviseur – Conception/ - TV sensibilisation de TVTVémission (iv) ; programmes de conception/production/duplication (iii) local ; TVTV de court national. sur – émission Production/Duplication métrage L’ordre L’ordre de récurrence (nombre d’apparition groupements) pour du le format format dans radiophonique, (messages/informations par le les lettre adressée : par suivant typesles associations aux stations de radios (i) à destination des communication émissions (ii) ; auditeurs) spots sensibilisation exploitée radios sur et débats par (vii) ; brousse radio Taxi messages ; pour radios les programmes de et (iii) conception/production/duplication (vi) ; radio sensibilisation concours slogans dédicaces de de diffusion (x) ; jeux crochets radios (ix) ; radiophoniques ; radiophoniques feuilletons (iv) (viii) ; radiophoniques animations radiodiffusés/sketchs ; radios (v) campagne de radios. ; (xii) annonces débats ; (xi) conférences sur radios Tableau 14 : utilisation des media par les associations et groupement Tableau Les Les (données FAP données du cadre le dans Sida recueillies le et VIH le auprès et IST les contre de lutte la dans impliqués Groupements l’AGF et Associations (Agence de Gestion Financière) ont permis mai 2006). de Parmi recenser ces 2229 groupements, 54 de projections vidéo des utilisent ou TV National 2229 la la travers à radio production leur également et ONGs, exploitent mais TV locale la TVla utilisent dont 36, les radios de proximité locales, 9 TV locale en même temps. et la la radio et 10 exploitent (téléviseur) proximité Communication par les groupements de proximité de proximité Communication par les groupements La sensibilisation de masse organisée lors d’événements - socioculturels Donia, être généralisée Festival dans des tous baleines, les … districts, - en tenant doit compte de l’organisation des manifestations coïncidant spécificités avec les régionales afflux de et population être mobiles liés renforcée aux à activités travers économiques saisonnière. Les Les animateurs ont été dotés d’un kit composé d’un sont à ensemble structures de ouvertes supports (accompagné de audio-scripto-visuels. questions) Les pour supports établir le mesurer niveau les progrès accomplis des après les projections connaissances vidéo et des séances d’animation. La groupes gamme des et outils proposés aux animateurs comprend des photographies (affiche sans texte) ou des diapositives. Des documents diapositifs peuvent également être réalisés avec la participation des publics, au moyen d’appareils photo numériques, pour être immédiatement présentées sur l’écran d’un d’animation ordinateur avec des ou diapositives ou projetées des photos constituent avec moyens d’excellents pour un libérer la parole projecteur dans groupes les vidéo. et faciliter Ces la production outils d’émission radio tomberait l’UMV de vidéos des sur diffusion de matériel le les où cas au rechange de thèmes solutions des également constituent du VIH groupes les amener et à consiste du communication de supports des Sida diffusion de méthode ou la dans du développement. Ils L’originalité panne. en à travailler sans la présence de l’animateur là qui que n’est pour faciliter la mise en place des groupes, donner les consignes pour terrain, le le sur Malheureusement travail tenus. à davantage sont faire pris et engagements les assister et produisent aux qu’ils restitutions ce des de responsables travaux. Les groupes se sentent ainsi totalement certains intervenants continuent à utiliser les supports de communication comme appui à des causeries suivi et recyclage. nécessitant débats, manivelles manivelles dans le district ; (ii) l’absence du réseau électrique dans la vulnérable. commune Les UCR/CT pourront également identifier les quartiers des communes électrifiées où les populations les plus pas démunies habitent, pour n’ont manivelles radio les où vulnérables communes des liste la inclut 2 L’annexe manivelles. radio en doter les distribuées été 2 ème Partie 62 rmtonle mss n ur pr e prears suc PEO – ltfre ofsinel) Is sont Ils confessionnelle). plateforme – PLEROC (source partenaires ces prioritaires pourlerenforcement descapacités encommunication interpersonnelle par activités œuvre les par en touchés actuellement mises sont promotionnelles personnes 600 000 de près que réseaux. indiquent leurs disponibles par données Les couvertes sont communes 1549 les couvrent confessionnelles organisations des réseaux Les Analyse delaréponse Volet EauetadductionWATER AID MINPOPetCNE socio-économique socio humanitaire, Volet insertionsociale WWF, SAGE, ANAE, ANGAP Volet gestion etprotection environnement SEECALINE Volet NutritionCommunautaire Volet rural PSDR Entité etVolet d’activités 3 provinces 6 provinces 6 provinces 6 provinces 6 provinces Localisation provincial 4 régions 22 régions 22 régions 22 régions 22 régions Localisation régional 37 districts 21 districts 80 districts 116 districts 116 districts Localisation par district Répartition noncommuniquée Répartition noncommuniquée Répartition noncommuniquée Répartition noncommuniquée 280 ONGs Répartition noncommuniquée 8820 associationsappuyées Données obtenues surlesappuis ème 63 2 Partie Cible et couverture 500 000 250 000 1,5 millions 319 353 4 millions Population non couverte identifié Analyse de la réponse de la Analyse Localisation 60 communes réparties dans 18 districts de 13 régions. 1549 communes dans 116 districts de 22 régions. 1549 communes de 116 districts de 22 régions Sites d’intervention Sites Répartition interne et Répartition interne 17 synodes et 1500 temples 33 synodes ou sites (fitandremana) d’interventions 36 synodes et 5000 temples, 36 synodes »ou sites « fitandremana d’intervention diocèses 4 archi 22 diocèses 6000 églises paroisses dans 22 diocèses et 4 archidiocèses Activités de Renforcement de Capacité de de Renforcement Activités ; en animation de groupe (i) Formation ; de formateurs (ii) Formation (iii) Formation en technique spirituels de plaidoyer des leaders ; de pairs éducateurs (i) formation ; en santé reproductive (ii) Formation ; en animation de groupe (iii) Formation ; en milieu scolaire des responsables (iv) - Formation PVVIH ; des (v) prise en charge ; de formateurs (vi) - Formation spirituels leaders des plaidoyer de technique en Formation (vii) (sensibilisation interpersonnelle communication de activités Les « sampana » les par permanence en déroulent se prévention) et pour la population de proximité. Les stratégies globales sont les « synoda lehibe » décidées durant Sensibilisation spirituelle. l’abstinence L’EKAR prône officiellement Non communiqué Partenaire FLM– SALFA FJKM et SAF- FJKM EKAR EGLISE ANGLICANE Les ONGs nationales ou programme de développement repris dans le tableau suivant sont, comme les associations associations les comme sont, suivant tableau le dans repris développement de programme ou nationales ONGs Les confessionnelles, prioritaires pour un renforcement des capacités pour la communication sur les IST et réseau. un large VIH/SIDA qu’ayant parce Tableau 15 : Réseau confessionnel 15 : Réseau confessionnel Tableau 2 ème Partie 64 e srcue qi n ue xéine n efreet e cpcts n omncto itresnel et interpersonnelle communication en capacités des renforcement en expérience pourraient être utiliséesàce titre sont reprises dansletableausuivant : une ont qui structures Les Analyse delaréponse Electoral) (Comité National environnement CNE sociale, sociohumanitaire, réinsertion économique, Volet Gouvernance, socio- écoles (i) jeunessescoute ; (ii) Volet JeunesseANKOAY : ONN- CECAM- OTIV SEECALINE PSDR ANGAP- WWF Programme SAGE - Volet environnement urbain OTIV Volet rural économie et urbain CECAM Volet rural économie et SEECALINE Volet nutrition Volet rural PSDR EEM LLB, FJKM, FLM,EKAR, Volet Confessionnel : par SE/CNLS par SE/CNLS (associations- OCB)appuyées FAP -2229groupements Institution Partenaire protégées des OPetpopulationsenvironnantes detoutes lesaires Appui organisationnel, technique etfinancierdesassociations, paysannes etassociationsurbaines Appui engestion financierettechnique desorganisations paysannes etassociationsurbaines Appui engestion financierettechnique desorganisations associations etOngs Appui technique, organisationnel etfinancierdes organisations paysannes Appui technique, organisationnel etfinancierdes développement deproximité Sensibilisation spirituelle ;intégréeàd’autres thèmesde la reproduction éducateurs ; Formation ensantéde autorités, despairs desleaders, Formation desformateurs, des plaidoyer et animationdegroupe ; les Ongs etassociationsnationales Appui technico-organisationnel avec élèves des responsables CISCO pourles des mouvements àM/car et scouts Appui technico-organisationnel - Développement organisationnel Développement organisationnel Activités derenforcement decapacité les +récurrentes Activités actuelles - F o r m a t i o n e n t e c h n i q u e d e une associationtravaille dans2ou3communes dans 116districtsdes22régions.Enmoyenne Les 2229groupements couvrent 890communes (Ministère delapopulation) associations recensées etagrééesparleMINPOP et encollaboration avec CNEIls’agitd’ONGSet 217 ONGsetassociationsnationalesidentifiés écoles 8 mouvements ; 161troupes ; 8CISCO ; 40 avec SE/CNLS Partenaire n’ayant pasdeProtocole d’Accord ; Souhaitdeconcertation SE/CNLS Partenaire ayant Protocole d’Accord avec ; Souhaitdeconcertation SE/CNLS Partenaire ayant Protocole d’Accord avec Localisation Localisation nonprécisée Nbre ; associationsappuyées noncommuniqué dedistricts chefs lieux Nbre ; 116 associationsappuyées noncommuniqué dedistricts chefs lieux Nbre ; 116 associationsappuyées noncommuniqué dedistricts chefs lieux lapopulationdansles116 280 ONGsaccompagnent dedistricts chefs lieux 8820 associationspaysannes répartiesdansles116 communes Selon plateforme confessionnelle PLEROC :1549 localisation sociodémographiques toutes lescatégories des sites nonprécisées provinces ; localisation 22 régionsdes6 dans 21districtsde dedistrict) lieux 90 communes(chefs sites nonprécisés couverts ; localisationdes 11districtsde14régions communiquées Données non communiquées Données non communiquées Données non Cible ème

65 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse L’utilisation des supports de communication de L’utilisation veille informationnelle et de communication de prévoit proximité une des ou autoévaluation connaissances un par est feedback feedback les utilisé Le publics. pour la sélection des thèmes et messages de communication. Cette mesure de la qualité des supports médiatiques doit être renforcée par le développement d’un système simple de suivi et évaluation des interventions en direction de la population générale et des groupes les plus défini sur doit : la base (i) être des le contenu dont une information c’est-à-dire de qualité, cibles à une information vulnérables. Les indicateurs de processus doivent mesurer besoins CAP l’accessibilité des cibles des spécifiques ; (ii) positionné de façon à stimuler de les comportement ; facteurs (iii) sous-tendant diffusé le par changement les media les connaissances, les dans plus mémorisation l’évolution mesurer la appropriés doivent d’impact indicateurs et pour Les possible. que autant interactive assurer façon l’évocation une perception, couverture La des soins. cibles ; des (iv) recherche de et sexuels comportements – pratiques et attitudes des supports lors du prétest communication. de mesurés être des messages doivent Système de suivi et évaluation de la communication de suivi et évaluation Système Le Le préservatif a été positionné de façon culturellement adaptée à travers un nouveau labelling, le », Fimailo « qui est acceptabilité en son train renforcer de pour conçue s’inscrire dans été a le vulnérables langage plus les social. groupes La des distribution auprès et promotionnelle public secteur du du « sanitaires » Fimailo dans les structures entre distribués été ont millions 50 de Plus préservatifs. aux l’accès facilité a social marketing Le accessibilité. son et et distribution de promotion du 2000 et répartis2006 La par stratégie plus de 25.000 de points vente dans le pays. réseaux différents des comparatifs avantages et spécificités des compte tenir pour jour, à mise préservatifêtre doit préservatifs des l’utilisation où vulnérables plus les groupes des couverture une priorité en assurer et distribution de d’influences groupes Les VIH. du diffusion la éviter réellement veut l’on si fréquente, plus permanence en être devra lutte la à davantage contribuer pour sensibilisés être doivent préservatif du l’utilisation promouvoir peuvent ne qui avantage un ont ils où PSN du composantes des œuvre en mise la de cadre le dans Sida, le et VIH le et IST les contre sans obstacle faire à de la et promotion composante mise distribution en par du œuvre comparatif, les préservatif, partenaires autres Marketing social du préservatif et promotion du Fimailo et promotion social du préservatif Marketing 2 ème Partie 66 Objectif delaréponselocale jue hme, ens ils fme, oms ntbe hme e fme, groupes femmes, public secteur et du représentants hommes …), (éducation, sécurité, notables santé, transporteurs, justice, développement scolarisés, rural, hommes,….) et représentants non de la société jeunes femmes, civile et du enceintes, secteur privé filles, femmes TDS, jeunes vulnérables : hommes, communauté (jeunes la de et associations oeuvrant dans la commune, leaders religieux et traditionnels, représentant des différents segments Lutte de Local ONG communal,Planconseil du maire,membres : multisectorielle composition un une ont CLLS Ces (PLLS). en Sida contrele PSN du traduction la et (CLLS) Sida le contre Lutte de Locaux Comités de constitution la pour communes, des administratives autorités les mobiliser à consiste locale réponse la de pilier » « premier Le Organisation delaréponselocaleauniveau descommunes delaréponselocale La miseenplace Tableau 16:Lestrois delaréponselocale piliers paquet d’activités promotionnelles etcliniques. et groupespublic et communesvulnérables,un des par maximale couverture réponse,une la pour dans civile société la de secteur du implication une et engagement un favoriser pour (district), périphérique et régional niveau maintenant évolue au leadership renforcementdu le Elle par nationale,réponse la de communes). gestion la de décentralisation de stratégiedes une vers- quartiers bénéficiaires (les seulement périphérique plus au niveau non PSN bas et du plus œuvre– jusqu’au en acteurs interventions, mise des des et active traduction participation la une sur privilégiant centrée en été a communal, locale niveau réponse la de œuvre en mise la l’origine, A Modalités delaréponselocale la vers de laréponse orientée locale, réponse la de pilier un faire décentralisation de la gestion de programme comme à son peut niveau effectif de mise en œuvre, pour conçueune meilleure efficience ne communautaire, communication participation Cette intégrées. la sont de prestations abstraction ces où services des l’utilisation promouvant en une demande, il est indispensable de la renforcer par la communication pour assurer son coût-efficacité, y compris renforcementle si l’offreplus,même de santé).De et prestationsIST raisonsles génèrera automatiquementpour VIH/Sida les pour négative, est réponse La (modeste). évoquéescadrele l’analysedans de composantela réponsede la de (Ref.clinique Organisation2.1. part systèmedu de une constituant en VIH le communautaire, niveau au santé de généraux s’ilservices les améliorer pour si stimuler la à destinés fondset les d’utiliser adéquat justifiée plus pas serait ne était communautaire réponse la à accordée priorité la si demandés sont se partenaires Certains un axe programmatique transversal duPSN. constitue et objectif cetréaliser pour participative démarche une est locale » « réponse La solutions.ces œuvre en l’infection, formule par elle-même des solutions au problème du VIH et du Sida dont elle reconnaît la priorité et met qui, dotée d’une information correcte, s’approprie les facteurs individuels et collectifs de risque et de vulnérabilité à se connectent entre elles pour renforcer leur compétence. Une société compétente face au VIH/Sida est une société véritable phénomène biologique, où les « cellules » du corps social développent progressivement leur immunité et s’opérercontrel’infectiondoit lutter d’un à façon société la la à de habilitationCette virus. le que rapidement plus Pour lutter efficacement contre le VIH et le Sida, les capacités de la société à faire face à l’infection doivent se propager 4.1 L 4. MISEENPLACE ETSTIMULATION DELAREPONSELOCALE Analyse delaréponse réalisables parlacommunauté. comprenant des Petites Actions Faisables (PLLS) (PAF) Sida le contre Lutte de Locaux Plans de développement Lutte et de (CLLS) Sida le Locaux contre Comités de Constitution a

r é O P n E S

O L c E L A 1 er : Pilier n u

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d e

O R P g A M M A R t O I n

t A R œuvre parlesCLLS desPLLS en mise la de suivi (FAP)et Sida du et VIH du PLLS à travers le Fonds d’Appui à la Prévention et OCBs des pour la mise en Associations œuvre des PAF du habilitation et Mobilisation n s v L A S R E

2 ème Pilier des PLLS réconciliésavecdes PLLS lesPRD. secteur public et de la société civile dans la mise en œuvre du acteurs des l’ensemble de coordination et implication mobilisation, une pour (TFD) district de antennes leurs de place en mise et (TFR) Sida le et VIH le contrelutte la de coordination de TaskRégional Forcede Constitutions 3 ème Pilier ème

67 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse La principale justification de cette approche basée sur la comportements, réponse leurs changent initiatives, des prennent locale organisations les et groupes les individus, les lequel dans est sa contribution à créer un contexte se font dépister si nécessaire et accèdent à des services de prévention voire de prise en charge (traitement, soins et soutien). ; (ii) cherche à comprendre, plutôt qu’à juger ; qu’à plutôt comprendre, à cherche (ii) ; locales forces les et atouts les apprécie (i) qui : facilitant leadership Un plutôt questions, parledes que pose (v) ; plutôt partenaires écoute (iv) ; divers les entre l’interaction encourage (iii) qu’enseigne. plutôt et (vi) apprend les réponses que fournit Ainsi, Ainsi, la lutte contre le VIH et le Sida ne un peut par catalysées base, la à en créativité la et aucun l’innovation de communautés, des active cas l’implication de dépendra lutte être une initiative de « Haut en Bas ». Le succès de la leadership facilitant. Schéma 4 : Organisation de la réponse locale au niveau des communes des de la réponse locale au niveau Schéma 4 : Organisation (Associations, ONGs, entreprises, …). La facilitation de la mise en place des CLLS et le développement des PLLS avait, avait, PLLS des développement le et CLLS des place en mise la de facilitation La …). entreprises, ONGs, (Associations, actuellement sont Ils OF). – Facilitation de (Organisme Civile Société la de Organisation une à confiée été l’origine, à impulsés par les animateurs des processus un Unités suit PLLS ce de définition La Mobiles régions. 22 (CT) des Vidéo niveau au Technique et Coordonnateur d’un composée appuyés par l’Unité de Coordination Régionale (UCR), participatif : le CLLS procède à une est sous- VIH exercice et le Sida. Cet le contre efficacement locales pour lutter analyse les besoins et ressources d’identifier de la situation et des de autoévaluation une et communale) (monographie vulnérabilité la de et la risque du locale analyse une par tendu réponse face au VIH/Sida, qui leur permet de compétences face Compétence – VIH/Sida au CAC). d’Autoévaluation Elle (Cadre doit amener les membres du CLLS à se sentir personnellement concerné et responsable dans la lutte les contre IST VIH//Sida et et le à identifier les activités à mener pour répondre aux besoins dictés les par par le réalisables contexte local, en (PAF) évitant les chevauchements Faisables ou Actions la Petites les priorise PLLS du œuvre en mise La interventions. des saturation d’Appui Fonds un par financées besoin, au et, communauté la par initiées immédiatement sont Elles locaux. acteurs à la Prévention et Prise en charge du VIH et du Sida (FAP) ou autres projet. Ce projet est sources développé avec l’aide du de CT et financement, mis en œuvre dans par des Ces promoteurs. promoteurs le sont, pour cadre d’un en Organisation Communautaire des Associations ou des membres de la communauté qui l’essentiel, s’organisent PAF, ces de évaluation et suivi le d’assurer chargé est CLLS Le PLLS. du PAF les œuvre en mettre pour (OCB) Base de PLLS. du de la mise en œuvre la suite qui doit orienter 2 ème Partie 68 que d’un CT.que d’un l’OFde n’esttâches elle les mais assumé a l’UCR 2005, de Associations et en OCBs des partir A VIH/Sida. composée s’est donc essentiellement concentré sur les étapes 7 et 8, aux dépens de l’encadrementappuyer des pour CLLS Facilitation,et de la de formation l’élaborationOrganisme sous-projetsassurerrenforcementdes etle promoteurscapacitésdes des (OCB, Associations). Cet commeOF recruté, été avait internationales ONGs trois de consortium un contre le VIH et le Sida. Le nombre de CLLS avec un PLLS élaboré est en effet de 358 soit environ 24 %. Avant 2005, lutte de actions des communal développement de cadre d’un dehors en œuvre en mis sont projets nombreux de population générale, jusqu’aula plus bas et niveau périphérique. administrativesCependant, le nombreautorités de CLLS opérationnels les est estimé à de 50 par % et prise Sida du une et favorisé VIH a du fantomatique structures encore ces réalité de la de place conscience en mise La 2006. décembre en 878 2003 à décembre et en 2004 13 décembre en de 292 passant augmenté,à rapidement a place en mis CLLS de nombre le 2005, et 2003 Entre etdéveloppement desCLLS Mise enplace desPLLS compte delaspécificité locale. l’ABCDEFGtenant à en Fidélité,Condom)l’ABC Bonne de (Abstinence, passage de amorce un (ii) et bénéficiaire) ; de priorités santé publique et développement (au niveau des autorités politico administrativesmultiples et de la population de contexte un dans Sida du et VIH du – fantomatique encore – réalité la de conscientisation une (i) à : Dans la pratique, la mise en œuvre de la démarche de réponse locale a permis à certaine localité du pays de parvenir Analyse delaréponse   « D» pourDépistage nonseulementduVIHmaiségalement desIST  « E» pourEcoute etEmpowerment     « G» pourGarantie desrésultats   « F» pourFinancement   Opérationnalisation du continuum sur le plan des service : Prévention (CTV, PTME, IST, Précautions Universelles, Sécurité transfusionnelle) lafonctionnalité de del’interfaceAssurance entre besoinsetlademandel’offre les cliniques(etlespréservatifs) pourlesservices Mise en place du CLLS comme équipe multisectorielle et appropriation de son rôle par instrument d’auto-évaluation (Cadre d’Auto- (Cadre d’auto-évaluation instrument par rôle son de appropriation et multisectorielle équipe comme CLLS du place en Mise Analyse du risque et définition de la vulnérabilité « contextuelle » - fortement liée au contexte et économique culturel : (i) la vulnérabilité Implication des organisations Communautaire de Base (OCB) dans la communication pour le changement de comportement avec l’aide avec comportement de changement le pour communication la dans (OCB) Base de Communautaire organisations des Implication Suivi de la progression des services rendus par les prestataires de service par le CLLS (association des consommateurs) et les services services les et consommateurs) des (association CLLS le par service de prestataires les par rendus services progression des la de Suivi desactions OCB :formalisationSuivi par leCLLS dumécanismesurlabasedel’expérience. Canalisation del’aideaudéveloppement vers lesbénéficiaires –acteurs dedéveloppement Développement. danslePlanCommunalde Intégration duPLLS Feedback (mécanismecyclique). des OCBauCLLS Impact delaréponselocalesurl’utilisationdes services. et Priseencharge cliniqueetpsychosociale. évaluation deCompétence –CAC). pour uneactionparetlesbénéficiaires . cadreFondsle du (fournidans appui un Préventiondemandent la qui à FAPdirectement ou d’Appui commune/communauté la par ce, et (iii) définition du PLLS par le CLLS avec une attention particulière sur l’identification des Petites Actions Faisables (PAF) :qui sont initiées exemple,par mère,(autresfilles vulnérablesTS, lesfemmesgroupesles les des que professionnels femmesles divorcées)mobiles, – et formelles et les groupes passerelles (clients) là où sont les informellesTS pour couper la chaîne de transmission ; accent sur les femmes secteurs les vers réponse de ciblage : CLLS le travailleursSexeles sont sur de elles où accent – là VIH l’infectionà contracterdiffuser de et susceptibles groupestouchantplus les les par définie la est et (ii) local clients ; contexte leurs le et selon varievulnérables réponse secteurs la les de ciblant modalités réponse et une localisation pour CLLS le par identifiée est et local contexte le selon varie (ii) Formation/encadrement desOFparuneONGinternationale sous-tendu parunestratégie detransfert decompétence appropriée. couverturepérennisationinterventionset des proximitéqualité la de de renforcementamélioration un d’une ; et vue compétencesen des meilleure une pour OF les par OCB des encadrement (i) suit : comme détaillant se démarche La – FacilitationOrganismesOF de des – concernés (CTV,concernés PTME,PrécautionsUniverselles, SécuritéTransfusionnelle, Priseencharge cliniqueetpsychosociale). :avec l’appuitechnique del’UnitéCoordination Régionale(UCR)etl’Organisme deFacilitation (OF) : De l’ABCàl’ABCDEF . ème 69 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse L’analyse de la couverture des communes par les sous projets montre que depuis 2002, le FAP a pu couvrir la moitié la couvrir pu a FAP le 2002, depuis que montre projets sous les par communes des couverture la de L’analyse (52%) des communes du pays avec au moins un sous projet. Seulement 11% des communes ont mis en œuvre au moins 4 sous technique, projets. administratif L’investissement et financier du et FAP des OCB elles-mêmes dans l’apprentissage des procédures d’élaboration, de mise en oeuvre et de clôture des sous être projets rentabilisé est par élevé. Ill’extension des doit interventions par les OCBs être et accompagné Associations d’une qui stratégie pour ont le fait développement leur de preuve, leurs et compétences. et Comme donc, Associations de témoignent d’une nombreuses réelle OCBs capacité à exécuter les activités, on doit envisager un renforcement des compétences pour les spécialiser dans le passage à échelle des activités activités). (versus conceptualisation Le de nouvelles renforcement des compétences peut être organisé en suivant la hiérarchie suivante : (i) ONG et Le FAP a soutenu le développement et mise en œuvre de sous projets de base sur l’ensemble du pays, puis, à partirà puis, pays, du l’ensemble sur base de projets sous de œuvre en mise et développement le soutenu a FAP Le l’approche vulnérables, de communes 2004, dans 20 aux districts fonds à risque des identifiées sur la 70% base de de leur potentiel allocation de développement. aux Conformément une prévoit qui FAP, du financement de accords de priorisation des zones d’intervention a été révisée en 2006, avec l’identification par la cartographie des du communes à risque risque accru de diffusion de l’infection, pour une couverture prioritaire des populations les plus vulnérables, indépendamment du caractère urbain ou rural de la commune. Certaines PAF ont partie lesquels des ou avec par ou en de des de des totalité développement développement projets organisations été financées en déterminées. de partenariats et dans des zones signées été ont conventions communes et des quartiers. Cette orientation stratégique s’explique par la volonté du SE/CNLS de ne plus considérer considérer plus ne A de SE/CNLS partir du de volonté la 2005, par le FAP a s’explique stratégique favorisé orientation la Cette mise quartiers. des en et œuvre communes des sous projets par les OCB contre lutte la et dans impliquer les Associations de mais interventions au des la bénéficiaires les dans niveau comme uniquement locales communautés des les et internationales ONGs des participation la prévoit Elle entière. part à acteurs comme Sida le et VIH le activités les par vulnérables plus les groupes des couverture la renforcer pour indispensable FAP, du œuvre en mise promotionnelles et cliniques et pour assurer la formation des OCBs et Associations. Elle promeut un transfert des compétences par les ONGs internationales vers les ONGs nationales, encadrement un le et capacités secteur des déconcentration public une actions, des et pérennisation une autres pour institutions malagasy, civile de société la de la mise en œuvre. opérationnel au niveau des promoteurs, de proximité Le Le Fonds d’Appui à la Prévention du VIH et du Sida mécanisme de (FAP) financement, constitue soutenu le par la « second Banque Mondiale, pilier » dans de le cadre la du projet réponse PMPS, locale. contribuer à a la Ce mise pour en œuvre objectif du PSN de par la société civile pour assurer la couverture des groupes vulnérables. Le vise en particulier des et organisations les institutions capacités à : d’intervention déjà (i) impliquées FAP renforcer privé secteurdu et OCB ONG, des implication grande plus une encourager (ii) ; IST/VIH/Sida des prévention la dans participation. leur pérenniser et opérationnelles capacités leurs développer (iii) IST/VIH/Sida ; les contre lutte la dans Dans le cadre du PMPS II, le menu des activités pouvant être mises en œuvre au inclure moyen également du a FAP les été activitésrevu, pour de prise en charge des PVVIH. Avahan) Selon et l’expérience de du l’Inde Bengladesh (projets (projet Sonagachi Shakti), et la le dans compte prise en prises seront réussies expériences Ces en concentrées. épidémies les dans Sida au efficace réponse charge communautaire est un élément critique pour une développement semblables, d’initiatives adaptées au contexte malgache. Le passage de la promotion de à l’ABC avec D pour l’ABCD, demande pour les services cliniques, permettra de dynamiser les activités promotionnelles à en offre VIH du dépistage de et IST des PEC servicesde les pour demande la de promotion La communautaire. base effet pour un une point communication d’entrée efficiente puisque promouvant des prestations qui peuvent être positionnées comme utiles et » : « rassurantes faible VIH prévalence du et donc, accent mis sur la connaissance du VIH statut pour sérologique et une qui la prévention inclut PEC des l’ABC IST classiques, fortement présentes dans la communauté. Mise en œuvre des PAF à travers le Fonds d’Appui à la Prévention (FAP) d’Appui à la Prévention Fonds le à travers des PAF Mise en œuvre Le renforcement du caractère opérationnel des structures locales de lutte contre le VIH et le Sida passe par la mise en en mise la par passe Sida le et VIH le contre lutte de locales structures des opérationnel caractère du renforcement Le (CRLS) SIDA le contre Lutte de Régionaux Comités de constitutions la soit, locale réponse la de pilier 3ème du place et la mise en place de leurs antennes de district pour une mobilisation, implication et coordination de l’ensemble des acteurs du secteur public et de la société civile dans parallèle, la la mise en mise place des en CLLS doit œuvre être renforcée par de des activités PLLS de plaidoyer en réconciliés direction avec des maires, les par PRD. En les autorités dont ils dépendent. La tenue annuelle de Fora Régionaux constitue des pour révisés également CLLS une être de assurer doivent plus responsabilisation grande de références un Termes premier pas en ce sens. de Les locale définition La encourager. à est coordination de structure cette dans PVVIH des l’implication structures, ces un est PLLS du l’élaboration et local niveau au programmatiques implications ses de l’identification vulnérabilité, la de susceptibles plus les groupes des couverture la assurer pour notamment difficile, et lent relativement processus contracter et diffuser l’infection à VIIH en évitant leur stigmatisation. Les structures d’appui au développement et suivi et évaluation des plans de lutte VIH contre le et le Sida du niveau décentralisés doivent donc être renforcées programmation de et cours en en actions des personnel. recensement Le de PLLS outil devrait un constituer également commune, porter la sur de niveau une au période stratégique suffisamment longue pour traduire une vision à à accorder des la montants du Le commune. CLLS FAP doit en effet pouvoir solliciter la soumission d’un nombre pour Enfin, les structures d’appui base. sur pour la cette commune prédéterminé pour un montant de sous projets de proximité. pour un encadrement renforcées être également doivent du FAP la mise en œuvre 2 ème Partie 70 (5.25% dessousprojets) deleursclients, quiconstituent desciblesprioritaires pourlecontrôle del’infection.sexe du travailleurs des projet), sous des (3% d’IST atteints patients des dépens procréer,aux de âge en femmes ont essentiellement ciblé des sous-groupes de la population générale : paysans, jeunes scolarisés et non scolarisés, projetssous régions,les des et sein au importantes avecvariations 104, des moyennede en région est projetspar de est force Associations, et OCBs les par œuvre en constater leurs limites en termes de couverture des communesmis et des populations vulnérables. Le nombre de sous base de projets des rapide l’augmentation de dépit En Renforcement delacollaborationavec lesautres partenaires delasociétécivile derenforcementactivités descompétences endéveloppement etgestiondesousprojet. du secteur public dans le développement de ces sous projet, au besoin, en utilisant le financement du FAP pour des (ONG)peuventacteurs civile sociétéencadrer les la œuvre.de en Lesmise partenaires niveau opérationnelde son réponse la à public, secteur le de par projetsrenforcer sous développementde de possibilitéle locale,la offrecetteinitiativepar cadre le dans public, secteur du du Renforcementmobilisation V.(Ref.La limitée internationale). été collaboration la a de projets et sous partenariat en sectoriels Plans des traduction La …. jeunesse, sécurité, éducation, réponse : de secteurs-clé autres aux étendu être également doit public secteur le avec partenariat Ce d’intervention.axestrois ces refléterterme, court à doit, locale réponse la de œuvre en mise La santé. la de public la demande promue par les promoteurs et l’offre pour les services cliniques et les préservatifs délivrée par le secteur Les CLLS, le par avancée).doiventrenforcées,êtrevulnérablesdéfinis communes réconciliationbesoins entrela assurerles pour et fixe (stratégies communes des niveau au capacités service des DRSPF et de SSPFD à prestations assurer la aux planification l’accessibilitéet suivi de des performances des dépit services IST en et VIH/Sida dans les dépistage du VIH. Or, là ou elle a été générée par la réponse et locale, IST l’offredes PEC de des services et services produits les fait parfois particulièrement défaut, services, les pour demande la vers passage un amorcé maintenant communication de activités en consisté l’origineessentiellement à ont l’Abstinence,activités, Cesconcentrées(ABC), sur Préservatif90%). du de Utilisation (plus ontFidélité et promoteurs les par œuvre en mis projets sous Les Extension dupartenariat avec lesecteur public pour assurer lacouverture desgroupes d’activitésdeprévention vulnérables parunpaquetcomplet etPECdesIST etVIH/Sida. PAF avec les interventions des autres partenaires de la société civile, y compris les opérateurs privés, et le secteur public (par exemple, offre des services cliniques), les réconcilier doit PLLS Ce locale : PLLS. œuvredu en mise la dans oeuvrantréponse acteurs des l’ensemble et communauté entrela interfacela en constituer se à CLLS de les amener ultime l’objectif de vue en fonctions des complémentarité une pour responsabilités, leurs donc, et rôles leurs spécifier clairement doivent districts de antennes leurs de et CRLS des Termesréférence Les de locale. réponse la dans ceux-ci de l’implication stimuler pour privés opérateurs les et public constituer en interface entre le et CLLS les services publics (santé, éducation, sécurité, population, jeunesse, …) et pour structurer la collaboration entre le secteur accompagnée de la mise en place d’antennes de district. Le Chef de District et le Médecin Inspecteur du Service de Santé de District (SSD) sont en effet amenés à se de la réponse locale au niveau de la région administrative, par la constitution de Comités Régionaux de Lutte contre le Sida (CRLS). La création de ces CRLS doit être Le renforcement du partenariat multisectoriel constitue le troisième pilier de la réponse locale. A ce niveau, il doit s’opérer à travers la décentralisation de la gestion Renforcement dupartenariat intersectoriel 4.2 L vulnérables. que sur les 55 communes ayant mis en œuvre au moins 7 sous projets, seulement 18 (33%) figuraient parmi les plus L’examen de la correspondance des financements des sous projets aux par communesrapport vulnérables montre moyennementvulnérables. sont 28% que et vulnérables fortement sont communes des pays,10% du communes 1549 des 1230 sur que montréeffet en ont risque du cartographie la de résultatspremiers Les communes. 463 de total moyennementun communessoit, 344 vulnérables et vulnérables fortement communes 119 dans priorité en activités des financementsrenforcé avec technique appui un FAPprévoirLe vulnérables.doit plus les groupes les risque au niveau communal sera utilisée c a

n y d I M A u q e

v é L O t u i v e

d e

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r é O P n E S

O L c E L A ème 71 2 Partie 75%> Analyse de la réponse de la Analyse Bongolava Atsimo Atsinanana Diana 50-74% Atsimo Andrefana Analamanga Menabe Matsiatra Haute Mania Amoron’I Sava Couverture (% de communes avec au moins un sous projet au moins (% de communes avec Couverture 25-49% Itasy Alaotra Mangoro Alaotra Atsinanana Vakinankaratra Androy Ihorombe Fitovinany Vatovavy Melaky Sofia <25% Anosy

