CENTRE DE RECHERCHES ARCHEOLOGIQUES DU PAYS DE Cê.RAPa.R. La Métairie 35740 PACE

La Prospection-Inventaire Du Bassin De Rennes CENTRE DE RECHERCHES ARCHEOLOGIQUES DU PAYS DE RENNES Cé.R.A.Pa.R- La Métairie 35740 PACE

La Prospection-Inventaire Du Bassin De Rennes

Rapport 1987 La Prospection - Inventaire

du Bassin de Rennes

RAPPORT 1987

Textes de : Alain PROVOST, Bernard LEPRETRE, Jean-Michel COLLET avec la participation des Prospecteurs :

Anneix Pierrick - Godichon Nicole

Aubrée Pierre - Leblay Huguette

Aubry Laurent - Le Charpentier Marcel

Biheux Hervé - Leprêtre Bernard

Brand'honneur Michel - Monnerais Jean

Brizard Marcel - Priol Alain

David Michel - Rault Jacques-Albert

Denieul Josette - Visset Alain

IDENTIFICATION et DESSINS des objets préhistoriques : Olivier KAYSER, Conservateur, Direction des Antiquités de Bretagne Claude LE POTIER, Archéologue Patrick LE BOUTEILLER

Dactylographie : Sylvie GRUEL SOMMAIRE

1 - LA PROSPECTION ARCHEOLOGIQUE DU BASSIN DE RENNES EN 1987

2 - RENNES ET SON ENVIRONNEMENT RURAL A L'EPOQUE GALLO-ROMAINE

3 - LE PROJET DE PROSPECTION INVENTAIRE EN I988 - I989 h - PROPOSITION D'UNE METHODE DE RENTABILISATION DES SURVOLS AERIENS DU BASSIN DE RENNES

5 - INVENTAIRE La prospection arcbéolofîiaue dans le bassin de Rennes en 1987

La prospection archéologique dans le bassin de Rennes a 10 ans. En 10 ans 2 50 sites ont été prospectés, cartographiés, inventoriés dont 20=3 inédits.

Ces prospections ont nourri et nourriront encore des études sur l'occupation du sol, études publiées ou à publier, essentiellement pour la période gallo-romaine :

"L'Archéologie gallo-romaine du bassin de Rennes, l'apport de la prospection au sol" A. PROVOST in Dossiers du CeRAA n°G, 198^.

"L'Archéologie du milieu rural en Haute-Bretagne aux époques pré-romaines et gallo-romaines" ; travail collectif dans le cadre de ; L'ATP CNRS Archéologie métropolitaine 198^-1986 Projet collectif de recherche I987-I989

Ces études qui s'appuyent essentiellement sur des données d'obser- vation globale de surface et de datations archéomagnétiques traitées par ordinateur ne sont qu'un aspect du traitement possible des données de la prospection et nous proposons (ci-dessous) de nouvelles directions de recherche pour les 2 années à venir.

Dans le cadre de la prévention nos prospections permettent 3 modes d'intervention :

- des sauvetages programmés : 2 sites gallo-romains majeurs de la cité des RIEDONES ont pu être fouillés ; CHATILLON SUR SEICHE où l'on a pu étudier la romanisation progressive d'une ferme indigène aboutissant à une "Court-yard villa" et où M. BATT a étudié un fanum à cella hexagonale du 1° s. ap. J.C. installé sur un site à fossés de la Tène Finale et de l'époque gallo-romaine précoce.

- Une information intensive au niveau local qui a soustrait à une des- truction envisagée des sites médiévaux : La Motte-Jubin à BEDEE et la maison-forte de St Fiac à GAHARD. La possibilité de gérer des sites concernés à moyen ou à long terme par les travaux routiers de la région rennaise : quelques exemples les sites de La Chapelle en CESSON sur la "2ème ceinture routière" Rennes, La Houssaie en et Launay Bézillard en PA.CE sur de rectifications de tracés. uelques projets aménagements routiers et autre?

Conseil général o F. Un effort routier sans précédëht 12. mais on en demande encore plus...

RENNES - Avec l'action économique, les routes représen- tent le sujet le plus sensible pour les conseillers généraux On l'a encore vu vendredi au cours d'une séance comprenant Département quelques gros dossiers routiers Les problèmes de désenclave- ST-MALO ment sont à l'ordre du jour et de nombres -onseillers ont D'ILLE ET VILAINE voulu attirer l'attention sur la situation critique 3e leur secteur afin d'obtenir des compensations routières. Il ne faut pas nier que les entreprises aujourd'hui ne s'installeront que la où les votes de communication seront suffisamment développées Mats les moyens départementaux, pour importants qu ils soient, ont cependant des limites.

Rennes-District

Le futur CD n° 29 Elément Nord de la 2e ceinture de Rennes

REDON

LEGENDE

• •• TRAVAUX R EAU SES A L HORIZON 198» RENNES B9 PROGRAMME 1909-1993

La o*en de (a 2* cemtune Hora ae Rennes.

Alors que t 2* ceinture 3e Impossibl* d* Rennes est largement amorcée eu 0* Saint-Gré^oira sud grâce lu CD 34 modernisé commencer avant avril * la RN 175 entre vem et Mordeties ir. pro- - Hou» eotnmee prêta é démar- cnatn. ont être rectifiés tes vira- Ouverte, cette section entraine- re*, affirme ie directeur des routes ges de Champcorsi. au nord fe ra logiquement la construction de déoertememaies. Noue avone tait le peme comprise entre Saint-Gré- CO 29 n'est amenegé au entre tree vtte pour sortir le doaaier ; Pscé et Montgermortt. section a goire et le route du Mom-Semt- un verttaote tour de force). • Micnel. avec pont sur le canal lacuette 'I faut adjoindre le CO 287 M. Lé Guen assure même que le Pace-Vem. d'Itte-et-Pence. pont sur le CO 81 cnentier pouvait s'ouvrir le Actuellement sont en cours de Saint-Grégoire-Saint-Germain et '•' seotemore. « Maria noue ne construction 1 200 m nient dé a un troisième avec demt-eenangeur commencerone due lorsque l'ar- 3écassiere (future route Pennes- sur te VC 2 Samt-Gréootre-Benon gent aère dam lee celaeee du II restera alors, pour acnever la Samt-Maio) à la routé de Rennes- déoertemem ». Ueiesse. some nord de Semt-Gré- 2* ceinture Nord de Pennes, a goire »<<« sers ouverte à a circu- Or. pour l'Instant, il n'en est nttier (a route de Saint-Suiptce a la ai en en fin d année. nen, Qien que i on assure au perc RN 12. La reccoraement était La :rancna du CO 29 eUent de de ioisirs que le financement est prévu è l'ongine antre Fouillero et Samt-Gregoire i ■ routa de pratiquement ooucie. Ou coup, le la Victoire, meis qu en sera-Ml ? Rennes-Semt-Suioice a été ins- proiet routier prend du retard. Ce pnoiet est lié a la future rocade crit t sar a Oéoartement au oro- • Avec l"h*ver. noue «Ions être Nord, eiie-méme née a le future gramme 1989-93. mats devrait être btoouee. Impoeelbte de dememar RN 12. elle-même née é a future •eensee avant, car eue doit des- •vent avrM. • rocade Est. dont on sait les pen- peties... servir ie oa/c asnmctions de Bet- SI l'on songe qu il faut six mois •on Pour accélérer es travaux pour «s terrtasemenis. survis de Alain DANIEL. *ouners. es oromoteurs du parc l'empierrement, du goudronnage, ont acceoté d'avancer 'es som- Une autre zone 3e asirs des finitions, la nouvelle route ne a imocrance najow a do/z. sur mes nécessaires au déoarremem aeut ètra oréte avant 'a -n 1988. C'Cs et a C.iêjse. : e sera en ce oui concerne te oerrte corn- Certea. 'es ouvrages d'art pour- ons* antre te route du Mont-Savn- resservie oar té ?oute bennes- raient être construits dés mainte- ^econ sont le nouveau 'face Mtcnet at • routa de 3«*nt-Sut- nant Encore tau(-il pu ils soient o»ce. soit 2 '00 m, évalues avec tnences. entre

D'ici 1992-1993. la rocade est de Rennes devrait être opération- X> FOUILLARD nelle Elle partira de l'actuelle voie 'S.* » - .' express menant vers Paris, a hau- "THORIGNE- teur de l'ancien toboggan, à proxi- mité de - Counapaille > . montera SUR-V1LAINE vers la boucle de la Vilaine, aux alentours de Tlzé. pour aboutir au- delà de l'actuelle R N. 12 Rennes- Fougères. aux alentours du do- maine de Vaux C'est le projet global Reste è déterminer le (racé La présentation des différentes hypo- thèses - trois et des variantes - a fait salle comble au cinéma de Cesson-Sèvigné C'est dira comme la population est sensibili- sée au sujet Cette réunion été» Initiée par le comité de défense créé par M Julienne, l'ancien patron régional de l'Office national des forêts Un comité qui réunit des adhérents sur Cesson et sur Thorigné Elle était animée par le maire de Cesson, M Belllard, le responsa- ble des grands travaux de la di- rection de l'Equipement, M. de Vlssocq. et un technicien de l'Agence d'urbanisme, M Oanot. Trois tracés principaux ont été Imaginée par lea services de l'Equipement. Il faudra choisir en- tre l'un d'eux. M Bellterd rte l'a pas caché, lé rocade passera forcément sur le territoire de Cesson-Sévtgné. S'il n'a paa eu que des mots aimaolas pour ta ville de Rennes - t laquelle 11 reproche notam- ment de ne paa avoir poursuivi le boulevard de VTtré par des ponts au-dessus de la Vilaine et des voles ferrées Jusqu'à le route de Chàteaugiron - M. Belllard a bien fait comprendre que l'aggloméra- tion rennaise (200 000 è Rennes et plus de 100 000 dans le district urbain) ne pouvait faire l'économie d'un * barreau est -.

Aclgné, Saint-Sulpice, Betton Saint-Grégoire, etc., concernés Ce futur - barreau est ■ aoule- de communications par routa qui gera la rocade aud. te circulation diffuse aussi bien sur Saint-Gré- sur le R N. 157. les liaisons nord- goire Betton. Saint-Aubtn-d'Aubl- sud qui panent de la petite route gné, Acigné, Thongné-Fouiilard. de Vem t Chantepie, montent par Cnanteoie... l'avenue de Le Toureudeis. le long du campus de Beaulieu, vers Ren- Ce qui explique la présence neé-Atalante, etc. dans le salle d'élua ou d'habitants Tout un faisceau de relations et de ces communes

35 - lile-et-Vilaine

Golf, loisirs et habitat mélangés à Un projet digne de la Floride

RENNES. - Le projet de zone de loisirs a du district pour 83 ha entre le bols de Clcé et dominante golflque dans le secteur La l'échangeur de Blossac, sur la rive gauche de Chaise-Clcé, en Bruz, prend forme. Il fut pré- la Vilaine. Une zone Inculte parsemée de senté dans ces colonnes au printemps der- gravières abandonnées, ignorée sauf des pé- nier et on annonçait le démarrage des travaux cheurs mats fort pittoresque évoquant la jun- pour le début 1988. Où en est-on ? gle aquatique des Everglades, en Floride. A cela s'ajoutent 38 ha en cours de négocietlon La commune de Bnjz a maintenant l'ac- avec le propriétaire. Là s'implante le zone de cord de t'Etat pour l'acquisition de 26 ha et loisirs.

Le meire de Bruz et le promoteur se penchent sur le pien de le zone de loisirs et d'heoitet LA PROSPECTION EN 1987

1 - Les Moyens mis en oeuvre

La Prospection de surface : 15 prospecteurs ou groupes de prospec- teurs ont participé aux recherches de surface : enquêtes, localisa- tion des sites, collecte au sol. L'implantation relativement bien éclatée des prospecteurs a permis d'aborder des secteurs jusqu'à pré- sent vierges de toute recherche, notamment au N.O., au N.E. et au S.E. du bassin.

La Prospection aérienne : 10 heures de vol ont été réalisées par A. PROVOST, avec un pilote qui maintenant connaît la région : M.D. TOUFFET. Nous n'avons hélas pu voler avec le PIPER de 1'aéro- club, lequel après être allé "aux champs" est resté plusieurs mois à l'atelier. Il a fallu utiliser un RALLYE lequel présente 2 incon- vénients : des ailes basses et un cockpitt qu'il n'est pas possible de rabattre en vol, occasionnant des reflets sur les clichés. Les résultats obtenus sont en dessous des espérances après les essais encourageants des années précédentes notamment IQS4 où l'on avait photographié des "Villae" et des "Fana". Deux raisons à celà : un climat sans grands contrastes au niveau de la pluviométrie et sur- tout les conditions pédologiques du Bassin de Rennes : les sols limo- neux, profonds et homogènes du bassin n'induisent pas de forts gra- dients d'humidité différencielle. Maurice GAUTIER qui prospecte les plateaux schisto-gréseux de la Moyenne Vilaine et qui survole donc le Sud du bassin a pu mesurer la "rentabilité" comparative des 2 sec- teurs, nettement plus faible pour le bassin. En conclusion, pour les années à venir il est nécessaire de se doter d'une méthode d'optimisation des survols en fonction des particula- rismes du bassin, des cultures et de la pluviométrie. . Des enclos très partiels en général ont été détectés. L'ab- sence de vision d'ensemble des plans, l'absence de mobiliers en con- trôle au sol ne permettent pas bien souvent de dater ces enclos dont la réalité n'est cependant pas contestable compte-tenu d'un rigoureux contrôle des cadastres anciens et des enquêtes sur place qui ont d'ailleurs permis d'éliminer de nombreux artefacts. . Des plans partiels ou trop flous pour être itssiné? ont ■"" t observés sur des sites gallo-romains. . Enfin, des mottes castrales ont été photographiées ; l'apport de ces clichés se mesure d'ailleurs plus en terme de localisation qu'en terme de données révélatrices de structures disparues.

Les Relevés topographiques des sites médiévaux et les recherches bibliographiques

Bernard LEPRETRE a poursuivi son programme de relevés des sites médiévaux terroyés : mottes castrales, enceintes, retranchements ; pro- gramme couplé par un inventaire de ces monuments conduit par les pros- pe c t eurs. 2 critères président au choix des sites à relevés : - les types canoniques - les sites à particularités sensibles Ce travail, nourri par des recherches bibliographiques apporte des élé- ments siar la destination de ces sites, leur évolution, leur datation approximative ...

