Dam Breudeur L'aziel Holland Pieil-De-Fer

Dam Breudeur L'aziel Holland Pieil-De-Fer

Deuxième Année — № 44 El-ujc* Gwennek — Cin^l OeiJLtiirLes JOLR.YU HK(,10\ALISIt ПК1ШОЛ1ЛПЛ1Н1: Rédaction et Administration dp la Hue des Carmes, CAIÏHAIX BRETAQIVK Ot des. CORNOUAILLES llrctoilN lCiiii^iés TARIF des INSERTIONS : Ann.etRool.,4ep. Of.20laligne FRANCE; . 1 an. 3 tr. 50 ' — 3«— 0 25 - ÉTRANGER. — . 5 — Chronique Locale 0 50 — Àvòo "Ar Vro" Hoven Mensuelle En Echos. .... 0 75 — FRANCE. 1 un ... в tr. ETRANGER. 9 - On traite aussi à forfait. Les Les Abonnements sont payables tetnAi/ences et Voyler, Ilavas, Genève-Zurich, Paris, et Haasens- re­ d'avance Rédacteur en • Chef W, Jaffrenuou " Taldir " çoivent aussi nos Annonces. Tout ohangomont d'adresse sera accompagno ilo О Гг. Г» о omit, Les manuscrits no sont pas on Thnbros-Posto, " EvM аг Vro lire ë Röhl " " Fraiikiz da beb Barn ! " rendus da veza l'aziet gand liuvreou dis d'alcoolique, est un mentout ou un ignare. Bretons. Ce sont : le lieutenant Robin, brezel : spouronuz eo d'emp sonjal er kiant. 29 ans, de Brest ; Le Sauze, 23 ans, de Sur quelle argumentation eos écri- Echos et Nouvelles bloa 70, ha sonj^J c'hoaz hirie en brezel Doaniuz oo gwelcl brema keinent Crac'h, Morbihan ; Rolland, 20 ans, de ar Mandchouri. a Vrotouned, a •skiant vraz kouls- vassiors basont-llslours dires 11ls vous Tréssigneaux, Côtes-du-Nord ; Simon, diront qu'ils ont. voyagé en Bretagne, Koulskoude yo red, moarvad, araog koudo, o lakaat o gwiziogoz da Nos Ardoisières 20 ans, de St-Brieuc ; Hénalf, 23 ans, de peli amzer, kemer an armou ha niond skoazolla ann divroidi, tía rol d'e- Mais pour eux, la Bretagno ce sont IJBS Lambezellec, Finistère ; Arzel, 20 ans, villes d'eaux, les trous pas cher au bord L'industrie de l'ardoise a été pendant da vrezelli. zo ann dourn ovit kroitga o ínanun- au moins 25 ans à l'état rudimentaire de Locmaria-Plouzané, Finistère ; Bou- Bea zo bet diquganet penoz, er bloa- de la nier, les cités sardinières... et U est geard, 27 ans, de Guichen, Ille-et-Vilai- vro Hreiz-lzol! certain qu'ils ont dû y renffontr/4* îles ,en notre pays. Une carrière était ouver­ vez 1907, a vô brezel être Franz hagan Ar politik louz, arc'hant da foeta, te, -i ou 3 ouvriers y travaillaient à ciel ne ; Le Floc'h, 26 ans, de St-Yvi, Finis­ Alamagn. Hervez an diougan, zoudar- ivrognes, en quantité môme. Mais cela tère. onorlou diot ar bed, a zou muioe'h prouve quoi?... Il y a des ivrognes par­ ouvert avec le patron, qui lui-môme det an Impalaer Gwillerm a z\$kenpr> nuil bomdoz dtv groski aun nivor tout, particulièrement parmi les portu était locataire et peu fortuné. Nos infirmières XXo sièole en Franz war dro miz Gouere 1907. Mez hâtions entières, et plus peut-être sur Quand les eaux ou les effondrements Gwillerm vo maro raog erruout dirak euz hor broudour l'aziot hag o gwO- sur les matériaux découverts arrivaient Les religieuses qui remplissaient Paris. les eûtes normandes qu'en Bretagnej... avec tant de dévouement le role de gar­ led a roomp o sovol kazetennoU da à suspendre la besogne, tous, patron et Koulskoude an hini a gemerò ar J'ai rencontré dos hommes de mer ivres de-malades dans les Hôpitaux ont été skuilt ar gasoni o kaloiin ariaouan- ouvriers quittaient la carrière ; pour­ renadur war e lerc'b a zeuio en Pariz, on Irlande, en Angleterre, dans tous fes remplacées par des infirmières laïques. kizou. quoi ï la raison est toute simple, c'est an trec'h gantan, en miz eost. Laret zo ports... ISn Norvège, l'ivrognerie étfiit Or, sait-on ce que l'on exige mainte­ Da ziwall o douz koulskoude ovil- passée à l'étal d'habitude journalière qu'à ce moment le patron était un sim­ bet ive penoz en amzer-ze kear Pariz а ple ouvrier revenu do Chûteaulin bu nant des postulantes avant de leur dé­ vo distrujet gant Bretoned. Sonj bon lio lío-unan, rag abaouo ma roer jusqu'au jour où fut publiée la bienf li livrer le diplôme d'infirmière? On ne le « Bara, Laez, ha Librante. » brezel d'ar felz e kresk ann nivor santé loi que l'on sait contre les boni d'Angers, et qui avait le grand tort, \ deus penoz ive er bloavez 70 meur а même en cas d'initiative, de manquer croirait pas, si ce n'était la vérité mô­ Girlou lavarel yant: AN Toun u'Auvimax euz ann torfejou hag euz a bop seurt mes rencontrés sofils. balezoa bet distrujet, erGear-Veur, gant do fonds pécuniaires et de connaissan­ me. ar C'homunarded. falloniou, drelst-holí e-touoz