RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS Edition n° 51 du 3 juillet 2020

Les actes dans leur intégralité peuvent être consultés à la préfecture ou auprès des services concernés.

Le recueil peut aussi être consulté :

• sur le site Internet des services de l'État en Meurthe-et-Moselle : www.meurthe-et-moselle.gouv.fr RECUEIL N° 51 2 3 juillet 2020

S O M M A I R E

ARRÊTÉS, DÉCISIONS, CIRCULAIRES...... 2 PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 2 CABINET DU PRÉFET...... 2 DIRECTION DES SÉCURITÉS...... 2 Bureau prévention et sécurité publique...... 2 Arrêté portant interdiction de manifester sur la voie publique dans un périmètre délimité à NANCY Samedi 4 juillet 2020 dans le cadre d’un appel sur les réseaux sociaux à manifester...... 2 Bureau des polices administratives...... 3 Arrêté préfectoral en date du 29/06/2020 autorisant la société R.T.E S.T.H à déroger aux règles de survol en vol à vue de jour du 20 au 24 juillet, du 2 au 6 novembre et du 23 au 27 novembre 2020 au-dessus des communes de BAYON, , CIREY-SUR-VEZOUZE, , , DOMBASLE-SUR-MEURTHE, ECROUVES, ESSEY-LES-NANCY, , , LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY, , NANCY, NEUVES- MAISONS, POMPEY, , , et VARANGEVILLE...... 3 SECRETARIAT GENERAL...... 4 SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES...... 4 Bureau de la coordination interministérielle...... 4 Avenant à la convention d'utilisation n°54-2017-0001 valant mise à disposition de bâtiments de l’État au profit de Sciences Po, pour les besoins de son campus européen franco-allemand...... 4 Avis de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial de MEURTHE-ET-MOSELLE - Dossier N°131-2020...... 4 SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES...... 6 Bureau des procédures environnementales...... 6 Arrêté préfectoral prescrivant des mesures complémentaires à la société SOLVAY OPERATIONS pour l'arrêt définitif des travaux miniers et d'utilisation d'installations minières associées, attachés à la concession de mines de sel gemme et sources salées de « DOMBASLE »...... 6 Arrêté préfectoral prescrivant des mesures complémentaires à la société SOLVAY SA pour l'arrêt définitif des travaux miniers et d'utilisation d'installations minières associées, attachés à la concession de mines de sel gemme et sources salées de «»...... 8 Arrêté préfectoral n° 1054 autorisant la société Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l'Est à procéder à l’ouverture de travaux miniers (dénommés « reprise de l’exploitation et mise en sécurité du panneau A du champ de ») dans le périmètre de la concession de , sur le territoire de la commune de GELLENONCOURT...... 10 Arrêté préfectoral n°1086 modifiant les prescriptions de l’arrêté préfectoral n°995 du 23 avril 2004 autorisant la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est à poursuivre l’exploitation du sel par dissolution dans les concessions minières de Drouville et de ...... 13 DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES DE MEURTHE ET MOSELLE...... 14 SIP DE NANCY...... 14 Arrêté portant délégation de signature...... 14 Liste des responsables de service disposant de la délégation de signature en matière de contentieux et de gracieux fiscal prévue par le III de l’article 408 de l’annexe II au code général des impôts...... 16 Arrêté de subdélégation en matière domaniale...... 16 Décision de délégation générale de signature au directeur du pôle gestion publique...... 16 Arrêté portant délégation de signature en matière de gestion et d’évaluations domaniales...... 17 DIRECCTE ...... 17 L’UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 17 SERVICE INSERTION/DÉVELOPPEMENT DE L’EMPLOI...... 17 Arrêté 2020-04 portant affectation des agents de contrôle dans les unités de contrôle et gestion des intérims...... 17 DIRECTION INTERDÉPARTEMENTALE DES ROUTES – EST...... 20 Arrêté préfectoral N° 2020-DIR-Est-M-54-079 portant arrêté particulier pour la réglementation de la circulation au droit d'un « chantier non courant » sur le réseau routier national, hors agglomération, relatif aux travaux de comblement d’une buse située sous la RN52, au PR 9+453...... 20 DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES...... 22 SERVICE AGRICULTURE – FORÊT – CHASSE...... 22 Unité Aides Directes - Structures...... 22 Décision 2020/DDT54/AFC-AD-S/n° 418, du 29 juin 2020, portant agrément du Groupement Agricole d’Exploitation en Commun – GAEC DE FONTENAIS à – N° agrément 54-20-003-...... 22 AUTRES SERVICES...... 23 DIRECTION DE L’ADMINISTRATION PENITENTIAIRE...... 23 CENTRE PENITENTIAIRE NANCY-MAXEVILLE...... 23 Décision portant habilitation relative au traitement des moyens de communication en détention et au contrôle des communications et aux fouilles des équipements informatiques et téléphones portables...... 23 Décision portant délégation permanente de signature...... 24 RECTORAT DE NANCY-METZ...... 25 DIVISION DES EXAMENS ET CONCOURS...... 25 bureau des concours - DEC1...... 25 Arrêté portant sur le recrutement de deux adjoints administratifs...... 25 RECUEIL N° 51 3 3 juillet 2020

ARRÊTÉS, DÉCISIONS, CIRCULAIRES PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE CABINET DU PRÉFET DIRECTION DES SÉCURITÉS Bureau prévention et sécurité publique

Arrêté portant interdiction de manifester sur la voie publique dans un périmètre délimité à NANCY Samedi 4 juillet 2020 dans le cadre d’un appel sur les réseaux sociaux à manifester

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU le décret-loi du 23 octobre 1935 portant réglementation des mesures relatives au renforcement du maintien de l'ordre public et notamment son article 3, codifié au code de la sécurité intérieure (article L211 et suivants); VU le code général des collectivités territoriales, notamment ses articles L 2214-4 et L 2215-1 ; VU le code pénal, notamment ses articles 431-3 et suivants et R 644-4 ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements, notamment ses articles; VU le décret du Président de la République du 8 décembre 2017 nommant M. Eric FREYSSELINARD en qualité de préfet de Meurthe-et- Moselle ; VU le décret du président de la République du 9 septembre 2019 nommant Mme Marie CORNET, sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral 19.BCI.21 du 17 septembre 2019 accordant délégation de signature à Mme Marie CORNET, sous-préfète, directrice de cabinet ; VU le décret n°2020 – 663 du 31 mai 2020 du Premier ministre prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire, modifié par les décrets du 14 juin et 21 juin 2020 ; CONSIDERANT qu’en application de l’article 3 de ce décret modifié n°2020 – 663 du 31 mai 2020, les rassemblements, réunions ou activités sur la voie publique ou dans un lieu ouvert au public de plus de 10 personnes peuvent être autorisés par le préfet de département si les conditions de leur organisation permettent de garantir le respect des dispositions sanitaires de l’article 1er du décret du 31 mai 2020 ; CONSIDERANT que la déclaration doit être transmise en préfecture de département dans lequel se déroule la manifestation, au moins trois jours francs et au plus quinze jours francs avant la date prévue, que la déclaration de manifestation tient lieu de demande d’autorisation ; CONSIDERANT la multiplication depuis plusieurs mois de manifestations « d’opportunité », non déclarées, notamment issues du mouvement des gilets jaunes, lesquelles donnent souvent lieu à de vives tensions avec les forces de l’ordre et troublent l’ordre public ; CONSIDERANT l’appel à manifester sur les réseaux sociaux contre le racisme le samedi 4 juillet 2020 après midi à Nancy, lequel, n’a fait l’objet d’aucune déclaration en préfecture ; CONSIDERANT que ce mouvement pourrait agréger la frange radicale contestataire d’extrême gauche, pour partie issue du mouvement des gilets jaunes ; CONSIDERANT que ce rassemblement pourrait excéder la centaine de participants ; CONSIDERANT la nécessité de préserver les commerces de l’hyper centre-ville de Nancy, lesquels subissent encore les conséquences de l’épidémie en termes de baisse de fréquentation ; CONSIDERANT que la manifestation du 13 juin dernier à Paris contre le racisme et les violences policières a rassemblé plus de 15 000 personnes avec des tensions avec les forces de l’ordre ; CONSIDERANT qu’il convient de préserver l’ordre public ; SUR proposition de Mme la sous-préfète, directrice de cabinet du Préfet de la Meurthe-et-Moselle. A R R E T E Article 1 : du samedi 4 juillet 2020 à 06H00 au samedi 4 juillet 2020 à 22H00, à Nancy, les mesures suivantes sont applicables sur le périmètre compris entre la rue d’Amerval, la rue Saint-Dizier, la rue saint-Georges, la rue Bailly, la rue Guibal, la rue sainte- Catherine, place Stanislas, la rue Héré, place de la Carrière, place de Vaudémont et la rue Gustave Simon; Mesures applicables aux usagers de la voie publique : Sont interdits : - toute manifestation de voie publique ; - le port, le transport et l’utilisation des artifices de divertissement, des articles pyrotechniques, des armes à feu et des munitions, ainsi que tous objets susceptibles de constituer une arme au sens de l’article 132-15 du code pénal ou pouvant servir de projectile présentant un danger pour la sécurité des personnes et des biens ; - l’accès des animaux dangereux au sens des articles L 211-11 et suivants du code rural et de la pêche maritime, en particulier les chiens des catégories 1 et 2 ; Article 2 : des dispositifs de pré-filtrage et de filtrage au passage desquels il sera procédé, par des officiers de police judiciaire et, sur leur ordre et sous leur responsabilité, des agents de police judiciaire, à des contrôles d’identité, ainsi qu’à la visite des véhicules circulant, arrêtés ou stationnant, à l’inspection visuelle des bagages et à leur fouille, seront mis en place aux limites du périmètre. Article 3 : toute infraction au présent arrêté sera constatée et réprimée, s’agissant des organisateurs, dans les conditions fixées par l’article 431-9 du code pénal, à savoir 6 mois d’emprisonnement et 7500€ d’amende, et s’agissant des participants, par l’article R 644-4 du même code instituant une contravention de quatrième classe de 135€ ; Article 4 : la directrice de cabinet du Préfet de Meurthe-et-Moselle, le directeur départemental de la sécurité publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs et fera l’objet d’une large communication dans la presse.

