SOCIETESOCIETE DES DES TECHNIQUES TECHNIQUES D’AMENAGEMENTD’AMENAGEMENTDEPARTEMENT DU

COMMUNE DE

BREVILLE‐LES‐ MONTS

[PLAN LOCAL D'URBANISME] 4.1 – Annexes sanitaires [Approbation]

P.O.S. Initial Approuvé le 7 septembre 1981 Révision n°1 Vu pour être Approuvée le 10 mars 1992 annexé à la Modification n°1 Approuvée le 11 juin 2002 délibération du conseil municipal du :

TECAM 12, voie des Alliés 14 440 Douvres‐la‐Délivrande Mars 2010 02.31.37.72.22

SOMMAIRE

Avant-propos ...... 2

1 - Alimentation eau potable...... 3

1.1) Données générales 3 1.2) Les installations existantes 3 1.3) L’eau distribuée 6 1.4) Les améliorations à apporter (propositions de l’exploitant) 8 1.5) Les perspectives 9 1.6) La défense contre l’incendie 9

2 - Assainissement eaux usées...... 10

2.1) Généralités 10 2.2) Les installations existantes 10 2.3) Le zonage d’assainissement 15

3 – Assainissement eaux pluviales ...... 18

3.1) La situation actuelle 18 3.2) Le réseau projeté 18

4 - Note technique sur les ordures ménagères...... 19

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Avant-propos

Le document ici établi ne remplace pas les études techniques détaillées préalables à tout projet d’aménagement ou de construction. De même, les réseaux et ouvrages sont figurés sur les plans à titre indicatif, en application des documents fournis par la commune et/ou les gestionnaires des réseaux. Ils ne sauraient se substituer aux plans de récolement des réseaux qui devront être consultés en tant que de besoin.

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1 – Alimentation eau potable

1.1) Données générales

La commune de Bréville-les-Monts est située en limite du Pays d’Auge, à près de 15 kilomètres au Nord-Est de . Le territoire communal s’étend sur un peu plus de 475 hectares. Trois pôles d’habitat se répartissent sur ce territoire :

• Le village, autrement appelé le Haut de Bréville, au Nord-Ouest ; • Le hameau du Bas de Bréville, au Nord-Est ; • Le hameau du Mesnil, au Sud-Est.

Au recensement de 2004, la Commune comptait 677 habitants. Quoiqu’en nette progression depuis 1999, cette population affiche une tendance au vieillissement, qui pourrait s’accentuer au cours des prochaines années.

Pour soutenir la croissance démographique et répondre à la demande en logements, la Municipalité se fixe entre autres objectifs dans le cadre du P.L.U., de rendre possible une augmentation progressive de la population communale. Cette évolution ne devra pas avoir pour effet de dépasser 900 habitants au terme du plan, pour un objectif à mi-parcours fixé à 800 habitants environ ; soit, un gain d’environ 100 habitants.

Afin d’atteindre cet objectif, l’ouverture à l’urbanisation de la zone 1AU rendre possible la réalisation d’une cinquantaine de logements environ permettant ainsi d’atteindre l’objectif à mi-parcours susvisé.

Parallèlement, l’aménagement d’une zone d’activités intercommunale (AUe) est programmée à terme au lieu-dit du Mesnil, sans qu’il soit néanmoins possible pour l’heure de définir un calendrier précis. Un aménagement qui, quoi qu’il en soit, est susceptible de générer à terme des besoins supplémentaires en matière d’eau potable.

1.2) Les installations existantes

1.2.1) Généralités

La commune de Bréville adhère au Syndicat Intercommunal à Vocations Multiples de la Rive Droite de l’Orne. Le Syndicat a confié la gestion de son réseau et de ses ouvrages, à la Société Saur- , par un contrat d’affermage de 9 ans (mars 2001/30 juin 2010).

En 2006, le SIVOM comptait 6000 abonnées, dont 259 sur le territoire de Bréville-les-Monts. Ce nombre marque une progression de 0.39% par rapport à l’année 2005. (En 2007, le S.I.V.O.M. comptait 6120 abonnés, dont 265 sur le territoire de Bréville-les-Monts : +2.3% par rapport à l’année 2006).

Durant la même période 2005-2006, 682 584m3 ont été consommés dans l’aire du Syndicat, dont 31 841 m3 sur la commune de Bréville, soit 4,7% de la consommation totale du SIVOM (en 2007 : 642863 m3 d’eau consommés sur le SIVOM, soit -5.82% par rapport au volume consommé en 2006).

Sur les 6 000 abonnés que comptait le Syndicat, 80 ont eu une consommation cyclique supérieure à 500 m3 d'eau. Aucun d’entre eux n’est domicilié sur le territoire de Bréville.