2 - Les données archéologiques

Préhistoire - Protohistoire Tout est à faire en ces domaines : "terres vierges à défricher" dans notre région. Nos prospections montrent d'ailleurs que les do- cuments ne sont pas aisés à trouver, que si l'on découvre des pièces isolées, la mise en évidence de concentrations de sites d'habitats reste problématique. Deux belles pièces du paléolithique moyen ont été découvertes hors-contexte dans le sud du bassin (Chatillon sur Seiche),

Pour le néolithique, la démarche de M. VISSET à GEVEZE est in- téressante : son enquête approfondie auprès des agriculteurs de la commune a permis de démarrer l'inventaire des récentes trouvailles néolithiques - haches essentiellement - dans la région. Un seul site a présentement été reconnu à La Championnière en GEVEZE, site connu depuis 15 ans par les collectes de M. GROSSET sur ses terres (GIOT, 1973 5 LEROUX, 1975). Les ramassages récents ont livré de nom breuses pièces datables du néolithique et du bronze ancien (anneaux, disques, haches, lames de silex, tessons de poterie). Ce site devra être étudié à nouveau en cartographiant les trouvailles, ce que n'a malheureusement pas fait le prospecteur. De la pro t ohi s toirp ne sont connus -Que quelques tessons errati- ques découverts à l'occasion de collectes de surface de sites gallo- romains .

La question de la datation des enclos a été évoquée ci-dessus.

La Rionnelais en MORDELL, Les Champs-Esnaults en CHANTEPIE, Le Haut-Méez en VIONOC et Les Petites Fontenelles en MORCELLES pour- raient dater du 2ème Aère d- fer ; la Tène Finale pour le dernier cité.

L'époque gallo-romaine fournit encore l'essentiel des découvertes (s>2a&). Il est encore trop tôt pour mesurer des nuances dans la densité des sites proches de Rennes ou à la périphérie du bassin, mais la pros pection montre une implantation gallo-romaine sur tout le territoire riedone, notamment sur les marges nord et sud du bassin où les sols sont pourtant plus pauvres. Le coeur du bassin est bien entendu le mieux étudié. Un essai de synthèse réalisé dans le cadre du projet collectif "L'Archéologie du milieu rural aux époques pré-romaine et gallo-romaine" portant sur les relations entre la Ville et la Campa- gne apporte des renseignements très intéressants tant sur le plan méthodologique (la caractérisation des gisements de surface) qu'au pla de la compréhension de l'occupation du territoire rural des Riedones aux abords du chef-lieu de la cité.

Le Moyen-Age : au rythme actuel des inventaires et relevés des mottes castrales et enceintes, une synthèse pourra être tentée d'ici 2 à 3 ans. La Typologie des mottes s'affine : de la simple tour de guet au siège de la seigneurie (Telle en ST ERBLON, ) associée à une basse-cour ou à une enceinte. La topographie est à corréler avec la typologie, sites de gués ou sites de hauteur, liaisons avec le vieux réseau routier gallo-romain ? N'ombre de seigneuries associées aux mottes sont citées au XI° siècle, leur abandon reste à apprécier. La Motte Joubin à BEDEE pose des problèmes intéressants. Par rapport aux mottes de la région, elle est démesurée : vaste plate-forme et 2 (?) vastes retranchements. S'ajoute à celà sa situation sur la frontière franco-bretonne du IX° siècle. Ces données font de ce monu- ment un champ d'investigation intéressant pour la période du Haut Moyen-Age Final. Les sites plus tardifs apportent également des éléments important* notamment du point de vue socio-économique. Le cas du site de St Fiac à GAHARD est éloquent : la prospection des abords de cette maison- forte - qui reste à dater - montre une corrélation entre cette dernier! et les sites de Fonderies métallurgiques et les extractions de calcairp du myocène environnants. Sa situation dans une vaste forêt et en bor- dure d'un bon ruisseau complètent le tableau d'un ensemble industriel

(du bas Moyen-Age ?).

Quelques sites post-médiévaux ont été prospectés, sites d'habitati En ce domaine, la prospection se heurte à la difficulté de discerner | les habitats disparus au milieu des déchets venus avec les épandages de fumiers ! REPARTITION DES DECOUVERTES PAR COMMUNES

AMANLIS 1 MONTEUIL LE GAST 1

BEDEE 3 MORDELLES 2

BETTON 2 MOUAZE 1

CESSON 2 NOYAL SUR SEICHE 2

CHANTEPIE 1 NOYAL SUR VILAINE 1

LA CHAPELLE-CHAUSSEE 1 ORGERES 1

LA CHAPELLE DES FOUGERETZ 1 PACE 5

CHARTRES DE BRETAGNE 1 1

CHATILLON SUR SEICHE 3 RENNES 2

CHAVAGNE 1 1

CHEVAIGNE 1 ROMILLE 3

CORPS-NUDS 1 ST BRIEUC DES IFFS 1

DOMLOUP 2 ST ERBLON 2

L'HERMITAGE 1 ST GERMAIN SUR ILLE 1

G AH ARD 5 ST GONDRAN 1

GEVEZE 10 ST MEDARD SUR ILLE 1

LANGOUET 1 SENS DE BRETAGNE 2

MELESSE 2 VEZINS LE COQUET 1

LA MEZIERE 2 VIEUX VY SUR COUESNON 1

M 0 NTGERMONT 1 3

Total : Il REPARTITION DES DECOUVERTES PAR EPOCUES

Sites Pièces isolées

Paléolithique 2

Néolithique 1 7

Protohistoire 2

Gallo-romain kO 1

Médiéval 15

Fonderies (Méd., post-méd.?) 3

Enclos non datés U

65 10 CARTE DES -PROSPECTIONS DV FASSTN DE RENNES EN THF

N

L'ILLE

u

LA FLUME ■ o'y u

A A,

■ ■ LE M EU LA VILAINE

■ C

LA SEICHE

10 KM

— ' \ ♦ - PALEOLITHIQUE • MOTTES CASTRALES

A.NEOLITHIQUE o AUTRES RETRANCHEMENTS MEDIEVAUX

♦ 'PROTOHISTOIRE u FONDERIES

■ 'GALLO-ROMAIN c ■ ENCLOS NON DATES LES RELATIONS VILLE / CAMPAGNE

RENNES ET SON ENVIRONNEMENT RURAL A L'EPOQUE GALLO-ROMAINE

Cette étude, dans le cadre du projet collectif, étalée sur 3 ans, devrait revêtir à son aboutissement des aspects géographiques, socio-économiques et culturels. Nous ne présentons ici, qu'une ré- flexion sur la carte des implantations gallo-romaines dans un rayon de 15 Km autour de Rennes, une approche de l'organisation du paysage rural aux abords de la capitale riedone. Dans les 2 années à venir nous tenterons de mieux cerner d'autres aspects des relations entre la ville et la campagne : - Comparaison de l'évolution urbaine et de la romanisation de la ville avec l'évolution des sites ruraux environnants, à la lumière des fouilles anciennes et récentes de Rennes et des (trop rares) fouilles des sites ruraux et des prospections. La datation archéo- magnétique des tuiles pourrait apporter des données complémentaires. - Mise en évidence de relations économiques par l'observation de la circulation de matières premières et biens de consommation, productions locales attestées sur le site urbain et les sites ruraux.

I- L'IMPLANTATION DES "VILLAE" AUTOUR DE RENNES

1 — Les critères d'identification des "Villae" Nous retenons la définition de M. LE GLAY : "... ensemble architectural qui regroupe, en général autour d'une ou deux cours fermées, une maison d'habitation, des communs et des locaux d'exploitation". (LE GLAY, 1975). A cette défi nition répondent à la fois la "Courtyard Villa" du type St FREGANT (Finistère) ou la Villa à bâtiments disséminés comme LA ROCHE-MAURICE (Finistère) par opposition aux petites fermes à bâtiment unique de plan simple comme BAINS sur OUST (ille et Vilaine), (GALLIOU, I983). . L'identification des "Villae" pose des problèmes dans le bassin de Rennes dans la mesure où l'on n'en a fouillé qu'une (CHATILLON sur SEICHE). La photographie aérienne apporte des données mais les plans de "Villae" reconnus dans la région rennaise sont rares et toujours partiels. Dans quelques cas ils suffisent toutefois à caractériser une villa. . Reste la prospection au sol. Des critères objectifs per- mettent de caractériser les "villae" : - présence de substructions, moellons observés, témoignages. - présence de briques à pilettes, de tubuli attestant l'exis tence de salles chauffées, de thermes. - bétons de sol et éléments de dallages et placages. - mobilier céramique abondant, notamment les produits importés. . A ceci s'ajoutent des critères subjectifs : - organisation des vestiges de surface dans un ensemble ho- mogène quadrangulaire où l'on reconnaît un épicentre et des concentrations secondaires. - aménagement du sol servant d'asiette à la villa : "terrasse".

Nous n'avons donc retenu pour caractériser les "villae" que les sites répondants à la fois aux critères objectifs et subjectifs et en général à l'ensemble de ces critères.

- Les limites de l'observation En sus des limites évoquées ci-dessus où malgré les précautions prises une caractérisation erronée reste possible, un autre élément, à notre sens plus contraignant, limite la portée de notre étude : l'urbanisation, l'industrialisation, l'aéroport de Rennes-St Jacques coïncident avec les blancs de notre carte de répartition. Ces blancs traduisent une absence de données et non une absence de sites, et couvrent une surface de 8 000 h aujourd'hui occultés. Nos prospections n'ont débuté qu'après le formidable développement urbain des années 1955-^975 et l'on n'a peut-être pas su, à l'époque, profiter des possibilités d'information offertes par ces travaux : des sites ont pu disparaître ... . L'implantation des "Villae" - Une première série de "Villae" que l'on qualifiera de subur- baines est implantée dans un rayon de 3 à 5 Km autour de Rennes (k ont été reconnues dont 3 au nord de la Vilaine). . C'est une distance importante en comparaison avec Corseul où la ceinture de "Villae" suburbaines est à moins de 2 Km de la ville (, 1987) et, si l'on doit être prudent dans l'interprétation, compte-tenu des limites exposées ci-dessus, nous pouvons apporter des élé- ments de réponse à ce relatif éloignement des premières "villae" de la ville antique,dans la topographie du site de Rennes. Selon A. MEYNIER, la Vilaine et l'Ille - Le site anti- que est implanté à I 500m à l'Est du confluent naturel - serpentent en "multiples méandres et bras vagabonds" dans une plaine marécageuse et inondable en période de crue sur des centaines de mètres : jusqu'à 1 600m à l'est vers Cesson et au nord vers l'actuel cimetière et près de 2 000m à l'ouest vers Apigné. A l'exception des secteurs du Nord-ouest et du Nord-est de la vieille ville, les "villae" suburbaines ne pouvaient être implantées à moins de 2 Km et devaient en être un peu plus éloignées si l'on considère que la villa est implantée au centre de son domaine. L'habitat suburbain a évité ces plaines basses comme de nos jours où, bien que les rivières aient été domptées, ces terres basses sont occupées par des industries, des entrepots et il y a peu encore par des bidonvilles ! (MEYNIER, 1972) . Une deuxième série de "villae" ceinture la ville dans un rayon de 7 à 9 Km, réparties assez régulièrement dans toutes les directions, elles sont implantées aussi bien en bordure des voies principales qu'au coeur des pla- teaux limoneux définis par le réseau hydrographique. C'est dans cette ceinture qu'ont été reconnues les plus grandes "villae" : Les Sorinais en Pacé et Chatillon sur Seiche (courtyard villa). De nombreux sites mineurs entourent ces "villae".

. Enfin, la 3è ceinture de "Villae" est située dans un rayon de 11 à 13 Km, cette dernière valeur étant domi- nante. Elles sont également réparties sur tout l'espace rural en général à l'écart des voies principales. L'IMPLANTATION DES "VICI" ET DES LIEUX DE CULTE AUTOUR DE RENNES

. La caractérisation des "VICI" peut être sujette à caution compte-tenu des réalités très diverses recouvertes par ce vocable. Nous avons retenu les critères suivants : gisements occupant de vastes surfaces, aux vestiges apparemment médiocres, à plusieurs concentrations proches. Certains de ces gisements présentent d'au- tre part une organisation apparente le long des voies et des traces d'artisanat manifeste (tuilerie, céramique, chaux ...). . En ce qui concerne les lieux de cultes ils ont été reconnus par la photo-aérienne et la fouille ("Fana" de Pacé, La Chapelle des Fougeretz, Mordelles) ou la présence d'importants dépôts de mobilier cultuel (figurines en terre cuite) recueillis sur des sites ne présentant pas les caractéristiques de la villa. Les "Sacella" de "Villae" ont été exclus de cette liste.

1- Les "VICI" . 3 des k "Vici" reconnus sont implantés à 7-8 Km de Rennes le long des voies Rennes-Nantes (Chartres de Bretagne), Rennes-Carhaix (Launay-Thébert), Rennes-Corseul (La Chapelle des Fougeretz). Le quatrième () est situé à 10 Km de Rennes sur une voie secondaire. . Ces "Vici" sont en fait répartis sur la deuxième ceinture de "Villae", implantés sur les voies, ils jouent manisfeste- ment un rôle dans les échanges économiques entre la ville et la campagne - rôle qui reste à examiner dans le détail - ils jouent également un rôle culturel attesté par la présence de temples (La Chapelle des Fougeretz). Ces "Vici" assurent "L'osmose entre la ville et la campagne". (GALLIOU, 1983).

2- Les lieux de culte . Situés à des distances variant entre 5 et 12 Km de Rennes, le long de voies principales ou secondaires, ils sont pour 3 d'entre eux (Pacé, Mordelles, Vern sur Seiche) implantés au-delà de la 2è ceinture de "villae" au coeur de denses semis de petits gisements. Ces "sanctuaires" livrant en général un mobilier cultuei modeste semblent bien jouer un rôle culturel au sein d'une population de petits paysans libres ou locataires installé dans de modestes fermes. En conclusion, nous noterons que la campagne environnant Rennes était densément occupée . Les conditions topographiques ont éloigné quelque peu la ceinture de "villae" suburbaines de centre de la cité. Les grands domaines de la 2è ceinture avec leur villa et de petites fermes qui semblent en dépendre occupent tout le territoire et sont tous situés à moins d'une journée de charroi de Rennes. Les petites fermes exploitées par une paysannerie libre ou semi- libre semblent essentiellement implantées au-delà de la 2è ceinture à plus de 10 Km de la ville. Ce Canevas reste à confronter et argumenter avec de nouvelles données que l'on se propose de rassembler dans l'année à venir. Carte des implantations gallo-romaines autour de Rennes

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• A .

