Numéro 49. — Dimanche 4 Décembre 1905. 5 Ce: Aimes Soixante-douzième année JOURNAL UE TALOCHES Feuille Politique, Agricole, Commerciale, lu », Scientifique, Littéraire et d’Annonces

CHEMIN DE PER. — Paris-Cherbourg : 5 h. 8 matin ; 9 b. » matin; B uKÜUX DD J oURSJJ, Jé;» BtJ» CtHNOT ABONNEMENTS midi 58; î h. 01 soir; 4 h. 29 soir (express) ; 10 h. 15 soir. — Cherbourg-Paris : Pour la ville, 3 fr. 50 ; et limitrophes, 4 fr.; Paris et Départements, 4fr. 50 5 h. 53 matin; 9 b. 08 matin (express); midi 19 ; 5 h. 08 soir; 0 b. 03 soir Le prix de Vabonnement n'est pas exigible <£avance. Les recouvrements se (express); 7 b. 58 soir. P»nl L HOTELLIER; ^ôlriéh^ft-aérMit. font 2 fois par an le 30 juin et le 3î décembre. ANNONCES Vatognss (ville) : départs 6 h. 5 matin ; 9 h. 50 matin ; midi 5 5 .5 h. 25 Judiciaires, la ligne û tr. 16 ; Réclames, la ligne 0 fr. 25 ;. Locales. 0 fr. 50. •air ; 8 b. 06 s.— Bar Heur- Xa loynes (ville) : 5 h. 34 mat. de St -A*sùa:A b. 03 m.; les manuscrits non insérÆjÊt *frtfrf - rendus j -ija pw» imiter » forfait pour.... ' Içs...... annonqes souvent...... répétées — tt K b. 56m.; 3 b. 56 soir; 7 h. 29 s. Lee lettres et mandats cMoermmf faTéda^os et ncMs M i A u a n i du fon— l, junytsu v—nndi sgtt,ni à TAgcace d sln P rêtas être adresses à K. le Directeur du Journal de Yahjgnes. Nouvelle, 60, rue Richelieu, Paris. — Journal légalisé, 25 cent.

La Loi... du petit bonheur. de sénateur de la Gironde : l’habitude des Quand aux appréhensions de seq électeurs Bourse du Travail de Paris et « sur l'inces­ » naissances suffisent à faire d’un citoyen Sophistications devenue, selon le vieux de la Haute-Loire : « api*ès les moines, les sante propagande internationaliste et anti­ » un soldat. Us ne savent pas que l'insti-uc- dicton, une seconde nature. curés ; après les cures, le capital et la militariste des Bourses du Travail. * » lion aussi difficile que longue à acquérir C’est ainsi qu’après M. Clémenceau on 11 est convenu, une fois pour toutes, que propriété, » la dernièrq attitude prise par Séances du mardi 28 novembre » est celle de l'homme livré à lui-même appellera la loi de Séparation, sous le bon les orateurs de Droite ne sauraient être pris tous nos représentants, y compris ceux qui » sous le feu... il faut du temps... il lui faut plaisir de laquelle nous allons vivre désor­ au sérieux. Ces braves gens retardent d’un Mardi matin, la Chambre a continué mais. semblaient irrévocablement acquis au pro­ l’examen du projet sur les retraites de la *> l’entraînement par l'exemple des anciens. » siècle ; ils sentent, d’une lieue, le parti-pris. jet. montre combien ces sentiments sont On ne peut avoir non plus avec les milices Ayant même qu’elie fût inscrite à l’ordre C’est en pure perte que nous analyserions vieillesse. L’après-midi, elle a discuté les du jour du Sénat, les Pères conscrits vrai­ partagés dans la Manche. La crainte du interpellations jointes au budget des tra­ des armées bien disciplinées. Ce n’est pas leurs admirables discours... Ceci posé, on suffrage, même restreint, est le commen­ vaux publics. dans le trouble de la guerre que les « ci­ ment républicains, avaient revu des Lo­ ne niera point que l’argumentation de MM. cement de la Sagesse. toyens armés » se pliereient facilement au ges la consigne, peut-être pas de ronfler, Dupuy et Clémenceau emprunte au répu­ [A suivre). / H. C. Séance du mercredi 29 novembre joug inaccoutumé de la discipline et le dé­ mais, en tout cas, d observer le plus parfait blicanisme avéré de ses auteurs, au rôle Le matin, suite de la discussion sur les silence et de laisser les orateurs de l’Oppo­ sordre, toujours grand en temps de guerre, qu’ils ont joué et peuvent jouer encore retraites de la vieillesse. L’après-midi, se mettrait partout. Ou bien les soldats im­ sition parler devant leur inflexible aréopage premier jour une autorité particulière. après validation de M. de Barbançois ré­ sans rencontrer de contradicteurs en dehors provisés resteraient inertes ou bien ils M. Charles Dupuy a eu une fortune poli­ F* arlement cemment élu dans la 2* circonscription de combattraient avec élan, mais confusément des scrutins. La crainte de leur voir arra­ tique rapide. Le besoin d’assainissement Chàteauroux, la Chambre s’occupe du bud­ et sans persévérance. cher, par lassitude ou inintelligence du tex­ qui s’empare de la au lendemain du dé­ Séance du vendredi 24 Novembre 1305. get des travaux publics. te, les moindres concessions et de ressusci­ On a ait bien souvent que les « volon­ ballage exécuté de main de maître parM. J ules Le secret et . la sincérité du vote Séances du jeudi 30 novembre d ter, avec une intensité nouvelle, l’émotion Delahaye, avait, — momentanément, hélas! taires de 93 s’étaient montrés d’admira­ soulevée par le chef-d’œuvre que leur pas­ — fait rentrer dans la coulisse les trois L'ordre du jour appelle enfin 1^ discussion Continuation de la discussion sur les re­ bles soldats ; c’est encore une partie de la sait la Chambre, dictait cette précaution. quarts et demi de l’opportunisme, attardé de la proposition de la loi adoptée par la traites de la vieillesses et sur le budjet des légende révolutionnaire que la vérité his­ Point de débats : un simple et rapide enté­ dans le barbotage de l'épargne Française. Chambre, puis adoptée ultérieurement, travaux publics. torique détruit. rinement. On voulut des hommes nouveaux, aussi avec modifications, par le Sénat, ayant Sénat Lisez ce qu’écrivait des volontaires le Cette tactique de la « Mort sans phrases » intègres, aussi corrects que le président pour l’otget d’assurer le secret, la liberté et Le Sénat a continué cette semaine la dis­ célèbre Carnot qui les commandait : n’a réussi qu’â moitié. D’énergiques défen­ d'alors, l’infortuné Carnot Président de la la sincérité du vote dans les opérations cussion de la loi votée par la Chambre sur « Les soldats étaient presque tous ivjes, seurs de la Liberté, MM. de Lamarzelle, Chambre, M. Dupuy eut, devant l’anarchie, un électorales. la séparation des Eglises et de l’Etat. » plus ou moins ; il en tombait à chaque Gourju, de Chamaillard, Charles Dupuy, de mot antique^ * La séance continue h « Ce La Chambre discute le projet de la com­ » pas... Leurs sacs étaient tellement pleins Las Cases, Guillier, etc., avec la toujours qui rend problématique son Tetouj^àilfit Pré­ mission. » d’effets volés qu’ils ne pouvaient plus les intéressante contre-partie de YEnfant Ter­ sidence du Conseil, c’est — indépendant- La Chambre avait adopté un texte insti­ orter. On leur doit cependant la justice rible du Bloc, M. Clémenceau» ont pais eu tuai! trie vote sous enveloppe fe r m . ayec Les Milices r n p & m æ fort mauvais état îes'tbdî^niaThëüretix ~~tes, puisque« puisque non' n’avaient pu se dérober à la tâche impossi­ espèce de « Mauvais Œil » à l’égard des ------v.» lttl*Jerté du vote. « Il est impossible de songer à aucune ble de couvrir les exactions, de pallier les Le Sénat, dans sa séance du 7 novem­ votilons des milices ! » déclarait l’autre » conquête suivie avec des troupes de ce pensionnaires de l’Elysée. Carnot et Félix jour un socialiste à l'inauguration d’une ■ perfidies, d’expliquer les non-sens dont re­ Faure ont, si je puis m’exprimer ainsi, bre 1905, modifiant ce projet, a supprimé la » genre, quelques braves qu’elles soient. cabine d’isolement et c’est dans ces condi­ maison du peuple. » Rien ne résiste à leur premier choc, mais gorge Y intangible factum. Disons bien vite passé entre ses mains. On lui a prêté cette Ce socialiste pouvait se croire très bon que le ministère et sa majorité d'automa­ boutade, le jour où M. Loubet eut son huit- tions que le projet revient aujourd’hui de­ » au moment qu’il est fait, la débandade se tes n’ont pas fait éclabousser leurs pre­ vant la Chambre. patriote, mais à coup sûr il se trompait, » met partout et si l’ennemi revenait il ne reflets cabossé par un Ciubman : « Pourvu car les milices étant insuffisantes pour la mière sujets. Le gouvernement était re­ qu’ils ne me le cassent pas ! Cela ferait le M. Charles Benoist demande dans son » tiendrait qu’à lui d’en faire une boucherie.» présenté parM. Bienvenu-Martin. Sans trop rapport à l’assemblée, au nom de la com­ défense nationale, ce n’est pas être patriote Le commissaire aux armées, Bouchotte, troisième... » que de vouloir remplacer par elles l’armée se faire d illusions, on espéiait que, sous­ On regrette de ne pouvoir citer en entier mission, de repousser la modification intro écrivait : « La tenue des volontaires m’a trait à la dialectique de M. Ribot, échap­ son discours : duite par le Sénat et de maintenir son tex permanente. révolté... Ce n’est nas tout d'être patriote, pant aux sarcasmes de Lasies, ce « Minis­ te primitif. La milice est l’armée idéale des socialistes il faut savoir défendre la patrie. » tre contre les Cultes » recouvrerait, devant M. Charles Dupuy . — Dans le Concor­ M. d’iriat d’Etchepare défend, au contrai­ (de ceux d’entre eux qui ne sont pas inter­ Je n’en tiens à l'opinion de Carnot