sécurité es r t ches

n actions enseignement r co n e r reche dossiers sociale

gestion

dossier La dette sociale

• juillet 2012 numéro 42

www.en3s.fr

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n actions enseignement r co n e r reche dossiers sociale

gestion

sommaire

LES ÉVOLUTIONS 1. DE LA PROTECTION SOCIALE La dette sociale

Coordonnateurs Introduction par Dominique Libault, Directeur de l’EN3S, Vice-Président Philippe Georges, du Haut Conseil du financement de la Protection sociale 9 Inspecteur général à l’IGAS La dette sociale : des origines à nos jours Vincent Ravoux, par Jean-François Chadelat, Inspecteur général Directeur général des Affaires sociales, Directeur du Fonds de financement de l’URSSAF de de la CMU 10 et de la région parisienne La dette sociale aujourd’hui par Carole Bousquet, Chef du bureau 5A, Synthèse financière à la Direction de la Sécurité Sociale 18

Mission et fonctionnement de la CADES par Patrice Ract Madoux, Président du conseil d’administration de la CADES et Geneviève Gauthey, Inspecteur des finances publiques 28

Notes de lectures sur l’échec historique des Caisses d’amortissement de la dette publique par Rémi Pellet, Professeur à l’Université Paris V Descartes et à Sciences Po Paris, Pôle de recherche et d’enseignement supérieur Sorbonne Paris Cité 40

une publication de l’

aiine 150 parisienne)

ePrse el région la de et Paris de l’URSSAF de général Directeur

ieto eVnetRavoux, Vincent de direction la sous réalisée (recherche

a acL lch lv el 50 la de élève Floc’h, Le Marc par rmto el’EN3S de promotion

e

’RSF aqirsca e nrpie » ? entreprises des social banquier « L’URSSAF,

an-ten 135 Saint-Étienne à

’nvriéJa Monnet Jean l’Université à conférences de Maître

eLo tCcl Romeyer, Cécile et Lyon de CERTIRA du Directeur Audibert,

e lvsd a49 la de élèves les rmto) osl ieto eGuy de direction la sous promotion),

e

ehrh 01raié par réalisée 2011 recherche action d’une (résultats iffer Pfe

xlePtye Pascal et Patry Axelle Duarte, Lucie re, Alexand Isabelle par

néê tms nœuvre en mise et intérêt

éuiéscae: sociale Sécurité e d organismes les dans

atasoiind ’nls el valeur la de l’analyse de transposition La

EDNE TÉVOLUTIONS ET TENDANCES

2

. EL RTCINSCAE: SOCIALE PROTECTION LA DE

EMANAGEMENT LE

nele ’tt125 d’État onseiller C Aubry, Éric par

arged’or règle la

oréie adte: dette la éviter pour s juridique mécanismes Les

elARO116 l’ARRCO de et

rcerfnnird l’AGIRC de financier irecteur D Goubeault, Philippe par

lmnarsAICe ARRCO et AGIRC plémentaires com retraites de

o e régimes des ion répartit en ments engage et Réserves

iacèeàlAOS83 l’ACOSS à financière n directio la de adjoint ecteur Dir

re maulLaurent, Emmanuel et ur Directe Gubian, Alain par

tesociale ette d la de portage et

el’ACOSS de e trésoreri de on gesti la de Modernisation

rencontres

ensei cecsP 74 Po Sciences

g nemen

e tdsd l’OFCE/ de études des Département du Directeur

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’nvriéd a tdsPy el’Adour, de Pays des et Pau de l’Université à g

est

a aqe eCacheux, Le Jacques par rfserd’économie Professeur i

o n e ope sociaux comptes des

ac

t io lcutosma Fluctuations réooiuse équilibre et croéconomiques n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

oe elcue231 lecture de Notes

elE3 229 l’EN3S de

sprl eted documentation de Centre le par és sélectionn Ouvrages

4

.

BIBLIOGRAPHIE

éd ens1209 1 Rennes de té l’Universi à privé droit en

e,Mîr econférences de Maître ner, Moisdon-Chataig Sylvie et

’nvriéd ens1 Rennes de l’Université à privé droit de Professeur

’HS,Mro e Sol, Del Marion l’EHESP, à sociale Protection la de et

inn nÉooi el santé la de Économie en eignant Ens André, Jean-Marie par

orl oiaié? solidarité la pour s implication quelles

ecmlmnar : complémentaire ie malad assurance et

r suac aai obligatoire maladie assurance tre en L’articulation

otanse193 Montparnasse l’Institut et

iac a l’EN3S par financé R AP Grenoble. de Université

cnmed Grenoble, de Économie n e Recherches de Centre au

nsine économiques sciences en Doctorante Brunat, Marion et

ed conférences, de re Maît Fargeon, Valérie par

iu critique lieux

dctusdsoils–Éa des État – disponibles ndicateurs i et d’information

aFac Systèmes – la e d développement au et

td ’suac at l à santé l’Assurance de et économique croissance a

n nls el contribu la de analyse Une ind etu el santé la de secteur du tion

oil RI)165 (REIF) sociale Sécurité de européenne

per inapè el’Union de auprès tion représenta la de manent

e lv elE3,Délégué l’EN3S, de élève ien anc Filhon, Guillaume par

néirescaee éahmn européen détachement et sociale Ingénierie

rencontres

ensei 3 g . nemen

t g ACTEURS DES REGARDS est i o n ac t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

COMPOSITION DU COMITÉ DE RÉDACTION

☞ M. Gérard ARCEGA, Président honoraire de l’Association des anciens élèves de l’EN3S, Directeur évaluateur – CNAMTS ☞ M. Gilles ARZEL, Directeur évaluateur – CNAMTS ☞ M. Jean-François CHADELAT, Inspecteur général des Affaires sociales, Directeur du Fonds de financement de la CMU ☞ M. Alain CHAILLAND, Conseiller Référendaire à la Cour des Comptes ☞ M. Julien DAMON, Professeur associé à Sciences-Po ☞ M. Christophe DEMILLY, Directeur de la Caisse d’Allocations Fami- liales de la Gironde ☞ M. Pascal ÉMILE, Directeur de la CARSAT (Caisse de Retraite et de Santé au Travail) du Centre ☞ M. Philippe GEORGES, Inspecteur général des Affaires sociales ☞ M. Gilles HUTEAU, Directeur de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de la Somme ☞ M. Dominique LIBAULT, Directeur de l’EN3S, Vice-président du Haut Conseil du financement de la Protection sociale ☞ M. Xavier PRETOT, Conseiller à la Cour de Cassation, Professeur associé à l’Université Panthéon-Assas (Paris II) ☞ M. Vincent RAVOUX, Directeur général de l’URSSAF de Paris et de la région parisienne ☞ M. Jean-Louis REY, Chef de service adjoint au Directeur de la Sécurité sociale Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé Pour consulter les derniers numéros parus et/ou commander

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Tél. 04.77.81.15.15 – Fax 04.77.81.15.00

le ia c c o o s te t de a L

SOCIALE

DE LA PROTECTION LA DE LES ÉVOLUTIONS LES

rencontres ensei g nemen t g est i o n ac t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

Introduction

La dette sociale : voilà un sujet, que l’on aurait préféré ne pas avoir à traiter, mais qui s’impose à nous comme un sujet majeur, dans une période où les finances sociales sont le premier poste des dépenses et des recettes publiques et où l’impérieuse nécessité de mettre fin à la hausse perpétuelle de la dette publique devient enfin une évidence sous la pression des marchés. Les différents articles livrés ici donnent sans doute la vision la plus complète qui puisse être proposée sur la genèse, l’actualité de la dette sociale et la façon dont elle transforme les missions et métiers de la Protection sociale en l’occurrence l’ACOSS. Cet examen pointilliste ne se veut pas – en tout cas, pas exclusi- 9 vement ! – un exercice d’auto-flagellation : l’extinction de la dette sociale n’est pas une chimère, et en cas de réussite, la France récupérerait une capacité de ressources de 12 milliards d’ à redéployer ! Voilà qui devrait être un motif supplémentaire pour consacrer tous les efforts au rééquilibrage des comptes sociaux.

Dominique Libault Directeur de l’EN3S La dette sociale : des origines à nos jours Jean-François Chadelat Inspecteur général des Affaires sociales Directeur du Fonds de financement de la CMU

Introduction

On a coutume de dire « Bis repetita placent », mais « ter placent » moins et « sexies ne placent », plus du tout. Si le transfert de la dette sociale à une structure spécifique dédiée peut être considéré comme une solution adéquate et justifiée, force est de constater que le transfert régulier 10 et systématique, à une cadence d’une fois tous les deux ou trois ans, constitue un dévoiement manifeste de l’idée d’origine et un ensemble d’opérations éminemment critiquables, qui n’ont pour seule excuse que d’être une solution de facilité.

I. La préhistoire de la CADES

Avec le premier choc pétrolier de 1973, la France et l’ensemble du monde ont quitté la période des Trente glorieuses, pour rentrer dans ce que l’on appelle les Trente piteuses. Grâce à une croissance de la richesse nationale de 6 % par an, les finances sociales étaient équilibrées, et cet enrichissement a même pu conduire notre Protection sociale au très haut niveau qui est le sien. Avec une croissance moyenne d’un peu moins de 2 % la Sécurité sociale s’est enfoncée dans la crise. Les déficits ont succédé aux déficits. Les plans de financement ont succédé aux plans de financement. À un point tel que les journalistes n’arrivaient plus à les numéroter. S’agit-il du 18e plan ou du 24e ? Jusqu’en 1993, ces plans se sont caractérisés par des hausses importantes de cotisations et des mesures d’économies, pour leur part plus timides. L’injection de recettes supplémentaires avait pour effet de

ovnbe e éiisscaxsacmlrn.Àléé19,l Premier le 1995, l’été À s’accumulèrent. sociaux déficits les convenable,

ilsane 94e 95frn elsd eoràuecroissance une à retour du celles furent 1995 et 1994 années les si

ilane19 u el ’n rs cnmqetè rv tmême et grave très économique crise d’une celle fut 1993 l’année Si

I anisned aCADES la de naissance La II.

organisée.

sociale d’assister venons Nous apeir ers edette de reprise première la à

68mlirsd’euros. milliards 16,8

ave 94 lye vi or10mlirsd rns soit francs, de milliards 110 pour avait en y Il 1994. janvier etl 1 le ment

er

od ovleetcé eFnsd oiaiéVeles éofficielle- né – Vieillesse Solidarité de Fonds le – créé nouvellement fonds

ernr a ’tte ’nfieasrrl ebusmn ’ttprun par l’État à remboursement le assurer faire d’en et l’État par reprendre

aScrt oil e ’curnecled éiegnrl,d afaire la de général), régime du celle l’occurrence (en sociale Sécurité la

ncml eto nul nscn iu ndcd ’prrl et de dette la d’apurer décida on lieu, second En annuel. trou le comble on

ére 91 ’s eqelo etaplrueato u efu : flux le sur action une appeler peut l’on que ce c’est ; 1991) février e1 le

er

’br n ased aCGd , on el vi t créée été avait (elle point 1,3 de CSG la de hausse une D’abord

ei usjtd e ril,i atntrdu dispositions. deux noter faut il article, cet de sujet au tenir

oéaer n rsiprat éom e erie.Mi,pu s’en pour Mais, retraites. des réforme importante très une modérateur,

une epa oprate fe n ased iqpit uticket du points cinq de hausse une effet en comportait plan Ce quente.

emsrsdn apré oaeéatfnnirmn lsqeconsé- que plus financièrement était totale portée la dont mesures de

11 eguenmn eM aldrdcd,àléé19,u ensemble un 1993, l’été à décida, Balladur M. de gouvernement Le

pr,mjr ’ndfct19 xrmmn motn ui ali combler. fallait qu’il important extrêmement 1993 déficit d’un majoré apuré,

et or assetrtov vcu éii uué–19 t19 non – 1992 et 1991 – cumulé déficit un avec retrouvé s’est pays notre ment,

e lcin upitms19 vi i nsmeltu lnd finance- de plan tout sommeil en mis avait 1993 printemps du élections des

ao rsfre ’fe ecsaxftvoet om esrrî l’approche surcroît de Comme violent. fut ciseaux de l’effet forte, très façon

aail tgée,mm ilsdpne oilsnotpscude cru pas n’ont sociales dépenses les si même et, stagné a salariale

osdpi afnd ager,l I nvlm t éai.L masse La négatif. été a volume en PIB le guerre, la de fin la depuis fois

’né 93mru npeirtunn.E fe,pu apremière la pour effet, En tournant. premier un marque 1993 L’année

in e5o e1 umois. du 15 le ou 5 le – tions

nlatned eotrae e céne efre etésd cotisa- de rentrées fortes de échéances les avec remonter de l’attente en

otdcismns–preepel aeetdsrtatsl umi – mois du 9 le retraites des paiement le exemple par – décaissements fort

’CS egrrdsaacsd rsrre obatlsproe de périodes les comblant trésorerie, de avances des gérer de l’ACOSS

ovninae aCis e éôse osgain emtatà permettait consignations et dépôts des Caisse la avec convention rencontres Une ». raisonnable bancaire découvert « d’un limite la dans restait positive,

ensei éiegnrl rssuetngtv,mi us parfois aussi mais négative, souvent très général, régime

g nemen mêhi ’cuuaindsdfct.L rsrredu trésorerie La déficits. des l’accumulation empêchait

t

g recettes autres et cotisations des continue hausse Cette est SOCIALE

i

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DE LA PROTECTION LA DE nevni nmynedueàdxhi ospu tard. plus mois dix-huit à douze moyenne en intervenait

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t qui suivant plan jusqu’au tenir de et déficit le combler io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

epnaiielsuaes». usagers les responsabilise

eet rpe elt o aatr xetonl aiiesnetnto et extinction son facilite exceptionnel, caractère son reflète propre, recette

etd adtescaedn n tutr pcfqefnné a une par financée spécifique structure une dans sociale dette la de ment

aCu e ope ern et iine niun u ecantonne- le « : que indiquant en vision cette reprend comptes des Cour La

’xrsind ’uooiaind aScrt oil i--i el’État. de vis-à-vis sociale Sécurité la de l’autonomisation de l’expression

ci ’ninsntu li asle acéto el AE traduit CADES la de création la Vasselle, Alain sénateur l’ancien écrit

ilus et et s néredn e ope elÉa.Cmel’a Comme l’État. de comptes les dans intégrée est dette cette Ailleurs,

orl rainduesrcueséiiu orgrrl et sociale. dette la gérer pour spécifique structure d’une création la pour

aFac s ndsrrspy,e asduel el vi opté avoir à seul, le doute sans et pays, rares des un est France La

elmn el refinancer. la de seulement

rsrqinapsmsinn biaindaue adted ’ttmais l’État de dette la d’apurer obligation ni mission pas n’a qui Trésor

uo u oféaéérmoré,àl ifrned ’gneFrance l’Agence de différence la à remboursée, été a confié a lui qu’on

rvsiee ui oainàdsaatedslr u adtesociale dette la que lors dès disparaître à vocation a qu’il et provisoire

aCDSetu tbismn ulc oti s inpéiéq’lest qu’il précisé bien est il dont public, établissement un est CADES la ●

aCD pcfqeetcéeàcteocso tpu esu be ; objet seul ce pour et occasion cette à créée spécifiquement CRDS la

e iacrpru rdtrmoral ,lmt asl ep.C’est temps. le dans limité », remboursable crédit « un par financer les

edmne exqiotbnfcéd e éesscuatsde courantes dépenses ces de bénéficié ont qui ceux à demander de

atsnncuetsprdsrcte.I s paulgtm tnormal et légitime apparu est Il recettes. des par couvertes non rantes

adtescaen orsodq’ ’cuuaind éesscou- dépenses de l’accumulation qu’à correspond ne sociale dette la ●

uTat eMatih ; Maastricht de Traité du

s diinépu omrl et ulqeqelo omtaxcritères aux soumet l’on que publique dette la former pour additionné est

12

el et elÉa.Mm i i--i e ntne uoéne,tout européennes, instances des vis-à-vis si, Même l’État. de dette la de

adtescaeetttlmn slee,e atcle,el s distinguée est elle particulier, en et, isolée totalement est sociale dette la ●

ru irs: titres breux

essèemse lc s atclèeetoiia enom- de à original particulièrement est place en mis système Le

oil (CRDS). Sociale

ismn,isar aCnrbto orl ebusmn el Dette la de Remboursement le pour Contribution la instaure tissement,

AE,fx emnatd adtetaséé tssmdltsd’amor- modalités ses et transférée dette la de montant le fixe CADES,

65 u2 ave 96qicé ocla donc crée qui 1996 janvier 24 du 96-50 ’s ’ronnen l’ordonnance C’est

o

asedAotseetd aDteScae(CADES). Sociale Dette la de d’Amortissement Caisse

’optlsto,lscnetosdojcise egsin. tasila aussi et gestion... de et d’objectifs conventions les l’hospitalisation,

eDpne ’suac aai ODM,lsaecsrgoae de régionales agences les (ONDAM), Maladie d’Assurance Dépenses de

aLid iacmn el éuiéScae(FS,lOjci National l’Objectif (LFSS), Sociale Sécurité la de Financement de Loi la 5nvmr 95 ’ùdcuèetlsodnacsd 96qicréèrent qui 1996 de ordonnances les découlèrent d’où 1995, novembre 15 rencontres

ensei ice ’s edsor odtu du fondateur discours le C’est siècle. oil uXXI du sociale

e

g nemen ’moat lsaisi epsrlsjln el Sécurité la de jalons les poser de s’agissait Il s’imposait.

t

uuerfredesml td rsgad ampleur grande très de et d’ensemble réforme qu’une g est SOCIALE

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DE LA PROTECTION LA DE otne orl im osd omtruebèh mais brèche une colmater de fois nième la pour contenter

LES ÉVOLUTIONS LES

ac iiteAanJpécniéaq’ln ali lsse plus fallait ne qu’il considéra Juppé Alain ministre t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

tc u atosèerpied dette. de reprise troisième la fut ce Et

rlné ecn nés a nnaatpsaget e recettes. ses augmenté pas n’avait on Car années. cinq de prolongée

etu or1, ilad ’uo.L ué eved aCDSftalors fut CADES la de vie de durée La d’euros. milliards 13,3 pour tout le

upéetied 96 eu e19 tl éii rvsonld 1998, de prévisionnel déficit le et 1997 de celui 1996, de supplémentaire

ave 98 edéficit le 1998, janvier ocd ar ernr a aCDS u1 au CADES, la par reprendre faire de donc

er

êerionmn u eu ’li up,du n lstt ldécida Il tôt. plus ans deux Juppé, d’Alain celui que raisonnement même

or19,éatisfiat.L ovreetd inlJsi itle tint Jospin Lionel de gouvernement Le insuffisante. était 1996, pour

arpied et e19,be uel i nér ndfctprévisionnel déficit un intégré ait qu’elle bien 1996, de dette de reprise La

oiiu,c u ’ti a ecsdsdfct td eraccumulation. leur de et déficits des cas le pas n’était qui ce politique,

vclséetosd 97 eguenmn vi hnéd couleur de changé avait gouvernement le 1997, de élections les Avec

I.U éu d’habitude début Un III.

et oil éod usu ar urgm général. régime du cadre seul du déborde sociale dette

teaedtqes len asi a paateqel rbèed la de problème le que apparaître pas faisait ne elle si anecdotique être

orcurrssdfct e19 t19.Ctetosèemsinpourrait mission troisième Cette 1996. et 1995 de déficits ses couvrir pour

ntosèele aCDSvra40mlin ’uo aCANAM la à d’euros millions 450 versa CADES la lieu troisième En

demment.

iso u vi t sinea S,cmenu ’vn uprécé- vu l’avons nous comme FSV, au assignée été avait qui mission

ovatlsdte uuésd éiegnrljsue 93 ’s la C’est 1993. jusqu’en général régime du cumulées dettes les couvrait

13

hqeanepu ebusrleputd 68mlirsdersqui d’euros milliards 16,8 de l’emprunt rembourser pour année chaque

nscn iu aCDSetàvre ’tt19mlir d’euros milliard 1,9 l’État à verser à eut CADES la lieu, second En

tc u aduim ers edette. de reprise deuxième la fut ce Et

or19 or26mlirsd’euros. milliards 2,6 pour 1996 pour

94e 95àhuerd 83mlirsderse edfctprévisionnel déficit le et d’euros milliards 18,3 de hauteur à 1995 et 1994

et uué urgm ééa orsodn u éiisdsexercices des déficits aux correspondant général régime du cumulée dette

u,e rme iu mri,sruedrelmteàtez nés la années, treize à limitée durée une sur amortir, à lieu, premier en eut,

ucmecmn aCDSdn adsaiinéatfxeà2009 à fixée était disparition la dont CADES la commencement Au

et iuto.Cetu ane lrée ndmcai incontestable. démocratie en et clarté en gain un C’est situation. cette à

aLS,smtiu el o efnne orlÉa,apri eremédier de permis a l’État, pour finances de loi la de symétrique LFSS, la

el ain et iuto ti bud tcoune acéto de création La choquante. et absurde était situation Cette Nation. la de

esn etsfuté en a ovi epoocrsrl ugtsocial budget le sur prononcer se pouvoir pas ne de frustrés sentis sont se rencontres l’État de budget le votent qui parlementaires les décennies trois Pendant

ensei uPBe utu 0%d lsqel ugtd l’État. de budget le que plus de % 70 surtout et PIB du

g nemen et efçntè motnejsuàrpéetr3 % 30 représenter jusqu’à importante très façon de menté

t

g aug- ont Celle-ci sociale. Protection la de dépenses les est SOCIALE

i

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DE LA PROTECTION LA DE rnsesmlspicpu e éessd ’ttet l’État de dépenses les : principaux ensembles grands

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t deux a y il publiques dépenses des masse la Dans io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

iacrnsdpne orne ’uor’u a o nat tnos et enfants nos par d’aujourd’hui courantes dépenses nos financer

’logmn es ué eve el ti é aciiu osfaisons Nous « : critique la née était là De vie. de durée sa de l’allongement

uatqed ovle esucslisi ofés otagatanià ainsi contraignant confiées, soit lui ressources nouvelles de que autant

et AE oto hrei ytmtqeetl aqe aspour sans barque, la systématiquement chargeait on dont CADES cette

rftn ecteli e almnarssueèetl rbèede problème le soulevèrent parlementaires des loi, cette de Profitant

rsbe atprl o raiu u2aû 2005. août 2 du organique loi la par fait bien très

lsetaééncsar ’mloe ecneud etp eli efut Ce loi. de type ce de contenu le d’améliorer nécessaire avéré s’est il

u osrieuetleprmd epuats ar nuefi.Àl’usage, À fois. une en faire se pouvait ne pyramide telle une construire que

ersneu mes rgè asl éorte asi s inévident bien est il Mais démocratie. la dans progrès immense un représente

elhsor el éuiéscae a acaiiainq’leoèe et opère, qu’elle clarification la par sociale, Sécurité la de l’histoire de

iacmn el éuiéscaecntteuedspu rne étapes grandes plus des une constitue sociale Sécurité la de financement

efi ated exqicnièetqel raind alide loi la de création la que considèrent qui ceux de partie fais Je

V etunn el o raiu e2005 de organique loi la de tournant Le IV.

04 assmlmn osu oslsdfct eaetapurés. seraient déficits les tous lorsque simplement mais 2014,

’xicindtrié.L AE edsaasatpu n20 uen ou 2009 en plus disparaissait ne CADES La déterminée. d’extinction

ri,cn udxas asq’lnéattu ipeetpu rv edate de prévu plus simplement tout n’était qu’il mais ans, dix ou cinq trois,

osaèetqelo ’logatpsl ué eved aCDSde CADES la de vie de durée la pas n’allongeait l’on que constatèrent

’prto olv n éial rna ’s osu e parlementaires les lorsque c’est bronca, véritable une souleva l’opération

u1 ot20.Clec rlne adred i el AE.L où Là CADES. la de vie de durée la prolongea Celle-ci 2004. août 13 du 14

u ocrec.Mi en u a ecoxqiftrtn a aloi la par retenu fut qui choix le pas fut ne ce Mais concurrence. due à

iuu,lacpe ilsrsore el AE vin t augmentées été avaient CADES la de ressources les si l’accepter rigueur,

etlsdfct tlu cuuainvr aCDS nari u la à pu, aurait on CADES, la vers accumulation leur et déficits les ment

êesi eeatd lse lscnetbed rnfrrsystématique- transférer de contestable plus en plus de devenait s’il même

el atdspreetie,qe u û erbr oiiu.E effet, En politique. bord leur fût que quel parlementaires, des part la de

lfu ieqecteqarèeoéainrçtu cui lttfrais plutôt accueil un reçut opération quatrième cette que dire faut Il

tc u aqarèerpied dette. de reprise quatrième la fut ce Et

éii 05e , ilad ’uo edfct2006. déficit de d’euros milliards 6,0 et 2005 déficit

néius o obé,axul narjué83mlirsdersde d’euros milliards 8,3 rajouté a on auxquels comblés, non antérieurs,

edtepu 5mlirsderse 04 uttedsdfct 04et 2004 déficits des titre au 2004, en d’euros milliards 35 pour dette de

04 eaieàlAsrnemlde opi-leueoéaind reprise de opération une comprit-elle maladie, l’Assurance à relative 2004,

usind ’cuuaind anuel et.Anil o u1 août 13 du loi la Ainsi dette. nouvelle la de l’accumulation de question ac aai itefnàloded or upitms20,s oala posa se 2004, printemps au jour, du l’ordre à enfin vint maladie rance rencontres

ensei u«to el éu» è os un esjtd l’Assu- de sujet le quand lors, Dès ». Sécu la de trou « du

g nemen e nés20 t20 aeèetsrl rsechemin triste le sur ramenèrent 2003 et 2002 années les

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ééa esaiia éatd ’mloe.E revanche, En s’améliorer. de défaut à stabilisa, se général g est SOCIALE

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DE LA PROTECTION LA DE t20 u rsu ovnbe astaind régime du situation La convenable. presque fut 2001 et

LES ÉVOLUTIONS LES

ac a hneo a aad acosac n2000 en croissance la hasard, par ou chance Par t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

éess(lsdalctosd hmg) epuatqecnur le à conduire que pouvait ne chômage), de d’allocations (plus dépenses

usui s rpéàl ossrssrcte misd aars tsrses sur et salaires) de (moins recettes ses sur fois la à frappé est puisqu’il

im ePoeto oil epu esbeàuecieéconomique, crise une à sensible plus le sociale Protection de nisme

iiurlsrsore uFV lr ui s,cmelUEI,l’orga- l’UNEDIC, comme est, qu’il alors FSV, du ressources les Diminuer

at eu ertrr02pitd S uFVpu e onràl CADES. la à donner les pour FSV au CSG de point 0,2 retirer de Celui fait.

o o ’niu,pu ebusrl et oil.U ur hi fut choix autre Un sociale. dette la rembourser pour l’indique, nom son

’nagettl RS et esuc t neftcée comme créée, effet en été a ressource Cette CRDS. la augmentât l’on

srtsml,to ipe algqel lsééetieari ol que voulu aurait élémentaire plus la logique La simple. trop simple, esprit

asduesi-e om ’ilusnmr epreetie,un parlementaires, de nombre d’ailleurs comme suis-je, doute Sans

esuc supplémentaire. ressource

avlu osiuinel el o raiu.I ali ocliafce une affecter lui donc fallait Il organique. loi la de constitutionnelle valeur la

assepsràl esr ucnelcntttonl opetn de tenu compte constitutionnel, conseil du censure la à s’exposer sans

ln ovi teqeto ’logrl ué eved aCADES, la de vie de durée la d’allonger question être pouvait ne Il

tc u acnuèerpied dette. de reprise cinquième la fut ce Et

aiu e2 ilad d’euros. milliards 27 de maximum

ééa,aniqeclid od eSldrt iilsepu nmontant un pour Vieillesse Solidarité de Fonds du celui que ainsi général,

ernr e éiiscmlsdsbace aai trtat urégime du retraite et Maladie branches des cumulés déficits les reprendre

’ril 0d aLS or20 occag aCDSde CADES la chargé donc a 2009 pour LFSS la de 10 L’article

eusprcn osàl aseetespebe20 tfvir2009. février et 2008 septembre entre baisse la à fois cinq par revues

motn u rv tlsprpcie cnmqe e20 furent 2009 de économiques perspectives les et prévu que important

et esu aoiu eoràléulbe e«to e20 u inplus bien fut 2008 de » trou « le l’équilibre, à retour laborieux un vers ment,

15 érsind 99 lr u aScrt oil vnat etslente- certes avançait, sociale Sécurité la que Alors 1929. de dépression

lsgaecieéooiu u emneatcnu eusl grande la depuis connue ait monde le que économique crise grave plus

orsnmler aScrt oil u avcieidrced la de indirecte victime la fut sociale Sécurité la malheur, son Pour

atfilt,l AE eatpu-ternredn edotchemin. droit le dans rentrée peut-être serait CADES la faillite, fait

umi espebe20,l aqeLhanBohr ’vi pas n’avait Brothers Lehmann banque la 2008, septembre de mois du

ilane20 ’vi a on edfcte utu,s afin la à si surtout, et déficit de connu pas n’avait 2007 l’année Si

.UeCis asfnse asfond sans et fonds sans Caisse Une V.

06icu,aaetéérpi tcnonsdn aCADES. la dans cantonnés et repris été avaient inclus, 2006

êes enetpsgoiu,a on oslsdfct,jusqu’à déficits, les tous moins au glorieux, pas n’est ce si Même

ntaie lv et ipsto unva organique. niveau au disposition cette élevé initiative, rencontres propre sa de a, constitutionnel conseil Le ». sociale dette la de tissement

ensei eetspretn en a crîr adred’amor- durée la accroître pas ne de permettant recettes

g nemen aCDSetacman ’n umnaindes augmentation d’une accompagné est CADES la à

t

g dette de transfert nouveau tout « que dispose article Cet est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ot20 u oii ’ronned 4jnir1996. janvier 24 du l’ordonnance modifie qui 2005 août 2

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t du loi la de 20 l’article voté fut Aussi, ». petits-enfants io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

prto om tn aspim ers edette. de reprise septième la étant comme opération

’s,sn ot,prtmdt u en einri a et nouvelle cette pas retiendrais ne je que timidité par doute, sans C’est,

éiiscmtbe e nés20 t21 or247mlin d’euros. millions 467 2 pour 2010 et 2009 années des comptables déficits

uuéd , ilad ’uo.L FS21 rnfr aCDSles CADES la à transfère 2012 LFSS La d’euros. milliards 3,8 de cumulé

iilsedsepotnsarclssettov i 01ae ndéficit un avec 2011 fin à trouvé s’est agricoles exploitants des vieillesse

rnfratl AS nFIS,pi nsprmn eFIS,l régime le FFIPSA, le supprimant en puis FFIPSA, en BAPSA le transformant

iacmn urgm ePoeto oil e xliat gioe,en agricoles, exploitants des sociale Protection de régime du financement

ergm ééa.Prcnr ebde elÉa ’tn éegg du désengagé s’étant l’État de budget le contre Par général. régime le

vcl FSpu 02 lnyapsd ers edfctpour déficit de reprise de pas a n’y il 2012, pour LFSS la Avec

el aedetnto el CADES. la de d’extinction date la de

edte lari t us ntutfd uéoe e eot successifs reports les numéroter de instructif aussi été aurait il dette, de

pè vi uéoéa i upéetatcelsdféetsreprises différentes les article présent du fil au numéroté avoir Après

at e22 2025. à 2021 de fait,

efnd i el AE,c u eo e acl oni nrpr de report un donnait calculs les selon qui ce CADES, la de vie de fin de

ers edte nrpusn eqar nésl aeprévisionnelle date la années quatre de repoussant en dette, de reprise

ocatrs,àttedrgtie aLS or21 raie cette organiser à 2011 pour LFSS la dérogatoire, titre à autorisé, donc

0018 u1 oebe21 a 2010 novembre 13 du 2010-1380 el e20.L o raiu n organique loi La 2005. de celle

o

è os lflu eorràuenuel o raiu ormodifier pour organique loi nouvelle une à recourir fallut il lors, Dès

éense ’nmnatprévisible. montant d’un et pérennes

xgn nmtèed eets npéiatqecle-idietêtre doivent celles-ci que précisant en recettes, de matière en exigent

u2aû 05 eidatn u ecnelcntttonlaéétrès été a constitutionnel conseil le que d’autant Ceci 2005. août 2 du

16

rue e eetsdu ieuéuvln orrsetrl o organique loi la respecter pour équivalent niveau d’un recettes des trouver

n ers edtepu ntlmnatrnatipsil de impossible rendait montant tel un pour dette de reprise Une

tc u asxèerpied dette. de reprise sixième la fut ce Et

elmn at asvrtbeetpulvérisé. véritablement mais battu seulement

3 ilad ’uo.E air erpied et,l eodetnon est record le dette, de reprise de matière En d’euros. milliards 130

uttl aLS or21 raieuerpied et pour dette de reprise une organise 2011 pour LFSS la total, Au

oa ecshi nése asl iieanel e1 ilad d’euros. milliards 10 de annuelle limite la dans et années huit ces de total

éid 01à21 nlsdn almt e6 ilad ’uo orle pour d’euros milliards 62 de limite la dans inclus 2018 à 2011 période

rvi u aCDSrpedlsdfct el NVe uFV ela de FSV, du et CNAV la de déficits les reprend CADES la que prévoit

esmnse e éuaiain otfxsprdce.C êeatce9 article même Ce décret. par fixés sont régularisations les et versements

NF asl iied 8mlirsders e otns e ae de dates les montants, Les d’euros. milliards 68 de limite la dans CNAF,

td S,aniqelsdfct rvsonl 01d aCA tla et CNAM la de 2011 prévisionnels déficits les que ainsi FSV, du et

aCDSlsdfct 09e 00d aCA,d aCA,d aCNAF la de CNAV, la de CNAM, la de 2010 et 2009 déficits les CADES la rencontres ’ril el FSpu 01fi ernr par reprendre fait 2011 pour LFSS la de 9 L’article ensei

g nemen a n ers edette. de reprise une par

t

al,cmenu losl or obe enouveau de combler voir, le allons nous comme fallu, a g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE 09aces uFVu ééulbeecpine,qu’il exceptionnel, déséquilibre un FSV au creusé a 2009

LES ÉVOLUTIONS LES

ac etee éii.Laperecpinel el rs en crise la de exceptionnelle L’ampleur déficit. en mettre t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

. Venise de

rnas edne n ir ecar om noi dans Antonio comme chair, de livre une donner de français, eMarchand Le

lm eatifnmn éaral ’teolg,cmecontribuable comme obligé, d’être désagréable infiniment serait me Il

oteputràdstu srie u ’uatpsrnéShylock. renié pas n’aurait que usuraires taux des à emprunter doit

ir.Date tt nfn uor’u aculeeprec.L Grèce La expérience. cruelle la aujourd’hui font en États D’autres ciers.

lsq’ln an.Vveàcéi,cets eteàl ec esscréan- ses de merci la à mettre se c’est crédit, à Vivre gagne. ne qu’il plus 17

om ’ilusu éae epu ir ualmn ndépensant en durablement vivre peut ne ménage, un d’ailleurs comme

lrlv usml o esq’nÉtat, qu’un sens bon simple du relève Il facto. de s’appliquer doit elle

otisrt asl osiuin usmlmn aslsepisd chacun, de esprits les dans simplement ou Constitution, la dans inscrite soit

en ’vnueaspsdn edbtsr«l èl ’r» Qu’elle ». d’or règle la « sur débat le dans pas m’aventurerais ne Je

orcsdu ase tcsqar nés e2, ilad d’euros. milliards 21,8 de années, quatre ces et Caisses deux ces pour

u ori e rvsosjsue 05 ataprîr ndsqiir total, déséquilibre un apparaître fait 2015, jusqu’en prévisions des fournit qui

orlsane 02e uvne.O,lanx uPFSpu 2012, pour PLFSS au B l’annexe Or, suivantes. et 2012 années les pour

urmn orcu el NFe utu el NM innetprévu n’est Rien CNAM. la de surtout et CNAF la de ceux pour autrement

éiisd aCA td S,a on uq’n21,i nv tout va en il 2018, jusqu’en moins au FSV, du et CNAV la de déficits

hoiumn npu osdrrqelo s rnulesaisn des s’agissant tranquille est l’on que considérer peut on théoriquement

lya ’ilus n osaainetêeetsml ar si : faire à simple extrêmement constatation une d’ailleurs, a, y Il

’ursrpie edtesn eatnous. devant sont dette de reprises d’autres

rencontres que tromper se de nul quasi risque un avec extrapolerait averti, moins ensei le même probabiliste, le précède, qui ce tout De

g nemen ocuinpu emnrctarticle. cet terminer pour conclusion

t

g de titre le d’utiliser avant hésité longtemps J’ai est SOCIALE

i o n DE LA PROTECTION LA DE

LES ÉVOLUTIONS LES ac t Conclusion io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é La dette sociale aujourd’hui Carole Bousquet Chef du bureau 5A – Synthèse financière Direction de la Sécurité sociale

Constituée des déficits cumulés des organismes de Sécurité sociale, parmi lesquels principalement le régime général et le Fonds de Solidarité Vieillesse (FSV), la dette sociale, apparue dans le cadre de la récession de 1993, bénéficie d’un traitement particulier : cantonnée au sein de la Caisse d’Amortissement de la Dette Sociale (CADES) depuis 1996, elle a vocation, de façon tout à fait spécifique par rapport à la dette des autres administrations publiques, à être apurée sur une durée limitée, pour éviter le report sur les générations futures du coût de notre système de Protection sociale actuel. 18 Graphique 1. Les déficits des différentes branches du régime général depuis 1990 (en milliards d’euros)

Source : Direction de la Sécurité sociale / SD6.

Depuis sa création jusqu’à fin 2011, ce sont ainsi 202 milliards d’euros qui ont été au total effectivement transférés à la Caisse et déjà 30 % de ces sommes qui ont été remboursées.

et enèeq’l evn oiie e esucsetre,sachant externes, ressources des mobiliser peuvent qu’ils dernière cette

aScrt oil tdn ersetdslmtsqatttvspse par posées quantitatives limites des respect le dans et sociale Sécurité la

acniinq’aiiainlu i t onee o efnneetde financement de loi en donnée été ait leur qu’habilitation condition la

’mrn.E plcto e èlsd agognqe enetqu’à n’est ce organique, rang de règles des application En l’emprunt.

a rnie e éie ebs esn a uoié eorrà recourir à autorisés pas sont ne base de régimes les principe, Par ●

epltg e iacsscae : sociales finances des pilotage le

et itnto s ’ilusttlmn tutrnee ri tdans et droit en structurante totalement d’ailleurs est distinction Cette

eto epu ualmn nobraxrgmseux-mêmes. régimes aux incomber durablement peut ne gestion

avraind yl cnmqe ecu epu ogtredn la dont terme long plus de ceux de économique, cycle du variation la à

asu etu u oeu ôeipratd tblstu uoaiu – automatique stabilisateur de important rôle un joue qui secteur un dans

e éiisd or em,dn ajsiiainpu ei tc ’uatplus d’autant ce et – tenir peut justification la dont terme, court de déficits les

éopinmcnqe urmn i,i ’gtl efiel itnto entre distinction la faire de là s’agit il dit, Autrement mécanique. résorption

imscnorn erfnneetqin orotfielojtd’une l’objet faire pourront ne qui financement leur à concourant nismes

oinrcur e éiiscmlsdsrgmsd aee e orga- des et base de régimes des cumulés déficits les recouvre notion

u ati nedepr«dtescae»?Casqeet cette Classiquement, ? » sociale dette « par entendre faut-il Que

e oesncsarsàsnamortissement son à nécessaires moyens des

a aCDSdn amsr ùel el dispose seule elle où mesure la dans CADES la par

adtescaeetajudhipicplmn portée principalement aujourd’hui est sociale dette La

ual a ’mrn etov è osacn utfcto économique. justification aucune lors dès trouve ne l’emprunt par durable

ot e éessqisn a auecuatse otl financement le dont et courantes nature par sont qui dépenses des porte 19

evlu osiuinel uetléulbed aScrt oil,laquelle sociale, Sécurité la de l’équilibre qu’est constitutionnelle valeur de

ectefçn lsaiaasid onrs liepré l’objectif à portée pleine sa donner de aussi s’agira il façon, cette De

o oio d’amortissement. horizon son

iu e21 u ’s ocuprlacoseetd uteane de années quatre de l’accroissement par conclu s’est qui 2010 de nique

etie n ’ilusrdttu eratceetlr el éom orga- réforme la de lors attachement leur tout redit d’ailleurs ont mentaires

’xsec oscnrit el AE,piooheàlqel e parle- les laquelle à philosophie CADES, la de contrainte sous l’existence à

ectefçn lsaiad eoe vcl hlspi sous-jacente philosophie la avec renouer de s’agira il façon, cette De

dpe e eue adaptées. mesures les adopter

otxeate,u a tegal.I ate éfimrl éest et nécessité la réaffirmer en faut Il atteignable. cap un actuel, contexte

uel e éie ebs eScrt oil,di osiur asle dans constituer, doit sociale, Sécurité de base de régimes des turelle

ern raiu,àsvi tidediiqeqe nésl et struc- dette la années quelques d’ici éteindre savoir à organique, rang de

ei et céne–qifi a iluslojtdueprotection d’une l’objet ailleurs par fait qui – échéance cette Tenir rencontres sociales. finances des effectif

ensei êeali ternu auu a eredressement le par caduque rendue être allait même

g nemen 96 uàêr n tutr rnior otl’existence dont transitoire structure une être qu’à 1996,

t

g en création sa de moment au vocation, n’avait celle-ci que est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE npéiin adt efnd i el AE,alors CADES, la de vie de fin de date la prévision, en

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t désormais, s’établit que horizon cet à c’est 2024, io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

u ulfelsbsiscuet ectefçnd o emnns». permanents non « de façon cette de couverts besoins les qualifie qui

u eCneldÉa ul uecntttonlnyvin nmnu ecnomt vcl et organique texte le avec conformité de manque un voient n’y constitutionnel juge le ou d’État Conseil le que

.Lspaod ’mrn oé nLS epurin tenr e ieu ascsecosat,sans croissants, cesse sans niveaux des atteindre pourraient ne LFSS en votés d’emprunt plafonds Les 1.

otn e25mlirsd’euros). milliards 2,5 de montant

n atlojtdu rnfr aCis nfndane21 pu un (pour 2011 d’année fin en Caisse la à transfert d’un l’objet fait ont

e éiis20 t21 urgm eriedsepotnsagricoles exploitants des retraite régime du 2010 et 2009 déficits Les ●

’oio 2018. l’horizon à

é n21,dn ’betféatclidu eoràléulbed système du l’équilibre à retour d’un celui était l’objectif dont 2010, en tée

àdacmanrl otee hred arfredsrtatsadop- retraites des réforme la de charge en montée la d’accompagner là

2mlirsderse almt nuled 0mlirsders ls’agissait Il d’euros. milliards 10 de annuelle limite la et d’euros milliards 62

iacmn el éuiéscaepu 01 asl iiegoaede globale limite la dans 2011, pour sociale Sécurité la de financement

uq’ 08etdoe tdj rgamee plcto el o de loi la de application en programmée déjà et d’ores est 2018 jusqu’à

rnh iilsed éiegnrle uFVpu aproecourant période la pour FSV du et général régime du Vieillesse branche

a niiain arpieporsieprl AE e éiisd la de déficits des CADES la par progressive reprise la anticipation, Par ●

osaé uq’ ’xrie21,otéétaséé aCADES. la à transférés été ont 2011, l’exercice jusqu’à constatés

axd oiainepoer)aniqed S,àsvi e déficits les savoir à FSV, du que ainsi employeurs) cotisation de taux

’qiir napiaind éaim niai efxto unva des niveau du fixation de incitatif mécanisme du application en l’équilibre

rnh TM,ctedrir yn oainàêr tutrleetà structurellement être à vocation ayant dernière cette AT-MP, branche

’nebedsdfct onsd éiegnrl(oscu ela de ceux (hors général régime du connus déficits des L’ensemble ●

oil 01e 02l iso ’mri : d’amortir mission la 2012 et 2011 sociale

t ucsieetcniedn e osd iacmn el Sécurité la de financement de lois les dans confiée successivement été

pee,dn ecded e ril,l et oil.Liaeffectivement a Lui sociale. dette la article, cet de cadre le dans appeler, 20

us,l AE ot culeetlesnild eqelo peut l’on que ce de l’essentiel actuellement porte CADES la Aussi,

edteprl Caisse. la par dette de

utpir inqeprosae neftrtr,lsoéain ereprise de opérations les retard, effet un avec parfois que bien multiplier,

epre ualmn ntéoei e otnsiprat odi à conduit a importants montants des trésorerie en durablement porter de

ttcnqepu e régimes les pour technique et exshrs ’mosblt afi juridique fois la à l’impossibilité sphères, deux

1

tutrl e éie esl AE,uecran ooiéeteces entre porosité certaine une CADES, la vers régimes des structurels

’leit,e ’bec erged rnfr uoaiu e déficits des automatique transfert de règle de l’absence en existe, S’il

ir ecnur n taéi cied’amortissement. active stratégie une conduire de ciers

om uu ur raim el éuiéscae e oesfinan- moyens des sociale, Sécurité la de organisme autre aucun comme

asndêr ’prmn ecsdfct oiu,e u ips ainsi, dispose qui et sociaux, déficits ces de l’apurement d’être raison

otlojt eus19,du rnfr aCDSqinacmeseule comme n’a qui CADES la à transfert d’un 1996, depuis l’objet, font

epuetêr pnaéetrsré npaehued yl,ils cycle, de haute phase en résorbés spontanément être peuvent ne

osu e éiisotmnfseetu aatr emnn,e qu’ils et permanent, caractère un manifestement ont déficits les Lorsque ● rencontres

ensei éutn ’n hs as ucceéconomique). cycle du basse phase d’une résultent

g nemen e naseet tlsdcismns otqu’ils soit décaissements, les et encaissements les

t

uistenn u éaae ntéoei entre trésorerie en décalages aux tiennent qu’ils g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE ebsisspoéet«nnpraet (soit » permanents non « supposément besoins de

LES ÉVOLUTIONS LES

ac a ilusqecle-idietasrrl couverture la assurer doivent celles-ci que ailleurs par t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

e20mlirsders(f ci-dessus). (cf. d’euros milliards 270 de

n t rnfrsàl AE i 01 u ’neop lbl votée globale l’enveloppe sur 2011, fin à CADES la à transférés été ont

erpied et,c ot22mlirsdersd éiiscmlsqui cumulés déficits de d’euros milliards 202 sont ce dette, de reprise de

napiaindsdsoiin éiltvsafrne u opérations aux afférentes législatives dispositions des application En

rnfrsàl AE,dn 0%sn éàamortis déjà sont % 30 dont CADES, la à transférés

lsd 0 ilad ’uo u n t effectivement été ont qui d’euros milliards 200 de plus

euss rainjsuàfn21,c sont ce 2011, fin jusqu’à création sa Depuis

sociétés.

u ocrec upoutd acnrbto oil esldrt u les sur solidarité de sociale contribution la de produit du concurrence due

edfctcmtbeetcmes ’uopè a n fetto à affectation une par près l’ à compensé est comptable déficit le

ulqed ’tt uecr urgm oildsidpnat dont indépendants des social régime du encore ou l’État) de publique

ais e éie ’mlyuséulbé a e enes(Fonction derniers ces par équilibrés d’employeurs régimes des ; marins)

a e uvnin elÉa SC,RT,rgmsdsmnse des et mines des régimes RATP, (SNCF, l’État de subventions des par

baceMlded éiedsmns e éie ertat équilibrés retraite de régimes des ; mines) des régime du Maladie (branche

ubnfcatdu rnfr utted acmesto démographique compensation la de titre au transfert d’un bénéficiant ou

e xliat,rgmsmldedsmltie,dscle tdsmarins...) des et cultes des militaires, des maladie régimes exploitants, des

iacèeeta éiegnrl(éie gioe osbaceRetraite branche hors agricoles (régimes général régime au financièrement

ifrnsmcnse esldrt.I netanidsrgmsintégrés régimes des ainsi est en Il solidarité. de mécanismes différents

e ope nul qiirso rce eléulbe nvrude vertu en l’équilibre, de proches ou équilibrés annuels comptes des

21

apuatdsate éie ebs rsnetprconstruction par présentent base de régimes autres des plupart La

00àhuerd , iladd’euros. milliard 0,5 de hauteur à 2010

CRC)qiaergsr ndfctane orl rmèefi en fois première la pour annuel déficit un enregistré a qui (CNRACL)

el aseNtoaed erie e gnsdsCletvtsLocales Collectivités des Agents des Retraites de Nationale Caisse la de ●

01e iladderspéiine n21); 2012) en prévisionnel d’euros milliard 1 et 2011

urgm iilsedsepotnsarcls(, iladdersen d’euros milliard (1,2 agricoles exploitants des vieillesse régime du ●

rvse 02prl FSpu 02 ; 2012) pour LFSS la par 2012 en prévus

e rnhsMldee ail urgm ééa 79mlirsd’euros milliards (7,9 général régime du Famille et Maladie branches des ●

tutrl éiul : résiduels structurels

culeetpssii asl éièr el AE elmtn u déficits aux limitent se CADES la de périmètre le dans saisis pas actuellement

ascscniin,lsmnat edtescaeqin sont ne qui sociale dette de montants les conditions, ces Dans

elu génération). leur de rencontres celle suivant l’année transférés seront 2011-2018 sur observés Vieillesse

ensei lsdéficits (les esr élseqeprogressivement que réalisée sera ne

g nemen ’uo,scatq’n ated etransfert ce de partie qu’une sachant d’euros,

t

g milliards 270 de près de total d’un celle-ci à est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE aerfnnirsca is oél transfert le voté ainsi a social financier lateur

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t légis- le CADES, la de création la Depuis io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

e182mlirsd’euros. milliards 138,2 de

nmnataot e7, ilad ’uo tu otn etn amortir à restant montant un et d’euros milliards 70,8 de amorti montant un

oped arpiedsdfct iilse21) u epraeaentre partagera se qui 2011), vieillesse déficits des reprise la de compte

otscoe glspraler rsd 0 ilad ’uo e tenant (en d’euros milliards 209 de près ailleurs par égales choses toutes

npéiinàfn21,l otn oa edtetaséé atteindra transférée dette de total montant le 2012, fin à prévision En

ore:Drcind aScrt oil SD5. / sociale Sécurité la de Direction : Source

Dette restant à rembourser en points de PIB de points en rembourser à restant Dette

Dette amortie en points de PIB de points en amortie Dette

Dette amortie en Md€ en amortie Dette

Dette restant à rembourser en Md€ en rembourser à restant Dette

0420 0620 0820 002011 2010 2009 2008 2007 2006 2005 2004

0,0

,%1,7% 1,6% 1,8%

1,8%

1,9%

20,0 2,2%

2,5%

40,0

60,0 3,0%

4,3%

4,0% 4,2% 3,9%

80,0 4,1%

4,8%

100,0 22

4,5%

120,0

140,0

7,1% 160,0

180,0

200,0

Montants en Md€ en Montants

rpiu .Dteaotee etn mri a aCADES la par amortir à restant et amortie Dette 2. Graphique

adtepbiu globale. publique dette la à

et 6%d I.L éuiéscaed aecnrbeanipu % 8 pour ainsi contribue base de sociale Sécurité La PIB. du % 86 sente

ieud adted ’nebedsamnsrtospbiusqirepré- qui publiques administrations des l’ensemble de dette la de niveau

ten is 4 ilad ’uo,si , uPB oprrae le avec comparer à PIB, du % 7,1 soit d’euros, milliards 143 ainsi atteint rencontres uttlàfn21,l et etn rembourser à restant dette la 2011, fin à total Au ensei

g nemen lve u et êeproe 36mlirsd’euros. milliards 33,6 à période, même cette sur élevée,

t

oa rnfr.L hred adtesetqatàelle à quant s’est dette la de charge La transféré. total g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE edteqiotdj t éris otpè e3 du % 30 de près soit détruits, été déjà ont qui dette de

LES ÉVOLUTIONS LES

ac et êedt,c ot5, ilad d’euros milliards 59,6 sont ce date, même cette À t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

nirmn cussjsuàl i es vie. sa de fin la jusqu’à acquises entièrement

5mlirsdersd esucsporscau né u u sont lui qui année chaque propres ressources de d’euros milliards 15

uttl aCDSbnfcedsrasdu otn epu de plus de montant d’un désormais bénéficie CADES la total, Au

ecelles-ci. de

ase ote aneatl aatr afi éen,rbsee lisible et robuste pérenne, fois la à caractère le maintenant en tout Caisse,

ooliejsue 01uecran iesfcto e esucsd la de ressources des diversification certaine une 2011 jusqu’en corollaire

amlilcto e prtosd ers edteaanie pour eu ainsi a dette de reprise de opérations des multiplication La

nhnéd o oio rvsonld’amortissement. prévisionnel horizon son de inchangé

edteàl AE utasetd esucsncsarsa maintien au nécessaires ressources de transfert du CADES la à dette de

rtcrcspiq’le moetdacmanrtu ova transfert nouveau tout d’accompagner imposent puisqu’elles protectrices

iu t uc n20 e èlsognqe evuetdpi plus depuis veulent se organiques règles les : 2005 en durci été a dique

éaiumn logrsnhrzndaotseet edsoii juri- dispositif le d’amortissement, horizon son allonger à mécaniquement

fndéie u e rnfrsd et aCis econduisent ne Caisse la à dette de transferts les que d’éviter Afin

lcmn,ju tvne emtu tdojt précieux. d’objets et métaux de ventes et jeux placement,

acnrbto etu e eeu ciiée epaeet patrimoine, remplacement, et activité : revenus les tous de contribution la

23

éatto.Laset el RSetsfiamn ag orassurer pour large suffisamment est CRDS la de L’assiette répartition.

ufnneetdscagsegge erpoi a essèede système le par profit leur à engagées charges des financement au

e05%àl RS e ééain cule otdrceetintéressées directement sont actuelles générations les CRDS, la à % 0,5 de

erasjtismn utaux au assujettissement leur Via bénéficie. il dont risques des couverture

aCDSdi onràvi ucnrbal acnrpri soieàla à associée contrepartie la contribuable au voir à donner doit CADES la

uRmoreetd aDteScae(RS.D ao pédagogique, façon De (CRDS). Sociale Dette la de Remboursement au

an,e 96 el rainduersoreddé aContribution la : dédiée ressource d’une création la de 1996, en pagne,

’s ascteprpcieqelisiuind aCDSs’accom- CADES la de l’institution que perspective cette dans C’est

etd adted ’tt uull ri efx uueéchéance. aucune fixe ne droit le auquel l’État, de dette la de ment

efçnséiiu a apr eqipéatntmetpu l’amortisse- pour notamment prévaut qui ce à rapport par spécifique façon de

’biainqietfiedasrrsnaueetsru oio iié tce et limité, horizon un sur apurement son d’assurer faite est qui l’obligation

eqidsigel ipstfd eto el et oil,c’est sociale, dette la de gestion de dispositif le distingue qui ce , hoc ad udl ucnonmn el et oil usi ’n structure d’une sein au sociale dette la de cantonnement du Au-delà

rencontres

ensei 1, ilad ’uo n2011) en d’euros milliards (15,5

g nemen uq’ o extinction son jusqu’à

t

g acquises sont lui qui propres ressources de est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE s otneprlafcainàcelle-ci à l’affectation par soutenue est

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t Caisse la de d’amortissement politique La io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.L cnromda ecrcéiepruepoaiiéd 0%. 50 de probabilité une par caractérise se médian scénario Le 2.

ore:Cis ’mrismn el et oil un2012. juin / sociale dette la de d’amortissement Caisse : Source

dette amortie dette nette situation e is pr e r tte De votée Dette

-300 000 -300

-260 000 -260

-220 000 -220

-180 000 -180

-140 000 -140

-100 000 -100

-60 000 -60

9619 9819 0020 0220 0420 0620 20 0921 0121 0321 0521 0721 0922 0122 0322 2025 2024 2023 2022 2021 2020 2019 2018 2017 2016 2015 2014 2013 2012 2011 2010 2009 2008 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000 1999 1998 1997 1996

-20 000 -20

20 000 20

60 000 60

100 000 100

140 000 140

180 000 180

220 000 220

260 000 260

300 000 300

el CADES la de

rpiu .Shm ’mrismn prévisionnel d’amortissement Schéma 3. Graphique

ein éomi 04cmetred o aedird’amortissement. calendrier son de terme comme 2024 désormais retient

iilse21-08–l cnromédian scénario le – 2011-2018 vieillesse rvsonld aCaisse la de prévisionnel

2

opi a niiainpu adette la pour anticipation par compris y – é vot été déjà a transfert le dont

24

ascscniin,e ntnn oped ’nebed adette la de l’ensemble de compte tenant en et conditions, ces Dans

’uo orlane2012. l’année pour d’euros

nlid iacmn el éuiéscaepu 02à1, milliards 11,1 à 2012 pour sociale Sécurité la de financement de loi en

aseuecpct ’mrismn motnecau né,e estimée et année, chaque importante d’amortissement capacité une Caisse

egsinatv el et,ssrsore rpe aatsetàla à garantissent propres ressources ses dette, la de active gestion de

n osddie e hre iacèe soie apolitique sa à associées financières charges les déduites fois Une

Total 55Md 15,5 €

rnfr nuld od nuld éev orlsrtats21Md 2,1 retraites les pour réserve de annuel Fonds du annuel Transfert €

tlspout epaeet16Md 1,6 placement de produits les et €

, on upéèeetsca u e eeu upatrimoine du revenus les sur social prélèvement du point 1,3

,8pitd S , Md 5,5 CSG de point 0,48 €

rencontres

, on eCD , Md 6,3 CRDS de point 0,5 ensei €

g nemen

2011 t

esucsd aCADES la de Ressources g Rendement est i o n

ac ala .Rsore el asee 2011 en Caisse la de Ressources 1. Tableau t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

oiu.Lojci ’xicind aCis otpuorêr éfim de réaffirmé être pouvoir doit Caisse la de d’extinction L’objectif sociaux.

opéetiee pu u fot ’sanseetdscomptes des d’assainissement efforts aux appui en complémentaire

hlspi ntaed aCis u edvi osiurq’ndispositif qu’un constituer devait ne qui Caisse la de initiale philosophie

élsed erse e iacsscae.I s ep ervnràla à revenir de temps est Il sociales. finances les redresser de réaliste

’betfetiid inmnrrqel esetv s désormais est perspective la que montrer bien de ici est L’objectif

ouin existent. solutions

eqirpéet e nexfnnir otnse orlsul des lesquels pour et contenus financiers enjeux des représente qui ce

erse e éie el NALe ertat e xliat agricoles, exploitants des retraite de et CNRACL la de régimes les redresser

n el éaceipiur noteditge ancsiéde nécessité la d’intégrer outre en impliquera démarche telle Une

eCRDS. de

niiain ui ovedad iacrpruehus aslmte– limitée mais – hausse une par financer de conviendra qu’il anticipation,

’nebed erseet ’n prto erpied et par dette de reprise de opération d’une redressement, de d’ensemble

e otnspurin ar ’be,dn ecdedu plan d’un cadre le dans l’objet, faire pourraient montants Ces

osblt erdesmn fetfàu oio rapproché. horizon un à effectif redressement de possibilité

o efnneetd aScrt oil or21,atsataniune ainsi attestant 2012, pour sociale Sécurité la de financement de loi

u vi t siéàmisd ilad ’uo orlane21 en 2016 l’année pour d’euros milliards 3 de moins à estimé été avait qui

el rnh aai td abaceFmle otu otn global montant un soit Famille, branche la de et Maladie branche la de

oil elmtr ,pu ergm ééa,a rieetdsdéficits des traitement au général, régime le pour », limitera se « sociale

rméduerpied et e6 ilad ’uo,l ue el dette la de sujet le d’euros, milliards 62 de dette de reprise d’une grammé

rnh iilsenepreapsdalra-eàd ’fotdj pro- déjà l’effort de au-delà d’aller pas n’emportera Vieillesse branche

om niu lshu,e ncniéatqeléulbed la de l’équilibre que considérant en et haut, plus indiqué Comme

2024. à

25

éu» ’séac eved aCDSpuri terdie nprévision, en réduite, être pourrait CADES la de vie de l’espérance », Sécu

u anuel adtr emtatd eteu em u«to ela de trou « au terme un mettre de permettant mandature nouvelle la sur

aslhptèefre asqisml élse ’npa crédible plan d’un réaliste, semble qui mais forte, l’hypothèse Dans

ule et oeaéécarmn engagée. clairement été a voie Cette suelle.

etdscmtsd aScrt oil,fnlt rslreetconsen- largement très finalité sociale, Sécurité la de comptes des ment

et taéi ’nebedi vi npitdacae:l redresse- le : d’ancrage point un avoir doit d’ensemble stratégie Cette

adtepublique. dette la

ulqee en a xoe or oit ursu ’malmn de d’emballement risque au société notre exposer pas ne de et publique

iéd eosiurdsmre emnur iacèe orl’action pour financières manœuvre de marges des reconstituer de sité

acé) ’gr glmn enu-êe,cmt eud anéces- la de tenu compte nous-mêmes, de également l’égard À marchés).

ecu u ososret–e osjgn ognse internationaux, (organismes – jugent nous et – observent nous qui ceux de

nhrznrprcé ’gr ensprearserpes l’égard À européens. partenaires nos de l’égard À rapproché. horizon un naeetaéépi ’nrdesmn e ope ulc à publics comptes des redressement d’un pris été a Engagement

rencontres

ensei osd portée de hors

g nemen ’xicind aCDSnaprî pas n’apparaît CADES la de l’extinction

t

g 2011, depuis sociaux comptes les pour est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE erdesmn engagée redressement de

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t trajectoire la considère l’on Si io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

efiesri inopérante... serait fuite de

eetsn rvi n ut opnainàcsdrir.Tuestratégie Toute derniers. ces à compensation juste une prévoir sans cement

uqel trbé u éie uaxognse ocuatàlu finan- leur à concourant organismes aux ou régimes aux attribuée jusque-là

erssd et epurn rvi etasetàl AE eCSG de CADES la à transfert le prévoir pourront ne dette de reprises

ndate ems e prochaines les termes, d’autres En . » venir à l’année de sociale Sécurité la

et n érdto e odtosgnrlsd ’qiir iace de financier l’équilibre de générales conditions des dégradation une à ment,

éie eScrt oil taxognse ocuatàlu finance- leur à concourant organismes aux et sociale Sécurité de régimes

ina rftd aieCis ’mrismn ercte fete aux affectées recettes de d’amortissement Caisse ladite de profit au tion

éuiéscaen orotpscnur,pru rnfr ascompensa- sans transfert un par conduire, pas pourront ne sociale Sécurité

e osd iacmn ela de financement de lois les « : contrainte cette façon sa à d’expliciter

eaieàl eto el et oil,l osi osiuine décidé a constitutionnel Conseil le sociale, dette la de gestion la à relative

ass éiind 0nvmr 00rltv aliorganique loi la à relative 2010 novembre 10 du décision sa Dans

rnfrsd dette. de transferts

et elsl S ul RSpurn éomi ei iacrles financer venir désormais pourront CRDS la ou CSG la seules ment,

eeu eçsprlscnrbalspronspyius» Concrète- ». physiques personnes contribuables les par perçus revenus

’moiin etuentr otlaset ot u ’nebedes l’ensemble sur porte « l’assiette dont nature toute de d’impositions

asc iacmn er noterpsrsrlafcainàl CADES la à l’affectation sur reposer outre en devra financement ce mais

epscnur nalneetd adred i el CADES, la de vie de durée la de allongement un à conduire pas ne à

e uue erssd etsdvotcre tefnnésd façon de financées être certes devront dettes de reprises futures Les

etdscnritspu ergm éen egsind adtesociale. dette la de gestion de pérenne régime le pour contraintes des ment

el et èl efn,i ’s glmn copgédu resserre- d’un accompagné également s’est il fond, de règle cette à nelle

26 osiu n nalefrea ipstfe éoen efçnexception- façon de dérogeant en dispositif au forte entaille une constitué a

note ilalneetd n el ué eved aCaisse la de vie de durée la de ans 4 de l’allongement si outre, En

eus21,puri esre et contrainte. cette desserrer pourrait 2010, depuis

eve el n éom raiu,dn ncnatl otpolitique coût le connaît on dont organique, réforme une Seule vie. de

rnfr ersore emtatd epsrpusrs aed fin de date sa repousser pas ne de permettant ressources de transfert

enuel et aCDSdi tencsarmn copgéd’un accompagné nécessairement être doit CADES la à dette nouvelle de

el asefi ’be ’n rtcind agognqe:tu transfert tout : organique rang de protection d’une l’objet fait Caisse la de

lfu otdaodntrqelhrznpéiine d’amortissement prévisionnel l’horizon que noter d’abord tout faut Il

ectedernière cette de

a optbe vcu anindurable maintien un avec compatibles pas

el et oil esrn etuefaçon toute de seront ne sociale dette la de e cule èlsecdatl gestion la encadrant règles actuelles Les

rencontres ensei

g nemen eto e éiise xéet conjoncturels. excédents et déficits des gestion

t

tutrl,dvalisrpaeàu ytm lentfde alternatif système un à place laisser devra structurels, g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE u idsaasetprlèeetlsdfct éenset pérennes déficits les parallèlement disparaissent si que

LES ÉVOLUTIONS LES

ac ao rdbe adsaiind aCis,qinad sens de n’a qui Caisse, la de disparition La crédible. façon t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

27

ifrnsrsuse/uàrdiel otd travail. du coût le réduire à et/ou risques différents

efçnàaéirrlspettossrise apiee hredes charge en prise la et servies prestations les améliorer à façon de

R u n u oainàséusr,dn erccaepuri teopéré être pourrait recyclage le dont s’épuiser), à vocation eux ont qui FRR

oil sn ei opedsvreet e21mlirsdersdu d’euros milliards 2,1 de versements des compte tenir (sans sociale

lsd 3mlirsdersd esucsanelspu aSécurité la pour annuelles ressources de d’euros milliards 13 de plus

ntu ttd as,letnto el asecnuri dégager à conduirait Caisse la de l’extinction cause, de état tout En

asuetaetiecéil eredressement. de crédible trajectoire une dans

et asu aediraat trser,e orisrr e efforts ces inscrire pour et resserré, et adapté calendrier un dans dette

aslspohie néspu raie e éesie erssde reprises nécessaires les organiser pour années prochaines les dans

ilsPuor ulc nenlsn tatcpn ufsmetl contrainte la suffisamment anticipent et internalisent publics Pouvoirs les si

asc otxe ersetd argeognqen inr que tiendra ne organique règle la de respect le contexte, ce Dans

at a n asedspéèeet obligatoires. prélèvements des hausse une par rants rencontres cou- déficits des financement du coût le égaler à progressivement tendra

ensei etr.Asi ecû e rcansrpie edette de reprises prochaines des coût le Aussi, mentera.

g nemen e«trf»d rnfr edtescaeàl AE aug- CADES la à sociale dette de transfert du » tarif « le

t

g 2024, de s’approchera l’on que mesure puisqu’à sociaux est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE otanr ecei erdesmn e comptes des redressement de chemin le contraindre

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t fortement très à conduisent dispositions Ces io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é Mission et fonctionnement de la CADES Patrice Ract Madoux Président du conseil d’administration de la CADES

Geneviève Gauthey Inspecteur des finances publiques

La CADES est un établissement public administratif. Son statut et sa mission font qu’elle appartient au champ des administrations publiques financées sur prélèvement obligatoire (notion d’ASSO). L’ordonnance no 96-50 du 24 janvier 1996 a créé, à compter du 1er janvier 1996, la Caisse d’Amortissement de la Dette Sociale (CADES), établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle conjointe du ministre chargé de l’Économie et des Finances et du ministre chargé 28 de la Sécurité sociale. La CADES a pour mission de financer et d’éteindre la dette sociale qui lui est transférée, c’est-à-dire les déficits cumulés à l’Agence Centrale des Organismes de Sécurité Sociale (ACOSS). À cette fin, elle dispose d’une ressource exclusive et affectée, la Contribution au Remboursement de la Dette Sociale (CRDS) 1 et de la protection de ses ressources 2.

L’organisation de la CADES

Le président du conseil d’administration est nommé par décret du président de la République sur proposition conjointe du ministre de l’Écono- mie et des Finances et du ministre chargé de la Sécurité sociale. Le conseil d’administration, autrefois composé uniquement de repré- sentants de l’État a, depuis 2010, accueilli les représentants des Caisses nationales de Sécurité sociale ; il décide du programme d’emprunt de la CADES et peut déléguer tout pouvoir à son président.

1. Chapitre 2 de l’ordonnance du 24 janvier 1996. 2. Article 7 de l’ordonnance du 24 janvier 1996, article 20 de la loi organique du 2 août 2005 et article 2 de la loi organique du 13 novembre 2010.

e ipstf éàmse lc a aCDSdpi acréation. sa depuis CADES la par place en mis déjà dispositifs les

rto nrpotdatvt rmsre.Csmsrsn otqeconforter que font ne mesures Ces trimestriel. d’activité rapport un tration

otôeidpnatqietcag ermtr ucneld’adminis- conseil au remettre de chargé est qui indépendant contrôle

e prtosraiésprl AE nognsedadte de et d’audit organisme un à CADES la par réalisées opérations des

posteriori a externe contrôle le confie arrêté même ce ailleurs, Par marchés.

oamn nc u ocrelaayedsrsuslé u prtosde opérations aux liés risques des l’analyse concerne qui ce en notamment

ecneldamnsrto suel epc ecsdispositions, ces de respect le assure d’administration conseil Le

rcdrsd otôeitreapialsaxéalseet ecrédit. de établissements aux applicables interne contrôle de procédures

el AE éii e rnie,rge,lmtse uoiain eaisaux relatifs autorisations et limites règles, principes, les définit CADES la de

otôefnnireec a ’tt lidqeqel osi d’administration conseil le que indique Il l’État. par exercé financier contrôle

’rêéd 9mi20 rcs etie oaié ’xriedu d’exercice modalités certaines précise 2009 mai 19 du L’arrêté

efnneetd aScrt oil,dn lcntteueannexe. une constitue il dont sociale, Sécurité la de financement de

el AE.Clic s omsa almn osd ’xmnd aloi la de l’examen de lors Parlement au soumis est Celui-ci CADES. la de

n ospra,l ovreetdi éie erpotd’activité rapport le rédiger doit gouvernement le an, par fois Une

’cnmee e Finances. des et l’Économie

emm,l rgam ’mrnsdi teapov a emnsr de ministre le par approuvé être doit d’emprunts programme le même, De

ir.. esn xctie uarsapoaindsmnsrsd Tutelle. de ministres des approbation qu’après exécutoires sont ne ciers...)

oslsatsiprat el AE bde,cmtsfinan- comptes (budget, CADES la de importants actes les Tous

29 iace umnsèed ’cnmee e Finances. des et l’Économie de ministère du financier

ope.E ur,l AE s oms ’nevnind contrôleur du l’intervention à soumise est CADES la outre, En comptes.

usprlaetcmtbed aCDS osl otôed aCu des Cour la de contrôle le sous CADES, la de comptable l’agent par tués

elsd ’tt is,lsecismnse e éaseet oteffec- sont décaissements les et encaissements les Ainsi, l’État. de celles

e èlscmtbe plcbe aCDSsn rce de proches sont CADES la à applicables comptables règles Les

u3 éebe2011. décembre 31 au

ééa.A oa,otesnpéiet aCDScmt i personnes dix compte CADES la président, son outre total, Au général.

agsinamnsrtv el AE s sué a nsecrétariat un par assurée est CADES la de administrative gestion La

e ciié emrh «fotofc )e eps-acé( akofc »). back-office (« post-marché de et ») office front (« marché de activités des

el e tbismnsfnnir.El epceuesrceséparation stricte une respecte Elle financiers. établissements des celle à

’raiaind adrcinoéainel el AE s conforme est CADES la de opérationnelle direction la de L’organisation

o,vc-rsdn uSnte ni a .Ja-aqe eo,sénateur. Jegou, Jean-Jacques M. par enfin et Sénat du vice-président ron,

.JcusOdn éaer .Mr afnu,dpt,M dinGoutey- Adrien M. député, Laffineur, Marc M. sénateur, Oudin, Jacques M. rencontres par présidé successivement été a Il l’État. de représentants de et sociale

ensei er) e rsdnsdsCissntoae eSécurité de nationales Caisses des présidents des teurs),

g nemen ops epreetie du éué tdu séna- deux et députés (deux parlementaires de composé

t

g est Il d’administration. conseil le par question toute sur est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE otane ’ciiéd aCDSe etêr consulté être peut et CADES la de d’activité annuel port

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t rap- le sur avis un émet surveillance de comité Le io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

1 1 0 2 0 1 0 2 0 0 2 0 0 2 4 0 0 2 2 0 0 2 0 0 0 28 7 9 9 15 6 9 9 1

non imposables non non imposables non

de chômeurs et retraités retraités et chômeurs de

de chômeurs et retraités retraités et chômeurs de

Exonération sur indemnités indemnités sur Exonération

Exonération sur indemnités indemnités sur Exonération

fin de la CADES la de fin

fin de la CADES la de fin

de ressources pérennes ressources de

Transfert de 45 Mds€ 45 de Transfert de ressources pérennes ressources de

Transfert de 45 Mds€ 45 de Transfert

Attribution de 0,2 point de CSG de point 0,2 de Attribution

sous 1,4 fois le SMIC le fois 1,4 sous

Attribution de 0,2 point de CSG de point 0,2 de Attribution

Suppression de la date de de date la de Suppression sous 1,4 fois le SMIC le fois 1,4 sous

Suppression de la date de de date la de Suppression

Attribution de 220 M€ 220 de Attribution

Ressource affectée : CRDS CRDS : affectée Ressource

Attribution de 220 M€ 220 de Attribution

Ressource affectée : CRDS CRDS : affectée Ressource

Transfert de 27 Mds€ 27 de Transfert

Annulation de l’exonération l’exonération de Annulation

Transfert de 27 Mds€ 27 de Transfert Transfert de 50 Mds€ 50 de Transfert Annulation de l’exonération l’exonération de Annulation

Transfert de 50 Mds€ 50 de Transfert

Transfert de 2,5 Mds€ 2,5 de Transfert Date de fin : 2009 : fin de Date Transfert de 2,5 Mds€ 2,5 de Transfert Date de fin : 2009 : fin de Date

LFSS pour 2009 pour LFSS o eaieàl’assurance à relative Loi LF pour 2001 pour LF Création de la CADES la de Création

LFSS pour 2012 pour LFSS 2009 pour LFSS o eaieàl’assurance à relative Loi LF pour 2001 pour LF Création de la CADES la de Création LFSS pour 2012 pour LFSS

Ordonnance du 24 /01 24 du Ordonnance Ordonnance du 24 /01 24 du Ordonnance

ué eveà2025 à vie de durée ué eveà2025 à vie de durée

Allongement de la la de Allongement Allongement de la la de Allongement

Versement du FRR du Versement Versement du FRR du Versement

1,3 % des revenus du capital du revenus des % 1,3 1,3 % des revenus du capital du revenus des % 1,3

Attribution de 0,28 point de CSG de point 0,28 de Attribution Attribution de 0,28 point de CSG de point 0,28 de Attribution

Transfert de 130 Mds€ 130 de Transfert Transfert de 130 Mds€ 130 de Transfert

LFSS pour 2011 pour LFSS LFSS pour 2011 pour LFSS

la durée de vie de la CADES la de vie de durée la la durée de vie de la CADES la de vie de durée la

accompagné de recettes nouvelles recettes de accompagné susceptibles d’allonger de 4 ans ans 4 de d’allonger susceptibles

accompagné de recettes nouvelles recettes de accompagné susceptibles d’allonger de 4 ans ans 4 de d’allonger susceptibles au titre du FOREC du titre au au titre du FOREC du titre au

Tout transfert de dettes doit être être doit dettes de transfert Tout Autorisation des transferts transferts des Autorisation

Tout transfert de dettes doit être être doit dettes de transfert Tout Autorisation des transferts transferts des Autorisation

Transfert de 2,4Mds€ de Transfert Transfert de 13 Mds€ 13 de Transfert Transfert de 2,4Mds€ de Transfert Transfert de 13 Mds€ 13 de Transfert

Date de fin modifiée : 2014 : modifiée fin de Date

vérification du C. Constitutionnel C. du vérification Date de fin modifiée : 2014 : modifiée fin de Date

vérification du C. Constitutionnel C. du vérification

LFSS pour 2003 et 2004 et 2003 pour LFSS LFSS pour 2003 et 2004 et 2003 pour LFSS

Loi organique sur la SS la sur organique Loi

Loi organique sur la SS la sur organique Loi

Elargissement du rôle de de rôle du Elargissement

Elargissement du rôle de de rôle du Elargissement

LFSS pour 1998 pour LFSS LFSS pour 1998 pour LFSS

la gestion de la dette social dette la de gestion la

la gestion de la dette sociale dette la de gestion la

Loi organique 2010 relative relative 2010 organique Loi Loi organique 2010 relative à relative 2010 organique Loi

etd aScrt oil : sociale Sécurité la de ment

el AE otdn e osd iacssi asdsli efinance- de lois des dans soit finances de lois des dans soit CADES la de

eus19,d obextxe otvnsmdfe e missions les modifier venus sont textes nombreux de 1996, Depuis

e vltoslégislatives évolutions Les

30 ePIB. de

rain aCDSaaot 0mlirsdersd et,si points 3 soit dette, de d’euros milliards 60 amorti a CADES la création,

onsd I vlu 01.I s motn entrqedpi sa depuis que noter de important est Il 2011). (valeur PIB de points 7

rnas tséeata 1dcmr 01à13mlirsders soit d’euros, milliards 143 à 2011 décembre 31 au s’élevait et française

adtepré a aCDSrpéeti , el et publique dette la de % 8,5 représentait CADES la par portée dette La

78,3%

Collectivités locales Collectivités

de Sécurité Sociale Sécurité de

Autres administrations Autres

CADES 8,4% rencontres

ensei Etat

g nemen 3,6%

t 9,7% g est i o n

ac aCDS cerd adtepbiu française publique dette la de acteur CADES, La t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

01 s glmn sué a e rnfrsd aCDSàl’ACOSS à CADES la de transferts des par assurée également Est 2011.

012 u5janvier 5 du 2011-20 eo e oaié értsdn edce n décret le dans décrites modalités les selon

o

’CS asl iied 8mlirsderse esmnssuccessifs versements en d’euros milliards 68 de limite la dans l’ACOSS à

ail or20 01etasreprdstaset el CADES la de transferts des par assurée est 2011 à 2009 pour Famille

01 el rnh iilsepu 09e 00e el branche la de et 2010 et 2009 pour Vieillesse branche la de 2011,

ovruedsdfct uué el rnh aai or20 à 2009 pour Maladie branche la de cumulés déficits des couverture

a plcto elatce9 rcs u la que précise 9, l’article de application par 2 éebe2010), décembre (20

alid iacmn el éuiéscaepu 2011 pour sociale Sécurité la de financement de loi La ●

eCG(otiuinScaeGnrlse t trbé aCADES. la à attribuée été a Généralisée) Sociale (Contribution CSG de

raiu u2aû 05 n esuc upéetied , point 0,2 de supplémentaire ressource une 2005, août 2 du organique

0817 u1 éebe20.E ur,cnommn aloi la à conformément outre, En 2008. décembre 19 du 2008-1375 n

o

esmnsscesf eo e oaié értsdn edécret le dans décrites modalités les selon successifs versements

aCDSàlAOSdn almt e2 ilad ’uo ntrois en d’euros milliards 27 de limite la dans l’ACOSS à CADES la

asl iied ilad ’uo,àl AE a e rnfrsde transferts des par CADES la à d’euros, milliards 4 de limite la dans

08pu 41mlirsderse uFnsd oiaiévieillesse solidarité de Fonds du et d’euros milliards 14,1 pour 2008

atu e88mlirsders el rnh iilsepu 05à 2005 pour Vieillesse branche la de d’euros, milliards 8,8 de hauteur

uedsdfct uué el rnh aai or20 t20 à 2008 et 2007 pour Maladie branche la de cumulés déficits des ture

a plcto elatce1,cni acouver- la confie 10, l’article de application par 1 éebe2008), décembre (17

alid iacmn el éuiéscaepu 2009 pour sociale Sécurité la de financement de loi La ●

irsd’euros. liards

a e rnfrsd aCDSàlAOS asl iied 5mil- 15 de limite la dans l’ACOSS, à CADES la de transferts des par

el êebacea ir e xrie 05e 06etassurée est 2006 et 2005 exercices des titre au branche même la de

31

1dcmr 04 note acuetr e éiisprévisionnels déficits des couverture la outre, En 2004. décembre 31

etmr 04e asl iied 5mlirsa lstr le tard plus au milliards 25 de limite la dans et 2004 septembre 1

er

e rnfrsd aCDSàlAOSàhuerd 0mlirsle milliards 10 de hauteur à l’ACOSS à CADES la de transferts des

03 tcled éii rvsonla ir e20 otasre par assurées sont 2004 de titre au prévisionnel déficit du celle et 2003,

e éiiscmlsd abaceMlde rêé u3 décembre 31 au arrêtés Maladie, branche la de cumulés déficits des

ips,e plcto esnatce7,qel couverture la que 76, article son de application en dispose, maladie

0480d 3aû 04rltv l’Assurance à relative 2004 août 13 du 2004-810 n loi La

● o

’sitesn nhné,pooged ave 09a 1jnir2014. janvier 31 au 2009 janvier de prolongée inchangés, sont l’assiette

alné ecn n tl ecpind aCD,dn etu et taux le dont CRDS, la de perception la et ans cinq de rallongée

irsders ncnéune adred i el AE été a CADES la de vie de durée la conséquence, En d’euros. liards

éii rvsonld ’xrie19,si nmnatttld 32mil- 13,2 de total montant un soit 1998, l’exercice de prévisionnel déficit

’uo éàfnné a aCDSe 96 ta rfnneetdu préfinancement au et 1996) en CADES la par financés déjà d’euros

uué uttedseeccs19 t19 ’juatax26milliards 2,6 aux s’ajoutant 1997 et 1996 exercices des titre au cumulée

ave 96(14mlirsdersd dette de d’euros milliards (11,4 1996 janvier 1 le depuis sociale Sécurité

rencontres er ensei de organismes des centrale l’Agence par cumulée

g nemen amsind aCDSa eiacmn el dette la de refinancement au CADES la de mission la

t

étendu a g 1997 décembre 19 du 1998 pour (LFSS) est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE aLid iacmn el éuiéSociale Sécurité la de Financement de Loi La

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t : suivants les sont importants plus Les io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

odiatàu crismn el ué ’mrismn el dette la de d’amortissement durée la de accroissement un à conduisant

etd aScrt oil or21 etpéordstaset edette de transferts des prévoir peut 2011 pour sociale Sécurité la de ment

oedsrasqe«Prdrgto upeiraié,l o efinance- de loi la alinéa, premier au dérogation Par « que désormais pose

opéatlatce4bsd ’ronne9-0d 4jnir19,dis- 1996, janvier 24 du 96-50 l’ordonnance de bis 4 l’article complétant

el et oil ofreàl osiuin e ril,mdfatet modifiant article, Cet Constitution. la à conforme sociale dette la de

0018 u1 oebe21 eaieàl gestion la à relative 2010 novembre 13 du 2010-1380 aliognqen organique loi la

o

0066Cd 0nvmr 00 élr ’ril de 2 l’article déclaré a 2010, novembre 10 du 2010-616DC éiinn décision

o

as ova afnd 00 ecnelcntttonl assa dans constitutionnel, conseil le 2010, de fin la à nouveau à Saisi

siain ulqe ». publiques estimations

s prcé,«a udsééet rsné a aCis asses dans Caisse la par présentés éléments des vu au « appréciée, est

orlapiaind ’lnapééet adred’amortissement durée la précédent, l’alinéa de l’application Pour

etd adtescae » sociale. dette la de ment

eetsd aCis emtatd epsacotel ué d’amortisse- durée la accroître pas ne de permettant Caisse la de recettes

eetd adtescaeetacman ’n umnaindes augmentation d’une accompagné est sociale dette la de sement

el éuiéscae otnueutasetd et aCis d’amortis- Caisse la à dette de transfert nouveau tout sociale, Sécurité la de

0581d ot20 eaieaxli efinancement de lois aux relative 2005 août 2 du 2005-881 o raiu n organique loi

o

e ipstoslgsaie nvgeràl aed apbiaind la de publication la de date la à vigueur en législatives dispositions des

raind aCDSd 4jnir19 eo aule:«Su réserve Sous « : laquelle selon 1996 janvier 24 du CADES la de création

el éuiéscae eeuatce4bsd ’ronne9-0de 96-50 l’ordonnance de bis 4 article devenu sociale, Sécurité la de

0581d ot20 eaieaxli efinancement de lois aux relative 2005 août 2 du 2005-881 raiu n organique

o

1D u2 ule 05 on oc raiu ’ril 0d aloi la de 20 l’article à organique force donné 2005, juillet 29 du 519DC

2005- almn eaie aCDS latu ’br,dn adcso n décision sa dans d’abord, tout a Il CADES. la à relatives Parlement 32

o

ine ’s rnnéd ao rspéiesrdsli oésprle par votées lois des sur précise très façon de prononcé s’est tionnel

a ecnelcntttonl neft exrpie,l osi constitu- conseil le reprises, deux à effet, En constitutionnel. conseil le par

note lfu oe ’motned exli raiusvalidées organiques lois deux de l’importance noter faut il outre, En

nmnatane e20mlin d’euros. millions 220 de annuel montant un

ore upéetie éensotééatiue aCDSpour CADES la à attribuées été ont pérennes supplémentaires sources

’uo.Cnommn aliognqed ot20,dsres- des 2005, août 2 du organique loi la à Conformément d’euros.

etaed amtaiéscaearcl oru otn e25milliards 2,5 de montant un pour agricole sociale mutualité la de centrale

iéuerpiedsdfct el Caisse la de déficits des reprise une fixé a 2 éebe2011) décembre (21

ni,l o efnneetd aScrt oil or2012 pour sociale Sécurité la de financement de loi la Enfin, ●

2024. à

a eFnsd éevsdsrtatsd , ilad ’uo e2011 de d’euros milliards 2,1 de retraites des réserves de Fonds le par

rlvmn e34%srlsrvnsd aia tu esmn annuel versement un et capital du revenus les sur % 3,4 de prélèvement S otn is aCGatiueàl AE ,8pit , du % 1,3 point, 0,48 à CADES la à attribuée CSG la ainsi portant CSG rencontres

ensei t trbésàl AE.I ’gtd ,8pitde point 0,28 de s’agit Il CADES. la à attribuées été

g nemen u2aû 05 e esucssplmnarsont supplémentaires ressources des 2005, août 2 du

t

iilse note ofréetàl o organique loi la à conformément outre, En Vieillesse. g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE e éiisdseeccs21 08d abranche la de 2018 à 2011 exercices des déficits des

LES ÉVOLUTIONS LES

ac asl iied 2mlirsders acouverture la d’euros, milliards 62 de limite la dans t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’suac iilsee uFnsd oiaiévieillesse. solidarité de Fonds du et vieillesse l’Assurance

edte upéetie utted éii elAsrnemlde de maladie, l’Assurance de déficit du titre au supplémentaires dettes de

30aéed amsind aCDSe u ofat2 ilad d’euros milliards 27 confiant lui en CADES la de mission la étendu a 1330

2008- alid iacmn el éuiéscaepu 09n 2009 pour sociale Sécurité la de financement de loi La

o

02lapré 82 %. 98,25 à portée l’a 2012

loain hmg tl o efnneetd aScrt oil pour sociale Sécurité la de financement de loi la et chômage allocations

04aéag ’sited acld 5à9 e aarsbuse des et bruts salaires des % 97 à 95 de calcul de l’assiette élargi a 2004

esn a moals is u e iiascax alid 3août 13 du loi La sociaux. minima les que ainsi imposables, pas sont ne

hmg td rrtat,lspnin ’naiiée ertat,lorsqu’elles retraite, de et d’invalidité pensions les préretraite, de et chômage

de ehsr.Lseoéain ocretesnileetlsallocations les essentiellement concernent exonérations Les hasard. de

lcmnsaniq’ avnedsmtu rcexe u an e jeux des gains aux et précieux métaux des vente la qu’à ainsi placements

eeu ’ciiée ermlcmn,dsrvnsd armiee des et patrimoine du revenus des remplacement, de et d’activité revenus

etu el RSetd , .I ’plqeàlesml des l’ensemble à s’applique Il %. 0,5 de est CRDS la de taux Le

ina ebusmn el et oil (CRDS). Sociale Dette la de Remboursement au tion

aCDSabnfcédsloiieduersoreecuie aContribu- la exclusive, ressource d’une l’origine dès bénéficié a CADES la

fnd ee ins iso ’mrismn el et sociale dette la de d’amortissement mission sa bien à mener de Afin

e esucsd aCADES la de ressources Les

eted as21 ’lrismn es mission. sa de l’élargissement 2012 mars 2 du lettre

ietmn a aCDS ecnelcntttonlacnim assa dans confirmé a constitutionnel conseil le CADES, la par directement

Saisi ». années quatre « pas dépasse ne qui » sociale dette la de ment 33

rnfr edtecnusn nacoseetd adred’amortisse- durée la de accroissement un à conduisant dette de transfert «

rvi xrséetq’ledvajsiirl epc el odto d’un condition la de respect le justifier devra qu’elle expressément prévoit

el o organique loi la de n neeàl FSpu 01dn e2 elatce1 l’article de 2° le dont 2011 pour LFSS la à annexe une

er

oreecrsncnrl,l osi osiuine oras eotrà reporter se pourra constitutionnel conseil le contrôle, son exercer Pour

u eaéetelmn eeudn e osd iacmn suivantes. financement de lois les dans retenu éventuellement sera qui

el et oil esi a eotea-eàd 05–o uterme du ou – 2025 de au-delà reportée pas soit ne sociale dette la de

tcrans fnqelu culsto sueqel ué d’amortissement durée la que assure actualisation leur que afin certaines, et

FSpu 01–clec er is opre e eetspérennes recettes des comporter ainsi devra celle-ci – 2011 pour LFSS

ui ’gsed em u eartn asla dans retenu sera qui terme du s’agisse qu’il », dépassé pas soit ne

êed éiirqecsrsore otsfiatspu u eterme ce que pour suffisantes sont ressources ces que vérifier de même à

ôesr lripiqe a ’fe ecsdsoiin,il dispositions, ces de l’effet par puisque, élargi sera rôle eaanimis ainsi sera «

el et oil uq’utrepéupu eu-i» celui-ci pour prévu terme jusqu’au sociale dette la de tqesnpropre son que et

oil otpéorlesml e esucsafcésa remboursement au affectées ressources des l’ensemble prévoir doit sociale

el o raiu u alid iacmn el Sécurité la de financement de loi la que organique loi la de ’ril 1 l’article rencontres er

ensei ui esr e emsmmsde mêmes termes des ressort qu’il « relevé a Il sociale.

g nemen u e rcansli efnneetd aSécurité la de financement de lois prochaines les sur

t

g exercerait qu’il contrôle du portée la à quant précision est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE osi osiuine pot,dn e air,une cahiers, ses dans apporté, a constitutionnel conseil

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t le outre, En ». années quatre de limite la dans sociale io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

bijoux et métaux précieux précieux métaux et bijoux

placement, jeux, ventes de de ventes jeux, placement,

Revenus patrimoine et et patrimoine Revenus

les revenus du capital) du revenus les

prélèvement de 3,4% sur sur 3,4% de prélèvement

(CRDS, CSG et et CSG (CRDS,

Comptables de la DGFIP la de Comptables

2,1 Mds€/an 2,1

versement de de versement

CADES

FRR

ACOSS

remplacement remplacement

Revenus d'activité et de de et d'activité Revenus ctivité et de de et ctivité d'a Revenus

isses ca autres Diverses

cotisations sociales cotisations CNAF (AL) CNAF

suivant les mêmes règles que les les que règles mêmes les suivant

CCMSA

l’employeur en même temps et et temps même en l’employeur

CNAM (IJ) CNAM

CRDS et CSG versées par par versées CSG et CRDS

CNAV (retraites) CNAV

Versements directs au siège au directs Versements

URSSAF & CGSS & URSSAF

Recouvrement direct Recouvrement

aCDSslnl ici idsos: ci-dessous circuit le selon CADES la à

otcnrlse a e evcsfnnir elÉa vn ’tereversées d’être avant l’État de financiers services les par centralisées sont

eued erclet e otiuin sie u e ursrevenus autres les sur assises contributions les ; collecte leur de mesure à

etsn utdenmn eese a ’CS aCDSa u et fur au CADES la à l’ACOSS par reversées quotidiennement sont ment

e otiuin sie u e eeu ’ciiée eremplace- de et d’activité revenus les sur assises contributions Les

AE,si uttl2, ilad d’euros. milliards 29,4 total au soit CADES,

34

ave 01jsue 04 e21mlirsdersàla à d’euros milliards 2,1 de 2024, jusqu’en 2011 janvier erie,d 1 du retraites,

er

et êeliapéul esmn a eFnsd éev orles pour réserve de Fonds le par versement le prévu a loi même cette

ni,dn ecded iacmn el éom e retraites, des réforme la de financement du cadre le dans Enfin,

cor 01à34%. 3,4 à 2011 octobre lcmn ié eusl 1 le depuis fixés placement

er

rlvmnsscaxsrlsrvnsd armiee e rdisde produits les et patrimoine du revenus les sur sociaux prélèvements

loéàl AE,àcmtrd 01uefato e13%des % 1,3 de fraction une 2011 de compter à CADES, la à alloué a

AE oru otn oa aiu e10mlirsders aloi La d’euros. milliards 130 de maximum total montant un pour CADES

éuiéscaepu 01afx enuelsrpie edte a la par dettes de reprises nouvelles de fixé a 2011 pour sociale Sécurité

0019 u2 éebe21 efnneetd la de financement de 2010 décembre 20 du 2010-1594 alin loi La

o

lsai ocduersoreàaset large. assiette à ressource d’une donc s’agit Il

tlspout epaeetasjti tà02 orlsgisaxjeux. aux gains les pour % 0,28 à et assujettis placement de produits les et

e eeu ’ciiée ermlcmn,srlsrvnsd patrimoine du revenus les sur remplacement, de et d’activité revenus les

t ote ope eleecc 01 ,8%pu aCGsur CSG la pour % 0,48 à 2011, l’exercice de compter à portée, été a ietvré aCDS eusleecc 09 atu e02%et % 0,2 de hauteur à 2009, l’exercice depuis CADES, la à versée est ci rencontres

ensei n rcind acnrbto oil ééaié.Celle- généralisée. sociale contribution la de fraction une à

g nemen

eved aCDS et ovlersorecorrespond ressource nouvelle Cette CADES. la de vie de

t

almn,pretn is en a logrl durée la allonger pas ne de ainsi permettant Parlement, g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE n umnaind arsoreaéévteprle par votée été a ressource la de augmentation une

LES ÉVOLUTIONS LES

ac ofréetàl o raiu u2aû 2005, août 2 du organique loi la à Conformément t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

u asl rpiu icnr : ci-contre graphique le dans que

em es iso.L uv eléalseetpu terpéet tel représenté être peut l’établissement de suivi Le mission. sa de terme

’betfd aCDSetd aee adtescaeàzr au zéro à sociale dette la ramener de est CADES la de L’objectif

adtescaegreprl CADES la par gérée sociale dette La

Versement FRR Versement bijoux et Jeux placement Patrimoine remplacement de Revenus d'activité Revenus

0020 0220 0420 0620 0820 002011 2010 2009 2008 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000

0

2 000 2

4 000 4

6 000 6

8 000 8

10 000 10

12 000 12

14 000 14

16 000 16

35 01e s siéà1, ilad ’uo or2012. pour d’euros milliards 15,8 à estimé est et 2011

emnatttldsrsore ten 55mlirsdersen d’euros milliards 15,5 atteint ressources des total montant Le

6, ilosd’euros. millions 467,2

ebedsoéain ecsinaatééraiépu nmnatde montant un pour réalisé été avait cession de opérations des semble

elerscniin iacèe.Àl aed 1dcmr 03 l’en- 2003, décembre 31 du date la À financières. conditions meilleures

’ti naéàvnr eption aslsmilusdli taux et délais meilleurs les dans patrimoine ce vendre à engagé s’était

rvsàuaelctfapreatàl NVS ecneld’administration conseil Le CNAVTS. la à appartenant locatif usage à privés

0dcmr 99 rnfr aCDSl rpit e immeubles des propriété la CADES la à transféré a 1999, décembre 30

’rêéd 7dcmr 99 uléa ora fiille officiel Journal au publié 1999, décembre 27 du L’arrêté

e3 éebe2008. décembre 31 le

tahs avneitgaedsimulsdvi nevnra lstard plus au intervenir devait immeubles des intégrale vente La attachés.

rnfreàl AE,aniqelsdot tolgtosqiyétaient y qui obligations et droits les que ainsi CADES, la à transférée

ated armieqin eatpsvnu u3 éebe19 serait 1999 décembre 31 au vendue pas serait ne qui patrimoine du partie rencontres la que prévoyait il outre, En CADES. la à affecté serait ventes des produit

ensei eatvnuàliiitv essporéarse u le que et propriétaires ses de l’initiative à vendu serait

g nemen ’xlso e oaxafcé nuaeadministratif, usage un à affectés locaux des l’exclusion à

t

g l’ACOSS, de et sociale Sécurité de nationales Caisses est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ipsi u eption rv sg oai des locatif usage à privé patrimoine le que disposait

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t 1996 janvier 24 du l’ordonnance de 9 l’article Enfin, io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

d’euros.

elane or21,l éuttaéépstfàhuerd 168millions 658 11 de hauteur à positif été a résultat le 2011, Pour l’année. de

et iuto et s oiiecau né a ’muaind résultat du l’imputation par année chaque modifiée est nette situation Cette

erpsrsrdscife ’rgn opal u esrn a modifiés. pas seront ne qui comptable d’origine chiffres des sur reposer de

on noded rnerd ’netmn el AE.I l’avantage a Il CADES. la de l’endettement de grandeur de ordre un donne

u,àl i e21,etngtv atu e128mlirs emontant Ce milliards. 142,8 de hauteur à négative est 2011, de fin la à qui,

msetrpéet opalmn a astainnted aCADES la de nette situation la par comptablement représenté est émis

u e acé iacesitrainu.L otn e e emprunts des net montant Le internationaux. financiers marchés les sur

ersedsrsore rvetdseput msprl CADES la par émis emprunts des provient ressources des reste Le

in ’uo) otu oa e9, ilad d’euros. milliards 93,2 de total un soit d’euros), lions

irsders,aniqel rdi e etsdimuls(or47mil- 467 (pour d’immeubles ventes des produit le que ainsi d’euros), liards

u e eeu ucptle evreete rvnned R 9, mil- (92,7 FRR du provenance en versement le et capital du revenus les sur

aCDSauiiélsrnre eCD td S,l prélèvement le CSG, de et CRDS de rentrées les utilisé a CADES La

oa e224mlirsd’euros. milliards 202,4 de total

1dcmr 01 aCDSaefcu e esmnspu nmontant un pour versements des effectué a CADES la 2011, décembre 31

a«dterpie»atit224mlirsderscetàdr qu’au dire c’est-à d’euros milliards 202,4 atteint » reprise dette « La

e298mlirsd’euros. milliards 269,8 de

osqilotmdfé,aéémsàl hred aCDSu otn total montant un CADES la de charge la à mis été a modifiée, l’ont qui lois

eusloiied aCDS o ronnefnarc tlsnombreuses les et fondatrice ordonnance son CADES, la de l’origine depuis

a«dtevte»atit298mlirsders easgii que, signifie Cela d’euros. milliards 269,8 atteint » votée dette « La

36 «dterpie»). reprise dette («

aCDSprl o «dtevte» e otnsq’leadj repris déjà a qu’elle montants des ») votée dette (« loi la par CADES la

lcnin edsige e otnsd et i acag de charge la à mis dette de montants les distinguer de convient Il

Dette reprise Dette ée vot e Dett dette amortie dette nette situation

-300 000 -300

-260 000 -260

-220 000 -220

-180 000 -180

-140 000 -140

-100 000 -100

-60 000 -60

9619 9819 0020 0220 0420 0620 0820 00201 2010 2009 2008 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000 1999 1998 1997 1996 0221 0421 0621 0821 0022 0222 042025 2024 2023 2022 2021 2020 2019 2018 2017 2016 2015 2014 2013 2012 1

-20 000 -20 20 000 20

60 000 60 rencontres 100 000 100 ensei

g 140 000 140 nemen

t 180 000 180

g

est

220 000 220 i o

n 260 000 260 ac

t io 300 000 300 n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

érvn aCDSe e vltosrécentes. évolutions les et CADES la décrivent

atcle u est elAtrt e acé iaces e documents Ces financiers. marchés des l’Autorité de site le sur particulier

ééec upopcu u otmsàdsoiindsivsisus en investisseurs, des disposition à mis sont qui prospectus ou référence

aCDSliips emtr orrglèeetdsdcmnsde documents des régulièrement jour à mettre de impose lui CADES la

aqaiédeputu u e acé iacesitrainu de internationaux financiers marchés les sur d’emprunteur qualité La

eréférence. de

eetd amsinarnoc aCDSdn apsto d’émetteur position sa dans CADES la renforcé a mission sa de sement

aCDScmeu mteritrainld otpeirrn.L’élargis- rang. premier tout de international émetteur un comme CADES la

ie ’msin éii a o osi ’diitain epositionner de d’administration, conseil son par définis d’émissions cipes

et taéi,dpi vi 96 ems ofréetaxprin- aux conformément permis, a 1996, avril depuis stratégie, Cette

in e elerssignatures. meilleures des cient

aatrsiusd iudt dniusàcle e msin u bénéfi- qui émissions des celles à identiques liquidité de caractéristiques

AE avlnédéetedseput erfrnepéetn des présentant référence de emprunts des d’émettre volonté la a CADES

u emtdotnrsrlsmrhsu iacmn elercû.La coût. meilleur à financement un marchés les sur d’obtenir permet lui

ene eor.E fe,l ult eoned asgaued aCADES la de signature la de reconnue qualité la effet, En recours. dernier

ats eedn,e asnd ercû,elsn otuiiésqu’en utilisées sont ne elles coût, leur de raison en Cependant, santes.

u acé iacess e enesnofetpsd odtossatisfai- conditions de pas n’offrent derniers ces si financiers marchés aux

iusdn amsr ùelsofetl osblt erpre erecours le reporter de possibilité la offrent elles où mesure la dans giques

aeet e insd rdt otéaeetdsisrmnsstraté- instruments des également sont crédits de lignes Ces paiement.

emtatdautrs rsrre efiefc ’vnul niet de incidents d’éventuels à face faire de trésorerie, sa d’ajuster permettant

efnneet aCDSdsoetueosd aiié acie lui bancaires facilités de toutefois dispose CADES La financement. de

37

el intr el AE vcuelredvriiaindssources des diversification large une avec CADES la de signature la de

e acé ecptu.L taéi eoeanisrl positionnement le sur ainsi repose stratégie La capitaux. de marchés les

osbe.L iacmn efi roiarmn a ’msind irssur titres de l’émission par prioritairement fait se financement Le possibles.

nacscntn alqiiédn e elerscniin ecoût de conditions meilleures les dans liquidité la à constant accès un

asrtged iacmn el AE otpreted’assurer permettre doit CADES la de financement de stratégie La

asrtged iacmn el CADES la de financement de stratégie La

oil or20,vt nlid financement. de loi en voté 2006, pour sociale

nuldaotseetet eusl o efnneetd aSécurité la de financement de loi la depuis est, d’amortissement annuel rencontres L’objectif d’euros. milliards 11,7 de 2011 l’année dans amortissement un

ensei i e21,el tegat5, ilad ’uo après d’euros milliards 59,6 atteignait elle 2011, de fin

g nemen epu evrqedidctu elaotseet la À l’amortissement. de d’indicateur que servir peut ne

t

g estimation cette financier, ni comptable ni n’étant calcul est SOCIALE

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DE LA PROTECTION LA DE naotn a«dterpie»e astainnte Ce nette. situation la et » reprise dette « la ajoutant en

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t faite être peut amortie dette la de estimation Une io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

tln em el AE s ersnédn egahqec-esu : ci-dessous graphique le dans représenté est CADES la de terme long et

udbtd osd as21,léhace e mrnsàmoyen à emprunts des l’échéancier 2012, mars de mois du début Au

ei n rsnee n iudt suffisante. liquidité une et présence une tenir

u tetsdsivsisus sue n xcto rércal,main- irréprochable, exécution une assurer investisseurs, des attentes aux

ésq’vclojci egrni acéiiiéd asgaue:répondre : signature la de crédibilité la garantir de l’objectif qu’avec cées

is e prtosd iacmn el AE esn-le lan- sont-elles ne CADES la de financement de opérations les Ainsi

adtee agsindscniin emarché. de conditions des gestion la et dette la

alasnetel taéi efnneet epltg el tutr de structure la de pilotage le financement, de stratégie la entre liaison la

ecag ud ax ’tlsto ecsisrmns«drvs»assure » dérivés « instruments ces de L’utilisation taux. de ou change de

uel ms eadn ecdeduesrtged ovruedsrisques des couverture de stratégie d’une cadre le dans cela émis, a qu’elle

rcdràdsoéain epnin u irsdÉa usrlstitres les sur ou d’État titres sur pensions de opérations des à procéder

ocuedscnrt ’cag udotosd axditrte à et d’intérêt taux de d’options ou d’échange contrats des conclure à

e prtosd acéàtre ee e prtosd change, de opérations des mener à terme, à marché de opérations des à

edce u2 vi 96atrs glmn aCDSàprocéder à CADES la également autorise 1996 avril 24 du décret Le

alqiiée otiu efre acéiiiéd asignature. la de crédibilité la renforcer à contribue et liquidité la à

efnneet s glmn ngg escrt ntre d’accès termes en sécurité de gage un également est financements de

a nrdied etrainsrlsmrhs et iest e sources des diversité Cette marchés. les sur perturbation de introduire pas

emtàl AE esaatraxbsisdsivsisuse ene de et investisseurs des besoins aux s’adapter de CADES la à permet

n rnevrééd rdis emtrtse edvss et souplesse Cette devises. de et maturités de produits, de variété grande une

Mdu em oe.Sséisoss otae lxblt nutilisant en flexibilité avec font se émissions Ses Note). Terme (Medium

mrci,céissnius iacmnsolgtie,porme MTN programmes obligataires, financements syndiqués, crédits américain, 38

iacmn ilt etéoei,ppe omrile uoe ndollar en et euro en commercial papier trésorerie, de billets : financement

aCDSarcusàuegmetè iesfé ’ntuet de d’instruments diversifiée très gamme une à recours a CADES La

edvriirs aed’investisseurs. base sa diversifier de

aaiéàinvr oamn a n oot taéiu ’tnr et d’étendre stratégique volonté une par notamment innover, à capacité

mrns aratvt u hneet esnevrneete sa et environnement son de changements aux réactivité sa emprunts,

u e acé iacese éotatl iblt ’xcto eses de d’exécution fiabilité la démontrant en financiers marchés les sur

ni,dpi lsd uneas aCDSacnoiés crédibilité sa consolidé a CADES la ans, quinze de plus depuis Enfin,

’urséetussuean tqaisuean s importante. est quasi-souverains et souverains émetteurs d’autres

aslstte msprl AE,dn ncnet ùl concurrence la où contexte un dans CADES, la par émis titres les dans

orcnanr e éat ’netr epu agmn ta elerprix, meilleur au et largement plus le d’investir, gérants les convaincre pour

rls lete fe nipnal epoovi asgaued aCADES la de signature la promouvoir de indispensable effet en est Il trales. tbi vclspicpu netser,e atcle e aqe cen- banques les particulier en investisseurs, principaux les avec établis

rencontres aallmn,d obexcnat iet sont directs contacts nombreux de Parallèlement, ensei

g nemen motn ud ot prto significative. opération toute de ou important

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oruedfuinlree aied otévènement tout de rapide et large diffusion une pour g est SOCIALE

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DE LA PROTECTION LA DE usd rse s ytmtqeetms nœuvre en mise systématiquement est presse, de qués

LES ÉVOLUTIONS LES

ac note n oiiu ’nomto,prcommuni- par d’information, politique une outre, En t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

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t io n 000 000 000 20 s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é Notes de lectures sur l’échec historique des Caisses d’amortissement de la dette publique 1 Rémi Pellet Professeur à l’Université Paris V Descartes et à Sciences Po Paris, Pôle de recherche et d’enseignement supérieur Sorbonne Paris Cité

Le présent numéro de la revue Regards contribuera à mieux faire connaître l’histoire, l’organisation et le fonctionnement de la Caisse d’Amor- tissement de la Dette Sociale (CADES) qui a été créée en 1996 et dont la Cour des comptes a dit qu’elle « n’a pas d’équivalent en Europe (parce qu’) aucun de nos grands voisins européens, en particulier l’Allemagne, n’accepte que son système de Protection sociale soit durablement en déficit » 2. 40 Si les finances sociales sont des finances publiques, parce que les dépenses sociales sont financées par des prélèvements obligatoires 3,la dette dite sociale n’est pas gérée de la même façon que celle de l’État : ainsi, le statut et les fonctions de la Caisse de la Dette Publique (CDP), qui a remplacé en 2003 la Caisse d’Amortissement de la Dette Publique (CADEP), ne sont pas véritablement comparables à ceux de la CADES. Ces différences nous semblent devoir être expliquées. Mais il faut également souligner le fait que la création de la CADES s’inscrit dans une longue tradition financière : l’étude de l’histoire des finances publiques permet ainsi d’établir que la CADES est un nouvel avatar d’une des formes anciennes de gestion des dettes publiques. Il nous paraît donc utile de mettre la CADES en perspective historique en rappelant l’origine des Caisses d’amortissement des dettes publiques et le destin, toujours funeste, qui fut le leur, au point qu’un économiste a pu écrire que « l’histoire de la dette publique française est une sorte de cime- tière de Caisses d’amortissement » 4.