A

0 km s 1 i i t ii VILLA □•.VICUS A SANCTUAIRE

;iagramme des distances des "Villae" à Rennes Ml

5

■ I 22 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 Km BIBLIOGRAPHIE

LE GLAY, 1975 ! M. LE GLAY, La Gaule romanisée, in Histoire de la Rurale t.1, éd. Le Seuil, 1975.

GALLIOU, 1983 : P. GALLIOU, L'Armorique Romaine, Les Bibliophiles de Bretagne, Brasparts I983.

LANGOUET, 1987 : L. LANGOUET, Les Coriosolites, Ce RAA, St MALO, I987.

PROVOST, 1984 : A. PROVOST, L'Archéologie gallo-romaine du Bassin de Rennes. L'Apport de la prospection au sol, in La Prospection Archéologique en Haute-Bretagne, Dossiers du Ce RAA n°G, 1984.

PROVOST, LEPRETRE, 1987 : A. PROVOST, B. LEPRETRE, La prç^ction Archéologique dans l'arrondissement de Rennes de 1984 à 1986. B.S.A.I.V. t.LXXXIX, 1987. L'ETAT DE LA PROSPECTION

DU DASSIN DE RENNES

EN 1987 Le Projet de Prospection Inventaire en IQPP - 1989

lire Géographique . Pour les périodes pré et protohistorinues, c'est le coeur du bassin et notamment les abcrds des vallées de La Vilaine, de l'Ille, du Meu, de La Flume et de La Seiche qui feront l'objet de notre atten- tion. . Pour les périodes gailo-roumaine et médiévale, pour l«s

L'intérêt archéologique . Lancement d'une action de recherche plus intensive sur les sites pré et protohistoriques pour lesquels les données sont squelsttiques :

Paléolithique : avec des apports de J.L. MONNIER du laboratoire d'Anthropologie et de géologie du quaternaire et 0. KAYSER conservateur aux Antiquités Préhistoriques : repérage des anciennes terrasses allu- viales à prospecter et recherche systématique dans les coupes des gra- vières et ballastières.

Néolithique et protohistoire : Inventaire des trouvailles fortuites et objets isolés découverts en prospection. Recherche des concentrations (sites d'habitats) avec cartographie des vestiges de surface. Détection aérienne des eites à fossés. Apports de C. LE POTIER - Archéologue.

Gallo-romain : Aller vers une prospection qualitative des sites déjà repérés, sans négliger l'inventaire de sites inédits : Il s'agit par une observation fine des vestiges de surface et une col- lecte par quadrillage des mobiliers au sol de mieux caractériser les gisements : contenu, concentrations, dispersion, types de mobiliers. Ceci pouvant déboucher également sur la mise en évidence de rétractions, expansions, déplacements des habitats et d'analyser enfin, en étudiant les mobiliers collectés les interractions entre la ville et la campagne et entre les sites ruraux. La Prospection aérienne devra tenir une large part dans ces recherches.

./. Enfin, ces méthodes de collecte fine navraient permettre d'avancer dans l'histoire de l'occupation du sol et notamment l'étude des périodes charnières entre la Tène III et le Gallo-romain et entre le IV s. et le H aut-Moyen-\ge. Pour nombre de sites gallo-romains, l'on faisait remon- ter l'occupation originelle au moins à la Tène III à partir de mobiliers recueillis en surface, hâtivement datés de la Tène Finale. La fouille de la villa gallo-romaine de Chatillon sur Seiche - référence essentielle pour l'espace rural Riedone - a mis en évidence des séries céramiques grossières datées de 30 av. J.C. a. 30 ap.1 J.C. donc de la période gallo- romaine précoce ; céramiques différenciées par rapport au mobilier,daté lui de la Tène Iliade Mordelles dont la fouille est en cours. Il appa- raît déjà que l'essentiel de la poterie grossière recueillie sur les sites de surface du bassin est identique à la poterie gallo-romaine précoce de Chatillon sur Seiche. La prospection aérienne, par la localisation d'enclos de la période d'avant la conquête devra permettre dtapprécier ou non si la conquête romaine a constitué une période de rupture dans l'occupation du sol et d'apprécier si, comme à Châtillon, les grandes ou moyennes "villae" du bassin sont issues de la romanisation progressive de fermes indigènes augus téennes. Des collectes de tuiles pour la datation archéomagnétique des toi- tures gallo-romaines et des sondages de vérification chronologique dans les bâtiments et les fossés d'enclos compléteront les données de l'ob- servation et de la prospection.

L'étude des relations entre les sites et les sols (pédologie) sera menée par A. PRIOL, dans le secteur S-E du bassin pour lequel les cartes des sols est parue.

Epoque Médiévale : L'accent sera mis sur l'inventaire et le relevé de sites terroyés et fortifiés de l'Est du bassin, couplés avec les recher ches bibliographiques menées par Michel BRAND'HONNEUR dans le cadre de son mémoire et maîtrise sur la "Baronnie de VITRE" et des sondages de vérification de la chronologie. PROPOSITION D'UNE METHODE DE RENTABILISATION DES SURVOLS AERIENS DU BASSIN DE RENNES

LES CONSTATS t La prospection aérienne dans le bassin de Rennes se heurte à un problème que ne rencontrent pas les prospecteurs aériens du Sud ou du Nord de l'Ille et Vilaine : la difficulté d'observer les traces archéologiques, notamment les sites à fossés.

LES CAUSES : En effet, les zônes périphériques du bassin (Nord et Sud de l'Ille et Vilaine) présentent une morphologie complexe de crêtes de roches dures. Les fossés des sites pré-romains, gallo-romains ou médiévaux entaillant ces roches affleurant sous une terre arable de très faible épaisseur, ont induit de façon localisée des profondeurs de sol plus grandes provoquant de fortes différences dans la crois- sance de la végétation (indices phytologiques) aisément et longtemps visibles d'avions en période favorable. Dans le bassin de Rennes, par contre, la morphologie générale plane, les sols profonds et homogènes constitués d'alluvions et de limons éoliens, ne favorise pas autant ce mode de prospection : les traces de fossés sont peu visibles et "fugitives". Par ailleurs, la majorité des clichés sont pris sur des champs de blé et d'orge, en effet ces cultures à maillage très fin livrent des indices mais ce sont, parmi les plantes cultivées, celles qui s ' enracinent le moins profondément ; elles sont donc moins sensibles aux différences de profondeur des sols. Blé et orge ne sont donc peut-être pas les meilleurs indicateurs de sites à fossés en pros- pection aérienne dans le bassin de Rennes. Il faut donc rechercher d'autres végétaux indicateurs. Si les sites à fondations en dur sont plus aisés à détecter il serait tout de même intéressant de faire varier les plantes observées et les périodes de survol puisque nous sommes en pays de polyculture.

LA METHODE : L'idée de base est de voler dans les périodes les plus favorables compte-tenu de la diversité des plantes et du climat, c'est à dire optimiser la détection aérienne. Il est essentiel d'effectuer des survols sur de plus grandes surfaces végétales, un plus grand nombre de plantes et sur le maximum de périodes fa rables et dépasser la tendance actuelle à voler essentiellement fonction du blé et de l'orge. PROPOSITIONS : Nous mettons sur pied un calendrier des périodes favora- bles, faisant intervenir le type de culture et les périodes intéres- santes qui lui sont propres : 1- en début de montaison ou de la reprise de végétation (en général au printemps) et des regains sur herbe 2- à la floraison ou la maturation

Pour les couvertures forestières on adoptera les périodes suivantes : 1 - le débo\irrage 2- le jaunissèment des feuilles

Les plantes sont très sensibles aux réserves en eau du sol, le- quelles sont fonction de la pluviométrie. Cette dernière donnée doit donc permettre de préciser, à l'intérieur des périodes favorables, le: moments les plus propices aux survols sur tel ou tel type de plante. Une expérimentation sur 2 années sera nécessaire (Voir tableau ci- joint) elle implique de : - connaître les semis et les dates de semis, sur les sites connu par la prospection au sol notamment. - recueillir les moyennes pluviométriques sur les 10 dernières années afin d'établir une année standart. - recueillir l'information sur la pluviométrie, par quinzaine à partir de septembre 1987.

Durant l'expérimentation, d'autres facteurs comme les maladies des plantes pourront être intégrés à la méthode.

Jean-Michel COLLET

Ingénieur en Agronomie II : J F M A M j J A s 0 N D

Forêt de feuillus « u

Blé d'hiver : m m\ 11!

Blé de printemps ! mai «1 mu llll

Orge de printemps nu 111 UNI m

Avoine d'hiver llll 111(111!

Colza fourrager .■>■ UUliii n 11

Maïs (fourrage & grains) lllllllll lllllllll IIIIIIE ■11: lllllllll n

Prairie naturelle uni niiiiiii DQIllt lllllllll lllllllll

Ray-grass mu niiiiui mil lllllllll lllllllll

Luzerne 1 II! u mua mi muni ■I

Pois fourrager mi lui i

Tournesol iiiiiiiii ■ uni

Bettrave

Chou-fleur llllllll 1 lllllll 1

Pomme de terre mi n iimii uni!

Lande à bruyère moi mi

Vesce d'hiver mu iiiiniii uni

Trèfle violet iiiiiiiii ijlllllll! i mm imiiiii i mim 1 j Terre nue, jeunes céréale s m —i— \

J:M. COLLET Prospection forestière1 - ensemble Médiéval du Bois de Borne à ST AUBIN D'AUBIGNE : Végétation différencielle à l'emplacement des ruines = jaunissement différencié des feuilles LEURES ARCHEOLOGIQUES

MONTREUIL LE GAST - Cranne Mare comblée il y a 10 ans INVENTAIRE - 1987 PALEOLITHIQUE

CHATILLON SUR SEICHE - Le Pâtis-Avril i racloir déjeté en quartzite lustré du Paléolithique Moyen. - objet isolé, trouvaille de surface (M. DAVID)

CHATILLON SUR SEICHE - Rue du Moulin 1 pointe Levallois déjetée en quartzite lustré du Paléolithique Moyen, découverte dans la terra ara- ble lors d'un décapage de surface sur le site gallo-romain de La Guyomerais. (A. PROVOST)

NEOLITHIQUE

GEVEZE - Basse-Prévautais i 2 haches polies en dolérite, trouvées par M. LESNE.

GEVEZE - Beauvals : 1 fragment de hache polie en dolérite (tran- chant) découvert par M. GALLEE.

GEVEZE - Champagne : 1 hache polie en dolérite, conservée à La Bizolais en Gévezé.

GEVEZE - La Championnière t sur ce site connu depuis 1972, 6 anneaux disques répertoriés (GIOT, 1973) (LEROUX, 1975), de riouvellas pièces datables du Néolithique et du Bronze ancien ont été collectées I - 1 anneau-disque en schiste métamorphique D. ext = 116 mm, D. int. = 52 mm ; ép. = 20 mm - 1 demi-disque de même matériau, non perçé (ébauche ou brisé au façon- nage ?) D. env 115 "

6

GEVEZE - LA CHAMPIONNIERE

1 - 2 : haches polies 3 t tesson à bouton k : tesson à impressions digii 5 : fusaîole 6 - 7 î lames de silex

GEVEZE - Le Choisnel : 2 petites haches polies en dolérite trouvées par M. GALLEE.

GEVEZE - La Comillère ! petite hache polie en dolérite découverte par M. GUINARD.

GEVEZE - Les Jarzeaux : petite hache polie en roche dure, de factu- re grossière au tranchant émoussé.

GEVEZE - Villée hache polie en dolérite trouvée par M. VILBOTTX.

PROTOHISTOIRE

BEUEE - Le Bois de Pellan : gisement sur quelques mètres carrés de terre noire cendreuse ayant livré une quinzaine de tessons de po terle pro tohis torique, modelée à la main, pâte grise à gros dégraissant quartzeux face interne brun noir, face externe tirant sur le rouge de brique. Un seul tesson présente un bord, sans lèvre, probablement d'un vase à bord légèrement oblique vers l'extérieur. De nouvelles prospections s'imposent pour caractériser ce gise- ment.

prosp. î C. ERCOLANO cad. : 19^7, Kl, 25B coord. lamb. II t x = 278,700 y = 161,600

MELESSE Les Petites Fontenelles 1 3 enclos quadrangulnires repérés en photo aérienne* Sur un site où en I98'l on en avait repéré un en photo-aérienne et où le contrôle au sol avait permis de découvrir des fgts d'amphores tardo-Républicaines (probablement Dr. IB ?) et quelques tessons frustes de la Tène finale ou gallo-romain précoce. Un contrôle en novembre I9R7 a livré 3 tessons de T.S. dé Gaule du Sud et Gaule Centrale du 1° s. dnè, tessons localisés sur la même parcelle, à 70 m environ au Nord des enclos.