Nancy, le 2 juillet 2020 pour le préfet, la sous-préfète Directrice de cabinet, Marie CORNET

– VOIES ET DÉLAIS DE RECOURS Si vous souhaitez contester la présente décision administrative, vous avez la possibilité de former, à compter de sa notification ou de sa publication, selon le cas, dans le délai maximal de deux mois suivant l'expiration d'un délai d'un mois à compter de la date de cessation de l'état d'urgence sanitaire déclaré par l'article 4 de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et prorogé par la loi n° 2020-546 du 11 mai 2020, conformément à l’ordonnance du 25 mars 2020 portant adaptation des règles applicables devant les juridictions de l’ordre administratif pendant l’état d’urgence sanitaire : Soit un recours administratif sous une des deux formes suivantes : - soit un recours gracieux adressé à M. le Préfet de Meurthe-et-Moselle – 1 rue Préfet Claude Érignac – CS 60031 – 54038 NANCY CEDEX. - soit un recours hiérarchique adressé à M. le Ministre de l'Intérieur – Direction des libertés publiques et des affaires juridiques – Sous-direction du conseil juridique et du contentieux – Bureau du contentieux des polices administratives – Place Beauvau – 75800 PARIS CEDEX 08. Dans le cas d’une décision expresse ou implicite de rejet résultant de votre recours administratif, vous disposez de deux mois, délai franc, pour déposer un recours contentieux auprès du Tribunal administratif de Nancy (articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative). Soit un recours contentieux adressé au Tribunal administratif de Nancy – 5 place de la Carrière – C.O. N° 20038 - 54036 NANCY CEDEX. Le tribunal administratif peut être saisi par l'application informatique « Télérecours Citoyens » accessible par le site internet www.telerecours.fr RECUEIL N° 51 4 3 juillet 2020

Bureau des polices administratives

Arrêté préfectoral en date du 29/06/2020 autorisant la société R.T.E S.T.H à déroger aux règles de survol en vol à vue de jour du 20 au 24 juillet, du 2 au 6 novembre et du 23 au 27 novembre 2020 au-dessus des communes de BAYON, CHAMPIGNEULLES, CIREY-SUR-VEZOUZE, CUSTINES, DIEULOUARD, DOMBASLE- SUR-MEURTHE, ECROUVES, ESSEY-LES-NANCY, FOUG, FROUARD, LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY, LEYR, NANCY, NEUVES-MAISONS, POMPEY, SAIZERAIS, SEICHAMPS, TOUL et VARANGEVILLE

LE PRÉFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU le règlement d’exécution (UE) n° 923/2012 établissant les règles de l’air communes et des dispositions opérationnelles relatives aux services et procédure de navigation aérienne ; VU le code de l'aviation civile, notamment les articles R. 131-1 et 2, D. 131-1 à D. 131-10, D. 133-10 à D. 133-14 ; VU le décret n° 91-660 du 11 juillet 1991 relatif aux règles de l'air et aux services de la circulation aérienne, notamment son annexe 1 ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n° 2005-865 du 27 juillet 2005 modifiant le code de l'aviation civile (troisième partie : Décrets) et relatif aux enregistrements d'images ou de données dans le champ du spectre visible ; VU le décret du Président de la République en date du 9 septembre 2019 nommant Mme Marie CORNET, sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l'arrêté interministériel du 10 octobre 1957, relatif au survol des agglomérations et des rassemblements de personnes ou d’animaux ; VU l’arrêté interministériel modifié du 17 novembre 1958 réglementant la circulation aérienne des hélicoptères ; VU l’arrêté ministériel modifié du 24 juillet 1991 relatif aux conditions d’utilisation d’aéronefs civils en aviation générale, notamment le paragraphe 5.4 « Restrictions d’occupation des aéronefs » de son annexe ; VU l’arrêté du 11 décembre 2014 relatif à la mise en œuvre du règlement d’exécution (UE) n° 923/2012 ; VU l'arrêté préfectoral n° 19.BCI.21 du 17 septembre 2019 accordant délégation de signature à Mme Marie CORNET, sous-préfète, directrice de cabinet ; VU l’arrêté préfectoral du 26 février 2020 autorisant la société R.T.E S.T.H à déroger aux règles de survol en vol à vue de jour du 16 au 23 mars, du 20 au 24 juillet, du 2 au 6 novembre et du 23 au 27 novembre 2020 ; VU le courriel du 16 juin 2020 de Mme Magali BERGUES, assistante technique et aéronautique de la société R.T.E S.T.H sollicitant l’ajout de l’aéronef EC 135 T3 immatriculé F-HOMF dans l’arrêté préfectoral du 26 février 2020 susvisé ; VU le courriel du 17 juin 2020 de M. Nicolas FERNANDEZ, inspecteur de surveillance de la Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile Nord- Est sollicitant une nouvelle demande d’autorisation de survol en travail aérien ; VU la nouvelle demande d’autorisation en date du 17 juin 2020 de M. Daniel CLOS, responsable du pôle exploitation aérienne pour la société R.T.E S.T.H, sise 1470 route de l’aérodrome, CS 50 146, à Avignon (84918), pour déroger aux règles de survol dans le département de Meurthe-et-Moselle, afin d’effectuer la surveillance de lignes électriques Haute Tension du 16 au 23 mars, du 20 au 24 juillet, du 2 au 6 novembre et du 23 au 27 novembre 2020 en vol à vue de jour ; VU l'avis du 23 juin 2020 de la Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile Nord-Est ; VU l’avis du 22 juin 2020 de la Direction Zonale de la Police aux Frontières Est ; CONSIDERANT la demande du bénéficiaire de l’arrêté du 26 février 2020 susvisé ; qu’il convient d’abroger l’arrêté précité pour le remplacer par une décision plus favorable au bénéficiaire ; SUR proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet ; A R R E T E Article 1 : L’arrêté préfectoral du 26 février 2020 susvisé est abrogé. Article 2 : La société R.T.E S.T.H est autorisée, du 20 au 24 juillet, du 2 au 6 novembre et du 23 au 27 novembre 2020, à déroger aux règles de survol et de hauteurs minimales de survol des agglomérations et des rassemblements de personnes, en régime de vol à vue de jour afin d'effectuer la surveillance de lignes électriques Haute Tension, dans le département de Meurthe-et-Moselle, au-dessus des communes suivantes : • BAYON • CHAMPIGNEULLES • CIREY-SUR-VEZOUZE • CUSTINES • DIEULOUARD • DOMBASLE-SUR-MEURTHE • ECROUVES • ESSEY-LES-NANCY • FOUG • FROUARD • LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY • LEYR • NANCY • NEUVES-MAISONS • POMPEY • SAIZERAIS • SEICHAMPS • TOUL • VARANGEVILLE Cette autorisation est accordée sous réserve du strict respect : ✔ des dispositions des textes susvisés, ✔ des prescriptions et des conditions techniques et opérationnelles annexées au présent arrêté (pièces n° A.1, A.2 et B.1), pour les motifs détaillés à l’appui de la demande, ✔ des restrictions relatives aux espaces aériens traversés. Une liaison téléphonique permettant d'alerter les secours est mise en place (appel au 112 pour les téléphones portables ou 18 pour les sapeurs-pompiers) et les consignes de sécurité rappelées. Cette autorisation ne s’applique pas aux hauteurs minimales de vol au-dessus des zones à réglementation particulière. Dans tous les cas, le pilote respecte le statut et les conditions de pénétration des différents espaces aériens des services de la circulation aérienne et zones réglementées, dangereuses et/ou interdites. Le survol des établissements ou lieux dits sensibles est strictement interdit : hôpitaux, les établissements pénitentiaires, les centres de rétention administratifs, les hélistations ou hélisurfaces hospitalières, les installations classées, les sites militaires, les sites SEVESO etc... Article 3 : La présente autorisation est révocable à tout moment, en cas de nécessité ou de risques imprévus pour la sécurité des personnes ou d’inobservation des règles de sécurité. Si toutefois le demandeur ne pouvait respecter certaines de ces conditions techniques et souhaitait obtenir une dérogation permettant d'évoluer à des hauteurs minimales inférieures à celles prescrites, il adresse une demande particulière à la direction de la sécurité de l’aviation civile Nord-Est. Cette demande doit comprendre une carte à grande échelle renseignée et un descriptif technique de la mission. RECUEIL N° 51 5 3 juillet 2020