1. Cet article est une sorte de prolégomène à un ouvrage en cours de rédaction : Rémi Pellet, Finances publiques et marchés financiers, LGDJ, collection Systèmes, 2012. 2. Cour des comptes, Rapport Sécurité sociale 2011, septembre 2011, p. 104. 3. Cf. Rémi Pellet, Les finances sociales : économie, droit et politique, LGDJ, 2001. 4. Michel Lutfalla, « De quelques illusions en matière de dette publique. Regard d’un économiste sur le long XIXe siècle français », in Jean Andreau, Gérard Béaur, Jean-Yves Grenier, La dette publique dans l’histoire, Ministère de l’Économie et des Finances, Comité pour l’histoire et financière de la France Éditions, 2006, p. 434.

n ,19,p 149. p. 1992, 2,

o

o.7, vol. politique, d’économie Revue » sources aux retour Un publique. dette la ou L’impôt « Herlan, Michel 7.

de-la-de.html

.http://www.telos-eu.com/fr/globalisation/finance-mondiale/pour-une-caisse-europeenne-damortissement- 6.

oratfiedspooiin aslsdu os » mois. deux les dans propositions des faire pourrait

et.Ai ’vle orceettu e set tlsicdne ectesgeto,u rued travail de groupe un suggestion, cette de incidences les et aspects les tous correctement d’évaluer Afin dette.

e acé iaces ncû erfnneetmislud n cééaind ebusmn ela de remboursement du accélération une lourd, moins refinancement de coût un financiers, marchés des

iaces efnneetprléagepié rnas rsneattosaatgs:uemidedépendance moindre une : avantages trois présenterait française privée l’épargne par financement Ce financiers.

eatifrer el e mrnsitrainu,piqel axd irtAetifreràclidsmarchés des celui à inférieur est A livret du taux le puisque internationaux, emprunts des celle à inférieure serait

el el éuto e éiis ’vnaed essèesri u acag ecsbn d’épargne bons ces de charge la que serait système ce de L’avantage déficits. des réduction seule la de

el et,qipuri is ocui nrmoreetd adtepbiu lsrpd u eu résultant celui que rapide plus publique dette la de remboursement un à concourir ainsi pourrait qui dette, la de

irtA sotsdu vnaefsa.Lssme olcéssrin pote aCis d’amortissement Caisse la à apportées seraient collectées sommes Les fiscal. avantage d’un assortis A, livret

osrpinsri rpseaxpriuir.Csbn ’prn eaetéi umm axqeclidu celui que taux même au émis seraient d’épargne bons Ces particuliers. aux proposée serait souscription

a ’prn rventoae ’ttéetatprtace hqeanedseput eptesdn la dont perpétuels emprunts des année chaque tranches par émettrait L’État nationale. privée l’épargne par

lsrpdmn.Pu avnr epooel rainduecis ’mrismn el et,alimentée dette, la de d’amortissement caisse d’une création la propose je parvenir, y Pour rapidement. plus

4fvir21,«Nu eostovrl oe enu désendetter nous de moyen le trouver devons Nous « 2011, février 24 Figaro, Le Balladur, Édouard M. 5.

60 e iacsagass aslu tutr,rsebetd’assez ressemblent structure, leur dans anglaises, finances les 1660,

iuto iacèeéatcmaal ngo,e 60e noeen encore et 1640 en gros, En « : comparable était financière situation

eetdféet asl oan e iacspbius lr u leur que alors publiques, finances des domaine le dans différents lement

ice aFac tlAgeer otfiedscoxradica- choix des faire vont l’Angleterre et France la siècle, XVII Au

e

e1716 de » fund Sinking « du l’échec de précédent Le I.

nlge»srinternet. sur » ligne en «

cesbe ursdséier,dn e ilohqe nvriarset universitaires bibliothèques les dans éditeurs, des auprès accessibles

41 ni ulcerd osle e ore aatsqisn aisément sont qui savantes sources ces consulter de lecteur au envie

e xrisd obexlve tatce,acese éet,donneront récents, et anciens articles, et livres nombreux de extraits les

cdmqe hsor,éooi,dot oilge.Nu séosque espérons Nous sociologie). droit, économie, (histoire, académiques

octu u urgsq’lct tqirlvn epuiusdisciplines plusieurs de relèvent qui et cite qu’il ouvrages aux tout donc

ebe ril ’s ops u entsd etrs:i doit il : lectures de notes de que composé n’est article bref Ce

. u éietd eate» renaître de méritent qui

7

aorcosrpritu e lmnsacesdn n ed ’sg,ceux l’usage, perdu ont dont anciens éléments les tous parmi choisir savoir

eu lmnsd éos etnns;latedmnesueetde seulement demande l’autre ; pertinents réponse de éléments veaux

’mloe exvissn uets:luepseprlivnind nou- de l’invention par passe l’une : ouvertes sont voies deux l’améliorer

asue t atn el,q’lenetpu-tepsl eler.Pour meilleure. la pas peut-être n’est qu’elle là, de partant et, seule, la

apleopruéetqentefçnd oe e usin ’s pas n’est questions les poser de façon notre que opportunément rappelle

atgoslié eo aule«l iee esetv itrqenous historique perspective en mise la « laquelle selon l’idée partageons

Nous . raindue«Cis uoénedaotseetd adte» dette la de d’amortissement européenne Caisse « d’une création

6

adsqedate noedfnetl rjtde projet le défendent encore d’autres que tandis , .ÉoadBalladur Édouard M. rencontres 5

ensei rnas,cmelapooéu ninPeirministre, Premier ancien un proposé l’a comme française,

g nemen eetpu tidelesml el et publique dette la de l’ensemble éteindre pour sement

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g d’amortis- Caisse nouvelle une créer de même ou CADES est SOCIALE

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DE LA PROTECTION LA DE is ’prce ancsiéo o efieprue la perdurer faire de non ou nécessité la d’apprécier ainsi

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t peut-être permettra précédents ces de L’analyse io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.254. p. Idem, 11.

dtosPU 95 .320. p. 1995, PAU, Éditions 1775, jusqu’en origines Des 1. France. la de Histoire Thiveaud, Jean-Marie 10.

.633. p. Idem, 9.

radCln ol elved oh,17,p 631. p. 1979, poche, de livre Le coll. Colin, Armand

iiiainmtrel,éooi tcptlse XVI capitalisme. et économie matérielle, Civilisation Braudel, Fernand 8. 2 e exd l’échange, de jeux Les T2. . -XVIII

e e

essèed anei ’fetto ufnsdaotseettu en tout d’amortissement fonds du l’affectation maintenir de système le

eedn,«pnatoz nés e11 77 nadopta on 1727, à 1716 de années, onze pendant « Cependant,

. el et ulqee aelsitrt » intérêts les paie et publique dette la de

11

ore elaotseet(.)e ecag elamnsrto quotidienne l’administration de charge se et (...) l’amortissement de sources

’nltre:céee 64clec s evrtbedpstiedsres- des dépositaire véritable le est « celle-ci 1694 en créée : d’Angleterre

u ocined ocr vcl Banque la avec concert de fonctionne qui » fund Sinking « un créé fut

is,cete 76 osl iitr esrRbr apl,que Walpole, Robert sir de ministère le sous 1716, en c’est Ainsi,

ersore iclsàu od autonome. fonds un à fiscales ressources de

ebusmn rgesfd aia el et ulqeprl’affectation par publique dette la de capital du progressif remboursement

ice e nli otêr e rmesàfieleprec du l’expérience faire à premiers les être vont Anglais les siècle, uXVIII du

e

et rsnainn otcpnatpsfieobirq’udébut qu’au oublier faire pas cependant doit ne présentation Cette

. om nulemisfremi el ae ojus(.)» (...) toujours payer la de mais forte moins annuelle somme

10

éemn ’néspu ovi nut elbrr ule epyrune payer de lieu au libérer, se ensuite pouvoir pour d’années déterminé

’ttfi éomi ecoxd ae aatg edn nnombre un pendant davantage payer de choix le désormais fait l’État

npééatl ovrindsrne eptelse etsviagères, rentes en perpétuelles rentes des conversion la préférant en «

epu npu erdtevaèee et eptel ,d ôéfrançais, côté du », perpétuelle dette en viagère dette leur plus en plus de

42 lr u e nli,cmelsHladi,«tasomn (ainsi) transforment « Hollandais, les comme Anglais, les que Alors

. acnined ulc» public du confiance la

9

o retàvlné .. ntlssèerpsi u e“rdtd l’État”, de “crédit le sur reposait système tel Un (...) volonté. à argent son

vne ’s emrce:lÉa ermoreps ecénirretrouve créancier le pas, rembourse ne l’État : miracle le C’est avance.

ti di è 62–dn ete,cau osq’ll et asson dans veut, le qu’il fois chaque rentrer, donc – 1692 dès admis était

iud.Qata rtu,i ettasée acéneàu ir ceci – tiers un à créance sa transférer peut il prêteur, au Quant liquide.

ndtecnoié,n a pie e esucse rdto nargent en ou crédit en ressources ses épuiser pas ne consolidée, dette en

ebusrprlÉa tclic et ntasomn adteflottante dette sa transformant en peut, celui-ci et l’État par rembourser à

ogtresettasom neputpréul è os lnetplus n’est il lors, Dès perpétuel. emprunt en transformé s’est terme long à

’mrn elnu ué t«cetcmed u-êeqel’emprunt que lui-même de comme c’est « et durée longue de l’emprunt

a ilus nAgeer,axeput or em esubstitue se terme court emprunts aux Angleterre, en ailleurs, Par

. nssèed rdtefcc » efficace crédit de système un

8

iace elÉa,lAgeer ’uatp éeoprcmeel ’ fait l’a elle comme développer pu n’aurait l’Angleterre l’État, de financier iie u aaiaetlÉa t«sn et ers nmi el’appareil de main en reprise cette sans « et » l’État parasitaient qui diaires rencontres

ensei nlie(.)acnit edbrasrdsintermé- des débarrasser se à consisté a (...) anglaise

g nemen é u diitaetlsfnne elÉa,«l réforme la « l’État, de finances les administraient qui vés

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iiedu op e«fnnir ,hme ’farspri- d’affaires hommes », financiers « de corps d’un diaire g est SOCIALE

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DE LA PROTECTION LA DE u amnrhefaçiev efnne a l’intermé- par financer se va française monarchie la que

LES ÉVOLUTIONS LES

ac rsaxfnne el rned etmsl .Alors ». temps-là ce de France la de finances aux près t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.325. p. cit., op. Thiveaud, Jean-Marie 14.

.456. p. Idem, 13.

96 .446. p. 1906,

ulamn/F Alcan, F. / Guillaumin public, crédit le et budget Le finances. des science la de Traité Leroy-Beaulieu, Paul 12.

nine tnuelsocsone a ager.L od edotation de fonds Le guerre. la par occasionnées nouvelles et anciennes

otslsate ase,uiumn etneàlaqitmn e dettes des l’acquittement à destinée uniquement Caisses, autres les toutes

rto atetèe leetdsicee éaé uTéo oa tde et royal Trésor du séparée et distincte est Elle entière. part à tration

elÉa ...L asegnrl eMcatetuevrtbeadminis- véritable une est Machaut de générale Caisse La (...). l’État de

nttto pcfqe aCis ééaepu ermoreetdsdettes des remboursement le pour générale Caisse la spécifique, institution

’mrn mse aall td ei lmne adtto ’n nouvelle d’une dotation la alimenter venir de et parallèle en émis l’emprunt

ouain e mô orfnto setel esri egrni à garantie de servir de essentielle fonction pour a impôt Cet population.

mô ’nvntèesrtu e eeu etue e lse ela de classes les toutes de revenus les tous sur vingtième d’un impôt

orpyrlsdte el ure ’ur tbisn nnouvel un établissant l’autre guerre, la de dettes les payer pour % 5 à

’npratsrléiso ’neputd , ilo elve erente de livres de million 1,8 de emprunt d’un l’émission sur portant l’un

a asie e9mi14,l o noedu dt uParlement, au édits deux envoie roi le 1749, mai 9 le « suite, la Par

. rsr:snfntonmn vi t us rfq’nprn » qu’inopérant bref aussi été avait fonctionnement son : Trésor

14

’ndrcere ’docinduelgecmtbedn e insdu lignes les dans comptable ligne d’une l’adjonction à et directeur d’un

pè e)séat asl rtqeisiuinel,rsmeàl nomination la à résumée institutionnelle, pratique la dans s’était, (et) après

ntté n12 a âi-ueny:mi leaatéé«lqié i ans six liquidée « été avait elle mais : Pâris-Duverney par 1722 en instituée

nFac,uepeir asedsrmoreet vi été avait » remboursements des Caisse « première une France, En

43 t14 (Machaut) 1749 et

I ’ce e ase e12 (Parîs-Duverney) 1722 de Caisses des L’échec II.

hqefi efçninfructueuse. façon de fois chaque

h amnrhefaçied etrleprec lser ersset reprises plusieurs à l’expérience tenter de française monarchie la ché

’ a odi éur epoessdedteet eanapsempê- pas n’a Cela d’endettement. processus le réduire à conduit pas n’a

et xéinemnr u acéto ’nfnsd’amortissement fonds d’un création la que montre expérience Cette

. ep uetpeqeqar ospu osdrbe » considérables plus fois quatre presque furent temps

13

rnspra aslssme mrnéspnatl êelp de laps même le pendant empruntées sommes les mais ; an par francs

irsseln 50mlin efac)e 6as e rs9mlin de millions 9 près peu à ans, 56 en francs) de millions (500 sterling livres

vi ori orl aeetd adtentoae nio 0mlin de millions 20 environ nationale, dette la de paiement le pour fourni, avait

age:«jsue 72 ’pè eD rc,l od d’amortissement fonds le Price, Dr le d’après 1772, jusqu’en « : maigre rencontres donc est fonds premier ce de bilan Le détourné. ensuite fut fonds du

ensei et ,l ytm u upnue 77e ecapital le et 1727 en suspendu fut système le », perte

g nemen ahti a ’mrismn,c u osiui ’tten l’État constituait qui ce l’amortissement, par rachetait

t

g les ne qu’on bas plus taux un à l’emprunt par rentes les est SOCIALE

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DE LA PROTECTION LA DE

ascme«o mtatgénéralement émettait on « comme Mais . ’xgaet» l’exigeaient

12 LES ÉVOLUTIONS LES

ac t l’État de besoins les quand côté, autre d’un empruntant io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.358. p. Idem, 18.

p 337-338. pp. cit., op. Thiveaud, Jean-Marie 17.

p 326-329. pp. Idem, 16.

p 324-325. pp. Idem, 15.

uetsn osblt elqiain » liquidation. de possibilité sans mulent

18

uvntèeputn etnsàcntte o od,lsdte s’accu- dettes les fonds, son constituer à destinés pourtant vingtième du

asndêr aCis ’mrismn ’tn lsrlé u revenus aux reliée plus n’étant d’amortissement Caisse La « : d’être raison

aCis s nut iee omi ac uel ed sa perdu a qu’elle parce » sommeil en mise « ensuite est Caisse La

rdi e môs » impôts. des produit

17

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ernrn api.L ulcaet i asctemsr n nouvelle une mesure cette dans lit averti public Le paix. la à reprendront

oenn n nensto a nitrtd ,e apoes qu’ils promesse la et %, 5 de intérêt un par indemnisation une moyennant

e aiaxpybe a eTéo tl asedsamortissements, des Caisse la et Trésor le par payables capitaux des

u2 cor 79odneaosl upnindsremboursements des suspension la alors ordonne 1759 octobre 21 du

ifclé el ure(eSp n)agetn,u rê uconseil du arrêt un augmentant, ans) Sept (de guerre la de difficultés

tl aseetrsé nfi nisrmn ami uri:«Les « : roi du main la à instrument un fait en restée est Caisse la Et

ulqen ’s a léé,a contraire. au allégée, pas s’est ne publique

et aslÉa mrnédn emm ep,d ot u adette la que sorte de temps, même le dans emprunté a l’État mais dette

ets aCis rcdr ’mrismn ’n ated la de partie d’une l’amortissement à procédera Caisse la Certes,

44

oreftprdxldacotelsdte elÉa.» l’État. de dettes les d’accroître paradoxal effet pour

16

expeirsgadsoéain el asedaotseetotdonc ont d’amortissement Caisse la de opérations grandes premières deux

oalsd anuel nttto n hnéd auee ri n.Les ans. trois en nature de changé ont institution nouvelle la de louables

e2 0 0 irse o ’nrmoreet e usapparemment buts Les remboursement. d’un non et livres 000 500 22 de

otésrlssbetosd rsr lsai ocdu ovlemprunt nouvel d’un donc s’agit Il Trésor. du subventions les sur moitié

ermoreetd er racs otésrlsfnsd aCaisse, la de fonds les sur moitié créances, leurs de remboursement le

e rpitie erne u e ie,lsgble tlsprsd’obtenir ports les et gabelles les aides, les sur rentes de propriétaires les

aslstxe rcdns .. usu rê u1 cor 72 autorise 1752, octobre 17 du arrêt un Puis (...) précédents. textes les dans

in eléalseete un o uooi oratcarmn affichée clairement pourtant autonomie son ruine et l’établissement de tions

eeu el ase et euedtun éàuepri e attribu- des partie une déjà détourne mesure Cette Caisse. la de revenus

ron nnue mrn e3 ilosdn ’néê eapi u les sur pris sera l’intérêt dont millions 36 de emprunt nouvel un ordonne

rne,q’lrnuel,puars osuu ovléi,rnul 0mai, 20 le rendu édit, nouvel lorsqu’un après, peu renouvelle, qu’il trances, neiteléi u2mi14,nnsn vi des e emsremon- fermes ses adressé avoir sans non 1749, mai 2 du l’édit enregistre

rencontres ieetdtuns:«L almn,fréprl roi, le par forcé Parlement, Le « : détournés sivement

ensei a,lsfnsd et asevn teprogres- être vont Caisse cette de fonds les Las, g nemen

t

eon eeordscnrbtoscmlmnars» complémentaires contributions des recevoir besoin,

. g

est SOCIALE 15

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DE LA PROTECTION LA DE ovliptpraetd igim et ncsde cas en peut, vingtième du permanent impôt nouvel

LES ÉVOLUTIONS LES

ac el aseeteeudrbeetprlsrnre du rentrées les par durablement entretenu Caisse la de t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

U,16,p.7-8. pp. 1966, PUF, financière, d’histoire ans cinquante Cent dépôts. des Caisse La Priouret, Roger 22.

91 n 1981, savants, ,p.397-421. pp. 4,

o

ora des Journal », (1724-1793) Laverdy de François Charles Clément érudit. financier Un « Fossier, François 21.

.366. p. cit., op. Thiveaud, Jean-Marie 20.

n française, Révolution la de historiques Annales 2,jiltspebe20,p 3. p. 2001, juillet-septembre 325,

o

9 luieWlkw iacse oiiu usèl e uirs–L iitr ’vry 7316)», 1763-1768) L’Averdy, ministère Le – Lumières des siècle au politique et Finances « Wolikow, Claudine 19.

. mrismnscetpre ncu ova ucéi ulc» public crédit au nouveau coup un porter c’est amortissements

22

otvoé el e môsdmuet tlisrlsipt asfieles faire sans impôts les laisser Et demeurent. impôts les Seuls violé. soit

lnapsflu«atnr lsd iqaspu u otc u s inviolable est qui ce tout que pour ans cinq de plus attendre « fallu pas n’a il

asedaotseetqisn éomi essa rsrryl Ainsi, royal. Trésor au versés désormais sont qui d’amortissement Caisse

e7jnir17 eCnrlu ééa erysaporelsfnsd la de fonds les s’approprie Terray général Contrôleur le 1770 janvier 7 le

tdvn ’umnaincntnedsbsisd l’État, de besoins des constante l’augmentation devant et , utc .. » (...) justice

21

ir u ué lssvrmn uel el éiat elVlar u rendit lui Voltaire Seul méritait. le ne qu’elle sévèrement plus jugée fut cière

asarsléito eLvry ot orcran,«lœvefinan- l’œuvre « certains, pour dont, Laverdy, de l’éviction après Mais

e exCisssn oésd esucsséparées. ressources de dotées sont Caisses deux Ces . nilbe”» inviolables”

20

oreetd aia el et,gâeàds“yohqe oie et solides “hypothèques des à grâce dette, la de capital du boursement

evc e réae tlate–l asedsaotseet erem- le – amortissements des Caisse la – l’autre et arrérages des service

esnesdsics orasrr ’n aCis e réae le – arrérages des Caisse la – l’une assurer, pour distincts, personnels

u rvi acéto edu ase pcae,dte efnse de et fonds de dotées spéciales, Caisses deux de création la prévoit qui

adcaaind 73etsii ’néi edcmr 1764 décembre de édit d’un suivie est 1763 de déclaration La «

ot êepu ae uu réae ». arrérages aucun payer pour même soit,

npis nêr itatacn atepu ulu etnto u ce que destination quelque pour partie aucune distrait être en puisse en 45

aiaxdsdte elÉa,tn nine u ovle .. asqu’il sans (...) nouvelles que anciennes tant l’État, de dettes des capitaux

mlys nilbeete xlsvmn,àrmore téenr les éteindre et rembourser à exclusivement, et inviolablement employés,

nuld ig ilosafcé eptiéàl iéain orêtre pour libération, la à perpétuité à affectés millions vingt de annuel

tevsg u«i otfi asl asedsaotseet nfonds un amortissements des Caisse la dans fait soit il qu’« envisage et

1nvmr 73éou albrto elÉa,cmeceds14 » 1749 dès commencée l’État, de libération La « évoque 1763 novembre 21

e mrismnsd aCis e14,l élrto oaedu royale déclaration la 1749, de Caisse la de amortissements des

pè nartd osi u1 un16 u ron areprise la ordonne qui 1763 juin 19 du conseil du arrêt un Après

. asedaotseetcéeprMcat» Machaut par créée d’amortissement Caisse

19

iclsto e ets ase e axditrt,cmeàrlne la relancer à comme d’intérêts, taux les baisser à rentes, des fiscalisation

lari énon rpr e srt,e avetàfieacpe une accepter faire à parvient et esprits, les préparé néanmoins aurait il

eetsbue) ’vryrjteléetaiéduebnurue laquelle à banqueroute, d’une l’éventualité rejette L’Averdy brutes), recettes

otel prl eledteet(vlée 74àsp nésde années sept à 1764 en (évalué l’endettement de spirale la contre «

rencontres Et généraux. contrôleurs des jeune plus le ainsi devient ensei qui et ans trente-neuf de âgé Laverdy), (ou L’Averdy à

g nemen usri el ured etas erifi appel fait roi le ans, Sept de guerre la de sortir Au t

g est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE (Laverdy)

LES ÉVOLUTIONS LES ac t 1764 de Caisse la de L’échec III. io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ahte lre,H59 98 .69. p. 1988, H8549, Pluriel, Hachette, 1770-1814, II, Révolution, La Furet, François 26.

U,17,p 317. p. 1970, PUF, (1660-1789), industriel l’âge de préludes aux seigneurial

itieéooiu tscaed aFac.T .Dsdrir ep el’âge de temps derniers Des 2. T. France. la de sociale et économique Histoire (dir.), Labrousse Ernest

5 enBuir esl aiaim acie:lepnind rdtarsLw» nFradBadlet Braudel Fernand in », Law après crédit du l’expansion : bancaire capitalisme le Vers « Bouvier, Jean 25.

.11. p. cit., op. Grenier, Yves

4 enYe rne,«Itouto etsdÉa,dtepbiu ,i enAdeu éadBar Jean- Béaur, Gérard Andreau, Jean in », publique dette d’État, dettes : Introduction « Grenier, Jean-Yves 24.

oiépu ’itiee iacèed aFac dtos 06 .367. p. 2006, Éditions, France la de financière et l’histoire pour Comité

iitr elÉooi tdsFinances, des et l’Économie de Ministère l’histoire, dans publique dette La Grenier, Jean-Yves Béaur, Gérard

3 iéprJa efr ’g lsiu el et ulqeaéian 18-96 ,i enAndreau, Jean in », (1789-1916) américaine publique dette la de classique L’âge « Heffer, Jean par Cité 23.

lfi rnr e3 ot18 néi rat«ueCis d’amortissement Caisse une « créant édit un 1784 août 31 le prendre fait il

a aon emngapslsefrspu asrrlsrnir .Ainsi, ». rentiers les rassurer pour efforts les pas ménagea ne Calonne car

eedn,«Façi térness otin noeacquéreurs encore portaient se étrangers et Français « Cependant,

. i etcnunemlin ntosase ei» demi et ans trois en millions cinquante cent six

26

etue an,pu noee lsce noeqesspééesus: prédécesseurs ses que encore cher plus et encore plus mains, toutes de

et ttoscn utevntdxd ope rirsàsle.I emprunte Il solder. à arriérés comptes de quatre-vingt-dix cent trois et dette

é a niiain excn iqat bobsprl evc ela de service le par absorbés cinquante cent deux anticipation, par més

et ilosd eetsanels etsiat-ez ilosconsom- millions soixante-seize cent annuelles, recettes de millions cents

om otôergnrle 73 aon rué u six sur trouvé, a Calonne « 1783, en général Contrôleur Nommé

.Léhcd aCis e18 (Calonne) 1784 de Caisse la de L’échec V.

asedeputpuô u asedecmt »... d’escompte Caisse que plutôt d’emprunt Caisse «

46 te i sg e u eu-il ats vcà-propos avec baptisa la celui-ci que tel usage fit en et aCis » Caisse la

25

el et ulqe .. ase vi 78 ekréat acadde Panchaud écarta Necker 1778, avril en Mais (...) publique. dette la de

atlÉa,tu nmtatsrpe nssèedaotseetprogressif d’amortissement système un pied sur mettant en tout l’État, tait

omril t a ioht nrîe abis e axaxul emprun- auxquels taux des baisse la entraîner ricochet, par et, commercial,

ar”(.) ’s--iesrl acéd rdtàcuttre ucrédit du terme, court à crédit du marché le sur c’est-à-dire (...), taire”

lsaisi e«fiebisrl axd ’néê u emrh “moné- marché le sur l’intérêt de taux le baisser faire « de s’agissait Il

rpiu tlesréconomique. l’essor et graphique

episd adteprleftcmiéd ’nlto,l risnedémo- croissance la l’inflation, de combiné l’effet par dette la de poids le

eréduire de , iacese riat,tè otu orlsfnne oae » royales finances les pour coûteux très traitants, et financiers

24

otniée apbiiéd adte e«cnore e intermédiaires, les contourner « de dette, la de publicité la et continuité

mgneprl aqirsis sa acaddn ebtdasrrla d’assurer but le dans Panchaud Isaac suisse banquier le par imaginée

amm né,Tro cet epoe eCis d’escompte Caisse de projet le accepte Turgot année, même La

otslsgadsntosdErp t atu nfre » uniforme. partout été a d’Europe nations grandes les toutes

23 caete unrn rbbeetdn eln terme long le dans probablement ruineront et écrasent rencontres

ensei ’umnaindséomsdte u présent à qui dettes énormes des L’augmentation «

g nemen n17 dmSihcntt tpohts : prophétise et constate Smith Adam 1776 En t

g est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE (Turgot-Panchaud-Necker)

LES ÉVOLUTIONS LES ac V ’ce el ased 1776 de Caisse la de L’échec IV. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ahteltéaue,19,p 127. p. 1991, littératures, Hachette II, Régime, L’Ancien Ladurie, Roy Le Emmanuel 32.

.6. p. cit., op. Grenier, Jean-Yves par Cité 31.

.242. p. cit., op. Legay, Marie-Laure 30.

.229. p. cit., op. Legay, Marie-Laure 29.

.8. p. cit., op. Priouret, Roger 28.

dtosEES 01 .225. p. 2011, EHESS, Éditions française, Révolution

abnurued ’ttryl agsindsfnne ulqe eCletàla à Colbert de publiques finances des gestion La royal. l’État de banqueroute La Legay, Marie-Laure 27.

. ect-id hne » Channel du côté-ci ce

32

te nltre aslspimnsditrt nul eotdulsde doubles seront annuels d’intérêts paiements les mais Angleterre, en et

emnru e y,l et ainl ead êeodee France en ordre même du sera nationale dette la Lys, des monarque le

’mrqe otlscnéune iacèe eotdssrue pour désastreuses seront financières conséquences les dont d’Amérique,

atasaec rel ofac is,«lr el guerre la de lors « ainsi, : confiance la crée transparence La

. hmrqe,cmansisprbe elosuié» l’obscurité de inséparables compagnes chimériques,

31

éess l esn on rulsprcssuçn tcscraintes ces et soupçons ces par troublés point sont ne ils dépenses,

éuirmn apooto uo anin nr e eeu tles et revenus les entre maintient qu’on proportion la régulièrement

almn,o ’mrm nut,e oslspêer onisn ainsi connaissent prêteurs les tous et ensuite, l’imprime on Parlement,

omsléa essfnne.Cau né,ctéa s rsnéau présenté est état cet année, Chaque finances. ses de l’état soumis

xlqel ucsd ’nltrepr«l ooit ulqeàlqel est laquelle à publique notoriété la « par l’Angleterre de succès le explique

e1781 de roi au Rendu Compte son dans Necker, Jacques : finances 47

in el ofac nognsn atasaec tl ulct u ses sur publicité la et transparence la organisant en confiance la de tions

ecnre ors eiacr lr u ’nltreas re e condi- les créer su a l’Angleterre que alors refinancer, se pour rencontrées

elÉa xlqelsdfiutspriuirsqel oaci rnas a française monarchie la que particulières difficultés les explique l’État de

ersu ’ririeeteeuprl ut usce u e finances les sur secret du culte le par entretenu d’arbitraire risque Le

n et éiiied aia.» capital. du définitive perte une

30

e fespbis asseso e réae erne asi craindre faisait rentes de arrérages des suspension La publics. effets des

rnepu e obexrnir elÉa,vcie el dévaluation la de victimes l’État, de rentiers nombreux des peur grande

edesspimns:«L rmèeRvlto t naé a la par engagée été a Révolution première La « : paiements ses pendre

tprlartd osi u1 ot18,l oaci u sus- dut Monarchie la 1788, août 16 du conseil du l’arrêt par et in» tion

29

e uisbnarse opals aoial éhîeetd aspécula- la de déchaînement le favorisa comptables, et bancaires outils des

ulqe narrjrdqeete ehiumn o rdtgâeà grâce crédit son techniquement et juridiquement encadrer à publique,

is,«(.)licpct elÉa rnasàisiuinaie adette la institutionnaliser à français l’État de l’incapacité (...) « Ainsi,

. ismn”naéédtedacn raiainamnsrtv » administrative organisation d’aucune dotée été n’a tissement”

rencontres 28 ensei d’amor- “Caisse nouvelle la Mais (...) constitués”. capitaux

g nemen e od nbalbe ’mrismn ucsi des successif l’amortissement inébranlables fonds des

t

g sur enfin “d’établir « est 1784 de l’édit de L’objet est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE

. rneetsufr el éuto e17 » 1770 de réduction la de souffert grandement

27 LES ÉVOLUTIONS LES

ac t avaient qui belges capitalistes les rassurer de susceptible io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

obne 07 .1. p. 2007, Sorbonne,

emrh iace rnasa XIX au français financier marché Le (dir.), Hautcoeur Pierre-Cyrille ulctosd la de Publications Récit, 1, vol. siècle,

e

5 enMreVsi,«Léhcd aCis ’mrismn ,Anx e nee nomtqe,in informatiques, annexes des 1 Annexe », d’amortissement Caisse la de L’échec « Vaslin, Jean-Marie 35.

.325. p. Idem, 34.

radCln 99 p 322-324. pp. 1979, Colin, Armand Monde,

ice .3 eTmsdu Temps Le 3. T. siècle. -XVIII XV capitalisme, et économie matérielle, Civilisation Braudel, Fernand 33.

e e

. mrn a e nutscntne » constantes annuités des par emprunt

35

’plcto u etsdspicpsrgsatlaotseetd’un l’amortissement régissant principes des rentes aux l’application

etsdvaetêr tits nfi,i ’gtprmn tsmlmn de simplement et purement s’agit il fait, En éteintes. être devraient rentes

’ca enueu irs ubu ’ncrannmr ’nés les d’années, nombre certain d’un bout Au titres. nouveaux de l’achat

néêsagetn acpct ’mrismn usuissretà servent puisqu’ils d’amortissement capacité sa augmentent intérêts

auleel cèee oredsrne ndsosd ar asles Mais pair. du dessous en rentes des bourse en achète elle laquelle

eotuedtto nuleavec annuelle dotation une reçoit hoc ad Caisse une « dit, Autrement

’mlyrlitrtd e etsàe cee ’urs t.(.)». (...) etc. d’autres, acheter en à rentes ces de l’intérêt d’employer

emrh iace npeatcle otlscussn e lsbs; bas plus les sont cours les dont celles prenant en financier marché le

mrn otat ecnarrctesmeàlahtd etssur rentes de l’achat à somme cette consacrer de ; contracté emprunt

e néêscmoé lsai edsrie1%d otn echaque de montant du % 1 distraire de « s’agit il : composés intérêts des

ulcsrl et ainl aslqe lpooedapiurl théorie la d’appliquer propose il lequel dans » nationale dette la sur public

is,e 72 ihr rc vi ac ode n«aplau appel « un Londres à lancé avait Price Richard 1772, en Ainsi,

ete u plqatu ova rniemathématique. principe nouveau un appliquant lui en ment

nli otànueueprmne epoééd aCis d’amortisse- Caisse la de procédé le expérimenter nouveau à vont Anglais

ojussuiu ’mloe agsind erdtepbiu,les publique, dette leur de gestion la d’améliorer soucieux Toujours

48

! frrcn » cinq offrir

34

nli u ead ’mrn ri ilosd irsseln ’nvoit s’en sterling livres de millions trois l’emprunt à demandé a qui anglais

esn aFac,ssalé tbe ’ursErpes egouvernement le Européens, d’autres bien et alliés ses France, la pensent

xml,«e vi 72 asuestaindfiie rsu asissue, sans presque difficile, situation une dans 1782, avril en « exemple,

te fe,par effet, en Et . ar e mrnsqiotsrrse tnélErp”» l’Europe” étonné et surpris ont qui emprunts des faire

33

’suac almnar n tbil rdtd ’nltre upitde point au l’Angleterre, de crédit le établi ont parlementaire l’assurance

aulecsitrt cu el et)otéépyse ’deq’nade a qu’on l’idée et payés été ont dette) la de (ceux intérêts ces laquelle

uieqadi ci 17):“’xciuesrpluee nilbeavec inviolable et scrupuleuse “L’exactitude : (1771) écrit il quand lucide

ummn rcso lee vi eon ’s sa ePnoqiest qui Pinto de Isaac C’est besoin. avait en elle où précis moment au

rtniu.El i adsoiind ’nltredéomssommes, d’énormes l’Angleterre de disposition la à mis a Elle britannique.

el ir trig .. adtepbiu t agad asnd avictoire la de raison grande la été a publique dette La (...) sterling. livre la de

oc otasisnuirqeclid asaiiécntmetmaintenue constamment stabilité la de celui que singulier aussi tout force

ilsd adtepbiu.Nyaorjmi aqé ’s ntu de tour un c’est manqué, jamais avoir N’y publique. dette la de gibles mlqatl èlmn oculdsitrt asfnexi- fin sans intérêts des ponctuel règlement le impliquait rencontres

ensei sud eq’naapl arvlto iacèeanglaise, financière révolution la appelé a qu’on ce de issu

g nemen om ’ci enn rue,«(.)l système le (...) « Braudel, Fernand l’écrit Comme t

g est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE eléhcagasd 1786 de anglais l’échec de

LES ÉVOLUTIONS LES ac I e rnasn ieotpslsleçons les pas tireront ne Français Les VI. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.461. p. cit., op. Leroy-Beaulieu, Paul 38.

92 o.7 n 7, vol. 1992, -,p 124. p. 7-2,

o

eu rnas d’économie, française Revue », publiques dépenses aux fournir de moyen meilleur Le « Ricardo, David 37.

.459. p. cit., op. Leroy-Beaulieu, Paul 36.

siècle. e rnasa or uXIX du cours au Français les

e

e osispriet ’n ahuesmn a t uvspar suivis été pas malheureusement n’ont pertinents conseils Ces

uqadlsbdessn ndfctn etêr u encex » pernicieux. que être peut ne déficit en sont budgets les quand ou

38

°U ytm ’mrismn u ocinee ep eguerre de temps en fonctionne qui d’amortissement système Un 3°

mrns otêr condamné. être doit emprunts,

u s amm hs,dn emm ep u ’ttcnrcedes contracte l’État que temps même le dans chose, même la est qui

°Tu mrismn ocinata oe ’mrns u ce ou, d’emprunts, moyen au fonctionnant amortissement Tout 2°

e tre e eetssrlsdépenses. les sur recettes des réel et net

°Laotseetn etfntonrqelrq’lyau excédent un a y lorsqu’il que fonctionner peut ne L’amortissement 1°

rnie odmnaxsiat : suivants fondamentaux principes

atqe«tu o ytm ’mrismn eatrpsrsrlstrois les sur reposer devait d’amortissement système bon tout « que rait

u décla- qui l’amortissement sur Essai un publia Grenville Lord 1827 En

ebusmn el et..» dette... la de remboursement

37

enuelsrsore,a iud e adrdsoilse u du vue en disponibles garder les de lieu au ressources, nouvelles de

49 evn ojussri,pu e uo ’ndnel en,às procurer se à peine, la donne s’en qu’on peu pour servir, toujours peuvent

osineaos neft u e éevsd od d’amortissement fonds du réserves les que effet, en alors, conscience

onr rvcto e nieaàete asu ova ofi.Isauront Ils conflit. nouveau un dans entrer à incitera les provocation moindre

oetacmlsdn n asedaotseetpnatl axe la et paix la pendant d’amortissement Caisse une dans accumulés soient

uàl otne ofrzqedsfnsu atsi e considérables peu soit tant un fonds des que Souffrez « : continuer la à ou

ismn ac uispuaetictrlsguennsàfiel guerre la faire à gouvernants les inciter pouvaient qu’ils parce tissement

ercte adsqeDvdRcroe 80cnan e od d’amor- fonds les condamna 1820 en Ricardo David que tandis recettes de

oatl rnieslnlqe nn otaotrq’vcdsexcédents des qu’avec amortir doit ne on lequel selon principe le posait

n11 aCabedscmue dpauerslto qui résolution une adopta communes des Chambre la 1819 En

. at» tait

36

ebusi ojusàu axpu lv u etu uulo emprun- on auquel taux le que élevé plus taux un à toujours remboursait

’nct,e uo ebusi iutnmn elatect ason mais ; côté l’autre de simultanément remboursait qu’on et côté, d’un

ice edn ager otel rne nempruntait on « France, la contre guerre la pendant siècle, éu uXIX du début

e rencontres qu’au parce échoua système le garanties, ces malgré Cependant

ensei et ainl ». nationale dette

g nemen aated iq«cmisie orl éuto ela de réduction la pour commissaires « cinq de garantie

t

g la et l’administration sous plaçant le en absolue nomie est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE ree 76un 1786 en crée od consolidé fonds tliasr n auto- une assure lui et

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t Pitt William 1716, de précédent du l’échec Malgré io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.123. p. cit., op. Vaslin, Jean-Marie 43.

p 9-10. pp. cit., op. Priouret, Roger 42.

ulctosd aSron,20,p 120. p. 2007, Sorbonne, la de Publications Paris, de

emrh iace rnasa XIX au français financier marché Le ice set uniaisdsatuse e ntuet aBourse la à instruments des et acteurs des quantitatifs Aspects siècle.

e

1 enMreVsi,«L icedo el et eptel rnas ,i ere ali-aon (dir.), Gallais-Hamonno Georges in », française perpétuelle rente la de d’or siècle Le « Vaslin, Jean-Marie 41.

.196. p. cit., op. l’histoire, dans

adtepublique dette La Grenier, Jean-Yves Béaur, Gérard Andreau, Jean in », privés intérêts des pays au commun

0 oetDsio,«L éaiédsofcscmedtepbiu oslace éiefaçi.L bien Le français. régime l’ancien sous publique dette comme offices des vénalité La « Descimon, Robert 40.

.4. p. cit., op. Grenier, Jean-Yves 39.

unelanlto epu e ri urs(7% el et ulqe» publique dette la de %) (77 quarts trois des plus de l’annulation quence .

43

s ueete ipeetanle et prto dn)apu consé- pour a (donc) opération Cette annulée. simplement et purement est

nfi,«uepri e ets om e racsdsémigrés, des créances les comme rentes, des partie une « fait, En

’s abnuruedsdu ir ». tiers deux des banqueroute la « c’est : osld”(.)» (...) consolidé”

42

orsodn u extesd er ris:dsrasrdisa “tiers au réduits désormais : droits leurs de tiers deux aux correspondant

ebe19)dcd u oslscénir elÉa uiotueperte une subiront l’État de créanciers les tous que décide 1797) tembre

asqar n lstr,«l o u9vnéiieA I(0sep- (30 VI An vendémiaire 9 du loi la « tard, plus ans quatre Mais

lcis » blicains.

et,nu ééos ttu e racesd aRpbiu eotrépu- seront République la de créanciers les tous et répétons, nous dette,

is,Cmo rcae:«Rpbiaie la Républicanisez « : proclame Cambon Ainsi, . esuindsrnir » rentiers des soutien le

41

eonisn e etsd ’ninRgm,l éouin«pu espérer peut « Révolution la Régime, l’Ancien de dettes les reconnaissant

ulqe fnd inl onîr,mi ’betfetasipltqe:en : politique aussi est l’objectif mais connaître, la bien de afin » publiques

otlojtetd odee nsu ir e nine créances anciennes les titre seul un en fondre « de est l’objet dont

rn ir el et publique dette la de Livre Grand le crée 1793 août 24 du loi La 50

rsrdcl » radical. très

40

èepbi ’n et u uvctàu hneetd éieprailleurs par régime de changement un à survécut qui dette d’une public tère

opgisdofces(.) nn ari vi lsfrepev ucarac- du preuve forte plus avoir saurait ne On (...). d’officiers compagnies

ote rcdn alqiaindstte te ernn e etsdes dettes les reprenant en et titres des liquidation la à procédant en tout

eontl otniédseggmnsd ’tte blsatl vénalité la abolissant en l’État de engagements des continuité la reconnut

obnn ahiedspiièe vcsnrsetd apropriété, la de respect son avec privilèges des haine sa combinant

aRévolution, La « . e mli éaxae acéto e sint » assignats des création la avec vénaux emplois les

39

nrpeatlsdte e opgisdofcese nremboursant en et d’officiers compagnies des dettes les reprenant en

epc el rpit,rcnu acniut e naeet el’État de engagements des continuité la reconnut propriété, la de respect

elAce éie:«(.)l éouin éienueusi net par est, en s’il nouveau régime Révolution, la (...) « : Régime l’Ancien de

races aaoaeetl éouinfaçiev ooe e dettes les honorer va française Révolution la paradoxalement créanciers,

obexpoéé ririe u n ei ncuelsdot eses de droits les cause en remis ont qui arbitraires procédés nombreux lr u amnrhefaçiedAce éiearcuuàde à recouru a Régime d’Ancien française monarchie la que Alors rencontres ensei

g nemen

vn edcdrl banqueroute la décider de avant

t

elAce Régime l’Ancien de g est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ooelsdettes les honore

LES ÉVOLUTIONS LES ac I.L éouinfrançaise Révolution La VII. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

p 13-14 pp. cit., op. Priouret, Roger 47.

.163. p. Idem, 46.

iace rnasa XIX au français financier ulctosd aSron,20,p 164. p. 2007, Sorbonne, la de Publications Récit, 1, vol. siècle,

e

emarché Le (dir.), Hautcoeur Pierre-Cyrille in », financier marché du constructeur L’État « Kang, Zheng 45.

p 9-10. pp. cit., op. Priouret, Roger 44.

vn de avant osrpind aia ’rgn el aqed rne» France de Banque la de d’origine capital du souscription

47

’mrismn rn n atpéodrnel ets nVI la à VIII An ventôse 7 le prépondérante part une prend d’amortissement

a ilus ojusgâeaxcuineet ess aCaisse la versés, cautionnements aux grâce toujours « ailleurs, Par

. iqeeié elÉa » l’État de exigée risque

46

éoibe ,scatqelojci s efiebisrl rm de prime la baisser faire de « est l’objectif que sachant », négociables

hredsrcvusgnru.L rsre atd éialsvaleurs véritables de fait en Trésor Le généraux. receveurs des charge

ax e biain n orcnrpri e etésdsipt la à impôts des rentrées les contrepartie pour ont obligations Ces raux.

sope e biain uTéo osrtsprlsrcvusgéné- receveurs les par souscrites Trésor du obligations les escompter à

urmn i,«l asedaotseetepoessressources ses emploie d’amortissement Caisse la « dit, Autrement

généraux.

a o rdteta lsbs e biain mssprlsreceveurs les par émises obligations les bas, plus au est crédit son car

’vtra rsrdecmtrapè e aiaitse rnsfrais, grands à et capitalistes des auprès d’escompter Trésor au d’éviter

er oesd aeet(e etésfsae)» et euepermet mesure Cette ». fiscales) rentrées (les paiement de moyens leurs

a ùcle u eaetpéete u eeer ééaxexcéderaient généraux receveurs aux présentées seraient qui celles où cas

iuarsd rie ncruainq’l orots ore esel aux « elle vers tourner se pourront qu’ils circulation en traites de titulaires

aCis otsri aatraux garantir à servir doit Caisse La . inô ncptld 0mlin » millions 70 de capital un bientôt

45

ifrne esucs adtto el asedaotseetatteint d’amortissement Caisse la de dotation la ressources, différentes 51

eeteàl asedaotseetlsfnscrepnat.Ae ces Avec correspondants. fonds les d’amortissement Caisse la à remettre

uTéo,asjti ’biaind atonmn,dietpuàpeu à peu doivent cautionnement, de l’obligation à assujettis Trésor, du

sèe éalqe e eeer ééax us oslscomptables les tous « Puis, généraux. receveurs des métalliques espèces

’mrismn u eote aia e i ilosd atonmn en cautionnement de millions dix les capital en reçoit qui d’amortissement

alid rmieA II(7nvmr 79 reueCaisse une crée 1799) novembre (27 VIII An frimaire 6 du loi La

td l’Empire de et

II aCis ’mrismn uConsulat du d’amortissement Caisse La VIII.

tissement.

éoiarse e etesprl rainduenuel ased’amor- Caisse nouvelle d’une création la par rentiers des et dépositaires rencontres des confiance la rétablir de s’efforcer va Bonaparte Consul, Devenu

ensei . an uTéo » Trésor du mains

44

g nemen vin t mnsà“osge”dsfnseteles entre fonds des “consigner” à amenés été avaient

t

g judiciaire, obligation par souvent qui, particuliers les est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE etes ’s--ielspêer elÉa.El atteint a Elle l’État. de prêteurs les c’est-à-dire rentiers,

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t les touché seulement pas n’a banqueroute la « Et io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

p 27-28. pp. Idem, Priouret, Roger 50.

p 13-14. pp. Idem, 49.

p 14-15. pp. Idem, 48.

or el et om esgeduehsiiéevr o gouvernement, son envers hostilité d’une signe le comme rente la de cours

urmn i,«l rme osl u osdr ot asedu baisse toute considère qui consul, Premier le « dit, Autrement

etepu e rnatosae e racese e orisus». fournisseurs ses et créanciers ses avec transactions ses pour mettre

ecusd arnedtriel axditrtaqe ’ttdi esou- se doit l’État auquel d’intérêt taux le détermine rente la de cours le «

aCis evi glmn ofe esuindsrne ac que parce rentes des soutien le confier également voit se Caisse La

. esriernua ulc» public au rendu service ce

50

acnridelsrgmsftr rlne ’n air ud l’autre de ou manière d’une prolonger à futurs régimes les contraindre va

’mielsdpt tcnintos«aetéécnevse rentabilisés et conservés été aient « consignations et dépôts les l’Empire

tlséalseet ulc,ntoaxo oax efi u rc à grâce que fait Le » locaux. ou nationaux publics, établissements les et

ir od ertat osiusdn e iitrs e administrations les ministères, les dans constitués retraite de fonds miers

le s peé eeore lcrlspeir aiaxdspre- des capitaux premiers les placer à et recevoir à appelée est elles

êeliatrs aCis eeorlsdpt ootie.«Àc titre, ce À « volontaires. dépôts les recevoir à Caisse la autorise loi même

euoppu ernmd aCis ’mrismn .Praler,la ailleurs, Par ». d’amortissement Caisse la de renom le pour beaucoup

hqesmecnine ’plcto erued et éom fait réforme cette de heureuse L’application consignée. somme chaque

etu ri asecr aCis otlu esru néê e3%sur % 3 de intérêt un verser leur doit Caisse la encore mais ; frais tous de

tlstus o elmn exc otdsesspu apeir fois première la pour dispensés sont ceux-ci seulement Non utilisateurs.

edlscniin iacèe eloéainpu vnaesspu les pour avantageuses plus l’opération de financières conditions les rend

aCis nlicnéatàc ue nvrtbemnpl,l loi la monopole, véritable un sujet ce à conférant lui en « : Caisse la à 52

dpe alid 8nvs nXI u ofel eto e consignations des gestion la confie qui XIII An nivôse 28 du loi la adopter

etmn ’néuié aoénetn éalrl ofac nfaisant en confiance la rétablir entend Napoléon d’insécurité, sentiment

ac u a«bnuruedsdu ir vi réu grave un créé avait » tiers deux des banqueroute « la que Parce

evc riar ». ordinaire service

inqelÉa epu ise esii oaeet ilscniràun à confier les ni totalement, dessaisir s’en ni peut ne l’État que lien

otcnirdstce iacèe iprtsaateteelsc double ce elles entre ayant disparates financières tâches des confier voit

aCis ’mrismn ’ndsaatpspu uat:el se « elle : autant pour pas disparaît n’en d’amortissement Caisse La

. ’mie s néhc» échec un est l’Empire,

49

ir ’npééeteecc ugtie» is,«laotseet sous l’amortissement, « Ainsi, ». budgétaire exercice précédent d’un ciers

aoénfntprdtunruepri e«c rdtpu ae e créan- les payer pour crédit ce « de partie une détourner par finit Napoléon

vi fet ifrne oms ot7 ilosd in nationaux, biens de millions 70 dont sommes, différentes affecté avoir

lnetdn a tnatq’pè lui qu’après étonnant pas donc n’est Il . vclsfrue atclèe”» particulières” fortunes les avec

48

tt xets esqel aedn e eeu n euopd rapport de beaucoup ont revenus les dont Saxe la que tels exceptés, États rencontres éeteprleprec etue e ain,lspetits les nations, les toutes de l’expérience par démentie ensei

g nemen eet:«pu u laotseetetuetérevaine, théorie une est “l’amortissement lui pour « : sement

t

asNplo oaat ecotpsàl’amortis- à pas croit ne Bonaparte Napoléon Mais g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE el aqeàu rued aqir parisiens. banquiers de groupe un à Banque la de

LES ÉVOLUTIONS LES

ac eede exaspu ad e1 as10,lsactions les 1802, mars 18 le tard, plus ans deux revendre, t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.21. p. Idem, 55.

.20. p. Idem, 54.

.16. p. cit., op. Priouret, Roger 53.

.19. p. cit., op. Priouret, Roger in Cité 52.

.164. p. cit., op. Kang, Zheng 51.

aCis fiedséhne essrne otedsimmeubles des contre rentes ses de échanges des “faire à Caisse la

erset a e rnie ui u-êepss(.) lolg bientôt oblige Il (...). posés lui-même a qu’il principes les pas respecte ne

u e etsrceésdn ebtsn nesbe.Mi Napoléon Mais incessibles. sont but ce dans rachetées rentes les « que

eet tanipusir atcepicpl u s ’mri sachant » d’amortir est qui principale tâche sa poursuivre ainsi et recette

t fets aCis eat«lsvnr,rcee e etsae la avec rentes des racheter vendre, les « devait Caisse la affectés, été

is,cnenn e 0mlin ebesntoaxqiliavaient lui qui nationaux biens de millions 70 les concernant Ainsi,

esnbut. son de

etun esel ncsd ifclé etéoei,qit adétourner la à quitte trésorerie, de difficultés de cas en elle vers tourne se

’mrismn erl oéar uel xréiiilmn Napoléon : » initialement exercé a qu’elle monétaire rôle le d’amortissement

a ,«cteaseto el aqe a oteop edàl Caisse la à rend contrecoup, par Banque, la de abstention cette « », pas

mtr e ilt urmn ue rse oprs u ecirculent ne qui coupures, grosses qu’en autrement billets des émettre à

euetdaordsscuslse rvne»e ecnetn pas consentent ne « et » Province en succursales des d’avoir refusent «

om e éet el aqed rnesn ioé ,qu’ils », timorés sont France de Banque la de régents les « Comme

. in orfiedspêsaxmnfcue » manufactures aux prêts des faire pour lions

55

nuti .. aCis ’mrismn ipsr ’n om e6mil- 6 de somme d’une disposera d’amortissement Caisse la (...) industrie

ni,preqe«l lcscnietleieqel rneatune ait France la que exige continental blocus le « que parce Enfin,

53

. eto nrne tagrs» étrangères rentes en ou ment

54

orl lcre biain uTéo,e osd aCis d’amortisse- Caisse la de bons en Trésor, du obligations en placer le pour

rprtos ese a ’nei edeo ovri eqidi l’être doit qui ce convertir ou vendre à l’ennemi, par versées “réparations”

u ’meercni e od iiars(.)lspie eger ules ou guerre de prises les (...) militaires fonds ses confie l’empereur que

t«cetàl ased’amortissement Caisse la à c’est « Et . e asvicse cué » occupés et vaincus pays des

53

u,e rtqe apicpl esuc in elepotto financière l’exploitation de vient ressource principale la « pratique, en lui,

air erfrnu umisapè e pséat”» us,pour Aussi, ». “possédants” des auprès moins au référendum de manière

n e assd acue»e ac u ’mrn ulcetune est public l’emprunt « que parce et » chute sa de causes des une

otmoan,lsfilse iacèe elacen oaci n été ont monarchie l’ancienne de financières faiblesses les contemporains,

te fe aoénetcnr ’mrn ulcpreqe«pu les pour « que parce public l’emprunt contre est Napoléon effet en Et

esuindsrne s nééetd rniedéulbefinancier. d’équilibre principe du élément un est rentes des soutien Le

. osu ovreetqieput » emprunte qui gouvernement un fois

52

astu,cséat tcsvrain ecusdn etsadrquelques s’aider peut dont cours de variations ces et écarts ces tous, dans rencontres contraire au proscrit il et cas, aucun dans n’exige public l’intérêt dépenses,

ensei e mrns u e eeu ie gln ses égalent fixes revenus ses que emprunts, des à

g nemen iacsd aFac tn e uel ’ a recours pas n’a qu’elle tel étant France la de finances

t

orNplo oaat,«l ytm des système le « Bonaparte, Napoléon Pour . g » sières est SOCIALE 51

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ecnrr aBus,tue e edne bais- tendances ces toutes Bourse, la à contrer, de

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t publiques financières institutions aux ordonner à prêt est io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

p cit. op. Rietsch, Christian 60.

n financière, d’économie Revue », financière nature de d’abord sont 3 -92 .334. p. 4-1992, 23,

o

9 enMreTieu,«Dpi ercéto om ui ’mrismn el et ulqe e retraites les publique, dette la de d’amortissement outil comme création leur Depuis « Thiveaud, Jean-Marie 59.

pau.pdf

nentoae ’cnmemntiee acie http://www.univ-orleans.fr/deg/GDRecomofi/Activ/rietsch- bancaire, et monétaire d’économie internationales

journées 8 hita itc,«L et ulqee e etsfaçie uatl etuain» XVIII », Restauration la durant françaises rentes les et publique dette La « Rietsch, Christian 58.

e

.165. p. cit., op. Kang, Zheng 57.

p 23-24. pp. Idem, 56.

el et elEpr.“osn éhnrrn a or ahu,dit malheur, notre pas déshonorerons ne “Nous l’Empire. de dette la de

u2 ule 85peci alqiainimdaee epimn immédiat paiement le et immédiate liquidation la prescrit 1815 juillet 28 du

éie aRsarto ooeacle elEpr.«Ueordonnance Une « l’Empire. de celles honorera Restauration la Régime,

el êefçnqel éouinahnr e etsd l’Ancien de dettes les honoré a Révolution la que façon même la De

tissement...

rc oamn ’cindueCis d’amor- Caisse d’une l’action à notamment grâce uctrliqitd » l’inquiétude susciter

60

ulqeaget asdspootoscniéals(.)mi sans mais (...) considérables proportions des dans augmente publique

is adette la « Ainsi . ovreet on ’môs lsdeput » d’emprunts plus d’impôts, moins : gouvernements

59

atrd aRsarto,l èl ’rsr ortu e éie et régimes les tous pour sera d’or règle la Restauration, la de partir à

orat edn otl XIX le tout pendant « Pourtant, siècle, atàdsfnne ans » saines. finances des à sant

58 e

od u ncrannmr epicpsbdéarse aboutis- et budgétaires principes de nombre certain un sur fondé , moderne

ytm efnne publiques finances de système un place en met régime le Aussi lution.

iacspbiusd ’ninRgm,rsosbeslnel el Révo- la de elle selon responsable Régime, l’Ancien de publiques finances

aRsarto ielslçn el eto aatohqedes catastrophique gestion la de leçons les tire Restauration La «

54

td aMnrhed Juillet de Monarchie la de et

X aCis ’mrismn el Restauration la de d’amortissement Caisse La IX.

. e od ulc » publics fonds des

57

ocsrotàsbei u eon etéoei tàifune ecours le influencer à et trésorerie de besoins aux subvenir à surtout donc

in(0mlin) ule ’mri adted ogtre aCis s’emploie Caisse la terme, long du dette la d’amortir lieu Au millions). (40 tion

umneanisu ’mied 0mlin u el éueprl Révolu- la par léguée celle sur millions 60 de l’Empire sous ainsi augmente

orel,ueatvt otàfi eodie adtepbiu nrentes en publique dette La secondaire. fait à tout activité une elle, pour

éur evlm el et.E fe,l ahtd etsete réalité, en est rentes de rachat le effet, En dette. la de volume le réduire

’mrismn,lqel acneatecuieetcmeu oe de moyen un comme exclusivement concevait la laquelle l’amortissement,

avi ’n ur ciiéqeclepéu a adcrn lsiu de classique doctrine la par prévue celle que activité autre d’une voie la ncnlso oc aCis ’mrismn elEpr montre l’Empire de d’amortissement Caisse la « donc, conclusion En rencontres

ensei oan el’État. de domaine

g nemen nnmrie:i ’gtduefred oéiaindu monétisation de forme d’une s’agit il : numéraire en

t

i,l ases otcnird rnfre e biens des transformer de confier voit se Caisse la dit, g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE

Autrement . ets otpu ie ulussrie”» services” quelques aider pour soit rentes,

56 LES ÉVOLUTIONS LES

ac uel eatrvnr,si ors rcrrd’autres procurer se pour soit revendre, devait qu’elle t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.428. p. cit., op. Bloch-Lainé, François 63.

.423. p. cit., op. Priouret, Roger in », Postface « Bloch-Lainé, François 62.

.171. p. cit., op. Kang, Zheng 61.

u egadlved adtepbiu at 0) eqelsrne seront « rentes lesquelles 107), (art. » publique dette la de livre grand le sur

’mrismn adsqe«lepo nsr ate casd rentes de achats en fait sera en l’emploi « que tandis » d’amortissement

a,n osacnpéet,êr ot teneàl oaind aCaisse la de dotation la à atteinte porté être prétexte, aucun sous ni cas,

asedaotseet»scat(r.15 u«i epur asaucun dans pourra ne il qu’« 115) (art. sachant » d’amortissement Caisse

ervn e otsetecuieete mubeetatiu la à attribué immuablement et exclusivement est postes des revenu le «

ocratlsrsore el ase ’ril 0 rvi que prévoit 104 l’article Caisse, la de ressources les Concernant

rne td rsdn el hmr ecmec ePrs». Paris de commerce de chambre la de président du et France,

ope u eadsgéprl o uguenu el aqede banque la de gouverneur du ; Roi le par désigné sera qui comptes

el ordes Cour la de (sic) présidens trois des celui de Députés, des Chambre

omsars(.):u ard rne rsdn,du ebe ela de membres deux président, France, de pair un : (...) commissaires

pcfeqel ovleCis ’mrismn easrelé a six par surveillée sera « d’amortissement Caisse nouvelle la que spécifie

aated ’uoiélgsaie lspéiéet ’ril 9d aloi la de 99 l’article précisément, Plus » législative. l’autorité de garantie

otpaé,d amnèel lsséil,su asrelac tla et surveillance la sous spéciale, plus la manière la de placés, sont (sic)

’ril 1 el o e11 ips u e établissemens Ces « que dispose 1816 de loi la de 115 L’article

e lsjrdqe » juridique. plus peu

63

orotnrl êersla,u opoi npupu opiu,un compliqué, plus peu un compromis un résultat, même le obtenir pour

éet el ofac elÉa td el upbi.I ali nFrance, en fallait Il public. du celle de et l’État de confiance la de nément,

orne eaaatsfi hzex ar ééiirlognse simulta- l’organisme, bénéficier faire à eux, chez suffi, avait Cela Couronne. 55

enteCis ’mrismn,prcn esnaié eeatd la de relevant personnalités cinq par d’amortissement, Caisse notre de

modèle , Fund Sinking leur ans trente depuis administrer faisaient Anglais

Les « . tl ol e racesu gn ecnineidpnat» indépendant confiance de agent un créanciers des foule la et

62

opre i--i e eod .. ’nepsretel rn Débiteur Grand le entre d’interposer (...) seconds des vis-à-vis comporter

iieetelÉa tlséagat esi ’bie epeiràs bien se à premier le d’obliger soin le épargnants les et l’État entre diaire

etue afidn ecéi ulc ncnin nognseintermé- organisme un à confiant en public, crédit le dans foi la restaurer «

ofréetaxpicpsd rPie(cf. Price Dr du principes aux Conformément ,i ’gtde s’agit il ), supra

éôsolgtie tvolontaires. et obligatoires dépôts

eetd adtepbiu s éaé el aated ’ttsrles sur l’État de garantie la de séparée est publique dette la de sement

asedsDpt tCnintos(D) is,l ocind l’amortis- de fonction la Ainsi, (CDC). Consignations et Dépôts des Caisse

exCissdsice n ovleCis ’mrismn tune et d’amortissement Caisse nouvelle une : distinctes Caisses deux

a ilus etteXd alisrlsfnne u2 vi 86crée 1816 avril 28 du finances les sur loi la de X titre le ailleurs, Par

rencontres ». inviolable est créanciers ses envers l’État par pris d’engagement ensei espèce Toute garantie. est publique dette la « que clame

g nemen inaié is,latce7 el hred 84pro- 1814 de Charte la de 70 l’article ainsi, : tionnalisée

t

g constitu- est l’État de créanciers des protection La est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE

nmnu efi.» foi”. de manque un

61 LES ÉVOLUTIONS LES

ac t à prétexte de servir faisant le en Chambre, la à Corvetto io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.50. p. cit., op. Priouret, Roger 68.

.187. p. cit., op. Kang, Zheng 67.

.479. p. cit., op. Leroy-Beaulieu, Paul 66.

obne 07 .4. p. 2007, Sorbonne,

emrh iace rnasa XIX au français financier marché Le (dir.), Hautcoeur Pierre-Cyrille ulctosd la de Publications Récit, 1, vol. siècle,

e

5 enMreVsi,«Léhcd aCis ’mrismn ,Anx e nee nomtqe,in informatiques, annexes des 1 Annexe », d’amortissement Caisse la de L’échec « Vaslin, Jean-Marie 65.

.46. p. cit., op. Priouret, Roger 64.

e or a tmm rsbs»; » bas très même et bas cours des à

’n at apuatdsrne mssaat11 n t achetées été ont 1816 avant émises rentes des plupart la « part, d’une ●

xesvmn rftbeàcu u adtenn,pu exrios: raisons deux pour détiennent, la qui ceux à profitable excessivement

neft arnes’avère rente la effet, En . avlu oiaed ir,cetàdr epi » pair le c’est-à-dire titre, du nominale valeur la

68

axditrte ermoreet euldi,be ned,pre sur porter entendu, bien doit, lequel remboursement, le et d’intérêt taux

npaiu,àofi u otusd et ecoxeteuerdcindu réduction une entre choix le rente de porteurs aux offrir à pratique, en

’ttsuat prr«uecneso ,oéain«qiconsiste, qui « opération », conversion une « opérer souhaite L’État

. atat edotlgee ’btnn epriie aséuain» spéculation la à participer de s’abstenant en déontologie de acte fait

67

acéd arnesi aséa ir e e orir.Cetaniqel’État que ainsi C’est boursiers. des jeu libre au laissé soit rente la de marché

epi,l asedaotseetdi rêe erca,d ot u le que sorte de rachat, le arrêter doit d’amortissement Caisse la pair, le

us neft«mrl»iprat:«dsqel or ’nttedépasse titre d’un cours le que dès « : important » moral « effet un aussi a

ed on nrue e odtosdeputd ’tt et politique Cette l’État. de d’emprunt conditions les onéreuses moins rendu

apltqed aCis emsuebis ulyrd ’rete a et l’argent de loyer du baisse une permis a Caisse la de politique la

etse rcdn edn utasàdsaht udsosd ar: pair du au-dessous achats des à ans huit pendant procédant en rentes

aCis ’mrismn aaniitrei u emrh des marché le sur intervenir ainsi va d’amortissement Caisse La

56

uq’n12.» 1828. jusqu’en

66

eoatctefnainéaetcu u uetapiuse Angleterre en appliqués furent qui ceux étaient fondation cette reposait

nvi u e rnie u lesquels sur principes les que voit On « eetd adtepbiu.» publique. dette la de sement

65

etne uàpour nitrt taniagetrl aaiéd’amortis- capacité la augmenter ainsi et intérêt, un produire qu’à destinées

ufldsas e etsgle ’ci el asen otplus sont ne Caisse la de l’actif à gelées rentes Les « ans. des fil au

indspicpsdsitrt opss eption eats’accroître devait patrimoine le composés, intérêts des principes des tion

aCis ’mrismn eatahtrdsrne t napplica- en et, rentes des acheter devait d’amortissement Caisse La

ae ebois. de tares

il aseetatrseàmtr nvneu aiu e1000hec- 000 150 de maximum un vente en mettre à autorisée est Caisse la si

même , armieimble elÉa etd aeàsscénir » créanciers ses à gage de sert l’État de immobilier patrimoine

64

e osd ’tt ’prto s oié a evelagmn u le que argument vieil le par motivée est L’opération l’État. de bois des

n o e11 rnfr aCis ’mrismn apropriété la d’amortissement Caisse la à transfère « 1817 de loi Une ésprl o.»(r.109). (art. » loi. la par nées rencontres

ensei u pqe tpu aqoiéqisrn détermi- seront qui quotité la pour et époques aux (sic)

g nemen eduse ceer./Lsie etssrn annullées seront rentes Lesdites / acheteurs. et vendeurs

t

en efu tate ensd ri otetu les tous contre droit de peines autres et faux de peine g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE uu rtxe tevnusn ie ncruain à circulation, en mises ni vendues être prétexte, aucun

LES ÉVOLUTIONS LES

ac moiiés tn orot asacncsn sous ni cas aucun dans pourront, ne et immobilisées, t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

hqed aPéae» 95 p 1216-1219. pp. 1965, », Pléiade La de thèque

rnas,17,tauto eJsp o eu a aiiinRbl dtosGliad olcin«Biblio- « collection Gallimard, Éditions Rubel, Maximilien par revue Roy Joseph de traduction 1875, française,

ir ,Hiim eto,cair XI eèed aiaim nutil» édition », industriel capitalisme du Genèse « XXXI, chapitre section, Huitième I, Livre Capital, Le Marx, Karl 71.

p cit. op. Rietsch, Christian 70.

.55. p. Idem, 69.

accai oen.(...) moderne. bancocratie

prtosaétie,àlaitg,e om,axju ebus tàla à et bourse de jeux aux somme, en l’agiotage, à aléatoires, opérations

a cin,a omred ot ot eppesngcals aux négociables, papiers de sorte toute de commerce au actions, par

’ncptltméd il–l et ulqeadnél rneaxsociétés aux branle le donné a publique dette la – ciel du tombé capital d’un

atcles uqesuebnepri etu mrn edl service le rend emprunt tout de partie bonne une auxquels particuliers,

tl ain–d êeqecledstatns acad,manufacturiers marchands, traitants, des celle que même de – nation la et

afrueipoié e iacesitréiie nr egouvernement le entre intermédiaires financiers des improvisée fortune la

enmrie as atl lsed etesosf is ré,àpart à créée, ainsi oisifs rentiers de classe la part à Mais, numéraire. de

’ntasetfcl,cniu ocine nr er an om autant comme mains leurs entre fonctionner à continue facile, transfert d’un

ie ednetre,crlu rnia,mtmrhs neft publics effets en métamorphosé principal, leur car rien, donnent ne dire,

mliidsre tmm eluuepié.Lscéier ulc,àvrai à publics, créditeurs Les privée. l’usure de même et industriel emploi

ui i orcl ui e iqe,lstobe néaalsd son de inséparables troubles les risques, les subir à cela pour ait qu’il

mrdci el et erdciee ecnettanie aia,sans capital, en ainsi convertit le et reproductive vertu la de improductif

elacmlto rmtv.Pru opd aute ledul l’argent double elle baguette, de coup un Par primitive. l’accumulation de

adtepbiu pr om ndsaet e lsénergiques plus les agents des un comme opère publique dette La

ucptl (...) capital. du

lsu epesedte lsi ’niht ecéi ulc ol le voilà public, crédit Le s’enrichit. il plus s’endette, peuple un plus credo

et ulqe lnyadn a ’tne el otiemdreque moderne doctrine la de s’étonner à pas donc a n’y Il publique. dette 57

éleetdn epseso olciedspulsmdre,cetleur c’est modernes, peuples des collective possession le dans réellement

’r aiait.L el ated arces ientoaeqientre qui nationale dite richesse la de partie seule La capitaliste. l’ère

otdsoiu,cntttonlo éulci,mru esnempreinte son de marque républicain, ou constitutionnel despotique, soit

adtepbiu,e ’urstre,lainto elÉa,qu’il l’État, de l’aliénation termes, d’autres en publique, dette La «

: ’nls u axfr asu asg éèr uCapital du célèbre passage un dans fera Marx que l’analyse

71

et oiiu u ’s a rpeàl rneepiu tjustifie et explique France la à propre pas n’est qui politique Cette

. otiubeqi aslato el ase eatmisips » imposé moins serait Caisse, la de l’action sans qui, contribuable

70

u aoielscénir elÉa ’s--iel ete udtietdu détriment au « rentier le c’est-à-dire l’État de créanciers les favorise qui

’cind aCis oseàl asel or e ets ce rentes, des cours le hausse la à pousse Caisse la de L’action

. e esfrué u epenn a ersu » risque de pas prennent ne qui fortunés gens des

69

s rlvesrlesml e otiube ttaséé nr e mains les entre transférée et contribuables des l’ensemble sur prélevée est

atd ’mô u eta evc el et ulqe n prn forcée épargne une publique, dette la de service au sert qui l’impôt de part

rencontres la Par d’enrichissement. instrument principal le est rente la Juillet, de chie ensei Monar- la sous comme Restauration la sous « Ainsi,

g nemen rsn inflation. sans or

t

g monnaie- de système un dans considérable avantage est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE lc obee uneas»c u s un est qui ce » ans quinze en double % 5 à placé

LES ÉVOLUTIONS LES

ac

t capital tout « capitalisation la de jeu le par part, d’autre io n ● s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.57. p. Idem, 73.

.56. p. cit., op. Priouret, Roger 72.

is e risd exqiaaetaqi e in e mgé,au émigrés, des biens les acquis avaient qui ceux de droits les ainsi

alin etn uuedféec nr le .LusXIIgarantissait XVIII Louis ». elles entre différence aucune mettant ne loi la

otivoals asacn xeto ecle uo pel nationales, appelle qu’on celles de exception aucune sans inviolables, sont

’ril el hred 84polmi u otslspropriétés les toutes « que proclamait 1814 de Charte la de 9 L’article

éorésd erfinalité. leur de détournées

in,lssme u tin etne urca erne otêtre vont rentes de rachat au destinées étaient qui sommes les tions,

eetn rcd a ’mrismn e ets. ascscondi- ces Dans rentes... des l’amortissement à pas procède ne sement

u apsiiiétérqeduecneso utfeqel ased’amortis- Caisse la que justifie conversion d’une théorique possibilité la que

urmn i,lasned ovrinpoieaxrnir tandis rentiers aux profite conversion de l’absence dit, Autrement

. fete » affectées

73

mosbee,dsoilspu ’ursuae,lsrsore u u sont lui qui ressources les usages, d’autres pour disponibles et, impossible

amn udsu upi.D oplaotseetdvete fait en devient l’amortissement coup Du pair. du au-dessus tamment

ulc.Mi,fued ovrin arned aêr rsu cons- presque être va % 5 de rente la conversion, de faute Mais, publics.

ovrintuor osbec ahtsri n iaiaindsdeniers des dilapidation une serait rachat ce possible toujours conversion

s uéiu upi.E vcrio usu asl esetv d’une perspective la dans puisque raison avec Et pair. au supérieur est

a n o ’fetrssrsore urca e etsdn ecours le dont rentes des rachat au ressources ses d’affecter loi une par

a 85 aCis ’mrismn evi interdire voit se d’amortissement Caisse la « 1825, mai è alid 1 du loi la dès

er

84 aCis rcd u rmesaht udsu upi mais pair du au-dessus achats premiers aux procède Caisse la 1824,

58 ecusdsrne aêr osamn uéiu upi.En pair. au supérieur constamment être va rentes des cours Le

. orrdiel et ulqe» publique dette la réduire pour

72

erfsd acneso .. lqél éaim ot n1816 en monté mécanisme le bloqué a (...) conversion la de refus le «

estie ePreetrfsn erdielspiièe e etes Et rentiers. des privilèges les réduire de refusant Parlement le censitaire,

essèeap edrrd atd éaim el o électorale loi la de mécanisme du fait du perdurer pu a système Ce

a nicdn,mi epicp.(.)» (...) principe. le mais incident, un pas

o ngred rgeso uoaiu.L ucag e ae n’est taxes des surcharge La automatique. progression de germe un soi

eetd exc,fraetd rm br epvt efredn en donc renferme pivot, le abord prime de formaient ceux-ci, de sement

otlsipt u e besd rmèencsié–e atn l’enrichis- partant et – nécessité première de objets les sur impôts les dont

riars ’vi eor enueu mrns afsaiémoderne, fiscalité La emprunts. nouveaux de à recours d’avoir ordinaires,

éscnritlsguenmns ncsd ovle éessextra- dépenses nouvelles de cas en gouvernements, les contraint tées

’môscué a ’cuuaindsdte ucsieetcontrac- successivement dettes des l’accumulation par causée d’impôts

nrîatàlu ut nsrrî ’môs;d ’ur ôé asurcharge la côté, l’autre de ; d’impôts surcroît un suite leur à entraînant xrodnie asqelscnrbalsse esnetsur-le-champ, ressentent s’en contribuables les que sans extraordinaires rencontres

ensei ovreet êed ar aeaxdépenses aux face faire de même à gouvernements

g nemen e mrnsntoax e mrns u etn les mettent qui emprunts, Les nationaux. emprunts des

t

ytm oen e môséatl oolieobligé corollaire le était impôts des moderne système g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE ulc u ote ae e eeacsanels le annuelles, redevances les payer en doit qui public,

LES ÉVOLUTIONS LES

ac om adtepbiu s siesrl revenu le sur assise est publique dette la Comme t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

cec cnmqe otnel 0jnir19,Uiest yn2 .55. p. 2, Lyon Université 1994, janvier 20 le soutenue économique, science

hs edcoa ès doctorat de Thèse finance, la et banque la monnaie, la sur écrits : Say Jean-Baptiste Tiran, André 77.

U,16,p.63-64. pp. 1966, PUF, financière, d’histoire ans cinquante Cent dépôts. des Caisse La Priouret, Roger 76.

.63. p. Idem, 75.

.59. p. Idem, 74.

aaim”» latanisme” e1826. de Traité du édition 5 la dans écrit-il

e 77

éess(.) amnur e néêscmoé ’s uu u char- pur qu’un n’est composés intérêts des manœuvre La (...). dépenses

e nqemynetdycnarrlecdn essrvnssrses sur revenus ses de l’excédent consacrer d’y est moyen unique Cet

luinàc ue i ’ a exmyn esafaci essdettes. ses de s’affranchir de moyens deux pas a n’y “il : sujet ce à illusion

aprél eetepééet.Mi lrnneaprl ut toute à suite la par renoncera il Mais précédent”. semestre le rapporté

’néê ’ncptlaqe naot,tu e i os ’néê ui a qu’il l’intérêt mois, six les tous ajoute, on auquel capital d’un l’intérêt

u nrsleetd apisned ’néê ops,cetàdr,à c’est-à-dire, composé, l’intérêt de puissance la à dû est résulte en qui

als.I ri emmn à apisned epoéé:“l’effet : procédé ce de puissance la à là, moment ce à croit Il sables”.

ruél oe ’tidee ermore e mrnsnnrembour- non emprunts les rembourser de et d’éteindre moyen le trouvé

e ase ’mrismn,lsguenmnsqiotd ’rr ont l’ordre de ont qui gouvernements les d’amortissement, Caisses des

asedaotseetpu tidel et ulqe:“a emoyen le “par : publique dette la éteindre pour d’amortissement Caisse

11)Sysml rieecr ’fiaiéd la de l’efficacité à encore croire semble Say (1817) politique d’économie

’mrismn.Ani a xml,«dn atosèeéiindu édition troisième la dans « exemple, par Ainsi, d’amortissement. Traité

e iie el hoi e néêscmoé td ’fiaiédsCaisses des l’efficacité de et composés intérêts des théorie la de limites des

npu bevrqecran cnmse n rsconscience pris ont économistes certains que observer peut On

in nraiéàu riiecmtbe» comptable artifice un à réalité en tient .

59 76

ot enm ass oainetdvnefciee apor existence propre sa et fictive devenue est dotation sa mais nom, ce porte

e odtoslaotseetneit ls lyabe n asequi Caisse une bien a y Il plus. n’existe l’amortissement conditions ces

adpnesr ovre“a e éevsd ’mrismn” .. Dans (...) l’amortissement”. de réserves les “par couverte sera dépense la

u ri ecntuto ’n éi elge eceisd e tque et fer de chemins de lignes de série d’une construction de frais aux «

o fetto n o u1 un14 ips u ’ttparticipera l’État que dispose 1842 juin 11 du loi une : affectation son

ase» Caisse tl armieacml néiueetv tedtun de détourné être va antérieurement accumulé patrimoine le Et .

75

rs nermul éaim ’crismn upreeil ela de portefeuille du d’accroissement mécanisme le interrompu a grés,

eçsàlanlto e ovle ets3%éiea rftdsémi- des profit au émise % 3 rentes nouvelles des l’annulation à perçus

ahtrcsrne ill,dpi 85 nfiatuiie e arrérages les utiliser faisant en 1825, depuis Villèle, « : rentes ces racheter

e od ipnbe el asedaotseetvn evrà servir vont d’amortissement Caisse la de disponibles fonds Les

t ms:i s et aslHsor om emlir e mgé ». émigrés des milliard le « comme l’Histoire dans resté est il : émis été a % 3

u esne nensr» indemniser à personnes aux is ncptld 5 ilosd etsà rentes de millions 850 de capital un Ainsi .

74 rencontres % 3 à rentes de remise la choisit-on Aussi espèces. en payer de question

ensei rslsdpne ugtie ’n né.I ’s pas n’est Il année. d’une budgétaires dépenses les près

g nemen ynsdotàu hfr osndu ilad otàpeu à soit milliard, d’un voisin chiffre un à droit ayants

t

g divers aux accorder à sommes les arrêté a On teuse. est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE e e mgé ’nensto epu teqecoû- que être peut ne l’indemnisation « : émigrés les ser

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t d’indemni- choisit Roi le Mais derniers. ces de dam grand io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.248. p. cit., op. Priouret, Roger 82.

.479. p. cit., op. Leroy-Beaulieu, Paul 81.

.56. p. cit., op. Priouret, Roger 80.

.6. p. cit., op. », d’amortissement Caisse la de L’échec « Vaslin, Jean-Marie 79.

n financière, d’économie Revue 32,19,p 310. p. 1994, 23-24,

o

8 enMreTieu,«Lsbnuse ’tte rne line iac tcosac 11-96 », (1715-1966) croissance et finance Alliance, France. en l’État et banques Les « Thiveaud, Jean-Marie 78.

. injsue 87» 1877 jusqu’en tion

82

ec ussèePie e etsrceésdvotrse asl dota- la dans rester devront rachetées rentes les Price, système du gence

e aaxrceé,e mri adtepbiu.Utm ttmd résur- timide et Ultime publique. dette la amortir et rachetés, canaux des

-i edscmane e hmn efre nin concessionnaires anciens et fer de chemins des compagnies des de à-vis

e trbto otasidvre epi e naeet elÉa vis- l’État de engagements les remplir : diverses aussi sont attribution Ses

xéetd ugtd ’tt ééie el asedsdpt,etc. dépôts, des Caisse la de bénéfices l’État, de budget du excédent

e,rvn e opsd os rdisdsvne efrt domaniales, forêts de ventes des produits bois, de coupes des revenu fer,

aCis eotuedtto ééolt u-rpit e hmn de chemins des nue-propriété : hétéroclite dotation une reçoit Caisse La

e eetse e éesssefcun npri a e on utrésor. du soins les par partie en s’effectuent dépenses les et recettes les

alid 86«cé nbde pca elaotseetdont l’amortissement de spécial budget un crée « 1866 de loi La

. 1jilt16 arcnttasrdsbssnuels» nouvelles bases des sur reconstitua la 1866 juillet 11

81

etftdpi oscmltmn upnupnatsxas alidu loi La ans. six pendant suspendu complètement lors depuis fut ment

uq’n16,su ncutrvi n15 te 80 .. L’amortisse- (...) 1860. en et 1859 en réveil court un sauf 1866, jusqu’en

asl asedaotseetd aRsarto sommeilla « Restauration la de d’amortissement Caisse la mais enm» nom ce

80

n15,Nplo I rcd apeir ovrindgede digne conversion première la « à procéda III Napoléon 1852, En

60

.L asedaotseetd eodEmpire Second du d’amortissement Caisse La X.

. e éevs» réserves ses

79

o elmn rêélatvt el ase asi us us dans aussi puise il mais Caisse, la de l’activité arrêté seulement non a

’cind aCis e1 ule 88 .. tàpri e14,l pouvoir le 1848, de partir à Et (...) 1848. juillet 14 le Caisse la de l’action

e ovle atn ec osa,l iitedsfnne suspend finances des ministre le constat, ce de Partant ! nouvelles des

etdvetirtonle:lÉa iac ’ca erne ne émettant en en rentes de l’achat finance l’État : irrationnelle devient ment

,0 ilosd rns ascscniin,l rtqed l’amortisse- de pratique la conditions, ces Dans francs. de millions 1,904

t éiiar.L éii uuéd 83à14 nncmrs s de est compris) (non 1848 à 1833 de cumulé déficit Le déficitaire. été

is,«srl éid 8314,l ugtd ’ttatoujours a l’État de budget le 1833-1848, période la sur « Ainsi,

. tmln osdrbeetlidsredn et éene» décennie cette dans l’industrie considérablement stimulent

78

tduefçngnrl e norgmnspbise ’ntaieprivée l’initiative et publics encouragements les générale façon d’une et aslsceisd e s is utpieprsp nr 80e 1847 et 1840 entre sept par multipliée ainsi est fer de chemins les dans rencontres

ensei tdsceisd e.L as e aiaxinvestis capitaux des masse La fer. de chemins des et

g nemen et,e atcle asl etu e rvu publics travaux des secteur le dans particulier en ments,

t

ir u nielÉa aoie enueu investisse- nouveaux de favoriser à l’État incite qui cière g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE bnac ecptu tduesredepoi finan- d’euphorie sorte d’une et capitaux de abondance

LES ÉVOLUTIONS LES

ac osl oaci eJilt«l rnejutd’une jouit France la « Juillet de Monarchie la Sous t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

p 257-261. pp. Idem, 86.

p 248-249. pp. Idem, 85.

.154. p. cit., op. Priouret, Roger 84.

.14 oe18. note 174, p.

n l’OFCE, de Revue », ? insoutenable est-elle l’État de dette La « Daniel, Jean-Marc Cf. 83. 9 vi 1994, avril 49, o

. iqfi uéiue» supérieure fois cinq

86

ceé4mlirs11mlin erne aeàuedteàtretrente- terme à dette une à face rentes de millions 131 milliards 4 acheté

vn ’tesprmee 92 n5as aCis ’mrismn a d’amortissement Caisse la ans, 5 En 1922. en supprimée d’être avant

e6 2 ilosprmi n11 s aeé 0mlin n1921 en millions 50 à ramenée est 1918 en mois par millions 120 à 60 de

el asedaotseetdsaat adtto u vi t portée été avait qui dotation Sa disparaît. d’amortissement Caisse la de

aer ’ttprl rsrpbi.(.)Qeqe néspu ad afiction la tard, plus années Quelques (...) public. Trésor le par d’État valeurs

et natu ipeetmsu esnmexu ote ietdes direct soutien un mieux son de masqué simplement tout a On ment.

êepru e ’ciue,dn epreeil el ased’amortisse- Caisse la de portefeuille le dans d’écritures, jeu un par même

’néê.Lsrne ahte otanle méitmn asentrer, sans immédiatement annulées sont rachetées rentes Les d’intérêt.

ager.L oaine ntnedepo et uTéo o productive non Trésor au reste d’emploi instance en dotation La guerre. la

ova opeséild rsrcmei nae euopdepuis beaucoup eu a en y il comme Trésor du spécial compte nouveau

eon i aCis ’mrismn asc ’s indatequ’un d’autre rien « n’est ce mais d’amortissement Caisse la à vie redonne

’ce ulneetdu ovleput alid 6otbe1917 octobre 26 du loi la emprunt, nouvel d’un lancement du l’échec

iuto s ifcl u e ln iiarse iaces us,ai d’éviter afin Aussi, financiers. et militaires plans les sur difficile est situation

61

n11,a oeto lmneuetapl upuor la pouvoir, au appelé est Clemenceau où moment au 1917, En

. u.E ldi rnr n mlu aaséaé asl as » passé le dans égalée jamais ampleur une prendre doit il Et lue.

85

ecur u 5%dsdpne,leputdvetuencsiéabso- nécessité une devient l’emprunt dépenses, des % 15 que couvre ne

rn,d afaed ’prn,d ariedsrnir.Preqel’impôt que Parce rentiers. des ruine la de l’épargne, de naufrage du franc,

ae e11 edpr el asedspi,d advlaindu dévaluation la de prix, des hausse la de départ le 1915 de dater «

ufi el uree elasned éomsfsae,o peut on fiscales, réformes de l’absence de et guerre la de fait Du

(Clemenceau)

I aCis ’mrismn e1917 de d’amortissement Caisse La XI.

. edsrl acéd ode e etsrceésd 86à17 » 1871 à 1866 de rachetées rentes les Londres de marché le sur vend

84

ete nuel oaind aCis.Clec,vded asubstance, sa de vidée Celle-ci, Caisse. la de dotation la annule et ment rencontres l’amortisse- de comptes les l’État de budget le dans réintègre 1866, de celle

ensei alid 0spebe17 abroge 1871 septembre 10 du loi la « , rnee 1869 en France

83

g nemen efac esràlAlmge ot2 uPBd la de PIB du % 20 soit l’Allemagne, à verser à francs de

t

g milliards cinq de indemnité une par solde se qui 1870 de est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ’xicind adtepbiu asàl ut el guerre la de suite la à mais publique dette la de l’extinction

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t à millions 25 année chaque consacra Caisse La io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

p 768-771. pp. Idem, 88.

rse,20,p 260. p. 2001, Grasset,

e at eeu nFac uXIX au France en revenus hauts Les Piketty, Thomas 87. ice ngltse eitiuin,1901-1998, redistributions, et Inégalités siècle. e

rsrdi ovi e éesse asn pe a“et flottante”, “dette la à appel faisant en dépenses ses couvrir doit Trésor

eatlsdfiutsàrcui ’mô uàleputàln em,le terme, long à l’emprunt à ou l’impôt à recourir à difficultés les devant

5%dsdpne naés us,«dslspeir osd aguerre, la de mois premiers les dès « Aussi, engagées. dépenses des % 15

ascmenu ’vn i,lsrcte iclsn oviotque couvriront ne fiscales recettes les dit, l’avons nous comme Mais

atu eloded .» 5. de l’ordre de facteur

88

u e rsgo armie rnmsprhrtg t utpi a un par multiplié été a héritage par transmis patrimoines gros très les sur

e a aiu) npu ocetmrqel rsinfsaepesant fiscale pression la que estimer donc peut on maximum), (au % 5 les

el rmèeGer odae ùl axdipsto edpsatguère dépassait ne d’imposition taux le où mondiale, Guerre Première la de

ieu«mdre»:«Prcmaasnàl iuto nvgeràl veille la à vigueur en situation la à comparaison Par « : » moderne « niveau

u3 éebe11 td 5ji 90qiotdnéaxtu leur taux aux donné ont qui 1920 juin 25 du et 1917 décembre 31 du

un ’mô u e ucsin,c otlslois les sont ce successions, les sur l’impôt à Quant . uremnil » mondiale Guerre

87

lsaxnvaxcniéé om rionbe”aatl Première la avant “raisonnables” comme considérés niveaux aux plus

ojusaxaetusd e ieu mdre”e ervedotjamais reviendront ne et “modernes” niveaux ces de alentours aux toujours

e la el i oiiu tdsmjrtspreetie,resteront parlementaires, majorités des et politique vie la de aléas des

u e axapiusprl ut,mlr ’motne aitosa gré au variations d’importantes malgré suite, la par appliqués taux les que

teqaiied scnenisned ’mô u ervn” d’autant revenu”, le sur l’impôt de naissance “seconde de qualifiée être «

’vin aasdpsé5%» ec at alid 5ji 90peut 1920 juin 25 du loi la fait, ce De ». % 5 dépassé jamais n’avaient

rgesfsrl eeu e axlspu lvsdn laatééquestion été avait il dont élevés plus les taux les revenu, le sur progressif

62 0% vn aPeir uremnil osuo éati el’impôt de débattait lorsqu’on mondiale Guerre Première la Avant %. 50

eco rdi u e otiube ié a ’ntuaind etu de taux ce de l’instauration par aisés contribuables les sur produit choc le

u eeu e lséeé unva ioï e5 .O etimaginer peut On %. 50 de “inouï” niveau au élevés plus les revenus aux

u dpél o u2 un12 u ot etu agnlapplicable marginal taux le « porté a qui 1920 juin 25 du loi la adopté a qui

nrdi a alid 5jilt11 ’s amjrt ied lcntoa » national Bloc « du dite majorité la c’est : 1914 juillet 15 du loi la par introduit

l hiisn ’umne ’mô u ervn rgesfqiaatété avait qui progressif revenu le sur l’impôt d’augmenter choisissent ils

e epnalspltqe etn ’crîr e eetsfsae : fiscales recettes les d’accroître tentent politiques responsables Les

elAlmgeq’nio 1mlirsd francs-or. de milliards 11 qu’environ l’Allemagne de

etin 0mlirsd rnsd 93 aFac ercvafinalement recevra ne France La 1913. de francs de milliards 50 sentaient

omgsmtrese uan el rneete11 t13 repré- 1938 et 1919 entre France la de humains et matériels dommages

aslAlmgen ovi a ae lr u ’nensto des l’indemnisation que alors payer pas pouvait ne l’Allemagne Mais

’lean aea» om aFac aé»l rseds1873. dès Prusse la » payé « a France la comme », paiera l’Allemagne «

éal om n17 a n oiiu éltonsee acriueque certitude la et déflationniste politique une par 1870 en comme rétabli

’luinqelace rr oéar earapidement sera monétaire ordre l’ancien que l’illusion rencontres afnd ager,lsdrgat oiiusont politiques dirigeants les guerre, la de fin la À ensei g nemen

t

etsd 97(Chautemps) 1937 de rentes g est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE Picr)e efnsd ote des soutien de fonds le et (Poincaré)

LES ÉVOLUTIONS LES ac I.L asedaotseetd 1926 de d’amortissement Caisse La XII. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.264. p. cit., op. Priouret, Roger 92.

.93. p. Idem, 91.

iso itrqed aBnu eFac li ihl 01 .95. p. 2011, Michel, Albin / France de Banque la de historique Mission (1914-1928), France la de monétaire

ePp tlEpru.L aqed rne aDrcind rsre apolitique la et Trésor du Direction la France, de Banque La l’Empereur. et Pape Le Blancheton, Bernard 90.

ossre 91 .159. p. 1991, série, Hors financière, d’économie Revue », (1926-1932)

9 radd ott aCis uooedaotseet n xéined eto el et publique dette la de gestion de expérience Une d’amortissement. autonome Caisse La « Toytot, de Arnaud 89.

eodacotlefr icld ilad,aosqelo s rspè de près très est l’on que alors milliards, 6 de fiscal l’effort accroît second

etneàatrrsrl lc ePrslscptu tagr.L’article étrangers. capitaux les Paris de place la sur attirer à destinée

s n ased ’sopeàu axjmi ten .El est Elle %. 7 : atteint jamais taux un à l’escompte de hausse une est

’ncmt ’xet uaruiu esspééesus ’ril premier L’article prédécesseurs. ses de un réuni qu’a d’experts comité d’un

amn onaéetsml tbua.I ’npr ’ilusdstravaux des d’ailleurs s’inspire Il brutal. et simple est Poincaré Raymond

asc otxe epormed erseetfnnirde financier redressement de programme le « contexte, ce Dans

ec ectemsed aiaxfotns » flottants. capitaux de masse cette de tence

e néiec amnc u atpsrsrl rsrred ’ttl’exis- l’État de trésorerie la sur peser fait que menace la évidence en met

e ifrnsguenmnsd atldsGuhs nr 94e 1926, et 1924 entre Gauches, des Cartel du gouvernements différents les

6mlirsa éu e12.Lagaaind aciefnnir sous financière crise la de L’aggravation 1926. de début au milliards 46 à

rnsàl i e11,pi 8mlirsàl i e12,aatd revenir de avant 1921, de fin la à milliards 58 puis 1918, de fin la à francs

ainl onî n risnerpd,pu tenr 2mlirsde milliards 22 atteindre pour rapide, croissance une connaît Nationale

etosmi,dvetcniéal.«Lecusdsbn el Défense la de bons des L’encours « considérable. devient mois, trois de

episd adtecuttredt ltat ,cetàdr moins à c’est-à-dire », flottante « dite terme court dette la de poids Le

. rnso » francs-or

92

ilad edpt ’prn aetmisd exmlirse eide demi et milliards deux de moins valent d’épargne dépôts de milliards 63

enva e hne,cetàdr n rsu unul.Lsdouze Les quintuplé. presque ont c’est-à-dire changes, des niveau le

iqims»:«àl i e12,lspi néiussn ntand rejoindre de train en sont intérieurs prix les 1924, de fin la à « : » cinquièmes

’nlto apoour«uemnèed aqeot e quatre- des banqueroute de manière une « provoquer va L’inflation

e axditrt oiaxdstte ulc ’pè guerre. d’après publics titres des nominaux d’intérêts taux les

tblt e rxdaatger,n eçi a uel éas largement dépasse qu’elle pas perçoit ne d’avant-guerre, prix des stabilité

’netmn s mriprlifaindn epbi,hbtéàla à habitué public, le dont l’inflation par amorti est L’endettement

’s--ieqel aeritred amnaentoaes déprécie. se nationale monnaie la de interne valeur la que c’est-à-dire

amsemntietil,lifains développe se l’inflation triple, monétaire masse la : aspééet» précédent sans

91

aBnu.Csaacscnrbetàpoour«u hcmonétaire choc un « provoquer à contribuent avances Ces Banque. la

e lsd 0%dsrsore elÉa tpu e5 elatfde l’actif de % 50 de plus et l’État de ressources des % 10 de plus peu

e vne ietsd aBnu eFac ersnetun représentent France de Banque la de directes avances Les . iue» rieure

90

em,2 a e mrnsàln em t1 a adteexté- dette la par % 17 et terme long à emprunts des par % 22 terme, rencontres moyen et court à endettement un par % 35 : l’emprunt par couvertes sont

ensei ainl rsdstosqatdsdpne françaises dépenses des quart trois des près « : nationale

g nemen ateprléiso ebn tolgtosd aDéfense la de obligations et bons de l’émission par partie

t

g grande en opéré sera reconstruction la de et militaire est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE osd rsrn ufsn a,l iacmn uconflit du financement le pas, suffisant ne Trésor du bons

LES ÉVOLUTIONS LES

ac

Les . t » terme court très à emprunts aux c’est-à-dire io n 89 s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

n (RDP), public droit du -00 p 135-154. pp. 1-2010,

o

Revue », publique dette la de d’amortissement Caisse la à relative 1926 août 10 du constitutionnelle révision

4 orueaayejrdqercne(asspriile,vi oamn lxaBya-eeor,«La « Boyeau-Jenecourt, Alexia notamment voir superficielle), (mais récente juridique analyse une Pour 94.