* indices phytologiques sur orge - fossés d'enclos - 3 juin I987 le blé voisin ne montre rien.

prosp. : A. PR0V0ST cad. : 1972, E2, !*35 coord. lamb. II î x = 300,750 y = 36'»,'t50 MELESSE - Les Petites Fontenelles GALLO-ROMAIN

AMANLIS - Laval : petit gisement de Tégulae en bordure de Seiche (précisément sur un cSteau bordant la rivière) micro-toponyme "Bourg-Martin". Site à prospecter à nouveau dans les parcelles voi- sines après rotation des cultures.

prosp. 1 A. PRIOL cad. : 1986, ZL, 66 coord. lamb. II x = 315,275 y = 3U2.900

. BEDEE - La Métairie Neuve : gisement gallo-romain matérialisé par des fgts de tégulae, des tessons de céramiqiie sigillée t

- de Gaule du Sud I" 9. ap. J.C. - d'Argonne IV s. ap. J.C. (bord chenet 320) et des fgts de poterie commune gallo-romaine précoce et II»- 111° s. ap. J.C. Site à longue occupation du I" s. av. J.C. au IV° s. ap. J.C. prosp. ! C. ESCOLANO cad. ! 1980, F1, 8, 19 coord. lamb. II ! x = 282,150 y = 361,375

BETTON - Le Grand Bréblon 1 gisement de Tégulae au sommet d'un cêteau dominant la Vallée de l'Ille.

prosp. 1 A. PROVOST cad. j 1980, C3, 1351*

coord. lamb. II 1 x = 30^,300 y = 359,250

BETTON - La Chauvinais : gisement gallo-romain, dense où l'on a observé de nombreux fragments de Tégulae très concassées et des tes- sons de cér. communes et sigillées des I°- 11° s. dnè. . Au Nord du site micro-toponyme révélateur "Les Villes Neuves" à l'Ouest "Rigné". . Tradition orale de "Ville Rouge" Le site est en lisière actuelle de la Forêt de Rennes . Cadastre orthogonal organisé, module remarqué t 125 m (l/6_ de lieue gauloise)

prosp. 1 A. PROVOST cad. : I98O, C2, 363, J6h, 376, 377, '106

coord. lamb. II 1 x = 305,800 y = 358,675

• CESSON - La Salmondière 1 site gallo-romain rejetant une grande quantité de matériaux de construction : tuiles, briques, moSllons, fragments dallage en shiste. Seule la moitié orientale du site a pu être prospectée en raison de la nature des cultures. Quelques éléments mobiliers ont été recueillis : cér. commune et sigillée, fragments d'Amphore datables des 1° ou 11° s. dnè. Le site est installé au sommet d'un plateau d'où la vue est très dégagée tant au Sud qu'au Nord ainsi qu'à l'Ouest où l'on voit le centre de Rennes.

prosp. i J. DENIETJL

cad. 1 I985, ZO, 67

coord. lamb. II 1 x = 309,375 y = 351 ,825

LA CHAPELLE-CHAUSSEE - Launay-Thouin ! gisement gallo-romain dtffu où l'on ne décèle pas de concentration dominante. Nombreux fragments de tégulae petits et roulés, et de rares tessons où l'on identifie un fragment de fumigée et un tesson de sigillée de Gaule du Centre. 11° s. dnè.) Source à proximité en parcelle 39. prosp. : N. GAUDICHON, A. PROVOST

cad. i 1983, A1, 48, 49, 50, 58, 59 coord. lamb. II t x = 289,650

y = 373,150

LA CHAPELLE DES FOUGERETZ - Montai^u ! INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES Sur ce site où l'on avait relevé de nombreux vestiges de construc- tion, occupé de la Tène finale ou gallo-romain précoce au IV°s. ap. J.C. la prospection aérienne a révélé une zône diffuse de bâtiments où quel- ques traces de fondation apparaissent plus nettement. Ces structures correspondent aux observations au sol (présence de moellons). Il s'agit ■-"sans aucun doute de substructions d'une villa que les trouvailles de surface : moellons, briques, fragments de Tubuli, dallages de shiste laissent supposer.

prosp. A. PROVOST

cad. I 1979, A1, 486 coord. lamb. II ! x = 295,475

y = 361,150

. CHATILLON SUR SEICHE - Le Pâtis-Avril t gisement de Tégulae dont sexile une partie est prospectable. A proximité immédiate d'une sour-

ce, ce site est à 1 250 m au Nord de la Villa de la Guillomerais.

Dans l'environnement immédiat du site on a par ailleurs découvert t - un raclolr du Paléo Moyen «

prosp. : M. DAVID cad. t 1979, AK, 101, 104 coord. lamb. II : x = 301,425 y = 346,800

CHAVAGNE - La Théalais : INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES

A 100 m au Sud d'un gisement de tégulae reconnu en 1977 on a repéré un important gisement gallo-romain 1 nombreux fragments de té- gulae souvent pulvérisées, tessons de céramique commune, briques.

Les 2 T.S. recuillies sont du IV» s. ap. J.C. (1 Chenet 320, molette des groupes 3-5 ?)• La photographie aérieme a livré des traces à l'emplacement du gisement. Toutefois, on ne peut attester un plan de villa. Le Relevé effectué n'étant donné qu'à titre d'information. Des survols nouveaux seront nécessaires pour en attester la réalité ou non.

prosp. : A. PROVOST, cliché vol du 13 juillet 1987 - Sur orge cad. : 1980, ZH ; 6,44 coord. lamb. II : x = 293,550

y = 346,550

. CORPS-NTJDS - La Rouaudais ! gisement de Tégulae de moyenne densi- té. A prospecter à nouveau afin d'en apprécier l'extension et la na- ture •

prosp. ! A. PRIOL

cad. 1 1980, B3, 971, 972 coord. lamb. II : x = 309,925

y = 338,375

LA CHAPELLE DES FCjUGERETZ - Mont aigu

LA CHAPELLE DES FOUGERETZ A1 1979 Montaiqu

• DOMLOUF - La Ménerie : gisement gallo-romain caractéristique des sites de bas de pente en grande partie masqué par des alluvions. Dans la parcelle 62, l'agriculteur a trouvé, à 0,70m de profondeur (drainage), un Culot d'amphore. Quelques fragments de Tégulae épars traînent en surface des parcelles 60 et 62. La parcelle 61 sera à revisiter.

prosp. ! M. BRAND'HONNEUR, A. PRIOL, A. PROVOST cad. : 1983, PI, 60, 61, 62 coord. lamb. II : x = 311,525 Y = 350,850

. GAHARD - La Boissière ! gisement gallo-romain, dense où l'on a recueilli de nombreux fragments de tégulae, des tessons de céramique commune et sigillée du Haut-Empire, des fragments d'Amphore et remar- qué des moSllons. L'assiette des "bâtiments" est nettement marquée sur le terrain par une terrasse en limite des parcelles **8 et U9. Cette dernière n'ayant pu être prospectée. En h<), à l'Ouest de la terrasse on a noté une large tache d'humidité, bien apparente en photo aérienne.

prosp. 1 M. LE CHARPENTIER, A. PROVOST cad. : I98O, F1, '(8, '»9, 51 coord. lamb. II : x = 312,375 y = 372,225

. GAHARD - Mare Moussue ! gisement gallo-romain à fgts de tégulae pulvérisée où l'on a recueilli quelques tessons de cér. commune dont une fumigée du 1° s. ap. J.C. A 50m de l'épicentre, au Nord, en bordure du Riclon un drainage a permis à H. Bilheux d'observer une urne funéraire en place à 0,70m de la surface du terrain . L'urne était en position verticale, son environnement immédiat (nature de la couche, présence d'autres mobi- liers) n'a pu Stre observé. L'urne contenait des cendres et fgts de calotte crânienne humaine provenant d'un bûcher 7 (os brûlés). L'urne en cér. com. modelée à la main est caractéristique de la période gallo-romaine précoce ou du début du 1° s. ap. J.C. Le fond troué est caractéristique d'un rite permettant à l'"âme" du défunt de s'échapper.

prosp. I H. BILHEUX, P. ANNEIX, M. LE CHARPENTIER cad. ! 1980, C2, 389, 390, 391, 392

coord. lamb. II I x = 316,975 y = 372,825

. GEVEZE - Vlllée : gisement gallo-romain dont la prospection reste à faire. On en connaît quelques fragments de tégulae et une meule complète (Méta et Catillus) découverte par l'agriculteur lors de la destruction d'un talus. Le site doit se trouver dans les parcelles vois ines . prosp. : A. VISSET cad. : 1980, B1, 207 coord. lamb. II ! x = 292,975 y = 368,075

GAHARD - Mare-Moussue ; Urne funéraire MELESSE - Les Rougets ! gisement gallo-romain découvert dans les terrassements du lotissement des "Rougets" et dans les remblais du Collège public. Aucune substruction n'a pu être observée ni supputée d'après les vestiges découverts ou les témoignages des entrepreneurs.

On a découvert, dans les remblais, de nombreux fragments de tégTjlae et de briques, des tessons de céramique commune et sigillée datables des I" et 11° s. dnè. Tradition orale "Ancien bourg de Melesse". Site aujourd'hui détruit.

prosp. I A. PROVOST, P. AUBREE, H. LEBLAY, M. LE GUEN

cad. I 1979, AB, ?, 272, 817, 827, 8*11 à 851, 773 ? coord. lamb. II î x = 300,125 y = 365,275

. LA MEZIERE - Le Patenoterais : gisement gallo-romain où l'on a relevé outre des fgts de tégulae un tesson de sigillée de Gaule Centrale du 11° s. dnè.

Ce petit gisement à 500m au Sud-Est de la Villa du Chêne-Hamon en La Mérière s'incrit dans un ensemble de petits gisements répartis autour de cette Villa. Il pourrait en avoir été une dépendance.

prosp. ! II. LEBLAY cad. î 1979, Al, 1565, 726 coord. lamb. II : x = 296,025 y = 365,025

• LA MEZIERE - Le Perray : petit gisement où l'on a relevé des frag- ments de tégulae et quelques gros fragments de briques. A proximité, un ruisseau draine des terrains argileux.

prosp. ! H. LEBLAY, P. AUBREE cad. i 1979, B, 713 coord. lamb. : x = 298,000 y = 36'SOOO

• MORDELLES - Le Châtelet 1 gisement de tégulae diffus - 7:Ône

remembrée - où l'on lia découvert aucun indice chronologique. A noter le micro-toponyme "Champ du Feu". Ce site s'inscrit dans un ensemble de gisements "mineurs" répartis autour du site de Sermon (Fanum).

prosp. 1 A. PROVOST

cad. 1 1973, Cl, 293, 29U, 295, 296 coord. lamb. II : x = 290,350

y = 350,025

• MOUAZE - Le Chêne Marot : gisement gallo-romain intéressant, dense et très étendu. On y décèle, devant la ferme une concentration mar- quant l'épicentre du site ! parcelles 287, 306. En 151 ! concentration s e condaire.

Mobilier : nombreux fgts de tuiles, briques, moellons en surface, cér. commune et sigillée caractéristiques du Haut-Empire. Une nouvelle prospection en conditions optimales sera nécessaire afin de tenter de caractériser plus précisément ce site.

prosp. : A. PROVOST

cad. 1 1983, Al, 287, 306, 1/19, 151 coord. lamb. II : x = 306,225

y = 3 65 ,(t00

NOYAL SUR SEICHE - Les Fontenelles : gisement gallo-romain maté- rialisé par des Tégulae. Quelques tessons de cér. commune et sigillée sont datables des I" et II0 s. dnè.

prosp. : A. PROVOST cad. : 1980, AK, 20, 81 coord. lamb. II : x = 30*1,250 y = 3i»7,250

NOYAL SUR SEICHE - Forêts t grand gisement gallo-romain dont l'é- pi centre est malheureusement occulté par deux propriétés bâties il y a 15 ans. Jardins et courts de tennis en masquent l'essentiel, il n'a d'autre part pas été possible d'obtenir de renseignements sur la pré- sence ou non de substructions. En périphérie on a recueilli des tégu- lae, fgts de briques et quelques tessons de céramique commune et si- gillée du 11° s. dnè.

prosp. ! B. LEPRETRE, A. PROVOST cad. : 1980, AB, 165, 177, 253, 309, 310 coord. lamb. II 1 x = 301,500 y = 3'i8,650

• NOYAL SUR VILAINE - Hidouze 1 gisement de tégulae Aucun indice chronologique

prosp. ! A. PRIOL cad. 1 1979, F3, 369, ^91 coord. lamb. II 1 x = 313,000 y = 3'»7,625

• ORGERES - La Moisonnais t gisement gallo-romain de densité moyenne, où l'on a relevé des fgts de tégulae et quelques tessons de céramique commune, fumigée, sigillée des I'- II» . dnè. s

prosp. 1 L. AUBRY, M. BRISARD

cad. 1 1980, A, 257, 220 coord. lamb. II t x = 302,875 y = 3*41 ,225

. PACE - Chaude-Fontaine t gisement de tégulae et briques à proximité d'une source aménagée. De faible densité, ce site fait partie de tout un ensemble de petits gisements (appréciation de surface I) répartis autour du sanctuaire de Launay-Bézillard.

prosp. ! N. GAUDICIION

cad. 1 1980, B3, 280, 1008, 1011, 1092

coord. lamb. II 1 x = 292,900 y = 360,000

• PACE - La Coudraie 1 petit gisement gallo-romain de moyenne densité où l'on a recueilli outre des fgts de tégulae, quelques tessons de céramique commune, fumigée et sigillée datables des I" et II" s. dnè.

prosp. : 0. SAUVEE, A. PROVOST

cad. 1 1980, E2, 722 ; E3, 607 coord. lamb. II î x = 296,325 Y = 357,825

F3 1979

. PACE - La\inay-Bézillard :

INFORMATION COMPLEMENTAIRE

1- La prospection aérienne a permis de compléter le plan du

s an c tua ire à 2 fana repéré en I98'l, notamment par la mise en évidence

du péribole dans lequel sont inscrits les 2 temples. Ce quadrilatère a pour dimensions env. k^m (N-S) et + de hOm (E-O).

2- Le curage d'un fossé coté Est du CD 287 a mis en évidence l'existence d'un triple fossé apparemment de même orientation que les structures du sanctuaire. Creusés dans le limon et les alluvions sous-jacentes, ces fossés étaient comblés de limon de couleur plus brune avec traces de cendres et de petits fragments de tégulae (permettant d'associer ces fossés au sanctuaire, du point de vue chronologique ?).

prosp. : A. PROVOST

cad. t 1962, B3, 392, hoU

coord. lamb. II i x = 293, ^25

y = 360,050

.t PACE - Launay-Thébert !

INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES

- Sur ce site signalé en 1979, l'aménagement du chemin rural coupant le site en 2 a mis en évidence :

les fondations de 2 murs parallèles distants de 3m, d'orientation E—0 en bordure de la parcelle 520 (fondations en shistes verts) ; une épaisse couche de terre brune + ou - cendreuse à tégulae, fgts de briques, sans mobilier céramique, en bordure des parcelles 501 et '165.

- Parcelle 522 sur l'emprise du gazoduc t céramique sigillée des

II-III" 3. (Curie 21) et un rebord de chenet 320 d'Argonne (lV° s.).

prosp. : A. PROVOST, B. LEPRETRE

cad. i 1962, ah ; 501, 520, 1*65, 522

coord. lamb. II ! x = 293,^00

Y = 355,350

RENNES - Le Bignon : gisement gallo-romain intéressant. L'assiette

en est marquée par une terrasse très nette. On y a relevé des tégulae,

des briques, des éléments d'hypocauste ou de foyer, des mo'éllons, des

fgts de dallages de shiste ardoisier ainsi que quelques tessons de

céramique modelée à la main, céramique commune, fumigée et sigillée,

donnant des repères chronologiques allant de la Tène finale ou du

gallo-romain précoce au 111° s. dnè. Il s'agit sans doute d'une impor-

tante villa installée sur le terroir de Villejan, bien connu pour sa grande valeur agricole. Toponyme voisin ! QUINCE.