et de la haute assemblée, un peu du prestige dat que j ’ai pratiqué, j’ai vu une garantie re la modification sénatoriale. nationalistes). Chaque citoyen ferait quel­ Bouchotte. qu’il avait si lamentablement laissé à la de la paix extérieure et de la sécurité de la Après une longue discussion et après ques semaines seulement de service pour Une milice ne peut être non pluspromp/e- Chambre. Erreur profonde. Le plongeon a République. avoir repoussé une demande d’ajournement apprendre à manier son fusil, puis reste­ ment mobilisée, alors que les Allemands Je pense que nous faisons fausse route rait tranquillement chez lui. Quand la pourraient en quelques heures amener des été irrémissible. Pourtant, quel sectaire et que nous allons au péril. de la discussion, la Chambre vote les arti­ plus accompli pouvait-on produire ? Dans cles duprojetde la commission.L’article 1 er, patrie serait attaquée, on décréterait la centaines de milliers d’hommes à la fron­ une commune de l’Yonne, son département, Il a été élu, en 1902, une Chambre Con- instituant, pour toutes les élections, le dé­ levée en masse et tous les citoyens pren­ tière, il faudrait un temps considérable ce fonctionnaire modèle, avait, au cours des coratoire, changée, trois ans après en sé­ pôt du bulletin sous enveloppe non fermée, draient les armes pour aller combattre pour mobiliser les milices. dernières vacances, particulièrement goûté paratiste. Quel est le magicien ? M. Combes n’est pas contesté. l’envahisseur. En une nuit la flotte Anglaise peut arriver un toast où on le conviait pour l’an prochain, dit que c’est le Pape, et le Pape dit que Lé président met aux voix l’article 2, aux Je ne nie pas que ce système ait des devant Cherbourg. Quelle résistance trou­ à banqueter dans l’Eglise... M. Vallé et M. c’est M. Combes. termes duquel, dans chaque commune, il avantages. Mais, dans les conditions ac­ verait-elle s’il n’y avait pas à Cherbourg Maxime Lecomte, président et rapporteur Dans une récente circonstance, infini­ sera établi, dans chaque salle de vote, par tuelles et en présence des guerres mena­ une garnison importante sous les armes ? de la commission, sont connus. Comme si ment plus grave, qui a heureusement servi les soins du maire, un ou plusieurs dispo­ çantes, la défense nationale exige des Il faut être autant que possible garanti r cet ensemble de consciences et de talents à relever un sentiment trop affaibli,, notre sitifs permettant aux électeurs de s’isoler armées bien exercées, bien disciplinées et contre les attaques subites comme celles du n’eut pas été assez suggestif, M. Monis, l’an­ diplomatie a été plus... endurante. pour mettre leur bulletin sous enveloppe. pouvant être promptement mobilisées. Japon contre la Russie. cien garde des Sceaux de Waldeck-Rousseau J’ai entendu aire, par.un paysan : L’an­ Cet article a été voté par 323 voix con­ Pour cela il faut des armées permanentes. Enfin les milices demandent un patriotis­ célèbre par ses circulaires commerciales née dernière, on nous a servi les moines ; tre 237. On ne peut avoir avec les milices des me ardent et général. Grâce aux excitations portant lfen-tête du Ministère de la Justice, cette année, on nous sert les curés ; de­ On adopte à mains levées l’article 3, qui armées bien exercées. Il ne s’agit pas là démagogiques des socialistes, aux sensible­ est venu à la rescousse. M. Monis vend de main viendra le tour du capital et de la stipule quç des enveloppes opaques, tim­ des mouvements d’ensemble ou des ma­ ries des humanitaires, aux leçons de la siccasse : c’est son droit, mais ce droit propriété brées du sceau de l’Etat, non gommées et niements d’armes qu’on appelle ordinaire­ lâcheté des liervéistes, nous aurions par­ • M. Vallé»-— Vous parlez comme un Père ment exercices : ils peuvent s’apprendre fois de tristes miliciens. ne s'étend pas jusqu’à faire intervenir le de l’Eglise. a type uniforme, seront envoyées dans cha- maroquin dans des transactions de cette ue commune, en nombre double de celui assez rapidement. Il s’agit d’avoir des hom­ Peut-être viendra-t-il un moment où ce M. Destieux-Jun'ca. — Vous êtes un ré­ mes entraînés, sachant exécuter les ordres système pourra être appliqué sans danger. nature. Son.intervention a d’ailleurs mal actionnaire ! 3es électeurs inscrits tourné. Il a « sorti » plusieurs mensonges Cet envoi sera fait pâr l’administration d’une façon intelligente et manœuvrer ha­ Mais gare au grand pays qui adoptera le historiques que M. de Lamarzelle s’est M. Charles Dupuy. — Je croyais ne ser­ prefectorale. bilement (en particulier dans l’artillerie et premier les milices ! fait un plaisir de relever. Par exem­ vir que la République. En voyant disparaî­ L’article 5 règle de quelle façon l’élec­ la cavalerie), enfin ayant l’habitude des Et ce n’est pas à l’heure où la tempête ple : que la politique de Pie IX avait en tre le régine Concordataire, je frémis de­ teur recevra son enveloppe, s’isolera dans exercices de combat. menace qu’on troque un bon manteau, partie amené nos désastres de 1870 ; que le vant le redoutable inconnu qui est une me­ le dispositif pour placer son bulletin sous Voici ce que dit à propos des milices du même lourd, contre un autre, plus léger, même JPontife, ou tout au moins son Missus nace pour les consciences et un danger pour petit pays Suisse un officier étranger : mais qui protège moins bieu. la République. renveloppe et introduire celle-ci dans la Dominîcus, le Cardinal de Bonnechose, boite du scrutin. « Les publicistes qui prêchent aujour- Emile Le Normand. avait fait à la Prusse une cour éhontée. Or, On voit à quelles pauvres invectives sont Cet article, après discussion, est adopté ; » d’hui un peu partout, — mais surtout en dans les comptes-rendus du Corps législatif réduits les avocats du pouvoir. J'emploie il en est de même des autres articles du » France, — la réduction du temps du ser- subsiste le reproche, adressé par M. Thiers ce mot à dessein, car, on a beau ergoter, projet qui règlent des points secondaires. » vice militaire démontrent mathématique- è la Gauche d'alors, de pratiquer une poli­ c’est le ministère tout entier qui nous pré­ La Chambre s’ajourne à lundi. » ment qu’un petit nombre de jours suffit Au Jour le Jour tique qui conduisait tout droit à la guerre. cipite dans ce redoutable inconnu. Et puis Séance du lundi ‘27 novembre. » pour apprendre aux jeunes gens à s’ali- L’appel de Pie IX en faveur de la France toujours cette fatidique épithète : Réaction­ » gner, à bien manier leurs armes, à tirer MM. Vaillant et Grosjean interpellent le » convenablement un coup de fusil... est dans toutes les mémoires. On ne peut naire ! Réactionnaire avec M. Dupuy, gouvernement, sur les abus de l'arbitraire Avez-vous remarqué, cher lecteur, que jamais justifier ces énormités que par la profession Je ne vois pas, pourmoi, que le cas soit pendable... » ... Où leur erreur est grande, c’est les journaux payés par ia bande maçonnique ne gouvernemental dans l'administration de la » quand ils croient que ces premières con- répondent un seul mot raisonnable aux critiques

47 Feuilleton du Journal de t— Ce n’est pas très logique, ce que vous — Un peu, mais c’est fini. tout conté... Oui, il a refusé... calmez- m’expliquez là, ma bonne Catherine.... Elle gardèrent le silence, toutes deux - Ah ! vous m’avez perdu, vous m’a­ — Peut-être bien... Et, pourtant, réflé­ vous ! vez perdu, Catherine, répétait le malheu­ gênées quand même. Suzanne avait les Elle se calmait, ses larmes s’étaient sé­ chissez ! Vous ôtes riche, vous, mademoi­ yeux baissés. La rusée paysanne la consi­ reux garçon... avec votre curiosité, votre selle... Croyez-vous que les jeunes gens chées soudain... envie de savoir... Est-cc que je vous avais ROGER LA BOUTS déra un instant, de haut, et hocha douce­ — Vous avez eu tort, Catherine, grand Par Jules MARY qui vous aimeront et qui seront pauvres ne ment la tète, avec un demi-sourire. prié de l'interroger, moi ?... seront pas gênés devant vous 1... Si fait, tort... de vouloir pénétrer ce secret. C’est — Et moi, savais-je donc que vous étiez Et ce geste semblait dire : vrai, j’aime Raymond, mais jurez-moi — là !... et, malheureusement, M. Raymond — Oh ! malgré vous, je saurai bien ce caché dans l’alcôve ? Est-ce que je pouvais Là première pensée de Raymond fut de jurez-moi sur votre mari, qu’il ne le sau­ deviner ?... Est-ce ma faute ?... n:a pas la réputation d’ètre très fortuné... qui se passe dans ce petit cœur !... ra jamais 1 s’enfuir... Il ie deviendra sûrement... mais, en atten­ Après un assez long' moment, ce fut Su­ — C’est fini, maintenant, bien fini. Il était pris d’un tremblement nerveux, il dant, il n’a que son talent... et sa part de la Catherine allait répondre... impression­ — Mais il n’est pas possible qu elle ne zanne qui reprit, trembiante i née par la gravité des paroles de la jeune préférait tout braver, même le ridicule, ferme de Méridon, c’est-à-dire, pour ce — Alors, vous croyez qu’il... m’aimé:.. vous croie point, qu’elle -ne me