0-9%

20-29% 10-19% Intensité (% de communes avec 7+ sous projets) sous 7+ avec communes de (% Intensité e renforcement e du renforcement caractère multisectoriel de la réponse locale requiert la constitution des Comité Régionaux de Lutte contre le Sida vulnérables (CRLS) communes et de des s’accompagner la liste décentralisation du la processus améliorer de cartographiepour au planification niveau de de mécanisme la ce s’approprier doit Région La région. établie au niveau central et, ce faisant, prendre conscience du risque de diffusion de l’infection dans la donc, région de la et nécessité la d’inscrire lutte contre les IST et VIH le et le Sida dans le Plan Régional de Développement. Elle doit également utiliser ses à permettant résultats modalités comme Les vulnérables. un groupes les outil et communes de les vers plaidoyer réponse de pour secteurs des l’action mobiliser orienter les secteurs vulnérables et définies. être doivent Développement de Régional Plan le dans l’intégrer partenariatet ce coordonner de Région la Cette mobilisation pour et central, coordination niveau des du partir partenairesà organisé de être la peut Il société locale. civile réponse la doivent de également gestion en être compétences accompagné des d’un renforcement les organisations à couverture nationale (organisations confessionnelles, scouts, …) et à travers le intermédiaire. au niveau des structuresrenforcement d’appui Le Le choix stratégique d’assurer l’implication directe des OCBS/Associations dans la lutte contre le VIH et travers le le Sida FAP à doit absolument être maintenu. Mais il doit être de du renforcement complété partenariat avec les par autres acteurs de le la société civile : développement ONG, opérateurs d’uneprivés, organisations stratégie échelle à mise et pérennisation une pour OCB des capacités des renforcement le (i) : vers orienté confessionnelles, femmes des et jeunes des clients, leurs de TDS, des direction en projets sous de œuvre en mise la (ii) efforts ; leurs de vulnérables (autres que TDS). les pourra Le ainsi FAP assurer le financement des promoteurs autres que les OCBs/ partenariatsles privé, du paramédicaux et médicaux les communautaire, santé de agents les que tels Associations, pouvant standardisées activités des liste ou chinois menu Le … place, la de entreprises OCB les les avec par (PPP) privés publics PAF des œuvre en mise la pour étapes les définissent qui techniques fiches les et FAP le par financée être pour un revues constituer outil être de doivent planification de du la totalité du FAP, et récipiendaires Associations le Sida. VIH et locale pour une réponse nécessaires paquet d’activités Tableau 17 : Rapport couverture et intensité pour les sous projets par région par les sous projets pour et intensité 17 : Rapport couverture Tableau 2 ème Partie 72 La gestion administrative et financière du FAP a été contractualisée à une Agence de Gestion Financière qui a, qui Financière Gestion de Agence une à depuis 2002,traité plusde2300sous-projets. contractualisée été a FAP du financière et administrative gestion La surleplantechniquestructures oubienentermes depersonnel qualifié. œuvre delaréponse nationale àtous lesniveaux administratifs etàl’insuffisance deces descapacités decertaines en mise et gestion la de plan le coordinationsur la et renforcerpartenariat de nécessitéle la à rapidement,évolue plan OCBs le sur les importantes privilégier moins de confusion structures certaine existe entre les rôles de coordination et exécution, liée au certaines caractère récent stratégique d’un programme qui rendu FAP, choix ont du le œuvre opérationnel. Il s’agit en que du Conseil du PMPS, de mise son Comité d’audit et ainsi de l’Organisme la de Revue Technique administratives, Une pour (ORT). Associations procédures et certaines de lourdeur La niveau administratif. Leurs attributionsrespectives sont détailléesdanslemanueld’exécution duPMPS. FAP.chaque du à œuvreprésentes sonten instances mise Ces la à SE/CNLS FAP,le du et CNLS le avec collaborent Les instances du Projet Multisectoriel pour la Prévention du VIH et du Sida (PMPS), source principale du financement 4.3 S Schéma 5:Triptyque Besoins–Offre –Demande Analyse delaréponse Structures d’appuiauFAP etdelaréponselocale. Quartier Commune Régional Provincial /Inter Régional Central t r u t c u Niveau Administratif S E R

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d ’ e c n a d E M E R t n CLLS CPLS CNLS

CNLS BCIR UCL/CTR SE/CNLS SE/CNLS AGF UGP/PMPS ORT Conseil PMPS PMPS ème

73 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse L’Unité de Coordination Régionales du SE/CNLS est chargée d’appuyer la mise en place des CLLS et le développement développement le et CLLS des place en mise la d’appuyer chargée est SE/CNLS du Régionales Coordination de L’Unité des PLLS. Elle doit également assurer, avec sectorielle la de la collaboration Lutte des contre le BCIR, VIH et la le mise Sida l’habilitation dans en des les CRLS place Plans à Régionaux des appuyer de CRLS, les Développement CLLS et, l’intégration à dans ou non par le FAP. financées d’activités moyen la terme, gestion d’un PLLS qui comprendra un paquet multisectoriel Suivi et évaluation du FAP et de la réponse locale du FAP Suivi et évaluation Les investissements Les pour investissements la gestion du FAP sont importants et la réorientation raison, sur de l’efficacité de la l’approche basée stratégie, sur les qui OCB, apparemment s’est a opérée conciliation de au démarche La activités. des rapport par coût au misé, élevé est gestion la de détriment coût le : de FAP du avec cette l’efficience de mesure dans le des FAP approches visant à assurer à la fois à la stimulation de la quantité et la financement, et qualité mission le de des des contrôle de l’OF, prestations l’offre de demandes services de pas (AGF) n’a vraiment abouti, se soldant par la résiliation du contrat de l’OF en fin 2004. dont les L’OF attributions restent ressenties facilitation de système comme un instituer à une façon de mais place, en remise être doit promoteurs CTles les et par nécessité des OCBs et Associations d’un pleinement réseau d’ONG opérationnel locales de proximité, et par les pérenne, ONGs Ce couplé internationales. du mécanisme renforcement des d’encadrement, à compétences des place en mise OCBs/Associations La pour travers un passage FAP. à du gestion de échelle termes le en rapide investissements des des maximisation la meilleures terme, moyen pratiques, à renforcement mais assurer, peut des compétences de ce système de facilitation, inspiré des réalités du terrain, requiertet le basé du développement de d’outils sur décentralisées gestion le simples structures les pour renforcement entre le des accrue CLLS, compétences spécificité/complémentarité les de locales collaboration promoteurs perspective une et une dans des l’ensemble également structures Ilrequiert décentralisé. revus, niveau au d’appui être doivent référence de termes les dont SE/CNLS CNLS, de la il locale. réponse A terme, est en moyen des également compte tenant de rôles, la dynamique de l’évolution districts de antennes leurs de et Sida le contre Lutte de Régionaux Comités des implication une d’envisager possible des CLLS. un encadrement pour mobiliser et assurer (à créer) Schéma 6 : Schéma du circuit de financement des OCBs et Associations du circuit Schéma 6 : Schéma 2 ème Partie 74 Schéma 7:Dynamiqueévolutive delaréponselocale comme représentées être peuvent locale réponse la de œuvre suit : en mise la dans perspectives les conclusion, En le montant delacontribution technique etfinancière pourlamiseenœuvre deces activités. l’originede et indépendamment adéquat, d’activités paquet un par vulnérables communes des couverture d’une vue administrative,unitéen cette de l’organisationsein pour au réponse coursla l’ensembleen de de actions des compréhension la vers évoluer doit évaluation et suivi le et région, la mais commune la pas lors dès constitue ne le orienter diagnosticpalliatifs à soins et traitementdes de et niveaucommune.au la de L’unité mesureréponsede la de locale CLLS des d’organisationprévention, de d’interventions ensemble capacité un à projet, contribue sous il la où chaque mesure la de dans et valeurque réussitFAP la ne le soit PLLS que quelle des plus, De locale. développement réponse la le de suivi mesurer le CLLS, assurer titre, et des développementce à place doit, en évaluation suivi mise le la locale et réponse dans la l’évolution de élément qu’un constitue ne FAP le outre, En pour lespopulations atteintes dela maladie auniveau communautaire etfamilial. l’organisation(ii) cliniques ; services des continus soins l’utilisation comprisdes populations, y des comportement du changement le par maladie la préventionde la (i) : sur activités des œuvre en mise la l’impactdans (v) ; d’autresactions mener à capacités leur surtout et compris y des promoteurs, compétences des renforcement de termes en projets sous des l’impact (iv) ; cibles populations des couverture la et clinique – ou promotionnelle - d’activités type le (iii) vulnérables ; plus les populations les notamment projets, sous les par touchées population de type le sous du système de suivi et évaluation déroulement doit examiner : (i) le nombre de le projets financés dans les communes comprendrevulnérables ; (ii) de pas permettent ne projet. En outre, le niveau d’analyse elles de l’efficacité du FAP mais ne doit pas être financières le sous projet mais plutôt la commune. et Le physiques réalisations les généralement été ont présentant tableau mesures un comprennent OCB cesdes finals rapports mais les technique : que administrative résultatsplus nature d’une aux décaissements les lié ont explicites mesures FAP. Des du l’utilisation de l’impact de appréciation une pas permettent ne utilisées d’évaluation actuellement méthodes Les paiement deladernière tranche :résiliation. : démarrage du annulation ; (iii) du notification démarrage à la fin des travauxla : suspension temporaire à et définitive ; (iv) de projetla fin des travaux au du l’approbation de (ii) ; du promoteur l’approbationle à par abandon projet l’avant/ désistement de : (i) projet projets : sous des œuvre en mise de et dossiers des traitement de étapes pouvoir assurer,égalementcollaboration en avec instancesles décentralisées l’AGF,de doit personnel OF.Ce mesurela l’efficience de l’engagementdes FAP,santé,du de services différentesaux des l’utilisation sur feedback le et des CLLS dans le suivi de la mise en œuvre du PSN et la mesure de l’impact de ses activités, à assurerl’encadrementpour évaluation, et suivi traversen êtrerenforcéequalifié doit recrutement personnel Elle le de par l’autoévaluation Analyse delaréponse ème

75 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse s t effor

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s n t me u r t s n Madagascar. Durant la période 2002-2006, les liaisons fonctionnelles et hiérarchiques entre ces différentes structures différentes Ces ces mécanismes appuient le entre CNLS et hiérarchiques le SE/CNLS et de dans la l’organisation fonctionnelles lutte contre liaisons les IST les et le VIH 2002-2006, et le période Sida à la Durant Madagascar. suit : comme représentées être peuvent développement de Madagascar. Il doit être accompagné de la mise en place ou dynamisation de comités techniques techniques comités de dynamisation Le ou place en mise Groupe la de accompagné Thématique être doit Il Madagascar. de de développement l’ONUSIDA constitue une secteurs. des activités des partenaires sous sectorielles dans les différents et commissions pour la coordination structure de coordination interne des partenaires au Groupe thématique et comités techniques. et comités thématique techniques. Groupe Country Coordinating Mechanism Country Coordinating récemment a (CCM), Mechanism Coordinating nationale Country de le L’instance coordination du pays Tuberculose, pour la la gestion et des subventions Paludisme octroyées par le le Sida, Fonds Mondial le de et VIH le contre lutte de travail par le CNLS pour le groupe est coordonné CCM Le de coordination. nationaux aux dispositifs ajoutée été VIH/Sida et est composé de d’universités, du représentants secteur privé et de du PVVIH. Il a Gouvernement, pour mission de soumettre, suivre des et évaluer les actions financées grandes mondial. par le Fonds organisations donatrices, d’ONGs, Forum des partenaires des partenaires Forum Présidé partienationale. la de leadership le sous placée coordination de structure une est partenaires des Forum Le par le Secrétaire du Exécutif Gouvernement, du du CNLS, représentants il des a composé est pour Il SE/CNLS. secrétaire du le ressources Responsable des de Mobilisation la l’Unité de et chargée Partenariat du Développement du Système des Nations Unies, des agences de coopération bilatérales et multilatérales, de la société civile y compris les associations des PVVIH et le internationaux partenairesSecteur leurs Privé. Ilet malgaches a nationales pour institutions mission les de : entre (i) coordination assurer un de cadre forme formel plate de de servirconcertation et ; (ii) promouvoir et maintenir une vision actions des partenaires commune ; (iv) des l’implication renforcer secteurs non de traditionnel telle que le secteur la privé dans la lutte ; (iii) réponse nationale assurer ; (v) faciliter et l’harmonisation appuyer les efforts de et mobilisation des ressources du la Gouvernement auprès de synergie des diverses sources de financement, y compris le promouvoir MondialFonds (vii) et ; les Madagascarfinancements privés à ; (vi) SIDA accroître et le soutenir contre lutte la dans financiers partenaires des motivation la et l’engagement participer(viii) ; stratégiques d’informations échanges aux grâce transparence de et d’ouverture environnement un à la création et à l’approvisionnement régional à d’un travers l’initiative de l’Océan Indien fonds contre le VIH et le de Sida ; (x) partenariat organiser le soutien des national partenaires au développement ; (ix) de la participer réponse au décentralisée par partenariat soumises. le les questions qui lui seront toutes de et la résolution dans l’examen national comité biais sous de partenariats provinciaux et locaux ; (xi) appuyer le Comité Technique Multisectoriel Comité Technique Le CTM a pour mandat de veiller à ce que le caractère multisectoriel de la lutte VIH contre le et le Sida soit pris en compte dans du l’opérationnalisation Plan Stratégique National. Présidé par le Secrétaire à la Planification de la Présidence Républiquede (Chief of Staff),la Il est composé des des Groupes Stratégiques représentants différents Sectoriels (GSS), comprenant les chefs de file des ministères et de représentants de la société civile, secteur y privé compris et le des PVVIH. Son secrétariat est assuré par le Secrétaire Exécutif du CNLS. Il la pertinence des aspects (ii) et garantir techniques décider sur examiner de les la orientations lutte; opérationnels a pour mission de : (i) et l’utilité de l’opérationnalisation des mobilisation des plans ressources humaines, financières et matérielles nécessaires à la sectoriels lutte contre le VIH et le Sida ; et (iv) intersectoriels ; veiller à l’utilisation (iii) rationnelle et efficace participerdes ressources ; mobilisées (v) au proposer aux instances plaidoyer cas de de décision besoin) pour (en des dispositions techniques la visant à l’amélioration de institutionnel, l’environnement juridique et et le Sida. VIH le contre éthique de la lutte 5.1 I 5. RENFORCEMENT DU PARTENARIAT ET DE LA COLLABORATION INTERNATIONALE COLLABORATION ET DE LA DU PARTENARIAT 5. RENFORCEMENT 2 ème Partie 76 et l’appui attendu auniveau central pourrenforcer laréponse. renforcer une compréhension commune de la mise en œuvre du PSN à son niveau opérationnel de mise en œuvre 2006, doivent être généralisées, pour le niveau décisionnel et le niveau technique. Elles offrent une de opportunité en SE/CNLS le par initiées terrain, le conjointessur suivi de Lesvisites membres. des participation la maximiser de permettre devrait trimestrielle, ou semestrielle base une sur commun, en définies tâches des pour instances, des tenue de annuel calendrier d’un définition La réunions. des l’utilité maximiser et chevauchements les éviter pour techniques, instances aux rapport par décisionnelles instances des responsabilités les et composition la donc, et De façon générale, les termes de référence de chacune de ces structures doivent être revus, afin de clarifier les rôles les axesdoit d’interventions despartenaires. qui partage de outil un comme conçue est permettre de s’informer sur données l’agenda des partenaires, sur les actualités concernant le de VIH et le Sida, sur les zones et base Cette Madagascar. à des projets SE/CNLS des du et programmes partenaires des d’ensemble vue une public au fournir et partenaires ses et SE/CNLS le entre qui ont désigné des points focaux pour surveiller la saisie des que d’offrirainsi données.projetsLespartenaires.informationsdes des des sur informationsdétaillées partenaires sontgéréesles par rapports des activités, Elle des complètea liste partage pour une compris objectif de y d’améliorer rapports, de instrument la variété une coordination publier un de utilisateurs comme conçu aux partenaires, permet qui www.partenairecnls-Sida.mg) (site ses ligne en données de de base une place en activités mis a d’information.Il des répertoire un élaboré a SE/CNLS Le Répertoire despartenaires etbasededonnéesenligne Schéma 8:Organisation delalutte contre leVIHetSidaàMadagascar Analyse delaréponse ème

77 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse et ITT).Travail

aires t priori

rs u e c t se

les

s n a d

se n po é r

la

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n io t ra n t é g Stratégies sectorielles Stratégies La réponse en milieu du travail a poursuivi la d’intégrer l’objectif lutte contre les IST et le VIH et le principalement Sida d’entreprise, celles en qui milieu ont une couverture nationale et intervenant partenaires des sont coordination la localisées assurer dans Pour les Antananarivo). pôles intégrés Taolagnaro, de Be, Nosy (Antsirabe, croissance en milieu du travail, le Partenariat de SE/CNLS approche une sur fondée est Sida le et a VIH le contre lutte mis la dans en d’entreprise milieu du place L’implication un groupe thématique et fait paraître risque un au sensibles bulletin toujours d’information. pas sont ne entre entreprises les le Madagascar, Public à et VIH du le visibilité non Privé la (PPP), de raison où en Cependant, chaque réalisations partieprincipales Les prenante financier. l’investissement apporte de plan le une sur motivation leur contribution limite qui ce technique l’infection, par ou posé financière. en milieu d’entreprise : incluent (i) la signature de PPP avec GIHTNB ANGAP, (groupement Epsilon, BNI-CL, SMIM, Qit l’hôtellerieinterprofessionnel Minérale et Madagascar, de tourisme de Nosy be), et UNIMA Air Madagascar, de Epsilon, Impérial TOTAL, BNI-CL, de Air politique Mad, et plans d’action par : ORANGE, STAR, OSTIE; (ii) l’élaboration Galana, Tobacco, OSTIE, QMM, SMIM, ; VITOGAZ (iii) des enquêtes CAP comme base de référence pour le suivi évaluation et des activités par ; Educateurs Pairs les par organisées ORANGE, sensibilisations de campagnes des (vi) ; STAR, BNI-CL,TOTAL Mad, Air BNI-CL, Air STAR, ORANGE, ; Mad, TOTAL (iv) la formation des Pairs Coprésidents les par Tripartite Educateurs d’une Déclaration signature la (viii) ; distributionet préservatifs de promotion la (vii) par du Conseil National du Travail (CNT) et d’un l’élaboration plan ; standard (ix) la formation des membres (x) du l’autoévaluation des ; CNT compétences par Jovenna, Jirama, BFV/Société Générale, Madahazotsara, Colas, Madarai) pour identifier les carences de l’entreprise en matière de lutte contre le intensité VIH coordination fortes à et et projets les le identifier travers Sida, à les pérennes constituer structures pairs de une place ; en cellule éducateurs mise de la (x) (xi) ; éducateurs la pairs des formation et formateurs des membres de la cellule de coordination, des de main d’œuvre (HIMO) à Antananarivo, Taolagnaro et dans 40 entreprises a pour abouti la à la région formation de et Vatomandry, qui sensibilisation de près de 4 zone ; franche) (x) 000 directives pratiques VIH sur et le monde du (version travail malagasy) ; travailleurs (xi) manuel de formation (l’initiative est en voie d’être étendue à la à partirélaboré recueil. de ce La collaboration avec le secteur sécurité s’est traduite par le et développement VIH/Sida pour d’un une projet couverture nationale de des lutte Forces Armées. Les contre Forces Armées les comprenant les IST Militaires et Gendarmeriela Nationale constituent de l’ossature du l’effectif sous-secteur public de la Sécurité, soit 49.27% de la population totale et dans une perspective de coût efficacité, une cible prioritaire pour le Le sous-secteur. projet a pour objectif général de maintenir la VIH prévalence du à moins de 1% dans une population vulnérable d’environ 25, 000 militaires, dont 5 à 7000 jeunes, pour la plupart national sans pour instruction, deux engagés ans. annuellement Il dans a le pour service objectifs spécifiques de : (i) institutionnaliser dans la les lutte Forces PEC Armées de contre structures ; les les (ii) vers VIH IST augmenter le et séropositif dépistage dépisté VIH/SIDA armées de forces la des personnel syphilis du et référence du la VIH assurer (iv) ; ; (iii) classiques augmenter la PEC des cas d’IST médicale et de soutien psychosocial ; (v) augmenter l’utilisation du préservatif lors des comportements à risque ; les (vi) capacités renforcer de gestion Armées. Le projet de a des programme une Forces couverture Les nationale. présentes Malagasy, (FSFA) Armées Forces des Sanitaires Formations 98 les dans dispensés seront cliniques services sur du l’ensemble territoire et qui dépendent de la Direction Centrale des Services de Santé Militaire. personnel de En l’armée à tous les pour effet, niveaux dépend les des soins FSFA le de Le santé. personnel de la gendarmerie dépend des pour FSFA les soins de santé pour le niveau provincial, régional et de district. Les brigades et avancés (269 postes unités 7750 regroupant gendarmes) sont pour aux réf Les réalisations sectorielles concernent essentiellement le secteur de la santé (Ref. II. Mise en place et renforcement renforcement et place en Mise II. (Ref. santé la de secteur le essentiellement concernent sectorielles réalisations Les des services cliniques préventifs et thérapeutiques) et de Communication l’Information pour et le Communication changement (Ref. de III. comportement Plaidoyer et et est le maintenant dans changement sa normatif).phase de Le démarrage avec secteur l’élaboration d’un Infrastructure plan (coordonnateurs d’action et de la formation de projets, personnel secteurs, autres les Dans miniers. (PIC) formateurs programmes les et Croissance de Intégré Pôle projet le tels développement, et pairs éducateurs) elle a été limitée, en relativement dépit de la mise pour à disposition des secteurs d’un budget alloué par le PMPS pour des projets (4 sous projets de sous projets le financement d’envergure nationale et de Réalisations sectorielles Le Groupes Stratégiques Sectoriels ont développés des plans stratégiques sectoriels qui clarifient le rôle catalyseur catalyseur rôle le clarifient sectorielsqui stratégiques plans des développés Sectoriels ont Stratégiques Groupes Le de huit secteurs-clés : Travail, et Population. et Jeunesse Education Santé, Secteur rural, Développement Communication, Sécurité, Infrastructures (tourisme, transport, travaux publics), Information et 5.2 I 2 ème Partie 78 or e etu d lifraincmuiain Rf II Padyr t omncto pu l cagmn de changement le pour Communication et notamment Plaidoyer etlechangement normatifetIV.comportement cibles, enplace etstimulation delaréponse Mise locale). III. ces (Ref. de l’information/communication direction de en réponse secteur de le capacités pour les (iii) Plan ; Acrion Madagascar du cadre le dans prévus investissements les (ii) mobiles ; travailleurs les exemple, par sous-tendant l’infection, vulnérabilité de transmission et de risque dynamique la de facteurs des l’analyse par prioritaires comme identifiées cibles les (i) de : Les autres secteurs – publics et privés - devant intégrer la lutte contre le VIH et le Sida doivent être définis sur la base évaluation, …). et suivi planification, de capacités procédures, plan, (personnel, VIH du pour prévention de besoins matière leurs en place définir leur pour tenir publics secteurs des institutionnels audits des mener (iv) locale) ; réponse la des stimulation et (Ref.décentraliséplaceniveau IV. en au public Mise secteur le dans Sida le le et et VIH IST FAP.contreles le lutte la travers de à sectorielle l’intégrationfavoriser sectorielles de opportunité stratégies une représenteces locale réponse de la de œuvre renforcement Le en une mise assurer la (iii) pour leadership ; privés le opérateurs assurent des ils accrue dont mobilisation nationale réponse la de composantes des et l’expériencetechnique de gestion capitalisation et la documentation la dans ministères des capacité la renforcer (ii) plaidoyer ; outil comme de secteurs différents semble les sur Il l’infection de tangibles. d’impact résultats études des des mener par (i) des soldés de : nécessaire sont suivi déjà se d’oreset de qui mécanisme ceux échelle d’un a l’absence porter (iv) pour projets budgétisés ; sous projets des réalisations sous en d’action plans les traduire à Sectoriels (ii) la faible implication des responsables des institutions ; (iii) la faible capacité technique des Groupes Stratégiques dans et par ces secteurs. Les problèmes déjà identifiés incluent : (i) la léthargie du Comité TechniqueUn ; diagnostic multisectoriel précis des goulots d’étranglement s’impose pour renforcer l’intégration de la programmation VIH/Sida delutteaux interventions contre le VIH etleSida. destinés budgets les d’affecter et VIH d’intégrerle occasion une publics secteurs aux offrePlan (PGE) Le l’Etat réponse.de général de secteurs-clé que parce VIH/Sida, programmation la de l’intégration pour prioritaires publics de la réponse nationale. Les Secteurs de la santé, de l’Education et de la Sécurité renforcementont été identifiés de comme secteurs majeur axe un pourtant représente VIH/Sida et IST les contre lutte la L’intégrationde sectorielle enmilieuextrascolaire.interventions sportives « Fédérations les le avec dans partenariat (Cyclisme d’un création La interventions. des qualité de termes en améliorée et milieu extrascolaire. L’intégration de la en scouts, lutte les activités par contre et Des ONG les des IST Nationale. par et écoles l’Education les dans VIH/Sida œuvrede dans en mises le Sida sont secteur » d’éducationskills du « life des l’acquisition et vers doit orientées VIH être du renforcée et IST des prévention la à et responsabilité la à vie, la à être utilisés par les enseignants, les éducateurs et les jeunes isolément ou dans le cadre du programme d’Education la prévention des IST et du VIH et du Sida ont été développés à l’intention des lycéens et des collégiens. Ils peuvent secondaires et et primairesun manuel écoles à des été curriculum développé à le l’usage dans des intégréenseignants. été Deux a CD Sida ROM sur le la et en vie affectiveLeVIH et ». servis sexuelle et mettremal cible « jeunes population à la jeunes des capacités des renforcement initiativesdes innovatricespar profit de le au leçonsapprises les appliquer à conceptsantéet pratiquesexuellele de inclut Il promotionnelles. et éducationnelles d’activités Santé de Centres assurant le des traitement des IST et le l’implantationdépistage du VIH et la mise en place par de clubs de jeunes pour le développement matérialisé est programme Ce qualité. de services des et VIH/Sida et IST 22 les préventionla pour des informationbase sanitaireune de disposition régions Madagascar.leur de mettreà dans à vise Il ans 24 à 10 de âgés jeunes les ciblant programme d’un développement le appuie Gouvernement Le commercial etdansleslieuxderencontre. réseaurenforcerle pour par civile populationpériphériques communes l’accessibilitéla les à dans préservatifs des PSI par œuvre en mise sera social marketing de stratégieForces une Armées,des sein au promotionnel fimailo du promotion et distribution de stratégie la privés de com taekwondo, natation) offre une avenue pour renforcer les renforcer pour avenue une offre natation) football, taekwondo, », cycliste Mada de Tour ème 79 2 Partie Trois Trois principes Analyse de la réponse de la Analyse al n s io t n d a n fo