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1.2.2) Les installations de production (source : Saur-France - rapport d'activité 2006)

Filière de Localisation Capacité m3/h Nature de l’Eau traitement Station de production 70 Souterraine : source désinfection de Longueville Captage de Ranville Ranville 25 Souterraine : source désinfection Forage de production Amfreville 28 Souterraine : source désinfection de la Basse Ecarde F3

1.2.3) Les ouvrages de prélèvement d’eau brute (source : Saur-France - rapport d'activité 2006 et rapport annuel 2007 du SIVOM Rive Droite de l’Orne sur la qualité du prix et du service)

Débit nominal Variation Date de mise Localisation Prélèvement 2007 m3/h 2006/2007 en service Captage de Ranville Ranville 30 43094 ‐69.27% 1984 Forage F1 Ranville 25 78369 ‐19.72% ‐ Forage F3 (la Basse Ecarde) Amfreville 60 163058 +68.93% ‐ Forage F4 40 62942 ‐32.35% ‐ Forage F5 Bavent 39 62942 ‐15.44% ‐ Forage F6 Bavent 35 49748 ‐5.28% 1987 Forage F7 Bavent 90 253861 ‐21.98% ‐ Forage F8 Bavent 40 97275 ‐24.57% ‐ Forage F9 80 165947 ‐22.69% ‐

1.2.4) Les installations sur le réseau (source : Saur-France - rapport d'activité 2006)

Stations de surpression et de reprise DESIGNATION LIEU DEBIT NOMINAL (M3/H) : Reprise Longueville : Ranville 100 Reprise les Monts : Bréville 100 Surpression de Touffreville : Bavent 15 Reprise des Hauts Vents et forage F6 : Bavent 250

Les ouvrages de traitement sur le réseau

LA STATION DE DEFERRISATION, SITUEE SUR LE TERRITOIRE COMMUNAL, ASSURE UN TRAITEMENT BIOLOGIQUE, PHYSICO‐ CHIMIQUE ET DE DESINFECTION.

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1.2.5) Les ouvrages de stockage (source : Saur-France - rapport d'activité 2004)

Châteaux d’eau et réservoirs

DESIGNATION VOLUME EN M3 COTE TROP PLEIN COTE SOL COTE RADIER Réservoir Bréville (sur tour) 350 79 62 75

RESERVOIR BREVILLE (SEMI ENTERRE) 900 66 62 62

RESERVOIR BREVILLE (SUR TOUR) : 2000 95 62 83 RESERVOIR MERVILLE‐FRANCEVILLE : 600 48 10 42 (sur tour)

Bâches de reprise et de surpression

DESIGNATION VOLUME EN M3 Déferrisation de Bréville‐les‐Monts\Bâche de Bréville : 150 Déferrisation de Bréville‐les‐Monts\Bâche de Bréville : 500 Surpression de Touffreville\Bâche de Toufreville 25 Reprise des hauts vents et forage F6\ Bâche des Hauts Vents 75 Station de production de Longueville & captage de Ranville\Bâche de Longueville 30

Deux zones de distribution sont définies en fonction de leur mode d’alimentation en eau :

Zones de distribution et origine des eaux :

Zone de distribution réseau haut Alimentée par le mélange des eaux des forages de Bavent, F1 de Ranville et en complément par le forage de la Basse Ecarde à Amfreville.

Zone de distribution Zone côtière Alimentée par le mélange des eaux des forages de Bavent et F1 de Ranville.

Zone alimentée par une autre collectivité

Sur l’ensemble du SIVOM, le réseau d’adduction se compose d’un linéaire de canalisations de 237.0 km, soit +0.10% depuis 2006.

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Le Haut de Bréville est alimenté par des canalisations de 350 mm et 110mm de diamètre. Plusieurs canalisations de diamètres variés (Ø60 à Ø160) s’y connectent, permettant ainsi de desservir les constructions du Haut de Bréville.

Le Bas de Bréville est desservi par :

• une canalisation fonte de 80 mm de diamètre, passée sous la R.D. n°236 ; • une canalisation de 80 mm de diamètre, qui emprunte la rue du Clos Bigot et se prolonge vers Gonneville-en-Auge, le long de la V.c. n°1 dite des Trois Coins; • une canalisation de 160 mm de diamètre, qui dessert la rue des Prairies et celle des Basses Terres et qui est maillée avec la canalisation passée sous la R.D. n°223 et desservant les stations balnéaires.

Le Hameau du Mesnil est quant à lui desservi par des canalisations en fonte de 60 mm et PE 90mm de diamètre (enterrées sous la R.D. n°513) et prolongées d’autres canalisations secondaires.

