Sortie cinema le 14 février VIVRE ENSEMBLE D’ANNA KARINA SORTIE CINEMA LE 14 FEVRIER « Dès son carton de générique, Vivre ensemble, premier long métrage signé et interprété en 1973 par l’égérie de la Nouvelle Vague, assume sa fière indépendance (…) Une longue escapade new-yorkaise, tournée d’adieux aux ivresses de la vie de bohème, relevés d’implants documentaires sur les happening spontanés anti-Nixon à Central Park » Joachim Lepastier, LES CAHIERS DU CINÉMA « Chronique douce-amère sur l’usure des sentiments » Samuel Douhaire, TELERAMA « Karina capture les états d'âme d'une époque, d'une ville et l'usure des sentiments. Tout en rupture de ton et instants volés. Beau film fugueur sauvé de l'oubli » Julien Welter, GRAZIA « Magnifique premier film... plein de fougue, de fraîcheur, de lumière » Augustin Trapenard, BOOMERANG, FRANCE INTER « Un petit bijou d'histoire d'amour tragique entre une jolie actrice et un prof d'histoire dans les années 70 (...) joli film triste, comédie tragique, Anna Karina mêle les deux tons habilement. Et livre de cette époque une vision à la fois originale et fidèle aux souvenirs de ceux qui l'ont connue » Jean-Baptiste Morain, LES INROCKS « Elle est partie à New-York, « s’est fait plein de copains » dans les milieux underground, en est revenue avec l’envie « assez folle à l’époque » de réaliser un film inspiré de ses « flâneries » parisiennes et new-yorkaises (…) Il est intéressant de revoir Vivre ensemble à l'aune du contexte de libération de la parole des femmes » Stéphane Leblanc, entretien avec Anna Karina, 20 MINUTES «Témoignage du Quartier latin des années 70 et chronique sentimentale» Gilbert Chevalier, FRANCE INFO « Une chronique stylée, une histoire pleine de tempérament, une découverte à porter tout près des premiers films de Jerry Schatzberg » Virginie Apiou, FESTIVAL LUMIERE « Un film tellement nécessaire ! Du cinéma à la 1ère personne qui se passe à Saint-Germain-des-Prés et à New York, c'est quelque chose entre More et La Maman et la putain » Coup de cœur d'Eric Neuhoff, Le Masque et la plume, FRANCE INTER « Le très beau "Vivre ensemble" d'Anna Karina, tourné en 1973 » ALLOCINE « Vivre ensemble est une rareté. On y respire le parfum d'une époque (...) C'est du cinéma à la première personne. Attention, film-culte» Eric Neuhoff, LE FIGARO « Les films que vous avez faits ont éveillé tant de désirs de cinéma, j’en suis la preuve, car vous avez élevé cet art à ce qu’il a de plus beau et de plus nécessaire » Xavier Giannoli à l'attention d'Anna Karina, NRV, FRANCE INTER « Réalisé à la sauvette en 1972 par Anna Karina, un témoignage émouvant sur l'époque, la liberté des mœurs, la mobilisation, l'utopie de ne pas travailler. (…) Dès qu'Anna Karina apparaît à l'écran, face à Michel Lancelot, son charme fou opère » David Fontaine, LE CANARD ENCHAINE « Chronique d'une bohème tragique tournée en mode guérilla (...) Valeur inestimable d'un témoignage précieux sur une époque » L'AVANT SCENE « Certaines scènes et séquences sont la preuve des talents de metteure en scène de Anna Karina, des prédispositions à la hauteur de l'enthousiasme de François Truffaut qui lui écrivit une très belle lettre pour la féliciter. » FRANCE MUSIQUE Semaine du 14 février 2018 Anna Karina, l'égérie de Godard fait son come-back Par AFP, publié le 03/03/2018 à 12:02, mis à jour à 12:02 Anna Karina, le 2 mars 2018 à Paris, afp.com/THOMAS SAMSON Paris - Muse de Godard, icône des sixties, Anna Karina fait de nouveau parler d'elle à 77 ans avec la reprise de son premier film et la sortie d'un nouvel album, "Je suis aventurière", une épithète qui lui va bien. Combien de fois s'est-elle mariée? "Oh là là, je préfère ne pas le dire", sourit-elle, lors d'un entretien avec l'AFP. Avant de s'esclaffer: "Moins que Liz Taylor!". Ses yeux d'un bleu profond, son sourire mi-timide mi- espiègle ont conduit quatre hommes jusqu'au mariage: Jean-Luc Godard bien sûr, les cinéastes Pierre Fabre et Daniel Duval et, depuis 1982, le réalisateur américain Dennis Berry. "Je suis mariée depuis près de 40 ans avec le même homme", note-t-elle un rien incrédule, attablée devant un verre de rosé dans une brasserie de Saint-Germain-des- Près. C'est dans ce quartier parisien, où elle vit aujourd'hui, qu'elle fut repérée il y a 60 ans au café des Deux Magots alors qu'elle venait de quitter son Danemark natal à l'âge de 17 ans. Un jour qu'elle posait pour une revue, "il y avait cette dame extraordinaire qui m'a demandé "Comment tu t'appelles mon petit? ". "'Hanne Karin Bayer'. "Ah non, me dit-elle sur un ton militaire, tu t'appelleras Anna Karina". "Quand elle est partie j'ai demandé qui c'était. C'était Coco Chanel." 