er es n t d i

n t io t aria n e ilisa t b o ar La contribution financière de l’Etat à la lutte contre le VIH et le Sida est inscrite dans la loi des les finances votée parlementaires par l’année précédant celle en exercice. Cette contribution consiste en de : l’état (i) des l’appui ressources par humaines, le des budget coûts récurrents de infrastructures sanitaires au niveau du secteur fonctionnement public ; (ii) la contrepartie et nationale sur les projets financés par une des partie de la rénovation sources des extérieures (dons ou prêts) sous forme de paiement des d’importations. taxes sur la valeur ajoutée, des droits et taxes Le Fonds Mondial engagé s’est pour un montant de 19 942 858 USD pour la biais lutte des projets contre des Roundsle VIH 2 et et 3. Deux le organisations non Sida gouvernementales internationales ont par été désignées le comme Bénéficiaires Principaux des subventions pour le Round 2, le Catholic Relief Services (CRS Madagascar) et deux Ces USD. 5 024 116 et 624USD 1 503 de respectifs montants des pour (PSI), ServicesInternational Populations prise la adolescents, des reproduction la de santé la CCC, la de domaine le dans secteurprivé le appuyé ont projets en charge des IST et le dépistage du VIH. Ils sont actuellement en fin de leur phase 2. le Dans Fonds le Mondial cadre du a dont Round accordé subvention, 3, au cette de Gouvernement Principal Bénéficiaire de comme désigné Madagascar été a un SE/CNLS Le financement 2006). Octobre de à 2004 13 415 (Novembre 118 USD sur deux ans les activitésdu réseau sont de sur centrées de centres l’extension VIH, dépistage la du prise en charge médicale et projet ce de 2 phase La vulnérables. enfants et orphelins socio-économiqueaux l’appui et PVVIH des psychosociale 2007. au 31 octobre se terminera et approuvée d’être vient s’élève Sida du et VIH du Prévention la pour Multisectoriel Projet le travers à Mondiale Banque la de financement Le à 20 000 000 USD pour la renforcement période propagation le 2001-2006. et des Ce projet projet IST/VIH/Sida de a gestion à contribué la travers (iv) au ; financement quatre d’évaluation du : et composantes stratégies PSN suivi (i) et pour de plans endiguer système le un la d’actions financement (iii) sectoriels ; ; de activités nouvelles (ii) l’élaboration les un de et Fonds existantes principaux pour financer les activités de prévention des des IST/VIH/Sida capacités organisationnelles et juillet institutionnelles. 13 ouvre en mise de ans (période quatre sur USD 000 Une 30 000 de montant un pour signée déjà été a deuxième première, phase de ce projet, en continuation 2005 au de 30 juin 2009, la date probable de au clôture 31 décembre 2009), secteur et au l’appui qui Pour coordination. la à est appui transport)et jeunesse, à sécurité, éducation, (santé, forte clés secteurs aux composante CCC, appui des traitement de kits de et masculins préservatifs de l’achat à aussi contribuera Banque la par alloué fonds le santé, contribution IST de Cette classiques. la Banque doit comme un considérée être de financement dernier en recours appuis. des autres complément transmissibles maladies les contre lutte la à d’appui projet un finance (BAD) Développement de Africaine Banque La et Sida le et VIH le IST, les notamment 2006-2010, période la sur compte de d’unités 600 000 11 de montant un pour renforcement le sur essentiellement focalise se l’appui Sida, le et VIH le et IST les concerne qui ce En Tuberculose. la 5.4 M Le Le pays bénéficie également d’un appui d’études, réalisation technique la pour …) international Baltimore, (University de Hopkins Johns Northde Université Carolina, Atlanta, CDC Measure International, Health Evaluation, Family enquêtes ou formation au niveau national et favorise le renforcement des compétences et échange d’expérience en gestion, coordination et aspects techniques de participation la lutte aux contre conférences, le ateliers SIDA à et travers formations des avec branché au sur lui mondial, niveau les permettant de réseaux de l’ONUSIDA des faire échanges d’expériences sous-régionales, voyages régionales d’études et et sa mondiales. Le SE/CNLS les autres est pays du monde en terme de meilleures pratiques. Il partagerde est initiatives les a initié un L’objectif Madagascar. à processus Sida le et VIH le de contre lutte la de domaine le dans » Practices documentation des «Best et les orientations prises par le SE/CNLS et ses partenaires dans les trois domaines : suivants les « Collaboration internationale Collaboration d’unicité », la Réponse Locale et la Communication pour le Changement de Comportement. Il d’un s’agit exercice dans régions d’autres géographique couverture la assurant en années prochaines les durant poursuivi être doit qui des connaissances. de la capture le cadre Collaboration régionale Collaboration Le SE/CNLS est membre du Groupe Thématique SIDA au niveau de de la Australe, mis l’Afrique en région place pour Océan favoriser les Indien échanges et et la collaboration de entre les pays la des sous sous régions. région Le troisième colloque international de Français la Gouvernement le par financé l’un COI, la de cadre le dans signés Commission été ont sous-régionaux projets nouveaux de l’Océan Indien s’est tenu à Madagascar et (2004). l’autre, par Deux la Banque Africaine de Développement (BAD) pour renforcer les en dispositifs charge des de PVVIH. prévention La BAD et appuie la prise COI dans la mise en place d’un observatoire régional du VIH et du Sida et la formation du personnel de santé en prise en charge du collaboration en VIH. matière de lutte Madagascar contre VIH le et le envisage Sida avec également les pays de de la sous région à renforcer travers la la Communauté (SADC). Australe de l’Afrique pour le Développement 5.3 P 2 ème Partie 80 La contribution des partenaires àlaréalisationLa contribution despartenaires duPSN2001-2006peutserésumer comme suit : orphelins, enfants desrues, HSH),contrôle desIST, CTV. sexe, de (travailleurs vulnérables groupes aux appui SRA, santé, de produits des social marketing dépistage,CCC, d’interventionssuivants: domaines les dans contribuent internationales gouvernementales non organisationsLes de associations des capacités des renforcement le etlesystème desuiviévaluationPVVIH national. travail, de milieu en Sida du et VIH du l’intégration sur appui son Coopérationessentiellement focalise TechniqueLa (GTZ)épidémiologique. dépistage, Allemande surveillance de la dans centre et de et d’informationcentres de place en mise la dans SE/CNLS le temps même en appuie et MINSANPF,du sein au programme VIH/Sida au permanente technique assistance une fournit Développement de L’Agence l’UE. Un par financésdéveloppement de projets les intégrédans est transfusionnelle. Sida le CCCvoletle et sur VIH Française sécurité la de organisationnel et légal cadre du l’élaboration appuyé a L’UnionEuropéenne (scouts, sportifs, écoliers) en collaboration avec le SE/CNLS, renforcement la institutionnel au niveau du et secteur Santé. stigmatisation la contre dont les lutte domaines d’intervention de sont : santé communautaire matière incluant le en VIH et plaidoyer le Sida, au projet SantéNet projet traversle à santéde L’USAIDla discrimination. à programmed’appui un financièrementCCC aussi (iv) appuie chez les sexe jeunes de travailleurs les comme vulnérables groupes les CCCciblant de programme au (iii) IST des contrôle le SSG, la recherche, la à technique assistance travers une à (ii) PSI par oeuvre en IST,mis programme des traitement au de kits (i) des et masculine : préservatif du contribue L’USAIDsocial marketing suivante: de manière la de réponse la appuient bilatéraux financements Les prévention. Le PAM intègre laCCC surle VIH danssonprogramme d’appui auxcantines scolaires. en matière politique de lutte de contre place le en VIH et mise le Sida la en milieu dire de travailc’està et l’encadrement Sida, le dans la et mise en VIH oeuvrele des contre activités de lutte la pour employeurs) – employés – (état l’accordtripartite de oeuvre du en National TravailConseilmise au la technique dans assistance une fournit BIT Le de internationale. technique assistanceactivités une aussi fournit les Elle L’UNFPAmilitaires. les finance et femmesévaluation. les jeunes, les suivi chez prévention le et coordination la stratégique, planification la de domaines les Ones”,dans du “Three notamment principes des effective place en mise la consultantsdans internationauxdes ou par nationaux SE/CNLS au technique appui un L’ONUSIDA apporte PVVIH. des charge en prise la et VIH du développement de politiques, guides, normes et protocoles. Elle apporte un soutien dans le domaine du dépistage le Familialdans Planning du et Santé la de Ministère au L’OMSrenforcementinstitutionnel.assistance une fournit au soutien L’UNDPson PVVIH. ainsi focalisede associations aux appui un également offre Il Locale. Réponse la de développementle Régions, et niveaudes au SE/CNLS décentraliséesdu structures des place en mise la PVVIH, des traversstratégique,planificationlutteà en appui un processus le pour d’élaboration le sur loi la droitsde les et VIH environnementla propiceL’UNDPd’un à placeSida. en du du médicamentsmise et et la VIH dans SE/CNLS le aide appui son et techniquel’enfant, de mèreet la santéde de santéproduitsde des logistique services la les à dans et voletPTME au financier expertise son aussi L’UNICEF apporte enfants. des droits les sur accent un avec Justice), et Education Santé,(Population, clés ministères aux l’appui travers à vulnérables enfants et orphelins aux soutien au et scolaire milieu en prévention la à soutien son L’UNICEFUSD. apporte 500 10 916 de montant un pour 2009 Le Système des Nations Unies apporte son appui à la réponse multisectorielle à travers son plan quinquennal 2005- des maladiestransmissibles. renforcement de capacités du PNT (formation du personnel, équipements de laboratoire) et la surveillance intégrée le renforcement du réseau de communicateurs, l’amélioration de l’accès aux services de (3 CTV fixes et 2 mobiles), le précautions universelles (consommables), la formation initiale du personnel de santé (en PEC médicale des PVVIH), de la sécurité transfusionnelle par la mise en place d’un réseau de centres de transfusion sanguine performants, les Analyse delaréponse ème 81 2 Partie BM/PMPS,UNDP,GTZ BM/PMPS, UNICEF,GF,UNDP, BM/PMPS, UNDP BM/PMPS, BM/PMPS BM/PMPS,UNDP,GTZ USAID Partenaires Partenaires BM/PMPS,GF,BAD,UNICE F,UNFPA, UNDP,AFD,JICA Analyse de la réponse de la Analyse Diffusion mesure IST, de stratégies Elaboration d’accompagnement de PEC des PVVIH, politique et politique de Famille de PEC psychosociale, remplacement nationale sur la Mise à jour de la politique nutrition Mise à jour du PSN en de la politique et stratégie Mise en œuvre de texte et élaboration de transfusion matière législatif de des capacités des structures Renforcement coordination Multiplication et diffusion d’application de décret Elaboration Mise à l’échelle de la réponse locale sectorielles des stratégies Mise en œuvre Mise à l’échelle la continuité du système Assurer Sensibilisation des leaders pour la participation au particulier en de dépistage programme En cours/envisagés Elaboration de lois pour la protection des des de lois pour la protection Elaboration des PVVIH droits Mise en place de la réponse locale (CLLS) de plans locaux et mise en œuvre Elaboration (PLLS) le SIDA contre de lutte multisectoriels et de coordination Mise en place de système par la réalisation d’information d’échanges national et régionaux, de de fora de forum partenaire Mise en place et appui au fonctionnement des Mise en place et appui au fonctionnement de coordination structures sectorielles des stratégies Elaboration des leaders forme Mise en place Plate de à l’échelle nationale religieux Elaboration de documents politiques Elaboration PEC PU, ST, (PTME, CTV, et stratégies médicale, communication, plaidoyer, nutrition, planification préservatifs) Axes programmatiques actuels programmatiques Axes Réalisés : Mettre en OS1.2 : Mettre place un mécanisme de planification multisectorielle OS1.3 : Promouvoir l’implication des leaders Objectifs : Création environnement propice à une lutte multisectorielle efficace multisectorielle à une lutte propice n°1 : Création environnement stratégique Axe OS1.1 : Instaurer un environnement institutionnel, juridique et éthique Tableau 18 : Contribution des partenaires à la réalisation du PSN 2001-2006. à la des partenaires 18 : Contribution Tableau 2 ème Partie 82 Analyse delaréponse par voie sanguine OS 2.4 :Prévenir latransmission desIST/VIH/Sidaincidence OS 2.3 :Réduire laprévalence/ méthodes deprévention population àl’information etaux OS 2 .2:Améliorer dela l’accès auVIH/Sida face comportement àmoindre risque OS 2.1:Promouvoir le Objectifs Axe moyens informations etaux stratégique aux n°2 :Amélioration del’accès deprévention Programme descreening dedespochessang sensibilisation Promotion dudonbénévole desangàtravers la précaution universelle etdegestion dedéchet Equipement descentres enmatérielsde injections santé enprécautionuniverselle etsécuritédes Renforcement descapacitésagents de dépistage (CTV, PTME,CDT) etde decounseling deservices Mise enplace Promotion etdistributiondepréservatifs curriculum scolaire Intégration duthèmeIST/VIH/Sida dansle d’informationsservice surlesIST/VIH/Sida decentreMise enplace etde dedocumentation Mobiles deVidéo (UMV) etopérationnalisation desUnités Mise enplace de groupes d’écoute Distribution deradios manivelles etmiseenplace éducateurs)OCB, pairs des (financement participation delacommunauté interpersonnellecommunication àtravers la Intensification delamobilisationsocialeet médias, lamiseenœuvre de Unitémobilevidéo de proximité àtravers lepartenariat avec lesmass Intensification demasseet delacommunication cliniques (IST, CTV, PTME)etlespréservatifs delademandepourlesservices l’augmentation de lastigmatisationetdiscrimination durisque,laréduction sur lapersonnalisation Plaidoyer axés etcommunicationcontinue Développement d’outilsdecommunication Réalisés Axes programmatiques actuels réactifs etconsommables Approvisionnement en desCTS continu atteindre l’objectifde100%sang testé Renforcement pour descapacitésCTS et gestion informatisé d’assurancequalitédesproduitscontrôle propre àlatransfusion sanguineavec équipement desstructures duréseau géographique et parlaconstruction Renforcement delacouverture et surlamaintenance deséquipements surlasécuritétransfusionnelle hospitalier du réseaudetransfusion sanguineet Renforcement descapacitésdupersonnel Extension pourlacouverture nationale Mise enoeuvre duprogramme d’information enéquipement Renforcement descapacitéscentres régions Extension pourlacouverture detoutes les Renforcement delasociétécivile Mise àl’échelledeladistribution élaborés Multiplication etdiffusiondesoutils En cours/envisages BAD, OMS. OMS, BAD BAD UNDP. BM/PMPS, GF, BAD, GF, UNDP, BAD BAD, AFD. GF, OMS,UNICEF, UNFPA, USAID. BM/PMPS, GF, BAD, UNICEF BM/PMPS, AFD BM/PMPS, GF, USAID BM/PMPS, GF SUISSE. Coop. JICA,AFD, UNDP, USAID, GTZ, BAD,UNICEF, UNFPA, BM/PMPS, GF, USAID BM/PMPS, UNICEF, Partenaires ème 83 2 Partie Partenaires Partenaires BM/PMPS, USAID BM/PMPS, USAID BM/PMPS UNICEF GF, UNICEF GF, UNICEF GF, UNICEF GF, UNICEF GF, OMS UNICEF, GF, GF, UNICEF GF, GTZ UNDP, UNDP GF GF, UNDP, OMS. UNDP, GF, BAD,OMS, GF, URSIDA/ UNICEF, AFD COI, GF,OMS,UNICEF. OMS BAD, GF, BAD GF, OMS, AFD GF, OMS, UNICEF GF, BM/PMPS Analyse de la réponse de la Analyse Extension de la formation à tous les prestataires de services et les prestataires à tous de la formation Extension suivi formatif classiques. de IST de PEC Mise à jour des algorithmes de X districts. au niveau Mise à l’échelle des centres de santé. du système les niveaux Diffusion des outils à tous mise en place d’assurance d’un système qualité des services intégrés PTME dans les formations sanitaires. PTME existants. les centres de tous Opérationnalisation des servicesMise à l’échelle de l’intégration CPN/PTME/IST/ ) ARV prophylactique PF/TB VCT/PU/PEC (couverture du suivi des performances Renforcement maximale des clients IST/VIH). Suivi formatif. Renforcement de la capacité de prise en charge des structures des structures de la capacité de prise en charge Renforcement d’appui aux OEV de l’appui aux associations des PVVIH. Renforcement Multiplication et diffusion des guides. des mères Mise à disposition du lait artificiel pour nouveau-nés séropositives. sur la nutrition. de guide Elaboration En cours/envisages au niveau prise en charge de des structures Mise à l’échelle de référence/ du système des 22 régions.Opérationnalisation un continuum de soins de pour assurer référence contre qualité. et des stratégies fixe de dépistage Mise à l’échelle des centres mobile. de dépistage du VIH dans les services de de routine du dépistage Intégration sanitaire. de la pyramide niveaux soins de santé aux différents Mise à jour Suivi formatif. à équiper. des structures Extension de suivi biologique technique Mise en place d’un plateau des 111 districts pour les réseaux de prise au niveau standard des PVVIH. en charge de pharmacovigilance Mise en place d’un système Axes programmatiques actuels programmatiques Axes Approvisionnement en médicaments Genicure et Cura 7 et Cura en médicaments Genicure Approvisionnement sur la prise en charge Révision du guide de formation des IST intégré (CPN/PTME/ d’outils de gestion Développement etc.) IST/PF de capacités des services offrant Renforcement la dotation en de PTME à travers des prestations du personnel de santé. équipement et la formation de la capacité managériale des Renforcement régionaux et de au niveau de programme gestionnaires districts. sur les activités de curriculum de formation Elaboration PTME et management en réactifs et consommables de Approvisionnements dépistage. Renforcement de la capacité du personnel de santé sur Renforcement syndromique par l’approche des IST la prise en charge PTME dans 48 districts Mise en place de centres sanitaires Mise en place de structure de prise en charge des OEV de prise en charge Mise en place de structure Mise en place d’associations des PVVIH psychosociale de prise en charge de guide Elaboration des PVVIH Appui nutritionnel aux PVVIH. Réalisés Mise en place de centres de prise en charge des PVVIH de prise en charge Mise en place de centres et mise en oeuvre de dépistage Mise en place de centres identification mobile pour de dépistage de programme des séropositifs. sur la prise des curricula de formation Elaboration PTME et des protocoles médicale, CTV, en charge thérapeutiques du personnel des capacités des structures Renforcement et des biologistes de prise en charge pour le suivi technique Mise en place d’un plateau immunologique des PVVIH (équipements CD4) logistique pour la gestion Mise en place d’une structure des ARV O.S. 3.4. Réduire la O.S. 3.4. Réduire Mère transmission enfant du du VIH et Sida OS 3.3.Assurer la OS 3.3.Assurer des prise en charge IST. OS 3.2.Assurer OS 3.2.Assurer la prise en charge de psychosociale PVVIH et autres personnes affectées par le VIH et le Sida, y compris la nutrition. OS 3.1.Assurer OS 3.1.Assurer la prise en charge PVVIH médicale des Axe stratégique n°3 : Assurance stratégique des services de la qualité Axe Objectifs 2 ème Partie 84 Analyse delaréponse de décision. données pourlaprise les O.S.4.2. Capitaliser le Sida lutte contre leVIH et suivi évaluation dela lesstructuresplace de O.S.4.1. Mettre en Objectifs Axe stratégique n°5 :Développement internationale delacollaboration contre leVIHetSida. Objectifs Axe stratégique n°4 :Renforcement desuiviévaluation delalutte contre leSIDA et leSida mondiale contre leVIH régionale, régionaleet internationales: sous- des initiatives à lamiseenœuvre O.S.5.1- Contribuer les activitésdespartenaires. d’unebasededonnéesenlignesur Mise enplace debasesdonnéessurDEV-InfoMise enplace desmeilleuresDocumentation pratiques EDS, coinfection VIH/TB. biologique, comportementale,séroprévalence et Mise enoeuvre desenquêtes desurveillance Elaboration delacartographie durisque d’unsystèmeMise enplace desuiviévaluation Réalisés Axes programmatiques actuels d’études auniveau international conférences, ateliers séminaires etvoyages Participation àdesformations, colloques, Axes programmatiques actuels Réalisés programme. de gestion pourtoutes lescomposantes du Harmonisation dusystème d’information et des meilleures pratiques Continuité duprogramme dedocumentation Réalisation àrythmepériodiquedesenquêtes. national. la miseenoeuvre duplandesuiviévaluation Elaboration deplanopérationnelbudgétisé En cours/envisagés internationales. pratiques réaliséesdanslesrencontres Partage desinformations surlesmeilleures En cours/envisagés Partenaires GTZ, AFD, JICA, USAID. GTZ, AFD,JICA, OMS, UNFPA, UNDP, UNICEF, BM/PMPS, BAD, GF, BM/PMPS, UNDP, GTZ BM/PMPS, GF, GTZ UNDP, GTZ. CRESAN, UNDP, GTZ, AFD, USAID, OMS, UNICEF, UNFPA, BM/PMPS, GF, BAD, BM/PMPS, GF, GTZ. Partenaires ème 85 2 Partie Analyse de la réponse de la Analyse Sur la base des leçons tirées de la mise en œuvre mise du en PSN œuvre 2001-2006, de le ces Plan stratégies d’Action 2007-2012 à doit :: travers assurer (i) la le renforcement de de l’intégration développement du VIH nationaux et et du sectoriels, Sida avec dans un les plans accent particulieret de la sur ; sécurité (ii) le le renforcement des secteur capacités en de gestion de la programme, i.e en planification, santé, budgétisation, de gestion l’éducation des intrants et suivi et évaluation des performances par rapport à de (iii) la intra-sectorielle le coordination et renforcement du partenariat la des avec société civile, y compris le secteur objectifs annuels de couverture ; privé, avec un accent particulier sur le secteur de la santé, le secteur de la communication et notamment le dans les secteurs économiques ; vulnérables (iv) milieu la de décentralisation la gestion de pour programme du travail, une réponse multi-sectorielle coordonnée à son niveau opérationnel de mise en œuvre – la région et ses districts ; (v) l’intégration des prestations cliniques IST et VIH/Sida dans les services de routine aux différents niveaux de : (i) l’intensification de la PEC des IST classiques IST des PEC la de l’intensification (i) : inclure doit 2007-2012 d’Action Plan le 2001-2006, PSN au rapport Par dans une double optique de lutte la contre syphilis et réduction du risque posé par les IST dans la du propagation VIH et du Sida ; (ii) le passage « opt d’une in » « opt à stratégie out » une et stratégie la du généralisation dépistage de routine du VIH dans une triple optique de prévention primaire, amélioration du bien être et de PVVIH la et qualité prévention ; des positive (iii) la structuration d’un système de référence/contre référence opérationnel pour et entre les services de PEC clinique et les structures de soutien des PVVIH (continuum de soins et ; à psychosocial) (iv) la le fois passage clinique de la prise de conscience de la réalité du VIH et du Sida à risquela individuel personnalisation et du collectif à à VIH l’infection et la perception des avantages des comportements promus ; (v) le servicesles pour demande la de cliniques création la à comportementsdes responsables promotion la de passage ; à l’ABCD) (passage de l’ABC et thérapeutiques préventifs : (i) une définition et couverture couverture et définition une (i) : sont 2001-2006 PSN du œuvre en mise la dans rencontrées faiblesses principales Les insuffisante des groupes les plus susceptibles de contracter et diffuser dans l’infection la population ; générale (ii) directionde en interventions les pour prioritaires géographiques zones des définition la dans vue » à « pilotage un coordination une (iii) ; VIH/Sida programmation la de réduite sectorielle intégration une (iii) ; générale population la intra-sectorielle insuffisante dans le secteur crucial de la de ; santé la (iv) lutte un contre les IST démarrage classiques ; (v) tardif une dans couverture la des médicale dynamisation activités et de psycho-sociale dépistage des du PVVIH VIH insuffisante et par de rapport prise aux en objectifs charge ; nationaux qui (vi) s’est concentrée une communication sur programme, la du jeunesse la à promotion liées sont faiblesses de Ces programme. au l’ABC, aux relative documentation la dans dépens morcellement de la publique santé demande de priorités autres multiples de pour à greffé les s’est 2003, fin partirservicesde qu’à forme pris cliniques ; véritablement n’a qui (vii) un et de développement et dont la mise en œuvre a été sous-tendue par l’approche du « learning by doing ». Cette approche a permis de construire les fondations d’un programme structuré et éprouvé par en un les temps réalités record. du Elle terrain a également permis d’isoler les trois « piliers » du PSN 2007-2012 : de la (i) dynamique de ; la l’infection (ii) le compréhension et renforcement la décentralisation de la gestion de programme (personnel qualifié, outils et mécanismes) ; (iii) des l’intensification activités promotionnelles et cliniques dans les communes vulnérables, notamment à travers des aux «Initiatives Résultats Rapides» et la motivation des acteurs qui réalisent des objectifs réalistes. annuels de couverture La mise en œuvre du PSN 2001-2006 a été caractérisée par trois phases. La phase première (2002-2003) a été axée sur la mise en place des mécanismes institutionnels, la définition des axes majeurs la d’intervention, création d’un partenariat et la mobilisation des leaders pour un engagement des parties prenantes dans la la réponse nationale. mise La seconde en phase œuvre (2003-2004) de a été marquée par : (i) le renforcement du cadre politique et institutionnel de la réponse nationale, avec l’engagement présidentiel, la poursuite des Trois Principes et le d’Unicité du renforcement partenariat intersectoriel et de la soldé, collaboration à internationale, qui partirs’est de fin 2003, par une intensification sans précédent des activités, financées par un nombre croissants de partenaires ; (ii) la mise en place d’une « veille » informationnelle et d’un réseau promotion la sur de axée été a et communication pays du de communes des proximité qui l’ensemble dans Sida du et a VIH du permis de l’existence connaître faire des comportements sexuels à moindre risque (Abstinence, Bonne fidélité, utilisation du ; Condom) (iii) (iv) la ; préservatifs des mise et en thérapeutiques et préventifs cliniques services des disponibilité la de renforcement et place l’implication des Personnes Vivant avec le VIH (PVVIH) dans la programmation et la mise en œuvre des activités ; (v) une mobilisation des leaders locaux pour une organisation de la communauté et sa participation active les dans activités promotionnelles. La troisième phase (2005-2006) s’est traduite par menées une intensification lors des de activités la deuxième phase : (i) la Sida, stimulation l’adoption d’une approche du programme versus projet partenariat dans la gestion pour de la une réponse nationale et réponse un meilleur multisectorielle d’activités paquet du renforcement le (ii) ; nationaux systèmes les sur au fonds de bailleurs effortsdes des alignement VIH/ promotionnelles et cliniques de accompagné à mesures propres géographique et faciliter l’accessibilité financière des cibles aux services et le maintien de leurs ; droits (iii) la consolidation de la réponse œuvre locale dans qui 52% a des été mise communes en du pays et constitue un axe programmatique transversal, parce vers qu’orienté la décentralisation dans la gestion et mise en œuvre de pour l’expérience en des maximiser et l’efficience l’impact. Le Programme interventions national de lutte ; contre le VIH et (iv) le Sida la documentation et capitalisation commence à être au reconnu niveau international pour son a dynamisme consentis en et les qu’il investissements stratégique. de réflexion termes CONCLUSION 2 ème Partie 86 des ISTet VIH/Sida représentera novateur auPSN2001-2006. unaspect parrapport des groupes et communes (les plus) vulnérables pour l’intensification des activités de prévention et prise en charge financières pour assurer une couverture effective des groupes et communes vulnérables prioritaires. La priorisation participative/ ressourcesl’évaluationet des techniquestravaillemobilisation (viii) il la ; approcheet vit besoins il des l’individuoù par là une par réponse une pour caractérisés communautaire organisation et mobilisation la proximité (vii) diversifiés ; plus thèmes des de interactive sur communication d’une et informationnelle » « veille du l’efficienceet programmecontrelutteIST de les renforcement du VIH/SIDAet l’intensificationsanté (vi) systèmede ; du de d’une renforcement de perspective double une dans avancée) et fixe (stratégie sanitaire pyramide la Analyse delaréponse TROISIEME PARTIE

ORIENTATIONS STRATEGIQUES CADRE LOGIQUE CADRE DE SUIVI - EVALUATION BUDGETISATION TROISIEME PARTIE ème 89 3 Partie Une direction claire Une direction individuellement et collectivement au risque d’infection : LE risque d’infection au individuellement et collectivement MON PROBLEME EST SIDA COMPORTEMENT être correctement informé : LE SIDA EST UN PROBLEME PROBLEME UN EST : LE SIDA informé correctement être exposent qui capable d’évaluer les facteurs être DE le risque : CHANGEMENT façonagir de à réduire    a d i Chaque malagasy doit : Chaque malagasy S le

t e Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations VIH le

re n t o c

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n isio l’épidémie du VIH et du Sida est simple. Le succès dans l’atteinte des objectifs visés et l’obtention de résultats tangibles tangibles résultats de l’obtention et visés objectifs des l’atteinte par posé défi au réponse que la dans compris a Madagascar 2001-2006, période la durant expériences ses de base succès la Sur Le simple. est Sida du et VIH du l’épidémie dépendra en grande partie de services adéquats de l’innovation fourniture la et d’assurer effet en s’agit Il la niveaux. les tous à facilitant leadership un créativité par catalysée à la base, par l’implication active des communautés, tout en stimulant « une par réponse les gens là où » ils (réponse locale). et vivent informé Correctement travaillent sur VIH au l’infection et sur les facteurs individuels et collectifs de risque et de vulnérabilité, chaque élément de la société s’appropriera le problème lié au VIH/Sida, formulera des solutions adaptées au face à ce contexte problème et se local mobilisera pour mettre pour en œuvre ces solutions. faire Les actions à mener seront ainsi définies non seulement sur la base des meilleures pratiques internationales mais en conformité avec les priorités définies localement. « D’ici 2012, Madagascar sera un pays où tous les Malagasy et en particulier les jeunes sont des leaders conscients l’engagement dans la lutte des contre les IST et risques VIH/Sida. Chaque individu accèdera personnels, facilement aux s’impliquent méthodes de prévention appropriées et activement les utilisera avec de et soutien aux soins par le VIH.» et affectées personnes Individu, famille infectées et communauté apporteront façon responsable. La vision de Madagascar en matière de lutte contre le VIH et le Sida est la suivante : Sida est la suivante VIH et le le contre de lutte de MadagascarLa vision en matière 1.1 V 1. ORIENTATIONS STRATEGIQUES DU PLAN D’ACTION (2007-2012) DU PLAN D’ACTION STRATEGIQUES 1. ORIENTATIONS 3 ème Partie 90 Le Plan d’Action 2007-2012retient comme généraux objectifs : 1.3 O VIES ». façon à intensifier la mise en œuvre des activités sur le de d’Actionterrain, Plan2007-2012, avec du un avecobjectifs les un objectif « positionner» fondamental pour « SAUVERlabel DES comme choisis été ont Zéro » « Quatre Les Prévention du VIH etduSida. la l’accélérationde pour Unies Nations des Agencesl’initiative des conjointede et Sida de du et l’accélérationdu préventionVIH la prévention,l’Afriquesur pour la Régional Comitéà du universell’Accès RC55/AFR5 résolution sur la Brazzaville de traitements, de aux Déclarationet soins la aux de cadre priorités le les reflètentdans régionalIls développement.niveau le au pour définies millénaire du objectifs des réalisation la à contribuent et le SIDApour Unies Nations des l’AssembléeGénérale de recommandations aux conformes sont Ils le international. sur plan souscrit a Madagascar auxquels engagements des continuité la dans s’inscrit objectifs ces de poursuite La En ligne avec leMAP 2007-2012,lePlan d’Action 2007-2012sefixe pourbutdematérialiser cette visionpar : 1.2 B Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation mois dudébutdetraitement Pourcentage desadultes recevant etenfants letraitement ARV quisontencore envieaprès12 15-24 ans(desexe masculinetféminin) Taux dudernierrapport sexuel lors d’utilisationdecondom àrisquéchezlesjeunesâgésde Taux delasyphilischezlesfemmes deprévalence de15à49ans Taux duVIHchezlesfemmes deprévalence enceintes        t u j b e

d t c e

S F I développer. la pour social corps du éléments-clés les par prises actions les par démontrée VIH, au face malgache société la de « immunité» d’une constitution la desdroitsle maintien desPVVIHdans lasociété, particulièrement soinsetdeparticipationàlaviesocialeéconomique ; enmatière aux d’accès cliniques desservices préventifsl’utilisation accrue etthérapeutiques parlespopulationsclésplusvulnérables ; decomportementsl’adoption de réduire susceptibles latransmission desIST etduVIHparlespopulationsclésplusvulnérables ; l’amélioration de la qualité de vie et bien êtrel’amélioration delaqualitévieet desPVVIH éventuelle ;et la maintenance de la prévalence du VIH à moins de 2% dans les groupes les plus vulnérables et à moins de 1% dans la population générale et sa réduction duVIHdanslesgroupes duVIH,quisera mesuréeparlaréductiondeprévalence la réductiondel’incidence (lesplus)vulnérables desIST; etcelle A L

é n é g E S I M

A R e n x u

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d     e E R

A L

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Zéro casnidediscrimination destigmatisationàl’endroit desPVVIH Zéro casdenouveau-né d’unemère séropositive infecté parleVIH Zéro PVVIHévoluant vers leSIDA-maladie oudécédéeàcauseduSIDA Zéro casdenouvelle infection E S I M

A L P

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d v u œ ’ a t c E R O I

Indicateurs n u d 2007-2012

A L P LES QUATRE ZERO, uneambitionlégitime n

d ’ a t c O I n 2007-2012 M :12,2% F : 5,4% 0.95 % 4.2% 2005 NA Moins de1%ou<0.8% F: 20% M:45% 90 % 2.1% 2012 ème 91 3 Partie Fin 2009 75% des jeunes auront débuté la mise en œuvre de leur plan « zéro », IST en priorité ceux appartenant aux groupes vulnérables et vivant dans des zones à risque accru de ; diffusion de l’infection Dans tout le pays, la réduction des taux IST se confirmera, ainsi que l’évolution positive sera tendance Cette sexuel. comportement du groupes les parmi manifeste particulièrement vulnérables et les jeunes dans leur ensemble ; de la L’augmentation compétence des entités du corps social mentionnées plus haut sera nette pour au moins les trois quart d’entre elles ; Le nombre de PVVIH soignée correctement par les ARV augmentera de 650 à 1000 dont 15% de cas pédiatriques. Les PVVIH enregistreront une réduction significative de la discrimination à leur égard. Fin 2011 à fin 2012     Toutes les entités du corps social ont développé leur compétence face au face compétence leur développé ont social corps du entités les Toutes VIH ; Le nombre de PVVIH traitée correctement et bénéficiant de soins et soutien appropriés augmentera de 1500 à 2500 dont 15% pédiatriques. de Les cas PVVIH décriront une réduction significative ; de discrimination à leur égard la Confirmation de la tendance à la baisse de l’incidence de l’infection à VIH.    Fin 2008 2007-2012 n 75% des communes auront initié la mise en de leur œuvre plan d’action pour développer ; facela compétence au SIDA 50% des jeunes auront débuté la mise en œuvre de leur plan « zéro », IST en priorité ceux appartenant aux groupes vulnérables et vivant dans des zones à risque accru de ; diffusion de l’infection La disponibilité du médicaments IST sera préservatif assurée de manière et constante des sur 50% du territoire national , en priorité dans les zones à risque accru de diffusion de l’infection; réduction une montrera IST des surveillance La significative de due la au prévalence des IST, renforcement de la prise en charge et une baisse de l’incidence, due à la combinaison de la réduction du sexuels nombre occasionnels, de de rapport de l’âge l’accroissement du premier rapport sexuel chez les jeunes des deux sexes, et de l’augmentation de l’utilisation du préservatif au cours de Chacun occasionnelles. sexuelles relations de ces changements sera déterminé au niveau de chaque sous-préfecture (district), et si possible de chaque commune ; correctement de PVVIH traitée Le nombre et bénéficiant de soins et soutien appropriés de cas de 400 à 650 dont 15% augmentera une pédiatriques. Les PVVIH enregistreront de la discrimination à réduction significative leur égard. io c t a ’ d     

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u x ra g é n é

Fin 2010 ifs c t Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations e b j o

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Fin 2007 elle n n u a

n io u t 50% des communes auront mise en démarré œuvre de la leur plan d’action pour ; face la compétence au SIDA développer Au moins 25% des jeunes auront la débuté mise en œuvre de leur plan « zéro », IST en priorité ceux appartenant aux groupes risque à zones des dans vivant et vulnérables ; accru de diffusion de l’infection auront PVVIH aux face public du attitudes Les ; positivement évolué 400 PVVIH seront traités et bénéficieront correctement de soins appropriés. et de soutien Dans tout le pays, le déclin des IST se confirmera, ainsi que l’évolution positive du comportement sexuel. parmi les jeunes ; manifeste Ce déclin sera particulièrement à VIH ; de l’infection de la courbe de progression Début de l’inversion Le nombre de PVVIH traitée correctement et bénéficiant soutien de appropriés soins augmentera et de 1000 à 1500 pédiatriques. Les PVVIH enregistreront une dont réduction significative de la 15% de cas discrimination à leur égard. ol v        La progression annuelle vers l’atteinte des objectifs généraux sus-mentionnés est : sus-mentionnés des objectifs généraux l’atteinte vers annuelle La progression 1.4 E 3 ème Partie 92 Les principaux indicateurs pourlamesureLes principaux progressions deces suivant : annuellessontprésentésdansletableau Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation -travailleurs dusexe -femmes 15-49ans rapport sexuel avec unclient deleurdernier un préservatif lors %desTDSdisantavoir utilisé pour réduire lerisquePTME traitement antirétroviral complet par leVIHquireçoivent un %defemmes enceintes infectées ARV avancée quireçoivent untraitement à VIHestparvenue àunstade dontl’infection %depersonnes Effets infectées par le virus le VIHnésdemères elles-mêmes %denourrissonsinfectés par Prévalence delaSyphilis Prévalence transmission duVIH surla les principalesidéesfausses de transmission etquirejettent les manières deprévenir lerisque fois exactes desconnaissances sur %dejeunes15-24possédantàla -militaires -patientsIST derniers mois derniers des12 aucours occasionnel sexuel avec unpartenaire sexuel préservatifs dudernierrapport lors qui ontdéclaréavoir utiliséde %desjeunesde15-24ans -travailleurs dusexe les PVVIH une attitudediscriminatoire envers %desjeunesquin’expriment pas -femmes enceintes sexuels avant l’age de15ans %dejeunesayant desrapports Prévalence duVIH Prévalence Impacts Indicateurs clés Population ou dénominateur séropositives) (estimation enceintes femmes 5 000 6800

H :19,1%(ESC ESC 200476% 0,69% (2005) 1,36% (2005) 16,6%(2005) 16,6%(2005) base (2006) 4.2% (2003) (EDS 03-04) Données de (ESC 2004) ESC 2004 H: 12,2% F: 16,1% 24,25% F :38% H: 30% F:5,4% 0,94% 2004) < 1% 8% 2%

< 1.5% < 1% 2007 15% 24% 8% 3%

< 1.5% < 0.8% 13,60% F34% H 25% H 26% 3,20% F 10% < 1% 2008 85% 13% 25% 30% 5%

Résultats attendusRésultats < 1.5% 12,20% < 1% 2009 10% 23% 20% 10%

< 1.5% 10,80% H 24% F 32% < 1% 2010 30% 90% 15% 40% 45%

< 1.5% 9,40% < 1% 2011 20% 40%

< 1.5% < 0.8% H 45%/ < 2,1% H 22% F 20% F 30% < 1% 2012 8,3% 50% 25% 20% 95% 60% 60% Inf à 6%

UA, UNGASS UNGASS, UAUNGASS, UNGASS, UAUNGASS, UNGASS, UAUNGASS, Reference SE/CNLS UNGASS UNGASS UNGASS

Enquête Démographique et Enquête deseroprévalence Enquête deSurveillance Enquête deSurveillance Enquête deSurveillance Enquête deSurveillance Rapport mensuelPTME Rapport Mode decollecte de Rapport mensueldes Rapport Calcul àpartird’une Enquête biologique Enquête biologique Enquête biologique Enquête biologique Enquête biologique médecins référents Comportementale Comportementale Comportementale Comportementale estimation données de Santé EDS

ème 93 3 Partie

données Ministères partenaires Rapport CT/UCR Rapport CT/UCR Comportementale Comportementale Comportementale services dépistage services dépistage Enquête spécifique Enquête Enquête spécifique Enquête Rapport d’activités Rapport d’activités Rapport annuel des transfusion sanguine transfusion Mode de collecte de de Mode de collecte des centres offrant des offrant des centres des centres offrant des offrant des centres Rapport d’activités des Rapport mensuel PTME Enquête de Surveillance de Surveillance Enquête de Surveillance Enquête Enquête de Surveillance de Surveillance Enquête Rapports des centres de Rapports des centres Enquête qualité de services Enquête

UA UA UNDAF UNDAF UNGASS UNGASS UNGASS SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS Reference 24 000 000 750 80% 80% 10% 40% 80% 78% 80% 80% 2012 100% 100% 100% F: 10% H: 10% 115 957

