SABINE WEISS 18/06 – 30/10/2016 Marchande De Frites, Paris, 1952
SABINE WEISS 18/06 – 30/10/2016 Marchande de frites, Paris, 1952 Enfants jouant, rue Edmond-Flamand, Paris, 1952 SABINE WEISS n’a cessé de travailler pour la presse illustrée française et internationale, mais aussi pour de Sabine Weiss est la dernière représentante nombreuses institutions et marques, enchaînant de l’école humaniste française, qui réunit travaux de reportages, mode, publicité, portraits notamment Robert Doisneau, Willy Ronis, de personnalités et sujets de société. Édouard Boubat, Jean Dieuzaide, Brassaï ou À la fin des années 1970, son œuvre bénéficie Izis. Pour la première fois, elle accepte d’ouvrir de l’intérêt grandissant des festivals et institutions ses archives personnelles et de livrer un pour la photographie humaniste, ce qui lui témoignage sur sa vie de photographe. À travers donne l’envie de reprendre un travail en noir 130 photographies, des films et des documents et blanc. Elle développe alors, la soixantaine d’époque inédits, cette exposition laisse apercevoir passée, une nouvelle œuvre personnelle, rythmée les multiples facettes de cette artiste prolifique, par des voyages en France, en Égypte, en Inde, pour laquelle la photographie constitue avant tout à La Réunion, en Bulgarie ou en Birmanie. Depuis un métier passionnant. lors, les hommages se multiplient, contribuant à Née en 1924, elle se dirige très jeune vers la l’aura d’une photographe indépendante et vive, photographie. En 1946 elle quitte Genève pour sensible à l’être humain et à sa vie quotidienne. Paris et devient l’assistante de Willy Maywald, photographe allemand installé à Paris et spécialisé dans la mode et les portraits.
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