croie point plutôt que d’affronter le regard méprisant qui est de la ferme, juste de quoi vivre... et fille, quand tout à coup elles tressaillirent aussi, quand nous lui dirons... et qu il... est malheureux ?... toutes deux et jetèrent un cri. .. de la jeune fille. .. même la ferme ne compte pas, car lui et — Oh ! ce que j ’en disais... C’était peut- — Que lui dirons-nous ?... Tout est con­ Et cependant, malgré cela, il resta. son frère en abandonnent les revenus à Raymond venait d’apparaître — Ray­ tre nous... Elle me méprise... Elle a raison. être aventuré... J’avais remarqué que M. mond pâle comme un mort, et pourtant Et quand Suzanne ne fut plus qu'à quel­ leur mère, qu’ils idolâtrent... Donc c'est Raymond était préoccupé et triste... De là — Elle est méfiante comine les filles ri­ ques pas, effaré soudain, il se glissa der­ maigre... Dans ces conditions,M. Raymond, les yeux humides avec je ne sais quel ra­ ches qui s'imaginent qu’on ne veut d elles a bâtir une histoire... Tenez, j'aime mieux yonnement de bonheur surhumain sur le rière les grands rideaux de serge rouge de qui est lier, souffre évidemment beaucoup vous a vouer .que] je me trompais et que je que pour leur fortune. l’alcôve, et là, il se tint immobile, sans res­ de ne pas être votre égal... visage — Raymond tendit ses mains join­ — C’est son droit Et elle m’aimait ! Et connais le motif de sa préoccupation, — tes : piration. Suzanne s était levée et avait fait quel­ laquelle n’est pas tristesse. la voilà partie : 11 te voyait pas la jeune fille, car il n'o­ ques pas dans la chambre. — Oh ! Suzanne... Suzanne ! ! J’étais là... — Si elle vous aime, elle reviendra. — Vous la connaissez ? j ’ai tout entendu.... sait bouger. Elle alla dans un coin déposer Elle était visiblement en proie à une très — Je m’en doute. M. Raymond est sur le — Non, jamais. Je l'ai bien compris à son fardeau, puis appela : vive agitation. point ue se marier... Mais Suzanne, debout, recula jusqu’au son regard... Oh ! quel mépris! j'aurais vou­ — Catherine !... Petit-Louis !... — Voilà, disait la paysanne, sans cesser — Lui, fit Suzanne en pâlissant. seuil... Son visage avait une singulière du­ lu mourir... Presque au même instant, Catherine ren­ son travail et suivant du coin de l'œil tous reté... son œil brillait sous le sourcil fron­ — Vous me faites beaucoup de peine, Mon Dieu, ou», avec une jeune Pari­ cé... et les lèvres étaient crispées... Elle trait ; elle venait du jardin où elle avait lys gestes de la jeune fille, voilà ce que sienne... il n’y arien détonnant.. Et même monsieur Raymond... en vous désolant ramassé des linges de la lessive, étendus j'ai cru deviner... On n'est pas femme pour avait jeté sa cravache sur la table quand ainsi. un beau mariage, à ce qu’il paraît... On elle était entrée... elle la reprit, comme pour sécher au soleil ; elle en avait un rien... Ce n'est pas votre avis ? en parle dans le pays... Il avait refusé, — Et elle m’aimait ! car je l’ai entendue! ballot énorme qu elle jeta sur la table. Suzanne s’arrêta et, tout à coup, sèche­ d abord... pour s’en faire une arme — et d’une voix Elle l'a dit !... répétait-il, en appuyant les — Bonjour, mademoiselle, dit-elle es­ ment : que la colère ou l’émotion entrecoupait : poings sur ses yeux. — Ah ! il avait refusé... et depuis ?... — C est un guet-apens. Tout cela était soufflée, — puis regardant de tous les côtés, — Est-ce M, de Noirville qui vous a priée — Et depuis, il s'est ravisé, il accepte. Suzanne, en s’en allant, s’écriait : — tiens je croyais que M. Raymond était préparé. Cette scène est une comédie. Vous, — Il n'était pas digne de moi. Je ne le de me parler de la sorte '? — Il accepte... 11 accepte ! ! murmura la Catherine.voas etes dans votre rôle,car sans là !... Catherine, consternée, laissa échapper jeune fille. regretterai pas. La jeune fille fit un brusque mouvement. doute il vous a payée pour cela. . Quand à Cela ne i'empécha pas, le lendemain, ses serviettes qu’elle empilait sur la com­ — Qu avez-vous donc, mademoiselle... vous, monsieur, je vous tiens pour un mi­ La paysanne se méprit : mode. Elle joignit les mains, silencieuse­ vous voilà toute pâle ! : d’èü’e prise d’une grosse fièvre. Elle souf­ — Oui, dit-elle, du jardin il m'avait sem­ sérable et un lâche ! ... frait beaucoup, mais n’en dit rien à son ment, très triste... puis : — Pâle ? vous êtes folle !... Et sa cravache coupa l’air en sifflant en­ blé le voir entrer. Il sera ressorti, «ns — Oh ! mademoiselle !_ Oh ! mademoi­ Elle se leva, voulut marcher, chancela père, dans la crainte de l'inquiéter. Un doute, pendant que j’avais le dos tourné. tre elle et Raymond. mois se passa, avec cette mortelle désillu­ selle ! fit-elle avec reproche. et fut obligée de s’asseoir. — Suzanne, an non du ciel, Suzanne ! dit Suzanne se rassura. 11 n'était pas là. Les grands rideaux de serge rouge ve­ La paysanne la regardait, partagée entre sion, qui creusait son cœur, ainsi qu’eût fait Elle pouvait rester. Raymond, terrifié. an cancer. Ses joues s’étaient un peu dé­ naient de s'agiter comme si un violent la pitié et la curiosité. — Mademoiselle... Oh ! mademoiselle, di­ — V oyez-vous, mademoiselle, dit la pay­ courant d'air était passé dans l'alcôve. 11 fait très chaud, ici, dit Suzanne, fraîchies, et un pli amer se voyait pres­ sanne tout en pilant son linge, je sois cer­ Les deux femmes ne virent rien. Elles vous ne trouvez pas ? sait Catherine, je ne le savais pas, je vous que constamment à chaque coin de ses lè­ taine que M. de Noirville vous aura dé­ le jure par ce qu’il y a de plus sacré... je vres. n'entendirent pas non pins un soupir en­ — Mais non. au contraire, le vent est ne le savais pas là... couverte, et c’est pour cela qu'il est parti. trecoupé qui partait de celte même al­ frais... mon Diea. Le mois d'octobre s’écoula. Novembre — Pourquoi donc ? fit-elle, jouant la sur­ côve. Mais Suzanne impérieuse et hautaine : vintt-L’automne continuait d’étre splen­ prise. Suzanne faiblissait les bras amollis pen­ — Faites seller mon cheval à l'instant, je dide. Croyez-vous, mademoiselle, que si dant le long de la chaise. Tout à coup de vous l’ordonne. Est-ce que je lui fais peur... et depuis M. Raymond avait à vous dire certaines grosse larmes lai vinrent aux yeux. Suzanne, maintenant, se surmenait, cher­ quand? choses, il se servirait de moi comme in­ Et reculant, faisant toujours face à Ray­ — - Il se marie, murmura la paivre enfant mond, elle sortit_ chait une fatigue excessive, afin d échapper — Dame coi sait ? Il y a peur et peur... termédiaire ? Si je vous dis qu'il vous il se marie. Tant mieux... tant mieux, cela à ses désolantes pensées. Et tenez. — autant vous déclarer tout de aime,* c’est qu'il m'a semblé le deviner... Le jeune homme épouvanté par sa colè­ vaut mieux_ re, voulait implorer encore : Pas une seule lois. Raymond ne se trou­ suite ma façon de penser. — je me suis à sa façon de parier de vous, de prononcer L«s paupières s’étaient fermées, mais va sur son chemin. Elle avait repris toute bien aperçue que M. Raymond ne vous re­ votre nom— a mille choses, enfin, qu'on — Suzanne ' disait-iLécoutez-moi ! séenrite. entre les cils les larmes filtraient.. Et 3a- Un mot lui cloua brutalement la bou­ garde pas comme tout le monde, — et vous ne peut détailler-, et réelles ponrtant— thenne. agenouillée près d’elle, disait: Catherine était venue à Maison-Biacchc ne seriez point femme si vous ne vous en che. Mais, apiès tout, reprit Cather ne. j ne ~ Ail • °-ue vo“s êtes orgueilleuse... tous deux fois de suite, mais Snzanœ- l’avait étiez aperçue aussi. — Il vous... allons, ne réponds pas de son amour et il est bien — Vous— je vous méprise... Ah ! je vous pas reçne. 