Spécial Idef 2011
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www.dvsm.fr SP ÉCIAL IDEF 2011 Cannes accueille l’événement professionnel du jeu vidéo et des loisirs interactifs. N°98 – juin 2011– 8,90 euros TÉLÉCOMS,TV, INTERNET : Questions avant réponses NOUVELLE IMAGE : TERRAIN : Bridges et hybrides Des concepts, encore LE FEUILLETON 3D : dans le viseur des concepts Les atouts gaspillés S OMMAIRE 6 DVSM INFOS ELECTRONIQUE ET AUTOMOBILE Echos et infos de l’univers du numérique et de sa distribution 52 L’ ÉLECTRONIQUE EMBARQUÉE EN 2011 18 DE L’INÉDIT DANS L’AUTORADIO L’auto et le numérique sur la même route Pioneer inscrit l’autoradio dans ses tablettes 58 LES GPS PORTABLES CHERCHENT LEUR CHEMIN TÉLÉCOMS, TV NUMÉRIQUE Le guidage portable évolue vers des segments mieux définis 20 QUESTIONS EN ATTENTES DE RÉPONSES Un marché qui se cherche tout en gérant ses croissances 62 ACTEBIS SE DÉMULTIPLIE POUR LE TERRAIN Le célèbre grossiste innove dans la vente ultra 28 TERRAIN : D ES CONCEPTS , commode pour les revendeurs ENCORE DES CONCEPTS En visite dans de nouveaux points de vente, 64 LE FEUILLETON DE LA 3D certains plus enthousiasmants que d’autres Du gâchis ! La distribution mérite un mauvais point sur sa mise en scène du relief DOSSIER IDEF 2011 35 JOUONS LE JEU DE DEMAIN Les loisirs interactifs tiennent salon professionnel près de la plage 36 ENCORE UNE NOUVELLE ÉPOQUE Le jeu vidéo se transporte vers de nouvelles aventures 67 LA CHRONIQUE DU MED PI 2011 39 UN MESSAGE EN LANGAGE VRAI Retour vers Monaco et une édition riche Jean-Claude Larue, délégué général du SELL, du MedPi évoque le marché du jeu 73 LA VIDÉO A 40 ANS 40 TOUT UN MONDE DU JEU Un anniversaire qu’il fallait évoquer Vision panoramique et chiffrée d’une planète qui joue sur tous ses continents 74 RÉGLEMENTATION : LA FICIME NOUS CONSEILLE CANNES DANS LE SILLAGE DE L’E3 42 La formation obligatoire des collaborateurs Deux semaines après l’événement de licenciés Los Angeles, quelques-uns de ses moments forts DVSM, Distribution, Ventes & Services Magazine N° 98. Parution du 20 juin 2011. LA NOUVELLE IMAGE Prix du numéro : 8,90 euros. Abonnements : un an (10 numéros) : 89 euros 46 LES ÉQUINOXES RAISONNABLES Deux ans (20 numéros) : 178 euros. Les formules intermédiaires ont leurs adeptes RÉDACTION , PUBLICITÉ , ADMINISTRATION , ABONNEMENTS : BP 50119 - 93271 Sevran Cedex. Tél. : 01 43 83 41 24 Fax : 01 43 83 26 33 - Email : [email protected] 47 LES HYBRIDES RÉDACTEUR EN CHEF : Yves Dupré. AFFIRMENT LEURS DIFFÉRENCE ASSISTANTE : Véronique Duhamel. Le point sur une catégorie qui prend du poids PRINCIPAUX COLLABORATEURS : Geneviève Beauvarlet, Maria Geyer, dans les ventes André Jull, Jérôme Larpège. DIRECTEUR ARTISTIQUE , 1 ER RÉDACTEUR GRAPHISTE : Max Pagis. COORDINATION : Armelle Couvaire. 50 BRIDGES : LA PARTIE CONTINUE PUBLICITÉ : au support. Imprimé en France. Dépôt légal : à date de Le tout-en-un de la photo de qualité parution. ISNN, 1626-7702. * DVSM, Distribution, Ventes & Services Magazine est une publication éditée multiplie ses atouts par Retail Dynamik France* SARL. 73-75, rue de la Plaine. 75020 - Paris. GÉRANT , DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : B. Sailliard. Reproduction, même partielle, interdite. Tous droits réservés pour tous pays * Marques déposées. Distribution, Ventes & Services Magazine n° 98 3 E DITO I chaque thème, chaque sujet, chaque ligne de pro - duits sont tous des éléments intégrés dans les Sstructures des enseignes d’une manière nette et bien organisée, et le plus souvent hermétiquement sépa - rés, il n’en va pas de même dans l’esprit et dans les habi - tudes des consommateurs. L’actualité récente vient de nous en donner une belle illustration quand soudain, dans une réaction aussi brutale qu’approximative, le gou - vernement a décidé voici près de six semaines de dur - cir le ton en matière de sécurité routière. Avec à la clé quelques décisions spectaculaires, dont l’interdiction Le numérique, programmée des avertisseurs de radars. Une bonne occasion de s’apercevoir, si cela était nécessaire, à quel point notre technologie numérique quotidienne est l’automobile, devenue incontournable. Car sitôt la mesure annoncée, les voix se sont élevées contre la privation d’une capa - cité à communiquer entre eux acquise par les individus. Contrairement aux détecteurs de radars qui réagissent le jeu et les clients techniquement quand un faisceau d’ondes est présent dans leur champ d’exploitation, les avertisseurs ne sont rien d’autre qu’un moyen simple de communiquer entre conducteurs. Dans le même temps, chacun a aussi réa - lisé qu’avec les moyens de communiquer désormais dis - ponibles, cette interdiction est à peu près aussi perti - nente et réaliste que si l’on cherchait à interdire dans tous les bars de l’Hexagone les conservations de comp - toir. « Cause toujours », on se débrouillera autrement » a répondu la rumeur collective. Au-delà de cette mesure brouillon dont