1.3) L’eau distribuée

1.3.1) Production et exportations

Pour l’exercice 2007, les résultats sont les suivants : Eau distribuée sur le Syndicat :...... 893 506 m3 Eau exportée vers : ...... 24 911 m3 Eau exportée vers :...... 58 819 m3 Volume total des exportations ...... 83 730 m3 Production totale :...... 977 236 m3

En 2007, la production du Syndicat se caractérise par une baisse (-20.12% par rapport à 2006). Cette diminution fait suite à celle déjà observée entre 2004 et 2006, (-18,9% par rapport à 2004), et s’explique par une diminution des volumes exportés (-27,4% par rapport entre 2004 et 2006, -74.94% de 2006 à 2007). Les volumes distribués sont par contre comparables à ceux de 2006 (+0.47%), alors qu’ils étaient en baisse de 15% entre 2004 et 2006.

La vocation touristique des communes du Syndicat, mais surtout des deux communes importatrices, se traduit par une nette augmentation du volume de la production durant la période estivale (juin/septembre).

En 2006, les résultats pour cette période correspondent à :

- 40% de la production totale du SIVOM sur cette période, - 50% du volume total des exportations.

Le rendement du réseau (volume consommé/volume mis en distribution) est inférieur à 80% (76,7% en 2006), en raison de pertes liées à la vétusté de certaines canalisations. Chaque année, le S.I.V.O.M. finance la réhabilitation des sections les plus anciennes de ce réseau, notamment à l’occasion d’intervention sur la voirie.

1.3.2) La qualité du produit

L'eau brute (il s'agit de la ressource, qui peut être issue de forages ou de l'eau de surface)

La station de la Basse Ecarde est un forage sensible contaminé d'une part, par les nitrates (moyenne de 60,1 mg/l) et d'autre part, par les pesticides avec entre autre la déséthylatrazine (moyenne de 0,10 µg/l). Toutefois ces eaux ne sont pas distribuées directement, puisqu'elles sont mélangées avec les eaux de Bréville-les-Monts.

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Aucun dépassement de la norme n'est en revanche constaté sur le captage de Longueville.

L'eau traitée (il s'agit de l'eau produite par les stations de traitement)

Situation Nature Traitement Déferrisation physico‐chimique Bréville‐les‐Monts Forages (F4 à F9) Désinfection au chlore gazeux Antitartre magnétique

Basse Ecarde Forage F3 Désinfection au chlore gazeux

Ranville Forage F1 Mélange avec les eaux de Bréville

Aucune anomalie n'a été constatée sur les eaux traitées durant l'exercice 2006.

L'eau au point de mise en distribution (il s'agit des eaux considérées comme représentatives de la qualité de l'eau sur le réseau de distribution d'une zone géographique déterminée, où les eaux proviennent d'une ou plusieurs sources et à l'intérieur de laquelle la qualité peut être considérée comme uniforme).

L'ensemble des analyses bactériologiques et physico-chimiques effectuées aux points de mise en distribution du S.I.VO.M. (réservoirs de 350 et 2000 m3 et station de Longueville) sont conformes aux limites de qualité définies par le décret 2001-1220.

Sur le plan physico-chimique, deux dépassements de la référence de qualité sur les paramètres fer et turbidité ont toutefois été constatés en février 2006, à la sortie du réservoir 350 à Bréville-les-Monts. Toutefois, la contre-analyse réalisée deux jours plus tard a montré une turbidité et une concentration en fer largement inférieures aux normes.

L'eau distribuée (il s'agit des eaux disponibles chez les clients après passage dans le réseau de distribution)

Cette eau a également fait l'objet d'analyses qui sont conformes sur le plan bactériologique et physico-chimique, aux limites de qualité définies par les normes en vigueur.

Par ailleurs, la D.D.A.S.S. du Calvados a réalisé pour l'année 2004, une synthèse relative à la qualité des eaux de distribution du S.I.V.O.M. de la Rive Droite de l'Orne : 44 prélèvements de contrôle ont été effectués au niveau des installations de production et sur le réseau du Syndicat. L'eau distribuée sur la période a été jugée de bonne qualité au vu des paramètres mesurés.

Les deux zones de distribution ont été alimentées par de l'eau de très bonne qualité bactériologique.

• Les teneurs en nitrates sont restées inférieures à la limite de qualité de 50mg/l (milligramme par litre). • Pour les substances appartenant à la famille des pesticides, la valeur réglementaire de 0,1 µg/l (microgramme par litre) est inférieure aux seuils de toxicité connus. Aucun dépassement de la limite de qualité n'a été relevé. • Les teneurs en fluor relevées restent conformes aux normes, mais dépassent la valeur de 0,5mg/l. (0,79mg/l pour le réseau haut et 0,93 mg/l pour la zone côtière). Aussi, l'utilisation, pour la prévention de la carie dentaire, de sel de cuisine fluoré ou de comprimés fluorés est déconseillée.