Article 4 : Le présent document ou une copie se trouve à bord de l'appareil pendant la durée de la mission ainsi que les documents de bord de l'appareil, la licence, le manuel d'activités particulières et les qualifications du pilote conformes à la réglementation. Article 5 : La société R.T.E S.T.H avise la brigade de police aéronautique de la police aux frontières préalablement à chaque vol ou groupe de vols, en indiquant les horaires et les lieux précis survolés pour les nécessités de la mission projetée (brigade de police aéronautique Tél. 03.87.62.03.43). Tout accident ou incident doit être immédiatement signalé à la brigade de police aéronautique de METZ (Tel. 03.87.62.03.43) ou en cas d’impossibilité de joindre ce service, au PC CIC DZPAF METZ (Tel. 03.87.64.38.00) qui détient les coordonnées du fonctionnaire de permanence. Article 6 : Conformément aux dispositions du chapitre 2.6.1 de l'annexe 2 de l'arrêté du 3 mars 2006 relatif aux règles de l'air et aux services de la circulation aérienne, le pilote doit obtenir une dérogation, accordée par l'autorité compétente des services de la circulation aérienne, pour pouvoir pénétrer dans les espaces aériens de classe A. Article 7 : La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet, le directeur de la sécurité de l’aviation civile Nord-Est, le directeur zonal de la police aux frontières sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui est notifié à M. Daniel CLOS pour la société R.T.E S.T.H, et dont une copie est adressée à : • MM. les sous-préfets des arrondissements de LUNEVILLE et TOUL, • MM. les Maires de BAYON, CHAMPIGNEULLES, CIREY-SUR-VEZOUZE, CUSTINES, DIEULOUARD, DOMBASLE-SUR- MEURTHE, ECROUVES, ESSEY-LES-NANCY, FOUG, FROUARD, LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY, LEYR, NANCY, NEUVES- MAISONS, POMPEY, SAIZERAIS, SEICHAMPS, TOUL et VARANGEVILLE • M. le Directeur départemental de la sécurité publique • M. le Commandant du groupement départemental de gendarmerie • M. le Directeur départemental des services d'incendie et de secours • M. le Commandant de la brigade de gendarmerie des transports aériens

Nancy, le 29/06/2020 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des sécurités Bertrand MERCIER

VOIES ET DÉLAIS DE RECOURS Si vous souhaitez contester la présente décision administrative, vous avez la possibilité de former dans les 2 mois courant à compter de sa notification ou de sa publication, selon le cas : – Soit un recours administratif sous une des deux formes suivantes : • soit un recours gracieux adressé à M. le Préfet de Meurthe-et-Moselle – 1 rue Préfet Claude Érignac – CS 60031 – 54038 NANCY CEDEX. • soit un recours hiérarchique adressé à M. le Ministre de l'Intérieur – Direction des libertés publiques et des affaires juridiques – Sous-direction du conseil juridique et du contentieux – Bureau du contentieux des polices administratives – Place Beauvau – 75800 PARIS CEDEX 08. Dans le cas d’une décision expresse ou implicite de rejet résultant de votre recours administratif, vous disposez de deux mois, délai franc, pour déposer un recours contentieux auprès du Tribunal administratif de Nancy (articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative). – Soit un recours contentieux adressé au Tribunal administratif de Nancy – 5 place de la Carrière – C.O. N° 20038 - 54036 NANCY CEDEX. Le tribunal administratif peut être saisi par l'application informatique « Télérecours Citoyens » accessible par le site internet www.telerecours.fr

SECRETARIAT GENERAL

SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES Bureau de la coordination interministérielle

Avenant à la convention d'utilisation n°54-2017-0001 valant mise à disposition de bâtiments de l’État au profit de Sciences Po, pour les besoins de son campus européen franco-allemand

Le 25 septembre 2018 a été conclue, dans le cadre des dispositions des articles R.2313-1 à R.2313-5 et R.4121-2 du code général de la propriété des personnes publiques, la convention d'utilisation n°54-2017-0001 entre La Direction de l'Immobilier de l’État, représentée par l’Administrateur Général des Finances Publiques du département de Meurthe et Moselle, dont les bureaux sont à NANCY, 50 rue des Ponts, stipulant en vertu de la délégation de signature du préfet de Meurthe-et-Moselle qui lui a été consentie, D’une part, L’Institut d’Études Politiques de Paris « Sciences Po », représenté par son directeur, M. Frédéric MION, domicilié 27 rue Saint-Guillaume 75007 PARIS. D’autre part. La convention n°54-2017-00001 du 25 septembre 2018 a fait l’objet du présent avenant sur l’article 2 relatif aux surfaces privatives.

Pour le Préfet, La Secrétaire Générale, Marie-Blanche BERNARD

Avis de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial de MEURTHE-ET-MOSELLE - Dossier N°131-2020 LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE

Aux termes du procès-verbal de ses délibérations du 26 juin 2020, prises sous la présidence de Mme Marie-Blanche Bernard, secrétaire générale, représentant le préfet, VU le code de commerce ; VU le code de l'urbanisme ; VU le code général des collectivités territoriales, notamment ses articles L2122-17 et L2122-18 ; VU la loi n°2015-991 du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République ; VU la loi portant évolution du logement, de l’aménagement et du numérique (ELAN) du 23 novembre 2018 ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret n° 2019-331 du 17 avril 2019 relatif à la composition et au fonctionnement des commissions départementales d’aménagement commercial et aux demandes d’autorisation d’exploitation commerciale ; VU le décret n° 2019-563 du 7 juin 2019, relatif à la procédure devant la Commission nationale d’aménagement commercial et au contrôle du respect des autorisations d’exploitation commerciale ; VU l’arrêté préfectoral du 19 mars 2018 portant composition générale de la commission départementale d’aménagement commercial de Meurthe-et-Moselle modifié par l’arrêté du 11 octobre 2019 ; VU l’arrêté préfectoral du 8 juin 2020 précisant la composition de la commission départementale d’aménagement commercial de Meurthe-et- Moselle pour l’examen de la demande ci-dessous visée ; RECUEIL N° 51 6 3 juillet 2020

VU la demande de permis de construire n° 05409920B0005 déposée à la mairie de Val-de-Briey le 13 février 2020 ; VU la demande enregistrée au secrétariat de la CDAC le 20 février 2020, présentée par la société SCI BRIEY 2019, domiciliée 105 avenue Charles de Gaulle – 54910 VALLEROY, en qualité de propriétaire de l’ensemble immobilier, en vue de procéder à la création d’un ensemble commercial de 4785 m² sur la commune de VAL-DE-BRIEY ; VU le rapport d’instruction présenté par le représentant du directeur départemental des territoires ; Après avoir entendu les personnalités qualifiées représentant le tissu économique, les membres de la commission ont délibéré : M. François Dietsch, maire de Val-de-Briey M. Christian Lamorlette, vice-président de la Communauté de communes Orne Lorraine Confluences M. Gérard Didelot, président du Syndicat mixte chargé du SCoT Nord Meurthe-et-Mosellan M. Alain Godard, maire de Gémonville, représentant les maires du département M. Hervé Bertrand, vice-président de la communauté de communes du Territoire de Lunéville à , représentant les intercommunalités du département Mme Colette Renard-Grandmontagne et M. Pierre Spacher (57), qualifiés en matière de consommation et protection du consommateur Mme Agnès Hoche et M. Yves Gry, qualifiés en matière de développement durable et d’aménagement du territoire Considérant qu’au regard de l'aménagement du territoire, le projet s’implante au sein d’une zone commerciale existante, dont il renforce l’attractivité ; que par ailleurs l’offre proposée en articles à destination de l’équipement de la maison et de la décoration est complémentaire à celle existante, ne portant pas atteinte aux équilibres commerciaux ni à l’animation de la vie urbaine et rurale ; CONSIDERANT qu’au regard du développement durable, le dossier prévoit des solutions permettant d’économiser l’énergie dans le fonctionnement des magasins, ainsi qu’un système d’infiltration des eaux pluviales sur site ; CONSIDERANT que l‘insertion du projet dans son environnement est de qualité sur le plan paysager, ce qui est de nature à préserver l’image de l’entrée de ville ; que par ailleurs, le pétitionnaire s’est engagé à développer, en lien avec les élus des collectivités, un projet de parc à vélos électriques à l’échelle du territoire ; CONSIDERANT qu’en matière de protection des consommateurs, le projet apporte une offre actuellement absente sur le territoire proche, permettant de réduire les distances de déplacements en voiture, par la diminution de l’évasion commerciale vers les pôles commerciaux de Moselle ; CONSIDERANT qu'ainsi, ce projet répond aux critères énoncés à l'article L.752-6 du code de commerce ; la commission émet un avis favorable concernant la demande susvisée, par 5 voix pour, 1 voix contre et 3 abstentions Ont voté pour l'autorisation du projet : MM. François Dietsch, Christian Lamorlette, Alain Godard, Hervé Bertrand et Mme Colette Renard-Grandmontagne A voté contre l'autorisation du projet : Mme Agnès Hoche Se sont abstenus : MM. Gérard Didelot, Pierre Spacher et Yves Gry