La Rocade Nord de Rennes effleure le site à l'Est : aucune trace de substruction ou de fossé net n'a été relevée dans la coupe,

prosp. : A. PROVOST

cad. : 1987, HK, 125, 126, 127, 128, 129 coord. lamb. II : x = 299,000

y = 356,000 PACE - Launay-Bézillard

LE RHTSU - La Fleuriais ! INFORMATION COMPLEMENTAIRE La prospection aérienne a permis de compléter (partiellement ?) le plan d'un habitat reconnu en 1981». La route occultant la zône Nord du Bâtiment, il peut s'agir soit d'une petite Villa à 5 pièces de 15m X 8m, soit d'une partie seulement d'un habitat plus important. L'occupation du site est effective du (début ?) I» s. au début III" s. ap. J.C. (expertises sigillées). prosp. : A. PROVOST cad. j 1966, ZL ; 32 coord. lamb. II : x = 289,95

y = 353,15

ROMILLE - Le Bignon : gisement gallo-romain matérialisé par une grande densité de tégulae très fragmentées. Des tessons de céramique commune et sigillée des I" et II" s. dnè ont été recueillis par Mr LECROC du Lou du Lac. Le site occupe un coteau à faible pente ex- posé au Sud-Est. Source à proximité immédiate (toponyme ! Le Bignon), micro-topo "La Fontaine" parcelle 89. Le centre du Bourg de ROMILLE est à. 300m à l'Est de cet intéressant gisement.

prosp. : M. LECROC, A. PROVOST cad. s 1980, AE, 133 coord. lamb. II : x = 285,550 y = 365,975

ROMILLE - Vaunoise ! INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES En 1982, un gisement gallo-romain avait été découvert, parcelle 306, en prospection de surface. La prospection aérienne révèle l'existence d'enclos à fossés cloisonnés liés à ce site. Le bâtiment gallo-romain est situé dans le grand enclos Sud, lequel me- sure près de 100 m de largeur. Le ramassage au sol apporte des indices chronologiques t Fumigée, T.S. des 1° et II" s. ap. J.C.

prosp. : A. PROVOST , cliché, vol du 15 .juillet 1987 indices phytologiques sur herbe et sur orge cad. 1 1967, E2, 306,. 307 coord. lamb. II ! x = 285,150 y = 36!>,275

. SAINT BRIEUG DES IFFS - Launiole ! fragment de meule en granit. La facture semble gallo-romaine, mais l'objet a été découvert hors contexte sur sol labouré à proximité d'un bâtiment ruiné, prosp. : A. PROVOST

. SAINT-ERBLON - Ercé ! gisement gallo-romain découvert à la faveur du creusement d'un étang où une structure limitée, empierrée et com- blée d'argile grise, de tuiles et de quelques tessons, a été observée avant la mise en eau (témoignage local). Des tégulae et des tessons de céramique commune et sigillée des I°- 11° s. dnè ont été recueillis dans les champs environnants accessibles au prospecteur. Dans la par- celle 232 un sesterce du 11°s. avait été découvert il y a quelques années. Micro-toponyme voisin 1 "Les Murailles".

prosp. : M. BRISARD cad. : 1987, A2, 17'», 175, 218, 219, .... coord. lamb. II î x = 30l»,I»50 y = 3i»3,675'

13 -

SAINT GERMAIN SUR ILLE - Bas-Fouisseul : gisement gallo-romain relativement diffus, matérialisé par des fgts de tégulae et quelques tessons de céramique commune et sigillée du II" s. dnè. Site de moyenne pente, caractéristique de toute une série de pi- ments gallo-romains mineurs (appréciation de surface !)

prosp. : A. PROVOST càd. 1983, AI, 53, 5k coord. lamb. II t x = 305,150 y = 369,225

. SAINT GONDRAN - Le Chgnot t gisement gallo-romain révélé par le recalibrage du ruisseau du Perray. Dans les déblais de creusement et sur le terrain environnant on a relevé des fgts de Tégulae, de briques, des tessons de céramique modelée à la main de la période gallo-romaine précoce, des cér. corn, fumigéos et sigillée des 1° et II°s. dnè. Ces mobiliers proviennent d'une couche d'argile grise. La prospection des terrains environnants devra être menée lorsque les pratiques agricoles le permettront afin de tenter de caractériser ce gisement particulier.

prosp. s A. PROVOST cad. : 1983, B, 327 coord. lamb. II : x = 291,350 y = 371,575

. SAINT MEDARD SUR ILLE - Heuzé : gisement gallo-romain dense, où l'on a recueilli de nombreux fragments de tégulae et quelques tessons de céramique commune et sigillée du Haut-Empire. Des mo'éllons laissent supposer des substructions à l'épicentre du gisement.

prosp. : H. LEBLAY, P. AUBREE, A. PROVOST cad. t 1980, C2 no3^0 coord. lamb. II ! x = 303,1*25 y = 370,375

. SENS DE BRETAGNE - Les Cognets : gisement gallo-romain, dense, support d'une tradition orale "La Vieille Eglise" ; micro-toponyme voisin "Les Grandes Fontaines". On y a remarqué de nombreux fragments de tégulae, des mo'éllons de quartz et recueilli quelques tessons de céramique commune et sigillée des 1° et 11° s. dne.

prosp. î M. BALLUAIS cad. : 1983, B3, 663, >^h, f»95, ... coord. lamb. II : x = 312,150 y = 376,725

• VEZINS - La Drouettière ! gisement de tégulae, de faible emprise apparente, à faible densité, toutefois en concentration sans équivo- que, sur le bord Nord de la voie Rennes-Carhaix.

prosp. : N. GAUDICHON, A. PROVOST cad. : 1987, AI, 87, 88, 89 coord. lamb. II : x = 295,775 y = 355,050

VIEUX VY/COUESNON C2 1980 VIEUX VY SUR COUESNON - La Boissière : important gisement gallo- romain près de la ferme de La Boissière. Dans les talus bordant les parcelles 't 15-h 18 et 385-386 se voient en- core ce qui semble bien être des murs appareillés de petits moellons. De nombreux fragments de tuiles gisent autour de la ferme. Un ramas- sage de surface reste à faire dans de bonnes conditions (labours). Le site est bordé au Sud par un ancien chemin qui pourrait être l'ancien- ne voie CORSEUL-JUBLAINS. Ce chemin organise le parcellaire recouvrant

le site 1 orthogonalité des limites parcellaires à ce chemin. Le parcellaire semble reprendre les structures antiques. Une meule a par ailleurs été trouvé en 396 entre La Boissière et le Mézeray. Une étude approfondie de ce site reste à faire.

prosp. t H. BILHEUX, P. ANNEIX, M. LE CHARPENTIER cad. t 1980, C2 ; '+15, 'H 6, U17, '+18, 385, 386, 392, 682, 685, 393, 39^, 396

coord. lamb. II 1 x = 315,500 y = 376,'125

VIGNOC - Gras de Vache 1 gisement découvert dans les déblais de creusement d'un étang. On a recueilli dans ces déblais des céramiques modelées à la main datables de la Tène finale ou du gallo-romain précoce, des fragments de tégulae et des céramiques communes et fumigées des 1° et 11° s. dnè. L'extension du site est difficilement appréciable compte-tenu de l'utilisation des déblais de creusement en remblai autour de l'étang.

prosp. : A. PROVOST cad. : 1983, B1, 65, 66, 67, 68, 69, 72, 73, 7'i, 75 coord. lamb. II 1 x = 296,575 y = 371,250

• VIGNOC - Vauléon : gisement de tégulae concentrés sur le sommet d'un cÔteau en bordure d'une voie ancienne Nord-Sud, limite communale Vignoc/Langouet, voie q\ii semble bien organiser le parcellaire envi- ronnant dont on retrouve notamment un module voisin de 125m (1/6 de lieue gauloise).

prosp. : A. PROVOST cad. ! I965, C3, U19, 1(20 coord. lamb. II : x = 293,950 y = 369,650 VIGNOC B1 1983

Gras de vache/ MRDIEVAL

BEDEE - La Motte-Joubin : motte castrale sur une pente douce au sud, de forme ovale I base grand axe = 60 m, petit axe = h 5 m } large plate- forme sommitale : '»0 m X 30 m ; h = k m. Sur le cadastre de I8'43 , une pièce d'eau marque l'emplacement de la douve à l'ouest et au sud de la motte (aujourd'hui petit étang). Cette douve était alimentée par une source. Une vaste enceinte quadran-

gulaire d'une longueur d'au moins l'tO m, largeur de 120 m se laisse encore deviner par de légères anomalies topographiques t talus arasé avec comblement partiel d^/J.a partie intérieure de l'enceinte (l'agri- • 1\ ' t» culteur retrouve une terre* végétale sous plus d'1 m de remblai d'argile jaune). La motte se situe à l'extrémité sud de cette enceinte éventuel- le "basse-cour" ou retranchement réutilisé ?. L'ancien cadastre montre, à l'est de la motte une anomalie parcel- laire de forme ovale de 160 m X 50 m coupée par la route de Montfort. Le micro-toponyme "Les Douves" induit une seconde enceinte à lfest de la motte. Une étude historique approfondie et des sondages permettraient de dé- terminer la chronologie de cet ensemble intéressant. La seigneurie du Plessis-Joubin est associée à. cette motte (BANEAT). prosp. ! J. MONNERAIS, B. LEPRETRE

cliché : vol du 30 septembre 1987 A. PROVOST

cad. ! 1980, AB, 132, 133, 13'», 179, 199, 200, 201, 202, 20't, 207 coord. lamb. II : x = 281,625

y = 361,800

CESSON - Les Champs Blancs : gisement caractérisé par des pierres de construction, des briques et carreaux et des tessons de la fin du Moyen-Age et du début de la période post-médiévale : céramique à cordon rapporté à impressions digitées. Ces éléments ont été recueillis dans la coupe des fossés et talus du V.C. 20 et sur le champs nommé "Champ du Pavé", bordé par l'ancienne route royale Rennes - Fougères qui est aussi probablement l'ancienne voie romaine Rennes - Jublains. Cette rou route est citée dès le 18° siècle sous le nom de "ancien grand chemin". (Arch. Dép. minutes de solnes n° 1 8 10 (1763) et 2 13 (176'»)). B.S.A.I.V. tx, p. IV. Une tradition place sur ce chemin "l'ancien châ- teau de LEUCHE" (BANEAT p. 293).

prosp. : J. DENIEUL

cad. : 1987, YB, 2, 3, '»

coord. lamb. II : x = 305,550

y = 355,825

, CHARTRES DE,BRETAGNE - Fontenay : INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES Le site de Fontenay avait été partiellement étudié l'an dernier t on avait mis en évidence un gisement gallo-romain (Tégulae, T.S., Colonne),'on avait étudié les maçonneries du ?ïaut-Moyen-Age de la chapelle.

En I987, un ramassage de surface à l'Ouest de Fontenay a livré de très nombreux fgts de céramique des XI" au XV° siècle dont quel- ques ratés de cuisson. Fontenay a peut-être produit des céramiques, celles-ci peuvent également provenir des ateliers en cours d'étude

au Sud du CD.3'». La photo aérienne montre également une portion de la Douve comblée de l'ancien château.

prosp. : A. PROVOST, cliché. Vol du 29 mai I987 sur blé cad. ! 1980, AD, 20, 2k, 26 coord. lamb. II ! x = 299,375

y = 3i»6,0OO BEDEE - La kotte-Jubin X

pièce d eau

limi t e parcellaire

.12 m courbe de niveau

Centre de Recherches Arcnéologiques des Pays de Rennes LA MOTTE ' JUB •BEDEE• RELEVE TOPOGRAPHIQUE DE LA MOTTE CASTRA LE Cit 20». BL jum1Q87

CESSON YB 1987

100 m

CilEVAIGNE - La Hotte d'Ille : motte castrale en bordure de l'Ille, très arasée. Elle n'a conservé que 2 m en élévation pour un diamètre à la base d'environ hO m. Les aménagements de la motte ont été profon- dément remaniés par une dérivation de la rivière et l'installation d'un moulin à eau. Le site a été mis en évidence en prospection aérienne. Vol du 3 juillet IQ87. Végétation plus sombre à l'emplace- ment d'anciens fossés comblés.

prosp. : A. PROVOST cad. : 19*7, "2, 151, 152, 153, 765, 766 coord. lamb. II ! x = 30't,'t50 y = 36*1,900

DOMLOUP - Bas du Patis Jaunay "1 enclos à petit fossé, quadrangu- laire, aux angles arrondis.L. env. 80 m ; 1. env. 50 m. Accès au Sud, proche de l'angle S.E.

L'angle N.O. a été recoupé par un parcellaire récemment trans- formé. L'enquête et le contrôle des cadastres anciens attestent l'an- cienneté de la structure.

Le contrôle au sol a livré dans l'enclos ou son environnement immédiat, des tessons de céramique médiévale (fin Moyen-Age ?) et un fragment de meule en granit.

* Photographie nérienne

indices phytologiques sur blé 3 juillet I987

prosp. 1 A. PROVOST cad. ! 1983, Al, 23, 2*1 coord. lamb. II : x = 310,650 y = 351,350

GAIIARD - Saint-Fiac INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES

. Au sud de la maison-forte, relevée et pxjbliée en 1986 (B.S.A.I.V. 1987), un enclos trapézoïdal de 120 m X 80 m bordé d'un talus et d'un fossé a été relevé. Dans cette enceinte on note au nord une zône surcreusée, probable zone d'extraction et d'est en ouest un chemin d'accès à l'enclos. Celui-ci est relié à la maison-forte par un t alus.

. La maison-forte de St Fiac semble bien associée à un ensemble de fonderies, de la fin du Moyen-Age et du début de la période post-médié- vale, découvertes dans les environs à La Gerbaudais et Le Pont de La Grette ou marquées par les toponymes "La Ferrière". Le calcaire néces- saire aux réductions de minerais abonde dans les environs (faluns myo- cène).