Toutefois, il apparaît que :

- L'eau distribuée est fortement calcaire. - Le potentiel de dissolution du plomb de l'eau distribuée est élevé. En présence de canalisations en plomb, la teneur en plomb dans l'eau risque de dépasser la limite maximale

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de qualité. Il est recommandé de laisser couler l'eau jusqu'à ce qu'elle devienne fraîche et stable en température, avant l'utilisation pour la consommation et de prévoir le renouvellement ou la réhabilitation progressifs de ces canalisations.

Valeurs observées sur certains paramètres

Nitrates Atrazine‐ Zones de Moyenne en maximum en Déséthylmaximum en Dureté moyenne en °F distribution mg/l mg/l mg/l Zone côtière 8,2 21,2 0 46,1 Réseau haut 21,8 36,23 0,06 44,8

1.4) Les améliorations à apporter (propositions de l’exploitant)

Plusieurs propositions d'améliorations ont été formulées par l'exploitant, à l'issue du bilan de l'exercice 2006. En voici quelques-unes :

Gestion de la ressource

L'exploitant signale que les ressources sont exploitées au maximum des pointes du 14 juillet et du 15 août Certains forages passent en manque d'eau, plus particulièrement ceux qui sont chargés en Fer.

Il est proposé de réaliser un diagnostic des capacités de chaque forage et de prévoir un nettoyage ou une réhabilitation.

Le réseau/qualité de l’eau

Il reste environ 675 branchements plomb. Ö L'exploitant propose de continuer le remplacement des branchements plomb.

Des fuites sur la conduite Seperef peuvent avoir des conséquences importantes. Ö Remplacer les 11 Km de Seperef.

De nombreuses fuites sont observées, en particulier sur les conduites fonte. Ö Prévoir le renouvellement de ces conduites.

Réservoirs

Il existe des problèmes de qualité d'eau sur le Home et Petiville Ö L'exploitant propose de renouveler les conduites en fonte et de supprimer en premier lieu les conduites en double, voire en triple, à certains endroits.

Le béton des réservoirs 350 m3 de Bréville-les-Monts et Franceville se fissurent. Ö Il convient d'envisager une remise en état de ces réservoirs, en particulier celui de Bréville, qui est le plus dégradé.

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1.5) Les perspectives

1.5.1) Les besoins futurs

En 2006, le S.I.V.O.M. de la Rive Droite de l’Orne comptait 259 abonnés sur le territoire de Bréville, qui ont consommé 31 841 m3 d’eau ; soit, 4,7% de l’eau distribuée sur l’ensemble du Syndicat.

La moyenne annuelle par abonné est donc de 123 m3 d’eau, ce qui est légèrement supérieur à la moyenne annuelle du Syndicat, qui est de 114 m3 d’eau, pour la même période.

Compte tenu des possibilités de développement urbain définies dans le Plan Local d'Urbanisme l’augmentation du nombre d’abonnés sur la commune sera comprise entre environ 50 à moyen terme et 100 au terme du plan.

En partant d’une hypothèse de consommation annuelle de 130 m3 d’eau, ce qui représenterait une augmentation des volumes consommés par abonné d’environ 5,5%, par rapport aux résultats de 2006, on obtient les chiffres suivants :

A moyen terme (8 ans) :

130 m3 x (259+50*) =…… 40 170 m3/ an,

Soit, une augmentation de la consommation annuelle par rapport à 2006 de 26% à l’échelle de la commune et de 1,2% à celle du Syndicat.

A long terme :

130 m3 x (259+100*) =…… 46 670 m3/ an,

Soit, une augmentation de la consommation annuelle par rapport à 2006 de 46,6% à l’échelle de la commune et de 2,2% à celle du Syndicat.

Les projets de développement de la commune n'auront donc qu'une incidence très relative sur la capacité du Syndicat. Néanmoins, dans un objectif de développement durable, il convient pour le S.I.V.O.M., ainsi que pour les communes importatrices, d’anticiper sur les besoins futurs des communes du Syndicat.

1.5.2) Les réseaux projetés

L'alimentation en eau potable des différentes zones à urbaniser sera réalisée par extension du réseau existant au droit de chaque zone. Lorsque cela s'avérera nécessaire, un renforcement du réseau pourra être entrepris : renforcement des canalisations, création d'un réservoir, etc...

1.6) La défense contre l’incendie

Pour sa défense contre l’incendie, la Commune dispose des équipements suivants :

‚ 2 poteaux incendie au hameau du Bas de Bréville, 1 poteau incendie dans le Hameau du Mesnil ‚ 6 poteaux dans le village, ‚ 1 puisard au Sud du Bas de Bréville.

Ces équipements sont localisés sur le plan du réseau d’eau potable, annexé au dossier de P.L.U.

