Comoedia (Paris. 1907) Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Comoedia (Paris. 1907). 1912/01/02. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. 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En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter [email protected]. 1 ,1 rois Pages penchèrentd'uncoupenchuchotant;des un employécomptabledes environs.Et eutlevaguedésirdeseretirer,cequ'elle NOS GRANDES ENQUÊTES joncssifflaientet, toutdroitsaumilieudes chaquejourla femmedecedernieretsa démontraparunefroideurglaciale.Lepau- remuaientfaiblement. fillette,timideet farouche,venaientappor-vreAlphonsenesavaitquefairepourdé- Faut=il Antiques plantesabaissées, père, mari,danslebu- geler princesse,le roi Edouardet la créer Mais-desabeilles,plusnombreusesque tersonrepascommandantau au sa témoinsde l'entrevue lesgrainsdanslamaindusemeur,sabatti-reàudu Lockroy. reineAlexandra, Ministère des Beaux»Aris rentsoudainsurlespelouses.Ellesscintil- Cettepetitefilleestaujourd'huiiagloire,étaientsurdescharbonsardents,laprin- un ? 1 laientdanslalumière;l'airétaitemplid'un del'arttragiquefrançais: c'estMmeSe- ,esseVictoria,gênéeet navrée,détour- LAFlotte d'Alcibiades grandsusurrement.Posées borddes gond-Weber. naitla tête. au ailesfré- Toutà couple jeuneroise levad'un lVousavonsreçudenouvellesetinté- (HenriMaiôe?,tiùb* j (Etudetechnique.) calices,ellesbutinaient,et leurs - bond,vint la Victoria luide- i Sur missaient,invisibles.Ellesrebondissaient NOSARTISTES à blonde et ressantesyêponsesà l'enquêtequenous la merlesgalèrestournaient.Les d'unefleursurl'autrecommedelégères mandaà brûle-pourpoint: avonsouverte,auprèsde nombreuses stresd'or se ruaient avantett l'eau étincelles,sansseheurter,jamais,enune (PliotoReuflinger)—Voulez-vousêtrereined'Espagne? personnalitésdumondeartistiqueet lit- ouvrait desz:,en Elles près-! parfaiteordonnance.Etpareillesà desgla- Interditelaprincesserépliqua: téraire, laquestiondesavoirs'il ausoc proues. se travaillaient Maisla estdestinéeà Pa- sur con- tientcommedegrandscygnesvermeils; neusesdiligentes,elles en tricia.- couronne vientdetransformeren«département» nousavironss'élevaientetretombaientcom- vousautonomelesous-secrétariatdesBeaux- me? desailes.Lesvarechsrouxetl'écumechantant..« Ah!ditRhodope,laroséea distillele - N'importe,elleestà yous,si Arts., desMotstraînaientdansleursillage.Les.miel.» voulezdemoi. >'.)ilesdepourpred'écarlatesebombaient A.t'SERSTEVENS Ellevoulut. M.ANDREANTOINE commedespoitrines;etles oriflammespalpi- Et, grâceà cettedemandeen mariage '°tdans lèvent. contraireà touteslesrèglesdescours,la CherMonsieur, ux balustrades' articlede princessePatriciafutdélivréede in- desnefs,desboucliers, Nouspublieronsdemainun désirable» fiancé son«Es- Ilm'estbiendifficile'dememêlerpu- leuJrHdemétauxvermeils,étaientappen-, OLIVIERSEYLOR etle roiramenaen bliquementdeceschoses,parcequeje di- leroulisdesvagues,lesbattantcontre pagneuneépousedesongoût. suisjusticiabledes Beaux-Arts h charpentelesfa/saitrésonnercommedes en ma cloches.Lesboiseriescraquaient,lesensei-Le théâtre nsculpteurinspiré laProvence. (HenriManuel,phot.) gnesclaquaientdansl'air:deshérautsen { u Unefoisdeplus,par inspirer ~cialamideManchelesélevaientauboutdes coupé leMidiva hampes,surlecielbleu. en morceaux un artiste;en effet,l'éminentsculpteur, L0J apercevait merveilleuses, M.AntoninMercié,s'estrendudernière- avecav desvililes d'associa- mentenArles,pourexécuteruneMireille. M.C.CUICHEÏ desterrasseset desjardinspleinsde Onn'ajamaisparlédavantage Lemaîtrestatuairevoulaitavoirdes peintres,sculpteurs,hommesde leitre? ~rosesavecdesarcadeset desportiquesou tionqu'aujourd'hui.Dèsquedeuxperson- dèlesauthentiques mo- mSS arrêtésagitaientdesdraperies.nessetrouventréuniesdansla salled'un du pourmodelerl'héroïne ou musiciens,ne