ANNEXE I Grille de dépouillement des observations recueillies, selon les thèmes retenus, lors de l’enquête publique portant sur la demande d’autorisation SIAH 1 Grille de dépouillement des observations recueillies, selon les thèmes retenus, lors de l’enquête publique portant sur la demande d’autorisation SIAH NB : Les thèmes retenus figurent en abscisse et les observations, courriers ou courriels figurent en ordonnée. Une croix est portée au regard de chaque observation ou courrier lorsque le thème retenu y est évoqué. THEMES 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 AVIS Commentaires → de X Compléments apportés sur autres problématiques ou précisions importantes intéressant l’enquête développées dans l’observation, le courrier ou le courriel. : choi tension entension X précautions phréatique tension. La - X LE ervations PRIME tension X X tension X transfert Obs d’e ou mails -- Courriers FAVORAB la base chantier la base chantier NON E DEFAVORABLE intégration paysagère Autres problématiques e projet architectural et sone architectural projet et Concertation et information L Le dimensionnement du projetLe dimensionnement du s nuisances duess nuisances à l’e fonctionnement (odeursfonctionnement et bruits) protection de la nappe Lesà l’e dangers dus Le humides et respect des zones la méthanisation. Risques La de canalisation construction de la Le chantier de l’e Le Les itinéraires d’accès et de sortie de Leset itinérairesde de d’accès sortie REGISTRE DE BONNEUIL EN FRANCE Obs 1 X X X X X X X X X Mme FERRACCI-CAMPILE de Dugny a remis deux observations écrites : PREMIERE OBSERVATION : Opposition circonstanciée au projet de réalisation de l’extension de l’usine de traitement des eaux usées et boues de Bonneuil en France (Val d’Oise) ; impactant le territoire de Dugny, (Seine Saint-Denis), par le Syndicat (dit « mixte ») d’aménagement hydraulique des vallées du Croult et du petit Rosne. Le Rôle du SIAH de Bonneuil en France Le Syndicat crée par la Loi de 1901, dont le siège social se trouvait à Paris (18°) 17, rue Capron, est devenu Syndicat mixte en 2009, dont les statuts portaient Mission : « lutte contre la pollution et lutte contre les inondations » - « priorité donnée aux habitants du siège ». En 20014, il se trouve transféré à Bonneuil en France (Val d-Oise) où s’est tenue la première réunion du Comité du SIAH, au cours de laquelle, le 21 Mai 2014 a été nommé le Président- actuel- et les Vice Présidents, et membres élus, tous du Val d’Oise. Dugny et ses élus n’en font pas partie. Nous découvrons qu’au cours de cette réunion, le Président qui avait démissionné de sa fonction de Maire de Louvres (Val d’Oise) avait argué de « l’indispensable extension d ’épuration des eaux usées pour accompagner l’essor « sociaux-économiques de l’Est du Val d’Oise, et la reconquête de la qualité des « eaux, et la lutte contre les pollutions diffuses » N.B- II s’agissait d’une « extension sur le territoire du Val d’Oise » Vouloir aujourd’hui impacter le territoire de Dugny (Seine Saint-Denis) pour protéger cours d’eau et foncier des communes du Val d’Oise, adhérentes à ce Syndicat, c’est inadmissible pour les citoyens contribuables Dugnysiens ! - ce qu’ils dénoncent très légitimement. Pas d’information préalable- Aucun affichage du projet pour les dugnysiens. Alors que ce projet impactant Dugny avait déjà fait l’objet d’une enquête publique, et que nous nous étions rendus en Mairie de Bonneuil en France, nous demandons à Monsieur le Commissaire enquêteur de bien vouloir se procurer l’enquête de son prédécesseur qui avait conclu au rejet du projet. II est à rappeler que le porteur du projet a obligation d’avoir à informer préalablement les habitants de Dugny - porteur du projet, le Président du SIAH-, alors qu’un tel projet viserait à faire supporter à tous les Dugnysiens toutes les nuisances et dangers d’une extension dont-ils n’ont pas l’utilité- II est bon de rappeler chaque fois, que Dugny n’est pas adhérente du SIAH. Le porteur du projet, le Président du SIAH, ne pouvait ignorer de par sa qualité, et ayant été un auxiliaire de Justice avant son arrivée à Louvres, que Dugny ne pouvait être concernée par un projet dont elle n’avait pas l’utilité. Pourquoi la commune de Dugny, par son silence à l’égard de ses concitoyens et des élus Municipaux, a-t-elle occulté son devoir d’information préalable en application de Art L2224-8 du CGCT ? - ou bien parce qu’il aurait été gênant de rappeler à nos voisins du Val d’Oise la précédente enquête publique de rejet du projet ? Autant de questions qui réclament la transparence. Les problèmes que l’on tend d’évacuer sur Dugny, non adhérente au SIAH. Tous les transits prévus pour une telle opération d’envergure, dont Dugny n’en a pas l’utilité, il est à noter que toutes les dispositions de la 2 THEMES 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 AVIS Commentaires → de X Compléments apportés sur autres problématiques ou précisions importantes intéressant l’enquête développées dans l’observation, le courrier ou le courriel. : choi tension entension X précautions phréatique tension. La - X LE ervations PRIME tension X X tension X transfert Obs d’e ou mails -- Courriers FAVORAB la base chantier la base chantier NON E DEFAVORABLE intégration paysagère Autres problématiques e projet architectural et sone architectural projet et Concertation et information L Le dimensionnement du projetLe dimensionnement du s nuisances duess nuisances à l’e fonctionnement (odeursfonctionnement et bruits) protection de la nappe Lesà l’e dangers dus Le humides et respect des zones la méthanisation. Risques La de canalisation construction de la Le chantier de l’e Le Les itinéraires d’accès et de sortie de Leset itinérairesde de d’accès sortie Loi sur la Santé sont bafouées dans leur intégralité. De même pour les dispositions qui relèvent de la Sécurité, surtout quand, depuis 1994, Dugny s’est trouvée de plus en plus enclavée par des aménagements inconséquents. Ainsi camions de chantiers, camionnettes, les + de 3t5, transitent déjà par les petites rues communales, et venant pour la plupart du Val d’Oise, pour éviter les feux de croisement de la Départementale qui traverse Dugny, jour et nuit, et ce, tandis que Bonneuil en France s’est préservée en ayant mis la route de Bonneuil en France (qui partait de Dugny) en sens interdit pour les Dugnysiens. L’Etude d’impact Dans cette étude sont occultés bien des points essentiels, comme les constructions existantes et les constructions déjà prévues : crèche rue Lorenzi, la future Mosquée, laquelle sera aussi obligatoirement impactée par la canalisation de rejet vers Garges -Epinay (Val d’Oise). Il est d’ailleurs important de souligner que ce terrain, cédé à la communauté musulmane, porte la dénomination « les pieds dans l’eau », et pour cause ! - nous y reviendrons- mais il faut rappeler que ce terrain a pour classement « terrain en friches », et qu’il est classé Natura 2000. Par voie de conséquence il devrait être non constructible- et, comme en d’autres endroits de Dugny, les mouvements de terrains sont prévisibles pour la construction des canalisations de rejets avec servitudes imposées. Ne sont pas prises en compte les nuisances olfactives, visuelles, et la prolifération d’insectes nuisibles. Pour les nuisances olfactives, aucune étude n’est portée sur les vents dominants, et vents d’ouest vers le centre des Dugny, mais aussi les incidences nuisibles sur les 200 logements en cours de construction, les petites habitations rue Albert Chardavoine, qui déjà sont obligées de demeurer fenêtres principales fermées aux beaux jours, en raison d’écobuages et d’autres, côté parc sur le territoire de Dugny, de même que pour les petites maisons de la rue Tredez. Depuis 1994, les moustiques ont proliféré dans cette rue Albert Chardavoine, en raison de ce que nous avons appelé, jusqu’en fin juillet 2018, pour l’heure, « la mare au diable », l’eau stagnant aux marches d’entrée du collège (voir justificatif photographique joint). Alors qu’en sera-t-il avec le bassin de rétention ouvert de 980m² ? (Insectes nuisibles, nuisances olfactives) ? Incidences sur les nappes phréatiques. De part et d’autre, la ville de Dugny est traversée en différents endroits dans son sous-sol, outre les vestiges archéologiques- voir rapport à la Direction des Affaires Culturelles. Ministère de la Culture-, par des rivières et rus qui ont été déviés, soit canalisés, ou comblés. Ces nappes phréatiques se situent bien souvent à moins d’un mètre, comme dans le jardin de la propriété du 8, rue A. Chardavoine, au square devant la Maternelle Cachin, au sous-sol de l’ancien cimetière, dans la rue Emile Zola…etc.… sans oublier les petites copropriétés pavillonnaires du quartier l’Hermitage constitué de remblais ? Tout comme les copropriétés de la rue Tredez où passait la Morée jusqu’aux années 1970. Il y a aussi la proximité des jardins familiaux de Dugny- leur a-t-on fourni les résultats des prélèvements des eaux et des boues ? Aucun document relatif à ces prélèvements n’est porté au dossier d’enquête publique. Nous demandons à Monsieur le Commissaire enquêteur de bien vouloir en demander communication. Dans le Code de l’Environnement et en prévision des débordements, en France on nettoie les cours d’eaux- qu’en est-il à Dugny, où se situe la réhabilitation et la lutte contre les pollutions ? -Et dire que la Région Ile de France, dans les années 1970 avait établi un gros document établissant la « coulée verte » tout autour du territoire de Dugny ! Dugny devrait-elle devenir une autre FAUTE SUR MER(Vendée) par des projets démesurés qui ne la concerne pas ? Le 1er Février 1940, au lieu-dit le Hazeret (nom d’une rivière) l’inondation avait menacé les habitants de ce quartier Dugnysien.