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Rappels concernant la répartition et le nombre de poteaux d'incendie déterminés conformément aux exigences suivantes :

• La densité d'implantation des prises d'incendie doit être de un poteau de 100 mm par surface de 4 hectares ; • La distance linéaire maximale entre 2 poteaux successifs : 200 mètres • La distance linéaire maximale entre l'accès d'un pavillon et le poteau le plus proche : 150 mètres • Le débit minimum : 60 m3/Heure.

Dans le cadre de l’aménagement des zones à urbaniser, la défense incendie sera renforcée en fonction des exigences de sécurité publique.

2 – Assainissement eaux usées

2.1) Généralités

Le S.I.V.O.M. de la Rive Droite de l’Orne assure également une compétence en matière d’assainissement des eaux usées. Il a confié jusqu’en juin 2010, l’entretien et la gestion de ses équipements, à la Société Saur-France, par un contrat de type affermage.

La commune de Bréville-les-Monts est desservie par un réseau d’assainissement de type séparatif :

- Les effluents collectés au Haut de Bréville sont acheminés vers le réseau de d’Amfreville, puis vers la station d’épuration de Ranville,

- Les eaux usées du hameau du Bas de Bréville sont dirigées vers la station d’épuration de Cabourg (hors SIVOM de la Rive Droite de l'Orne).

2.2) Les installations existantes

2.2.1) La station d’épuration de Ranville (Longueval)

Les effluents du Haut de Bréville étaient dirigés jusqu’en mars 2009 vers l’ancienne station d’épuration de Ranville, en service depuis 1974. En raison de l’insuffisance du traitement de la charge de pollution et d’une charge hydraulique supérieure à la capacité nominale de la station, celle-ci est remplacée par la nouvelle station en fonctionnement depuis début 2009.

Le S.I.V.O.M., désireux de définir une solution de long terme, a programmé la réalisation d'une nouvelle station d'épuration sur le territoire de Ranville, mise en service depuis le 23 mars 2009.

Son financement est assuré par l’Agence de l’Eau Seine Normandie, le Conseil Général du Calvados et le SIVOM de la Rive Droite de l’Orne. Les extensions de l’urbanisation programmées au Haut de Bréville sont rendues possibles par l’entrée en service de la nouvelle station d’épuration de Ranville.

Elle satisfait le besoin de traitement des effluents des communes d’Amfreville, Bréville-les-Monts, , Hérouvillette, Ranville et Sainte Honorine la Chardronnette. Ce nouvel équipement peut ainsi traiter un volume d’eaux usées correspondant à 9500 habitants.

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Caractéristiques générales de la nouvelle station d’épuration (source : donnés avant projet Bureau d'Etudes Hydratec ‐ 49250 Saint‐Mathurin‐sur‐Loire

Les charges entrantes

Afin de répondre aux besoins présents et futurs des communes desservies, la capacité de la station d'épuration est d’environ 9500 équivalents/habitants.

Les tableaux suivants présentent les charges hydrauliques et organiques définies comme base de dimensionnement.

C h a r g e s h y d r a u l i q u e s d e l a s t a t i o n d ' é p u r a t i o n

Période de nappe haute Période de nappe basse Débit de temps sec 1250 m3/j 800 m3/j Débit de temps de pluie 1956 m3/j 1506 m3/j Débit moyen de temps sec 52 m3/h 33 m3/h Débit moyen de temps de pluie 82 m3/h 63 m3/h Débit de pointe de temps sec 95 m3/h 95 m3/h Débit de pointe de temps de pluie 160 m3/h 160 m3/h

Charges polluantes attendues sur la future station d'épuration

Période de nappe basse Charges de Charges moyennes de temps sec pointe tous temps confondus DBO5 en kg/j 308 400 DCO en kg/j 634 824 MES en kg/j 319 415 NK en kg/j 67 87 P total en kg/j 13 17

Le niveau de rejet du projet

La station d'épuration assurera un traitement en conformité avec la directive européenne et sa transcription en droit français (notamment les arrêtés du 22.12.1994 et les recommandations du 12.05.1995).

Les niveaux de rejet proposés en accord avec la police de l'Eau sont les suivants :

Niveau de Paramètre Concentration maximale (mg/L) traitement DBO 5 25 poussé Pollution carbonée DCO 125 (sur échantillon moyen 24h) MES 30 poussé NK 10 (en my annuelle) poussé Pollution azotée NGL 15 (sur échantillon my 24h) classique Pollution phosphorée PT 2 2 niveau 1

Le milieu récepteur

Le milieu récepteur est l'Orne.

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Description sommaire des filières de traitement

Ö La filière eau

L'eau subira les traitements suivants :

‚ Des prétraitements ‚ Un traitement biologique ‚ Un traitement tertiaire :

La présence de zones de baignade en aval du rejet, implique la nécessité d'un traitement tertiaire, permettant d'abattre la pollution bactériologique résiduelle contenue dans les eaux traitées.