Nancy, le1er juillet 2020 Pour le préfet et par délégation La secrétaire générale Marie-Blanche BERNARD

NB : Le recours prévu à l’article L752-17 du code de commerce doit être adressé dans un délai d'un mois à M. le président de la commission nationale d’aménagement commercial – Secrétariat – Télédoc 121 – 61 boulevard Auriol – 75703 PARIS CEDEX 13. Pour le demandeur, le délai court à compter de la réception de la décision. Pour le préfet et les membres de la commission, le délai court à compter du jour de la réunion. Pour toute autre personne mentionnée à l’article L752-17 du même code, le délai court à compter de la plus tardive des mesures de publicité prévues à l’article R752-19 du même code. Sous peine d’irrecevabilité et conformément à l’article R752-32 du même code, le requérant communique son recours au demandeur dans les cinq jours suivant sa présentation à la commission nationale. RECUEIL N° 51 7 3 juillet 2020

POUR LES MAGASINS ET ENSEMBLES COMMERCIAUX (a à c du 1° de l’article R.752-44 du code de commerce)

Surface de vente (SV) totale

Avant projet Magasins Nombre Surface de vente de SV (cf. a, b, d ou e du ≥300 m² SV/magasin1 1° du I de l’article R. 752-6) Secteur (1 ou 2) Et Surface de vente (SV) totale Secteurs d’activité (cf. a, b, d et e du 1° 6 du I de l’article Nombre R.752-6) 6 magasins de 798 m² de Après Magasins surface de vente en moyenne projet de SV SV/magasin2 4 785 m² ≥300 m² (détail non connu)

Secteur (1 ou 2) 2

Total

Électriques/hybrides Avant Nombre Co-voiturage projet de places

Auto-partage Capacité de stationnement Perméables Le parking sera partagé (cf. g du 1° du I de (commerces et restaurant) l’article R.752-6) Total 11 557 m²

Électriques/hybrides 34

Après Nombre Co-voiturage projet de places Auto-partage

Perméables

POUR LES POINTS PERMANENTS DE RETRAIT (« DRIVE ») (2° de l’article R.752-44 du code de commerce)

Avant projet Nombre de pistes de ravitaillement Après projet

Avant Emprise au sol projet affectée au retrait des marchandises Après (en m²) projet

SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES Bureau des procédures environnementales

Arrêté préfectoral prescrivant des mesures complémentaires à la société SOLVAY OPERATIONS FRANCE pour l'arrêt définitif des travaux miniers et d'utilisation d'installations minières associées, attachés à la concession de mines de sel gemme et sources salées de « DOMBASLE »

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE

1 Si plus de 5 magasins d’une surface de vente (SV) ≥ 300 m ², ne pas renseigner cette ligne mais renvoyer à une feuille libre annexée au tableau sur laquelle sont : - rappelés la commission (CDAC n° département/CNAC), le n° et la date de l’avis ou de la décision ; - listés, chacun avec sa SV, tous les magasins d’une surface de vente ≥ 300 m² sous la mention « détail des XX magasins d’une SV ≥ 300 m² ». 2 Cf. (2) RECUEIL N° 51 8 3 juillet 2020

VU le code minier, notamment ses articles L.163-1 à 12 et L.174-1 à 12; VU le décret impérial du 7 mai 1864 instituant la concession saline de Dombasle ; VU l’ensemble des actes autorisant les modifications du périmètre de la concession de mines de sel gemme et sources salées de « DOMBASLE » et les mutations de ce titre au profit ultime de Solvay Carbonate France devenu SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE le 1er novembre 2016 ; VU l’arrêté ministériel du 8 septembre 2004 définissant les modalités techniques d’application de l'article 44 du décret n° 95-696 du 9 mai 1995 modifié relatif à l’ouverture des travaux miniers et à la police des mines ; VU le décret n° 2006-649 du 2 juin 2006 modifié relatif aux travaux miniers, aux travaux de stockage souterrain et à la police des mines et des stockages souterrains, notamment son article 46 ; VU le décret n° 2016-1303 du 4 octobre 2016 relatif aux travaux de recherches par forage et d’exploitation par puits de substances minières ; VU l’arrêté ministériel du 14 octobre 2016 relatif aux travaux de recherches par forage et d’exploitation par puits de substances minières ; VU l’arrêté préfectoral du 3 décembre 2019 prorogeant de huit (8) mois le délai pour statuer sur la déclaration susvisée ; VU la demande de la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE en date du 9 janvier 2019, enregistrée le même jour par la préfecture de Meurthe-et-Moselle, portant déclaration d’arrêt définitif des travaux miniers et d’utilisation d’installations minières associées, attachés à la concession susvisée complétée les 27 février 2019 et 6 juin 2019 ; VU le résultat de la consultation réglementaire ; VU l’avis du représentant de la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE du 17 mai 2020 sur le projet d’arrêté préfectoral de prescriptions qui lui a été transmis le 13 mai 2020 par la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) du Grand Est ; VU les rapport et avis de la DREAL Grand Est du 28 mai 2020 ; CONSIDÉRANT que ladite concession compte cinq puits de recherche (1R, 2R, 3R, 4R, 5R) et sept puits d’exploitation (1D, 2D, 3D, 4D, 5D, 1BS, 2BS) encore soumis à la police des mines, non cimentés et isolés les uns des autres à l’exception des puits 1D et 2D ; CONSIDÉRANT qu’un million de tonnes de sel a été extrait par dissolution entre 1866 et 1965 dans les travaux attachés à ladite concession ; CONSIDÉRANT que la seule méthode d’exploitation du sel utilisée sur ladite concession est du type « toit du sel », les puits connectés avec la nappe salée située au-dessus du gisement de sel ; CONSIDÉRANT que lors de l’exploitation du sel du type « toit du sel » les vides créés sont pour la plupart comblés au cours d’exploitation par l’affaissement des terrains sus-jacents au gisement salifère exploité ; CONSIDÉRANT que les puits non isolés au niveau des aquifères supérieurs facilitent la circulation des eaux douces vers des zones de dissolution active ou des zones où le mécanisme de dissolution du sel reste théoriquement possible ; CONSIDÉRANT que malgré ses investigations, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE ne retrouve pas les puits de recherche 2R, 3R et 5R dans des secteurs jugés peu sensibles à la dissolution du sel sur la commune de Dombasle-sur-Meurthe en limite de ville (proximité du canal de Morteau, terrain de football et futur bassin de refroidissement de l’usine de SOLVAY) ; CONSIDÉRANT que malgré ses investigations, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE ne retrouve pas le puits d’exploitation 2BS qui se trouverait sous l’aire de stationnement de la salle polyvalente de Dombasle-sur-Meurthe, un secteur jugé peu sensible à la dissolution du sel ; CONSIDÉRANT que le puits d’exploitation 3D a théoriquement été rebouché sur vingt-cinq mètres par des remblais et se trouve sous un immeuble de Dombasle-sur-Meurthe ; CONSIDÉRANT que certains anciens travaux miniers peuvent porter atteinte à la sécurité des personnes et des biens et qu’il convient de procéder à leur mise en sécurité ; CONSIDÉRANT que la procédure d’arrêt définitif de travaux miniers impose à l’exploitant d’exécuter, dans la mesure du possible, tous les travaux de mise en sécurité pour assurer l’arrêt de l’exploitation dans le respect des intérêts mentionnés à l’article L.161-1 du code minier ; CONSIDÉRANT que la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE a mis en place un réseau de bornes topographiques afin de déterminer s’il existait encore des affaissements perceptibles au droit des anciens travaux miniers de ladite concession ; CONSIDÉRANT la nécessité, notamment, de : • fournir des informations sur l’état réel des cimentations et des cuvelages des puits ; • fermer définitivement les puits en comblant les vide résiduels dans les zones de dissolution, en assurant l’isolation hydraulique et une bonne cimentation au terrain ; • limiter les incidences sur le milieu naturel des travaux de mise en sécurité et de fermeture définitives des puits ; • conserver l’information relative à la position des anciens puits d’exploitation et de reconnaissance ; • poursuivre la surveillance des mouvements de terrain de l’ensemble des secteurs après la réalisation des mesures de mise en sécurité des puits ; SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture A R R Ê T E Article 1 er : Dans le cadre de l’arrêt définitif des travaux miniers et d’utilisation des installations associées, attachés à la concession de mines de sel gemme et sources salées de « DOMBASLE », la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE dont le siège est sis au 25 rue de Clichy à Paris procède aux travaux suivants en complément de ceux qu’elle a prévus dans le dossier produit à l’appui de sa déclaration du 9 janvier 2019 complété les 27 février 2019 et 6 juin 2019. Ces travaux doivent être menés dans un délai n’excédant pas vingt-quatre (24) mois à compter de la notification du présent arrêté. Article 2 : Conditions d’intervention Pour limiter les incidences sur le milieu naturel des travaux d’investigation, de mise en sécurité et de fermeture définitives des puits, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE : • prend en compte les mesures proposées par l’écologue dans son rapport Rn°18-111 dejuillet 2018 ; • entreprend les débroussaillages nécessaires hors période de nidification des oiseaux et d’hibernation des chiroptères, préserve autant que possible les arbres creux et réalise préalablement une inspection notamment des arbres creux et des ouvrages afin de détecter la présence de chiroptères ; • informe, avant chaque intervention, les intervenants sur les intérêts écologiques rencontrés sur le terrain. Article 3 : Investigations complémentaires avant travaux de fermeture Avant réalisation des travaux de fermeture définitive des puits, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE contrôle l’état des cimentations et des cuvelages de tous les puits de reconnaissance ou d’exploitation par dissolution n’ayant pas fait l’objet d’investigations récentes (moins de cinq ans avant la déclaration). Si la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE n’arrive pas à atteindre la profondeur requise correspondant a minima à quinze mètres au-dessus du toit du gisement exploité, elle procède à des investigations permettant d’identifier la méthode de comblement et d’évaluer la reconstitution du sol et du sous-sol au droit des ouvrages en termes de résistance mécanique ainsi qu’en caractéristiques hydrodynamiques. Le concessionnaire transmet ses conclusions au préfet dans un délai de neuf (9) mois qui suit la notification du présent arrêté puis procède aux travaux de fermeture de ces puits dans les conditions définies aux articles 1er, 2, 4, 5, 6 et 7. Article 4 : Programme de fermeture révisé Au vu des résultats des investigations menées en application de l’article 3, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE procède à une révision du programme de fermeture définitive des puits. Un exemplaire du programme de fermeture révisé est transmis au préfet de Meurthe-et- Moselle. Les travaux de fermeture ne peuvent débuter qu’après l’accord du préfet sur le programme de fermeture définitive révisé sauf : • pour le puits 4R situé sous la chaussée ; • s’il y a des motifs sérieux et étayés de penser ne plus pouvoir redescendre ultérieurement dans un puits à cause de son état avancé de délabrement. Le délai de réponse du préfet suspend le délai fixé au 2ᵉ alinéa de l’article 1er. RECUEIL N° 51 9 3 juillet 2020