. Tout indique la présence d'un site de production du fer, princi- pale ressource économique d'une région agricole pauvre. La forêt proche de Haute-Sève fournissait le charbon de bois, la rivière (Le Riclon) permettait de laver le minerai de fer latéritique. L'Association d'unités de production du fer au Bas-Moyen-Age et de fortifications a d'ailleurs été notée en Combournais notamment (LANOS, I98d). prosp. ! B. LEPRETRE, M. LE CHARPENTIER cliché A. PROVOST, vol du 31 octobre 1987 cad. : 1983, D2, 280 coord. lamb. II i x = 31*1,125

y = 372,225

'5S 282

281 S Sm b.LinBt CENTRE DE RECHERCHES ARCHEOLOGIQUES DES PAYS DE RENNES SITE DU BOIS DE SAINT. FIACRE (GAHARD) COUPES DE LA CARRIÉRË GAHARD ->St Fiac L'HERMITAGE (et PACE) - Le Guesneau : sur le bord de La Flume, au Sud, commune de L'Hermitage : Hotte castrale de 25 m de diamètre dont le fossé a été comblé, H = 2m 50 concervés. Tin système de fossés bouchés, visibles en photo aérienne était lié à cette motte. En Pacé, au Nord de La Flume : enceinte endouvée, sans talus, de 30 m de diamètre. Aucune Seigneurie n'est associée à cet ensemble curieux, qui ne semble pas présenter l'organisation habituelle associant motte et basse-cour. La Flume, rivière large de 5 m sépare les 2 structures. prosp. I A. PROVOST, cliché^vol du 25 juin 1987

cad. 1 L'Hermitage 1 1987, AE< 15 Pacé : 1980, Gk, 559, 88 1 coord. lamb. II : x = 292,550 y = 355,6oo

GEVEZE - Champagne ! motte castrale située à mi-pente en bordure d'un ancien gué sur La Flume. D. à la base = 20 m j D. sommet = 10 m. H. côté rivière := 6 m ; H. côté opposé = 3 m« La Seigneurie de Champagné est citée dès 1050, jouissant d'un droit de Hante-Justice (BANEAT). La motte est citée dans un aveu de I708 : "Quant au domaine proche de Champagné, dès l'an 1391 il se com- posait d'un manoir de ce nom avec ses moulins à blé et à draps sur la rivière Flume et son moulin à vent" (OUILLOTIN DE CORSON). Sur le ca- dastre de I8T8, se voient l'emplacement du manoir, au sud de la motte, l'emplacement d'un moulin à eau et sa retenue bordée au nord par un talus. Actuellement est encore visible la plate-forme du moulin à vent exposée, au N.O. de la colline aux vents dominants. Cette plate-forme, d'un diamètre de 25 à 30 m a conservé une hauteur de 1 m environ. prosp. 1 B. LEPRETRE, A. VISSET cliché ; vol du 25 juin 1987 - A. PROVOST cad. ! 1980, m, 200, 201, 202, 203, 20't coord. lamb. II : x = 293,850 y = 363,000

LANGOUET - Le Coudray ! motte castrale située à mi—pente d'une pla- te-forme sommitale en bordure de La Flume. D. sommet = 15m ; 0. base = 30 m ; H. côté rivière = 7 m Les douves, profondes de 2 m, sont encore bien conservées. A l'Ouest de la motte, on observe un monticule sur le flanc de la motte ! défen- se supplémentaire ou remblai ?. Sur le même site se sont succédés 2 manoirs. Le Coudray est un démembrement de la seigneurie de LANGOUET. En 1^27, Il est possession de G. de Piédevache (ANNE DUPORTAL). La motte a connu une utilisation particulière au XIX" s. avec le creuse- ment d'une glacière au Nord. prosp. ! B. LEPRETRE, A. VISSET cad. : ZB, 120, 121, 122,' 1 23J I965 coord. lamb. II 1 X = 291,200

y = 369,925

centre de recherches archéologiques des pays de Rennes

SITE DE CHAMPAGNE .GEVFZE

PLAN TOPOGRAPHIQUE DU SITE

12 COURBE DE NIVEAU len metrel LIMITE PARCELLAIRE

0 10m COUPE A.A

ploie forme molle

'\L.[1EC.19 86 -enrre ae riecnercnpi

;ou°£ A A ArcneoiogiQues a es

Pays de Rennes

SITE DU COUDRAY • LANGOUET-

RELEVE TOPO GRAPHIQUE

DE LA MOTTE

courbe de niveau et cote en mètre

B.L. avril 87

\

limite parcellaire ^ZUruisseau bâtiment existant en ECDbatiment postérieur

co daslre 1965. sec t ion ZB.

C e.R.A.Pa.R. SITE DU COUDRAY /HOULIN A EAU •LANGOUET• PLAN DE SITUATION IB.L ovnl 87 MONTOERMONT - La Motte : motte castrale installée sur une pente lé- gèrement inclinée. D. à la base = 30 m ; D. sommet = 17 m ; H. = 5 m Les Douves subsistent au Nord de la motte. Le cadastre napoléonnien laisse apparaître la basse-cour dont le secteur est conserve encore le talus et son fossé comblé. Elément intéressant, il subsiste à l'inté- rieur de la basse-cour la chapelle de la seigneurie (aujourd'hui égli- se du village), citée dès 1152 comme trêve de PACE dépendant de l'ab- baye St Melaine de Rennes et érigée en paroisse au début du XIII° s. (BANEAT). La seigneurie de Hontgermont est citée dans les chartes dès 1086 à "Gaufredus de Mongerii Monte", elle était de Moyenne justice relevant du Duc de Bretagne (OUILLOTIN DE CORSON, BSAIV. I983). A l'Est de la motte existait un manoir, cité en T678, il possédait 2 tours de terre (BANEAT).

prosp. : B. LEPRETRE, M. LE CHARPENTIER cad. : 1987, AH i AL ; 116, 120, 121, 126, 127 coord. lamb. II ! x = 298,750 y = 358,850

MONTREUIL LE GAST - La Jandière ! grand retranchement quarirangu- laire de 300 m X 200 m qui a conservé 2 très forts talus bordés de fossés à l'Est et à l'Ouest ainsi qu'un talus plus petit au Nord, le talus Sud a été nivelé. Les talus Est et Ouest ont servi de digues pour la constitution d'un étang alimentant un moulin à eau à l'Est. Au centre du retranchement, se voient les restes d'une petite Plate-forme circulaire baignée nu Nord par l'étang et entourée d'une douve sur les 3 autres côtés. Des vestiges de construction jonchent la plate-forme, moellons, briques, céramique de la fin du Moyen-Age et de la période post-médiévale. prosp. : A. PROVOST cad. : 198O, B1, 6, 7, 8, 9, 11 coord. lamb. II : x = 299,225 y = 369,775

. PACE - Champalaune : retranchement terroyé quadrangulalre "Campus de Ulmis" de 200 m X 120 m. Il demeure actuellement de forts talus bordés de fossés au Suri et à l'Est. Un 3ème talus (arasé) exis- tant au Nord. A l'Ouest, un étang jouait le r8le de glacis. La parcelle enclose de talus est dénommée "Le Château". Des briques, moellons et tessons de la fin du Moyen-Age et de la période post-médiévale sont les seuls vestiges d'un château ou manoir détruit.

prosp. : A. PROVOST cad. ! 1980, D1, hh, hl, U8, 1*9 coord. lamb. II : x = 295,150 y = 358,875

RENNES - La Cormerais-: petite enceinte terroyée ovalaire ou circu- laire recoupée par la dérivation moderne d'un ruisseau. L'enceinte, de 20 m de diam. int. est limitée par un petit talus

en partie arasé t H. cons. 1 m 50 max, bordé par un fossé de 3 m de 1arge. Un autre talus sub-circulaire, partiellement conservé, ceignait l'enceinte et ménageait un espace évoquant une basse-cour de motte.

prosp. ! A. PROVOST cad. : 1987, IR, 28 coord. lamb. II : x = 30U,4»25 y = 357,^50 limite de parcelie bahment disparu u-tà depuis 1814 fossé

25 m 50m

cadastre 1987 sections AH.AL Ce.R.A.Pa.R.

BOURG DE MONTGERMONT

MOTTE CASTRALE

plan de situation b.l. mai 1987

COUPE AA

ïj courbe de niveau Ccoïe en mêfre) !

Cenrre de Recherches Archéologiques des pays> de Rennes BOURG DE MONTGERMONT RELEVE TOPOGRAPHIQUE DE LA MOTTE-

BJ_ mai 196" CASTRALE

ROMILLE - La Motte : motte castrale, dans le bourg de Dominé.

Une maison de maître du iqème siècle est installée sur la motte s curieuse réminiscence de la destination du monument ! n. de la plate-forme ! env. 2() m

D. de la base : env. 'to m H. ! env. 9 m Seigneurie de Romillé associée prosp. ! J. MONNERAIS ; cliché.Vol du 30 septembre I987 cad. : 1987, A0, 109, 110 coord. lamb. II : x = 285,850

y = 3^5,825

SAINT ETIOLON - Telle ! petite motte de 25 m de diamètre à la base

12 m à la plate-forme, H = 3 m. Son fossé dont le tracé se devine au Sud, n'est concervé qu'au Nord, alimenté par un canal dérivé du ruis seau de Tellé. Pas de basse-cour associée Probable plate-forme pour une simple "tour de guet"

prosp. : A. PROVOST

cad. t 1980, D3, '(87 coord. lamb. II ! x = 299,700

y = 3'»2,300

FONDEIÎTES

GAHARD - La Gerbaudais : fonderie caractérisée par un gisement de scories cordées de gros module souvent, concentrées en un carcle de 50 m de diamètre, en bordure d'un ruisseau. On note la présence du Bois de St. Fiac et d'un gisement de f aluns myocène à quelques centai- nes de mètres. Aucun élément chronologique n'a été relevé jusqu'à présent.

prosp. ! M. LE CHARPENTIER, H. BIHEUX, P. ANNEIX cad. : 1987, 03, 659, 66Q, 66*1 coord. lamb. II : x = 313,675 y = 371,300

GAHARD - Pont de La Grette : fonderie matérialisée par de nombreu- ses scories cordées concentrées en limite Nord du Bois de St Fiac - Micro toponyme "Perrière" à 100 m à l'Ouest. A 100 m au Sud : Maison-forte de St Fiac A 100 m à l'Est 1 gisement de calcaire (faluns) exploités ancien nement (Pt de La Grette) Quelques fgts de terre cuite permettent de dater cette fonderie de la fin du Moyen-Age ou du début du post-Médiéval.

prosp. ! M. LE CHARPENTIER cad. 1 1983, D2, 252 coord. lamb. II : x = 3 1 ,350 y ■ 372,675

SENS. DE BRETAGNE - Les Loges i fonderie non datée matérialisée par de très nombreux déchets de scorie cordée et des fgts de terre cuite vitrifiée ou non, provenant de fond ou parois de fourneaux.

prosp. 1 M. BALLUAIS cad. 1 1983, CI', 185, 186 coord. lamb. II : x = 311,500 y = 375,350

ENCLOS NON FUTES

• CHANTEPIS - Les Champs-Esnnul ta : grand enclos cloisonné à angle arrondi - larges fosses en substrat schisteux.* I^a trace au Suri serait un ancien chemin. Des traces de fossés plus fins, clans les 2 enclos à larges fossés ne sont pas expliqués par l'enquête et le contrôle ries cadastres. Il pourrait s'agir aussi bien de drains que de faits archéologiques. Le contrôle au sol n'a donné aucun élément chronologique, ni aucune anomalie topographtque. A noter que le grand fossé Est-Ouest, au Nord, correspond au sommet d'une légère crête marquant la rupture de pente au midi. \ noter aussi la persistance d'une légende de ton- neau d'or enfoui.

* indices phytologiques sur blé Prospection aérienne des 29 mai et 10 Juillet 1987 prosp. ! A. PROVOST cad. : 02, 136, 427 coord. lamb. II ! x = 304,275 y = 349,000

. MORDELLES - La Rionnelais II ! enclos subcirculaire à fossé, détecté en prospection aérienne. Aucun élément chronologique au sol ne permet de dater cet enclos qu'un contrôle rigoureux avec les cadastres anciens distingue nette- ment des parcellaires successifs dont les traces sont visibles sur le cliché. A 200 m au N.O. de l'enclos on avait repéré un gisement de tégu- lae en prospection de surface en 1981 (parcelle 3')» (La Rionnelais i)

prosp. 1 A. PROVOST, cliché.vol du 7 juillet I9R7 indices phytologiques sur blé cad. t 1983, YC, 30 coord. lamb. II : x = 285,825 y = 350,725

. PLEUMELEUC - La Hotte II ! à 150 m au sud d'un important gisement gallo-romain (l^a Motte l) repéré en 1983, enclos à fossés, quadrangu- laire, cloisonné. L'orientation des fossés est différente de l'orienta- tion des substructions reconnues sur le site gallo-romain. Aucun indice chronologique ne permet de dater cet enclos. Le contrôle au sol et l'en quête ont permis d'éliminer des traces parasites rayonnantes, visibles sur le cliché, qui se sont révélées être des drains. La morphologie, en bosse du site exclut d'autre part toute confusion.

prosp. : A. PROVOST, cliché, vol du 7 juillet 1987 cad. : 1980, B3, 475 coord. lamb. II : x = 285,000 y = 363,050

y^"' VIGNOC - Le Haut-Méez : enclos quadrangulaire à double fossé au Sud. Le contrôle au sol n'apporte pas d'élément chronologique ; le contrôle au cadastre ancien permet d'éliminer des éléments de parcel- laire ancien. Demeurent ces fossés. Des survols et visites au sol seront nécessaires pour caractériser cet ensemble. prosp. : A. PROVOST cliché.Vol du 3 juin 1987 sur orge cad. : 1983, Cl, 19't, 979 coord. lamb. II : x = 295,350 y = 368,925

0 BIBLIOGRAPHIE

A. PROVOST et A. PRIOL : Trois années de prospection archéologique au sol au N.O. de Rennes - Dossiers du CeRAA n° 8, IQ80 p. 41 - 50

A. PROVOST : Prospection archéologique en Pays Rennais, premiers résultats et perspectives - Archéologie en Bretagne n° 36 heme trimestre 1982 p. 43 - 53

GIOT. 1973 : P.R. GIOT : Informations circonscription Archéologique de Bretagne - GALLIA Préhistoire, t. 1 6 , 1973 - 2

LEROUX, 1975 : C.T. LE ROUX : Informations circonscription Archéolo- gique de Bretagne - GALLIA Préhistoire, t. 18, 1975 - 2

BANEAT : Le Département d'Ille et Vilaine, Rennes, 1927

B. S.A.I.V., 1986 : A. PROVOST, B. LEPRETRE : La Prospection Archéolo- gique du Bassin de Rennes de 1984 à I986, B.S.A.I.V. 1986

LANOS, 1984 : P. LANOS, La métallurgie ancienne du fer dans le nord de la Haute-Bretagne - Dossiers du CeRAA n° G, 1984

GUILLOTIN DE CORSON : Les Grandes Seigneuries de Haute-Bretagne B.S.A.I.V., t. XXIII - 1894

