Conseil municipal séance du 11 juillet 2012. Le Conseil Municipal de cette Commune, régulièrement convoqué, s'est réuni au nombre prescrit par la loi, dans le lieu habituel de ses séances, sous la présidence de Madame Christiane GUICHERD, maire de la commune. Présents : Appartenant au groupe majoritaire : Christiane GUICHERD, Alain PARTRAT, Patricia MIQUET, Bernard LACARELLE, Yvette TARDIF, Françoise LIBEAU, Valérie BARET, Magali BERLIOZ, Bernard THOUVENEL, Jean MARIN, Michèle NICOLAS,Philippe SAUNIER, Sylvie FIORONI, Michel VEY, Franck SARRUS, Eric OUTHIER, Michelle HUVET. Appartenant au groupe non-majoritaire : Dominique BEUCLIER, Martine CHARLIER. Appartenant au groupe non-majoritaire : Maurice FONT. Procurations : Appartenant au groupe majoritaire : Jack CHEVALIER donne procuration à Bernard LACARELLE ; Pascal CAILLET ROUSSET donne procuration à Yvette TARDIF ; Bernard BEGUIN donne procuration à Alain PARTRAT. Appartenant au groupe non-majoritaire : Roger VIBRAC donne procuration à Dominique BEUCLIER ; Marie-Noëlle CESA donne procuration à Martine CHARLIER. Excusé(e)s : Absent : Monique GOLIASSE Secrétaire de séance : Eric OUTHIER Date de la convocation : 5 juillet 2012. Date d'affichage : 6 juillet 2012. 050/012 – ELECTION D’UN NOUVEL ADJOINT. Madame le Maire expose au conseil municipal la démission de M. Pascal CAILLET-ROUSSET de son mandat de septième adjoint de la commune de St Laurent de Mure. M. CAILLET-ROUSSET conserve son mandat de conseiller municipal. M. le Préfet du Rhône, dans un courrier du 2 juillet 2012, a accepté cette démission qui a pris effet à cette même date. Il y a lieu de procéder à l’élection d’un nouvel adjoint. Conformément à l’article L.2122-10 du code général des collectivités territoriales, il est proposé au conseil municipal de décider que le nouvel adjoint occupera, dans l’ordre du tableau le même rang que M. CAILLET-ROUSSET, soit le septième rang. Selon l’article L.2122-7 du code général des collectivités territoriales, l’élection au scrutin secret et à la majorité absolue des suffrages pour les deux premiers tours, au scrutin secret et à la majorité relative des suffrages en cas de troisième tour. Sont candidats : Est candidat pour le groupe majoritaire : Philippe Saunier Est candidat pour le groupe non majoritaire : Dominique BEUCLIER Le candidat du groupe majoritaire obtient 21 voix Le candidat du groupe non majoritaire obtient 5 voix. Vu l’article L.2122-10 du code général des collectivités territoriales Vu l’article L.2122-7 du code général des collectivités territoriales. Le Conseil municipal, après avoir discuté, délibéré et voté au scrutin secret à la majorité (21 voix pour) : - DESIGNE Philippe Saunier comme septième adjoint Et madame le Maire a ensuite installé monsieur Philippe SAUNIER en qualité de septième adjoint. 1 051/012 – EXERCICE DES MANDATS LOCAUX : INDEMNITES DE FONCTIONS DU MAIRE ET DES ADJOINTS SUITE A L’ELECTION D’UN NOUVEL ADJOINT. Madame le Maire expose que l’article L.2123-17 du code général des collectivités territoriales pose le principe de la gratuité des fonctions de Maire, d’adjoint et de conseiller municipal. Néanmoins, les Maires adjoints et conseillers municipaux peuvent bénéficier d’indemnités de fonctions. C’est au conseil municipal qu’il appartient d’en déterminer le montant. Lors de sa séance du 14 mai 2008, le conseil municipal dans la délibération n° 46/2008, a décidé que l’indemnité de fonction du Maire est fixée à 55% de l’indice brut de traitement 1015 et que l’indemnité de fonction des adjoints est fixée à 22 % de l’indice brut de traitement 1015 en application des articles L.2123-20, L.2123-23 et L.2123-24 du code général des collectivités territoriales. Cela représente, à ce jour, une indemnité brute mensuelle de : - Pour le Maire : 2 090,80 € - Pour un adjoint : 836,32 €. Il convient, lors de l’élection d’un nouvel adjoint, de faire délibérer de nouveau le conseil municipal. En effet, il est de jurisprudence constante qu’une indemnité ne peut être versée que si l’assemblée délibérante en a déterminé les bénéficiaires, ainsi que le montant. En outre, toute délibération du conseil municipal concernant les indemnités de fonction d’un ou de plusieurs de ses membres doit, conformément à l’article L.2123-20-1 du code général des collectivités territoriales être accompagnée d’un tableau annexe récapitulant l’ensemble des indemnités allouées aux membres du conseil municipal, ledit tableau semblant devoir être nominatif. Nombre Indemnité mensuelle brute par mois (pour un mois complet) Maire, 1 2 090,80 euros Christiane Guicherd Adjoints 8 836,32 x 8 = 6690,56 euros 1. Alain Partrat 836.32 euros 2. Patricia Miquet 836.32 euros 3. Bernard 836.32 euros Lacarelle 836.32 euros 4. Yvette Tardif 836.32 euros 5. Jack Chevalier 836.32 euros 6. Françoise Libeau 7. Philippe Saunier 836.32 euros 8. Valérie Baret 836.32 euros TOTAL 8 781,36 euros Le Conseil municipal, après en avoir discuté, délibéré et voté à l’unanimité (26 voix pour) : - DECIDE d’attribuer à Madame le Maire, les indemnités de fonction prévues par les textes réglementaires, au taux maximal soit 55% de l’indice brut de traitement 1015. - DECIDE d’attribuer aux Adjoints, les indemnités de fonction prévues par les textes, au taux maximal soit 22% de la rémunération afférente à l’indice brut 1015. 