Article 5 : Informations sur le déroulé des travaux de fermeture Un (1) mois avant le début effectif des travaux de fermeture définitive des puits, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE communique au service en charge de la Police des mines un planigramme des activités prévues. La société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE confirme ce planigramme au plus tard sept (7) jours calendaires avant chaque phase de travaux et communique les éventuelles modifications de programmation au service en charge de la Police des mines afin de faciliter la surveillance administrative. Article 6 : Isolation hydraulique Les vides éventuels présents dans les zones de dissolution sont comblés par du gravier auto-compactant afin de créer un bouchon permettant la cimentation des puits. Les puits sont obturés par un coulis de ciment résistant aux eaux salées, dans la mesure du possible jusqu’au toit du sel. L’exploitant s’assure de la bonne cimentation des puits et de la montée du coulis dans l’espace annulaire. La société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE recourt à la découpe du cuvelage notamment pour colmater les cavités identifiées lors des investigations préalables à l’extrados des puits. Article 7 : Remise en état des terrains Les têtes de puits sont arasées au moins deux mètres sous le niveau naturel du terrain ou transformées en borne de nivellement. Les caves et les plateformes donnant accès aux têtes de puits d’exploitation sont, dans la mesure du possible, détruits. La société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE procède au retrait de la digue qu’elle a construite pour accéder au puits 1R en dehors de la période d’activité des batraciens soit entre octobre et janvier. Article 8 : Rapport de fin de travaux Après l’achèvement des travaux, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE adresse au préfet de Meurthe-et-Moselle en trois (3) exemplaires, un mémoire descriptif des travaux réalisés. Ce mémoire précise la nature, les moyens mis en œuvre et les résultats obtenus. Il est accompagné de plans, photos, coupes, illustrations et de toutes les justifications sur la consistance des travaux réalisés. Ce mémoire est accompagné d’une mise à jour de l’évaluation et de la cartographie des aléas miniers résiduels. Article 9 : Mise à jour de la banque nationale des données du sous-sol Après la réalisation des travaux de mise en sécurité, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE transmet au BRGM les informations nécessaires à la mise à jour de la banque des données du sous-sol (BSS) pour les travaux visés par le présent arrêté. Le mémoire descriptif visé à l’article 8 comporte les éléments justifiant de cette transmission. Article 10 : Surveillance des mouvements de terrain Après la mise en sécurité des puits et pendant dix (10) ans, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE poursuit la surveillance des mouvements de terrain à partir du réseau de bornes de nivellement existant et utilisé lors du dépôt de sa déclaration susvisée et communique annuellement au service en charge de la Police des mines son analyse des résultats obtenus. Au bout de cinq (5) ans, la périodicité de cette surveillance pourra être adaptée aux enjeux en fonction des résultats obtenus et après avis du service en charge de la police des mines. À la fin de cette surveillance, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE adresse au préfet de Meurthe-et-Moselle, le cas échéant, une mise à jour de l’évaluation et de la cartographie des aléas miniers résiduels. Si l’existence de risques importants d’affaissement de terrain liés à l’activité minière est avérée, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE transfère à l’État la surveillance et la prévention des risques dans les conditions définies notamment à l’article L.174-2 du Code minier. Pour les secteurs non concernés par des risques importants d’affaissements de terrain d’origine minière, la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE propose un transfert de son réseau de nivellement aux collectivités territoriales et aux établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) concernés. Article 11 : Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de l’État dans le département de Meurthe-et-Moselle. Il sera affiché dans les communes visées à l’article 12 selon les usages. L’accomplissement de cette formalité est justifié par un certificat des maires. Article 12 : La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et du logement Grand-Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de présent arrêté qui sera notifié à la société SOLVAY OPÉRATIONS FRANCE et dont copie est adressée pour information : • aux maires de Dombasle-sur-Meurthe, Rosières-aux-Salines et , • au président de la Communauté de communes du Pays du Sel et du Vermois, • au directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle, • à la directrice générale de l’agence régionale de santé Grand Est – délégation départementale de Meurthe-et-Moselle, • à la directrice régionale des affaires culturelles Grand Est, • au général de corps d’armée, commandant de zone Terre Nord-Est.

Fait à NANCY le 25 juin 2020 Pour le préfet et par délégation, La secrétaire générale, Marie-Blanche BERNARD

Délais et voies de recours : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de NANCY dans les deux (2) mois à compter de sa notification ou de sa publication. Le tribunal administratif peut être saisi par l'application informatique « Télérecours Citoyen » accessible par le site Internet www.telerecours.fr. La présente décision peut également faire l'objet d'un recours gracieux. Pour préserver le délai de recours contentieux, le recours gracieux devra être introduit dans le délai de deux mois précédemment évoqué.