,n 1, 7 p 85-93. pp. 77,

o

rse eSine o 2003/ Po, Sciences de Presses d’histoire, Revue Siècle. Vingtième », France en 1927-1928 de stabilisation de

esueerd rn asc on eveetajudhirmse as,c.Jsp ov,«L crise La « Soavi, Joseph cf. cause, en remis aujourd’hui est vue de point ce mais » franc du sauveteur le «

p 9-9.O atqeRyodPicr s et aslHsor comme l’Histoire dans resté est Poincaré Raymond que sait On 297-298. pp. cit., op. Priouret, Roger 93.

éom e12 s ’br n prto scooiu,dsié à destinée psychologique, opération une d’abord est « 1926 de réforme

nlasnedn ecnrl ecntttonlt e os la lois, des constitutionnalité de contrôle de donc l’absence En

. Constitution la de respect le

94

éulqei ’xsatacnogn hrédipsra parlement au d’imposer chargé organe aucun n’existait il République aIII la

e

el et ulqenaatgèed otejrdqepaiu usu sous puisque pratique juridique portée de guère n’avait publique dette la de

acntttonlsto elatnmed aCis d’amortissement Caisse la de l’autonomie de constitutionnalisation La

nut umiséae nciea ugt » budget. au inscrite égale, moins au annuité

evc e osgrsprl asee e irscésprel,une elle, par créés titres des et Caisse la par gérés bons des service

°E a ’nufsnedsrsore idsu orasrrle assurer pour ci-dessus ressources des d’insuffisance cas En 3°

nulemnmmd aCis d’amortissement. Caisse la de minimum annuelle

ieqisir apougto el rsneli osiu adotation la constitue loi, présente la de promulgation la suivra qui cice

epoutdsrsore idsu nmre ucusd rme exer- premier du cours au énumérées ci-dessus ressources des produit le

rmèemtto e risd ucsine e otiuin ootie ; volontaires contributions les et succession de droits des mutation première

°L rdi el aecmlmnar tecpinel u la sur exceptionnelle et complémentaire taxe la de produit Le 2°

°Lsrcte etsd avnedstabacs. des vente la de nettes recettes Les 1°

64 osd adfnentoaee e irscésprl ase: Caisse la par créés titres des et nationale défense la de bons

eotafcé et ase uq’ ’mrismn ope des complet l’amortissement jusqu’à Caisse, cette à affectés Seront

aee ’mrismn el et ulqeal aatr constitutionnel. caractère le a publique dette la de d’amortissement et nale

’uooi el ased eto e osd adfnenatio- défense la de bons des gestion de Caisse la de L’autonomie «

iaindsPuor ulc a natceanirdg : rédigé ainsi article un par publics Pouvoirs des nisation

u opèe»l o osiuinel u2 ére 85 eaieàl’orga- à relative 1875, février 25 du constitutionnelle loi la » complète « qui

onaéfi lr dpe alicntttonled 0aû 1926 août 10 du constitutionnelle loi la adopter alors fait Poincaré

e5mlirse ei » demi. et milliards 5 de

93

uin ootie” e neberpéet n eté nuled près de annuelle rentrée une représente ensemble cet volontaires”, butions

ec.L riim s epoutd risd ucsin vcls“contri- les Avec succession. de droits de produit le est troisième Le merce.

e7½%srlspeirsmttosdimulse efnsd com- de fonds de et d’immeubles mutations premières les sur % ½ 7 de

at s ebnfc umnpl e aas ascneetuetaxe une est seconde La tabacs. des monopole du bénéfice le est tante

rpe u esrn ’nrrdn e ope elÉa.L lsimpor- plus La l’État. de comptes les dans d’entrer cesseront qui propres u oratêr éié hqeane asdsrsore fiscales ressources des mais année, chaque révisée être pourrait qui rencontres

ensei edne aCis,nnpsuedtto budgétaire dotation une pas non Caisse, la à donner de

g nemen scooiu urdesmn.(.)Srot lpropose il Surtout, (...) redressement. du psychologique

t

u s ’ril riim upormePicr tl’outil et Poincaré programme du troisième l’article est qui g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE etn lmne aCis uooed’amortissement autonome Caisse la alimenter à destiné

LES ÉVOLUTIONS LES

ac ’qiir ugtie aslecdn ercte est recettes de l’excédent Mais budgétaire. l’équilibre t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.166. p. cit., op. Toytot, de Arnaud 100.

06 .449. p. 2006,

ai,CRH-CHEFF, Paris, l’histoire, dans publique dette La (dir.), Grenier Jean-Yves et Béaur Gérard Andreau,

ice» nJean in », siècle 9 ar unoël-or,«Dtepbiu tmrhsd aiaxe rnea XX au France en capitaux de marchés et publique Dette « Quennouëlle-Corre, Laure 99.

e

p 309-310. pp. Idem, 98.

.299. p. cit., op. Priouret, Roger 97.

p 144-145. pp. cit., op. Jenecourt,

0,p 00 iéi lxaBoyeau- Alexia in cité 3090, p. 104, n 1926, août 1 députés, des Chambre parlementaires, Débats JO, 96.

o er

.160. p. cit., op. Toytot, de Arnaud 95.

iqans. cinq

or em ncruaine e cagse osaotsalse vingt- en amortissables bons en échanges les et circulation en terme court

aCis aht e osà bons les rachète Caisse La . rsro el aqed rne» France de Banque la de ou Trésor

100

el aseetbouedsq’leetee otaito vccledu celle avec contradiction en entre qu’elle dès bloquée est Caisse la de

npaiu ’uooi el asenetq’luor apolitique la « : qu’illusoire n’est Caisse la de l’autonomie pratique En

éev.» réserve.

99

éscmegg e rt osni a e aqe ééae de fédérales banques les par consentis prêts des gage comme tées

n11,otp mtr e biain accep- obligations des émettre pu ont 1918, en Corporation Finance War

e oprtospbiusdsiésàfnne e nutis om la comme industries, des financer à destinées publiques corporations les

asraed rdtd ’ttnetpspor aFac.AxÉtats-Unis, Aux France. la à propre pas n’est l’État de crédit du surface la

ure,lsarsgerso e rsséooius esuid’élargir souci ce économiques, crises les ou après-guerres les guerres,

ormitnrsncéi.E éid encsiécmeles comme nécessité de période En crédit. son maintenir pour fine in et

u adtepbiu tsasrruecinèepuecieàpêe l’État, à prêter à encline peu clientèle une s’assurer et publique dette la sur

ogtre aCis etd aaetàlÉa orrsue e épargnants les rassurer pour l’État à paravent de sert Caisse la terme, long

65 os u suetuetasomto e ose mrn oe ou moyen à emprunt en bons des transformation une assurent qui bons,

néetn e irspbisàéhac lslnu u les que longue plus échéance à publics titres des émettant En «

. in rvsieete atelmn erl eclec » celle-ci de rôle le partiellement et provisoirement tient

98

uq’ ’ntlaind aCis ’mrismn,l asedsdépôts des Caisse la d’amortissement, Caisse la de l’installation jusqu’à

t«e ote nspebe12,c’est-à-dire 1926, septembre en et août en « et êepronl» personnel même

97

totmn ie le n emm om ertt tepoetle emploient et tête leur à homme même le ont elles : liées étroitement

itnt el asedsdpt as«lsdu ntttosrestent institutions deux les « mais » dépôts des Caisse la de distincte

anuel asedaotseetetjrdqeettu fait à tout juridiquement est d’amortissement Caisse nouvelle La «

. ot avlu ntaemi araiéatel e hss» choses des actuelle réalité la à mais initiale valeur sa à doute

96

tl rn eruearpdmn n aercrepnatnnpssans pas non correspondant valeur une rapidement retrouvera franc le et

elÉa ahn u ’ttnetn éuiracn essobligations, ses de aucune répudier n’entend l’État que sachent l’État de

ets etuel eued e ocs;qelscénir intérieurs créanciers les que ; forces ses de mesure la toute de dettes,

ahn inqel rneetlylmn éou ’cute eses de s’acquitter à résolue loyalement est France la que bien sachent rencontres France la de extérieurs créanciers les Que trésorerie. la de question la toute

ensei ûed rbèemntie lecmad également commande Elle monétaire. problème du sûre

g nemen éaspreetie acnineetl lfl plus la clef la est confiance la « : parlementaires débats

t

g des cours au souligné l’avait Poincaré comme franc, est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE

fnd avrle sauver de afin , u eadsd ebusmn » remboursement de demandes aux

95 LES ÉVOLUTIONS LES

ac t fin mettre et Défense la de bons de porteurs les rassurer io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.338. p. cit., op. Priouret, Roger 106.

.336. p. cit., op. Priouret, Roger 105.

.174. p. Idem, 104.

.171. p. Idem, 103.

.168. p. cit., op. Toytot, de Arnaud 102.

.300. p. cit., op. Priouret, Roger 101.

. ain» dation

106

ybl ucéi ulc nsmoeqisr invt eu es dégra- sa de celui vite bien sera qui symbole un public, crédit du symbole

ulqefaçie om e,i advnrdn e néssiatsle suivantes années les dans devenir va il tel, Comme française. publique

infi u45 emi-atnl od epu motn el dette la de important plus le fonds le Germain-Martin % 4,50 du fait sion

usu erneetduepri esnpreeil asé aconver- La baissé. a portefeuille son de partie d’une rendement le puisque

asedsdpt,el,vi o eeuapt,cmei s normal, est il comme amputé, revenu son voit elle, dépôts, des Caisse

cnms 4 ilosditrt tl asedaotseet40 La 490. d’amortissement Caisse la et d’intérêts millions 840 économise

et ovlea axd tloéainetu ucs:«l Trésor le « : succès un est l’opération et % ½ 4 de taux au nouvelle rente

’mrismn tl asedsdpt otmblse orpae la placer pour mobilisées sont dépôts des Caisse la et d’amortissement

e2 ilad u nttld éessd 0evrn» aCaisse La ». environ 50 de dépenses de total un sur milliards 20 de

nin fnd éur acag el et qi ersneu e plus peu un représente (qui) dette la de charge la « réduire de afin anciens

’betfetdalgrlitrtdsemprunts des l’intérêt d’alléger est L’objectif e irsnueu.» nouveaux. titres des

105

ermoreetatcp e irsq’ldtet otu cag contre échange un soit détient, qu’il titres des anticipé remboursement le

e mrnspbis(.) prto u osseàofi uprersoit porteur au offrir à consiste qui opération (...), publics emprunts des

e iacset(.)dcd élsruevseoéaind conversion de opération vaste une réaliser à décidé (...) est Finances des

epaeàl hmr amjrt picrse e12.(.)L ministre Le (...) 1928. de “poincariste” majorité la Chambre la à remplace

66 hneetpltqee vi 92:uemjrt radicale-socialiste majorité une : 1932 avril en politique Changement «

éeso,tni u e éiisbdéarssacmln.» s’accumulent. budgétaires déficits les que tandis récession,

104

n eto piaed adtepbiu.L assefnedn la dans s’enfonce pays Le publique. dette la de optimale gestion une à

tqel asen oepu uu ôemria ’pqenetplus n’est L’époque « : marginal rôle qu’un plus joue ne Caisse la que et

e céne uTéo esreqessrsre ’pietrapidement s’épuisent réserves ses que sorte de » Trésor du échéances les

aCis ,àpri e13 le«n etrfsrd rnr ncharge en prendre de refuser peut ne « elle 1931 de partir à », Caisse la

erne etautpru ofeetdsdsoiiié nmlye de inemployées disponibilités des gonflement un par traduit se rentes de

erca nBus errfet»e ac u abis e rachats des baisse la « que parce et » raréfient se Bourse en rachat de

as«àpri ejilt13,lsopportunités les 1930, juillet de partir à « mais éàcag entr » nature de changé déjà a

103

aieetmsie ri n pè acéto,l aseautonome Caisse la création, sa après ans trois « : massives rapidement

e nevnin el asesrl acédsrne deviennent rentes des marché le sur Caisse la de interventions Les

in uTéo a oedahte Bourse. en d’achat voie par Trésor du tions

ocui ’mrismn e etsfaçie udsbn tobliga- et bons des ou françaises rentes des l’amortissement à concourir à s uoié a ’ril 6d alid iacsd 0dcmr 1928 décembre 30 du finances de loi la de 96 l’article par autorisée est rencontres

ensei telle et uel ots ore esdate âhs» tâches d’autres vers tourner se doit qu’elle

102 g nemen eéàbe acnoiaind adtefotneet flottante dette la de consolidation la bien à mené a

t

us,e un12,«l asepu osdrrqu’elle considérer peut Caisse la « 1928, juin en Aussi, g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE

. » terme court à bons de milliards 10 consolidé ou

101 LES ÉVOLUTIONS LES

ac n2 os aCis ’mrismn remboursé a d’amortissement Caisse la mois, 21 En « t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.360. p. cit., op. Priouret, Roger 109.

.455. p. cit., op. Quennouëlle-Corre, Laure 108.

.454. p. cit., op. Quennouëlle-Corre, Laure 107.

atl ir e éesspbius eguenmn ndmne4 % 40 demande en gouvernement Le publiques. dépenses des tiers le fait

el éat.Locpto al rpe.(.)Liptn ovepstu à tout pas couvre ne L’impôt (...) tripler. la va L’occupation défaite. la de

erbe adtepbiu .. ten rsd 0 ilad umoment au milliards 500 de près atteint (...) publique dette La « : terribles

adfied 90aéiemn e osqecsfinancières conséquences des évidemment a 1940 de défaite La

el asedaotseet(1959) d’amortissement Caisse la de

tcnusn asuppression la à conduisent et

II ’nlto tlsdvlain faetl dette la effacent dévaluations les et L’inflation XIII.

potrdsrsore uTéo osfred osrpind bons. de souscription de forme sous Trésor au ressources des apporter

el hreditrei u emrh e ets el-ipu alors peut celle-ci rentes, des marché le sur d’intervenir charge la de

tpiqel raind efnsalg aCis d’amortissement Caisse la allège fonds ce de création la puisque Et

eae efnsd ote e etsdn adtto s pié » épuisée est dotation la dont rentes des soutien de fonds le relayer .

109

n13,l asedsdpt ern e casd od ’ttpour d’État fonds de achats ses « reprend dépôts des Caisse la 1939, En

eFnsdvetl éuaere ene esr umrh el et.» rente. la de marché du ressort dernier en régulateur le devient Fonds le

108

ule uaotsalse e aer uTéo oe uln terme, long ou moyen à Trésor du valeurs les et amortissables ou tuelles

67

uoiéàahtre edee orelstte erne perpé- rentes de titres les Bourse en vendre à et acheter à Autorisé «

évlainsn fete ufnsd ote e rentes. des soutien de fonds au affectées sont réévaluation

ufac ’naseo s évlé e esucsfune a cette par fournies ressources les : réévaluée est l’encaisse-or franc, du

ééprl asedaotseet» ufi ’n ovledévaluation nouvelle d’une fait Du ». d’amortissement Caisse la par géré

rne edrcerd rsre edrcerd aCis e éôs et dépôts, des Caisse la de directeur le et Trésor du directeur le France,

od esuindsrne iiéprl ovrerd aBnu de Banque la de gouverneur le par dirigé « rentes des soutien de Fonds

ovreetCatmscé a ndce-o u2 ule 97un 1937 juillet 22 du décret-loi un par crée Chautemps gouvernement

pè ’xéined rn ouaine admsind lm le Blum, de démission la et population Front du l’expérience Après

rsrpbi.» public. Trésor

107

aslmtto urecmt elisiu ’msin afa rftdu profit au sauf d’émission, l’institut de réescompte au limitation sans

tvnn cénedn ndlid osmxmmsn admis sont maximum mois 3 de délai un dans échéance à venant et

tpl u oslseft el et ltat msprl rsrpublic Trésor le par émis flottante dette la de effets les tous que stipule rencontres 1936 juillet 24 du organique loi La s’estompe. Banque la de avances des

ensei 0mlirsd rns utu,l aatr exceptionnel caractère le Surtout, francs. de milliards 40

g nemen ’ntttdéiso,bnfcatsrcteproede période cette sur bénéficiant d’émission, l’institut à

t

g fois quatre par appel fait Trésor le 1938, et 1936 Entre « est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE el aqed rneqilicnetdsavances. des consent lui qui France de Banque la de

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t auprès refinancer se peut l’État 1935, de partir À io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

almr,cl.Qat,20,p 942. p. 2002, Quarto, coll. Gallimard, Gaulle, de C’était Peyrefitte, Alain 114.

.397. p. cit., op. Priouret, Roger 113.

.457. p. cit., op. Quennouëlle-Corre, Laure 112.

.397. p. Idem, 111.

.361. p. Idem, 110.

on osae ’mas.» l’impasse. avec fois bonne

114

lnh ilt,e mtatdsbn uTéo.I atdn nfnrune finir en donc faut Il Trésor. du bons des émettant en billets, à planche

nsetmsàbulrl ugtprlifain nfiatfntonrla fonctionner faisant en l’inflation, par budget le boucler à mis s’est On

esne aafi o paiinqadlifainetdvnel èl ! règle la devenue est l’inflation quand apparition son fait a Ça personne.

a aésprd risrcte,cetueié u esri eu à venue serait ne qui idée une c’est recettes, vraies de par gagées pas

éessrguesmn dnius aotrdsdpne u n’étaient qui dépenses des Rajouter identiques. rigoureusement dépenses

lnyaatpsdipse ebde ttvt vcdsrcte tdes et recettes des avec voté état budget Le d’impasse. pas avait n’y il

nc u ocrelsdpne ulqe.(.)Dn e nin budgets, anciens les Dans (...) publiques. dépenses les concerne qui ce en

air méaiecranscniin el tblsto.E particulier En stabilisation. la de conditions certaines impérative manière

ipstosd rnie rbbeetlgsaie,pu anei de maintenir pour législatives, probablement principe, de dispositions

eal êecoe osl êefre aso etpededes prendre peut on Mais forme. même la sous chose, même la fera

emnèeq’nn useesiere hne.J edspsqu’on pas dis ne Je changer. y rien ensuite puisse ne qu’on manière de

elÉa osl om osiuinel.I vi én eCnrsàVersailles, à Congrès le réuni avait Il constitutionnelle. forme la sous l’État de

et .. laatfi oe n ipsto orlaotseetdsdettes des l’amortissement pour disposition une voter fait avait Il (...) ment.

om un onaéafi oe n o osiuinel orl’amortisse- pour constitutionnelle loi une voter fait a Poincaré quand comme

.. lfuri uo nsreae e ipstosdéfinitives, dispositions des avec sorte en qu’on faudrait Il (...) «

éiisbdéars: budgétaires déficits

eGnrld aledcaatvuormtr i apaiu ait des laxiste pratique la à fin mettre vouloir déclarait Gaulle de Général le

68 95 agéléeto rsdnileqidvi vi iucteannée-là, cette lieu avoir devait qui présidentielle l’élection malgré 1965,

ahn qu’en sachant , esprmrtu atl asedaotseet» d’amortissement Caisse la fait à tout supprimer de

113

oespaius vn u e éomsfnnirsd 98permettent 1958 de financières réformes les que avant pratiques, moyens

nre esucsafcés ebde nrtov ’sg a divers par l’usage retrouve en budget Le affectées. ressources énormes

’be.L aseatnm ’mrismn ’ lsqefied ses de faire que plus n’a d’amortissement autonome Caisse La d’objet.

ascscniin,«laotseetfnnird adteetprivé est dette la de financier l’amortissement « conditions, ces Dans

. aqe edn atrlusrsore iacèe » financières ressources leurs capter à tendant banques

112

rve,«lÉa nFac ntueuergeetto tit nesles envers stricte réglementation une instaure France en l’État « privées,

i emrh fnd onrl roiéa iacmn e entreprises des financement au priorité la donner de afin marché de mie

otarmn u asagosxn u hiisn ersarrl’écono- restaurer de choisissent qui anglo-saxons pays aux contrairement

ie n glmn osdrbeetalg episd adte Enfin, dette. la de poids le allégé considérablement également ont sives

e éautossucces- dévaluations Les ogtreatini 15mlirse 80 » 1870. en milliards 11,5 atteignait terme long

111

n ded afilsed ecife lsfi ecnttrqel et à dette la que constater de suffit il chiffre, ce de faiblesse la de idée une

em s aeée 98à6mlirsd rnsd 94 .. oravoir Pour (...) 1914. de francs de milliards 6 à 1948 en ramené est terme ue éi e ovaxeput msl od éld adteàlong à dette la de réel poids le émis emprunts nouveaux des dépit qu’en rencontres

ensei 95 adpéito el oni ein irapide si devient monnaie la de dépréciation la 1945,

g nemen mrismn iecex»d adtepbiu Après « : publique dette la de » silencieux amortissement «

t

pè aLbrto,lifainv rcdràun à procéder va l’inflation Libération, la Après g est SOCIALE

i

o

n DE LA PROTECTION LA DE

u vne el aqed rne » France. de Banque la de avances aux

110 LES ÉVOLUTIONS LES

ac

t ’mrn.Pu erse ot2 nio,i recours a il environ, % 27 soit reste, le Pour l’emprunt. à io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’amta,20,p.238-239. pp. 2008, L’Harmattan, d’État, L’emprunt Ducros, Jean-Claude 115.

tdsvlusd rsràln uàmyntre; terme moyen à ou long à Trésor du valeurs des et

cee tàvnr e irsd etspréule uamortissables ou perpétuelles rentes de titres des vendre à et acheter ●

616d 7jnir18.I ti is uoiéà: à autorisé ainsi était Il 1986. janvier 27 du 86-116 oii a edce n décret le par modifié

o

un ufnsd ote e ets edce-o e13 été a 1937 de décret-loi le rentes, des soutien de fonds au Quant

tsnognsto n t réformés. été ont organisation son et

’tt adredeitneaéééedeà2 n tsnfonctionnement son et ans 20 à étendue été a d’existence durée Sa l’État.

eorràl AE orefcurdsoéain edsnetmn de désendettement de opérations des effectuer pour CADEP la à recourir

u ’ril 6d alid iacspu 99n rvi ova de nouveau à prévoit ne 1999 pour finances de loi la de 16 l’article que

AE u rved esucsprl o efnne or18 avant 1989 pour finances de loi la par ressources de privée fut CADEP

asàl ut el élcind rnosMtern n18,la 1988, en Mitterrand François de réélection la de suite la à Mais

. alsmsssrpe a .JcusDlr » Delors Jacques M. par pied sur mises lables

115

’san e19,aniqepu ’n éi ’biain renouve- d’obligations série d’une plus que ainsi 1993, de % 7 d’Estaing

epteséi a ’tt uslanesiat ’mrn .Giscard V. l’emprunt suivante l’année puis l’État, par émis perpétuels

aCDPpri e«rmore n18 e enesemprunts derniers les 1987 en rembourser « de permit CADEP La

’fetto pca e rdisd privatisation. de produits des spécial d’affectation

e eetsd aCDPsn osiue a e esmnsd compte du versements les par constituées sont CADEP la de recettes Les

in ud apiee hred ’mrismn ette,àlu échéance. leur à titres, de l’amortissement de charge en prise la de ou tion,

’mrismn el et a ’custo ette nved erannula- leur de vue en titres de l’acquisition par dette la de l’amortissement

tbismn ulcntoa diitai u ormsind ocui à concourir de mission pour a qui administratif national public établissement

69 cor 96pu n ué edxas» lsai lr d’un alors s’agit Il ». ans dix de durée une pour 1986 octobre ope u1 du compter

er

ntteueCis ’mrismn el et ulqe(AE)«à « (CADEP) Publique Dette la de d’Amortissement Caisse une institue

is ’ril 2d alid iacsrciiaied 1jilt1986 juillet 11 du rectificative finances de loi la de 32 l’article Ainsi

o)a eiacmn el et el’État. de dette la de refinancement au ron)

el rvtsto ’nrpie ulqe 4 ilad efac u 0envi- 70 sur francs de milliards (40 publiques d’entreprises privatisation la de

iiéprM .Cia,etn fetruepri e eetsprovenant recettes des partie une affecter entend Chirac, J. M. par dirigé

esrrî,e 96 eguenmn iéa ecohabitation, de » libéral « gouvernement le 1986, en surcroît, De

lslqiepossible. liquide plus

éomsdsmrhsfnnir u ietàrnr adtepbiu la publique dette la rendre à visent qui financiers marchés des réformes

ursdsmrhsfnnir.LÉa aeternr lr enombreuses de alors entreprendre va L’État financiers. marchés des auprès

egad mrns,e,àpri e nésdxnu etquatre-vingt, cent neuf dix années des partir à et, emprunts), grands de

èebnar ’br,apè ugadpbi nut pruepolitique une (par ensuite public grand du auprès d’abord, bancaire tème

néssiat-i ’ttv ’netrporsieet ursd sys- du auprès progressivement, s’endetter va l’État soixante-dix années rencontres des milieu du économique crise la de partir À ensei

g nemen

ovreetJ hrc(1986) Chirac J. gouvernement

t

g le par rentes des soutien de Fonds est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ’mrismn tratvto du réactivation et d’amortissement

LES ÉVOLUTIONS LES ac t Caisse nouvelle d’une Création XIV. io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’uoiaindné hqeaneàctefn a alid iacs au finances, de loi la par fin, cette à année chaque donnée l’autorisation

ottted et ulqengcal msprlÉa asl ar de cadre le dans l’État par émis négociable publique dette de titre tout

ud ercsin aCis el et ulqepu evi attribuer voir se peut publique dette la de Caisse La cession. leur de ou

e nrpie ulc,e u elu osrain elu annulation leur de conservation, leur de vue en publics, entreprises des

e irséi a ’tt aatsprlio msprdséalseet ou établissements des par émis ou lui par garantis l’État, par émis titres les

ocuatàl ult el intr elÉa.El etntmetacheter notamment peut Elle l’État. de signature la de qualité la à concourant

aule«pu fete,srlsmrhsfnnir,tue e opérations les toutes financiers, marchés les sur effectuer, peut « laquelle

adtepbiu s epaé a a«Cis el et ulqe» publique dette la de Caisse « la par remplacée est » publique dette la

ope u1 ave 03tni u a«Cis ’mrismn de d’amortissement Caisse « la que tandis 2003 janvier 15 du compter

n oberfre:l od esuindsrne s upiéà supprimé est rentes des soutien de Fonds le : réforme double une à

’s oruilatce15d alid iacspu 03aprocédé a 2003 pour finances de loi la de 175 l’article pourquoi C’est

ursd aCC ééprl ieto uTéo ». Trésor du Direction la par géré CDC, la de auprès

a eFR:e fe,e rtqe eFR«néatq’ncmt el’État de compte qu’un n’était « FSR le pratique, en effet, en : FSR le par

aate etasaec td iuu lsipratsqeclioffert celui que importantes plus rigueur de et transparence de garanties

a aCDPtni u esau uiiu el AE rsnatdes présentait CADEP la de juridique statut le que tandis CADEP la pas

opeié eFRdsoatdisrmnsdvriisqen possédait ne que diversifiés d’instruments disposait FSR Le complexité.

oxsec el AE td S ti éomi asuc ’n inutile d’une source la désormais était FSR du et CADEP la de coexistence

udbtdsane 00 e ovispbisotjg u la que jugé ont publics Pouvoirs les 2000, années des début Au

uu evc el ieto ééaed Trésor. du générale direction la de service qu’un

rsr»(F) et gne»napsl esnaiémrl tnetbien n’est et morale personnalité la pas n’a » agence « cette (AFT), » Trésor

et,etrtah udrcerd rsr» peé gneFrance- Agence « Appelée ». Trésor du directeur au rattaché est dette,

rv u«u evc optnentoae éom gned la de agence dénommé nationale, compétence à service un qu’« prévu a

70

otn raiaind ’diitaincnrl el ieto uTrésor du direction la de centrale l’administration de organisation portant

’rêéd ére 01qiamdfélart u2nvmr 1998 novembre 2 du l’arrêté modifié a qui 2001 février 8 du L’arrêté

(2003)

tl upeso uFnsd ote e rentes des soutien de Fonds du suppression la et

V atasomto el AE nCDP en CADEP la de transformation La XV.

2003.

aceitned aCDPe uFRaéérms ncueen cause en remise été a FSR du et CADEP la de coexistence La

ipsrduersred irscntté a eTrésor. le par constituée titres de réserve d’une disposer ●

acé u axditrt; d’intérêt taux sur marchés

ulc,aniqesrlsmrhsd otasngcalse u les sur et négociables contrats de marchés les sur que ainsi publics, rencontres uéi a e tbismnso e entreprises des ou établissements des par émis ou ensei

g nemen ’tt oamn prrsrlstte aatsprl’État par garantis titres les sur opérer notamment l’État,

t

fete otsoéain nved ée adtede dette la gérer de vue en opérations toutes effectuer g ● est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE u oslsmrhso e irssn éoibe ; négociables sont titres ces où marchés les tous sur

LES ÉVOLUTIONS LES

ac

prrsrlstte etuentr msprlÉa et l’État par émis nature toute de titres les sur opérer t io ● n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

7 publiques, Finances Albert, Jean-Luc 117. dto,21,p 277. p. 2011, édition,

e

tDlo,21,p 184. p. 2010, Dalloz, et

3 publiques, Finances Rioux, Rémy Ferrand, Olivier Adam, François 116. dto,Pessd cecsPo Sciences de Presses édition, e

n 0018 u1 oebed 00aatrs elgsaer titre à législateur, le autorisé a 2010 du novembre 13 du 2010-1380

o

adredaotseetd adtescae» asl o organique loi la Mais ». sociale dette la de d’amortissement durée la

umnaindsrcte el asepretn en a accroître pas ne de permettant Caisse la de recettes des augmentation

u otnueutasetd et a[AE]etacman d’une accompagné est [CADES] la à dette de transfert nouveau tout « que

eaieaxli efnneetd aScrt oil oél principe le posé a sociale Sécurité la de financement de lois aux relative

etslatce2 el o raiu n organique loi la de 20 l’article Certes 0581d ot2005 août 2 du 2005-881

o

el CRDS. la de

e etssetfi lr a nalneetd adred perception de durée la de allongement un par alors fait s’est dettes des

et ndvimn el éom rgnlepiqel remboursement le puisque originelle réforme la de dévoiement un senté

éatd ovaxdfct asagetrssrcte,c u repré- a qui ce recettes, ses augmenter sans déficits nouveaux de férant

96 elgsaera«ruet»l AE lser ersse u trans- lui en reprises plusieurs à CADES la » rouvert « a législateur le 1996,

’uatp teaosrafcé natedsiaar.Cpnat après Cependant, destinataire. autre un à réaffectée alors être pu n’aurait

n20 te plcto upicp encsiéd ’mô aCRDS la l’impôt de nécessité de principe du application en et 2009 en

’ronned 4jnir19 rvyi ’xicind aCADES la de l’extinction prévoyait 1996 janvier 24 du L’ordonnance

a el AE u eotl rdi el RSe ’n ated aCSG. la de partie d’une et CRDS la de produit le reçoit qui CADES la de cas

n et u iel ips ersore éensafcés ’s le C’est affectées. pérennes ressources de dispose elle si que dette une

emn a àl lsiprat nlav,ueCis epu amortir peut ne Caisse une vu, l’a On important. plus le là pas demment

nuiiatuegad ait ’ntuet iaces asc ’s évi- n’est ce Mais financiers. d’instruments variété grande une utilisant en

éial uooi egsinpu nevnrsrlsmrhsfinanciers marchés les sur intervenir pour gestion de autonomie véritable

71

eetd aDteScae(AE)al esnaiémrl tjutd’une jouit et morale personnalité la a (CADES) Sociale Dette la de sement

otarmn aCis el et ulqe aCis d’Amortis- Caisse la publique, dette la de Caisse la à Contrairement

Conclusion

oscénire éier» débiteur et créancier fois .

117

oecvlqiéen rac tdtelrqel êepron s la à est personne même la lorsque dette et créance éteint qui civil Code

éesieetàlanlto utte a plcto elatce10 du 1300 l’article de application par titre, du l’annulation à nécessairement

’nrca a aCis tnnprl rsretq’ln odi pas conduit ne qu’il est Trésor le par non et Caisse la par rachat d’un

F ’ ocpsrdi e rrgtvsd rsr nfi,«l’avantage « fait, En Trésor. du prérogatives les réduit pas donc n’a SFR

elATqiraietlsoéain el D » CDP la de opérations les réalisent qui l’AFT de . asprsindu suppression La ...

116

u emrh eodie ahn u«e rtqec otlsservices les sont ce pratique en qu’« sachant secondaire, marché le sur

rencontres titres propres ses racheter pour CDP la de besoin a l’État raison quelle ensei pour savoir de pose se question la Évidemment

g nemen vne etéoei .. ». (...) trésorerie de avances

t

g des et avances, ou prêts des dotations, des Caisse la à est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE tàvnr e irs» a ilus ’ttpu accorder peut l’État « ailleurs, Par ». titres ces vendre à et

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t prêter à autorisée est Elle l’économie. de chargé ministre io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

el et oil ,JP/L ean uiiu dto oil n sociale Édition – Juridique Semaine La / JCP », sociale dette la de ,1 ave 01 p 17-23. pp. 2011, janvier 18 3,

o

1.C.Rm elt 6 FSpu 01:léulbefnnird aScrt oil pè e refinancements les après sociale Sécurité la de financier l’équilibre : 2011 pour LFSS « 76. Pellet, Rémi Cf. 118.

uéiu 0mlirsderse 00 eclu s neti texplique et incertain est calcul Ce 2010. en d’euros milliards 10 à supérieur

e cisprl 2 emtr nfn edggru od essactifs ses de solde un dégager de fine in permettra F2R le par actifs ses

eiacmn el et uel ot,ateetdtqel eto de gestion la que dit autrement porte, qu’elle dette la de refinancement

aoiaindsatf a eFRdpseal otpu aCDSdu CADES la pour coût le dépassera F2R le par actifs des valorisation

2 esl AE e ovispbisotdn al u efi u la que fait le sur tablé donc ont publics Pouvoirs les CADES la vers F2R

AE ilad ’uo.E hiisn edfée e esmn du versement les différer de choisissant En d’euros. milliards 5 à CADES

lr u etasetdatfete21 t21 éuri e ot ela de coûts les réduirait 2018 et 2012 entre d’actif transfert le que alors

uq’n22 otri eloded 0mlirsdersàl CADES la à d’euros milliards 10 de l’ordre de coûterait 2024 jusqu’en

asl eiacmn epu e3 ilad ’uo edette de d’euros milliards 30 de plus de refinancement le Mais

01d , ilad ’uo upéetie a an. par supplémentaires d’euros milliards 3,6 de 2011

nr 01e 04,d ot u aCDSdvi ipsràpri de partir à disposer devait CADES la que sorte de 2024), et 2011 entre

e erie)e esspicpu cisvr aCDS(, ilad d’euros milliards (2,1 CADES la vers actifs principaux ses de et retraites) des

lblaéérlv e2à22%ai efnne n ated aréforme la de partie une financer de afin % 2,2 à 2 de relevé été a global

orsodn npoutd , iladderspra otl taux le dont – an par d’euros milliard 1,5 de produit un à correspondant –

ore uFR(, epéèeetsrl aia tlsplacements les et capital le sur prélèvement de % (1,3 F2R du sources

ets aLS or21 raiéu rnfr rgesfdsres- des progressif transfert un organisé a 2011 pour LFSS la Certes,

’ci uFRséeata etmr 00à3, ilad d’euros. milliards 35,1 à 2010 septembre 3 au s’élevait F2R du L’actif

iet asdscniin tsrdsctgre ’cisbe définies. bien d’actifs catégories des sur et conditions des dans directe

eetmi aLS or20 emsa 2 ercui agestion la à recourir de F2R au permis a 2007 pour LFSS la mais sement

cuuéprl od t ofé e rsaarsd evc d’investis- service de prestataires des à confiée été a fonds le par accumulé 72

hnsmblsd 3 de mobiles phones ééain(MS.L eto iacèed capital du financière gestion La (UMTS). génération

e

epoutdsrdvne uspu e rqecsuiiésprlstélé- les par utilisées fréquences les pour dues redevances des produit le

u e eeu uption tlspout epaeet uuls’ajoutait auquel placement, de produits les et patrimoine du revenus les sur

eetsdn apu motneéat6 upéèeetd portant % 2 de prélèvement du % 65 était importante plus la dont recettes

éspnatl aybo.L 2 ti iac a nesml de ensemble un par financé était F2R Le baby-boom. le pendant nées

uscerpié umle el éid ’rié artat e personnes des retraite la à d’arrivée période la de milieu au privé, secteur du

hreàpri e22 n atedsdpne e éie ebase de régimes des dépenses des partie une 2020 de partir à charge

erie FR,éalseetpbi diitai u eatpedeen prendre devait qui administratif public établissement (F2R), retraites

a ilus elgsaeracé n19 nfnsd éev des réserve de fonds un 1999 en créé a législateur le ailleurs, Par

a aCis d’amortissement Caisse la par .

118

oreftd ie ’né 05l em urmoreetd adette la de remboursement du terme le 2025 l’année à fixer de effet pour

ismn el et oil.Ani ’ril el FSpu 01aeu a 2011 pour LFSS la de 9 l’article Ainsi, sociale. dette la de tissement

’ntasetd eetse o on ’nalgmn el ué d’amor- durée la de allègement d’un point non et recettes de transfert d’un 05slnlqe otnueutasetd et eats’accompagner devait dette de transfert nouveau tout lequel selon 2005 rencontres

ensei epried rniecnar a aliognqede organique loi la par consacré principe du temporaire

g nemen e22 05 lsai ocl ’n eiee cause en remise d’une là donc s’agit Il 2025. à 2021 de

t

upéetie adred ebusmn,si donc soit remboursement, de durée la supplémentaires g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE et edtessetbe ’logrjsuàqar années quatre jusqu’à d’allonger susceptibles dette de ferts

LES ÉVOLUTIONS LES

ac éoaor,dn aLS or21,àpéordstrans- des prévoir à 2011, pour LFSS la dans dérogatoire, t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

uo,àprîr,spebe2012. septembre paraître, à Dunod, 2012, France la de santé de Carnet Le (dir.),

2.Rm elt utepooiin sress erfre e iacsscae ,i end Kervasdoué de Jean in », sociales finances des réformes de (sérieuses) propositions Quatre « Pellet, Rémi 121.

n publiques, 1,fvir21,p.10e 172. et 170 pp. 2012, février 117,

o

eu rnas eFinances de française Revue », publiques finances des l’équilibre dans stocks et Flux « Thoris, Gérard 120.

accl 0-0 01(oslal u or iewww.remipellet.com). site notre sur (consultable 2001 204-10, fascicule Traité, sociale

ui-lserProtection Juris-Classeur », sociale Sécurité la de inter-régimes et intra Organisation « Pellet, Rémi Cf. 119.

. eon etéoei éii strictement définis trésorerie de besoins

121

uoie aScrt oil eorràdsaacsqidpsetses dépassent qui avances des à recourir à sociale Sécurité la autoriser

aScrt oil otrfré fnqel éiltu epis plus puisse ne législateur le que afin réformée soit sociale Sécurité la

osaospooéqel o raiu u e osd iacmn de financement de lois les sur organique loi la que proposé avons nous

oil asdepce uel ercntte ’s ario orlaquelle pour raison la C’est reconstitue. se qu’elle d’empêcher mais sociale

letdn bouetncsar o elmn ’tidel dette la d’éteindre seulement non nécessaire absolument donc est Il

. ’mrismn ectedte» dette cette de l’amortissement à

120

in,i ’ uu oltrlqipis éée e eeu nécessaires revenus les générer puisse qui collatéral aucun a n’y il bien”,

aedfnsatl osmaincmel dsrcinéooiu d’un économique “destruction la comme consommation la définissant nale

om nbnesnépu teu ci fiae!L opaiiénatio- comptabilité La ! efficace actif un être peut santé bonne en homme

esai a edpne ’netseet êes eclaéa d’un collatéral le si même d’investissement, dépenses de pas s’agit ne

e éessscae,«i ’ uuedsuso osbesrl atqu’il fait le sur possible discussion aucune a n’y il « sociales, dépenses les

orasrrlaotseetd ’mrn ’ur at»;o,concernant or, ; » part d’autre l’emprunt de l’amortissement assurer pour

eed ncsd rbèeduepr tqignr se eressources de assez génère qui et part d’une problème de cas en revendu

éesspbiusdn eclaéa etcntte n aatee être et garantie une constituer peut collatéral le dont publiques dépenses

urmn i,«puetêr iace a ’netmn des l’endettement par financées être peuvent « dit, Autrement

73 e iacrprdsrsore d’emprunt. ressources des par financer les

napurseetdfntfdsrgmsqin erin ocpspouvoir pas donc devraient ne qui régimes des définitif appauvrissement un

om e éessd ocineet:lu xcto etautpar traduit se exécution leur : fonctionnement de dépenses des comme

aiain ) e éessd éuiéscaesaayet nrevanche, en s’analysent, sociale Sécurité de dépenses les »), vatisations

ored rft uuse eorn ecséhatàsnainto «pri- (« aliénation son à échéant cas le recourant en futurs profits de source

ersnetu nihseetd o armie eulpu ocêtre donc peut lequel patrimoine, son de enrichissement un représentent

mrnspuetsri iacrdsdpne ’netseetqui d’investissement dépenses des financer à servir peuvent emprunts

lr u ’netmn elÉa etêr utféa oi u ses que motif au justifié être peut l’État de l’endettement que Alors

ebusrl et oil passée. sociale dette la rembourser

éuiéscaeaosqedn emm ep aCDSeputi pour empruntait CADES la temps même le dans que alors sociale Sécurité

etnn ecéru od u lçi n atedsrsore ela de ressources des partie une plaçait qui fonds un créer de pertinent

’léatbien était s’il , atpu or ata oetd acéto uF2R du création la de moment au part notre pour fait

119

ni tsrot letpri es eadr om osl’avions nous comme demander, se de permis est il surtout, et Enfin rencontres ». CADES la par amortie dette la de coût le et concernés actifs des sionnelle

ensei tntmet«l etblt asee arnaiiéprévi- rentabilité la et passée rentabilité la « notamment et

g nemen etn ’prce ’néê iace ecteopération cette de financier l’intérêt d’apprécier mettant

t

g per- éléments les parlementaires aux donne PLFSS au est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ue a etasetdatf esl AE n annexe une CADES la vers d’actifs transfert de cas qu’en

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t prévoit 2010 novembre 13 du organique loi la que donc io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é Fluctuations macroéconomiques et équilibre des comptes sociaux

Jacques Le Cacheux Professeur à l’UPPA, Directeur du Département des études de l’OFCE/Sciences Po

Le plus récent rapport de la Commission des comptes de la Sécurité sociale (2012) annonce une réduction moindre que prévu du solde financier du régime général en 2012 : le déficit de l’ensemble régime général-Fonds de Solidarité Vieillesse (FSV) s’établirait à 15,5 milliards d’euros, au lieu de 13,8 prévus lors de l’adoption de la Loi de Financement de la Sécurité Sociale (LFSS) fin 2011. Ainsi, malgré les efforts de maîtrise des dépenses et le vote de recettes nouvelles dans les lois de finances rectificatives 74 de décembre 2011 et février 2012, la dégradation de la conjoncture macro- économique française, au second semestre 2011 et au premier semestre 2012, se reflétera-t-elle dans les évolutions du déficit des comptes de la Sécurité Sociale.

L’impression qui prévaut souvent est que le « trou de la Sécu » ne disparaît jamais : il enfle et se résorbe au gré des fortunes de l’économie française, depuis la fin des années 1970. La période récente conforte cette impression (graphique). Le déficit total (régime général+FSV) atteignait 9,4 milliards d’euros en 2008, à la veille de la grande récession ; il gonfla à 23,5 milliards d’euros en 2009, au plus fort de la crise, puis à 28 milliards d’euros en 2010, avant de se réduire un peu, à 20,9 milliards d’euros en 2011, puis encore un peu, pour atteindre encore 19,9 milliards d’euros en 2012, selon les dernières projections.

Pourtant, la France s’est engagée, comme les autres pays membres de l’Union Européenne (UE) dans le cadre du Pacte de stabilité et de croissance, à réduire coûte que coûte son déficit public, pour, en principe, le ramener à 3 % du PIB dès 2013. Et le Pacte budgétaire européen, en cours de ratification dans la plupart des pays de l’UE – à l’exception du Royaume-Uni et de la République tchèque, qui l’ont refusé d’emblée – prévoit une gestion encore plus stricte de l’ensemble des finances publiques des États membres.

’uo,mi adtenten emnatq’ 2 ilad ’uo,slnl’INSEE. selon d’euros, milliards 523 1 qu’à montait se ne nette dette la mais d’euros,

nbe elercièe asl a el rne i 01 adtepbiu rt tegat177milliards 717 1 atteignait brute publique dette la 2011, fin France, la de cas le Dans critère. meilleur bien un

asqifn u adtenteettè néiueàl et rt,e osiu,d on eveéconomique, vue de point du constitue, et brute, dette la à inférieure très est nette dette la que font qui mais

.Rpeosqelsamnsrtospbiuspsèetéaeetdsatf,pstuor aie évaluer, à faciles toujours pas actifs, des également possèdent publiques administrations les que Rappelons 1.

néiueà6 uPIB. du % 60 à inférieure

néiu uPBe n et ulqebrute publique dette une et PIB du % 3 à inférieur emm éièr – périmètre même de –

1

eslefnnird ’nebedsamnsrtospbiusd as– pays du publiques administrations des l’ensemble de financier solde le

erni e rtrsd iacspbius:u éii ulc–dfn comme défini – public déficit un : publiques finances de critères les reprenait

eted ovre vn elneetd amnaeuiu.L Pacte Le unique. monnaie la de lancement le avant converger de mettre

é u ascniasàleté asl oeer tcné erper- leur censés et euro zone la dans l’entrée à candidats pays aux sés

td risnepeatanil easds«cièe eMatih ,impo- », Maastricht de critères « des relais le ainsi prenait croissance de et

ln iacèeàssÉasmmrs dpée 97 ePced stabilité de Pacte le 1997, en Adopté membres. États ses à financière pline

’no oéar uoéneips,dpi e éus n disci- une débuts, ses depuis impose, européenne monétaire L’union

.L icpiefnnir européenne financière discipline La I.

cnmqe? économique

egad mlu,viee a erlnismn essatd l’activité de persistant ralentissement de cas en voire ampleur, grande de

indsfnne oilse rsned lcutosmacroéconomiques fluctuations de présence en sociales finances des tion

oil t lsgnrlmn,qesdvaetêr e rnie eges- de principes les être devraient quels généralement, plus Et, ? sociale

75

ati océulbe astre e ope el Sécurité la de comptes les tarder sans équilibrer donc Faut-il

ore NE tCmiso e ope el éuiésociale. Sécurité la de comptes des Commission et INSEE : Sources

rvsosCmiso e ope el éuiésociale Sécurité la de comptes des Commission Prévisions *

Taux de croissance du PIB du croissance de Taux général Régime Déficit

-25

-20

-15

-10

-5 rencontres 2012 2011 2010 2009 2008 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000

ensei 0 g nemen

t 5 g est

i o n md uo) 2000-2012* euros), (mrds

ac t général régime du déficit et (%) PIB du croissance de Taux io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

iba (1995). Timbeau

.Pu n nls lsdtiled et éom td algqeitre orCrila,L ahu et Cacheux Le Cornilleau, voir interne, logique sa de et réforme cette de détaillée plus analyse une Pour 3.

enueuPcebdéar,aot n2012. en adopté budgétaire, Pacte nouveau le

s euopcnom u rcpe elaayeéooiu u a«rgedo uoéneisrt dans inscrite européenne » d’or règle « la que économique l’analyse de préceptes aux conforme beaucoup est

ice Elle siècle. XIX du fin la à Leroy-Beaulieu, par édictée été a publiques finances des » d’or règle « Cette 2. e

ebusmn el et oil CD) asl AE tl CRDS la et CADES la Mais (CRDS). Sociale Dette la de Remboursement

tisiu nisrmn efnneetddé aCnrbto orle pour Contribution la dédié, financement de instrument un institué et

glmn rél asedAotseetd aDteScae(CADES), Sociale Dette la de d’Amortissement Caisse la créé également a

et réforme Cette . e osd iacmn el éuiéScae(LFSS) Sociale Sécurité la de Financement de Lois des

3

atcle amims uPreetsrlsfnne oils vcl vote le avec sociales, finances les sur Parlement du mainmise la particulier

u19 dts«rfreJpé» n nttéd ovle èls en règles, nouvelles de institué ont ») Juppé réforme « (dites 1995 du

rsds23dsdpne ulqe oae nFac ,lsordonnances les –, France en totales publiques dépenses des 2/3 des près

ocratlsfnne oils–dn nsi uelsreprésentent qu’elles sait on dont – sociales finances les Concernant

ilsfaçie ot nmyne e endettées. peu moyenne, en sont, françaises riales

evn tefnnésprleput esreqelscletvtsterrito- collectivités les que sorte de l’emprunt, par financées être peuvent

tevtsàléulbe tsue e éessdivsismn public d’investissement dépenses les seules et l’équilibre, à votés être

er ugt efntonmn doivent fonctionnement de budgets leurs : omssàue«rgedo » d’or règle « une à soumises

2

’n a t fete,e atepreqecsdrirséaetdéjà étaient dernières ces que parce partie en affectées, été pas n’ont

e icpie ainls nFac,lsrltoseteÉa tcollectivités et État entre relations les France, En nationales. disciplines des

omtr e olciié ertrae,o ovreet éetaié,à décentralisés, gouvernements ou territoriales, collectivités les soumettre

’s rdieprlaoto e«Pce ainu esaiié» fnde afin », stabilité de nationaux Pactes « de l’adoption par traduite s’est

odsfnnir.Dn apuatdspy uoén,cteexigence cette européens, pays des plupart la Dans financiers. soldes

76

oésdsmyn epltg ectesml td otôedes contrôle de et ensemble cet de pilotage de moyens des dotées

ntu,e mlqatdn u e ntttospltqe ainlsfussent nationales politiques institutions les que donc impliquait et tout, un

in ulqe ainlsspoatd osdrrctesml comme ensemble cet considérer de supposait nationales publiques tions

adfnto ecièe iacespu ’nebedsadministra- des l’ensemble pour financiers critères de définition La

e rié européens. traités des

etne vtrls«dfct ulc xesf ,slnl terminologie la selon », excessifs publics déficits « les éviter à destinées

ainls ’ùlipsto erge,su om epaod td limites, de et plafonds de forme sous règles, de l’imposition D’où nationales.

iacesarin ueecrsrlspltqe ugtie tfinancières et budgétaires politiques les sur exercer pu auraient financiers

uel eâhi,dn n etiemsr,l icpieqelsmarchés les que discipline la mesure, certaine une dans relâchait, qu’elle

ate e nedpnacsmcocnmqe ots nmm temps même en fortes, macroéconomiques interdépendances des et fait

’n oiiu oéar nfre ratdssldrtsfnnirsde financières solidarités des créait uniforme, monétaire politique d’une

l vin osined atqelaoto ’n oni nqe donc unique, monnaie d’une l’adoption que fait du conscience avaient ils

ovrieébdéar tfsaedsÉasmmrsqaiitce Mais intacte. quasi membres États des fiscale et budgétaire souveraineté osre e oiiusbdéarsntoae éetaiése une et décentralisées nationales budgétaires politiques des conserver rencontres

ensei nrio elhtrgniédsÉasmmrs de membres, États des l’hétérogénéité de raison en

g nemen ugtie» ui ti ucnriepééal,notamment préférable, contraire au était qu’il », budgétaire

t

’copge amnaeuiu ’n«fédéralisme « d’un unique monnaie la d’accompagner g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE ar UM vin osdr ui ’ti a nécessaire pas n’était qu’il considéré avaient (UEM) taire

LES ÉVOLUTIONS LES

ac e ocper elUinÉooiu tMoné- et Économique l’Union de concepteurs Les t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

rve a ePC aCmiso rps n rmèerfred at,aotea rnep 2005. printemps au adoptée Pacte, du réforme première une proposa Commission la PSC, le par prévues

ulc uéiusà3%d I.L osi uoénrfsn ’moe e expy e sanctions les pays deux ces à d’imposer refusant européen Conseil Le PIB. du % 3 à supérieurs publics

.E élt,mm epaodn u a epcé ’lean usl rne n20,afcatdsdéficits des affichant 2003, en France, la puis l’Allemagne respecté, pas fut ne plafond ce même réalité, En 4.

ndptd afrecosac el i e nés19,csdfct n’ont déficits ces 1990, années des fin la de croissance forte la de dépit en

0%d I,e e éiispbistè osn e3%d I.E outre, En PIB. du % 3 de voisins très publics déficits des et PIB, du % 60

tt ebe fihn e etsdj rce e or uéiue à supérieures voire de, proches déjà dettes des affichant membres États

tin elsqectemred aœveneiti a,l lpr des plupart la pas, n’existait manœuvre de marge cette que telles étaient

aslscniin ’nredn amnaeuiu,e 1999, en unique, monnaie la dans d’entrée conditions les Mais

iu tivreete éid efrecroissance. forte de période en inversement et ; mique

rueatmtqeet eqicnrbea ote elatvt écono- l’activité de soutien au contribue qui ce automatiquement, creuse

rnfrsaxmngs umnet esreqel éii ulcse public déficit le que sorte de augmentent, ménages, aux transferts

e eetspbiuss éusn tcransdpne,ntmetde notamment dépenses, certaines et réduisent se publiques recettes les

éars»:e a ercsin éilto icl tscaeinchangée, sociale et fiscale législation à récession, de cas en : » gétaires

atpsl ocineetsotn e tblstusatmtqe bud- automatiques stabilisateurs « des spontané fonctionnement le pas vait

uéiu ecife ’deéatdn inqel èl ugtien’entra- budgétaire règle la que bien donc était L’idée chiffre. ce à supérieur

ure aasuercsinnaategnr ncesmn udéficit du creusement un engendré n’avait récession une jamais guerre,

acneto uPce:a eadd ’xéinehsoiu el’après- de historique l’expérience de regard au : Pacte du conception la

egad mlu vi t osdrecmesfiat ummn de moment au suffisante comme considérée été avait ampleur grande de

ulc edgae e3pit ePBe a eco macroéconomique choc de cas en PIB de points 3 de dégrader se publics

n el ag emnur apsiiiéd ase e soldes les laisser de possibilité la – manœuvre de marge telle Une

. u osdrecmedvn tecontraignante être devant comme considérée fut

4

77 arged éii ulcecsi cetàdr epaodd uPIB) du % 3 de plafond le (c’est-à-dire » excessif public déficit « du règle la

nin éàl iieds6 uPBpu adtepbiu rt,seule brute, publique dette la pour PIB du % 60 des limite la déjà gnaient

tpreqelspicpu asmmrs–dn ’lean enfrei- – l’Allemagne dont – membres pays principaux les que parce Et

inn eatpéie eqedvi tel yhed eoràl’équilibre. à retour du rythme le être devait que ce préciser venait ne rien

idiettnr esu qiir,vieu xéet»àmynterme, moyen à » excédent un voire équilibre, un vers « tendre doivent ci

ulqe ainls:s,dn ePced tblt,i s nci u celles- que inscrit est il stabilité, de Pacte le dans si, : nationales publiques

eteuecran opes asl eto ojntrledsfinances des conjoncturelle gestion la dans souplesse certaine une mettre

efnne ulqe utat eMatih eaet ntére per- théorie, en devaient, Maastricht de traité du » publiques finances de

éii emnèechrne asu e ririe e critères « les arbitraire, peu un mais cohérente, manière de Définis

tl ôedssaiiaer automatiques stabilisateurs des rôle le et I agsincontra-cyclique gestion La II.

rencontres

ensei etl cas. le ment

g nemen ’qiir,c u,cmeo esi,n u a durable- pas fut ne sait, le on comme qui, ce l’équilibre, à

t

g revenir devaient sociales finances les suite, la par ; 1996 est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE etdsiésàaotrl et cuué jusqu’à accumulée dette la amortir à destinées ment

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t unique- temporaires, être devant comme conçues étaient io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’xsec ’n et oil éen.I ovedatdn el résorber. la de donc conviendrait Il pérenne. sociale dette d’une l’existence à

’sue uel s otnbe lneit a ejsiiainéconomique justification de pas n’existe il soutenable, est qu’elle s’assurer

utfe apéec ’n et ulqe oti ovetsmlmn de simplement convient il dont publique, dette d’une présence la justifier

olv,dn e odtospéets e ifclé.Crs ’npeut l’on si Car difficultés. des présentes, conditions les dans soulève,

otacciu e iacspbius tntmetdscmtssociaux comptes des notamment et publiques, finances des contra-cyclique

ate u advlrsto ecsatf iaces asl gestion la Mais financiers. actifs ces de dévalorisation la à due partie,

u e etsbue gahqe) tlu asears20 s,en est, 2008 après hausse leur et (graphiques), brutes dettes les que

éaqel aerdsaor iaces n umnébacu moins beaucoup augmenté ont financiers, avoirs des valeur la défalque

u aslsrcte.Cre e etsnte,ntmetlrqel’on lorsque notamment nettes, dettes les Certes recettes. les dans que

rxdautmnsdsrtonie oluex atdn e dépenses les dans tant douloureux, discrétionnaires d’ajustements prix

’tto e ope oiu,n ersretqetè etmn,e au et lentement, très que résorbent se ne sociaux, comptes des ou l’État

otn euslr tlsdfct ulc,q’lsais e ope de comptes des s’agisse qu’il publics, déficits les et lors depuis soutenu

vn agad éeso e20-09;el epusi nrythme un à poursuit se elle ; 2008-2009 de récession grande la avant

rl otedsedteet ulc rt ’s mré bien amorcée s’est bruts publics endettements des montée la Or

ticriue u acosac potentielle croissance la sur incertitudes et

I.Mné e netmnspublics endettements des Montée III.

asàcniinqecsdfct ersrete éid ereprise. de période en résorbent se déficits ces que condition à mais

ncesmn e éiisscaxe éid ebsecnocue; conjoncture basse de période en sociaux déficits des creusement un

78 lnetdslr a nra ti s êesuatbe–d constater de – souhaitable même est il et – anormal pas lors dès n’est Il

’ciié–rn er eetspriuirmn esbe aconjoncture. la à sensibles particulièrement recettes leurs rend – d’activité

ac u ermd efnneet–picplmn si u e revenus les sur assis principalement – financement de mode leur que parce

uelscnttetuepr rpnéat e éesspbius et publiques, dépenses des prépondérante part une constituent qu’elles

e iacsscae erin oe nrl motn,parce important, rôle un jouer devraient sociales finances les turelles,

asl oiu esaiiainatmtqedsfutain conjonc- fluctuations des automatique stabilisation de logique la Dans

uoéne eptq’tesuspendue. qu’être put ne européennes

vi t bev pè-ureqelapiaindsrge budgétaires règles des l’application que après-guerre observé été avait

’mlu el éeso tn lr elmn uéiueàtu equi ce tout à supérieure tellement alors étant récession la de l’ampleur

ulc.Céat vdmet ascmtrae acied 2008-2009, de crise la avec compter sans évidemment, C’était, publics.

edel ipstfpu fiaedn asaiiaindsendettements des stabilisation la dans efficace plus dispositif le rendre

otagat erdcindsdfct nproefvrbe eqidevait qui ce favorable, période en déficits des réduction de contraignant,

eetcnocues;mi leaitoutu éaim,e principe, en mécanisme, un introduit a elle mais ; conjoncturels sement lsedn agsindsfnne ulqe ainlsfc u ralentis- aux face nationales publiques finances des gestion la dans plesse rencontres

ensei uPced 05adn rv n lsgad sou- grande plus une prévu donc a 2005 de Pacte du

g nemen I,ntmete lean te rne aréforme La France. en et Allemagne en notamment PIB,

t

ulc n aieetbtésrl lfn e3%du % 3 de plafond le sur butté rapidement ont publics g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE aetseetcnocue n20-02– e déficits les –, 2001-2002 en – conjoncturel ralentissement

LES ÉVOLUTIONS LES

ac a t esbeetrdis esreqe è epremier le dès que, sorte de réduits, sensiblement été pas t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

et el’État de Dette

’nn etexclure. peut ne l’on

79

ecosac oetel,s eu-ietsnil admne eque ce demande, la à sensible est celui-ci si potentielle, croissance de

’ciiééooiu nbsnva,vieàaase aatg esentier le davantage abaisser à voire niveau, bas un à économique l’activité

ersu u etle orcin otiun anei durablement maintenir à contribuent corrections telles de que risque le

oetel,olgatàcrie e rjcorsd iacspbius avec publiques, finances de trajectoires les corriger à obligeant potentielle,

e rssgae,tle u el naé n20,afcetl croissance la affectent 2008, en entamée celle que telles graves, crises les

aetnetpsaéé ti s otàfi osbe or rbbe que probable, voire possible, fait à tout est il et ; avérée pas n’est jacent

aiumn esc ete.Mi ’xsec-êedu e ete sous- sentier tel d’un l’existence-même Mais sentier. ce vers matiquement

ubnfntonmn eléooi,e edn armnrauto- ramener la à tendant en l’économie, de fonctionnement bon au

ascteotqe e tblstusatmtqe ugtie contribuent budgétaires automatiques stabilisateurs les optique, cette Dans

ésrsletd etrain iessqinafcetpsc sentier. ce pas n’affectent qui diverses perturbations de résultent vées

oetel eaieetsal eléooi,e u e lcutosobser- fluctuations les que et l’économie, de stable relativement potentielle

emd erglto s,e fe,q’leit nsnird croissance de sentier un existe qu’il effet, en est, régulation de mode ce

lcutosmcocnmqe.L ocpinaayiu u sous-tend qui analytique conception La macroéconomiques. fluctuations

rencontres des nature la à et potentielle croissance de notion la à renvoie sociales, ensei finances des notamment et publiques, finances des

g nemen aqeto olveprl eto contra-cyclique gestion la par soulevée question La

t

g ? nomique est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE asrsurd ee xesvmn u ’ciiééco- l’activité sur excessivement peser de risquer sans

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t opérer comment et l’opportunité de juger comment Mais io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

eléooi.Si ’s,si ac u e acé iacesimposent financiers marchés les que parce soit l’est, S’il l’économie. de

a ualmn uéiu utu ecosac ednil upotentiel, ou tendanciel, croissance de taux au supérieur durablement pas

asueaiiédsdte ups u etu ’néê esoit ne d’intérêt taux le que suppose dettes des soutenabilité La

’n osldto aceforcée marche à consolidation d’une

ePcebdéar uoéne e dangers les et européen budgétaire Pacte le

V ngied ocuin: conclusion de guise En IV.

ore éadCrila atrdsdnésINSEE. données des partir à Cornilleau Gérard : Sources

80 et e diitain eScrt sociale Sécurité de administrations des Dette

rencontres ensei g nemen t g est i o n

ac et e olciié locales Collectivités des Dette t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

.Dn ’pelto s mrpe om apl asl oe2. note la dans rappelé comme impropre, est l’appellation Dont 5.

nEurope. en

is grvrecr ’tnepritned acosac économique croissance la de persistante l’atonie encore aggraver ainsi

edelspltqe iacèe ainlsecr lsrguess et rigoureuses, plus encore nationales financières politiques les rendre

erdcindsedteet ulc,lreetabtar,n etque peut ne arbitraire, largement publics, endettements des réduction de

us-oaiédsmmrsd azn uo et xgnesupplémentaire exigence Cette euro. zone la de membres des quasi-totalité

oslspy otl ai s uéiu 0%d I ’s--iela c’est-à-dire – PIB du % 60 à supérieur est ratio le dont pays les tous à

rcdr us uoaiu erdcindsrto ’netmn public d’endettement ratios des réduction de automatique quasi procédure

uoaiuse a ennrsetdsrge,i moeasiune aussi impose il règles, des non-respect de cas en automatiques

lssrcedéulbedscmtspbise rvi e acin plus sanctions des prévoit et publics comptes des d’équilibre stricte plus

eets asoteqel at ugtieitoutue«rgedo » d’or règle « une introduit budgétaire Pacte le que outre Mais recettes.

5

fot upéetie motns asduecneté u evolet le sur concentrés doute sans importants, supplémentaires efforts

aee edfctpbi uPBds21,c u upsr des supposera qui ce 2013, dès PIB du % 3 à public déficit le ramener

at esaiiérnoc dpée 01 aFac ’s naé à engagée s’est France la 2011, en adopté renforcé stabilité de Pacte

ee ualmn u ednmsed ’ciié éà asl ar du cadre le dans Déjà, l’activité. de dynamisme le sur durablement peser

ainu prrdsautmnsbuax u otssetbe de susceptibles sont qui brutaux, ajustements des opérer à nationaux

81 euoppu otagats trsu ocd ocrlsgouvernements les forcer de donc risque et contraignantes, plus beaucoup

otfi,l ova at ugtieerpe nltdsrègles des inclut européen budgétaire Pacte nouveau le Toutefois,

u rdese,dn n ag eue pragmatiques. mesure, large une dans et, graduels que

’qiir iace oe em epuet ascscniin,être conditions, ces dans peuvent, ne terme moyen à financier l’équilibre

axpse e éessscae.Lsautmnsdsié maintenir à destinés ajustements Les sociales. dépenses des postes paux

erie tdasrnemldentmet u osiun e exprinci- deux les constituent qui notamment, d’assurance-maladie et retraites

rjcin oe em e edne tutrle,e air de matière en structurelles, tendances des terme moyen à projections

ancsiédisiuin egiae u ovn ipsrdotl de d’outils disposer doivent qui guidage, de d’institutions nécessité la

el ojntr,mi epu ase adtescaesacmlr D’où s’accumuler. sociale dette la laisser peut ne mais conjoncture, la de

ope oiu,etdn atclèeetmlié:i ottnrcompte tenir doit il : malaisé particulièrement donc est sociaux, comptes

risneptnile epltg e ope ulc,e oamn des notamment et publics, comptes des pilotage le potentielle, croissance

aeaxicriue u norn antr tléauto ela de l’évaluation et nature la entourent qui incertitudes aux Face

ifcl,vieimpossible. voire difficile,

tblsto e aisdedteet–et – d’endettement ratios des stabilisation errdcin–plus – réduction leur rencontres fortiori a

ensei lr edpie ualmn acosac,rnatla rendant croissance, la durablement déprimer de alors

g nemen fot ecnoiainbdéar ascu-irisquent ceux-ci mais ; budgétaire consolidation de efforts

t

g des exige public d’endettement ratios des stabilisation est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE u etu ecosac oete s abe lr la alors faible, est potentiel croissance de taux le que

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t parce soit dettes, les sur importante risque de prime une io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

82

4,décembre. 147, iéscae:l enèerfre?», ? réforme dernière la : sociale rité ,n l’OFCE de Lettre

o

onleu éad aqe eCcexe airTmeu(95,«Sécu- « (1995), Timbeau Xavier et Cacheux Le Jacques Gérard, Cornilleau, pdf/rapport_ccss_07-2012.pdf. rencontres

ensei ule,http://www.securite-sociale.fr/IMG/ juillet, 6 , 2012 sions

g nemen e ope el éuiéscae éutt 01 Prévi- 2011, Résultats sociale. Sécurité la de comptes Les

t

omsindscmtsd aScrt oil (2012), sociale Sécurité la de comptes des Commission g est SOCIALE

i

o

n DE LA PROTECTION LA DE

LES ÉVOLUTIONS LES ac ééecsbibliographiques Références t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é Modernisation de la gestion de trésorerie de l’ACOSS et portage de la dette sociale 1 Alain Gubian Directeur de la direction financière à l’ACOSS Emmanuel Laurent Directeur adjoint de la direction financière à l’ACOSS

L’Agence Centrale des Organismes de Sécurité Sociale (ACOSS) doit chaque jour garantir le paiement des prestations sociales et le rever- sement à de nombreux partenaires des flux financiers qui leur sont dus. Elle doit pour cela emprunter, si nécessaire, au-delà des encaissements qu’elle reçoit des URSSAF et d’autres organismes, dont l’État. Dans le cas contraire la trésorerie excédentaire est placée. Cette mission de gestion 83 de trésorerie du régime général, si elle était menée dans un contexte de faible besoin global de financement, voire d’équilibre, ne serait pour autant pas simple puisque les échéances des encaissements et des tirages ne coïncident pas et que les écarts entre les pics et les creux de trésorerie peuvent dépasser 14 milliards d’euros (encadré 1). Mais en pratique les déficits du régime général ont été importants depuis 20 ans et ce sont les reprises de dette par l’État d’abord, puis par la CADES, qui ont permis à l’ACOSS de retrouver des situations d’équilibre de son compte. Pour autant l’ACOSS a, à plusieurs occasions, porté des dettes considérables, leur reprise par la CADES n’ayant pas été immédiate. Avec d’une part la récession de 2009 et le fort accroissement du déficit du régime général qui en a résulté, d’autre part la décision du gouvernement de laisser l’ACOSS porter la dette jusque début 2011, l’Agence a vécu une situation historique. Alors qu’elle n’avait jamais financé plus de 31,5 milliards d’euros et de façon ponctuelle, elle a dû gérer en 2010 un stock de dette de court terme envisagé en loi de financement de la Sécurité sociale pour 2010 (LFSS 2010) à plus de 60 milliards d’euros et qui s’est établi en fait à 49,5 milliards d’euros environ en fin, d’année. L’apport de la Caisse

1. Brève bibliographie : Gubian A. (2011), « Environ 50 milliards d’euros financés par l’ACOSS en 2010 », Revue française des finances publiques, no 115, septembre ; ACOSS (2011 et 2012), Rapports d’activité et Rapports conjoncture et financement.

u3 éebeaatfnneet ube noea uu des cumul au encore bien ou financement, avant décembre 31 au

aslsbsisttu orsodn usled opeACOSS compte du solde au correspondant totaux besoins les mais

, ) osuo ead,nnpslsnueu eon financer, à besoins nouveaux les pas non regarde, Lorsqu’on %). 0,5 −

in oiae ulésàl risnedsrvns( , contre % 0,8 (− revenus des croissance la à liées ou nominales tions

un nlsapéi npucnaed I,pu etaie e évolu- les neutraliser pour PIB, du pourcentage en apprécie les on quand

néspséiue 01q’ucusd elspééat19,même 1999, précédant celles de cours qu’au 2001 à postérieures années

e éiisd rsrreotéée oen lséeé asles dans élevés plus moyenne en été ont trésorerie de déficits Ces

orsodn ’cr e naseet u e iae,négatives. tirages, les sur encaissements des l’écart à correspondant

naseet,o e«vrain etéoei aatrpied dettes), de reprise (avant » trésorerie de variations « de ou encaissements,

otslsate nésotéédsane ’xè e iae u les sur tirages des d’excès années des été ont années autres les Toutes

prssrl oped ’CS gahqe t1bse annexe). en bis 1 et 1 (graphiques l’ACOSS de compte le sur opérés

naseet lbu n éas,e noelgrmn,lstirages les légèrement, encore et dépassé, ont globaux encaissements

u ri nés acanèedssèls(99 00 01,o les où 2001), 2000, (1999, siècles des charnière la à années, trois que

eusl éu e nésqar-ig-i ’CS ’ connu n’a l’ACOSS quatre-vingt-dix années des début le Depuis

asl continuité la dans

.L iuto itrqeiiiee 2009... en initiée historique situation La A.

etéoei l’ACOSS à trésorerie de

.Be eorsrl otxefnnird agestion la de financier contexte le sur retour Bref I.

etéoei ’CS (4 l’ACOSS à trésorerie de partie).

e 84

nrsletsrlsotl efnneet(3 financement de outils les sur résultent en ate tl eto urisque du gestion la et partie)

e

orfnne edfctd ’né 00e e osqecsdrbe qui durables conséquences les et 2010 l’année de déficit le financer pour

e iacmns(2 financements des ate.Sn lr rsnéslsmdltsretenues modalités les présentées alors Sont partie).

e

el rsrred ’CS ôed aCCpi rmèe diversifications premières puis CDC la de rôle : l’ACOSS de trésorerie la de

0as(1 ans 20 ate.Sn nut vqéslsmdltsd financement de modalités les évoquées ensuite Sont partie).

re

eorsrl eto e odsd rsrred éiegnrldepuis général régime du trésorerie de soldes des gestion la sur retour

éiegnrle astainhsoiu e21 usetpooéu bref un proposé est puis 2010 de historique situation la et général régime

nrpel ’br ecnet ufnneetdsdfct du déficits des financement du contexte le d’abord rappelle On

ot éomi n atmjuedsrisques. des majeure part une désormais porte

abe asc ova otxed iacmn éitréi,l’ACOSS désintermédié, financement de contexte nouveau ce Dans faible.

eor ufnneetbnar s éomi tutrleetbe plus bien structurellement désormais est bancaire financement au recours

lbu efnneetàl hred ’CS onrs aso le où mais moindres, l’ACOSS de charge la à financement de globaux

ar ova u etdsrasêr oiiédn ncnet ebesoins de contexte un dans mobilisé être désormais peut qui nouveau faire 09aatl ers edterpré n21.I netrsléu savoir- un résulté est en Il 2011. en reportée dette de reprise la avant 2009 rencontres

ensei efnneete 00dsdfct cuué depuis accumulés déficits des 2010 en financement le

g nemen rsr(F)otpri ’sue vcdsrsuslimités risques des avec d’assurer permis ont (AFT) Trésor

t

etéoei eus20 tlapid ’gneFrance l’Agence de l’appui et 2007 depuis trésorerie de g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE éeopeprlAOSe air ’msind billets de d’émission matière en l’ACOSS par développée

LES ÉVOLUTIONS LES

ac e éôs(D) o aqirtaiine,l’expérience traditionnel, banquier son (CDC), Dépôts des t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

n20 il as aail uscerpiéaatcucmee 2008. en comme cru avait privé secteur du salariale masse la si 2009 en

ems edfctd éiegnrlari t tbls 0mlirsd’euros milliards 10 à stabilisé été aurait général régime du déficit le termes,

eqiari t olcéa yhed ’sited 08 nd’autres En 2008. de l’assiette de rythme au collecté été aurait qui ce

’uo epre ectstose otiuin n20 a apr à rapport par 2009 en contributions et cotisations de pertes de d’euros

emseslraesrl hm urgm ééa,evrn1 milliards 10 environ général, régime du champ le sur salariale masse de

us-oaiéd éii ot u n aed ilad ’uo epoint le d’euros milliards 2 de base une sur soit, déficit du quasi-totalité

e20 +62%.L ht e eetsqie éut xlqela explique résulté a en qui recettes des chute La %). 6,2 (+ 2001 de

, n20 pè , n20,l ova on atarscelui après haut point nouveau le 2007, en % 4,8 après 2008 en % 3,6

elmn tgélr el éeso e19.El vi noecude cru encore avait Elle 1993. de récession la de lors stagné seulement

eo ’CS.I ’gtd o rme eu eus14 leavait elle : 1945 depuis recul premier son de s’agit Il l’ACOSS. selon

amseslraed etu rv aséd , n2009 en % 1,3 de baissé a privé secteur du salariale masse La

ete lblmn ofre u prévisions. aux conformes globalement restées

a e nrpie esn fodésaosqelsdpne sont dépenses les que alors effondrées sont se – entreprises les par

ocd astaind ’mlie el yaiu e aarsversés salaires des dynamique la de et l’emploi de situation la de donc

u éedn lsd 0%d ’siteslraed etu rv et privé secteur du salariale l’assiette de % 60 de plus à dépendent qui –

euslsane rne ePBrcln e25%e 09 e recettes les 2009, en % 2,5 de reculant PIB le trente, années les depuis

el iercsinéooiu éu a aFac nproed paix de période en France la par vécue économique récession pire la de

astaindsane 0921 s xetonle osl’effet Sous exceptionnelle. est 2009/2010 années des situation La

asl et oil 5%1 9%3% 3 % 29 % 17 % 15 sociale dette la dans

atd adteACOSS dette la de Part

atd adtescae()=()()9%1 1%1 % 12 % 11 % 10 % 9 (2)/(1) = (3) sociale dette la de Part

85

2 2 5 7 205 175 151 120 (2) Md en sociale dette Dont €

1 1 9 9 717 1 595 1 493 1 319 1 (1) Md en (31.12) Maastricht €

et ulqea esde sens au publique Dette

0820 002011 2010 2009 2008

tl et publique dette la et

ala .L et CS asl et sociale dette la dans ACOSS dette La 1. Tableau

adtescae(ala 1). (tableau sociale dette la

I.Àctedt-àclic ersnatasipè e3 uttlde total du % 30 de près aussi représentait celui-ci date-là cette À PIB.

ucmt CS i 00à4, ilad ’uo,si , du % 2,6 − soit d’euros, milliards 49,5 à 2010 fin à ACOSS compte du

ot−13%d I hcn e nés20 t21,e nsolde un à et 2010, et 2009 années des chacune PIB du % 1,3 − soit rencontres auparavant, atteints jamais trésorerie de déficits des à conduit a historique

ensei ascc in afnd éid,lrqel récession la lorsque période, de fin la à tient ceci Mais

g nemen ig-i −09%d I nmynecnr , %). 0,7 − contre moyenne en PIB du % 0,9 (− vingt-dix

t

g quatre- années les dans que 2001 à postérieures années est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE paasetl noepu lvse oen u les sur moyenne en élevés plus encore là apparaissent

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t financer à soldes les dettes, de reprises des nets déficits io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ertuedted 1 ilad efac 1, ilad ’uo) rendant d’euros), milliards (16,8 francs de milliards 110 de dette une reprit

94 pè apeir rnercsindpi ager,lÉa lui-même l’État guerre, la depuis récession grande première la après 1994,

lser xrie ’n uêr otsprlAec ecdé1.Début 1). (encadré l’Agence par portés être pu n’ont exercices plusieurs

éuiéscaeacnupuiusproe ùlsdfct cuué sur accumulés déficits les où périodes plusieurs connu a sociale Sécurité

eusl éu e nésqar-ig-i efnneetd la de financement le quatre-vingt-dix années des début le Depuis

mrnsdn almt e6 ilad ’uo at 3d aLS 2010). LFSS la de 33 (art. d’euros milliards 65 de limite la dans emprunts

uoielAec or«currssbsisd rsrre»àrcui des à recourir à » trésorerie de besoins ses couvrir « pour l’Agence autorise

elAOSpiqel FSn opedpsd ers edtee qu’elle et dette de reprise de pas comprend ne LFSS la puisque l’ACOSS de

n21 efnneetdsdu nésd éii et acharge la à reste déficit de années deux des financement le 2010 En

erl e erssd dette de reprises des rôle le

.Lsmnat iacsprlAOSdpi 0as: ans 20 depuis l’ACOSS par financés montants Les B.

ore FS ACOSS. LFSS, : Sources

elAOS−1, 25−72−2, 54−20,5 − 25,4 − 23,8 − 7,2 − 12,5 − 11,4 − l’ACOSS de

aito etrésorerie de Variation

éii oa 1 2 1−98−1 35−2 20,9 − 28 − 23,5 − 11 − 9,8 − 11 − (2) + (1) total Déficit

éii uFV()−13−03−08−32−41−3,5 − 4,1 − 3,2 − 0,8 − 0,3 − 1,3 − (1) FSV du Déficit

éii urgm ééa 1 , , 02−2, 39−17,4 − 23,9 − 20,3 − 10,2 − 9,5 − 8,7 − (1) général régime du Déficit

0620 0820 002011 2010 2009 2008 2007 2006 Md €

86

tvrain etéoei el’ACOSS de trésorerie de variations et

ala .Sle urgm général régime du Soldes 2. Tableau

e6 ilad d’euros). milliards 60 de

eqiettueosifreràc u ti eeuàlatme20 (plus 2009 l’automne à retenu était qui ce à inférieur toutefois est qui ce

ac iilse e eon n t e5 ilad ’uo ndu ans, deux en d’euros milliards 52 de été ont besoins ces vieillesse, rance

eeeufreetdfctie tfnnéprl asentoaed’Assu- nationale Caisse la par financé et déficitaire, fortement redevenu

’uo.E nérn e eon uFnsd oiaiéVeles (FSV), Vieillesse Solidarité de Fonds du besoins les intégrant y En d’euros.

n ecmldsdfct urgm ééa t ’nio 4milliards 44 d’environ été a général régime du déficits des cumul le ans

n20 tatint2, ilad ’uo n21 tbeu2.E deux En 2). (tableau 2010 en d’euros milliards 23,9 atteignit et 2009 en

e20 08 o ieudpsalgrmn e 0mlirsd’euros milliards 20 les légèrement dépassa niveau son 2008, à 2006 de

éeso tq’lséalsata osng e1 ilad ’uo a an par d’euros milliards 10 de voisinage au s’établissait qu’il et récession

ascmel éii urgm ’vi a t éob vn la avant résorbé été pas n’avait régime du déficit le comme Mais e36% eqisgii u ertr cuuénapsd otéérattrapé. été tout du pas n’a accumulé retard le que signifie qui ce %, 3,6 de rencontres

ensei n21 amseslraeacuàsnrtm moyen rythme son à cru a salariale masse la 2011 En

g nemen ’uo nio uacnul éiegnrle 2010. en général régime le connu qu’a environ d’euros

t

’s noeu aqed eetsd 3milliards 13 de recettes de manque un encore c’est g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE yhed , .Prrpotàueéouintendancielle évolution une à rapport Par %. 1,9 de rythme

LES ÉVOLUTIONS LES

ac n21 amseslraearcmec rîr,au croître, à recommencé a salariale masse la 2010 En t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

iee lc ’npa soin ’tt ’gnee ’ursatusfinanciers. acteurs d’autres et l’Agence l’État, associant plan d’un place en mise

rgè élssprlAec nmtèed eto etéoei tprla par et trésorerie de gestion de matière en l’Agence par réalisés progrès

ue vn arcsin ’ otfi uêr niaé u opetn des tenu compte que envisagée être pu toutefois n’a récession, la avant turel

acnocueéooiu tàl iuto emite ’ndfctstruc- déficit d’un maintien de situation la à et économique conjoncture la à

uéiu upaodl lséeéjsu-à et iuto,qitetd’abord tient qui situation, Cette jusque-là. élevé plus le plafond au supérieur

’uo eeue FS21 s ocd rsd 0mlirsd’euros milliards 30 de près de donc est 2010 LFSS en retenu d’euros

ud adgaaind astainfnnir.L otn e6 milliards 65 de montant Le financière. situation la de dégradation la de vu

értd ule 09clic u otfi ot 9mlirsdersau d’euros milliards 29 à porté toutefois fut celui-ci 2009 juillet de décret

’uo.L ieurvn 89mlirsderse FS20 as par mais, 2009 LFSS en d’euros milliards 18,9 à revint niveau Le d’euros.

’uo tlane20 ontu ova aiu e3 milliards 36 de maximum nouveau un connut 2008 l’année et d’euros

05à20 epaodvt umnacau né e1 8milliards 28 à 13 de année chaque augmenta voté plafond le 2007 à 2005

aiu ’mrn u npaiu iiéà2, ilad ’uo.De d’euros. milliards 24,3 à limité pratique en fut d’emprunt maximum

u oédn aLS 04mi arpied et i u emontant le que fit dette de reprise la mais 2004 LFSS la dans voté fut

5mlirsdersete19 03u otn e3 ilad d’euros milliards 33 de montant un 2003 à 1997 entre d’euros milliards 15

hqe t1bse nee.Aosqeclic ’vi aasdépassé jamais n’avait celui-ci que Alors annexe). en bis 1 et 1 phiques

’CS ée e eon etéoei s glmn ndt(gra- inédit également est trésorerie de besoins ses gérer à l’ACOSS

epaodmxmmdsrsore o emnne autorisant permanentes non ressources des maximum plafond Le

00e o eote 01aprisn ec atinédits. fait ce de apparaissent 2011 en report son et 2010

t20,l iuto ennrpied et asl ar el LFSS la de cadre le dans dette de reprise non de situation la 2008, et

oprio vclsstain efn19,19,19,20,2007 2003, 1997, 1995, 1993, fin de situations les avec comparaison

’CS ée,ae e uisd or em,dsmnat iié.Par limités. montants des terme, court de outils ses avec gérer, l’ACOSS

emtatd afnne a e ntuet eln em tlaissant et terme long de instruments des par financer la de permettant

87

etausrn ojus è ’né uvne a n ers edette de reprise une par suivante, l’année dès toujours, traduisirent se

u et ogeproelsfre érdtosd opeACOSS compte du dégradations fortes les période longue cette Sur

’qiir ulusjuse ére tmr 2009. mars et février en jours quelques l’équilibre à

08e 7mlirsdersdbt20) eqimtl oped l’ACOSS de compte le mit qui ce 2009), début d’euros milliards 17 et 2008

u noedcdedn ecded aLS 09(0mlirsdersfin d’euros milliards (10 2009 LFSS la de cadre le dans décidée encore fut

e éiiscmlsd éiegnrle uFV(ot2 ilad d’euros) milliards 27 (soit FSV du et général régime du cumulés déficits des

elAsrnemldee 05e 06 n ovlerpied l’ensemble de reprise nouvelle Une 2006. et 2005 en maladie l’Assurance de

ilad ’uo nfndane–sii ’n ers e éiisanticipés déficits des reprise d’une suivie – d’année fin en d’euros milliards 3

n20 eqirni ecmt elAOSecdnar epu de plus de excédentaire l’ACOSS de compte le rendit qui ce – 2004 en

ers epè e5 ilad ’uo u raié,3 ilad d’euros milliards 35 organisée, fut d’euros milliards 50 de près de reprise

otmn n20 asl ar el o u ’suac aai tune et maladie l’Assurance sur loi la de cadre le dans 2004 en fortement

efilsvrain etéoei oiie.Prl ut aCDSftsollicitée fut CADES la suite la Par positives. trésorerie de variations faibles de

osd atè ot ers cnmqed 9920,lAOSconnut l’ACOSS 1999/2001, de économique reprise forte très la de Lors rencontres l’excédent. à l’ACOSS de compte le ramena qui ce d’euros, milliards 13,3

ensei 09mlirsders éu 98el ertencore reprit elle 1998 Début d’euros. milliards 20,9

g nemen acsd lnJpé ertuedted ’CS de l’ACOSS de dette une reprit Juppé, Plan du nances

t

g ordon- des cadre le dans créée (CADES), Sociale Dette est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE nanx) éu 96l asedAotseetd la de d’Amortissement Caisse la 1996 Début annexe). en

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t bis 1 et 1 (graphiques excédentaire l’ACOSS de compte le io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

te nérn e raimsd éuiéscae esn près sont ce sociale, Sécurité de organismes les intégrant en et

efu ’naseetdcismn u e ope bancaires, comptes ses sur d’encaissement/décaissement flux de

ufnl ’gneaéécnut ée 2 ilad d’euros milliards 320 1 gérer à conduite été a l’Agence final, au ●

lxpu sue nfnneetmynd 58mlirsders; d’euros milliards 15,8 de moyen financement un assurer pour flux

efnneetdsbsisd rsrre:36mlirsdersde d’euros milliards 396 : trésorerie de besoins des financement le ●

01; 2011

e otnsiprat u teget20mlirsdersen d’euros milliards 200 atteignent qui importants montants des

iets:dsoéain utdense obelmt aspour mais limité nombre en quotidiennes opérations des : directes

e cagsfnnir nr ’CS tdscontreparties des et l’ACOSS entre financiers échanges les ●

ééiiie)éaeetqaietsn éa ; délai sans quasiment également bénéficiaires)

’ceieetdsfnsaxdsiaarsfnu asrset (assurés finaux destinataires aux fonds des l’acheminement

epimn e rsain prtosbnarspermettent bancaires opérations 3 : prestations des paiement le ●

atéoei omn ; commune trésorerie la à

etn ’ceie usmn asdlilsfnsd cotisant du fonds les délai sans quasiment d’acheminer mettent

acnrlsto e oiain exoéain acie per- bancaires opérations deux : cotisations des centralisation la ●

ééiiiefnl: final bénéficiaire

etn ’ceie e od eusl oiatjusqu’au cotisant le depuis fonds les d’acheminer mettent

lser tpsa enduemm oré per- journée même d’une sein au étapes Plusieurs

etscrs e ase prestataires. Caisses des sécurisé ment

utden el rsrred éiegnrle napprovisionne- un et général régime du trésorerie la de quotidienne

tlsCisspettie.Cteacietr emtl centralisation la permet architecture Cette prestataires. Caisses les et

’ncmt io td ope etastovrspu e URSSAF les pour ouverts transit de comptes de et pivot compte d’un 88

uetprlAOS(r.D 5-7d S)àl D constitué CDC la à CSS) du 253-37 D. (art. l’ACOSS par ouvert

nCmt nqed ipnblt orne(UC est (CUDC) Courante Disponibilité de Unique Compte Un

Rvn esldrt active). solidarité de (Revenu

AlctosAutsHniaé,.. udscletvtsterritoriales collectivités des ou ...) Handicapés, Adultes (Allocations

rsrrerltv u loain ese orl oped l’État de compte le pour versées allocations aux relative trésorerie

uinpu eFnsntoa ’iea oeet;gsind la de gestion ; logement au d’aide national Fonds le pour bution

orl ebusmn el et oil CD) el contri- la de (CRDS), Sociale Dette la de Remboursement le pour

oil ééaié CG ordate éie,d aContribution la de régimes, d’autres pour (CSG) Généralisée Sociale

oped ir preepe:rcurmn el Contribution la de recouvrement : exemple (par tiers de compte

leasr glmn e prtospour opérations des également assure Elle éiegénéral. régime

s hré ’sue atéoei e rnhsdu branches des trésorerie la d’assurer chargée est

ofréetàlodnac e16 u acrée, la qui 1967 de l’ordonnance à Conformément l’ACOSS .L’ACOSS 1. rencontres ensei g nemen

t

elAOSe el CADES la de et l’ACOSS de g est

i o n isosfinancières Missions ac t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

rdise e hre,qelsecismnsaete iuou lieu eu aient encaissements les que charges, les et produits

acl om ’cr nr les entre l’écart comme calculé ucmt éiegénéral régime compte du

aito etéoei ifr ulu e du peu quelque diffère trésorerie de variation od comptable solde

05mlirsdershr ers edte a aCDS Cette CADES. la par dettes de reprise hors d’euros milliards 20,5 −

ecismnsmistrgs de tirages) moins (encaissements une aito etrésorerie de variation

e40mlirsders us ecmt CS --lconnu a-t-il ACOSS compte le Aussi d’euros. milliards 440 de

n t éasé ucmt elAOS otu oa etirages de total un soit l’ACOSS, de compte du décaissés été ont

pè el otépu ’suac aai)e 7mlirsd’euros milliards 97 et maladie) l’Assurance pour moitié la de (près

atelsbace urgm ééa n ié33mlirsd’euros milliards 343 tiré ont général régime du branches les partie

evreetprl AE utted arpie21) ncontre- En 2011). reprise la de titre au CADES la par versement de

’uo ’naseet axul ’juet6, ilad d’euros milliards 65,3 s’ajoutent (auxquels d’encaissements d’euros

et rié ietmn u o ope ota oa 1 milliards 419 total au soit compte, son sur directement arrivés ments

t17mlirsdersd’encaisse- d’euros milliards 117 et la est elle asenationale Caisse

eet npoeac e 4USA tds4CS dont CGSS 4 des et URSSAF 74 des provenance en sements

n21 ’CS etaié32mlirsdersd’encais- d’euros milliards 302 centralisé a l’ACOSS 2011 En

89

céa1 atgahegoaedscrut financiers circuits des globale Cartographie 1. Schéma

rgoa titréinlpu e URSSAF). les pour interrégional et (régional

oa lsCA) ainl(aCA tl NVS uintermédiaire ou CNAVTS) la et CNAF (la national CPAM), (les local rencontres niveau au d’offres d’appels voie par obtenus sont bancaires naires

ensei eetdsfnsd otiuera etntiefnl e parte- Les final. destinataire au contributeur du fonds des nement

g nemen vcuepromneéeé evtsee escrt d’achemi- sécurité de et vitesse de élevée performance une avec t

g est financiers, établissements 15 dans ouverts bancaires comptes

i o n eulraiepu e70mlin ’prtos u rsd 100 2 de près sur d’opérations, millions 700 de plus réalise lequel

ac t général régime le par gérés flux de d’euros milliards 000 2 de io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

AE e02 on eCGd abaceFmleduepr,et part, d’une Famille branche la de CSG de point 0,28 de CADES

iilsed éiegnrle uFV n ovleafcainàla à affectation nouvelle Une FSV. du et général régime du Vieillesse

’uo uttl arpiedsdfct 01à21 el branche la de 2018 à 2011 déficits des reprise la total, au d’euros

at asl iied 0mlirsderspra td 2milliards 62 de et an par d’euros milliards 10 de limite la dans part,

e rnhsMldee ail urgm ééa or21,d’autre 2011, pour général régime du Famille et Maladie branches des

hr TM)e uFVpu 0921 tdsdfct prévisionnels déficits des et 2009-2010 pour FSV du et AT-MP) (hors

8mlirsders arpiedsdfct uué urgm général régime du cumulés déficits des reprise la d’euros, milliards 68

’uo edtesplmnar otduepr,dn almt de limite la dans part, d’une soit supplémentaire dette de d’euros

rv arpieprl AE ’nmnatmxmld 3 milliards 130 de maximal montant d’un CADES la par reprise la prévu

i el AE.Dn ecdel o efnneetpu 01a 2011 pour financement de loi la cadre ce Dans CADES. la de vie

logre rvso,dn almt eqar nés adrede durée la années, quatre de limite la dans prévision, en allonger à

aLS 01àpre nshm erpied et conduisant dette de reprise de schéma un porter à 2011 LFSS la à

3nvmr 00rltv agsind adtescaeaautorisé a sociale dette la de gestion la à relative 2010 novembre 13

adredaotseetd adtescae aliognqedu organique loi La sociale. dette la de d’amortissement durée la

’n umnaindsrcte emtatd epsaccroître pas ne de permettant recettes des augmentation d’une

ova rnfr ecagsvr aCDSdi teaccompagné être doit CADES la vers charges de transfert nouveau

05rltv u osd iacmn el éuiéscae tout sociale, Sécurité la de financement de lois aux relative 2005

el asee 04 napiaind aliognqed août 2 du organique loi la de application En 2004. en Caisse la de

ué t iaeetpoogejsuàletnto e missions des l’extinction jusqu’à prolongée finalement été a durée

e1 n tu os oteà1 n tu ose 98 Cette 1998. en mois un et ans 18 à portée mois, un et ans 13 de

ré a ’ronned 4jnir19,pu n ué initiale durée une pour 1996, janvier 24 du l’ordonnance par créée

aCis ’mrismn el et oil CDS été a (CADES) Sociale Dette la de d’Amortissement Caisse La

90

.L CADES La 2.

hqe3.Elspuetatidejsuà1 ilad d’euros. milliards 14 jusqu’à atteindre peuvent Elles 3). phique

e rsain tdsfu vclsprears(f nee gra- Annexe, (cf. partenaires les avec flux des et prestations des

atse eltn e céne e oiain e entreprises, des cotisations des échéances les reflètent et tantes

e lcutosjunlèe el rsrresn rsimpor- très sont trésorerie la de journalières fluctuations Les

ar el LFSS. la de cadre

oécau né asle dans année chaque voté , esucsnnpermanentes non ressources

’CS epu éasru otn aiu,le maximum, montant un dépasser peut ne l’ACOSS lfn de plafond

) ettldseput de emprunts des total Le 2). D or21-04(f nar n encadré (cf. 2011-2014 pour CDC

o

D asl ar el ovlecneto acieACOSS- bancaire convention nouvelle la de cadre le dans CDC

dpi 06 tEP(eus21) aséaeetapè ela de auprès également mais 2010), (depuis ECP et 2006) (depuis

et.Lsfnneet ototnsvalsporme eBT de programmes les via obtenus sont financements Les ments. irsdersd éaseet t16mlirsdersd’encaisse- d’euros milliards 176 et décaissements de d’euros liards rencontres

ensei e lxd iacmn tpaeetotrpéet 2 mil- 220 représenté ont placement et financement de flux Les

g

nemen oiiu elepo ud prestations. de ou l’emploi de politique t

g asl ar eleecc e aqe anrissd sa de issus gagner à manques les l’exercice de cadre le dans est

i

o n

éuir in aux tient réguliers u etn a compenser pas ne peut qui etsd l’État de dettes

ac

t o,dn n opaiiée riscntts n ored’écarts source Une constatés. droits en comptabilité une dans non, io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ore:ACOSS. : Source

’n nuaind et elÉa vccmecnrpri n nuaind ilt etrésorerie. de billets de annulation une contrepartie comme avec l’État de dette de annulation d’une

td ’vnulerpied et a ’tto aCDS n20 ls’agit il 2007 En CADES. la ou l’État par dette de reprise l’éventuelle de et – ACOSS compte le sur opérés

esrrî lérqedsecismns(osrpied et)srlstirages les sur dette) de reprise (hors encaissements des algébrique surcroît le – trésorerie de variation la

oed etr esled opeAOSa 1dcmr éut es oiinu naprvn,de auparavant, an un position sa de résulte décembre 31 au ACOSS compte du solde le : lecture de Note

-4,0%

solde compte Acoss au 31 décembre 31 au Acoss compte solde

-3,0% Plafond de trésorerie de Plafond

-2,6%

reprise de dettes Cades dettes de reprise

-2,0%

Variation de trésorerie de Variation

-1,5%

-1,4%

-1,3%

-1,1%

-1,0%

-0,9% -0,9%

-0,8%

-0,7%

-0,7% -0,7%

-0,5%

-0,4% -0,4%

-0,2%

-0,1%

-0,1%

-0,1%

0,0% 0,0% 0,0%

0,2% 0,2%

0,3%

0,3%

0,4%

0,5%

1,0%

0,9%

1,0%

1,5%

1,7%

2,0%

2,1%

3,0%

3,3%

4,0%

91

2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 9 9 0 9 9 9 9 9 9 9 9

1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9

1 0 9 8 7 5 6 4 3 2 1 9 0 3 4 8 7 6 2 5 1 0

od ucmt CS tpaoddeput(n%d PIB) du % (en d’emprunt plafond et ACOSS compte du solde

rpiu .Vraind rsrre ers edette, de reprise trésorerie, de Variation 1. Graphique

ar tée glmn e irsd or em vi www.cades.fr). (voir terme court de titres des également émet et taire

éomi e04 on.L AE ’net u emrh obliga- marché le sur s’endette CADES La point. 0,48 de désormais

uaaatafcéa S.L axd aCGafcé s donc est affectée CSG la de taux Le FSV. au affecté auparavant

edted 09 aCDSrcvi glmn , on eCSG de point 0,2 également recevait CADES la 2009, de dette de

orn a crîr adred i asl ar el reprise la de cadre le dans vie de durée sa accroître pas ne Pour

01 rlvea axd , u aqaittlt e revenus. des quasi-totalité la sur % 0,5 de taux au prélevée 2011)

néês arctehsoiu s aCD 63mlirsdersen d’euros milliards (6,3 CRDS la est historique recette Sa intérêts.