23 8% 000 80% 80% 40% 68% 80% 670 2011 100% 100% 100% 105 415

5% 000 000 20,5 80% 91% 59% 70% 70% 580 2010 100% 100% H: 6% 95 832 F: 10%

19 3% 000 87 120 80% 80% 50% 85% 30% 50% 50% 500 2009 100% Résultatsattendus

2% 000 000 17,5 80% 60% 72% 41% 50% 60% 440 2008 79 200 F: 7% 100% H: 3.5%

16 1% 000 000 80% 36% 53% 30% 20% 32% 30% 400 72 000 2007 100% 882 882

23 036

15 ND ND 0% 000 21% 23% 24% 32% 35% F 4% 99,65% (ESC 2004) Données de H 2% (2004) base (2006)

150

22 1549 1549 1 549 dénominateur Population ou Population Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations

et identifiées Indicateurs clés Indicateurs % de femmes enceintes enceintes % de femmes par le VIH infectées qui reçoivent un traitement un traitement qui reçoivent complet pour réduire antirétroviral le risque PTME Produits intégré pour une réponse multisectorielle place 1: mise en d’un cadre Stratégique Axe intégré la ayant % de Ministères VIH et le Sida dans le contre lutte leur plan d’actions % de Commune disposant de Plan % de Commune disposant de Plan le SIDA contre Local de Lutte % d’unités de sang transfusées fait l’objet d’un dépistage ayant B et C et de du VIH, de l’Hepatite la Syphilis % des écoles dont les professeurs % des écoles dont les professeurs à un enseignement ont été formés au VIH basé sur des relatif et qui aptitudes psychosociales l’ont dispensé au cours de la année scolaire dernière % de Comité Local de Lutte contre contre % de Comité Local de Lutte un membre intégrant le SIDA de PVVIH ou un représentant (TDS, HSH, UDI) vulnérable groupe qui ont entreprises % des grandes mis en place des politiques et des le VIH contre de lutte programme et le Sida Axe Stratégique 2 : Amélioration de l’accès à l’information et aux services cliniques de prévention des IST et du VIH et du Sida de qualité des IST et aux de l’accès 2 : Amélioration à l’information Stratégique services cliniques de prévention Axe distribués de préservatifs Nombre (en million) bénéficié Nb de personnes ayant du VIH du dépistage % de Communes disposant de volontaire Services de dépistage fonctionnels (SDV) % des patients atteints d’IST reçus reçus d’IST % des patients atteints de soins, dont dans les centres le diagnostic a été correctement établi, et conseillé qui sont traités opportune de manière % de TDS qui utilisent au moins par an les services de prise une fois IST en charge du Sexe - dont Travailleuses un test % de TDS qui ont effectué VIH au cours des 12 derniers mois des résultatset qui ont été informé - dont jeunes de 15-24 ans % de jeunes 15-24 ans qui ont VIH au cours des un test effectué 12 derniers mois et qui ont été des résultats informé 3 ème Partie 94 (ARV) seront misenplace auniveau des22régions. (ARV) dotation une intégrée assurerdes intrants et éviterpour les dysfonctionnement à », ce districts niveau. Les de de services suivi médical et « clusterde PEC des PVVIH par approches une adoptant en communes, autres aux étendu sera du VIH dépistage et IST des PEC syphilis, la de dépistage renforcementdu le assurée, vulnérables communes Certaines prestations devront être disponibles dans les 1549 communes de Madagascar. Une fois la couverture des à vulnérables communes les couvrir annuellement entre 2008et2012. identifier pour régions des niveau au utilisé ensuite sera risque du cartographie de activités des promotionnelleset cliniques (ref. renforcementAnnexe Ces1). communes sontretenues l’annéecommepour cibles L’outil 2007. le pour prioritaires absolument comme communes 119 identifié a SE/CNLS le risque, de concentrer un plus grand nombre de groupes noyaux et passerelles. Au moyen de l’exercice de cartographie du Pour atteindre ces cibles, le Plan d’Action 2007-2012 privilégiera la couverture des communes les plus susceptibles   l’infection : de diffusion la à pays du vulnérabilité la de l’analyse et risque de facteurs des l’identification comportementales, et biologiques enquêtes des résultats des partir à définies sont d’Action2007-2012 Plan du prioritaires cibles Les 1.5 P Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation nationales composite Indice despolitiques principe duThree Ones demiseenœuvre Indice du la lutte contre leSIDA (USD) engagés parleGouvernement pour defonds Montant nationaux Actions etengagements nationaux suivant circuit défini transmettent donnéesdesuivi leurs quicollectent %decommunes et Axe Stratégique 4:Renforcement delagestion delaréponsenationale par un service VIH par unservice TB/VIH notifiésetprisencharge %demaladesco-infectés parle psycho-social depriseenchargede service vulnérables bénéficiantdepaquet Nombre orphelinset d’enfants charge psycho-social depriseen de paquetservice Nombre dePVVIHbénéficiant mois aprèsledébutdecelui-ci sous traitement antirétroviral 12 toujours% depersonnes envieet Axe Stratégique 3:Réductiondel’impactduVIHetSIDA infectées surlespersonnes etaffectées parl’épidémie marginalisées (OEV, sansabris,…).Leurnombre seravulnérables. estimésurlabasedesdonnées démographiquedescommunes ou démunies populations les et d’alcool consommateurs les jeunes, les particulier,femmes, en les et passerelles et noyauxgroupes de concentration de zone soit vulnérables population de groupes les sérologique (44000 statut leur ignorent qui PVVIH les (vii)lesporteurspersonnes); (vi) IST (350 000personnes/an). personnes); (200 injectables drogues de Utilisateurs les les (iv) ; (v) personnes) hommes (1000 personnes); les avecdétenus (15000 sexuels rapports des ayant Hommes les (iii) ); personnes 25 000 à estimées Armées Forces les pour sauf disponible non mobiles (chiffre populations les (ii) ; personnes) (15000 sexe du travailleuses les (i) soit : vulnérables plus les population de groupes les P O Indicateurs clés u A L t O I n

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u d P : (ii) la population générale vivant dans une dans vivant générale population la (ii) passerelles : et noyaux groupes des régulier sexuelpartenaire les (i) : A L 13/20 (2005) base (2006) 0,65 (2005) Données de n 7 076500

d 1 466 90% 120 ’A 42 0 t c O I n 2007-2012 10 119 100% 2007 95% 300 500 500 5%

10 131 100% 2008 1000 1000 40% 95% 0,75 200

Résultats attendusRésultats 10 144 17/20 100% 2009 2000 2000 60% 95% 320

10 158 100% 2010 3000 3000 70% 95% 0,85 800

100% 2011 4000 4000 75% 95%

20/20 100% 2012 5000 5000 80% 95% 0,95

Reference SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS UNGASS UNGASS UNGASS UNDAF UA

Rapport desassociations/ Rapport desassociations/ Rapport ONG depriseencharge ONG depriseencharge Rapport desmédecins Rapport Mode decollecte de Rapport descentresRapport Rapport MinistèreRapport Rapport CT/UCR Rapport données référents Finances Enquête Enquête

ème 95 3 Partie 2007-2012 n io c t ’A d

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mise

Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations la

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amps h le renforcement de l’intégration du VIH et du Sida dans les plans de développement nationaux ; et sectoriels du Sida dans les plans de développement du VIH et de l’intégration le renforcement et périphérique ; intermédiaire la décentralisation de la réponse au niveau ; des interventions privé, dans la mise en œuvre de la civile, y compris le secteur de l’implication société le renforcement ; administratifs les niveaux à tous des interventions et intersectorielle intra de la coordination le renforcement ; administratifs les niveaux à tous de coordination managériales des capacités des structures le renforcement ; sanitaire de la pyramide niveaux aux de santé, du système et VIH/Sida dans le paquet d’activités cliniques IST différents des prestations l’intégration ; les plus vulnérables des groupes de ce dans les communes et en direction en priorité paquet d’activités vulnérables cliniques la mise en œuvre les groupes des direction en proximité de communication et informationnelle veille de stratégies des l’intensification dans local contexte du compte en prise la ; et dans les communes vulnérables plus vulnérables ; et le milieu du travail : les communes vulnérables pour une réponse par l’individu là où il vit et il travaille communautaire la mobilisation et organisation de la réponse ; et suivi et évaluation de l’infection de la dynamique spatiale et temporelle unifié la mise en placede surveillance d’un système et dans les communes vulnérables. les plus vulnérables des groupes des activités en direction effective une couverture pour assurer la mobilisation des fonds le renforcement de l’accessibilité aux préservatifs et promotion des comportements : responsables (préservatif)Abstinence, ; à risque sexuels dans les rapports Bonne Fidélité et utilisation du Condom cliniques préventifs de la disponibilité et de l’utilisation des services le renforcement des PVVIH et psychosociale des services de PEC cliniques et utilisation de la disponibilité le renforcement la création d’un environnement normatif et l’éducation socioculturel favorisant sexuelle des jeunes, le report dans le début de la vie sexuelle, l’utilisation des du VIH et du Sida. prévention pour la d’action des femmes du pouvoir à risque et le renforcement sexuels dans les comportements préservatifs            A partir de l’analyse des acquis et contraintes rencontrées dans la réalisation des objectifs du PSN 2001-2006, le Plan Plan le 2001-2006, PSN du objectifs des réalisation la dans rencontrées contraintes et acquis des l’analyse de partir A par : stratégiques orientations ces d’opérationnaliser 2007-2012 préconise d’Action     Le Plan d’Action 2007-2012 s’articule Le autour Plan de d’Action priorités définies sur à partiret des programme facteurs du de risque et d’avancement de vulnérabilité l’état de fonction en l’infection, de diffusion la à communautés et individus des : et nationales internationales pratiques la base des meilleures 1.6 C A ce stade, les objectifs de couverture des activités promotionnelles pas n’ont encore le été calcul définis. des promotionnelles Ilscibles activités des qui nécessitent couverture peuvent de être couvertes par les L’approche media interpersonnelle. modernes communication (TV,la et radio), …) les media UMV, de manivelles, proximité (radio système des place en mise la de cadre la dans mené sera exercice Cet cliniques. activités des celles que même la est 2007-2012. d’Action locale du Plan et réponse communication de suivi-évaluation composantes des 3 ème Partie 96       La miseenœuvre duPlan d’Action desactivités 2007-2012estsous-tendue suivants parlesprincipes :  Plan Action 2007-2012 »: « Madagascar Pour obtenir des résultats probants, le Plan d’Action 2007-2012 fait siennes les valeurs directrices énoncées dans le 1.7 P Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation        du seul ressort du personnel médical. Le PSN 2001-2006 a posé les bases d’une réponse multisectorielle à l’infection, qui doit engager l’ensemble de la société Responsabilité collective : des principesdirecteurs delalutte contre leVIHetSidadoitcontribueràcette efficience. interventions les que assurer doit exercice Cet contribuent effectivementcomptes. aucontrôle de l’infection à VIH par un impact démontré sur bénéficiairesleurs et ont été mises en œuvre avecdes Le respect efficience. rendre de et contrôle d’un l’exercice à procéder de l’obligation dans sont partenaires ses et comptes : des rendre de et contrôle d’un l’exercice à procéder de partenaires ses et MalagasyGouvernement le pour Obligation cadres d’actionauniveau décentralisé. les dans traduites et 2007-2012 d’Action Plan le dans définies orientations les refléterdoiventinterventions des œuvre en mise la de évaluation et suivi Le cadres d’action consensuels. Ceux-ci doivent être développés sous le leadership du Gouvernement, qui est ultimement responsable de leur résultats et impact. administratifs, où les structures de niveaux coordination doiventles pouvoirtous assurerà la faire traduction d’une se vision commune doit de la Elle lutte partenaires.contre des les IST efforts et le des VIH et harmonisation le Sida et en des l’alignement requiert Elle complémentaires internationaux. et et nationaux partenairesharmonisées les d’interventions par concertée œuvre en mise la de cœur au est unique) suivi-évaluation de système unique, coordination de Poursuitedes trois Principesdeseffortsd’Unicité etalignement des partenaires Gouvernement Malagasy danslastructuration delaréponsenationaleenunprogramme intersectoriel intégré. le appuyer à invités sont internationaux partenairesLes activités. leurs dans internationaux partenaires des avantagescomparatifs les traduire de mesure en moyenterme, ou court à seront, qui nationales structures de place en mise la pour travers l’accompagnement à encouragé est nationale contrepartie la vers internationaux partenaires des managériales et techniques compétences des transfert Le formative. supervision une par continue formation la consolider de et initiale formation de curriculum le dans managériale la et technique formation la d’inscrirerequiertinterventions. couvertureIl de des et qualité pérennisation,non qua sine condition une est nationales capacités des renforcement Le interventions : des pérennisation et nationales capacités des Renforcement de systèmes des gestion. l’opérationnalisation et développement le dans active participation leur et coût-efficacité leur démontré ont qui novatrices initiatives des une perspective de pérennisation des interventions. L’appropriation nationale de ces produits doit se traduire par la mise à échelle par la contrepartie nationale acquis, des consolidation la dans partenaires notamment par la documentation et capitalisation de des l’expérience et le développement de mécanismes participation et outils de gestion la propres à égalementstructurer la réponse encouragedans Il évaluation. à soumis démonstration de projets de cadre le dans initiativesnovatrices,des œuvre en mettre à nationaux et Gouvernementencouragepartenaires internationaux Le les réponse : la de nationale Appropriation des mesures novatrices oucorrectives concrètes, dontlavalidité etl’applicationdanslecontexte localestdémontrée. le Sida. Les partenaires internationaux et nationaux sont invités à collaborer au développement et à la mise à jour de ces instruments, notamment, en proposant pratiques internationales réalisables dans lecontexte localetleçonstirées des acquis del’expérience dupays en matière delutte contre les IST et le VIH et assurentqui nationales gestionla technique Cesinstrumentssontdéveloppés composanteconsidérée. la de nationale réponse la de meilleuresdes base sur la Leadership national : Les politiques et stratégies de lutte contre les IST et VIH/Sida sont définies par le Gouvernement, et plus particulièrement les institutions Professionnalisme Détermination deréussir :Nousdevons persévérer, tenir nosengagements etobtenir desrésultats. une intégritéintransigeante. Intégrité : L’intégrité, l’honnêteté national, et la confiance sont primordiales à un gouvernement, région, pour produire des résultats. Nous devons nous commune, engager à travailler (fokontany, avec niveaux les tous à compétitifs extrêmement être devons international). nous VIH/Sida, au face réussir Pour : Compétitivité nation. Utilisation des ressources : Nous devons minimiser les pertes et maximiser les gains pour assurer une utilisation intelligente et productive des ressources de la avec lasociétécivileetlespartenaires techniques etfinanciers. Participation et coopération : Nous devons renforcer l’esprit de participation et de coopération avec tous les acteurs dans toutes les régions et les communes, capacités institutionnellespourréussir. Renforcement des capacités : Nous devons être capable de pérenniser nos qualités de dirigeants et travailler constamment à renforcer nos compétences et nos et focaliser etlesressources etmobiliserlespersonnes pourfaire delavisionlutte contre leVIHetSidauneréalité. : Leadership partagé Le leadership doit être démontré à tous les niveaux de la société et dans tous les secteurs. Les dirigeants doivent faire preuve d’initiative, ri nc ipes

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v E L A u S R : Nousdevons efforcer nous d’atteindre meilleures les normesprofessionnelles.

d E R I t c De 1988 à 2000, la lutte contre les IST et le VIH et le Sida a été caractérisée par une médicalisation de réponse, considérée comme I R c S E

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d ’ a t c O I n 2007-2012 : La poursuitedes trois Principes d’Unicité (Cadrestructureunique, d’action Le Gouvernement MalagasyGouvernement Le ème 97 3 Partie Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations Respect Respect de l’équité dans l’accès à l’information et aux services et produits de dans santé : l’accès L’équité auxun de représente transversal axe interventions aux l’accès population la de partie majeure la à assurer doit Elle pays. du épidémiologique et socio-économique réalité la sur fondé être doit qui programmation, à ses la droits santé. préventive Dans de les et le IST la contre VIH/Sida, cadre lutte elle garantissant une doit, pour couverture ceassurer faire, interventions des PVVIH. une PEC clinique et psychosociale d’un continuum de soins assurant dans le cadre vulnérables à l’infection de population les plus des groupes malagasy dans la lutte contre l’infection. Le Plan d’Action 2007-2012 veut renforcer cet acquis en soulignant que la lutte contre les IST et VIH/Sida est l’affaire l’affaire est VIH/Sida et IST les contre lutte la que soulignant en acquis cet renforcer veut 2007-2012 d’Action Plan Le l’infection. contre lutte la dans malagasy managériale et technique portée la à est qu’elle montrer soit « banaliser » la veut Il uniquement. MINSAN/PF du ou SE/CNLS du celle seulement non et tous de et individus. communautés les secteurs, de tous  3 ème Partie 98         leur pouvoir decommunication, négociation etdécision : d’action des femmes vulnérables, en raison de leur situation économique et du contexte socioculturel, qui limitent en prise La nationale. l’expérience de capitalisation compte de la dimension genre dans la lutte contre les IST et le la VIH et le Sida doit permettre de renforcer le pouvoir de et internationales pratiques meilleures des base et la l’harmonisation sur et personnes des droits des protection gouvernementla le par définies normes et aux IST VIH/Sida assurercontreles lutte de multisectoriels efforts conformitédes pour renforcé être doit Sida le et VIH le et IST les contre lutte de politique et juridique dispositif Le normative. nature de est stratégique objectif premier Ce Objectif stratégique 1.1 :Renforcer ledispositifjuridiqueetpolitiquedelutte contre lesIST etleVIHSida. l’intégration promotionnelles desactivités etlaréférence cliniquesqu’elles pourlesservices nepeuvent assurer. zone armées, forces les vulnérables : prestations cliniques IST et plus VIH/Sida (formations aisément sanitaires les des forces intégrer armées, groupes-cibles peuvent économiques qui OSTIE, sanitaires structures etc.). de disposent de secteurs Toutesces et de Certains . peuvent … minières, constitué entreprises assurerfranche, sociaux est secteurs il les titre : dans double notamment un localisables, à privilégié d’intervention secteur un représente la de transmission privé,la secteur le de dans que préventionpublic secteur le la dans tant cadre,travail du positive.milieu ceprévention Le l’enfantla à et dans mère et, PVVIH des charge en prise la (ii) l’ignorancesérologique ; à statut et du reflètentqu’ils risque (i) à sur : comportements focaliséeaux IST, aux puisque associés prioritaire, risque est de l’infection facteurs à des santé réduction la la de secteur du réponse La d’interventiontravail. secteur-clé du en et milieu santé mettre le la pour pour pour spécifique,réponse de objectif secteur-clé d’un que l’objettant chacun en fontcruciale travailimportance leur du exergue milieu le et santé la avec partenariat du renforcementLe stratégique. axe cet à liées interventions des nature la déterminent stratégiques objectifs Cinq ses dans Sida du et VIH du l’impact alléger et etvis-à-vis desesbénéficiaires.activités secteur le dans virus du propagation de risque le réduire à d’un visant cadre le dans intersectorielle, et intra- coordination partenariat élargi, à tous et les niveaux . La d’appui finalité est que structures chaque secteur parvienne à mettre des en œuvre des managériales stratégies capacités des effective de sa gestion au niveau opérationnel. Elle doit se matérialiser à travers la mise en place et le renforcement leadership des ministères du renforcementde tutelle le pour les nécessite différenteselle composantes privé : de la secteur réponse nationale le et la compris décentralisation y civile, société la de et public secteur du activités les les programmes de développement nationaux et sectoriels. Elle doit prendre la forme d’une réponse intégrée dans politique générale du gouvernement l’encouragement et l’incitation à intégrer la lutte contre le VIH et le Sida dans cadre un dans inscrire doit Elle développement. de juridique clés les droits et obligations des personnes face au programmes VIH/Sida. Sur le plan opérationnel, elle doit les inscrire dans la dans Sida le et VIH le et IST les contrer lutte la de compte en prise la encourageant politique cadre un s’inscriredans doit Elle l’expériencenationale. de tirées leçons et internationales pratiques meilleures des compte tenir doit nationale réponse la efficace, êtrePour e A assurer pour 2001-2006, réponse la de et situation la de axes l’analyse l’atteinte desrésultats attendus : Ces de base généraux. la sur objectifs définies les en génériques, traduits activités sont réaliser objectifs Ces pour quantifiés. stratégiques d’objectifs Stratégiques ensemble Axesun chacun comprenant quatre stratégiques identifie 2007-2012 d’Action Plan Le 2. AXESSTRATEGIQUES, SPECIFIQUESETACTIVITES OBJECTIFS GENERIQUESDUPLAND’ACTION 2007-2012 Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation t x

O R P e

s t et capitalisation de l’expérience internationale, à travers la participation aux réseaux mondiaux, régionaux ousous-régionaux. del’expérience internationale,et capitalisation régionaux àtravers mondiaux, réseaux laparticipationaux Contribution de Madagascar dans la lutte contre les IST et le VIH et le Sida dans le monde par la documentation et diffusion des meilleures pratiques nationales les politiques,programmes, plansetprojets de développement nationaletsectoriels ; genredimensions ses compris y Sida, le dans et discrimination, lutteVIH lutteet contrecontrela le et stigmatisation IST et de la systématiqueles Intégration représentation desfemmeséquitable etdeshommesdans lesdispositifsinstitutionnelsdelutte contre lesIST etleVIHSida ; une assurer et (CLLS) locale coordination de structures les dans implication leur notamment PVVIH, des participation la de Augmentation Révision documentcadre du etdudispositifinstitutionnelpouruneapproche multisectorielle delutte contre lesIST etVIH/Sida ; VIH etleSida ; le et IST les contre lutte de programmes genreles dans dimension la de l’intégration soutenantprogramme d’un œuvre en mise la à appui et Développement éthique etjuridique d’unfonds nationale d’unecommission desolidaritépoursoutenirMise enplace ; familles lesPVVIHetleurs normesinternationalesSida conformes ; aux le et VIH le et IST contreles lutte sectoriellesde et nationales stratégies et politique jour,de à Développement,documents mise vulgarisationdes diffusion et Développement, miseàjour, vulgarisation etdiffusiondeslois,textes protégeant etrèglementations lesdroits etfemmes des PVVIH, OEV vulnérables ; g é t A R g é t A E t n i u q

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m u l t E S I t c E L L E I R O , i g é t n r é e , I F F E c a c e

ème 99 3 Partie Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations Révision des TDR, composition et modes opérationnels des structures d’appui au niveau décentralisé dans une perspective de spécificité/ décentralisé une perspective dans Révision des TDR, d’appui au niveau des structures composition et modes opérationnels Extension Extension à toutes les communes vulnérables de la mise en place de Comités Locaux de Lutte contre le SIDA (CLLS) capables de mobiliser développer, les le Sida (PLLS) de Plans Locaux ; contre de la mise en œuvre de Lutte le suivi et évaluation locauxacteurs et assurer des compétences Transfert des ONGs internationales vers les ONGs nationales, le secteur public et autres institutions de la société civile pour malagasy, un locaux ; dans les communes vulnérables des promoteurs de proximité accompagnement/encadrement décentralisés organes locales, ONG proximité, de internationales (ONG proximité de organisations les par associations et OCBs des capacités des Renforcement dans les quartiers ; des communes vulnérables de projets pour la mise en œuvre etc.) confessionnelles, des organisations Mise en place d’un mécanisme de renforcement des compétences des OCBs, associations et autres acteurs locaux les plus performantes pour un passage à les communes ; dans vulnérables des meilleurséchelle rapide projets Mise en place de Comités Régionaux de Lutte contre le VIH et le Sida interventions (CRLS)des acteurs et du de secteur leurs public antennes et de de la district société capables civile, de y mobiliser compris et le coordonner secteur privé, les ; pour Régionaux de Développement la mise en œuvre de PLLS réconciliés avec les Plans Révision Révision des TDR, composition et mode opératoire des structures de coordination intra- et intersectorielle, aux différents niveaux administratifs, dans une ; technique sur le plan décisionnel et de complémentarité des rôles/responsabilités perspective intersectorielle et - intra coordination de structures des fonctionnement au appui et qualifié personnel et équipement en dotation l’infrastructure, de Réhabilitation ; administratifs niveaux aux différents composantes des technique tutelle la assurant ministères les et SE/CNLS le premièrement, entre partenariat du renforcement de stratégie d’une Développement d’action programme en traduction leur pour privé, secteur le compris y civile, société et publics ministères les deuxièmement,et entre nationale réponse la de ; et intersectoriel intra- Mise en place et appui au fonctionnement de réseaux des ONG, PVVIH, confessionnelles, organisations syndicats, entreprises du secteur privé, média, TDS, … Développement et mise en œuvre d’outils de plaidoyer pour l’intégration de la lutte contre les IST et VIH/Sida dans les projets de nationale ou ciblant les populations les de plus la société civile à couverture MCA,des organisations développement dans les etc.), programmes AGR/PNUD, FID, PIC, Projet (PRSD, ; vulnérables Renforcement des capacités du secteur public à intégrer la lutte contre les IST et le VIH et le ; des interventions en œuvre privés pour la mise les opérateurs Sida compris la société civile, y avec partenariat dans les plans d’action sectoriels, dans le cadre d’un et intra- coordination de structures des formation et administratifs niveaux différents les pour VIH/Sida et IST programme de gestion de d’outils Développement à leur utilisation ; intersectorielle Mobilisation des partenaires internationaux pour la mise en œuvre d’une approche programme et la décentralisation effective de la réponse sur le plan de la y compris les aspects financiers. gestion,       et leur dotation, complémentarité au besoin, en équipement et personnel additionnel qualifié ; des rôles et responsabilités Objectif stratégique 1.3.: Renforcer la décentralisation de la gestion du programme pour une réponse locale aux pour une réponse et VIH/Sida IST du programme la décentralisation de la gestion 1.3.: Renforcer Objectif stratégique Cet objectif des responsabilisation La vise opérationnel. niveau son à à réponse la de effective renforcer décentralisation une pour périphérique le leadership et les secteurdu coordination et implication capacités engagement, un favoriser doit décentralisé niveau au décision de instances techniques et managériales au et niveau du promotionnelles La paquet d’activités mise y en compris le œuvre secteurpublic et de civile, la privé. société régional et une assurer pour réponse, la de capacités des et épidémiologique contexte du base la sur définie être doit cliniques couverture maximale des communes et groupes vulnérables, avec la participation active des acteurs locaux, à la et acteurs : à part nationale bénéficiaires de la réponse fois entière         La mise en œuvre de cet objectif est de nature stratégique. Elle vise à assurer l’opérationnalisation des trois principes trois des l’opérationnalisation assurer à vise Elle stratégique. nature de est objectif cet de œuvre en mise La de structures des dans prenantes parties des effective participation la par administratifs, niveaux les tous à d’unicité coordination intra- et intersectorielle de type décisionnel et technique, dans le cadre d’un partenariat élargi. Pour et habilitées à la assurer gestion (planification, ces être fonctionnelles, structuressuivi, être dotées d’outils doivent : œuvre de mise en niveaux à ses différents du partenariat) conjoint, mobilisation évaluation, d’un programme : Renforcer la coordination intra- et intersectorielle dans la mise en œuvre de la réponse nationale aux la réponse nationale de et VIH/Sida œuvre dans la mise en IST et intersectorielle intra- la coordination 1.2 : Renforcer Objectif stratégique 3 ème Partie 100    services des fourniture la dans directe implication promotionnels etcliniquesIST VIH/Sida pour leurpersonnel : leur compris y vulnérables, cibles des couverture une pour Cet est de objectif nature stratégique. vise Il à renforcer avecle partenariat le travail,secteur du public et du privé, Objectif stratégique 1.5:Renforcer l’engagement dusecteur travail IST etVIH/Sida danslaréponseaux         la couverture deszones etgroupes vulnérables : VIH/Sida intégré dans d’activitésles de soins de santé primaire dans paquet le cadre d’un partenariat entre le du secteur public et privé pour œuvre en mise de gestion des agents de santé à tous les niveaux pour la mise en œuvre programmed’un de lutte contre la les IST et à contraintes des levée La prévention et prise managériale. en charge naturedes IST et de VIH/Sida dans le est système de la objectif santé nécessite le Cet renforcement des capacités Objectif stratégique 1.4:Renforcer IST etVIH/Sida. dusystème l’efficience delasantédansréponseaux    Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation Développement et appui à la mise en œuvre de stratégies de plaidoyer pour élargir le partenariat avec le milieu du travail formel et informel pour la mise en mise la pour informel et formeltravail du milieu avecle partenariat le élargir plaidoyerpour de stratégies de œuvre en mise la à appui et Développement d’uncadreMise enplace nationaledumilieutravail deconcertation pourlacoordination etl’harmonisationdesinterventions ; del’expérience enmatière etcapitalisation Documentation delutte contre leVIHetSidadansmilieudutravail ; des CTA. laboratoires des qualité assurance et laboratoireTainer)de techniciens (laboratoiresdes TOGA pratique périphériques contrôle semi-mobile formation recherche(iv) la biologique ; de coordination (iii) ; (ii) VIH ; du et IST des monitorage (i) pour Référence de National Laboratoire du capacités les Renforcer pour assurer unemeilleure etcoordination planificationetsuividansleurdotation dansleurutilisation ; Amélioration du mécanisme et des outils de gestion des intrants (personnel, formation, médicaments, réactifs, équipement) au niveaux central et périphérique, médicaments, réactifsetconsommables)auniveau etentre central leniveau etpériphérique ; central (équipements, distribution d’approvisionnementde circuits et des d’harmonisation et perspectived’intégration une dans logistique système Renforcementdu réponse localeetl’offre etpréservatifs desservices danslesgroupes vulnérables etcommunes ; promoteursla les par de générés entrebesoins l’adéquation les coordinationavecsecteuret la privé, le public, compris y intervenantscivile, les société la de Renforcement des capacités de la à DRS/SSD assurer la planification, appui et suivi/évaluation des performances des services IST et VIH/Sida dans le secteur les performances delastratégie fixeoù nesontpasadéquates ; et enclavées géographiques zones les dans et vulnérables plus les groupes aux services des l’accessibilité renforcer pour alternatives stratégies de traversœuvreintrants)à des primaireen santémise la de dotation et dysfonctionnementssoins la les prestationsdans dans des l’intégrationIST VIH/Sida et éviterles (pour régions clusterde par secteur public du cliniques promotionnelset services des renforcementdisponibilité de la Développementplan de d’un promotionnels etcliniquesendirection desgroupes vulnérables etcommunes ; Développement d’une stratégie de partenariat entre le secteur public et la société civile, y compris le secteur privé, pour augmenter la disponibilité des services etagentsinitiale desmédecins,paramédicaux ; sociaux formation la dans intégration leur par VIH/Sida et IST les contre lutte la pour managériales et techniques compétences des renforcement du Pérennisation utilisationdesTechnologie ; (f) services del’Information etCommunication (TIC) ; monitoragesurveillanceet de des données performances des des centralisation/diffusion et analysecollecte, (e) équipements ; des maintenance logistique et prestations de ; services) (c) la formation managériale (gestion des intrants et PSE des performances) ; (d) le laboratoire de référence IST et VIH ; (d) système monitorage,(algorithmes,prestations(laboratoire/de technique cliniquesformation des protocolestraitements, fiche la qualité de assurer (b) la etc.) pour ; Mise en réseau et formation des institutions spécialisées du niveau central pour les constituer en un centre d’excellence assurant : (a) le développement d’outils niveaux complémentaires deux de mise enoeuvre.locale àces Mise en place d’un système de suivi et évaluation avec, comme unités de mesure la commune et la région, pour mesurer l’organisation et efficacité de la réponse des stratégies sectorielles par lasociétécivileaumoyen duFAP) ; en œuvre de projets de prévention et prise en charge du VIH et du Sida en direction des groupes et communes vulnérables (intensification de la mise en œuvre partenairesAppui aux de la société civile (organisations confessionnelles, opérateurs privés, ONG, …) du niveau décentralisé pour le développement et mise décentralisé) ; niveau au public secteur le par sectorielles stratégies des œuvre en mise la de (intensification adéquat financement de mécanisme d’un place en mise et Sida Renforcement des compétences des partenaires du secteur public du niveau décentralisé pour développer des projets sectoriels de lutte contre les IST et VIH/ ème

101 3 Partie t é ali q u

e d

a d i S d u

t e VIH d u

t e T IS es d

n io n t e é v pr

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es qu i n li c

es c i intermédiaire. L’intensification de la veille informationnelle et la et informationnelle veille la de L’intensification intermédiaire. v ser

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n io t forma n i ’ l

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s c c è a ’ l

e d

Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations n io t liora é m 2 : A e q u i t é g ra : diversification des objectifs de CCC, définition CCC, de objectifs des diversification : l’expérience de tirées leçons et acquis les intégrer pour communication de nationale stratégie la de jour à Mise définition et auxthèmes et auxgroupes rapport par ciblés communication de supports et messages des diversification secondaires, et primaires audiences des ; et évaluation de suivi d’un cadre Structuration et mise en oeuvre d’un programme de plaidoyer en direction des leaders traditionnelles locaux et pour socioculturelles encourageant la les transformation comportements des à normes, risque, valeurs y et compris pratiques les inégalités de par le VIH et le Sida ; et affectées des personnes infectées discrimination à l’endroit genre, et pour lutter contre la stigmatisation et Renforcement du partenariat avec les organisations spécialisées pour la l’institutionnalisation de la formation en planification stratégique des campagnes de local ; de supports de communication adaptés au contexte dans la production communication et la professionnalisation et Développement mise en conformes de de auxœuvre protocoles recherche normes pour la collecte et analyse de données et quantitatives qualitatives pour et normatif ; de comportement la planification et évaluation de la communication pour le changement les pour gestion de outils des jour à développement/mise et interrégional et central niveau au communication la de coordination de structures de place en Mise ; niveaux différents Renforcement du partenariat les avec patrons de presse, journalistes et communicateurs des media de masse pour l’extension et la pérennisation de la veille et VIH/Sida ; sur les IST informationnelle stimulation la pour vulnérables communes et groupes des effective couverture une pour proximité de communication de outils et équipements des Renforcement de l’ABCD ; de la réponse locale et la promotion Formation et recyclage des communicateurs et animateurs en production et évaluation de supports de communication cibles ; encourageant le dialogue avec les comparatifs avantages et spécificités des compte tenir pour préservatif, du distribution et promotion de stratégie la de œuvre en mise la à appui et jourà Mise ; les plus vulnérables des groupes en priorité une couverture réseaux de distribution et assurer des différents Généralisation de lors à la d’événements l’ensemble sensibilisation de socioculturels des masse districts à organisée risque, en des compte tenant spécificités régionales et des afflux de population mobiles liés aux saisonnières. activités économiques Mise en place d’une coalition d'entreprise pour la mise en œuvre des politiques de lutte contre le VIH et le Sida ; le VIH contre de lutte des politiques pour la mise en œuvre Mise en place d’une coalition d'entreprise approche une sur fondés d’entreprise, milieu en et privé secteur le dans VIH/Sida et IST les contre lutte de projets de œuvre en mise et développement au Appui et le Privé (PPP) ; le Public entre de Partenariat (sécurité, vulnérables plus les publics secteurs des travail du milieu en VIH/Sida et IST les contre lutte de projets de œuvre en mise et développement au Appui santé, …). ; économiques vulnérables les secteurs et cliniques dans promotionnelles d’activités œuvre t s

e x           La communication a abouti à une prise de VIH de conscience et la du du réalité stimuler Sida. le Pour changement de comportement, elle doit être orientée vers une personnalisation du risque collectif et individuel, la lutte contre les idées fausses encore communication, et de efforts des la coordination promotion La vulnérables. des communes et avantages groupes de des couverture l’ABC et la assurer de l’utilisation des services de prévention. Elle et doit central niveau au renforcée être doit fragmentés, : Promouvoir les comportements à moindre risque face aux et la demande pour les services et VIH/Sida cliniques à moindre IST les comportements 2.1 : Promouvoir Objectif stratégique Dans un contexte épidémiologique de La prévention faible primaire et prévalence, secondaire doit, le pour être contrôle pleinement effective, communes assurer de vulnérables. Elle doit dans également le la s’inscrire pour cadre référence d’une la référence/contre prise couverture l’infection des groupes repose et sur passe la stratégique axe cet de réalisation La positive. PVVIHdes psychosociale prévention et la clinique et charge en prévention. par la poursuite de cinq objectifs cliniques servicesstratégiques, de de disponibilité la et nature qualité de strictement information une par opérationnelle. cibles des La couverture de termes réalisation en mesurées des activités, de qualité accessibles financièrement et géographiquement doit se traduire par des résultats concrets en termes des services et utilisation par les cibles de comportements responsables sexuels de santé d’adoption productionset stratégique planification en capacités des renforcement le requièrent proximité de communication de supports local : au contexte adaptés A    3 ème Partie 102      référence d’une etlastructuration prévention delatransmission opérationnelle. mère-enfant de stratégie la de composantespremières PF,deux et les CPN par de ciblés services des plus en tuberculose, la de dépistage de et d’IST cas des PEC de services les l’intégrationdans privilégie Il positive.prévention la et être bien leur l’améliorationde pour PVVIH des psychosociale et médicale charge en prise renforcementla de de et négatif prévention primaires à la travers renforcementde de perspective le double une dans conseil VIH du dépistage pour le intensifier à encouragervise stratégique objectif Cet les personnes dépistées à conserver leur statut sérologiques Objectif stratégique 2.3 :Intégrer etdépistage leconseil etvolontaire confidentiel duVIH danslesservicesderoutine        dans lechoixetl’application duschémathérapeutique : de la disponibilité, liée à l’amélioration dans la gestion des intrants au niveau central et à et la périphérique qualité doiventcommunesvulnérables. les dans égalementêtre plan Cesaméliorésle sur services générale,particulier en IST, en mettant l’accent sur la notificationdes au(x) PEC partenaire(s) sexuel(s) de pour les services groupes les vulnérables et et la prénatalespopulation consultations les dans intégré et privés, et publics base de santé de centres enclavées. Le dépistage de vulnérables routine communes de et la groupessyphilis chez les les pour femmesl’accessibilité enceintesde doit plan être le rendu sur accessible améliorés au être niveau doivent des Ils privé. et public l’infectionà traitementde sontclassiques intégrésLesIST VIH. des services primairessecteur soins le les dans dans IST des contrôle du renforcementde stratégie maîtrise une constitueefficientede - du transmissionSida de du majeur et VIH co-facteur le – classiques VIH, du prévalence faible de mais IST des prévalence forte de pays un Dans Objectif stratégique 2.2:Intensifier ledépistage delasyphilisetPECdescasd’IST classiques   Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation Intégration du dépistage dans les services de PEC des cas d’IST de tous les CSB publics des communes vulnérables, dans 205 CDT, et dans les services de santé durespectcondition desnormesetstandard définisparleMINSAN/PF ; sous consommables et réactifs en l’approvisionnement pour confessionnelles privés/ONGs/organisation centres les privés, avec partenariat de Conventions vivant àlastigmatisationetdiscriminationdes personnes avec attitudes face Encadrement desantéparrapport aux despersonnels leVIH ; Formation ettechniciens desconseiller continue delaboratoire (formation théoriqueavec stage pratique, recyclage d’immersion etsupervisionformative) ; référence, planificationetsuividesperformances delastratégie fixe/avancée, delaqualitédudépistage, contrôle aspectslogistiques ; la de structuration civile, société la avec partenariat du renforcement VIH, du dépistage et conseil en formation dépistage), de protocoles des jour à (mise grouped’un place Mise en travailde l’intégrationl’opérationnalisationde dépistage chargéde du VIH lessoinssantéprimairesdu dansde : choix desréactifs d’unsystème laqualitédudépistage de Mise enplace decontrôle delasyphilisettraitement desIST classiques. desalgorithmesMise àjour dePECdesIST, nationaux ; résistance/vigilance surlabasedesétudesétiologiquesetdepharmaco le via privé distribution de circuit le entre complémentarité marketingune social,lecircuit dedistribution danslesformations sanitaires publiqueetlaDistributionàBaseCommunautaire (DBC)appuyéeparlesONG ; pour assurer préservatifs des distribution de stratégie la de œuvre en mise et Révision et dansleszonesoùperformances delastratégie fixe nesontpassatisfaisantes ; Mise en place de stratégies alternatives pour renforcer la disponibilité des services de PEC des cas d’IST par les groupes vulnérables, dans les zones enclavées formative ; supervision la recyclageet le continue, formation la par VIH) du dépistage le et partenaire au notification la pour conseil le sur accent (avec syphilis la de approchedépistagesyndromiqueen et privés et publics médicaux prestatairesrenforcementsoins des formationet de capacités de des outils des jour à Mise secteur publicetprivédeszonesàrisque ; du soin de établissements les pour subventionnés IST des traitement de kits de dotation essentiels, médicaments des liste la dans inscrits complémentaires ou alternatifs IST traitement de kits de développement syphilis, rapide test de adoption simple : thérapeutique schéma un à l’accessibilité de Renforcement logistiques ; vulnérables et zones à risque enclavées, surveillance des IST classiques et de la syphilis congénitale, contrôle de la qualité du dépistage et traitement, aspects planification et suivi des performances des services, développementet ulcérations génitaux, destratégies alternatives pour la couverture des groupes les plus perspective de réduction de la syphilis et contrôle du VIH et du Sida : formation en approche syndromique et double une dépistagedans IST les contrede lutte de la activités des intersectoriellesyphilis, et intra-traitement coordination et des dynamisation la écoulements de chargé travail de groupe d’un place en Mise agents aux Appui dansl’encadrement de santédesCSB technique etlasupervisionformative desagents continus communautaires. ensupportsCCCdotation appropriés., la et formation la par communautaires agents des promotionnelle santé de d’activités paquet le dans IST/VIH/Sida volet du l’intégration de Renforcement ème