Arrêté préfectoral prescrivant des mesures complémentaires à la société SOLVAY SA pour l'arrêt définitif des travaux miniers et d'utilisation d'installations minières associées, attachés à la concession de mines de sel gemme et sources salées de «FLAINVAL»

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU le code minier, notamment ses articles L.163-1 à 12 et L.174-1 à 12; VU le décret du 5 juillet 1879 instituant la concession saline de Flainval date au bénéfice de SOLVAY & Cie devenu « SOLVAY SA »; VU le décret n° 2006-649 du 2 juin 2006 modifié relatif aux travaux miniers, aux travaux de stockage souterrain et à la police des mines et des stockages souterrains, notamment son article 46 ; VU l’arrêté ministériel du 8 septembre 2004 définissant les modalités techniques d’application de l'article 44 du décret n° 95-696 du 9 mai 1995 modifié relatif à l’ouverture des travaux miniers et à la police des mines ; VU le décret n° 2016-1303 du 4 octobre 2016 relatif aux travaux de recherches par forage et d’exploitation par puits de substances minières ; VU l’arrêté ministériel du 14 octobre 2016 relatif aux travaux de recherches par forage et d’exploitation par puits de substances minières ; VU la demande de la société SOLVAY SA en date du 9 janvier 2019, enregistrée le même jour par la préfecture de Meurthe-et-Moselle, portant déclaration d’arrêt définitif des travaux miniers et d’utilisation d'installations minières associées, attachés à la concession de mines de sel gemme et sources salées de « FLAINVAL » et complétée les 27 février 2019, 6 juin 2019 et 3 mars 2020 ; VU les éléments d’appréciation complémentaires transmis par la société SOLVAY SA les29 novembre 2019 et 3 mars 2020 ; VU l’arrêté préfectoral du 3 décembre 2019 prorogeant de huit (8) mois le délai pour statuer sur la déclaration susvisée ; VU le résultat de la consultation réglementaire ; VU l’avis du représentant de la société SOLVAY SA du 17 mai 2020 sur le projet d’arrêté préfectoral de prescriptions qui lui a été transmis le 13 mai 2020 par la DREAL Grand Est ; VU les rapport et avis de la DREAL Grand Est du 28 mai 2020 ; CONSIDÉRANT que ladite concession compte cinq puits de recherche (1R, 2R, 3R, 8, 26) et dix-huit puits d’exploitation (1, 1bis, 2, 2bis, 2ter, 3, 3bis, 3ter, 4, 4bis, 5, 5bis, 6bis, 7, 7bis, 12 bis, 13, 20bis) encore soumis à la police des mines ; RECUEIL N° 51 10 3 juillet 2020

CONSIDÉRANT régulièrement arrêtés les travaux et installations attachés à la concession de Flainval suivants : • 39 puits de dissolution (n°4t, 4q, 6, 8, 9, 9b, 10, 10b, 10t, 10q, 11, 11b, 12, 13b, 13t, 13q, 14, 15, 15b, 16, 16b, 17, 17b, 18, 18b, 19, 19b, 20, 21, 21b, 22, 22b, 23, 23b, 24, 24b, 25, 25b, 27) de la concession de Flainval; • 7 puits d’alimentation en eau douce n°A à G ; • 1 puits de mine (puits de Crévic) de la concession de Flainval et son bâtiment technique associé sis 1 rue de Naveau à Crévic; CONSIDÉRANT la fermeture définitive des puits 1, 1bis, 2, 2bis, 2ter, 7 et 7 bis réalisée par SOLVAY avant le dépôt de la déclaration susvisée ; CONSIDÉRANT que 6 millions de tonnes de sel ont été extraits par dissolution entre 1880 et 1908 dans les travaux attachés à ladite concession ; CONSIDÉRANT que la seule méthode d’exploitation du sel utilisée sur ladite concession est du type « toit du sel », les puits connectés avec la nappe salée située au-dessus du gisement de sel ; CONSIDÉRANT que lors de l’exploitation du sel du type « toit du sel » les vides créés sont pour la plupart comblés au cours d’exploitation par l’affaissement des terrains sus-jacents au gisement salifère exploité ; CONSIDÉRANT que les tubages n’ont pas été cimentés au terrain et qu’ils ont été endommagés plus ou moins rapidement et fréquemment du fait des éboulements souterrains ; CONSIDÉRANT que les puits non isolés au niveau des aquifères supérieurs facilitent la circulation des eaux douces vers des zones de dissolution active ou des zones où le mécanisme de dissolution du sel reste théoriquement possible ; CONSIDÉRANT que malgré ses investigations, la société SOLVAY SA ne retrouve pas les puits de recherche 1R, 2R, 3R et que ces puits se trouvent dans une zone dont la prédisposition à la dissolution du sel est peu sensible ; CONSIDÉRANT que la société SOLVAY SA doit encore mener des investigations sous la chaussée rue Maurice Barrès à Dombasle-sur- Meurthe afin de retrouver et d’obturer le puits d’exploitation 20 bis ; CONSIDÉRANT que certains anciens travaux miniers peuvent porter atteinte à la sécurité des personnes et des biens et qu’il convient de procéder à leur mise en sécurité ; CONSIDÉRANT que la dernière exploitation des travaux attachés à ladite concession date de 1908 et qu’aucune reprise de l’exploitation n’est envisagée par le titulaire du titre ; CONSIDÉRANT que la procédure d’arrêt définitif de travaux miniers impose à l’exploitant d’exécuter, dans la mesure du possible, tous les travaux de mise en sécurité pour assurer l’arrêt de l’exploitation dans le respect des intérêts mentionnés à l’article L.161-1 du code minier ; CONSIDÉRANT que la société SOLVAY SA a mis en place un réseau de bornes topographiques afin de déterminer s’il existait encore des affaissements perceptibles au droit des anciens travaux miniers de ladite concession ; CONSIDÉRANT la nécessité, notamment, de : • fournir des informations sur l’état réel des cimentations et des cuvelages des puits ; • fermer définitivement les puits en comblant les vide résiduels dans les zones de dissolution, en assurant l’isolation hydraulique et une bonne cimentation au terrain ; • limiter les incidences sur le milieu naturel des travaux de mise en sécurité et de fermeture définitives des puits ; • conserver l’information relative à la position des anciens puits d’exploitation et de reconnaissance ; • poursuivre la surveillance des mouvements de terrain de l’ensemble des secteurs après la réalisation des mesures de mise en sécurité des puits ; • remettre en état les terrains notamment dans la zone de la Bathelène ; SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture A R R Ê T E Article 1 er/ : Dans le cadre de l’arrêt définitif des travaux miniers et d’utilisation des installations associées, attachés à la concession de mines de sel gemme et sources salées de « FLAINVAL », la société SOLVAY SA dont le siège est sis au 310, Rue de Ransbeek, 1120 Neder-over- Hembeek Bruxelles procède aux travaux suivants en complément de ceux qu’elle a prévus dans le dossier produit à l’appui de sa déclaration du 9 janvier 2019 et complété les 27 février 2019, 6 juin 2019 et 3 mars 2020. Ces travaux doivent être menés dans un délai n’excédant pas vingt-quatre (24) mois à compter de la notification du présent arrêté. Article 2 : Conditions d’intervention Pour limiter les incidences sur le milieu naturel des travaux d’investigation, de mise en sécurité et de fermeture définitive des puits, la société SOLVAY SA : • prend en compte les mesures proposées par l’écologue dans son rapport Rn°18-111 de juillet 2018 ; • entreprend les débroussaillages nécessaires hors période de nidification des oiseaux et d’hibernation des chiroptères, préserve autant que possible les arbres creux et réalise préalablement une inspection notamment des arbres creux et des ouvrages afin de détecter la présence de chiroptères ; • informe, avant chaque intervention, les intervenants sur les intérêts écologiques rencontrés sur le terrain. Article 3 : Investigations complémentaires avant travaux de fermeture Avant réalisation des travaux de fermeture définitive des puits, la société SOLVAY SA: • réalise une nouvelle reconnaissance avec un outil de forage afin d’essayer de descendre a minima quinze mètres au-dessus du toit du gisement exploité pour les puits 3, 3bis et 3 ter, 4, 4bis, 6bis ; • contrôle l’état des cimentations et des cuvelages de tous les puits de reconnaissance ou d’exploitation par dissolution n’ayant pas fait l’objet d’investigations récentes (moins de cinq ans avant la déclaration). Si la société SOLVAY SA n’arrive pas à atteindre la profondeur requise correspondant a minima à quinze mètres au-dessus du toit du gisement exploité, elle procède à des investigations permettant d’identifier la méthode de comblement et d’évaluer la reconstitution du sol et du sous-sol au droit des ouvrages en termes de résistance mécanique ainsi qu’en caractéristiques hydrodynamiques. Le concessionnaire transmet ses conclusions au préfet dans un délai de neuf (9) mois qui suit la notification du présent arrêté puis procède aux travaux de fermeture de ces puits dans les conditions définies aux articles 1er, 2, 4, 5, 6 et 7. Article 4 : Programme de fermeture révisé Au vu des résultats des investigations menées en application de l’article 3, la société SOLVAY SA procède à une révision du programme de fermeture définitive des puits. Un exemplaire du programme de fermeture révisé est transmis par la société SOLVAY SA au préfet de Meurthe- et-Moselle. Les travaux de fermeture ne peuvent débuter qu’après l’accord du préfet sur le programme de fermeture définitive révisé sauf : • pour le puits 20bis probablement situé sous la chaussée. • s’il y a des motifs sérieux de penser ne plus pouvoir redescendre ultérieurement dans un puits à cause de son état avancé de délabrement. Le délai de réponse du préfet suspend le délai fixé au 2ᵉ alinéa de l’article 1er. Article 5 : Informations sur le déroulé des travaux de fermeture Un (1) mois avant le début effectif des travaux de fermeture définitive des puits, la société SOLVAY SA communique au service en charge de la police des mines un planigramme des activités prévues. La société SOLVAY SA confirme ce planigramme au plus tard sept (7) jours calendaires avant chaque phase de travaux et communique les éventuelles modifications de programmation au service en charge de la Police des mines afin de faciliter la surveillance administrative. Article 6 : Isolation hydraulique Les vides éventuels présents dans les zones de dissolution sont comblés par du gravier auto-compactant afin de créer un bouchon permettant la cimentation des puits. Les puits sont obturés par un coulis de ciment résistant aux eaux salées, dans la mesure du possible jusqu’au toit du sel. L’exploitant s’assure de la bonne cimentation des puits et de la montée du coulis dans l’espace annulaire. La société SOLVAY SA recourt à la découpe du cuvelage notamment pour colmater les cavités identifiées lors des investigations préalables à l’extrados des puits. RECUEIL N° 51 11 3 juillet 2020