5mlirsderse 01pu e mrismn tpyrles payer et amortissement cet pour 2011 en d’euros milliards 15 rencontres environ reçu a Elle d’euros. milliards 141 de était nette situation

ensei 0 ilad ’uo edteàaotr(rpiu )e i 01la 2011 fin et 1) (graphique amortir à dette de d’euros milliards 200

g nemen euss rain aCDSsetvetasée rsde près transférer vue s’est CADES la création, sa Depuis t

g est transferts. ces de financement le assurent part, d’autre fond ce

i o n fetea od ersrepu e erie tuedtto de dotation une et retraites les pour réserve de fonds au affectée

ac

t io antérieurement capital du revenus les sur social prélèvement du n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ains oruvn tl lfn e mrnsatrsséatpréà porté étant autorisés emprunts des plafond le et poursuivant se dation

osànueuuiiépu efnneetduedteprne adégra- La pérenne. dette d’une financement le pour utilisé nouveau à lors

03(5mlirsders.L ytm e vne a aCCftdès fut CDC la par avances des système Le d’euros). milliards (15 2003

n umnaind lfn ersore o emnne pour permanentes non ressources de plafond du augmentation une à

ope urgm ééa td atéoei n20 us20 conduisit 2003 puis 2002 en trésorerie la de et général régime du comptes

orgrrlsfutain etéoei nr-nule.L érdto des dégradation La infra-annuelles. trésorerie de fluctuations les gérer pour

oiie;l aiu ’mrn uoiééatd , ilad d’euros, milliards 4,4 de était autorisé d’emprunt maximum le ; positive

e19 01l aito etéoei ucmt CS été a ACOSS compte au trésorerie de variation la 2001 à 1999 De

CS 2009). (CCSS

a+5pb Eoni de était taux le d’euros milliard 1 à r supérieu montant d’un

apr u vne uju eju.Pu n noc nmi l’avance à mois un annonce une Pour jour. le jour au avances aux rapport

n etiedre néhnel D rpsi e axrdispar réduits taux des proposait CDC la échange En durée. certaine une

’nocrpraac e otnsq’lesuati mrne pour emprunter souhaitait qu’elle montants les avance par d’annoncer

e otasàtre t oçepi nihe lepreti l’ACOSS à permettait Elle enrichie. puis conçue été a terme) à contrats des

03 n oml ovled«aacspééemne srl modèle le (sur » prédéterminées avances d’« nouvelle formule une 2003,

rmesmlirsdaacse oi 5p orlssiat) En suivants). les pour pb 25 + Eonia et d’avances milliards premiers 3

’oi dn acneto 01Ena+2 onsd ae(b orles pour (pb) base de points 20 + Eonia 2001 convention la (dans l’Eonia

ins atsrl aed axdséhne uju eju nr banques, entre jour le jour au échanges des taux du base la sur fait se tion

’CS ntrg asctelmt u noc at avil.L tarifica- La veille. la faite annonce sur limite cette dans tirage un l’ACOSS à

éidsd ot eon.Laac erfrne uju eju,permet jour, le jour au référence, de L’avance besoins. forts de périodes

a e rtclsséiiuso noedspêsngcé asles dans négociés prêts des encore ou spécifiques protocoles des par

uqelspuaetsaotrdsaacssplmnarsprévues supplémentaires avances des s’ajouter pouvaient auxquelles

92

e npaedsaacscnetonle nrae uexceptionnelles) ou (normales conventionnelles avances des place en met

vléa or utms edn e nésqar-ig-i aCDC la quatre-vingt-dix années les Pendant temps. du cours au évolué

acuetr e eon etéoei elAec.Lsmdltsont modalités Les l’Agence. de trésorerie de besoins des couverture la à

nLS eus19,l D e npaelsfnneet nécessaires financements les place en met CDC la 1996, depuis LFSS en

admned ’CS,e asl iiedseput autorisés emprunts des limite la dans et l’ACOSS, de demande la À

le n ovr 5%dsbsismyn n19 t5 n1995. en % 53 et 1994 en moyens besoins des % 25 couvert ont elles

n afi t olcte aslsproe efre ifclé iacèe ; financières difficultés fortes de périodes les dans sollicitées été parfois ont

t20.Aat19 tl raind aCDSdsaacsd Trésor du avances des CADES la de création la et 1996 Avant 2006. et

90pi eclesgé e1 cor 01 le u emm n2005 en même de fut en Il 2001. octobre 16 le signée celle de puis 1980

eet elAOSdn ecded acneto iacèesgé en signée financière convention la de cadre le dans l’ACOSS de cements

aCCaasr e19 03litgaiédsbsisd finan- de besoins des l’intégralité 2003 à 1996 de assuré a CDC La .L ôehsoiu el CDC la de historique rôle Le A.

rencontres

ensei etéoei n2006 en trésorerie de

g nemen

tms npaedsbillets des place en mise et

t

vcl eor u aqe n2004 en banques aux recours le avec g est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE rmèe diversifications premières

LES ÉVOLUTIONS LES ac I e oaié efnneet: financement de modalités Les II. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

eet ulc vi om néê erdiel otn el dette la de montant le réduire de intérêt comme avait publics sements

n el prto ’piiaind agsind rsrredsétablis- des trésorerie de gestion la de d’optimisation opération telle Une

ulusjusfn20 éu 07pu iacrl éii el’ACOSS. de déficit le financer pour 2007 début 2006 fin jours quelques

afn20 rsd ilad ’uo ’xéet etéoei pendant trésorerie de d’excédents d’euros milliards 5 de près 2006 fin la

etd iacmn ecuttredseterss– ’F lç dès plaça l’AFT –, entreprises des terme court de financement de ment

e mter) a emynd etted rac éoibe–instru- – négociable créance de titre ce de moyen le Par émetteurs). des

lat .251d oemntiee iace juelAOSàl liste la à l’ACOSS ajoute financier et monétaire Code du 225.1 L. (l’art.

ilt etéoei tlstxe éesie uetrpdmn publiés rapidement furent nécessaires textes les et trésorerie de billets

a aLS 07l ovreetatrs ’CS mtr des émettre à l’ACOSS autorisa gouvernement le 2007 LFSS la Par

.U rgam eblesd trésorerie de billets de programme Un B.

nrl aer». majeur rôle un «

ate acie udisrmns» aCGpéieqel D gardera CDC la que précise COG La ». d’instruments ou bancaires parties

ovrued ebsi efnneetqec ote em econtre- de terme en soit ce que financement de besoin ce de couverture

élxo vclÉa u ’potnt ’n iesfcto e oe de modes des diversification d’une l’opportunité sur l’État avec réflexion

td eto CG u i ’CS tlÉa ac epicp ’ une d’« principe le lance l’État et l’ACOSS lie qui (COG) Gestion de et

ovnind’Objectifs Convention rsrre tdslmtsafcésprl D,l 3 la CDC, la par affichées limites des et trésorerie,

e

ocré 20-09,dsatosd oensto es eto de gestion sa de modernisation de actions des (2006-2009), concernée

eatcmt e eon ’mrnsiprat orl période la pour importants d’emprunts besoins des compte Tenant

asl FS2006. LFSS la dans

2mlirsderschrn vclspéiin u uteasprésentes ans quatre sur prévisions les avec cohérent d’euros milliards 32

93

e20 aCCaaniidqéepiieetu otn aiu de maximum montant un explicitement indiqué ainsi a CDC la 2006 de

aaié emblsto efn .Dn epémued aconvention la de préambule le Dans ». fond de mobilisation de capacités

upaodisrte FSbe û,mi us nfnto e«sspropres ses « de fonction en aussi mais sûr, bien LFSS en inscrit plafond du

0620 aCCarafrélslmtsd o nevnin l’intérieur à intervention, son de limites les réaffirmé a CDC la 2006-2009

etu vnaess osdsngcain el ovleconvention nouvelle la de négociations des Lors avantageuses. taux de

usd ilad ’uo u iqsmie,bnfcatd conditions de bénéficiant semaines, cinq sur d’euros milliards 4 de puis

eor etp ’mrn atu e3mlirsderssr4mois 4 sur d’euros milliards 3 de hauteur à d’emprunt type ce à recouru

xéetiee i ’né 34mlirsders.LAOSanéanmoins a L’ACOSS d’euros). milliards (3,4 d’année fin en excédentaire

ebsi ’mrn otfi t otmn éute esleamm été même a solde le et réduit fortement été toutefois a d’emprunt besoin le

’uo.E asnd arpied et éié asl o ’ot2004 d’août loi la dans décidée dette de reprise la de raison En d’euros.

itse aerd rsr(V) oru otn rv e1 milliards 10 de prévu montant un pour (SVT), Trésor du Valeur en listes

ercui a pesdofe e mrnsapè e aqe Spécia- banques des auprès emprunts des à d’offres appels par recourir de

eiacrlesml upsi.L hi elAOSe e uelsfut tutelles des et l’ACOSS de choix Le passif. du l’ensemble refinancer rencontres à l’État de engagement un surtout et reste le pour spécifique protocole

ensei irsdersdn npeirtms eadn un demandant temps, premier un dans d’euros liards

g nemen éiisscax lelmt npaiu o potà2 mil- 20 à apport son pratique en limita Elle sociaux. déficits

t

g des traitement le clarifié pas n’était que lors dès nelles est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE iacrlitgaiéd éii u odtosconvention- conditions aux déficit du l’intégralité financer

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t souhaité pas n’a CDC la 2004, en d’euros milliards 33 io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

éièr el et publique. dette la de périmètre

e ifrnsognse uprmte afs exc otefcussrdstte ’n ur niédu entité autre d’une titres des sur effectués sont ceux-ci si sauf périmètre, du organismes différents des

.Lidctu edtepbiu ot u adtebue esn ocpspi ncmt e placements les compte en pris pas donc sont Ne brute. dette la sur porte publique dette de L’indicateur 2.

aiedsate opérateurs. autres des cative

tie e lcmnsqis otpré u e irssn vcinsignifi- éviction sans titres ses sur portés sont se qui placements les attirer

’né 09amm cr apr elAOS el-ialreetsu largement a Celle-ci l’ACOSS. de part la accru même a 2009 l’année

mter npr emrh.L otato ec acéa or de cours au marché ce de contraction La marché. de part en émetteurs

5mlirsdersdpi n,lAOScmt am e ospremiers tous les parmi compte l’ACOSS ans, 3 depuis d’euros milliards 55

asu acéd ilt etéoei u vlatete3 et 35 entre évoluait qui trésorerie de billets de marché un Dans

efe u nocsd l’ACOSS. de annonces aux fier se

s uuleetaatguepiqel D ovi lsfacilement plus pouvait CDC la puisque avantageuse mutuellement est

eqietpriuirmn tl un edfcts rue et situation Cette creuse. se déficit le quand utile particulièrement est qui ce

niié ursd aCis evn terdisprdsémissions, des par réduits être peuvent Caisse la de auprès anticipés

D naaosééfclte e ucûsascé u mrnsnon emprunts aux associés surcoûts Les facilitée. été alors a en CDC

nategi ntre ecû in ufi u agsindsemprunts des gestion la que fait au tient coût de termes en gain autre Un ●

emrh oéar néa efonctionnement. de état en monétaire marché le

eto cied iqed iudt a aBEotpri emaintenir de permis ont BCE la par liquidité de risque du active gestion

in.E 09 e cin ocrésdsatrtsfnnirse la et financières autorités des concertées actions les 2009, En sions.

esucito orlsB CS vcuebis e rxd’émis- prix des baisse une avec ACOSS BT les pour souscription de

aqaié eiacnutàu crismn infctfdsdemandes des significatif accroissement un à conduit a Ceci qualité. la

aqeLha rtes,lsivsisusrcecattuor plus toujours recherchant investisseurs les Brothers), Lehman banque

e vnaeaéérnoc atrd ’uon 08(alied la de (faillite 2008 l’automne de partir à renforcé été a avantage Cet 94

’uo,l rgam emsdotnrdstrf otàfi intéressants. fait à tout tarifs des d’obtenir permis a programme le d’euros,

aqed rnedaodd , ilad ’uo usd 15milliards 11,5 de puis d’euros milliards 6,5 de d’abord France de Banque

tdu lfn ’msindlvéprla par délivré d’émission plafond d’un et F1+) Ratings Fich et P-1 (Moody’s

ééiin el eler oaindsaecsd oainspécialisées notation de agences des notation meilleure la de Bénéficiant ●

udl uullstu tin lsélevés. plus étaient taux les duquel au-delà

n20 esuldeputapè el D e2 ilad d’euros milliards 25 de CDC la de auprès d’emprunt seuil le 2009 en

uniaisqiliéatasgé npriuirpu vtrd dépasser de éviter pour particulier en assigné, était lui qui quantitatifs

elAOSa rme rmsr 09e ocd aifielsobjectifs les satisfaire de donc et 2009 trimestre premier au l’ACOSS de

lapri efiefc adgaainiprat upoi etrésorerie de profil du importante dégradation la à face faire de permis a Il ●

es opes : souplesse sa de

epormeetrpdmn paucmeu ucse raison en succès un comme apparu rapidement est programme Le

n2009. en

i ecurrevrn1 e eon n20 t20 us3 % 30 puis 2008 et 2007 en besoins des % 15 environ couvrir de mis rencontres e ilt etéoei msprlAOSotper- ont l’ACOSS par émis trésorerie de billets Les ensei

g nemen ecurruepri essbsisd financements. de besoins ses de partie une couvrir de

t

T ’CS omnéàéetedn emrh afin marché le dans émettre à commencé a l’ACOSS BT, g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE

è ermoreetd e premiers ces de remboursement le Dès . I environ PIB

2 LES ÉVOLUTIONS LES

ac ulqea esd asrctdu ur epitde point de quart d’un Maastricht de sens au publique t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

el ué eved aCADES. la de vie de durée la de

S tdn elAOS n ovlerpied et mlqeuenuel esuc uu allongement un ou ressource nouvelle une implique dette de reprise nouvelle Une l’ACOSS. de donc et FSV

t cry aCDSsn umne e rlvmnsmi nacosatl eond iacmn du financement de besoin le accroissant en mais prélèvements les augmenter sans CADES la à octroyé été

.Lr el ers edtedcdee FS20,02pitd S uaaatatiu uFVavait FSV au attribué auparavant CSG de point 0,2 2009, LFSS en décidée dette de reprise la de Lors 3.

almt fiheprel,srlsblesd rsrre asdsproportions des dans trésorerie, de billets les sur elle, par affichée limite la

epa efnneetsapi u e vne el D,dans CDC, la de avances les sur s’appuie financement de plan Le

asri ectestaind’exception. situation cette de sortie la

et oil opsed éaer td éué eatdbtr de débattre devant députés de et sénateurs de composée sociale dette

rps ams npaea rnep 00duecmiso ela de commission d’une 2010 printemps au place en mise la proposé

e éaer yn otfi ohiérlvrl RSi erfut leur il CRDS la relever souhaité toutefois ayant sénateurs Les

cor 2009). octobre el éuiéscael 1 le sociale Sécurité la de

er

dsor ’rcWët aCmiso e comptes des Commission la à Woërth d’Éric (discours tdsdfct » déficits des et

oeossrieetl usind rieetd adette la de traitement du question la sereinement poserons

iuto cnmqesr opèeetrtbi,nu nous nous rétablie, complètement sera économique situation

orhtecmrs nr 0e nio 0mlirsd’euros. milliards 60 environ et 30 entre comprise fourchette un la Quand

o eond rsrre u air,slnlsmi elane asune dans l’année, de mois les selon variera, qui trésorerie, de besoin son

rsaar esried ’CS.LAOScurr is ’nérlt de l’intégralité ainsi couvrira L’ACOSS l’ACOSS. de service de prestataire

on evetcnqe nérlmn suésprlATqiaiacomme agira qui l’AFT par assurées intégralement technique, vue de point

msin opéetie u e acé.Cséisossrn,d’un seront, émissions Ces marchés. les sur complémentaires émissions

et(msind ilt etéoei taacsd aCC,àdes à CDC), la de avances et trésorerie de billets de (émission ment

lercur,e opéetd e ntuet lsiusd finance- de classiques instruments ses de complément en recourra, elle

otneadn otrl éii el éuiéscae lsprécisément, Plus sociale. Sécurité la de déficit le porter à donc continuera

95

u uatps u epuordahte acosac.E 00 l’ACOSS 2010, En croissance. la et d’achat pouvoir le sur pesé aurait qui

ntasetd et uate fe éest n ased aCRDS la de hausse une nécessité effet en aurait dette de transfert Un

rs n ers edted éiegnrlprl CADES. la par général régime du dette de reprise une crise

’ilusl asnpu aulenu vn xl uatcette durant exclu avons nous laquelle pour raison la d’ailleurs

etéat ot asemsiedspéèeet.C’est prélèvements. des massive hausse toute écarte ment

orfcltrl eord acosac,l Gouverne- le croissance, la de retour le faciliter Pour «

LS 2010. PLFSS

aScrt oil tdvn ePreetlr e éasrltf au relatifs débats des lors Parlement le devant et sociale Sécurité la

ulc rsnéu lndvn aCmiso e ope de comptes des Commission la devant plan un présenté a publics

emnsr e Comptes des ministre Le . teagetse liecieéconomique crise pleine en augmentés être

3

n21 usu io e rlvmnsscax(aCD)arin dû auraient CRDS) (la sociaux prélèvements les sinon puisque 2010 en

ovreetafi ecoxd epsrpedel et a aCADES la par dette la reprendre pas ne de choix le fait a gouvernement osd apéaaind aLS 00 afnd ’t 09 le 2009, l’été de fin la à 2010, LFSS la de préparation la de Lors

rencontres

ensei etéoei renouvelée trésorerie de

g nemen

tatcpn n gestion une anticipent et

t

g marché de financements des est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE oscetl place la consacrent

LES ÉVOLUTIONS LES ac t 2010 pour opérés choix Les III. io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

eaddscûsfcué ’CS,srl aed l’Eonia. de base la sur l’ACOSS, à facturés coûts des regard

uju eju ’s otmn cr n20,c u ed lscûexl eiacmn el D au CDC la de refinancement le coûteux plus rendu a qui ce 2008, en accru fortement s’est jour le jour au

.L eèeetdstrf t utféprl D a efi u ’cr nr e axà3mi tl taux le et mois 3 à taux les entre l’écart que fait le par CDC la par justifié été a tarifs des relèvement Le 5.

iacmn or2010. pour financement

.U apr elIseto ééaedsfnne u atéoei elAOSaéaoédsséaisde scénarios des élaboré a l’ACOSS de trésorerie la sur finances des générale l’Inspection de rapport Un 4.

lepre aCCd ée emnèepu éuié o ia.En bilan. son sécurisée plus manière de gérer de CDC la à permet elle

eon efnneetd ’CS,ae n aiiainchrne et cohérente, tarification une avec l’ACOSS, de financement de besoins

osdrbe,àclrl ué e rt u adreéooiu des économique durée la sur prêts des durée la caler à considérables,

unefreetrdi.Ctestainvs,cmt eudsenjeux des tenu compte vise, situation Cette réduit. fortement quence

otn e rdt osfredaacsa orl oréate consé- en étant jour le jour au d’avances forme sous crédits des montant

codsdn ecdedu ota epê vcu ai otate,le contractuel, tarif un avec prêt de contrat d’un cadre le dans accordés

etutrto.Lsmnat ’mrn éesie ot ’né seraient l’année toute nécessaires d’emprunt montants Les restructuration.

’vne ecuttre ’nor epêsdvi ar ’be d’une l’objet faire devait prêts de l’encours terme, court de d’avances

eatd 1mlirsderse,aosq’léatfnésrl principe le sur fondé était qu’il alors et, d’euros milliards 31 de serait

vne ’CS,l D niu u emxmmd e concours ses de maximum le que indiqué a CDC la l’ACOSS, à avances

e2 ilad ’uo.Pu cetrdagetrl oued ses de volume le d’augmenter accepter Pour d’euros. milliards 25 de

nspebe20 ocratéaeetlseput asuelimite une dans emprunts les également concernait 2009 septembre en

néié asl ar ’naeataatpi effet pris ayant avenant d’un cadre le dans entérinés aisd aCDC la de tarifs

5

etrféatdvn lséeé(axErbr2mi) n20,lsnouveaux les 2009, En mois). 2 Euribor (taux élevé plus devenu était tarif le

u abs e aiscnetonl uq’ 5mlirsders Au-delà d’euros. milliards 25 jusqu’à conventionnels tarifs des base la sur

n20 aCCséateggeàfnne e eon el’ACOSS de besoins les financer à engagée s’était CDC la 2008 En

.Mblsto el D tsrcuaindsprêts des structuration et CDC la de Mobilisation B.

96

inspontanée. tion

or20,l éusn e3mlirsders a apr o évolu- son à rapport par d’euros, milliards 3 de réduisant la 2009, pour

iepu 09apri ermnrctedteà06mlirsd’euros milliards 0,6 à dette cette ramener de permis a 2009 pour tive

esmn ecéisàlAOSdn ecded alid iacsrectifica- finances de loi la de cadre le dans l’ACOSS à crédits de versement

eve a e ase rsaarspu o ope(nar ) Le 1). (encadré compte son pour prestataires Caisses les par servies

etprlÉa e xnrtosd oiain oilse e allocations des et sociales cotisations de exonérations des l’État par ment

iu udfctd éiegnrle asndisfiacsd rembourse- de d’insuffisances raison en général régime du déficit au rieur

ebsi efnneetane elAOSasuetéésupé- été souvent a l’ACOSS de annuel financement de besoin Le

.Rdcind adted l’État de dette la de Réduction A. imssociaux. nismes rencontres

ensei iaindsecdnsd rsrred etisorga- certains de trésorerie de excédents des lisation

g nemen e etsd ’ttevr aScrt oil tl mobi- la et sociale Sécurité la envers l’État de dettes des

t

epa opedasiuefreréduction forte une aussi comprend plan Le .

a l’AFT par g

est SOCIALE 4

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE at ni u nnueupormedéiso géré d’émission programme nouveau un sur enfin vant,

LES ÉVOLUTIONS LES

ac ascmaasnae eqiaatéépaiu aupara- pratiqué été avait qui ce avec comparaison sans t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

u ’CS orateputrd 0à1 ilad ’uo.Csbanques Ces d’euros. milliards 15 à 10 de emprunter pourrait l’ACOSS que

rmsr 00lseprie eade u aqe asaetpenser laissaient banques aux demandées expertises les 2010 trimestre

u emrh ’n ur éas e ilad ’uo vn edeuxième le avant d’euros milliards 4 les dépassé guère n’ont marché le sur

.Mm ilsémissions les si Même ). supra (cf. favorables très taux des à importantes

ié escè ecnr eussnlneetatrs e émissions des autorise lancement son depuis rencontré succès Le lisé.

epormed ilt etéoei s a ilusfreetmobi- fortement ailleurs par est trésorerie de billets de programme Le

.Mné npisned rgam eBT de programme du puissance en Montée C.

97

el rsrred ’CS n21 t2011 et 2010 en l’ACOSS de trésorerie la de

rpiu .fnneetqoiineffectif quotidien financement 2. Graphique

el-ie iaçi amii 3 ilad ’uo u 62). sur d’euros milliards (31 moitié la finançait en celle-ci

apr el D asl iacmn tbeu3.Dn ’pr initiale l’épure Dans 3). (tableau financement le dans CDC la de part la

’CS edfct ualsiprat odi n ot éuto de réduction forte une à conduit importants durables déficits de l’ACOSS

et iuto ndt efnneetpar financement de inédite situation Cette . sensu stricto trésorerie la

u aisd acneto ’s ’potd aCCa iacmn de financement au CDC la de l’apport c’est ; convention la de tarifs aux rencontres soumis est d’euros, milliards 11 soit d’euros, milliards 31 à complément Le

ensei inàtu ieclué u abs utu uio an. 1 Euribor taux du base la sur calculée fixe taux à tion

g nemen ilad ’uo e9mr) u abs ’n rémunéra- d’une base la sur mars), 9 le d’euros milliards 5

t

g de l’autre et janvier début démarre d’euros milliards 15 est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ’na e2 ilad ’uo uepeir rnh de tranche première (une d’euros milliards 20 de an d’un

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t prêt un sur engagés sont se CDC la et l’ACOSS pratique io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

otrdpi ulusane ’néê ’piie agsind trésorerie de gestion la d’optimiser l’intérêt années quelques depuis sortir

’mlu e eon efnneetd éiegnrlafi res- fait a général régime du financement de besoins des L’ampleur

.L ôedstéoeissociales trésoreries des rôle Le D.

fetfd lfn enva atrd juin. de partir à niveau ce à plafond du effectif

edsirap tedps aBnu eFac orrelèvement pour France de Banque la à déposé être pu a dossier Le

n ors glmn olcte us cod ant apu haute. plus la note sa accordé aussi a sollicitée, également Poor’s, and

’uo otqiz orlséisossrlsmrhs ’gneStandard L’agence marchés. les sur émissions les pour quinze dont d’euros

ernt apu lvea rnep 00pu npaodd 5milliards 25 de plafond un pour 2010 printemps au élevée plus la note leur

od’ tFth u vin oél rgam eus20 n confirmé ont 2006 depuis programme le noté avaient qui Fitch, et Moody’s

e prtosd iacmn iaéae.Lsdu gne enotation de agences deux Les bilatérales. financement de opérations des

msin emrh,léatete1, t8mlirsderspermettant d’euros milliards 8 et 11,5 entre l’écart marché, de émissions

’uo oneprl aie umnsr e ope ulc orles pour publics Comptes des ministre du cabinet le par donnée d’euros

uq’lr e1, ilad ’uo asae n iied milliards 8 de limite une avec mais d’euros milliards 11,5 de jusqu’alors

upormed ilt etéoei aBnu eFac u était qui France de Banque la à trésorerie de billets de programme du

ar e prtosbltrlslAOSafi eee epaodd’émission plafond le relever fait a l’ACOSS bilatérales opérations des cadre

orpuoracotesséisossrlsmrhso asle dans ou marchés les sur émissions ses accroître pouvoir Pour

lsd eonmaximum. besoin du plus

etrpéetrjsuà1 or 0mlirsders otu ir,voire tiers, un soit d’euros, milliards 20 voire 18 jusqu’à représenter ment

acé udn ecdedoéain iaéae oraetpotentielle- pourraient bilatérales d’opérations cadre le dans ou marchés

isscae xéetie.A oa e ilt etéoei lcssrles sur placés trésorerie de billets les total Au excédentaires. sociales ries

98

ilusl rgam oratêr tls ordspaeet etrésore- de placements des pour utilisé être pourrait programme le ailleurs

etrtetqelATahtri uq’ ilad ’uo tqepar que et d’euros milliards 5 jusqu’à achèterait l’AFT que retient ment

oamn vclAT epa efnneetevsg a egouverne- le par envisagé financement de plan Le l’AFT. avec notamment

ilt etéoei etêr tls asl ar ’prtosbilatérales, d’opérations cadre le dans utilisé être peut trésorerie de billets

a ilus om eftl a eus20,l rgam de programme le 2006, depuis cas le fut ce comme ailleurs, Par

n2009). en

rme rmsr 00l auiémyneetdj e4 or 1, jours (12,1 jours 44 de déjà est moyenne maturité la 2010 trimestre premier

e uésrtne orlséisose 0720 tin ore.Au courtes. étaient 2007-2009 en émissions les pour retenues durées les

e msin emnèeàscrsrlsecusrcecé lr que alors recherchés encours les sécuriser à manière de émissions des

e oue mssrc acé ’CS umnél ué moyenne durée la augmenté a L’ACOSS marché. ce sur émis volumes des

’uo niaédbt21,si ncnuèedsbsise nquart un et besoins des cinquième un soit 2010, début envisagé d’euros

irsders td 1mlirsderssrl eond 4milliards 54 de besoin le sur d’euros milliards 11 de et d’euros, liards

etati eeuu ieud 5mlirsderssru oa e6 mil- 62 de total un sur d’euros milliards 15 de niveau un retenu a-t-il ment vnaexa eaddspêsbnars us epormed finance- de programme le Aussi bancaires. prêts des regard au avantageux rencontres

ensei o oete ’msin ote ééiin etarifs de bénéficiant en tout d’émissions potentiel son

g nemen at.E oiin apaiu lepuatdn accroître donc pouvait elle pratique sa modifiant En sante.

t

hqeju inaatogns n omncto suffi- communication une organisé n’avait ni jour chaque g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE é emnèeatv u emrh néatprésente étant en marché le sur active manière de née

LES ÉVOLUTIONS LES

ac osdrin u ’gnen ’ti a noeposition- encore pas s’était ne l’Agence que considéraient t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ore:ACOSS. : Source

n 000233 0 en%

, 0,2 0,4 0,6 (dépôts) autres dont

n 00061949 0 en%

, 3,6 3,0 1,9 papier

otEr commercial Euro dont

n%01 02 71 18 13 17 22 10 13 0 % en

acé21222859211,3 2,1 5,9 2,8 2,2 2,1 marché

otblesd trésorerie de billets dont

n%041 33 33 37 36 33 30 13 15 0,4 % en

otblesd rsrre002527381, , 2,7 5,7 11,1 3,8 2,7 2,5 0,0 trésorerie de billets dont

n%9, 58 06 211 42 60 70 87 85 99,6 % en

otCC931, 87872, , 0,8 6,7 20,4 8,7 18,7 13,7 9,3 CDC dont

efnneet931, 141, 41, 7,4 15,8 34 12,5 21,4 16,2 9,3 financement de

nor moyen Encours

avr.

u% ou

0620 0820 0021 janv.- 2011 2010 2009 2008 2007 2006

Md €

2012

ala .Fnneetd atéoei el’ACOSS de trésorerie la de Financement 3. Tableau

99

RI,d aCS td S 05%). (0,5 RSI du et CNSA la de (RSI),

hredsscéé CS,greprl éieSca e Indépendants des Social Régime le par gérée (C3S), sociétés des charge

elane vcdsaprsd otiuinscaed oiaiéàla à solidarité de sociale contribution de apports des avec l’année, de

t45mlirsderséaetevsgsàc ir eo e périodes les selon titre ce à envisagés étaient d’euros milliards 4,5 et 2

imse ’CS.Dn epormed iacmn or21 entre 2010 pour financement de programme le Dans l’ACOSS. et nismes

emtd rue n ouinmtelmn vnaes orcsorga- ces pour avantageuse mutuellement solution une trouver de permet

at 3e r.L 2-- uCd aScrt oil) et possibilité Cette sociale). Sécurité la Code du 225-1-3 L. art. et 33 (art.

ecsmmsognse td e éuée eusl FS2009 LFSS la depuis rémunérer les de et organismes mêmes ces de

’CS éomi edotdaceli e éôsd rsrreàterme à trésorerie de dépôts des d’accueillir droit le désormais a l’ACOSS

osrtdsblesd rsrreàlAOSdpi 09 a ailleurs Par 2009. depuis l’ACOSS à trésorerie de billets des souscrit

u irsdÉa.L aseNtoaed oiaiéAtv CS)aainsi a (CNSA) Active Solidarité de Nationale Caisse La d’État. titres aux

e etsrgeetn e lcmnsdognse iié auparavant limités d’organismes placements les réglementant textes les

rencontres modifiant en autorisé été a qui l’ACOSS de trésorerie de billets de l’achat ensei est première La possibles. sont voies deux faire ce Pour

g nemen éomi iacrlsbsisd rsrred l’ACOSS. de trésorerie de besoins les financer désormais

t

g peuvent organismes certains de excédents Les autres. est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE tn agmn éé néedmetlsusdes uns les indépendamment gérés largement étant

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t déficits les et excédents les sociaux, organismes des io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

eeulsrsussrlotnindsfnneet otaprslimités. apparus sont financements des l’obtention sur risques les retenu

asl otxefnnird 00e u abs uprogramme du base la sur et 2010 de financier contexte le Dans

efnneet21 tdsieclid 01e 2012 et 2011 de celui dessine et 2010 financement le

.L ers asv edtee 01cnutàajuster à conduit 2011 en dette de massive reprise La F.

udmre njuillet. en démarrer pu

niaéetéaeetd 1mlirsderssr5.Cséisosont émissions Ces 54. sur d’euros milliards 11 de également est envisagé

ecded rgam efnneet21 emnatdsémissions des montant le 2010 financement de programme du cadre le

sué orq’uu iqed hnen otsb a ’CS.Dans l’ACOSS. par subi soit ne change de risque qu’aucun pour assurée

msin etêr élsee eie.Dn ecsl ovrueest couverture la cas ce Dans devises. en réalisée être peut émissions

aia upormeetd 0mlirsderse n atedes partie une et d’euros milliards 20 de est programme du maximal

orl oped ’CS .Uecneto t ine emontant Le signée. été a convention Une ». l’ACOSS de compte le pour

rn ncag agsind rgam ’C leai unmet nom au « agit elle ; d’ECP programme du gestion la charge en prend

npaiu,e opetn esneprec nc oan,l’AFT domaine, ce en expérience son de tenu compte et pratique, En

aoe) etee lc acmuiaine antto uprogramme. du notation la et communication la place en mettre saxones),

rgam arner,«daes» rniaeetdsbnusanglo- banques des principalement », dealers « (arrangeurs, programme

efiee ulusmi orcosrlsbnusqiognsrn le organiseront qui banques les choisir pour mois quelques en faire se

’uoiainàotnréuvlne ams npaed rgam peut programme du place en mise La équivalente. obtenir à d’autorisation

ilt etéoei uevs a aBnu eFac ti ’ pas a n’y il et France de Banque la par supervisé trésorerie de billets

’cè umrh e C s on élmnéqeclides celui que réglementé moins est ECP des marché au L’accès

inetpssrl acéfaçi e ilt etrésorerie. de billets des français marché le sur pas viennent

s elipretedacdràdsivsisusitrainu u n’inter- qui internationaux investisseurs des à d’accéder permettre lui de est 100

ndvss rniaeetl olr ’néê ec acépu l’ACOSS pour marché ce de L’intérêt dollar. le principalement devises, en

e msin evn tee uo pu npumisd amii)ou moitié) la de moins peu un (pour euros en être peuvent émissions Les

elÉa ordsporme epcisd 5 0e 0mlirsd’euros. milliards 20 et 40 15, de respectifs programmes des pour l’État de

mter rnas:l D,l AE,l oit epied participation de prise de Société la CADES, la CDC, la : français émetteurs

netser.Bs ode,c acécmrn éàtosgrands trois déjà comprend marché ce Londres, à Basé investisseurs.

ulc upr-ulc.Lsbnuscnrlsyitrinetcomme interviennent y centrales banques Les para-publics. ou publics

otàl osdseterss e oitsfnnirse e émetteurs des et financières sociétés des entreprises, des fois la à sont

or em ’n aledevrn50mlirsders e mter y émetteurs Les d’euros. milliards 500 d’environ taille d’une terme court

emrh uoéndsEPetu acéd iacmn à financement de marché un est ECP des européen marché Le

’tlsto n liée erfaveur. leur en plaidé ont d’utilisation

insd rsrre.)l rfnerd acédsEPe asouplesse la et ECP des marché du profondeur la trésorerie...) de lignes

eor e mrnsbnars(osfred rdt ydqé,de syndiqués, crédits de forme (sous bancaires emprunts des à recours ilPpr»(C) idate ouin n t niaés om le comme envisagées, été ont solutions d’autres Si (ECP). » Paper cial

rencontres acé oéars:u rgam ’ uoCommer- Euro d’« programme un : monétaires marchés

ensei

eoesru ova rgam ’msin u les sur d’émissions programme nouveau un sur repose g nemen ebulg ufnneetd ’né 2010 l’année de financement du bouclage Le t

g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE vcl’AFT avec

LES ÉVOLUTIONS LES

ac .Ms npaedu rgam d’ECP programme d’un place en Mise E. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

tin e53mlirsdersfndcmr,l aiu yn dépassé ayant maximum le décembre, fin d’euros milliards 5,3 de étaient

irsdersa 1dcmr.D êecu ’ uocmeca ae » paper commercial Euro d’« ceux même De décembre. 31 au d’euros liards

aiu e1 ilad ’uo nspebeotéérmnsà54mil- 5,4 à ramenés été ont septembre en d’euros milliards 12 de maximum

t éuts e nor eblesd rsrresrlsmrhs d’un marchés, les sur trésorerie de billets de encours les réduites, été

’uo u3 éebe.E oteatelséisosd acéont marché de émissions les contrepartie En décembre). 31 au d’euros

CS udrirtiete21 1, ilad ’uo u 96milliards 49,6 sur d’euros milliards (11,8 2010 trimestre dernier au ACOSS

el-iaééaeé lcrssdsoiiié u e ilt etrésorerie de billets des sur disponibilités ses placer à amenée été a celle-ci

orpéae e esmnsàlAOSdvn nevnrdsjnir2011 janvier dès intervenir devant l’ACOSS à versements les préparer pour

neftl AE eatlvrdsfnspraac u e marchés les sur avance par fonds des lever devant CADES la effet En

usle21 a apr upoe niaé(rpiu ttbeu4). tableau et 2 (graphique envisagé projet au rapport par 2010 solde du

gahq )acnutàmdfe ulu e e oaié efinancement de modalités les peu quelque modifier à conduit a 2) (graphiqu

eoràu od etéoei rsfil uduim eete2011 semestre deuxième au faible très trésorerie de solde un à retour

aprpcieduerpiecmlt e éiispretn le permettant déficits des complète reprise d’une perspective La

eoràléulbepéuprc rjte 2018. en projet ce par prévu l’équilibre à retour

ers a aCDSdsftr éiisd abaceRtat jusqu’au Retraite branche la de déficits futurs des CADES la par reprise

01 notel o u e erie u9nvmr 00aevsg la envisagé a 2010 novembre 9 du retraites les sur Loi la outre En 2011.

rs e eetssplmnarsafcéséatpéiése LFSS en précisées étant affectées supplémentaires recettes les Crds,

ieuognqed 3nvmr 00e lnyapsd ased la de hausse de pas a n’y il et 2010 novembre 13 du organique niveau

e4asd adred i el AE om ’ uoié alide loi la autorisée l’a comme CADES la de vie de durée la de ans 4 de

ecleatcpepu 01 e ersscnurn nallongement un à conduiront reprises Ces 2011. pour anticipée celle de

’né,dn 5mlirsdersa rme eete.I netd même de est en Il semestre). premier au d’euros milliards 55 dont l’année,

è edbtd ’né 01(oru oa e6, ilad ’uo sur d’euros milliards 65,3 de total un (pour 2011 l’année de début le dès

101

oteprlAOSe 00aééefcieetéérpieprl CADES la par reprise été effectivement été a 2010 en l’ACOSS par portée

tpéié asl ar el o efnneetpu 01 adette La 2011. pour financement de Loi la de cadre le dans précisée et

uBde,dsCmtspbise el éom elÉa jilt2010) (juillet l’État de Réforme la de et publics Comptes des Budget, du

aruind aCmiso el et ulqepéié a eministre le par présidée publique dette la de Commission la de réunion la

’CS edfct uué el éuiéscaeaééanné après annoncée été a sociale Sécurité la de cumulés déficits de l’ACOSS

asri ectestainecpinel efnneetpar financement de exceptionnelle situation cette de sortie La

IV). , infra

efrésscméecscmelidqel O 0021 (cf. 2010-2013 COG la l’indique comme compétences ses renforcé a

ni n oiiu egsind iqe u oscspit l’ACOSS points ces tous Sur risque. du gestion de politique une enfin

n on rvso e eon tuebneepriedsmarchés, des expertise bonne une et besoins des prévision bonne une

aaiéàabte nr e ifrne omsd iacmn siesur assise financement de formes différentes les entre arbitrer à capacité

auié e irséi,uesrtgedéiso lsrglèee une et régulière plus d’émission stratégie une émis, titres des maturités

’F,2prlstéoeisscae) eancsiatu logmn des allongement un nécessitait Cela sociales). trésoreries les par 2 l’AFT, rencontres par achetés BT en 5 ECP, en 11 marché, BT en 11 CDC, la à (31

ensei rt ovn teevsg ti rssprera besoin au supérieur très était envisagé être pouvant prêts

g nemen ovin tecmese a ’ur evlm des volume le : l’autre par compensées être pouvaient

t

g d’émission programme un sur rencontrées éventuelles tés est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ntaeet e agséaetipratse e difficul- des et importantes étaient marges les initialement,

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t envisagé celui que faible plus besoin un avec effet, En io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

esosàpri eléhac esel u9(nar ) efinancement Le 2). (encadré 9 du mensuelle l’échéance de partir à pensions

ulusjusd , ilad ’uo oradra iacmn des financement au aider pour d’euros milliards 3,5 de jours quelques

eor u rt rpssprl asesetlmt e rt de prêts des à limité s’est Caisse la par proposés prêts aux recours

n osl et ers tlspêspoogsd aCCrmoré le remboursés CDC la de prolongés prêts les et reprise dette la fois une

opetn el iuto lsasedsbsisd financement de besoins des aisée plus situation la de tenu Compte

ilad ’uo ensuite. d’euros milliards tà−20 e mai fin jusqu’à d’euros milliards 58 − à

’uo e6dcmr.L lfn ’mrn vi t aeéprl LFSS la par ramené été avait d’emprunt plafond Le décembre. 6 le d’euros

, milliards 2,3 + à t s’établissan haut point le semestre, deuxième au fois

abedsl osd un nslepstféatmm éaéquelques dégagé même étant positif solde un juin, de mois le dès faible

, ilad ’uo e3 éebemi lettrès est il mais décembre 31 le d’euros milliards 4,7 − à r janvie u1 au

er

od ucmt vn iacmn ein is e–4, ilad d’euros milliards 49,5 – de ainsi revient financement avant compte du solde

erssprl AE otcle emnèeotml gahqe2.Le 2). (graphique optimale manière de calées sont CADES la par reprises

tluséhacse elsdes celles et échéances leurs et ) supra (cf. prévalu a qui structuration

tl D.Lspêsae el-isn rlné asl oiu de logique la dans prolongés sont celle-ci avec prêts Les CDC. la et

edtee ’nci asl ar el ovlecneto u i l’ACOSS lie qui convention nouvelle la de cadre le dans s’inscrit et dette de

efnneet21 éol agmn e odtosd reprises de conditions des largement découle 2011 financement Le

ore:ACOSS. : Source

oa 32−49,6 − 33,2 − Total

od ucmt , , 0,5 4,6 0,8 compte du Solde

vne D , 00 10 − 1,4 − CDC Avances 102

TCDS−17−1, 11,8 − 11,8 − 1,7 − CADES BT

TAT−08−5−5 − 5 − 0,8 − AFT BT

Tmrh , 2−5,4 − 12 − 5,9 − marché BT

C , , 5,3 − 7,1 − 1,9 − ECP

rsrre oils−33−53−20 − 5,3 − 3,3 − sociales Trésoreries

rtCC−1, 0−20 − 20 − 19,1 − CDC Prêt

u 00sr2010 sur 2010 sur

Md 1dc 2010 déc. 31 €

oen Maximum Moyenne ala .Fnneetd od ucmt CS n2010 en ACOSS compte du solde du Financement 4. Tableau

rencontres

ensei mssn rnedfiut u er excomposantes. deux leurs sur difficulté grande sans émis

g nemen edcmt ’ngadscè e air ACOSS papiers des succès grand d’un compte rend

t

oilsfnnaetecr , ilad ’uo.Ceci d’euros. milliards 2,7 encore finançaient sociales g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE glmn ilad ’uo eB tlstrésoreries les et BT de d’euros milliards 5 également

LES ÉVOLUTIONS LES

ac ilad ’uo.Tuor i éebelATdétenait l’AFT décembre fin Toujours d’euros. milliards 7 t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

indu axfil n21 t2011. et 2010 en faible taux d’un tien

itrqee 09à066%(oi odr e otns usl main- le puis montants) des pondéré (Eonia % 0,646 à 2009 en historique

efnneetd ’CS ’s otmn mloéae nminimum un avec amélioré fortement s’est l’ACOSS de financement de

04 )e aneuàu ieufil n21 07 ) etu moyen taux Le %). (0,78 2011 en faible niveau un à maintenu et %) (0,43

odi ntu uju eju Ena itrqeetbse 2010 en bas historiquement (Eonia) jour le jour au taux un à conduit

n eto cied alqiiéitraciedn azn uo eaa Cela euro. zone la dans interbancaire liquidité la de active gestion une

aiedstu ’néê erfrned aBE(e4%à1% tpar et %) 1 à % 4 (de BCE la de référence de d’intérêt taux des rapide

rs iacèepi cnmqesettaut a n aseextrêmement baisse une par traduite s’est économique puis financière crise

neft apltqemntiems nœveprl C ut la à suite BCE la par œuvre en mise monétaire politique la effet, En

agél oued’emprunt. volume le malgré

n20,21 t21,lscagsditrtotd efi t rslimitées très été fait ce de ont d’intérêt charges les 2011, et 2010 2009, en

e ieu etu ’néê yn t atclèeetavantageux particulièrement été ayant d’intérêt taux de niveaux Les

amîrs e hre etsd financement du nettes charges des maîtrise la

tuestaind ulqiiéqifavorise qui surliquidité de situation une et

odi e axd ééec itrqeetbas historiquement référence de taux des à conduit

.L oiiu oéar cied aBCE la de active monétaire politique La G.

n21 tpè e36mlirsdersd ave a 2012. mai à janvier de d’euros milliards 3,6 de près et 2011 en

upré a ’CS.Isotatite oen , ilad d’euros milliards 1,4 moyenne en atteint ont Ils l’ACOSS. par supportés

lvsqedn aproepééet orgrrlsrsusdésormais risques les gérer pour précédente période la dans que élevés

et oiiu orcnrpri e odsecdnarsplus excédentaires soldes des contrepartie pour a politique Cette

103

e1 orl D u e utepeir osd l’année. de mois premiers quatre les sur CDC la pour % 11 de

rsrre oilse ulqe odi êeàuepr efinancement de part une à même conduit publiques et sociales trésoreries

el D tàs odrsrlséisosd acée e pot des apports les et marché de émissions les sur fonder se à et CDC la de

iacmn e21,qiacnutàn a oiie epêsstructurés prêts de mobiliser pas ne à conduit a qui 2012, de financement

esucsnnpraetsà2 ilad ’uo.Ctestainde situation Cette d’euros. milliards 22 à permanentes non ressources

tu on esri nio 9mlirsderspu npaodde plafond un pour d’euros milliards 19 − environ à sortie de point un et

rflpéiine nta vcu ieumynd , ilad d’euros milliards 9,5 − de moyen niveau un avec initial prévisionnel profil

t6 n21,c.tbeu3.Pu 02 aLS 02cnutàun à conduit 2012 LFSS la 2012, Pour 3). tableau cf. 2010, en % 60 et

e rprin e néspééets(7%e 08 0%e 2009 en % 70 2008, en % (87 précédentes années des proportions des

mual u rt su el iuto 00 asdj rse deçà en très déjà mais 2010, situation la de issus prêts aux imputable

otn rt a aCCséalsatà4 nmyne largement moyenne, en % 42 à s’établissant CDC la par prêté montant

’potdsB,dsEPe e rsrre oilsaéémjrtie le majoritaire, été a sociales trésoreries des et ECP des BT, des l’apport

tlséisosd acéotrpéet , ilad ’uo.A total Au d’euros. milliards 5,1 représenté ont marché de émissions les et rencontres d’euros milliards 15,8 de total moyen financement un sur d’euros milliards 4

ensei ’piiaindstéoeispbiusisotreprésenté ont ils publiques trésoreries des d’optimisation

g nemen atlspaiusd 00 ocratcsapports ces Concernant 2010. de pratiques les nant

t

g entéri- l’AFT, et sociaux organismes des par souscrits ou est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE rgamsd irsngcals mssrl marché le sur émis négociables, titres de programmes

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t des l’aide à l’année de reste le pour réalisé été donc a io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ntesd lfn el FS; LFSS la de plafond du tiers un

nul efnneet asl iied 0mlirsderset d’euros milliards 10 de limite la dans financement, de annuels

e ore efnneetslnléouind e besoins ses de l’évolution selon financement de sources ses

e rt e3mi iiu emtatàlAOSd compléter de l’ACOSS à permettant minimum mois 3 de prêts des ●

éôsrvtpuiusfre : formes plusieurs revêt dépôts

aiu n20/00L iacmn pot a aCis des Caisse la par apporté financement 2009/2010.Le en maximum

ovlecneto,cnr 1mlirsdersd financement de d’euros milliards 31 contre convention, nouvelle

4mlirsdersmxmme 0321 asl ar ela de cadre le dans 2013/2014 en maximum d’euros milliards 14

e éôssisrte aseprrpotaxane rcdne : précédentes années aux rapport par baisse en s’inscrit Dépôts des

asc otxe efnneetptnilttld aCaisse la de total potentiel financement le contexte, ce Dans

el’ACOSS. de

aCDSvnn mloe osdrbeetl rfld trésorerie de profil le considérablement améliorer venant CADES la

00 ’né 01aéémrueprdsrpie edte par dettes de reprises des par marquée été a 2011 l’année 2010,

pè nfnneetrcr e4, ilad ’uo en d’euros milliards 49,5 de record financement un Après

u e financements les Sur

orlAOSe aCis e dépôts. des Caisse la et l’ACOSS pour

in éire tdaotràdséooisfnnirsàl fois la à financières économies des à d’aboutir et délivrées tions

prtosetd éuie,d anei ud efre e presta- les renforcer de ou maintenir de sécuriser, de est opérations

’betfd et éaéilsto td ’uoaiaind ces de l’automatisation de et dématérialisation cette de L’objectif

éaéilsrlsoéain evrmn ofésàl banque. la à confiées virement de opérations les dématérialiser à

uinàlhrzn21 el eto e lxvr nséai visant scénario un vers flux des gestion la de 2012 l’horizon à lution 104

atned opebnar éi a e etspéotl’évo- prévoit textes les par régie bancaire compte de tenue La

u atned compte de tenue la Sur

flux.

emtatdecde e iqe prtonl norssrces sur encourus opérationnels risques les d’encadrer permettant

uv apoh e lxd rsrree e rcdrsd’alertes procédures des et trésorerie de flux des rapproché suivi

iacmn elAOS araiaindu ui elqiié un liquidité, de audit d’un réalisation la l’ACOSS, de financement

assnatce1,léalseetduepoéueanel de annuelle procédure d’une l’établissement 11, article son dans

infctf nmtèed eto e iqe tpéotnotamment prévoit et risques des gestion de matière en significatifs

is u agsindsrsus lemru e changements des marque Elle risques. des gestion la que ainsi

ase oae ntéoei,lsfnneet tlsplacements, les et financements les trésorerie, en locales Caisses

eu ecmt,dn acnrlsto e lxe ’lmnaindes l’alimentation et flux des centralisation la dont compte, de tenue om apééet,l ovnin21-04cur la couvre 2011-2014 convention la précédente, la Comme

rencontres e rnie el convention la de principes Les ensei g nemen

t

asedsdpt-CS 2011-2014 dépôts-ACOSS des Caisse g est

i o n aconvention La ac t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

e hre d’intérêts. charges des

et rdbepu ’nebed ’né 02 otiun amaîtrise la à contribuant 2012, l’année de l’ensemble pour crédible reste

adal otr emite ecniin efnneettè favorables très financement de conditions de maintien Le porter. le faudra

eti ocsui ursu etu orlsane u eqelsil lesquelles sur années les pour taux de risque au soumis donc restait

aued or em tl tc edterpi a aCDSe 2011 en CADES la par repris dette de stock le et terme court de nature

elane21.Pu uatl iacmn suéprlAOSetpar est l’ACOSS par assuré financement le autant Pour 2010. l’année de

abis e axar occmes ’fe ouepu efinancement le pour volume l’effet compensé donc aura taux des baisse la

nmynee nslemyn25fi lsfil tbeu5.Leftde L’effet 5). (tableau faible plus fois 2,5 moyen solde un et moyenne en

exfi on ue 07ae e axd iacmn rsd % 4 de près à financement de taux des avec 2007 qu’en moins fois deux

axd iacmn iiarsmi nslemyntosfi onr,et moindre, fois trois moyen solde un mais similaires financement de taux

1 ilosderssi ri osl otn elane20 vcdes avec 2009 l’année de montant le fois trois soit d’euros millions 313

a lsd nr 08e 09 n21,l hreditrtaééde été a d’intérêt charge la 2010, En 2009. et 2008 entre 8 de plus par

è oslscagsfnnirsnte n t iiés:divisées : limitées été ont nettes financières charges les lors Dès

i ejournée. de fin

éiinai egrni apsto rdtied opeuiu en unique compte du créditrice position la garantir de afin décision

u ecmt vn 4 td élnhr3nvaxd ell de cellule de niveaux 3 déclencher de et 14h avant compte le sur

hqeju e crsetelsfu nocse e lxconstatés flux les et annoncés flux les entre écarts les jour chaque

emtd’identifier permet Un (BT/ECP). négociables ytm d’alertes système

e éalacsd èlmn/irio u e irsd créances de titres les sur règlement/livraison de défaillances les

e50mlin ’uo s etn air nJ/J, en palier, à destiné est d’euros millions 500 de esecours de

105 vn 0hmi orsueet20mlin ’uo) Un d’euros). millions 200 seulement pour mais h 10 avant compte

in ’uo otmblsbe nJpu emtn(avan matin le J pour J en mobilisables sont d’euros lions t9hou

or50mil- 500 pour Des trésorerie. de globale vne etrésorerie de avances

atie epu osbel oiinitaorair el position la de intrajournalière position la possible plus le maitriser

’gneàfaiie e rvsostasie avil,aniqu’à ainsi veille, la transmises prévisions les fiabiliser à l’Agence

otn u agsind iqe e éaié iacèe incitent financières pénalités Des risque. du gestion la sur portant

acneto rvi nesml ’niaine edispositifs de et d’incitation ensemble un prévoit convention La

u agsind risque du gestion la Sur

upimn e erie otlspu importantes. plus les sont retraites des paiement du

oamn osu e lcutosd rflatu el’échéance de autour profil du fluctuations les lorsque notamment

ufnneetd acé ào avlu jué s apu forte, plus la est ajoutée valeur sa où là marché, de financement du

aCis e éôss oiineàpéete complément en présent à positionne se dépôts des Caisse La

rencontres terme. court très à trésorerie la de financement du ment

ensei l’ajuste- à contribuant d’euros milliard 1,5 de h 24 à avances des ●

g nemen , ilad ’uo n21 ; 2012 en d’euros milliards 2,5

t g puis 2011 en d’euros milliards 3,5 de hauteur à retraites des est

i o n ltrlséisosd acéatu eléhac upaiement du l’échéance de autour marché de émissions les pléter

ac

t com- venant jours quelques de durée d’une » prêts-pension « des io n ● s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’custo ecran irsnégociables. titres certains de l’acquisition

eiacmn e aqe esn éecte u ’crid rdtet crédit de l’octroi sur répercutées sont se banques des refinancement

elasned ofac nr e tbismns e ifclé de difficultés Ces établissements. ces entre confiance de l’absence de

eet epoue e iacmnsapè ’ursbnusd fait du banques d’autres auprès financements des procurer se à sements

ub eus20,ipiun egadsdfiutspu etisétablis- certains pour difficultés grandes de impliquant 2008, depuis turbé

efntonmn umrh oéar t atclèeetper- particulièrement été a monétaire marché du fonctionnement Le

aqe,fc u risques. aux face banques,

ergeetto td opreet e cer,ntmetles notamment acteurs, des comportements de et réglementation de

aciefnnir nté n20 e osqecse termes en conséquences des a 2007 en initiée financière crise La

élmnarsrcne tàvenir à et récentes réglementaires

aeaxrsus niése eaprlsévolutions les par cela en incitées risques, aux face

.L rs oii ecmotmn e banques des comportement le modifie crise La A.

u otdj l’œuvre. à déjà sont qui

e ipstf dpé is u e otôe nense xensaccrus externes et internes contrôles des que ainsi adaptés dispositifs des

e iqe nin.Cteéouinfreapleuepltqegoaeet globale politique une appelle forte évolution Cette anciens. risques des

arse eor(otl D)cén enueu iqe tmodifient et risques nouveaux de créent CDC) la (dont retour en caires

e otane e msin emrh tlscnritsban- contraintes les et marché de émissions des contraintes Les

V e osqecse air egsind risque du gestion de matière en conséquences Les IV.

106

ore:ACOSS. : Source

8 7 4 3 634140 324 96 832 648 271 8 280 ) (Md nets €

néêsdébiteurs Intérêts

udsu elEna(b , 37865681 220 52 15 6,8 6,5 7,8 13 8,1 (pb) l’Eonia de au-dessus

ag moyenne Marge

otns()20 ,229 , ,306604 0,78 0,46 0,646 3,83 3,9 2,94 2,12 2,04 (%) montants

oi odr des pondéré Eonia

axmynannuel moyen Taux

oi % ,928 ,438 ,204 0,87 0,43 0,72 3,86 3,84 2,84 2,09 (%) Eonia

axmynannuel moyen Taux

efnneet()21 ,530 ,73907609 0,98 0,97 0,796 3,9 3,97 3,02 2,25 2,12 (%) financement de axmynannuel moyen Taux rencontres

ensei

29−01−88−1, 12−1, 33−14,4 33,3 − 12,1 − 21,2 − 15,8 − 8,8 − 0,1 − 12,9 − ) (Md financer à

€ g nemen od moyen Solde t

g est 0420 0620 0820 002011 2010 2009 2008 2007 2006 2005 2004 i o n

ac ala .Tu ’néê tcû ufnneetd l’ACOSS de financement du coût et d’intérêt Taux 5. Tableau t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ogterme. long à

tbeFnigRto»,aéécnu orfunruesrcueval e céne e cise passifs, et actifs des échéances des viable structure une fournir pour conçue été a »), Ratio Funding Stable

’cislqie ehueqaiépu umne n rv rs u ueatu os anreNF «Net (« NSFR norme La mois. un durerait qui crise grave une surmonter pour qualité haute de liquides d’actifs

or em upoi ersu elqiiéduebnu nviln eqeclec ips esuffisamment de dispose celle-ci que ce à veillant en banque d’une liquidité de risque de profil du terme court

plcbe alqiiéd iacmn.L om LR iudt oeaeRto» aoiel éiineà résilience la favorise ») Ratio Coverage Liquidity « (LCR, norme La financement. de liquidité la à applicables

.L oiéd âe rée 94 efrésndsoii elqiiée lbrn exnre minimales normes deux élaborant en liquidité de dispositif son renforcé a 1974, en créé Bâle, de Comité Le 7.

I,l éom e acé egéàgée uoee u États-Unis... aux et Europe en gré à gré de marchés des réforme la MIF,

IM;l rpsto R4;l rpsto ergeetsrlsaecsd oain arvso el directive la de révision la notation, de agences les sur règlement de proposition la ; CRD4 proposition la ; AIFM

.L okrRl nnecr iee ur);l odFac c adrcieOCMI adirective la ; IV OPCVM directive la ; » act Dodd-Franck « le ; œuvre) en mise encore (non » Rule Volker « La 6.

’gne(f nar 2). encadré (cf. l’Agence

nèr e lmnsd otxee odi ntasetd iqevers risque de transfert un à conduit et contexte de éléments ces intègre

cr.L ovlecneto acieAOSCCpu 2011-2014 pour ACOSS-CDC bancaire convention nouvelle La accru.

lcmnssr dn e etssueans êeàcuttres’est terme court à même souveraines) dettes les (dont sûrs placements

etd iqe eslscins asl êetms ’néê ordes pour l’intérêt temps, même le Dans clients. les vers risques de fert

edsnemdaine edvriiaind iacmn is u etrans- le que ainsi financement du diversification de et désintermédiation de

’s lblmn uc nvlm te rx aoiataniu phénomène un ainsi favorisant prix, en et volume en durci globalement s’est

taéise er rtqe ’gr e mrner.Loto ecrédit de L’octroi emprunteurs. des l’égard à pratiques leurs et stratégies

e tbismnsfnnir n is rfnéetmdféleurs modifié profondément ainsi ont financiers établissements Les

ordsmtrtsd n,dreiéiedpi acéto el BCE). la de création la depuis inédite durée ans, 3 de maturités des pour

in ’pesdofe e2 éebe21 usl 9fvir21,ceci 2012, février 29 le puis 2011 décembre 21 le d’offres d’appels tions

0 ilad ’uo n is t rpssaxbnuse exopéra- deux en banques aux proposés été ainsi ont d’euros milliards 000 1

ied alqiiéprdsmsrsdtsnncnetonle pè de (près conventionnelles non dites mesures des par liquidité la de sive

/ , a apr u axd ééec);datepr ’neto mas- l’injection part d’autre ; référence) de taux aux rapport par % 0,5 +/−

ardcind ’cr nr e axpace tpaod(e+−1%à % 1 +/− (de plafond et plancher taux ses entre l’écart de réduction la

107

aieds20 e axdrcer d )acmanede accompagnée %) 1 à % 4 (de directeurs taux ses 2008 dès rapide

el iudt.Cteato rn lser oms:duepr abaisse la part d’une : formes plusieurs prend action Cette liquidité. la de

e arpied acéitraciesrlqe e aqe s’échangent banques les lequel sur interbancaire marché du reprise la ser

om ’ursbnuscnrls grd air ndt fnd favori- de afin inédite manière de agir à centrales, banques d’autres comme

uSsèeErpe eBnusCnrls(BE t amenée, été a (SBCE) Centrales Banques de Européen Système du

asc otxel aqeCnrl uoéne(C) utravers au (BCE), Européenne Centrale Banque la contexte ce Dans

iesfcto vcueictto éei e irssouverains. titres des détenir à incitation une avec diversification

u oetlussrtge ’loain ’cisifunésvr lsde plus vers influencées d’actifs d’allocations stratégies leurs voient qui

ar eSlec Iipcetqatàelslsscéé d’assurance sociétés les elles à quant impactent II Solvency de cadre

aqe ’ntov glmn oiis e vltospéusdn le dans prévues évolutions Les modifiés. également trouve s’en banques

eetbnar tlaqiiind irsd racsngcalsprles par négociables créances de titres de l’acquisition et bancaire cement

e tbismnssn ocré e ersdvr.Loto efinan- de L’octroi divers. degrés des à concernés sont établissements Les

. ersu eslaiié ersu elqiié ersu econtrepartie de risque le liquidité, de risque le solvabilité, de risque le

7 rencontres savoir à principaux, trois les notamment risques différents aux face liser

ensei aqe oamn ntre efnsporsàmobi- à propres fonds de termes en notamment banques

g nemen efre e ipstf egsind iqedn les dans risque de gestion de dispositifs les renforcer

t

g à conduisent III Bâle de dites règles les titre, premier Au est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE

. otnmrue orlséalseet financiers établissements les pour nombreuses sont

6 LES ÉVOLUTIONS LES

ac t réglementaires évolutions les temps, même le Dans io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

e raimsd éuiésociale. Sécurité de organismes les

ec u el utlebnu orataorpu éodeàu pe ’fr efu,dn exlné par lancés ceux dont flux, de d’offre appel un à répondre pour avoir pourrait banque telle ou telle que tence

l’appé- priori a évaluer pour actuelle complexité la illustrent contrastés éléments ces de L’ensemble attendues.

aeetictn e aqe bei e oue motnsd lxpu élsrlséooisd’échelle économies les réaliser pour flux de importants volumes des obtenir à banques les incitent paiement à

e netseet acie orcntur evrtbe usines véritables de construire pour bancaires investissements les contrario, A flux. de d’offres appels seuls

.Cransbnusotanioééu eetaesrlscinspicpu trdietlu éos aux réponse leur réduisent et principaux clients les sur recentrage un opéré ainsi ont banques Certaines 8.

osiu nrsu uel otéaure ovi.Dpi 09notamment, 2009 Depuis couvrir. et évaluer doit qu’elle risque un constitue

ucpil epsrngtvmn u ’no ’ur essobjectifs ses de l’autre ou l’un sur négativement peser de susceptible

notmsn e hre ets.Tu élément Tout nettes). charges les optimisant en i.e. ( coût moindre au

éesieetêr oiie.LAec otvilràraie et gestion cette réaliser à veiller doit L’Agence positive). être nécessairement

ine nraiain(uju eju,l oiind opeuiu doit unique compte du position la jour, le jour (au réalisation en et sion

arsa epc e naeet iacesd éiegnrl nprévi- en général, régime du financiers engagements des respect au saires

’gnedi aatr usi ’n né,lsfnneet néces- financements les année, d’une sein au garantir, doit L’Agence

elAec otmdfé nprofondeur en modifiés sont l’Agence de

.Lsrsusqipsn u agsind trésorerie de gestion la sur pèsent qui risques Les B.

incosat essfnneet tàl atied e iqe ». risques ses de maîtrise la à et financements ses de croissante tion

ilaat tdsotl ecnrl nensaporé adésintermédia- la à appropriés internes contrôle de outils des et adapté tiel

éest epéie asrtgefnnir,d edtrdu ar pruden- cadre d’un doter se de financière, stratégie la préciser de nécessité

elqiié ecnttipiu lser vltospu ’CS : l’ACOSS pour évolutions plusieurs implique constat Ce liquidité. de «la

rnfr asfd iqe eslAec,ntmete air erisque de matière en notamment l’Agence, vers risques de massif transfert 108

assnrpotd etmr 01srl éuiéscae olgele souligne sociale, Sécurité la sur 2011 septembre de rapport son dans

etàlaprto enueu iqe ée.L ordscomptes, des Cour La gérer. à risques nouveaux de l’apparition à ment

otanifiefc urnocmn e iqe rcdnsmi égale- mais précédents risques des renforcement au face faire ainsi doit

eisacmann ’ntasetipratd iqevr ’gne qui l’Agence, vers risque du important transfert d’un s’accompagnant ceci

advriiaine adsnemdainotééacnue eus2010, depuis accentuées été ont désintermédiation la et diversification La

el rsrred ’CS eus20 ’ncietdn econtexte. ce dans s’inscrivent 2007 depuis l’ACOSS de trésorerie la de

e vltosdsmdsd financement de modes des évolutions Les iacmn el’ACOSS. de financement

e vltosd otxeipcetlsmdltsde modalités les impactent contexte de évolutions Ces

tdn èelsflux) les gère donc et .

8

aqecin tn ovn lbl l aqeacrelsfinancements les accorde banque (la globale souvent étant banque-client

ilus nle xseetelsapcsd iacmn td lx arelation la flux, de et financement de aspects les entre existe lien un ailleurs,

EA etretlu oèeéooiu néiu u et ciié Par activité. cette sur antérieur économique modèle leur perturbent SEPA) iee ur elepc nqeerpe e oesd aeet– paiement de moyens des européen unique l’espace de œuvre en mise rencontres

ensei énesrlsmyn epimn)e nutile (la industrielles et paiement) de moyens les sur péenne

g nemen aqe,lséouin élmnars(adrcieeuro- directive (la réglementaires évolutions les banques,

t

otusd iqe nmtèed iudt orles pour liquidité de matière en risques de porteurs g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE rieetd lxetéaeetipcé e lxsont flux les : impactée également est flux de traitement

LES ÉVOLUTIONS LES

ac udl e set efnneet ’ciiéde l’activité financement, de aspects des Au-delà t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

or nrîeau mrn orsodn tdscagside.Le indues. charges des et correspondant emprunt un entraînera jours

preepen a eeoru lxdecismn edn plusieurs pendant d’encaissement flux un recevoir pas ne exemple (par

osqec iacèepu tesgiiaies adfilnes prolonge se défaillance la si significative être peut financière conséquence

inengtv,mi otarmn ursu ergeetlvasn la règlement/livraison, de risque au contrairement mais négative, dienne

noe acnéunepicpl vtrcnen apsto quoti- position la concerne éviter à principale conséquence la encore,

Là vclsOSe e RSF ersu econtrepartie. de risque le : URSSAF) les et OSS les avec

i uleq’lesi srlsmrhs vclspartenaires, les avec marchés, les (sur soit qu’elle quelle tie

ipsrd aae ncsd éalac ’n contrepar- d’une défaillance de cas en parades de Disposer ●

inréel. bien

et abemi ersu edbtd opeuiu s un lui à quant est unique compte du débit de risque le mais faible reste

’matfinancier L’impact aqe):l iqed règlement/livraison. de risque le : banques)

er)dsfnsotnssrlsmrhs(uapè de auprès (ou marchés les sur obtenus fonds des heure)

sue aprat irio e otn,e aevieen voire date en montant, (en livraison parfaite la Assurer ●

donnée.

rue ’nérlt e otnspu ovi e eon n date une à besoins les couvrir pour montants des l’intégralité trouver

e acé iacesapè ’netser,l iqeeit en pas ne de existe risque le d’investisseurs, auprès financiers marchés les

iacmnsd ’gnesn beu oruepr motnesur importante part une pour obtenus sont l’Agence de financements

uléa ora fiild aRpbiu rnas) è osqeles que lors Dès française). République la de officiel Journal au publié

’dniiain amsr,l eto tl otôed iqed iudt » liquidité de risque du contrôle le et gestion la mesure, la l’identification,

iée ncû asnal c.«Art u5mi20 eai à relatif 2009 mai 5 du Arrêté « (cf. » raisonnable coût un à et miné

n oiine asnd astaind acé asu éa déter- délai un dans « marché, du situation la de raison en position une

aeàsseggmnso en a ovi éoe ucompenser ou dénouer pouvoir pas ne de ou engagements ses à face

109

ersu elqiiéetdfn om ersu en a ovi faire pouvoir pas ne de risque le comme défini est liquidité de risque Le

’gnecri mlqeàfi nrsu edbte nrsu financier. risque un et débit de risque un fois à implique il car l’Agence

epitetpriuirmn motn pour important particulièrement est point Ce iqed liquidité. de risque

bei e iacmnssrlsmrhsfnnir le : financiers marchés les sur financements les Obtenir ●

u matrin éaieetlscagsfnnirsannuelles. financières charges les négativement impacteraient qui

’C ndvssdietêr ovre aeaxvrain edevises de variations aux face couvertes être doivent devises en d’ECP

e émissions Les e hre iacèe ersu echange. de risque le : financières charges les

etaie ’matdsvrain ucusdsdvsssur devises des cours du variations des l’impact Neutraliser ●

os Euribor). mois, a–à12 Eoni – jour le jour du

u vltosd acub e axditrt(nnva te pente, en et niveau (en d’intérêt taux des courbe la de évolutions aux

’mrn nhné e hre iacèe nule otsensibles sont annuelles financières charges les inchangé, d’emprunt

neft oru profil un pour effet, En hre iacèe ersu etaux. de risque le : financières charges

atie ’matd ’vlto e axditrtsrles sur d’intérêt taux des l’évolution de l’impact Maîtriser ●

rencontres ensei : objectifs plusieurs à renvoient

g nemen risque de évolutions les synthétique, manière De

t

g risques. nouveaux est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE nin eei lsagse otéaeetitge de intégrer également doit et aigus plus devenir anciens

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t risques ses voit commune trésorerie la de gestion la io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ecuetr dpé tpu etisnouveaux. certains pour et adaptés couverture de

ovaxrsus e iqe peln e ipstf etatmn et traitement de dispositifs des appellent risques Ces risques. nouveaux

mlqetpu ’gnedsrsusacespu iu tsrotde surtout et aigus plus anciens risques des l’Agence pour impliquent

iacmn aséaeetlacoseetdsfu iacescentralisés, financiers flux des l’accroissement également mais financement

laprî is lieetqelsfre vltosdsmdltsde modalités des évolutions fortes les que clairement ainsi apparaît Il

nééetd iiac supplémentaire. vigilance de élément un

eusidsesbe ’vlto rqet el élmnainconstitue réglementation la de fréquente L’évolution indispensable. requis

ascrsto uiiu elesml e prtoscntteu pré- un constitue opérations des l’ensemble de juridique sécurisation La

nrsu edscodsrcransoéain or nrsu elitige. de risque un voire opérations certaines sur désaccord de risque un

oteate elAec,l obed ovnin féets impliquent afférentes, conventions de nombre le l’Agence, de contreparties

eetd obedoéain tdsmnat,l utpiaindes multiplication la montants, des et d’opérations nombre du sement

L’accrois- in trdiel iqed iie:l iqejuridique. risque le : litige de risque le réduire et tions

aatrl ofriéjrdqed ’nebedsopéra- des l’ensemble de juridique conformité la Garantir ●

iuto s éalerpdmn)u matfinancier. impact un rapidement) rétablie est situation

etuepsto lbl éirc tdn n euemide(ila (si moindre mesure une dans et débitrice globale position une ment

u etipiuressentielle- impliquer peut qui prto ersu opérationnel risque le : opération

éur epu osbelsrsusd o élsto d’une réalisation non de risques les possible plus le Réduire ●

edbtitaorairsu en epnltsds2013. dès pénalités de peine sous intrajournalier débit de

110

vcl D,lAec otvilràn a éasrcranslimites certaines dépasser pas ne à veiller doit l’Agence CDC, la avec

iuto s lsdlct u a epsé ass ovleconvention nouvelle sa Dans passé. le par que délicate plus est situation

eud otxepu otagatsrl iudt e aqe cette banques des liquidité la sur contraignant plus contexte du tenu

apsto lbl etdn tedbtieqeqe ers Compte heures. quelques débitrice être donc peut globale position la

rgesvmn asl oré.Lsjusdéhac eprestations, de d’échéance jours Les journée. la dans progressivement

vcdspettosdbte ô emtne e esucsqiarrivent qui ressources des et matin le tôt débitées prestations des avec

tutrleetl éiegnrlfonctionne général régime le Structurellement orairexcessif. journalier

éaseet apolmtqed iqed éi intra- débit de risque du problématique la : décaissements

ele ipsrdsecismnsa lspè des près plus au encaissements des disposer à Veiller ●

sement.

tds«eputus»rdiotàletêetu iqed o rembour- non de risque tout l’extrême à réduiront » emprunteurs « des et

emnèeefcieàléé21 tl auedsaacsd trésorerie de avances des nature la et 2012 l’été à effective manière de

r.L 2--) eedn et osblt ’ti a iee œuvre en mise pas n’était possibilité cette Cependant 225-1-4). L. art. ersu edfu asléetaiédu rdt(rv a e ets– textes les par (prévu crédit d’un l’éventualité dans défaut de risque le rencontres

ensei ir el pèescae ledvataniappréhender ainsi devrait Elle sociale. sphère la de tiers

g nemen etie odtos e vne etéoei des à trésorerie de avances des conditions, certaines

t

aLS 02(r.3)d acpct codr sous accorder, à capacité la de 31) (art. 2012 LFSS la g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE eprêt de ’gnedsoedepuis dispose L’Agence rsu ecrédit). de (risque

LES ÉVOLUTIONS LES

ac iqed oteatecnen glmn e activités les également concerne contrepartie de risque t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

iie u otlojtduesrelac permanente. surveillance d’une l’objet font qui limites

msin.()C obepicp s copgéprl iainde fixation la par accompagné est principe double Ce (2) émissions.

eTNae adul oiu efatonmn td isg des lissage de et fractionnement de logique double la avec TCN de

1 amdlt rmèernoeàléouind agsindsémissions des gestion la de l’évolution à renvoie première modalité La (1)

eans osiu npitmju el oiiu ersu el’Agence. de risque de politique la de majeur point un constitue semaines,

agsinatv ursu elqiié uju eju quelques à jour le jour du liquidité, de risque du active gestion La ●

’lrismn u irsCADES... titres aux l’élargissement

nœved esoslvéssrtte ’ttfaçi t n2012, en et, français d’État titres sur livrées pensions de œuvre en

rne acpct orl AE esuciedsB CS,l mise la ACOSS, BT des souscrire de CADES la pour capacité la France,

inAOSCC ’uetr ’ncmt acieàl aqede Banque la à bancaire compte d’un l’ouverture ACOSS/CDC, tion

i etaesn éeops:lsicttose ntuet el conven- la de instruments et incitations les : développés sont centrale rie

enueu ntuet tmdltsefcie egsind atrésore- la de gestion de effectives modalités et instruments nouveaux De ●

e ntne nensd ovrac idoines. gouvernance de internes instances les

e inae ’r.3 el FS21) leaéaeetmse place en mis également a Elle 2012). LFSS la de 31 l’art. avec lien (en

eto e iqe or21 tl rnmtaxmnsèe eTutelles de ministères aux transmet la et 2012 pour risques des gestion

uels ’gneéaoel oiiu efnneet lcmn et placement financement, de politique la élabore L’Agence Tutelles.

aguenneetacu ate nen uae e iitrsde ministères les qu’avec interne en tant accrue est gouvernance La ●

ir etaié,lAOSdvlped ovaxdsoiis: dispositifs nouveaux de développe l’ACOSS centralisés, ciers

oaié efnneet tàlagetto e lxfinan- flux des l’augmentation à et financements de modalités

oracmanrléouindsrsusascé aux associés risques des l’évolution accompagner Pour

eetd rnmtr nrpota Parlement. au rapport un transmettre de nement

ielolgto ’nadtane ursu elqiiépretn ugouver- au permettant liquidité de risque du annuel audit d’un l’obligation fixe

111

n ovrac credsapcsfnnir tdn ecsd l’ACOSS, de cas le dans et financiers aspects des accrue gouvernance une

iédaatrl eto e iqe.Efn aLS 02(r.3)implique 31) (art. 2012 LFSS la Enfin, risques. des gestion la d’adapter sité

adtescaee olgel rnfr ersu eslAOSe anéces- la et l’ACOSS vers risque de transfert le souligne et sociale dette la

ope u aScrt oil osceu hptea iacmn de financement au chapitre un consacre sociale Sécurité la sur comptes

ecsrsusfnnir.E 01 erpotane el ordes Cour la de annuel rapport le 2011, En financiers. risques ces de

n ateiprat u agsindsrsuse ’betfd couverture de l’objectif et risques des gestion la sur importante partie une

o oe iace.L ovninAOSCCsgé i 00comprend 2010 fin signée ACOSS-CDC convention La financier. volet son

00fi n atiprat amirs e iqe,ntmetpour notamment risques, des maitrise la à importante part une fait 2010

u evltfnnir anuel O elAOSeté nvgerdès vigueur en entrée l’ACOSS de COG nouvelle La financier. volet le sur

iso oréaoe epa efnneet21 tpéae aCOG la préparer et 2010 financement de plan le élaborer pour mission

’npcingnrl e iacsamse vn epitlr esa de lors point ce avant en mis a finances des générale l’inspection

è 2009, Dès igotqé aieete a lser acteurs. plusieurs par et rapidement diagnostiquée ancsiéd ar vle agsindsrsusfut risques des gestion la évoluer faire de nécessité La

rencontres

ensei egsind e risques ces de gestion de

g nemen éeop nesml edispositifs de ensemble un développe

t

g sociale, Sécurité de est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ettlee e organismes les et tutelle de

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t autorités les avec lien en L’ACOSS, C. io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

u agsind atéoei elAec otl eto e risques. des gestion la dont l’Agence de trésorerie la de gestion la sur hoc

ad missions des également effectue Cour La direct. recouvrement le

t éls u atéoei nUSA tsrl rsrrecnrl et centrale trésorerie la sur et URSSAF en trésorerie la sur réalisé été a

e ope 01 nadtd otôeitresrl oan financier domaine le sur interne contrôle du audit un 2011, comptes des

ipstf ecnrl nen.Dn ecded ’xried certification de l’exercice de cadre le Dans interne. contrôle de dispositifs

1 aCu e ope cod n teto ot atclèeaux particulière toute attention une accorde comptes des Cour La (1)

eléa e iu e iqe tdséouin conduire. à évolutions des et risques des lieux des l’état de

’cer emtatanid ipsrduevso enrichie vision d’une disposer de ainsi permettant d’acteurs

e otôe xenssn élsspruepluralité une par réalisés sont externes contrôles Les ●

om tn énon l’étude. à néanmoins étant norme

utden s aneu n21 t21,léouinvr n nouvelle une vers l’évolution 2011, et 2010 en maintenue est quotidienne

a ’CS s éeop.L etfcto S 01d agestion la de 9001 ISO certification La développé. est l’ACOSS par

iee ur.L otôeitred ’ciiéd eoveetdirect recouvrement de l’activité de interne contrôle Le œuvre. en mise

apltqed eto ersu tlsmdltse ntuet esa de instruments et modalités les et risque de gestion de politique la

eetcteéouin aguenneitreetaate is que ainsi adaptée, est interne gouvernance La évolution. cette nement

asl O 0021.L eto e iqe iacesitgeplei- intègre financiers risques des gestion La 2010-2013. COG la dans

atiedsrsus nle vclsojcisfxsdn edomaine ce dans fixés objectifs les avec lien en risques, des maîtrise

otdvlpeet ’gneéedfreetl otôeitree la et interne contrôle le fortement étend L’Agence développement. fort

e éace ecnrl e iqe,itre tetre,sn en sont externes, et internes risques, des contrôle de démarches Les ●

nationales.

iacèe(N)a end ’gnee inéri vclsCaisses les avec étroit lien en l’Agence de sein au (MNF) Financière

élt ope e21 vcl raind aMsinNationale Mission la de création la avec 2011 de compter à réalité

112

O 0021 elAec rvyi et vlto u ein une devient qui évolution cette prévoyait l’Agence de 2010-2013 COG

ocidsesbed ioe td otôe et eainbnar.La bancaire. relation cette contrôler de et piloter de indispensable donc

ietmn enva ecran iqe orl éiegnrl lest Il général. régime le pour risques certains de niveau le directement

aine efnneet.L ult el eainbnar impacte bancaire relation la de qualité La financement). de et tation

ééa suetl iclto e 00mlirsdersd lx(d’exploi- flux de d’euros milliards 2000 des circulation la assurent général

unva urgm ééa.Ls1 atnie acie urégime du bancaires partenaires 15 Les général. régime du niveau au

ams nœvedu ioaee ’n eto el eainbancaire relation la de gestion d’une et pilotage d’un œuvre en mise La ●

iacèed e cagspu ergm général. régime le pour échanges ces de financière

cage tprl éeopmn e ipstf iatl neutralité la visant dispositifs des développement le par et échangées

ovnineetd e lxqiatitpè e9 e masses des % 97 de près atteint qui flux ces de conventionnement

0 ilad ’uo n21)ntmetprl ééaiaindu généralisation la par notamment 2011) en d’euros milliards 200

apusied ascrsto e lxéhné usèe(rsde (près siège au échangés flux des sécurisation la de poursuite La ●

ecrut iacese ’nomto cohérents. d’information et financiers circuits de e lxfnnir tlspéiin féets eidn nensemble un dans ceci afférentes, prévisions les et financiers flux les rencontres

ensei atbsi u e raimsgrn upu près plus au gèrent organismes les que besoin nant

g nemen el eto etae:lAec lsecr mainte- encore plus a l’Agence : centrale gestion la de

t

td eto ersu apohn agsine locale en gestion la rapprochent risque de gestion de et g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE ’xliain e ovle oaié efinancement de modalités nouvelles Les d’exploitation.

LES ÉVOLUTIONS LES

ac

npltg tuegsinrnocsdsfu financiers flux des renforcés gestion une et pilotage Un t io ● n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

s néiueaxcûsdsemprunts. des coûts aux inférieure est

a e odscuat rdtusprosiprat otl rémunération la dont importants parfois créditeurs courants soldes des par fine in traduisent se qui sécurité

e uéisos acuetr e nettdssrlsfu USA,OS ir.. mlqedsmre de marges des implique tiers...) OSS, (URSSAF, flux les sur incertitudes des couverture la surémissions, des

na oruermnrto néiue apltqed isg td rcineetdséisosimplique émissions des fractionnement de et lissage de politique La inférieure. rémunération une pour an un à

.Àttedeepe ecmt escusàl D mlqeleputprlAOSd 0 ilosd’euros millions 500 de l’ACOSS par l’emprunt implique CDC la à secours de compte le d’exemple, titre À 9.

éàdcde tl éuto e eon efnneetd régime du financement de besoins des réduction la et décidées déjà

et oil oteprlAOS e rgamsdsrpie edette de reprises des programmes Les l’ACOSS. par portée sociale dette

’né 00dvatrse xetonlecnenn apr ela de part la concernant exceptionnelle rester devrait 2010 L’année

*****

e risques. ces

asl ar el éacegnrl ’dpaind amîrs des maîtrise la de d’adaptation générale démarche la de cadre le dans

esucshmie.LAOSvil atie e lmnsd coûts de éléments ces maitriser à veille L’ACOSS humaines. ressources

’ui xen elqiié,dsivsismnsifraiuse des et informatiques investissements des liquidité), de externe l’audit

e ugt orlspettosetre biaors(a exemple (par obligatoires externes prestations les pour budgets des

amîrs e iqe mlqel oiiaind esucsmlils: multiples ressources de mobilisation la implique risques des maîtrise la

rnfr ersu pr utu eus21 t21.Laatto de L’adaptation 2011. et 2010 depuis surtout opéré risque de transfert

upré a ergm ééa ufi du fait du général régime le par supportés et ecû financier coût de ments

9

e ipstf egsindsrsuscmotn e élé- des comportent risques des gestion de dispositifs Les sociale.

’CS aséaeetdn e raimsd Sécurité de organismes les dans également mais l’ACOSS

iqe,ipiu e netseet u otàlœveà l’œuvre à sont qui investissements des implique risques,

’dpaindspltqe tdsoiisd eto des gestion de dispositifs et politiques des L’adaptation

113

recommandations.

eus20,lsnttosd ’CS ’n a t sote etelles de assorties été pas n’ont l’ACOSS de notations les 2006, Depuis

escus( aku )pu e otnssgiiaise coûteux. et significatifs montants des pour ») up back (« secours de

mne eomne ams npaed insd financement de lignes de place en mise la recommander à amenées

ac e ipstf egsindsrsus e gne evn être peuvent agences les risques, des gestion de dispositifs des sance

eetlsrsusd iudt,d èlmn/irio.E a d’insuffi- cas En règlement/livraison. de liquidité, de risques les rement

éhdlge ecsaecslscnusn eadrtu particuliè- tout regarder à conduisent les agences ces de méthodologies

ovblt on rgat ordsporme ecuttre les terme, court de programmes des pour prégnante moins solvabilité

tSP(eus21 orctedrir) udl el usind la de question la de Au-delà dernière). cette pour 2010 (depuis S&P et

s oms,etemr tji,àleae e gne ic,Moodys Fitch, agences des l’examen à juin, et mars entre soumise, est

netser u osrvn e To C elAOS is,l’ACOSS Ainsi, l’ACOSS. de ECP ou BT des souscrivent qui investisseurs

u èetsrlAec ucpil ’nrîe e iqe orles pour risques des d’entraîner susceptible l’Agence sur pèsent qui

n21.()Lsaecsd oainéaun hqeanelsrisques les année chaque évaluent notation de agences Les (3) 2012. en rencontres œuvre en mises l’essentiel pour seront qui recommandations des à lieu

ensei aie pcaiéadj t éls n21,donnant 2011, en réalisé été déjà a spécialisé cabinet

g nemen nrpota almn u epit nadtprun par audit Un point. ce sur parlement au rapport un

t

g transmettre de gouvernement au permettre de afin dité est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE a ’CS ’nadtetred o iqed liqui- de risque son de externe audit d’un l’ACOSS par

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t réalisation la prévoit 139-5) L. (art. 2012 LFSS La (2) io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ore:ACOSS. : Source

’n nuaind et elÉa vccmecnrpri n nuaind ilt etrésorerie. de billets de annulation une contrepartie comme avec l’État de dette de annulation d’une

td ’vnulerpied et a ’tto aCDS n20 ls’agit il 2007 En CADES. la ou l’État par dette de reprise l’éventuelle de et – ACOSS compte le sur opérés

esrrî lérqedsecismns(osrpied et)srlstirages les sur dette) de reprise (hors encaissements des algébrique surcroît le – trésorerie de variation la

oed etr esled opeAOSa 1dcmr éut es oiinu naprvn,de auparavant, an un position sa de résulte décembre 31 au ACOSS compte du solde le : lecture de Note

-70,0

solde compte Acoss au 31 décembre 31 au Acoss compte solde

Plafond de trésorerie de Plafond

-50,0 -49,5

reprise de dettes Cades dettes de reprise

Variation de trésorerie de Variation

-30,0

-24,1

-20,1

-18,2

-17,3

-15,9

-14,0

-12,5

-10,7 -10,0

-8,7 -8,1

-6,9

-5,6

-4,7 -3,8

-1,6

-1,1

-0,9 -0,3 0,1

2,3

3,4

5,0

5,7

10,0 6,6

10,0

13,3

16,8 17,0

20,9

30,0

35,0

50,0

65,3

70,0

1 2 2 2 1 1 2 1 2 2 2 1 2 1 2 2 2 1 2 1 1 1

0 9 0 0 9 9 0 0 0 9 0 9 9 9 0 0 0 9 0 0 9 9

1 0 9 1 0 0 9 9 0 0 0 9 0 9 9 0 9 0 9 0 9 9

1 5 7 3 4 0 8 7 6 5 6 9 3 2 9 4 8 1 0 2 1 0

od ucmt CS tpaodd’emprunt plafond et ACOSS compte du solde

rpiu i.Vraind rsrre ers edette, de reprise trésorerie, de Variation bis. 1 Graphique

114

Annexes

’nebe asqidi etre emnnee veille. en permanence en rester doit qui mais d’ensemble,

opeàc orlasned oticdn infctfdn edispositif le dans significatif incident tout de l’absence jour ce à compte

élyruegsindsrsusbacu lsscrse otrend dont sécurisée, plus beaucoup risques des gestion une déployer

iacèe vcntmetlAT tleprec cus emtetde permettent acquise l’expérience et l’AFT, notamment avec financières

et uan ttcnlgqe,lsclaoain ntttonllset institutionnellles collaborations les technologiques, et humains ments

tdEP;mblsto e rsrre oils ’ur atlsinvestisse- les part D’autre sociales. trésoreries des mobilisation ; d’ECP et

orl éid 0121 msind ilt etéoei a l’Agence par trésorerie de billets de émission ; 2011-2014 période la pour

i tdéetespêsdn ecded anuel ovninsignée convention nouvelle la de cadre le dans prêts d’éventuels et rie

am e utepsiiié pot el D vclslge etrésore- de lignes les avec CDC la de apports : possibilités quatre les parmi

emnèeotmseae nrsu tu otlspu abe possibles faibles plus les coût un et risque un avec optimisée manière de éomi ipnbe ordvriirlssucsd iacmn tchoisir et financement de sources les diversifier pour disponibles désormais rencontres

ensei oaeetrnueé.Duepr e ntuet sont instruments les part D’une renouvelée. totalement

g nemen asclec èedsrass rsrred manière de trésorerie sa désormais gère celle-ci Mais

t

oéec vclsmsin lsiusd l’Agence. de classiques missions les avec cohérence g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE vn iacmn infctvmn éut tmexen mieux et réduits significativement financement avant

LES ÉVOLUTIONS LES

ac ééa odietàdsdfct ucmt ACOSS compte du déficits des à conduisent général t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

115

Tirages M € € € 9Md 9Md 9Md à à à 8 8 8

M € € € 6Md 6Md 6Md

M € € € 4Md 4Md 4Md

• • Famille Famille Famille • • Famille Famille

• • • • Vieillesse Vieillesse Vieillesse Vieillesse Maladie Maladie • • • • Maladie Maladie Maladie Maladie

du mois du

Le 5 Le Jours Jours • • Le 25 25 Le Le Le 15 15 Le Le • • 9 9 Le Le • • • •

M € € € 3Md 3Md 3Md

• • Urssaf Urssaf URSSAF URSSAF • • • • Urssaf Urssaf Urssaf

rencontres ensei

g nemen

t Encaissements M € € € 8Md 8Md 8Md g est

i o n td décaissement de et

ac t d’encaissement échéances principales Les 3. Graphique io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é Réserves et engagements en répartition des régimes de retraites complémentaires AGIRC et ARRCO Philippe Goubeault Directeur financier de l’AGIRC et de l’ARRCO

Dans un contexte de contraintes démographiques, de crise écono- mique et de forte hausse de la dette publique, l’attention des participants, des bénéficiaires, et celle des Instances gestionnaires, se concentrent sur les conditions de pilotage et la capacité à faire face à leurs engagements des régimes obligatoires de retraite fonctionnant en répartition. Au-delà des interrogations majeures appelées par la tendance haus- 116 sière de la dette publique, relatives à l’ajustement de ces régimes de retraite, plus globalement à l’équilibre du modèle social, dans des perspectives de croissance économique modérée, deux questions suscitent des débats animés, la nécessité et la gestion des réserves techniques, l’information financière relative aux engagements des régimes.

I. Les réserves techniques des régimes

Selon le mode de fonctionnement en répartition d’un régime obliga- toire de retraite, les charges d’allocations versées dans un exercice sont directement financées par les ressources recouvrées dans le même exer- cice. La gestion consiste donc, période par période, à équilibrer les charges par les ressources. Ce système ne nécessite, en théorie, aucune accumulation de fonds, les retraites étant garanties, non pas par des provisions, mais par la perma- nence des ressources, et aussi par l’engagement moral des gestionnaires (Pouvoirs publics, Instances politiques, partenaires sociaux) de toujours maintenir des conditions d’équilibre financier n’entrant pas en contradiction avec la mission sociale du régime.

or em.L éuéaind arsred od erueeteten est roulement de fonds de réserve la de rémunération La terme. court

evn nr exéhacsdalctosfielojtd lcmn à placement de l’objet faire d’allocations échéances deux entre peuvent

elslslqiié,crepnataxctstosencaissées, cotisations aux correspondant liquidités, les Seules

racs(oiain eeor loain aésd’avance). payées allocations recevoir, à (cotisations créances

et éev ecmoed iudtse ’cisrpéettf de représentatifs d’actifs et liquidités de compose se réserve Cette

onr u ’crî esbeetl éev efnsd roulement. de fonds de réserve la sensiblement s’accroît que moindre

titéulbes iu,nnpsà10% asàu ieuifrer d’autant inférieur, niveau un à mais %, 100 à pas non situe, se équilibre strict

efnsd olmn.Hr rdisfnnir,l apr ecagsde charges de rapport le financiers, produits Hors roulement. de fonds de

e10% e xéet eataosaietrrglèeetl réserve la régulièrement alimenter alors venant excédents des %, 100 de

e hre ’loain,axrsore etsd éie,e dessous en régime), du nettes ressources aux d’allocations, charges des

ergm uvn nceieetd apr ecagsane (rapport annuel charges de rapport du cheminement un suivant régime le

agsindséulbe omneprcnéun econduire de conséquent par commande équilibres des gestion La

tdscagsd’allocations). charges des et

elusoéain éouine ocind aporsindsressources des progression la de fonction en (évolution opérations leurs de

lmne errsred od erueetqisi ’vlto uvolume du l’évolution suit qui roulement de fonds de réserve leur alimenter

e éie ovn ojusdsoe emyn ufsnspour suffisants moyens de disposer toujours doivent régimes Les

’qiir,e e6mi ectstospu nfntonmn trimestriel). fonctionnement un pour cotisations de mois 6 de et l’équilibre, à

ead(eloded osd oiain oru ocineetmensuel, fonctionnement un pour cotisations de mois 2 de l’ordre (de retard

’n éev efnsd olmn otl otn s ocind ce de fonction est montant le dont roulement de fonds de réserve d’une

araiaindsoéain ertat éest ocl détention la donc nécessite retraite de opérations des réalisation La

financent.

117

em cor e esucsotaniu eadsrlsdpne qu’elles dépenses les sur retard un ainsi ont ressources Les échoir. à terme

ildsctstos tefcun ovn e aeet ’loain à d’allocations paiements des souvent effectuent et cotisations) des tiel

e éie eovetlusrsore em cu(orl’essen- (pour échu terme à ressources leurs recouvrent régimes Les

.Lsrsre ehiusd od eroulement de fonds de techniques réserves Les A.

eqiipiu ’xsec ersre efinancement. de réserves de l’existence implique qui ce

’fete o a né a né,mi u e éidspluriannuelles, périodes des sur mais année, par année pas non s’effectue,

erueet tl eto e qiirsetecagse ressources et charges entre équilibres des gestion la et roulement, de

esucse epimn e erie éèetdsbsise fonds en besoins des génèrent retraites des paiement le et ressources

efntonmn,dsdclgsd ep nr ’naseetdes l’encaissement entre temps de décalages des fonctionnement, de

’vnr s n u elepi.Dn apaiu,siatlsmodalités les suivant pratique, la Dans l’esprit. de vue une est d’avenir,

u) ntléa ttonie ’yn a osqetpsd préoccupation de pas conséquent par n’ayant stationnaire, état tel Un nus). rencontres reve- des ou salaires des structure retraités, participants des celui à actifs

ensei rpiu,éa urpotd ’fetfdsparticipants des l’effectif de rapport au égal graphique,

g nemen in ocrésdvn tecntne rpotdémo- (rapport constantes être devant concernées tions

t

g popula- des caractéristiques les rigoureuses, très sont est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE titéulbefnnire el oéec urégime, du cohérence la de et financier équilibre strict

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t d’un permanence la de théoriques conditions Les io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

qiaet extiete d’activité. trimestres deux à équivalente

loain em cor arsred od erueetetdonc est roulement de fonds de réserve La échoir. à terme à allocations

éie,àtreéh,e fetettietileetl aeetdes paiement le trimestriellement effectuent et échu, terme à régimes,

olmn.Lsisiuin eovettietileetlsctstosdes cotisations les trimestriellement recouvrent institutions Les roulement.

otgrssprmn e od osiuisd arsred od de fonds de réserve la de constitutifs fonds des séparément gérés sont

erueet ’ci,lsfnsrpéettf el éev efinancement de réserve la de représentatifs fonds les l’actif, À roulement. de

ue upsi ubln arsred iacmn tl éev efonds de réserve la et financement de réserve la bilan, du passif au guées

ertat opéetie GR tARO exrsre otdistin- sont réserves deux ARRCO, et AGIRC complémentaires retraite de

eo epa opal e ntttosgsinarsdsrégimes des gestionnaires institutions des comptable plan le Selon

’nérlt elacoseetdsfnsmblsspu atrésorerie. la pour mobilisés fonds des l’accroissement de l’intégralité

xéetie ergm ’suesnéulbeqes o éuttcouvre résultat son si que équilibre son n’assure régime le excédentaire,

’nipnal lmnaind arsred od erueet npériode En roulement. de fonds de réserve la de alimentation l’indispensable

tetov orcmesrl éii ehiu urgm,aqe s’ajoute auquel régime, du technique déficit le compenser pour trouvé être

nproed ééulbe nfnneetcmlmnar doit complémentaire financement un déséquilibre, de période En

eto ehiu e prtosd retraite. de opérations des technique gestion

atpre u e iacmnsiprat tcnridefreetla fortement contraindre et importants financements des sur porter dant

é orl rsrre e eon nfnsd olmn evn cepen- peuvent roulement de fonds en besoins Les trésorerie. la pour sés

oamn nn osdrn a ’crismn nuldsatf mobili- actifs des annuel l’accroissement pas considérant ne en notamment

evlusanelsdsrsore tdscags élg ebilan, le néglige charges, des et ressources des annuelles valeurs de

iace,su ’carg usu oped éutte ’n projection d’une et résultat de compte seul du l’éclairage sous financier,

odied lxfnnir.L ehrh e odtosd l’équilibre de conditions des recherche La financiers. flux de conduite

118

ecnettcnqedu éieprrpriincnit nune en consiste répartition par régime d’un technique concept Le

nrneetfnnirtè abedsfnsmblsspu atrésorerie. la pour mobilisés fonds des faible très financier rendement un ●

’crismn e esucse e hre ; charges des et ressources des l’accroissement

n lmnainanel e od erueete ocinde fonction en roulement de fonds des annuelle alimentation une ●

e qiirsfnnir lranesd éie; régime du pluriannuels financiers équilibres des

ind otateepo,e a osqetidsoilspu agestion la pour indisponibles conséquent par et emploi, autre tout de sion

n éesiedtnind od,mblsspu atéoei,àl’exclu- à trésorerie, la pour mobilisés fonds, de détention nécessaire une ●

éie : régimes

ri otane éutn ocd yhed ocineetdes fonctionnement de rythme du donc résultent contraintes Trois

el éev efnsd roulement. de fonds de réserve la de otiun is u rsfilmn ufnneetd l’accroissement de financement au faiblement très que ainsi contribuent

rencontres oiié orl rsrredsoéain ertat ne retraite de opérations des trésorerie la pour mobilisés

ensei e rdisfnnir el eto e actifs des gestion la de financiers produits Les g nemen

t

trémunérés. et g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE e cisrpéettf ovin tecniûetplacés continûment être pouvaient représentatifs actifs les

LES ÉVOLUTIONS LES

ac osqec inifrer el u eatotnesi obtenue serait qui celle à inférieure bien conséquence t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

n éid ’ncrannmr ’nés ééaeetglissante. généralement d’années, nombre certain d’un période une

e prtosd eriee rjtn e esucse e hre sur charges ses et ressources ses projetant en retraite de opérations ses

u ecnrbtosdspriiat cise elusepoer,pilote employeurs, leurs de et actifs participants des contributions de tué

nrgm otiui,dn efnneetetpu ’sete consti- l’essentiel pour est financement le dont contributif, régime Un

acmlto ucnomto ncsd éid éiiar transitoire). déficitaire période de cas en consommation ou (accumulation

et nèr ocl aito ecsrsre u n éid pluriannuelle période une sur réserves ces de variation la donc intègre ment,

xml nlsaedn etmsdsdsoiin rsspu erajuste- leur pour prises dispositions des temps le dans lissage un exemple

éie(ieudsalctos axd oiain g el erie,par retraite), la de âge cotisation, de taux allocations, des (niveau régime

lser nés adtriaindsprmte efntonmn du fonctionnement de paramètres des détermination La années. plusieurs

ir ’lmn eléuto ’qiir e prtosd eriesur retraite de opérations des d’équilibre l’équation de d’élément titre à

e éevsd iacmn evn glmn teconstituées être également peuvent financement de réserves Des

ecnrbe ergnrrprssporspout financiers. produits propres ses par régénérer se à contribuer de

s emnatiprat lsel ecpct,arsu prélèvement, un après capacité, de a elle plus important, montant de est

éos cetfqenajmi t one eedn,pu n réserve une plus Cependant, donnée. été jamais n’a scientifique réponse

’mltd eaieetmriae aqeto elu ieu aucune niveau, leur de question la À marginale. relativement d’amplitude

od otdsié ovi e aqe efnneettemporaires, financement de manques des couvrir à destinés sont fonds

etrainipéu,ntmetlsfutain el ojntr.Ces conjoncture. la de fluctuations les notamment imprévue, perturbation

otéatetepéiine éuttcntt,e ors rmnrd toute de prémunir se pour et constaté, résultat et prévision entre écart tout

ovn ocdsoe efns ir evln escrt,pu pallier pour sécurité, de volant de titre à fonds, de disposer donc doivent

éls né a né.Lsrgmsolgtie ertat a répartition par retraite de obligatoires régimes Les année. par année réalisé

’qiir nr hre trsore epu npaiu être pratique en peut ne ressources et charges entre L’équilibre

119

.Lsrsre ehiusd financement de techniques réserves Les B.

lranel e régimes. des pluriannuelle

eotafcésàl éev efnneetdsoil orl gestion la pour disponible financement de réserve la à affectées seront

is iéésàfn21,du otn lbletm 0mlirsd’euros, milliards 10 à estimé global montant d’un 2013, fin à libérées ainsi

’ntes enva e od oiié orl rsrre e liquidités Les trésorerie. la pour mobilisés fonds des niveau le tiers, d’un

nuledsfnsd olmn,e éur ntnaéet également instantanément, réduira et roulement, de fonds des annuelle

uvne ’nio ntes( ossr6 acnrit d’alimentation contrainte la 6) sur mois (2 tiers un d’environ suivantes

et esaiaindsalctosdmneapu otslsannées les toutes pour diminuera allocations des mensualisation Cette

ave 2014. janvier rmsre e loain npimn ese fe u1 du effet à mensuel paiement un à allocations des trimestriel

er

ocineetdsrgmsAICe RC npsatdu paiement d’un passant en ARRCO et AGIRC régimes des fonctionnement

erie e atnie oiu n éiéd acucrl yhede rythme le raccourcir de décidé ont sociaux partenaires les retraite, rencontres de opérations des trésorerie la à liées contraintes les réduire Pour

ensei od s ocd ’rr umlir ’uo a an. par d’euros milliard du l’ordre de donc est fonds

g nemen ot1, ilad edsoiiié.Laietto des L’alimentation disponibilités. de milliards 16,1 dont

t

g d’euros milliards 35 à 2011 décembre 31 au s’élevait est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ipstfd eriecmlmnar GR tARRCO et AGIRC complémentaire retraite de dispositif

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t du roulement de fonds des global montant Le io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

uéiue er otane epsi orsodn e horizons des à correspondant passif de contraintes leurs à supérieures

e éie GR tAROdsoetd éevstechniques réserves de disposent ARRCO et AGIRC régimes Les

otleftpennitrinr ue 2017. qu’en n’interviendra plein l’effet dont

erlvmn rgesfd 0à6 n elâed éatàl retraite, la à départ de l’âge de ans 62 à 60 de progressif relèvement le

éiiar tl etr infctvmn aslspohie nés malgré années, prochaines les dans significativement restera le et déficitaire

edsoii ertatscmlmnarsAICe RC est ARRCO et AGIRC complémentaires retraites de dispositif Le

naéuto vccscnritsd passif. de contraintes ces avec adéquation en

u eamblsedn aproe tl éiiinduealcto d’actifs allocation d’une définition la et période, la dans mobilisée sera qui

esbe orl éemnto unva culd apr e réserves des part la de actuel niveau du détermination la pour pensables

’cénirpoal e éivsismnssn e nomtosindis- informations des sont désinvestissements des probable l’échéancier

u otane epsi urgm.L obedane osdr et considéré d’années nombre Le régime. du passif de contraintes aux

éid n siaind apr e éevsdtne u répondra qui détenues réserves des part la de estimation une période

eet uuspoals aclee aeratel,dnepu cette pour donne actuelle, valeur en calculée probables, futurs sements

orueproeàvnrdfctie ’vlaindsfu edésinvestis- de flux des l’évaluation déficitaire, venir à période une Pour

cisfnnir is cuué,srote hs edésinvestissement. de phase en surtout accumulés, ainsi financiers actifs

n e ifclé elu eto s adfnto elalcto des l’allocation de définition la est gestion leur de difficultés des Une

et asdscnritse éestsd acnut urégime. du conduite la de nécessités et contraintes des mais ment,

o a ’n rs epsto nfvu etlo e oed finance- de mode tel ou tel de faveur en position de prise d’une pas non

urgm,n ersnetacneggmn ertat.Elsrésultent, Elles retraite. de engagement aucun représentent ne régime, du

e éevstcnqe,ééetd ’qaindéulbepluriannuel d’équilibre l’équation de élément techniques, réserves Les

etpu aproesuivante. période la pour ment

120 otcrepnr nmite ecniin omlsd fonctionne- de normales conditions de maintien un à correspondre doit

lsln em.L ieudsrsre nfnd éid,notamment, période, de fin en réserves des niveau Le terme. long plus

’su el éid epoeto,a udéue rsetvsde prospectives d’études vu au projection, de période la de l’issue à

e etonie urgm ovn ojustnrcmt el situation la de compte tenir toujours doivent régime du gestionnaires Les ●

’nest e otane uqelsl éiesr soumis. sera régime le auxquelles contraintes des l’intensité

orcnéune ncml u lser nés emasquer de années, plusieurs sur cumulé en conséquence, pour a

ot xrplto u abs ’n yohs ecosac exagérée, croissance de hypothèse d’une base la sur extrapolation Toute

cnmqe e aars s rsfvrbeàl odiedu régime. d’un conduite la à favorable très est salaires) les économique,

n xaso otne(éorpiu,lefci e oiat,ou cotisants, des l’effectif (démographique, soutenue expansion Une

a rdne e yohssd risnedietêr modérées. être doivent croissance de hypothèses les prudence, Par ●

e aaèrsd fonctionnement. de paramètres des

e1 n,lspoetosnotpu ur esgiiainpu afixation la pour signification de guère plus n’ont projections les ans, 10 de

aproepuinulertnedi terltvmn ore Au-delà courte. relativement être doit retenue pluriannuelle période La

● e rnie uvnspéietàcspoetos: projections ces à président suivants principes Les rencontres

ensei epériode. de

g nemen osqetlsnvaxpéiinesd éevse fin en réserves de prévisionnels niveaux les conséquent

t

iacèed éie osdféetshptèe,e par et hypothèses, différentes sous régime, du financière g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE e éevs érvn e vltosd asituation la de évolutions les décrivent réserves, des

LES ÉVOLUTIONS LES

ac e rjcin,tnn opedu ieuinitial niveau d’un compte tenant projections, Ces t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

fication.

e yohsséooiuse iacèe u nsu-edn aspéci- la sous-tendent en qui financières et économiques hypothèses les

inpltqeiprat,prlapéito ursu uel mlqe et implique, qu’elle risque du l’appréciation par importante, politique sion

’loainsrtgqedatf opre inetnu n dimen- une entendu, bien comporte, d’actifs stratégique L’allocation

aer oiirsrpéettfd asrt emynln terme. moyen-long de strate la de représentatif mobilières valeurs

loaind ééec orloinaind agsind otfulede portefeuille du gestion la de l’orientation pour référence de allocation

s n ééec.LsIsacsdsdu éie n ofrécette confirmé ont régimes deux des Instances Les référence. une est

etu,rtneprlscmisosfnnirsd ’GR td l’ARRCO, de et l’AGIRC de financières commissions les par retenue taux, de

e gr,loinainsrtgqe 0%atose 0%produits % 70 et actions % 30 stratégique, l’orientation égard, cet À

rtqeosré u lser nése on n etieappréhension. certaine une donne en années plusieurs sur observée pratique

ursu e ntne urgm.El s ifclmn uniibe asla mais quantifiable, difficilement est Elle régime. du Instances des risque au

adfnto elalcto ’cissrtgqedpn el tolérance la de dépend stratégique d’actifs l’allocation de définition La

etprrfrneàuedurée. une à référence par ment

’uo.Pu et tae acntuto upreeil s at implicite- faite est portefeuille du construction la strate, cette Pour d’euros.

tmyntre o otn ’lvi u3 éebe21 2milliards 42 à 2011 décembre 31 au s’élevait montant Son terme. moyen et

xèel otn oa,e aeratel,dsatf oiié court à mobilisés actifs des actuelle, valeur en total, montant le excède

06 ersnel atdsfnsdtnsqi nvlu emarché, de valeur en qui, détenus fonds des part la représente 2016) 121

n riim taed oe-ogtre(éidsa-eàde au-delà (périodes terme moyen-long de strate troisième Une

néchéancier. un

osrcind otfuledvaêr xlctmn at a ééec à référence par faite explicitement être devra portefeuille du construction

’nio 0mlirsders ’ci,cmepu apeir tae la strate, première la pour comme l’actif, À d’euros. milliards 10 d’environ

elapr el esaiaind aeetdsalctos ’nmontant d’un allocations, des paiement du mensualisation la de l’apport de

éivsismns lesr osiuee éebe21,a moyen au 2013, décembre en constituée sera Elle désinvestissements.