103 3 Partie

VIH le

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Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations e d

n io é d u c t 3 : R e q u i t é g ra Lutte Lutte contre les idées fausses concernant la transmission du VIH et du Sida et attitudes de stigmatisation et discrimination envers les PVVIH de la part du personnel de santé ; Formation des responsables des unités de transfusion sanguine sur les risques et mesures de protection et dotation et stérilisation ; et matériel de désinfection exposition en réactifs, kits de prophylaxie post Mise en œuvre des programmes de formation spécifiques aux précautions universelles, sécurité des injections et des gestion déchets médicaux pour chaque ; types d’établissements de soins de Madagascar de personnel des divers catégorie Dotation en parallèle des kits de prophylaxie post exposition et des équipements pour la sécurité des injections d’établissementet de soin ; et de supports IEC ; gestion des déchets pour chaque type des déchets médicaux. et gestion de la sécurité transfusionnelle Mise en place de supervision/suivi dans la mise en œuvre d’un système le renforcement des capacités des prestataires des services (dotation en personnel, formation dans le service en gestion et prestations PTME, développement des PTME, des servicesdéveloppement (dotationet capacités prestations des prestataires en personnel, le dans renforcement formation le service en gestion formatif) suivi d’outils de gestion, ; ; l’objectif stratégique en ligne avec PTME l’actualisation des guides et protocoles PTME ; des centres régulier en réactifs, consommables et ARV l’approvisionnement médicale et psychosociale. référence de la référence/contre la structuration ; dotation en équipement matériel cliniques et laboratoire la réhabilitation des infrastructures, Mise en place de stratégies alternatives pour assurer l’accessibilité des services de PEC des cas d’IST par les groupes vulnérables, dans les zones enclavées et enclavées zones les dans vulnérables, groupes les par d’IST cas des PEC de services des l’accessibilité assurer pour alternatives stratégies de place en Mise ; ne sont pas satisfaisantes fixe de la stratégie où les performances dans les zones PVVIH ; des discrimination du personnel la de santé à l’encontre la confidentialitéet pour réduire pour assurer Définition place et mise en de mesures PVVIH des participation la et jour) même le test du résultats des remise la (pour rapides tests 3 de l’utilisation par vue de perdus des pourcentage du Réduction ; les services de dépistage dans psychosocial de soutien structures ou autres Mise à les des en des partir réseauxséropositifs place des vers PVVIH et pyschosociale d’une services effective les de deréférence prise dépistage en charge région) ; par (un hôpital autonome de référence de traitement 22 centres primaire prévention la pour conseil du et test du (qualité VIH du dépistage de service de prestation la qualité de la de contrôle de dispositif d’un place en Mise médicale et psychosociale). et la référence de la reproduction pour les jeunes et les groupes les plus vulnérables (dotation vulnérables les plus ; en intrants) groupes pour les jeunes et les de la reproduction t s

e x A traitement. au et soins aux universel l’accès d’assurer souci le par guidée est stratégique axe cet de œuvre en mise La En outre, dans un contexte de stigmatisation de l’infection, la pleinement prévention n’est effective que dans le cadre de la mise en place d’un continuum de soins assurant charge aux médicale et personnes d’un soutien infectées psychosocial. La la PEC des garantie PVVIH d’une nécessite le priserenforcement du plateau technique en au niveau de centres de traitement autonomes des 22 régions pour l’administration des ARV thérapeutiques aux         sanguine en milieu médical de la transmission et la prévention en place universelles des précautions 2.5 Mettre Objectif stratégique VIH et du Sida en milieu objectifde La cet poursuite vise du à la transmission éliminer les idées fausses concernant médical et à assurer la sécurisation de toutes les poches règlementaires concernant les de au accidents d’exposition sang (AES) sang et la mise transfusées, en œuvre la d’une approche intégrée mise en application des des déchets médicaux : pour la gestion des centres textes d’équipements dans la démarche   : Renforcer la disponibilité de services de prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant du VIH de la mère de la transmission la disponibilité de services de prévention 2.4 : Renforcer Objectif stratégique Cet objectif stratégique complète le précédent. Il vise à augmenter le dépistage du VIH chez la promouvoir le femme et maintien les du enceinte clientes statut PF, séronégatif à travers un conseil de qualité, assurer la référence réduire aussi mais séropositives testées PF clientes et enceintes femmes des psychosociale et médicale PEC la pour la transmission du VIH chez les nourrissons nés de mère séropositive par l’administration d’ARV prophylactiques et un conseil en allaitement adapté maternel aux conditions des femmes séropositives. Il vise ainsi à : intégrer services PTME dans les de 2000 CSB à travers sans risque public et privé prestations de CPN, PF et maternité les      3 ème Partie 104  de contrôle le dans majeure préoccupation une l’infection, représente enraison notamment deviolence des risques etabussexuels auxquels ilssont exposés : vulnérables enfants et orphelins des protection La Objectif stratégique 3.3.Mettre undispositifdeprise encharge enplace vulnérables desorphelinsetenfants     leur miseenréseau pourassurer lamiseenplace degroupes desoutienauniveau des116districts. et confessionnelles organisations et ONG des mobilisation la PVVIH, de associations des antennes des périphérie aux d’appui structures des vers référence l’extensionpréventionêtre,par la bien l’adhérencepositive.passe traitementd’une et leur assurer Elle au pour en PVVIH accompagnée être doit PVVIH des médicale charge en prise La Objectif stratégique 3.2.Renforcer ladisponibilitédesservicesdepriseencharge psychosociale desPVVIHauniveau communautaire          contre référence avec effective desPVVIH lesmédecinsderéseau : référence/ d’une œuvre en mise la et région) par référence de hôpital (un autonome traitement de centres 22 de et de thérapie anti-rétroviraleet suivi des (ARV) PVVIH. Il nécessite le renforcement du plateau technique au niveau opportunistes infections des traitementprophylaxie et de services des renforcerdisponibilité à la vise objectif Cet Objectif stratégique 3.1 :Renforcer ladisponibilitédesservicesdePECmédicalePVVIH. stratégiques déterminent lanature liéesàcet desinterventions axe stratégique. les structures d’appuivers le « horizontalepsychosocial » référence aux contrepour PVVIH et dontréférence réseau la une présencede également aux nécessite médecins différentsElle IO.niveaux les des doit PEC avecêtre la renforcée. » et « verticale médical référenceTrois suivi contre objectifs et référence d’une place en mise la et PVVIH Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation communautaires) ; Analyse situationnelle pour identifier le paquet d’interventions pour répondre aux besoins des OEV et de leurs structures de prise en charge (santé, sociales et AGR, etc. Appui à la mise en œuvre d’activités de soutien économique aux PVVIH par la formation en gestion de microprojets, financement de micro crédits, subvention, aufonctionnementAppui desstructures PECpsychosociales de activités deréseau ; etleurs pourlapriseenchargevisites familles etsoinsàdomicile,lesoutienaux socialeetoujuridique ; ainsil’assistance les par soutien le nutritionnel, l’appui PVVIH, aux conseil le comprenant d’activités paquet d’un œuvre en mise la à structures des personnel Formationdu PVVIH aux psychosocial l’appui assurer pour confessionnelles organisations dePECpsychosociale TDRdéfinispourlesservices conformément aux desPVVIH ; et ONG …), (FIFAFI existantes structures des besoins des Identification et nationales ressources de prévisions des fonction en PVVIH, des charge en prise la internationales. de subvention de éventuelle politique d’une Développement nésdemèresenfants séropositives ; femmesdes nutrition enceintesla sur séropositives l’accent mettant en nutrition de nationale Développerpolitique la des de et VIH/Sida et nutrition partie la lagestion(y compris informatisée despatients) desdossiers gestion de outils des chargeRévision en prise de guide traitement : pour le PVVIH ARV,des algorithme différentsles utilisant testsdiagnostic SIG de rapides, traitement avec mesures pourfaciliter ruptures d’accompagnements l’observanceetfairede aux destocks face éventuelles ; sites les dans IO et ARV médicaments et biomédicaux matériels réactifs, des régulier approvisionnement un pour gestion de système du Renforcement (dosage desCD4aunationaletrégional,charge virale plasmatiqueaunational,bilanhématologique etbiochimiqueauniveau des sites depriseencharge) ; Mise en place un réseau de laboratoires performants par le renforcement du plateau technique pour le diagnostic et le suivi biologique périodique des patients Structuration delaréférence entre lescentres CSB, les chargésdusuivibiologiqueetmédicaldesPVVIH ; deréférence etlesmédecinsderéseaux à l’INHchezlespatientsco-infectés VIH/TB ; Mise en place d’un système de référence entre les CDT et les CTA pour améliorer le diagnostic et le traitement de la TB chez les patients VIH et la prophylaxie les par PVVIH des PEC en et médical et médiateurs communautaires ; biologique suivi en paramédicaux et médecins des ARV,prescripteurs médecins des niveau à Formation/mise réactifs et ARV IO, médicaments en d’approvisionnement système du coordinateur sérologiques ; et (CGAMR) réactifs et médicaments en d’approvisionnement et PVVIH des charge en prise la pour techniques comités des fonctionnement au Appui : comité de pérennisation de la prise en charge des PVVIH, de gestion de PVVIH, des charge en prise la de pérennisation de comité : ème

105 3 Partie ale n io t a n

se n po é r

la

e d

n io t es g

Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations la

er c for n e 4 : R e q u i t é g ra Développement Développement d’un plan de mobilisation des financières ressources sur la période 2007-20012 tenant compte des cycles de financement et internationales; nationales sources de différentes et financiers ; techniques à jour annuelles, partagé et mise partenaires aux différents revue de POI budgétisé découlant duplan 2007-2012 avec Elaboration Développement d’une base de données permettant le suivi de l’utilisation des ressources allouées à la lutte contre les IST et le VIH et le Sida accessible aux et financiers ; techniques partenaires réponse de matière en réalisé progrès le sur d’informations partage le faciliter SE/CNLSpour du institutionnelle communication de système du Renforcement ; tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays potentiels des bailleursface aux de fonds à l’intention IST/VIH/Sida financiers. aux partenaires à soumettre des projets chargée de la conception des squelettes Mise en place pluridisciplinaire d’une cellule technique pour intégrer des indicateurs conformes à la réalité épidémiologique et à la feuille de route de l’Accès Universel Universel l’Accès de route de feuille la à et épidémiologique réalité la à conformes indicateurs des intégrer (PSE) pour Evaluation et Suivi de Plan du jour à Mise analyse et collecte la dans secteurs différents des responsabilités et rôles les définissant suivi-évaluation, de plan du œuvre en mise de plan du développement et ; ou à développer disponibles et précisant les outils de suivi et évaluation les niveaux des données à tous Développement d’un plan de surveillance du VIH et du Sida pour suivre la dynamique spatiale et temporelle de : l’infection vulnérables, identifier localiser les les groupes zones les géographiques plus prioritaires pour les interventions et évaluer l’impact des interventions en termes de prévalence des IST et à risque ; VIH/Sida et comportements Renforcement des capacités de suivi et par évaluation la révision des outils pour évaluation suivre et le suivi et processus de mesurer unités l’impact des dotation des la interventions dans et les niveaux les champs tous à Evaluation et Suivi du charge en personnel du formation la d’Action, Plan du programmatiques ; les niveaux les données entre circuler de communication modernes pour faire en moyens VIH du séroprévalence de enquête (ii) spécifiques ; population de groupes des dans enquêtes (i) épidémiologiques : données des analyse et collecte la à Appui ; et sanitaire démographique biologique et comportementale ; (iv) enquête ; (iii) surveillance enceintes et de la syphilis chez les femmes Mise en d’un œuvre système de suivi et évaluation de des performances la des sanitaires pour réponse : structures les (i) prestations IST monitorage et VIH/ ; du Plan d’Action spécifiques des composantes ; (ii) évaluations et communication de proximité informationnelle Sida de la veille (approche nationale exécution sous placés projets des l’ensemble de évaluation et suivi de données des informatisée gestion la assurant SIG d’un œuvre en Mise ; projet) versus programme Mise en place d’une banque de données informatisée intégrant les bases de données épidémiologique et sur la réponse et les mettant en liaison avec le SIG pour : (i) le suivi de l’adéquation de la réponse aux besoins ; (ii) un suivi et de sous une la exécution nationale mesure contribution projets à des la différents réalisation des objectifs nationaux. ; du Plan d’Action. en appui à la mise en œuvre opérationnelle un plan de recherche Mise en œuvre Développement d’une politique et de normes et procédures en matière de soutien psychosocial, d’accompagnement OEV des ; psychosocial, de soutien en matière et de d’une politique procédures normes et Développement Renforcement des capacités opérationnelles des ONG, associations et familles pour la mise en œuvre du paquet minimum d’activités de prise en charge des OEV. t s

e x      Objectif stratégique 4.2. Mobiliser les fonds pour assurer la mise en œuvre du Plan d’Action 2007-2012 du Plan d’Action la mise en œuvre pour assurer 4.2. Mobiliser les fonds Objectif stratégique         Objectif stratégique 4.1. Mettre en place un système de planification et suivi évaluation intégré fonctionnel place de planification et suivi évaluation en un système 4.1. Mettre Objectif stratégique  A permettant en à un la fois système réconciliés du être suivi du et PSN évaluation 2001-2006 réalisation doivent Les de planifier les interventions de façon efficiente, de mesurer les progrès dans la réalisation quantifiés d’objectifs nationaux et réalistes, d’évaluer l’impact des interventions en termes de rapportcoût- un par caractériséecontrôle transparente, de financière et technique gestion l’infection d’une l’assurance et fonds de bailleurs de fournir aux des interventions. démontré efficacité 

ème

107 3 Partie

Volonté politique Volonté acquise Implication des les secteurs tous Implication des les secteurs tous HYPOTHESES Perennité des Perennité programmes - Engagement - Engagement les de toutes institutions légales concernées - Volonté politique acquise Implication des les secteurs tous Meilleure Meilleure acquisepratique

SE/CNLS - GSS des 8 secteurs Responsables / Responsables Secteurs impliqués SE/CNLS - MINSAN_PF MJ - MPSL - SECNLS MINPOPSL - MINSAN_PF - SE/CNLS MJ - MINSAN_ PF - SE/CNLS MJ - MINSAN_ PF - SE/CNLS SE/CNLS - Fréquence de Fréquence collecte Annuelle - Annuelle - - Annuelle

Données de base Moyens de vérifications Moyens

MV : Rapport de révision du document, ministériel décret sectoriels; DB : 8 plans stratégiques PEC médicale, politiques PTME, CTV, sanguine, norme et directives transfusion du VIH nationales du Conseil et dépistage MV : Rapport de la mise à jour des documents DB : ND de les projets signée avec Convention que PIC, SAGE, tels développement PSDR, ONN etc. DB : Loi sur la protection des PVVIH DB : Loi sur la protection en la prise pour de loi projet promulguée, de des OEV disponible et projet charge sur la famille d’accueil disponible décret et projet d’application adopté au conseil du Décret gouvernement MV : Rapport d’activité relative à la MV : Rapportd’activité relative le VIH contre de la lutte mise en œuvre et le Sida DB : ND MV : Journal officiel de la République de Madagascar DB : TDR du commission élaboré MV : Journal officiel de la République de Madagascar DB : Document cadre pour l’approche disponible multisectorielle MV : Rapport d’activité relative à la MV : Rapportd’activité relative le VIH contre de la lutte mise en œuvre et le Sida pratique DB : Un document de meilleure sur la réponse locale MV : Rapportde suivi SE/CNLS INDICATEURS INDICATEURS Documents de politique sectorielles et stratégies disponibles Pourcentage des programmes des programmes Pourcentage nationaux la et PGE intégrant et VIH/SIDA les IST contre lutte Textes législatifs, décrets décrets législatifs, Textes d’application, règlementations mis en vigueur Recommandations pour Recommandations de l’élimination des formes des discrimination à l’endroit intégrées dans les femmes de lutte documents cadres et VIH/SIDA les IST contre Textes régissant la commission régissant la commission Textes nationale éthique et juridique de et le mécanisme du fonds solidarité disponibles Document cadre révisé dispositif et institutionnel en place mis et fonctionnel l’opérationnalisation pour multisectorielle l’approche de Nombre de documents de Nombre publiés pratiques meilleures international partagés au niveau Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations ACTIVITES 1.1.2.2 Développer, mettre à jour, à jour, mettre 1.1.2.2 Développer, et diffuser des documents de vulgariser contre lutte de politique et sectorielles et le VIH et le Sida conformes les IST aux internationales normes 1.1.2.3 Assurer l’intégration l’intégration 1.1.2.3 Assurer les IST contre de la lutte systématique et le VIH et le Sida dans les politiques, de plans et projets programmes, national et sectoriels. développement 1.1.1.1 Développer, mettre à jour, à jour, mettre 1.1.1.1 Développer, et et diffuser les lois, textes vulgariser les droits règlementations protégeant vulnérables des PVVIH, OEV et femmes Axe stratégique 1 : Mise en place d’un cadre juridique, politique et opérationnel pour une réponse aux IST et VIH/SIDA multisectorielle, intégrée, efficace et protégeant les intégrée, efficace et protégeant multisectorielle, politique et opérationnel pour une réponse aux juridique, et VIH/SIDA place 1 : Mise en d’un cadre stratégique IST Axe des personnes droits et le Sida et le VIH les IST contre le dispositif juridique et politique de lutte 11: Renforcer Objectif stratégique efficace multisectorielle lutte à une favorable environnement pour un renforcé juridique 1.1.1: Cadre Résultat attendu 1.1.2.4 Promouvoir l’intégration de la l’intégration 1.1.2.4 Promouvoir dans les politiques, dimension genre les contre de lutte et projets stratégies le VIH et le Sida et IST 1.1.1.2 Mettre en place une 1.1.1.2 Mettre commission nationale éthique et juridique 1.1.2.1 Réviser le et document cadre mettre en institutionnel pour renforcer l’approche place un et IST les contre lutte de multisectorielle dispositif le VIH et le Sida. Résultat attendu 1.1.2: Cadre politique développé pour un environnement favorable à une lutte multisectorielle efficace multisectorielle à une lutte favorable pour un environnement politique développé Cadre 1.1.2: Résultat attendu Promouvoir la contribution de 1.1.2.5 Promouvoir les IST contre dans la lutte Madagascar mondial et le VIH et le Sida au niveau par la documentation et la diffusion des nationales pratiques meilleures : suivant dans le tableau présentées sont activités-clés des objectifs généraux Les pour la réalisation prévues 3. CADRE LOGIQUE DE LA MISE EN ŒUVRE DU PLAN D’ACTION 2007-2012 DU PLAN D’ACTION DE LA MISE EN ŒUVRE LOGIQUE 3. CADRE 3 ème Partie 108 Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation et larégion) unités demesurecomme lacommune suivi etévaluation de laréponse(avec 1.3.1.5 Mettre unsystème enplace de le SIDA (PLLS) œuvre deLutte contre dePlans Locaux vulnérables pourassurer lamiseen danslescommunes notamment (CLLS) deLutte contreComités Locaux leSIDA 1.3.1.4 Poursuivre de lamiseenplace (CRLS) et des antennes(CRLS) dedistrict deLutte contreRégionaux leSIDA 1.3.1.3 Mettre desComités enplace équipement qualifiéet décentralisé: personnel des structures d’appuiauniveau 1.3.1.2 Renforcer lescapacités responsabilités desrôleset complémentarité une perspective despécificité/ d’appui auniveau dans décentralisé et modesopérationnels) desstructures 1.3.1.1 RéviserlesTDR(composition renforcées attenduRésultat 1.3.1:Capacitéstechniques etmanagérialesdesstructures deplanification,coordination etdesuivilamiseenœuvre niveaux régionaletcommunal aux Objectif stratégique 1.3:Renforcer ladécentralisationdegestion duprogrammeIST etauVIH/SIDA pouruneréponselocaleaux aspects financiers sur leplandelagestion, les ycompris décentralisation effective delaréponse d’une approche programme etla pourlamiseenœuvreinternationaux 1.2.1.4 Mobiliserlespartenaires compris lesecteurcompris privé ministères publicsetlasociétécivile,y renforcement dupartenariat entre les 1.2.1.3 Développer unestratégie de sous-régionaux et régionaux mondiaux, réseaux aux internationales àtravers laparticipation lesexpériences 1.1.2.6 Capitaliser réponse nationale tutelle technique descomposantes dela etlesministèresSE/CNLS assurant la renforcement dupartenariat entre le 1.2.1.2 Développer unestratégie de décisionnel ettechnique des rôles/responsabilités surleplan une perspective decomplémentarité de coordination auniveau dans central, 1.2.1.1 RéviserlesTDRdesstructures en place mis Sida le et VIH le et IST contreles efficace lutte une pour coordination intersectorielsde et structuresintra des l’opérationnalisation pour Dispositifs : 1.2.1 attendu Résultat Objectif stratégique 1.2 :Renforcer lacoordination intra- etintersectorielle IST danslamiseenœuvre etVIH/SIDA delaréponsenationaleaux ACTIVITES communal) opérationnel communal) décentralisé (régionalet de laréponseauniveau Système desuiviévaluation et fonctionnels Nombre dotésdePLLS deCLLS fonctionnels - Nombre d’antennes de districts Nombre opérationnels deCRLS CAC…) (ex:opérationnelles etefficaces (régional etcommunal) d’appui auniveau décentralisé Pourcentage destructures niveau validé décentralisé chaque structure d’appuiau le rôleetlaresponsablilité de Document desynthèsedécrivant disponible etappliqué le plantechnique etfinancier l’approche programme sur l’opérationnalisation de Document cadre pour partenariat disponible l’opérationnalisation du et pland’actionpour Document destratégie et expériences internationales pour lacapture deconnaissance Nombre dedocumentsélaborés partenariat misenœuvre pour l’opérationnalisation du signées etplansd’action partenariat avec lesministères Nombre deconventions de coordination validé de chaquestructure de le rôleetlaresponsabilité Document desynthèsedécrivant INDICATEURS MV : Rapport desuivi desCT/UCR MV :Rapport MV : Rapport desuiviSE/CNLS MV :Rapport communes disponible communes disponible, Fiched’autoévaluation des Outil desuiviauniveau régional DB : MV : Rapport desuiviSE/CNLS MV :Rapport dotés dePLLS (en2006)dont358 DB :878CLLS MV : Rapport desuiviSE/CNLS MV :Rapport interégionale fonctionnels DB :5Bureaux decoordination MV : Rapport deconsultation MV :Rapport DB :100%opérationnelles MV : Rapport desuiviSE/CNLS MV :Rapport au niveau disponibles décentralisé TDR desdifférentes structures d’appui DB :ND MV : Rapport desministèresMV :Rapport opérationnel intégré organismes desNationsUniesetPlan des Plan opérationnel conjoint DB: ministères MV :Convention etrapport d’activitédes DB :ND publication dedocumentsrenforcés Dispositifs d’élaboration etde DB :ND MV : Rapport deconsultation MV :Rapport ministères encours partenariat entre etles SE/CNLS DB :Proposition deconvention de MV : Rapport desuiviSE/CNLS MV :Rapport coordination disponibles TDR desdifférentes structures de DB :ND Moyens devérifications Données debase

Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle - Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle collecte Fréquence de - - Régions - CT/UCR SE/CNLS - Régions CT/UCR MDAT - MIRA SE/CNLS MDAT - MIRA SE/CNLS MDAT - MIRA SE/CNLS SE/CNLS MINISTERES TOUS LES SE/CNLS MINISTERES - TOUS LES SE/CNLS impliqués Secteurs Responsables / - MIRA SE/CNLS

concernées des parties Engagement de coordination institutionnelles structures des Stabilité administratives structures des Stabilité de coordination institutionnelles structures des Stabilité de coordination institutionnelles structures des Stabilité partenaires des différents Engagement la sociétécivile ministères etde des différents Engagement ministères des différents Engagement HYPOTHESES partenaires Consensus des parties concernées Engagement des ème

109 3 Partie HYPOTHESES Existence de Existence techniciens permanents des au niveau ministères, allocation de relatif budget au au VIH/SIDA de chaque niveau ministère des Existence les ONGs ayant compétences requises Nombre suffisant Nombre des sous projets éligibles Soumission de sous projets par le appropriés concerné secteur Environnement Environnement pour la favorable mise à l’échelle

Responsables / Responsables Secteurs impliqués SE/CNLS LES - TOUS MINISTERES SE/CNLS ONG prestataires SE/CNLS LES - TOUS MINISTERES SE/CNLS Annuelle Fréquence de Fréquence collecte Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle

Données de base Moyens de vérifications Moyens DB : ND MV : PGE - Rapport des ministères MV : PGE - Rapport ministères des DB : ND MV : Rapport de formation DB : 3355 (en fin 2006) MV : Inventaire des OCB MV : Inventaire pilotes DB : 5 sous projets MV : Rapport d’activités des ministères DB : ND MV : Rapport de de formation/rapport suivi des activités des OCB INDICATEURS INDICATEURS Pourcentage des ministères des ministères Pourcentage VIH le contre la lutte intégrant et le Sida dans leurs plans - d’action inscrits dans le PGE d’actions des plans Pourcentage mis en œuvre effectivement Nombre d’ONG locales ayant d’ONG locales ayant Nombre les capacités d’encadrement des OCB mis de sous-projets Nombre par les OCB et en œuvre associations, en priorité dans les communes vulnérables Nombre de projets sectoriels sectoriels de projets Nombre par le secteur mis en œuvre public Nombre d’’OCBs et associations Nombre bénéficiant d’un appui pour la mise à échelle du sous-projet Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations ACTIVITES 1.3.2.1 Renforcer la capacité du 1.3.2.1 Renforcer contre lutte la public à intégrer secteur et le Sida dans les et le VIH les IST plans d’action sectoriels Résultat attendu 1.3.2: Capacités des acteurs du secteur public et de la société civile (ONG, associations, OCB), y compris le secteur privé œuvrant dans la lutte contre les IST et IST les contre lutte la dans œuvrant privé secteur y comprisle OCB), associations, (ONG, civile société de la et public du secteur acteurs des 1.3.2: Capacités Résultatattendu renforcées le VIH et le Sida 1.3.2.2 Assurer le transfert des le transfert 1.3.2.2 Assurer des ONGs internationales compétences la nationales vers et organisations un pour société civile malagasy, de accompagnement/encadrement locaux dans des promoteurs proximité les communes vulnérables la capacité des OCBs 1.3.2.3 Renforcer et associations par les organisations proximité, de (ONG internationales décentralisés des ONG locales, organes etc.) confessionnelles, organisations et la mise en pour le développement en priorité dans des de projets, œuvre communes vulnérables. 1.3.2.4 Mettre en placeun mécanisme 1.3.2.4 Mettre de financement adéquat pour des en œuvre de la mise l’intensification par le secteur sectorielles stratégies public 1.3.2.5 Mettre en place mécanisme un 1.3.2.5 Mettre des des compétences de renforcement acteurs OCBs, associations et autres pour un locaux performantes les plus des meilleurs à échelle rapide passage dans les communes vulnérables projets 3 ème Partie 110 Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation les soinsdesantéprimaire des prestations IST etVIH/SIDA dans secteur publicàtravers l’intégration promotionnelsservices etcliniquesdu renforcement deladisponibilitédes 1.4.2.1 Développer unplande attendu desgroupesRésultat services cliniquesdequalitéaccrues 1.4.2:Disponibilitéetaccessibilité vulnérables aux société civile, y compris le secteur privé le secteur public,lesintervenants dela ISTservices etVIH/SIDA fournis par évaluation desperformances des supervision formative etsuivi/ etSSPFDenplanification, DRSPF 1.4.1.5 Renforcer lescapacitésdes utilisation ; etcoordinationleur dotation dansleur meilleure planificationetsuividans et périphérique,pourassurer une santé, équipements)auniveaux central produitsdes intrants (personnel, de 1.4.1.4 Améliorer lesystème degestion vulnérables en direction desgroupes etcommunes promotionnelsdes services etcliniques privé, pouraugmenter ladisponibilité la sociétécivile,ycompris lesecteur partenariat entre lesecteur publicet 1.4.1.3 Développer unestratégie de VIH/SIDA enmatièreservices d’IST etde managériales desprestataires de des compétences techniques et du dispositifderenforcement 1.4.1.2 Assurer lapérennisation l’Information et Communication(TIC). l’appuienTechnologie ; (f) services de du monitorage desperformances des base desdonnéesdesurveillance et équipements ; (e)lagestion dela (d) lagestion delamaintenance des ; (c) laréférence enlaboratoire ; formation technique etmanagériale pour l’assurancequalité;(b)la assurer (a)ledéveloppement d’outils de lasantéettechnologie pour spécialisées dansdifférents domaines central unréseaudesinstitutions 1.4.1.1 Mettre auniveau enplace attenduRésultat 1.4.1:Dispositifpérenne derenforcement delagestion etefficiente efficace de laréponsedusecteur santémisenplace Objectif stratégique 1.4:Renforcer IST etauVIH/SIDA dusystème l’efficience delasantédansréponseaux ACTIVITES œuvre préservatifs) élaboré etmisen médicaments, consommables, formation, équipement,réactifs, des intrants (personnel, planannueldedotation services etpréservatifs)services des offres etdesdemandesen performance fixée(adéquation sanitaires atteignant lescore de Pourcentage deformations prestations IST etVIH/SIDA decouverturenationaux des suivi etévaluation desobjectifs et assurant laplanification, Nombre formés deDRS/SSD périphérique) opérationnelles intrants (niveaux central et Bases dedonnéessuivides VIH etduSida prise encharge desIST etdu depréventionde services etde sanitaires prévuesdisposant Nombre deFormations sociaux) sociaux) etagentsparamédicaux formation initiale(médecins, SIDA dans lescurriculade lutte contre lesIST etVIH/ managériale intégrant la formation technique et Nombre d’institutionsde référence technique fonctionnel Centre d’excellence/de INDICATEURS

MV : Rapport DULMT MV :Rapport MV : Rapport DHRR/DDDS MV :Rapport DB :ND - MINSANPF DNLMT-DPLMT MV :Rapports des services disponibles des services DB :Basededonnéessurlemonitorage VIH/SIDA) DNLMT(serviceIST/ MV :Rapports suivi desmédicamentsetréactifs DB :Basededonnéesnationalepourle MV : Rapport MINSANPF MV :Rapport DB :ND concernés d’acticitésdescentresMV :Rapport DB :ND DB :ND Moyens devérifications Données debase

Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle collecte Fréquence de - MINSAN_PF SE/CNLS - MINSAN_PF SE/CNLS - MINSAN_PF SE/CNLS - MINSAN_PF SE/CNLS - MENRS - MINSAN_PF SE/CNLS - MINSAN_PF SE/CNLS impliqués Secteurs Responsables /

Responsables Implication des Responsables Implication des Responsables Implication des la sociétécivile ministères etde Engagement des formations institutions de Engagement des partenaires Engagement des HYPOTHESES ème

111 3 Partie HYPOTHESES Agents de santé Agents suffisants dans les formations sanitaires Implication des Responsables Implication des Responsables Volonté politique Volonté acquise Implication des responsables Engagement des Engagement entreprises Engagement des Engagement entreprises Stabilité des des responsables départements ministériels concernés

Responsables / Responsables Secteurs impliqués SE/CNLS - MINSAN_PF SE/CNLS - MINSAN_PF SE/CNLS - MINSAN_PF CNT - SE/ CNLS- MCISP CNT - SE/ CNLS- MCISP CNT - Entreprises -SE/CNLS- - MCISP Tous les Tous MINISTERES des secteurs clés - SE/CNLS Trimestrielle Fréquence de Fréquence collecte Annuelle Annuelle - - Annuelle Annuelle

