Dossier Presse the STRANGLERS

Dossier Presse the STRANGLERS

The Stranglers mercredi 4 novembre 2015 à 20h30 La Scène Watteau / Place du Théâtre / Nogent-sur-Marne locations 01 48 72 94 94 www.scenewatteau.fr La Scène Watteau est une scène conventionnée subventionnée par la Ville de Nogent-sur-Marne, la DRAC Ile-de-France, le Conseil départemental du Val-de-Marne et la Région Ile-de-France The Stranglers Jean-Jacques Burnel basse Baz Warne guitare Jim Macaulay batterie Dave Greenfield claviers Provocateur, sulfureux, controversé, The Stranglers est l’un des groupes les plus influents de la scène punk-rock britannique de ces 40 dernières années. Un concert entre fureur et grâce. Nés à la fin des années 70, en pleine déferlante punk, The Stranglers ne cessent de se réinventer d’album en album, passant par le rock, le post-punk, l’électronique, la new wave et la pop. Leur son se caractérise par la basse à la fois mélodique et agressive de JJ Burnel et par les rapides arpèges de Dave Greenfield, joués indifféremment sur orgue Hammond, synthétiseur, piano ou clavecin. Sur scène et en studio, The Stranglers, ou du moins leur première formation jusqu’en 1990, se sont également distingués par un humour provocateur et des frasques devenues légendaires. Groupe très populaire en Grande-Bretagne, ils sont parvenus à placer un nombre impressionnant de titres et d’albums dans le top 40 britannique. The Stranglers entrent aujourd’hui dans leur cinquième décennie d’existence et d’activités effrénées, ce qui en fait l’un des groupes mythiques de l’histoire du rock et surtout l’un des très rares issus du mouvement punk à n’avoir jamais cessé de se produire sur scène. mercredi 4 novembre 2015 à 20h30 à La Scène Watteau durée estimée 2h prix des places de 8 à 22 € La Scène Watteau, Place du Théâtre, Nogent-sur-Marne, face à la station RER E Nogent-Le Perreux locations 01 48 72 94 94 contact La Scène Watteau Benoît Strubbe tél 01 43 24 76 76, [email protected] The Stranglers Le groupe se créé en 1974 sous le nom de Guilford Stranglers (« Les Etrangleurs de Guilford »), ceci par allusion à un tueur en série américain que la presse avait appelé « l’étrangleur de Boston ». D’origine française, le bassiste et chanteur Jean-Jacques Burnel (né à Londres en 1952), a joué pendant plusieurs années de la guitare avant de passer à la basse. Fan de moto, il se montre déjà volontiers bagarreur. Bardé de diplômes de biologie, le chanteur et guitariste Hugh Cornwell (né à Londres en 1949), est enseignant et a lui aussi une longue expérience, ayant joué dans un groupe de blues avec Richard Thompson, futur membre de Fairport Convention. Leurs deux acolytes étonnent encore davantage : ancien tenancier de bar, le batteur Jet Black (né à Ilford en 1938) a déjà 36 ans et ne s’est mis que tardivement à son instrument et le claviériste Dave Greenfield (né à Brighton en 1949), très inspiré par le son de Ray Manzarek des Doors, ne cache pas son intérêt pour les groupes de rock progressif, alors unanimement abhorrés par les punks. The Stranglers se font remarquer dès 1977 et leurs deux premiers albums, « Rattus Norvegicus » et « No More Heroes ». Portés par la voix et la diction agressives de Cornwell, leurs textes souvent cyniques, misogynes et provocateurs vont de pair avec une attitude qui mène souvent à des débordements : n’hésitant pas à donner de sa personne, Burnel multiplie les bagarres, de même, des filles peu farouches rejoignent en quelques occasions le groupe en plein concert pour se livrer à des numéros d’effeuillage plus appréciés des spectateurs que des édiles. Ces écarts leur valent évidemment une réputation peu flatteuse, qui ne les empêche pourtant pas de drainer les foules, d’avoir des groupes de renom comme Joy Division ou The Cure en première partie et de vendre un nombre considérable de disques. Suivis de près par les autorités, The Stranglers n’accusent pas le coup lorsque, mis en prison pour possession de stupéfiants, Hugh Cornwell ne peut assurer les dates d’une tournée, le groupe faisant alors appel à des amis pour le remplacer : on voit ainsi notamment Robert Smith se produire avec eux. Sitôt Cornwell libéré, les Stranglers atteignent sans doute leur zénith avec l’album « La Folie » : sur une mélodie aux accents de valse composée par Dave Greenfield , la chanson « Golden Brown » se classe dans les premières places des charts. En 1983 avec l’album « Feline », les Stranglers opèrent une nouvelle mutation : les claviers et la basse prennent l’ascendant tandis que Jet Black a recours souvent aux percussions électroniques. A partir de la tournée de promotion de son opus suivant, « Aural Sculpture » (1984), le groupe, toujours imprévisible, commence à inclure une section de cuivres dans ses concerts. De nombreux fans des débuts ont désormais du mal à suivre le groupe et vont se détacher de lui, d’autant qu’il semble moins désireux de susciter les polémiques. Malgré un dernier album à succès « 10 » (1990), Hugh Cornwell annonce son départ. Ne souhaitant pas mettre fin au groupe, J. J. Burnel, désormais seul maître à bord, recrute un chanteur nommé Paul Roberts et fait appel à John Ellis pour tenir la guitare. Malade, Jet Black est un temps remplacé avant de revenir. Il est alors clair que le meilleur du groupe appartient déjà au passé. Bien que sortant des albums régulièrement, il n’est plus suivi avec l’enthousiasme d’autrefois, l’absence d’Hugh Cornwell y étant pour beaucoup. En 1993, Burnel reprend ses activités de producteur et, assagi, se consacre davantage à sa famille. La fin des années 90 annonce la résurrection du groupe. John Ellis est remplacé par Baz Warne et les albums « Norfolk Coast » (2004) et « Suite XVI » (2006), sur lesquels les Stranglers renouent avec le son de leur grande époque, suscitent un vif regain d’intérêt chez la critique et les concerts de nos « étrangleurs » sont à nouveau très fréquentés. Renseignements pratiques prix des places de 8 à 22 € tarif normal : 22 €, tarif moins de 26 ans : 10 €, tarif plus de 65 ans et groupes : 19 €, tarif demandeurs d’emploi : 17 € tarif abonné adulte : 15 €, tarif abonné jeune public : 8 € locations par téléphone 01 48 72 94 94 à l’accueil de La Scène Watteau Place du Théâtre / Nogent-sur-Marne FNAC Billetterie, theatreonline, www.billetreduc.com comment venir à La Scène Watteau Place du Théâtre (ancienne Place de l’Europe) / Nogent-sur-Marne Autoroute A4 au niveau de la Porte de Bercy, prendre la sortie n° 5 “Nogent-sur-Marne”, rester sur la voie de gauche. La Scène Watteau est à 500 m de la sortie d’autoroute. RER E station : Nogent-Le Perreux. Temps moyen du trajet Paris/Magenta - Nogent : 20 minutes La Scène Watteau est juste en face de la station. .

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