06,crepn glmn,pu aproe avlu culedes actuelle valeur la à période, la pour également, correspond 2016),

n exèesrt emyntre(éid renl e21 à 2014 de triennale (période terme moyen de strate deuxième Une

occntutprrfrneepiieàléhace e ote efonds. de sorties des l’échéancier à explicite référence par construit donc

e éivsismns epreeil biaar orsodn est correspondant obligataire portefeuille Le désinvestissements. ces à

1dcmr 01 ore sue adsoiiié ’ci t adossé été a l’actif disponibilité, la assurer en Pour 2011. décembre 31

fete asl éid,aééetmeà1 ilad ’uo au d’euros milliards 10 à estimée été a période, la dans effectuer à

rencontres désinvestissements des actuelle valeur la à égal montant d’un 2013), ensei 2012- (période terme court de strate première Une

g nemen ocind ri éidsd eto successives. gestion de périodes trois de fonction

t

g en réserves des stratification une sur portant actif-passif est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE eil lbladn uêr osriesiatueanalyse une suivant construite être pu donc a global feuille

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t porte- leur de stratégique L’allocation terme. moyen de io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

emnned iacmn s sué a o aatr obligatoire, caractère son par assurée est financement du permanence

nrgm biaor ertat ocinate éatto,dn la dont répartition, en fonctionnant retraite de obligatoire régime Un

naeet osbilan. hors engagements

’ncito aslanx u ope ’n nomto hfresrces sur chiffrée information d’une comptes aux l’annexe dans d’inscription

iacèe orsodne.Uepooiinantmetééexaminée, été notamment a proposition Une correspondantes. financières

e rvu ottuor ncus,srlercismn e informations des l’enrichissement sur cours), en toujours sont travaux les

e éasaié n t eé usi ’ngop etaal(dont travail de groupe d’un sein au menés été ont animés débats Des

indsCmtsPublics). Comptes des tion

asl ar e élxosnraie uCOP(osi eNormalisa- de (Conseil CNOCP du normatives réflexions des cadre le dans

éie biaorsd eriefntonn nrpriin t abordé été a répartition, en fonctionnant retraite de obligatoires régimes

etatmn opal e naeet ogeéhac des échéance longue à engagements des comptable traitement Le

epu obessitroain tprosdsinquiétudes. des parfois et interrogations nombreuses plus de

asu otxed rneicriue e naeet appellent engagements ces incertitude, grande de contexte un Dans

opéeso,pu e rsain elitieéchéance. lointaine de prestations des pour compréhension,

e ope el éuiéscaetetaxeggmnspi tàleur à et pris engagements aux tient sociale Sécurité la de comptes des

n e rniae ifclé eléalseete el’interprétation de et l’établissement de difficultés principales des Une

eetd retraite. de gement

te opsto elatf le erpéetn eedn uu enga- aucun cependant représentent ne Elles l’actif. de composition en et

’neeaxcmtsdsisiuin etonie urgm,e montant en régime, du gestionnaires institutions des comptes aux l’annexe

e éevstcnqe iuetbe ned ublne dans et bilan au entendu bien figurent techniques réserves Les

avgred hm el epnaiiéetèedsprearssociaux. partenaires des entière responsabilité la de champ du sauvegarde 122

otiuisAICe RC,dn agsinetprtie le otune sont elles paritaire, est gestion la dont ARRCO, et AGIRC contributifs

nipnalsa éiepu ’xried amsin orlsrégimes les Pour mission. sa de l’exercice pour régime au indispensables

e éevstcnqe efnneetcnttetlu e moyens des l’un constituent financement de techniques réserves Les

sue e odtosnrae efonctionnement. de normales conditions des assurer

éie er nérrl éest ’nnva ersre ufsn pour suffisant réserves de niveau d’un nécessité la intégrer devra régimes

prtosd erie udl elhrzn21,l ioaedsdeux des pilotage le 2017, l’horizon de Au-delà retraite. de opérations

ôecniéal asl eto éesieetpuinuled leurs de pluriannuelle nécessairement gestion la dans considérable rôle

0mlirsdersàfn21.Lsfnsanirijcé oetdn un donc jouent réinjectés ainsi fonds Les 2016. fin à d’euros milliards 30

er éevsd iacmn,dvatatideu otn elodede l’ordre de montant un atteindre devrait financement, de réserves leurs

06,l uu e rlvmnsraié a ’GR tlAROsur l’ARRCO et l’AGIRC par réalisés prélèvements des cumul le 2016), à

taed or em 21-03 td asrt emyntre(2014 terme moyen de strate la de et (2012-2013) terme court de strate

feté n20,21 t21,d amblsto rgesv ela de progressive mobilisation la de 2011, et 2010 2009, en effectués elane20.Cmt eudsdésinvestissements des tenu Compte 2009. l’année de

rencontres RC s nr nproed éii asl cours le dans déficit de période en entré est ARRCO ensei

g edsoii ertat opéetieAICet AGIRC complémentaire retraite de dispositif Le nemen t

g est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE tifrain financières informations et

LES ÉVOLUTIONS LES ac I Engagements II. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’n a esn cnmqe ercnasac edneataucun donnerait ne connaissance Leur économique. sens de pas n’ont

nvlusatelsd hre uue otsn odmn uiiu,et juridique, fondement sans sont futures charges de actuelles valeurs en

urgr el auedseggmnsd éie e chiffrages ces régime, du engagements des nature la de regard Au

ri ocpsàl éiiindueifraincomptable. information d’une définition la à pas donc drait

eaisaxcniin uue efntonmn urgm.El erépon- ne Elle régime. du fonctionnement de futures conditions aux relatifs

é osu rn obed exdhptèe,ntmetsrlschoix les sur notamment d’hypothèses, jeux de nombre grand un sous sée

ersore urgm.Uetleéauto opeepuri teréali- être pourrait complexe évaluation telle Une régime. du ressources de

eso elesml e lmnsftr ecags tprconséquent par et charges, de futurs éléments des l’ensemble de hension

et uniiaindseggmnsncsieate atueappré- une fait en nécessiterait engagements des quantification Cette

a capitalisation. par

lxd hre a e lxd esucs otarmn nsystème un à contrairement ressources, de flux les par charges de flux

odied éie,l eto ossatàéulbe asl ep les temps le dans équilibrer à consistant gestion la régime), du conduite

adtnind od erueete ’cisfnné erpotn la à rapportant se financés d’actifs et roulement de fonds de détention la

éatto otl ia s a osrcintè éut( ’xeto de l’exception (à réduit très construction par est bilan le dont répartition

opéeso el iuto iacèedu éiefntonn en fonctionnant régime d’un financière situation la de compréhension

e lmn,éuvln npsi,netpsd aueàaéirrla améliorer à nature de pas n’est passif, un à équivalent élément, Cet

otanri nclu evlu culepoal ecagsfutures. charges de probable actuelle valeur de calcul un à contraindrait

n vlaindeggmnsàl aed ltr e comptes des clôture de date la à d’engagements évaluation Une

e rsain eretraite. de prestations des

tdn almt e esucscletvmn oscésa financement au consacrées collectivement ressources des limite la dans et

éie a osqetd asldrt raié usi el collectivité la de sein au organisée solidarité la de conséquent par régime,

epré ua eadd ota olci ’rr uéiu om a le par formé supérieur d’ordre collectif contrat du regard qu’au portée de 123

e biain tlsdot e atcpnsnotdn esn et sens de donc n’ont participants des droits les et obligations Les

iace lbldfne a erégime. le par définies global financier

otl aoiainetcletv asndscniin el’équilibre de conditions des raison à collective est valorisation la dont

alqiaind artat.Lsrtatsdtenn e risindividuels droits des détiennent retraités Les retraite. la de liquidation la

’ndotàpraeidvde,mi edotnetart tvlrs qu’à valorisé et arrêté n’est droit ce mais individuel, partage à droit d’un

ucmt ’npriiate ciié emtuemsr administrative mesure une permet activité, en participant d’un compte au

urgm.Dn e éie GR tARO enmr epit inscrits points de nombre le ARRCO, et AGIRC régimes les Dans régime. du

ascrcèed éest,pu teraié uvn e spécifications les suivant réalisée être peut nécessité, de caractère sans

risqirpéetn ndotcletfdn n xrsinindividualisée, expression une dont collectif droit un représentent qui droits

e atcpnsnnrtatsaqirn ncusd arèedes carrière de cours en acquièrent retraités non participants Les

institué.

ié u otéite a apltqescaeo ’codprtiel’ayant paritaire l’accord ou sociale politique la par édictées sont qui lités rencontres moda- des selon retraite de prestations des donc finance régime Le

ensei epettosd eriee e ressources. ses et retraite de prestations de

g nemen u ogeproeléulbegoa nr e charges ses entre global l’équilibre période longue sur

t

g maintenir de et retraités, participants les entre ponibles est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE a.I oreggmn eprae e esucsdis- ressources les partager de engagement pour a Il ral.

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t géné- d’intérêt ou public service de mission une à répond io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

. » ARRCO et

fndaaye ’vlto el iuto iacèedsrgmsAGIRC régimes des financière situation la de l’évolution d’analyser afin

isrpéettvsa lnntoa nepoesonls rencontreront se interprofessionnel national plan au représentatives riés

hqeane e raiain ’mlyuse esala- de et d’employeurs organisations les année, chaque « que paritaires,

01péote o ril 4 eai upltg e éie trencontres et régimes des pilotage au relatif 14, article son en prévoit 2011

’qiir iace elusoéain ertat.Lacr u1 mars 18 du L’accord retraite. de opérations leurs de financier l’équilibre

’GR tlAROdfuetproiumn e nomtossur informations des périodiquement diffusent l’ARRCO et L’AGIRC

124 ’qiir e prtosd retraite. de opérations des l’équilibre

n euedsatoscretie tdsefrsàpour orassurer pour produire à efforts des et correctrices actions des mesure une

in rjte esn a peésàêr ecnre,mi donnent mais rencontrées, être à appelées pas sont ne projetées tions

rnied otniéd agsind éie eo eullsconfigura- les lequel selon régime, du gestion la de continuité de principe

e tdssrlnu utè ogeproesapin ’ilussrun sur d’ailleurs s’appuient période longue très ou longue sur études Ces

esetvsd éie epuetpoei u ’tdsd projections. de d’études que provenir peuvent ne régime, du perspectives

e nomtosciféspriets emtatlapéito des l’appréciation permettant pertinentes, chiffrées informations Les

’GR tl’ARRCO). et l’AGIRC

u ope c.dsoiin uPa opal ééa)(vsdnépar donné (avis général) comptable Plan du dispositions (cf. comptes aux

tnotdn a ar ’be ’n eto hfredn l’annexe dans chiffrée mention d’une l’objet faire à pas donc n’ont et

aiesrl otn ul ossac uption adt ubilan, du date la à patrimoine du consistance la ou montant le sur cative

tprntr,lseggmnsn evn vi uueicdnesignifi- incidence aucune avoir peuvent ne engagements les nature, par et

a osrcinéulbésprlsrsore uue.Slnc principe, ce Selon futures. ressources les par équilibrées construction par

in rniorsd or umyntre e hre uue otainsi sont futures charges les terme, moyen ou court de transitoires tions rencontres rs éen e qiirsfnnir.Hri e situa- des Hormis financiers. équilibres des pérenne trise ensei

g nemen nrpriin nrgm biaor sueuemaî- une assure obligatoire régime un répartition, En

t

ope nerreur. en comptes g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE ir urgm,e êepuri nur elcerdes lecteur le induire pourrait même et régime, du cière

LES ÉVOLUTIONS LES

ac lmn emiluecmrhnind astainfinan- situation la de compréhension meilleure de élément t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é Les mécanismes juridiques pour éviter la dette : la règle d’or Éric Aubry Conseiller d’État

Plusieurs mécanismes budgétaires, notamment introduits par la Constitution de 1958 pour éviter les errements connus précédemment, encadrent déjà le pouvoir budgétaire : irrecevabilité financière de l’article 40, monopole d’initiative du gouvernement en matière budgétaire, vote de l’article d’équilibre avant la discussion sur les crédits, existence de lois de programmation de finances publiques. Dans le champ social, la création de la loi de financement de la Sécurité sociale en 1996, puis la loi organique relative aux lois de finance- ment de la Sécurité sociale de 2005 ont donné un cadre à la programmation 125 et au suivi des dépenses. La loi organique a ainsi institué des tableaux d’équilibre par branche et développé la programmation pluriannuelle. L’état préoccupant de nos dépenses publiques, et notamment nos déficits sociaux, l’absence d’équilibre du budget de l’État depuis trente ans, l’envol de notre endettement public et les exigences européennes en matière budgétaire, liée à la crise de l’euro ont conduit à la prise de conscience, tant au niveau national qu’au niveau européen, de la nécessité de renforcer cet encadrement normatif. L’inscription dans la Constitution d’une règle d’or de l’équilibre des comptes publics est ainsi devenue un élément du débat public.

La prise de conscience progressive du caractère intenable de l’endettement public en France

Le rapport Pébereau de décembre 2005 – « Des finances publiques au service de notre avenir » – mettait l’accent sur le niveau préoccupant de la dette publique de notre pays. Il insistait sur le fait que cette dette était le résultat du choix de la facilité pour financer des dépenses courantes mais ne servait pas à des investissements publics productifs. Il citait

ovleguenned o iacspubliques. finances nos de gouvernance nouvelle

ei nji 00a rme iiteFaçi iln ieàdfnrune définir à vise Fillon, François ministre Premier au 2010 juin en remis

adsu u argecntttonledéulbedsfnne publiques, finances des d’équilibre constitutionnelle règle la sur Camdessus

ulqe .E aall,l apr el omsinpéié a .Michel M. par présidée commission la de rapport le parallèle, En ». publiques

a teded elrtu acosac arsarto ensfinances nos de restauration la croissance la à retour seul du attendre pas

rsd n21 a M oi tCapar otetq’ln faut « ne qu’il montrent Champsaur, et Cotis MM. par 2010 en présidé

e élxosd rued rvi u e iacspbius co- publiques, finances les sur travail de groupe du réflexions Les

usind otôedsdpne e olciié territoriales... collectivités des dépenses des contrôle du question

ae tn a ie elmn e éessd ’tt eps us la aussi pose Se l’État. de dépenses les seulement viser pas ne et rale,

oil tdsdfct oiu,csrge ovn tedapiaingéné- d’application être doivent règles ces sociaux, déficits des et sociale

s li u,cmt eud ’motnedsdpne eprotection de dépenses des l’importance de tenu compte que, clair est

nsreqen uses eosiuruedtepbiu motne Il importante. publique dette une reconstituer se puisse ne que sorte en

rnr,d ao otne e eue ertu ’qiir tàfaire à et l’équilibre à retour de mesures les continue, façon de prendre,

éii e ntuet uiiusolgatGuenmn tPreetà Parlement et Gouvernement obligeant juridiques instruments les définis

ncnttgnrladn omnéàs esnrpu u soient que pour dessiner se à commencé donc a général constat Un

emise on utfé,srlsgnrtosàvenir. à générations les sur justifiée, moins en moins de

orne a ’mrn otpsruecag epu npu ore et lourde, plus en plus de charge une peser font l’emprunt par courantes

’netmn ufi el rs is u efnneetd dépenses de financement le que ainsi crise la de fait du l’endettement

ec e nlsse e rpstosd apr.Lacmlto de L’accumulation rapport. du propositions des et analyses des nence

taxdfiutsd azn uo vdmetecr efrél perti- la renforcé encore évidemment a euro, zone la de difficultés aux et

acieéooiu,aotsatàlepoind adtesouveraine dette la de l’explosion à aboutissant économique, crise La

asmlfcto e tutrsamnsrtvséatimpérative. était administratives structures des simplification la 126 ●

td aScrt oil ; sociale Sécurité la de et

lflatmtr npaeu ipstfd éxmndsdpne el’État de dépenses des réexamen de dispositif un place en mettre fallait il ●

upié ncnrpri oru otn qiaet; équivalent montant un pour contrepartie en supprimée

ot noc enuel ées eri rcsrl ées u serait qui dépense la préciser devrait dépense nouvelle de annonce toute ●

’qiir e ope ulc tscaxe iqas: ans cinq en sociaux et publics comptes des l’équilibre

e nérld ’fiaiédsdpne fnd emtr nrtu à retour un permettre de afin dépenses des l’efficacité de intégral men

id rie. aslitrtd oslsFaçi .I liatpu nréexa- un pour plaidait Il ». Français les tous de l’intérêt dans droite... de ni

ytm esné lpéeti lser itsd éoms«n egauche, de ni « réformes de pistes plusieurs présentait Il santé. de système

éuiéscaee ’suac hmg is u agsind notre de gestion la que ainsi chômage d’Assurance et sociale Sécurité

amdriaind ’raiaine el eto e raimsde organismes des gestion la de et l’organisation de modernisation la

erpotsuini obe e éiispsin aqeto de question la posaient déficits ces combien soulignait rapport Le

ac iilsesrl iblt ’nssèed erie a répartition. par retraites de système d’un fiabilité la sur vieillesse rance aind hmg,sn alrd ’nettd é e éiisd l’Assu- de déficits des née l’incertitude de parler sans chômage, du sation rencontres

ensei risnedsdpne cule esnée d’indemni- et santé de actuelles dépenses des croissante

g nemen exc eotin u e ééain uue n part une futures générations les sur reportaient ceux-ci

t

onatéaeetlsdfct oiu nrmrun que remarquant en sociaux déficits les également pointait g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE risnedsdpne e olciié ertrae.Il territoriales. collectivités des dépenses des croissance

LES ÉVOLUTIONS LES

ac ’naaiéd ’ttàmdrie agsinaniqela que ainsi gestion sa moderniser à l’État de l’incapacité t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

uParlement. au

osiuinl èl ’rd ’qiir e ope ulc,aéédébattu été a publics, comptes des l’équilibre de d’or règle la Constitution

etaalpéiéprM adsu,aatpu be ’nciedn la dans d’inscrire objet pour ayant Camdessus, M. par présidé travail de

npoe elicntttonle npr e rpstosd groupe du propositions des inspiré constitutionnelle, loi de projet Un

iatléulbedsfnne publiques finances des l’équilibre visant

epoe eliconstitutionnelle loi de projet Le

epc e rvsosd solde. de prévisions des respect

iacmn,ai ecéruecnrit iacèepu iet orle pour directe plus financière contrainte une créer de afin financement,

uoiain nule ’mrn etéoei one a alide loi la par données trésorerie de d’emprunt annuelles autorisations

raiu eaieaxli efnneetd aScrt oil,des sociale, Sécurité la de financement de lois aux relative organique

’raiaindsdbt almnarse epaonmn,dn aloi la dans plafonnement, le et parlementaires débats des l’organisation

apohmn e osd iacse e osd iacmn par financement de lois des et finances de lois des rapprochement ●

biaors; obligatoires

orlaoto etue e ipstosrltvsaxprélèvements aux relatives dispositions les toutes de l’adoption pour

optneecuieàl o efnne tàl o efinancement de loi la à et finances de loi la à exclusive compétence ●

alid iacse alid iacmn el éuiéscae; sociale Sécurité la de financement de loi la à et finances de loi la à

indsfnne ulqe otcransdsoiin s’imposeraient dispositions certaines dont publiques finances des tion

rainduenuel aéoi enre,l o-ar eprogramma- de loi-cadre la normes, de catégorie nouvelle d’une création

127

ei lser rpstose esn : sens ce en propositions plusieurs geait

rjcor ugtiegrnisn ’qiir e ope.L apr déga- rapport Le comptes. des l’équilibre garantissant budgétaire trajectoire

e uàlaei e ovispbissrn otansd epce une respecter de contraints seront publics Pouvoirs les l’avenir qu’à rer

el-ipretad éobrporsieetlsdfct usd s’assu- de puis déficits les progressivement résorber de permettra Celle-ci

aercntttonlefxn n èl ’qiir e iacspubliques. finances des d’équilibre règle une fixant constitutionnelle valeur à

’betfdgg a .Cmessetd ie ncdebudgétaire cadre un fixer de est Camdessus M. par dégagé L’objectif

cières.

nufsnedsmyn rpe aatrl icrt e osfinan- lois des sincérité la garantir à propres moyens des insuffisance ●

bec efxto ’n aed eoràléulbe; l’équilibre à retour de date d’une fixation de absence ●

oed éessnuelsdn e osodnie,datepr ; part d’autre ordinaires, lois les dans nouvelles dépenses de vote

noéec nr o efnne tlid iacmn,du ôé et côté, d’un financement, de loi et finances de loi entre incohérence ●

naeet uoén el rne; France la de européens engagements

éatdisrmn emtatd omtr uvt uPreetles Parlement du vote au soumettre de permettant d’instrument défaut

rencontres ● ensei ; d’équilibre objectif un dégageant annuelles

g

nemen bec ergeasrn apiat eli pluri- lois de primauté la assurant règle de absence

t

g : budgétaire suivi de et vote est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE xru e nufsne ensdsoiisjrdqe de juridiques dispositifs nos de insuffisances les exergue

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t en met Camdessus commission la de rapport Le io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

orl riésgée as21 nr e asd ’no européenne. l’Union de pays les entre 2012 mars en signé traité le pour

ndseju el apgepéietel e21.I naééd même de été a en Il 2012. de présidentielle campagne la de enjeux des un

’ncito unnd argedo asl osiuinetdevenue est Constitution la dans d’or règle la de non ou L’inscription

uCongrès. du

én nCnrs ldi lr euilruemjrt e trois-cinquièmes des majorité une recueillir alors doit Il Congrès. en réuni

uin uarsaorééapov a ééedmo a eParlement le par ou référendum par approuvé été avoir qu’après tution,

e 01 edvedadfntf napiaind ’ril 9d aConsti- la de 89 l’article de application en définitif, deviendra ne 2011, let

ulqe,aot a ’sebé ainl ntosèelcuel 3juil- 13 le lecture troisième en nationale l’Assemblée par adopté publiques,

epoe elicntttonlerltfàléulbedsfinances des l’équilibre à relatif constitutionnelle loi de projet Ce

vn atasiso acmiso européenne. commission la à transmission sa avant

ePreetetmexascéàleae upormed stabilité de programme du l’examen à associé mieux est Parlement le ●

a alicdedéulbedsfnne ulqe ; publiques finances des d’équilibre loi-cadre la par

epcetlspaod edpne tl iiu ercte fixés recettes de minimum le et dépenses de plafonds les respectent

osd iacmn el éuiéscae orsasrrqu’elles s’assurer pour sociale, Sécurité la de financement de lois

lsr uoaiumn as e osd iacsanelse des et annuelles finances de lois des saisi automatiquement sera il –

l’équilibre,

128 fnd éiirq’le epcetlojci osiuine ertu à retour de constitutionnel l’objectif respectent qu’elles vérifier de afin

leaieasséaiumn e oscde vn erpromulgation, leur avant lois-cadres les systématiquement examinera il –

eCnelcntttonletl aatd epc el èl ’r: d’or règle la de respect du garant le est constitutionnel Conseil le ●

aScrt oil ; sociale Sécurité la

uéiueaxli efnne nule taxli efnneetde financement de lois aux et annuelles finances de lois aux supérieure

naeet rsdn e oscde elsc n neftuevaleur une effet en ont celles-ci : lois-cadres les dans pris engagements

ovreete almn otjrdqeettnsd epce les respecter de tenus juridiquement sont Parlement et Gouvernement ●

aScrt oil aslicde; loi-cadre sans sociale Sécurité la

nedcind oe n o efnne uuelid iacmn de financement de loi une ou finances de loi une voter de interdiction ●

nefr iiu ercte upéetie ortnrctojci ; objectif cet tenir pour supplémentaires recettes de minimum effort un

ulqe tfxrn,pu hqeane epaodd éesset dépenses de plafond le année, chaque pour fixeront, et publiques

ieotuedt ertu ’qiir e iacsdsadministrations des finances des l’équilibre à retour de date une mineront

e oscde oviotueproemnml etosas le déter- Elles ans. trois de minimale période une couvriront lois-cadres ces

’qiir ; l’équilibre à rencontres un tcmetl ovreetsegg revenir à s’engage Gouvernement le comment et quand ensei

g nemen ’qiir e iacspbius u ern préciser devront qui publiques, finances des d’équilibre

t

rainduenuel aéoi eli:lslois-cadres les : loi de catégorie nouvelle d’une création g ● est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE eue uvne : suivantes mesures

LES ÉVOLUTIONS LES

ac etxeaot a ePreetcnin les contient Parlement le par adopté texte Le t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ocrén ’ ofrepas. conforme s’y ne concerné

nn tpur tesiid acin iacèe ilÉa membre l’État si financières sanctions de suivi être pourra et gnant

aCu ejsied ’no uoéne ’rê el orsr contrai- sera Cour la de L’arrêt européenne. l’Union de justice de Cour la

atasoiind argedéulbebdéar etêr éiiepar vérifiée être peut budgétaire d’équilibre règle la de transposition La

etee ur e eue prpie u n éid déterminée. période une sur appropriées mesures des œuvre en mettre

élnh uoaiumn.C éaim oprelolgto de l’obligation comporte mécanisme Ce automatiquement. déclenché

rpeàpretes élsto,u éaim ecreto sera correction de mécanisme un réalisation, sa permettre à propre

otcnttsprrpotàctojci uàl rjcor d’ajustement trajectoire la à ou objectif cet à rapport par constatés sont

n èl ’rlmt , edfctsrcue.S e crsimportants écarts des Si structurel. déficit le % 0,5 à limite d’or règle Une

rcsu ugtie ainu otgrni eqeqeatefçn». façon autre quelque de garantis sont nationaux budgétaires processus

inels udn ersete asrceosrac ota ogdes long au tout observance stricte la et respect le dont ou tionnelles,

ipstoscnrinne tpraets epééec constitu- préférence de permanentes, et contraignantes dispositions

nàcmtrd adt ’nree iuu utat,«a oe de moyen au « traité, du vigueur en d’entrée date la de compter à an

et èl otêr néredn edotntoa asu éa d’un délai un dans national droit le dans intégrée être doit règle Cette

lpéotqelsbdesntoaxsn néulbeo nexcédent. en ou équilibre en sont nationaux budgets les que prévoit Il

npcebudgétaire pacte Un ●

etat bretosapcs: aspects trois aborde traité Le

tt ebe el oeeuro. zone la de membres États

rié orete nvger otmitnn tertfépra on douze moins au par ratifié être maintenant doit vigueur, en entrer pour traité,

ine aguennea end ’no cnmqee oéar.Ce monétaire. et économique l’Union de sein au gouvernance la et tion

el éulqethqe n ocsgél riésrl tblt,l coordina- la stabilité, la sur traité le signé donc ont tchèque, République la de

tt ebe elUinerpen,àlecpind oam-n et Royaume-Uni du l’exception à européenne, l’Union de membres États 129

e2mr 02 e hf ’tto eguenmn etu les tous de gouvernement de ou d’État chefs les 2012, mars 2 Le

uiiu elUineuropéenne. l’Union de juridique

iéqec riéavcto teitgé emmn eudn ecadre le dans venu moment le intégré, être à vocation a traité ce que cisé

lsai ’ntat neguenmna,e o omnuar,éatpré- étant communautaire, non et intergouvernemental, traité d’un s’agit il

’no.L oam-n ’yn a ol ’soiràctedémarche, cette à s’associer voulu pas n’ayant Royaume-Uni Le l’Union.

edesru ova riérnoçn adsiln ugtiea ende sein au budgétaire discipline la renforçant traité nouveau un sur tendre

orcie.L éebe21,lsdféet tt n ohiés’en- souhaité ont États différents les 2011, décembre 9 Le correctives.

èl ugtiee nmcnseatmtqepu ’dpind mesures de l’adoption pour automatique mécanisme un et budgétaire règle

e otane uPced tblt,lié ’s moé edfnrune définir de imposée s’est l’idée stabilité, de Pacte du contraintes les

fnd rvnrtu éii ulcecsi.Pu ea pè vi renforcé avoir après cela, Pour excessif. public déficit tout prévenir de afin

rgesvmn nrpi ernocrlsolgtosdsÉasmembres États des obligations les renforcer de entrepris progressivement

ancsiédasrrl tblt el oeer,lUinerpen a européenne l’Union euro, zone la de stabilité la d’assurer nécessité la asied acied adtesuean tde et souveraine dette la de crise la de suite la À

rencontres ensei

g nemen

tmonétaire et

t

g économique l’Union de sein au est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE acodnto tl gouvernance la et coordination la

LES ÉVOLUTIONS LES ac t stabilité, la sur traité Le io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

o efnneetd aScrt oil.O el-in ovepsles pas couvre ne celle-ci Or sociale. Sécurité la de financement de loi

esetnr u ecapcuet arfrecntttonlevs la vise constitutionnelle réforme La couvert. champ le sur s’entendre de

asl ar uiiu u t apl lshu,i ’gr d’abord s’agira il haut, plus rappelé été a qui juridique cadre le Dans

xlqe e raisons. les expliquer

ecrosacsecpinels asl ovreetdvaaosen alors devra Gouvernement le Mais exceptionnelles. circonstances de

oscde orottuor temdfés npriuirpu ei compte tenir pour particulier en modifiées, être toujours pourront lois-cadres

’qiir td éii n rjcor emtatd ’tenr.Cre ces Certes l’atteindre. de permettant trajectoire une définir de et l’équilibre

éom osiuinel emtetd éemnru oio ertu à retour de horizon un déterminer de permettent constitutionnelle réforme

e oscde ’qiir e iacspbiuspéusprla par prévues publiques finances des d’équilibre lois-cadres Les

rtcinscae or elu pérennité. leur de voire sociale, protection

cetbe lyv el éiiiée el rdblt ensrgmsde régimes nos de crédibilité la de et légitimité la de va y Il acceptable.

erpr edpne orne u e ééain uue ’s plus n’est futures générations les sur courantes dépenses de report Le

ertu ’qiir e ope oiu ot ’vdne n nécessité. une l’évidence, à sont, sociaux comptes des l’équilibre à retour le

i ilad ’uo,hr fe ojntrld acied 0820,et 2008/2009, de crise la de conjoncturel effet hors d’euros, milliards dix

arsrto ’ndfctsrcue el éuiéscaeetm à estimé sociale Sécurité la de structurel déficit d’un résorption La

tcmuatie ’qiir el éuiésociale Sécurité la de l’équilibre à communautaires et

adciasnd e ipstf nationaux dispositifs ces de déclinaison La

130

inel ejilt21 nc ui iel ieud éii structurel. déficit du niveau le fixe qu’il ce en 2011 juillet de tionnelle

etat emr 05v,e ate udl el eom constitu- reforme la de au-delà partie, en va, 2005 mars de traité Le

e usin pcfqe ocatàl iee ur utraité. du œuvre en mise la à touchant spécifiques questions des à

on n ospra,csÉaspriieotaxdsusosaattrait ayant discussions aux participeront États ces an, par fois une moins

aetlsqisapiurn azn uo ecséhate au et échéant cas Le euro. zone la à s’appliqueront qui damentales

icsin e omt ocratl opttvt ulsrge fon- règles les ou compétitivité la concernant sommets des discussions

eetdsÉasdn amnaenetpsler atcprn aux participeront l’euro pas n’est monnaie la dont États des nement

e tt ebe el oeer.LscesdÉa ud gouver- de ou d’État chefs Les euro. zone la de membres États des

e omt noml énrn e hf ’tto egouvernement de ou d’État chefs les réuniront informels sommets Des

aguenned azn euro zone la de gouvernance La ●

upélbea end ’no t ubsi,coordonnées. besoin, au et, l’Union de sein au préalable au

cnmqe uisevsgn emtr nour oetdébattues soient oeuvre en mettre de envisagent qu’ils économiques ’msin edtepbiu td ’sue u e rne réformes grandes les que s’assurer de et publique dette de d’émissions rencontres

ensei ottnsd omnqe er ln nationaux plans leurs communiquer de tenus sont

g nemen ovrec e oiiuséooius e États Les économiques. politiques des convergence

t

etat rvi glmn n oriaine une et coordination une également prévoit traité Le g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE nomiques

LES ÉVOLUTIONS LES

ac

acodnto tl ovrec e oiiuséco- politiques des convergence la et coordination La t io ● n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

e qiir lrane a éiiine ateglissant. partie en définition par pluriannuel équilibre cet à

oils tn a nee otcrcèecnrinn tresponsabilisant et contraignant caractère tout enlever pas ne et sociales,

eiee as neattuecéiiiéàc ioaedsfinances des pilotage ce à crédibilité toute enlevant cause en remise

nuleqis ééeat asdue mrtcbee odiatàune à conduisant et impraticable doute, sans révélerait, se qui annuelle

alid iacmn.O ot afi,éie ’moe n contrainte une d’imposer éviter fois, la à doit, On financement. de loi la

’nedesrl aatr lrane ectento ’qiir dans d’équilibre notion cette de pluriannuel caractère le sur s’entendre

td ôedaotserju a e éessd rtcinsociale, protection de dépenses les par joué d’amortisseur rôle du et

ada opetn el rs ncmt e ylsconjoncturels cycles des compte en prise la de tenu compte faudra,

lr etovrlsrsore orsodne oryfiefc.Il face. faire y pour correspondantes ressources les trouver de alors

adaprei iie enva ’néete éii tutrl charge à structurel, déficit éventuel d’un niveau le limiter à parvenir faudra

asl oiu el éom osiuinel td riéerpe,il européen, traité du et constitutionnelle réforme la de logique la Dans

eet? cement

uleapiainpuinuled anto ’qiir el o efinan- de loi la de d’équilibre notion la de pluriannuelle application Quelle ●

eRsredsRtats(R)o noeCADES. encore ou (FRR) Retraites des Réserve de

ncmt e od utp od eSldrt iilse(S) Fonds (FSV), Vieillesse Solidarité de Fonds type du fonds des compte en

e éie biaorsd ae ass oeal usind aprise la de question la posera se mais base, de obligatoires régimes des

et ’qiir iace el éuiéscaedi otrsrl’ensemble sur porter doit sociale Sécurité la de financier l’équilibre ment,

udl el usindj vqé e éie oslid finance- de loi hors régimes des évoquée déjà question la de Au-delà

ulprmteàrtnr? retenir à périmètre Quel ●

’oio ec eoràléulbe e usinsn e uvne : suivantes les sont question les l’équilibre, à retour ce de l’horizon

131

éuaindsdpne trceced eetssplmnars isur ni supplémentaires, recettes de recherche et dépenses des régulation

éuiéscae ass rnne c,n u eccti éesieentre nécessaire cocktail le sur ni ici, prononcer se Sans sociale. Sécurité

lsaiaesied éii ecei ertu ’qiir ela de l’équilibre à retour de chemin le définir de ensuite s’agira Il

etdn eposer. se donc peut

iacèe,sn eet ncuelatnmed ergsinparitaire, gestion leur de l’autonomie cause en remette sans financières,

aateprlÉa.L usind ericuindn ecapdslois des champ le dans inclusion leur de question La l’État. par garantie

pcfqeo ervn esldrt cie.L et elUEI est l’UNEDIC de dette La active). solidarité de revenu le ou spécifique

iacsdrceeto nietmn a ’tt(’loaind solidarité de (l’allocation l’État par indirectement ou directement financés

erie ’suac hmg s ietmn ieaxrgmsd solidarité de régimes aux liée directement est chômage L’assurance retraite.

arsd eriesn n opsned éieolgtiee ulcde public et obligatoire régime du composante une sont retraite de taires

n nle totae aScrt oil tlÉa.Lsrgmscomplémen- régimes Les l’État. et sociale Sécurité la avec étroit lien un ont

éie u,sissn aiarse éé efçnpenmn autonome, pleinement façon de gérés et paritaires sont s’ils qui, régimes rencontres ces avec relations des question la ainsi posera Se ensei

g nemen ’nebedscmtspublics. comptes des l’ensemble

t

g vise et large plus est gouvernance la et coordination la est SOCIALE

i

o n

DE LA PROTECTION LA DE ae nrvnh,l riéerpe u astabilité, la sur européen traité le revanche, En mage.

LES ÉVOLUTIONS LES

ac t chô- l’Assurance ni retraite, de complémentaires régimes io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

o atnie uoén u acodnto e oiiuséconomiques. politiques des coordination la sur européens partenaires nos

imsjrdqe u u aatotaporé td rue nacr avec accord un trouver de et appropriés paraitront lui qui juridiques nismes

etd ie e odtosd ertu ’qiir,d hii e méca- les choisir de l’équilibre, à retour ce de conditions les fixer de ment

oèed rtcinscae lrvetdsrasa ova gouverne- nouveau au désormais revient Il sociale. protection de modèle

imsd éuainaporé s acniind asuead enotre de sauvegarde la de condition la est appropriés régulation de nismes

npoéataxéooisidsesbe te éaen e méca- les dégageant en et indispensables économies aux procédant en

ir e ope oiu ndggatdsrcte supplémentaires, recettes des dégageant en sociaux comptes des libre

132 ntu ttd as,nln oracnetrqel eoràl’équi- à retour le que contester pourra ne nul cause, de état tout En

xml aSèe n uv fnd éalrlusfnne ulqe ? publiques finances leurs rétablir de afin suivi ont Suède, la exemple

oiiu ’s-epsl hmnqed obexpy,cmepar comme pays, nombreux de que chemin le pas N’est-ce ? politique

éulqenetel a utmn n aietto ectevolonté cette de manifestation une justement pas n’est-elle République

’n èl ertu ’qiir aslstxe odmnaxd la de fondamentaux textes les dans l’équilibre à retour de règle d’une

oot oiiu,lsmilustxe etn nplqé.Mi l’inscription Mais inappliqués. restent textes meilleurs les politique, volonté

ertbismn eléulbedscmts ntl esuinrqe sans que, souligner de inutile comptes, des l’équilibre de rétablissement le

utred et rsnaindsmcnse uiiusvisant juridiques mécanismes des présentation cette de terme Au

ncuel oiu nen echacune. de interne logique la cause en

eler riuainetelsdu éiue éiltf,sn remettre sans législatifs, véhicules deux les entre articulation meilleure

pcfqedsfnne oilscnutàpiiéirl it d’une piste la privilégier à conduit sociales finances des spécifique

elerpltg e iacspbius apiee oped caractère du compte en prise La publiques. finances des pilotage meilleur

etispôetuefso e exdsoiis aeslnexd’un eux selon gage dispositifs, deux des fusion une prônent Certains aiie ’nebedsatusscaxàl atiedsdépenses. des maîtrise la à sociaux acteurs des l’ensemble sabiliser rencontres

ensei url e atnie oiu td ’néê erespon- de l’intérêt de et sociaux partenaires des rôle du

g nemen opetn el aueéautv essdépenses, ses de évaluative nature la de tenu compte

t

iiéd alid iacmn el éuiésociale, Sécurité la de financement de loi la de ficité g est SOCIALE

i

o

n

DE LA PROTECTION LA DE aqeto eps,e fe,d anind aspéci- la de maintien du effet, en pose, se question La

LES ÉVOLUTIONS LES

ac

ulerlto vcl o efnne ? finances de loi la avec relation Quelle t io ● n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ÉVOLUTIONS

TENDANCES ET TENDANCES

SOCIALE : : SOCIALE

DE LA PROTECTION LA DE LE MANAGEMENT LE

rencontres ensei g nemen t g est i o n ac t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

La transposition de l’analyse de la valeur dans les organismes de Sécurité sociale : intérêt et mise en œuvre Isabelle Alexandre, Lucie Duarte, Axelle Patry et Pascal Pfeiffer Résultats d’une action recherche menée par les élèves de la 49e promotion de l’EN3S

sous la direction de Guy Audibert Directeur du CERTIRA de Lyon

Cécile Romeyer Maître de conférences en sciences de gestion à l’Université à Saint-Étienne

Les organismes de Sécurité sociale se trouvent actuellement confron- tés à des enjeux importants, fixés notamment au travers de la Révision générale des politiques publiques. Parmi ces enjeux, la diminution des 135 dépenses engagées, parallèle à un renforcement de l’efficacité de l’action publique est prioritaire. Les effets d’une telle réforme sont visibles notam- ment au sein des Conventions d’objectifs et de gestion. Celles-ci affichent des objectifs conjoints d’amélioration continue de l’offre de service aux assurés et de maîtrise, voire de réduction, des coûts de gestion des orga- nismes. L’instauration d’un contrôle de gestion efficace est l’un des moyens préconisés par les Pouvoirs publics pour remplir ces objectifs. Il permet en effet aux dirigeants de s’assurer que les ressources obtenues sont utilisées avec efficacité et efficience pour réaliser les objectifs de l’organisa- tion. Il se décline au travers d’une grande variété d’outils et de méthodes. Les outils « traditionnels financiers », tels que la comptabilité analytique et la gestion budgétaire sont complétés par de nouveaux procédés plus adaptés aux évolutions des modes de production. En effet, il devient nécessaire d’expliciter la notion de performance au travers d’indicateurs précis et objectifs, mais pas uniquement financiers car celle-ci repose à la fois sur les notions de coût et de satisfaction du client. Parmi ces méthodes, l’analyse de la valeur tient une place toute particulière. Contrairement à la plupart des autres, elle vise à traiter globale- ment la notion de valeur en maximisant le ratio service rendu/coût. Pour atteindre cet objectif, l’analyse de la valeur repose sur une démarche

eprocessus. de

euedscûs le otéaeettue ode u n logique une sur fondées toutes également sont Elles coûts. des mesure

eoveete ail) le ’xretpicplmn uord la de autour principalement s’exercent elles Famille), et Recouvrement

asl rnh aai,mtoeACdn e rnhsVieillesse, branches les dans ABC méthode Maladie, branche la dans

etsslnlsbace aatto el éhd e ot complets coûts des méthode la de (adaptation branches les selon rentes

ilsmtoe tlse orl aoiaindscûssn diffé- sont coûts des valorisation la pour utilisées méthodes les Si

u ardcindscoûts des réduction la sur

et rniaeetconcentré principalement reste

tlse asl od el éuiésociale Sécurité la de monde le dans utilisées

.Lsmtoe ecnrl egestion de contrôle de méthodes Les A.

élimn iese e betf différents. objectifs des et divers déploiement

otslsbace el éuiéscae asae e ersde degrés des avec mais sociale, Sécurité la de branches les toutes

ecnttpeiretqel otôed eto s tls dans utilisé est gestion de contrôle le que est premier constat Le

aslsognse eScrt sociale Sécurité de organismes les dans

.Pnrm udpoeetd otôed gestion de contrôle du déploiement du Panorama I.

eto aslsCissnationales. Caisses les dans gestion

eésrl aedetein niiul vcdseprsd otôede contrôle du experts des avec individuels d’entretiens base la sur mené 136

om raal nipnal o rvu.Ctéa e iu été a lieux des état Cet travaux. nos à indispensable préalable comme

u e rtqe ecnrl egsindsognse ’s imposé s’est organismes des gestion de contrôle de pratiques les sur

orrpnr fiaeetàc usineet néa e lieux des état un questionnement, ce à efficacement répondre Pour

atcle el éuiéscae? sociale Sécurité la de particulier

leêr rnpse asu oc ’fiine ucontexte au d’efficience, souci un dans transposée, être elle

uord apolmtqesiat : suivante problématique la de autour ’nls el aerpeut- valeur la de l’analyse

uv ecsééet,ntetaald ehrh-cinsetaxé s’est recherche-action de travail notre éléments, ces de vu Au

e raimsd éuiésociale. Sécurité de organismes les

e suacs e evcshsiair asps or connaissance, notre à pas, mais hospitaliers services les assurances, les

etu etar è 95 le ocretpicplmn e banques, les principalement concernent Elles 1975. dès tertiaire secteur

dpé,dsapiain ectemtoenotééraiésdn le dans réalisées été n’ont méthode cette de applications des adoptée,

u u aqaiédspout éeops ilidsrelarapidement l’a l’industrie Si développés. produits des qualité la sur que

éest e nrpie etrcnurnile atsrlspi evente de prix les sur tant concurrentielles rester à entreprises des nécessité rencontres éhd udmieéooiu ii éut ela de résulte civil économique domaine au méthode ensei

g

nemen nté asl etu iiar,lapiaind cette de l’application militaire, secteur le dans Initiée ÉVOLUTION

t TENDANCE ET TENDANCE

ermtr ncause. en remettre se g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

éestn esspriiat n éial aaiéà capacité véritable une participants ses de nécessitant

LE MANAGEMENT LE

ac olbrtv lrdsilnieoiné esl letet client le vers orientée pluridisciplinaire collaborative t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

omnee otrsetnamiscntttf ’btce.E lexiste il Et d’obstacles. constitutifs néanmoins restent coût et formance

umngmn a e rcsu,l ifcléàfiel ineteper- entre lien le faire à difficulté la processus, les par management du

u ulttf e rcsu.Mi ’bec edpoeetgénéralisé déploiement de l’absence Mais processus. des qualitatif, que

u epstonmn rnvra tojci ’piiain atfinancier tant d’optimisation, objectif et transversal positionnement le lui

asl rs ncmt ucnetdaayed avlu.I atg avec partage Il valeur. la de d’analyse concept du compte en prise la dans

ntlpltg a e rcsu osiu ocu rme pas premier un donc constitue processus les par pilotage tel Un

e taéis e raiain tdsssèe d’information. systèmes des et organisations des stratégies, des

ocineetdsognse asu otxedaatto continue d’adaptation contexte un dans organismes des fonctionnement

tede ’tlsto el oind rcsu emtd atie le maîtriser de permet processus de notion la de L’utilisation attendue.

ainprpoesspu is teu eird atied aperformance la de maîtrise de levier un être ainsi peut processus par sation

nceceàgrni n éuaiée n ofriéd rsain l’organi- prestation, de conformité une et régularité une garantir à cherche on

asu otxeo ’sgreta œrd ipstfdn lequel dans dispositif du cœur au est l’usager où contexte un Dans

réussite.

ucin ubnisate ujsecû s acéd asri td la de et survie la de clé la est coût juste au et instant bon au client au

ta o oet:pu ’niééooiu,funrl aeradéquate valeur la fournir économique, l’entité pour : moment bon au et

u.Lséae ovn tecnutscretmn,dn ebnordre bon le dans correctement, conduites être doivent étapes Les sus.

’tps(lxd aer u hrh tutr admrh e proces- des démarche la structure à cherche que valeur) de (flux d’étapes

aercéedn nognseetl éuttfnlduelnu séquence longue d’une final résultat le est organisme un dans créée valeur

uord anto epoess lerps u epicp u ot la toute que principe le sur repose Elle processus. de notion la de autour

n ecsmtoe osseàrvi ’raiaindsorganismes des l’organisation revoir à consiste méthodes ces de Une

aslsognse eScrt sociale Sécurité de organismes les dans

137

ormexpedee opel aerglobale valeur la compte en prendre mieux pour

.L iee lc enueu outils nouveaux de place en mise La B.

aproductivité. la

el aeràsvi arlto esrie amîrs e iqe et risques des maîtrise la service, de relation la : savoir à valeur la de

eto emtatd iu ar neai e ri aaèrsconstitutifs paramètres trois les interagir faire mieux de permettant gestion

omnetàmtr npaed ovle éhdsd otôede contrôle de méthodes nouvelles de place en mettre à commencent

us,cncet ecslmts e raimsd éuiésociale Sécurité de organismes les limites, ces de conscients Aussi,

esetv vcl evc rendu. service le avec perspective

e éessd ocineet note ecû ’s a i en mis pas n’est coût le outre, En fonctionnement. de dépenses des

e éessd esne u e rcsu,cle-icnttat8 % 80 constituant celles-ci processus, les sur personnel de dépenses les

evlrstosd ot s abs élrtv u aulesn ventilées sont laquelle sur déclarative base la est coûts de valorisations de rencontres classiques méthodes ces à grande autre Une stratégie. la piloter pour sants

ensei apromnepsé,csidctusn otpssuffi- pas sont ne indicateurs ces passée, performance la

g

nemen ÉVOLUTION aisfnnir ééaits oré esl euede mesure la vers Tournés généralistes. financiers ratios

t TENDANCE ET TENDANCE

g productivité, de ratio externes, et internes coûts : tionnel est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

oaié u e one ’ncnrl egsintradi- gestion de contrôle d’un données les sur focalisés

LE MANAGEMENT LE

ac t restent performance de mesure de systèmes Les io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

epltg e ase.Lsdfiutsàle efrac cnmqeet économique performance lier à difficultés Les Caisses. des pilotage le

osine el éest ’nérrl oind aerpu améliorer pour valeur de notion la d’intégrer nécessité la de conscientes

iatlotmsto el aer r e ifrne rnhssn bien sont branches différentes les Or, valeur. la de l’optimisation visant

upoe asl éale epretn a edggrdssolutions des dégager de pas permettent ne et détail le dans projet du

let evc ed)e ecû,elsn énergn a e éléments les pas réinterrogent ne elles coût, le et rendu) service client,

icsmtoe apohn inl efrac stsato du (satisfaction performance la bien rapprochent méthodes ces Si

iqeàn a ar ». faire pas ne à risque «

etie,dseggmnspltqe,date rjt uecr au encore ou projets d’autres politiques, engagements des mentaires,

aié ) er encsiéd rjte gr e otane régle- contraintes des à égard eu projet du nécessité de degré »), nalités

upoe,dgéd atiedsrsus ééie orluae «exter- (« l’usager pour bénéfices risques, des maîtrise de degré projet, du

itniémnml)srcau e xssiat etblt publique rentabilité : suivants axes 5 des chacun sur minimale) (intensité

’npoe nliatiun n oealn eA(nest aiae D à maximale) (intensité A de allant note une attribuant lui en projet d’un

otlMrv) et enèemtoecnit prhne avaleur la appréhender à consiste méthode dernière Cette Mareva). (outil

aai trcurmn oréaurl etblt e rjt informatiques projets des rentabilité la évaluer pour recouvrement et Maladie

epoiié(éhd e«SriePbi au )o aslsbranches les dans ou ») Value Public Service « de (méthode proximité de

t élye asl rnh iilsepu ar eblndsagences des bilan le faire pour Vieillesse branche la dans déployées été

aallmn e éhdsisiésd ’nls el aeront valeur la de l’analyse de inspirées méthodes des Parallèlement

ar ele nr efrac tcoût). et performance entre lien le faire

etprlspoessnndpoé,viemtoooiu dfiut de (difficulté méthodologique voire déployé), non processus les par ment

e ifclé ’rr utrl(oiu esls,ognstonl(manage- organisationnel silos), de (logique culturel d’ordre difficultés des à

qel s or aaiéàporse) et éhd ehut toutefois heurte se méthode Cette progresser). à capacité notre est (quelle

138

lsqespoessapretd avlu) prnisg organisationnel apprentissage valeur), la de apportent processus quels clés

cinars»,ipcscin c uatnetlscins,processus clients), les qu’attendent (ce client impacts »), actionnaires «

ir eo esetvs:bnfcsfnnir c u ’napreaux apporte l’on que (ce financiers bénéfices : perspectives 4 selon libre

ogtre lepooedéaoe asrtgee epcatl’équi- respectant en stratégie la d’élaborer propose Elle terme. long à

netrdn e éutt méit tàngie acéto el valeur la de création la négliger à et immédiats résultats les dans investir

eprrl lc rpnéat e éutt iacesictn sur- à incitant financiers résultats des prépondérante place la tempérer à

ioaesrtgqee dniin e lmnscé erust.El vise Elle réussite. de clés éléments les identifiant en stratégique pilotage

ac uue,uiié asl rnh ail,apri ernocrle renforcer de permis a Famille, branche la dans utilisée future), mance

e niaer el efrac asee e éemnnsd aperfor- la de déterminants les et passée performance la de indicateurs des

ablnesoead(ala ebr utdmnine intégrant multidimensionnel bord de (tableau scorecard balance La

emtpsdietfe e éemnnsd aperformance. la de déterminants les d’identifier pas permet

rnh aai) ic otpre ecasrlsognse,i ne il organismes, les classer de permet coût ce Si Maladie). branche néiec ecû ’npitd efrac preepedn la dans exemple (par performance de point d’un coût le évidence en

rencontres

cr P ucû ’nognseapri emettre de permis a organisme d’un coût au CPG score

ensei

is,l raindidctussnhtqe apratle rapportant synthétiques d’indicateurs création la Ainsi, g

nemen ÉVOLUTION

’ursotl n a iluséémse place. en mis été ailleurs par ont outils D’autres t TENDANCE ET TENDANCE

g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

céapoéua complexe. procédural schéma

LE MANAGEMENT LE

ac n éledfiut née ntlpltg asun dans pilotage tel un insérer à difficulté réelle une t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

yols 08 .32. p. 2008, Eyrolles, valeur, la de l’analyse Réussir Paul-Hubert, Mesnards Des 1.

ardcindscûsàuegsinprlu maîtrise. leur par gestion une à coûts des réduction la

e vtrdsl ocpin ’nrpieéou lr ’n eto par gestion d’une alors évolue L’entreprise conception. la dès éviter les

elsrprce e ot.I ’gtmisd éur e ot u de que coûts les réduire de moins s’agit Il coûts. des rapprocher les de

s ind éii e éialsbsispi,uefi etaaleffectué, travail ce fois une puis, besoins véritables les définir de bien est

amtoesatceànocle uu e exapcs L’idée aspects. deux des aucun n’occulter à s’attache méthode La . besoins

e ncrepnac e ot tles et coûts les correspondance en met valeur la de l’analyse Enfin,

otpi ncompte. en pris sont

asl ehrh ’fiinecrtu e set upoutproposé produit du aspects les tous car d’efficience recherche la dans

ehiuse ugtie.Ctepuiicpiaiéetu éial atout véritable un est pluridisciplinarité Cette budgétaires. et techniques

er tàdseprs fndaoruevso lscar e contraintes des claire plus vision une d’avoir afin experts, des à et seurs

uiainàl opaiié ni,i s osbed ar pe u fournis- aux appel faire de possible est il Enfin, comptabilité. la à munication

etusd o nrpieqisn ocré a epout el com- la de produit, ce par concernés sont qui entreprise son de secteurs

otdmne ’vsd e let.I otasifieaplàtu les tous à appel faire aussi doit Il clients. ses de l’avis demander doit

ifrnsscer.Pu indfnrlsbsisdu rdi,l producteur le produit, d’un besoins les définir bien Pour secteurs. différents

’nls el aerteta atq’lefi nrre communication en entrer fait qu’elle fait au tient valeur la de l’analyse

neft ’n e lsvlede plus-value des l’une effet, En . collaborative est démarche Cette

hcn n iaiéprécise. finalité une chacune

a tpsqincsieu hfd rjte n ut eruinayant réunion de suite une et projet de chef un nécessite qui étapes par

’s--ieuemtoestructurée méthode une c’est-à-dire démarche, d’une donc s’agit Il

139

. elercû » coût meilleur

1

uu evc fnd éodea iu u eon e tlstusau utilisateurs des besoins aux mieux au répondre de afin service un ou

éaceclaoaiepretn ecéro efieéouru produit un évoluer faire de ou créer de permettant collaborative démarche

alHbr e enr éii ’nls el aercomme valeur la de l’analyse définit Mesnard des Paul-Hubert une «

.Péetto el éacedaayed avaleur la de d’analyse démarche la de Présentation A.

u raimsd éuiésociale Sécurité de organismes aux

asdsscer comparables secteurs des dans

u éàfi e preuves ses fait déjà a qui

n éaceintéressante démarche une I ’nls el aer: valeur la de L’analyse II.

rencontres ensei

g

nemen ÉVOLUTION valeur.

t TENDANCE ET TENDANCE

g la de l’analyse être pourrait Celle-ci gestion. de contrôle est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

evn odieàepoe n ovlemtoede méthode nouvelle une explorer à conduire peuvent

LE MANAGEMENT LE

ac t opérationnelle, traduction une tirer en à et qualitative, io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

éesied ipsrduemcieàpsr:e onisn enombre le connaissant en : peser à machine d’une disposer de nécessaire

’n ete r orcnatel od ’n ete lnetpsforcément pas n’est il lettre, d’une poids le connaitre pour Or, lettre. d’une

aero apu on nsitroesrl ribsi onir epoids le connaitre : besoin vrai le sur s’interroge On loin. plus va on valeur

iee ocrec efunser a xml) vclaayed la de l’analyse Avec exemple). par fournisseurs de concurrence en mise

aorcmetdmne ecû elahtd et ahn prla (par machine cette de l’achat de coût le diminuer comment savoir à

vcueatemtoeqelaayed avlu,o uatcherché aurait on valeur, la de l’analyse que méthode autre une Avec

ete asàu otélevé. coût un à mais lettres

et esetv s niaélahtduenuel ahn ee les peser à machine nouvelle d’une l’achat envisagé est perspective cette

eretd éomrsnsriecure orl edepu fiae Dans efficace. plus rendre le pour courrier service son réformer de est reur

ovlemcied eaed orir ’betfd ’raim acqué- l’organisme de L’objectif courrier. du pesage de machine nouvelle

orilsrrc rps npu rnr ’xml elahtd’une l’achat de l’exemple prendre peut on propos, ce illustrer Pour

aifcind lete n éuto e coûts. des réduction une et client du satisfaction

emyn,laayed avlu etegnrràl osuemeilleure une fois la à engendrer peut valeur la de l’analyse moyens, de

e éhdstaiinelsd otôed eto élcisn ntermes en réfléchissent gestion de contrôle de traditionnelles méthodes les

is,e ecnetatsrl evc ede afnlt,aosque alors finalité, la rendre, à service le sur concentrant se en Ainsi,

éesie,cle-isn n ored coûts. de source une sont celles-ci nécessaires,

lsitrsatqe efi,lrq’npoutrmltdsfntosnon fonctions des remplit produit lorsqu’un fait, de que, intéressant plus

e pin udséae ntls ejsebsi s ncnetd’autant concept un est besoin juste Le inutiles. étapes des ou options des

eonetsfiamn inaayépu uo vt ’ éodepar répondre d’y évite qu’on pour analysé bien suffisamment est besoin

opee osu ’narcusàl éhd ’nls el aer le valeur, la de d’analyse méthode la à recours a l’on Lorsque complexe.

npu etsarvràuerpne asclec etêr inutilement être peut celle-ci mais réponse, une à arriver certes peut on

efrac.E fe,e ecnetn el question la de contentant se en effet, En performance. omn » ? comment « 140

arfeinatu ubsi emtd utrcnr asur- la contre lutter de permet besoin du autour réflexion La

éial eon?». ? besoin véritable

uletmon est quel « mais » ? faire comment « pas n’est temps premier un dans

ieso ’tlt s is opèeetitgé.L usinposée question La intégrée. complètement ainsi est d’utilité dimension

’gtdueéuerel,e mn,d eqietvamn éesie La nécessaire. vraiment est qui ce de amont, en réelle, étude d’une s’agit

’nls el aerpre ’xrsindsvrtbe eon.Il besoins. véritables des l’expression permet valeur la de L’analyse

.Lepeso ujsebesoin juste du L’expression 1.

el aersml ovi ale etie ecslacunes. ces de certaines pallier pouvoir semble valeur la de

eto.Namis elsc aasetecr nopèe.L’analyse incomplètes. encore paraissent celles-ci Néanmoins, gestion.

oil tls ’rse éàd obessmtoe ecnrl de contrôle de méthodes nombreuses de déjà et d’ores utilise sociale om oslaoséou asntepeir ate aSécurité la partie, première notre dans évoqué l’avons nous Comme

rencontres

ensei ie nœveàl éuiésociale Sécurité la à œuvre en mises

g

nemen ÉVOLUTION ecnrl egsinactuellement gestion de contrôle de

t TENDANCE ET TENDANCE

a apr u ursméthodes autres aux rapport par g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

elaayed avaleur la de l’analyse de

LE MANAGEMENT LE

ac .Crcéitqe tavantages et Caractéristiques B. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ésdn lser ie udpreetpu ecnrrdsallocataires des rencontrer pour département du sites plusieurs dans sées

estsato.A or ecteeprec,dsruin n t organi- été ont réunions des expérience, cette de cours Au satisfaction. de

lete mn tnnpssueete vldn ecded’enquêtes cadre le dans aval en seulement pas non et amont en client

u emdl elaayed avlu,litgaind on evedu vue de point du l’intégration valeur, la de l’analyse de modèle le sur

eté uord arlto esrie et xéineaatpu objectif, pour avait expérience Cette service. de relation la de autour centrée

el rprto el O 0520,mse lc n expérience une place en mis 2005-2008, COG la de préparation la de

agnls a xml,l A uPyd-ôeaat asl cadre le dans avait, Puy-de-Dôme du CAF la exemple, Par marginales.

oil oritge epitd u e sué,mi le otencore sont elles mais assurés, des vue de point le intégrer pour sociale

e xéine n t eésdn emned aSécurité la de monde le dans menées été ont expériences Des

emtr npaed estmsd’échange. temps tels de place en mettre de

ecnttrq’letbe aedn n nrpieo n administration une ou entreprise une dans rare bien est qu’il constater de

ocré.Levrneetdn o nebeetcniéé oc est Force considéré. est ensemble son dans L’environnement concernés.

e opals aso rn ncmt eu elesml e acteurs des l’ensemble de celui compte en prend on mais comptables) les

lri.O es iiepsa on evedu elgop lsingénieurs, (les groupe seul d’un vue de point au pas limite se ne On élargie.

acéto ’ngop lrdsilniepre ’vi n approche une d’avoir permet pluridisciplinaire groupe d’un création La

eei rsproductif. très devenir

erfeinsrlsbsis ncé nle ’cag nqeqipeut qui unique d’échange lieu un crée on besoins, les sur réflexion de

u ursmtoe ecnrl egsin ncén nvrtbeespace véritable un créant En gestion. de contrôle de méthodes autres aux

énon,ctefraiainetasic u acrcéieprrapport par caractérise la qui ce aussi est formalisation cette Néanmoins,

el uel t omlse leipiu araiaind etréunions. sept de réalisation la implique elle formalisée, été a qu’elle telle

’nls el aeretuemtoetè tutre neffet, En structurée. très méthode une est valeur la de L’analyse

141

.L iee lc ’nvrtbetmsd réflexion de temps véritable d’un place en mise La 3.

uu evc uu lmn ot hrmi nepot et information. cette exploite on mais cher coûte élément un ou service qu’un

et.E tlsn ’nls el aero es otnepsd savoir de pas contente se ne on valeur la de l’analyse utilisant En ments.

umn vlé,cteifrainettuor apohedate élé- d’autres rapprochée toujours est information cette évalués, quement

astuor urgr ’urscièe.Ani ilscûssn systémati- sont coûts les si Ainsi, critères. d’autres regard au toujours mais

’nls el aerpedbe ncmt ’prcefinancière l’approche compte en bien prend valeur la de L’analyse

.Lapoh lbl coûts-besoins globale L’approche 2.

etefficace. ment

atrd eonaatdevsgrlssltospu ocsaée extrême- s’avérer donc peut solutions les d’envisager avant besoin du Partir

efntonmn.Ueéooi o élgal is uêr réalisée. être pu ainsi a négligeable non économie Une fonctionnement. de rencontres mode son totalement repensera mais peser à machine une acheter pas ne

ensei a omn ,lognsedcdr iaeetde finalement décidera l’organisme », ? comment « pas

g

nemen ÉVOLUTION él nrpnatdaodàl usin«qo tnon et » ? quoi « question la à d’abord répondant en réel,

t TENDANCE ET TENDANCE

g besoin au revenant En peser. le sans envoi d’un total est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

is u eu elevlpe npu onir epoids le connaitre peut on l’enveloppe, de celui que ainsi

LE MANAGEMENT LE

ac t feuille d’une poids le enveloppe, chaque dans feuilles de io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

rnr ncniéainl lete ebsi éltu naisn en agissant en tout réel besoin le et client le considération en prendre

a apr u ursmtoe ecnrl egsin lepre de permet elle gestion, de contrôle de méthodes autres aux rapport par

nitrtre orlsognse eScrt oil.D a o originalité son par De sociale. Sécurité de organismes les pour réel intérêt un

pè nls,i ossml u ’nls el aerprésente valeur la de l’analyse que semble nous il analyse, Après

atlojtduetèesrlapiaind ’nls el valeur. la de l’analyse de l’application sur thèse d’une l’objet fait a

avlu orléued isoslclse essèebcoetiequi buccodentaire système le et locales missions de l’étude pour valeur la

’nls el aer(FV,u aie osi u tls ’nls de l’analyse utilisé a qui conseil cabinet un (AFAV), Valeur la de d’Analyse

ehrh ’s otesrtosate eris:lAscainFrançaise l’Association : terrains autres trois sur portée s’est recherche

el aere atqetledn e raimsd éuiéscae notre sociale, Sécurité de organismes les dans telle que tant en valeur la de

usui ’ a t osbedosre ’plcto el’analyse de l’application d’observer possible été pas n’a Puisqu’il

ifclmn uniibemi ’s oratu ruetre ns faveur. sa en réel argument un pourtant c’est mais quantifiable difficilement

olci etaal et eobepstv elaayed avlu est valeur la de l’analyse de positive retombée Cette travail. de collectif

orli etp edmrh etaoru fe nuttè oii u le sur positif très induit effet un avoir peut démarche de type ce lui, Pour

eetrced on evedsrpot uan asl’entreprise. dans humains rapports des vue de point du riche mement

in is u ’xéinemneàl A uPyd-ôe t extrê- été a Puy-de-Dôme, du CAF la à menée l’expérience que ainsi ligne

soito,amnsrto) .GyAdbr,drcerd ETR,sou- CERTIRA, du directeur Audibert, Guy M. administration). association,

teàloiiedu ecevruu orl i elognsto (entreprise, l’organisation de vie la pour vertueux cercle d’un l’origine à être

et oéin e prnisg rvilresml,peuvent ensemble, travailler à apprentissage cet cohésion, Cette

oéinatu ’nobjectif. d’un autour cohésion

etd ar mre e ouin ovle,mi us ecérune créer de aussi mais nouvelles, solutions des émerger faire de ment

e evcsdueognsto,laayed avlu emtnnseule- non permet valeur la de l’analyse organisation, d’une services des

142 ac ui ’gtdueapoh lbl u usinel’ensemble questionne qui globale approche d’une s’agit qu’il Parce

ucia social climat du

.Laayed avlu om atu el’amélioration de facteur comme valeur la de L’analyse 4.

i e nutsd satisfaction. de enquêtes les via

sete a léieléui rqetduecnutto adv uclient, du tardive consultation d’une fréquent l’écueil évite il car essentiel

ocpin epitd u ucin.Ctapc el éacesemble démarche la de aspect Cet client. du vue de point le conception,

éhdsd otôed eto,ditge naot ummn ela de moment au amont, en d’intégrer gestion, de contrôle de méthodes

’nls el aerpre oc otarmn u autres aux contrairement donc, permet valeur la de L’analyse

choisi.

ééhn,cure)e ’frru evc qiaetqe u otl mode le soit que quel équivalent service un d’offrir et courrier) téléphone,

loaarsd hii ermd ecnatpiiéi vclu A (accueil, CAF leur avec privilégié contact de mode leur choisir de allocataires eerraslmn ete.Lojci oruv,éatd emtr aux permettre de était poursuivi, L’objectif neutres. absolument demeurer rencontres

ensei et,aaetl osged epsitrei tde et intervenir pas ne de consigne la avaient sents,

g

nemen ÉVOLUTION xliainpéie e ersnat el A,pré- CAF, la de représentants Les précise. exploitation

t TENDANCE ET TENDANCE

neiteet(vclacr e atcpns td’une et participants) des l’accord (avec enregistrement g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n in,aiéspru oslat n atlojtd’un l’objet fait ont consultant, un par animées nions,

LE MANAGEMENT LE

ac ootie hii am npnlrpéettf e réu- Ces représentatif. panel un parmi choisis volontaires t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

utdmnine lsai neftdu etu aaulc ops de composé parapublic, secteur d’un effet en s’agit il : multidimensionnel

éhd t rgnleetdvlpé ’nuti) s nlui-même en est l’industrie), à développée originellement été a méthode

iacèe tdssrie dmieqinetpsclidn eulla lequel dans celui pas n’est qui (domaine services des et financières

aScrt oil,e lsd rpsrecuieetdsprestations des exclusivement proposer de plus en sociale, Sécurité la

e eon tqiepoedsrsore piie.O,l etu de secteur le Or, optimiser. à ressources des emploie qui et besoins des

olbrtv oratfclmn ’tnr ot ciiéqivs satisfaire à vise qui activité toute à s’étendre facilement pourrait collaborative

rto) neft inqedvlpé orlidsre et démarche cette l’industrie, pour développée que bien effet, En tration).

ino evc)e ecnet es rdcin(nuti,srie adminis- service, (industrie, production sa de contexte le et service) ou bien

u otl aued rdi ocré(rdi ova uexistant, ou nouveau (produit concerné » produit « du nature la soit que

tustérqe elaayed avlu,qisri rnpsbequelle transposable serait qui valeur, la de l’analyse de théoriques atouts

orsapiuràdscnetstè ifrns ’s neftu des un effet en C’est différents. très contextes des à s’appliquer pour

et éhd s oçed air ufsmetgnrl tsouple et générale suffisamment manière de conçue est méthode cette

uerltv amtoed ’nls el aeridqee fe que effet en indique valeur la de l’analyse de méthode la à relative ture

oil ups e rrqi ntre eprmtedato.L littéra- La d’action. périmètre de termes en prérequis des suppose sociale

atasoiind ’nls el aeraxognse eSécurité de organismes aux valeur la de l’analyse de transposition La

eScrt sociale Sécurité de

orsaatra otxedsorganismes des contexte au s’adapter pour

emnèesfiamn ééaee souple et générale suffisamment manière de

.Laayed avlu s conçue est valeur la de L’analyse A.

td ressources. de et

143

odtoss éiisn ntre eprmte e«cluedeters » d’entreprise culture « de périmètre, de termes en définissent se conditions

oil,i s éesieqecranscniin oetrmle.Ces remplies. soient conditions certaines que nécessaire est il sociale,

air apu piaepsil usi e raimsd Sécurité de organismes des sein au possible optimale plus la manière

orqelapiaind ’nls el aerpis efied la de faire se puisse valeur la de l’analyse de l’application que Pour

ups ncran obe eprérequis de nombres certains un suppose

aslsognse eScrt sociale Sécurité de organismes les dans

I.Litouto ocèed ’nls el valeur la de l’analyse de concrète L’introduction III.

e ocèeetdn l’institution. dans concrètement ner

éii e odtosncsarspu u et éhd usefonction- puisse méthode cette que pour nécessaires conditions les définir

’nls el aeràl éuiéscae lprî neftncsar de nécessaire effet en paraît Il sociale. Sécurité la à valeur la de l’analyse rencontres de concrète transposabilité la de conditions les sur s’interroger déjà c’est

ensei ue rcse vcu betfrionbe iecela, Dire raisonnable. objectif un avec et précis sujet

g

nemen ÉVOLUTION o sin,cetàdr emnèepntel,srun sur ponctuelle, manière de c’est-à-dire escient, bon à

t TENDANCE ET TENDANCE

g employé être effet en doit outil Cet principes. de nombre est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

’nls el aerdi eedn epce ncertain un respecter cependant doit valeur la de L’analyse

LE MANAGEMENT LE

ac t aval. en correctrices actions des par que plutôt amont io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

or egsind aqaiéàlUiest eNnyII. Nancy de l’Université à qualité la de gestion de Cours

nls ocinel taayed avlu e rdis rcdse services, et procédés produits, des valeur la de analyse et fonctionnelle Analyse Jean-Pierre, Grandhaye 2.

apéiindsmcnse etee lc euèet ’n part, d’une requièrent, place en mettre à mécanismes des précision la

utrld apr elognsto éuiéscae neft ’mlu et l’ampleur effet, En sociale. Sécurité l’organisation de part la de culturel

amtoed ’nls el aeripiu n dpaind’ordre adaptation une implique valeur la de l’analyse de méthode La

ecnrl egsine eScrt sociale Sécurité de et gestion de contrôle de

.U apohmn e cultures des rapprochement Un B.

angcaindsCOG. des négociation la

fe u ase ainlsd ictr»ae ’ttdn ecdede cadre le dans l’État avec » discuter « de nationales Caisses aux effet

eqelslsbace epuetpsai) amtoepretaten permettrait méthode la agir), pas peuvent ne branches les lesquelles

e rcnstose emsd esucse ergeetto (sur réglementation de et ressources de termes en préconisations des

e nentsjunlèe a n PM ncnoratl problème le contournant En CPAM. une par journalières indemnités des

ovn temblsspu anrdu or asl éa epaiement de délai le dans jours deux gagner pour mobilisés être doivent

emtr erpnr aqeto rcs esvi obe d’ETP combien savoir de précise question la à répondre de permettre

otxed éuto e oes:l éhd oratprexemple par pourrait méthode la : moyens des réduction de contexte

yed avlu aScrt oil s ’uatpu motn asle dans important plus d’autant est sociale Sécurité la à valeur la de lyse

ul éeopmn e gne eried rxmt.Litrtd l’ana- de L’intérêt proximité. de retraite agences des développement le ou

e ope ml npeatdvnaee opelsbsisclients) besoins les compte en davantage prenant en Améli comptes des

atnie,preepe:lstlsrie fiefc asous-utilisation la à face (faire téléservices les : exemple par partenaires, 144

’mlmne asdspoessqiipiun ’nevnind nombreux de l’intervention impliquent qui processus des dans l’implémenter

ocin upr.I ebeatpreepepriuirmn etnn de pertinent particulièrement exemple par semblerait Il support. fonctions

e evcsdsognse uissin rpe u éir uàleurs à ou métiers aux propres soient qu’ils organismes des services des

ti opee dpal,e ocapial u rcsu eproduction de processus aux applicable donc et adaptable, et souple était

tlhsor elaayed avlu n otécminctedémarche cette combien montré ont valeur la de l’analyse de l’histoire et

’plcto elaayed avlu u éeu.E fe,l’expérience effet, En réseaux. aux valeur la de l’analyse de l’application

raimsd éuiéscaen aatpscntte nosal à obstacle un constituer pas paraît ne sociale Sécurité de organismes

ntre eprmtedato,o osaeqel iest des diversité la que constate on d’action, périmètre de termes En

cnmqe otconcernés. sont économiques

astueognsto amnsrto,cletvt,ec) oslssecteurs les Tous etc.). collectivité, (administration, organisation toute dans

omril rdcin diitain pè-et,ec) aségalement mais etc.), après-vente, administration, production, commercial,

M-M) aslesml esssrie éue,approvisionnements, (études, services ses de l’ensemble dans PME-PMI),

ncaptè at astueeters d amliainl la à multinationale la (de entreprise toute dans : vaste très champ un rencontres

et éhd etsapiurà s’appliquer peut méthode cette ,

e ifrnsécrits différents ses ensei 2

g nemen om ’ olgéJa-ireGadaedans Grandhaye Jean-Pierre souligné l’a Comme ÉVOLUTION

t TENDANCE ET TENDANCE

ait emissions. de variété g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

otane ifrne tqidi ’cute ’n grande d’une s’acquitter doit qui et différentes contraintes

LE MANAGEMENT LE

ac utebace u rbéaius raiain et organisations problématiques, aux branches quatre t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

êeperspective. même

astsato ucin aslsdféetsbace ’nci asla dans s’inscrit branches différentes les dans client du satisfaction la

edvlpeetd admrh ult S 01e e eue de mesures des et 9001 ISO qualité démarche la de développement Le

ebusmn orlsasrse atnie,l iblt e données). des fiabilité la partenaires, et assurés les pour remboursement

e an ntre eqaié(oamn éasd aeeto de ou paiement de délais (notamment qualité de termes en gains des

ansgâea éeopmn el éaéilsto)e el’analyse de et dématérialisation) la de développement au grâce gagnés

ntre erdcindsmyn H(siaind obed’ETP nombre du (estimation RH moyens des réduction de termes en

t. u olv aqeto elaayedsgisptnil espérer à potentiels gains des l’analyse de question la soulève qui etc.)

algqed éeopmn el éaéilsto tlsrie,DAT, (téléservices, dématérialisation la de développement de logique la

enmrue cin éeope a e rnhs a xml dans exemple par branches, les par développées actions nombreuses de

efn lspénns nrtov lslreetcspicpsdans principes ces largement plus retrouve On prégnants. plus font se

u eon,d ’noaina evc eluae td atransversalité la de et l’usager de service au l’innovation de besoins, aux

aerd arceced apromne elaéuto e ressources des l’adéquation de performance, la de recherche la de faveur

’fiine tsrotdn e O e lsrcne.Lsdsor en discours Les récentes. plus les COG les dans surtout et d’efficience)

éuiéscae(utaespreepedsporme eqaiéet qualité de programmes des exemple par travers (au sociale Sécurité

ertauto aslsotl epltg el o eFnneetd la de Financement de Loi la de pilotage de outils les dans traduction leur

ito vclsnuelseiecsdefcct tdefcecstrouvent d’efficiences et d’efficacité exigences nouvelles les avec diction

u e aer lsius»d aScrt oil ’nrn a ncontra- en pas n’entrent sociale Sécurité la de » classiques « valeurs les que

ecagmn eprdgee edsor,qitn démontrer à tend qui discours, de et paradigme de changement Ce

éeu eScrt sociale. Sécurité de réseaux

ojuspu rfnedsmtoe ucnrl egsindn les dans gestion de contrôle du méthodes des profonde plus toujours

145

n oiiaindsvlusd evc ulcfvrbeàueintroduction une à favorable public Service du valeurs des modification une

otxefnnirtnud e enèe néssml vi odi à conduit avoir semble années dernières ces de tendu financier contexte

icusqedsotl ecnrl egsinqisn mlys Le employés. sont qui gestion de contrôle de outils des que discours

rnie taxojcisd ’nls el aer ata ieudes niveau au tant valeur, la de l’analyse de objectifs aux et principes

otdvne eusueproercnecluelmn éetv aux réceptive culturellement récente période une depuis devenues sont

tq’le ’nfn lblmn a sg,i aatcarqelsCaisses les que clair paraît il usage, pas globalement font n’en qu’elles et

n n onisneapoiaieo éied ’nls el valeur la de l’analyse de déviée ou approximative connaissance une ont

eScrt oil ’plcto elaayed avlu ilsréseaux les si : valeur la de l’analyse de l’application à sociale Sécurité de

r ncntt n vlto utrlefvrbedsorganismes des favorable culturelle évolution une constate on Or,

’déina hneete esulseetéaeetnécessaire. également est souplesse de et changement au d’adhésion

oe ’raiain nmdfatl ao evi e hss n culture une choses, les voir de façon la modifiant en d’organisations modes

egsin ’nls el aerpuatcnur olvre les bouleverser à conduire pouvant valeur la de L’analyse gestion. de

rencontres contrôle du celle à largement plus et valeur la de l’analyse de démarche la ensei à travail de méthodes des et personnels des adhésion

g

nemen ÉVOLUTION é el ase eaipiu éesieetune nécessairement implique Cela Caisse. la de nés

t TENDANCE ET TENDANCE

g concer- services les tous de active participation une part, est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

qied ieto e raimslcu)e,d’autre et, locaux) organismes des direction de équipe

LE MANAGEMENT LE

ac t nationale, (Caisse hiérarchie la de important soutien un io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

e nutsd satisfaction. de enquêtes les

letpuô asf epuatdne npitd u ue vl avec aval, qu’en vue de point un donner pouvant ne passif, plutôt est il

rnnedsdcsospie a e raimsaosqegénéralement que alors organismes les par prises décisions des prenante

rcsu tpriieàl éiiindsvrtbe eon.I ein partie devient Il besoins. véritables des définition la à participe et processus

oamn ntre ’cuecin.Clic s nér naotdu amont en intégré est Celui-ci client. d’écoute termes en notamment

éuiéscae neft et éhd pot n éial plus-value, véritable une apporte méthode cette effet, En sociale. Sécurité

’nls el aerpéet nitrtpu e raimsde organismes les pour intérêt un présente valeur la de L’analyse

asnsdvlpeet tqisn ytéié ici. synthétisés sont qui et développements nos dans

ucspsee fe a amîrs eqeqe onscéévoqués clé points quelques de maîtrise la par effet en passe succès

elaayed avlu aslsognse eScrt oil.U tel Un sociale. Sécurité de organismes les dans valeur la de l’analyse de

onspaiusai ’sue arust ’n vnuleimplémentation éventuelle d’une réussite la d’assurer afin pratiques bonnes

ecnlso or td,u eti obed eomnain et recommandations de nombre certain un étude, notre à conclusion de

e éeopmnsc-essnu odietàfrue,e guise en formuler, à conduisent nous ci-dessus développements Les

V ocuine préconisations et Conclusion IV.

tqesn«éa ’srt»etsséaiumn adopté. systématiquement est » d’esprit état « son que et

e oetaié iel edtced anraiaindn leafi l’objet fait a elle dont normalisation la de détache se elle si potentialités ses

ur ectemtoe r ’nls el aerpu élsrtoutes réaliser peut valeur la de l’analyse Or, méthode. cette de œuvre

e nelctusrnoté n osmninél orerd ieen mise de lourdeur la mentionné tous ont rencontrés interlocuteurs les

teéiéprueuiiainasuled ’nls el aer neffet, En valeur. la de l’analyse de assouplie utilisation une par évité être

146

nrvnh,o etspoe u e btcefnnirpourrait financier obstacle cet que supposer peut on revanche, En

ine lemm s etaepu nmsrrl asblt tl’efficience. et faisabilité la mesurer en pour centrale est elle-même en tion

epu motn aslsognse eScrt oil,d atransposi- la de sociale, Sécurité de organismes les dans important plus le

oamn uanpiqelsrsore osiun epsebudgétaire poste le constituent ressources les puisque humain notamment

inuetlemtoooi.Ani aqeto eléauto ucoût, du l’évaluation de question la Ainsi, méthodologie. telle une bien

ufsmetd opes td agsd aœvepu ee à mener pour manœuvre de marges de et souplesse de suffisamment

iace,rgeetieo raiaine ’paatps roi laisser priori, a pas, n’apparaît organisationnel ou réglementaire financier,

e eon) r ecnet e ase eScrt oil,q’lsoit qu’il sociale, Sécurité de Caisses des contexte le Or, besoins). des

lgsd ep eaieetiprats(oamn orl’identification pour (notamment importantes relativement temps de plages

’tpsqirqirn amblsto ’qie lrdsilnie u des sur pluridisciplinaires d’équipes mobilisation la requièrent qui d’étapes

asueognsto,qel uel ot ups esir n série une suivre de suppose soit, qu’elle quelle organisation, une dans

irs uanse ntms neft ams nœved et méthode cette de œuvre en mise la effet, En temps. en et humaines cières,

éhd elaayed avlu ups ’motne esucsfinan- ressources d’importantes suppose valeur la de l’analyse de méthode laprî lieetqel rnpsto ela de transposition la que clairement apparaît Il rencontres ensei

g

nemen ÉVOLUTION etnamisêr adopté être néanmoins peut

t TENDANCE ET TENDANCE

thmie asdn ’ttd’esprit l’état dont mais humaines et g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

’motne esucsfinancières ressources d’importantes

LE MANAGEMENT LE

ac .Uemtoeqimobilise qui méthode Une C. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

yols 08 .157. p. 2008, Eyrolles, valeur, la de l’analyse Réussir Paul-Hubert, Mesnards Des 3.

rtr am ’urs note laprî u e btce ntermes en obstacles ces que apparaît il outre, En d’autres. parmi critère

erltvsrl rtr ucû,qibe uiprat ecnttequ’un constitue ne qu’important, bien qui coût, du critère le relativiser de

ein aplràc td u ’srtmm elaayed avlu est valeur la de l’analyse de même l’esprit que stade ce à rappeler terions

ursu emtr ndne arust upoe.Tueos ossouhai- nous Toutefois, projet. du réussite la danger en mettre de risque au

éest ersetrueporsinpéie asbûe e étapes les brûler sans précise, progression une respecter de nécessite

teiene u ovn tersete ore aatrl éutt Elle résultat. le garantir en pour respectées être doivent qui exigeantes et

neft et éacerps u nesml erge formalisées règles de ensemble un sur repose démarche cette effet, En

un erelscnritspu ams npaed ’nls el valeur. la de l’analyse de place en mise la pour contraintes réelles de tuent

ersore ntms npronle nmyn iaces u consti- qui financiers, moyens en et personnel en temps, en ressources de

osaosrnucmt e ifclé e raimse matière en organismes des difficultés des compte rendu avons Nous

exprimées.

u atcpns otlsatne ovn glmn teclairement être également doivent attentes les dont participants, aux

n teto atclèedi tepré ’xlcto el méthode la de l’explication à portée être doit particulière attention une ●

e rvu ’moepu nbndrueetqoiind admrh ; démarche la de quotidien déroulement bon un pour s’impose travaux des

aallmn,ueifrainrglèed ahéaci u l’avancement sur hiérarchie la de régulière information une parallèlement, ●

ene ; geantes

u otêr aié a e ntne diri- instances les par validée être doit qui ind ’nls el aer» valeur la de l’analyse de tion

3

e eor ecau.Csrge omn n ot e«cat d’utilisa- charte « de sorte une forment règles Ces chacun. de devoirs les

afxto erge rcsse omlse u éemnn e riset droits les déterminent qui formalisées et précises règles de fixation la

147 oa.L aatr taéiu elaayed avlu ednécessaire rend valeur la de l’analyse de stratégique caractère Le local.

el aerdn ’raiain ata ieuntoa ua niveau qu’au national niveau au tant l’organisation, dans valeur la de

nsuinatfe oa el irrhee elecdeetàl’intégration à l’encadrement de et hiérarchie la de total et actif soutien un ●

astueognsto,puetdn telssiats: suivantes les être donc peuvent organisation, toute dans

’nls el aerdn e raimsd éuiéscae comme sociale, Sécurité de organismes les dans valeur la de l’analyse

qie u amtoe e odtospélbe ams nœvede œuvre en mise la à préalables conditions Les méthode. la sur équipes

i neegelsrsusàmîrsre emsd omncto aux communication de termes en maîtriser à risques les exergue en mis

e nrtescnut asl ar ecterceceato ont recherche-action cette de cadre le dans conduits entretiens Les

vraiment.

ntlse ’nes epuorpooe eqelsasrsdésirent assurés les que ce proposer pouvoir de l’inverse à et inutiles

’cui u eln-l rue eapretatdéie e services des d’éviter permettrait Cela ? trouver y veulent-ils que ? l’accueil

im,o nerg e sué u er eon uatnetisde qu’attendent-ils : besoins leurs sur assurés les interroge on nisme,

e sué.O etiaie is ue etutrn ’cui ’norga- d’un l’accueil restructurant qu’en ainsi imaginer peut On assurés. des rencontres nécessités les avec adéquation en véritablement offerts services les rendre

ensei erpretn edfnrlusbsis npu espérer peut on besoins, leurs définir de permettant leur

g

nemen ÉVOLUTION admrh.Clec ’nsr u lsefcc.En efficace. plus que sera n’en Celle-ci démarche. la à

t TENDANCE ET TENDANCE

g assurés les associer à s’attacher de bien donc est sociale, est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

aincnrt elaayed avlu aSécurité la à valeur la de l’analyse de concrète cation

LE MANAGEMENT LE

ac t appli- une pour faite, être peut qui préconisation La io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

oaindstxe uisapiun,n el uvnned nouveaux de survenance la de ni appliquent, qu’ils textes des boration

éuiéscae neft e raimsnaatl atien el’éla- de ni maîtrise la n’ayant organismes les effet, En sociale. Sécurité

ncmt episrgeetieaqe otsui e raimsde organismes les soumis sont auquel réglementaire poids le compte en

or ehrh e a iluslacn u ancsiéd prendre de nécessité la sur l’accent ailleurs par met recherche Notre

aiéprl ieto ore piie l’efficacité. optimiser en pour direction la par validé

indmuecpnatsrtgqe laprî ocesnilq’lsoit qu’il essentiel donc apparaît Il stratégique. cependant demeure tion

ecoxd oan td éièr ’cineatd o applica- son de exact d’action périmètre du et domaine du choix Le

n éaceorganisée. démarche une ●

e cer ucpilsd erui tdéhne ; d’échanger et réunir se de susceptibles acteurs des ●

n esuc piie cû,ivsismn,tmspsé t. ; etc.) passé, temps investissement, (coût, optimiser à ressource une ●

ind exc,do ’néê edvlpe ’cuedsuaes; usagers des l’écoute développer de l’intérêt d’où ceux-ci, de tion

eto o)pu xrmrdsbsise epoocrsrl satisfac- la sur prononcer se et besoins des exprimer pour non) ou ment

’xsec ecinso tlstusqipisn tesliié (directe- sollicités être puissent qui utilisateurs ou clients de l’existence ●

e.E ur,qeqe lmnsd otxesn éesie : nécessaires sont contexte de éléments quelques outre, En ser.

ocnrrpntelmn u npout evc upoessàoptimi- à processus ou service produit, un sur ponctuellement concentrer

oainàsapiuràl éom etu nognse asdi se doit mais organisme, un tout de réforme la à s’appliquer à vocation

’plcto elaayed avlu.Tueos apln uel ’ pas n’a qu’elle rappelons Toutefois, valeur. la de l’analyse de l’application

eo uetdsMsad lnyatérqeetpsd iieà limite de pas théoriquement a n’y il Mesnard, des Hubert Selon

hneet rpféunsd cap. de fréquents trop changements

et rsrr asl élimn el éace emm u les que même de démarche, la de déploiement le dans proscrire à reste

ae ’xè efraim,crnpaee oiiaerd ressources, de mobilisateur et chronophage formalisme, de l’excès rale, 148

éhdsd otôed eto ud aaeet emnèegéné- manière De management. de ou gestion de contrôle de méthodes

ualse ervl ocmiscûes nrsore u d’autres que ressources en coûteuse moins donc révèle se et durables

ifcl élr len éest ocpsl iee lc estructures de place en mise la pas donc nécessite ne Elle régler. à difficile

oculeetpu élrueqeto icnciee particulièrement et circonscrite question une régler pour ponctuellement

ued air utden.E fe,i ’gtduedmrh mobilisable démarche d’une s’agit il effet, En quotidienne. manière de quée

a ilus ’nls el aernapspu oaindêr appli- d’être vocation pour pas n’a valeur la de l’analyse ailleurs, Par

luiiaindstcnqe ecétvt s recommandée). est créativité de techniques des (l’utilisation

ietv,ai u egop etaalpis orceets’exprimer correctement puisse travail de groupe le que afin directive,

ugop etaale ielsrge ujue ’dpepsueattitude une pas n’adopte et jeu du règles les fixe et travail de groupe du

gop etaal éier,eprs nionmn) ert e membres les recrute environnement), experts, décideurs, travail, de (groupe

asl ésied amtoe:i e ncnatlsatusconcernés acteurs les contact en met il : méthode la de réussite la dans

esne.Ani letcranqel hi uce epoe s essentiel est projet de chef du choix le que certain est il Ainsi, personnes. éace ’teto otdvnaeêr otesrl éeto eces de sélection la sur portée être davantage doit L’attention démarche.

rencontres rued rvi rpipratdn ecded cette de cadre le dans important trop travail de groupe ensei

g is,i ’s a éesied osiurun constituer de nécessaire pas n’est il Ainsi, nemen ÉVOLUTION

t TENDANCE ET TENDANCE

osiu n éacesul ass iee place. en mise sa dans souple démarche une constitue g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

otunss ngree êeqelaayed avaleur la de l’analyse que tête en garde on si contournés

LE MANAGEMENT LE

ac ersore evn terltvmn facilement relativement être peuvent ressources de t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

aeràl éuiéscae lepuri telojtduerceceàvenir. à recherche d’une l’objet être pourrait Elle sociale. Sécurité la à valeur

etrrtu e negeet ’n iee ur elaayed la de l’analyse de œuvre en mise d’une enseignements les tous tirer de

eluiiéduedmrh.Uetleeprmnainprî éesieafin nécessaire paraît expérimentation telle Une démarche. d’une l’utilité de

euedsrslasotnsdmuel elermynd convaincre de moyen meilleur le demeure obtenus résultats des mesure

evc cas rjtdaéirto el eainae acinèe t..La etc.). clientèle, la avec relation la de d’amélioration projet achats, service

tatmn e eilsd on,rognsto ’nsrietlqele que tel service d’un réorganisation soins, de feuilles des (traitement

n nls e éutt esnuiiainai ’piie nprocessus un d’optimiser afin utilisation son de résultats des analyse une

el aerdn no lser raims ossatpreepeen exemple par consistant organismes, plusieurs ou un dans valeur la de

npaedn ecded or ehrh n xéietto el’analyse de expérimentation une recherche notre de cadre le dans place en

a aqed ep td esucs osnaosp mettre pu n’avons nous ressources, de et temps de manque Par

publics.

umngmn td aqaié fnd éodeaxbsisd ses de besoins aux répondre de afin qualité, la de et management du

uis»e icatprilsdféet ipstf ucnrl egestion, de contrôle du dispositifs différents les parmi piochant en » outils à

l otcnrné.Àcau raim es osiurs rpe«boîte « propre sa constituer se de organisme chaque À confrontés. sont ils

uel epu éodeàel el otslspolmtqe auxquelles problématiques les toutes à seule elle à répondre peut ne qu’elle

sgr td apromnegoaed ’raim,e atcle parce particulier en l’organisme, de globale performance la de et usagers

149

ntuetpridate ’mloaind aqaiéd evc ed aux rendu service de qualité la de d’amélioration d’autres parmi instrument

e ase.Laayed avlu otdn tecnu om un comme conçue être donc doit valeur la de L’analyse Caisses. des

imsrpéet n hred rvi osqet orlspersonnels les pour conséquente travail de charge une représente nismes

ope,GR ult,dmrh a e rcsu t. aslsorga- les dans etc.) processus les par démarche qualité, GDR, comptes,

ieetdsdféet ipstf e enèe nés(etfcto des (certification années dernières ces dispositifs différents des pilement

vclspicpsd ’nls el aer apln neftqel’em- que effet en Rappelons valeur. la de l’analyse de principes les avec

apri ,e atcle nrio esncrcèetasesl commun transversal, caractère son de raison en particulier en I, partie la

néesn esapyrsrl éaceprlspoesséouedans évoquée processus les par démarche la sur s’appuyer de intéressant

’nls el aer ascteprpcie lprî particulièrement paraît il perspective, cette Dans valeur. la de l’analyse

eler rprto utrledsognse ams npaede place en mise la à organismes des culturelle préparation meilleure

osiu n potnt usuo etcniée ui otiu une à contribue qu’il considérer peut puisqu’on opportunité une constitue

etd atiedsrsusdn e raimsd éuiésociale Sécurité de organismes les dans risques des maîtrise de ment

edvlpeetdsotl ecnrl egsine lsgénérale- plus et gestion de contrôle de outils des développement Le rencontres productivité. de termes en attendue

ensei acag etaale/ud ’vnulevlu ajoutée valeur l’éventuelle de et/ou travail de charge la

g

nemen ÉVOLUTION ’be edcsossn apr vcl rbéaiu de problématique la avec rapport sans décisions de l’objet

t TENDANCE ET TENDANCE

g font Caisses les dans œuvre en mis dispositifs de nombre est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

oesqilu capn.Cl infeq’ncertain qu’un signifie Cela échappent. leur qui moyens

LE MANAGEMENT LE

ac t de et délais de impératifs des à face faire doivent textes, io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é L’URSSAF, « banquier social des entreprises » ? Marc Le Floc’h 1 Élève de la 50e promotion de l’EN3S

Avec 419 milliards d’euros encaissés en 2011 2, les URSSAF 3 sont, au-delà de leur place stratégique dans le fonctionnement de la Sécurité sociale et de la Protection sociale, un acteur majeur de la vie économique au plus près des entreprises. Le Code de la Sécurité sociale prévoit une règle simple et claire : le cotisant s’acquitte spontanément des cotisations qu’il a lui même cal- culées, à l’échéance qui lui est applicable en fonction de ses effectifs et de la périodicité de sa paie. Remarquons que cette manifestation de 150 compliance paraît bien en place dans la collectivité des cotisants qui s’acquitte, dans son immense majorité, de ses obligations dans les délais et pour de justes montants. Ce système a ses contreparties que sont d’une part le contrôle, et de l’autre la sanction du non-paiement des cotisations à l’échéance. Les URSSAF se voient consacrer une certaine marge de manœuvre dans la gestion de ces sanctions (financières, civiles et judiciaires), en accordant des délais de paiement, des remises de majorations, voire parfois, dans des circonstances exceptionnelles, de cotisations. La branche Recouvrement du régime général peut ainsi se trouver confrontée à une injonction paradoxale. Garante des « ressources de la Sécurité sociale » 4, ce qui lui impose de recouvrer efficacement, elle ne peut cependant pas ignorer la situation de cotisants confrontés à des difficultés financières, « l’accompagnement des entreprises en difficultés faisant partie du cœur de métier des URSSAF » 5. Le paradoxe se dénoue

1. Cette recherche, présentée ici sous forme de synthèse, a été réalisée sous la direction de Vincent Ravoux, directeur général de l’URSSAF de Paris-Rrégion parisienne. 2. Source : ACOSS, 2012. 3. Union de Recouvrement des Cotisations de Sécurité Sociale et d’Allocations Familiales. 4. Il s’agit du « slogan » de la branche. 5. L’essentiel de la COG ACOSS/État, mai 2010.

tprl asentoaedsalctosfamiliales). allocations des nationale Caisse la par et

oil gre a aCis ainl elAsrnemlde a aCis ainl ’suac vieillesse d’Assurance nationale Caisse la par maladie, l’Assurance de nationale Caisse la par (gérées sociale

’sue agsincmued atéoei e ifrne rnhsd éiegnrld aSécurité la de général régime du branches différentes des trésorerie la de commune gestion la d’assurer

.Cis ainl e RSF ’CS Aec etaedsOgnse eScrt oil) s chargée est Sociale), Sécurité de Organismes des Centrale (Agence l’ACOSS URSSAF, des nationale Caisse 6.

ercurmn rcurmn mal tfré copgeetdes accompagnement forcé, et amiable (recouvrement recouvrement de

’mrit el rnh.C ar,qifx e inspltqe el’activité de politiques lignes les fixe qui cadre, Ce branche. la de l’empreinte

u on u ipstoslglse réglementaires et légales dispositions aux donne qui éii a l’ACOSS par définie

6

éier e oiat ’fetedn ecdeduepltqenationale politique d’une cadre le dans s’effectue cotisants les débiteurs

apln u ercurmn e racsscae otsont dont sociales créances des recouvrement le que Rappelons

u ersn propres sont leur qui

.LsUSA ipsn emyn d’intervention moyens de disposent URSSAF Les 1.

enon-recouvrement de

otpri nérned agsind risque du gestion la de intégrante partie font

.Lsfcltsacrésaxentreprises aux accordées facilités Les A.

ursu enon-recouvrement de risque du

emjrtossn e uisd gestion de outils des sont majorations de

.Lsdli epimn tlsremises les et paiement de délais Les I.

151 iqed rnfre e enèe nfunserd rdtcuttre(II). terme court crédit de fournisseur en dernières ces transformer de risque

ocle e opessaprésprlsUSA u oiat tle et cotisants aux URSSAF les par apportées souplesses les concilier

ennrcurmn I.Cpnat ’qiir rue s utlpour subtil est trouver à l’équilibre Cependant, (I). non-recouvrement de

nc esq’l evn tevscmedsotl egsind risque du gestion de outils des comme vus être peuvent qu’ils sens ce en

e raimsd eoveeta evc elu iso ecollecte de mission leur de service au recouvrement de organismes des

e éasd aeete eie emjrtossn ninstrument un sont majorations de remises et paiement de délais Les

asn e RSFuesred aqirsca e nrpie ? » entreprises des social banquier « de sorte une URSSAF des faisant

easd rsrreapéibee éid ’nettdssrlsmarchés, les sur d’incertitudes période en appréciable trésorerie de relais

osbltsofre u oiat erpéetn-le a n om de forme une pas représentent-elles ne cotisants aux offertes possibilités

ulqee acnurnelbee o asé tmm udl,ces au-delà, même Et ? faussée non et libre concurrence la et publique

axd avefsaee cnmqeqesn ’glt eatl charge la devant l’égalité sont que économique et fiscale vie la de taux

trmssn eetn-le a ncuecran rnie fondamen- principes certains cause en pas remettent-elles ne remises et

e nettdssrs otnblt iacèe?Cspaiusd délais de pratiques Ces ? financière soutenabilité sa sur incertitudes des

rencontres et trésorerie de matière en tensions des connait sociale Sécurité la que ensei alors remises ou délais des accorder peut-on point quel

g

nemen u apaee arsosblt e RSF Jusqu’à URSSAF. des responsabilité la et place la sur ÉVOLUTION

t TENDANCE ET TENDANCE

g fond de questions nombreuses de pose débat Ce est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

rs otiu a«sue ». sauver « la à contribue prise

LE MANAGEMENT LE

ac t entre- d’une faveur en prise mesure la que convient l’on si io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

1 oed aScrt oil,at .243-20. R. art. sociale, Sécurité la de Code 11.