Article 7 : Remise en état des terrains Les têtes de puits sont arasées au moins deux mètres sous le niveau naturel du terrain ou transformées en borne de nivellement. Les caves et les plateformes donnant accès aux têtes de puits d’exploitation sont, dans la mesure du possible, détruits. La société SOLVAY SA réaménage la zone de la Bathelène (reconstitution d’un lit d’un cours d’eau fonctionnel) selon le protocole validé par la police de l’eau (version du 3 mars 2020). Article 8 : Rapport de fin de travaux Après l’achèvement des travaux, la société SOLVAY SA adresse au préfet de Meurthe-et-Moselle en trois (3) exemplaires, un mémoire descriptif des travaux réalisés. Ce mémoire précise la nature, les moyens mis en œuvre et les résultats obtenus. Il est accompagné de plans, photos, coupes, illustrations et de toutes les justifications sur la consistance des travaux réalisés. Ce mémoire est accompagné d’une mise à jour de l’évaluation et de la cartographie des aléas miniers résiduels. Article 9 : Mise à jour de la banque nationale des données du sous-sol Après la réalisation des travaux de mise en sécurité, la société SOLVAY SA transmet au BRGM les informations nécessaires à la mise à jour de la banque des données du sous-sol (BSS) pour les travaux visés par le présent arrêté. Le mémoire descriptif visé à l’article 8 comporte les éléments justifiant de cette transmission. Article 10 : Surveillance des mouvements de terrain Après la mise en sécurité des puits et pendant dix (10) ans, la société SOLVAY SA poursuit la surveillance des mouvements de terrain à partir du réseau de bornes de nivellement existant et utilisé lors du dépôt de sa déclaration susvisée et communique annuellement au service en charge de la Police des mines son analyse des résultats obtenus. Au bout cinq (5) ans, la périodicité de cette surveillance pourra être adaptée aux enjeux en fonction des résultats obtenus et après avis du service en charge de la police des mines. À la fin de cette surveillance, la société SOLVAY SA adresse au préfet de Meurthe-et-Moselle, le cas échéant, une mise à jour de l’évaluation et de la cartographie des aléas miniers résiduels. Si l’existence de risques importants d’affaissement de terrain liés à l’activité minière est alors avérée, la société SOLVAY SA transfère à l’État la surveillance et la prévention des risques dans les conditions définies notamment à l’article L.174-2 du code minier. Pour les secteurs non concernés par des risques importants d’affaissements de terrain d’origine minière, la société SOLVAY SA propose un transfert de son réseau de nivellement aux collectivités territoriales et aux établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) concernés. Article 11 : Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de l'État dans le département de Meurthe-et-Moselle. Il sera affiché dans les communes visées à l’article 12 selon les usages. L’accomplissement de cette formalité est justifié par un certificat des maires. Article 12 : La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le directeur régional de l’environnement, de l'aménagement et du logement Grand-Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de présent arrêté qui sera notifié à la société SOLVAY SA et dont copie est adressée pour information : • aux maires de , Crévic, Dombasle-sur-Meurthe, Flainval, , et Sommerviller, • aux présidents des communautés de communes du Pays du Sânon et du Pays du Sel et du Vermois, • au directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle, • à la directrice générale de l’agence régionale de santé Grand Est – délégation départementale de Meurthe-et-Moselle, • à la directrice régionale des affaires culturelles Grand Est, • au général de corps d’armée, commandant de zone Terre Nord-Est.

Fait à NANCY le 25 juin 2020 Pour le préfet et par délégation, La secrétaire générale, Marie-Blanche BERNARD

Délais et voies de recours : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de NANCY dans les deux (2) mois à compter de sa notification ou de sa publication. Le tribunal administratif peut être saisi par l'application informatique « Télérecours Citoyen » accessible par le site Internet www.telerecours.fr. La présente décision peut également faire l'objet d'un recours gracieux. Pour préserver le délai de recours contentieux, le recours gracieux devra être introduit dans le délai de deux mois précédemment évoqué.

Arrêté préfectoral n° 1054 autorisant la société Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l'Est à procéder à l’ouverture de travaux miniers (dénommés « reprise de l’exploitation et mise en sécurité du panneau A du champ de Gellenoncourt ») dans le périmètre de la concession de DROUVILLE, sur le territoire de la commune de GELLENONCOURT

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU le code minier ; VU le code de l’environnement, notamment en son article L.163-1 qui impose que les mesures compensatoires soient effectives pendant toute la durée des atteintes ; VU le décret n° 2006-649 du 2 juin 2006 modifié relatif aux travaux miniers, aux travaux de stockage souterrain et à la police des mines et des stockages souterrains ; VU le décret n° 2016-1303 du 4 octobre 2016 relatif aux travaux de recherches par forage et d'exploitation par puits de substances minières; VU l’arrêté ministériel du 14 octobre 2016 relatif aux travaux de recherches par forage et d'exploitation par puits de substances minières; VU le décret du 13 décembre 2019 accordant la prolongation de la concession de mines de sel gemme et sources salées de Drouville, à la Compagnie des salins du Midi et des salines de l'Est (CSME) ; VU les arrêtés de police des mines n°987 et 988 du 14 juin 2002 prescrivant respectivement la réalisation d’études hydrogéologiques et les principes d’exploitation à respecter pour l’exploitation du sel gemme par dissolution au de puits, et des prescriptions relatives à la caractérisation des cavités salines et à la mise en sécurité des travaux miniers entrepris dans la concession de DROUVILLE ; VU la demande, version mai 2018, de CSME sollicitant l’autorisation d’ouverture de travaux miniers dans le périmètre de la concession de DROUVILLE et ses mises à jour ; VU les documents et plans produits à l'appui de la demande ; VU le rapport de recevabilité de la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL) de Grand Est en date du 19 avril 2018 ; VU l’avis favorable sous conditions du 5 février 2020 du conseil national de la protection de la nature ; VU l’avis favorable du préfet sur l’étude préalable à la compensation collective agricole sur la demande d’autorisation d’ouverture de travaux miniers sur la concession de mines de sel de sodium de Drouville (champ de Gellenoncourt) en date du 9 mai 2019 ; VU l’avis du 2 octobre 2018 de la mission régionale d’Autorité environnementale et le mémoire de réponse de CSME en date du 11 février 2019 ; VU la décision de désignation du commissaire-enquêteur en date du 28 mars 2019 de Madame la présidente du tribunal administratif de NANCY ; VU l’arrêté préfectoral en date du 23 avril 2019 portant ouverture d'une enquête publique du 27 mai au 8 juillet 2019 inclus sur les communes de COURBESSEAUX, DROUVILLE, GELLENONCOURT et HARAUCOURT sur la demande de CSME en vue de reprendre l’exploitation du gisement du champ de Gellenoncourt dans le périmètre de la concession de DROUVILLE ; VU le registre d'enquête et l’avis du commissaire-enquêteur en date du 19 décembre 2017 ; VU l’avis formulé par le conseil municipal de la commune de HARAUCOURT ; VU les avis exprimés par l'autorité militaire et les services consultés ; RECUEIL N° 51 12 3 juillet 2020

