Joan Francés Blanc LOS AUJÒLS D'ELISABÈT DE BRANDOIN LES ANCÊTRES D'ÉLISABETH DE BRANDOUIN ELISABÈT DE BRANDOIN’S ANCESTRY 11. NÒTAS (6: SOSAS 5 136 952 A 20 780 049) 2012 Los aujòls d'Elisabèt de Brandoin - 11 Joan Francés Blanc, Los aujòls d'Elisabèt de Brandoin. 11 – Nòtas (6: Sosas 5 136 952 a 20 780 049), <http://blanc.mfoudi.online.fr>, 2012 ©2012 Joan Francés Blanc / Jean-François Blanc 2 Los aujòls d'Elisabèt de Brandoin - 11 ENSENHADOR DEL METEIS AUTOR........................................................................................................................................4 NÒTAS (6: SOSAS 5 136 952 A 20 780 049).....................................................................................................5 3 Los aujòls d'Elisabèt de Brandoin - 11 DEL METEIS AUTOR Jean Lafitte, Jean-François Blanc (eds.), Louis Alibert, Lexique français-occitan des gallicismes corrigés, online 1992 Joan Francés Blanc, Lexic occitan-chèc, Courbevoie, 1992 Joan Francés Blanc, Pichon lexic sorabe bas-occitan/Maly delnjoserbsko-okcitanski slownik, Courbevoie, 1993 Joan Francés Blanc,"Nueit de junh" in De quan panèren un peishic de pais, Editorial Pagès, Lleida, 1994, ISBN 84-7935-231-0. Joan Francés Blanc, Lexic anglés-occitan, En linha, 1996 Joan Francés Blanc, Lexic basco-occitan, En linha, 1996 Joan Francés Blanc,Pichon lexic d'informatica anglés-occitan (little english-occitan lexic of computer science), En linha, 1996 Joan Francés Blanc,"Onzadas" in Paraules dera tèrra, Editorial Pagès, Lleida, 1997, . ISBN 84-7935- 415-1 Joan Francés Blanc,"Extrach de cronica negra e blava dels jorns de Praga" dins Escrituras descobertistas : presentacion d'una jove literatura occitana, Lo Gai Saber, Tolosa, 1996 Joan Francés Blanc,Heisei, Princi Negre, Pau, 1999, ISBN 2-905007-42-7 Joan Francés Blanc,Enciclopedia dels drapèls, En linha, 2002 Joan Francés Blanc,Enciclopèdia dels drapèls, Segonda edicion, En linha, 2008 Joan Francés Blanc,(Collaboracion) Lexique thématique français-occitan. L'informatique. L'informatica, Institut d'Estudis Occitans, 2009, ISBN 978-2-859104-30-6 Joan Francés Blanc,Las lengas de Libor Sztemon. 2. Sorgas, Talvera, 2009 Joan Francés Blanc,"La Geografia fonetica d'una region d'Auvèrnha Bassa", in Albert Dauzat, Géographie phonétique d'une région de la Basse-Auvergne, Institut d'Estudis Occitans de París, 2010 Joan Francés Blanc,Lexic mrezisk-chèc-occitan, Talvera, 2010 Joan Francés Blanc,"Lo Glossari etimologic del patés de Vinzela", in Albert Dauzat, Glossaire étymologique du patois de Vinzelles, Institut d'Estudis Occitans de París, 2010 Joan Francés Blanc,Úvod do mrezisku, Talvera, 2010 Joan Francés Blanc,Lexic oromo-occitan e occitan-oromo, Talvera, 2010 Joan Francés Blanc,"Lo diccionari deu bearnés ancian e modèrn", in Vastin Lespy, Paul Raymond, Dictionnaire Béarnais ancien et moderne, Institut d'Estudis Occitans de París, 2010 Joan Francés Blanc,Heisei, Editions des régionalismes, Cressé, 2010, 2-84618-740-1 Joan Francés Blanc, Los aujòls de Moïses Joan de Pujòl, 7 vols., 2011 Lista complèta: http://jf.blanc.free.fr/publications.html Cobèrta: Acte de maridatge d'Elisabèt de Brandoin e Joan Pèire Bartés a Sant Joan de Janas lo 8 de febrièr de 1736 (registre BMS numerizat pels archius departamentals de Tarn) 4 Los aujòls d'Elisabèt de Brandoin - 11 NÒTAS (6: SOSAS 5 136 952 A 20 780 049) 5 136 952 : Sources: - personne: R. Sekulovich 5 136 956 : Sources: - personne: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/) - famille: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/) 5 136 962 : Le 16 octobre 2011, Roger était encore donné comme le fils d'Hugues de Boulogne et Aldegonde de Saint-Pol, inconnus des archives. "L'étude des origines du comté de Saint-Pol confine à l'utopie, tant les informations sûres font défaut avant 1100. Autant l'avouer d'emblée : la manière dont le premier comte de Saint-Pol a acquis son titre à l'aube du XIè siècle restera toujours un objet de spéculation. Un examen serré des éléments disponibles permet néanmoins de revoir les hypothèses anciennes et de dégager des certitudes fragmentaires. Les modalités de la dislocation du pagus carolingien de Thérouanne et de la formation concomitante des comté de Boulogne, Guînes et Saint- Pol se laissent en partie deviner. On peut cerner à gros traits le rôle du comte Roger en tant que "fondateur" du comté de Saint-Pol, ainsi que sa place sur l'échiquier politique du XIè siècle. Mais la fin de la période soulève d'énormes problèmes : les sources manquent à ce point que la généalogie comtale devient incertaine". Roger apparaît dans les chartes du comte de Flandre entre 1024 et 1067. Un acte non daté mentionne son épouse Hadvise (Haduis) et ses fils Manassès et Robert. Des deux fils, apparemment disparus avant leur père, seul Manassès paraît encore une fois en 1051 (D. Haigneré, chartes, t. 1, p. 26-27). [C-H.Maigret (J-F. Nieus. Un pouvoir comtal entre Flandre et France) 15 x 2011] [P. 43] "Les Baudouin-Arnoul de la branche cadette de la dynastie flamande font brusquement place à un comte Roger, d'ascendance inconnue." [P. 44] "Un aristocrate champenois bien marié ?" La seule chance d'éclairer les origines familiales du comte Roger se situe dans l'onomastique. Roger, Manassès, Robert ... Ces noms de baptême n'ont rien à voir avec la famille comtale de Flandre. Le fait n'a pas échappé à J. Dhondt et P. Feuchère qui ont tous deux suggéré des rapprochements avec certains groupes familiaux de l'ancienne Francie. Après avoir écrit qu'il était "impossible de conjoncturer même l'origine de cette nouvelle dynastie", Dhondt a a pourtant émis l'hypothèse d'une parenté avec les comtes de Dammartin-en-Goële. Feuchère signale un comte de Montreuil appelé Roger au milieu du Xè siècle, mais songe surtout à des lignages comtaux de Champagne au sein desquels les noms de Roger et de Manassès sont utilisé à la fin du Xè siècle : Porcien, Omont-Rethel, Arcis-Ramerupt, Dammartin-en-Goële. Dans la foulée R. Fossier voit dans le premier maître de Saint-Pol "un chevalier peut-être apparenté à des familles de Champagne". Qu'en penser ? Si le nom de Robert - déjà bien diffusé avant l'an mil - est d'un secours limité, le binôme Roger-Manassès constitue en revanche un intéressant marqueur de parenté. On trouve quelques Roger dans des lignées de châtelains en Normandie et en Flandre au XIè siècle, mais la combinaison avec Manassès - nom biblique fort rare à cette époque - semble bel et bien favoriser l'hypothèse d'un provignement champenois. Plusieurs grands aristocrates répondant au nom de Roger ou de Manassès, unis par des liens de parenté avérés ou supposés, se partagent les charges comtales et épiscopales de la principauté en formation au tournant des Xè et XIè siècles. On