0 oscniin,c.ntmetat .231,aié 1 alinéa 243-18, R. art. notamment cf. conditions, Sous 10. .

er

.1 ncsd rvi dissimulé. travail de cas en % 10 9.

nxc) oed aScrt oil,at .243-16. R. art. sociale, Sécurité la de Code inexact),

a document par 750 de limite la dans salarié par (7,5 cotisations des paiement le accompagnant bordereaux € €

.Sn rjdc e éaié ofiarsapiue ncsd éatd rdcino ’nxciuedes d’inexactitude ou production de défaut de cas en appliquées forfaitaires pénalités des préjudice Sans 8.

nérld apr aail e oiain oed aScrt oil,at .243-21. R. art. sociale, Sécurité la de Code : cotisations des salariale part la de intégral

.L ri omnpéotbe ui ’gtduepsiiié assu odtos oamn erèglement le notamment conditions, sous mais possibilité, d’une s’agit qu’il bien prévoit commun droit Le 7.

rss ’néê ectepriiainetmlil.El emt ’n part, d’une permet, Elle multiple. est participation cette de L’intérêt prises.

eleters tpriietàdsdsoiisd avgredsentre- des sauvegarde de dispositifs des à participent et l’entreprise de

e RSFsn néésdn etsupreaillcld monde du local partenarial tissu le dans insérées sont URSSAF Les

el olciiédscénir ulc » publics créanciers des collectivité « la de

.LsUSA atcpn glmn u cin communes actions aux également participent URSSAF Les 2.

ep,lu oc edissuasion. de force leur temps,

eléouingnrl e axditrt,mi fabisn,dn emême le dans affaiblissant, mais d’intérêts, taux des générale l’évolution de

tlu éidct)admnéa i utms oamn ortnrcompte tenir pour notamment temps, du fil au diminué a périodicité) leur et

lfu oe u emnatdsmjrtos( afi ertaux leur fois la (à majorations des montant le que noter faut Il . sibles

11

aer ucsecpines(oin o éiisprl oe,irrémis- Code), le par définies non (notions exceptionnels cas ou majeure

e aoain ertr opéetie tn npicp,su force sauf principe, en étant complémentaires retard de majorations les

, u elslsmjrtosd eadiiilspisn teremises être puissent initiales retard de majorations les seules que

10

epicp ééa oéprl oed aScrt oil veut sociale Sécurité la de Code le par posé général principe Le

xgbe a osd retard. de mois par exigibles 152

etie om oe elagn ,qis otn , e cotisations des % 0,4 à montent se qui », l’argent de loyer « forme mentaires

tlsmjrtosd eadcomplé- retard de majorations les et umnatdsctstosd % 5 de cotisations des montant du

9

e aoain ntae,fredagetto forfaitaire d’augmentation forme initiales, majorations les : ndu strates deux en

8

’cénefn ’be emjrtosd ead elsc edécomposent se Celles-ci retard. de majorations de l’objet font l’échéance

neft e oiain o aésà payées non cotisations les effet, En e eie emajoration. de remises des

a ilus e raimsotl osblt de possibilité la ont organismes les ailleurs, Par rcdrà procéder

ietu elUSA peut l’URSSAF de directeur codrdsdli epaiement. de délais des accorder

7

n nrpiepéetn,ntmet e ifclé etéoei,le trésorerie, de difficultés des notamment, présentant, entreprise une à

fnd efre er hne ercurrlsctstos tface et cotisations, les recouvrer de chances leurs renforcer de Afin

éied acin ncsd o-aeetdsctstosàl’échéance. à cotisations des non-paiement de cas en sanctions de régime

us,lsUSA ipsn ocd oespu sopi le assouplir pour moyens de donc disposent URSSAF les Aussi,

cnmqeslnuefred rnied réalité. de principe de forme une selon économique isdu eoveetsca fiaee ubsi esulsed monde du souplesse de besoin du et efficace social recouvrement d’un tifs rencontres

ensei epnal.Ctaefr iedn ocle e impéra- les concilier à donc vise fort axe Cet responsable.

g

nemen ÉVOLUTION ercurmn evu afi fiae oiar et solidaire efficace, fois la à veut se recouvrement de

t TENDANCE ET TENDANCE

eoveetfréefcet lrpel u processus que rappelle Il efficient. forcé recouvrement g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

eoveetaibee,e oolie ancsiéd’un nécessité la corollaire, en et, amiable recouvrement

LE MANAGEMENT LE

ac nrpie..,mtntmete vn apiat du primauté la avant en notamment met entreprises...), t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

7aû 209. août 27

4 iclie umnsr uBde,dsCmtspbise el ocinpbiu e 7mr et mars 27 des publique Fonction la de et publics Comptes des Budget, du ministre du Circulaires 14.

uainIdsrel (CIRI). Industrielle turation

3 e nrpie epu e40slré eèetd acméec uCmt nemnséild Restruc- de Interministériel Comité du compétence la de relèvent salariés 400 de plus de entreprises Les 13.

2 értd éebe1963. décembre 2 du Décret 12.

nalgatlspoéue te efratlsolgtosdsorganismes des obligations les renforçant en et procédures les allégeant en

ieàfcltrl eor u éasd aeet notamment paiement, de délais aux recours le faciliter à vise etextes de

14

e rcdrsdotosd éaso ermss neft nensemble un effet, En remises. de ou délais de d’octrois procédures les

eguenmn i npaeu ipstfdsiéàalgre accélérer et alléger à destiné dispositif un place en mis a gouvernement le

n20,ai ’ie e nrpie fete a aciefinancière, crise la par affectées entreprises les d’aider afin 2009, En

otelseft el rs edàdurer à tend crise la de effets les contre

.L ipstfmse lc orlutter pour place en mis dispositif Le 1.

u nrpie ndifficultés en entreprises aux

efre e ipstf esoutien de dispositifs les renforcer à

odi e ovispublics Pouvoirs les conduit a

.L rs iacèed 2008 de financière crise La B.

iu oaee emtaie er nomtose analyses. et informations leurs mutualiser de et locale mique

oiu,dsivsisus. l n orvcto ’bevrl i écono- vie la d’observer vocation pour ont Ils investisseurs... des sociaux,

at elÉa,lsUSA,lscabe oslie,dspartenaires des consulaires, chambres les URSSAF, les l’État, de tants 153

e ertie,gnrlmn ’ntaied rft soin e représen- des associant Préfet, du l’initiative à généralement territoires, les

esn osiussur constitués sont se hoc ad cellules des ou comités des Enfin,

ifclé tlaoto emsrsd avgre(ui,pê spécifique...). prêt (audit, sauvegarde de mesures de l’adoption et difficultés

adtcind leurs de détection la , hf ’nrpie emisd 0 salariés 400 de moins de d’entreprises chefs

13

rsdsprl rft,qiotpu iso ’cui tloinaindes l’orientation et l’accueil mission pour ont qui Préfet), le par présidés

’xmndspolmsd iacmn e nrpie CDF – (CODEFI entreprises des Financement de problèmes des d’Examen

n t glmn ré,e 94 e oié Départementaux Comités les 1974, en créés, également été Ont

éatmna e iacspbiusqil préside. la qui publiques finances des départemental

oil.L ietu elUSA netmmr,àlisa udirecteur du l’instar à membre, est en l’URSSAF de directeur Le sociale.

ndfiutsqisuatn bei néaeetd erdtefsaeet fiscale dette leur de étalement un obtenir souhaitent qui difficultés en

u osiun n om egihtuiu orlsentreprises les pour unique guichet de forme une constituent qui (CCSF)

12

e hf e evcsfnnir tdsognse eScrt sociale Sécurité de organismes des et financiers services des chefs des rencontres départementales commissions les citer peut l’on principal, titre À

ensei a ernneetàtu upri el dette. la de partie ou tout à renoncement de cas

g

nemen ÉVOLUTION ’fotcnet u e ifrnscénir ulc en publics créanciers différents les sur consenti l’effort

t TENDANCE ET TENDANCE

g répartir de part, d’autre permet, Elle créances. ces de ment est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

ordsprpcie omnse ocrésd règle- de concertées et communes perspectives des voir

LE MANAGEMENT LE

ac t d’entre- et publics créanciers des l’action décloisonner de io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

6 CS,ACO GR,Pl mli UNEDIC. Emploi, Pôle AGIRC, ARCCO, ACOSS, 16.

u2 ave 02 osl usindsrmssautomatiques. remises des question la hors 2012, janvier 23 du

5 iclie umnsr uBde,dsCmtspbise el éom elÉa u2 ule 00et 2010 juillet 22 du l’État de réforme la de et publics Comptes des Budget, du ministre du Circulaires 15.

aoietu èlmn aied acéne ’cel elUSA de l’URSSAF de l’échelle À créance. la de rapide règlement un favorisent

t eovésn e opess a ilus lsml e éascourts délais des semble il ailleurs, Par souplesses. ces sans recouvré été

asls6mi,sn ui otpsil ’vle emnatqiaurait qui montant le d’évaluer possible soit qu’il sans mois, 6 les dans

gr,i atntrqe7 e éasacré n21 n t soldés été ont 2010 en accordés délais des % 75 que noter faut il égard,

otdaod el elefcct e éasd aeet cet À paiement. de délais des l’efficacité de celle d’abord, Tout

evn teposées. être peuvent

urgr unva lv ecs«sulse ,tosquestions trois », souplesses « ces de élevé niveau du regard Au

e5 %. 58 de

3 0 n ééii ’nacr,si ntu erpnefavorable réponse de taux un soit accord, d’un bénéficié ont 000 130

n21,pu e2000ctsnsotsliiéu éa epaiement. de délai un sollicité ont cotisants 000 230 de plus 2010, en

ie u RSFotaget e4 nr 08e 00 neffet, En 2010. et 2008 entre % 42 de augmenté ont URSSAF aux mises

fe agbed acieéooiu,lsdmne edli sou- délais de demandes les économique, crise la de tangible Effet

etautdn eractivité leur dans traduit se

.«Lasnlrgeetie»dn e RSFs otemparées sont se URSSAF les dont » réglementaire L’arsenal « 2.

cincoordonnée. action

aiie e éace e nrpie fnd etee ur une œuvre en mettre de afin entreprises des démarches les faciliter à 154

eadseteexàtaesuecneto ecodnto propice coordination de convention une travers à eux entre demandes

raiatd ocr e rcdrssmlfése n iclrsto des circularisation une et simplifiées procédures des concert de organisant

uaodn edsoii en dispositif ce surabondent esrrî,lscénir sociaux créanciers les surcroît, De

16

oi-cnmqelocal). socio-économique

oiius(iet ’dpe n oiiu erms dpé ucontexte au adaptée remise de politique une d’adopter (liberté politiques

ius(oamn acpct uctsn erse o ciié et activité) son redresser à cotisant du capacité la (notamment miques

orlUSA,deju eaines(vclscénir ulc) écono- publics), créanciers les (avec relationnels d’enjeux l’URSSAF, pour

’uoaiiéd errms esml a le esi tetporteuse, est et soi, de aller pas semble ne remise leur de L’automaticité

prru rieetdféetdsmjrtosiiilse complémentaires. et initiales majorations des différent traitement un opérer

esaursrl rniee eqatmd arms.LUSA etainsi peut L’URSSAF remise. la de quantum le et principe le sur statuer de

eedn,i atmtr nlmèeq’laprin inàl’URSSAF à bien appartient qu’il lumière en mettre faut il Cependant,

. afn2012 fin la

15 i npaepu n ué iié,aééporsieetpooéjusqu’à prorogé progressivement été a limitée, durée une pour place en mis rencontres

ensei ecru,initialement corpus, Ce ». majorations) (des d’office cieuse

g

nemen

ÉVOLUTION oiat éalat su conditions) (sous défaillants cotisants n eiegra- remise une «

t TENDANCE ET TENDANCE

ipstfrsremm apsiiiédacre u les aux d’accorder possibilité la même réserve dispositif g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

niiain» uoaiiéd etie eie...Ce remises...). certaines de automaticité », anticipation

LE MANAGEMENT LE

ac ercurmn dli erpne eads«par « demandes réponse, de (délais recouvrement de t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

e087%. 0,867 de

n céned or n21,clic lcu e037%à175%prju vcuemoyenne une avec jour par % 1,715 à % 0,347 de fluctué a celui-ci 2011, En jour. 1 de échéance une

7 uoOeNgtIdxAeae etu oi s etu ’néê nebnar orl oeer avec euro zone la pour interbancaire d’intérêt taux le est Eonia taux Le Average. Index OverNight Euro 17.

o éeopmn u otêr i navant. en mis être doit qui développement son

oiat.A-eàdsitroain ui oee emsjrdqe,c’est juridiques, termes en pose qu’il interrogations des Au-delà cotisants.

aoain ertr s ocu éial ntuetd arlto aux relation la de instrument véritable un donc est retard de majorations

’ui u ersnetlsdli epimn tl eiedes remise la et paiement de délais les représentent que L’outil

rieetd eqaimlind remises. de quasi-million ce de traitement

motnepu e RSF u n on n ot olctto orle pour sollicitation forte une connu ont qui URSSAF, les pour importante

ete et éid ecie le ersnetéaeetuecharge une également représentent Elles crise. de période cette en ment

tpuetêr uscmeu ote ietàléooi,particulière- l’économie, à direct soutien un comme vues être peuvent et

n21.Elsrpéetn nefr iace osdrbepu abranche, la pour considérable financier effort un représentent Elles 2010. en

un u eie emjrto,elsotatit34mlin d’euros millions 334 atteint ont elles majoration, de remises aux Quant

ercusàl’emprunt. à recours ce

e éasd aeetamplifient paiement de délais Les . ec a ééec utu Eonia taux au référence par rence

17

oreputrc u mlqed at epimn ’néês nl’occur- en d’intérêts, paiement le facto de implique qui ce emprunter pour

155

il ’vi eor umrh uàl asedsdpt tconsignations et dépôts des Caisse la à ou marché au recours d’avoir tible

éaae ’naseet orl éuiéscae ’CS s suscep- est l’ACOSS sociale, Sécurité la pour d’encaissements décalages

ecû udclg etéoei.E fe,e éidsd esose de et tensions de périodes en effet, En trésorerie. de décalage du coût le

ectemsr.Nnpstn ecû diitai elu eto,mais gestion, leur de administratif coût le tant pas Non mesure. cette de

eps ni aqeto ucû orl rnh Recouvrement branche la pour coût du question la enfin pose Se

n20 +2 %). 25 (+ 2009 en

epcatov o cosrl axdacr u otmn augmenté fortement a qui d’accord taux le sur écho son trouvé a pic de

00( 1%,ae n asetè ot n20 +8 ) e effet Cet %). 86 (+ 2009 en forte très hausse une avec %), 11 (+ 2010

lsd eif enmr edmne éèeetcuete20 et 2008 entre cru légèrement a demandes de nombre Le relief. de plus

vltosq’ one ’RSFd ai-éinprsen présentent parisienne Paris-Région de l’URSSAF connues qu’a évolutions

utu ’codpu ocitroe u ’fiaiéd ipstf Les dispositif. du l’efficacité sur interroger donc peut d’accord taux du

aoie e cod orfcltrl asg el rs.L stabilité La crise. la de passage le faciliter pour accords ces favoriser à

rencontres cherchent publics Pouvoirs les Or, années. dernières trois les sur stable est ensei délai de demande sur d’accord taux le ailleurs, Par

g

nemen ÉVOLUTION 0%. 90

t TENDANCE ET TENDANCE

etu ersetdséchéancier des respect de taux le g à s’élève mois 6 à s est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

on e3mi 8 unva ainl,tni que tandis national), niveau au % (80 mois 3 de moins à

LE MANAGEMENT LE

ac t sont le accordés délais des % 70 parisienne, Paris-Région io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

el ulct éaed aprocédure. la de légale publicité la de

epsi cetàdr e oiain us..mi upi atclèeetéeée air econcurrence, de matière en élevé particulièrement prix au mais dues)... cotisations des (c’est-à-dire passif de

esuead u u emtr ’bei n eieitgaedsmjrtos or n vnuleremise éventuelle une voire majorations, des intégrale remise une d’obtenir permettra lui qui sauvegarde de

0 aspéuied apsiiiépu ectsn éiere rnedfiut,datonrueprocédure une d’actionner difficulté, grande en débiteur cotisant le pour possibilité la de préjudice Sans 20.

9 ams npaepohiedu ytm edmnepritre oratacnurl phénomène. le accentuer pourrait internet par demande de système d’un prochaine place en mise La 19.

0212d ére 02fxn etu elitrtlglpu ’né 2012. l’année pour légal l’intérêt de taux le fixant 2012 février 7 du 2012-182 n Décret 18. o

. epedel easd acébancaire marché du relais le prendre de

20

acletvt t nlocrec,àl olciiédsctsnssociaux, cotisants des collectivité la à l’occurrence, en et, collectivité la à

npu ojussitroe u efi esvi ’lappartient s’il savoir de fait le sur s’interroger toujours peut on fine, In

sible.

onisn n etiesaiiéqifi e RSFu prtu prévi- opérateur un URSSAF des fait qui stabilité certaine une connaissent

epu,be u e axd aoainéoun,ils évoluent, majoration de taux les que bien plus, De . enégociation de

19

atel e cod erpre ’vtruepaed rseto et prospection de phase une d’éviter permet leur accords des partielle

eadse adcrn el rnh evuatpocie l’automatisation proactive, voulant se branche la de doctrine la et demandes

-lpsaler u epa el eaincin,l asfcto des massification la client, relation la de plan le Sur ? ailleurs pas t-il

eedn,pu e oiat,litrtdsUSA es trouve- se ne URSSAF des l’intérêt cotisants, les pour Cependant,

oiiusd eto ursu e établissements. des risque du gestion de politiques

iace et lscmlx urgr el utpiiédsofe tdes et offres des multiplicité la de regard au complexe plus reste financier

.Namis aqeto el oprio umarché au comparaison la de question la Néanmoins, ). 07 n2012 en % (0,71

18

nul) rssal tdsraspuuiié ua axditrt légal d’intérêts taux au ou utilisé, peu désormais et stable très annuels),

, a os npuri ecmae utu ebs acie(, % (6,6 bancaire base de taux au comparer le pourrait On mois. par % 0,4 à

orl éier osmjrtosiiils elyrd ’rets monte se l’argent de loyer le initiales, majorations Hors débiteur. le pour

’npu tde et usinsu ’nl ucû el’argent de coût du l’angle sous question cette étudier peut L’on 156

orcle u binetuerms e aoain eretard. de majorations des remise une obtiennent qui celles pour

erli etéoei vnaexpu e nrpie,particulièrement entreprises, les pour avantageux trésorerie de relais de

e gr,lsmsrsd ’RSFpuetcntte n forme une constituer peuvent l’URSSAF de mesures les égard, cet À

ebe collectif. bien de

etn nssèed oiaiéqilu ofr n iglrt particulière singularité une confère leur qui solidarité de système un mentent

nrpie rve tl et ectstosscae e enèe ali- dernières ces : sociales cotisations de dette la et privées entreprises

ete.Cpnat lyal n ifrnentbeeteuedteentre dette une entre notable différence une là a y il Cependant, rentiel.

rdtfunser»cmeo etlsrnote asl etu concur- secteur le dans rencontrer les peut on comme » fournisseur crédit «

’crid éasd aeetpu ’nlsre n om de forme une en s’analyser peut paiement de délais de L’octroi

.LUSA,funserd rdt u od ulc ? publics fonds sur crédits de fournisseur L’URSSAF, 1. .Lsipcsdsmsrssrl ytm esolidarité de système le sur mesures des impacts Les A.

rencontres

ensei trli etéoei o marché bon trésorerie de relais et

g

nemen ÉVOLUTION

’cuteetdscotisations des d’acquittement

t TENDANCE ET TENDANCE

rue nr facilités entre trouver à g

SOCIALE : : SOCIALE est

i

o DE LA PROTECTION LA DE n

oel usind ’qiir subtil l’équilibre de question la pose

LE MANAGEMENT LE

ac I et om egsind risque du gestion de forme Cette II. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

A 9935C,JC 4/0d 16/06/1999. du 149/40 L JOCE 1999/395/CE, SA,

4 éiind aCmiso u2 cor 98cnenn ’iedÉa codeprlEpgeàSniace à l’Espagne par accordée d’État l’aide concernant 1998 octobre 28 du Commission la de Décision 24.

3 e aoain ertr efiatpsdsaatelaatg cod l’entreprise. à accordé l’avantage disparaître pas faisant ne retard de majorations Les 23.

2 f oamn JE iim hmr,2 un19,Af -5/7 MTransport. DM C-256/97, Aff. 1999, juin 29 Chambre, Sixième CJCE, : notamment Cf. 22.

1 x ril 2d riédvn ril 7d riésrl omnuéeuropéenne. Communauté la sur Traité du 87 article devenu Traité du 92 article : Ex. 21.

gsatdn esn elitrtgnrl e eod ehrhn eprofit. le recherchant seconds les général, l’intérêt de sens le dans agissant

rv opredslmts neft erbtetdféet e premiers les différent, est but leur effet, En limites. des comporte privé

oprio e raimsd eoveete e cer usecteur du acteurs des et recouvrement de organismes des comparaison

rdtcuttree esrtge acie rsdvre.D ucot la surcroît, De diverses. très bancaires stratégies de et terme court crédit

rv.Cteecc s opeea eadd amlilct e frsde offres des multiplicité la de regard au complexe est exercice Cet privé.

n iéd ipstfpbi tc uelsarin uotnrdu créancier d’un obtenir pu auraient qu’elles ce et public dispositif du tiré ont

el ofriéd e ie,d oprrlaatg u e entreprises les que l’avantage comparer de aides, ces de conformité la de

eadn u uiitosntoae saisies nationales juridictions aux demandent uoéne aCommission la et européen

24

exosrain evn terlve.Peirmn,l juge le Premièrement, relevées. être peuvent observations Deux

. hre u,nraeet rvn ebde ’n nrpie» entreprise d’une budget le grèvent normalement, qui, charges

23

e tbe asl aéoi e ie rhbe,car prohibées, aides des catégorie la dans bien et bel léen les allégeant «

nc es l entreraient ils sens, ce En ». sociale Sécurité de régime du normale cation

léen acag éoln el’appli- de découlant charge la allégeant « comme considérés être peuvent

ajrsrdneeuropéenne jurisprudence La rvi u e éasd paiement de délais les que prévoit

22

. rhbeprl riésrl’Union sur Traité le par prohibée

21

osiun n itrind ocrec usn ’n iepublique aide d’une sens au concurrence de distorsion une constituent

157

ilsdli epimn trmssacré n nrpiee difficulté en entreprise une à accordés remises et paiement de délais les si

tdj t ase ecsqetos u efn,i ’gtd déterminer de s’agit il fond, le Sur questions. ces de saisies été déjà et

uiiu elUinerpen.Lsisiuin uoéne n d’ores ont européennes institutions Les européenne. l’Union de juridique

in acnurnelbee o asé,lreetisrt asl socle le dans inscrite largement faussée, non et libre concurrence la à tient

’ndspicpsfnaetu udotéooiu usn large sens au économique droit du fondamentaux principes des L’un

betf trationnels. et objectifs

’mlelsmsrsdrgtie ielssn ode u e critères des sur fondées sont elles si dérogatoires mesures les d’emblée

atd ifclé.L osi osiuine,qatàli ’naiepas n’invalide lui, à quant constitutionnel, conseil Le difficultés. de fait

e aaié otiuie e oiat ottmoarmn éutsdu réduites temporairement sont cotisants des contributives capacités les

eie tdli ebetrpnr n icntnepriuir où particulière circonstance une à répondre semblent délais et remises

glmn éateetetu e ioesàrio elusfclé,les facultés, leurs de raison à citoyens les tous entre répartie également

mlqeetelsctsns énon,s acag ulqedi être doit publique charge la si Néanmoins, cotisants. les entre implique

tevecmeuefrediéaiéprl ifrned rieetqu’elle traitement de différence la par d’inégalité forme une comme vue être rencontres pourrait retard de majorations des remise la même, De

ensei

g cotisant. au favorable nature par et individuelle, car tive, nemen

ÉVOLUTION

t sélec- mesure une sont paiement de délais les effet, En TENDANCE ET TENDANCE

g est : SOCIALE

i fiscale. l’équité de question la pose se d’abord, Tout o n PROTECTION LA DE

LE MANAGEMENT LE

ac t ? bousculés fondamentaux principes Des 2. io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

hfdeters u netrd et epnaiiéprilsdifférents les parmi responsabilité cette de investir Qui ? d’entreprise chef

air epltg el at iacèedseterss eeatdu relevant entreprises, des financière santé la de pilotage de matière

eedn,n ’gti a ’nrnesmn el hreen charge la de renversement d’un pas s’agit-il ne Cependant,

eatpoalmn ecmlmn e rvu engagés. travaux des complément le probablement serait

ote cabe oslie,sniase soitosprofessionnels) associations et syndicats consulaires, (chambres soutien

rsetlsdfiutsfnnirse ’retrvr e tutrsde structures des vers l’orienter à et financières difficultés les pressent

n taéi fesv ossatàaetru oiatdn on dont cotisant un alerter à consistant offensive stratégie Une

atnie rc arces e ae ednésdsURSSAF. des données de bases des richesse la à grâce partenaires

uvelsefrseggsdn esn elifraind ulce des et public du l’information de sens le dans engagés efforts les suivre

ifrainéooiu etrel,gorpiu...Cc odi pour- à conduit Ceci géographique...). sectorielle, économique (information

rss atsrl lnidvde ifrainpronlse u collectif que personnalisée) (information individuel plan le sur tant prises,

RSFcmedsatusd apéeto e ifclé e entre- des difficultés des prévention la de acteurs des comme URSSAF

aCneto ’betf td eto ttAOSpston les positionne État/ACOSS gestion de et d’objectifs Convention La

.Aéirrl etnnedsdcsosd l’URSSAF de décisions des pertinence la Améliorer 1.

’ntle enueu uisdn adurée la dans outils nouveaux de d’installer

otel rs,lsUSA ovn teàmême à être doivent URSSAF les crise, la contre

.A-eàdsdsoiisecpinesd lutte de exceptionnels dispositifs des Au-delà B.

raimsd éuiéscae nsri etêr affectée. peut-être serait en sociale, Sécurité de organismes

’iepbiu u otlsdli trmss asl auedsURSSAF, des nature la Mais remises. et délais les sont que publique d’aide 158

i eiéauri etêr aqeto el rhbto ecteforme cette de prohibition la de question la peut-être évacuerait Ceci ci.

e tnad acie uamnm ’n lsgad lxblt ecelui- de flexibilité grande plus d’une minima a ou bancaires standards les

etus nfvu ’nainmn utu e aoain ertr sur retard de majorations des taux du alignement d’un faveur en secteurs,

et oiinpuri lie,ai ernr oprbe e deux les comparables rendre de afin plaider, pourrait position Cette

ié naotpu n vned fonds. de avance une pour amont en lisés

atu ytm esldrt tq’le esn a e néêscontractua- intérêts des pas sont ne qu’elles et solidarité de système un tant

eadsntonn ennpimn ’cénedsctstosalimen- cotisations des l’échéance à non-paiement le sanctionnent retard

opreàu prtu ecéi apln u e aoain de majorations les que Rappelons ? crédit de opérateur un à comparée

e nl ’nls nerg n RSFpu-lerelmn être réellement peut-elle URSSAF une : interroge d’analyse angle Cet

in ercusaibesn e tbe individuelles. bien et bel sont amiable recours de sions

’codd éaso ermsspie a e ietuso e Commis- les ou directeurs les par prises remises de ou délais de d’accord

il ’teams.O,e ’sèe lsml aiet u e décisions les que manifeste semble il l’espèce, en Or, admise. d’être tible

ééaié:sueuemsr ééaee o icéinar s suscep- est discrétionnaire non et générale mesure une seule : généralité rencontres eue aoalsmsse as almèed leur de lumière la à cause en mises favorables mesures ensei

g

nemen exèeet aCu nls alciédes licéité la analyse Cour la Deuxièmement, ÉVOLUTION

t TENDANCE ET TENDANCE

A e edpu rvsbe u emrh bancaire. marché le que prévisibles plus rend les SAF g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

saetms ni,l tblt élmnar e URS- des réglementaire stabilité la Enfin, temps. espace

LE MANAGEMENT LE

ac epu,lu taéi esisrtpsdn emême le dans pas s’inscrit ne stratégie leur plus, De t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

6 ’s--iel oeto epsi xgbedvetspreràlatfdisponible. l’actif à supérieur devient exigible passif le où moment le C’est-à-dire 26.

a apr argeetto e oiain sociales. cotisations des réglementation la à rapport par

5 ’urstaaxe or emtetdapéirl iqed iuto enncnomt ’n entreprise d’une non-conformité de situation de risque le d’apprécier permettent cours en travaux D’autres 25.

og udsmnat motns oratêr efré.D ls la plus, De renforcée. être pourrait importants) montants des ou longs

at arceceduecnrpri cuinsldiepu e délais des pour solidaire (caution contrepartie d’une recherche la dant,

tn rbbeete ifclé ’gr esscénir rvs Cepen- privés. créanciers ses de l’égard à difficultés en probablement étant

ebecmlx,l oiatdmnatu éa o race social créancier son à délai un demandant cotisant le complexe, semble

in nmtèed aate iacèe epieaod et voie cette abord, prime De ? financières garanties de matière en tions

otdaod ’gr e oiat,pu-nrnocrlsobliga- les renforcer peut-on cotisants, des l’égard à d’abord, Tout

oel usindscontreparties. des question la pose

ovi nl air,dacre éase eie u oiat,c qui ce cotisants, aux remises et délais d’accorder matière, la en pouvoir

iu te osdrn vcrsrel auedsrtonied leur de discrétionnaire nature la réserve avec considérant en et mique

aiils nlu ead vieips) fnd liiirl i écono- vie la fluidifier de afin impose), (voire demande leur On familiales.

essèed oiaiéqesn e suacsscae tlsallocations les et sociales assurances les sont que solidarité de système le

e RSFecisn e oiain u lmnetcau jour chaque alimentent qui cotisations les encaissent URSSAF Les

elu iso erecouvrement de mission leur de

.Grni u RSFu qiir éiiedn l’exercice dans légitime équilibre un URSSAF aux Garantir 2.

osaé a ejuge. le par constatée , ind paiement de tion

26

epnalsd ’crismn upsi ope el aed cessa- de date la de compter à passif du l’accroissement de responsables

159 ietu oratêr naé a eJg ucmec tcu-irendus ceux-ci et commerce du Juge le par engagée être pourrait directeur

om nsuinaui.L epnaiiéd ’RSFe eson de et l’URSSAF de responsabilité La abusif. soutien un comme riori,

elUSA u uatacréc u paatat probablement apparaitrait, qui ce accordé aurait qui l’URSSAF de poste- a

eps aqeto el epnaiiécvl tcommerciale et civile responsabilité la de question la pose se fine, In

u abs ’nomtospu umisparcellaires. moins ou plus d’informations base la sur

tlUSA u otpedeuedcso ’codo erfsd délais de refus de ou d’accord décision une prendre doit qui l’URSSAF et

afieetbe nom el iuto tdsprpcie es société, sa de perspectives des et situation la de informé bien parfaitement

rps erlvrlifrainayérqeeteu hfd’entreprise chef un entre asymétrique l’information relever de propos,

nfnto esncmotmn s ncusd et ns ot ce à doit, se On test. de cours en est comportement son de fonction en

ui ’vlaind iqerpéet a ’cridu éa ncotisant un à délai d’un l’octroi par représenté risque du d’évaluation outil

epu,ai ’ie e RSFdn erdcso,un décision, leur dans URSSAF les d’aider afin plus, De . e exans deux les

25

isotéééaoé,pretn ’prce ersu ’sinto dans d’assignation risque le d’apprécier permettant élaborés, été ont tifs

iacèedseterss?Àctéad e oèe prédic- modèles des égard, cet À ? entreprises des financière l’analyse de

rencontres experts des recruter ou mandater moyens, des rationalisation de contexte ensei un dans peuvent-elles, URSSAF les ailleurs, Par

g

nemen ÉVOLUTION e nrpie ? entreprises des

t TENDANCE ET TENDANCE

g gestion la à d’aide marchande l’offre pour place quelle Et est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

ec ud aCabed omree ’nuti ? d’industrie et commerce de Chambre la de ou merce

LE MANAGEMENT LE

ac t com- de Tribunal le pour rôle Quel ? publics recouvreurs io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

8 ’s--ienaatpscnudicdn epimn eusa on 2mois. 12 moins au depuis paiement de d’incident connu pas n’ayant C’est-à-dire 28.

iel oe el’argent. de loyer le dire

7 lfuri asc a edevamn réisbelsmjrtosd eadcmlmnars c’est-à- complémentaires, retard de majorations les irrémissible vraiment rendre cas ce dans faudrait Il 27.

edotprl ueps question. pose juge le par droit de

eetelirmsil .Src on atcle,lapiaindsrègles des l’application particulier, point ce Sur ». l’irrémissible remettre «

anto e«crosacsecpinels»cdatl osblt de possibilité la cadrant » exceptionnelles circonstances « de notion la

nc êesn,n eati a potnd oe e iie de limites les poser de opportun pas serait-il ne sens, même ce En

etfacilité. ment

tn particulière- étant éiin rdés ’codpu e primo-débiteurs les pour l’accord graduées, décisions

28

uoaié t oçe rvyn,slnl iuto udbtu,des débiteur, du situation la selon prévoyant, conçue, été a automatisée

etatmn qial e oiat.Uevrtbetbedécisionnelle table véritable Une cotisants. des équitable traitement le

liiirl rieetdsdmne edli td eie,e assurer à et remises, de et délais de demandes des traitement le fluidifier à

’RSFd ai-éinprsen i nœveuepltqevisant politique une œuvre en mis a parisienne Paris-Région de l’URSSAF

otxeaplel aiié asl epc el otied abranche, la de doctrine la de respect le Dans rapidité. la appelle contexte

ine nr e RSF fnd aiie ’xmnd eadsdn le dont demandes de l’examen faciliter de afin URSSAF, les entre sionnel

et it éest eedn n nfcto upoessdéci- processus du unification une cependant nécessite piste Cette

uteàmdrrl ieud majorations. de niveau le modérer à quitte

egrnisàeie orn a etee éi aprniéd l’entreprise, de pérennité la péril en mettre pas ne pour exiger à garanties de

vcpu ooliel aaiépu e RSFdapéirl niveau le d’apprécier URSSAF les pour capacité la corollaire pour Avec

esaeqedsgrnissplmnarspurin nrre jeu. en entrer pourraient supplémentaires garanties des que stade ce à

e ut-éalat erin ar ’be ’n td prfni.C’est approfondie. étude d’une l’objet faire devraient » multi-défaillants « les

160 eqietdoe tdj ecsdn e at.E revanche, En faits. les dans cas le déjà et d’ores est qui ce , demandes

27

e oiat,ueqaiatmtct ’codd éaspu e premières les pour délais de d’accord automaticité quasi une cotisants, les

’s rv n21,purin emtr ’niae ecnarr pour consacrer, de d’envisager permettre pourraient 2012, en prévu c’est

elsatmtsr ubsi npsatpruepg nentcomme Internet page une par passant en besoin au automatiser, les de

amsiiaindsdmne edli tl oot el branche la de volonté la et délais de demandes des massification La

in(0%,lsatvtsd osi tdignei 9%). (9 d’ingénierie et conseil de activités les %), (10 tion

inatmbl 1 ) acntuto 1 ) ’éegmn tl restaura- la et l’hébergement %), (12 construction la %), (15 automobile tion

ecnetetpu otésr4gad etus:lsgrgsd répara- de garages les : secteurs grands 4 sur moitié pour concentrent se

beuu éa hqeane e nrpie ut-eadrse » multi-demanderesses « entreprises Ces année. chaque délai un obtenu

rssotbnfcéd lser éase 00o 01 ot660ont 600 6 dont 2011, ou 2010 en délais plusieurs de bénéficié ont prises

’cel elUSA ePrsRgo aiine rsd 100entre- 000 11 de près parisienne, Paris-Région de l’URSSAF de l’échelle à

rnir nr sg e rise piiainsi éu.Àtted’exemple, titre À ténue. soit optimisation et droits des usage entre frontière

otmesdsdmne edli oratêr xlre inqela que bien explorée, être pourrait délais de demandes des coutumiers a ilus ’ded ainaie ecmotmn e cotisants des comportement le rationnaliser de l’idée ailleurs, Par rencontres

ensei rtv tlsdot e cotisants. des droits les et trative

g

nemen ÉVOLUTION aé,sn élgrcpnatl ipiiainadminis- simplification la cependant négliger sans sagés,

t TENDANCE ET TENDANCE

omsd ûeé(yohqe.. oraetêr envi- être pourraient (hypothèques...) sûreté de formes g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

atonmn,litniiaind eor u autres aux recours du l’intensification cautionnement,

LE MANAGEMENT LE

ac epnaiiépronle ercusaxscéé de sociétés aux recours le personnelle, responsabilité t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

9 nnteaéirto eusdu n,cependant. ans, deux depuis amélioration nette En 29.

rue éos univoque. réponse trouver

e od éesie ufnneetd aScrt oil,n saurait ne sociale, Sécurité la de financement au nécessaires fonds les

aaié otiuie e nrpie tlipres éest elever de nécessité l’impérieuse et entreprises des contributives capacités

aqeto edpr,qiet ufn,cled ’qiir nr les entre l’équilibre de celle fond, au est, qui départ, de question La

olcetipcetncsarmn eqoiindsentreprises. des quotidien le nécessairement impactent collectent

’nomnual ihsed er ttsius e otnsqu’elles montants les statistiques, leurs de richesse l’incommensurable

evrtbe cer el i cnmqelcl tntoae udl de Au-delà nationale. et locale économique vie la de acteurs véritables de

’n e osatsd e vltosrseqelsUSA sont URSSAF les que reste évolutions ces de constantes des L’une

vcl éeopmn e ocin ecnrl,dofe eservice... de d’offres contrôle, de fonctions des développement le avec

asl esd éir également, métier, du sens le Dans sensu. stricto cotisations des au-delà et

otiuin eovéssetdvlpéa-eàd aScrt sociale, Sécurité la de au-delà développé s’est recouvrées contributions

asl esd amtèe otdaod nc u ecapdes champ le que ce en d’abord, tout matière, la de sens le Dans

e oiain eScrt oil,setporsieetétendu. progressivement s’est sociale, Sécurité de cotisations des

RSFnotcsédéour er«cu emte ,l recouvrement le », métier de cœur « Leur d’évoluer. cessé n’ont URSSAF

urcurmn e oiain ’suac hmg n21,les 2011, en chômage d’Assurance cotisations des recouvrement du

euslu rainofcel aslsane 0àl rs ncharge en prise la à 50 années les dans officielle création leur Depuis

*****

161 e majorations. des

td on utc tpéevri rbbeetl oc edissuasion de force la probablement préserverait et justice bonne de et

at nrsetpu cuuexd argesri n aated’équilibre garantie une serait règle la de scrupuleux plus respect un dant,

plcto e mlctose air epltqeéooiu.Cepen- économique. politique de matière en implications des a application

argeetto nmtèescaeetcre opeee son et complexe certes est sociale matière en réglementation La

. l’URSSAF

29

afsrlsrmss ùsue éiin u 0sn aoalsà favorables sont 10 sur décisions 3 seules où remises, les sur sauf

aitasdn a u 0qeqe oetlscesd demande... de chefs les soient quelques 10 sur cas 9 dans magistrats

ocuin elUSA ePrsRgo aiinesn uve a les par suivies sont parisienne Paris-Région de l’URSSAF de conclusions

cod efcou rdtgaut ’cel el éinprsen,les parisienne, région la de l’échelle À gratuit. crédit un facto de accorde

aoain tsn rnr ncniéainl otfnnird délai, du financier coût le considération en prendre sans et majorations

éiied ifr ’naseet ejg uTS,e eetn les remettant en TASS, du juge Le d’encaissement. différé du légitime

ovn osdre om n acine o om acontrepartie la comme non et sanction une comme considérées souvent rencontres trop sont majorations Ces facilité. certaine une avec complémentaires,

ensei cetrl eiedsmjrtosd ead compris y retard, de majorations des remise la accepter

g

nemen ÉVOLUTION eleters uju eladec,ottnac à tendance ont l’audience, de jour au l’entreprise de

t TENDANCE ET TENDANCE

g situation la (souverainement) appréciant en qui, (TASS) est : SOCIALE

i o n PROTECTION LA DE

elat e rbnu e farsd éuiéSociale Sécurité de Affaires des Tribunaux des veillante

LE MANAGEMENT LE

ac t bien- jurisprudence la relever effet en peut On io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

tgrnisnouvelles. garanties et

atl auee esuatêr niaé afàlu potrdssolutions des apporter leur à sauf envisagé, être saurait ne et nature la rait 162

eripsrpu u eq’le otdj nl air nchange- en matière la en déjà font qu’elles ce que plus imposer Leur

econtraintes. de

umrh acie ac u ’uoenu moeu eti nombre certain un impose nous l’Europe que Parce bancaire. marché du

em rti.PreqelsUSA esn a avral d’ajustement variable la pas sont ne URSSAF les que Parce gratuit. terme

ut.PreqelsUSA esn a e raimsd rdtcourt crédit de organismes des pas sont ne URSSAF les que Parce juste.

éii) elyrd ’retn etpsêr ei.Ctergesemble règle Cette remis. être pas peut ne l’argent de loyer le définir),

om ’qiir.Su a xetonl(ui eattu emm tl de utile même de tout serait (qu’il exceptionnel cas Sauf d’équilibre. forme

trsel oe elagn.L élmnainatel rsneune présente actuelle réglementation La l’argent. de loyer le reste Et

rsse difficultés. en prises

ulu 3 ilosders otdsfnsaplsàsuei e entre- les soutenir à appelés fonds des sont d’euros, millions 330 quelque

eoveet el êefçn e eie emjrto,représentant majoration, de remises les façon, même la De recouvrement.

ats asl eso le otsnéscnrbe ’fiaiédu l’efficacité à contribuer sensées sont elles où sens le dans tantes,

RSFsn aalsdapre edietpsêr uscmeexorbi- comme vues être pas doivent ne d’apporter capables sont URSSAF rencontres ’nes,lsmsrsd opes u les que souplesse de mesures les l’inverse, À ensei

g

nemen ÉVOLUTION otdn a asconséquences. sans pas donc sont

t TENDANCE ET TENDANCE

ééa e iacsscae.Lsrmsse éasne délais et remises Les sociales. finances les général g SOCIALE : : SOCIALE est

i o

DE LA PROTECTION LA DE n

in ieàl hredseterssdgael’équilibre dégrade entreprises des charge la à mise tions

LE MANAGEMENT LE

ac ln atpsprr eveqel et ecotisa- de dette la que vue de perdre pas faut ne Il t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

DES ACTEURS DES REGARDS REGARDS

rencontres ensei g nemen t g est i o n ac t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

Ingénierie sociale et détachement européen Guillaume Filhon Délégué permanent de la représentation auprès de l’Union européenne de Sécurité sociale (REIF) depuis avril 2010 1

Résumé

Le processus de construction européenne pose le problème de l’articulation entre la liberté de mouvement des travailleurs, des capitaux, des services et des marchandises d’une part, et de la préservation des droits sociaux qui relèvent de la compétence nationale d’autre part. Cette 165 contradiction est patente s’agissant des règles qui visent à l’unification du marché du travail, et notamment des règles qui président au « détache- ment », processus par lequel un travailleur polonais ou bulgare peut venir travailler en France ou en Allemagne pour une période donnée, sans rompre le contrat qui le lie à l’entreprise polonaise ou bulgare qui l’emploie. Initiale- ment destiné à protéger les travailleurs saisonniers portugais et espagnols contre toute perte de droit liée au changement de régime social, cette règle implique donc que des travailleurs aux droits sociaux différents – et aux coûts différents – puissent être amenés à travailler dans le même pays, voire sur le même chantier... Initialement, le processus de réglementation européen, parce qu’il implique un consensus entre la Commission, le Parlement et le Conseil, a permis un délicat équilibre entre la protection des normes sociales nationales et l’unification du marché : il a conduit à un droit certes touffu, mais qui posait le principe du « lex loci laboris » (la soumission au droit du pays où l’on travaille), tout en posant le cadre des exceptions à ce principe... Mais la Cour de justice de l’Union européenne, qui, elle, n’a besoin que d’une majorité pour statuer, a considérablement élargi le champ de ces exceptions, jusqu’à poser dans les faits la primauté

1. Titulaire d’un Master Service Public de Sciences Po Bordeaux, d’un Master de droit social européen de l’Université de Louvain et d’un Master de Gestion Publique de Sciences Po Paris, Guillaume Filhon est ancien élève de l’École nationale supérieure de Sécurité sociale (EN3S) et de l’Institut de la Gestion, de la Performance, et du Développement Économique (IGPDE).

4ji 2011. juin 24 Monde, Le 4.

1540190_3224.html

.http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/06/24/chantier-de-flamanville-l-asn-accuse-bouygues_ 3.

1jnir2011. janvier 11 Ouest-France, 2.

rspr et iso arato uCmisieerpe compétent, européen Commissaire du réaction la mission cette à part pris

almnar mlie farsscae,asliiéae e éué ayant députés les avec sollicité a sociales, affaires et Emploi parlementaire

’tn edesrpae evnh éè,l rsdned acommission la de présidente la Bérès, Pervenche place, sur rendue s’étant

om edoterpe epéot n iso upreeteuropéen parlement du mission Une prévoit. le européen droit le comme

eetrvrésaxisiuin eScrt oil e asd’origine, pays des sociale Sécurité de institutions aux reversées vement

oiain rlve u e aarsdsovir ocré tin effecti- étaient concernés ouvriers des salaires les sur prélevées cotisations

ase omissrl ied lmnil,sn ui otéal u les que établi soit qu’il sans Flamanville, de site le sur roumains et nais

oit oyus letapr uAlnodtcatdstaaler polo- travailleurs des détachait qu’Atlanco apparu est Il Bouygues. société

radi ncag el ostatned atedœved hnir la chantier, du d’œuvre maître du sous-traitance la de charge en irlandais

uoénaatééuup a tac,uescéécyroeaxcapitaux aux chypriote société une Atlanco, par usurpé été avait européen

uiiie auleapri edmnrrcminl ri udétachement du droit le combien démontrer de permis a laquelle judiciaire,

tn obex ’uoiéd ûeéncéieadmnéueenquête une demandé a nucléaire sûreté de l’Autorité nombreux, étant

élrto e ciet utaalaate iusrl site le sur lieu eu ayant travail du accidents des déclaration e derniers Ces .

4

ocinae ’npcind rvi)antmetrlv aclued sous- de culture la relevé notamment a travail) du l’inspection avec fonction

éinlsd eriee esnéa rvi CRA) u atgn cette partagent qui (CARSAT), travail au santé de et retraite de régionales

ir eeatd ’nri elaoe(esn omlmn e caisses les normalement sont (ce l’atome de l’énergie de relevant tiers

nrpotrnupbi e6ji 2011 juin 6 le public rendu rapport un ’S,cméet orlschan- les pour compétente L’ASN, .

3

166 ûeéNcéie(S) nut otlscnlsossn erce dans retracées sont conclusions les dont enquête (ASN), Nucléaire Sûreté

ecstaaler éahsotfi ’be ’n nut a ’uoiéde l’Autorité par enquête d’une l’objet fait ont détachés travailleurs ces de

uportugais ou pè lser ciet utaal e odtosd vie de conditions les travail, du accidents plusieurs Après .

2

e élcs»dn 0%d eriluse ofer ooas roumains polonais, coffreurs et ferrailleurs de % 40 dont » déplacés « des

écereprmna agmn iac a e od ulc,6 étaient % 60 publics, fonds des par financé largement expérimental réacteur

am e 5 uresitreat éu 01srl hnirdu chantier le sur 2011 début intervenants ouvriers 350 3 les Parmi

a ecdejrdqeerpe u«dtceet». détachement « du européen juridique cadre le par

n uir resrlspaiusdignei oil éomi ouvertes désormais sociale d’ingénierie pratiques les sur crue lumière une

mlysdn ecate ’néê ainld ’P eFaavleajeté a Flamanville de l’EPR de national d’intérêt chantier le dans employés

arcnedcuet etaaler ooase omis(mal) roumains et polonais travailleurs de découverte récente La Introduction

rencontres ensei

g nemen bsconstatés. abus

t élmnar uoénessetbed orgrles corriger de susceptible européenne réglementaire g est

i o

DES ACTEURS DES n

aler,e nrîe ancsiéduenuel norme nouvelle d’une nécessité la entraîner et vailleurs,

REGARDS REGARDS

ac el ocrec u el el rtcindstra- des protection la de celle sur concurrence la de t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

csP729 cnut nfvir2012). février en (consulté jcms/P_73289/

.ArtC2/0«HioKezc/uebug» 5mr 01 ipnbee in curia.europa.eu/jcms/ : ligne en disponible 2011, mars 15 », Koelzsch/ Heiko « C-29/10 Arrêt 9.

1889-2006. .RgeetC n CE Règlement 8.

o

inmispoetuse inmiscoûteux. moins bien et protecteurs moins bien

.Raarpéedi oie ordstaaler tbi asil u éie epoeto oil irlandais, sociale protection de régimes aux Marseille à établis travailleurs des pour cotiser prétendait Ryanair 7.

.Vi tp/wwerci.rdottaaler-omsinrnoebleeasatce(oslée ére 2012). février en (consulté http://www.euractiv.fr/droit-travailleurs-commission-renvoie-balle-etats-article Voir 6.

XLV/F cnut nfvir2012). février en (consulté +XML+V0//FR

.Vi http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+OQ+O-2011-000168+0+DOC Voir 5.

oclainprosdlct orl éuiéscaee ergeetdes règlement le et sociale Sécurité la pour : délicate parfois conciliation

et rtqeetecdé a exnre otagats la à contraignantes, normes deux par encadrée est pratique Cette

il ri aslqe ls’exerce. il lequel dans droit le ni

aleris ’npy esu asBsn opesncnrtd travail de contrat son rompre sans B pays un vers A pays d’un issu vailleur

indsprons lpre ’noe orueproedné etra- le donnée période une pour d’envoyer permet Il personnes. des tion

u osiun esced acntuto uoéne:l iet ecircula- de liberté la : européenne construction la de socle le constituent qui

edtceets od u ’n e utelbré fondamentales libertés quatre des l’une sur fonde se détachement Le

eFlamanville. de

u«dtceeterpe ,lqe s ’rgn e bstl u celui que tels abus des l’origine à est lequel », européen détachement « du

leit us e xetosd yepu ééa tqirésultent qui et général plus type de exceptions des aussi existe Il

asd rvi aiulpu e autres les pour habituel travail de pays , ... orlsuns les pour

8 9

etie ujrsrdnile,otéétove aed rattachement de base : trouvées été ont jurisprudentielles, ou mentaires

otes orcspoesospriuirsdssltosséiius régle- spécifiques, solutions des particulières professions ces Pour routiers.

peé tetè oie,cmel esne éino e chauffeurs les ou aérien personnel le comme mobiles, très être à appelés

etie otscoile tcnenn oamn e salariés les notamment concernent et sectorielles sont Certaines 167

asi xsedféetsexceptions. différentes existe il Mais

u raietlsdpaeet osbe e travailleurs. des possibles déplacements les organisent qui

u ’plqed ao ééaee u s tbi a e ifrnstextes différents les par établie est qui et générale façon de s’applique qui

rged ri upy ùlo travaille) l’on où pays du droit de (règle laboris loci lex la bien c’est : lieu a

edotd rvi tl ri el rtcinscaed aso l’activité où pays du sociale protection la de droit le et travail du droit le

ntére edotd ’no iedsrge ucpilsd protéger de susceptibles règles des fixe l’Union de droit le théorie, En

rtcinscaedstravailleurs... des sociale protection

u sgspri a ecdergeetieerpe nmtèede matière en européen réglementaire cadre le par permis usages aux

osiu nateeeped ancsiéd s’intéresser de nécessité la de exemple autre un constitue , êeacabit même

7

nrpieaéécnanepu e rtqe ’néirescaedu sociale d’ingénierie pratiques des pour condamnée été a entreprise

edpr eRaard ’éootd asil pè u cette que après Marseille de l’aéroport de Ryanair de départ Le

u edoterpe el emtpas. permet le ne européen droit le que rencontres parce justement charge, la ont qu’ils rappelle Ándor Lazló dont mentaires

ensei e oesjrdqe ’fete e éiiain complé- vérifications les d’effectuer juridiques moyens les

g nemen

ls rueqelsÉase usinnotpas n’ont question en États les que trouve se Il . matière

t 6

ar epce arsosblt des responsabilité la respecter faire g la en entreprises est

i o n ACTEURS DES

ene u éocrat ’s u tt ebe de membres États aux c’est : déconcertante fut dernier

REGARDS REGARDS

ac

arpned ce de réponse La . t Ándor Lazló hongrois socialiste le io n 5 s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

an-atndHrs 2011. Saint-Martin-d’Hères, Europe, en sociale protection la de Dynamique La C., Euzeby 10.

rnepi ’lean tvre e oiain oilsaxinstitutions aux sociales cotisations des verser et d’Allemagne puis France

e edn e ciié ucsie edotd rvi ’san,de d’Espagne, travail du droit le successives activités ses pendant ter

sanlqes arèecnute rnepi nAlmgedi respec- doit Allemagne en puis France en conduit carrière sa que espagnol

ecnom u èlsscae tfsae ec as is,u travailleur un Ainsi, pays. ce de fiscales et sociales règles aux conforme se

eulipiu u etaalervnn xre o ciiédn npays un dans activité son exercer venant travailleur le que implique lequel

indstaaler s soi upicp i u«py edsiain», destination de pays « du dit principe au associé est travailleurs des tion

’n ao ééae edoterpe teatàl iet ecircula- de liberté la à attenant européen droit le générale, façon D’une

e oilaboris loci Lex ou » destination de « pays du

10

udmigsca,prlafraind principe du l’affirmation par social, dumping du

.L ri uoénoiiar protège originaire européen droit Le I.

otôeduemcnqedn otpreàcor uel ’s male(III). emballée s’est qu’elle croire à porte tout dont mécanique d’une contrôle

ia,dvlpe e oe tmyn éesie arsarto du restauration la à nécessaires moyens et voies les développer final,

e osbe uet asl ar ujud ir acé(I or au pour, (II) marché libre du jeu du cadre le dans ouverts possibles des

ec el ord utc elUinerpen efrél champ le renforcé a européenne l’Union de justice de Cour la de dence

aler,àqeqe xetospè I,pi nlsrcminl jurispru- la combien analyser puis (I), près exceptions quelques à vailleurs,

epcel ri upy edsiain»e a emblt e tra- des mobilité de cas en » destination de « pays du droit le respecte

ue asnd e oaié efruain edotoiiar européen originaire droit le formulation, de modalités ses de raison qu’en

168 orrpnr e usin,i atdn npeirtmsrappeler temps premier un dans faut il questions, ces à répondre Pour

otue orlsfnne ulqe tcnrie upoe uoén? européen projet au contraires et publiques finances les pour coûteuses

ocré fndéie edvlpeetd éhdsde méthodes de développement le d’éviter afin concernés social dumping

epc udotd rvi td aScrt oil e tt membres États des sociale Sécurité la de et travail du droit du respect

rbèe ecodnto nr e ifrnsssèe ecnrl du contrôle de systèmes différents les entre coordination de problèmes

tlsau epu npu osaé s-lpsil ermde aux remédier de possible Est-il ? constatés plus en plus de abus les et

asqel euepu-nepiurlsoiie udétachement du origines les expliquer peut-on mesure quelle Dans

edn aproed éahmn,lqel epu xée 4mois. 24 excéder peut ne laquelle détachement, de période la pendant

rvi otmitneetel esnedtcé tleters d’envoi l’entreprise et détachée personne la entre maintenue soit travail

rvilu u etrior ’nÉa ebe odto uuerlto de relation qu’une condition à membre, État d’un territoire le sur travailleur

ecdeduepetto esrie rnntoae etdtce un détacher peut transnationale, services de prestation d’une cadre le

uuli rvil aiuleet» etxeipiu u ’nrpie dans l’entreprise, que implique texte Le ». habituellement travaille il duquel

rvi u etrior ’nÉa ebeateqelÉa u eterritoire le sur l’État que autre membre État d’un territoire le sur travail éah ottaalerqi edn n éid iié,eéueson exécute limitée, période une pendant qui, travailleur tout « : détaché rencontres

ensei 6nvmr 96 et enèedfntl travailleur le définit dernière Cette 1996. novembre 16

g nemen uPreete uCnelerpes u aedu date qui européens, Conseil du et Parlement du

t edtceetetogns a adrcie96/71/CE directive la par organisé est détachement le g est

i o

DES ACTEURS DES n

8/04 ’gsatd ri utaale e salaires, les et travail du droit du S’agissant 883/2004.

REGARDS REGARDS

ac oiain,l éahmn s uoiéprl règlement le par autorisé est détachement le cotisations, t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’ttdn euli xresnatvt urtv.E air eSécurité de matière En lucrative. activité son exerce il lequel dans l’État

ule etaal mlqeqel rvilu s omsàl éilto de législation la à soumis est travailleur le que implique travail) de lieu du

l ri u ’plqeetcelui est s’applique qui droit (le laboris loci lex du générale règle La

u s plcbee air eScrt sociale. Sécurité de matière en applicable est lui

osdr om éiet»dn nÉa tprcnéun edotqui droit le conséquent par et État un dans » résident « comme considéré

oil éemn asqel eueu rvilu éah etêtre peut détaché travailleur un mesure quelle dans détermine sociale

ergeet8320 ecodnto e éie eSécurité de régimes des coordination de 883/2004 règlement Le

.Lsrge ecodnto el éuiésociale Sécurité la de coordination de règles Les 2.

e odtosd’embauche. conditions les

ipstosrcurn eslie etmsd rvi td eo is que ainsi repos de et travail de temps le salaire, le recouvrent dispositions

rcso s motne nyrveda upy edsiain Ces destination. de pays du reviendra) y on importante, est précision

(cette loi la par fixées essentielles d’emploi conditions les et travail de

éahmn rvi neftqesin plqé edotd arelation la de droit le appliqués soient que effet en prévoit détachement

escelgld asd etnto ’ril . el ietv u le sur directive la de 3.1 l’article : destination de pays du légal socle le

êedn ecdedu éahmn,lepoerdi respecter doit l’employeur détachement, d’un cadre le dans Même

’n êescééo noeuestaind rvi intérimaire. travail de situation une encore ou société même d’une

iiéàtostpsd iutos:l ostatne etaseta sein au transfert le sous-traitance, la : situations de types trois à limité

edtceetcnttedn n xeto.I s strictement est Il exception. une donc constitue détachement Le

plqe nrgegénérale. règle en appliquer à

rtcinmnml .L ri oild asd etnto et edroit le reste destination de pays du social droit Le ». minimale protection

169

ebe ovn ovi aatru oa erge méaie de impératives règles de noyau « un garantir pouvoir doivent membres

oae»e u«rsetdsdot e rvilus»tni u e États les que tandis » travailleurs des droits des respect « du et » loyale

epémued adrciepéiel éest ’n concurrence « d’une nécessité la précise directive la de préambule Le

.L ietv u edtceete edotd travail du droit le et détachement le sur directive La 1.

oscetl rnied asd destination de pays du principe le consacrent

tl èlmn uoénd éuiésociale Sécurité de européen règlement le et

.L ietv u edtceetdstravailleurs des détachement le sur directive La A.

oil tsrotl ietv evcs». services « directive la surtout et sociale

edtceetdstaaler,l èlmn ecodnto eSécurité de coordination de règlement le travailleurs, des détachement le

éocscmessetbe ’nfvrsrlapiain:l ietv sur directive la : l’application favoriser d’en susceptibles comme dénoncés rencontres régulièrement européens textes les dans compris y encadrées, très rie

ensei ofr eedn ’xetos eqelssn nthéo- en sont lesquelles d’exceptions, cependant souffre

g nemen ogd acrir ascsdféet as eprincipe Ce pays. différents ces dans carrière sa de long

t g au tout acquis droits les d’articuler vue en édictés été est

i o n ACTEURS DES

e èlmnserpes«d oriain»otdonc ont » coordination de « européens règlements des

REGARDS REGARDS

ac t sociale, Sécurité la pour ; successifs États ces de dédiées io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’nttto epoeto oil esnpy d’origine. pays son de sociale protection de l’institution

asc a rcs eslrécniu evre e oiain à cotisations des verser de continue salarié le précis, cas ce Dans

a ’nrpiedn ’ttd’établissement. l’État dans l’entreprise par

tn prcé ntnn oped antr éledsatvtsexercées activités des réelle nature la de compte tenant en appréciés étant

ieceete epuord éemnrl aued rvi,cscritères ces travail, du nature la déterminer de pouvoir de et licenciement

nmtèed ertmn,d ota etaal ermnrto,de rémunération, de travail, de contrat de recrutement, de matière en

ele ’prcatprrpotàu aseudééet,responsabilité d’éléments, faisceau un à rapport par s’appréciant lien ce

nr ’mlyu tl aai edn ot aproed détachement, de période la toute pendant salarié le et l’employeur entre

edtceetd li ri ups uu inognqesubsiste organique lien qu’un suppose droit plein de détachement Le

auleel s aneu ucusd o détachement. son de cours au maintenue est elle laquelle à

éu ecteatvt ntn u éah,aoréésuieàl législation la à soumise été avoir détaché, que tant en activité cette de début

etdn nateÉa ebe otfi et esnedi vn le avant doit personne cette Toutefois membre. État autre un dans ment

etêr n esnercué a n nrpiee u esndétache- son de vue en entreprise une par recrutée personne une être peut

nc u ocrelscniin eaie uslré:u détaché un : salarié au relatives conditions les concerne qui ce En

ie umte opetn uscerdatvt eleters concernée. l’entreprise de d’activité secteur du tenu compte métier au liées

esmlsatvtsd eto nen asbe ’ciié substantielles d’activités bien mais interne gestion de activités simples de

eetsnatvt u etrior elÉa ’mli:i edi a s’agir pas doit ne il : d’emploi l’État de territoire le sur activité son lement

le otpu atelésàlepoer:clic oteecrnorma- exercer doit celui-ci : l’employeur à liées partie pour sont Elles

etsn rve a ergeetdapiain987/2009. d’application règlement le par prévues sont ment

e odtoscmlmnarspu ui useyaordétache- avoir y puisse qu’il pour complémentaires conditions Des

170

éah even a nrmlcmn ’natetaalerdétaché. travailleur autre d’un remplacement en pas vienne ne détaché

atrdqe iul éahmn tefnl odto u etravailleur le que condition la enfin et détachement le lieu a duquel partir

inpu ’mlyu ’xre omlmn e ciié aslÉa à l’État dans activités ses normalement d’exercer l’employeur pour tion

’ciiépretn ercui udtceet oteà2 os l’obliga- mois, 24 à portée détachement, au recourir de permettant l’activité

ergeetd aeps e odtosepiie adrede durée la : explicites conditions des pose base de règlement Le

ebe eer omsàl éilto upy aiuld’emploi. habituel pays du législation la à soumis demeure membre,

mlyu,eec eprieetueatvt u etrior ’nÉtat d’un territoire le sur activité une temporairement exerce employeur,

’ril 2d èlmn.U rvilu aai u,pu ecmt eson de compte le pour qui, salarié travailleur Un règlement. du 12 l’article

leit eedn n xeto edtceetpéupar prévu détachement le : exception une cependant existe Il

l’occurrence.

ééiir--ld êergm eScrt oil,l éiegnrlen général régime le sociale, Sécurité de régime même du bénéficiera-t-il

er--lsaqitrdsmmsctstosqesnclèu rnas et français, collègue son que cotisations mêmes des s’acquitter devra-t-il rencontres alerplni yn ncnrtdn n sn française usine une dans contrat un ayant polonais vailleur ensei

g nemen in oilsafrne argentoae is,l tra- le Ainsi, nationale. règle la à afférentes sociales tions

t tq’ledi ’n ao ééaesaqitrdsobliga- des s’acquitter générale façon d’une doit qu’elle et g est

i

o DES ACTEURS DES n ur asettatecmel esrisn ec pays, ce de ressortissant le comme traitée est pays autre

REGARDS REGARDS

ac oil,cl mlqeqel esnetaalatdn un dans travaillant personne la que implique cela sociale, t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

okognsto/158f.t cnut nfvir2012). février en (consulté work_organisation/c10508_fr.htm

1 or http://europa.eu/legislation_summaries/employment_and_social_policy/employment_rights_and_ Voir, 11.

etetehme tfemmes). et hommes entre ment

emsecitse e emsvnn ’coce ’glt etraite- de l’égalité à ; d’accoucher venant femmes des et enceintes femmes

eue rtcrcsapialsaxcniin etaale ’mlides d’emploi et travail de conditions aux applicables protectrices mesures

nrpie etaalitrmie éuié at thgèea rvi aux ; travail au hygiène et santé sécurité, intérimaire, travail de entreprises

u odtosd ieàdsoiindstaaler,ntmetprdes par notamment travailleurs, des disposition à mise de conditions aux

aar iia,ycmrscu aoé orlshue upéetie ; supplémentaires heures les pour majorés ceux compris y minimal, salaire

erps;àl ué iiaedscné nul aé u axde taux aux ; payés annuels congés des minimale durée la à ; repos de

ae rltvsaxproe aiae etaale u éidsminimales périodes aux et travail de maximales périodes aux (relatives nales

u rvilusdtcé,c u ups ersetrlsnre natio- normes les respecter de suppose qui ce détachés, travailleurs aux

ebed éahmn ovn om nlav te hoi s’appliquer théorie en et vu l’a on comme doivent détachement de membre

e odtosd rvi tdepo éae nvgerdn l’État dans vigueur en légales d’emploi et travail de conditions Les

e nrgr rtqee osnulsrl iee lc ec texte. ce de place en mise la sur consensuel et pratique regard un ter

rsaind evcsdn natepy.Cscaiiain etn d’appor- tentent clarifications Ces pays. autre un dans services de prestation

el ietv u edtceetdstaaler etn élsrune réaliser à destiné travailleurs des détachement le sur directive la de

iatàcaiirl portée la clarifier à visant , omnctos oamn narl2006 avril en notamment communications,

11

yn ac epoe) aCmiso uoéneae fe uléplusieurs publié effet en a européenne Commission La projet). le lancé ayant

ie o oknti ,d o ucmisiea acéintérieur Marché au commissaire du nom du », Bolkenstein « (ou » vices

ar e oéiuscnenn ’tbismn el ietv ser- « directive la de l’établissement concernant polémiques des cadre 171

et éacecnesel t atclèeetéiet le évidente particulièrement été a consensuelle démarche Cette

elUinàl oprto oae»etelsÉasmembres. États les entre » loyale coopération « la à l’Union de

ines qoqesn osqecsopsbe)dn ’pe récurrent l’appel dans opposables) conséquences sans (quoique tionneuse

nqe»pu e rvilusmgat.O eruectedmrh précau- démarche cette retrouve On migrants. travailleurs les pour » unique

rfsine,o noeae epoe ncusd iaiaind permis « de finalisation de cours en projet le avec encore ou professionnel,

plcbe ergeetfxn etiua optn ncsd contentieux de cas en compétent tribunal le fixant règlement le applicable,

vcl ietv evcs» vcl èlmn iatl ri contractuel droit le fixant règlement le avec », services « directive la avec

otate plcbeàu rvilu oie ’s ecs a exemple, par cas, le C’est mobile. travailleur un à applicable contractuel

almn tCnel u otssetbe etuhra ri oilet social droit au toucher de susceptibles sont qui Conseil) et Parlement

etscnrinnspougé a etitqeisiuine (Commission, institutionnel triptyque le par promulgués contraignants textes

et ehrh eslto opst ertov aslsdifférents les dans retrouve se composite solution de recherche cette ur adrciesrl éahmn tl èlmn ecoordination, de règlement le et détachement le sur directive la Outre

rencontres ensei

g nemen tpoeto e travailleurs des protection et

t g prestation de liberté précaution avec est

i o n ACTEURS DES

rgnie ’no articule l’Union originaire,

REGARDS REGARDS

ac t décision de mode son de fait Du B. io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

oehgn 2008. Copenhagen, Model, Social European the

h evc ietv osqecsfrteWlaeSaeand State Welfare the for consequences : Directive Service The Roseburry, and Nielsen Neergeard, Voir 14.

fEibrh uoaIsiue icelwrigpprsre,5/2008. series, paper working Mitchell Institute, Europa Edimburgh, of

University Directive, Service the and Treaty EC under movement free rigths, Employment C., Barnard Voir 13.

ére 2012). février

2 orht:/u-e.uoae/eUievLxrSr.ouiCLX69802:RHM cnut en (consulté http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=CELEX:61978J0120:FR:HTML Voir 12.

otnetd eee el optnedsÉasmmrsd destination. de membres États des compétence la de relever de continuent

ulqe epoeto el at ulqeo elevrneetqui l’environnement de ou publique santé la de protection de publique,

upu adtriaindscniéain ’rr ulc esécurité de public, d’ordre considérations des détermination la pour ou

rfsinelsrqie orleecc ’n ciiédné at 17.8), (art. donnée activité d’une l’exercice pour requises professionnelles

asl ar el ietv evcs» le ad êedsqualifications des même de va en Il ». services « directive la de cadre le dans

ejur is,l ar éa upy edsiainsips également s’impose destination de pays du légal cadre le Ainsi, jouer. de

utmsd rvi,d ascrt utaal elhgèe t.continue etc. l’hygiène, de travail, au sécurité la de travail, de temps du

ersetd adrcie«dtceet»saisn uslieminimum, salaire du s’agissant » détachement « directive la de respect le

inels e rils1. t2. apletqe nmtèed services, de matière en que, rappellent 24.1 et 17.5 articles Les sionnelles.

ocretntmetlscniin etaale e ulfctosprofes- qualifications les et travail de conditions les notamment concernent

e rils1 tsiat el ietv evcs» e dérogations Ces ». services « directive la de suivants et 17 articles les

’ursdrgtosa P otséiiumn etone dans mentionnées spécifiquement sont PPO au dérogations D’autres

u ePOn ’plqepas. s’applique ne PPO le que

e rnie otôé a aCu encsiée eproportionnalité, de et nécessité de Cour la par contrôlés principes les

méiue ’néê ééa evn utfe,dslr uelsrespectent qu’elles lors dès justifier, peuvent général d’intérêt impérieuses

ofréetaxcniéain elartCsi eDjn e raisons des Dijon, de Cassis l’arrêt de considérations aux conformément

ain ’rr ulc esnépbiu ud éuiépbiu.E outre, En publique. sécurité de ou publique santé de public, d’ordre rations 172

u eèetd ’uoiépbiu tpu tersritprdsconsidé- des par restreint être peut et publique l’autorité de relèvent qui

ln ’plqepsaxactivités aux pas s’applique ne il : rue iie ’plcto uPPO du l’application à limites breuses

14

asae adrcie«srie ,i xsetuor etè nom- très de toujours existe il », services « directive la avec Mais

esrie a epy d’origine. pays le par services de

asac ec rniea otôedsatvtsd ’nrpieprestataire l’entreprise de activités des contrôle au principe ce de naissance

ePicp uPy ’rgn PO.L ietv evcs»éedl recon- la étend » services « directive La (PPO). d’Origine Pays du Principe le

amtèe tsu ovr ercnasac uule aCu défendait Cour la mutuelle, reconnaissance de couvert sous et matière, la

ovn tevnua end ertientoa etu ttmmr.En membre. État tout de national territoire du sein au vendu être pouvant

ebedvi tecniéécmersetn algsainntoaeet nationale législation la respectant comme considéré être devait membre

trcnucmepuatêr ed usi utrior ainldu État d’un national territoire du sein au vendu être pouvant comme reconnu et

è os npoutcniéécmersetn algsainnationale législation la respectant comme considéré produit un lors, Dès

arcnasac uulesaisn e omsapialsàu produit. un à applicables normes des s’agissant mutuelle reconnaissance la eJsiedsCmuatsErpens(JE éedl rniede principe le défend (CJCE) Européennes Communautés des Justice de

rencontres

asctartclbe aCour la célèbre, arrêt cet Dans . elUineuropéenne l’Union de

13 ensei

u evcspetsa sein au prestés services aux »

99«Csi eDijon de Cassis « 1979 g

nemen 12

tn algqepré a ’rê u2 février 20 du l’arrêt par portée logique la étend evcs» services « t

g

est

iaeetvtee éebe2006, décembre en votée Finalement adirective la i

o DES ACTEURS DES n

REGARDS REGARDS

ac .L ietv service directive La 1. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

7 èlmn 420/CJ .12. L. JO 44/2001/EC Règlement 17.

atr/l06f.t cnut nfvir2012). février en (consulté matters/jl0006_fr.htm

6 orhttp://europa.eu/legislation_summaries/justice_freedom_security/judicial_cooperation_in_civil_ Voir 16.

ai,2005. Paris,

elveni utasotruird marchandise, de routier transport du noir livre Le routier, tranport du nationale Fédération voir sujet, le Sur 15.

ule etaalhabituel travail de lieu du l’employeur de d’établissement lieu du tribunal ou

fr apsiiiéd efiedvn le devant faire le de possibilité la offre e rbnu ule elitige de lieu du tribunaux des

17

ergeetcnenn acompétence la concernant règlement le logique, même la Suivant

ar utravailleur. du raire

ncsd rsnetempo- présence de cas en travail, de lieu du pays du droit le pecter sauf

ucnrt ern et éaced consensus de démarche cette reprend contrat, au ecnrtdi res- doit contrat le :

16

rnfotlesdn edmied ’plcto ’ncnltd osrelatives lois de conflit d’un l’application de domaine le dans transfrontaliers

ergeet5320 dt«Rm ) u rnh e a elitiges de cas les tranche qui »), I Rome « (dit 593/2008 règlement Le

ecruaind travailleur du circulation de

.Lsate etsrgeetie yn n niec u aliberté la sur incidence une ayant réglementaires textes autres Les 2.

osraindsdcmnsscax(at tsécurité). et (santé sociaux documents des conservation

epy edsiain le éut orlepoerueolgto de obligation une l’employeur pour résulte en Il destination. de pays le

’naetlu rvi,pu teeié fnd aiie e otôe dans contrôles les faciliter de afin exigée être peut travail, leur n’entament

n élrto u edtceetd rvilus vn u ceux-ci que avant travailleurs, de détachement le sur déclaration Une 173

evn tesuie ’biaindotnrueatrsto préalable. autorisation une d’obtenir l’obligation à soumises être peuvent

atdn etisscer esbe cmel hrai a exemple) par pharmacie la (comme sensibles secteurs certains dans nant

éahmn etaaler nrvnh,lsscéé esrie interve- services de sociétés les revanche, en ; travailleurs de détachement

edrirn et nrgegnrl,ipsrdatrsto raal au préalable d’autorisation imposer générale, règle en peut, ne dernier Ce

ipsrdu ersnatpraetsrl ertied ’ttd’accueil. l’État de territoire le sur permanent représentant d’un disposer

rcsn oamn u epettied evcsnetpsolg de obligé pas n’est services de prestataire le que notamment précisent

upy ’rgn,lscmuiain el omsineuropéenne Commission la de communications les d’origine, pays du

ùl éahmn etaorle asl ar éemn a e règles les par déterminé cadre le dans lieu avoir peut détachement le où

éahmn td éemnto e oansfnlmn se restreints assez finalement domaines des détermination de et détachement

asu oc ecaiiainoéainel el ietv u le sur directive la de opérationnelle clarification de souci un Dans

. at 2.2.c) (art.

15

éàrgeetsprdstxe pcfqe,cmel rnpr routier transport le comme spécifiques, textes des par réglementés déjà rencontres transports de services les et 2.2.b) (art. électronique communication de

ensei evcsfnnir at ..) e evcse réseaux et services les 2.2.a), (art. financiers services

g nemen ’s--iel lpr e evcspbis(r.41,les 4.1), (art. publics services des plupart la c’est-à-dire

t g économiques, non services les : » services « directive la est

i o n ACTEURS DES

pcfqeetmniné om erlvn a de pas relevant ne comme mentionnés spécifiquement

REGARDS REGARDS

ac t sont services certains que préciser faut il Enfin, io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

esni 2008. Helsinki,

irto n efr nnwErp oilpoeto n h hlegso integration, of challenges the and protection social : Europe new in welfare and Migration E., Carmel Voir 20.

slmimgainl47_rhm(oslée ére 2012). février en (consulté asylum_immigration/l14574_fr.htm

9 orhttp://europa.eu/legislation_summaries/justice_freedom_security/free_movement_of_persons_ Voir 19.

leec ’sete essolgtosprofessionnelles. obligations ses de l’essentiel exerce il

rcs u ecnrtdu rvilu xratssatvtsdn lser asetrg a alid asoù pays du loi la par régi est pays plusieurs dans activités ses exerçant travailleur d’un contrat le que précise

8 letàntrqecsééet n t rcssprlartC2/0CU u1 as21,lequel 2011, mars 15 du CJUE C-29/10 l’arrêt par précisés été ont éléments ces que noter à est Il 18.

nn,l omsinamssrpe e lmnsdsié faciliter à destinés éléments des pied sur mis a Commission la gnant,

icte«coéainlyl efi ’be ’uu et contrai- texte d’aucun l’objet fait ne » loyale coopération « cette Si

iusscae déloyales. sociales tiques

orlu ori e nomtosncsarsdn altecnr e pra- les contre lutte la dans nécessaires informations les fournir leur pour

vclsatrtsd asd destination, de pays du autorités les avec » loyalement coopérer « doivent

e uoié ainlsd asd’origine pays du nationales autorités les que soulignant en consensuelle et

a.Àc ir,l omsinpusi algqed éacearticulée démarche de logique sa poursuit Commission la titre, ce À bas.

ie,i xsedsdfiutsdapiainsrlsule nrvedaplus reviendra on lesquelles sur d’application difficultés des existe il liées,

u acméec e rbnu tlscmuiain u er sont leurs qui communications les et tribunaux des compétence la sur

evcs» ergeetd oriain ergeetRm ,l règlement le I, Rome règlement le coordination, de règlement le », services «

in t éii a adrcie«dtceet»cmlteprl directive la par complétée » détachement « directive la par définis été aient

inqel ar uiiu is u e oaié d’application modalités les que ainsi juridique cadre le que Bien

ecut ué,a êetteqepu edétachement. le pour que titre même au durée, courte de

oilàdu iess assueetpu e oiié intra-européennes mobilités les pour seulement mais vitesses, deux à social

e2 as21,etann etsl iqed éeopmn ’ndroit d’un développement de risque le certes entraînant 2011, mars 24 le

nqed éore etaalpu e rvilusimgé elnu durée longue de immigrés travailleurs les pour travail de et séjour de unique 174

ePreeterpe iipraotrl rniedu permis d’un principe le adopter par fini a européen Parlement Le

. oiié nr-uoéne ultérieures intra-européennes mobilités

20

elUine eattat om ’mot ultaalerge osd ses de lors grec travailleur quel n’importe comme traité serait et l’Union de

mirn éuire rc uataniu emsuiu orl’ensemble pour unique permis un ainsi aurait Grèce en régulier immigrant

rvilra end ’Erpnri ngad ateàctosal un : obstacle cet à partie grande en répondrait l’UE de sein au travailler

btceàl iet ecruain tlisarto ’npri nqepour unique permis d’un l’instauration et circulation, de liberté la à obstacle

ette e ifrne nr éiltosntoae osiurin un constitueraient nationales législations entre différences les titre, ce À

’tbismn aslU lbré odmnae aate a e traités). les par garanties fondamentales (libertés l’UE dans d’établissement

éne apooiinlgsaies od u albréd iclto et circulation de liberté la sur fonde se législative proposition La péenne.

n oslapoh opst nut a admrh élmnar euro- réglementaire démarche la par induite composite l’approche fois une

luteencore illustre , e rvilusnnerpesdn emrh intérieur marché le dans européens non travailleurs des

19

emsuiu rvr l’UE, travers à » unique permis « otlojci s ’crîr amobilité la d’accroître est l’objectif dont apooiinlgsaied aCmiso iatàlisarto d’un l’instauration à visant Commission la de législative proposition La rencontres

ensei hcndeteeux. d’entre chacun

g nemen iee lc edsoiisssetbe esatisfaire de susceptibles dispositifs de place en mise

t omlto el élmnainerpen nrîela entraîne européenne réglementation la de formulation g est

i o

DES ACTEURS DES n

inetelsatusitreatdn epoessde processus le dans intervenant acteurs les entre tion

REGARDS REGARDS

ac

c noe adfiielgqed concerta- de logique difficile la encore, Ici . el’employé de t io 18 n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

lwr 2008. Kluwer, Relations, Industrial EU vs Relations Industrial National M., Rönnmar 23.

odn 2008. London, Hurddle, first the clear process legislative the Directive, Service The W., Kowalski Voir 22.

xod 2006. Oxford, US, the and Europe in Constitutionalism and Governance New

nDbraG,SotJ., Scott G., Deburca in Security, Social of Field the in Governance New and Solidarity C., Barnard Voir 21.

erct rssàl aoiédsjuges. des majorité la à prises côté leur

in amjrt ulfé) e éiin el ord utc otde sont justice de Cour la de décisions les qualifiée), majorité la à sion,

-iee oéiinetel osi,l almn uoéne aCommis- la et européen Parlement le Conseil, le entre codécision en à-dire

acéitrersn rsssrl aed a«poéueodnie»(c’est- » ordinaire procédure « la de base la sur prises sont intérieur marché

lr u e èlsnraie nmtèed ocineetdu fonctionnement de matière en normatives règles les que Alors

u apoeto olciedstravailleurs des collective protection la sur

23

aoiel iet d’entreprendre liberté la favorise

.L ord utc elUineuropéenne l’Union de justice de Cour La A.

’n néired upn social Dumping du ingénierie d’une

emtetcpnatl éeopmn manifeste développement le cependant permettent

agmn nepéésprl CJUE, la par interprétées largement

upy edestination, de pays du

I e xetosa principe au exceptions Les II.

175 u éesdsÉaslspu rtcer u epa social. plan le sur protecteurs plus les États des dépens aux

indféetsqifclt ams nœveduefredignei sociale d’ingénierie forme d’une œuvre en mise la facilite qui différentes bien

èlscneselsprueCu ejsieaxmdltsd décision de modalités aux justice de Cour une par consensuelles règles

xetoscniésàdscstè rcs ’s ’nepéaind ces de l’interprétation C’est précis. très cas des à confinées exceptions

esufeqed quelques de que souffre ne laboris loci lex du règle la différé), salaire un elles

ecau et etêr nepéé(e oiain oilsconstituent- sociales cotisations (les interprété peut-être texte chaque de

êes ecapd’application champ le si même : apouto enre consensuelles normes de production la

22

etnto tqispoeuepoéueàl aoiéqaiie entraîne qualifiée, majorité la à procédure une suppose qui et – destination

e tt ebe otlspu usat otsuetlsÉasde États les souvent sont puissants plus les dont membres États des

mlqeu osnu nr ifrne éiiié tntmetcelle notamment et – légitimités différentes entre consensus un implique

qui , nvi iniiqel rcsu éiine européen décisionnel processus le que ici bien voit On

21

ain éesie ucnrl e ipstosd adrcieconcernée. directive la de dispositions des contrôle au nécessaires mations

acéItrer(M) nvedasrrlséhne lcrnqe d’infor- électroniques échanges les d’assurer vue en (IMI), Intérieur Marché rencontres le sur d’Information (informatique) système du spécifique module un à

ensei tAfie oilsd as21 otn erecours le soutenu a 2011 mars 7 du sociales Affaires et

g nemen uvn amm oiu,l osi e iite Emploi ministres des Conseil le logique, même la Suivant

t g nationales. administrations entre l’échange de linguistique est

i o n ACTEURS DES

uar ecoéainmliigesmlfatl barrière la simplifiant multilingue coopération de mulaire

REGARDS REGARDS

ac t for- d’un l’élaboration comme d’informations, l’échange io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

5 ore:EU (2011). ETUI : Source 25.

4 JERs-otgea -1/9d 7mr 1990. mars 27 du C-113/89 Rush-Portuguesa, CJCE 24.

rvilu ern emnèetmoar asu ur ttmembre État autre un dans temporaire manière de rend se travailleur .

25

rv u osdr u edotd rvi plcben hnepss le si pas change ne applicable travail du droit le que considère qui privé

in oils asl eueo leetisié udotinternational droit du inspirée est elle où mesure la dans sociales, tions

’prceaoteprl ord utc rsg essimplica- ses de présage justice de Cour la par adoptée L’approche

asd destination). de pays

irn a esd ’ril 5TU orlqe ’plqel rniedu principe le s’applique lequel pour TFUE 45 l’article de sens (au migrant

acéd ’mlid asdacele ’s ocpsu travailleur un pas donc n’est et d’accueil pays du l’emploi de marché

ebeneteps eo et uipuec epré ééae u le sur générale, portée de jurisprudence cette selon pas, n’entre membre

ntaalers élçn oculeetsrl ertiedu ur État autre d’un territoire le sur ponctuellement déplaçant se travailleur Un

’far uhPruus,jgee 1990 en jugée Rush-Portuguesa, L’affaire ntec mouvement. ce initie ,

24

ajrsrdnel lsrécente. plus la jurisprudence sa

tdaflainscae.U ovmn noedvnaepooc dans prononcé davantage encore mouvement Un sociales. d’affiliation et

elapiaiiédsrge e on-iatse air eprotection de matière en moins-disantes les règles des l’applicabilité de

otated èlsd risdféets tl lssuetdn esens le dans souvent plus le et différentes, droits de règles de contrastée

is,l uipuec el JEv asl esdueapplication d’une sens le dans va CJUE la de jurisprudence la Ainsi,

nqesrl ri oile utaala o elErp u protège. qui l’Europe de nom au travail du et social droit le sur unique

mnned ri ucmec td acnurnea o umarché du nom au concurrence la de et commerce du droit du éminence

176

lutain e lsmrune ecteéouin u néiel pré- la entérine qui évolution, cette de marquantes plus les illustrations

etd ’cnme edtceetdstaaler osiu n des une constitue travailleurs des détachement Le l’économie. de ment

apoh ’n iintaiinelmn nl-aon ufonctionne- du anglo-saxonne traditionnellement vision d’une rapproche

tahmn n oiu emrh asetae tahmn u les qui attachement entrave, sans marché de logique une à attachement

ebe,dn ’itiercnee ’néê incmrsepiun efort le expliquent compris bien l’intérêt et récente l’histoire dont membres,

n ovleaperdpi ’nredn ’no e ovaxÉtats nouveaux des l’Union dans l’entrée depuis ampleur nouvelle une

osnuledu et tsnitrrtto aoiar a aCu pris a Cour la par majoritaire interprétation son et texte d’un consensuelle

elsd osi td almn.Ctedvrec nr arédaction la entre divergence Cette Parlement. du et Conseil du celles

nvi è oscminlapoh el JEpu-tedféet de différente peut-être CJUE la de l’approche combien lors dès voit On

evt ucnel8fi lslud oruepplto 4fi supérieure. fois 74 population une pour lourd, plus fois 8 conseil au vote de

un ’lean ope1, ospu edptsqeCyr,u droit un Chypre, que députés de plus fois 16,5 compte l’Allemagne quand

ujg hpit,preepe amm oc u el ujg allemand, juge du celle que force même la a exemple, par chypriote, juge du

enmnto otasipltqe u elsdscmisie.L voix La commissaires. des celles que politiques aussi sont nomination de orsodn ’vsd amjrt iped aitasdn e modalités les dont magistrats de simple majorité la de l’avis à correspondent rencontres

ensei énepéir.Dn ecnet,lsart el Cour la de arrêts les contexte, ce Dans plénière. séance

g nemen ue,e rnecabed 3jgs ube en bien ou juges, 13 de chambre grande en juges, 5

t ’motned ’far rié,e hmr e3ou 3 de chambre en traitée, l’affaire de l’importance g est

i o

DES ACTEURS DES n

hcnu ttmmr,l orsau,e ocinde fonction en statue, Cour la membre, État un chacun

REGARDS REGARDS

ac éomi opsed 7jgsreprésentant juges 27 de composée Désormais t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

eaetanitaale nSèesu ovr ’n ovnincollective convention d’une couvert sous Suède en travailler ainsi venaient

iuscatese ud,dn eu ’n cl ahl.Csemployés Ces Vaxholm. à école d’une celui dont Suède, en chantiers sieurs

yn éah e mlysltospu atcpràleéuind plu- de l’exécution à participer pour lettons employés des détaché ayant

’nrpieLvlu ateiLd( aa )etueeters lettone entreprise une est ») Laval (« Ltd Partneni un Laval L’entreprise

n nrpiesté aséa on iatsrl lnsocial plan le sur disant moins état dans située entreprise une à

.LafieLvl(ave 08 npu ostatru marché un sous-traiter peut on : 2008) (janvier Laval L’affaire 2.

albréd’établissement. liberté la

’tbismn ainld ’nrpienetpslgtm,crcnrieà contraire car légitime, pas n’est l’entreprise de national d’établissement

mêhrl otunmn ’n ovnincletv a changement par collective convention d’une contournement le empêcher à

n cinsniaevisant syndicale action une clair, En public. droit du pas relevant ne nismes

’xried eratnmejrdqeprdsascain tdsorga- des et associations des par juridique autonomie leur de l’exercice

’rgn ttqepuatêr etaié a e btce éutn de résultant obstacles des par neutralisée être pouvait étatique d’origine

rsaindssrie eatcmrms il upeso e barrières des suppression la si compromise serait services des prestation

tt ebe e btce albecruaindspronse alibre la à et personnes des circulation libre la à obstacles des membres États

nsnia uueascaind ydct.E fe,laoiineteles entre l’abolition effet, En syndicats. de association une ou syndicat un

ttmmr,mi us etie ate rve om,e l’espèce, en comme, privées parties certaines à aussi mais membre, État

e risssetbe ’teopssnnsueetaxatrtsd’un autorités aux seulement non opposés d’être susceptibles droits des

aorq’lconfère qu’il savoir à horizontal, direct effet un produit intérieur marché le

u ’ril 3C u albréd rsaindans prestation de liberté la sur CE 43 l’article que répond Cour La

iigLn lr as ajustice. la saisi alors a Line Viking

177

edotd rvi ilnase elcniri a e qiae finlandais. équipages les pas licencierait ne et finlandais travail du droit le

u,lr ucagmn epvlo,Vkn iecniuri respecter à continuerait Line Viking pavillon, de changement du lors que,

xgat nr urs acnlso ’n ovnincletv prévoyant collective convention d’une conclusion la autres, entre exigeant,

ilne eFUrai nannatsnitnind ar rv en grève faire de intention son annonçant en réagit FSU Le Finlande.

soin éuééàu ieud aar néiu eu rtqéen pratiqué celui à inférieur salaire de niveau un à rémunéré estonien,

nsnia tbidn e tte epuorepoe néquipage un employer pouvoir de et État cet dans établi syndicat un

soi,ai epuorcnlr n ovlecneto olcieavec collective convention nouvelle une conclure pouvoir de afin Estonie,

neto ecagrl ailnd oel nl asn marclren immatriculer faisant le en Rosella du pavillon le changer de intention

tHlik,fi ata ydctFnihSae’ no FU eson de (FSU) Union Seamen’s Finnish syndicat au part fait Helsinki, et

oel,u er atn ailnfnadi tasrn alasneteTallinn entre liaison la assurant et finlandais pavillon battant ferry un Rosella,

iigLn,scééfnadied aiain s rpitiedu propriétaire est navigation, de finlandaise société Line, Viking

etdlclsrsnsèee ase eslied e travailleurs ses de salaire le baisser et siège son délocaliser peut rencontres entreprise une : 2007) (décembre Viking L’affaire 1. ensei

g nemen rtcind ersau social. statut leur de protection

t g la à salariés des droit le sur marché au l’accès à prise est

i o n ACTEURS DES

n ofrél rvlnemjrtied ri el’entre- de droit du majoritaire prévalence la confirmé ont

REGARDS REGARDS

ac t approche cette de emblématiques affaires Différentes io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

inmnml ». minimale tion

ydclsséosspéedin moe aa xéatue«protec- « une excédait Laval à imposer prétendaient suédoises syndicales

’ur at aCu siéqel ovninqelsorganisations les que convention la que estimé a Cour la part, D’autre

sue ’glt etatmn,vseprlatce3d adrcie96/71. directive la de 3 l’article par visée traitement, de l’égalité assurer

aler ercui ’cincletv,l ytm udi paat[...] apparaît suédois système le collective, l’action à recourir de vailleurs

ovnin a edotrcnuaxognstossniae e tra- des syndicales organisations aux reconnu droit le par conventions

axnnaflé n raiainptoaed ocueued ces de une conclure de patronale organisation une à affiliés non naux

éut urgm rv a aML ecnridelsepoer natio- employeurs les contraindre de MBL, la par prévu régime du résulte

escerd acntuto nSèee d]l osblt,tlequ’elle telle possibilité, la [de] et Suède en construction la de secteur le

A eadd]tu ecuetr e ovnin olcie dans collectives conventions des couverture de taux du] regard [Au

osdrnsd o vctgnrlqietmi u : que estimait qui général avocat son de considérants

el ietv 67 a aCu.E esn,l JEnapssiiles suivi pas n’a CJCE la sens, ce En Cour. la par 96/71 directive la de

u e9 ,c u t siécnrieaxdsoiin elatce8 l’article de dispositions aux contraire estimé été a qui ce %, 90 de » que «

etu ecuetr e cod ovninesnete effet en n’est conventionnels accords des couverture de taux Le

eèedslr a ’nmnmm«lgl». légal « minimum d’un pas lors dés relève

atnie oiu esi edtrie esliemnmm eulne lequel minimum, salaire le déterminer de soin le sociaux partenaires

e oe etasoiind adrciesrldtcneue asataux laissant en contenu ledit sur directive la de transposition de voies les

tnamn,l oraetm u aSèenaatpsrespecté pas n’avait Suède la que estimé a Cour la Étonnamment,

apetto ». prestation la

’fete ntaalàttetmoar u etrior elÉa ebede membre l’État de territoire le sur temporaire titre à travail un d’effectuer

178 epy ’cui,lsepoer u éahn e rviluse vue en travailleurs des détachent qui employeurs les d’accueil, pays le

erge méaie epoeto iiaeqedietosre,dans observer, doivent que minimale protection de impératives règles de

’rê aa nPrnr oamn ot u ecneud noyau « du contenu le sur porté notamment a Partneri un Laval L’arrêt

’nbou ucate,e u el otanr inrl’accord. signer à contraindre la de vue en chantier, du blocus d’un

ocetersd ee n cincletv oteLvl osl forme la sous Laval, contre collective action une mener de entrepris donc a

nnvmr 04 ofot urfsd ascééltoe Byggnad lettone, société la de refus au confronté 2004, novembre En

nsliehried aefx 0 E elhuesi 12 soit l’heure de SEK 109 à fixé base de horaire salaire un . €

acneto olcieqaignrlsee ud opeatelle-même comprenait Suède en généralisée quasi collective convention La

npélbeaattuengcainsrl éemnto uslieexigible. salaire du détermination la sur négociation toute avant préalable un

u e rvilusséos yga atd acnlso ectaccord cet de conclusion la de fait a Byggnad suédois. travailleurs les que

etn éahse ud uaetanibnfcédsmmsavantages mêmes des bénéficié ainsi auraient Suède en détachés lettons

acneto olcied âiet e travailleurs Les bâtiment. du collective convention la à (hängavtal) ment ocapoh ascééLvle u ecnlr nacr erattache- de accord un conclure de vue en Laval société la approché donc a

rencontres

axpbis ygasreaeöbne «Bgnd») Byggnad (« Byggnadsarbetareförbundet publics, vaux

ensei esnia e rvilusd âiete e tra- des et bâtiment du travailleurs des syndicat Le g nemen

t oilaxognstossniae suédoises. syndicales organisations aux social g est

i o

DES ACTEURS DES n

i e expy asi rideu a de cas un craindre faisait pays deux des vie dumping

REGARDS REGARDS

ac ocu nLtoi.L ifrneetelsnvaxde niveaux les entre différence La Lettonie. en conclue t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

el compétition. la de

asl oan e acé ulc ecû aailet neft éliminé effet, en est, salarial coût le : publics marchés des domaine le dans

nrpie ntmetpoeatd asdn e aarssn lsbas) plus sont salaires les dont pays de provenant (notamment entreprises

àduemsr rtcinit iatàepce n ocrec entre concurrence une empêcher à visant protectionniste mesure d’une là

aCu ebepne ui s’agit qu’il penser semble Cour la soit, en qu’il Quoi privés. marchés les et

otsal u rtn n om ’glt nr e acé publics marchés les entre d’égalité forme une à prétend qui contestable

exeéuatl êetcedn ecdedu acépié argument privé, marché d’un cadre le dans tâche même la exécutant ceux

ar ’nmrh ulcotdotàu aar uéiu,àlecuinde l’exclusion à supérieur, salaire un à droit ont public marché d’un cadre

iciiaor,piqesuslstaaler xctn n âh asle dans tâche une exécutant travailleurs les seuls puisque discriminatoire,

orl or letcarqelo asc a far n disposition une à affaire cas ce dans a l’on que clair est il Cour, la Pour

t odmé ae n éaiécnrculed rsu 5000 85 presque de contractuelle pénalité une payer à condamnée été . €

rv a acneto olcied ad ’nrpieajdctieadonc a adjudicataire L’entreprise Land. du collective convention la par prévu

rviln u ecate ’vin euqe4,4%d aar minimal salaire du % 46,54 que reçu n’avaient chantier le sur travaillant

alialmne r e uresdueeters ooas sous-traitante polonaise entreprise d’une ouvriers les Or, allemande. loi la

âiet ttaaxpbis» uéiusa aar iia rv par prévu minimal salaire au supérieurs », publics travaux et Bâtiments «

e aarsapialséaetcu rvsprl ovnincollective convention la par prévus ceux étaient applicables salaires les

’sèe lsaisi ecntur n rsnàGtignRsofet Göttingen-Rosdorf à prison une construire de s’agissait il d’espèce,

xgrd e ostatnsl epc ecteolgto.Dn ecas le Dans obligation. cette de respect le sous-traitants ses de exiger à

’duiaar cliqieprelapldofe)di glmn s’engager également doit d’offres) l’appel emporte qui (celui L’adjudicataire

éuéainpéu a acneto olcieapial asl Land. le dans applicable collective convention la par prévue rémunération

rssqiseggn a ci esràlusslré umnmmla minimum au salariés leurs à verser à écrit par s’engagent qui prises

179 ulc rvyi u e enesn usetêr trbé uaxentre- qu’aux attribués être puissent ne derniers ces que prévoyait publics

alid adalmn eBseSx u apsaindsmarchés des passation la sur Basse-Saxe de allemand Land du loi La

ulcn etipsrdsnre oilsextra-légales sociales normes des imposer peut ne public

.LafieRfet(as20):l airdscagsdu marché d’un charges des cahier le : 2008) (mars Rüffert L’affaire 1.

tdn e ocin econtrôle de fonctions ses dans et

afi asssmdltsdahtpublic d’achat modalités ses dans fois la à

i--i udétachement, du vis-à-vis

eten e agsd aœve el’État de manœuvres de marges les restreint .L ord utc elUineuropéenne l’Union de justice de Cour La B.

rencontres leadn on asnàleters Laval. l’entreprise à raison donné donc a Elle ensei

g nemen evcsétranger. services

t g de prestataire le pour fait de juridique d’insécurité situation est

i o n ACTEURS DES

éaed ieud aar iiu nvgercéi une créait vigueur en minimum salaire du niveau du légale

REGARDS REGARDS

ac t détermination de l’absence que jugé a Cour la Enfin, io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’ttmmr ’cui,qilstete atqemnaar upréposé ou mandataire que tant en tient les qui d’accueil, membre l’État

etisdcmnsa oiieduepron hsqedmclé dans domiciliée physique personne d’une domicile au documents certains

’gsatd ’biaind ei ipsto td conserver de et disposition à tenir de l’obligation de S’agissant «

uéueolgto iiar rveprl ri eg : belge droit le par prévue similaire obligation une suré

assnart«Abae»(oebe19) aCu vi éàcen- déjà avait Cour la 1999), (novembre » Arblade « arrêt son Dans

rveprl ietv 96/71. directive la par prévue

npaeprlsÉasmmrspu ale adfilned aprocédure la de défaillance la pallier pour membres États les par place en

a ascnéuneqel orcnuelsmyn ecnrl mis contrôle de moyens les censure Cour la que conséquence sans pas

otôedssrie ’npcinlxmorei.E éiiie ln’est il définitive, En luxembourgeois. d’inspection services des contrôle

ié êearsl i udtceetai efcltrl rvi de travail le faciliter de afin détachement du fin la après même minée

eatrceli oslsdcmnse e osre oruedreindéter- durée une pour conserver les et documents les tous recueillir devait

rvilusetcnane emnaar,dsgéaatl détachement, le avant désigné mandataire, Ce condamnée. est travailleurs

u etrior uebugospu fete ndtceetde détachement un effectuer pour luxembourgeois territoire le sur hoc ad

ni,l éinto biaor a e nrpie ’nmandataire d’un entreprises les par obligatoire désignation la Enfin,

services.

élgals»e iln is ’ril 9C eai albepetto de prestation libre la à relatif CE 49 l’article ainsi violent et » négligeables

e biain rve a aiedsoiinecuetdssntosnon sanctions des encourent disposition ladite par prévues obligations les

etd et ipsto.Datepr,lseterssnaatpsobservé pas n’ayant entreprises les part, D’autre disposition. cette de ment

u e rise e biain ecseterssn éut a précisé- pas résulte ne entreprises ces de obligations des et droits des due

’xre erlbréd rsaind evcs neft ’n at l’éten- part, d’une effet, En services. de prestation de liberté leur d’exercer

ucpil edsudrlseterssdsrn éahrdstravailleurs des détacher désirant entreprises les dissuader de susceptible «

180 ieàdsoiinimdaed ot nomto tl ncnrl est contrôle un à utile information toute de immédiate disposition à mise

aCu notecniééqelolgto uebugos de luxembourgeoise l’obligation que considéré outre en a Cour La

’nodepbi adfnto titmn encadrée. strictement définition la à public ordre d’un

taxetersseeçn ndtceet unmd rnied respect du principe du nom au détachement, un exerçant entreprises aux et

’plcto biaor elu ri oilntoa u mlysdétachés employés aux national social droit leur de obligatoire l’application

aCU iiél osblt orlsÉasmmrsd légitimer de membres États les pour possibilité la limité a CJUE La

otxentoa atcle,ctartcnen oslspy européens. pays les tous concerne arrêt cet particulier, national contexte

i otarmn u rêsLvle üfr u tin otmn isàun à liés fortement étaient qui Rüffert et Laval arrêts aux contrairement ci,

aCu on nirmn asnàl omsine,ctefois- cette et, Commission la à raison entièrement donné a Cour La

aler is u iessatitsàl ir rsaind services. de prestation libre la à atteintes diverses que ainsi vailleurs

0dcmr 02 el ietv 67 u edtceetdstra- des détachement le sur 96/71 directive la de 2002) décembre 20

ercata uebugs avietasoiin(asuelidu loi une (dans transposition mauvaise sa Luxembourg au reprochait asl ar ectepoéuee aqeet aCommission la manquement, en procédure cette de cadre le Dans

rencontres

ensei esndotsocial droit son de

g nemen iivqe ’rr ulcpu utfe l’imposition justifier pour public l’ordre invoquer ni

t u éah nmnaar u o territoire, son sur mandataire un détache qui g est

i

o DES ACTEURS DES n

’ttmmr epu moe l’entreprise à imposer peut ne membre l’État

REGARDS REGARDS

ac .LafieLxmor ji 08 : 2008) (juin Luxembourg L’affaire 2. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ai,2010. Paris, total, marché au face sociale justice La Philadelphie. de L’esprit A., Supiot : sujet le sur Voir 29.

8 edynBuoi al ejrsrdne«tlooiu ». téléologique « jurisprudence de parle Boulouis doyen Le 28.

asnPbiu,Prs 2010. Paris, Publique, Raison péenne,

uoenolbrl,lslmtsd ’nepéaintlooiu elitgainEuro- l’intégration de téléologique l’interprétation de limites les néo-libérale, Europe S., Perez Ramirez Voir 27.

rvi tEpo,Prs 2010. Paris, Emploi, et Travail l’Est, de et centrale d’Europe pays

utntoae trltosdepo asles dans d’emploi relations et Multinationales A., Jobert et 19, vol. policies, european west trade, free and

h nol oiltiiy:mdligsca upn ne odtoso aia mobility capital of conditions under dumping social modelling : trinity social Unholly The M., Aspinwall Voir 26.

acécnurnilcmel om urm udroit du suprême norme la comme concurrentiel marché .

29

ussie e rtqe afi ie atel iqed rsne le présenter de risque elle tant vives parfois critiques des susciter pu a

unique u e oes aorlsrge epoeto xsats elle existantes, protection de règles les savoir à moyens, les sur ,

28

afi audacieux parfois fimn apiat el i,àsvi emarché le savoir à fin, la de primauté la affirmant

27

ifrnsÉasmmrs et prcerpsn u nargumentaire un sur reposant approche Cette membres. États différents

e éhdsgrnisn n plcto tu rieetéa nr les entre égal traitement un et application une garantissant méthodes des

tergeete,d apoeto codeaxtaaler is que ainsi travailleurs aux accordée protection la de réglementées, être

aCu ocueapoh iiait e usin pouvant questions des minimaliste approche une donc a Cour La

ri ’cè u acé ainu prime nationaux marchés aux d’accès droit .