1 aimiez et vous ne vouliez pas vous l'a­ méprise bien ! vous offensez pas, si je dis le mot, — il possible que je me trompe... Si cela vous vouer. Et il a faüa un mensonge pour for- Et maintenant, elle dirigeait ses promet vous aime. Eh bien, vous aimant, je com- offense, mademoiselle, n'en parlons pins. Raymond tomba, anéanti, et se cacha la cer votre aveu... Car j ’ai menti... On a bien tète dans ses mains. nades quotidiennes do. côté qci 1 éloignait prend> qui! vous fuie. — Ma bonne Catherine, je vous ai fâ­ parle d an grand mariage pour M. Ray­ le plas des Vaux-de-Cernay, comme si elle Suzanne s’était troublée, mais se remet­ chée ?... Quelqnes minutes après, ia jeune fille s'é­ mond, mais il Ta refusé,- mllgré sa mère loignait au galop. avait vouia fuir ces ruines et ces jolis tant : Catherine se mit à rire. sans donner de motifs... C’est lui qui m'a paysages ou elle avait commencé a aimer' Cette scène avait duré à peine une minute. et oa elle avait souffert, A Suivrej- que nous faisons sur le déplorable régime Foires de la Manche. — Mois de décem­ Le scrutin de liste, en diminuant le nom­ aux membres actuels de la musique, et dé­ Louis, 19 ans, né à Neuville-au-Plain, journa­ qu’est notre république enjuivée ? bre. — 1, Pieauville ; 2, Avrauches : 4, S‘- bre des députés, permettrait de le faire. sireux de voir sans cesse augmenter leur lier demeurant à Pieauville, prévenu d’a­ » C’est qu’il n’y a rien à répondre. Nous nous Jaines ; 9, Vaîognes, Périers (m. la veille); Ainsi tous les citoyens seraient représen­ nombre, nous sommes heureux de faire sa­ voir chassé avec un fusil, sans permis, ne tenons toujours en deçà de ce que nous pour­ H, Bricquel oc ; 15, Sartilly; 18, Carontan ; tés. La République serait un peu plus le voir à tous les jeunes gens qui voudraient s’est pas fait tirer l’oreille ; il comparaît rions dire. En voyant comme nous le voyons (montre la \ ilie*) ; 19, -la-Barre ; gouvernement du peuple français par le en faire partie, que les cours de solfège re­ porteur du fusil à deux coups avec lequel le toutes les injustices, toutes les iniquités qui se 21, Barnevilk-; 23, , Saiut-Lo ; peuple français. On subirait moins l’injuste prendront le mardi 12 décembre prochain, surprit le garée chasse, et avoue les faits. passent tous les jours, je vous assure qu’il faut 27, Harnbyo; 31, Vaîognes. et odieuse tyrannie des majorités. et qu’il aient à se faire inscrire avant cette Le tribunal lui tient compte de sa bonne être ultra-modérés comme nous le sommes M. Duchesnois ne veut pas faire cesser volonté et le condamne à trente francs d’a­ pour ne dire que ce que nous disons. date chez M. Bourget, rue des Religieuses. cette injustice antidémocratique et anti­ Un banquet a réuni le soir à l’hôtel du mende avec sur-sis. La bande maçonnique n'a qu’une seule ré­ ELECTION républicaine. 11 est content du régime Louvre les Membres de la Société. M. le Legigan va lui-même au greffe déposer le ponse, toujours la même ; quand «Ile parle de actuel. On le comprend. Mais cela pourrait Maire présidait ayant à ses côtés M. le malencontreux fusil. nous, elle nous appelle: la réaction cléricale. bien ne pas durer. Quand ils ont dit cela, nos blocards croient Des Délégués Sénatoriaux Sous-Préfet et MM. les adjoints. 11 a adres­ Saint-Vàast-La-Hougux. — Lefèvre Ga­ avoir tout dit. sé à la Société une petite allocution à la­ briel-Henri-Joseph, 33 ans, marin-pêcheur, quelle M. Bourget a répondu. M. le Sous- né et demeurant à Saint-Vaast, prévenu Eh bien, j'en 6uis bien fûché pour eus, mais cA Messieurs les Conseillers municipaux Préfet à son tour a complimenté la Société i ’outrages envers le geudarme Petitpas, et quand ils nous appellent réactionnaires et cléri­ de l'Arrondissement de Vaîognes. Re-e-quiem caux, ou bien ils répètent comme des perroquets de sa bonne tenue et lui a prodigué ses en­ Lefèvre Bienaiœé, se présente avec une Vous allez être appelés aujourd’hui à Memento homo quia pulvis es... couragements. La réunion a pris fin à H certaine arrogance et devant le tribunal des mots qu'ils ne comprennent pas, ou bien ils heures du soir. savent très bien que nous ne sommes ni l'uu ni choisir vos délégués pour l’élection de Aux risques de faire sourira des hommes fait sa propre apologie en mettant tout le l'autre, et alors ce sont de (ieflés menteurs ! quatre sénateurs. à l'esprit nouveau, comme disait dernière­ La soirée de rCJnion-Cycliste. — L’U­ mal du'côté du geudarme. Celui-ci se eon- Car nous ne sommes ni réactionnaires, ni Ce choix est plus important que ja­ ment un célèbre avocat, nous rappelons les nion-Cycliste-Valognaise a donné, ainsi que tente de hausser philosophiquement les cléricaux, ce sont eux qui le sont et c’est mèm? mais. paroles du prêtre le Mercredi des Ceudres.* nous l’avions annoncé dans notre dernier épaules et le tribunal appréciant à lêur parce qu'ils sont d’odieux réactionnaires et Car vos délégués auront à choisir U y & quinze jours, le citoyen Mahieu, numéro, une soirée de gala suivie de bal, à juste valeur les dires de Lefèvre lp com- d'insupportables cléricaux que nous les com­ maire radical-socialiste de Cherbourg, pré­ ses membres actifs et honoraires dans la damne à 6 jours de prison. battons. entre des candidats qui ont approuvé sentait aux électeurs une liste de quatre salle des fêtes. Qu’est-ce qu’un réactionnaire ? C’est, n’est-il et veulent continuer la politique per­ candidats de son choix (sans concurrents) Trois petites comédies ont été enlevées pas vrai, un homme qui veut revenir en arrière, sécutrice, antipatriotique et ruineuse pour compléter son trop célèbre conseil avec un brio superbe par les artistes de M. Encore un Procès de Congrégation du ministère Combes, et d’autres can­ municipal. qui refuse de marcher avec son temps, qui pré­ Focheux. Mardi dernier et venu devant le tribunal* tend restaurer des mœurs et des institutions didats qui, sincères républicains, veu­ Au premier tour un seul des quatre socios Ont été particulièrement applaudis : est élu, ies trois autres restent sur le car­ civil de Vaîognes le procès intenté au vieillies et usées. Sommes-nous cela, nous ? lent suivre une politique plus sage et M,u Jaupain dans ses romances. liquidateur de la Congrégation des Augus­ Certes non ! nous n’avons nulle envie de reve­ plus modérée. reau, il y a 1.500 bulletins blancs, 1,500 M. Moneourtois et MUe Sorel dans leurs électeurs qui veulent protester contre l’ad- tines par deux héritiers de Mœe de Croi- nir en arrière. Nous désirons au contraire mar­ La liste radicale-socialiste contien­ monologues, et M. Derblay, l’incomparable silles, aux tins de rentrer en possession de cher toujours en avant dans la voie de la vérité ministratiou Mahieu. C’est le premier symp­ comique. la part leur revenant (6.700 francs) sur le et de la justice, nous travaillons à défendre nos dra, pour notre arrondissement, le nom tôme de dislocation de ce bloc. Au second La quête pour les pauvres, faite par M“e de M. Boisville, maire de Vaîognes, tour suivant, Mahieu et ses apôtres font legs de 15 000 francs, fait il y a une quin­ libertés les plus sacrées que la république cher­ Barentou.coaduiteparM.Enquebec.président zaine d’années par Mme de Croisilles a la che à nous ravir, nous voulons en conquérir qui a approuvé, par ses discours et par flèche de tout bois pour relancer les élec­ de la Société, a produit une somme de 41 fr. teurs apathiques e\ leur faire nommer pres­ Communauté des Augustines, pour subve­ tous les jours de nouvelles. Ce sont eux, au ses actes, les mesures les plus odieuses 40. nir à l’éducation des enfants pauvres de contraire, eux dont toutes les lois sont liberti- du ministère Combes, et qui s’est mon­ que de force les trtys laissés pour compte. A minuit a commencé le bal qui a duré La manœuvre réqssît et nos trois candi­ leur établissement. Le décret d’acceptation cides, eux qui nous enserrent de plus en plus tré, en présidant une conférence socia­ avec entrain jusqu’à» heures du matin. du legs stipulait que la congrégation fit em- dans une centralisation où nous étouffons, eux dats malheureux sogt élus. (Cette chasse à Le buffet était tenu par M. Lefèvre, du liste, l’ami des socialistes et de M. l’électeur nous rapbelle un peu l’affole­ loi de cette somme pour l’achat d’un titre qui ne visent qu’à assurer leur domination non Mahieu. Café du Nord. Se rente sur l’Etat, portant mention du seulement sur les personnes et sur les biens ment de leurs amis politiques : Boisville et Le feu. — Jeudi soir un peu après 7 h. Elle contiendra probablement aussi ses infortunés compagnons restés aussi, il y nom de la testatrice. mais, même jusque sur les conciences, ce sout M. Carré, mécanicien rue ues Halles, pas­ Depuis lors, le Couvent des Augustines a eux qui sont d’odieux réactionnaires. Ce sont le nom de M. Juhel, qui fait soutenir a quelques années, à leur tour sur le car­ sait rue des Religieuses quand il aperçut, reau dans des circonstances analogues). De­ été fermé en exécution de la loi de I90l, et eux qui veulent nous ramener à plus de cent sa candidature par le journal anticlé­ à l’intérieur de la maison portant le nu­ M. Goupil-Channière a été nommé liquida­ ans en arrière en nous parlant toujours de fa rical et radical-socialiste l'Arrondisse­ puis longtemps, deux factions ennemies de méro 47, une lueur assez intense. 11 n’y la concentration Mahieutiste existaient au teur. Dès lors le legs se trouve ne çlus grrrande révolution de 4789 qu’ils veulent re­ ment. >rit pas garde tout d'abord, croyant qu’une pouvoir servir à sa destination et doit d’a­ faire à nouveau, ce sont eux qui veulent faire Dans la liste républicaine libérale, sein du conseil, elles devaient se trouver en fampe pouvait être déposée à terre derriè­ opposition pour le choix du second adjoint, près les demandeurs faire retour aux héri­ revivre le9 mœurs honteuses et les institutions vous trouverez sans doute le nom de re la porte. S’étant approché il constata tiers naturels. abominables de 4793 : la délation, la domination elles se sont donc rencontrées : l'élément que c était bel et bien des copeaux qui M. Cabart Danneville, depuis de lon­ ouvrier d’une part, l'élément bourgeois de Me Favier, du barreau de Cherbourg fai­ des sociétés secrètes, l'oppression des partis avaient pris feu probablement au contact sait valoir les moyens des demandeurs, et politiques. Les réactionnaires ce sont les vieilles gues années sénateur de la Manche, l’autre. des résidus de la peinture enlevée au feu qui a pris au Sénat et dans le départe­ Mardi soir avait lieu une réunion prépa­ demandait que cette somme soit payée sur barbes républicaines. Nous ne sommes pas plus quelques heures auparavant M. Carré l’actif de la liquidation. cléricaux que réactionnaires. Qu’est-ce qu’un ment la défense de vos intérêts et s’est ratoire pour cette élection. 