Données de base Moyens de vérifications Moyens DB : ND MV : Rapport DHRR/DDDS DB : ND MV : Rapport DULMT DB : ND MV : Rapport DULMT DB : Conseil National de Travail MV : Rapport d’activité CNT sur la lutte MV : Rapport d’activité CNT sur la lutte le VIH et le Sida contre DB : ND MV : PV de mise en place DB : 8 MV : Rapport CNT - SE/CNLS DB : 8 MV : RapportFOP INDICATEURS INDICATEURS Taux de couverture effective en effective de couverture Taux services intégrés de prévention cliniques charge et de prise en et du VIH et du Sida des des IST vulnérables groupes Pourcentage des centres de des centres Pourcentage eu une rupture santé ayant traceurs en produits de stock (par aux IST/VIH/SIDA relatifs sanitaires) type de formations Pourcentage/Nombre de Pourcentage/Nombre des CHRR laboratoires répondant aux normes requises Cellule de coordination de de Cellule de coordination en milieu de travail la lutte opérationnel Nombre de coalitions Nombre opérationnelles d’entreprises (nationale et régionales) - adhérant d’entreprises Nombre dans les coalitions Nombre d’entreprises privées d’entreprises Nombre leur politique développé ayant - de VIH/SIDA en matière réalisés dans de projets Nombre le milieu d’entreprise Nombre de départements de départements Nombre développé ministériels ayant de leur politique en matière de projets -Nombre VIH/SIDA réalisés dans le milieu de travail public du secteur Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations ACTIVITES 1.4.2.2 Renforcer l’accessibilité 1.4.2.2 Renforcer les plus des services aux groupes et dans les zones vulnérables et où les enclavées géographiques ne fixe de la stratégie performances sont pas adéquates 1.4.2.3. Renforcer le système logistique système le 1.4.2.3. Renforcer d’intégration dans une perspective et d’harmonisation des circuits et de distribution d’approvisionnement réactifs, (équipements, médicaments, cental et et consommables) au niveau périphérique 1.4.2.4. Renforcer les capacités des les 1.4.2.4. Renforcer régionaux de et le système laboratoires du LNR contrôle de qualité au niveau 1.5.1.1 Opérationnaliser la cellule pour des et l’harmonisation la coordination en milieu de travail interventions Résultat attendu 1.5.1: Mainstreaming (intégration) du VIH et du Sida en milieu de travail des secteurs public et privé intensifié des secteurs du VIH et du Sida en milieu de travail (intégration) Mainstreaming 1.5.1: Résultat attendu Objectif stratégique 1.5: Renforcer l’engagement du secteur travail dans la réponse nationale aux dans la et au VIH/SIDA IST travail du secteur l’engagement 1.5: Renforcer Objectif stratégique 1.5.1.2 Mettre en place coalitions des 1.5.1.2 Mettre pour la mise en œuvre d’entreprises le VIH et contre des politiques de lutte le Sida. 1.5.1.3 Promouvoir le développement le développement 1.5.1.3 Promouvoir le VIH et le contre de politique de lutte Sida en milieu de travail 1.5.1.4 Appuyer le développement le développement 1.5.1.4 Appuyer de de projets et la mise en œuvre en et VIH/SIDA les IST contre lutte publics des secteurs milieu du travail (sécurité, santé, les plus vulnérables éducation,…). 3 ème Partie 112 Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation leçons tiréesdel’expérience pourintégrerde communication et lesacquis 2.1.1.1 Mettre àjourlastratégie nationale attenduRésultat 2.1.1:Dispositifs,outilsetressources nécessaires activitésdeCCC aux améliorés Objectif stratégique 21:Promouvoir lescomportements sexuels IST àmoindre etauVIH/SIDA aux risqueface etl’utilisationdesservices cliniquesIST etVIH/SIDA Axe servicescliniquesdeprévention stratégique àl’information 2:Amélioration del’accès etaux desIST etduVIHSidadequalité conformes àlanouvelle stratégie 2.1.1.2. Développer lesoutilsnécessaires nationale. socioculturelles conformément àlastratégie etpratiquesvaleurs traditionnelles et pour latransformation desnormes, plaidoyer endirection locaux desleaders 2.1.1.3 Développer unprogramme de communication adaptésaucontextecommunication local. dans laproduction desupports etlaprofessionnalisationde communication en planificationstratégique descampagnes pour l’institutionnalisation delaformation avec les organisations spécialisées 2.1.1.4 Renforcer lepartenariat informationnelle surlesIST etVIH/SIDA. l’extension etlapérennisation delaveille communicateurs desmediademassepour les patrons depresse, journalistes et 2.1.1.5 Renforcer lepartenariat avec central etinterrégional . coordination auniveau delacommunication 2.1.1.6 Mettre lesstructures enplace de promotion del’ABCD. la stimulationderéponselocaleet au niveau vulnérables pour descommunes couverture effective desgroupes vulnérables deproximitéde communication pourune 2.1.1.7 Renforcer leséquipementsetoutils encourageant l’interaction avec lescibles. et évaluation desupportscommunication communicateurs et animateurs en production 2.1.1.8 Remettre àniveau les générale etdesgroupes vulnérables. interventions endirection delapopulation un système desuivietévaluation des 2.1.1.9 Développer etmettre enœuvre ACTIVITES disponible etvalidé Documentdestratégie révisé nouvelle stratégie spécifiques conformes àla l’objetd’outilsdeCCCfaisant Pourcentage desgroupes cibles districts etcommunes disponible approprié pourlesrégions, programme deplaidoyer Plan demiseenœuvre du communication signés avec lesprofessionnels de Nombre d’accords departenariat masse communicateurs desmédiade de presse, journalistes et signés avec lespatrons Nombre d’accords departenariat communication fonctionnellescommunication de coordination dela Nombre destructures communication en équipementetoutilsde dotées Associations/OCB) Nombre destructures (ONG, formés fonctionnels Nombre decommunicateurs de la communication disponible de lacommunication Mesure etimpacts desrésultats INDICATEURS communication DB :Stratégie nationalede MV : Rapport devalidation MV :Rapport DB :ND MV : Rapport d’élaboration MV :Rapport DB :ND MV : Rapport SE/CNLS MV :Rapport DB :ND MV : Rapport SE/CNLS MV :Rapport Année 2006 partenaires radios DB :97stations MV : Rapport SE/CNLS MV :Rapport Année 2006 régional et 3plateformes auniveau fonctionnelle auniveau central DB :unitédecommunication coordination duSE/CNLS des structuresMV : Rapport de Année 2006 radios partenairesstations et 8parPSI-97 SE/CNLS dont 10géréesparle DB :18UMVopérationnelles SE/CNLS desuivi MV :Rapport Année 2006 DB :128animateurs radios SE/CNLS desuivi MV :Rapport DB :ND MV : Rapport deconsultation MV :Rapport Moyens devérifications Données debase

collecte Fréquence de - - - Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Biennale Secteurs impliqués Responsables / télécommunication Ministère poste et - SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS télécommunication Ministère poste et - SE/CNLS télécommunication Ministère poste et - SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS HYPOTHESES concernés des secteurs clés groupes cibleset Implication des déterminés Groupes cibles leaders Engagement des spécialisées Organisations volonté des Existence et concernées des parties Engagement requises les compétences humaines ayant des ressources et engagement Disponibilité appropriés équipements Disponibilité des communicateurs Engagement des concernées des parties et volonté Implication ème

113 3 Partie Engagement Engagement des parties concernées Environnement Environnement socio- économique pour favorable la réalisation des activités de communication de proximité Environnement Environnement socio- économique pour la favorable réalisation de la sensibilisation de masse Enquêtes menées Enquêtes régulièrement Implication et volonté des parties concernées HYPOTHESES SE/CNLS - MINSAN_PF SE/CNLS - MINSAN_PF SE/CNLS - MINSAN_PF SE/CNLS - MINSAN_PF - MINPOPSL SE/CNLS - MINPOPSL Responsables / Responsables impliqués Secteurs Annuelle Annuelle pour le Rapport de suivi SE/CNLS, Biennale pour l’ESC, Quinquennale pour l’EDS Annuelle pour le Rapport de suivi SE/CNLS, Quinquennale pour l’EDS Quinquennale Annuelle Fréquence de Fréquence collecte

Données de base Moyens de vérifications Moyens MV : Rapportde suivi SE/CNLS DB : ND ESC et EDS MV : Rapportde suivi SE/CNLS, Rapport sur la de risque cartographie DB : 27% touchées DB : 27% touchées 10% par les UMV, manivelle, par la radio 58% communication interpersonnelle 8% des jeunes enquêtés ont envers une attitude positive les PVVIH MV : Rapport de suivi SE/ Démographique CNLS,Enquête et Sanitaire DB : 27660 évènements réalisés (Année socio-culturels 2005) 18,8% (H), 19,0% (F) (EDS 2003-2004) MV : Rapport des résultats d’enquête DB : 5,4% (F) ; 12,2% (H) (EDS 2003-2004) MV : Rapport de suivi SE/CNLS DB : ND INDICATEURS INDICATEURS

Pourcentage des communes Pourcentage par les touchées vulnérables activités intégrées des agents communautaires Pourcentage des communes Pourcentage par les activités de touchées proximité des jeunes ayant Pourcentage les envers une attitude positive PVVIH Nombre d’évènements Nombre la intégrant socio-culturels sensibilisation de masse sur la et du VIH et des IST prévention du Sida des jeunes Pourcentage qui connaissent et adultes de les deuxparfaitement moyens les trois et rejettent prévention du sida à propos idées erronées Taux d’utilisation du préservatif d’utilisation du préservatif Taux à lors sexuel du dernier rapport risque (chez les jeunes de 15-24 ans, les TdS,….) Pourcentage des districts Pourcentage de par le programme touchés plaidoyer des communes à Pourcentage haut risque et à risque modéré de par les programme couvertes d’outils de Nombre - plaidoyer diffusés plaidoyer Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations ACTIVITES 2.1.2.5 Renforcer l’intégration du volet IST/ du volet l’intégration 2.1.2.5 Renforcer dans le paquet d’activités de santé VIH/SIDA communautaires des agents promotionnelle 2.1.2.4 Renforcer la mise en œuvre des la mise en œuvre 2.1.2.4 Renforcer de proximité activités de communication et à risque dans les communes à risque élevé modéré 2.1.2.3 Renforcer la généralisation de la la généralisation 2.1.2.3 Renforcer lors sensibilisation de masse organisée à l’ensemble d’événements socioculturels compte des districts à risque (en tenant des spécificités régionales et des afflux de population mobiles liés aux activités économiques saisonnières) 2.1.2.2 Appuyer la mise à jour et la mise la mise à jour et la mise 2.1.2.2 Appuyer et de promotion de la stratégie en œuvre compte tenir pour préservatif, du distribution des comparatifs des spécificités et avantages réseaux de distribution et assurer différents plus des groupes en priorité une couverture vulnérables 2.1.2.1 Mettre en œuvre un programme un programme en œuvre 2.1.2.1 Mettre ciblant les leaders locaux de plaidoyer les encourageant et communautaires risque, y compris à moindre comportements contre et pour lutter de genre, les inégalités à l’endroit la stigmatisation et discrimination par le et affectées des personnes infectées VIH et le Sida Résultat attendu 2.1.2: Interventions de communication de masse pour la veille informationnelle et de proximité pour le changement de comportement renforcées comportement de pour le changement et de proximité informationnelle de communication pour la veille de masse 2.1.2: Interventions Résultat attendu 3 ème Partie 114 Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation et duSida de réduction de lasyphilis duVIH et contrôle contre lesIST dansunedoubleperspective intra- etintersectorielle desactivitésdelutte chargé deladynamisationetcoordination 2.2.1.1 Mettre ungroupe enplace detravail attendu dePeC desservices Résultat 2.2.1:Utilisationaccrue desIST classiques Objectif stratégique 22:Intensifier ledépistage delasyphilisetPECdescasd’IST classiques thérapeutique simple cibles àunePeC desIST selonunschéma 2.2.1.2 Renforcer desgroupes l’accès mis àjour de lasyphilisutilisantlesoutilsformation privés en approche syndromique et dépistage prestataires publicset desoinsmédicaux 2.2.1.3 Renforcer lescapacitésdes fixe nesontpassatisfaisantes zones oùlesperformances delastratégie des IST dansleszonesenclavées etdansles groupes servicesdePEC vulnérables aux alternatives pourassurer des l’accessibilité 2.2.1.4 Développer desstratégies résistance/vigilance résistance/vigilance des étudesétiologiquesetdepharmaco dePECdesIST,nationaux surlabase 2.2.1.6 Mettre àjourlesalgorithmes appuyée parlesONG Distribution àBaseCommunautaire (DBC) dans lesformations sanitaires publiqueetla marketing social,lecircuit dedistribution le circuit dedistributionprivéviale pour assurer entre unecomplémentarité stratégie dedistributiondespréservatifs 2.2.1.5 Réviseretmettre enoeuvre la ACTIVITES opérationnel contre lesIST et misenplace Groupe detravail delutte IST prescrits Nombre dekitstraitement des syndromique traités selonl’approche Nombre decasd’IST classiques dépisatge delasyphilis PeC syndromique desIST etle Pourcentage offrant la deCSB dépistage delasyphilis syndromique ettechnique de de santéformés enapproche sanitaires disposantd’agents Pourcentage deformations par stratégies alternatives de casd’IST classiquesnotifiés stratégies alternatives; nombre Taux decouverture régionaledes et IP7 IP6 sanitaires répondantaux - Pourcentage desformations respectant lesnormesdequalité le dépistage delasyphiliset Pourcentage effectuant desCSB des IST algorithmes de PEC nationaux pour lamiseàjourdes desétudesutilisés Résultats réseaux distribués parlesdifférents Nombre depréservatifs distribution despréservatifs modalités opérationnelles dela Plan définissantclairement les INDICATEURS

DB :ND MV : Rapport decomité MV :Rapport des IST: 3292 nécessaires pourletraitement qualifié etdesmédicaments disposant dupersonnel Nombre decentre desanté DB :ND MINSANPF, SE/CNLS desuivi MV :Rapport 2523 (Année2005) pour letraitement desIST: ayant qualifié dupersonnel Nombre decentre desanté DB :ND MINSANPF, SE/CNLS desuivi MV :Rapport DB :ND MINSANPF, SE/CNLS desuivi MV :Rapport 2000) 20% IP6,40%IP7(Année des IST disponibles Algorithmes dePeC nationaux DB :ND consultation d’étudeetde MV :Rapport distribués (Année2006) –18 878996préservatifs de préservatifs disponible DB :Politique dedistribution SE/CNLS desuivi MV :Rapport Moyens devérifications Données debase

collecte Fréquence de Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Secteurs impliqués Responsables / LES MINISTERES -TOUS SE/CNLS MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF SE/CNLS, HYPOTHESES concernées des parties Engagement responsables Implication des acquise Volonté politique concernées des parties Engagement responsables Implication des acquise Volonté politique responsables Implication des acquise Volonté politique responsables Implication des acquise Volonté politique ème

115 3 Partie Engagement Engagement des parties concernées Engagement Engagement des parties concernées Engagement Engagement des parties concernées Engagement Engagement des parties concernées Engagement Engagement des parties concernées Volonté politique politique Volonté acquise Implication des responsables Volonté politique politique Volonté acquise Implication des responsables HYPOTHESES MINSAN_PF SE/CNLS - MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF Responsables / Responsables impliqués Secteurs Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Fréquence de Fréquence collecte

Données de base Moyens de vérifications Moyens MV : Rapportde suivi SE/CNLS, MINSANPF/DPLMT, spécifique Enquête DB : 25 CTV (Année 2006) MV : Rapportde suivi SE/CNLS, Enquête MINSANPF, spécifique DB : 184 prises en charge par DB : 184 prises en charge un réseau de soutien Année 2006 MV : Rapport de suivi SE/CNLS, MINSANPF/DPLMT, spécifique Enquête DB : ND MV : Rapport de suivi SE/CNLS, Enquête MINSANPF, spécifique DB : 16 (Année 2006) MV : Rapport de suivi SE/CNLS MINSANPF, DB : ND MV : Rapport de suivi MINSANPF/DULMT/DPLMT, SE/CNLS DB : 1725 formées en DB : 1725 formées counseilling de formations 25 Centres (Année publics sanitaires 2005) MV : Rapport du groupe DB : ND

INDICATEURS INDICATEURS Pourcentage des formations des formations Pourcentage du le dépistage offrant sanitaires VIH selon les normes de qualité standard Nombre de PVVIH pris en charge de PVVIH pris en charge Nombre et par les réseaux de par les CTA soutien aux PVVIH des PVVIH référés Pourcentage sanitaires par les structures de soutien aux structures psychosocial Pourcentage des formations des formations Pourcentage et le dépistage offrant sanitaires immédiatement effectuer pouvant de confirmation rapides les tests des clients qui ont Pourcentage et le le conseil post-test reçu résultat le même jour Nombre de structure sanitaire sanitaire de structure Nombre du VIH le dépistage intégrant dans les services de PEC des de la TB et de dépistage IST, des services de santé de la pour les cibles reproduction vulnérables Pourcentage des agents de santé des agents Pourcentage des attitudes qui expriment les envers non discriminatoires PVVIH Nombre de personnes formées et de personnes formées Nombre opérationnelles des formations Pourcentage le CTV intégrant et sanitaires du personnel qualifié ayant Groupe de travail chargé de travail Groupe de de l’opérationnalisation du VIH du dépistage l’intégration mis en place et opérationnel Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations ACTIVITES 2.3.2.4 Mettre en place un dispositif de 2.3.2.4 Mettre de contrôle de la qualité de la prestation du VIH (qualité du test service de dépistage et primaire et du conseil pour la prévention médicale et psychosociale). la référence 2.3.2.3 Mettre en place un dispositif de 2.3.2.3 Mettre et une référence soutien psychosocial à partir des des séropositifs effective les réseaux de vers services de dépistage des PVVIH pyschosociale prise en charge autonome de traitement et les 22 centres régionaux 2.3.2.2 Assurer la possibilité aux 2.3.2.2 Assurer formations de VIH rapides d’utiliser 3 tests sanitaires pour la confirmation du statut sérologique le des résultats du test (pour la remise même jour) et la participation des PVVIH de soutien psychosocial structures ou autres dans les services de dépistage. 2.3.2.1 Intégrer le dépistage dans les le dépistage 2.3.2.1 Intégrer les de tous services de PEC des cas d’IST CSB publics des communes vulnérables, et dans les services de santé dans les CDT, pour les jeunes et les de la reproduction les plus vulnérables groupes Résultat attendu 2.3.2: Accessibilité et disponibilité des services de Conseils et Test Volontaires et système de référence pour la prise en charge des PVVIH renforcées pour la prise en charge de référence et système Volontaires de Conseils et Test et disponibilité des services Accessibilité 2.3.2: Résultat attendu 2.3.1.3 Assurer un encadrement des un encadrement 2.3.1.3 Assurer personnels aux de santé par rapport attitudes face à la stigmatisation et discrimination des personnes avec vivant le VIH 2.3.1.2 Réaliser des formations continues 2.3.1.2 Réaliser des formations de laboratoire des conseillers et techniciens d’immersion stage théorique avec (formation et suivi formatif). recyclage pratique, dans les services de routine de routine VIH dans les services du confidentiel et volontaire conseils et dépistage les 2.3: Intégrer Objectif stratégique du VIH renforcés et volontaire du service 2.3.1: Dispositifs de conseilRésultat et dépistage attendu de en place un groupe 2.3.1.1 Mettre de chargé de l’opérationnalisation travail du VIH dans les du dépistage l’intégration soins de santé primaires 3 ème Partie 116 Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation laboratoire ; doter enéquipementmatérielcliniqueset 2.4.1.1 Réhabiliter lesinfrastructures, les attendu dePTME desservices Résultat 2.4.1:Utilisationaccrue Objectif stratégique 2.4:Renforcer etladisponibilitédesservices deprévention l’accessibilité delatransmission mère-enfant duVIHetSida ; d’outils degestion, suiviformatif) gestion etprestations PTME,développement formationpersonnel, en dansleservice prestataires en desservices(dotation 2.4.1.2 Renforcer lacapacitédes PTME enligneavec l’objectifstratégique 2.4.1.3 Actualiser lesguidesetprotocoles des centres dePTME régulier enréactifs,consommablesetARV 2.4.1.4 Assurer l’approvisionnement contre référence médicale etpsychosociale; 2.4.1.5 Renforcer lesystème deréférence/ de lapyramide sanitaire différentstransfusion sanguineaux niveaux 2.5.1.1 Renover leréseaudecentres de d’infections nosocomialesetdetransmission sanguineduVIHenmilieudesoinslimité attenduRésultat 2.5.1Risque Objectif stratégique 2.5:Intensifier lesprécautionsuniverselles etlaprévention delatransmission sanguineduVIHetSidaenmilieumédical les risquesetmesures deprotection santé desunitésdetransfusion sanguinesur 2.5.1.2 Former lesResponsables/Agents de réactifs en etPTS CRTS 2.5.1.3 Doter lesCNTS, ACTIVITES de PTME requises enterme deservice respectant lesnormesminimales Nombre deformations sanitaires prophylaxie ARV aux séropositives bénéficiantdela Nombre defemmes enceintes opérationnel Nombre decentres PTME et opérationnels Nombre d’agents desantéformés des guidesetprotocoles révisés Pourcentage deSSPFDdisposant les 3 derniers mois les 3derniers des produits delaPTMEdurant ayant euunerupture destock Pourcentage descentres PTME réseaux de soutien aux PVVIH desoutienaux réseaux en charge parlesCTA etparles PVVIH identifiés,référésetpris opérationnels -Pourcentage des lesuividesPVVIH) (pour moins 2médecinsderéseau Nombre dedistrictsayant au construits etPTS Nombre deCRTS opérationnels Nombre d’agents formés et recommandations nationales Hépatite selonles sang testées pourVIH/Syphilis/ Pourcentage despochesde INDICATEURS

DB :ND spécifique MINSANPF, Enquête SE/CNLS, desuivi MV :Rapport aux ARVaux (Année2006) bénéficiant delaprophylaxie 34 femmes enceintes opérationnel 193 centres PTME PTME DB :524Agents formés en spécifique MINSANPF, Enquête SE/CNLS, desuivi MV :Rapport protocole PTME été distribuédesGuideet 533 centres PTMEayant DB :ND MV : Rapport deconsultation MV :Rapport DB :ND MINSANPF/DPLMT, SE/CNLS desuivi MV :Rapport ND DB :8districts(Année2006) MINSANPF, SE/CNLS desuivi MV :Rapport DB :ND MINSANPF, SE/CNLS desuivi MV :Rapport 2005) précaution universelle (Année DB :318agents formés en MINSANPF, SE/CNLS desuivi MV :Rapport 2006 testé aupremier semestre DB :99,86%pochesdesang MINSANPF/DULMT desuivi MV :Rapport Moyens devérifications

Données debase

collecte Fréquence de Annuelle Annuelle NA Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Secteurs impliqués Responsables / MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF - SE/CNLS MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF HYPOTHESES concernées des parties Engagement responsables Implication des acquise Volonté politique responsables Implication des acquise Volonté politique concernées des parties Engagement concernées des parties Engagement concernées des parties Engagement concernées des parties Engagement concernées des parties Engagement ème

117 3 Partie Engagement Engagement des parties concernées Engagement Engagement des parties concernées HYPOTHESES MINSAN_PF MINSAN_PF Responsables / Responsables impliqués Secteurs Annuelle Annuelle Fréquence de Fréquence collecte

Données de base Moyens de vérifications Moyens MV : Rapport de suivi MINSANPF DB : ND MV : Rapport de suivi MINSANPF/DULMT DB : 20 structures sanitaires sanitaires DB : 20 structures disposant d’incinérateurs, autoclaves, distillateurs, et seringues, détergents désinfectants (Année produits 2006) INDICATEURS INDICATEURS Pourcentage/Nombre de Pourcentage/Nombre respectant sanitaires formations de précautions les mesures universelles Pourcentage/Nombre de Pourcentage/Nombre disposant sanitaires formations de kit PEP suspect d’AES Pourcentage bénéficiant de PEP des hôpitaux et CSB Pourcentage appliquant la politique nationale des déchets de gestion Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations ACTIVITES 2.5.1.5 Mettre en place de un système 2.5.1.5 Mettre de en œuvre supervision/suivi de la mise des et gestion la sécurité transfusionnelle déchets médicaux 2.5.1.4 Doter les formations sanitaires sanitaires les formations 2.5.1.4 Doter sanguine de transfusion et des centres et post exposition en kits de prophylaxie universelle équipements pour la précaution des déchets médicaux) (y compris la gestion 3 ème Partie 118 Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation d’approvisionnement enARV et coordinateur dusystème en médicamentsetréactifs(CGAMR), PVVIH, degestion etd’approvisionnement pérennisation delapriseencharge des en charge desPVVIH :comité continue de techniquescomités pourassurer laprise 3.1.1.1 Appuyer lefonctionnement des attendu dePeC desservices Résultat 3.1.1:Utilisationaccrue dequalitéparlesPVVIH médicalcomplet Objectif stratégique 3.1 :Renforcer etladisponibilitédesservices dePeC l’accessibilité médicaledesPVVIH Axe stratégique 3:Réductiondel’impactduVIHetSIDA infectées surlespersonnes etaffectées parl’épidémie médical etenPECdesPVVIH ensuivibiologiqueet et paramédicaux médecins prescripteurs d’ARV, lesmédecins 3.1.1.2 Former/Remettre àniveau les l’INH chezlespatientsco-infectés VIH/TB. TB chezlespatientsVIHetlaprophylaxie à améliorer lediagnosticettraitement dela référence entre lesCDTetCTA pour 3.1.1.3 Mettre unsystème enplace de médical desPVVIH chargésdusuivibiologiqueet de réseaux lescentresCSB, deréférence etlesmédecins 3.1.1.4 Structurer laréférence entre les plasmatique aunational,bilanhématologique des CD4aunationaletrégional,charge virale biologique périodiquedespatients(dosage technique pourlediagnosticetsuivi laboratoires performants ayant unplateau 3.1.1.5 Mettre unréseaude enplace sites detraitement etmédicamentsARVbiomédicaux etIOdes de l’approvisionnement enréactifs,matériels 3.1.1.6 Renforcer lesystème degestion et rapides, SIG de diagnosticutilisantlesdifférents tests PVVIH pour letraitement ARV, algorithme normatifs: guidedepriseencharge des 3.1.1.7 Réviserlesguidestechniques mères séropositives. enceintes séropositives nésde etdesenfants surlanutritiondesfemmes l’accent mettant SIDA delapolitiquenationalenutritionen 3.1.1.8 Développer levolet NutritionetVIH/ ACTIVITES respectant leprotocole national Pourcentage descentres des PVVIH pour lapriseencharge médicale Nombre decentres deréférence formés etopérationnels Nombre d’agents desanté notifiées etprisencharge co-infectées parleTB/VIH Pourcentage/Nombre de malades de vue - Pourcentage desPVVIHperdus bénéficiant detraitement desIO Nombre desPVVIHidentifiés traitement ARV -Pourcentage/ PVVIH identifiésbénéficiantde Pourcentage/Nombre des PVVIH suivi biologiquederoutine des laboratoire normespourle aux - Nombre deCHHRdisposant pourlesuividsPVVIH complet LNR ayant unplateau technique de santérelatifs auVIH/SIDA une rupture destock enproduits formations sanitaires ayant eu - Pourcentage/Nombre de de santérelatifs auVIH/SIDA d’approvisionnement enproduits de procédures degestion et référence disposantduManuel Nombre decentres de normatifs le typedisposantdesguides formations sanitaires selon disponibles -Pourcentage de Guides normatifsrevisés et Guide denutritionetVIHélaboré INDICATEURS

DB :15(Année2006) MV : Rapport des comités descomités MV :Rapport 2005 : formés (2006) DB :28médecinsréférents MV: deformation Rapports DB :16 MV: d’activitésCDT Rapport référents malades parlesmédecins MV: desuivides Rapport 0,38% (2006) DB :89PVVIHsousARV, DB :ND MV: duLNR Rapport Rapport des centresRapport sanitaires d’approvisionnement enARV/ coordinateur dusystème MV: du Rapport DB :ND diagnostic en 2005,algorithme de DB :GuidedePECdisponible IST/VIH/SIDA MINSAN PF MV: d’activitéPgm Rapport MV: ONN Rapport nutrition DB :Politique nationalede Moyens devérifications Données debase

collecte Fréquence de international au niveau Selon l’évolution Trimestrielle Trimestrielle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle - impliqués Secteurs Responsables / MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF HYPOTHESES temps disponibles à commandés Médicaments postes santé àleurs de personnels des Stabilité concernés responsables Engagement des temps disponibles à commandés Médicaments partenaires Volonté des temps disponibles à commandés Médicaments concernés Responsables Volonté des Volonté politique ème

119 3 Partie Implication des de structures prise en charge Implication des de structures prise en charge Implication des PVVIH Implication des effective Association ONG, et organismes confessionnelles Implication des effective Association ONG, et organismes confessionnelles Stabilité des personnels de santé à leurs postes Implication des effective Association ONG, et organismes confessionnelles volonté politique, volonté engagement des parties concernées HYPOTHESES SE/CNLS - MINPOPSL SE/CNLS - MINPOPSL MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF MINSAN_PF Responsables / Responsables Secteurs impliqués - - Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Fréquence de Fréquence collecte

Données de base Moyens de vérifications Moyens MV : Rapportd’activités des organisations DB : 1304 (Année 2006) MV : Rapportd’activités des organisations DB : 9 Associations/ONG dans la prise en œuvrant des OEV charge MV : Rapportd’activités des organisations DB : ND MV : Rapport d’activités des organisations MV : Rapport d’activités des associations DB : ND DB : 11 associations FIFAFI, DB : 11 associations FIFAFI, association PHILADELFIA, ONG privé MV : Rapport de formation DB : ND DB : ND MV : Rapport de consultation DB : ND MV: Document de politique Document de MV:

INDICATEURS INDICATEURS Pourcentage/Nombre d’OEV Pourcentage/Nombre bénéficiant de soutien socio- les ONG/ économique à travers Associations/ Familles Nombre de structures de prise de structures Nombre et (santé, sociales en charge des OEVcommunautaires) identifiées Pourcentage de PVVIH Pourcentage d’appui bénéficiant nécessiteuses socio-économique Nombre d’organisations d’organisations Nombre réalisant des activités de soutien économique aux PVVIH Nombre d’organisations d’organisations Nombre bénéficiant d’une formation de microprojets, en gestion financement de microcrédits, etc. ARG subvention, pu de PVVIH ayant Nombre ou des réaliser de microprojets etc. AGR Nombre de structures de PEC/ de structures Nombre réseaux fonctionnels des communes Pourcentage par les associations de couvertes psychosociale PeC de PVVIH identifiés Pourcentage psychosociale bénéficiant de PeC Nombre d’agents formés et formés d’agents Nombre opérationnels de d’organisations Pourcentage disposant psychosociale PeC qualifiés d’agents plan budgétisé de renforcement plan budgétisé de renforcement des capacités des structures de et potentielles existantes aux PVVIH soutien psycho-social Plan de mobilisation de Plan de mobilisation pour la prise en ressource PVVIH disponible des charge de solidarité constitué Fonds Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations AGR, etc. etc. AGR, ACTIVITES 3.2.1.5 Former les organisations de PeC de PeC les organisations 3.2.1.5 Former psychosociale en gestion de microprojets, de microprojets, en gestion psychosociale financement de micro crédits, subvention, subvention, crédits, financement de micro 3.3.1.2 Renforcer la capacité opérationnelle la capacité opérationnelle 3.3.1.2 Renforcer des ONG, associations et familles pour la du paquet minimum d’activités mise en œuvre OEV des de prise en charge Objectif stratégique 3.3. Renforcer le dispositif de prise en charge des orphelins et enfants vulnérables le dispositif de prise en charge 3.3. Renforcer Objectif stratégique 3.3.1 Disponibilité des servicesRésultat de soutien socio-économique destiné aux attendu OEV renforcée situationnelle des une analyse 3.3.1.1 Faire et socio-économiques des besoins sanitaires OEV et nutritionnel et alimentaire (soutien de vie, de loisirs et d’habillement, d’hygiène soutien financier pour le suivi médical, soutien juridique soutien scolaire, 3.2.1.6 Appuyer la mise en œuvre des la mise en œuvre 3.2.1.6 Appuyer activités de soutien économique aux PVVIH 3.2.1.3 Assurer l’appui au fonctionnement l’appui au fonctionnement 3.2.1.3 Assurer et leurs de PEC psychosociales des structures activités de réseau 3.2.1.2 Former les agents des structures des structures les agents 3.2.1.2 Former d’un paquet d’activités à la mise en œuvre le conseil auxcomprenant PVVIH, l’appui et soins nutritionnel, le soutien par les visites à domicile, le soutien aux familles pour la ainsi l’assistance s prise en charge Objectif stratégique 3.2. Renforcer la disponibilité de la prise en charge psychosociale des PVVIH au niveau communautaire communautaire des PVVIH au niveau psychosociale de la prise en charge la disponibilité 3.2. Renforcer Objectif stratégique par les PVVIH psychosociale 3.2.1: Utilisation accrueRésultat des services de PeC attendu des 3.2.1.1 Identifier les besoins associations (ONG, existantes structures pour confessionnelles) et organisations aux PVVIH l’appui psychosocial assurer auxconformément définis pour les TDR des PVVIH services de PEC psychosociale 3.1.1.9 Développer une politique éventuelle une politique éventuelle 3.1.1.9 Développer des en charge de la prise de subvention des prévisions de PVVIH, en fonction nationales et internationales ressources 3 ème Partie 120 Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation épidémiologique duVIHetSida mise enœuvre de lasurveillance 4.1.2.1. Mettre àjourleplande attenduRésultat 4.1.2:Renforcement delasurveillance épidémiologique l’extérieur dupaysl’extérieur ; fonds potentiels àl’intérieurqu’à tant VIH/Sida, àl’intention de desbailleurs IST/en matière aux deréponseface d’informations surleprogrès réalisé pour faciliterSE/CNLS lepartage institutionnelledu communication 4.1.1.6 Renforcer lesystème de projet) intégré (approche programme versus 4.1.1.5 Mettre enœuvre unSIG suivi etévaluation delaréponse 4.1.1.4 Opérationnaliserlesystème de niveaux différentsEvaluation desactivitésaux structures chargéesduSuiviet les capacitésopérationnelles des 4.1.1.3 Renforcer l’organisation et en œuvre duplandesuivi-évaluation 4.1.1.2 Mettre àjourleplandemise et Evaluation delaréponsenationale 4.1.1.1 Mettre àjourlePlandeSuivi attenduRésultat 4.1.1:Dispositifdesuivietévaluationlamiseenœuvre etopérationnel duPSNefficace Objectif stratégique 4.1 :Mettre unsystème enplace deplanificationetsuiviévaluation intégréfonctionnel Axe stratégique 4:Renforcement delagestion delaréponsenationale ACTIVITES de l’infection définis dynamique spatialeettemporelle Protocoles desuivila mensuellement Site web misàjour duSE/CNLS d’informations produits paran Nombre debulletins opérationnel la Gestionduprogramme Système d’Information pour composantes duPSN disponibles des évaluations spécifiquesdes -Résultats communication) - suividesactivitésde prestations IST etVIH/SIDA structures sanitaires pourles (suivi desperformances des nationale disponiblesetanalysées composantes delaréponse Donnéesdesuividesdifférentes suivi évaluation Nombre formées depersonnes en opérationnelles chargées desuiviévaluation Nombre d’unitésdestructures budgétisé élaboré Plan demiseenœuvre duPSE jour établi Plan desuivi-évaluation miseà INDICATEURS