26

albecruaindspettie esrie rnntoax otle dont transnationaux, services de prestataires des circulation libre la à

a xlctmn eton tatrs a adrciecmeu obstacle un comme directive la par autorisé et mentionné explicitement pas

lrslectejrsrdneqel JEcnièec u n’est qui ce considère CJUE la que jurisprudence cette résulte Il

ietv 67.» 96/71. directive

udéhnedifrain nr tt ebe rv ’ril ela de 4 l’article à prévu membres États entre d’informations d’échange ou

181

ipe otsqatàlefcct ussèeogns ecoopération de organisé système du l’efficacité à quant doutes simples

rn-uh eLxmor ejsiirprdate ruet u de que arguments d’autres par justifier de Luxembourg de Grand-Duché

n nrv albepetto e evcsq’laprinri au appartiendrait qu’il services des prestation libre la à entrave une

ouet néiueeta omneetdstaaxconstituerait travaux des commencement au antérieurement documents

ntu ttd as,uetleolgto ecnevto desdits conservation de obligation telle une cause, de état tout En «

9CE. 49

ipsto,l orcnièeq’lyaiiasiuevoaind l’article de violation une aussi ici a y qu’il considère Cour la disposition,

eLxmor ’potn uu lmn efpu utfe cette justifier pour neuf élément aucun n’apportant Luxembourg Le

udu rps u osrelsisdcmns » documents. lesdits conserve qui préposé d’un ou

asqecteeters ips,dn e ttmmr,du mandataire d’un membre, État cet dans dispose, entreprise cette que sans

a nmsr ’xctrlu iso ecnrl emnèeefficace manière de contrôle de mission leur d’exécuter mesure en pas

e uoié ectÉa.I atéaeetqecsatrtsn soient ne autorités ces que également faut Il État. cet de autorités des rencontres contrôle de mission la de l’accomplissement général en faciliter à nature

ensei et u etrior elÉa ebedacelsi de soit d’accueil membre l’État de territoire le sur ments

g nemen rsaindssrie,qel rsned esdocu- tels de présence la que services, des prestation

t g libre la à restriction telle une justifier pour pas, suffit ne il est

i o n ACTEURS DES

lyu es ’cue e rvilusdn e État, cet dans travailleurs des d’occuper cessé a ployeur

REGARDS REGARDS

ac t l’em- que après même désignée, l’a qui l’employeur de io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ai,2010. Paris, d’emploi, politiques et travail de normes Délocalisations, D., Meda Voir 31.

odn 2009. London,

imnlnSca uoe:tePltclEooyo oilplc nteErpa Union, European the in policy Social of Economy Political the : Europe Social Dismantlin D., Preece Voir 30.

e bsq’lpre.Ctestaind lcg epur tedépassée être pourra ne blocage de situation Cette permet. qu’il abus des

atpud ag emnur u tt ebe orasrrl contrôle le assurer pour membres États aux manœuvre de marge de peu fait

n ositrrt a aCU,l éahmn uoénlis de laisse européen détachement le CJUE, la par interprété fois Une

01 n mloaind et coopération. cette de amélioration une à 2011,

etemre eCneladaler peé e1 un20 tl mars 7 le et 2008 juin 10 le appelé, d’ailleurs a Conseil Le morte. lettre

e diitain ainls et enèeetrsé ngad partie grande en restée est dernière cette nationales, administrations les

epcé inqel ietv rvi n rcdr ecoéainentre coopération de procédure une prévoit directive la que Bien respecté.

vcl asd etnto orsasrrqel ri uoénetbien est européen droit le que s’assurer pour destination de pays le avec

racn om otagat ’moeaxpy ’rgn ecoopérer de d’origine pays aux n’impose contraignante norme aucune Or

e oiain oilsde u ntttosscae upy d’origine. pays du sociales institutions aux dues sociales cotisations des

ecnrtetecteeters tl aai,o evreetprc salarié ce par versement le ou salarié, le et entreprise cette entre contrat le

et ’fetvt elatvt eleters mtrc asl asd’origine, pays le dans émettrice l’entreprise de l’activité de l’effectivité ment,

elu rsne ’nebedspevspretn evrfe,notam- vérifier, de permettant preuves des l’ensemble présenter leur de

otpsatrssàsasrrd apéec ’nitrouersusceptible interlocuteur d’un présence la de s’assurer à autorisés pas sont

adrciesrl éahmn td èlmn u acodnto.Isne Ils coordination. la sur règlement du et détachement le sur directive la

e tt ovin vi edfiutsàcnrlrl on plcto de application bonne la contrôler à difficultés de avoir pouvaient États les

nav vclart«Cmiso oteLxmor combien » Luxembourg contre Commission « l’arrêt avec vu a On

.Laplàdsnre otagatsd coopération de contraignantes normes des à L’appel 1.

182

’n néirescaeeuropéenne sociale ingénierie d’une

.LÉa culd ri s aoal udéveloppement au favorable est droit du actuel L’État A.

. européen

31

ainsrleitneduedmninscaedn emrh intérieur marché le dans sociale dimension d’une l’existence sur gation

evcstasrnair ttmoar,suèea ia n éiieinterro- légitime une final au soulève temporaire, et transfrontalière services

td utr e risscaxdn e iutosd rsainde prestation de situations des dans sociaux droits des rupture de et

om nisrmn epéeto e rtqe ecnurnedéloyale concurrence de pratiques des prévention de instrument un comme

adrciesrl éahmn e rvilus ntaeetimaginée initialement travailleurs, des détachement le sur directive La

ncnrinn e tt ebe oprrdavantage. coopérer à membres États les contraignant en

el n élmnainerpen etyrépondre y peut européenne réglementation une Seule . ’rr social l’ordre

30 et vlto nrîeu iqesrexpour sérieux risque un entraîne évolution Cette rencontres ensei

g nemen

evn è oss développer se lors dès peuvent

t ud pluri-activité de ou g

est

i

o DES ACTEURS DES n

oscuetd détachement de couvert sous

REGARDS REGARDS

ac I.Lspaiusd upn social dumping de pratiques Les III. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

asn tasipreq’le otjge u eratvt ainl » nationale « activité leur sur jugées sont qu’elles parce aussi et raison,

potd eie otnn acnomto néiue ’s orcette pour C’est intérieure. consommation la soutenant devises de apport

mm ncsd o-esmn ectsto tdn efad)un fraude) de donc et cotisation de non-versement de cas en (même

nafu ectstosdn e ase elusisiuin,o upire au ou institutions, leurs de caisses les dans cotisations de afflux un

usu ’ciiéasreprlusrsotsat s ucpil d’entraîner susceptible est ressortissants leurs par assurée l’activité puisque

vcpéiin e tt ’rgn ’n a ocmn emm intérêt, même le forcément pas n’ont d’origine États les précision, avec

ilsÉasd etnto n néê eqec otôesi assuré soit contrôle ce que ce à intérêt ont destination de États les si

tdspoéue diitaie ifrne,i ovetd olge que, souligner de convient il différentes, administratives procédures des et

u lc,o noemseslrae t..Otel arèed alangue la de barrière la Outre etc.). salariale, masse encore ou place, sur

erd otôeefcu eitned ’nrpie uatvt substantielle activité ou l’entreprise, de (existence effectué contrôle du deur

’diitaind asd etnto ’ uu oe evrfe aprofon- la vérifier de moyen aucun n’a destination de pays du l’administration

ar orvrfe e lmnsdmné.S arqêetov réponse, trouve requête la Si demandés. éléments les vérifier pour saire

edmne asrcued otôed asdoiied ar enéces- le faire de d’origine pays du contrôle de structure la à demander de

ueud iio,qiv eadra ueud iio upy d’origine pays du liaison de bureau au demander va qui liaison, de bureau

bsf lv olctrs asentoae ’CS,qiv rnmtr au transmettre va qui l’ACOSS, nationale, caisse sa solliciter va il abusif,

ocin ipreepeu npcerUSA upceu détachement un suspecte URSSAF inspecteur un exemple par Si fonction.

nFac,cetl ieto ééaed rvi u suecette assure qui Travail du générale Direction la c’est France, En

ueud liaison. de bureau

indsoetd rcdrspretbe,qis éutàpse a son par passer à réduit se qui perfectibles, procédures de disposent tion

asl asdoiie e diitain ecnrl e asd destina- de pays des contrôle de administrations les d’origine, pays le dans

’n ciiésbtnilee/uduemseslraeefcieprésente effective salariale masse d’une et/ou substantielle activité d’une

orasrrl éiiainrqied ’xsec el’entreprise, de l’existence de requise vérification la assurer Pour 183

asd’origine. pays

esnéfaçi ote tn ups oie ussèed son de système au cotiser supposé étant en tout français santé de

elUinerpen rviln nFac etbnfce usystème du bénéficier peut France en travaillant européenne l’Union de

urgm edtceete upicp upy ’rgn,u résident un d’origine, pays du principe du et détachement de régime du

ocrése ’fetvt upimn e oiain féets nvertu En afférentes. cotisations des paiement du l’effectivité et concernées

’fiito orsodn unmr ta ep etaaldspersonnes des travail de temps au et nombre au correspondant l’affiliation

sué asl asdoiie asasil élt udétachement, du réalité la aussi mais d’origine, pays le dans assurée

ifcl ecnrlrl atqel aoiéd ’ciiéd ’nrpieest l’entreprise de l’activité de majorité la que fait le contrôler de difficile

o-aeetdsctstose arpued ri.I s nefttrès effet en est Il droit. du rupture la et cotisations des non-paiement

orl éuiéscae ’sg udtceetpu odieau conduire peut détachement du l’usage sociale, Sécurité la Pour

eosd ertienational. territoire du dehors ipstfd otôeqipis mnràueato ytmtqeen systématique action une à amener puisse qui contrôle de dispositif

rencontres

ipstfd otôe nrvnh,i ’xsepsde pas n’existe il revanche, En contrôle. de dispositif

ensei

g propre son de dispose membre État Chaque insuffisantes. nemen t très sont actuelles contrôle de procédures Les g est

i o n ACTEURS DES

nn e tt ebe oprrdavantage. coopérer à membres États les gnant

REGARDS REGARDS

ac t contrai- européennes normes de production la par que io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

amblt rnntoae» rxle,2011. Bruxelles, », transnationale mobilité la

nErp tScéé négocier « Société, et Europe in membres, États nouveaux des cas le détachés, Travailleurs R., Careja Voir 32.

’nrpieéetiedcaeqeqe erssueetàlisiuindu l’institution à seulement heures quelques déclare émettrice l’entreprise

letecr lsdfiied éiirlssu-élrtos(quand sous-déclarations les vérifier de difficile plus encore est Il

u a ’nttto eScrt oil upy d’origine. pays du sociale Sécurité de l’institution par que

éahmn atqeclic ’ a t eié eqin etêr fait être peut ne qui ce retiré, été pas n’a celui-ci que tant détachement

rvilu aai unnslrédslr ui s uidu etfctde certificat d’un muni est qu’il lors dès salarié non ou salarié travailleur

xml) lnetdaler a osbepu nisetu ’suetrun d’assujettir inspecteur un pour possible pas d’ailleurs n’est Il exemple).

eleters pè avst ’nisetu upy edsiainpar destination de pays du inspecteur d’un visite la après l’entreprise de

srdemande (sur rétroactif effet avec fournis être peuvent formulaires Ces

ind éuiéscaed asdoiieqidlvedsfruarsA1. formulaires des délivre qui d’origine pays du sociale Sécurité de tion

’s poal l’institu- à opposable n’est l’entreprise par employé personnel de nombre du

uueolgto ecnrl raal elatvt éleet réelle l’activité de préalable contrôle de obligation Aucune perfectible.

s,e agnamnsrtf peé«fruar 1» asi s u aussi lui est il Mais ». A1 formulaire « appelé administratif, jargon en est,

’nrpiedoiiects ina éieqil ove:c formulaire ce : couvre la qui régime au bien cotise d’origine l’entreprise

asdoiie(aCA orl rne ’ndcmn tetn que attestant document d’un France) la pour CPAM (la d’origine pays

astaind éahmn s teteprl oriueprl asedu caisse la par fourniture la par attestée est détachement de situation la

note orc u ocrel éuiéscae lfu aorque savoir faut il sociale, Sécurité la concerne qui ce pour outre, En

rue lsfclsàcorriger. à faciles plus fraudes

us opiusqels«gad tmis«rmnrtus»qedes que » rémunérateurs « moins et » grands « les que compliqués aussi

esràc yed iuto,ntmetpu e eis»détachements, » petits « les pour notamment situation, de type ce à resser 184

oruveadsau e npcer esn è ospsictsàs’inté- à incités pas lors dès sont ne inspecteurs Les disparu. a poursuivie

ueipiun éuirmn u et enèeaottaosqel société la que alors aboutit dernière cette que régulièrement impliquent dure

as(om ’rad a ’xml) edlie acmlxt el procé- la de complexité la et délai le l’exemple), par l’Irlande (comme pays

ursÉasmmrsjun eju eqietrrmn ecsae certains avec cas le rarement est qui ce jeu, le jouent membres États autres

e op ecnrl el éaiéd rvi.Mm ilsprearsdes partenaires les si Même travail. du légalité la de contrôle de corps les

alnerd e rcdrsetd aue«dsniaie»pour » désincitative « nature de est procédures ces de lenteur La

atclèeetlourde. particulièrement

aatg emyn,mi lsai lr asuedmrh contentieuse démarche une dans alors s’agit il mais moyens, de davantage

uiiieetlné,lofc eta eltecnr etaalilgldsoede dispose illégal travail le contre lutte de central l’office lancée, est judiciaire

ni,lrqecmepu ’far eFaavleueprocédure une Flamanville de l’affaire pour comme lorsque Enfin,

ebe.Mi leetincomplète. est elle Mais membres.

tettostasie a e ntttoscnene e ursÉtats autres des concernées institutions les par transmises attestations

a eScrt oil CES) et aed one erueles regroupe données de base Cette (CLEISS). Sociale Sécurité de nal rencontres s éé a eCnr eLasnErpe tInternatio- et Européen Liaison de Centre le par gérée est ensei

g nemen rmn e omlie edtceet IDR qui SIRDAR, détachement, de formulaires des trement

t nFac,i xsepraler n aed’enregis- base une ailleurs par existe il France, En g est

i o

DES ACTEURS DES n

. ieetsuetproblématique souvent est gine

32 REGARDS REGARDS

ac ’br,qel olbrto e uoié e asd’ori- pays des autorités des collaboration la que d’abord, t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’er u et question. cette sur l’heure

uiesErp,rpéettv e rne nrpie uoéne,napspi epsto omlepour formelle position de pris pas n’a européennes, entreprises grandes des représentative Europe, Business

6 a atnie oiu ,o nediilsrpéetnsdstaaler tdsetersspubliques, entreprises des et travailleurs des représentants les ici entend on », sociaux partenaires « Par 36.

rnntoae» rxle,2011. Bruxelles, », transnationale

nErp tScéé éoirl mobilité la négocier « Société, et Europe in employés, les pour intra-entreprise » intermédiaire statut « d’un

argeetto uoénee air emblt aslsÉasmmrs:Création : membres États les dans mobilité de matière en européenne réglementation La T., (de) Lange Voir 35.

éoirl oiiétasainl ,Buels 2011. Bruxelles, », transnationale mobilité la négocier «

nErp tSociété, et Europe in intérimaire, travail de entreprises des transfrontalière L’activité J.-M., Miranda Voir 34.

culeete or Toulouse. à cours en actuellement

oit enueHueVlie»srl éahmn epite nbtmnsruan otprexemple par sont roumains bâtiments en peintres de détachement le sur » Voltige Haute Peinture « société

3 exafie,ipiun e tbismnsKabuS u edtceetd aosplni,e la et polonais, maçons de détachement le sur SA Krakbau établissements les impliquant affaires, Deux 33.

e travailleurs. des

00asgééuervso el ietv uoénesrl détachement le sur européenne directive la de révision une suggéré a 2010

énee mars en réunie (CES) Syndicats des Européenne Confédération La

36

.L rsindsprearssociaux partenaires des pression La 2.

. tàl éuéaind salarié du rémunération la à et

35

aelscséuis ojusdn nsn éaoal aprotection la à défavorable sens un dans toujours étudiés, cas les tage

lecmlxfeecr davan- encore complexifie elle ; aslu ulatedsÉasmembres États des l’autre ou l’un dans

34

ifrnspy elUin mlqatl aclpélbed ep passé temps de préalable calcul le impliquant l’Union, de pays différents

oinspoeqel aai otôéari nfi lser ciié dans activités plusieurs fait en aurait contrôlé salarié le que suppose notion

ecdedsafie otniue teatsa éahmn.Cette détachement. au attenantes contentieuses affaires des cadre le

ni,etd lse lséouel oind lratvt dans » pluriactivité « de notion la évoquée plus en plus de est Enfin,

185 . u ’néirescaecnieàl ruesociale fraude la à confine sociale l’ingénierie que posteriori a constate l’on

33

tfclt edvlpeetd rtqe epu npu obessoù nombreuses plus en plus de pratiques de développement le facilite et

nl ot ’bec epoéueefcet adcp econtrôle le handicape efficiente procédure de l’absence voit, le On

eSrsor o t réu etentoa e omsétrangères). formes des national Centre un créé été a (où Strasbourg de

e RSFfaçie raiéu ôed optneàl’URSSAF à compétence de pôle un organisé a françaises URSSAF des

ugrso rc ’gsatd aFac a xml) note eréseau le outre, En exemple). par France la de s’agissant grecs ou bulgares

rnfotles(a exqiipiun e rvilusplni,roumains, polonais, travailleurs des impliquent qui ceux (pas transfrontaliers

le ecnttetqedsecpin tn ocretqelscas les que concernent ne et exceptions des que constituent ne elles

e RSFd odd aFac tlushmlge egs mais belges, homologues leurs et France la de Nord du URSSAF les

ul or oamn orlsqetostasrnairscmeentre comme transfrontalières questions les pour notamment jour, le vu

oosqecransiiitvslclsd onspaius»ont » pratiques bonnes « de locales initiatives certaines que Notons

a edétachement... de cas

n iine ep éld araiéd ami-’ur oiié en mobilisée main-d’œuvre la de réalité la de réel temps en vision une rencontres d’avoir pas permet ne qui ce annuelle, façon de centraux fichiers nos dans

ensei ese taxdot u ndcuetsn remontées sont découlent en qui droits aux et versées

g nemen rne e one oilsrltvsaxcotisations aux relatives sociales données les France,

t g la comme performants plus les pays les dans compris est

i o n ACTEURS DES

op ecnrl upy edsiain.E fe,y effet, En destination). de pays du contrôle de corps

REGARDS REGARDS

ac t des auprès détachement d’un justifier pour d’origine pays io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ia ugop ’xet el E u edtceet rxle,2010. Bruxelles, détachement, le sur CES la de d’experts groupe du final

Rapport d’amélioration, propositions huit : détachés travailleurs les sur directive la de Révision ETUI, Voir 38.

ruedeprsd aCSsrl éahmn,Buels 1mi2010. mai 31 Bruxelles, détachement, le sur CES la de d’experts groupe

apr ia du final Rapport d’amélioration, propositions huit : détachés travailleurs les sur directive la de Révision 37.

iee ur e abe ipstose air ’plcto figurant d’application matière en dispositions faibles les ; œuvre en mise

e odtosdepo u otdapiaincnusn ’bec de l’absence à conduisent d’application sont qui d’emploi conditions les

aetspu e nrpie tlstaaler ocratlscasset clauses les concernant travailleurs les et entreprises les pour parentes

acmlxt e èlse ’bec ’nomtosacsilse trans- et accessibles d’informations l’absence et règles des complexité La

a e rêstlooius«arsis»,poieàl ruee l’impunité. à et fraude la à propice »), agressifs « téléologiques arrêts des par

udotsca)e rcdrl rgeoiiar osnulesanctionnée consensuelle originaire (règle procédurale et social) droit du

iéscae ietv edotd rvi,aosqelu tlateconstituent l’autre et l’un que alors travail, du droit de directive sociale, rité

rgeetd Sécu- de (règlement ni,l E éoc acnuinlégislative confusion la dénonce CES la Enfin,

38

emm soulignée. même de

otagatsdn acntuto,mi a ordate etus est secteurs) d’autres pour pas mais construction, la dans contraignantes

élre ’plcto ééae(ovnin olcie généralement collectives (conventions générale d’application déclarées

nrpie ’rgn ’plqe e omscneuscollectivement convenues normes des d’appliquer d’origine entreprises

rvilusdtcé RyueUi oon);lolgto iié orles pour limitée l’obligation ; Pologne) (Royaume-Uni, détachés travailleurs

edotsi aslscnetoscletvs e enre ’plqetaux s’appliquent normes de peu collectives, conventions les dans soit droit le

asdacelnapsmse lc ngadnmr enre,si dans soit normes, de nombre grand un place en mis pas n’a d’accueil pays

lttqesrl iaind oms easgii ue rtqe lorsqu’un pratique, qu’en signifie Cela normes. de fixation la sur que plutôt

u edtceetmtanilacn u acodnto udotapplicable, droit du coordination la sur l’accent ainsi met détachement le sur

ine enva epoeto oil lve ’prced adirective la de L’approche élevée. sociale protection de niveau de et sion 186

tntmetl rmuéd ’cè umrh u e betf ecohé- de objectifs les sur marché au l’accès de primauté la notamment et

note aCSdnnel irrhsto e betf el’Union, de objectifs des hiérarchisation la dénonce CES la outre, En

’cui ? d’accueil

h a ’nrpieqil éah u orêr mly asl pays le dans employé être pour que détache le qui l’entreprise par ché

mly asl asdoiie?Qefielrq’ntaalernetembau- n’est travailleur lorsqu’un faire Que ? d’origine pays le dans employé

e rbèe ems nœve:qadu rvilu s-lhabituellement est-il travailleur un quand : œuvre en mise de problèmes des

néedns;l éiiinpucar ’ntaalerdtcé u odi à conduit qui détaché, travailleur d’un claire peu définition la ; indépendants

lmsae e rvilusdtcé osdrsàtr om travailleurs comme tort à considérés détachés travailleurs les avec blèmes

oind rvilu asé udotntoa,c u odi e pro- des à conduit qui ce national, droit au laissée » travailleur « de notion

etus(aseu el aiemrhnee ere);l éiiind la de définition la ; ferries) et marchande marine la de (vaisseaux secteurs

oamn ’xlso ucapdapiaind adrcied certains de directive la de d’application champ du l’exclusion : notamment

ri rgnie urn ri u nepéain xesvsd aCU,et CJUE, la de extensives interprétations aux droit ouvrant originaire, droit aCSmtanilacn u e mrcsoscneselsdu consensuelles imprécisions les sur l’accent ainsi met CES La rencontres

ensei ». uscletvmn)d asd’accueil pays du collectivement) nues

37

g nemen e etêr nim a e èls(tttie uconve- ou (statutaires règles les par infirmé être peut ger

t rvilu ’npettied evcss edn l’étran- à rendant se services de prestataire d’un travailleur g est

i o

DES ACTEURS DES n

icntne aslsule ecnrtdepo du d’emploi contrat le lesquelles dans « circonstances

REGARDS REGARDS

ac is aCSsitrsetel u asn taux et raisons aux s’intéresse-t-elle CES la Ainsi t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

elalmn a .Lrhlr,Prs 2011. Paris, Lortholary, B. par l’allemand de

trad. tutelle, sous L’Europe ou Bruxelles de monstre doux Le M., H. Enzensberger et (2010) Supiot Voir 39.

ovn vn otvsràéiie acnurnevr ebseteles entre bas le vers concurrence la éliminer à viser tout avant doivent

e amblsto e tt ebe.Csdsoiiscomplémentaires dispositifs Ces membres. États des mobilisation la mer

mlqetl eor e eir ’cinerpes ucpilsd’assu- susceptibles européens, d’action leviers des à recours le impliquent

e ouin potra rbèed ’néiresociale l’ingénierie de problème au apporter à solutions Les

edn e rneglorieuses. Trente les pendant

oilrsu ermtr ncuelséulbe emyntreatteints terme moyen de équilibres les cause en remettre de risque social

dumping au course la globale, européenne compétitivité la de plan le sur ●

oiain neftmcocnmqengtfpu e ascnens; concernés pays les pour négatif macroéconomique effet un a cotisations

u epa e iacspbius apred eeu isaxnon- aux liés revenus de perte la publiques, finances des plan le sur ●

e ytmsntoaxe uta epc e risdsctyn ; citoyens des droits des respect au nuit et nationaux systèmes des

u epa eléut,ctepaiu ee ncuel utc sociale justice la cause en remet pratique cette l’équité, de plan le sur ●

aer : majeurs

éa u edtceetdstaaler,e eàlan etosenjeux trois de l’aune à ce et travailleurs, des détachement le sur débat

a osqet letipratd eue e osqecsdu conséquences les mesurer de important est il conséquent, Par

. iu umrh néiu européen intérieur marché du mique

39

u ’matsca e etsrgeetie su el ieso écono- dimension la de issus réglementaires textes des social l’impact sur

aoiatlignei oil n cr ’mrec ’ndbtnational débat d’un l’émergence accru ont sociale l’ingénierie favorisant

e ale uetsprl ri uoénitrrt a aCJUE la par interprété européen droit le par ouvertes failles Les

187 edétachement. de

vcne,rognsto)aatd etee lc n ovleprocédure nouvelle une place en mettre de avant réorganisation) (vacances,

inlgl etêr eçecmeueopruiéd restructuration de opportunité une comme perçue être peut légale tion

oetefcise altr el o uoénersete et interrup- cette respectée, européenne » loi « la de lettre la et effectifs soient

uto ’nmnmmd exmi tdm.E mgnn u e contrôles les que imaginant En demi. et mois deux de minimum d’un ruption

éahmn evntqar osn etêr eodiesn n inter- une sans reconduite être peut ne mois vingt-quatre de détachement

apoiiégorpiu,cl ein osdrrq’n éid de période qu’une considérer à revient cela géographique, proximité la

utmsd emm éahmn.E rnn ncmt ’matde l’impact compte en prenant En détachement. même ce de temps du

utemi asa raal n éid ’nciiééuvlneà1 % 10 à équivalente d’inactivité période une préalable au sans mois quatre

rcs is u edtceetn etêr eodi udl evingt- de au-delà reconduit être peut ne détachement le que ainsi précise

tecnorés:l èlmn ’plcto urgeetd coordination de règlement du d’application règlement le : contournées être

êelsdsoiin e lssmlsd éahmn peuvent détachement du simples plus les dispositions les Même

u ovnin olcie efretctesituation. cette renforcent collectives conventions aux rencontres et lois aux échapper pour créées constructions d’autres et écran gnies

ensei letdfiiedietfe e epnaiié e compa- des responsabilités les d’identifier difficile est il

g nemen opee esu-riat tdaecs aslesquels dans d’agences, et sous-traitants de complexes

t g réseaux de l’existence ; sanctionné pas n’est défaut le dont est

i o n ACTEURS DES

el oprto diitaieetelsÉasmembres, États les entre administrative coopération la de

REGARDS REGARDS

ac t donc dépend effective œuvre en mise la directive, la dans io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

sgt,2010. Ashgate, Europe, in governance mutilevel towards : Policies Social Rescalling Y., Kazepov 40.

aiieatcpnatl rvi e npcer,lasned fourniture de l’absence inspecteurs, des travail le cependant faciliterait

èlmn 8/04e rê JEBryBnsd 0mr 00.Elle 2000). mars 30 du Banks Barry CJUE arrêt et 883/2004 règlement

rsrt a algqed éahmn,qietd ri atce1 du 12 (article droit de est qui détachement, du logique la par proscrite

omlieA nuesredatrsto raal,lqel s justement est laquelle préalable, d’autorisation sorte une en A1 formulaire

as epicp êed éahmn,cri ein rnfre le transformer à revient il car détachement, du même principe le cause

éusneps adfiut ermtr en remettre de difficulté la pose séduisante priori a disposition Cette

1rétroactifs. A1

nedr arms a aScrt oil upy ’rgn eformulaire de d’origine pays du sociale Sécurité la par remise la Interdire ●

JE le oraetpedel om e eue uvne : suivantes mesures des forme la prendre pourraient Elles CJUE.

’cè umrh el uel t éedeprl uipuec ela de jurisprudence la par défendue été a qu’elle telle marché au d’accès

éahmn tuecreto esbed apéaec uprincipe du prévalence la de sensible correction une et détachement

eue éestrin n oiiainsbtniled anto de notion la de substantielle modification une nécessiteraient mesures

ar uoén eulpu eldfiec ui ntaeetfi,ces fait, initialement a qu’il ce défaire seul peut lequel européen, taire

uiu osbe a éutn el oot upuorréglemen- pouvoir du volonté la de résultant car possibles Quoique

.Lsdcsosipiun naéaeete profondeur en aménagement un impliquant décisions Les 1.

. amsind otôeqelu apleM Ándor M. rappelle leur que contrôle de mission la

40

urin u ’dpaindsmyn uotlsÉasmmrsd’assurer membres États les qu’ont moyens des l’adaptation que tueraient

etto ’n oot oiiu uoéne lr u ’ursn consti- ne d’autres que alors européenne, politique volonté d’une festation

188

am e ifrne pin uets etie mlqetl mani- la impliquent certaines ouvertes, options différentes les Parmi

diitai tasrrlefciiéd econtrôle. ce de l’effectivité assurer et administratif

’no etolgrlsamnsrtosntoae oprrsrl plan le sur coopérer à nationales administrations les obliger peut l’Union

o aciné a n èl lie ell ovi èlmnar de règlementaire pouvoir le seul claire, règle une par sanctionnée non

ebe tclidsatuséooiusdvretsrctequestion cette sur divergent économiques acteurs des celui et membres

ri oilerpe.Rseqe asl eueo ’néê e États des l’intérêt où mesure la dans que, Reste européen. social droit

éod ui patni u tt ebe ’sue ersetdu respect le d’assurer membres États aux appartenait qu’il répondu a

éne hredsqetosscae,l oilsehnri al Ándor, Lazló hongrois socialiste le sociales, questions des charge en péen

indsau osaédn ’far eFaavle eCmisieeuro- Commissaire le Flamanville, de l’affaire dans constaté abus des tion

omsinpreetie«epo tafie oils»lipsi aques- la posait lui » sociales affaires et emploi « parlementaire Commission

om nlav nitouto,aosqel rsdned la de Présidente la que alors introduction, en vu l’a on Comme epu uêr européenne qu’être peut ne

rencontres .L éouind e difficultés ces de résolution La B. ensei g nemen

t in etravail. de tions g est

i o

DES ACTEURS DES n

oansslrax epoeto oil tdscondi- des et sociale protection de salariaux, domaines

REGARDS REGARDS

ac nrpie tlussu-riat,ntmetdn les dans notamment sous-traitants, leurs et entreprises t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

unetpsu omliedatrsto asu omlieatsatde attestant formulaire un mais d’autorisation formulaire un pas n’est vu

culeet e odtosdoto ufruar 1(u om nl’a on comme (qui A1 formulaire du d’octroi conditions les Actuellement,

’crid omlieA1. formulaire du l’octroi

etee ur e omspéie evrfcto asl ar de cadre le dans vérification de précises normes des œuvre en Mettre ●

’plcblt : l’applicabilité

in ainlsdn ecded éahmn emtri ’nassurer d’en permettrait détachement du cadre le dans nationales tions

a edoterpe,léouindsolgtosipse u administra- aux imposées obligations des l’évolution européen, droit le par

asitour ’xeto u odmnaxatelmn portés actuellement fondamentaux aux d’exception introduire Sans

.Lsmdfctosipiun nsml jseetd ri actuel droit du ajustement simple un impliquant modifications Les 2.

hrin e contourner. les à cheraient

riac td éahmn u ’nadsrasbe opie,cher- comprises, bien désormais a l’on que détachement de et traitance

è osopsbeaxeterssqi a e ehiusd sous- de techniques les par qui, entreprises aux opposable lors dès

tecniéé om n ovnincletv tnu efi,et fait, de étendue collective convention une comme considérée être

ir e aaistaalatdn escerdatvt ocrédevrait concerné d’activité secteur le dans travaillant salariés des tiers

o.Preepe n ovnincletv epcé a lsdsdeux des plus par respectée collective convention une exemple, Par loi.

ie n om emtatdasmlruecneto olcieàune à collective convention une d’assimiler permettant norme une fixer

’srtd et rgnierltfa éahmn.I ovedatdn de donc conviendrait Il détachement. au relatif originaire texte du l’esprit

aais et retto osiu ’npsdue n ilto de violation une douter pas n’en à constitue orientation Cette salariés.

ecrcèed omsopsbe u nrpie u éahn des détachent qui entreprises aux opposables normes de caractère le

nav u aCU ercnasatpsaxcnetoscollectives conventions aux pas reconnaissait ne CJUE la que vu a On

189 ue efçnlarge. façon de quées

tnr anto enre éae u ovnin olcie appli- collectives conventions aux légales normes de notion la Étendre ●

ovi élmnar européen. réglementaire pouvoir

an a rcssueet ofréetàlepi ecnessdu consensus de l’esprit à conformément seulement, précis cas tains

élrto raal rveprl èlmn ecodnto,dn cer- dans coordination, de règlement le par prévue préalable déclaration

e ains» u uoiecsdrir ’xnrrd ’biainde l’obligation de s’exonérer à derniers ces autorise qui », patients des

e a rcs. npucmel éet ietv u e droits « les sur directive récente la comme peu un précis... cas des à

a ancsiéd utrcnr e iqe de risques les contre lutter de nécessité la par oil tlimitée et social, dumping

om nrn ncnrdcinae epicp,su tejustifiée être à sauf principe, ce avec contradiction en entrant comme

aaisàdu ytmsd rlvmn biaorspuri teperçue être pourrait obligatoires prélèvement de systèmes deux à salariés

8/04 êetmoar,l omsindu mlyu td ses de et employeur d’un soumission la temporaire, Même 883/2004.

’patnnee air eScrt oil ot a erèglement le par porté sociale Sécurité de matière en d’appartenance

c us,cteslto ebnsn ein u epicp d’unicité principe le sur revient sens bon de solution cette aussi, Ici

rencontres chement. ensei déta- du régularité la de démonstration la attendant en

g nemen uoie ’fiito ’fiedn epy edestination de pays le dans d’office l’affiliation Autoriser ●

t g dernier. ce de social droit est

i o n ACTEURS DES

epy edsiaine asuiso u èlsde règles aux soumission la et destination de pays le

REGARDS REGARDS

ac t dans immédiate affiliation une justifiant A1 formulaire du io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’nrnocrl’efficience. renforcer d’en

eomnain ebne rtqe tate rflgspermettant profilages autres et pratiques bonnes de recommandations

éesie afudt e otôe rnerpes is qu’aux ainsi transeuropéens, contrôles des fluidité la à nécessaires

oil,i oratcntte ecdedséhne dématérialisés échanges des cadre le constituer pourrait il sociale,

a ergeet8321 u acodnto e éie eSécurité de régimes des coordination la sur 883/2011 règlement le par

acéitrer ’M.Cnuu ussèeifraiu ES imposé EESSI informatique système au Conjugué l’IMI. intérieur, marché

u essèeifraiu iatàasrrl o ocineetdu fonctionnement bon le assurer à visant informatique système le sur

u ’vtrlsau isa éahmn uoén lad êeinsisté même de a Il européen. détachement au liés abus les d’éviter vue

vi 01etrvn u ancsiédasrru elercnrl en contrôle meilleur un d’assurer nécessité la sur revenu est 2011 avril

’cepu nmrh nqepéet a ecmisieBriren Barnier commissaire le par présenté unique marché un pour L’acte

pratiques.

éeopru ui nomtqedéhnee erceld bonnes de recueil de et d’échange informatique outil un Développer ●

ectiprtfprlamnsrto upy d’origine. pays du l’administration par impératif cet de

osbercuse aqeete a ennrsetsystématique non-respect de cas en manquement en recours possible

nrn otagat nrîatueopsblt,sntoneprun par sanctionnée opposabilité, une entraînant contraignant, rang un

ncsd ifclééetel)purin is terdis téeé à élevés et réduits, être ainsi pourraient éventuelle) difficulté de cas en

acodnto sxmi edlipu éode i ossupplémentaires mois six répondre, pour délai de mois (six coordination la

e éaslre rvsprl omsinamnsrtv ncag de charge en administrative Commission la par prévus larges délais Les

erpneàuesliiainprlisiuind asd destination. de pays du l’institution par sollicitation une à réponse de

c,i ’gri ’nciedn etxed adrcielsdli nécessaires délais les directive la de texte le dans d’inscrire s’agirait il Ici,

trations.

moe n rcdr tdsdli aslséhne nr adminis- entre échanges les dans délais des et procédure une Imposer 190 ●

éiiaindmné a e ntttosdspy edestination. de pays des institutions les par demandée vérification

oratêr biaor osd ’crid omlieA tlr ela de lors et A1 formulaire du l’octroi de lors obligatoire être pourrait

ise hfr ’fars asl asdoiie et udul vérification quadruple Cette d’origine. pays le dans d’affaires) chiffre et tifs

us éiirqeleters fetebe 5%d o ciié(neffec- (en activité son de % 25 bien effectue l’entreprise que vérifier aussi

’rgn,c orl ep etaalpéua ota.Elspourraient Elles contrat. au prévu travail de temps le pour ce d’origine,

hqeslrédtcéetbe fii aScrt oil upays du sociale Sécurité la à affilié bien est détaché salarié chaque

moe u ntttosqidlvetlsfruarsA evrfe que vérifier de A1 formulaires les délivrent qui institutions aux imposer

uu otôed oéec esi eé edoterpe pourrait européen droit Le mené. soit ne cohérence de contrôle qu’un

etdmne e omlie 1pu n ian eslré sans salariés de dizaine une pour A1 formulaires des demander peut

e RSF ncnéune nepoerdcaatu elsalarié seul un déclarant employeur un conséquence, En URSSAF. des

tt ebe epoèepsàdsrprceet vclsfichiers les avec rapprochements des à pas procède ne membres États

omlie 1axeterssqidtcetdsslré asd’autres dans salariés des détachent qui entreprises aux A1 formulaires ’xml,e orc u ocrel rne aCA u éir des délivre qui CPAM la France, la concerne qui ce pour et d’exemple, rencontres

ensei a éiis le oraetêr rcse.Àtitre À précisées. être pourraient Elles définies. mal

g nemen ’diitaind otôed asd etnto,sont destination, de pays du contrôle de l’administration

t ’diitaind asdoiiesrdmnede demande sur d’origine pays du l’administration g est

i o

DES ACTEURS DES n emm u antr e éiiain pre par opérées vérifications des nature la que même de

REGARDS REGARDS

ac ’fiito eleters urgm upy d’origine), pays du régime au l’entreprise de l’affiliation t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

1otbe2009. octobre 21

1 iitr elÉooi,dsFnne td ’nuti,Junedéue nr almnarseuropéens, parlementaires entre d’études Journée l’Industrie, de et Finances des l’Économie, de Ministère 41.

e cer énslr ecnéecsmnséile françaises ministérielles conférences de lors réunis acteurs des .

41

ernocmn e acin.Cetu lmn rps a l’ensemble par proposé élément un C’est sanctions. des renforcement le ●

uoénàlefciiépretbe; perfectible l’effectivité à européen

ieaxfre ’ noain oilsrnuspsilspru droit un par possibles rendues sociales » innovations d’« formes aux tive

omnsdietcnorràl omlto ’n éos administra- réponse d’une formulation la à concourir doivent communes

diitain ainlsvsn éii e oiiusadministratives politiques des définir à visant nationales administrations

rceced rfl)e edvlpeetdéhne entre d’échanges développement le et profils) de (recherche datamining

ernocmn e osbltsd rieetdsifrain.Le informations. des croisement de possibilités des renforcement le ●

osi,sisrvn asctelgqe; logique cette dans s’inscrivent Conseil,

om e ytmstlmtqe éeopsae esuindu soutien le avec développés télématiques systèmes les comme

orlséhne nr evcsntoaxd éuiéscae tout sociale, Sécurité de nationaux services entre échanges les pour

eclaoainmliige éeopsprl omsineuropéenne Commission la par développés multilingues collaboration de

edvlpeetd rtqe ’cag ’nomtos e formulaires Les d’informations. d’échange pratiques de développement le ●

asecnurneetedotd aScrt oil tdotd rvi ; travail du droit et sociale Sécurité la de droit entre concurrence fausse

ams npaedu ar uiiu tbe eulidi afnd la de fin la induit lequel stable, juridique cadre d’un place en mise la ●

et ’néie e bscnr-rdcise suat: assurant en contre-productifs abus les éviter d’en ment,

aindscûspu ’nrpie lcnin,dn ecded détache- du cadre le dans convient, il l’entreprise, pour coûts des sation

ngied ocuin ’néirescaeetu xried’optimi- exercice un est sociale l’ingénierie conclusion, de guise En

191

Conclusion

ntred .cifedafie td .pronlemployé). personnel 4. de et d’affaires chiffre 3. de terme en

asl asdoiied ’nrpiedtcatsstaaler,àl fois la à travailleurs, ses détachant l’entreprise de d’origine pays le dans

etaalefcu asl ar el rsain fetvt el’activité de effectivité prestation, la de cadre le dans effectué travail de

1 fiito orcau aai éah,2 orléuvln utemps du l’équivalent pour 2. détaché, salarié chaque pour affiliation (1.

naé ncsd o-éiiaindsqar onsvspu haut plus vus points quatre des non-vérification de cas en engagée

éeto esnsu-riat ursu evi arsosblt propre responsabilité sa voir de risque au sous-traitant, son de sélection

hspbis ’sue e éiiain ecnomt ummn ela de moment au conformité de vérifications les d’assurer publics, chés

tedmnéa onu ’rr,dn ecdentmetdsmar- des notamment cadre le dans d’ordre, donneur au demandé être

otagat u epa oil fnd aiie e rft.I pourrait Il profits. ses maximiser de afin social, plan le sur contraignants

nrpie lso on riiile iue asdsÉasmoins États des dans situées artificielles moins ou plus entreprises rencontres des à marchés ses sous-traiter de publics travaux de l’entrepreneur

ensei bsd éahmn.I s nefttè etn pour tentant très effet en est Il détachement. de abus

g nemen tdstaaxpbissn e lstuhsprles par touchés plus les sont publics travaux des et

t g bâtiment du secteurs les que démontre L’expérience est

i o n ACTEURS DES

d’ordre.

REGARDS REGARDS

ac

t donneuse l’entreprise à vérification de l’obligation Confier io n ● s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

el ell rued ’CS,pu e xmlscnrt otsàs connaisance. sa à portés concrets exemples les pour l’ACOSS, de fraude cellule la de

2 ’uertetàrmrirléup edrcine ecnrl elUSA eTuos,aniqel’équipe que ainsi Toulouse, de l’URSSAF de contrôle de et direction de l’équipe remercier à tient L’auteur 42.

192

. n opportunité une

42

hmn ncntte etêr,e orpuq’nse on apeine, la donne s’en qu’on peu pour et peut-être, constitue, en chement

e epnaiié ernuelmn noc el ietv u edéta- le sur directive la de annoncé renouvellement le ; responsabilités ses

tt ebe,qesuelUinpu dpe ’s donc c’est : adopter peut l’Union seule que membres, États eprendre de àelle

ar uoén oamn ’gsatdsolgtosrcpousdes réciproques obligations des s’agissant notamment européen, taire

otscsqetosipiun n vlto ucderéglemen- cadre du évolution une impliquent questions ces Toutes otpressd rmse d’amélioration. promesses de porteuses sont rencontres

ensei ote nc esprlAt oru acéunique marché un pour l’Acte par sens ce en portées

g nemen iee éesiedsotl cials e dispositions Les activables. outils des nécessaire et sive

t etlssbetos,i osiuri n aterépres- partie une constituerait il subventions), les ment g est

i o

DES ACTEURS DES n

td rcdrsd erseet cnenn égale- (concernant redressements de procédures de et

REGARDS REGARDS

ac obn ams npaed éaié administratives pénalités de place en mise la à Combiné t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é Une analyse de la contribution du secteur de la santé et de l’Assurance santé à la croissance économique et au développement de la France Systèmes d’information et indicateurs disponibles État des lieux critique 1

Valérie Fargeon Maître de conférences Marion Brunat Doctorante en sciences économiques, Centre de Recherches en Économie de Grenoble, Université de Grenoble 193

Introduction

Dans un contexte de déficits publics et sociaux élevés, la santé comme levier de performance économique a perdu de sa légitimité. Les dépenses de santé sont considérées davantage comme un coût sans contrepartie que comme un investissement. Or, les relations entre santé et développement économique sont nombreuses et bidirectionnelles (CMH, 2001). Ainsi, la santé des popula- tions influence la croissance économique et le revenu global. À l’instar de l’éducation, elle constitue une condition essentielle de développement à long terme. Les modèles de croissance endogène soulignent son rôle dans le capital humain, dans la qualité de l’offre de travail et dans la croissance (Aghion et alii, 2010 ; Kocoglu et Albuquerque, 2009). De leur côté, les auteurs keynésiens mettent l’accent sur le caractère redistributif des dépenses de santé. En opérant une redistribution horizontale des « bien portants » vers les « malades », elles exercent un impact positif sur

1. Cette étude a été conduite dans le cadre d’un APR financé par l’EN3S et l’Institut Montparnasse.

etd eadetéaeetprerd ovle oiiusd santé. de politiques nouvelles de porteur également est regard du ment

uor’u ntre efnneetdspltqe esné edéplace- Ce santé. de politiques des financement de termes en aujourd’hui

s ucpil ’carrlscoxpltqe tctyn u eposent se qui citoyens et politiques choix les d’éclairer susceptible est

élcrlaayedsdpne esnéàcled er contreparties leurs de celle à santé de dépenses des l’analyse Déplacer

09;Dsoirs 2008). Desrosières, ; 2009 alii, et (Stiglitz » d’actions programmes nos

eqelo euedfntlojtmm de même l’objet définit mesure l’on que Ce « publique. l’action de tions

rdietdsctgre ’nls u tutrn e cin tinterven- et actions les structurent qui d’analyse catégories des produisent

niaer esiidspltqe esnée e éessd santé de dépenses des et santé de politiques des suivi de indicateurs

asl esetv el éiiindspltqe esné les santé, de politiques des définition la de perspective la Dans

tsca ’nci asuedul hypothèse. double une dans s’inscrit social et

el at acosac cnmqee udvlpeetéconomique développement au et économique croissance la à santé la de

etaaldojciaine ’vlaindscnrbtosd secteur du contributions des d’évaluation et d’objectivation travail Ce

eern nsuspens. en demeurent

éhdlgqe e éhdlge oiiése e usin qui questions des et mobilisées méthodologies des méthodologique,

asné nuts,dsidctusdsoilse ncusd réflexion de cours en et disponibles indicateurs des Enquêtes), santé, la

’nls e ytmsdifrain(ope ainu,Cmtsde Comptes nationaux, (Comptes d’information systèmes des l’analyse

esne esuc OT NE,IDS CE,srlietfcto et l’identification sur OCDE), IRDES, INSEE, (OIT, ressource personnes

eléuedseqêe,dsbssd one td arnotede rencontre la de et données de bases des enquêtes, des l’étude de

el itrtr,srlsrltose e éaimse e is uàpartir qu’à ainsi jeu en mécanismes les et relations les sur littérature, la de

’td otnu edn opeiiapré atrduerevue d’une partir à porté, a ici compte rendons nous dont L’étude

’nls e oteate ecsdépenses. ces de contreparties des l’analyse à 194

el at tAsrnesné–du ytm ééaerd dépenses de générateur système d’un – santé Assurance et santé la de

esetv ups edpae ’nls ussèed at secteur – santé de système du l’analyse déplacer de suppose perspective

esqesi ’copged rgè oiu thmis dpe cette Adopter humains. et sociaux progrès de s’accompagne s’il que sens

aplrqes eporséooiu s éesie ln rn de prend ne il nécessaire, est économique progrès le si que rappeler

oil tpltqe enmrue nlsscnegn eedn pour cependant convergent analyses nombreuses De politique. et sociale

u e oiiuspbiusd at otasiu lmn ecohésion de élément un aussi sont santé de publiques politiques les que

e betf opals ’qiir ugtie cutn lr efait le alors occultant budgétaire, d’équilibre comptables, objectifs des à

tpusi ascéé e iaié e ytmsd at n t assujetties été ont santé de systèmes des finalités Les société. la poursuit et

dpé a«raié»osré taxojcise iaié u edéfinit se que finalités et objectifs aux et observée » réalité « la à adaptés

oiiuspbiuse orl ocpind ovle oiiusplus politiques nouvelles de conception la pour et publiques politiques

09.Lsidctussn us e udspu ’vlaindes l’évaluation pour guides des aussi sont indicateurs Les 2009). alii, et

’n oit tsrlsidctusqipuete edecmt (Stiglitz compte rendre en peuvent qui indicateurs les sur et société d’une arfeinsrl rgè cnmqe eporssca tl bien-être le et social progrès le économique, progrès le sur réflexion la

rencontres nateééetd otxeetl eova de renouveau le est contexte de élément autre Un ensei

g nemen ’fesdetanmnssrlesml el’économie. de l’ensemble sur d’entraînements d’effets

t etprsndnmse essèed at s source est santé de système le dynamisme, son par ment g est

i o

DES ACTEURS DES n

atu notséd oéinscae lsgénérale- Plus sociale. cohésion de incontesté facteur

REGARDS REGARDS

ac admne apouto tlepo tcnttetun constituent et l’emploi et production la demande, la t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

euemonétaires. mesure

ieu evedsmngs–soèeàpri ’n betvto td’une et objectivation d’une partir à s’opère – ménages des vie de niveaux

vcl rs ncmt eluseft ntre erdcinde réduction de termes en effets leurs de compte en prise la avec –

udvlpeetéooiu asasia éeopmn social développement au aussi mais économique développement au

’NE,laayee ’betvto e otiuin e éessd santé de dépenses des contributions des l’objectivation et l’analyse l’INSEE,

etéssrlsCmtsntoaxpbiscau né par année chaque publiés nationaux Comptes les sur Centrées

acosac ta éeopmn ? développement au et croissance la à

uscerd asnée elAsrnesanté l’Assurance de et santé la de secteur du

.Qesidctusdscontributions des indicateurs Quels I.

at td ytm esnéncsiedsidctuscomplémentaires. indicateurs des nécessite santé de système du et santé

biaor.Apéedrl aerscaee aiar e éessde dépenses des sanitaire et sociale valeur la Appréhender obligatoire.

avlu cnmqed etu el at td ’suac santé l’Assurance de et santé la de secteur du économique valeur la

e ope ainu.Csdrir emtetd edecmt de compte rendre de permettent derniers Ces nationaux. Comptes des

air rniaesrlsdnése niaer rdisdn ecadre le dans produits indicateurs et données les sur principale manière

ti osbepu essèed at rnas etaalapréde porté a travail Le français. santé de système le pour possible était

e ifrnsidctusrprsotéérnegé osu cela lorsque renseignés été ont repérés indicateurs différents Les

ult evedspersonnes. des vie de qualité

ngltsd ieu eve aveé te emsdaéirto ela de d’amélioration termes en et pauvreté, vie, de niveaux de inégalités

prcaine n eued e otiuin cnmqe,scae : sociales économiques, contributions ces de mesure une et appréciation

195

at udvlpeetéooiu,sca thmi is u orune pour que ainsi humain et social économique, développement au santé

betvto e otiuin uscerd asnée el’Assurance de et santé la de secteur du contributions des objectivation

ae éhdlgqe tàdsue e niaer xsat orune pour existants indicateurs les discuter à et méthodologiques bases

è os ospooosueéueepoaor iatàpsrles poser à visant exploratoire étude une proposons nous lors, Dès

tcrtf éesie apoeto el at echacun. de santé la de protection la à nécessaires curatifs et

esnédfnsete fe e odtosdacsresaxsispréventifs soins aux réels d’accès conditions les effet en définissent santé de

erglto oetu ôeesnil e ytmsd at tlspolitiques les et santé de systèmes Les essentiel. rôle un jouent régulation de

asssdmnin ’raiaine efnneet–e e modes ses et – financement de et d’organisation dimensions ses dans –

e ietsrelsdsprons efntonmn ussèed santé de système du fonctionnement le personnes, des réelles libertés des

evedcne ota ogd ave asc rcsu d’expansion processus ce Dans vie. sa de long au tout décentes vie de

rsre asné ercvi n dcto,e ebnfce econditions de bénéficier de et éducation, une recevoir de santé, sa préserver

oetaié tcpcts am e oetaié,fgrn e aaié de capacités les figurent potentialités, les Parmi capacités. et potentialités

e osbltsd hi uetsaxidvds rc ’xeso eleurs de l’extension à grâce individus, aux ouvertes choix de possibilités des

Sn 03 s ned om l’élargissement comme entendu est 2003) (Sen, rencontres » individus les jouissent

ensei rcsu ’xaso e ietsrelsdont réelles libertés des d’expansion processus « pement,

g nemen eetsca td éeopmn uan edévelop- Le humain. développement du et social pement

t g dévelop- du cœur au situe se santé la effet, En suffisante. est

i o n ACTEURS DES

e éessd at s éesie lenetpas n’est elle nécessaire, est santé de dépenses des

REGARDS REGARDS

ac t économique valeur la de l’objectivation si même, De io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

e éessd santé. de dépenses des

biaor tAsrnemldecmlmnar.E fe,lAsrnemldeolgtiecur nio 5% 75 environ couvre obligatoire maladie l’Assurance effet, En complémentaire. maladie Assurance et obligatoire

.D atd oed ovrued iqemldeogns nFac,nu itnun suac maladie Assurance distinguons nous France, en organisé maladie risque du couverture de mode du fait Du 2.

rnhsdn ’ciiée e rdissn ietmn isàl santé la à liés directement sont produits les et l’activité dont branches

usn ag e rnn ncmt e rnhso ocaxde morceaux ou branches des compte en prenant (en large sens au

at acad,snénnmrhnee nuti hraetqe ou pharmaceutique) industrie et marchande non santé marchande, Santé

escerd asné u esi usn tit(vclsbranches les (avec strict sens au soit ce que santé, la de secteur Le

’ciiéproductive l’activité à

.Dsidctusqirnetcmt econtributions de compte rendent qui indicateurs Des A.

evlu cnmqee evlu sociale. valeur de et économique valeur de

dpne esnéfnnésprdspéèeet biaors ntermes en obligatoires) prélèvements des par financées santé de (dépenses

otiuin uscerd asnée elAsrnesnéobligatoire santé l’Assurance de et santé la de secteur du contributions

tepout atrdsCmtsntoax u edn opedes compte rendent qui nationaux) Comptes des partir à produits être

npu itnurtostpsdidctus(rdiso u pourraient qui ou (produits d’indicateurs types trois distinguer peut On

tservices. et

rvr adnmqeéooiu soieàl osmaind biens de consommation la à associée économique dynamique la travers

eetéooiu rvr ’mloaind ’ttd at is qu’à ainsi santé de l’état de l’amélioration travers à : économique pement

et osmainipcatàdu ieu acosac tl dévelop- le et croissance la niveaux deux à impactant consommation cette

196

emtdn ecnomrdvnaed in tsrie médicaux, services et biens de davantage consommer de donc permet

01.LAsrnemaladie L’Assurance 2001). alii, et (Dourgnon santé leur pour nécessaires

éaoiéscmeaxpu iésdacdraxsrie médicaux services aux d’accéder aisées plus aux comme défavorisées

asto fetrlu ugt lepre,térqeet u personnes aux théoriquement, permet, Elle budget. leur affecter trop sans

apsiiiéaxpronsd osme e in tsrie esanté de services et biens des consommer de personnes aux possibilité la

obligatoire nrdiatl rxd eor upréprl éae offre ménage, le par supporté recours du prix le réduisant en ,

2

risneéooiu.L ovrueofreprlAsrnemaladie l’Assurance par offerte couverture La économique. croissance

e éid ecnocuedgaé oamn)e nietmn la à indirectement et notamment) dégradée conjoncture de période (en

eeue acnomto otiun umite el demande la de maintien au contribuent consommation la à et revenu

asl ar ussèedasrne oils,prlu ote au soutien leur par sociales), d’assurances système du cadre le dans

e osmain esrie ulc sismdcu remboursés médicaux (soins publics services de consommations Ces

éuto e ngltsd ieu eveetectgre eménages. de catégories entre vie de niveaux de inégalités des réduction

ulqe esné nmtèed ieud i e éae tde et ménages des vie de niveau de matière en santé, de publiques ée e fesd ’suac at biaor ’s--iedsdépenses des c’est-à-dire obligatoire santé l’Assurance de effets les dérer rencontres

ensei ’cnme upitd u e éae,o etconsi- peut on ménages, des vue de point Du l’économie.

g nemen glmn e fesdetanmn u ’nebede l’ensemble sur d’entraînement effets des également

t u apouto,l aeraotee ’mli leproduit Elle l’emploi. et ajoutée valeur la production, la sur g est

i o

DES ACTEURS DES n

desea etu el at xreu matpositif impact un exerce santé la de secteur au adressée

REGARDS REGARDS

ac upitd u el aerpoutv,l demande la productive, valeur la de vue de point Du t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

osmainfnl e diitain ulqe)aosq’len ersneqe5%d aC e ménages. des CF la de % 5 que représente ne qu’elle alors publiques) administrations des finale consommation

acnomto iaedsamnsrtospbiusetd 4%(0%pu apr eléuaindn la dans l’éducation de part la pour % (20 % 34 de est publiques administrations des finale consommation la

.D atd apiee hrescaié e éessd ’suac aai,l od el at dans santé la de poids le maladie, l’Assurance de dépenses des socialisée charge en prise la de fait Du 3.

us e rnfrse sèe tsrotdstaset nntr (services nature en transferts des surtout et espèces en transferts des aussi

et piu,lsdpne esné–fnnésprl olciié–sont – collectivité la par financées – santé de dépenses les optique, cette

éae tuelgqed eeudn e ope ainu.Dans nationaux. Comptes les dans revenu de logique une et ménages

eomnain urpotSilt s edvlpe aprpciedes perspective la développer de est Stiglitz rapport du recommandations

ups esitrse urvn lttq’ apouto.Uedes Une production. la qu’à plutôt revenu au s’intéresser de suppose

dpe epitd u ube-teéooiu e ménages des économique bien-être du vue de point le Adopter

unva evedsménages des vie de niveau au

.Dsidctusqirnetcmt econtributions de compte rendent qui indicateurs Des B.

emplois

el Ad 2uié tcéto e13,56 de création et unités 82 de VA la de

ead des u rnhsSnémnaind apouto e19unités 149 de production la de mentation Santé branches aux adressé demande

aV tsrlepo ’nsrrî ed ead u rnhsSné aug- Santé, branches aux demande de de surcroît d’un l’emploi sur et VA la

fesmlilctussrl rdcin u ut n umnaind 0 unités 100 de augmentation une à Suite sur production, la sur multiplicateurs Effets

risnee oued aV usn strict sens au VA la de volume en croissance

oiiedpi 91pu rnhsSanté branches pour 1981 depuis Positive la à Santé branches des Contribution

asl F asl A asl’emploi dans VA, la dans CF, la dans

vlto e at e rnhsSnénr Santé branches des parts des Évolution

197

’mlitotal l’emploi

e rnhsSnéa eslredn t64%pu BTP pour % 6,4 et dans large sens au Santé branches des

, orhtl trestaurants et hôtels pour % 3,7 vs ( % 9,9 champ le dans employés effectifs des Part

asl Antoaee , orBTP pour % 5,8 et nationale VA la dans

, orhtl trestaurants et hôtels pour % 2,3 vs ( % 9,3 large sens au Santé branches des Part

asl rdcinttl t66%pu BTP pour % 6,6 et totale production la dans

atdsbace at usn ag , ( % 7,6 large sens au Santé branches des Part , orhtl trestaurants et hôtels pour % 2,4 vs

osmainfnl e %) (en finale consommation

od e rnhsSnédn a1, % 13,9 la dans Santé branches des Poids

3

aslsCmtsntoax(orei tPlrk,2009) Pilarski, et (Bourgeois nationaux Comptes les dans

niaer n20,àpri de partir à 2005, En Indicateurs

ntre epouto,vlu jué templois et ajoutée valeur production, de termes en rencontres d’informations systèmes et Indicateurs 1. Tableau ensei

g nemen ius(aerAote–V ,epos tbeu1). (tableau emplois) –, VA – Ajoutée (Valeur miques

t g écono- retombées ses de et production la de vue de est

i o n ACTEURS DES

acsrltvsàl at.. etêr osdr upoint du considéré être peut santé...) la à relatives rances

REGARDS REGARDS

ac t assu- des et mutuelles des activités les exemple, par – io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

elu atvr e éae picplmn asnée l’éducation). et santé la (principalement ménages les vers part leur de

éessd osmainfnl,lsbese e evcsqidnetle e rnfrsscaxe nature en sociaux transferts des à lieu donnent qui services les et biens les finale, consommation de dépenses

elu at acnomto fetv opeddn,otelsbese evcsaqi a er propres leurs par acquis services et biens les outre donc, comprend effective consommation La part. leur de

éiet orl aifcind er eon,qecsaqiiin in ato o,lojtduedépense d’une l’objet non, ou fait aient acquisitions ces que besoins, leurs de satisfaction la pour résidents

.L osmainefciedsmngsicu oslsbese e evcsaqi a e ménages les par acquis services les et biens les tous inclut ménages des effective consommation La 6.

tdsisiuin asbtlcai usriedsménages. des service au lucratif but sans institutions des et

oteatedscnomtosidvdaialsicue aslsdpne e diitain publiques administrations des dépenses les dans incluses individualisables consommations des contrepartie

.L DAdsmngscrepn urvn ipnbeaget e rnfrsscaxe nature en sociaux transferts des augmenté disponible revenu au correspond ménages des RDBA Le 5.

acnrbto oil ééaié tl otiuinàl éuto el et sociale. dette la de réduction la à contribution la et généralisée sociale contribution la

esdsipt iet.Qar môsdrcssn rse ope:liptsrl eeu atx d’habitation, taxe la revenu, le sur l’impôt : compte en pris sont directs impôts Quatre directs. impôts des nets

e rnfrspié tlspettosscae ycmrslspnin ertat tlsidmié echômage), de indemnités les et retraite de pensions les compris (y sociales prestations les et privés transferts les

.SlnlISE ervn ipnbedu éaecmrn e eeu ’ciié e eeu upatrimoine, du revenus les d’activité, revenus les comprend ménage d’un disponible revenu le l’INSEE, Selon 4.

il ordate osmain opaiie asl croissance la dans comptabiliser à consommations d’autres pour nible

01.El emtd iée nrvn dispo- revenu un libérer de permet Elle 2001). alii, et (Dourgnon mations

afi e osmain epout esnée e ursconsom- autres des et santé de produits de consommations des fois la à

leau fe nietsrl risnee edvlpeetprl biais le par développement le et croissance la sur indirect effet un a Elle

acnomto iae osbese evcscnods e ménages. des confondus, services et biens tous finale, consommation la

’suac aai biaor s ocu lmn motn de important élément un donc est obligatoire maladie L’Assurance

irleftd apiee hrecletv ecransdpne sociales. dépenses certaines de collective charge en prise la de l’effet cier

osmainefciedsmngsdatepr emtetd’appré- permettent – part d’autre ménages des effective Consommation

osmainfnl ’n ate eeudsoil rtaut et ajusté brut disponible Revenu et part d’une finale Consommation

e exesmlsdidctus–Rvn ipnbebu et brut disponible Revenu – d’indicateurs ensembles deux Ces

nul oesprménage. par moyens annuels 843 3 soit nature en sociaux ferts €

éessd at ersnete oen n20 13%dstrans- des % 41,3 2003 en moyenne en représentent santé de dépenses

198

indsmngssn eessdn etbeusiat(ala ) Les 2). (tableau suivant tableau le dans recensés sont ménages des tion

esné(iace asu ar oils)a eeue aconsomma- la à et revenu au socialisé) cadre un dans (financées santé de

e niaer u edn opedscnrbtosdsdépenses des contributions des compte rendent qui indicateurs Les

. ietmn a e éae)lstaset oiu nnature en sociaux transferts les ménages) les par directement

6

e éae)qiaot adpned osmain(eqietpayé est qui (ce consommation de dépense la à ajoute qui ménages) les

td acnomto iaeefcie(eqietrelmn osmépar consommé réellement est qui (ce effective finale consommation la de et

osfred evcsgaut uqaigaut urvn ipnbebrut disponible revenu au gratuits quasi ou gratuits services de forme sous

5

ipnbeBu jsé(DA u juelstaset oiu nnature en sociaux transferts les ajoute qui (RDBA) Ajusté Brut Disponible

uv tueaayerglèe(esa et (Fesseau régulière analyse une et suivi 00.I ’gtd Revenu du s’agit Il 2010). alii,

exate niaer otpumse vn tmrtrin un mériteraient et avant en mis peu sont indicateurs autres Deux

ecnomto e ménages. des consommation de

tlsdépenses les et ye ’niaer eRvn ipnbeBu (RDB) Brut Disponible Revenu le : d’indicateurs types

4 ind ovi ’ca e éae ottaiinelmn tlssdeux utilisés traditionnellement sont ménages des d’achat pouvoir du tion

rencontres aslsCmtsntoax ormsrrl’évolu- mesurer pour nationaux, Comptes les Dans ensei

g nemen erconsommation. leur

t irto unva evedsmngse soutiennent et ménages des vie de niveau du lioration g est

i o

DES ACTEURS DES n

oreetdssismdcu)qicnrbetàl’amé- à contribuent qui médicaux) soins des boursement

REGARDS REGARDS

ac rtisrnu a e diitain ulqe,rem- publiques, administrations les par rendus gratuits t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

vie.

éae,iscnrbetasiàl éuto e ngltsd ieu de niveaux de inégalités des réduction la à aussi contribuent ils ménages,

e éae ’yn a emm od eo enva evedes vie de niveau le selon poids même le pas n’ayant ; ménages des

e rnfrse auesuinetl eeue aconsommation la et revenu le soutiennent nature en transferts Les

ardcindsiéaié envaxd vie de niveaux de inégalités des réduction la à

.Dsidctusqirnetcmt econtributions de compte rendent qui indicateurs Des C.

fetv e ménages des effective

isàl at asl osmainfinale consommation la dans santé la à tifs

atdstaset oiu nntr ea , n20 e moyenne) (en 2003 en % 9,2 rela- nature en sociaux transferts des Part

ménages

moyenne) des effective ale fin consommation la

atdstaset oiu nntr as2, n20 t2, n20 (en 2009 en % 23,5 et 2003 en % 22,4 dans nature en sociaux transferts des Part

isàl at asl DAdsménages des RDBA le dans santé la à tifs

atdstaset oiu nntr ea n20 e moyenne) (en 2003 en % 8 rela- nature en sociaux transferts des Part

eRB e éae moyenne) ménages des RDBA le

atdstaset oiu nntr as1, n20 t2, n20 (en 2009 en % 20,5 et 2003 en % 19,3 dans nature en sociaux transferts des Part

totaux)

t13%e 09(montants 2009 en % 1,3 et ) en ménage consommation de dépenses €

apr osmainfnl fetv ,8 n20 mnat oespar moyens (montants 2003 en % 1,288 / effective finale consommation Rapport

199 totaux)

t12 n20 (montants 2009 en % 1,25 et en ménage €

apr DA/RB12 n20 mnat oespar moyens (montants 2003 en % 1,24 RDB / RDBA Rapport

2009) alii, et Fesseau

aslsCmtsnationaux Comptes les dans

09– 2009 alii, Acroet (Accardo

Indicateurs

n20 t2009 et 2003 En

asl esetv e éae eeu consommation revenu, : ménages des perspective la dans

ala .Idctuse ytmsd’informations systèmes et Indicateurs 2. Tableau

crise.

éae.Cc éogeasid ereftaotsere éid de période en amortisseur effet leur de aussi témoigne Ceci ménages.

paasetcmedssuin urvn tàl osmaindes consommation la à et revenu au soutiens des comme apparaissent

e rnfrsscaxe auetl u exrltf asanté la à relatifs ceux que tels nature en sociaux transferts Les rencontres détente. de ou sportifs loisirs des aussi

ensei at,cetl a ulgmn,d ’lmnain mais l’alimentation, de logement, du cas le c’est santé,

g nemen ateiprat etasiaordseft u ’ttde l’état sur effets des avoir aussi peut importante partie

t g une mais santé la sur identifiés effets d’autres pas n’a est

i o n ACTEURS DES

osmain otàdsige.Uepri ’nr elles d’entre partie Une distinguer. à sont consommations

REGARDS REGARDS

ac t de types Deux social. développement le et économique io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

éopsto uption iace tnnfnnirprgopsd ménages. de groupes par financier non et financier patrimoine du décomposition

.L rvi s ncussruecnuèevral,l oegorpiu rrl/ran);d êe la même, de ; (rurale/urbaine) géographique zone la variable, cinquième une sur cours en est travail Le 8.

aéoisd ménages. de catégories

niiule orrpri e assmcoéooiusd eeuo ecnomto nr e différentes les entre consommation de ou revenu de macro-économiques masses les répartir pour individuelles

e ails(d-06,Lgmn 20)e at 20)Lseqêe emtetd ipsrd données de disposer de permettent enquêtes Les (2003) Santé et (2002) Logement (BdF-2006), Familles des

tlsCniin eVedsmngs(RV20) e nutsRvnsFsax(R-03,Budget (ERF-2003), Fiscaux Revenus Enquêtes des (SRCV-2004), ménages des Vie de Conditions les et

’NE eaie u hmsdsrvnse el osmain:dnésdsSaitqe u e Ressources les sur Statistiques des données : consommation la de et revenus des thèmes aux relatives l’INSEE

.Ctedcmoiindsdnésarge el opaiiéntoaesapi u iqeqêe de enquêtes cinq sur s’appuie nationale comptabilité la de agrégées données des décomposition Cette 7.

evesn eessdn etbeusiat(ala 3). (tableau suivant tableau le dans recensés sont vie de

esné(iace asu ar oils)àl éuto e niveaux des réduction la à socialisé) cadre un dans (financées santé de

e niaer u edn opedscnrbtosdsdépenses des contributions des compte rendent qui indicateurs Les

ieud i,lâe aCPe acmoiinfamiliale composition la et CSP la l’âge, vie, de niveau .

8

et éopsto ucmt e éae eo utevrals:le : variables quatre selon ménages des compte du décomposition cette

one géésd opaiiéntoae etaalraiéaconduit a réalisé travail Le nationale. Comptabilité de agrégées données

e ttsiusd itiuind eeuqisin oéetsae les avec cohérentes soient qui revenu du distribution de statistiques des

ucmt e éae orlane2003 l’année pour ménages des compte du n orojci eproduire de objectif pour ont

7

a advso ope ainu elISEpratsrl décomposition la sur portant l’INSEE de nationaux Comptes division la par

tl iee vdnedsdsesosd iutos e rvu entrepris travaux Les situations. de dispersions des évidence en mise la et

ems ecnate«qesgopsd éae ééiin eqo » ? quoi de bénéficient ménages de groupes quels « connaître de termes,

09.Cc emtdaorl esetv e ééiiie,e d’autres en bénéficiaires, des perspective la d’avoir permet Ceci 2009).

ossee adcmoiind opedsmngs(cad et (Accardo ménages des compte du décomposition la en consiste alii,

n esetv etaaldn ecdedsCmtsnationaux, Comptes des cadre le dans travail de perspective Une

’nglt ervnsetl lsfaible. plus la est revenus de l’inégalité

ecsSrie ulc mn aFac asl ruedspy où pays des groupe le dans France la amène publics Services ces de

200

e aitosipratsdu asàlate is,l rs ncompte en prise la Ainsi, l’autre. à pays d’un importantes variations des

’CE e extesd ’matd afsaiée e rsain avec prestations des et fiscalité la de l’impact de tiers deux les l’OCDE,

ui aqé is,c ene ersnee oen aslspy de pays les dans moyenne en représente dernier ce Ainsi, marqué. butif

ulc ’dcto,d at td oeet nosreu fe redistri- effet un observe on logement, de et santé de d’éducation, publics

môse rsain) eedn,s ’npede opelsServices les compte en prend l’on si Cependant, prestations). et impôts

éur apurt ’nio 0%prrpotàc uel eatsans serait qu’elle ce à rapport par % 60 d’environ pauvreté la réduire

elOD,lsiéaié ervnsdu ir d êe lepre de permet elle même, (de tiers d’un revenus de inégalités les l’OCDE, de

e môse rsain nepcsrdi,e oen aslspays les dans moyenne en réduit, espèces en prestations et impôts les

tl oeet otiun us éur e nglts ardsrbto par redistribution La inégalités. les réduire à aussi contribuent logement, le et

evcsfunsdn ncdepbi,ntmetpu ’dcto,l santé la l’éducation, pour notamment public, cadre un dans fournis services

usind osbltse erslas» résultats de et possibilités de question tdn et esetv,les perspective, cette dans et

’nglt ’s a uueqeto ervn ’s une c’est : revenu de question qu’une pas n’est l’inégalité « Cependant,

el aveée eliéaiédn e extesdspy el’OCDE. de pays des tiers deux les dans l’inégalité de et pauvreté la de euscn n,l hnmn epusi vcueaggravation une avec poursuit se phénomène le ans, cinq Depuis rencontres

ensei mi us aGèee l’Espagne). et Grèce la aussi (mais

g nemen

90 ’xeto eqeqe as esqel France la que tels pays, quelques de l’exception à 1980,

t uea iiudsane 00q’umle e années des milieu qu’au 2000 années des milieu au quée g est

i o

DES ACTEURS DES n

apuatdspy,liéaiédsrvnséatpu mar- plus était revenus des l’inégalité pays, des plupart la

REGARDS REGARDS

ac e rvu elOD 20)suinn u dans que soulignent (2008) l’OCDE de travaux Les t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

i prpcied oéinscaee politique). et sociale cohésion de (perspective vie

emsdeft eitiuise erdcindsiéaié envaxde niveaux de inégalités des réduction de et redistributifs d’effets termes

e éae prpcied eeu el osmain tefnen enfin et consommation) la de revenu, du (perspective ménages des

rdcie(esetv I tepo) ntre ebe-tematériel bien-être de termes en emploi), et PIB (perspective productive

motne ussèed at td e éesse emsd valeur de termes en dépenses ses de et santé de système du importantes

u ’vnrdsmngs e niaer edn opedscontributions des compte rendent indicateurs Les ménages. des l’avenir sur

erdseft el rs cnmqee otiun éur l’incertitude réduire à contribuent et économique crise la de effets des seur

udvlpeetéooiu.Elscnttetéaeetu amortis- un également constituent Elles économique. développement au

tlAsrnesnéolgtiecnrbetd air iet tindirecte et directe manière de contribuent obligatoire santé l’Assurance et

er xsat emtd etee vdneqelsdpne esanté de dépenses les que évidence en mettre de permet existants teurs

orcnlr,cteaayedsCmtsntoaxe e indica- des et nationaux Comptes des analyse cette conclure, Pour

e ngltsd ieu evie de niveaux de inégalités des

at otiu or2 aréduction la à % 25 pour contribue santé

ieud i indsiéaié envaxd i tla et vie de niveaux de inégalités des tion vie de niveau

nntr ardcindsiéaié epriietpu lsd 2%àl réduc- la à % 52 de plus pour participent de inégalités des réduction la à nature en

otiuindstaset oéarse n20,lstaset oiu nnature en sociaux transferts les 2009, En et monétaires transferts des Contribution

éiee e3 le et décile éied ieud vie de niveau de décile

e

e3 le éiee nr edernier le entre et décile 1 le et décile

er e

pè rnfrse aue(nsné entre santé) (en nature en transferts après

crsd osmainfnl vn et avant finale consommation de Écarts

3 éied ieud vie de niveau de décile

e

e1 le éiee nr edrirdcl tle et décile dernier le entre et décile

201 er

nntr e at)etel 3 le entre santé) (en nature en éieet décile

e

crsd eeuaate pè transferts après et avant revenu de Écarts

asné n2009 en santé) la à

opesuedstaset nntr liés nature en transferts des seule compte

acnomto fetv arspieen prise (après effective consommation la

nntr e at)tv tu rnfrse aue , pour % 2,8 ; nature) en transferts (tous tive santé) (en nature en

in;22%pu acnomto effec- consommation la pour % 2,2 ; tion transferts après et avant consommation

orlsdpne econsomma- de dépenses les pour % 3,4 de niveaux des e inter-quintil Rapport

rnfrse auelé asné n2003 en santé) la à liés nature en transferts

at)RB arspiee opesuedes seule compte en prise (après RDBA santé)

vn tarstaset nntr e tu rnfrse aue , orle pour % 4,1 ; nature) en transferts (tous (en nature en transferts après et avant

apr ne-uniedsnvaxd i , orl D , orl RDBA le pour % 3,1 ; RDB le pour % 5,1 vie de niveaux des inter-quintile Rapport

2010) alii, et Bonnefoy

09– 2009 alii, aslsCmtsntoaxe n20 Acroet (Accardo 2009 en et nationaux Comptes les dans

rencontres niaer envaxd i n2003 en vie de niveaux de Indicateurs

ensei g inégalités des Réduction nemen

t g vie de niveaux de inégalités des réduction est

i o n asl esetv e éae : ménages des perspective la dans

ac t d’informations systèmes et Indicateurs 3. Tableau io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

2011. , alii et Fargeon dans menée est approfondie plus méthodologique discussion Une 9.

ménages.

el at tdsdpne esnédu ieumcoa ieudes niveau au macro niveau d’un santé de dépenses des et santé la de

etn us epse ’n prcaindscnrbtosd secteur du contributions des appréciation d’une passer de aussi mettent

u acnasac e ééiiie e éessd at.Isper- Ils santé. de dépenses des bénéficiaires des connaissance la sur

inêr aéilmi us e iprin,pretn eprogresser de permettent dispersions, des aussi mais matériel bien-être

aprpciedsmngs elu eeue e iesosd leur de dimensions des et revenu leur de ménages, des perspective la

lrsecpnatqecstaaxeterspu edecmt de compte rendre pour entrepris travaux ces que cependant reste Il

aai,dnésdeqêe oamn IRDES). notamment d’enquête, données maladie,

niiule dnésamnsrtvsd ebusmn el’Assurance de remboursement de administratives (données individuelles

ésae e one ’nutssrlsmngs or e données des voire ménages, les sur d’enquêtes données des avec gées

nntr rltf asné asasid ’riuaind one agré- données de l’articulation de aussi mais santé) la à (relatifs nature en

e usin elapéeso td avlrsto e rnfrssociaux transferts des valorisation la de et l’appréhension de questions les

’urseju éhdlgqe otsueé vce particulier en avec soulevés sont méthodologiques enjeux D’autres

ui ovetaosd’étudier. alors convient qu’il 202

02,arbitrages 2002), alii, et (Bardey santé la à et vie de qualité la à utiles moins

éae,cnusn e osmain ebese evcspu ou plus services et biens de consommations des à conduisant ménages,

ac aai etcnrbe e rirgsd osmain des consommations de arbitrages des à contribuer peut maladie rance

aéil note nmdfatl rxaprn e on éiax l’assu- médicaux, soins des apparent prix le modifiant en outre, En matériel.

ult e evcscnomse elu otiuina inêr non bien-être au contribution leur de et consommés services des qualité

auea eeue acnomto e éae edtre ela de rien dit ne ménages des consommation la à et revenu au nature

etie emm,laayed acnrbto e rnfrsscaxen sociaux transferts des contribution la de l’analyse même, De mentaire.

’netmn)ncsarsa iacmn el ées esnésupplé- santé de dépense la de financement au nécessaires l’endettement)

rlvmnsolgtie upéetie e u éiispbise à et publics déficits aux (et supplémentaires obligatoires prélèvements

upu ervn éééaniqeleftptnileet«ngtf»léaux lié » négatif « potentiellement l’effet que ainsi généré revenu de surplus

at asueprpciednmqe ’sie e fesidisprle par induits effets les d’estimer dynamique, perspective une dans rait,

uscerd asnérsee fe n prcesaiu u nécessite- qui statique approche une effet en reste santé la de secteur du upitd u éhdlgqe ’nls el aerproductive valeur la de l’analyse méthodologique, vue de point Du rencontres

ensei rlneet asl rtqestatistique. pratique la dans prolongements

g nemen omneéooiu tl rgè oiltov des trouve social progrès le et économique formance

t éogetéaeetd atqel élxo u aper- la sur réflexion la que fait du également témoignent g est

i o

DES ACTEURS DES n

,ils méthodologiques questions de nombre certain

9 REGARDS REGARDS

ac êes e niaer rcdnssuèetun soulèvent précédents indicateurs les si Même t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

otssetbe ’carrlspltqe esnédn exdrcin : directions deux dans santé de politiques les d’éclairer susceptibles sont

et onisnee apouto ’niaer complémentaires d’indicateurs production la et connaissance Cette

uaise aslacsaxdroits. aux l’accès dans et curatifs

ytm tlspltqe esnédn ’cè u on rvniset préventifs soins aux l’accès dans santé de politiques les et système

i a xml)àcledsopruié tcniin one a le par données conditions et opportunités des celle à exemple) par vie

l éestn edpae ’nls e élstos(e ieu de niveaux (les réalisations des l’analyse déplacer de nécessitent Ils

tpse n oiu edvlpeetsca thumain. et social développement de logique une à passer et

éeopmn xlsvmn etésrléooiu tl croissance la et l’économique sur centré exclusivement développement

e rlneet otidsesbe orqitruelgqede logique une quitter pour indispensables sont prolongements Ces

iie éae tindividus. et ménages – ciaires

ups epoogrlaayee ’prfni aprpciedsbénéfi- des perspective la d’approfondir et l’analyse prolonger de suppose

éessd at tl ytm esnéaxidvdse acollectivité) la à et individus aux santé de système le et santé de dépenses

eluiiée el ult e éessd at l evc ed a les par rendu service (le santé de dépenses des qualité la de et l’utilité de

epouto esné epouto eqaiéd i) trnr compte rendre et vie), de qualité de production de santé, de production de

ube-tedn e iesosnnmntie snefte termes en effet (son monétaires non dimensions ses dans bien-être du

prhne e otiuin ussèed at l’amélioration à santé de système du contributions les Appréhender

tsntiedspltqe esanté. de politiques des sanitaire et

eve,isn edn a opedate iesosd avlu sociale valeur la de dimensions d’autres compte pas rendent ne ils vie), de

ervlu oil cnrbto ardcindsiéaié eniveaux de inégalités des réduction la à (contribution sociale valeur leur à

ube-temtre e éae)e ’n ated eqis’apparente qui ce de partie d’une et ménages) des matériel bien-être au

iu cnrbto apouto tàl aeraotee acroissance, sa à et ajoutée valeur la à et production la à (contribution mique

203 at td ’suac aai biaor ntre evlu écono- valeur de termes en obligatoire maladie l’Assurance de et santé

etn n betvto oéar e otiuin uscerd la de secteur du contributions des monétaire objectivation une mettent

r ilsidctusrprsàpri e ope ainu per- nationaux Comptes des partir à repérés indicateurs les si Or,

’vlaind eruiiéscae erefcct,lu qiée erefficience. leur et équité leur efficacité, leur sociale, utilité leur de l’évaluation

esnée e ytmsd at tlitrtd odielaayeet l’analyse conduire de l’intérêt et santé de systèmes des et santé de

oaié ’cè u on éiax eisuin erl e politiques des rôle le souligne Ceci médicaux. soins aux d’accès modalités

in erfnneetmi us er oe erglto tutrn les structurant régulation de modes leurs aussi mais financement leur tion,

ledpn el éito at a e ytmsd at,lu organisa- leur santé, de systèmes les par faite médiation la de dépend Elle

at taéirto eléa esnéetli ’temcnqee directe. et mécanique d’être loin est santé de l’état de amélioration et santé

CH 01.Tueos arlto nr umnaindsdpne de dépenses des augmentation entre relation la Toutefois, 2001). (CMH,

apurt,l risneéooiu tl éeopmn ogtre» terme long à développement le et économique croissance la pauvreté, la

esnédsppltoscntteu nu éii orl éuto de réduction la pour décisif input un constitue populations des santé de

pot e oiiusd at nsuinn que soulignant en santé de politiques des apports ’mloaind l’état de l’amélioration « rencontres les résume l’OMS de santé et macro-économie commission La ensei

g nemen

e ytmsd santé de systèmes des

t g sanitaire et sociale valeur la de est

i o n ACTEURS DES

orrnr compte rendre pour

REGARDS REGARDS

ac t indicateurs D’autres II. io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

’tepout emnèerégulière. manière de produite d’être

0 oe u ’nls e fesdstaset oiu nntr xsepu ’né 03mi s loin est mais 2003 l’année pour existe nature en sociaux transferts des effets des l’analyse que noter À 10.

2011). alii, et (Perronin couverture de niveaux les dans et l’AMC à l’accès

ovmn ’copgedu prfnismn e ngltsdans inégalités des approfondissement d’un s’accompagne mouvement

orlsmngsdn amynedsnvaxd i.D ls ce plus, De vie. de niveaux des moyenne la dans ménages les pour

el atdsdpne esnérmorésprlAO notamment l’AMO, par remboursées santé de dépenses des part la de

indseft eitiuisd ’suac at ufi urétrécissement du fait du santé l’Assurance de redistributifs effets des tion

termoré a n M.Cteéouinap odieàuediminu- une à conduire pu a évolution Cette AMC. une par remboursée être

n umnaind apr asé acag e éae pouvant ménages des charge la à laissée part la de augmentation une à

aai ’puatsruelgqed atcpto iacèe n conduit ont financière, participation de logique une sur s’appuyant maladie

eitiuisd ’M,lspltqe erdcind éii el’Assurance de déficit du réduction de politiques les l’AMO, de redistributifs

ilsidctusrfrsaxCmtsntoaxmnrn e effets les montrent nationaux Comptes aux référés indicateurs les Si

ufi ’nmisbnéa esanté. de état bon moins d’un fait du

u éessd on lséeésdsmngslspu modestes, plus les ménages des élevées plus soins de dépenses aux

05.Cterdsrbto s us npri liée partie en aussi est redistribution Cette 2005). alii, et (Caussat situation

i.Liprac elAOe el M- xlqetpicplmn cette principalement expliquent CMU-C la de et l’AMO de L’importance vie.

ectsn lr u ’s ’nes nhu eléhledsnvaxde niveaux des l’échelle de haut en l’inverse c’est que alors cotisent ne

éae e lsmdse eçietdvnaed rsain qu’ils prestations de davantage perçoivent modestes plus les ménages

asuemidemsr u e rlvmnsolgtie.A oa,les total, Au obligatoires. prélèvements les que mesure moindre une dans

imscmlmnarssn risne vcl ieud i mais vie de niveau le avec croissantes sont complémentaires nismes

éieprrpota rme éie.Lsctstosvrésaxorga- aux versées cotisations Les décile). premier au rapport par décile

risnsae enva eve(lsd 5fi uéiuspu edernier le pour supérieurs fois 15 de (plus vie de niveau le avec croissants 204

éae oteqelspéèeet biaorssn rsfortement très sont obligatoires prélèvements les que montre ménages

r ’nls e rsain urgr e rlvmnssrles sur prélèvements des regard au prestations des l’analyse Or,

opmn el’AMC. de loppement

ovetd rnr ncmt glmn e fesrdsrbtf udéve- du redistributifs effets les également compte en prendre de convient

,il oiu nntr §3 tet e fesrdsrbtf el’AMO de redistributifs effets des atteste 3) (§ nature en sociaux

10

otfi,s ’nls ems a apiee opedstransferts des compte en prise la par permise l’analyse si Toutefois,

atan 2007). Hartmann,

at paataoscmeuerpnepraé Cabrtu et (Chambaretaud partagée réponse une comme alors apparaît santé

ind apriiaindsmngsa iacmn e éessde dépenses des financement au ménages des participation la de tion

ifclé rue e iacmnspbiso e anei.L’augmenta- maintenir. les à ou publics financements les trouver à difficultés

iéfnnir opetn el rsindsbsisd on tdes et soins de besoins des pression la de tenu compte financière lité

e ytmsd at otprotmsàlérued asoutenabi- la de l’épreuve à mis partout sont santé de systèmes Les e iesosfnnir tnnfinancière. non et financière dimensions ses rencontres

ensei èed on td at,acsiiiéetnu dans entendue accessibilité santé, de et soins de tème

g nemen ar AC tl usind ’cesblt éled sys- du réelle l’accessibilité de question la et (AMC) taire

t biaor AO tlAsrneMldeComplémen- Maladie l’Assurance et (AMO) Obligatoire g est

i o

DES ACTEURS DES n

etdsdpne esnéetelAsrneMaladie l’Assurance entre santé de dépenses des ment

REGARDS REGARDS

ac e usin ufnneete upraed finance- du partage du et financement du questions les t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ons(etsàcag,rnneetaxsis cesblt usystème du accessibilité soins, aux renoncement charge, à (restes sonnes

edn oped ocineetd ytm esnépu e per- les pour santé de système du fonctionnement du compte rendent

è os laprî éesied rdiedsidctusqui indicateurs des produire de nécessaire apparaît il lors, Dès

sables.

ermoreete adsoiiiédueofed on aisoppo- tarifs à soins de offre d’une disponibilité la à et remboursement de

e ikt oéaer tdsfacie) utp esise erniveau leur et soins de type au franchises), des et modérateurs tickets des

unn ’ttd at qipu xnrrlspronsd paiement du personnes les exonérer peut (qui santé de l’état à non, ou

01,dsesoslésàl éeto ’n ovruecomplémentaire couverture d’une détention la à liées dispersions 2011),

00;Hcaam, ; 2010 alii, et (Legal ménages entre charge à reste de dispersions

éle e evcsd at.Ani etistaaxrcnsmnrn les montrent récents travaux certains Ainsi, santé. de services des réelles

tdspoesonl esnéaniqed adsoiiiée accessibilité et disponibilité la de que ainsi santé de professionnels des et

tedsigés et enèedpn e opreet e usagers des comportements des dépend dernière Cette distinguées. être

a,e fe,l ovruetérqee acuetr éledoivent réelle couverture la et théorique couverture la effet, en Car,

nle vclognsto e ytmsd at tlu pilotage. leur et santé de systèmes des l’organisation avec lien en

on) ’nls e odtosdacsresaxsisdi temenée être doit soins aux réels d’accès conditions des L’analyse soins).

é a acletvt tdgéd iacmn oils eo etp de type le selon socialisé financement de degré et collectivité la par cés

oamn ass atescaié prmted airdssisfinan- soins des panier du (périmètre socialisée partie sa dans notamment

’raiaind acuetr aai tdn efnneetdssoins des financement le dans et maladie couverture la de l’organisation

etn eqaiirlsséiiié ntttonle e ytmsdans systèmes des institutionnelles spécificités les qualifier de mettent

el ouaine e on,fnneetdsdpne esné per- santé) de dépenses des financement soins, des et population la de

00.Lsdféet niaer eeu ognsto el couverture la de (organisation retenus indicateurs différents Les 2010). alii,

insrlscrcéitqe e ytmsd at e2 as(ai et (Paris pays 29 de santé de systèmes des caractéristiques les sur tion 205

asdstaaxrcns ’CEaclet nesml d’informa- ensemble un collecté a l’OCDE récents, travaux des Dans

asslnlu er ’cesblt financière. d’accessibilité degré leur selon mais

tpror esis»dfnsnnpsslnuelgqed at publique Santé de logique une selon pas non définis » soins de parcours et

ir.. te otiun,e ur,àlisarto edféet réseaux « différents de l’instauration à outre, en contribuant, en et miers...)

ipné aslssisd rmesrcus(éei ééait,infir- généraliste, (médecin recours premiers de soins les dans dispensée

e rbèe esnéa érmn ’n prcepu préventive plus approche d’une détriment au santé de problèmes des

infnnir evn teiefccse aoiatuelgqecurative logique une favorisant en inefficaces être peuvent financière tion

us asssdmnin ’cesblt éle e oiiusd participa- de politiques Les réelle. d’accessibilité dimensions ses dans aussi

aatrsiusisiuinelse air ecuetr aai mais maladie couverture de matière en institutionnelles caractéristiques

at,dn e iesosdacsiiiétérqeqirnoeàses à renvoie qui théorique d’accessibilité dimensions ses dans santé,

glmn n eler onisned ocineetd ytm de système du fonctionnement du connaissance meilleure une également

carrcscoxpltqe,ovi edbte ’lmne nécessite l’alimenter et débat le ouvrir politiques, choix ces Éclairer rencontres l’AMC. vers l’AMO par santé de dépenses des financement du

ensei et nls emtri ’carrlseft utransfert du effets les d’éclairer permettrait analyse Cette

g nemen éuto e ngltsd ieu eveetévident. est vie de niveaux de inégalités des réduction

t g de termes qu’en ainsi consommation la et revenus les est

i o n ACTEURS DES

u fesdsAsrne at opéetie sur complémentaires santé Assurances des effets aux

REGARDS REGARDS

ac t spécifiques d’indicateurs production la de L’intérêt io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

2009). alii, et (Stiglitz » fait l’on que ce sur incidence une a mesure l’on que

.. ce (...) « que vrai est il tant santé de politiques des d’action catégories

hneet asls«mnèe epne ,lsrpéettose les et représentations les », penser de manières « les dans changements

at eés nut,preqectecnasac s otuede porteuse est connaissance cette que parce Ensuite, menées. santé

esné.)pu n eler rs ncmt aslspltqe de politiques les dans compte en prise meilleure une pour santé...) de

ets»ae e géashbtelmn tlss(I,Dpnecourante Dépense (PIB, utilisés habituellement agrégats les avec » rentes

ursdsisacsdcsonie napratdsmsrs«cohé- « mesures des apportant en décisionnaires instances des auprès

otpretedaee apécuaindsdistributions/inégalités des préoccupation la d’amener permettre doit

esnéd erpitd u tefnl euedsdispersions/inégalités des mesure la enfin et vue de point leur de santé de

aprpciedsbnfcars amsr el otiuind système du contribution la de mesure la bénéficiaires, des perspective la

oiiu.Daod ac u hne eprpciee etn d’affiner tentant en perspective de changer que parce D’abord, politique.

at uporséooiu tsca opreasiuedimension une aussi comporte social et économique progrès au santé

rdcind et onisnesrlscnrbtosdspltqe de politiques des contributions les sur connaissance cette de production

èed at tdspltqe esnéa eadd er betf,la objectifs, leurs de regard au santé de politiques des et santé de tème

206 éesieàuedmrh ’vlaind ocineetd sys- du fonctionnement du d’évaluation démarche une à Nécessaire

Conclusion

e niiu u er sgse odtosduae ussèed santé. de système du d’usages conditions et usages leurs sur individus des

éestn e prfnismnsd air asrl on evue de point le saisir à manière de approfondissements des nécessitent

e nutse emtoe emcosmlto DES RE) elles IRDES), (DREES, micro-simulation de méthodes de et enquêtes des

oiuse cetfqe.S ifrne éace ote or partir à cours en sont démarches différentes Si scientifiques. et logiques

ube-teidvde tcletf–suèed obexeju méthodo- enjeux nombreux de soulève – collectif et individuel bien-être au

oil tsntied etu el at ’s--ied acontribution sa de c’est-à-dire – santé la de secteur du sanitaire et sociale

acntuto etl niaer u edn oped avaleur la de compte rendent qui indicateurs tels de construction La

tionnelle. e ifrne iesos iacèe égahqe oil tinforma- et sociale géographique, financière, dimensions, différentes ses rencontres

ensei aatrsre eue ’cesblt ussèedans système du l’accessibilité mesurer et caractériser

g nemen

00.I ’gtde s’agit Il 2010). alii, et (Fargeon » curatifs et préventifs

t

’s--ieles c’est-à-dire osbltsrelsdacsaxsoins aux d’accès réelles possibilités « g est

i o

DES ACTEURS DES n

tlscniin ’sgsresd ytm esanté de système du réels d’usages conditions les et

REGARDS REGARDS

ac esis td rdieuecnasac u e usages les sur connaissance une produire de et soins) de t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ia,ARE3 tIsiu Montparnasse. Institut et EN3S APR final,

Rapport portée, leur de et disponibles sociaux et économiques indicateurs

asnéa éeopmn tàl risned aFac.Éauto des Évaluation France. la de croissance la à et développement au santé la

acnrbto uscerde secteur du contribution La (2011), C. Euzéby M., Brunat V., Fargeon

xéiettosscae,HCSA. sociales, Expérimentations

apr ia,Aplàprojet à Appel final, Rapport soins, des d’organisation modes trois à face

rmie trdcindsiéaié esné e loaarsd aCMU-C la de allocataires Les santé. de inégalités des réduction et primaires

raiaind ’fr esoins de l’offre de Organisation (2010), C. Euzéby M., Brunat V., Fargeon

ius ouetd rvi,n Travail, de Document tiques, 149.

o

RE 21) e ope ainu el at 09» éi Statis- Série », 2009 santé la de nationaux Comptes Les « (2010), DREES

43. n santé, la

o

usin ’cnmede d’économie Questions IRDES, », ? santé de sociales inégalités les elle

ornnP,GinnM,JstF 20) ’suac aai réduit- maladie L’Assurance « (2001), F. Jusot M., Grignon P., Dourgnon

rse elÉoedsMines. des l’École de Presses

ovre a e obe.Lagmn statistique, L’argument nombres. les par Gouverner (2008), A. Desrosières

eot eèe OMS. Genève, Report, Development, mic

areooisadHat netn nHat o Econo- for Health in Investing : Health and Macroeconomics (2001), CMH

A,Dcmn etravail. de Document HAS, européens, pays cinq dans santé de dépenses

apriiaindsptet aux patients des participation La (2007), L. Hartmann S., Chambaretaud

1. n

o

ose oiaiée Santé, et Solidarité Dossier », ? revenus les redistribuer à contribue-t-elle

207 asa . eMnzS tRyadD 20) ’suac maladie L’Assurance « (2005), D. Raynaud et S. Minez Le L., Caussat

3,63-75. 137, T éi ttsiusn Statistiques Série DT, DREES, 2008, Santé la de

o

ope nationaux Comptes M., Duée M.-A., Garrec Le A., Fenina in », française

orei . iasiC 20) apaed asnédn l’économie dans santé la de place La « (2009), C. Pilarski A., Bourgeois

otatsca el rne 79-95. France, la de social Portrait 2009, en redistribution La

onfyV,Cznv .C,Edla . aaidaooaT (2010), T. Razafindranovona A., Eidelman M.-C., Cazenave V., Bonnefoy

53. n santé, la de d’économie

o

lêr éat hoi ursu oa xps nsné», santé en ex-post moral risque du Théorie ? néfaste être il Questions

adyD,Cufna . rgo .(02,«To ’suac peut- d’assurance Trop « (2002), M. Grignon A., Couffinhal D., Bardey

88-108.

112, e hoisd acosac noèe», endogène croissance la de théories des n l’OFCE, de Revue

o

ginP,Hwt . utnF 21) ebnfc el at,u apport un santé, la de bénéfice Le « (2010), F. Murtin P., Howitt P., Aghion

ind opedsmngs», ménages des compte du tion NE,77-101. INSEE, française, L’économie rencontres décomposi- Une nationaux. Comptes les dans ménages

ensei

g entre inégalités Les « (2009), E. Raynaud S., Laidier nemen t Le M., Fesseau G., Consalès V., Bellamy J., Accardo g est

i o n ACTEURS DES

REGARDS REGARDS

ac t Bibliographie io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

amsr e efracséooiuse uporssocial. progrès du et économiques performances des mesure la

apr el omsinsur Commission la de Rapport (2009), J.-P. Fitoussi A., Sen J.-E., Stiglitz

ai,OieJacob. Odile Paris, libertés,

nnueumdl cnmqe:dvlpeet justice, développement, : économique modèle nouveau Un (2003), A. Sen

161. n santé, la de d’économie Questions

o

208 nFac n20 n ag ifso asdsiéaié ’cè », d’accès inégalités des mais diffusion large une : 2008 en France en

erni . ireA,RceeuT 21) acmlmnar Santé complémentaire La « (2011), T. Rochereau A., Pierre M., Perronnin

0 EDPublishing. OECD 50, n

o

eitc uvyo 9OC onre ,OC elhWrigPapers, Working Health OECD », Countries OECD 29 of Survey A : teristics

ai . .Dvu,Wi .(00,«Hat ytm ntttoa Charac- Institutional Systems Health « (2010), L. Wei, Devaux, M. V., Paris

aslspy el’OCDE. de pays les dans

risnee nglts itiuindsrvnse pauvreté et revenus des Distribution inégalités. et Croissance (2008), OCDE

ope ainu el at 2009. santé la de nationaux Comptes DREES, », simulation

esnée et hredsmngs:ueapoh a micro- par approche une : ménages des charge à reste et santé de

ea . anu . ia .(00,«Fnneetdsdépenses des Financement « (2010), G. Vidal D., Raynaud R., Legal

42/-,41-72. 24-25/1-2, n publique, Économie », empiriques

o

iu eln em aslspy éeops:uesnhs e résultats des synthèse une : développés pays les dans terme long de mique

ool . eAbqeqeD-.(09,«Snée risneécono- croissance et Santé « (2009), D.-R. Albuquerque De Y., Kocoglu

iiéfnnir omn amsrr?, mesurer la comment : financière bilité vsd 70/01e annexes. et 27/01/2011 du Avis rencontres

ensei atcnelàl vnrd ’suac maladie, l’Assurance de avenir l’ à conseil Haut L’accessi-

g nemen el’ACN. de

t

colloque osmain prn tpuord’achat, pouvoir et épargne consommation,

13 g est

e

i o

DES ACTEURS DES n

iedsmngsdn e ope ainu revenu, : nationaux Comptes les dans ménages des tive

REGARDS REGARDS

ac

esa . isgeN,PaeD (2010), D. Place N., Missègue M., Fesseau aperspec- La t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é L’articulation entre assurance maladie obligatoire et assurance maladie complémentaire : quelles implications pour la solidarité ? 1 Jean-Marie André Enseignant en Économie de la santé et de la Protection sociale à l’EHESP Marion Del Sol, Professeur de droit privé à l’Université de Rennes 1 Sylvie Moisdon-Chataigner Maître de conférences en droit privé à l’Université de Rennes 1

Les perspectives d’évolution de l’Assurance Maladie Obligatoire (AMO) devraient conduire à accroître le reste à charge des assurés et, 209 « mécaniquement », la place de l’Assurance Maladie Complémentaire (AMC). Ce contexte de privatisation croissante de l’Assurance maladie bouleverse les fondements solidaires sur lesquels repose historiquement la prise en charge du risque maladie. Il suscite de nombreuses questions dont cer- taines n’ont pas encore été explorées en détail alors même que nous disposons de l’éclairage d’enquêtes quantitatives menées notamment par l’Institut de Recherche et de Documentation en Économie de la Santé (IRDES) et la Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES) 2. Au cœur des interrogations fortes encore trop peu explorées se trouve la question de la solidarité que notre recherche a décidé de prendre comme « clé d’entrée ». Il s’agit en substance de questionner le degré de solidarité du marché de la complémentaire Santé et ce dans deux de ses dimensions : d’une part, la dimension individuelle qui s’intéresse aux conditions d’accès, pour les populations en marge de l’emploi, à une couverture santé complémentaire dont on sait qu’elle devient de plus en

1. Programme de recherche EN3S relatif aux relations entre l’Assurance maladie obligatoire et l’Assurance maladie complémentaire. André J.-M., Del Sol M., Moisdon-Chataigner S. et Turquet P., « L’assurance privée dans la prise en charge du risque maladie en France. Entre segmentation de l’offre et tentative de régulation des dépenses, quelle place pour la solidarité ? », Rapport final, février 2012, 159 p. 2. Ainsi, l’offre d’Assurance maladie complémentaire est de mieux en mieux connue (caractéristique des organismes assureurs et des contrats complémentaires), la demande (caractéristiques des assurés couverts par ces contrats) également.

vi 2012. avril

td elipc urnneetfnniraxsissrléa esné» RE,Dcmn etaaln travail de Document IRDES, », santé de l’état sur soins aux financier renoncement du l’impact de étude 47,

o

.Pu n ééec éet,vi ornnP,JstF tFni . ae etnieàvtesné:une : santé votre à nuire peut Payer « R., Fantin et F. Jusot P., Dourgnon voir récente, référence une Pour 3.

ovrueetlreetdtriéprl otdscnrt ri de frais « contrats des coût le par déterminé largement est couverture

u ostrfie umrh,mrh u eullacsefci la à effectif l’accès lequel sur marché marché, du » tarifaires lois « aux

ar uàtteidvde asu ar acads ruetconfrontées trouvent se marchand cadre un dans individuel titre qu’à taire

e esne u epuetevsgrlacsàuecomplémen- une à l’accès envisager peuvent ne qui personnes Les

ovruecmlmnar u es qualité. sa de que complémentaire couverture

ot--axqis aéils ata ieud otdaqiiind la de d’acquisition coût du niveau au tant matérialise se qui porte-à-faux

M- tlscnrt egop ntté asl ar professionnel, cadre le dans institués groupe de contrats les et CMU-C

e ouain etovn npreàfu nr edispositif le entre porte-à-faux en trouvent se populations Ces

.Dsstain nporte-à-faux en situations Des A.