ANNE DUPORTAL : La Seigneurie de Hédé - B.S.A.I.V. t. XLIV, 1914 - 191

B.S.A.I.V., 1983 : GUILLOTIN DE CORSON, Communication B.S.A.I.V. t. XXII - 1893

Abréviation B.S.A.I.V. : Bulletin de la Société Archéologique d'Ille et Vilaine

JONSCRIPTION HISTORIQUE BORDEREAU RECAPITUu.ITF \ RAPPORT DE

FOUILLE PROGRAMMEE / / SAUVETAGE URGENT / /

SAUVETAGE PROGRAMME / / SONDAGE / /

PROSPECTION /X / LOCALISATION Département ■y Ile dr \IMïn Commune

Lieudit : du cadastre I.G.N Local

N°de Site

Cadastre

Coordonnées Lambert AX Ay Alt. 3x By DATES Autorisation (n , date) :

Intervention (début et fin)

Années antérieures d1 intervention

INTERVENTION Responsable

Motif d'intervention

Surface fouillée Estimation de l'étendue da gisement

Nature du gisement

Nature des découvertes effectueées

Périodes chronologiques

3SERVATI0NS

"ONTENU DU 3SSIER : Rapport scientifique ... 2 3. : Plans et coupes : Planches et dessins : Photographies légendées Département Commune SKOL-UHELARVRO Lieu-dit INSTITUT CULTUREL DE BRETAGME N° Identification du site : / / / / Nature : fi\ £ fefyiUe. Diamètre moyen : 7-,5~ m« t Datation : Protection : MH IS SC SI

DESCRIPTION

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES □ Témoignages □ Fouilles QPlans □Tradition orale □ Sondages QPhotographies □ Mobilier □ Etude inédite QPhotographies aériennes □Documents divers

pouvant être obtenus auprès de :

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention [[[Recherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année : Zone Lambert : I ou ^TT) Section(s) et parcelle(s) : 2./-; 6G x = Mf/*?r Y = 1kl, lOO Altitude NGF :

Département Commune SKOL-GHELARVRO Lieu-dit Bcce* INSTITUT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature : ^ ^T«^A€_ Diamètre moyen QOO m, Datation : L^k-te«*a*K Protection : MH IS se SI

DESCRIPTION

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES Témoignages □ Fouilles □ Plans □ Tradition orale flSondages □ Photographies Kl Mobilier ^Etude inédite □ Photographies aériennes □ Documents divers

pouvant être obtenus auprès de

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention [^Recherche approfondie

Cadastre Coordonnées de 1'épicentre Année : yi^t^~ Zone Lambert : I ou (U) ^olf,lt.ÇO Section(s) et parcelle(s) : /} -2^ x = Y = • Altitude NGF : 26

Département Commune SKOL-UHELARVRO Lieu-dit INSTITUT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature : %^L- a. tta^Xa^ Diamètre moyen 400 m.

Datation : QjBUV-r*vik**. Protection : MH IS SC SI

DESCRIPTION

...... ~l - 1 » i« Lté. I 0.1 I . -t-J/7-

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES □ Témoignages □ Fouilles QPlans □ Tradition orale □ Sondages □Photographies H Mobilier □ Etude inédite □Photographies aériennes □Documents divers

pouvant être obtenus auprès de : ^ ftjf^ (

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention QRecherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année : 43?£ Zone Lambert : I ou (fî) Section(s) et parcelle(s) : X =

Altitude NGF : 93- . » ' Q . i Département ' j j Commune h-* /aw2* | Lieu-dit M" Identification du site ^ 35"/ /

NI a l u 11 ■ Diamètre moyen : m. Dat.tr i oii 1 Protection • Mil IS SC Lil

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N^W-V^ Xic^UA ^W1^ coulée xV- |U<^^- ,1e

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1 ■ > ; 11 ■. i >.T e '.i : , Photog raph les M û l » 111 e r

Erude inédite □ Photographies aérienne b Documents diver; pouvant i • t r e obtenus auprès de : rtCdji A«#u*w» JU_ ;

B I fil [OCl.'Àf'f! ! È

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C a (la -, t re !oordonnéeb de l'étncentre n ni Zone Lambert ou (n) : t ion t |> a r c c ! I e l s. X = VH, SCO

Département Commune SKOL-UHELARVRO Lieu-dit INSTITUT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / 9 Nature Diamètre moyen : Datation Protection : MH IS SC SI

DESCRIPTION

IL jw~X~ o~U^ ^ 1» l^vwc „ nA^a^y. .. y «

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES f><] Témoignages CjFouilles □ Plans □ Tradition orale riSondaoes Kl Photographies (El Mobilier SEtude inédite 0Photographies aériennes [^Documents divers pouvant être obtenus auprès de

BIBLIOGRAPHIE IZ1 Simple mention [HRecherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année : A$fO Zone Lambert : Section(s) et parcelle(s) : \ Y = 37-6,4^

314, Wt. Altitude NGF : ^JJ Département X CK \J Commune SKObUHELARVRO Lieu-dit INSTITUT CULTUREL 6>t»s de^ i/a cive- DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature Diamètre moyen : ^iOO m. ? Datation : ^neJ-ftjwx&Tvl e< *èiv\. Protection : MH IS se SI

DESCRIPTION

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RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES I I Témoignages l~lFouilles □ Plans □ Tradition orale □ Sondages □ Photographies K] Mobilier □ Etude inédite □ Photographies aériennes Q Documents divers pouvant être obtenus auprès de : 1\>Pt

Département Commune SKOL-UHELARVRO Lieu-dit INSTITUT CULTUREL DE BRETAGNE N Identification du site : / / / Nature : tifo, à TJUi*e~ Diamètre moyen m. Datation : " Protection : MH IS se SI

DESCRIPTION

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES □ Témoignages □ Fouilles QPlans □ Tradition orale □ Sondages □Photographies O Mobilier H.Etude inédite □Photographies aériennes □Documents divers

pouvant être obtenus auprès de

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention [^Recherche approfondie

> Dépa rtemeru Cuinmune Lieu-dit ! N" Identification du site : 5^ / /&Z"b/ / Diamètre moyen : ÀSC m.

Datation : G Protection : Mil IS se SI

DR'■ i/!' i l'TlON

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!-:'-:."'.f:!C>"-MKNT.c> COMI'LKMENTAIRKS □ Témoignas es

LJl-'iii! 11les CJPlans ^Tradition orale

l □ HM,.i. .

BinLIQCI.'AI'MIE □ Simple mention □Recherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'epicentre 1 n a s~s Annir : A°±îC I Zone Lambert : 1 ou (TT)

Scw t IvMI ( • 1 parceile(s) :Fd. n.$/lfl ! X=< . 2 81 A50 JH'J* C

Département Commune SKOL-UHELARVRO . «—• Lieu-dit INSTITUT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature : 5, , £ Te^lè* Diamètre moyen J50 m. rc Datation Protection : MH 1S se SI

DESCRIPTION

(a v**vtu^ ^uÀ-^taie, ^U. kti- ^ *£\*^ jM»j*dju^ *•»■ /uVtx>iM_ v^vCc»—

dLei CJ&KJU» . ^U&jov £XL1.K^ «*AJLJAS>. O«A- ALc^uM^ :

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES I I Témoignages □ Fouilles □ Plans □ Tradition orale □ Sondages □ Photographies (53 Mobilier □ Etude inédite □ Photographies aériennes □Documents divers

pouvant être obtenus auprès de

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention QRecherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année : Zone Lambert : I ou Section(s) et parcelle(s) : P Qj S-^ Y = iri,Uf Altitude NGF :

ih(hUt&f>^~^- j Département • -U ~ ^ j Commune 4*p ; Lieu-dit j Identification du site : $Ç / /05**/ /

•Nalu"' : tw.db^ & Çt><>te^ Diamètre moyen : ^ m. Datation : 7 Protection : Mil IS SC SI

h*J/tw^ cli_ Q^vcfc- «M_ vy^^o _ A- "Uï&^ O-t/Jol QjX. o( '

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StnLIOCI.Ai'HlE □ .Simple mention QRecherche approfondie

idastre Coordonnées de l'eptcentre z\ n née .pue Lambert ou (TT) : t ion ( • i > l parc e ; i e \ s , ' 7 = 3Hj eee-

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Département Commune SKOLUHELARVRO Lieu-dit INSTITUT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : /3S /oS3/OoÇ Nature : ÇjbL ^ le^cu^ Diamètre moyen m. Datation : ç Uo^s^ * Cp^-r**,;^ Protection : MH IS SC SI u

DESCRIPTION

OM. Ai or»+eM*»*) >p( o'cce^M rto~o a^a* À^Oè^ A. /fo**dc+^K 0

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES I | Témoignages □ Fouilles □ Plans □ Tradition orale □ Sondages □ Photographies El Mobilier ^]Etude inédite ^Photographies aériennes ^[Documents divers

pouvant être obtenus auprès de : f\-Pa^\)osT

BIBLIOGRAPHIE 12 Simple mention QRecherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année : •/f9?'ô Zone Lambert : I ou (TT) Section(s) et parcelle(s) : Mj Y = 36 4y 470 Altitude NGF : ^-ÇL LA CHAPELLE DES FOUGERETZ A1 1979 Montaigu Dopa rtement Commune

j Lieu-dit N° Identification du site : ¥> / /' 0?*$ /oeskjAH Diamètre moyen : m.

Datation : rf^^UL Protection : M H IS SC SI

DF.SC!.' ' ''T ION

!■: EMfT:i CEMENTS COMPLEMENTA ! RE S ! ! ! ernoignaçes ' ' Koi! i ! 1 es B'Plans □ Tradition orale : j Photographies □ Moi-il ter

ï. t u de médite S Photog raph les aériennes Documents diveri pouvant être obtenus auprès de

BinLlOCI.'nl'HlE __Simple mention [^Recherche approfondie

Cadastre ■ Coordonnées de l'épicentre Année : At?^ Zone Lambert : I ou (H)

..,,«1,1 ,,,^,,1*1, j x • x«f «4*4.

K.ffo N FICHE DESCRIPTIVE DE SITE ARCHÉOLOGIQUE

$ 3010/ RECHERCHE EFFECTUÉE Année Nature de l'opération Auteur Organisme i-VJi^,7l / fMltRCTJ Qjv - ÏQLI tftostoïT ,. l/l/»,C/,T,fll/«

$ 1000/ RÉFÉRENCE INSEE _J Llaâ] /\0^^\/\OtOM\/ LouJ / L _J / lâlM/* Dept. Commune Site Niveau Struct. AP ou AH $ 1010/ Sites étendus : Dept I i I / Commune I i l I/ Dept I i I/ Commune I—i—i—I/*

$ 1020/ RÉFÉRENCES ADMINISTRATIVES Département: UszJ= M E X V ( L- tÛJLHZ *= / Commune : O O *H L....Û M £ / Lieu-dit: G.ÊS .O..y fÀ T I"i I...B..U rW B Y /* $ 1030/ Nom du site ou adresse : /*

$ 1040/ CADASTRE Année i

$ 1050/ POSITION TOPOGRAPHIQUE Altitude NGF I i l i I m / Profondeur d'enfouissement I—i—i—I cm/*

$ 1060/ COORDONNÉES LAMBERT Précises O 1, Approximatives □ 2/ ZoneOl, Dll. □ III. □ IV / 5 Abscisse Ax LLLIIÉJ, \f\S\0\f Ordonnée Ay tli^lÂllJ, l ^ l \& l /

Abscisse Bx l i i I, l i i I/ Ordonnée By I i I l—, I—I—i—I /*

DOCUMENTATION $ 1070/ Nature du site : en surface H 1, hors du sol d 2, enfoui D 3/ Type : plein air 1, grotte ou abri □ 2, immerge □ 3/ État à la découverte : exceptionnel 1, structuré S 2, inorganise □ 3/ État actuel : conservé 1, partiellement conservé □ 2, détruit □ 3/* $ 1080/ Degré de protection : faible H 1, moyen □ 2, fort □ 3, absolu □ 4/* $ 1090/ Occupation du sol : labouré E 1, prairie □ 2, lande ou friche □ 3, forêt □ 4, bâti □ 5, autre □ 6/* % 1100/ Propriété du terrain : Etat D 1, Collectivité D 2, Privé 0 3/* % 1110/ Circonstance de la découverte ou motif du sauvetage : / % 1120/ Sources : / $ 2010/ Nature des vestiges immobiliers : *N ù L....O...5 /* $ 2020/ Nature des vestiges mobiliers : Ç M • Q U E £*.M..M u B ; ; ;.: : /* $ 2030/ Grande période chronologique : M E fè \ \Z_£LL, ^ - /* $ 2040/ Attribution culturelle : / $ 2050/ Autre élément de datation : / base : / $ 1130/ Conservation provisoire du mobilier : dépôt de fouille 0 1, autre O 2/ /* Lieu : ' $ 1140/ Conservation définitive : inconnue O 1, collection publique 0 2, collection privée O 3, autre O 4/ /* Lieu : ' $ 1150/ Année de rédaction de la fiche :

IN 4 021045 L 73

9 Département Commune SKOL-UHELARVRO Lieu-dit INSTITUT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature : ^£Te«Jl»e^ Diamètre moyen : AOO m. Datation : C^-foS*^ Protection : MH IS se SI

DESCRIPTION

£ t. ^ x ..07. 1J <5 cru, L (TA CL K£w<^ c^eib^K jZtotws AJL OLK - CO^MM^ CLOAT

V ^v^ia^JL cL(A- 3T S> of-3-C / .

/iW ^™ - -, -w-*^ ~ |^>vW.

_LWe c^Jfc*»^ Ct*Jk** e*- -^T^- Caifftt^ Ouuu*^ U^u^ue.