2 052/012 – APPROBATION DU PLAN LOCAL D’URBANISME (PLU). Mme le Maire rappelle : * les raisons qui ont conduit la commune de Saint Laurent de Mure à décider d’engager l’élaboration d’un Plan Local d’Urbanisme (PLU) sur l’ensemble de son territoire communal, * les adaptations faites au projet de PLU depuis son arrêt afin d’intégrer les remarques émises par les Personnes Publiques Associées ainsi que les conclusions du Commissaire Enquêteur. Vu les articles L.123-1 et suivants et R.123-1 et suivants du code de l’urbanisme ; Vu la délibération du Conseil Municipal en date du 30 mars 2005 prescrivant la mise en révision du POS et sa transformation en PLU ; Vu la délibération du Conseil Municipal en date du 22 décembre 2010 arrêtant le projet de PLU et tirant simultanément le bilan de la concertation ; Vu l'arrêté municipal n°11175 du 21 avril 2011 prescrivant l'ouverture de l'enquête publique relative au projet de PLU ; Vu les remarques émises par les Personnes Publiques Associées suite à l’arrêt du projet de PLU ; Vu le rapport et les conclusions du Commissaire Enquêteur ; Considérant que les remarques effectuées par les Personnes Publiques Associées et les résultats de l’enquête publique justifient des adaptations mineures, présentées dans la note annexée à la présente délibération ; Considérant que le projet de PLU tel qu'il est présenté au Conseil Municipal est prêt à être approuvé, Le Conseil municipal, après en avoir discuté, délibéré et voté à l’unanimité (26 voix pour) : - APPROUVE le Plan Local d’Urbanisme. - DIT que la présente délibération sera soumise aux mesures de publicité et d’information édictées aux articles R.123-24 et suivants du Code de l’Urbanisme. Conformément aux dispositions des articles R.123-24 et R.123-25 du code de l'urbanisme, la présente délibération fera l'objet d'un affichage en mairie durant un mois. En outre, mention de cet affichage sera insérée en caractères apparents dans un journal diffusé dans le département. Cette délibération fera également l’objet d’une publication au recueil des actes administratifs de la commune. Conformément aux dispositions de l’article R.123-25 du Code de l'Urbanisme, le PLU approuvé est tenu à la disposition du public en Mairie à l’accueil du Service Urbanisme aux heures et jours habituels d'ouverture de ce service. Conformément aux dispositions de l’article R.123-25, la présente délibération est exécutoire de plein droit à compter de l’exécution de l'ensemble des formalités de publicité précitées. 053/012 – INSTITUTION DU DROIT DE PREEMPTION URBAIN. Madame le Maire expose que dans le cadre des dispositions de l’article L.211.1 du Code de l’Urbanisme, les communes dotées d’un P.L.U. approuvé, peuvent, par délibération, instituer un Droit de Préemption Urbain (D.P.U.) sur tout ou partie des zones urbaines ou d’urbanisation future de leur territoire. Ce droit de préemption permet à la collectivité d’acquérir à l’occasion de leur mise en vente par leur propriétaire, certains biens en vue de la réalisation d’actions ou d’opérations tendant à : - mettre en œuvre un projet urbain, - mettre en œuvre une politique locale de l’habitat, - organiser le maintien, l’extension ou l’accueil des activités économiques, - promouvoir les loisirs ou le tourisme, - réaliser des équipements collectifs, - lutter contre l’insalubrité, 3 - sauvegarder et mettre en valeur le patrimoine bâti ou non bâti, - permettre le renouvellement urbain, - constituer des réserves foncières. Par délibération en date du 11 mai 1989, le Conseil Municipal avait institué ce D.P.U. sur les zones U et NA du POS. Cette délibération va devenir caduque du fait de la révision du P.O.S. sous forme d’un P.L.U. que le conseil a approuvé dans sa séance du 11 juillet 2012. Il convient donc que le Conseil Municipal délibère pour instituer à nouveau le droit de préemption urbain sur les zones U et AU de la commune afin de permettre la réalisation d’opérations qui entreraient dans le cadre de l’exercice du D.P.U. tel qu’il a été défini ci-dessus. Le Conseil municipal, après en avoir discuté, délibéré et voté à l’unanimité (26 voix pour) : - DECIDE d’instituer le Droit de Préemption Urbain (D.P.U.) sur les secteurs suivants : . zones urbaines: ensemble des zones U .
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