nous reparlons bien sûr dans ce numéro, c’est une remarque qui concerne bien davantage nos points de vente qui s’impose. Tout d’abord, à propos d’une sorte d’oubli presque perma - nent de la part des acteurs du numérique, jusque et y compris dans les rayons, à propos de l’automobile. Intégrée dans notre vie de tous les jours, cet ustensile à quatre roues qui permet à tout individu d’aller où il veut, au chaud et au sec, et avec quelques éventuels bagages, est en quelque sorte « l’autre » équi - pement technique qui a changé la vie de tous. Même si dans quelques tartufferies écolo un YVES DUPRÉ tantinet clientélistes, certains s’appliquent à lui prédire un avenir sombre, l’auto restera un accessoire rédacteur en chef de l’individu encore longtemps, et ne pas mettre en évidence dans les rayons tout ce qui, électroni - quement, peut s’y exploiter, est une erreur majeure. C’est dans son habitacle qu’outre les GPS, la radio et le Coyote, on parle à ses proches, on reçoit des mails, on cherche une adresse sur les Pages Jaunes ou on écoute de la musique en téléchargement comme en streaming. Que les obsédés de la sécurité se tranquillisent, nombre de ces actions s’accomplissent sereinement sur un parking de centre commercial ou à l’occasion d’une halte sur une aire d’autoroute. Par ailleurs et dans une incontournable association d’idées, comment ne pas repen - ser à ces structures dans les enseignes qui coupent en tranches illogiques tout ce dont le chaland imagine iné - luctablement des utilisations imbriquées. D’où cette mécanique que chacun connaît : une fois les séparations éta - blies entre familles de produits, il n’y a plus qu’à imaginer tous les cross-marketings et cross-sellings possibles. Comme ces architectes qui verrouillent définitivement les fenêtres puis créent des orifices pour de savantes aéra - tions dans les murs de leurs ouvrages. Plus un problème est moins simple, moins il est plus facile à résoudre ! ½ [email protected] Distribution, Ventes & Services Magazine n° 98 5 DVSM-I NFOS QUI INTÉRESSE QUI ? On en arriverait à dire « bizarre » ! A bien étudier au fil des aspects du business qui ne conviennent pas en amont, années les relations entre les fournisseurs et les divers cré- seraient volontiers écartés. Mais après réflexion sur neaux du terrain, ce qui domine est une sorte de constante réflexion,on ne lâche quand même pas :l’avenir pourrait en hésitation. Un « j’y vais, j’y vais pas ? » de la part des indus- être compromis. Le résultat reflète cette alternance d’at- triels, auquel la réponse n’est pas sans rappeler une chan- titudes, avec des stratégies moyennement verrouillées, des son de Gainsbourg : « tu m’intéresses ! Moi non plus ». Si rayons déjà pas si mal, mais qui souffrent d’une bonne fina- au sens large (en prenant toutes les familles de produits) cet lisation. Tout cela parce que sur le terrain, nombreux sont effet apparaît estompé, il ressort avec beaucoup de relief les acteurs qui, au bout du compte, rechignent à faire quand on considère chaque famille de produits : télécoms, quelques efforts supplémentaires pour optimiser ce qui est jeu vidéo, électroniques embarquées, audio-vidéo et hi-fi, engagé. Et que chez les fournisseurs, on ne perçoit pas (ou produits IT. D’un côté, on sent les distributeurs fatigués de on ne veut pas percevoir) l’intérêt qu’il y aurait à créer des devoir composer avec des marges faibles et un travail com- offres plus simples, plus lisibles pour la clientèle. Avec un mercial plutôt compliqué. On frôle l’abandon. De l’autre, petit effort de chaque côté, chacun intéresserait soudain ces mêmes distributeurs redeviennent motivés, bien décidés bien davantage les interlocuteurs respectifs, pour que la à investir, se mobiliser. Ça repart ! Dans l’univers des four- petite mécanique du circuit fournisseur - distributeur - client nisseurs, même plus feutrées, les attitudes sont un peu du final tourne à plein rendement pour tous. Ce dont nous même tonneau.Tantôt,des circuits estimés pas assez com- sommes loin. Il faudrait y penser, sur la plage, en écoutant pétents, trop « discounteurs »,ou surtout concentrés sur des le bruit des vagues. Bonnes vacances à tous ! ½ du second trimestre pour entreprises et en espaces que certains n’ont pas le Japon étant bien sûr lié de vente, a attiré hésité, il y a fort aux conséquences du l’attention des médias sur longtemps, à mettre en tsunami). Mais la véritable son marketing olfactif. œuvre pour attirer des information tient dans le Attirer, stimuler, favoriser clients et susciter des fait que la Corée du Sud et l’achat, renforcer l’image, envies. Les exploitants de Taiwan s’adjugent de fidéliser, ce sont les baraques à frites en saison en saison environ bienfaits que la méthode Belgique savaient déjà 90 % de cette production, apporte, selon cet user de ce marketing aux alentours de 50 % pour intervenant qui ne alors que Mathusalem la Corée et de 40 % pour n’était pas encore né (à Taiwan.