sonten principe Hlles se montraient galèresrapidescajédeprovince,ellesformenttoutaussi- grandFrédéricMistralEtl'onsaitque, desfonctionnaires.Ilsrestentindépen- Unniouvement aux Lts tôt syndicatde consommateurs.C'est dansla vieillecité,lesbeauxtypesfémi- dants.Or, nulplusqu'unindéjxnutn? étaient circulaire. rues un qu'au- ninsabondent. Surles ei?P^.esdecitoyensquichantaient.peut-êtrepourcelaquejamaisplus M.AntoninMerciévoulaitaussiexécuter n'abesoind'êtredéfenduetreprésenté, côtesdestrophéesd'airainsedres-jourd'huichacunn'a tenuà affirmersa sonœuvredansl'atmosphèreindispensable. LeministèredesBeaux-Artss'enchar- saient,avecdescolonnesdeparfumqui personnalitéavecunindividualismeplusen- C'estainsiqu'ilallaadmirerlesAliscamps, geraavec plusd'autoritéquele sous. s'épanouissaientdansle ciel.L'endistin-ragéetplusintransigeant.Qu'ils'agissede .«ycompagniede secrétariatdesBeaux-Arts.Ce n'estpas gaitdesadolescents"nus dansersurlarive politiqueoudethéâtre,chacunveutêtre -Cigale, sonjeunecamaradedela en des claires desviergesstul,et coopérationn'existeplusausiècle le distinguépoète,M.Roux-Ser- une questionde personnes,c'estune éperduesa armes et la vine,Arlésiendenaissance. questiondegrade.Endiplomatie,làoù DevantlesSecouertemplesleursbelleschevelures.dusyndicalisme. Et l'ordesfeuilles,tombées les' il parfoisun; desprocessionsévo- Actuellement,nousavonsautantde ventsd'hiver, sous y a un ministre,on met luaient:les Ç°Pyléesouvertesmontraientgrandesscènesqu'ily a degrandsacteurs augmentaitlapoésiedulieu ambassadeur.En art, là où il y a un J lesdieuxassiou appuyéssurleurlance,et,surchaquescène,onnenousdonneque sublime. sous-secrétaire,ondoitmettreimminis- Cependantsurla galèrecapitaine,Alci-despiècesayantunseulrôleintéressant. tre. Lesbelles-lettresfrançaisesy ont- biadessongeaita* desgardessoule-Uncomédienouuneactricedignesdece H sroïsmed'unepetitedanseuseanglaise. droit. GUSTAVEGUICHES. vaientau-dessusV Satêteunpavaisd'é- nomnesauraienteneffetsupporterà côté Avant-hier,au théâtrede Chester- toffe.Asadr01te\Chrysogonus,lesjouesd'euxle moindrepetitartisteayantduta- held,unedesgirls- quidevaientparaître M. GAGLIARDINI enserrésdansun\,rnasquede cuir,souf-lentet sefaisantapplaudir,nefût-ceque dansunnumérodedanses,mitaccidentel- Monsieur, flaitéperdument.Les sonsaltiersfleuris-cinqminutes.C'estpourceladuresteque lementle feuà soncostumede mousse- Je nesuispascertainqu'avecunn''? saientet surla flotte.Etles notrelittératuredramatiqueestaujourahui line. nistredesBeaux-Artsla politiquenese rameurs,sentantaiesourdreenleurcoeurla enpleinedécadenceet l'onnesauraiten : Unedesespetitescamaradessejetaaus- gloiredesréans,souleVaientlesramesmul-incriminerlesmalheureuxauteursquidoi- sitôtsurellepourtenterd'éteindrelesflam- (PliotoHenriMsr,ael* tiples: ellesbattaientleSflotslesretour-ventécriredesmonologuesencinqactes, mesquienvironnaientdéjàlapauvregirl. m naientcommedelaterrefécondeetremon-débitésparunpersonnageayanttoutesles Maiselleneréussitqu'àpartagerlesort --M.ANTOINE--- noretaientdel'aulistetes étinbelles.Laflûteso- vertusetl'âgeexactdel'acteurquilejoue. desacompagne. qualité excitait éner§iesquand Jenemesouviensque d'uneseulerepré- Et toutesdeuxmoururenthorriblement dedirecteurd'unthéâtresubven- ellesetaisaitles hommespoussaientî un sentationdonnéeparhasardauxFrançais, brûlées. tionné. grandcribondissantsurla^er- Alors,le ilyaunan,oùdeuxgrandesartistes,Bartet Votrebiendévoué, A ANTOINE. musicienlauréd'orenflaitlahtélodie;etles etSarahBernhardt,consentirentàjoueren- vieuxchantsd'AthènesPassaientenfrémis-sembleuneNuitdeMusset.Lerésultatfut L'INGENUE M. CARRIER-BELLEUSE presséssantsurauxlesbancsfrontmas>f^sen sueurrevoyaientLesrustres,admirable,maisnaturellementsanslende- Monsieur,
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