MV : Rapport deconsultation MV :Rapport (2004, 2006) génération disponibles de seconde DB :Protocoles delasurveillance MV : d’activités Rapport du SE/CNLS mg” fonctionnel DB :Site web “partenairecnls-sida. SIG du demiseenplace MV :Rapport 2006) d’un SIGintégréréalisé(Année situationnelle pourlamiseenplace etAnalyseBD :Etudedefaisabilité MV : Rapport desuiviSE/CNLS MV :Rapport (Année 2005) en œuvre duprincipedethree ones d’évaluation delamise Rapports (Années2003,2005) UNGASS desuivil’engagementRapports trimestrielsdesCT/UCR Rapports 2004-2005) en œuvre duPSN(Années2003- BD :3rapports desuivilamise MV : Rapport duSE/CNLS MV :Rapport activités auniveau décentralisé chargésdesuivides 22 CT/UCR fonctionnelle auniveau central DB :Unitédesuiviévaluation jour del’existenceconstat duplanmis demiseàjouret MV :Rapport 2001-2006 disponible DB :Plandesuiviévaluation année jour del’existenceconstat duplanmis demiseàjouret MV :Rapport 2001-2006 disponible DB :Plandesuiviévaluation année Moyens devérifications Données debase

- Annuelle Annuelle Annuelle collecte Fréquence de - Semestrielle Annuelle SE/CNLS MINSAN_PF, SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS impliqués Secteurs / Responsables SE/CNLS partenaires volonté des Implication et partenaires engagement Volonté et partenaires Engagement des données Accessibilité des Disponibilité et impliqués des partenaires Engagement partenaires volonté des Implication et HYPOTHESES partenaires volonté des Implication et ème

121 3 Partie HYPOTHESES Engagement des partenaires impliqués Engagement des Engagement partenaires Volonté et Volonté engagement partenaires Volonté et Volonté engagement partenaires Volonté et Volonté engagement partenaires Volonté et Volonté engagement partenaires Volonté et Volonté engagement partenaires Volonté politique Volonté de et engagement l’Etat Responsables Responsables / Secteurs impliqués MINSAN_PF, SE/CNLS MINSAN_PF, MINSAN_PF, SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS - MEFB SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS SE/CNLS - MEFB NA Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Annuelle Quinquennale Fréquence de Fréquence collecte Biennale, Quinquennale, Annuelle

Données de base Moyens de vérifications Moyens BD : Résultats pour disponibles du de séroprévalence enquête VIH et de la syphilis chez les 2003 ; Enquêtes enceintes femmes biologique et de surveillance comportementale 2004-2005 ; et sanitaire démographique Enquête 2003-2004 MV : Rapports des résultats d’enquêtes DB : Rapports de de collecte données pour l’élaboration de la de risque (Année cartographie 2005) MV: Rapports des résultats des MV: opérationnelles recherches DB : Résultats émanant des missions des bailleurs de fonds conjointes MV : Rapport d’évaluations DB : ND MV : Rapport du de l’élaboration plan DB : ND MV : Rapportde suivi financier DB : ND MV : Rapportde la cellule technique DB : ND MV : Accords financiers signés MV : Accords DB : ND MV : Finance publique INDICATEURS INDICATEURS Résultatsdisponibles pour : groupes dans des (i) enquêtes de population spécifiques ; (ii) du de séroprévalence enquête VIH et de la syphilis chez les ; (iii) Enquêtes enceintes femmes biologique et de surveillance comportementale ; (iv) Enquête et sanitaire démographique Nombre de recherches de recherches Nombre planifiées et opérationnelles réalisées selon les besoins Résultats des évaluations disponibles et publiés Plan de mobilisation des établi ressources Système de suivi de ressources de suivi de ressources Système mis en place financières des contributions Pourcentage respectifs des partenaires Nombre de projets soumis pour de projets Nombre demande de financement Montant de crédit, subvention ou Montant de crédit, subvention donnation obtenu Pourcentage du financement Pourcentage du POI annnuel supporté par le de l’Etat budget Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations ACTIVITES 4.1.2.2. Assurer la collecte, le la collecte, 4.1.2.2. Assurer des données et l’ analyse traitement épidémiologiques : 4.1.3.1. Elaborer et mettre en œuvre en œuvre et mettre 4.1.3.1. Elaborer aux un plan relatif besoins prioritaires en appui à opérationnelle de recherche du PSN la mise en œuvre Résultat attendu 4.1.3: Promotion de la recherche de 4.1.3: Promotion Résultat attendu 4.1.3.2. Effectuer des évaluations des des évaluations 4.1.3.2. Effectuer contre impacts des activités de la lutte le VIH et le Sida Résultat attendu 4.2.1: Gap de financement 4.2.1: Résultat du plan d’action réduit attendu un 4.2.1.1 Développer plan de mobilisation des sur la période financières ressources des cycles compte 2007-20012 tenant sources de financement de différentes nationales et internationales : Mobiliser des fonds pour la mise en œuvre du plan d’action 2007-2012 pour la mise en œuvre 4.2 : Mobiliser des fonds Objectif stratégique 4.2.1.2. Mettre en place et 4.2.1.2. Mettre de suivi de le système opérationnaliser financières l’utilisation des ressources le VIH et contre de lutte en matière le Sida 4.2.1.3 Mettre en place une cellule 4.2.1.3 Mettre chargée pluridisciplinaire technique des de la conception des squelettes aux partenaires à soumettre projets financiers. 4.2.1.4 Développer la collaboration 4.2.1.4 Développer donateurs/ pays les avec internationale fondations/…. 4.2.1.5 Renforcer le plaidoyer au le plaidoyer 4.2.1.5 Renforcer clés pour les ministères de tous niveau du VIH et du Sida dans la l’intégration Générale de l’Etat Politique 3 ème Partie 122  chaque de acteurs Les niveaux. quatre sur niveau jouent unrôle fondamentalessentiellement dansl’opérationnalisations’appuie dusystème deSuivietEvaluation national : national Evaluation et Suivi de système Le N que lespoints àaméliorer. pour faire le bilan des réalisations au cours de l’année, de ressortir les points de succès pour leur capitalisation, ensemble ainsi mettre se de partenaires les l’occasiontous sera pour revue Cetteconsidérée. l’année de septembre de Enfin, le SE/CNLS prévoit une revue conjointe annuelle de la lutte contre le VIH et le Sida, la dernière semaine du mois du programme etformuler desrecommandations pourassurer unemeilleure efficience desactivités. réalisées sur le terrain et évaluer les progrès. Ces missions permettront de renforcer une compréhension commune Les partenaires effectueront deux missions conjointes par an pour prendre connaissance des activités entreprises et lutte contre lesIST/VIH/Sidaseront inscrites dansce POIannuel. l’année considérée. Toutes les activités appuyées ou directement entreprises par les partenaires dans le cadre de la et des propositionsdes observations des pour partenaires sa validation par le Forum des partenaires, en janvier de de chaque année. Les membres de l’Unité de Suivi Evaluation seront chargés de sa finalisation, qui tiendra compte novembre/décembreen partenaires, des Forum au discussion pour présenté et sectoriels, travail de groupes des et des leçons tirées de l’année qui la précède. Le draft du POI annuel sera préparé avec les partenaires, dans le cadre des partenaires. Le plan correspondant à chaque année d’exerciceauprès ressources sera des actualisé pour tenir comptemobilisation des réalisationsla et activités des coordination la dans référence de document de servir pour d’Actionélaboré Planété du œuvre en mise de période la couvrant budgétisé (POI) intégré opérationnel plan Un les expériences. partenaire de mise en œuvre. Il constitue un tableau de bord pour le faire le suivi soit de toutes quelque les pays,initiatives et le capitaliser dans interventions l’ensembledes l’évaluationde pour référence de cadre de ainsi sert et des « trois sont principes indicateursd’unicité » Ces et prend en réponse.compte toutes la les composantesde du œuvre Plan d’Actionen mise détaillés 2007-2012. dans le Plan de Suivi Il et Evaluation de est du Plan d’Actionunique degré 2007-2012, qui s’inscritle dans une démarche de respect mesurer de permettre vont qui indicateurs des sur repose Il 2007-2012. période la pour activités des œuvre en mise la dans obtenus résultats des l’appréciationà conduire devant étapes des séquentielle représentation une d’Actionest Plan du évaluation suivi- du cadre Le 4. Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation  i v A E x u Le Premier niveau est de SantéDistrict(SSD). de la lutte contre le VIH et le Sida au niveau Régional (TFR). Le Secrétariat Permanent du TFD est assuré par le Responsable IST/SIDA du Service êtreavec partagées tous acteursfaireles district etenvoyer du rapportà d’un l’objet tous troisles niveauau mois Taskdu Force coordinationde coordination et l’harmonisation des interventions au niveau du district. Sous la supervision du Chef la du District, planification, les la données dans et données informations des doiventlocale l’utilisation assurer pour mensuels rapports/fiches des synthèses des partir à TFD du membres les par effectuée est simple analyse Une approbation. et compilation pour TFD du niveau au transmis être donc doivent district du couverture de zones les intervenantdans différentesd’exécutionstructures Tous des niveaurégional. mensuel au suivi informations de des rapports/fiches les transmission la de chargé est et district, relativesau données des centralisation de et validation de structure de rôle un tient (TFD) District du niveau au Sida le et VIH le contre lutte la Taskde le coordination Forcedistrict, de de niveau Au : district de niveau le est niveau Deuxième Le assuré parleMédecinChefduCentre deSantéBaselacommune. est CLLS Permanentdu Secrétariat Le (TFD). District du niveau au Sida le et VIH le contre lutte Taskla du de niveaucoordination Force au de données ces de transmission la que reçues,ainsi informations les et données des l’analyse et travers compilation à la commune la de trimestriel rapport du l’élaboration de suite la par chargera se qui CLLS au envoyés sont trimestriels rapports les et mensuelles fiches Les financière. et technique l’approbation chargentde se qui instances des niveau envoyésau sont périodiques rapports Les performance. propre leur de suivi le responsable technique de la structure d’exécution. Une analyse des données est effectuée par les membres de la structure d’exécution pour assurer compte rendu d’activités. Le recueil des données à ce niveau s’effectue sous forme de fiches mensuelles et de rapports trimestriels élaborés par le de forme sous terrain du acteurs les par effectuée est primaires données des collecte La bénéficiaires. des profit au menées différentesactivités les documenter et développer,réaliser de terrain du acteurs des principal rôle le par caractérise se niveau Ce (CLLS). SIDA le contre lutte de local Comité le et OCB) associations, entreprises, déconcentrés, services ex. (par d’exécution structures les etc.), domicile, à soins des offrant

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s CADRE DESUIVIETEVALUATION DUPLAND’ACTION 2007-2012 y s è t E M

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v é le niveau communal : Au niveau communal se trouvent les acteurs du terrain (par ex. des pairs éducateurs, des bénévoles L A u a t O I n

n a t O I n L A . ème

123 3 Partie Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations Le Troisième niveau est le niveau régional : Au niveau régional, le Task Force de coordination de la lutte contre le VIH et le Sida au niveau Régional Régional niveau au Sida le et VIH le contre lutte la de coordination de Force Task le régional, niveau Au : régional niveau le est niveau Troisième Le (TFR) assure l’agrégation des données des différents districts afin d’obtenir des informations sur la performance de la Région gestion. par de rapport fins à des la à l’information de d’utilisation et données des traitement de informatique, centralisation de structure de rôle le joue Il réponse. Par ailleurs, c’est une structure régionale de coordination et de Suivi-Evaluation où les éléments des conventions locales (Plan Opérationnel, Plan de Suivi et Evaluation et ainsi Budget) que les fiches de suivi mensuel et les rapports trimestriels des structures d’exécution sont saisis et traités. Le Secrétariat du Permanent TFR est assuré par le Responsable de IST/SIDA la Direction Régionale de la Santé et du Planning Familial d’exécution structures différentes des mensuel suivi de fiches les Toutes (UCR). Régionale Coordination de l’Unité avec collaboration en (DRSPF) intervenant dans la Région doivent ainsi être transmises mensuellement au niveau des DRSPF et UCR, avec un cahier de transmission pour la Région la de niveau au Sida le et VIH le contre lutte de interventions les toutes sur informations et données les plus, En saisie. la et centralisation menées par les structures conventionnelles mais aussi d’autres structures d’exécution sont saisies, traitées et partagées au niveau du TFR. Une et/ou structures les par appuyé sera processus ce TFR; du membres les par effectués sont informations des traitement un et données des analyse ONG Le d’encadrement. TFR des élabore rapports trimestriels et annuels du Plan intégré de la Région. aussi Il effectue la bien rétro-information de prise une pour régionales informations des l’utilisation assurer également doit Il d’exécution. structures les vers CLLSque les et TFD les vers Intégré. du Plan Opérationnel la performance décision en vue d’améliorer Le quatrième niveau est le niveau central : Le niveau central (i) comprend le Lutte Comité de National National Comité de du Exécutif Lutte Secrétariat le contre (iii) le et SIDA Conseil (CNLS) de et pour d’Appui le niveau le niveau pour GRSE le et Partenaires de Forum le (ii) décisionnel; contre le SIDA (SE/CNLS) pour la coordination nationale. Le SE/CNLS a mis en place son Unité de Suivi-Evaluation (USE). Pour garantir une efficace des données les dans que il institutions et le recommandé gestion est toutes (publiques, liées informations pays, fortement au VIH/SIDA au Evaluation et Suivi de l’Unité reconnaissent SE/CNLS, du coordination la sous Sida, le et VIH le contre lutte la dans intervenant ONG) et privées national. niveau au SIDA le contre lutte la de cadre le dans l’évaluation de et suivi du coordination la de chargé SE/CNLSdu sein commel’organe A ce titre, toutes les données et informations auxrelatives activités de lutte contre le VIH et le Sida au niveau de toutes les institutions doivent lui dans parvenir les délais prévus de tous les pour Suivi sous et collaboration traitement en Evaluation avec feedback. étroite L’Unité travaillera utiles. systèmes   3 ème Partie 124 Schéma 9:Lesystème desuiviévaluation national Le système desuiviévaluation national peutainsiêtre : schématisé selonlediagramme ci-dessous Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation ème

125 3 Partie TACHES n io t a u al Elaborer les plans opérationnels périodiques programmatiques les plans opérationnels Elaborer les activités programmatiques Exécuter les outils de suivi standardisés suivant les données primaires Collecter la fiche de suivi mensuel standardisée Remplir et financiers techniques trimestriels narratifs des rapports Elaborer les mois la fiche de suivi au CLLS tous Transmettre de leurs qui se chargent des instances supérieures trimestriels au niveau rapports les Transmettre du CLLS niveau et au approbations Plan Opérationnel les bilans de leur propre Effectuer v Elaborer les plans opérationnels multisectoriels intégrés locaux multisectoriels (PLLS) les plans opérationnels y compris le plan de suivi Elaborer opérationnels des acteurs Compiler les données provenant des communes des données arrivées au niveau Vérifier la cohérence des TFD mensuellement une copie des fiches de suivi mensuel au niveau Transmettre à leur niveau transmis les rapports Approuver programmatique les données par axe Agréger programmatique et en traitant par axe les données en agrégeant les rapports Analyser trimestrielles du CLLS des réunions de coordination Organiser local menées au niveau d’interventions les stratégies pour réorienter Utiliser les informations communal supervisions périodiques des activités menées au niveau des Assurer / Bilans périodiques du PLLS les Revues Faire du TFD le Rapport trimestriel du CLLS au niveau et Transmettre Elaborer E t e

i                     v i u S d u

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s n t re Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations é iff d

ACTEURS es d

s t é ili Acteurs de mise en œuvre Acteurs b CLLS avec Secrétariat CLLS avec du Permanent Technique CLLS sa n

une bonne planification pour la lutte contre les IST/VIH/SIDA contre une bonne la lutte planification pour et l’utilisation des données la gestion concernés aux responsables voulu en temps la mise à disposition des informations l’établissement d’un bilan périodique des résultats obtenus formulées recommandations des la prise en compte respo COMMUNAL

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     NIVEAU les ô Le tableau suivant présente les principales tâches relevant des structures aux différents niveaux pour leur permettre permettre leur pour niveaux différents aux structures des relevant tâches principales les présente suivant tableau Le : de Suivi et Evaluation dans le Système respectives leurs responsabilités d’assumer Dans le cadre du suivi évaluation, les rôles et les responsabilités des différentes structures, d’une manière générale, générale, manière d’une structures, différentes des responsabilités les et rôles les évaluation, suivi du cadre le Dans : en se résumer peuvent R 3 ème Partie 126 Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation NIVEAU DISTRICT du TFD Technique Permanent TFD avec Secrétariat œuvre Acteurs demiseen ACTEURS                           Utiliser lesinformations pourréorienter lesstratégies d’intervention auniveau du district Diffuser lesinformations àtous lesacteurs demiseenoeuvre etauniveau régional niveau régional Transmettre lafichemensuellerelative interventions aux auniveau duDistrictàtous lesacteurs etau Elaborer ettransmettre duTFDauniveau leRapport duTFR Faire lesRevues / BilanspériodiquesduPDLS Assurer lessupervisionsdesactivitésmenéesauniveau desCommunes Organiser desréunionsdecoordination trimestriellesduTFD Analyser lesrapports enagrégeant lesdonnéesparaxe etentraitant programmatique Agréger lesdonnéesparaxe programmatique données Saisir lesdonnéesdanslabasedeappropriée (àdéfinir)pourtraitement etanalyse des Approuver lesrapports transmis àleurniveau provenant desprestataires auniveau deservices provenant dudistrictetcelles desCLLS) Vérifier etnettoyer lesdonnéesarrivéesauniveau dudistrict(vérifierlacohérence desdonnées Compiler lesdonnéesetrapports desacteurs opérationnels Elaborer leplandesuivi ycompris lesplansopérationnels (PDLS) multisectoriels intégréslocaux Effectuer unesupervisionformative intégréeduniveau Communal Effectuer lesbilansdeleurPropre PlanOpérationnel approbations technique etfinancière sontexécutées etauniveau duTFD Transmettre lesrapports trimestrielsauniveau desunitésdecoordination auseindesquellesles Elaborer desrapports trimestrielsnarratifs techniques etfinanciers Fournir lesfeed backdesrapports Analyser lesrapports enagrégeant lesdonnéesparaxe etentraitant programmatique Agréger lesdonnéesparaxe programmatique Valider lesrapports transmis àleurniveau Compiler etnettoyer lesdonnéesvenant descommunes Collecter lesdonnéesprimaires surlesoutilsdesuivistandardisés Exécuter lesactivitésprogrammatiques Elaborer lesplansopérationnels périodiquesprogrammatiques TACHES ème

127 3 Partie TACHES Elaborer les plans opérationnels périodiques programmatiques opérationnels les plans Elaborer les activités programmatiques Exécuter outils de suivi standardisés sur les primaires les données Collecter des districts provenant Compiler et vérifier les données à leur niveau transmis les rapports Vérifier et Approuver programmatique les données par axe Agréger programmatique et en traitant les données par axe en agrégeant les rapports Analyser back des rapports les feed Fournir et financiers techniques trimestriels narratifs des rapports Elaborer de leur qui se chargent des instances supérieures trimestriels au niveau les rapports Transmettre du TFR et au niveau et financière technique approbation Plan Opérationnel leur propre les bilans de Effectuer du district niveau intégrée du formative une supervision Effectuer régional au niveau de la lutte générale à la coordination Veiller intégrés de la Région (PRLS) multisectoriels aux des plans opérationnels la conformité Assurer priorités régionales trimestrielles du TFR les réunions de coordination Diriger annuelles régionales de revues les ateliers Organiser à leur niveau transmis les rapports Vérifier et approuver utiles et les informations Disséminer les rapports gestion à des fins de Utiliser les données et informations régional niveau des activités au la supervision générale Assurer la assurant régional en budgétisation au niveau de planification intégrée et de les ateliers Organiser qualité du plan d’action et du plan de suivi évaluation de la mise en œuvre des acteurs Plans Opérationnels et vérifier les différents Collecter des acteurs au niveau Distribuer des outils de collecte opérationnels des acteurs les données et les rapports et Centraliser Collecter sur un logiciel approprié programmatique les données par axe vérifier et agréger compiler, Saisir, un logiciel et avec programmatique par axe et des rapports des données des analyses Effectuer en présentant de tableaux, les résultatsapproprié saillants sous forme et cartes graphiques et financiers) (techniques arrivés à leur niveau les rapports Valider le TFR avec les informations Partager et financiers trimestriels du TFR d’activités techniques des rapports Elaborer du SE/CNLS et au niveau les Rapports au Président du TFR pour approbation Transmettre du et la performance du programme la gestion pour améliorer Initier des actions correctrices de Suivi et Evaluation système Rapports (Rapports au cours des Réunions de coordination et disséminer les différents Partager Résultats Pratiques, de recherche…) d’activités, Meilleures Planifier et mener des missions de supervision selon les normes pour le suivi de la mise en œuvre de service les prestataires avec des activités contractualisées de service les prestataires avec des activités contractualisées Superviser la mise en œuvre des et l’analyse dans l’utilisation des outils, la collecte de mise en œuvre les acteurs Appuyer et l’utilisation des informations données, l’élaboration des rapports de et la mise en œuvre par des supervisions formatives des Interventions la qualité Assurer d’assurance qualité protocole pratiques / Meilleures le Processus Documenter Renforcer les capacités des Acteurs sur certains (Planification, Suivi, aspects du Suivi-Evaluation les capacités des Acteurs Renforcer Opérationnelle) et Recherche Auto-évaluation Documentation de Processus,                                       Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations TFR ACTEURS

Acteurs de mise en œuvre Acteurs Secrétariat Technique Secrétariat Technique du TFR Permanent Structures Spécialisées Structures d’Encadrement de (Organismes Facilitation) REGIONAL NIVEAU 3 ème Partie 128 Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation NIVEAU NATIONAL programmatiques : SE/CNLS Exécutif etsonSecrétariat CNLS Financiers Partenaires Techniques et associations Ministères EtONG/ Référence (LNR) Laboratoire Nationalede Recherches ouEnquêtes pour lesEtudes, Structures spécialisées ACTEURS Unités                                         Transmettre lesrapports trimestrielssynthétiquesauniveau duSecrétaire Exécutif selonlecanevasdans lesdomainesconcernés prédéfini Elaborer unrapport synthétiquetrimestrielcomprenant desacteurs lesactivitésdel’unitéetceux différentesinformations aux partiesprenantes pouraméliorer lagestion desplansd’action Analyser lesrapports d’activitésdesacteurs etfaire danslesdomainesconcernés des rétro- Participer supervisionsrégionalesintégrées aux domaines concernés Saisir lesconventions lesrapports desuividesactivitésduniveau etétablir dansles central concernés Assurer lesuividelamiseenœuvre desplansd’actionsouprojets danslesdomaines Centraliser lesrapports desacteurs danslesdomainesconcernés respectivement Participer planifications/revues aux duprogramme danslesdomainesquiconcernent Assurer lasupervisiongénérale desactivitésauniveau national Utiliser lesdonnéesetinformations stratégiques pourdesorientations Approuver lerapport annueldelalutte contre leVIHetSIDA Diriger laréuniondecoordination nationale Remplir lesfichesdesuivisemestriel Participer missionsconjointes surterrain aux pourl’évaluationdes activités desacteurs Fournir unappuitechnique oufinancierdanslerenforcement decapacitésdesacteurs Appuyer laréalisationdesactivitésadaptéesauprogramme Elaborer desrapports techniques annuels etfinanciers Analyser lesdonnées Collecter lesdonnéesrelatives activitésréaliséesauniveau aux central Participer auprocessus derevue etévaluation duprogramme Participer processus aux deplanificationstratégique auniveau national Transmettre lesfichesetrapports auniveau duSE/CNLS Partager lesrapports auniveau desComitésinternes ministériels Remplir lafichedesuivimensuel Elaborer lesrapports trimestrielsetannuelstechniques Institutions deleurs etfinanciers Faire larétro-information acteurs concernés aux Participer processus aux derevue duProgramme Analyser lesdonnéesobtenues etutiliserlesinformations àdesfinsdegestion Collecter lesdonnéesrelatives activitésréaliséesparl’institutionauniveau aux central Compiler lesdonnéesprovenant desstructures institutionsrespectives décentraliséesdeleurs Participer missionsdesupervisionsintégréesduniveau aux national Participer réunionsorganisées aux auniveau pourlebesoindeSuiviEvaluation central Participer activitésdeplanificationauniveau aux national Assurer laQualitédestests dedépistage dansleslaboratoires Surveillance sentinelle,lesnotificationsdescasoutoute autre étudeépidémiologique Assurer laSurveillance EpidémiologiquedesIST/VIH/Sida àtravers lamiseenœuvre dela Participer àladisséminationdesrésultats Elaborer lesrapports d’enquête/recherches/Evaluations/Audits Mettre enœuvre desAuditsexternes Mettre enœuvre desEvaluations externes types d’enquêtes) Mettre enœuvre desactivitésdeRecherche Opérationnelle, EtudesetEnquêtes (EDS,BSSetautres TACHES ème

129 3 Partie TACHES Participer aux planifications/revues du programme dans les domaines qui les concernent dans les domaines qui du programme aux planifications/revues Participer respectivement coût efficacité et à l’analyse du programme de suivi budgétaire au processus Impliquer activement financière en gestion les capacités des acteurs le renforcement Assurer selon les normes fiduciaires à l’application des procédures Veiller financiers des rapports à la remontée Veiller financiers trimestriels et annuels des projets les rapports Elaborer de l’unité de gestion au niveau ces rapports Transmettre Mener des audits internes aux intégrées missions de supervisions régionales Participer revues des différentes au processus Participer national (central et décentralisé) de Suivi et Evaluation du Système la mise en œuvre Coordonner de la mise en place le Leadership de suivi évaluation du système du SE/CNLS dans le cadre Veiller national de Suivi et Evaluation de l’unicité du Système S’assurer la planification basée sur les résultats Appuyer à ce bénéficiaire que chaque entité et veiller du programme des objectifs annuels l’atteinte Mesurer en vue d’une retenus ses résultats sur la base des indicateurs puisse démontrer du programme évaluation du PSN régulières de revues/évaluations/audits à la tenue Veiller et des orientations du en vue de l’amélioration des performances des recommandations Proposer programme toutes intégrant informatisé d’un système d’informations et la mise à jour le développement Assurer et régional national au niveau les données d’IST/VIH/Sida de en matière le VIH et le Sida contre de la lutte de capacité des structures le Renforcement Assurer suivi évaluation à leur niveau et capitaliser analyser les données remis Compiler, du PSN de la mise en œuvre annuels les rapports Elaborer Intégré du Plan Opérationnel de la mise en œuvre trimestriel de suivi un tableau de bord Elaborer la mise en pour l’appui technique principes d’unicité » en assurant « Trois des au respect Veiller national sous le Leadership de Suivi Evaluation place du SE/CNLS d’un système de Suivi du Système pour la mise en œuvre des ressources pour la mobilisation le plaidoyer Faire national Evaluation national orientations de Suivi et Evaluation Définir les grandes du système stratégiques de Suivi Evaluation du système en œuvre à l’élaboration du manuel de mise activement Participer national national de Suivi et Evaluation du système à la mise en œuvre Veiller national et de de Suivi Evaluation du système pour l’impulsion et la promotion le plaidoyer Assurer la recherche national de Suivi Evaluation les capacités du système Développer de Suivi Evaluation dans le système le SIDA contre de la lutte des acteurs à l’Intégration Veiller national d’un tableau clefs nationaux consolidé à l’obtention des indicateurs Veiller sur le VIH et le Sida de recherche pour l’établissement et l’utilisation d’un fond le plaidoyer Faire existants des comités éthiques de recherche à la liaison effective Veiller                                  Orientations stratégiques, cadre logique, cadre de suivi - évaluation et budgétisation et - évaluation de suivi cadre logique, cadre stratégiques, Orientations ACTEURS