27 conseillers étaient présents. Au vote le candidat bour­ ayant prévenu des voisins oh ouvrit et on M® Deîagarde, avocat du liquidateur, sup­ clérical ?• — Un clérical c’est celui qui prétend montré digne de la place qu’il occupé éteignit le feu qui aurait pu prendra un ins­ pose à la demande, alléguant que les reli­ assurer la prédominance du clergé sur le pou­ par ses éloquents discours et les réfor­ geois, le colonel He iligenmeyer, obtient 11 tant plus tard de grandes proportions et voix et le candidat ouvrier, le citoyen Ma­ gieuses valides étant passées à l’étranger voir civil. C’est celui qui voudrait voir les prê­ mes utiles qu’il a demandées. Vous y menacer les maisons voisines. ont laissé à charge de la liquidation 22 ues tres conduire l’Etat. Sommes-nouB cela ? avons- thieu, 13. Le N° 48 est en aménagement pour la re­ trouverez probablement aussi le nom Que se passe-t-il dans l’intervalle ? Mys­ leurs âgées ou infirmes auxquelles, au ter­ nous jamais voulu que notre évêque fut notre de M. Lécuyer, le dévoué conseiller cette des finances qui doit y être installée mes de la loi, le liquidateur sera obligé de député ou notre préfet, et notre curé notre tère ! Mercredi soir à la séance officielle il prochainement. général que vous connaissez bien. n’y a que 18 conseillers présents, 12 sièges servir des pensions. maire ou notre conseiller général ? Et eux les C’est pourquoi vous choisirez parmi bourgeois sont vides. On vote et par 17 voix Bulletmxnétéorologique. — Observatoire Il soutient que le titre de rente, n’ayant pas francs-maçons qui nous dominent ? Leurs du Collège diocésain de Vaîognes. Dernière été retrouvé lors de l’inventaire, la liqui­ évêques qu’ils appellent des vénérables sont tous vous (et c'est un devoir pour ceux- ci d ’ac­ sur 18, dont un bulletin blanc, le citoyen Mathieu est élu et va s'asseoir à la gauche quinzaine de novembre 1905. dation ne peut donner que ce qu’elle a re­ ou fonctionnaires, ou pourvus d’une situation cepter cette fonction) des hommes indé­ Température. — Maximum absolu : 13°7 çu. Qu’en outre, il est de l’intérêt du liqui­ influente, c’est à tei point que tout jeune am­ pendants, sachant mettre de côté au de M. Mahieu. Sans adresser aucune félicitation aux le 26 dans la matinée. Minimum absolu : dateur de s’intéresser au sort des vieilles bitieux qui veut arriver à i heure actuelle com­ besoin les questions personnelles et les nouveaux promus, M. le Maire se lève fié­ 2°2 le 18. religieuses; ie prélèvement de la somme mence par entrer dans le clergé maçonnique et amitiés locales, décidés à voter pour les vreux et s’exprime en ces termes : Moyenne des maxima : 8°20 ; moyenne réclamée ne peut être faite sur l’actif de la je pourrais bien facilement vous citer des exem­ représentants d’une politique patrio­ des minima : 1°97. Moyenne générale : 5°08. liquidation qui doit servir tout entier à ser­ ples sans sortir de Vaîognes. tique, respectueuse de la liberté, éco­ Messieurs, Gelée les 17, 18, 25, 28 et 30. vir au 22 religieuses, les pensions qui se­ En vérité, cher lecteurs, la bande maçonnique Il s’est passé, à propos de l’élection du second Moyenne du mois entier 6°49 ; l’an der­ raient dues. nome des finances publiques, plus sou­ adjoint un fait que ie ne saurais admettre. (Dans qui nous opprime est une bande réactionnaire et cieuse des intérêts de ragriculfcure et nier 6°85. M. le Procureur a demandé le renvoi de cléricale ! G. P. la salle éclatent quelques bravos). Baromètre. — Fluctuations barométriques l’affaire pour donner ses conclusions, ce du commerce, en un mot une politique Un certain nombre de nos collègues ont jugé nombreuses et importantes surtout du 18 au qu’il a fait jeudi dernier. de relèvement national. à propos de ne pas venir à la séance. Je ne sau­ 20, du 22 au 24, du 25 au 27. — Maximum : M. le Ppocureur déclare ne pas s’oppo­ rais approuver leur manière d’agir. 766“ le 22 ; minimum 740“ le 26. ser à la recevabilité de la demande des neri- CHRONIQUE LOCALE En conséquence, je donne ma démission de Ciel, pluie, vents. — Ciel couvert et plu­ tiers de Croisilles, mais à condition tou­ Remplacé Maire. vieux, à part la journée du 17 et les mati­ tefois qu’elle prennent rang seulement Avis. — Le Maire de Vaîognes a l’hon­ Voulez-vous que la séance continue ? nées des 18, 24 et 27. — Hauteur de la après prélèvement des pensions des mem­ neur de faire connaître à tous les intéres­ J’ai appris avec plaisir la nomination de Le public applaudit, les conseillers se lè­ pluie : 85“7. La hauteur totale de la pluie bres de la Congrégation dissoute. sés que les pièces concernant le projet de M. Lepaulmier au poste d'inspecteur pri­ vent et quittent la Mairie et en même temps tombée en novembre est de 208“3, valeur Le jugement sera rendu prochainement. classement au rang des lignes vicinales or­ maire à Vaîognes, en remplacement d’Ho­ Mahieu. cinq fois plus grande que celle réalisée l’an dinaires du chemin rural ordinaire de la mère Bellile. Parti pour ravager un nou­ Ils auraient pu lui chanter l’air de la Fa­ dernier (40“9). — Rosée le 25. — Gelée blan­ Belioterie sont déposées à la Mairie où pen­ vorite : che les 23, 26, 27, 30. — Brouillards les 18, dant 15 jours à compter d’aujourd’hui les veau pays, Homère nous a quittés laissant Imprimerie Paul L’hotellier derrière lui des souvenir mauvais, mais une Qu’il reste seul (i-t-3) avec son déshonneur. 21, 25. — Grésil le 16. — Halo solaire ie 18. habitants et autres intéressés auront la fa­ joie : Celle d’ètre débarrassés de sa triste Vents d’entre Sud-Est et Nord-Est du 16 25, rue Carnot, 25, VALOGNES. culté d’en prendre connaissance et émettre Un journal de Cherbourg disait avec juste au 22, forts ie 18 au soir, puis soufflant — nOu.-— ...... - leur opinion sur ce projet. personne. La situation n’était du reste plus raison : Morte ou mourante, la Concentra­ tenable pour un pareil individu, la preuve d’entre Sud-Ouest et Nord-Ouest du 22 au Vaîognes le 26 novembre 1905 tion radicale-socialiste a terminé à Cher­ 30 ; assez violents les 23, 26 et 27. en est qu’on l'a déplacé,- car toutes les bourg, sa bruyante carrière. Et Le Réveil, Le Maire: Mariette-Boisyïlle. comédies du Conseil municipal n’ont été CARTES DE VISITE — Le maire de Vaîognes a l’honneur de organe de cette Concentration, après avoir ETA T CIVIL Très beau Bristol, en Boites, faire conaître à tous intéressés que le rôle faites que pour dorer la pilule. chanté victoire dans son dernier numéro va Nous offrons à M. Lepaulmier nos meil­ fondre en larmes dans le prochain et nous Naissances Depuis 2 fr. le cent. Deuil depuis 2 fr. 50. de la contribution des droits d’inspection leurs souhaits de bienvenue et nous vou­ des fabriques d'eaux minérales est entre les démonter, avec son talent habituel, que Du 27 novembre : Suzanne-Ernestine Envoi par la poste : 0 fr. 25 par cent. mains de M. le receveur des finances pour lons espérer qu’il saura vite effacer à Valo- toutes ces infortunes sont encore dues aux Marie, rue de Cherbourg. recouvrement. gnes le mauvais souvenir de son peu estimé réactionnaires. Du 27 : Fernande-Amélina-Marie-Augus- Vaîognes le 26 novembre 1905. prédécesseur. J. Qu’elle comédie, mes amis ! tine Quoniam, rue Binguet. A. Delangle adjoint...... Et in pulverem reverteris. Mariages Société d’AgTiculture — Assemblée gé­ N anteuil. Du l,r décembre : Jacques-Amédée-Fran- TRIBUNE LIBRE nérale le samedi 9 décembre, à 10 heures M. Duchesnois çois Ansot, cordonnier à Vaîognes, et José- Monsieur le Directeur, du matin, à l’Hôtel de Ville. Ordre du jour : Et la Eeprésentation Proportionnelle phine-Gabrielle-Augustine Leroux, coutu­ La recommandation faite par le bureau de Admissions de nouveaux membres ; Rapport rière, en ladite ville. rUnion-Cycliste-Valognaise, aux danseurs, du trésoriersur l’état financier de la Socié­ L’Ouvrier de “ l’A rro n iseieu t ” Du 2 : Auguste-Georges-Bienaimé Lema- de se munir de gants blancs pour le bal de té et les comptes de sa gestion pendant l’an­ Nous avons eu le regret de constater que OU LES DEUX OUVRIERS MAÇONS. rié, charron, à Vaîognes, et Aurélie-Désirée née 1905 ; Election des membres du bureau, M. Duchesnois a voté contre le scrutin de Guillot, couturière en ladite ville. Mercredi dernier, ayant été critiquée pair liste, et contre la représentation proportion­ L’intelligent Journal de l'Arrondisse­ quelques personnes, je trouve qu’il sêrait Les membres sortants, MM. Buhoi, vice- DÉCÈS bon de mettre les choses au point. Les cri- président ; Lemarquand, secrétaire ; Gros- nelle, deux réformes destinées à améliorer ment publie fine lettre adressée à Monsieur Néant. ville, Noël Octave, Mouton Charles, admi­ singulièrement le régime parlementaire et Guérard, évêque de Coulances et d'Avran­ tiqueurs présentent deux observations prin­ nistrateurs, sont rééligibies ; Fixation des que la Chambre semble vouloir adopter. ches. Cette lettre est signée un ouvrier. Elle cipales. Cette mesure aurait : l° l’effet de concours cantonaux en 1906 et nomination Le scrutin de liste rétablit dans une cer­ contient deux parties : 1° Des conseils don­ TEINTURES EN TOUS GENRES de donner aux bals de cette société un ca­ des jurys. Remise des primes, diplômes et taine mesure la véritable signification du nés à l’évêque sui la façon dont il doit s’y —O— ractère officiel, ou plutôt trop mondain, 2° médailles accordés au concours d'arron vote, parce qu’il fait voter pour les opi­ rendre pour se procurer de l’argent après Ancienne Maison L’hotkllier aurait provoqué des abstentions de dan­ dissement eh 1905 ; Communications di­ nions et non pour les hommes. Avec le Ei Séparation. 