’n nut etran eaprésenté. sera terrain, de enquête d’une

rtgs(ouainfaiesi net,rnupsil a aréalisation la par possible rendu est), en s’il fragile (population protégés

etdvnrrdiior.U carg atcle u astaindsmajeurs des situation la sur particulier éclairage Un rédhibitoire. devenir peut

e lsd 5as aéoi orlqel epi el complémentaire la de prix le laquelle pour catégorie ans, 65 de plus des

etanidsjue,dsslré rcie,dspu éui asaussi mais démunis plus des précaires, salariés des jeunes, des ainsi ment

ervnsecdn e eisd esucsisius.I nv spéciale- va en Il institués). ressources de seuils les excédant revenus de

éesieetéiilsa ééied aCUC(oamn nraison en (notamment CMU-C la de bénéfice au éligibles nécessairement

210

olci nttédn ecdepoesonlmi esn a orautant pour pas sont ne mais professionnel cadre le dans institué collectif

ag elepo u epuetacdr–o emainteni se ou – accéder peuvent ne qui l’emploi de marge contrat r–àun

et eaes atju atclèeetpu etie ouain en populations certaines pour particulièrement jour fait se menace Cette

. eocmn u on u eael ri apoeto el santé la de protection la à droit le menace qui soins aux renoncement

3

’bec ecuetr opéetieetu atu éemnn de déterminant facteur un est complémentaire couverture de l’absence

osmaind on a ’M td rgeso urseàcharge, à reste du progression de et l’AMO par soins de consommation

asu otxed iiuind axd rs ncag ela de charge en prise de taux du diminution de contexte un Dans

e ouain nmred l’emploi de marge en populations des

.Lacsàuecuetr complémentaire couverture une à L’accès I.

u ’cè u on e ouain nmred l’emploi. de marge en populations des soins aux l’accès sur fine in et taire e fessrlsrse hre u ecû elasrnecomplémen- l’assurance de coût le sur charge, à restes les sur effets des rencontres

ensei at I) atcpto otl er ’fiaiépu avoir peut d’efficacité degré le dont participation (II), santé

g nemen ac aai OA)àl éuaindsdpne de dépenses des régulation la à (OCAM) Maladie rance

t atcpto e raimsCmlmnarsd’Assu- Complémentaires Organismes des participation g est

i o

DES ACTEURS DES n

’ur at admnincletv u s eté u la sur centrée est qui collective dimension la part, d’autre

REGARDS REGARDS

ac

lsuecondition une plus ieqanon qua sine elacsaxsis(); (I) soins aux l’accès de t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

orIDS rc p 0e 16. et 10 pp. préc. IRDES, Voir

u e esne..qin uetps“rsbn”lsrmoreet elu suac opéetie». complémentaire assurance leur de remboursements les bons” “très pas jugent ne qui personnes... les que

et»e laéécntt u e ééiiie el M- élrn infctvmn on erenoncement de moins significativement déclarent CMU-C la de bénéficiaires les « que constaté été a il et » ment

.«L ult el opéetie ’s--iel ieud e ebusmns . oesrl renonce- le sur joue ... remboursements, ses de niveau le c’est-à-dire complémentaire, la de qualité La « 7.

ri ’iepu n opéetieSnée 01 vi 2012. avril 2011, en Santé complémentaire une pour l’aide à droit

orl lpr e aate oets apr u ’vlto upi td otn e otasaatouvert ayant contrats des contenu du et prix du l’évolution sur Rapport modestes. garanties des plupart la pour

.Vi erpotd od M u oteqelscnrt osrt a e ééiiie elASoffrent l’ACS de bénéficiaires les par souscrits contrats les que montre qui CMU fonds du rapport le Voir 6.

8,fvir2012. février 789, n

o

tdse résultats, et Études », 2009 en Santé complémentaires des auprès souscrits plus les contrats Les « DREES,

.4 e esne yn n opéetieSnébnfcetduecuetr iecletv.Voir collective. dite couverture d’une bénéficient Santé complémentaire une ayant personnes des % 44 5.

.Do nrdual fe esulpu exdn e esucsdpsetlgrmn e plafonds. les légèrement dépassent ressources les dont ceux pour seuil de effet redoutable un D’où 4.

aCUCtun rslreetàlaatg ecelui-ci. de l’avantage à largement très tourne CMU-C la

acmaasnae epne esisde soins de panier le avec comparaison La . ernneetaxsoins aux renoncement de

7

etd aScrt oil urgr e aispaius tàdsrisques des à et pratiqués) tarifs des regard au sociale Sécurité la de ment

ait notqeo etieéatdnél abenva erembourse- de niveau faible le donné étant dentaire ou optique en maliste

hredsdpseet ’ooarsmdcu rs ncag mini- charge en prise ; médicaux d’honoraires dépassements des charge

hreiprat u etissis(a xml,acn rs en prise aucune exemple, (par soins certains sur importants charge à

egrnis easaèepustsasn usu odiatàdsrestes des à conduisant puisque satisfaisant peu s’avère Cela garanties. de

aed ebusmn el éuiéscaesrl lpr e postes des plupart la sur sociale Sécurité la de remboursement de base

otaspéoetdspie ncag orsodn 0 ela de % 100 à correspondant charge en prises des prévoient contrats

ovn,ces Souvent, . etie u rpsn e aiiain e on élevées moins les tarifications les proposent qui mentaires

6

211

asduesrlscnrt ’nred am e raimscomplé- organismes des gamme de d’entrée contrats les sur doute sans

ecuetr.O,lspronse iuto epéaiés retrouveront se précarité de situation en personnes les Or, couverture. de

ubnfc el M- atclèeetdlct ntre equalité de termes en délicate particulièrement CMU-C la de bénéfice du

enmru otasidvdesetsuetsgiiaie edn aperte la rendant significative, souvent est individuels contrats nombreux de

u adféec nr e«pne esis»olgtied aCUCet CMU-C la de obligatoire » soins de panier « le entre différence la que

otas«fasd at osrt ir niiul aso uleparfois oublie on Mais individuel. titre à souscrits » santé de frais « contrats

el ovruecletv ’vr ngnrlpu lveqecledes celle que élevée plus général en s’avère collective couverture la de

ieso ulttv edi a teobie nsi neftqel qualité la que effet en sait On oubliée. être pas doit ne qualitative dimension

asl usind otdaqiiinnetpssuee as.La cause. en seule pas n’est d’acquisition coût du question la Mais

erseàcag aailsaèel lssuettu atsupportable. fait à tout souvent plus le s’avère salarial charge à reste le

e ebe upronld ’nrpiee el atcpto patronale, participation la de et l’entreprise de personnel du membres les

usu,prl e ojgéd amtaiainentre mutualisation la de conjugué jeu le par puisque, ecdecollectif cadre le

5

ééieduecuetr opéetiegaut.I ’s glmn avec également l’est Il gratuite. complémentaire couverture d’une bénéfice

,le vcl ar M- u emt oscniind ressources de condition sous permet, qui CMU-C cadre le avec rencontres 4

ensei e enèe lse ’g.L otat s significatif est contraste Le d’âge. classes dernières les

g nemen abe eeu,séilmn osuiss iun dans situent se lorsqu’ils spécialement revenus, faibles

t g plus les ayant ceux pour dissuasif s’avérer alors peut est

i o n ACTEURS DES

elasr.L otdaqiiinduecomplémentaire d’une d’acquisition coût Le l’assuré. de

REGARDS REGARDS

ac t l’âge de fonction en augmente qu’il sait on dont » santé io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

n santé, la de d’économie Questions 3,mi2008. mai 132,

o

acmlmnar at nFac n20 nacsqirseiéaiar », inégalitaire reste qui accès un : 2006 en France en Santé complémentaire La « al., et Kambia-Chopin 8.

oriaine ecomplémentarité. de et coordination

o fiaiépiqel ootrses eueéaeete emsde termes en également mesure se volontarisme le puisque efficacité son

l.Cl odton antr tlaperd ’cinscaemi aussi mais sociale l’action de l’ampleur et nature la conditionne Cela clé.

rsnssrl hm elato oil s ec on eveu élément un vue de point ce de est sociale l’action de champ le sur présents

hredspbise ifclé edgéd ootrsedsacteurs des volontarisme de degré Le difficulté. en publics des charge

éèetdsiéaié ertrae,prosmrue,dn apieen prise la dans marquées, parfois territoriales, inégalités des génèrent

oil tl oiu ’nevninfclaieqicrcéiec domaine ce caractérise qui facultative d’intervention logique la et sociale

cer tatos epu,l rnied o pcaiaine matière en spécialisation non de principe le plus, De actions. et acteurs

oiie e ris elasned opéetrt osrieentre construite complémentarité de l’absence de droits, ses mobiliser à

nrio esnmnu elsblt orl ulcéiil u en parfois peine qui éligible public le pour lisibilité de manque son de raison en

e uces» eaepreuepredefcct elato sociale l’action de d’efficacité perte une emporte Cela ». guichets « des

eoedn u nvrtbemlefulecrcéiépruedispersion une par caractérisé mille-feuille véritable un sur donc repose

acmiso ’cinsntiee oil e PM.Lato sociale L’action CPAM). des sociale et sanitaire d’Action commission la

rnr ag»ae e ie ucpilsdêr olcte ursde auprès sollicitées d’être susceptibles aides les avec » rang prendre «

esqelséuins osrr n opéetieSnépeuvent Santé complémentaire une souscrire à étudiants, les que tels

code a e olciié ertrae oradrdspbiscibles, publics des aider pour territoriales collectivités les par accordées

êentr oruvn amm iaié(a xml,cransaides certaines exemple, (par finalité même la poursuivant nature même

e oaié ifrnie afi êeeitn e ipstf de dispositifs des existent même parfois ; différenciées modalités des

ee e cin iatlsmmspbismi ie nœveselon œuvre en mises mais publics mêmes les visant actions des mener

212

éleséilsto elato oil.Ani e ifrnsatuspeuvent acteurs différents les Ainsi, sociale. l’action de spécialisation réelle

cer tdsatosq’l naet neft ’s a raié de organisée pas n’est effet, En engagent. qu’ils actions des et acteurs

evn tepite e iie eata aqed oriaindes coordination de manque au tenant limites des pointées être peuvent

a e PM le s esridu éisd osas npeirlieu, premier En constats. de séries deux ressorti est en Il CPAM. les par

oil ntésprlscletvtstrioilsmi us tsrot– surtout et – aussi mais territoriales collectivités les par initiées sociale

arcecesetdslr néeseaxdmrhsd’action démarches aux intéressée lors dès s’est recherche La

induecomplémentaire. d’une tion

a ojus–li ’nfu afi ecurrl oaiéd otd’acquisi- coût du totalité la couvrir de – parfois faut s’en loin – toujours pas

oiu.Pu uat ’C etsaée nufsnepiq’len permet ne puisqu’elle insuffisante s’avérer peut l’ACS autant, Pour logique.

ipstfdAd opéetieSné(C)éatebéaiu ecette de emblématique étant (ACS) Santé Complémentaire d’Aide dispositif

ntttonle hrhn npeirle ovblsrl ead,le demande, la solvabiliser à lieu premier en cherchent institutionnelles

lnetdslr a upeatqelsréponses les que surprenant pas lors dès n’est Il . bec ecouverture de absence

8 o ovre vqetdsriosfnnirsàcette à financières raisons des évoquent couvertes non

rencontres uepié s ervn is,5 e personnes des % 53 ainsi, ; revenu le est privée ture ensei

g epeirdtriatd eor n couver- une à recours du déterminant premier Le nemen t g est

i o

DES ACTEURS DES n

insatisfaisantes

REGARDS REGARDS

ac .Dsrpne institutionnelles réponses Des B. t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

e ulc rglssa rme agdsul e ééiiie oetesd l’ACS. de potentiels bénéficiaires les desquels rang premier au fragilisés publics les

at nérse fiins»(.1) oamn a ams npaed acus«péeto at pour » santé prévention « parcours de place en mise la par notamment 12), (p. » efficients et intégrés santé

oildi tee eue«dacmanrpocieetlasr ota ogd aveprdssriede service des par vie sa de long au tout l’assuré proactivement d’accompagner « mesure en être doit social

sin usriesca amsindêr natu epéeto td rieetsca.Àc ir,l service le titre, ce À social. traitement de et prévention de acteur un d’être mission la social service au assigne

.Vi anto e«pror teton nciedn aCGd abaceMlde21-03qui 2010-2013 Maladie branche la de COG la dans inscrite » attentionné parcours « de notion la Voir 9.

’n éial xéietto u atdaler ’be ’nsiiparticulier suivi d’un l’objet d’ailleurs fait qui expérimentation véritable d’une

od eNny asc eodcsd iue nete présence en est on figure, de cas second ce Dans Nancy. de Monde

aos nri at oiaiémi glmn el nté a T Quart- ATD par initiée celle également mais Solidarité Santé Énergie paloise

ule le nevenn.O etctrl éaced l’association de démarche la citer peut On interviennent. elles quelles

isàcscnrt ubnfc e ouain ndfiut ursdes- auprès difficulté en populations des bénéfice au contrats ces à liés

otascletf cnrt egop)ai efiepour e avantages les produire faire de afin groupe) de (contrats collectifs contrats

etie tutrsascaie n éiédisrmnaie les d’instrumentaliser décidé ont associatives structures Certaines

eoatsrl mutualisation la sur reposant

.Dsiiitvsassociatives initiatives Des C.

terrain.

tsuetasilu aqed oesmnrn er iie u ce sur limites leurs montrent moyens de manque leur aussi souvent et

erdispersion leur , e ipstf ’cinscaetnetdalrdn esens ce dans d’aller tentent sociale d’action dispositifs les

9

orsisrr asuelgqed rvninsntie r si Or, sanitaire. prévention de logique une dans s’inscrire pour fortiori a

éemnnsdn ’cè u on,pu ’bevnetéaetqeet thérapeutique l’observance pour soins, aux l’accès dans déterminants

rbéaiuspronle a eslred em)sn e éléments des sont terme) du large sens (au personnelles problématiques

213

éest orcran ééiiie ’n ieàlaqiiincrles car l’acquisition à aide d’une bénéficiaires certains pour nécessité

eaieetidvdaiédn admrh esisetsn ot une doute sans est soins de démarche la dans individualisé relativement

in ’n iefnnir.Praler,u rcsu d’accompagnement processus un ailleurs, Par financière. aide d’une ciant

etieetdn e emsséiiuspu e esne bénéfi- personnes les pour spécifiques termes des dans certainement

etue e esne osrvn ir niiul les oetrès pose se elle individuel, titre à souscrivant personnes les toutes de

ar.S et acadsto el hs ecoxd ota s elot le est contrat du choix de phase la de marchandisation cette Si taire.

ertov asuerlto acad orl hi el complémen- la de choix le pour marchande relation une dans retrouve se

ecoxd acuetr.Àc td,l esnebnfcar el’aide de bénéficiaire personne la stade, ce À couverture. la de choix de

opéetie ’néê e iacus»s ot aeetsrl phase la sur rarement porte se » financeurs « des L’intérêt complémentaire.

C)mi glmn urseàcag orlaqiiind acouverture la de l’acquisition pour charge à reste du également mais ACS)

ead otaayé ’ued ertu ’tlsto (spécialement d’utilisation taux leur de l’aune à analysés sont demande

e esne.E élt,l lpr e ipstf iatàslaiie la solvabiliser à visant dispositifs des plupart la réalité, En personnes. des

at atcpràlacsaxsise apéevto eléa esanté de l’état de préservation la à et soins aux l’accès à participer : » santé rencontres de frais « contrat d’un finalité la de indissociables souvent sont elles Or,

ensei el ovruesnésn ahuesmn occultées. malheureusement sont santé couverture la de

g nemen aslaiiaind admne etie dimensions certaines demande, la de solvabilisation la

t g sur focaliser se vouloir trop à dit, Autrement demande. est

i o n ACTEURS DES

’n cinscaecnresrl ovblsto ela de solvabilisation la sur centrée sociale action d’une

REGARDS REGARDS

ac t limites les souligner de importe il lieu, second En io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

eon xrms lefi glmn epr el iblt el démarche la de viabilité la de pari le également fait Elle exprimés. besoins

ar pe umrh nngcatu ota egop éodn aux répondant groupe de contrat un négociant en marché au appel faire

nèr n ieso otn elofe»e eoesrl oot de volonté la sur repose et » l’offre de contenu « dimension une intègre

néesnecrel es otnepsdueeté oiain .Elle ». cotisations « entrée d’une pas contente se ne elle car intéressante

a apr or rbéaiu edpr,cteeprec est expérience cette départ, de problématique notre à rapport Par

rbéaiussntie e ouain ndifficulté. en populations des sanitaires problématiques

etienetpsuefne o asbe nmynd éodeaux répondre de moyen un bien mais soi en fin une pas n’est mentaire

e on eqaié;e ’urstre,lacsàl ovruecomplé- couverture la à l’accès termes, d’autres en ; qualité de soins des à

npaeu nionmn eatpreteaxbnfcarsd’accéder bénéficiaires aux permettre devant environnement un place en

ota egop ocu eu-ietl upr atrdqe s mis est duquel partir à support le est Celui-ci conclu. groupe de contrat

ipstf epreaitcnutàn a éur edsoii useul au dispositif le » réduire « pas ne à conduit partenariat Ce dispositif.

dpéaxbsisdsppltospéarsaxule ’des le s’adresse auxquelles précaires populations des besoins aux adapté

’raim opéetiedn letatnuu accompagnement un attendu est il dont complémentaire l’organisme

lipred olge admninpreail nr e soitoset associations les entre partenariale dimension la souligner de importe il

etu apr rsain/oiain PC eaieetéulbé Enfin, équilibré. relativement (P/C) Prestations/Cotisations rapport un ment

opruevrtbednmqed uulsto,c u ups notam- suppose qui ce mutualisation, de dynamique véritable une lopper

epnaiiainai ’sue aprniéd ota egop tdéve- et groupe de contrat du pérennité la d’assurer afin responsabilisation

éaced on asl ué a ’copgeetmi us la aussi mais l’accompagnement par durée la dans soins de démarche

e olciié ertrae) nut,i n oot ’nciela d’inscrire volonté une a y il Ensuite, territoriales). collectivités des

oiu edmned iacmn ord oil oamn auprès notamment social, du pour financement de demande de logique

aate dpésàdstrf asnals»(eu ’nrrdn une dans d’entrer (refus » raisonnables « tarifs des à adaptées garanties

e cer umrh elasrnecmlmnar orotnrdes obtenir pour complémentaire l’assurance de marché du acteurs les 214

asd ’nciedn ncded ri omn»e éoin avec négociant en » commun droit « de cadre un dans s’inscrire de mais

lerps u epripi en a re néim ipstfsocial dispositif énième un créer pas ne de pris parti le sur repose elle

’xéinennéneetinvneàpu ’ntte otd’abord, Tout titre. d’un plus à innovante est nancéenne L’expérience

at dpé npi upral ». supportable « prix un à adaptée santé

ieàpoovi amtaiaincmeotldacsàuecouverture une à d’accès outil comme mutualisation la promouvoir à vise

e frsmi us acmlxt tl aqed iiiiéd ’C)et l’ACS) de visibilité de manque le et complexité la aussi mais offres des

acmlmnar at tle u erprg tl compréhension la et repérage le que (telles santé complémentaire la à

ar eue e ifclé oitqe néetsàlacsindividuel l’accès à inhérentes » logistiques « difficultés les reculer faire à

tàlacmanmn soitf ’n etiefçn ’xéinetend l’expérience façon, certaine D’une associatif. l’accompagnement à et

éen n ovrueSnécmlmnar rc amutualisation la à grâce complémentaire Santé couverture une à pérenne

egop)ai epreteàdspbispéarsdacdrd façon de d’accéder précaires publics des à permettre de afin groupe) de

oiie e oesd ri omn»(nlocrec,u contrat un l’occurrence, (en » commun droit « de moyens des mobiliser ervlnéd epss iurdn n oiu ’sitnemi de mais d’assistance logique une dans situer se pas ne de volonté leur rencontres

ensei ’nrpie e rmtusd et xéineaffichent expérience cette de promoteurs Les d’entreprise.

g nemen esne estate ag e otascollectifs contrats des marge en situant se personnes

t etiedn ncded uulsto upoi de profit au mutualisation de cadre un dans mentaire g est

i o

DES ACTEURS DES n

éacedacsidvde acuetr complé- couverture la à individuel d’accès démarche

REGARDS REGARDS

ac a efnsCU neft lsai edvlpe une développer de s’agit il effet, En CMU. fonds le par t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

u on aibe ifcl texigeant. et difficile variable, soins aux

ufi ectefaiiééooiu e aer rtgsotu rapport un ont protégés majeurs les économique fragilité cette de fait Du

ovn u ’cè u on tl eto eluspolmsd santé. de problèmes leurs de gestion la et soins aux l’accès sur souvent

ups e on éuir.Datepr,lusdfiutsfnnirspèsent financières difficultés leurs part, D’autre réguliers. soins des suppose

ind avlné asnéd et ouainetsuetfaieet fragile souvent est population cette de santé La volonté. sa de sion

etls otd e autscroelsd aueàepce l’expres- empêcher à nature de corporelles facultés ses de soit mentales,

oecvlvs n léainmdclmn osaé,si essfacultés ses de soit constatée, médicalement altération une vise civil Code

eued rtcinal atclrt ’tecntte ’ril 2 du 425 L’article constatée. d’être particularité la a protection de mesure

’n at ’léaindsfclé ’n esnepaé osune sous placée personne d’une facultés des l’altération part, D’une

e aer protégés majeurs des

excrcéitqe el population la de caractéristiques Deux

atrdueeqêed terrain de enquête d’une partir à

carg u n ouainfragile population une sur éclairage

e ri esnédsmjuspoéé : protégés majeurs des santé de frais Les

. minima a sécurité de filets simples de

etiel ùpéoietdslgqe ’cinscaecnuscomme conçues sociale d’action logiques des prédominent où là mentaire 215

asl eueo lepoetl uulsto aslacsàl complé- la à l’accès dans mutualisation la promeut elle où mesure la dans

u e lmnsd oiaiéd auedvre les etambitieuse veut se Elle diverse. nature de solidarité de éléments des sur

eté u aqeto el ovblsto el ead tqirepose qui et demande la de solvabilisation la de question la sur centrée

etè rscri ’gtduedmrh lbl u ’s a auto- pas n’est qui » globale « démarche d’une s’agit il car près très de

ueàlev,el ’ncnttepsmisueeprmnainàregarder à expérimentation une moins pas constitue n’en elle l’envi, à quée

iliiitv acen ’s a rnpsbee epu tedupli- être peut ne et transposable pas n’est nancéenne l’initiative Si

emle professionnel). milieu le

n ot e«bace(usn e otasd rueeitnsdans existants groupe de contrats des sens (au branche « de sorte une à

ot ormtr npaeu lta soitf»puats’apparenter pouvant » associatif plateau « un place en mettre pour forte

u ecapd ’cinscae lespoeéaeetuedynamique une également suppose Elle sociale. l’action de champ le sur

lerps neftsruemblsto oronedsatusprésents acteurs des coordonnée mobilisation une sur effet en repose Elle

u edvnrd etp edmrh tsrs aaiéàs développer. se à capacité sa sur et démarche de type ce de devenir le sur rencontres projeter se de difficile toutefois est Il d’enseignements. riches doute nul sans

ensei otàfi ndt otlspeirséautosseront évaluations premières les dont inédite fait à tout

g nemen nhsr il od M ’nées et expérience cette à s’intéresse CMU fonds le si hasard un

t g pas n’est Ce soins. de démarche leur dans bénéficient est

i o n ACTEURS DES

u ’copgeetascai epoiiédn ils dont proximité de associatif l’accompagnement sur

REGARDS REGARDS

ac t aussi mais assurés des responsabilisation la sur misant en io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

yeae e raimsmutualistes. organismes des avec type

rtcindsmjusasuetl osblt epooe ncontrat- un proposer de possibilité la souvent a majeurs des protection

ncnrtdasrneviueo aiain emnaar uiiieàla à judiciaire mandataire Le habitation. ou voiture d’assurance contrat un

et ecnrtd rtcincmlmnar upsr ui i aussi ait y qu’il supposera complémentaire protection de contrat le : ments

a xml,cransbnusasrne euèetpuiusengage- plusieurs requièrent banques-assurances certaines exemple, Par

eréadlu aqed iiiiée e xgne e suer privés. assureurs des exigences les et lisibilité de manque leur égard leur

èetàuecmaasnetelsofe rpse.I s olgéà souligné est Il proposées. offres les entre comparaison une à cèdent

osrtueasrned at opéetie e rfsinespro- professionnels les complémentaire, Santé de assurance une souscrit

opéetie leetmitne il aerpoéénapsencore pas n’a protégé majeur le Si maintenue. est elle complémentaire,

epcetl oot umju rtg.S edriradj n assurance une déjà a dernier ce Si protégé. majeur du volonté la respectent

etaxsis e adtie uiiie apoeto e majeurs des protection la à judiciaires mandataires Les soins. aux ment

osrr n el suac t lso on ogtre nrenonce- un à terme, long moins ou plus à et, assurance telle une souscrire

ri ’suac s elmn motn ui etcnur urfsde refus au conduire peut qu’il important tellement est d’assurance frais

suac eSnécmlmnar) a ilus episfnnirdes financier poids le ailleurs, Par complémentaire). Santé de assurance

nsiimdcl uqec otdu on eveptioil(hi d’une (choix patrimonial vue de point d’un soit ce que ou médical) suivi un

u esi ’npitd u esne acr urnneetpour renoncement ou (accord personnel vue de point d’un soit ce que

rsre ’uooi el esnepu e éiin eaie u soins aux relatives décisions les pour personne la de l’autonomie préserver

’custo laor elasrnecmlmnar : complémentaire l’assurance de aléatoire L’acquisition liprede importe il

aai universelle. maladie

el ult ’yn-ri uecr ééii e risd acouverture la de droits des bénéficie encore ou d’ayant-droit qualité la de

216

aer rtgsotuepiee hrea ir elasrnesociale, l’assurance de titre au charge en prise une ont protégés majeurs

des que apparaît il », complémentaire l’assurance et toire atotalité la

e eain nr ’suac aai obliga- maladie l’assurance entre relations Les « questionnaire le Selon

orcsdrir tsaèetè utile. très s’avère et derniers ces pour

’nevnind rfsine orlovruedsdot s systématisée est droits des l’ouverture pour professionnel du L’intervention

ir esne,àttedaatdoto ebnfcar e ie sociales. aides des bénéficiaire de ou droit d’ayant titre à personnel, titre

apiee hresséaiu ntn uasr social qu’assuré tant en systématique charge en prise La ’pr à s’opère

tlAsrnemldecomplémentaire maladie l’Assurance et

.Laqiiindsdot orlAsrnemldeobligatoire maladie l’Assurance pour droits des L’acquisition 1.

tqel oan ’nevninetisfiat(3). insuffisant est d’intervention domaine le que et

e rsain mlqeuecodnto opee(2) complexe coordination une implique prestations des rencontres ar eer laor 1,datn lsqel multiplicité la que plus d’autant (1), aléatoire demeure taire ensei

g nemen ris ’custo elAsrnemldecomplémen- maladie l’Assurance de l’acquisition droits,

t il aerpoéébnfced ’uetr eses de l’ouverture de bénéficie protégé majeur le Si g est

i

o DES ACTEURS DES n

REGARDS REGARDS

ac ri osaséclairants constats Trois t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

coordination.

oiu u ertrior npreaitae e LCe e tutrsde structures les et CLIC les avec partenariat en territoire leur sur logique

ut,cran ’nr u n i npaedsrsaxd at géronto- santé de réseaux des place en mis ont eux d’entre certains culté,

e edpreet n niiél eoràdmcl.Fc et diffi- cette à Face domicile. à retour le anticipé ont départements de peu

élse u ams nœved ote adpnac.I ’vr que s’avère Il dépendance. la à soutien du œuvre en mise la sur réalisées

’bevtientoa elato oil éetaié,dséue n été ont études des décentralisée, sociale l’action de national l’observatoire

asl ar de cadre le dans : médical suivi du pérennisation de L’absence

e rsse hredsfasd transport). de frais des charge en prises les

etie(xml e on epdlgepu e ibtqe uencore ou diabétiques les pour podologie de soins des (exemple mentaire

ulqe uecr on e on niaé a ’suac complé- l’assurance par envisagés soins les moins encore ou publiques

aued aScrt oil,n epa ’iepronls e aides des personnalisé d’aide plan le ni sociale, Sécurité la de nature

tdn otsn rs ncag,crnitgatpslspettosen prestations les pas n’intégrant car charge, en prise sans sont donc et

etissisn ruetacn place, aucune trouvent ne soins certains : importantes carences Des

.U oan epiee hreinsuffisant charge en prise de domaine Un 3.

usiné»pu aoie ’cè u droits. aux l’accès favoriser pour » questionné

rtg.I paatfnaetlqel oan ’nevninsi re- « soit d’intervention domaine le que fondamental apparaît Il protégé.

’nebedsadsetitgédn eblnptioild majeur du patrimonial bilan le dans intégré est aides des L’ensemble

e«mrse»dn euli ali urrpu rue n iefinancière. aide une trouver pour œuvrer fallait il lequel dans » marasme « le

e adtie uiiie apoeto e aer n souligné ont majeurs des protection la à judiciaires mandataires Les

’GR-RC etasiêr sollicitée. être aussi peut l’AGIRC-ARRCO

217

atclèe orluae éedn elu éeu ’cinscaede sociale L’action réseau. leur de dépendant l’usager pour particulières

’cind CS e od uulse evn us éae e aides des dégager aussi peuvent mutualistes fonds Des CCAS. du l’action

etu ecmesto,lato oil PMe AST uencore ou CARSAT, et CPAM sociale l’action compensation, de mentaux

orl rs ncag esisséiiuscmelsfnsdéparte- fonds les comme spécifiques soins de charge en prise la pour

ééaxasrn alqiaindsdot);dsadsexceptionnelles aides des ; droits) des liquidation la assurent généraux

’uooi tl rsaind opnaind adcp(e conseils (les handicap du compensation de Prestation la et d’autonomie

rsain ulqe rvr e rsain elAlcto personnalisée l’Allocation de prestations les travers à publiques prestations

éaimsd éuiéscaee ’suac opéetie;des ; complémentaire d’assurance et sociale Sécurité de mécanismes

e ifrne rsain : prestations différentes Les e rsain ebs rvr les travers à base de prestations des

mlqatuecodnto complexe coordination une impliquant .Uemlilct e prestations des multiplicité Une 2.

rencontres

’n a ééii ecsdu aides. deux ces de bénéficié pas n’ont ensei 6

g nemen ; santé complémentaire la à l’aide ou CMU-C la par complémentaire

t n urcusàuead orl osrpind l’assurance de souscription la pour aide une à recours eu ont : gés 12 g

est

i or tlasrnecmlmnar », complémentaire l’assurance et toire rfsinesinterro- professionnels les sur o 18 n

eo equestionnaire le Selon ac obliga- maladie l’assurance entre relations Les « t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ééaerpeé a ’M,àsvi ar nsreqe«l population la « que sorte en faire savoir à l’OMS, par rappelée générale

nvi lieetqel éuainpriiepu lblmn l’ambition à globalement plus participe régulation la que clairement voit on

atlasrnemldecmeu osssèed ytm esanté, de système du sous-système un comme maladie l’assurance nant

betf odtus ilo lri epoo tqelo osdr mainte- considère l’on que et propos le élargit l’on Si fondateurs. objectifs

u essèed éuiéscaepis etre hs vcses avec phase en rester puisse sociale Sécurité de système le que

aifiatdsdpne,l u el éuainetbe epermettre de bien est régulation la de but le dépenses, des satisfaisant

éesspbiusdné ’sue osu er epiee charge en prise de degré un tous à d’assurer donné, publiques dépenses

ebnuaedsrsore tdn apsiiié oru ieude niveau un pour possibilité, la donc et ressources des usage bon le

atu aoal acnoiaind asldrt.E fe,e garantissant en effet, En solidarité. la de consolidation la à favorable facteur

alsàlacsaxsis et oiiu etêr nlsecmeun comme analysée être peut politique cette soins, aux l’accès à rables

e éessd at e betf erdcinbdéar défavo- budgétaire réduction de objectifs des à santé de dépenses des

otarmn n decmueqitn siie arégulation la assimiler à tend qui commune idée une à Contrairement

arglto e éessd santé de dépenses des régulation la à

opéetie ’suac maladie d’assurance complémentaires

I apriiaindsorganismes des participation La II.

esanté. de

a nrnneetaxsise ocprueagaaind erétat leur de aggravation une par donc et soins aux renoncement un par

ir.E fe,l éatd rs ncag et em,s traduire se terme, à peut, charge en prise de défaut le effet, En ciers.

esne unrbe opetn el abes elusmyn finan- moyens leurs de faiblesse la de tenu compte vulnérables personnes

218 at asd iie epu osbeluiiaind ’prn rvedes privée l’épargne de l’utilisation possible plus le limiter de mais santé

e rfsinesnetpsdn ebtd ovi otpi e ri de frais les prix tout à couvrir de but le dans pas n’est professionnels des

u e ugt e aer rtgs ovn rslmts astratégie La limités. très souvent protégés, majeurs des budgets des sur

erseàcag rpipratps lourdement pèse important trop charge à reste Le Conclusion.

ieanticipées. cile

éatmnsottè e emdltsd eoràdomi- à retour de modalités de peu très ont départements ; territoire 11

emdltsd eoràdmcl niiéssrlesml eleur de l’ensemble sur anticipées domicile à retour de modalités de

ertie(elmn u etie oe); zones) certaines sur (seulement territoire éatmnsdisposent départements 16

oetdsmdltsd eoràdmcl niiésvralssrleur sur variables anticipées domicile à retour de modalités des voient

eo ’DS u 4dpreet nergs: interrogés départements 94 sur l’ODAS, Selon éatmnspré- départements 67

esn ’sgrdai efficacement. d’agir l’usager à ni nels nttto otpedee hrecteproen emtn u profession- aux ni permet ne période cette charge en prendre doit institution rencontres

ensei itse ôia) agad ifcléàdtrie quelle déterminer à difficulté grande La hôpital). et listes

g nemen éiae rsvrés(éeisgnrlse,spécia- généralistes, (médecins variées très médicales

t e hmssntie tscax e rsse charge en prises les sociaux, et sanitaires champs les g est

i o

DES ACTEURS DES n

ertrae ’xlqeprl aqed oriainentre coordination de manque le par s’explique territoriale,

REGARDS REGARDS

ac evd éiosca,dn ncnet d’inégalité contexte un dans médico-social, vide Ce t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

01 p 112-127. pp. 2011,

9 janvier 39, NS n EN3S, Regards, », Santé complémentaires les par risque du gestion La « 2011, UNOCAM, 11.

o

M,p XI. p. OMS,

Document monde. le dans santé la sur Rapport performant. plus santé de système un Pour 2000, OMS, Cf. 10.

ofre u ipstospéusprl ota.S ’nrvetmaintenant revient l’on Si contrat. le par prévues dispositions aux conformes

’sue u e ebusmnscmlmnarsapiussont appliqués complémentaires remboursements les que s’assurer à

’M.O etctriilsoéain lsiusd otôeqivisent qui contrôle de classiques opérations les ici citer peut On l’AMO.

etdbuhrsrdspaiusd éuainpu néedne de indépendantes plus régulation de pratiques des sur déboucher peut

Ceci . iie e ebusmnsvré,d air etrcompétitif rester à manière de versés, remboursements les limiter

11

etcnurnile u ebtpeirdsefrsd éuainetde est régulation de efforts des premier but le que et concurrentiel ment

’suac aai opéetieéou asu nionmn haute- environnement un dans évolue complémentaire maladie l’assurance

e ntaie ulqe.I ovetcpnatd adràlepi que l’esprit à garder de cependant convient Il publiques. initiatives des

êe ncrannmr ’cin u ’ncietdn eprolongement le dans s’inscrivent qui d’actions nombre certain un mêmes

rscncet ectitrt e CMdvlpetdaler eux- d’ailleurs développent OCAM les intérêt, cet de conscients Très

eueo l er emtetd ovi e iqe iu maîtrisés. mieux risques des couvrir de permettent leurs ils où mesure

opéetie.Csdrir ééiin neftd e fot asla dans efforts ces de effet en bénéficient derniers Ces complémentaires.

ulqed at eogete atelspécuain e assureurs des préoccupations les partie en rejoignent santé de publique

e fot erglto niaé asl ar el politique la de cadre le dans envisagés régulation de efforts Les

e obniosqisisaln nr eux. entre s’installent qui combinaisons des

’cine ’fiaiégoaed arglto s otmn ieàl qualité la à liée fortement est régulation la de globale l’efficacité et d’action

e niiu.I xsebe ned e in tot nr e ri leviers trois ces entre étroits liens des entendu bien existe Il individus. des

219 e rtqe éiae asel ieasiàiféhrlscomportements les infléchir à aussi vise elle mais médicales pratiques les

ié ursu ot u ebnuaedssis lecnit grsur agir à consiste Elle soins. des usage bon le sur porte risque du lisée

etnnedspror esisq’l uoiet ni,l eto médica- gestion la Enfin, autorisent. qu’ils soins de parcours des pertinence

usinatl opéetrt e ifrnssget elofee la et l’offre de segments différents des complémentarité la questionnant

ieso uniaiemi lepéet utu napc ulttfen qualitatif aspect un surtout présente elle mais quantitative dimension

ind apouto esiscnen ’fr.El etcmotrune comporter peut Elle l’offre. concerne soins de production la de tion

u ’retto tl yaiu e éess a osrcin l’organisa- construction, Par dépenses. des dynamique la et l’orientation sur

a,lsmsrsrtne evn vi e osqecstè fortes très conséquences des avoir peuvent retenues mesures les cas,

iqe xoé a applto.O euebe u,dn ’ne l’autre et l’un dans que, bien mesure On population. la par exposés risques

escn,el ielsmcnse epiee hrefnnir des financière charge en prise de mécanismes les vise elle second, le

oaié tlsnvaxd éuéaindspoutusd on.Dans soins. de producteurs des rémunération de niveaux les et modalités

afi ’fr tàl ead.Dn epeircsel nerg les interroge elle cas premier le Dans demande. la à et l’offre à fois la à

tl eto éiaié ursu.Lalcto ersore s’applique ressources de L’allocation risque. du médicalisée gestion la et in ’loaind esucs ’raiaind apouto esoins de production la de l’organisation ressources, de l’allocation : tions

rencontres ensei d’interven- catégories grandes trois en décliner se peut

g nemen dépenses des régulation la opérationnel, plan le Sur

t

. g » groupes les est

10

i o n ACTEURS DES

éusn umnmmlséat nr e niiu et individus les entre écarts les minimum au réduisant

REGARDS REGARDS

ac t en tout possible santé de niveau meilleur du bénéficie io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

tuse iie urgm oa ’laeMsle» n », d’Alsace-Moselle local régime du limites et Atouts « européen, 9,jnir2012). janvier 998,

o

saesocial Espace (cf. médicaux équipements aux relatifs forfaits les et d’honoraires dépassements les ment,

ursu,picplmn nrio edu rtqe uéspriuirmn vse tcnenn,précisé- concernant, et avisées particulièrement jugées pratiques deux de raison en principalement risque, du

biaor etneàl ovruecmlmnar,etrcnucmeprerduetè on gestion bonne très d’une porteur comme reconnu est complémentaire, couverture la à destinée obligatoire

3 letsgiiai ecnttrqel éielcldAsc-oel,qicmrn n oiainadditionnelle cotisation une comprend qui d’Alsace-Moselle, local régime le que constater de significatif est Il 13.

glmn u e rdcer esisqidietautrluspaiustarifaires. pratiques leurs ajuster doivent qui soins de producteurs les sur également

2 e nevnin rdietdsicttosd ôéd acnomto insrmi le agissent elles mais sûr bien consommation la de côté du incitations des produisent interventions Ces 12.

ete e vnae uispuetexmmsrtrrd et image. cette de retirer eux-mêmes peuvent qu’ils avantages les et ment

e etsàcag,iscnrbetàrnocrliaepstv el’établisse- de positive l’image renforcer à contribuent ils charge, à restes les

otsnilsa atq’npriiatàdsatosqivsn contenir à visent qui actions des à participant qu’en fait au sensibles sont

e«tc tmsr .Mi epitl lsipratetqelsmédecins les que est important plus le point le Mais ». mesure et tact « de

efunru arg iace lsrguexqel rdtonlenotion traditionnelle la que rigoureux plus financier cadrage un fournir de

paatqel ytm,aqe 0%dsmdcn n déé permet adhéré, ont médecins des % 90 auquel système, le que apparaît

asuergo ùlsdpseet ’ooarssn éin il légion, sont d’honoraires dépassements les où région une Dans

ulesgé nr aMPe e rtcesvolontaires. praticiens les et MFP la entre signée duelle

’sete udpseet edsoii atlojtduecneto indivi- convention d’une l’objet fait dispositif Le dépassement. du l’essentiel

utrfcnetonl emnèeàc u e uule usetcouvrir puissent mutuelles les que ce à manière de conventionnel, tarif du

iéaxd etu elmtrlusdpseet ’ooarsà5 % 50 à d’honoraires dépassements leurs limiter de 2 secteur du libéraux

iie e éasmns edsoii osseàpooe u médecins aux proposer à consiste dispositif Le dépassements. les limiter

o urtfpu etee lc narneeteprmna iatà visant expérimental arrangement un place en mettre pour lucratif non

ocinPbiu MP olct néalseethsiairpiéàbut à privé hospitalier établissement un sollicité a (MFP) Publique Fonction

oan.Àttedilsrto,dn e le-aiie,l uult ela de Mutualité la Alpes-Maritimes, les dans d’illustration, titre À domaine.

rtqesrlsdpseet ’ooarse etn ’grdn ce dans d’agir tentent et d’honoraires dépassements les sur critique 220

e CMot a avi elu no oamn,ueposition une notamment, Union leur de voix la par ont, OCAM Les

. qieet optiques équipements

13

éasmnsdhnrie tlspaiustrfie u ’plqetaux s’appliquent qui tarifaires pratiques les et d’honoraires dépassements

expit paasetiiitrsat eee apolmtqedes problématique la : relever à intéressants ici apparaissent points Deux

nevnin u e rxe aispaiusprlspoutusd soins. de producteurs les par pratiqués tarifs et prix les sur interventions

lepseéaeetprcertaines par également passe Elle . ’nfil ebusmn a l’AMO par remboursement faible d’un

12

at rpsse,pricu-i lspriuirmn exqifn l’objet font qui ceux particulièrement plus ceux-ci, parmi et, proposés santé

adtriaindsnvaxd rs ncag e in tsrie de services et biens des charge en prise de niveaux des détermination la

’cinl lsdrced ’M ’xreesnileetàtravers à essentiellement s’exerce l’AMC de directe plus la L’action

ndrcind ’loaind ressources de l’allocation de direction en .Qeqe agsd manœuvre de marges Quelques A.

rencontres

ensei lshaut. plus

g nemen CMe e raiatslnl yooi présentée typologie la selon organisant les en OCAM

t erprrqeqe insditreto infctvsdes significatives d’intervention lignes quelques repérer de g est

i o

DES ACTEURS DES n

osldto el rs ncag oil,i s possible est il sociale, charge en prise la de consolidation

REGARDS REGARDS

ac u ntaie u evn rsne nitrtpu la pour intérêt un présenter peuvent qui initiatives aux t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ordspettoshu egme(a xml e asn eretraite de maisons des exemple (par gamme de haut prestations des pour

un nr amdcn evlee ’ôia.Date ecetplutôt penchent D’autres l’hôpital. et ville de médecine la entre » quant

etisognse éedn ’dedivsi ecannman- chaînon le « d’investir l’idée défendent organismes Certains

u amîrs iet ecran emnsd ’fr etêr pertinente. être peut l’offre de segments certains de directe maîtrise la que

npor nssèed on ’negr,iscnièetcependant considèrent ils d’envergure, soins de système un propre en

orsuinrq’lnetpsdn ervcto rmèed développer de première vocation leur dans pas n’est qu’il souligner pour

rpsto ’n fr esisitgé .S e CMs’accordent OCAM les Si ». intégrée soins de offre « d’une proposition

c lsitrsatdisse u n cinpu miiue aorla savoir à ambitieuse, plus action une sur d’insister intéressant plus ici

eoesrl éeopmn e éeu esis asi ossemble nous il Mais soins. de réseaux des développement le sur repose

’ndspit lf elitreto e CMdn edomaine ce dans OCAM des l’intervention de clefs points des L’un

u ’raiaind ’fr esoins de l’offre de l’organisation sur

.Rsaxe fr nére onscéd l’action de points-clé intégrée, offre et Réseaux B.

iéiaindsclients. des fidélisation

tecmes a neftvlm,l éeuetann npoessde processus un entraînant réseau le effet-volume, un par compensé être

asl ué.Mm ilsmre ntie aset e fe-rxpeut effet-prix cet baissent, unitaires marges les si Même durée. la dans

ursa s elu potru ouedatvt iu aat tinscrit et garanti mieux d’activité volume un apporter leur de est réseau du

e otrsd 0% t ten.D ôédsotces l’avantage opticiens, des côté Du atteint. été a %, 30 de montures des

nta,qiéatd avnràrdiel rxdsvre e1 tl prix le et % 10 de verres des prix le réduire à parvenir de était qui initial,

asl éeulu s eomnéprlsdu prtus L’objectif opérateurs. deux les par recommandé est leur réseau le mais

221 acé e sué adn ot iet orcosrlusfournisseurs leurs choisir pour liberté toute gardent assurés Les marché.

piusd ult e aislreetifrer amynedu moyenne la à inférieurs largement tarifs des à qualité de optiques

éeuapl aii .Lojci ieàpooe e équipements des proposer à vise L’objectif ». Kalivia « appelé réseau

amneMtelse aaofMdrcs otascé orcérun créer pour associés sont se Malakoff-Médéric et Harmonie-Mutuelles

vnéscnenn ’piu.Àttedeepe n21,lsgroupes les 2010, en d’exemple, titre À l’optique. concernent avancées

orc u eèed ’cinsrlstrf,lsdmrhslsplus les démarches les tarifs, les sur l’action de relève qui ce Pour

aismaîtrisés. tarifs

ain niiule aatsd rsain eqaiée orisàdes à fournies et qualité de prestations de garantes individuelles sations

emtd re n«qairsa esis»fnésrdscontractuali- des sur fondé » soins de quasi-réseau « un créer de permet

aiié a n eler iiiiédshnrie tl ipstfretenu dispositif le et honoraires des visibilité meilleure une par facilitée

egsind iqe:l osrcind ’fr ecuetr etrouve se couverture de l’offre de construction la : risque du gestion de

aer ote a ’nttto.Mi ’s us n prto innovante opération une aussi c’est Mais l’institution. par portées valeurs

edsoii emtuemilueaéuto nr e rtqe tles et pratiques les entre adéquation meilleure une permet dispositif le rencontres MFP, la pour Enfin, patients. nouveaux de attirer à capacité grande plus

ensei ec vcssojcisd at ulqee u une sur et publique Santé de objectifs ses avec rence

g nemen naatrpsn u acéto ’n eler cohé- meilleure d’une création la sur reposent avant en

t g mis bénéfices les l’établissement, Pour insurmontables. est

i o n ACTEURS DES

moe e aisiacsilso e etsàcharge à restes des ou inaccessibles tarifs des imposer

REGARDS REGARDS

ac t voir se pas ne de garantie la ont patients les côté, leur De io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

xmn taaye opéetie/oslain pcaiés s atclèeetbe appréciée. bien particulièrement est spécialisées, complémentaires/consultations analyses et examens

4 ’xsec eleséris asu êele,atu utitqecnutto emdcn générale/ médecine de consultation triptyque du autour lieu, même un dans étroits, liens de L’existence 14.

ésextérieures. sées

’nr u n edneàdrgrlsptet esdspettosspéciali- prestations des vers patients les diriger à tendance ont eux d’entre

’gr ucnr,pretbentmetàtaesl atqecertains que fait le travers à notamment perceptible centre, du l’égard

mlcto emise on iiat e rfsinesd at à santé de professionnels des » militante « moins en moins de implication

rue ncbntpié efçnpu ééaeo bev us une aussi observe on générale plus façon De privé. cabinet en trouver

ermnrto s euopmisfvrbeqec uispeuvent qu’ils ce que favorable moins beaucoup est rémunération de

ertrd ovaxmdcn ascransséiltscrl système le car spécialités certaines dans médecins nouveaux de recruter

potntsd rvi olci.Mi ecnr agétu umlà mal du tout malgré a centre le Mais collectif. travail de opportunités

ifrne asn u inetpicplmn o rjtsca taux et social projet son à principalement tiennent qui raisons différentes

culeete lc ’mlqetvlnir asctesrcuepour structure cette dans volontiers s’impliquent place en actuellement

ine ’ a edfiutsàatrrd ovaxptet.Lsmédecins Les patients. nouveaux de attirer à difficultés de pas n’a et tion

redondantes orcsrios ecnr onî n on fréquenta- bonne une connaît centre le raisons, ces Pour .

14

vcuebnecruaind ’nomto tléieetd prestations de l’évitement et l’information de circulation bonne une avec

esrie rscmlmnarspre us ecérds«pror » parcours « des créer de aussi permet complémentaires très services de

asacndpseetdhnrie.L rsne asu êelieu, même un dans présence, La d’honoraires. dépassement aucun sans

fr on aifcincrispuetacdràdssisspécialisés soins des à accéder peuvent ils car satisfaction donne offre

éuéainmxe orlsmdcn iéax orlsptet,cette patients, les Pour libéraux. médecins les pour mixtes rémunération

esnéfaçi,àsvi adfiut emtr npaedsmdsde modes des place en mettre de difficulté la savoir à français, santé de

néesneàueciiu ovn ms u ’raiaind système du l’organisation sur émise souvent critique une à intéressante 222

emtu se o otôedscags lsai àdueréponse d’une là s’agit Il charges. des contrôle bon assez un permet

tl rnied armnrto ofiar iemnuledsmédecins des mensuelle fixe forfaitaire rémunération la de principe le et

e tuse emsd eto ursu letgr efçnrigoureuse façon de géré est il : risque du gestion de termes en atouts des

ntespyn tsn éasmnsdhnrie.L eteprésente centre Le d’honoraires. dépassements sans et payant tiers en

nio ntesd errmnrto lbl.Tu e ce otdispensés sont actes les Tous globale. rémunération leur de tiers un environ

aar iemnule ’npucnaesrlsats efratreprésente forfait Le actes. les sur pourcentage d’un et mensuel fixe salaire

aie rv,e lnqeo ’ôia.Issn éuéé u abs d’un base la sur rémunérés sont Ils l’hôpital. à ou clinique en privé, cabinet

tdnits e rfsineseecn epu ovn glmn en également souvent plus le exercent professionnels Ces dentistes. et

ecnr,ovr os atitrei n oxnan emédecins de soixantaine une intervenir fait tous, à ouvert centre, Ce

réadaptation.

ilgqe,siscrtf gnru tséilss,iaei médicale, imagerie spécialisés), et (généraux curatifs soins biologiques,

ec lbl evcsd rvnine ebln esné analyses santé, de bilans de et prévention de services : globale rence et n fr esisrltvmn ossat vcu oc ecohé- de souci un avec consistante relativement soins de offre une sente rencontres

ensei GNbs ie ’néê ec eteetq’lpré- qu’il est centre ce de L’intérêt Nice. à basé MGEN

g nemen néliaepu atcle u ncnr esnéd la de santé de centre un sur particulier plus éclairage un

t atmn ovrs osaosfi ecoxd’apporter choix le fait avons Nous couverts. faitement g est

i o

DES ACTEURS DES n noedfnetu oiineetsrdssisimpar- soins des sur positionnement un défendent encore

REGARDS REGARDS

ac lin ofr evee xelnemdcl) D’autres médicale). excellence et vie de confort alliant t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

9 p.). 292 prévention, la de l’économie et L’obésité

lc ntre ’fiaié agmn eatlscmansmdaiuspreepe(f CE 2010, OCDE, (cf. exemple par médiatiques campagnes les devant largement d’efficacité, termes en place

e rgamsd rvnine at u oteqelsatose nrpies iun naszbonne assez en situent se entreprise en actions les que montre qui santé en prévention de programmes des

6 e osasaprisn ncnodneae n at td nentoaemneprlOD sur l’OCDE par menée internationale étude vaste une avec concordance en apparaissent constats Ces 16.

mémoire.

5 a xml,svaetbgqe eomnain ittqe,péoiain orleteind la de l’entretien pour préconisations diététiques, recommandations tabagique, sevrage exemple, Par 15.

igotce ’nomto u etobeo amldedn l otétat. font ils dont maladie la ou trouble le sur d’information et diagnostic

a oetlpoiu,àapre u déet epeir lmnsde éléments premiers de adhérents aux apporter à téléphonique, voie par

aié u evn nevnrsrtosgad oes epeirconsiste, premier Le volets. grands trois sur intervenir peuvent qui nalisés

CMotdvlpédspaeomsdifraine ecnelperson- conseil de et d’information plateformes des développé ont OCAM

orlsptet u ovn nae npror esis les soins, de parcours un engager doivent qui patients les Pour

e otascollectifs. contrats des

oe tntmetlsisiuin epéoac,tè rsne univeau au présentes très prévoyance, de institutions les notamment et voie,

ciet utaal enmru CMs oteggsdn cette dans engagés sont se OCAM nombreux De travail. du accidents

elAOe oamn e eue rsse air epéeto des prévention de matière en prises mesures des notamment et l’AMO de

e éace evn ’nciedn e prolongements les dans s’inscrire peuvent démarches Ces . repérées

16

letlsrltvmn osqetsdn e aatrsiussn bien sont caractéristiques les dont conséquentes relativement clientèles

inasree ernaiie e fot epooind asnésrdes sur santé la de promotion de efforts les rentabiliser de et assurée tion

e otaspretn ebnfce ’n etiesaiiéd apopula- la de stabilité certaine d’une bénéficier de permettent contrats Ces

e atusd iqee nrpie asl ar e otascollectifs. contrats des cadre le dans entreprise, en risque de facteurs les

e suer s asduel éeopmn e cin orésvers tournées actions des développement le doute sans est assureurs les

niiul epéeto.Mi ’ndslveslspu rmter pour prometteurs plus les leviers des l’un Mais prévention. de individuels

uprlsbilans les par ou hnqe u e oscmotmnspréventifs comportements bons les sur phoniques

223 15

ets esqecu potsprlspaeomsdifrain télé- d’informations plateformes les par apportés ceux que tels sentés,

rn ulc e evcspu esnaié evn us tepré- être aussi peuvent personnalisés plus services Des public. grand

et rvr e uprsppe,dsstsitre udsconférences des ou internet sites des papier, supports des travers à rents

ir oml osseàfunrueifraingnrl oslsadhé- les tous à générale information une fournir à consiste formule mière

e esinmnssrdsfcer ersusbe dniis n pre- Une identifiés. bien risques de facteurs des sur renseignements des

e lscnanats npu eee e prtosqivsn apporter à visent qui opérations les relever peut on convaincantes, plus les

nmn éihrqe ’suac rpeetdt.Prilsactions les Parmi dite. proprement l’assurance à périphériques gnement

epu npu aqé e ainsd ééiird evcsd’accompa- services de bénéficier de patients des marquée plus en plus de

’cindsOA u e atusd iqe eon n demande une rejoint risques de facteurs les sur OCAM des L’action

nrglto médicalisée régulation en .U ag ae ’nevnin possibles d’interventions panel large Un C.

rencontres

ensei vltosognstonle souhaitables. organisationnelles évolutions

g nemen xéiettose ori is e niain u des sur indications des ainsi fournir et expérimentations

t g des ou innovantes pratiques des développer pour tain est

i o n ACTEURS DES

netseet ectentr rsnetu néê cer- intérêt un présentent nature cette de investissements

REGARDS REGARDS

ac t des que apparaît il résultats, ces de regard Au io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

p cit. op. 2011, UNOCAM, 18.

7 el u eporme«pirt at uulse»d aFNMF. la de » mutualiste santé priorité « programme le que Telle 17.

etntrld ’cind aScrt oil.L ovmn eretrait de mouvement Le sociale. Sécurité la de l’action de naturel ment

rdtonlepsto opéetie» u e iui asl prolonge- le dans situait les qui », complémentaire « position traditionnelle

acéd ’suac at u edàdtce e prtusd leur de opérateurs les détacher à tend qui santé l’Assurance de marché

ossme eusqeqe nése rsnedu véritable d’un présence en années quelques depuis sommes Nous

Conclusion

arlto vclAsrnemldeobligatoire. maladie l’Assurance avec relation la

esd at.Nu eruosl n oiinqiitroedirectement interroge qui position une là retrouvons Nous santé. de nels

léiusaxsise oe e eain lsérie vclsprofession- les avec étroites plus relations des nouer et soins aux ultérieurs

’nomtosprietssrlscnéune nmtèed recours de matière en conséquences les sur pertinentes d’informations

l ohietpuorbnfce nretour en bénéficier pouvoir souhaitent Ils . e cin noats» innovantes actions des

18

olctspu ipeetsubventionner simplement pour sollicités « pas soient ne qu’ils suppose

onse L.Cpnatlu mlcto asc yed programmes de type ce dans implication leur Cependant ALD. en sonnes

ainsae naepiiéi,àsvi ’dcto hrpuiu e per- des thérapeutique l’éducation savoir à privilégié, axe un avec patients

e nat,preepe.Mi e CMitrinetsrotvr les vers surtout interviennent OCAM les Mais exemple). par enfants, les

axsrdspit uiscnièetcmesnils(rhdni pour (orthodontie sensibles comme considèrent qu’ils points des sur caux

224 ulsto emtatd aatra iu ersetdsrfrnil médi- référentiels des respect le mieux au garantir de permettant tualisation

aallmn,issefretd etee ur e ipstf econtrac- de dispositifs des œuvre en mettre de s’efforcent ils Parallèlement,

éutt eaisaxpror e ainsatit emlde chroniques. maladies de atteints patients des parcours aux relatifs résultats

e gr,lsOA emnrn néessprl ifso des diffusion la par intéressés montrent se OCAM les égard, cet À

éeise e oscmotmnsàpoovi ursdspatients. des auprès promouvoir à comportements bons les et médecins

éii e onsrfrne éiae otràl onisnedes connaissance la à porter à médicales références bonnes les définir

lsabtes,cnit ’pue u e tdscû/vnaepour coût/avantage études les sur s’appuyer à consiste ambitieuse, plus

taéi s setelmn ursotd ’M.L eod stratégie, seconde La l’AMO. de ressort du essentiellement est stratégie

brat tàcnete ’fotd éuainsrcsééet.Cette éléments. ces sur régulation de l’effort concentrer à et aberrants

tlspettosqiidietlspaiuse e opreet e plus les comportements les et pratiques les induisent qui prestations les et

evn tertne.L rmèevs dniirae rcso e soins les précision avec identifier à vise première La retenues. être peuvent

yn t cuil asl ytm esis exsrtge d’intervention stratégies deux soins, de système le dans accueilli été ayant

nut,l patient le Ensuite, . rvr ’fihg ’n fr esrieglobale service de offre d’une l’affichage travers à

17 prs oscsééet evn tersebé tmse cohérence en mis et rassemblés être peuvent éléments ces Tous opérés. rencontres

ensei tsrlspsiiié epiee hreslnlschoix les selon charge en prise de possibilités les sur et

g nemen on e niain u aqaiédssisdispensés soins des qualité la sur indications des donne

t égahqe ni,l ene oe apu onpuisqu’il loin plus va volet dernier le Enfin, géographique. g est

i o

DES ACTEURS DES n

ie tlspoesonl ipnbe aslu zone leur dans disponibles professionnels les et vices

REGARDS REGARDS

ac eduim ieàdlve e nomtossrlsser- les sur informations des délivrer à vise deuxième Le t io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

éuiéscaepu ootrsee ambitieuse. et volontariste plus sociale Sécurité

notunbemi u epu a esbtte n oiiu de politique une à substituer se pas peut ne qui mais incontournable

u ’cinscae agsind iqeetu lmn d’accompagnement élément un est risque du gestion la sociale, l’action que

ofisditrt u nlmtn edpoeete apré.A êetitre même Au portée. la et déploiement le limitent en qui d’intérêt, conflits

erettè rqemn e eatusisiuinels or des à voire institutionnelles, pesanteurs des à fréquemment très heurtent

el ovrued aesn vdmetncsars aselsse elles Mais nécessaires. évidemment sont base de couverture la de

e retrdn esn ’n eler fiaiée ’n consolidation d’une et efficacité meilleure d’une sens le dans orienter les

ecnet,tue e ntaie,qitnetàrglrlsdpne pour dépenses les réguler à tendent qui initiatives, les toutes contexte, ce

225 ot et cinpieprosàtuhrlsbnfcarsptnil.Dans potentiels. bénéficiaires les toucher à parfois peine action cette soit,

in,d olcisdvr,ec as oritrsat tlubequ’elle louable et intéressante pour Mais, etc. divers, collectifs de tions,

asasidscletvtstrioils ’cer cnmqe,d’associa- économiques, d’acteurs territoriales, collectivités des aussi mais

u evn mnrdsognse ePoeto oil eux-mêmes, sociale Protection de organismes des émaner peuvent qui

e fot ovn terlysprdféetsfre ’cinsociale d’action formes différentes par relayés être doivent efforts Ces

otslscretosnécessaires. corrections les toutes

ncrannmr ’nufsne ts éèetipisnsàapporter à impuissants révèlent se et d’insuffisances nombre certain un

etcl i npaepu ale e ifclé rsneteux-mêmes présentent difficultés ces pallier pour place en mis verticale

unrblt tdecuinbe dniis e éaimsd redistribution de mécanismes Les identifiés. bien d’exclusion et vulnérabilité

’g,lsdfiutsdatnmecnttetàctéaddsfcer de facteurs des égard cet à constituent d’autonomie difficultés les l’âge,

iu insr asasil iuto aeàl aai,lioeetsocial, l’isolement maladie, la à face situation la aussi mais sûr, bien mique

xrmspru eti obed aéoisscae.L rcrt écono- précarité La sociales. catégories de nombre certain un par exprimés

rnr orceete opelsbsisd ovrued risque du couverture de besoins les compte en correctement prendre à rencontres impuissante demeure actuelle assurantielle l’offre diversité, sa Malgré

ensei et vlto structurelle. évolution cette

g nemen oil nmtèed evcscnrbetàexpliquer à contribuent services de matière en sociale

t g demande la de générale l’évolution et santé de besoins est

i o n ACTEURS DES

ocrelssiscuat,léegned nouveaux de l’émergence courants, soins les concerne

REGARDS REGARDS

ac t qui ce en obligatoire maladie l’Assurance de progressif io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

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t

arc el ai : Paris – Weil. Patrick / g milliards 80 pas coûtent ne qui propositions 80 est

i o n el’EN3S de

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apr ’nomto éoéprl oiédéauto tde et d’évaluation comité le par déposé d’information Rapport

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enLcPél rne sebé ainl.Cmiso e affaires des Commission nationale. Assemblée France. Préel, Jean-Luc / taire

e osd iacmn el éuiéscaesrl rvninsani- prévention la sur sociale Sécurité la de financement de lois des

ncnlso e rvu el iso ’vlaine econtrôle de et d’évaluation mission la de travaux des conclusion en

apr ’nomto éoéprl omsindsafie sociales affaires des commission la par déposé d’information Rapport

rapport_annuel_hcaam_version_definitive_2011-2.pdf

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atCnelpu ’vnrd ’suac maladie.– l’Assurance de l’avenir pour Haut-Conseil / iéfnnir e soins des financière lité

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rencontres http://www.securite-sociale.fr/IMG/pdf/

ensei

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g

est atCnelpu ’vnrd l’Assurance de l’avenir pour Haut-Conseil /

u2 as2012 mars 22 du i o n

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recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

otdfiie niie orlsaet cnmqe.Licriuecéesur créée L’incertitude économiques. agents les pour anticiper à difficiles sont

e èlsdautmn ie nœvesn ovn opee tluseffets leurs et complexes souvent sont œuvre en mises d’ajustement règles les ●

edpr nrtat tecun rsu ojuslshussd oiain; cotisation de hausses les toujours presque excluent et retraite en départ de

risdsftr uatesrtats oetrrmn u e gsminimaux âges les sur rarement jouent retraités, actuels ou futurs des droits

apuatdsmcnse ’jseetmse lc otn u enva des niveau le sur portent place en mis d’ajustement mécanismes des plupart la ●

qiir e éie ertat ; retraite de régimes des équilibré

aaspenmn prtonl orasrrd air ual efinancement le durable manière de assurer pour opérationnels pleinement jamais

cnmqee odi,dn e at,àuevrééd rtrsqin sont ne qui critères de variété une à faits, les dans conduit, et économique

anto esueaiiédsssèe ertat s a éii uplan au définie mal est retraite de systèmes des soutenabilité de notion la ●

ntostms: temps trois en

lttpnéé ndptd e exaatgs aciiu elOD s’organise l’OCDE de critique La avantages. deux ces de dépit en pondéré, plutôt

ejgmn u ’CEpresrcsmcnse ’jseetetcependant est d’ajustement mécanismes ces sur porte l’OCDE que jugement Le

ilsa ueetd ’pno publique. l’opinion de jugement au sibles

nœveqelrq’lsai epoée a e éomsdsrtonie,sen- discrétionnaires, réformes des par procéder de s’agit lorsqu’il que œuvre en

oé,lséouin potra ytm ertat otpu iésàmettre à aisées plus sont retraite de système au apporter à évolutions les posée,

el oiiu ugtiedsÉas;d ls upa oiiu,uefi arègle la fois une politique, plan au plus, de ; États des budgétaire politique la de

npsn n èl ’jseetojciee éen,isasrn acrédibilité la assurent ils pérenne, et objective d’ajustement règle une posant en

’CErcnatdsvru aréooiuse oiiusàcsdsoiis: dispositifs ces à politiques et macroéconomiques vertus des reconnaît L’OCDE

u an ’séac evie. de d’espérance gains aux

ecse rnedpi alid 03 u ei ’vlto el ué d’assurance durée la de l’évolution relie qui 2003, de loi la depuis France en cas le

e éaimsdautmn otitrei ’ursvrals:cetnotamment c’est : variables d’autres intervenir font d’ajustement mécanismes ces

usrl axd eaoiainanel e esosdsrtats lsrarement, Plus retraités. des pensions des annuelle revalorisation de taux le sur ou

ius:lautmn ot lr u etu ermlcmn ev aliquidation la à servi remplacement de taux le sur alors porte l’ajustement : miques

231

imsletl ieudspnin u vltosdmgahqe uécono- ou démographiques évolutions aux pensions des niveau le lient nismes

otnblt iacèe apuatdspy u n i nœved esméca- tels de œuvre en mis ont qui pays des plupart La financière. soutenabilité

’jseetatmtqedsssèe ertat emtatde sue la assurer d’en permettant retraite de systèmes des automatique d’ajustement

ulo 02 opredsdvlpeet néesnssrlsmécanismes les sur intéressants développements des comporte 2012, Outlook

edcmn u ’CEapbi,e un21,su etteOC Pensions OECD titre le sous 2012, juin en publié, a l’OCDE que document Le

2012.

noeytm ,pbi a ’CEdn EDPnin Outlook Pensions OECD dans l’OCDE par publié », incomesystems

dutetehnssadfnnilutiaiiyo retirement- of financialsustainability and adjustmentmechanisms

n etr elatce:«Ptigpnin nat-io automatic- : auto-pilot on pensions Putting « : l’article de lecture Une

el rtcinsociale Protection la de

ertiegnrld atCneld financement du Haut-Conseil du général Secrétaire

oed etr éié a rcLefebvre, Éric par rédigée lecture de Note ●

rencontres notebenchmarckingitm-10.pdf

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esoso esosd rme tg) r e rsse hreprlÉa et l’État par charge en prises ces Or, étage). premier de pensions ou pensions

piee hred éidsnnctse,bnfctospu nat,mnm de minima enfants, pour bonifications cotisées, non périodes de charge en (prise

’ttfnnedrceetdn etispy e vnae o contributifs non avantages des pays certains dans directement finance l’État

er esueaiiépu te eo e as lso on iéàdfnr: définir à aisé moins ou plus pays, les selon être, peut soutenabilité de teurs

ni,l éièr e éesse e eetsàrtnrpu vle e indica- les évaluer pour retenir à recettes des et dépenses des périmètre le Enfin,

éuiédcecete fe e riscnee u evn tecoûteux. être peuvent qui connexes droits des effet en déclenchent sécurité

odiasi emisoéexpu ’nebedsatuspbis e iesde filets Les publics. acteurs des l’ensemble pour onéreux moins le soit conduira

lset innidqeqeléulbeprilaqe e jseetautomatique ajustement cet auquel partiel l’équilibre que n’indique rien est, plus

’umnaindsdpne suésprlsdféet iesd éuié Qui sécurité. de filets différents les par assurées dépenses des l’augmentation

a n iiuindsdot rpe e erié,mi epur a contrer pas pourra ne mais retraités, des propres droits des diminution une par

uoaiu uabe oreftd anei essèed erieàl’équilibre, à retraite de système le maintenir de effet pour bien aura automatique

xéiu ussèed eriedn apuatdspy elOD.L’ajustement l’OCDE. de pays des plupart la dans retraite de système au extérieur

rsain td iiascaxàdsiaindsrtats otl iacmn est financement le dont retraités, des destination à sociaux minima de et prestations

naaiéàpedee opedn ebulg ’vlto e éessde dépenses des l’évolution bouclage le dans compte en prendre à incapacité

n exèedfiut oé a e rtrsd otnblt éiedn leur dans réside soutenabilité de critères ces par posée difficulté deuxième Une

aattdn ulmn u ’ur qiir otatitd air simultanée. manière de atteint soit équilibre l’autre que nullement donc garantit

odru éaim ’jseetatmtqesrlu ecséulbe ne équilibres ces de l’un sur automatique d’ajustement mécanisme un Fonder

ehrh eléulbeisatn ud ’qiir tutrln ejsiiri pas. justifierait le ne structurel l’équilibre de ou instantané l’équilibre de recherche

ormitnràluiél ai e eetssrlsdpne,aosqela que alors dépenses, les sur recettes des ratio le l’unité à maintenir pour

’qiir cure etipsrd éae e xéet ndbtd période de début en excédents des dégager de imposer peut actuariel l’équilibre

el e éessàaqitrdrn amm éid.Prconstruction, Par période. même la durant acquitter à dépenses des celle

e esucsatelse uue urgm u n éid onee de et donnée période une sur régime du futures et actuelles ressources des

néulbeataild ogtre u sueléaiéd asmeactualisée somme la de l’égalité assure qui terme, long de actuariel équilibre un ●

232

e e upu udsmnusàgge ercte ; recettes de gagner à manques des ou surplus des ner

e aitoséooiuscnocuels u evn eprieetentraî- temporairement peuvent qui conjoncturelles, économiques variations des

’qiir ehrh s lr néulbesrcue,qipre es’affranchir de permet qui structurel, équilibre un alors est recherché l’équilibre

trcte n ained e qiir ’prceasru yl ojntrl: conjoncturel cycle un sur s’appréciera équilibre cet de variante une ; recettes et

néulbeisatn,qivs ar ecrepnr nuleetdépenses annuellement correspondre se faire à vise qui instantané, équilibre un ●

emnèeshmtqe extpsdéulbepuetêr ehrhs: recherchés être peuvent d’équilibre types deux schématique, manière De

rmnsetl oiiu otetuerfredsrtoniefuture. discrétionnaire réforme toute contre politique le prémunissent

e éie ertat.Cetdslr n luind rieqed elsrègles telles de que croire de illusion une lors dès C’est retraite. de régimes des

iiéqiasr,d air éen tanearsane ’qiir financier l’équilibre année, après année et pérenne manière de assure, qui bilité

e ytmsd erie lnetpspsil edfnru aaèr esoutena- de paramètre un définir de possible pas n’est il retraite, de systèmes les

rise rtr esueaiiépuetbe ned otiuràconsolider à contribuer entendu bien peuvent soutenabilité de critère et droits des

idsmcnse ’jseetatmtqedsssèe ertat in niveau liant retraite de systèmes des automatique d’ajustement mécanismes des Si

eretraite de

uuen aattdn adreléulbedssystèmes des l’équilibre durée la dans garantit ne aucune dont .L otnblt iacèercur n ait d’acceptions, variété une recouvre financière soutenabilité La 1. rencontres ensei

g nemen u enva evedsretraités. des vie de niveau le sur t

g

est

’prn tfi rbbeetpsrdsrsusexcessifs risques des peser probablement fait et d’épargne i o n

e emnèepriet er opreet ’ciiéet d’activité comportements leurs pertinente manière de ter BIBLIOGRAPHIE

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t e risdsftr erié epre a u cisd’adap- actifs aux pas permet ne retraités futurs des droits les io n s

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éedd exprmte ’vlto e aarse nfcerd soutenabilité de facteur un et salaires des l’évolution : paramètres deux de dépend

cnmqe.Àttedeepe arvlrsto e esose Allemagne en pensions des revalorisation la d’exemple, titre À économiques.

ervlrsto e esose ocind aaèrsdmgahqe ou démographiques paramètres de fonction en pensions des revalorisation de

iqpy elOD elmn jsetd air uoaiu ecoefficient le automatique manière de ajustent seulement l’OCDE de pays Cinq

é actuels. tés

ervlrsto e esos–isafcetaosl ieudsdot e retrai- des droits des niveau le alors affectent ils – pensions des revalorisation de

ocdn ecssrl ieudsdot uus–e l iiun ecoefficient le diminuent ils et – futurs droits des niveau le sur cas ce dans donc

aarspré ucmt elasr orl acld apnin–isjouent ils – pension la de calcul le pour l’assuré de compte au portés salaires

atusjun exnvax:ismnrn ecefcetd eaoiaindes revalorisation de coefficient le minorent ils : niveaux deux à jouent facteurs

abis utu efriiée e an ’séac eveà6 n.Csdeux Ces ans. 65 à vie de d’espérance gains les et fertilité de taux du baisse la

usu exfcer éorpiusitrinetdn eclu e ris: droits des calcul le dans interviennent démographiques facteurs deux puisque

eJpnettè etieetl asqiapus epu onctelogique cette loin plus le poussé a qui pays le certainement très est Japon Le

’séac eved ’niiuprrpotàuegnrto donnée. génération une à rapport par l’individu de vie de d’espérance

iudto s iiu ’ncefcetqietdrceetfnto e gains des fonction directement est qui coefficient d’un diminué est liquidation

in éiis:ani uPrua te ilne enva el eso la à pension la de niveau le Finlande, en et Portugal au ainsi, : définies tions

glmn emm asbacu epy otlsssèe otàcontribu- à sont systèmes les dont pays de beaucoup dans même de également

’g edpr elidvd td ’séac eved agnrto.I nva en Il génération. sa de vie de l’espérance de et l’individu de départ de l’âge

elasr s ovrie eso osd éate eriee ocinde fonction en retraite en départ du lors pension en converti est y l’assuré de

neft ecptlvrulacml ucusd acrir a ’fotd cotisation de l’effort par carrière la de cours au accumulé virtuel capital le effet, en

nssèed eriee ope oines(ud,Nrèe oon tIai): Italie) et Pologne Norvège, (Suède, notionnels comptes en retraite de système un

5as le abe û is aslspy u n i uvn etee place en mettre vont ou mis ont qui pays les dans ainsi sûr bien va en Il ans. 65

ocindsgisdeprned i acleàu g opi nr 0et 60 entre compris âge un à calculée vie de d’espérance gains des fonction

asl otédspy elOD,l ieudsdot erieetaut en ajusté est retraite à droits des niveau le l’OCDE, de pays des moitié la Dans

233

enva e droits des niveau Le

oiain(t osui neit,lsrsre e régimes). des réserves les existe, en lorsqu’il (et, cotisation

tlsbe enva e ris adred evc el eso,l axde taux le pension, la de service de durée la droits, des niveau le : utilisables

priori orcrie e iutosd ééulbefnnir ri eir sont leviers trois financier, déséquilibre de situations les corriger Pour a

erieqeprlâemnmld éate retraite en départ de minimal l’âge par que retraite à droits

.Lautmn uoaiu as lssuetprl ieudes niveau le par souvent plus passe automatique L’ajustement 2.

oamn e nettdsetuatlscmotmnsd cohabitation). de comportements les entourant incertitudes des notamment

out n rjcinàln em e eeu e éae,cmt tenu compte ménages, des revenus des terme long à projection une robuste

u esucsd éae(uu oèenetcpbedefcurd manière de d’effectuer capable n’est modèle (aucun ménage du ressources aux

rjcin e éessd iiad eso un le otconditionnées sont elles quand pension de minima de dépenses des projection,

a un lsai ebnfctosd ué epu teéaeetl a,en cas, le également être peut ce ; durée de bonifications de s’agit il quand cas anmntiepouéprlsaatgsnncnrbtf.Cetséilmn le spécialement C’est contributifs. non avantages les par procuré monétaire gain

rencontres ’slr usi e éessd rsain ertat,le retraite, de prestations de dépenses des sein au d’isoler,

ensei

g difficile être effet en peut Il quantification. de spécifiques blèmes nemen t pro- des posent qu’elles parce statique, manière de même g est

i secondes, les ; discrétionnaire manière de fixées être peuvent o n

ae vle e rmèe,e vlto,prequ’elles parce évolution, en premières, les : évaluer à cates BIBLIOGRAPHIE

ac

t io déli- être peuvent regard en financent qu’elles dépenses les n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

e uusrtats u s aseftsrléulbeataild régime. du actuariel l’équilibre sur effet sans est qui retraités, futurs des

umnaindstu ectsto etautpru crismn e droits des accroissement un par traduit se cotisation de taux des augmentation

eafi e esn aslsssèe ncmtsntonl efi,toute fait, de : notionnels comptes en systèmes les dans sens de peu fait Cela

oiainàdsprmte cnmqe udémographiques. ou économiques paramètres des à cotisation

letpuféun u e éiltoscniinetléouindstu de taux des l’évolution conditionnent législations des que fréquent peu est Il

etu ecotisation de taux Le

n neaind ’g éa u ’séac evie. de l’espérance sur légal l’âge de indexation une à

edpr on motnsqesi vi t rcd,dn e êe proportions, mêmes les dans procédé, été avait s’il que importants moins départ de

ué u e an ’séac evecnut aslsfis e décalages des à faits, les dans conduit, vie de d’espérance gains les sur durée

cuuésprlspronspratajudhie erie ’neaind la de l’indexation retraite, en aujourd’hui partant personnes les par accumulées

aslsate as epu,cmt eudsdredasrneimportantes d’assurance durée des tenu compte plus, De pays. autres les dans

u adredasrne lr uiss éectrn nérlmn u l’âge sur intégralement répercuteront se qu’ils alors d’assurance, durée la sur

amsr ùlsgisdeprned i es éectn uaxdu tiers deux qu’aux répercutent se ne vie de d’espérance gains les où mesure la

e20 etprîr on miiueqecled o ri atnie,dans partenaires, trois nos de celle que ambitieuse moins paraître peut 2003 de

axpen tnnsrlâelglmnmld éat eedn,l éom française réforme la cependant, ; départ) de minimal légal l’âge sur non et plein, taux

nFac u adredasrnencsar orbnfce ’n eso à pension d’une bénéficier pour nécessaire d’assurance durée la sur France en

etmse rtqeuerfred etp lsgisdeprned i jouent vie de d’espérance gains (les type ce de réforme une pratique en mis ment

a ePreet(aeak.L rneetl elpy elOD u effective- a qui l’OCDE de pays seul le est France La (Danemark). Parlement le par

05a aeak 01e rc)e ’n afi odtoneàueapprobation une à conditionnée parfois l’ont et Grèce) en 2021 Danemark, au 2015

Dnmr,Iai,Gèe n rv n iee ur eade(03e Italie, en (2013 retardée œuvre en mise une prévu ont Grèce) Italie, (Danemark,

nrtat tgisdeprned i.E noe e ri asqilotfait l’ont qui pays trois les encore, Et vie. de d’espérance gains et retraite en

ae otlspy u n i npaeu inatmtqeeteâed départ de âge entre automatique lien un place en mis ont qui pays les sont Rares

234

lstardif. plus

oragetrl axd epaeetdsrtats nlsfratàu départ un à forçant les en retraités, des remplacement de taux le augmenter pour

efxru g éa iia ud erlvr om eaaééfi nSèe– Suède en fait été a cela comme relever, le de ou – minimal légal âge un fixer de

oine cuuéa or elu arèe epltqepu énon choisir néanmoins peut politique Le carrière. leur de cours au accumulé notionnel

oen,tè xceetsrlesml elu ué ertat ecapital le retraite de durée leur de l’ensemble sur exactement très moyenne,

s aseftsrléulbeataild éie:lsidvdsrcprn,en récupèrent, individus les : régime du actuariel l’équilibre sur effet sans est

aslsssèe ncmtsntonl,l aaèr u osiu ’g légal l’âge constitue que paramètre le notionnels, comptes en systèmes les Dans

usrl ué ’suac éesiepu atre erieàtu plein. taux à retraite en partir pour nécessaire d’assurance durée la sur ou

adred evc el eso njun u ’g éa edpr nretraite en départ de légal l’âge sur jouant en pension la de service de durée la

e éaimsdautmn uoaiu evn glmn ie raccourcir à viser également peuvent automatique d’ajustement mécanismes Les

adred evc el pension la de service de durée La s néiu 1. à inférieur est

rencontres e éevsfnnirsd éie u naeet eretraite de engagements aux régime) du financières réserves les

ensei

osu erpotdsrsore cule tftrs(incluant futures et actuelles ressources des rapport le lorsque g nemen apeir ose 09 ioel eaoiaindspensions des revalorisation la minore 2009, en fois première la t

g

est

emcnseatmtqedéulbe u ’s élnh pour déclenché s’est qui d’équilibre, automatique mécanisme le i o n

ertod éednedmgahqes érd.E Suède, En dégrade. se démographique dépendance de ratio le BIBLIOGRAPHIE

ac

t «Nchlikisatr) u ioectervlrsto lorsque revalorisation cette minore qui Nachhaltigkeitsfaktor»), (« io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

edpr nrtat tdéage pcaeetlrqecteicriuen’est incertitude cette lorsque spécialement d’épargne, et retraite en départ de

ar e hi cars ocpriet,e air ecmotmn d’activité, comportement de matière en pertinents, donc éclairés, choix des faire

’umneotps ’s a,pu ’CE entr odielsatf à actifs les conduire à nature de l’OCDE, pour pas, n’est pas, n’augmenteront

u enva e risàrtat,e oteated ’suac u e cotisations les que l’assurance de contrepartie en retraite, à droits des niveau le sur

eriee/ulâed éate erie eedn,ueicriueto grande trop incertitude une Cependant, retraite. en départ de l’âge et/ou retraite

cis–srl ieudscnrbtosftrs–e erié u enva ela de niveau le sur – retraités et – futures contributions des niveau le sur – actifs

epoée,dn ’vnr nmtèed eriedi-leêr atgeentre partagée être doit-elle retraite de matière en l’avenir, dans procéder, de

asqel rprinlicriuecéeprlsautmnsaxul lconviendra il auxquels ajustements les par créée l’incertitude proportion quelle dans

lnyaps orlOD,d éos cnmqecar udlmesiat: suivant dilemme au claire économique réponse de l’OCDE, pour pas, a n’y Il

opreet edpr nrtat emdfeotdn abnedirection. bonne la dans modifieront se retraite en départ de comportements

ieud i e erié tn emtpsd ’sue oratn u les que autant pour s’assurer de pas permet ne et retraités des vie de niveau

risdsrtats r ealiprî ar ee e iqe xesf u le sur excessifs risques des peser faire paraît lui cela Or, retraités. des droits

ebe ’tlsn usmn om aibedautmn u enva des niveau le que d’ajustement variable comme quasiment n’utilisent membres

rtqel atqelsmcnse ’jseetisiusdn e ifrnspays différents les dans institués d’ajustement mécanismes les que fait le critique

eatcsicriue,l ueetd ’CEetdn odr.L’organisation pondéré. donc est l’OCDE de jugement le incertitudes, ces Devant

i nplace. en mis

entr icéinar fndatne e fesdsmcnse automatiques mécanismes des effets les d’atténuer afin discrétionnaire nature de

osmés moeotdn euopd asdsrfre complémentaires réformes des pays de beaucoup dans imposeront consommées,

u e agsd aœve tntmetlsrsre iacèe,seront financières, réserves les notamment et manœuvre, de marges les que

e esos–cmel esreetdscnritsfnnirs mesure à financières, contraintes des resserrement le comme – pensions des

énon,o etpne u ecoxd avral ’jseet–l niveau le – d’ajustement variable la de choix le que penser peut on Néanmoins,

nrdiatbacu evltlt aslsrvlrstosanelsdspensions. des annuelles revalorisations les dans volatilité de beaucoup introduisait

etnnee ud uv e mefcin umcnseatmtqeiiil qui initial, automatique mécanisme du imperfections des vu au Suède en pertinente

235 alsaxrtats n oiiaindsrtoniedsrge ti certainement était règles des discrétionnaire modification Une retraités. aux rables

ar,pu orgrdsautmnsatmtqe u uaetééprto défavo- trop par été auraient qui automatiques ajustements des corriger pour naire,

el ud,mnr eedn u ’ttap nevnr emnèediscrétion- manière de intervenir, pu a l’État que cependant montre Suède, la de

letto ô ormsrrl éent e èlsdautmn oés:l’exemple : posées d’ajustement règles des pérennité la mesurer pour tôt trop est il

ué is u e rnfrsitrééainesaxul l odiot emême, De conduiront. ils auxquels intergénérationnels transferts les que ainsi durée

letdn aas ’vle uor’u ercpct ’qiirrdn alongue la dans s’équilibrer à capacité leur aujourd’hui d’évaluer malaisé donc est il

ens(e lsacesdeteexsn é uatlsane 90 : 1990) années les durant nés sont eux d’entre anciens plus (les jeunes tèmes

e ytmsd erieàmcnsedautmn uoaiu otdssys- des sont automatique d’ajustement mécanisme à retraite de systèmes Les

’ciiée ’prn uln elu yl evie de cycle leur de long au d’épargne et d’activité

u sué emdfe efçnpriet er comportements leurs pertinente façon de modifier de assurés aux

unva e esosn emtetgnrlmn pas généralement permettent ne pensions des niveau du tique

.Lsicttospse a e éaimsdautmn automa- d’ajustement mécanismes les par posées incitations Les 3. opeuehus rgamed axd cotisation. de taux du programmée hausse une compte

rencontres atel eaoiaindspnin rn mlctmn en implicitement prend pensions des revalorisation la partie

ensei

g pour détermine qui soutenabilité de facteur du formule la à nemen t 2004 en apportée modification la Allemagne, En critères. de g est

i beaucoup de l’assortissant en mais régime, du déséquilibre o n

osblt ’n umnaind axd oiaine a de cas en cotisation de taux du augmentation d’une possibilité BIBLIOGRAPHIE

ac

t io la ouvert ont ) le et Japon (le seulement pays Deux n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

elobeàl uir.E lisse:«L oilseetuemrl tpresque et morale une est socialisme Le « : insiste il Et lumière. la à l’ombre de

’uerapleàue«rvlto prtel ,pu,cmel iatlate passer l’autre, disait le comme pour, », spirituelle révolution « une à appelle l’auteur

atsrn lstr arued asriue asc icusàl jeunesse, la à discours ce Dans servitude. la de route la tard plus baptiseront

elhmnt .L otdi odiesrl ot upors» u d’autres que », progrès du route « la sur conduire doit tout Le ». l’humanité de

emtat«lepotto ainel tl itiuinéutbe»ds«richesses « des » équitable distribution la et rationnelle l’exploitation « permettant

lmdsielslge ’nscaim u mn n oit d’associés société une à amène qui socialisme d’un lignes les dessine Blum

ocèe ecptlseqiegnr e ure tlsaésd anaissance, la de aléas les et guerres les engendre qui capitalisme le foncière,

eé a ’pâ ugi.Pu n«taalvamn raer» otel’injustice contre », créateur vraiment travail « un Pour gain. du l’appât par menés

e otaitus laiet n hrecmels«prsts»seulement » parasites « les comme charge une alimente il contradicteurs, ses

afaent tléaié niaen e otaitose aleisqesoutiennent que railleries et contradictions les Envisageant l’égalité. et fraternité la

un ’ret(u evri) lmdneàl otiescait n ié réaliser : visée une socialiste doctrine la à donne Blum pervertit), (qui l’argent quant

qepoèe nraié e«rgm orei ) éarlsn aporéé criti- propriété, la Désacralisant »). bourgeois régime « le réalité, en protège, (que

éeoprlsattdspronle,tu ncmatn e rvlgsdsnantis des privilèges les combattant en tout personnelles, aptitudes les développer

asdmuatopse,enme êe n miinscait eatde serait socialiste ambition Une même. ennemies opposées, demeurant mais

aait oilge ldci e lse oilsaxfotèe lsporeuses, plus frontières aux sociales classes des décrit il Sociologue, salariat.

e hss lfsiemsr tepotto ote emnrn éev u le sur réservé montrant se en tout exploitation et misère fustige il choses, des

elbu caln tl aes noet .Séeatcnr nsidsn ordre soi-disant un contre S’élevant ». insolente paresse la et accablant labeur le

cnaexe éoat nr efsedsuse edneetdsate,entre autres, des dénuement le et uns des faste le entre désolant, et scandaleux

nl utc te ’om,i otnîr escaim ucnrse afois la à contraste, du « socialisme le naître voit il l’homme, en et justice la en

n uulsto e oesd rdcin fimn a«fi»(’s o mot) son (c’est » foi « sa Affirmant production. de moyens des mutualisation une

éednemtel risnedsidvds letm uel commande qu’elle estime il individus, des croissante » mutuelle dépendance «

oiu,u nin ,lveuesnhs otiaee iiat.Rlvn la Relevant militante. et doctrinale synthèse une livre », indigné « un tonique,

eFotpplie énBu,dn nr opeSovlefi,dn apréface sa dans fait, Compte-Sponville André dont Blum, Léon populaire. Front le

ôé ’far ryu tl rneger,e,d ’ur,l ogè eTuset Tours de congrès le l’autre, de et, guerre, grande la et Dreyfus l’affaire côté,

236

o i tdsiéàtu e ensgn.I este itrqeet nr,d’un entre, historiquement, situe, se Il gens. jeunes les tous à destiné et fil son

édto erue ecutesid énBu,pbi n11,etddéà dédié est 1919, en publié Blum, Léon de essai court ce heureuse, Réédition

ai,AbnMce,21,7 pages. 71 2012, Michel, Albin Paris, socialiste, être Pour Blum, Léon

rfserascéàSciences-Po à associé Professeur

ebed oiéd éato el eu REGARDS, Revue la de rédaction de comité du membre

oe elcuerdge a uinDamon, Julien par rédigées lecture de Notes ●

lslsmmspolmsdaéuto unva e retraites. des niveau du d’adéquation problèmes mêmes les plus

éipicplaqe otcnrné e ytmsd erie ln oepsnon pas pose ne Il retraite. de systèmes les confrontés sont auquel principal défi

ebeàlognsto lsàmm erlvrlsâe edpr,qietle est qui départ, de âges les relever de même à plus l’organisation à semble

elâed eriee ocind ’vlto éorpiu.U e mécanisme tel Un démographique. l’évolution de fonction en retraite de l’âge de

rnprns ’CEcnièenamiscmepu etnn najustement un pertinent plus comme néanmoins considère l’OCDE transparents, oçs ’s--iegaul aslu iee ur et œuvre en mise leur dans graduels c’est-à-dire conçus, rencontres

ensei e éaimsdautmn unva e erie bien retraites des niveau du d’ajustement mécanismes des

g nemen iuepri e nettdspu suéetêr eé par levée être assurément peut incertitudes des partie une Si t

g est nrsu eplacement. de risque un

i o n

aslsssèe ncptlsto,qiaotn erisque ce à ajoutent qui capitalisation, en systèmes les dans BIBLIOGRAPHIE

ac

t a ispeàpoiiéd ’g edpr.Cetafrir vrai fortiori a C’est départ. de l’âge de proximité à dissipée pas io n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

novaebevn asu éa rsactuel. très débat un dans bienvenu ouvrage Un

umn dsdfntose éièrsd e lse oens tpolitiquement. et moyennes) classes ces de périmètres et définitions (des quement

e oiiuspbiusmiscbés euopd air ordsue techni- discuter pour matière de Beaucoup ciblées. moins publiques politiques des

ieuéeéd esniet ’n a ércé l liet ufnl pour final, au plaident, Ils décroché. pas n’ont ressentiment, de élevé niveau à

ééainpééet) utu,lsatusntn u e lse moyennes, classes ces que notent auteurs les Surtout, précédente). génération

indsige epbi upié tsnsrlseetéuai prrpotàla à rapport (par éducatif surclassement son et privé) du public le distinguer bien

epoo olgel etaiéd aaititréiie(etêr adati ici faudrait-il (peut-être intermédiaire salariat du centralité la souligne propos Le

tmngsqilscmoetbuetsrlstriorse nr e groupes. les entre et territoires les sur bougent composent les qui ménages et

cnmse epéie u ilscassaprisn lttfxe e individus les fixées plutôt apparaissent classes les si que préciser de économistes

’aia)otéémisnmru u e rgè éietes tnsdeux nos Et résidentiels. progrès les que nombreux moins été ont d’habitat)

a xl»(ééaeet upr«evhseet»(érdto uquartier du (dégradation » envahissement « par ou (déménagement) » exil par «

aéoismdse eslsqatesdséié.Lsdcasmnsterritoriaux déclassements Les déshérités. quartiers les vers modestes catégories

esprtsecosatdspu ié,n ’grvto el eéaindes relégation la de d’aggravation ni aisés, plus des croissant séparatisme de

nls a eeu,e utecass erlvn a,srl enèedécennie, dernière la sur pas, relèvent ne classes) quatre en revenus, par analyse

œrd ascéé u epa ertra oxe arn(u asn lr une à alors passent (qui Maurin et Goux territorial plan le Sur société. la de cœur

esn lslaatgredsTetsGoiue,mi nscebe ntléau installé bien socle un mais Glorieuses, Trentes des l’avant-garde plus sont ne

’mlie 92 4%e 09.Cscassmyne otnuelscrelles car nouvelles sont moyennes classes Ces 2009). en % 24 1962, en l’emploi

emii nu eisèl,e,srot e rfsin nemdars(1%de % (11 intermédiaires professions les surtout, et, demi-siècle, un en moitié de

le,o ruelsatsn tcmeçns u n ulu atrltv diminuer relative part leur vu ont qui commerçants, et artisans les trouve on elles,

t3 e lse oens(ote2 udbtdsane 90.Parmi 1960). années des début au % 20 (contre moyennes classes des % 30 et

237

mlys ures,2 e lse uéiue cde,cesd’entreprise), chefs (cadres, supérieures classes des % 20 ouvriers), employés,

n20,l otédsFaçi eèetdscasspplie (agriculteurs, populaires classes des relèvent Français des moitié la 2009, en

tMui rvlgetlsctgre oi-rfsinels vclu approche, leur Avec socio-professionnelles. catégories les privilégient Maurin et

asd u al--n?S etie éiiin ’néesn u eeu,Goux revenus, aux s’intéressent définitions certaines Si ? parle-t-on qui de Mais

oil tuor ’ur) e aéoiscnrlsd applto progressent. population la de centrales catégories ces l’œuvre), à (toujours sociale

et(u e uer eaiietvguesmn)e siainàl promotion la à aspiration et vigoureusement) relativisent auteurs les (que ment

arn ucreord indsdnmqe.Tnile nr rit udéclasse- du crainte entre Tenaillées dynamiques. des bien de carrefour au Maurin,

iate rne,s iun,slnlséooitsDmnqeGu tÉric et Goux Dominique économistes les selon situent, se France), en vivant

otmn eo e tds(npu rue nr 0%e 0%dspersonnes des % 80 et % 10 entre trouver y peut (on études les selon fortement

xlso e rspurs e lse oens u otusqivarient qui contours aux moyennes, classes ces pauvres, très des exclusion

tdséetospéietels néesn.Etescsindsutarce et ultra-riches des sécession Entre intéressent. présidentielles, élections des et

éiéetlscassmyne,stésa œràl osd ascééfrançaise société la de fois la à cœur au situées moyennes, classes les Décidément

2 pages. 121

ai,L ei,cl.«L éulqedsiés» 2012, », idées des République La « coll. Seuil, Le Paris, moyennes,

rencontres oiiu ox rcMaurin, Éric Goux, Dominique e ovle classes nouvelles Les ensei

g nemen t socialiste. pureté la de célébration de ou g est

i récupération de d’adaptation, condamnation, de concours un o n

u oras iurprrpotàcspoo ioru,dans vigoureux, propos ces à rapport par situer se pourra cun BIBLIOGRAPHIE

ac

t io cha- tard, plus siècle Un ». doctrine qu’une autant religion, une n s

recherches doss i e r s s s oc é curit i a l e é

ojusdécapant. Toujours

’blto elÉa cmeo bltlecaae s riato fascinant. ou irritant est l’esclavage) abolit on (comme l’État de l’abolition à

lci o al ohadnare ’nilmn ascnitne o appel Son consistance. sans illuminé d’un rien n’a Rothbard Paul, Ron blicain

ur tatqe ecransdmnin umueetTaPrye urépu- du et Party Tea mouvement du dimensions certaines de Atlantique, outre

ae u ae éen om nqaiéait aetl éor Inspirateur, détour. le valent quasi-étatiste un comme dépeint Hayek sur pages

olciim oa.Sspoo u oqeil ofse noéet»e ses et » incohérent et confus « Tocqueville sur propos Ses total. collectivisme

ocsin ot om ’tt êemnml,n etqedrvrvr le vers dériver que peut ne minimale, même d’État, forme Toute concession.

iuu tsn rdt,etchrn.Etéit eedqé ln atpsde pas fait ne il revendiqué, Extrémiste cohérent. est aridité, sans et rigueur

ir e éé .Dn eslo ’nLceo ’nSecr or uer avec auteur, notre Spencer, d’un ou Locke d’un sillon le Dans ». bébés des libre

u otslsre oetpiés npu êeêr nfvu ’n«marché « d’un faveur en être même peut On privées. soient rues les toutes que

ates,pu epr ’re,cnr acncito,pu ’vreet pour l’avortement, pour conscription, la contre d’armes, port le pour Martiens),

elÉa,pu edsreetncéie otelsdot e nmu e des (et animaux des droits les contre nucléaire, désarmement le pour l’État, de

tlsfntonie) lfu elr orl rie:o etêr orlaoiintotale l’abolition pour être peut on : croire le pour lire le faut Il fonctionnaires). les et

’cagn,e atcle exq’lnmels«hme elÉa lsélus (les » l’État de hommes « les nomme qu’il ceux particulier en n’échangent,

aind ’nevninpbiu td oslsprstsqin rdietni produisent ne qui parasites les tous de et publique l’intervention de nation 238

imtpyiu e otcsel epéedani.El éocesrl condam- la sur débouche Elle ainsi). prétend se elle cas tout (en métaphysique ni

ncntd avtg) atéredsdot auesd rpit ’s imorale ni n’est propriété de naturels droits des théorie Sa sauvetage). de canot un

rtscmemtpoed ’tt ulspirtsdatiuindspae dans places des d’attribution priorités les ou l’État, de métaphore comme frites

n ruetto siesrdscspaius(emnpl el et de vente la de monopole (le pratiques cas des sur assise argumentation une

otd êesnRbno rséqicostsscapgos.Cetaussi C’est champignons). ses choisit qui Crusoé Robinson son même de tout

lsgad u ot.Snaayenetpsuiumn n éiain(avec méditation une uniquement pas n’est analyse Son soit). qui grande plus

aplc,lstiuax.Pu ohad ’ttetueognsto rmnle(la criminelle organisation une est l’État Rothbard, Pour tribunaux). les police, la

ari éutrd acecto.O ’ttoèepr«prstsecectf»(l’impôt, » coercitif parasitisme « par opère l’État Or coercition. la de résulter saurait

aporéélgtm elhme i--i esncrse esntaal ne travail, son de et corps son de vis-à-vis l’homme, de légitime propriété La

asl eimsr ’ttetlenm tre ugnehmi .I s’explique. Il ». humain genre du éternel l’ennemi est l’État « : demi-mesure la dans

e atsn nodtonl tssdtatusrpds ohadn atpas fait ne Rothbard rapides. détracteurs ses et inconditionnels partisans ses

’ntxemju ectatu rlx aspuô éon nFac,qia qui France, en méconnu plutôt mais prolixe auteur cet de majeur texte d’un

e elsltrsotpi ’erueiiitv epbirànueul traduction la nouveau à publier de initiative l’heureuse pris ont lettres Belles les

’nrh-aiaim,Rtbr s atsndu iéaim nérl e éditions Les intégral. libéralisme d’un partisan est Rothbard l’anarcho-capitalisme, otar,l odmn etu ri.Fgr epoede proue de Figure droit. tout de fondement le contraire, rencontres

ensei ietre cmrnr rslbrl»,l rpit s,au est, propriété la »), libéral très « (comprendre libertarien

g nemen

orMra ohad(9619) hlspee économiste et philosophe (1926-1995), Rothbard Murray Pour

t

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42540 ST-JUST-LA-PENDUE JUILLET 2012 DÉPÔT LÉGAL 2012 N° 201206.0296

IMPRIMÉ EN FRANCE

L'avenir de la Protection sociale se dessine avec vous.

Recruter par concours et former les futurs dirigeants de la Sécurité sociale … telle est la vocation de l’EN3S.

Depuis 1960, l’Ecole Nationale Supérieure de Sécurité Sociale assure quatre missions au sein du Service public de Sécurité sociale :

– La détection des potentiels des dirigeants au regard de quatre axes principaux (la garantie des valeurs de Service public et leur traduction, le pilotage de la performance d’un organisme, la contri- bution à la performance collective d’un réseau d’organismes, la capacité à inscrire l’action de terrain dans des dynamiques pérennes et innovantes) ; – Le développement des compétences de ses dirigeants à travers des cycles de formation diplômants et une offre de formation de courte durée ; – Le transfert d’expertise des gestionnaires français du domaine social à l’international (coopérations, formations…) ; – Le développement de programmes de recherches destinés à améliorer la compréhension des politiques sociales et de leur envi- ronnement et à favoriser leur adaptation.

L’avenir de la Protection sociale n’est pas écrit. Il se dessine avec vous !

www.en3s.fr 27, rue des Docteurs Charcot 42031 Saint-Etienne Cedex 2 Tél. : +33 (0)4 77 81 15 15 Fax : +33 (0)4 77 81 15 00 Courriel : [email protected]

11 € ISSN 0988-6982

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