Ö La filière boue

Les boues produites sont issues de l'activité biologique dans les bassins d'aération, lors de l'élimination des pollutions carbonées, azotées et phosphorées. Les boues en excès seront extraites depuis le bassin d'aération par une pompe à boues. Elles seront directement envoyées vers des lits de macrophytes (roseaux), qui assureront parallèlement leur traitement et leur stockage.

2.2.2) La station d’épuration de Cabourg

Les effluents du Bas de Bréville sont dirigés vers la station d’épuration de Cabourg.

1°) Situation actuelle

La station d'épuration de Cabourg est gérée par la Communauté de Communes de l’Estuaire de la Dives. Entrée en service en 1977, elle traite les effluents des communes de , Cabourg, Dives-sur-Mer, Gonneville-sur-Mer, , Varaville et une partie de ceux des communes d'Amfreville (Les Dumont) et de Bréville (Bas de Bréville).

Cette station dispose d'une capacité nominale de 60 000 équivalents/habitants. Cet équipement se révèle aujourd’hui insuffisant pour traiter les effluents en période estival et obsolète au regard des nouvelles réglementations en vigueur (absence de traitement du phosphore et de l’azote). Les effluents sont rejetés dans la Dives.

La C.C.E.D. désireuse de définir une solution de long terme, a programmé la réalisation d'une nouvelle station d'épuration en entrée de Cabourg, face à l’hippodrome et en bordure de la Dives.

La réalisation de cette infrastructure est subventionnée par l’Agence de l’Eau, la Région et le Département. La première phase, à savoir le traitement de l’eau sera opérationnelle en juillet 2009. L’ancienne station pourra alors être démolie pour construire une plate-forme de compostage, qui sera en fonctionnement à partir de 2010.

En attendant la livraison complète de ce nouvel équipement et pour ne pas aggraver la situation existante, l'évolution du nombre de raccordements sur la station d'épuration en service est strictement encadrée. Les extensions de l’urbanisation programmées à long terme au Bas de Bréville sont donc conditionnées par l’entrée en service de la nouvelle station d’épuration de Cabourg.

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2°) Les caractéristiques générales de la future station

D’une capacité nominale de 70 000 équivalents/habitants, cette station d’épuration sera de type membranaire. Charges à traiter pour la future station d’épuration

Nappes hautes Période estivale Volume journalier temps sec (en m3/h) 12 700 11 000

Charge Débit de pointe temps sec (en m3/h) 850 850 hydraulique Volume journalier de pointe temps de pluie 21 400 19 700 Pour une pluie de 6 mois (en m3/h) Débit de pointe temps de pluie (en m3/h) 1 050 1 050

Charge organique journalière (en kg DBO /j) 2 300 4 200 Charge 5 organique Soit en E.H. 38 000 70 000 Source : dossier “Loi sur l’Eau”

Le traitement des eaux

Les eaux collectées par le réseau d’assainissement subiront un pré-traitement en arrivant à la station d’épuration : elles seront dégrillées, dessablées, dégraissées et tamisées. Puis les eaux passeront dans des bassins au travers de membranes, avant d’être rejetées dans le milieu récepteur.

Le milieu récepteur

Le milieu récepteur sera la Dives

Le traitement des boues

Les boues seront compostées sur place avec les déchets verts collectés par la Communauté de Communes. Une plate-forme de co-compostage fournira un composte de qualité, exempt de tout germe pathogène, pouvant être utilisé par les agriculteurs, les services espaces verts des communes,... .

L’intégration du projet à son environnement

La nouvelle station d'épuration sera implantée en bordure de la Dives, à moins de 3 Km de l'estuaire, et à proximité des zones de baignades et de l'hippodrome. Une des principales préoccupations de la collectivité est donc de réduire l'impact de l'usine dans cette région très touristique.

La nouvelle usine d'épuration assure une qualité de rejet excellente permettant de préserver le milieu naturel. Ceci est rendu possible grâce au procédé biologique à membranes (Biosep™), qui garantit une excellente qualité de rejet tout au long de l'année.

Le projet s'inscrit dans une démarche HQE (Haute Qualité environnementale). Les directives de la HQE sont prises en compte au travers des 11 points suivants :

1) Elimination des nuisances olfactives et qualité de l'air

o Conception bioclimatique des locaux d'exploitation et logement du gardien. o Bâtiments à énergie positive ; o Extraction et désodorisation de l'air de l'ensemble des ouvrages et locaux techniques ; o Réseau de nez électroniques pour un suivi olfactométrique permanent du site o Intégration de l'ensemble du compostage dans un bâtiment technique

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2) Optimisation énergétique et réduction des émissions de gaz à effet de serre

o Eclairage naturel optimal des locaux d'exploitation et des locaux techniques ; o Fourniture d'eaux chaude avec pompe à chaleur et panneaux solaires ; o Compensation des énergies d'éclairages de l'ensemble de la station par la production d'énergie photovoltaïque ;

3) Préservation des ressources hydrauliques

o Choix d'une filière de traitement de type membranaire pour amélioration de la qualité du rejet ; o Récupération des eaux pluviales des toitures et de voirie pour l'arrosage des plantations ; o Réutilisation d'eau traitée pour les besoins du site et l'alimentation des camions de la CCED (hydrocureurs espaces verts...) ; o Choix de végétaux adaptés au sol et au climat.