citera par exemple la série de Roger qui rattache les comtes de Laon de la première moitié du Xè siècle aux comtes de Porcien du siècle suivant. Roger III, actif dans le Porcien vers les années 970-980, était l'allié de Manassès Ier d'Omont-Rethel et probablement son parent. C'est une piste envisageable. Roger est un rejeton de la haute aristocratie... On remarquera par ailleurs que son épouse, mentionnée à ses côtés dans une charte pour l'abbaye de Fécamp, porte le nom d'"Halduis" qui la relie à la noblesse la plus éminente. D'origine ottonienne, il s'était transmis aux Capétiens par le biais de la femme d'Hugues le Grand, fille d'Henri l'oiseleur. Hugues Capet et sa soeur Emma, mariée au duc de Normandie, eurent chacun une fille baptisée Hadwide, données l'une au comte de Hainaut, l'autre au comte de Rennes. Le nom s'est aussi propagé par la descendance de Robert le Pieux. Il se diffusera dans les familles de rang comtal et châtelain au fil du XIè siècle, 5 Los aujòls d'Elisabèt de Brandoin - 11 mais au début de la période, il exprime encore une proximité avec la dynastie capétienne. Le fils cadet - Robert, selon toute vraisemblance - tenait peut-être son nom de ses ascendants maternels. Une hypothèse parmi d'autres: Roger serait normand A mes yeux trois hypothèses pour l'implantation de Roger à Saint-Pol: - 1° la conquête de Saint-Pol par Roger ? - 2° l'inféodation de Saint-Pol à Roger par Arnoul, l'un de ses fils ou son suzerain ? - 3° l'alliance de Roger avec la fille, petite-fille ou une parente d'Arnoul, lui apportant Saint-Pol par mariage ? Ce pourrait même être une combinaison de ces points, par exemple une conquête entrainant un mariage suite à accord négocié ! Nous n'avons aucune réponse prouvée, mais je ne peux m'empêcher de penser comme J-F Nieus qu'"Une origine normande de Roger... ne peut- être totalement exclue." [Nieus, Pouvoir comtal, P. 53]. En effet le futur comté de Saint Pol se trouvait sur des territoires qui relevaient auparavent du Ternois, et étaient sous le contrôle d' Arnoul de Boulogne (de Ternois), territoires dont nous savons qu'un autre oncle, autre Arnoul, avait protégé façe aux normands. "Le contrôle des pays méridionaux était d'ailleurs indispensable pour Arnoul, dont la lutte contre l'influence normande fut un souci majeur durant tout son principat." [Nieus, Pouvoir comtal, P. 39] Or une charte non datée, mais probablement de la fourchette 1031 avant 1051, nous interpelle fortement: "Roger, comte du château de Saint- Pol", avec l'accord de son épouse Hadvise et de ses fils Manassès et Robert, soumet 1'abbaye Sainte-Berthe de Blangy (-sur-Ternoise) à celle de la Trinité de Fécamp." [Jean-François Nieus, Les chartes, P. 83]. Notons que Fécamp est une véritable capitale pour les ducs de Normandie, que l'abbaye bénédictine de la Trinité de Fécamp est une refondation majeure des ducs de Normandie Richard I et Richard II (avec l'aide du réformateur Guillaume de Volpiano), et que près de 200 kilomètres séparent l'abbaye de Fécamp (totalement en zone d'influence des ducs de Normandie) de celle de Sainte-Berthe de Blangy (située en zone d'influence des comtes de Flandres) ! Richard I, Richard II et Guillaume de Volpiano sont inhumés dans l'église abbatiale et après 1066 Guillaume Le Conquérant installera sa cours à Fécamp, à proximité de l'abbaye.
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