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES □ Témoignages □ Fouilles □ Plans □ Tradition orale □ Sondages 12 Photographies (2 Mobilier r^Etude inédite □ Photographies aériennes ^Documents divers

pouvant être obtenus auprès de : U_ cixMP*unstîL _ £^*w*J-

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention QRecherche approfondie

"Irréel U CKftfLPS*JT\&

Année : JQ>§0 Zone Lambert : I ou (Tî) Section(s) et parcelle(s) : Clj 18$, 360 / Y = M.,

5iï Département Commune

Lieu-dit ..._,vr „,v ^ Nû Identification du site : ^/ //^% / /

Natui.- : F©^i>ev^tÉ> Diamètre moyen : ^ O • Datation : ^^^t "Pb^r■ftftOrffcMtfc Protection Mil 1S SC SI

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KM'-.r*!'CA'i;MGNTS COMl'LEMENTA 1RES I T: ernoignages Plans □ Tradition orale ' Photog raphles 2 Mobilier tuile inédite [^Photographies aériennes !2I documents divers. pouvdnt être obtenus auprès de

'MIE QSimple mention HRecherche approfondie

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ion ( 1 .1 pi» rce! le(*> ) : X = » Y -

-\Çio Département Commune SKOL-UHELARVRO Lieu-dit INSTITUT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature : site S fèaj&e^ Diamètre moyen 4 00 m. Datation : q^(o. r i^ Protection MH IS SC SI 0

DESCRIPTION

AtWu. «V'Û^X^ pM. pknhtfoe^- E 4 J ^ £'0u**L ^UL A ^<ÂAA^

rt-. Tinrent LÉ. CMAïUPStinB^ , _

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES I I Témoignages flFouilles □ Plans □ Tradition orale □ Sondages □ Photographies Mobilier ^Etude inédite §3Photographies aériennes □Documents divers

pouvant être obtenus auprès de : ^«KUL bc- CHMPWTI&Z. rt\it^~*c

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention QRecherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre

Année : yf^êO Zone Lambert I ou Section(s) et parcelle(s) : F/f, k^k^^d. x = Vfr Y = W, Ilf Altitude NGF :

..m Département Commune

du. P«y<> h, &—9, Lieu-d it ■J" Identification du site : *,C / / l\$ /OoMt ^"H Diamètre moyen

Data i uni : cLaXûfc- Protection : .Mil IS se SI

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□ KÔUIIICS QPîans ^Tradition orale □ ''.•!.. .,:>c.u □Photographies □.Mobilier iKtude médite 1 'Photographies aériennes • 'Documents diveri pouvant être obtenus auorès de

(j I R L IOCI.'AI'HIE □ Simple mention □Recherche approfondie

Département £<. \/. û / i Commune

L ieu-d it

N" Identification du site : Irf / / IZû / /

Nuiui.- :C|J>CV*UMV fcjfcx, *******, WJL poLw Diamètre moyen : m. Datarinn ^ li^ad.-/V^aÎïL ^otccuon : Mil IS SI : 0

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i Département i ~ Commune

; Lieu-dit N" Identification du site : j£7 / 120/ / Diamètre moyen : m.

Protection : Mil I Ç SC

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' \ l'holographies ! ! Mot' tliec

F 1 du de médite §2 Photographies aériennes $Ç Documents divers

pou vant être obtenus auprès de : fc.UffûJJU^ (k*—j±. I \l\.^dr

PL IGCUAIM! ! E

ample mention r"7Recherche aoprofondie

C.KIU',1 re iordonnees de l'epicentre i ou © t\ U nrr Zone ieri

f uurceitels. 7 = ooe centre de recherches archeologiqu des pays de Rennes '■

SITE DE CHAMPAGNE .GEVEZE

PLAN TOPOGRAPHIQUE DU SITE

-12 COURBE DE NIVEAU [en nèrre LIMITE PARCELLAIRE

COUPE A.A 0 •• 10m

plate forme motte

.L.DEC. 19 86

S4o

Dépa rtement -JZ* \J. Cuinmune

L icu-d it M" Identification du site : / JJJ / / Diamètre moyen : m.

Datation r(&P)!î,\)A'U Protection : Mil 15 SC !

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[«, PLwO. hùïuke^ k^y- àA. S ww /MfAHL (M l /îfctcOiA» .

H ENf.E !<""."•' M ENTS COMl'L EMENTA ! RES ! ! Témoignages

) l ! i : les EPians [_jTradition orale Or ' ]Photographles □ Mol. ilier

! jKfutlc inédite ^Photographies aériennes Documents diver

pouvant être obtenus auprès de

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□ Simulimule mention QRecherche approfondie

C adast re Coordonnées de l'épicentre Anna. t'**W*^: 4*?*; A-S,^ : Zone Lambert : ou bcct uKi( ■ i ■•( |»arccl!c(

Y

AvcU^y^^ | Département

Commune ^kiL^W I | [ Lieu-dit

i M° Identification du sue : /

N a t u n • Evvcl^S ' Diamètre moyen : :TO m.

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D E * v ! ' ' ! ' T l ON

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\< EMf.f* ! CM!-'M ENTS COM !' L EMENTA I R ES I ; ! emoignages EJPlans H]Tradition orale ' holographies ^ Mot. il ier

[Etude médite ^Photographies aériennes - Documents diven

pouvant être obtenus auprès de

I i; L lOGI.'APH ! E

. "XlSimple mention QRecherche approfondie

!/itr

Cadastre • Coordonnées de l'épicentre' i\ n ric-e 4$lïL . ^.onc Lambert : ! ou (TT) i' ce 11 on ( s. i ■ ■ t parcclleÙ) : ^ j X = 30O, >SO

Dépa rtement Commune

Lieu-dit M° Identification du site : ^ / / A\^/ / J Diamètre moyen : in.

D a t ,i t i iin : Protection : Mil IS se S1

ÏJ\:- , ■ i CTION

V

'OMI'LEMENTA 1RES 1 ! ernoignages

□ K.Miilles gï Plias [_ïradition orale

'—1< i—t,-, • ' Mol) 11 ter — >>!1.t.i:.'os ; ] [J hotog rapn les : f uxlo inédite Q Photographies aériennes Documents diver;

pouvant être obtenus auprès de : i^j^lj^

KL !QG!.7\!M! ! E

^Simple mention PRecherche approfondie

■ ■ Cadastre Coordonnées de I 'épvcenire Annre Zone Lambert : ! ou £>ev*I lOfPf i •! parçeïle(b) : I Y i N N

limite parcellaire

Zï ru i sseau bafimenf existant" en 191-4 hmenf postérieur

ca dastre 1965. sec tion ZB

C e.R.A.Pa.R. 5 f T E .DU COUDRAY ■ • LANGOUET-- • PLAN DE SITUATION avriI 87 Centre de Recherches

22 n O U P E A A Archéologiques des

Pays de Rennes kl SITE DU COUDRAY 12 r. I • LANGOUET- 10 ir ~ —3

RELEVE TOPOGRAPHIQUE

DE LA MOTTE

12 courbe de niveau et cote en mètre N°e :sio Département Commune SKOL-UHELARVRO Lieu-dit le, Tâ-fewo'fefdis INSTITUT CULTCJREL DE BRETAGNE N8 Identification du site : /i>S /r& A>l P \ Nature : J^Te S T^u-be- Diamètre moyen : yiOQ m. Datation : Cf {{o~fow^\v Protection : M H 1S SC 51 à -H0e

DESCRIPTION

- I f \ tfvA. CL

123-LA MEZIERE - La Pâtenotrais Sur le site gallo-romain signalé antérieurement,gisement néolithique matérialisé par de l'outillage lithique: 15 silex où l'on reconnaît : grattoir,lame,fragments de lames retouchées ainsi qu'une pointe triangulaire, Prosp.H.LEBLAY et G.CASTEL

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES I ITémoignages □ Feuilles □ Plans □ Tradition orale □ Sondages □ Photographies ^.Mobilier □ Etude inédite □ Photographies aériennes □ Documents divers pouvant être obtenus auprès de :

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention [^Recherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicer:re Année : Zone Lambert : I ou ^IT) Section( s) et parcelle(s) : , x = i9 6,otS KG Y = KÇjOZÇ Altitude NGF î N° K ; 510

Département Commune SKOL-UHELARVRQ Lieu-dit INSTITUT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature Site 2» Tê'^u/be^ Diamètre moyen m. Datation Protection : MH IS se SI

DESCRIPTION

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES I I Témoignages □ Fouilles □ Plans □ Tradition orale flSondages □ Photographies | I Mobilier □ Etude inédite □ Photographies aériennes □ Documents divers pouvant être obtenus auprès de

BIBLIOGRAPHIE

□ Simple mention □ Recherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année Zone Lambert : I ou Section(s) et parcelle(s) : ,

Altitude NGF : %0

A*^e4*^ Département Commune Lieu-dit N Identiftcalion du sue : /

NdlUlr Diamètre moyen :

Dii t.i r ion Protection : Mil !S SC

DE 1 ''T [ON

! !~N s-' M ENTS COM V L RM ENTA ! R ES ^Témoignages Plan: j Trad i1 ion orale

SI.P hotog raph les f~J M oh L1 ier Klude inédite ■ 'Photographies aériennes ! 'Documents divert

DOU ' an. être obtenus auprès de : ^ cUdijfciL ri^u^^

3 1 R L 'H! E CH Simple mention [..Recherche approfondie

.Coordonnées de l'épicëntre C .i d tl -, i re

. n nrr Zone Laj ou (fp

.1 parce!!e(s) : "

AH . /VL. J*5,/l6,l&y 1^. 12? - ii mi fe de parc ell e bahmenf disparu depuis 1814 fossé

25m 50m

cadastre 1987 séchons AH.AL Ce.R.A.Pa.R

BOURG DE MONTGERMONT

MOTTE CASTRALE b.l. mai 1987 plan de siruahon *

COUPE A .A

N

12- courbe de niveau Ccote en mètre)

10m 20in

Centre de Recherches A Archéologiques des pays de Rennes BOURG DE MONTGERMONT RELEVE TOPOGRAPHIQUE DE LA MOTTE- CASTRALE BL mai 1967 R :5I0

Département Commune SKOLT CIHEL AR VRO Lieu-dit irisrrruT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature : fatiL eH Te^ol^e^ Diamètre moyen : 400 m. Datation : t[ï[to- fowwi**. Protection : MH IS se SI

DESCRIPTION

Traduis»*» : *p/tao»vr- £L/2/j ^A.

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES □ Témoignages □ Fouilles QPlans ^Tradition orale □ Sondages □ Photographies [El Mobilier E^Etude inédite □Photographies aériennes □Documents divers

pouvant être obtenus auprès de : ÇlLùùosT

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention QRecherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année : ÂlSû Zone Lambert : I Section(s) et parcelle(s) : AKJ £D^^^ x = iok,^o Y = VtïiZSO

-. R: 510

Département Commune SKOL-C1HELARVRO Lieu-dit INSTITUT CULTUREL FbfêK DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature : ^ +c'

DESCRIPTION

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RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES □ Témoignages □ Fouilles QPlans O Tradition orale □ Sondages □Photographies [3 Mobilier 0Etude inédite □Photographies aériennes [□Documents divers pouvant être obtenus auprès de : • rp/t0/otr~ t

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention QRecherche approfondie

R: 510

Département Commune SKOL-UHELARVRO Lieu-dit INSTITUT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature : Ç,fë, à -fe'^se- Diamètre moyen 7^5" m. Datation : Protection : MH IS SC SI

DESCRIPTION

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES I 1 Témoignages □ Fouilles □ Plans (□Tradition orale □ Sondages □ Photographies | I Mobilier □ Etude inédite □ Photographies aériennes □ Documents divers pouvant être obtenus auprès de

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention QRecherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année : A^V*. Zone Lambert : I ou (\\) Section(s) et parcelle(s) : F ^3 66^3 4- Y = m-T-fêlS Altitude NGF : *=?■ ^

H : 510 1. » -

Dépa rtement Commune

Lieu-dit

N" Identification du sue 3^/ / NI a 1 U i Diamètre moyen

Dat.it Protection : Mil IS SC

DF." H'T ION

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^Simple mention [2^ec'h'<-'rc^e approfondie

CîftiJ&fVr U:rW> S>'T-C\/- f At~^ , i«iî> T.

1 .1 t re T Coordonnées de l'epioentre •Zone Lambert : ou (TT)* cr*iofi( - 1 .1 pu rceI le( b ) : 033 Département LTi K.v/ • Commune TA CÊ SKQL-tJHELAR VRO Lieu-dit INSTITUT CCJLTCJREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / Nature Diamètre moyen : 1-S ro- Datation Protection : MH IS SC SI

DESCRIPTION

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES I I Témoignages [~lFouilles □ Plans □ Tradition orale □ Sondages □ Photographies E3 Mobilier □ Etude inédite □ Photographies aériennes □ Documents divers pouvant être obtenus auprès de

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention QRecherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année : sfbfO Zone Lambert : 1 ou Section(s) et parcelle(s)

Y = UT B7? ; 60?- Altitude NGF :

Département Commune SKQL- CIHEL AR VRO Lieu-dit INSTITUT COLTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : / / / / Nature : frfe, g. fe'

DESCRIPTION

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RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES □ Témoignages □ Fouilles QPlans □ Tradition orale □ Sondages □Photographies □Mobilier I^Etude inédite □Photographies aériennes □Documents divers pouvant être obtenus auprès de

BIBLIOGRAPHIE □ Simple mention [^Recherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année : j W Zone Lambert : I ou Section(s) et parcelle(s) : fol; 2 f0 X = / lîlflDO

Altitude NGF : 60

Département Commune 'VPiCB SKOL-UHELARVRO Lieu-dit INSTTTUT CULTUREL DE BRETAGNE N° Identification du site : /$S /2A0 /olfy Nature : Sè>^-ciu,^u-c Diamètre moyen : AOO m. Datation : Cj*Uo-*» Protection : MH IS SC SI

DESCRIPTION

3»Poart/vf/*»o œrtPtertevjiwfe r

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RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES I I Témoignages OFouilles EJPlans □ Tradition orale f~lSondaoes ^.Photographies f~l Mobilier QEtude inédite ^Photographies aériennes Documents divers pouvant être obtenus auprès de

BIBLIOGRAPHIE [ZlSimple mention QRecherche approfondie 7

—-J PACE B3 1962 Launay gézillard

O '. pommier

T ; poteau tclàpKoni(|ue

.;:.», ves»t"i de cemslVJcha*»

'■'.'t'i'/ tegu)ae brioi/es, moellons / - moftic cl enduite,j

DESCRIPTION

^ dil«*~»* J^}veJL co»p>~A h. ÀrdL JU* Z. a. t*. &*ào~*^ :

^UU ^ J&KulK 504 tir

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES I I Témoignages r~lFouilles (ElPlans □ Tradition orale □ Sondages 0 Photographies 0 Mobilier Ë^Etude inédite QPhotographies aériennes □ Documents divers pouvant être obtenus auprès de :

BIBLIOGRAPHIE [Simple mention QRecherche approfondie

Cadastre Coordonnées de l'épicentre Année : A%Z Zone Lambert I ou Section(s) et parcelle(s) :

Altitude NGF $0 a. So