2° Une protestation contre seurs n ayant point le moyen de faire la dé­ verses. scrutin de liste, on verrait moins souvent la démarche faite par tous les curés du dio­ A. Troude, Sr pense de gants blancs. des hommes néfastes pour le pays élus Je ne vois pas que l’usage des gants blancs Nota. — Les lauréats qui ont obtenu des cèse auprès de tous les habitants pour leur Rue de l’Officialité, Vaîognes, parce qu’ils savent flatter les passions ou demander s’ils sont ou non catholiques et soit réservé aux bals officiels ou mondains. primes au concours d’arrondissement de­ Succursale de la Maison A. L’kotellier, Je connais nombre de Sociétés, même vront venir en toucher eux-mêmes le mon­ les intérêts particuliers des électeurs. s’ils entendent le rester. M: Duchesnois avait peut-être une bonne L’intelligent Journal de VArrondisse­ de Cherbourg. cyclistes, qui exigent de leurs membres le tant, le jour de la réunion, ces primes ne raison pour préférer au scrutin de liste le m ent s’est évidemment trempé. Cette lettre Vente et échange de laines du pays. — port des gants blancs. Elles ont raison» car pouvant être délivrées qu’aux intéressés. scrutin d’arrondissement. L’un lui peut être doit être signée Deux ouvriers et même Spécialité de laines peignées en pelote. — les gants de couleur, (de nuances foncées Diocèse. — Nominations. — M. Fernand plus favorable que l’autre, si j’en crois Deux ouvriers maçons. Etoffes et Droguets en tous genres. — Cou­ principalement) arrivent par suite de la Marie, chapelain au Mont Saint-Michel, est M. Dépassé, rédacteur au journal le Radical, La première partie : les conseils pour se tils pour vêtements et tabliers. — Cotons et transpiration à déteindre e t abîment ies cor­ . nommé vicaire à Bricquebec. — ce n’est pas, vous voyez, un réaction­ procurer de l’argent, émane du premier ou­ fils en écheveaus et en pelotes. — Laines sages clairs des danseuses. Il est peu agré-.- Las pommes à cidre. — Décidément naire — qui écrit : vrier maçon, il s’y connaît ! le pittoresque pour matelas — Mercerie. abie pour ses dernières de voir un corsage, nous sommes à la baisse. Les prix ont fléchi « C’est un naturel et heureux mouvement château qu’il habite témoigne de son sa­ Tricots à façon de tonte espèce. quelquefois neuf, mis hors d’usage en une à Quimperlé, dans la Seine-Inférieure, dans » qui portait l’élite de nos sous-préfets à voir-faire. Certains détails qu’il donne prou­ Spécialité de laines du pays. soirée. Le fait s’est produit plusieurs fois, la Manche et le Calvados. De plus la hausse à HJ.-C.-V. et c’est là, je crois, ce qui » conquérir les sièges de députés de leurs vent qu’il a travaillé quelque temps dans La Maison achetant ses laines en gros semble devoirêtre enrayée un peu partout. » arrondissements respectifs; plusieurs un évêché. II s’en est fait mettre à la porte avait motivé la recommandation du Bu­ En Allemagne, où il n’y a plus rien à faire sur les principaux marchés de la région et » préfets marchèrent à leur tête mais d’une et son départ à fait quelque bruit. On dit les préparant elle-même, peut livrer en reau. Elle est de toute justice. Bien remar­ pour les pommes françaises, on prévoit » âme moins impétueuse : ils savent que qu’il n’a jamais dédaigné l’argent même Ve­ quer que, seul, le port des gants était re­ également la baisse. confiance des travaux de toute première qua­ » leurs chances sont loin d’égaler celles de nant d’un pape italien. lité à des prix défiant toute concurrence. commandé ; la tenue était facultative. Ces temps-ci, les mille kilos de pommes » leurs aimables subordonnés. La deuxième partie est l'œuvre de l’au­ Quant aux soi-disant abstentions, je n’y à cidre se sont payés : à Doî, 125 à 130 fr., » Le scrutin cCarrondissement est, en tre ouvrier maçon. Celui-là a fait tous les crois point, mais point du tout, il n’y a cer­ Fougères, 130 à 140 fr. ; Rennes, 135 à 140. ; » effet, moralement, politiquement et géo- métiers, maintenant il estpatron mouchard. tainement pas, parmi les jeunes gens ou dans le Morbihan, 120 fr. environ ; à Mor­ » métriquement, adéquat à la situation de Il dit que cette démarche des prêtres près GRATIS ^GRATIS ! les danseurs habituels des bals de TU.-C.-V. laix, 130 à 135 fr. : Quimper, 130 à 140 f. ; » sous-préfet ». des habitants est une inquisition? Il faut — o — un seul d’entre eux qui n’eût point pu faire Quimperlé, 120 à 124 f. ; dans les Côtes-du- pourtant bien que les prêtres et l’évêque Hémorroïdes, Eczémas la dépense d’une pièce de 3 fr. pour l’achat Nord, 130 à 150 f. ; Manche, 120 à 130 fr. ; Je livre ces lignes aux méditations des lecteurs. Ils y découvriront peut-être la sachent après la Séparation s’ils sont l’évê­ o— d’une paire de gants blancs : d’autant plus Seine-Inférieure, 135 à 150 f. ; Calvados, que ou les prêtres de beaucoup de fidèles Si vous souffrez d'hémorroïdes, d'eczé­ que les dits gants peuvent servir plusieurs 135 à 160 f. ; Eure, 135 à 140 f. raison du vote de M. Duchesnois. Mais le scrutin de liste a surtout de la ou de personne et, pour le savoir, le seul mas, ou de maladies de la peau, envoyez fois, quelques sous suffisant pour les faire THÉÂTRE DE VALOGNES valeur parce qu’il permet la représentation moyen nous paraît encore de le demander votre nom et votre adresse complète et vous nettoyer s’ils sont salis. La Cigale et la Fourmi proportionnelle. franchement aux gens. Il est vrai que cette recevrez gratis et franco par la poste un Et il sera toujours plus facile à un dan­ Rappelons qne nous aurons vendredi pro­ M. Lemoigne avait aussi voté contre le façon loyale d’agir stupéfie notre maçon pa­ échantillon d’Onguent Foster ; cette offre seur de se payer une paire de gants qne d’o­ chain S Décembre, la représentation de la scrutin de liste. Mais M. Duchesnois est le tron-mouchard. Cela ressemble si peu aux n est valable que pendant une semaine. bliger ies danseuses à faire l'achat d’un Cigale et la Fourmi, opérette à grand spec­ seul des députes de la Manche à avoir procédés ordinaires des fils d'Hiram. Pharmacie METTON. Vaîognes. nouveau corsage à chaque soirée. Donc la tacle, donnée par la troupe de M. Focheux. voté contre la représentation proportion­ Voilà deux compères qui ont perdu une mesure était bonne. Je souhaite vivement Cette œuvre est l'adaptation à la séance de nelle. bonne occasion de se taire. P ax . au contraire de ses quelques détracteurs, la fable célèbre du bon La Fontaine. Une Je veux expliquer brièvement en quoi En Correctionnelle qu’eile se généralise à l'avenir daas tous nos jeune fille de tête légère, de goût aventu­ consiste la représentation proportionnelle. bals locaux, les dames ne s’en pi&idront La fête Sainte-Cécile. — Reprenant, à pas, et ce que femme v eu t... les dan­ reux. quitte la ferme où elle est née pour Prenons comme exemple la plus récente la grande joie de la population, ses anti- Audience du 1•* Décembre 1905 aller chercher fortune à la ville ; elle S’en­ élection, celle qui a eu lieu à Châteaurou nues traditions, la musique manicinale à seurs le veulent gage à l’Opéra, gagne et dissipe beai^oup pour remplacer M. David, radical. Un libé­ On habitué des bals de VU.-C.