'Un petit côté macho' La reprise du premier film qu'elle a réalisé et financé, "Vivre ensemble (1973), et la sortie d'une compilation des chansons les plus connues qu'elle a interprétées, éveillent la nostalgie de celle qui fut l'égérie de la Nouvelle Vague. "C'est extraordinaire, je ne m'y attendais plus", assure-t-elle, les yeux chargés de khôl, ajustant son chapeau. Son deuxième et dernier film, "Victoria", remonte à 10 ans et son dernier album, à 14 ans. "Vivre ensemble" est l'histoire d'amour d'une jeune marginale avec un homme à la vie bien rangée. Alain finit par sombrer dans la drogue et l'alcool et elle, à l'inverse, rentre dans le rang. "C'est un portrait de l'époque de ma jeunesse. J'ai vu des gens autour de moi sombrer et mourir", se souvient-elle. Le film vient rappeler qu'Anna Karina a été la première comédienne à réaliser à l'époque un long-métrage. "Tout le monde disait ‘Comment ose-t-elle’. Il y avait un petit côté macho." "Je me suis dit je vais utiliser un nom d'homme, car j'avais peur de la réaction." Alors qu'elle avait joué dans plus de 30 films, le fait de passer de l'autre côté de la caméra l'a grisée. Elle savait toutefois qu'elle n'était pas "Godard qui peut tout faire en cinq minutes". Pour celle qui n'a presque pas connu son père et qui a été délaissée par sa mère, la rencontre à 21 ans avec l'un des réalisateurs phares du cinéma mondial a été une chance mais ne lui a pas apporté la protection qu'elle recherchait. "Nous nous sommes beaucoup aimés. Mais c'était compliqué de vivre avec lui", confie la comédienne. 'Faut dire stop' "C'était quelqu'un qui pouvait dire ‘Je vais chercher des cigarettes’ puis revenait trois semaines plus tard. C'était une époque où il n'y avait ni smartphone, ni répondeur". Elle se souvient des lunettes noires de Godard qui lui "faisaient peur" au début, avant de trouver "magnifiques ses grands yeux en amande". Leur relation été marquée par un drame, la perte de l'enfant qu'elle portait. La dernière fois où le couple mythique s'est retrouvé, c'était il y a plus de 20 ans. Depuis, aucun contact. "Il est en Suisse et n'ouvre pas la porte", dit-elle. "Non, ça ne me rend pas triste. C'est sa vie après tout." Interrogée sur l'affaire Weinstein, Anna Karina dit avoir toujours su dire non. Non à Godard pour un rôle dans "A bout de souffle" parce qu'il comprenait une scène dénudée. Non à cet attaché de presse du film "Une femme est une femme" qui l'a accueillie à la porte de son appartement, presque nu. "J'étais tellement choquée que j'ai dévalé l'escalier et failli me casser la gueule." "Quand la femme ne veut plus, faut dire stop. Et on a le droit de changer d'avis." 03/03/2018 12:02:26 - Paris (AFP) - © 2018 AFP Quotidiens Le Figaro 20 minutes L’Humanité Ouest France L’Union 14 février 2018 14 février 2018 Anna Karina: « Des Harvey Weinstein, il en existait déjà dans les années 1960 » CULTE En 1973, l’ancienne égérie de Godard Anna Karina sortait « Vivre ensemble », premier film sur une relation conjugale orageuse qui pourrait fort bien se dérouler aujourd’hui… Stéphane Leblanc - Publié le 14/02/18 à 09h15 — Mis à jour le 14/02/18 à 09h15 Vivre ensemble d'Anna Karina: l'histoire d'un couple de 1973 aux résonances très actuelles — MALAVIDA Elle est l'icone de la Nouvelle vague. Jean-Luc Godard en a fait sa muse en lui inventant quelques répliques cultes : « Tu es infâme - Non, je suis une femme » dans Une femme est une femme. Ou le fameux « J’sais pas quoi faire, qu’est-ce que je peux faire ? » de Pierrot Le Fou. Après la séparation d’avec Godard, la question s’est posée. Anna Karina a tourné pour Visconti ou pour Cukor, chanté pour Gainsbourg, « quelqu’un de très élégant, sérieux dans le travail mais avec beaucoup d’humour dans la vie : On mangeait du fromage, on buvait du vin rouge, on plaisantait en verlan, personne ne comprenait rien… » Elle a connu mai 1968, « mais les gens de mon âge ne s’en rappellent plus », sourit-elle… Anna Karina derrière la caméra en 1973 pour son film Vivre Ensemble - SND Elle est partie à New York, « s’est fait plein de copains » dans les milieux underground, en est revenue avec l’envie « assez folle à l’époque » de réaliser un film inspiré de ses « flâneries » parisiennes et new-yorkaises… Coup de foudre à la terrasse d’un café « Je voulais faire un portrait de cette époque, comment on tombe amoureux rien qu’en se croisant à la terrasse d’un café, une histoire d’amour entre deux jeunes gens dont les caractères s’inversent au milieu du film.
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