4) Autres travaux

Afin d’éviter les surcharges hydrauliques à la station en cas de fortes pluies, la C.C.E.D. a programmé la construction de cinq bassins-tampons, sur les secteurs desservis en réseau unitaire. Ces bassins enterrés sont destinés à stocker les eaux de pluie, avant de les envoyer progressivement vers la station.

„ Le premier d'entre eux est construit à Houlgate, sous le parking du Temple.

„ Deux autres bassins sont construits à Dives, dont l’un destiné à réduire le risque d’inondation dans le centre-ville.

„ Enfin, la réalisation des deux derniers bassins, qui verront le jour sur Cabourg, est annoncée pour le courant de l’année 2009.

2.2.3) Le réseau

A / Le Haut de Bréville

Ce réseau est principalement composé de canalisations de 200 mm de diamètres (moins souvent 150 mm). Les eaux collectées sont envoyées vers le réseau d’Amfreville (quartier du Moutier). Les effluents font ici l’objet d’un dégrillage avant de rejoindre gravitairement la station d’épuration de Ranville.

B / Le hameau du Bas de Bréville

Le réseau est constitué presque exclusivement de canalisations de 200 mm de diamètre. Une canalisation principale collecte gravitairement les eaux usées le long de la R.D. n°236, de la rue du Clos Bigot et de la V. c. n°1 dite des Trois Coins. Viennent s’y raccorder des canalisations secondaires passées sous la rue des Prairies et la rue des Basses Terres. Les effluents sont ensuite acheminés vers la station d’épuration de Cabourg (hors SIVOM de la Rive Droite de l'Orne).

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2.3) Le zonage d’assainissement

2.3.1) Etat d’avancement des travaux

Le S.I.V.O.M. de la Rive Droite de l’Orne a missionné le B.E. IRH. Environnement pour la réalisation d’un zonage d’assainissement dans l’aire du syndicat.

Les études ont été réalisées en trois grandes phases :

„ Phase 1 : Un état des lieux mené sur l’aire du Syndicat a essentiellement permis de faire le point sur l’aptitude des sols à l’épuration-dispersion, en réalisant une étude diagnostic de l’existant et une étude pédologique. „ Phase 2 : Lors de cette phase, ont été définies des solutions d’assainissement collectif ou non collectif (pour les secteurs où cette alternative était possible du point de vue technique ou économique). „ Phase 3 : Après que les communes concernées aient délibéré sur les solutions proposées, le zonage d’assainissement a été précisé en concertation avec le S.I.V.O.M. de la Rive Droite de l’Orne et la Direction Départementale de l'Agriculture et de la Forêt.

Ce document a été approuvé par une délibération du conseil municipal en date du 12 juillet 2006.

2.3.2) L’assainissement autonome sur Bréville-les-Monts

Le bureau d’études IRH recense 46 habitations assainies grâce à un dispositif autonome. Le Château Saint-Côme, les constructions du hameau du Mesnil et certaines habitations du Bas de Bréville, comptent au nombre de ces habitations.

Une étude pédologique a été menée sur ces secteurs, préalablement à la définition du zonage d'assainissement. L'approche a été faite par sondage à la tarière (jusqu'à 120 cm de profondeur en l'absence d'élément grossier) et descriptions de profils de sol (descente de cave, talus,…). Les résultats ont permis d'avoir une approche générale de la nature et de la répartition des sols sur les secteurs étudiés et surtout de leur aptitude à l'assainissement. En aucun cas, ils ne pourraient se substituer à une étude plus fine à la parcelle, en vue de définir précisément la filière d'assainissement non collectif adaptée à chaque terrain.

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Se reporter au plan joint en annexe à l’échelle 1/5 000

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Au hameau du Mesnil, les sondages ont révélé la médiocrité des sols à recevoir un assainissement autonome. Si le hameau n’a pas vocation à se développer pour recevoir de l’habitat, la zone d’activités intercommunale, qui accueille pour l’heure la déchetterie, est destinée à s’étendre. Ce projet de développement est pris en compte par le zonage d’assainissement, qui prévoit la mise en place d’un réseau collectif.