ar re Peu leur Importe dotic que le Russe ces techniques. Les jeunes postulantes doivent faire An hini a vevo a welo... iaouank a zo otre aun oau a zrizek et le Polonais s'abreuvent d'eau-de-vio Depuis 4 ou 5 ans, une poussée su une séance de douches sur des hom­ Bea zo eun dioujan koz-koz pehini, ils ne noteront qu'une chose de leur da ugent vloaz. O bugale lío-unan porbo a été tentée ot réussira sans nu mes, puis passer dans le costume d'Eve en gwirione, a lavar penoz kaer Pariz а passage sur nos côtes : le Breton est ivoz ota a vezo tizet, hadivozatoc'h — — • ucudeux visites aedevanv t une commission de vo distrujet gant an tan pa zigoueo d'ei Dam breudeur l'aziel alcoolique. o skuiUint daelou c'hoero ; ro zive- doute en faveur dos ardoisières du pays médecins, tout comme de simples bea mengleuziet evel eur goloen wenan Sont-ils alcooliques ces vingt miillo zad o vezo neuze,' m'oar vati, lava- de Garhaix. Dix ou douze carrières sont I conscrits au conseil de Révision. ha pa skoio ar c'hezek tan dre zindan о marins do la Hotte do guerre française f en bonne exploitation. Sans parler des C'est une prime pas chère que de lost. Hreiz-Izel n'eo bot biskoaz ken rot mea culpa, rag al louzou fall, Sont-ils alcooliques nos marins do com­ ma к rogo ut buan enn (Indienti, n travaux récents du Moulin-Neuf, en vieux birbes accordent à leur immora­ gwasket eged or mare-ma. lío ovad, merce l Sont-ils alcooliques ces pauvres MotrefV, il y a lieu de noter que plus lité. Moarvat an diouganer koz na zonjas zo tlioz braz avad da ztc'lirlzienna pécheurs quo la Société Centrale \de biskoaz e vije kiri-tan. En e zonjezonou, a lavaro lod ; d'ann dlspao'h vraz, de 10 industriels fournissent également La ligne de Carhaix i la Brohinièra ar brozel, an tan-gwall, ar gwillotin, goude. Lenii eur gazeten diyrezo- Sauvetage îles Naufragés décore et féll dos valeurs ardoisières pouvant rivali­ ben a wele gweturiou о vomì gant a ha «pa na vo ken, a reno e pep nek a zo awalc'h evit skigna ann cite par centaines, tous les ans, poui ser avec plusieurs carrières d'Angers Au nombre des lignes |à voie étroite foeltr ha tan o strinkal deus rerar c'he­ droug-ioulou, ha ìneur n gazeten des actes inouïs d'héroïsme {S'ils étaient et de Chàteaulin. qui rayonnent autour de Carhaix figure zek а оа o sacha ano. Tost eo d'ar wi- leac-h e lireiz-lzel ! Skrijuz oa beva rione, memez tra. enn amzer-zo ! vad a vezo rankot sevel da c'houde aussi' alcoolisés que nos modernes écri­ Le 14 Juillet* Paris ia ligure la ligne de Carhaix à laBrohi- ovit dic'hrizlonna labour liounuoz vains qui n'accouchent de leurs élueu- nière, dont l'achèvement est prochain. Evit pez a zeli Pariz mengleuziet, tost Skrljuz, ma kirit, m'o pouz da la- brations qu'a l'heure de l'apôro, il y a La revue du 14 .luillctàLongchainpa Cette ligne rejoint à St-Méen la ligne oa c'hoaz d'ar wirione, rag gwir eo pe­ on hon eneb. été favorisée par un beau temps. kaat enn araok ar spount ouz ar beau temps que notre race aurait dis­ de (Juestembert à laBrohinièreet, pour noz hirie kear Pariz zo kleuzet a dreuz maro. Med potra oo ar maro d'eur Setu perag e kredann goulonn paru.... Un incident s'est produit au défilé de­ la partie commune, on avait proposé, hag a hed gant ar Metropolitan, an gwlr Vretoun '( Eur .spount? Nán, digant va breudeur a zo on om fa- vant les tribunes. dans un but d'économie, de,ne pas faire tuelennou gaz, ar bolzou loustoniez, ha Sont-ils alcooliques ces paysans des L'apparition du général Porcin, l'un rag ar gwlr Vretoun a vev dire- zlot, elioni a za ar o'iienta ar gwel- Terres Centrales de l'Arinoriquo, dont do voie distincte pour la ligne de Car­ me oar '( des plus célèbres ficharils, à la tète de haix, mais de poser un troisième rail Daoust hag hen welfomp en 1907 beeh, a gar Doue ha# e nosa, ha la, po hi ho iman о dovezo eur le breuvage journalier consiste en ido sa division, soulève d'abord parmi les dre ze n'euz maro obet hag ben la- c'heuz braz, dìzale. l'eau pure ot du lait, nous en savons entre ceux de 1 autre voie qui est nor­ dismantr Pariz evel m'eo bet diouganet? spectateurs un grondement significatif male. kafe da grena. bien quelque chose} Sont-ils alcooli­ précurseur de la tempête de colère qui PUR PRONOST. On comprend la gêne que cela aurait Eur Morton daouzek gwech muntrer ques ces ouvriers do nos petites villes allait saluer son passage.

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