SE/CNLSUnité Suivi- : Evaluation de Suivi Restreint Groupe (GRSE)et Evaluation SE/CNLS : Unité de et administrative gestion financière NATIONAL NIVEAU 3 ème Partie 130 Le budgetnécessaire pourlaréalisation duPSN2007-2012estrepris dansletableausuivant desactivités : budgETISA 5.1. 5. FINANCEMENT DUPLAND’ACTION 2007-2012 à mobiliseretlesdifférents scénarii destratégie pour s’y prendre. aux relatives celles comprendra d’Action, Plan du œuvre financements en déjà disponibles y mise compris leurs la sources ainsi que à celles relatives nécessaire la au montant à réel du financement relatives encore budget informations les du outre détermination ressources des mobilisation de plan ce que entendu reste Il 4.2. stratégique l’objectifde l’atteinte pour envisagées activités les dans prévue qu’ilest telle ressources des mobilisation de plan du préparation la de cadre le dans affinement l’objet d’un fera budgétisation présente la que noter de importe Il Orientations stratégiques,cadrelogique,desuivi-évaluation etbudgétisation Axe Stratégique 4:Renforcement delagestion delaréponsenationale Axe Stratégique 3 :Réductiondel’impactduVIHetSIDA infectées surlespersonnes etaffectées parl’épidémie Axe servicescliniquesde prévention stratégique àl’information 2:Amélioration del’accès etaux desIST etduVIHSidadequalité Axe IST Stratégique d’uncadre I :Miseenplace etVIH/SIDA juridique,politiqueetopérationnelpouruneréponseaux multisectorielle, et intégrée,efficace AXE STRATEGIQUE TOTAL GENERAL NIVEAU TOTAL AXE4 TOTAL AXE3 TOTAL AXE2 TOTAL AXE1 NATIONAL Forum desPartenaires protégeant lesdroits despersonnes TION DUPLAD’A 160586183 ACTEURS 98971770 10 557750 30 778850 20 377813 TOTAL ION 2007-2012 CT 25014100 16407550 1 406450 5 640600 1 559500 2007       instances duCNLS. instances Appuyer dansl’examen etlarésolutiondetoutes leCNLS lesquestionsquiseront soumisesparles Participer àlacréationetl’approvisionnement d’unfonds departenariat national stratégiques Promouvoir unenvironnement d’ouverture etdetransparenceéchanges aux grâce d’informations VIH etleSidaàMadagascar Accroître etsoutenir l’engagement etlamotivation despartenaires danslalutte financiers contre le sources lefonds ycompris privés definancement, mondialetlesfinancements Faciliter etappuyer lesefforts demobilisationdesressources duGouvernement auprèsdediverses d’informations Assurer uncadre etserviruneplate formel deconcertation forme d’échanges etdepartage 28695653 17933740 2 352500 5 408600 3 000813 2008 BUDGET enUSD 26349600 16373000 5 269850 1 696300 3 010450 2009 TACHES 26873515 16701840 4 785600 1 553000 3 833075 2010 25842890 15536090 1 110000 4 933850 4 262950 2011 27810425 16019550 2 439500 4 640350 4 711025 2012 ANNEXES Annexes II mais ellesfournissent desdonnéesquidevront être complétées àl’avenir. 2007 en et 2006 fin hommes,détenues personnes les et CDI les HSH, les sur menées été ontgéographique plan le VIH à restentMadagascar encore parcellaires, sauf pour les TDS professionnelles. Des études rapides et limitées sur d’infectionle risque par au exposées plus les clés populations les sur informationsdisponibles les que noter faut Il L’analyse delasituation faitapparaître leséléments suivants sur leplangénéral : Facteurs derisqueetfacteurs devulnérabilité comme populations d’infection cléslesplusexposées aurisque parle VIH, sont lessuivants : désignésgroupes, Ces général. en IST aux et le VIH l’infectionpar à rapport par risque haut à comportements des ont qui groupes de sein au concentrée reste et active peu comme classée été a Madagascar L’épidémieà VIH de Annexe 1 :Résuméduplannationalderiposte auSidapourlespopulationsclésplusexposées aurisqued’infection parle opérationnel prévues quidétaillelesactivités pourchaquecatégorie depopulation. plan s’accompagne d’un Il situation. la de l’analyse de découle qui stratégique cadre le que ainsi clés populations différentesles pour situation la de l’analyseprésente d’Actiondocument LePlan VIH, 2007-2012. renforcerle le vient qui par d’infection risque au exposées plus les clés populations des spécifique destination à d’action Sida au national et plan VIH au riposte un d’élaborerde décidé été a il pourquoi C’est population. la de l’ensemble dans les priorité en cible (2007-2012) Sida au et VIH populationsau clés face dans la efficace mesure où réponse ce une sont celles pour qui sont Madagascar les plus de susceptibles de le d’action contracter 2006, Plan et et de diffuser 2001 l’infection entre notamment générale, population la visaient qui antérieures stratégies aux Contrairement Parmi ces catégories figurent despersonnesquivivent déjàavec le d’IST.VIH ainsiquelesporteurs ------Les facteurs de vulnérabilité sont multiples, qui ne favorisent pas les changements de comportements. de changements les pas favorisent ne qui multiples, sont vulnérabilité de facteurs Les Les jeunesmarginalisés danslescommunes vulnérables fortement identifiées surleterritoire Les sexuelles (femmes) partenaires desHSHetCDI,dont leshommesdétenus quisont HSHet/ouCDI Les hommesdétenus quisont HSHet/ou CDI Les consommateurs (CDI) dedrogues injectables Les hommesquiont desrelations sexuelles avec deshommes(HSH) Les professionnelles travailleuses etoccasionnelles dusexe (TDS), e cnasacs u ls S, e I e l SD sn dn lesml asz ons as le ne elles mais bonnes assez l’ensemble dans pas lepréservatif, mêmelorsqu’il estrelativement disponibleetaccessible. sont SIDA le et le SIDA, et sur le et sontpréservatif encore nombreuses. Ainsi un nombrede personnes n’utiliseimportant VIH le IST, s’accompagnent pas forcément de les changements de comportements. Les fausses croyances sur les IST/VIH sur connaissances Les dematériel d’injectionoù lepartage s’ajoute sexuel. aumultipartenariat de risque facteurs les cumulent et temps même en clés populations plusieurs à appartiennent personnes Certaines populations clésauxdifférents disponibles. services différentes formes et à différents niveaux. La stigmatisation et la discrimination peuvent affecter l’accès des HSH, CDI, personnes détenues hommes, jeunes marginalisés) sous de populations clés (TDS, à haut risque catégories des plupart la souffrent dont discrimination la stigmatisationet la figurent Parmi facteurs ces Les clients et partenaires sexuels non commerciaux des TDS, qui sont pour la plupart des hommes dits hommes des plupart la pour sont qui TDS, des commerciaux non sexuels partenaires et clients Les mobiles VIH (2007-2012) : c’est le cas des HSH qui sont CDI et aussi parfois TS. Ils sont doublement à risque dans la mesure III Annexes : La loi N°2005-40 (février 2005) a permis d’établir les bases pour une lutte : Mise en place d’un cadre juridique, politique et opérationnel pour : Le Plan prévoit d’Action de mener un plaidoyer au niveau national et local pour la lutter contre la : Le Plan d’Action prévoit de mener un plaidoyer pour la suppression des contrôles du carnet de santé, santé, carnetde du contrôles des suppression la pour plaidoyer un mener de prévoit d’Action Plan Le : : La documentation des bonnes pratiques au niveau international a montré que la stratégie la plus stigmatisation et la discrimination visant les HSH (homophobie). et la discrimination visant stigmatisation à liés risques des réduction de dite politique la est CDI des auprès Sida le et VIH le contre lutter pour efficace d’une l’élaboration par concrétisée soit politique volonté forte qu’une nécessaire donc est Il toxicomanie. la politique la avec harmonie en Madagascar, à propre toxicomanie la à liés risques des réduction de politique et la de pénalisation la chez production,notamment les jeunes, du trafic de la toxicomanie, de prévention de drogues. et de la consommation la autorisant en notamment pénitentiaires, établissements les dans Sida le et VIH le et IST les contre efficace l’application à veiller de maintenant temps est Il établissements. ces dans préservatifs de disposition à mise loi. de cette en réformant la loi sur le contrôle des maladies vénériennes et en établissant le décret d’application. le décret et en établissant des maladies vénériennes la loi sur le contrôle en réformant Personnes Personnes détenues hommes HSH CDI TDS - - - - La plupart des populations clés ciblées par le Plan sont d’Action des populations stigmatisées et discriminées de multiples de façons convient dans il pourquoi la C’est société populations. Malagasy. ces Ces de formes auprès Sida de le et stigmatisation VIH et le de contre efficace discrimination lutte peuvent une pour constituer obstacles des populations des discrimination la et stigmatisation la contre lutte qui politique et juridique environnement un créer clés. De façon générale il faut que les personnes appartenant aux différentes populations lois clés à haut aux risque. et accès Dans pas le cas contraire ces n’auront leur personnes conséquent seront par et interventions application différentes aux inaccessibles garantissent resteront clandestinité, le la dans respect des droits fondamentaux des propagation la de prévention de stratégies les échouer faisant besoins, leurs à répondre pour place servicesen mis VIH. du clés spécifiques : à des populations Certaines actions le dispositif juridique s’appliquent concernant Le Plan d’Action Le 2007-2012 Plan comported’Action quatre axes stratégiques. Pour chacun de ces quatre axes le a Plan d’Action de la situation. ressortent aux défis et aux lacunes qui de l’analyse afin de répondre des stratégies identifié et politique Le renforcement du dispositif juridique Presque Presque tout reste donc à faire pour la majorité des pour passer à l’échelle. des leçons actions déjà de tirer permettent déjà menées populations clés, sauf pour les TDS professionnelles où les Axe stratégique 1 une réponse aux IST/Sida multisectorielle, personnes intégrée, efficace et protégeant les droits des Il faut noter que les interventions à destination des populations clés les plus exposées au risque par d’infection le menées par des ONG. principalement été VIH ont Aucune action spécifique n’a été mise actionAucune en њuvre pour spécifique les n’a partenaires sexuelles des féminines HSH et des CDI, dont hommes. les personnes détenues Aucune action n’a été menée pour les CDI dans la mesure où cette population était considérée comme inexistante inexistante comme considérée était population cette où mesure la dans CDI les pour menée été action Aucune n’a une étude menée fin 2006. jusqu’à Les Les actions à destination des jeunes marginalisés ont été également peu nombreuses, dans la mesure aussi où la définition de population cette floue reste et où il est difficile de si savoir les actions ciblant les jeunes en y général, les atteignent. les jeunes déscolarisés, compris En revanche très peu d’interventions ont ciblé les HSH et les personnes détenues hommes qui sont HSH. hommes qui sont HSH et les personnes détenues ciblé les ont peu d’interventions très En revanche Les interventions ont ciblé plus les TDS professionnelles que les TDS occasionnelles dont l’accès est plus difficile. est plus difficile. l’accès dont TDS occasionnelles que les TDS professionnelles ciblé plus les interventions ont Les La majorité des interventions destinées aux populations clés la prévention ont primaire et ciblé secondaire les des TDS, IST et aussi du bien VIH que dans ont également ciblé TDS les dans des soit clients structureset/ou à d’interventions partenairestravers de dépistage des le celui de domaine la de prise en charge. Un certain nombre et de prise en charge des IST et du VIH, soit à travers des activités de prévention clients. TDS pour leur destinées de associations menées par des aux actionsaux de prévention grâce TDS ou enfin hommes des clients mobiles Réponse apportée aux différentes populations clés les plus exposées au risque d’infection par le VIH jusqu’en 2007 par le VIH d’infection au risque exposées clés les plus populations aux apportée Réponse différentes Annexes IV tn dné a rvlne uVH hz e D els ot be pu qe ’urs ems cnene pr les par concernées femmes, d’autres que plus bien sont, elles TDS les programmes faudra doncpromouvoir dePTME. Il laPTMEauprès des TDS : chez VIH du prévalence la donné Etant Accès des TDS à la PTME les identifié a risque haut à clés populations des destination stratégies suivantes : à d’Action Plan le difficultés, ces surmonter Pour Les difficultés majeures pourlespopulationssont clésàhautrisque : prévention desISTetduVIHSIDAdequalité 2 stratégique Axe rigoureuse afindetirer desleçons etd’identifier lesbonnespratiques avant unpassageàl’échelle delaréponse. groupes.ces de devrontfaçonrépondreCesêtrebesoins documentéesinterventions de њuvrepour aux en mises en 2006 et 2007 chez les HSH, les CDI et les personnes détenues, des interventions pilotes devront rapidement être Etant donné l’importance des risques pris dans certaines populations, et démontrés par des études rapides menées La documentationdesbonnespratiques ------En incluant levolet PTME danslepaquetdeformation destinéauxassociations de TDS. des cadre le dans TDS des l’accueil à et l’information à PTME la de charge en personnel le formant En adaptés aux besoinsdesdifférentesLa définitiondepaquetsminimumservices populations. La Pour les TDS lacréation d’espaces conviviaux. deservices selon ciblé et discriminatoire non accueil un apporter pour service prestatairesde des formation La La mise à disposition des outils de prévention adaptés Pour chaque catégorie de population, la production et la diffusion de matériels IEC spécifiques dans dépistage. du promotion la et préventionL’éducationprimaire la assurer pour formés pairs des par besoins et comportements leurs à L’accès correspondent quinesoient pasdiscriminatoires àdes services dufaitdel’attitude desprestataires deservices qui services des à et informations des à L’accès structures de PTME. Les besoins psychosociaux des TDS doivent notamment être pris en compte pour compte en pris être assurer lesuccès delaPTME. notamment doivent TDS des psychosociaux besoins Les PTME. de structures notamment auxdétenus. concernés devront être formés audiagnostic ettraitement deformes chezlesHSH. spécifiques d’IST santé de professionnels Les risques. des réduction de l’approche et l’homosexualité/bisexualité y sexualitécompris la sur aspects nouveaux de prestataires des formations les dans intégrer faudra Il routine. de « services des dans bien aussi populations différentes des besoins les les mesure lespersonnesdétenues hommes.TDS, lesHSH,etmêmedansunecertaine groupesdes pour renforçant comme pertinents l’abstinencesontpas sur ne fidélitémessages qui la les et prévention,de cetteoptions si destrèsmême fait Or approcheen offrir connotée est supposée elle est en ABCD.ou ABC l’approche sur axés sont et générale population la à destinés sont actuels IEC matériels les effet En elles-mêmes. populations les par validés et/ou élaborés forme, leur dans et contenus leurs auprès despopulations(voir clésàhautrisque directeurs desinterventions). lesprincipes En effet l’éducation par les pairs est considérée comme l’une des stratégies les plus efficaces de prévention spécifiques sur l’éducation parlespairs. des dehors en accessibles être doivent circuits préventionde distribution traditionnels, de notamment à travers outils les programmes Lesde santé communautaire CDI. basés les pour stérile d’injection kits des préservatifs et le gel lubrifiant à base d’eau pour les HSH, y compris dans les établissements pénitentiaires e ao à e ede ls accessible, plus rendre le à façon de VIH du dépistage de mobiles d’unités disposition à mise Aéirto d lacs lifrain t ds evcs lnqe de cliniques services des à et l’information à l’accès de Amélioration : : Les TDS sont souvent des mères. Les jeunes TDS sont susceptibles d’avoir des grossesses. : le préservatif féminin et masculin pour les TDS spécialisés » que dans les services services les dans que » ; les ; V Annexes : Il est particulièrement crucial pour les actions spécifiques La mobilisation et la participation des populations clés dans : La participation des populations clés passe par une mobilisation et la coordination : la réponse ne seront efficaces Des que partenariats dans avec les le structures et cadre volontaire les dépistage le professionnels d’une dont de charge, gouvernemental et privé permettre doivent de créer des santé notamment performantssystèmes collaboration en de référence, prise du la étroite secteur et primaire public avec prévention et la du entre les continuum secteur d’un autres non cadre le dans acteurs. est la D’autres secteurs porte de d’entrée. l’Etat devront être étroitement associés à la réponse, comme la certaines en њuvre la réduction des risques. interventions comme pour mettre et la Police, Justice à destination des populations clés dans la mesure où les intervenants au niveau national ont peu ou pas d’expérience de travail avec la plupart de ces populations, notamment donc nécessaires. seront et/ou internationaux régionaux Des techniques appuis détenus. les HSH, les CDI et les hommes communautaire, communautaire, surtout pour des groupes qui ne sont pas groupes, encore ces pour réseaux très de et d’associations organisés groupements, de comme place en mise les la encourager faudra HSH Il CDI. ou les ou le organisationnel, programmatisque et renforcement institutionnels des srtuctures informelles, sur le TDS. les avec faite qui a été communautaire modèle de la mobilisation niveaux de la réponse, de l’évaluation des besoins à l’évaluation des interventions, en passant par la mise en mise la par passant en interventions, des l’évaluation à besoins des l’évaluation de réponse, la de niveaux l’éducation que démontré effet en a pratiques bonnes des documentation La certaines de activités. њuvre par les pairs, dans le domaine de la prévention, et l’auto-support, dans le domaine de la prise en notamment charge psycho-sociale, sont des stratégies extrêmement efficaces pour la riposte au VIH et clés. les populations avec au Sida Le Le renforcement des capacités nationales La multisectorialité La mobilisation communautaire La participation des populations clés les plus exposées au risque d’infection par le VIH à tous les - - - - : seront principes d’intervention directeurs Les Les principes directeurs d’intervention auprès des populations clés à haut risque Les principes directeurs d’intervention Les interventions pilotes devront également permettre de collecter plus de données sur ces populations. populations. de collecter données sur ces plus de permettre également devront interventions pilotes Les : Renforcement de la gestion de la réponse nationale de la gestion de la réponse 4 : Renforcement Axe stratégique Cet axe stratégique insiste sur la collecte de données épidémiologiques. Le ciblage des populations clés les plus exposées au risque d’infection par féminin sexe de partenaires les ou hommes détenues personnes les CDI, les HSH, le les comme certaines populations VIH est en effet relativement de ces nouveau hommes par exemple. Pour la à majorité de ces groupes, il Madagascar, est même actuellement notamment impossible de connaître pour le nombre approximatif d’individus appartenant à chaque groupe et de savoir où ils se trouvent sur C’est pourquoi le territoire. il convient de réaliser des études nationale d’envergure qui connaissances, les permettront croyances et les comportements de de ces populations. Ilmieux faudra aussi procéder connaître à des estimations les et à des cartographies populations. de ces personnes concernées de du nombre nationales Le Le plan d’action reconnaît l’importance de la que participation dans la des prise en populations charge du clés VIH (voir aussi les HSH les pour principes pairs, bien les par counselling le ou parole de groupes directeurs les notamment d’auto-support, travers à approches dans des interventions), la c’est pourquoi il prévention favorise les les jeunes marginalisés. par exemple ou encore Renforcer la disponibilité des communautaire services de prise en charge psychosociale des PVVIH au niveau Renforcer la disponibilité des services de PEC médicale des PVVIH PEC médicale des services de la disponibilité Renforcer Il sera important de bien analyser les caractéristiques et besoins des différentes catégories de PVVIH appartenant aux différentes populations clés par rapport aux questions d’adhérence aux traitements ARV, dans la aspects. ces mentionner PEC doivent guides de par des facteurs Les est influencée liés au style de vie. mesure l’adhérence où Axe Axe stratégique 3 : Réduction de l’impact du VIH et du SIDA par l’épidémie affectées sur les personnes infectées et Annexes VI Annexe 2 :Organisation delalutte contre leVIHetSidaàMadagascar VII Annexes T.I.C. Maintenance Maintenance Administration réseau Administration GESTION DU PERSONNEL - - FM - GTZ - AFD (AGF) - SNU - PMPS CIÈRES médicaux - Médicaments, - Médicaments, FINANCIÈRE d’action - Budget de l’Etat Produits de santé Produits UNITÉ FINANCES QUALITE” et Fournitures de bureau et Fournitures - Véhicules, Equipements Equipements Véhicules, - UNITÉ LOGISTIQUE Magasin de stockage AGENCE DE GESTION PASSATION DE MARCHES Finance et Comptabilité Finance consommables et équipements et équipements consommables partenariat et coordination Gestions des équipements - Contrats de prestation de services de prestation - Contrats DIRECTION DES AFFAIRES et réhabilitation des Infrastructures et réhabilitation appui technique aux compoantes appui technique Gestion de véhicules des parcs ADMINISTRATIVES ET FINAN TASK FORCE “ASSURANCE stratégies organisationnelleset sectorielles plans et organisationnelleset stratégies ressources et financier) - Suivie de l’épidémie - Alignement des partenaires, des partenaires, - Alignement - Suivi de la réponse nationale harmonisation et Mobilisation des - Suivi programmatique (technique (technique - Suivi programmatique UNITÉ SUIVIE ET ÉVALUATION SECRETAIRE EXECUTIF CID Plaidoyer Production d’outils Production Relations publiques Relations Capture des « best practice » Capture Communication de Masse /Média Communication UNITÉ COMMUNICATION Unité communication liée à l’institution Unité communication Mobilisation sociale (Femmes, jeunes, …) jeunes, Mobilisation sociale (Femmes, Communication de proximité (123, UMV) (123, de proximité Communication Unité communication liée au programme Unité communication IST CELLULE DE DES PROJETS société civile CTV/PTME/ compris les OI) compris discrimination PRÉVENTION STRUCTURES STRUCTURES DECENTRALISEE COORDINATION ET SUIVI PRISE EN CHARGE RÉPONSE LOCALE ET - Association des PVVIH - Association - Interventions sectorielles UNITÉ CHARGÉE DE LA - PeC Médicale des PVVIH - PeC Précautions universelle universelle Précautions UNITÉ CHARGÉE DE LA UNITÉ CHARGÉE DE LA /sécurité transfusionnelle contre la stigmatisation et la la stigmatisation contre DIRECTION TECHNIQUE DIRECTION - Appui au à la réponse locale- Appui (y - Coordination de la réponse de la - Coordination - Soutien psychosocial et lutte et lutte - Soutien psychosocial - Unités de Coordination Régionale de Coordination - Unités - Appui aux structures- Appui décentralisées - Orphelins vulnérables et enfants INTERVENTIONS SECTORIELLES TECHNIQUE ORGANISME DE REVUE ORGANISME DE FACILITATION : Organigramme du Secrétariat du CNLS Exécutif 3 : Organigramme Annexe Annexes VIII Annexe 4-Liste absolumentprioritaires descommunes pourlesinterventions (2007) ATSIMO ATSINANANA HAUTE MATSIATRA VAKINANKARATRA AMORON’I MANIA ANALAMANGA BONGOLAVA IHOROMBE REGIONS DIANA ITASY SAVA ANTSIRABE II ANTSIRABE I ANTSIRABE ANTANIFOTSY SOAVINANDRIANA MIARINARIVO ANTANANARIVO RENIVOHITRA VOHIMARINA SAMBAVA ANTALAHA ANDAPA NOSY BE AMBANJA AMBILOBE AMBOSITRA VONDROZO VANGAINDRANO FARAFANGANA IKALAMAVONY AMBOHIMAHASOA AMBALAVAO IVOHIBE IHOSY IAKORA DISTRICTS IBITY CU ANTSIRABE AMBOHIMANDROSO SOAVINANDRIANA ANALAVORY TSIROANOMANDIDY FENOARIVOBE ANTANANARIVO RENIVOHITRA ANKAZOBE ALATSINAINY BAKARO VOHEMAR-CENTRE CU SAMBAVA CU ANTALAHA CU AMBOHITRALANANA ANDAPA CU NOSY BECU AMBANJA CU AMBILOBE AMBOSITRA I VONDROZO VANGAINDRANO FARAFANGANA IKALAMAVONY AMBOHIMAHASOA AMBALAVAO IVOHIBE SOAMATASY SATROKALA RANOHIRA ILAKAKA IHOSY NORD RANOTSARA COMMUNES VATOVAVY FITOVINANY BETSIBOKA REGIONS MELAKY BOENY SOFIA VOHIPENO NOSY VARIKA MANANJARY MANAKARA IKONGO IFANADIANA BEALANANA ANTSOHIHY MORAFENOBE MAINTIRANO BESALAMPY ANTSALOVA AMBATOMAINTY II MAHAJANGA I MAHAJANGA AMBATOBOENY DISTRICTS TSARATANANA MANAKANA AMBAKIRENY TSARARANO MAEVA I AMBALA/OMBY VOHIPENO ILAKATRA NOSY-VARIKA MANANJARY SAHASINAKA MANAKARA-TANAMBE IFANIREA KELIKALINA BEALANANA C.U ANTSOHIHY MORAFENOBE MAINTIRANO SONENGA BESALAMPY ANKASAKASA AMPAKO TRANGAHY MASOARIVA BEKOPAKY ANTSALOVA AMBATOMAINTY SOALALA MATSAKABANJA BELOBAKA AMBALABE BEFANJAFA MAHAJANGA CU AMBATOBOENY COMMUNES IX Annexes COMMUNES AMPANIHY-CENTRE ANDRANOMAFANA ANKAZOABO BERENTY FITOVOLO AMBALAVATO EHARA AMBATRY BESELY BETIOKY ATSIMO BEZAHA FAMENATSOA SAKARAHA CU TOLIARA ANAKAO TSARAOTANA MANJA MORONDAVA DISTRICTS AMPANIHY ANKAZOABO BENENITRA BETIOKY SAKARAHA I TOLIARY II TOLIARY BELO SUR TSIRIBIHINA MANJA MORONDAVA MENABE REGIONS ATSIMO ANDREFANA ATSIMO COMMUNES AMBOVOMBE ANDROY AMBOVOMBE BELOHA AMBOASARY-ATSIMO BETROKA TAOLANARO FENOARIVO EST CU EST FENOARIVO SANDRAKATSY MANANARA-NORD CU BORAHA CU NOSY SOANIERANA-IVONGO VILLE MAHANORO MAROLAMBO I TOAMASINA II TOAMASINA NIAROVANA/CAROLINE TSIVANGIANA VATOMANDRY VOHIBINANY-(BRICKAVILLE) AMBATONDRAZAKA CU AMBATONDRAZAKA AMBOHIJANAHARY AMPARAFARAVOLA TANAMBE ANDILAMENA MORAMANGA DISTRICTS AMBOVOMBE SUD AMBOASARY BELOHA BETROKA TAOLAGNARO MAHANORO FENOARIVO EST FENOARIVO AVARATRA MANANARA MAROANTSETRA BORAHA NOSY IVONGO SOANIERANA VAVANTENINA MAROLAMBO I TOAMASINA II TOAMASINA VATOMANDRY VOHIBINANY AMBATONDRAZAKA AMPARAFARAVOLA ANDILAMENA MORAMANGA ANOSY ANDROY REGIONS ATSINANANA ANALANJIROFO ALAOTRA MANGORO ALAOTRA Annexes X Annexe 5–Principalesenquêtes etétudes Evaluations Internes duProgramme Evaluations Externes desStratégies duProgramme Audits (Techniques duProjet etFinanciers) Fonds Mondial Audits (Techniques duProgramme etFinanciers) National Etude enmilieuScolaire Enquête surlaqualitédePriseenCharge desIST Etude surlaRevue desdépensesenVIH/Sida Etude surlespolitiquesVIH/SIDA dansleMilieuduTravail CompositeEtude Indice Pays +« 3ones» Cartographie delaVulnérabilité Enquête socio-ethnologiquesurlespopulationsclésàrisque Enquête socio-comportementalesurgroupes àrisques (TDS, Jeunes,militaires, Camionneurs) Enquête desurveillance socio-comportementale Enquête Démographique Sanitaire Enquête deséroprévalence VIHetsyphilis(femmes enceintes) (Travailleurs desexe, femmes enceintes, patientsIST) Surveillance SentinelleBiologique TYPES d’EVALUATIONS Annuelles Annuelles Annuels Annuels Tous UNGASS) les2ans(Rapport Tous les2ans Tous UNGASS) les2ans(Rapport Tous les2ans Tous UNGASS) les2ans(Rapport Tous les2ans Ponctuelle Ponctuelle Tous les2ans Tous les5ans Tous les3ans Annuelle FREQUENCE DECOLLECTE Unité SuivietEvaluation Structures Spécialisées Cabinet d’auditouStructure Spécialisée Cabinet d’auditouStructure Spécialisée Cabinet ouStructure Spécialisée Cabinet ouStructure Spécialisée Cabinet ouStructure Spécialisée Cabinet ouStructure Spécialisée Cabinet ouStructure Spécialisée SE/CNLS Cabinet ouStructure Spécialisée SE/CNLS Cabinet ouStructure Spécialisée Cabinet ouStructure Spécialisée Ministère delasanté LNR MISE ENŒUVRE XI Annexes La dernière version du PSN 2007-2012 a été validée des par et Partenaires le soumise Forum pour au revue service AIDS Strategy and Action Plan (ASAP), l’ONUSIDA administré et par ses partenaires. la Un Banque consultant Mondialeinternational GAMET au a Technique de nom également Suivi et apporté du Evaluation dans son Secrétariat la soutien révision des Exécutif au objectifs Groupe de et indicateurs du document. finale du par le SE/CNLS dans la rédaction de la version et de GAMET prises en compte été ont Plan d’ASAP Les d’Action. contributions La version préliminaire du PSN 2007-2012 a été soumise suggestions à pour des son amélioration, consultants avant internationaux présentation qui au ont Forum des apporté Partenaires des pour assuré la correction du document à la travers collecte validation. des informations supplémentaires demandées par le Forum Le SE/CNLS a des partenaires et la compilation et structuration des de données l’ensemble recueillies aux étapes différentes du PSN 2007-2012. du de développement processus La synthèse des travaux de groupe a été réalisée par des consultants nationaux, qui ont tenu le rôle de secrétaire pour les groupes de travail sectoriels. Les résultats des travaux de groupe ont fait de l’objet des partenaires pour validation. forum présentation lors de : Coordination, Mobilisation et Gestion de ressources, Suivi et évaluation Suivi et évaluation Mobilisation et Gestion de ressources, 4 : Coordination, Groupe : Appui social et protection 3 : Appui Groupe Groupe 2 : Soins et traitement Groupe : Prévention, Changement de comportement Changement et Plaidoyer 1 : Prévention, Groupe et se sont réunis régulièrement pour travailler sur des thèmes précis conformément conformément précis thèmes des sur travailler pour régulièrement réunis sont se et constitués été ont groupes Quatre défini. préalablement qui a été à l’agenda Le Le PSN 2007-2012 a été développé en travaux de secteurgroupe le portantréponse, compris y présidés chacun civile, chacun société sur la par une de partenaires les composante autres chefs sectorielleet nationales d’unité de et internationales du la ONG SE/CNLS public, secteur et fonds, auxquels l’ensemble des partenaires (bailleurs de participés.en question ont de la composante de PVVIH) et les associations en œuvre par la mise privé concernés Il a été développé sur la base d’une analyse du risque à et VIH/Sida de la et vulnérabilité du a pays à utilisé la diffusion comme de compilation et outils l’analyse l’infection critique des informations fournies dans de les rapports de mission de référence suivi et évaluation par la documentation sur des consultants et expertsdu PMPS II, de nationaux la et Route Feuille pour internationaux, le les manuel d’exécution réalisations du PSN 2001-2006, Universel à la aux Prévention, la l’Accès Soins à la et Madagascar, Traitement proposition au de projet pour le Round 6 du Mondial, ainsi Fonds certainqu’un nombre de documents techniques du SE/CNLS précisant le contenu et les nationale. de la réponse des composantes opérationnelles modalités Le Le PSN 2007-2012 a été élaboré, sous le leadership du Secrétariat Exécutif du Comité National de Lutte contre participative. le largement une approche Sida (SE/CNLS), avec Processus de développement du PSN 2007-2012 développement de Processus Annexe 6 – Démarche adoptée pour l’élaboration adoptée 2007-2012 du PSN 6 – Démarche Annexe Annexes XII Agenda duprocessus d’élaboration duPSN 2007 Mai 2006 Décembre 2006 Octobre 2006 Septembre Août 2006 2006 Juillet 2007 Juin 2006 Juin 2006 Mai Avril 2006 DATE enforme duPlan Mise Stratégique National • Finalisation dubudgetPlan Stratégique National • • Présentation duPlan Opérationnel Intégré (POI_2007) • Présentation duPlan Stratégique suivant National rectifié lesrecommandations lorsdela • Organisation atelier d’un national avec laprésence desdifférentes entités centrales et Finalisation dudocument duplanstratégique national • • Estimation lamiseenoeuvre dubudgetpour duPlan Stratégique National Elaboration Plan draft Stratégique National • Détermination globaux, desobjectifs • • Harmonisationdestravaux desconsultants nationaux etinternationaux duplan surl’aperçu • Identification etRecrutement desConsultants internationaux àl’élaboration l’appui pour du • Identification desgroupes ciblesetzones prioritaires • prioritaires, Identification activités desprincipales • Etablissement analyse situationnelle d’une évoquant : • Identification etrecrutement desConsultants nationaux chargé defaciliter etd’appuyer les • assurant Identification ressources despersonnes lesgroupes pour detravail technique (GTT) • Présentation duprocessus d’élaboration duPlan Stratégique National (Forum despartenaires • validation validationrégionales pour dudocument stratégique national engénéral etsurl’affinement ducadre enparticulier logique Plan Stratégique National nécessaires consolidés etdisponibles dansuncadre logique Groupes de la révisionduPlan Stratégique National du 20avril 2006auPalais Mahamasina) dessports Duplication etPublication duPlan Stratégique National (Réunion deschefs degroupe techniques etlesconsultants le11et21août2006) recommandations lesprincipales résultantes o lesenseignements tirésàtravers lesexpériences acquiseset o lesréussites majeures delalutte contre le o (Forum du20décembre despartenaires auPalais Mahamasina) dessports du27-28juillet2006àlaRésidence Ankerana) (Atelier desGTT Travail du15juin2006àl’Hotel lePrinz Ambohimiandra)(Atelier desGTT (Atelier Fonenako Soa 2006àl’Akany du17octobre ) du11mai2007au SE/CNLS) (Réunion despartenaires Technique (Réuniondu02maiauSE/CNLS) PRINCIPALES ETAPES spécifiquesetstratégiques indicateurs de mesures etressources ; VIH etleSIDAàMadagascar XIII Annexes v a l i d a t i o n KABA Sétou, Coordonnateur Pays ONUSIDA KABA Adjoint Harinaivo, Secrétaire Exécutif RAZANADRAKOTO SE/CNLS daniel Jasmin, Chef de Région Menabe RAKOTO Anosy Chef de Région RAMILISON Harifidy, Georges, SG Région Sofia RAMANANTSOA SAVA Augustin, DDR JAOTOMBO DDR Ihorombe RASOLONDRABE Marcellin, Jean Felix, MINSANPF ANDRIANJARANASOLO Programme IST/SIDA Lisette, MINSANPF Programme RAVOLOLOMANANA IST/SIDA MINSANPF Programme IST/SIDA Adeline, RANAIVO IST/SIDA Programme MINSANPF Jacky, RAMAHEFY Milasoa, MINSANPF/DULMT MOSA Daniel, MINSANPF/DULMT RABOANALY Natolotra, MINSANPF/CNTS ANDRIANAVALONA RASOANAIVO Nivo Hanitra, MINSANPF/DPLMT MINSANPF/DHRR Volanirina, ANDRIAMBOLOLONA Noro, DDDS/MINSANPF RAZANAMAHERY Analanjirofo Harinjaka, DRSPF RANDRIANAIVO Anosy Lucie, DRSPF RAMANANDRAIBE ARISON Nirina, DRSPF Boeny Myriam, DRSPF Bongolava RASOARANTO Be Sebastien, DRSPD DIANA Michel, DRSPF Betsiboka BARIMANJATO Henriette, DRSPF Ihorombe RASOANIRINA Roland, DRSPF Itasy ANDRIAMBELONORO Atsimo Phillipe, DRSPF Veloson RATOLOJANAHARY Andrefana Mania Amoron'i DRSPF Marcellin, RANDRIAMANANTENA DRSPF Sofia RANDRIANAVELO, JosephsonB, DRSPF Haute RANDRIAMAMPIONONA Matsiatra Androy Jean Noel, DRSPF MAHAVORY J, DRSPF Vakinankaratra RAZAFIMANJATO Atsinanana DRSPF V, ANDRIANATOANDRO Atsimo Mathieu Johanès, DRSPF RAZAFIMANANTSOA Atsinanana Noël Famanatanantsoa, DRSPF Vatovavy RAKOTO Fitovinany RAMANARIVO Emile, Responsable IST/SIDA NOSY Alaotra Mangoro SEM ROBINSON Jean Louis, MinistreSEM ROBINSON et du de la Santé Planning Familial

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internationaux i l o t a g e

r é d a ABDOULAYE Wade ABDOULAYE Cissé Wone KATY sous la coordination de M. Johnatan ASAP Desk Review : DC) C. Brown (Banque Mondiale Washington RAZAFINDRAFITO Haja RAZAFINDRAFITO Adjoint SE/CNLS, Chargé des Secrétaire Exécutif Stratégies et Opérations Fenosoa RATSIMANETRIMANANA Haja RAZAFINDRAFITO Jean Félix ANDRIANJARANASOLO Setou KABA Etienne POIROT Fenosoa RATSIMANETRIMANANA Exécutif SE/CNLS Secrétaire Chef d’Unité Réponse Locale et Sectorielle, SE/CNLS Jean Wilfrid VELONANTENAINA Assistant Réponse Locale, SE/CNLS Benja RANDRIAMANALINA - VIH et Sida, SE/ Tuberculose Chargé de Programme CNLS Jean Félix ANDRIANJARANASOLO Administrateur de Programme IST/VIH/SIDA, MINSANPF Mamy ANDRIANALINERA Administrateur de Programme IST/VIH/SIDA, MINSANPF RATSIMANETRIMANANA Fenosoa RATSIMANETRIMANANA Secrétaire Exécutif SE/CNLS Haja RAZAFINDRAFITO des Adjoint SE/CNLS, Chargé Secrétaire Exécutif Stratégies et Opérations Annick, Wouters Internationale Technique Assistante Patricia RAKOTONDRABE Chef d’Unité Suivi-évaluation SE/CNLS Rija RANAIVOMANANA Analyses et traitements des données, Responsable des SE/CNLS Marc RAMANANTSEHENO RAKOTOMANGA Josiane RAKOTOMANGA Odile HANITRINIAINA Andriamihantanoro RAKOTOBE Hary RAZAFINIMPIASA ROBINSON Pierre

P d e d e

• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • o m i t é o n s u l t a n t o n s u l t a n t s o m i t é oordination C C C C Coordination générale Coordination Annexe 7 - Liste des personnes ayant contribué à l’élaboration du PSN 2007-2012 contribué à l’élaboration des personnes ayant 7 - Liste Annexe C Annexes XIV • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • RAHARINIVO Mbolatiana,UNC/MAD RANDIMBISOA Julia,Intercooperation RAKOTONDRAJAO Onisoa,MICDSP RABEARIMONJY Haingo,FISA RAKETAMANANDRIANA Nivo,DSF/SSR-MSR RABEMANANTSOA Emile,CoPrésident<> RAVELOMANANA Iarilanto, AGF/PMPS RASOLONJATOVO Hary, JICA RANDRIAMANANTANY Zely, LNR SARDA Jean, SCAC/AFD RABARY Malanto,PSI RATOVONANAHARY Rivo,PLEROC ANDRIAMANGA Adolphe, PLEROC DENOLF Danny, GTZ ORRIT SIDA Emmanuelle,GTZProjet ROYER Sophie, SOLTHIS SABATTIER Catherine,SISAL RAZAFINDRAIBE HajasonEric,SISAL POIRROT Etienne,UNICEF RAVAOMANANA Edwige,ONUSIDA RAVELOSON Clarimond,ONUSIDA RANDRETIA J,INSTAT/DDSI Prison RATSIMBAZAFY Velosoa, CoordonnateurprojetSida RANDRIAMANANTSOA Fano,HCP/Santenet PETER GOTTERT, HCP/Santenet RAZAFIARISOA Farah,BIT NDEAMANA Philemon,SRA/UNFPA Kris VALAYDON, Rep.Adj/UNFPA RABENANPANJINA Nohisoa,CRSMadagascar Madagascar RANIVOARIANJA Ravaka,ChefdeprojetPACT/ RAKOTONIRINA Emmanuel,FIFAFI Analamanga RANAIVO Paquerette,CCIAA-A ANDRIAMIADANA Jocelyne,USAID SASEMBO JuliaRaymonde,BAD DTIFANA Marie Ange, MJS RASOANOELIZAY Rivo,MJS MANAMPY HERY Kababa,MJS RAKOTONDRAZANANY Manitra,MINENVEF RAHAINGOARISOA Fanja,MIN/EnergieetMînes BARAKA Hanta,MINPOP /ONGCAFED RALAMBOSON Jaona,MINDEF RABENANDRASANA Dieudonné,MAE NOBELISON Robert,MDAT RAZANADAHY Ferdinand,Cabinet/MENRS RABODOMALALA Raymonde,SIEC/DIRM/MTPC • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • RAMINOSOA Harinosy, CT SE/CNLS Menabe LALAMIANDRISOA Christophilin,CT SE/CNLS Anosy RAHARILALA Bien Aimé, CT SE/CNLS Atsimo Atsinanana Ihorombe RAZAFINDRAHALAHY JulesRichard,CT SE/CNLS RAKOTOARIVELO Nathalie,CT SE/CNLSVakinankaratra RAKOTOMALALA Fara,CT SE/CNLS Analamanga LAHIMASY Vone, CT SE/CNLS Androy RABESOA Gérard, CT SE/CNLS Analanjirofo RABEARISOA Ndandison,CT SE/CNLS Amoron'i Mania Vatovavy Fitovinany RASOLONJATOVO RichardHonoré,CT SE/CNLS RAHARISON Volahanta, CT SE/CNLS Atsinanana RODILSON Vahiny Angelo, CT SE/CNLSDiana TOMBO JulesHarison,CT SE/CNLSSofia SAMUEL Christophe,CT SE/CNLSMelaky RAZAFITSIMIALONA Hajanirina,CT SE/CNLSBoeny HOUSSEN Mahapandro,CT SE/CNLS Atsimo Andrefana DASY Tatiana, CT SE/CNLSSava RASOLOHAJA Annick, CT SE/CNLSBongolava RASOLOHAJA Saholy, CT SE/CNLSItasy RAKOTOVAO NirisoaH.,CT SE/CNLS HauteMahatsiatra MAHOLISON Princi,SE/CNLS ANDRIAMANALINARIVO Patrick, SE/CNLS FARASOA Annie, SE/CNLS RAKOTOJAONA Hajanirina,SE/CNLS RAKOTONDRAMBOA Sandra,SE/CNLS MIADA LalaoInnocent,SE/CNLS RAVAOSOLONIRINA Lucile, SE/CNLS MAHATANA Voahangy, SE/CNLS RAOBELA Vololona Eva, SE/CNLS RALIJAONA Lova Avotra, SE/CNLS RATSIMANDISA ClarkHery, SE/CNLS ANDRIANOELINA MiaroZo,SE/CNLS RANDRIAMANANA MinoRanto,SE/CNLS ANDRIAMIHARISOA Haja,SE/CNLS RAZAFIMANDIMBY Hingo,SE/CNLS DISAINE Solofo,SE/CNLS ANDRIAMANATOANINA Viviane, SE/CNLS RASOAMAMPIONONA Olga,SE/CNLS RAHARIJAONA Landy, SE/CNLS RASOAMANANANORO NivoHanitra, SE/CNLS RAZAFIMANANTENA Hitomi,SE/CNLS ANDRIANASOLO MIANRIVOLOLONA,SE/CNLS RAKOTOMANANA Andrimbazotiana, SE/CNLS RAZANAKOLONA Rasoamialy, LNR RAFANOHARANA Raoza,CareInternational