2.3.3) Le zonage d’assainissement

Le zonage d’assainissement est ainsi délimité :

La zone d’assainissement collectif est composée de :

- la zone desservie par le réseau d’eaux usées existant ; - le hameau du Mesnil, qui n’a pas vocation à se développer, ainsi que deux autres zones (sud- ouest de la Commune, et parcelle se trouvant à proximité du château) sont desservis en assainissement semi-collectif. - - les zones d’extension de l’urbanisation.

La zone d’assainissement non collectif est composée de :

- Zones naturelles ou agricoles dans lesquelles l’habitat n’a pas vocation à se développer.

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3 – Assainissement eaux pluviales

3.1) La situation actuelle

Le réseau d’assainissement des eaux pluviales de Bréville-les-Monts se compose principalement de fossés à ciel ouvert et de mares faisant fonction de bassins de rétention. Quelques canalisations sont néanmoins recensées dans la zone agglomérée.

Compte tenu de sa situation géographique et de son relief, le territoire communal dispose de deux exutoires naturels, qui sont :

• Le Douet des Grichauts, qui reçoit notamment les eaux de ruissellement des surfaces agricoles environnantes ;

• Le ruisseau L’Aiguillon, qui s’écoule sur le territoire de Ranville, et qui reçoit les eaux de ruissellement provenant de la partie Sud du bourg d’Amfreville.

Le bassin versant de ce cours d'eau fait face à des problèmes de ruissellement occasionnant des inondations. En 2003, le S.I.V.O.M. de la rive droite de l'Orne, a confié au Bureau d'Etudes Alise (14200 Hérouville-Saint-Clair) le soin de réaliser une étude d'aide à la décision, ayant pour objectif de proposer aux communes situées sur le bassin versant “des orientations et des actions, en terme à la fois de protection contre les inondations, mais aussi de prévention des phénomènes de ruissellement et d'érosion hydrique, de restauration et d'entretien des cours d'eau.”

Les recommandations du Bureau d’Etudes sont prises en compte dans le Plan Local d'Urbanisme et se traduisent essentiellement, s’agissant de Bréville, par la préservation et la plantation de haies bocagères (cf. : rapport de présentation).

3.2) Le réseau projeté

L'assainissement des eaux pluviales des zones à urbaniser se fera par un raccordement sur le réseau lorsqu’il existe. Celui-ci fera l'objet d'un renforcement dès que nécessaire, soit pour augmenter la capacité de traitement actuelle, soit pour traiter les eaux pluviales des futures constructions.

Si nécessaire, des bassins de retenue, équipés de dispositifs régulateurs de débit de fuite seront prévus, afin de permettre une régulation des rejets.

En tout état de cause, les dispositifs à mettre en œuvre devront être adaptés à la nature de chaque terrain concerné et conformes aux dispositions de la Loi sur l'Eau.

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4 – Note technique sur les ordures ménagères

4.1) Les Ordures Ménagères

La collecte des déchets ménagers ultimes est une compétence de la Communauté de Communes CABALOR. Deux fois par semaine, la Société Derichebourg assure le ramassage de porte à porte et achemine les déchets vers l’usine d’incinération de . Cette installation est gérée par le Syndicat Intercommunal pour la Valorisation et l'Elimination des Déchets de l'Agglomération Caennaise (S.I.V.E.D.A.C.), qui assure la compétence relative au traitement des déchets ménagers ultimes de la Communauté de Communes.

La collecte et la valorisation des déchets ménagers recyclables relèvent également de la compétence de la Communauté de Communes CABALOR. Un système de tri sélectif a été mis en place pour le verre, le papier/carton et le plastique. Cette collecte se fait par apports volontaires vers deux points d’apport : des containers sont situés face à l’école et le long de la R.D. 223 à la sortie de Bréville, en direction de Merville-Franceville.

Organisation du tri sélectif

Entreprise Nature des Fréquence de Type de chargée de Lieu de traitement déchets l’enlèvement traitement l’enlèvement

1 fois par B.S.N. Trié avant Verre Derichebourg semaine Vosges réutilisation

Journaux et magazines Plastique Cartons/Tétras Entreprise Guy 1 fois par Brick Derichebourg Dauphin Tri sur chaîne semaine Ferraille Bourguebus (14) (acier d'emballage) Aluminium

Les Déchets occasionnels des ménages

Depuis le second trimestre 2007, la commune de Bréville-les-Monts accueille sur son territoire, une nouvelle déchetterie intercommunale. Celle-ci est située au lieu-dit du Mesnil, à l’angle des R.D. 224 et 513.

Les gravats inertes : sable, Les encombrants cailloux, béton, ciment…

Déchets verts non putrescibles : Féraille et bois tontes, branchages…

Huile de friture, batteries, Gros carton industriel solvants, insecticide, herbicide, piles, fibrociments amiantés...

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Pièce jointe

Avis du S.I.V.O.M. de la Rive Droite de l’Orne

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