Dev Patel Nicole Kidman Rooney Mara LION Un film de Garth Davis Distribution Presse SND DISTRIBUTION DELPHINE OLIVIER 89, AVENUE CHARLES DE GAULLE TEL : 04 42 59 19 15 82200 NEUILLY-SUR-SEINE PORT : 06 89 09 57 95 TEL : 01 41 92 79 33 [email protected] WWW.SND-FILMS.COM SYNOPSIS Une incroyable histoire vraie : à 5 ans, Saroo se retrouve seul dans un train traversant l'Inde qui l'emmène malgré lui à des milliers de kilomètres de sa famille. Perdu, le petit garçon doit apprendre à survivre seul dans l'immense ville de Calcutta. Après des mois d'errance, il est recueilli dans un orphelinat et adopté par un couple d'Australiens. 25 ans plus tard, Saroo est devenu un véritable Australien, mais il pense toujours à sa famille en Inde. Armé de quelques rares souvenirs et d'une inébranlable détermination, il commence à parcourir des photos satellites sur Google Earth, dans l'espoir de reconnaître son village. Mais peut-on imaginer retrouver une simple famille dans un pays d'un milliard d'habitants ? NOTES DE PRODUCTION Tiré de "A Long Way Home", livre autobiographique de Saroo Brierley, LION est signé Garth Davis (la série TOP OF THE LAKE), sur un scénario de Luke Davies (CANDY, LIFE). Le film réunit Dev Patel (SLUMDOG MILLIONAIRE, INDIAN PALACE), Nicole Kidman (PADDINGTON, THE HOURS), couronnée à l'Oscar, Rooney Mara (CAROL, MILLENIUM, LES HOMMES QUI N’AIMAIENT PAS LES FEMMES), citée à l'Oscar, et David Wenham (TOP OF THE LAKE , 300). On trouve encore au casting Nawazuddin Siddiqui, Priyanka Bose, Tannishtha Chatterjee, Deepti Naval, et Sunny Pawar dans son premier rôle à l'écran. LION a été développé et produit par See-Saw Films (LE DISCOURS D'UN ROI, SHAME, TOP OF THE LAKE) en association avec Aquarius Films et Sunstar Entertainment. Le film est produit par Emile Sherman, Iain Canning et Angie Fielder, tandis que la production exécutive est assurée par Bob Weinstein, Harvey Weinstein, David C. Glasser, Andrew Fraser, Shahen Mekertichian et Daniel Levin. The Weinstein Company s'est très tôt engagé dans l'aventure de LION, au festival de Cannes 2014, à l'époque où il en était au stade du scénario. Il en a ainsi acquis les droits de distribution pour le monde entier (à l'exception de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande). Le film a été cofinancé par Screen Australia et Fulcrum Media Finance. Lorsqu'Emile Sherman et Iain Canning, de See-Saw Films, ont découvert le véritable périple de Saroo Brierley pour retrouver son village natal et sa mère biologique, ils ont aussitôt compris qu'ils pouvaient en tirer un long métrage d'une force peu commune. Une guerre de surenchères s'est alors engagée pour obtenir les droits d'adaptation du livre de Saroo. Grâce à sa filmographie de grande qualité et à sa volonté de produire une œuvre d'envergure internationale et fidèle à l'ouvrage, See-Saw a fini par remporter la bataille ! "C'est le genre de récit qui ne peut qu'émouvoir le public quand on le lui raconte", précise Emile Sherman. "C'est une histoire extraordinaire qui donne des frissons à quiconque la découvre. Elle fait écho à quelque chose de fondamental chez tout être humain – le besoin de connaître ses origines et son identité". Iain Canning ajoute : "C'est une merveilleuse histoire vraie. Dès qu'on en a entendu parler, on s'est dit qu'on devait en acquérir les droits. Emile et moi avons lu un premier manuscrit du livre de Saroo et on a été emballés par l'incroyable dénouement où Saroo finit par retrouver son village natal". Iain Canning et Emile Sherman ont proposé à Garth Davis de réaliser le film alors qu'ils étaient au festival de Sundance en 2013 pour la projection de la série TOP OF THE LAKE, coréalisée par Davis et Jane Campion (également coscénariste de la série). Les deux réalisateurs ont aussi été nommés à l'Emmy. Impressionné par le travail de Davis sur la série, Canning et Sherman n'ont pas hésité à lui confier la réalisation de LION. "On a suivi notre instinct. On avait le sentiment que Garth, même s'il n'avait pas encore réalisé de long métrage, était exactement le metteur en scène qu'il nous fallait", précise Sherman. "Il a vrai regard de cinéaste et il sait donner une formidable ampleur esthétique au film. Dans le même temps, c'est un brillant directeur d'acteurs. Il sait instaurer une véritable intimité entre les personnages et on voulait faire en sorte que le résultat soit réaliste et sans concession". "C'est un film qui parle des rapports familiaux, de ces liens profonds qui ne disparaissent jamais et qui donnent un sens à nos vies", poursuit-il. "Pour Garth, ces liens sont essentiels. En tant que réalisateur, il n'a pas peur des sentiments. Il prend les émotions à bras-le-corps, mais de manière réaliste, originale, intense. Il y a aussi chez lui une dimension spirituelle et une