-T. donné dimanche dernier, à l'occasion de la Goixitville. — Delaeotte Félicie-Alphon- d argent, tandis qu'à la maison sa sœur ral a été élu. (On ne m'accusera pas de fête Sainte-Cécile, deux superbes auditions sine. Veuve Brisset, 36 ans, ménagère à P- S. — II est utile de faire remarquer travaille et économise. La Cigale arrive, partialité). Voici le détail du scrutin : des meilleurs morceaux de son répertoire, Golleviile,est inculpée d'avoir, dans la jour­ que le Bureau n exigeait pas le port des­ un beau jour, crier famine chez' la Fourmi. De Barbançois, libéral, 5,834 voix, élu. La première à la messe-de midi, où il y née du 18 novembre dernier porté un coup gants blancs ; ii le recommandait seulement, Mais le théâtre est pour elle plus clément Cosnier, radical-soc., 5 612 voix. avait fouie, la seconde à l'issue des vêpres de fourche sur la tête de son voisin Louis et je suis certain qu'un cavalier eût été re­ que la fable. Elle se présente et elle est re­ Sur 11,446 votants, il n'y en a donc que sur la place Vicq-d'Azir où se sont donné j Pierre d;t Pasquet, celui-ci passant trop fusé pour avoir des gants de couleur. çue à bras ouverts ; et elle épouse l'amant 5,834 de représentés. Quant aux 5,612 autres rendez-vous, en foule compacte, tous les di- ! près de sa porte. Le sieur Pasquet porte fidele qui 1 a suivie à travers ses équipées. leur volonté ne compte pas. Cest comme ettanti Valognais. encore, près de l'ceil droit une cicatrice et Spectacle- de famille par excellence, La s’ils n'étaient pas électeurs. Des applaudissements nourris éclatant du sang desséché. Un peu plus le coap lui Cigale et la Fourmi sera un gros et légiti­ Ne serait-il pas plus juste d’envoyer sié­ à la fin de chaque morceau ont amplement me succès. aurait crevé l'œil. Il y a d'ailleurs entre CHMSIQÜE RKM S m ger les deux candidats, en leur donnant démontré au dévoué chef, M. Bourget et à eux une vieille rancune. La veuve Bris- Ajoutons que désormais, le prix des à la Chambre autant de voix qu’ils ont ses zélés collaborateurs que toujours à Ya- set ne répond pas à l'appel de son nom. Le deux derniers rangs des tribunes est fixé à réuni de fois mille suffrages, par exemnle ? lognes on aime la musique. tnbanal renvoie l'affaire à huitaine. M ontebourg — Une erreur typographi­ I fr. 25. C’est la représentation proportionnelle.' ■ A cette occasion, en faisant compliment que nous a fait dire dans notre NB du I9 Pical vu-le. — Legigan Jean-Baptiste- novembre dentier que le sieur Drouet Louis de Montebourg, était recherché poui* déser­ les champs par la bourrasque et il y a de distinguer un homme faisant deseffots sur­ Eglise et da Careulan. Je me souviens d’en avoir , cieux concoure d’un ami qui ne manquera tion, c est pour contrainte par corps qu’il grands dégâts aux maisons. humains pour se maintenir sur l’eau. Lui vu uu certain nombre à la foire de , il [ pas de nous en faire vendre beaucoup d’au- x *i5.p0,iet» actuellement au 23e de Etal Civil. — Naissances. — Du 27 : tendre la ligne que chaque douanier porte y a une quinzaine d’acuéas. Il» trouvent encore des i très. amateurs qui apprécient leur endurance. M. ! Nous enverrons donc, à titre absolument s^ter ^ C^erbourS> n’a jamais pensé à dé- Drouet, Vincent-Louis-Mauriee-Charles, au toujours sur lui fut l’affaire d’uu instant, Rouuty père, qui ét«it autrefois un des partisans Val-ès-Loups. niais l’homme commençait à perdre con­ le* plus convaincus de ces chevaux, me disait ! gratuit, et franco par la poste, — Un V°1 d’un certain Du 28 : Scelles, Pierre-Louis-Adélestin, naissance, il ne put s’en servir. Alors, M. qu’ils étaient excellents pour ta sali» et pou­ UNE PLEINE BOITE S ÿ j 1® vo11.aill®s a été commis dans la place des Buttes. GuiUet, n’écoutant que son courage, des­ vaient faire, sans fatigue, quatre-vingts kilo­ de “ Pilules Foster pour les Reins ” à toute nuit de samedi à dimanche dernier au pré­ Mariage. — Du 30 : Monmélien, Marin- cendit par l’une des échelles de fer qui se métras dans la même journée. Ils sont, du res­ 1 personne souffrant des reins, qui voudra judice de Mme Papillon-Duperrev. L’auteur Ernest-Louis, 24 ans, charpentier, et Letel- trouvent le long du quai et, le corps à te, tout aussi bons pour traîner une voiture légè­ est inconnu. re. comme le tilbury. bien envoyer son nom et son adresse com­ Jier, Marie-Justine-Léontine, 33 ans, coutu­ moitié dans l’eau, s'accrochant d’une main Ma'gré cala, la raee est délaissée. Elle manque plète. Que tous profitent de cette unique — Mardi soir, deux gendarmes rière, domiciliés à Bricquebec. à l’un des échelons, fut assez heureux pour de taille et n’est pas conformée pour la remonte. occasion ! Remarquez qu’il ne s’agit point de service de nuit ont rencontré une char- Décès. — Du 25 : Letourueur, Auguste- saisir le noyé et le hisser sur le quai. J’en ai fait l’expérience personnelle récemment, ici d’une boîte échantillon, mais bien d’une attelee et non éclairée. Procès-verbal Bienaimé, 80 ans, charbonnier, route de — Vendredi dernier, on expédiait à la quand j’ai eu uq produit d'uue bê

• Etude de M* DESVAUX, autres maisons, l’une nommée la For­ Avenue, bois taillis, cadastré numéro d’une contenance d’environ 144 hec­ Etude de Me Gaston DÉNEL, du chemin bornée p.*r M. Jaunet, M. Avoué à Valognes. ge de Pannelier cadastrée numéro 172, 257, la Pièce Edouard, la Pièce Jean, tares, £7 ares 01 centiares. Licencié en Droit, Notaire à Valognes Allix-Desf&utaux, M. Pierre Pillet et —o— l’autre la Petite Pente, cadastrée nu­ pâtures, cadastrées numéros 258 et Copie collationnée de ce procès- (Successeur de M* Ourt). le chemin. méro 232 et diverses pièces de terre 259, la Pièce Baptiste, labour, cadas­ verbal d’adjudication a été déposée —o— Suivant procès-verbal d’adjudica­ nommées : L’Avenue du Couchant, trée numéro 260, la Pièce Antoine, la 6e lot. — Une pièce de terre en tion dressé par Monsieur Piton, Juge au Greffe du Tribunal Civil de Valo­ ADJUDICATION labour, nommée les Hérauts. conte­ labour, cadastré numéro 177, l'Her­ Pièce Vallée, la Chasse Louis, pâtu­ gnes, le quinze juin mil neuf cent au Tribunal Civil de Valognes, le dou­ bage du Couchant, l’Avenue du Cou­ nant 1 hectare 18 ares 08 centiares, ze août mil neuf cent deux, Monsieur res, cadastrées numéros 261, 262 bis, cinq, et le procès-verbal de dépôt dé­ Publique,en l’étude et par le ministère bornée par M. François Lefèvre, M. chant, et l’Avenue du Midi, pâtures, 263, la Petite Avenue, avenue, ca­ livré par ie greffier le dix-neuf juil­ Jean-Pacôme Vauîtier, négociant de­ cadastrées numéros 206, 207, 208, le dastrée numéro 1.037, le Marais Etas- de Me Dénel, notaire à Valognes, François Valognes et M. Jean Mou- meurant et domicilié à Cherbourg, a let mil neuf cent cinq, a été signifié chel. Château de Pannelier, jardin, cadas­ se, la Pièce Etasse. pâtures, cadas­ à Monsieur le Procureur de la Répu­ LE VENDREDI 22 DÉCEMBRE 1905, été déclaré adjudicataire par le prix tré numéro 210, lePré du Jardin, le 7e lot — 1° Une pièce de terre en principal de 65.825 francs, du pre­ trées numéros 250 et 251, la Pièce blique près le Tribunal Civil de Valo­ à 1 heure. Pré de la Fontain^ pâtures, cadas­ Napoléon, jannière, cadastrée numé­ gnes, le onze octobre mil neuf cent labour, nommée la pièce Sauvage, mier lot des biens situés à Brix, dé­ trés numéros 211 et 212, la Pièce Ma­ contenant 72 ares 30 cent ares, bor­ pendant de la communauté d’entre ro 248, le Marais Napoléon, pâture, cinq, par exploit deM* Michel, huis­ rie-Louise, labour, cadastrée numéro cadastrée numéro 249, le Fosse à Chè­ sier à Valognes, avec déclaration que née par M. Jean Néhou, M. Lemaro- Monsieur Eudoxe-Marie-Gabriel Re- 213, la Quincouge, herbage, cadastrée D’IMMEUBLES tel, un chemin et la jannière ci-après. gnouf de et Madame Marie- vre, bruyère, cadastrée numéro 244, les anciens propriétaires connus des numéro 214, la Pépinière, pépinière, la portion de la Pièce Baiin, pâture, immeubles sos-designés étaient indé­ S itués à TAHERVILLE. 2° Une jannière, nommée le Clos Thérèse-isabelle Poujol d’Acqueville, cadastrée numéro 215, la Chasse de son épouse, ainsi que de la succes­ cadastrée numéro 228, le Marais Etas­ pendamment des vendeurs : 1° Mon­ du Milan, contenant 20 ares, bornée la Grande Avenue, labour, cadastrée se, jannière cadastrée numéro 252, la sieur Alfred Baudry, propriétaire de­ Désignation sion de cette dernière décédée à Brix, numéro 216, la Pointe Grand Fils, par la pièce ci-dessus, M. Nehou et le neuf mai mil huit cent quatre-vingt- pièce Clovis, pâture, cadastrée numé­ meurant à Rouen, et Monsieur Frédé­ lrr lot. — Un bel herbage non un chemin. jannière, cadastrée numéro 218, l’A­ ro 1.025, la Pièce des Cailloux du Mi­ ric Baudry, conservateur à la Biblio­ douze, vendus par licitation et sur venue du Nord, herbage, cadastré planté, édifié d’une charretterie, nom­ 8' lo t — Un herbage non planté, baisse de mise à prix, en exécution de di, labour, cadastrée numéro 224, la thèque Mazarine, demeurant à Paris, mé le Marais, divisé en trois parties numéro 219, le Parc du Couchant, ie Pièce du Milieu, la Pièce du Mont, quai Conti, numéro 23 ; 2° Mon­ nommé te Clos Friguel de Haut, con­ deux jugements rendus par le Tribu­ Parc du Levant, la Plavée du Levant, sur le bord de la grand’route de Va­ tenant 60 ares, borné par MM. Duval, nal Civil de Valognes les vingt-sept pâtures, cadastrées numéros 225 et sieur Aristide-Narcisse Lecouturier lognes à .Saint-Vaast, à 1 kilomètre la Plavée de Couchant, pâtures, ca­ 226, la petite Pente, jannière, la Fief- et Madame Marthe-Sophie Chéron, Louis Carré et un chemin. mars et quinze juillet mil neuf cent dastrés numéros 220, 221,222, 223, la fe au Chesne, bruyère, cadastrée nu­ de la ville, contenant 1 hectare 74 —o— deux, sur les poursuites de Monsieur époux, demeurant en leur vivant à ares 60 centiares, borné par la route, Pièce à Cailloux du Midi, jannière, méro 244. le Jardin à la Forge, jar­ Paris ; 3° Madame Baudry, née Le­ Pour tons renseignements, s'adres­ Eudoxe-Marie-Gabriel Regnouf de cadastrée numéro 227. la Pièce Rosa­ din, cadastré numéro 171, le Closet la chasse du hameau Siquet, Madame ser à Me Dénel, notaire à Valognes, Vains, propriétaire demeurant à Brix, couturier ; 4* Monsieur Louis-Etien­ Lecler et le 2e lot. dépositaire des titres de propriété. lie, la Pièce Françoise, la Pièce So­ de la Demi-Aune, le Deuxième Closet, ne Lecouturier, propriétaire, demeu­ contradictoirement avec Monsieur phie, pâtures, cadastrées, numéros herbages, cadastrés numéros 173 et 2* lot. — Un très bon herbage non Ernest Poujol d’Acqueviîle, proprié­ rant à Rouen, rue des Carmes ; 5° 229, 230 et 231. la Grande Pense, jan­ 174, ia Ferme de la Pannellerie. la­ Madame Françoise-Rosalie Baslin, planté, nommé le Clos Godefroy, Etude de Me Edouard BARILLET, taire demeurant à Saint-Valéry-sur- nière cadastrée numéro 234, le Grand bour, cadastré numéro 175, la Ferme contenant 79 ares 20 centiares, borné Somme, en qualité de subrogé-tuteur propriétaire, épouse de Monsieur Notaire à , 12, Place du Massif de la Ruette, futaie, cadastrée de la PanDeHerie, jannière, cadastrée Jean-Baptiste-Antoine Guéritain, de­ ar Madame Lecler, la chasse du Marché (Successeur de M* Sergent). remplissant les fonctions de tuteur de numéro 235, le Pré de la Ruette, le numéro 17S, la Ferme de Bas, la Messieurs Max-Jules-Augustin-René- meurant ensemble à Brix ; 6° Made­ ameau Siquet et Madame Lepoitte- — o — Marais de la Grande Lande, pâtures, Pointe, labours, cadastrés numéros moiselle Marie-Désirée Prémesnil, oc­ vin. A VENDRE A L’A NIABLE Benoit-Joseph-Marie Regnouf de Vains cadastrés numéros 236 et 237, le Mas­ 305 et 308, la Petite Pente, jannière, et Michaël-Gustave-Joseph-Marie Re­ cupée au ménage. Monsieur Hippoly- 3* lot. — Une maison d’habitation. sif du Marais, futaie, cadastré numé­ cadastrée numéro 232, la Ferme dé te Ferdinand Prémesnil, maçon, et gnouf dè Vains, issus du mariage de ro 238. le Pré du Canon de Culotte, Bas, le Clos de Haut, labours, cadas­ avec cour et jardin, sise au hameau Monsieur et Madame Regnouf de Madame Anne - Françoise Dubost, Siquet ie tout contenant 7 ares 14 pré. cadastré numéro 22&, le Massif trés numéros 3*06 et 307, le Morceau époux, tous les trois demeurant à La TERRE ei FERME Vains sus-nommés, en présence de da Canon de Culotte et le Massif de à Marianne, la Vallée, la Ferme à centiares’, et borné par Madame Le­ Des Carrières, Monsieur Paul-Louis-Joseph Bienve­ Brix. cler et ie chemin du hameau SiqneL la Grande Lande, futaies, cadastrés Bruyère, bruyères, cadastrés numé­ Située à 2 kilomètres de Montebourg. nu, propriétaire à Valognes, subrogé- numéros 340 et 241, La Grande Lan­ ros ff7. 311 et 310, ia Pièce de l'An­ La présente insertion faite en con­ Ie iOî~_ — Un très bon herbage tuteur ad-hoc des dits mineurs. de, bruyère, cadastrée numéro 242, la née. pâture, cadastrée numéro 233 p. formité de F avis du Conseil d'Etat du planté de pommiers, situé triage Sur le bord d on chemin vic-n&l. Petite Lande, jannière, cadastrée nu­ 9 mai 1937. a pour but de pureer les d'Arpentigny. nom mêle Clos Jacques. Composition da premier lot : Le tout situe à Brix, section A du ca­ Comprenant : Maison d'habitation méro 243, la Pièce Messidor, la Pièce dastre, formant an entretenant borné immeubles vendus de toute hypothè­ contenant 4! ares 20 centiares, borné :| f-i bâtimenis d explo'iï3îion vu parfait Les immeubles formant le premier Adèle, ia Pièce Louis XIV, labours, par la route de Cherbourg à Paris, le que légale inconnue, par M. Lemeiand, M. Vautier et la état. — Prairirs et herbages. — Le lot se composaient d une propriété, cadastrés numéros 245, 246 et 247, la chemin de la Glacerie, lesecond lot. Valognes le 1" Décembre 1905. tout très bien planté. — Contenance : située à Brix, nommée le Château de Pièce Zoès, la grande Avenue du Le­ le ruisseau de Culpereux. la propriété .9 hectares environ. — Revenu : 950 Pannelier avec toutes ses dépendan­ vant, pâtures, cadastrées numéros de La Boissaye. la route ae Brix à Signé: Ch. DESVAUX. ! 5e lot. — Une maison a nnbitatiûn francs. ces, cadastré, numéro 209, de deux 2oo et 236, la Pointe de la grande Sàint-PienL-Eglise et une chasse, | avec grange et jardin de fautre côté S'adresser à M* Barillet, notaire. » *&+*&** *T

Etude de M* Gaston DÉNEL Etude de Mc Charles GIOT Etude de Me MOUCHEL Licencié en droit, notaire à Yalognes Notaire à Sainte-Marie-du-Mont. LIBRAIRIE, PAPETERIE, RELIURE, JOURNAUX, ENCADREMENTS (Successeur de Me Olry). Greffier de Paix à Montebourg. A LOUER —o— Pour les jours Saint-Michel A . B r o e h a r d , Yalognes VENTE A. Louer VENTE et Noël 1907, DE GRÉ A GRÉ De : LA FERME APPAEEILS & FOURNITURES PHOTOGRAPHIQUES, ClnuiUe Nuire D’ARBRES SUR PIED /. Avec entrée en jouissance à Noël Dont beaucoup sont propres au débit 1305, 20 bonnes vaches à lait, pleines, CHARRETTES & VOITURES DENFANTS Sur le Domaine de Ravenoviile, dont une à terme et plusieurs amouil- De la Beuzevillerie f a n a L l . IIB J ’f l l x Ballons, Cerceaux, Cordes à sauter, Raquettes, 1° A Sainte-Marie-du-Mont lantes. Sise sur et Saint-Floxel. LE DIMANCHE 10 DECEMBRE 1905 tfOUGlS. tiG U Z fl § l |c Croquets, Tonneaux, Foot-Balls, Tennis 4 génisses de 2 ans, pleines. Composée de bâtiments d’habita­ * m Jeux de Plage et Jardins. à une heure. Une Maison d’habitation 4 génisses de 15 mois? Au Bourg; tion et d’exploitation, cour, jardin., Articles pour Noces et Fêtes : Drapeaux, Guirlandes, Illuminations, 3 génisses de l’année. terre labourable et herbages plantées Un herbage à Mardelle, premier 1 taureau de 2 ans. Pièces d’artifices. et non plantées, prairies et jannières. —“ CHARMANTS SOUVENIRS DE VALOGNES JET DE NORMANDIE » - fonds, dit la Pièce Laval, 3 hectares 1 cheval hongi’e, très bon de ser­ Il y a six cent cinquante-quatre A VENDRE DE GRÉ A GRÉ 13 ares 57 centiares; vice. Cartes postâtes du pays, Nouveautés, 350 Modèles. Le Bougonnet et le Grand Clos, ominiers sur cette ferme et de 1 pouliche de 15 mois, par Taverny, feau dans les herbages et prés. a Ibums à Collections, Photographies, Cartes postales, depuis 1 fr . 25. Une Maison de Maître herbages de b hectares, à la Grande Colporteur, Foumichon et Usuel. Dune. La contenance est d’environ 73 Cartes Céagraphl^i—a, PIm u , Ob Mm pour t t « Paya Située à YALOGNES, rue de 1 pouliche de 15 mois, pai Taverny hectares 30 ares. 2° A Blosvilie Qui-Sait, Reynold, Lavater. MAROQUINERIES, MALLES, VALISES, ARTICLES DE VOYAGES Poterie, n° 97, ' Pour visiter, s’adresser : à M- LE- Avec grand jardin et sortie sur le 1 carriole et une faucheuse à deux CHEVALIER, sortant ; CHRISTS, CROIX, BOUQUETS, COURÛMES MORTUAIRES chemin conduisant à la gare du Excellente exploitation chevaux. Bourgneuf. ° agricole dite les Vaux, 20 hectares 70 Et pour traiter : à M. JEANNE, 17 Spécialité pMr lu ENCtO IEO Eni s Prix très rééxHa. “'“es. Le Vendredi 15 Décembre 1905. rne des Capucins à Yalognes. Pour visiter, s’adresser rue de Po­ a midi précis, à , ferme du 3° A Turqueville Grand-Clos, ou de Houlbec, terie, n° 93, les mardi et vendredi, de 1 hectare 25 ares herbages dans la 3 a 5 heures. Campagne du Homme. Requête de M. Carbonnel. A VENDRE GRANDS Pour traiter, s’adresser à M® Dénel. CRÉDIT DE PAQUES 1906. — o — II. Avec entrée en jouissance Un Moteur â Vapeur MÊME ÉTUDE. immédiate. A Bruchevüle, aux Grèves CARROSSERIE — SERRURERIE En très bon état. MAGASINS 0 HABILLEMENTS CHARRONNAGE À LOUER 20 hectares d’herbages Force deux chevaux. Pour Hommes, Jeunes Gens et Enfants Pour entrer en jouissance de suite, Dits les Grèves. Auguste MAUROUARD S’adresser au bureau du Journal. A Saint-J oseph UNE MAISON S’adresser à M* Giot, notaire à Rue des Religieuses, à Yalognes Sainte-Marie-du-Mont. A VENDRE 115, 117, 119, Rue Montmartre. avec cour devant et derrière, jardin (Ancienne Maison AUix) JOLIE située rue Saint-Lin. A l’honneur de faire connaître qu’il À l o i l f i r Présepteroenl, pour cause Grande Fabrique Pour visiter, s’adresser à Mme Yi- r \ 1 UUC! de départ, Boulangerie continue à s’occuper de tous les tra­ Petite Chienne chasse mont; suuee dans un bourg commerçant de vaux concernant la carrosserie et la Croisée de setter laveracketde setter 50, Rue Turbigo. Pour traiter, à Me Dénel. 1 arrondissement de Yalognes. serrurerie, ainsi que le charronnage. gordon, âgée de trois ans, très douce, S’adresser à Madame veuve Gressin, Réparations de Voitures. bonne broussailleuse, allant très bien Au Pont-Neuf A V E N D R E a Montebourg, ou à M. Cazenave, VENTE ET ECHANGE DÉ VOITURES à l’eau. Prix très modéré. 4 et 6, Rue du Pont-Neuf. imprimeur à Bricquebec. Travail soigné.— P rix modérés. 2 S’adresser 99, rue dés Religieuses, CHIER DE CHASSE à Yalognes. Tour Saint-Jacques Tr ès bon de garde. 88, Rue Rivoli.

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