forme de fatalité dans son film. Le film parle de l'importance du destin et de l'espoir, et on était convaincus que Garth saurait mettre en valeur ces notions avec plus de subtilité que tout autre réalisateur". Canning précise : "Sur le plateau, Garth se comporte en véritable chef d'orchestre, non seulement avec les comédiens, mais aussi en insufflant générosité et énergie à ses décisions. Tous ceux qui travaillent avec lui se sentent rassurés et à l'aise et peuvent donc facilement explorer les moments de bonheur et de détresse de la vie". Réputé pour sa fidélité aux artistes, See-Saw Films poursuit sa collaboration avec Garth Davis en produisant MARY MAGDALENE, actuellement en préparation. Davis y dirigera Rooney Mara et Joaquin Phoenix. La productrice Angie Fielder d'Aquarius Films, à qui on doit WISH YOU WERE HERE, avec Joel Edgerton et Teresa Palmer, s'est engagée dans l'aventure. Il faut dire que Sherman et elle recherchaient un projet sur lequel collaborer. Avant même qu'il ne lui parle du film, Angie Fielder avait découvert le parcours de Saroo grâce à un article de presse qui l'avait fascinée. "Quand Emile m'a raconté qu'il avait obtenu les droits d'adaptation du livre, il ne m'a pas fallu plus de deux secondes pour prendre ma décision", assure-t-elle. "Il m'a ensuite expliqué que Garth Davis allait réaliser le film. J'admire son travail depuis longtemps, si bien que ce projet m'a emballée". "On ne pourrait pas inventer l'histoire de Saroo tellement elle est extraordinaire", renchérit-elle. "Elle a tous les ingrédients d'un grand film : de l'aventure, des dangers à surmonter, un périple à travers le monde et l'enchevêtrement de plusieurs époques. Et la trajectoire du protagoniste est profondément émouvante. Ce qui rend cette histoire très cinématographique, c'est aussi son formidable dénouement. Après des années de quête d'identité, loin de sa famille biologique, il a miraculeusement fini par retrouver son village natal, comme une aiguille dans une botte de foin". Déterminé à respecter la véracité du récit, Garth Davis s'est rendu à Calcutta et dans le village natal de Saroo tout en développant le projet. Il a d'ailleurs assisté à la première rencontre entre la mère biologique de Saroo, Kamla, et sa mère adoptive, Sue. Quelques scènes ont été tournées sur place et les proches de Saroo étaient les bienvenus sur le plateau. "C'était fondamental pour moi de m'imprégner autant que possible de la réalité de Saroo et j'ai donc tenté de suivre la voie dans laquelle il s'était lui-même engagée", note le réalisateur. "Je me suis baladé, seul, dans son village et j'ai essayé de me mettre dans la peau d'un petit garçon qui grandit là. Je me suis assis sur un banc à la gare de Burhanpur où il s'est réveillé, seul, et puis je me suis rendu à la gare principale de Calcutta où l'histoire prend tout son sens. J'ai moi-même des enfants et j'ai essayé d'imaginer un gamin de 5 ans tout seul là-bas, qui ne parle pas la langue des gens autour de lui… C'est à ce moment-là que j'ai pris conscience que ça allait être un film d'une grande force émotionnelle". Le scénariste Luke Davies a lui-même fait le voyage en Inde. Canning et Sherman avaient déjà travaillé avec lui sur LIFE d'Anton Corbijn et sur l'adaptation du propre roman de Davies, CANDY. "Comme on avait déjà collaboré avec lui sur deux projets, on savait qu'il avait la sensibilité correspondant à cette histoire", souligne Canning. Il se trouve que le scénariste avait découvert le parcours de Saroo sur Internet quelques jours avant que Sherman ne le contacte et qu'il l'avait également captivé. "C'est une histoire formidablement émouvante", dit-il. "Et c'est une histoire qui vous prend aux tripes car elle parle de l'absence de la mère et des retrouvailles avec elle. C'est d'autant plus fascinant que c'est vraiment ce qu'a vécu Saroo quand il était petit : ça n'a donc pas seulement la force d'un conte moral, mais celle d'un vrai parcours humain. Il n'y a rien de plus galvanisant que d'écrire un scénario d'une grande intensité émotionnelle pour un auteur". Le réalisateur et le scénariste ont travaillé en étroite collaboration, explorant plusieurs pistes et imaginant la construction du film. Allaient-ils aborder l'histoire sous forme de flashbacks ou de manière chronologique ? Comment rester fidèle à l'itinéraire du protagoniste tout en en faisant un récit qui respecte les codes de la narration cinématographique ? Emile Sherman s'explique : "Le plus simple aurait été de commencer par des scènes de Saroo en Australie pour que ce soit l'histoire d'un homme occidental qui est soudain assailli par des souvenirs du passé, puis d'avoir recours à des flashbacks dès lors qu'il part à la recherche de son village natal.
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