VU le complément de dossier produit le 3 mars 2020 à l’appui de la demande et intitulé « Poursuite de l'exploitation du panneau A du champ de Gellenoncourt – mars 2020 » décrivant le principe d’exploitation de cavités stables le temps de la mise en service opérationnelle du projet ; VU le rapport de la direction régionale de l’environnement, de l'aménagement et du logement de Grand Est en date du 11 mars 2020 et le projet d’arrêté annexé à ce rapport ; VU l'avis émis par la commission départementale compétente en matière d'environnement, de risques sanitaires et technologiques de Meurthe- et-Moselle dans sa séance du 24 juin 2020 ; VU le courrier en date du 25 juin 2020 par lequel CSME a été invitée à présenter ses observations sur le projet de prescriptions techniques ; VU la lettre du 25 juin 2020 par laquelle CSME indique ne pas avoir d’observations à formuler sur le projet d’arrêté préfectoral ; CONSIDERANT la nécessité de mettre en sécurité l’ancien site d’exploitation du champ de Gellenoncourt et le projet d’exploitation de CSME ; CONSIDERANT par ailleurs les mesures de prévention et de protection envisagées par le pétitionnaire pour préserver des intérêts énumérés aux articles L. 161-1 et L. 161-2 du Code minier ; CONSIDERANT les moyens mis en œuvre par le demandeur pour répondre aux observations formulées lors des enquêtes publique et administrative ; CONSIDERANT que les contraintes et les obligations nécessaires à la préservation des intérêts énumérés aux articles L. 161-1. et L. 161-2. du Code minier peuvent être garanties par la mise en œuvre des mesures proposées par CSME et prescrites ; CONSIDERANT que les conditions d’aménagement et d’exploitation, telles qu’elles sont définies dans le présent arrêté, permettent de prévenir les dangers et les inconvénients pour les intérêts mentionnés à l’article L.161-1 du code minier ; SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture de la Meurthe-et-Moselle ; A R R Ê T E Article 1 er : La Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est – Établissement de VARANGEVILLE (CSME), n° SIRET : 41243174400199, est autorisée à reprendre l’exploitation du sel présent dans le sous-sol de la commune de Gellenoncourt (Meurthe-et-Moselle) sur une partie du panneau A du champ de Gellenoncourt de la concession de DROUVILLE dans les conditions définies au dossier et à ses mises à jour produites à l’appui de sa demande susvisée et sous réserve que celles-ci ne soient pas contraires aux prescriptions énoncées aux articles suivants. CHAPITRE I PRESCRIPTIONS SPÉCIFIQUES AUX TRAVAUX MINIERS Article 1.1. – conception et conduite des travaux miniers ré-exploités Les travaux miniers (principalement les puits, plate-formes et collectes) dont la reprise d’exploitation est autorisée par le présent arrêté et situés dans le synoptique de production de l’amont hydraulique entre l’entrée du réseau d’injection dans la station de pompage de Gellenoncourt et la sortie de cette même station du réseau de collecte de saumure sont équipés et exploités selon la réglementation en vigueur à la date de notification du présent arrêté. Article 1.2. – stabilité sur le long terme des cavités du champ de Gellenoncourt non reprises L’exploitant met en place une surveillance renforcée et définit des seuils de vigilance pour les cavités a ssociées aux puits SG2 (BSS000SKVP), SG29 (BSS000SKNR) et SG36 (BSS000SJNY) du panneau A. Le puits SG1 (BSS000SKVN) est équipé pour extraire la saumure. La conduite du processus de dissolution doit garantir la non évolution des dimensions de la cavité saline existante associée. La stabilité sur le long terme de cette cavité doit être garantie. Article 1.3. – conduite des effondrements La conduite de l’exploitation doit garantir l’absence de moteur hydraulique de dissolution du sel et donc de circulations incontrôlées d’eau douce vers le gisement de sel. L’exploitant met tout en œuvre pour mettre en communication, dans les meilleurs délais, le plan d’eau principal et, le cas échéant, les effondrements secondaires isolés qui se seraient formés. Article 1.4. – Profondeur du lac et aquifère des Grès Rhétien L’exploitant réalise un contrôle de la profondeur et du relief du fond du lac résultant des effondrements des cavités salines. Les conditions de ce suivi sont adaptées aux enjeux et fonction de l’avancement de l’exploitation et des résultats obtenus. L’exploitant met à disposition du service en charge de la Police des mines son protocole et son analyse des résultats obtenus. Une attention particulière est portée à la situation du fond du lac vis-à-vis de l’aquifère des Grès Rhétien. Article 1.5. – Mise en œuvre et efficacité des mesures environnementales Les mesures environnementales (de la séquence « éviter, réduire, compenser » + accompagnement) rappelées dans la synthèse demandée à l’article 4.5. doivent être assorties d’objectifs de résultat et de modalités de suivi de leur efficacité et de leurs effets proportionnés aux enjeux. Le suivi repose sur une collecte de données répétée dans le temps et permet, le cas échéant, une vision dynamique de l’évolution des milieux, des espèces ou des facteurs écologiques dans le but de déterminer si le processus d’atteinte des objectifs fixés est enclenché et conforme. Article 1.6. – Ouvrage de surverse dans le ruisseau de Gellenoncourt L’exploitant communique, pour avis, les plans d’implantation et de construction de l’ouvrage de déversement prévu au dossier produit à l’appui de sa demande susvisée au Comité défini à l’article 2.7. au plus tard un an après l’effondrement de la cavité saline associée au puits SG18 (BSS000SKZS) et réalise les travaux nécessaires à l’aménagement de cet ouvrage dans un délai de dix-huit mois compté à partir de la validation du service en charge de la police des mines. Après les six premiers mois de surverse, l’exploitant confirme au Préfet l’acceptabilité du milieu récepteur. Dans le cas contraire, il propose un traitement adapté au rejet sous ce même délai. Ces résultats sont présentés lors de la réunion du Comité défini à l’article 2.7. qui suit. Le débit de surverse (débit régulier et effacement des pics) est régulé afin d’éviter les écoulements importants en particulier lors des épisodes de crue du ruisseau de Gellenoncourt (aussi appelé ruisseau de la Pissote). Les valeurs de consigne figurent dans la synthèse demandée à l’article 4.5. Article 1.7. – D échets d’extraction inertes Les déchets inertes solides et des terres non polluées du site sont prioritairement réutilisés dans la zone de travaux à des fins de remise en état ou de construction et d’entretien d’ouvrages (pistes, voies de circulation ou merlon). L’exploitant s’assure, pendant toute la durée de l’exploitation, de l’innocuité de ces déchets et de l’absence de dégradation des eaux de toute nature. Par ailleurs, il prend toutes dispositions utiles pour éviter l’émission et la propagation des poussières et des polluants dans l’air. CHAPITRE II - SURVEILLANCE DES EFFETS DES TRAVAUX MINIERS SUR L’ENVIRONNEMENT Article 2.1. – Prescriptions générales L’exploitant réalise une surveillance quantitative et qualitative pertinente des effets de ses travaux miniers sur l’environnement. Elle lui permet de détecter des dérives potentielles et de prendre au plus tôt les mesures correctives nécessaires pour remédier, dans les plus brefs délais, à la situation et d’envisager les actions préventives pour éviter le renouvellement de dérives et ainsi limiter le risque d’atteinte aux intérêts énumérés aux articles L. 161-1. et L. 161-2. du code minier. L’exploitant communique annuellement au Comité défini à l’article 2.7. son analyse des résultats d’autosurveillance. L’exploitant entretient constamment en bon état et à ses frais les installations nécessaires à la surveillance des effets de ses travaux miniers sur l’environnement. Il veille à protéger notamment la ressource en eau vis-à-vis de tout risque d’introduction de pollution par l’intermédiaire de ses ouvrages. Des mesures complémentaires peuvent être demandées à tout moment par le service en charge de la Police des mines. Le choix, par l’exploitant, de l’organisme compétent pour réaliser ces mesures doit recevoir l’accord de ce service. Les frais afférents à ces mesures sont à la charge de l’exploitant. Article 2.2. – Suivis morphologique et botanique du ruisseau de Gellenoncourt Au moins une fois avant l’effondrement de la cavité saline associée au puits SG18 (BSS000SKZS) et la première surverse du lac vers le ruisseau de Gellenoncourt puis annuellement durant les cinq premières années qui suivront l’effondrement de la cavité SG18 et la surverse effective l’exploitant réalise au droit des mêmes stations : • des levés topographiques du profil en long du ruisseau de Gellenoncourt en aval de la digue existante jusqu’à la confluence du ruisseau de Gellenoncourt dans la Roanne à raison d’un point minimum tous les deux-cent cinquante mètres ; • au moins deux profils topographiques réalisés en travers du lit du ruisseau de Gellenoncourt et en amont de la future surverse du lac ; RECUEIL N° 51 13 3 juillet 2020

• au moins six profils topographiques réalisés en travers du lit du ruisseau de Gellenoncourt et en aval de la future surverse du lac. Par la suite, les conditions de ce suivi (fréquence, nombre et localisation des stations, etc.) sont adaptées aux enjeux en fonction des résultats obtenus et après avis du comité défini à l’article 2.7. Un botaniste décrit les formations végétales qui se développent dans le lit mineur du ruisseau de Gellenoncourt sur tout son linéaire (état de conservation, diversité des habitats) selon la même fréquence. Article 2.3. – Suivi de la qualité biologique du ruisseau de Gellenoncourt Au moins une fois avant la première surverse du lac vers le ruisseau de Gellenoncourt puis tous les cinq ans jusqu’à la fin de l’exploitation, l’exploitant assure un suivi de l’Indice Biologique Global Normalisé (IBGN) du ruisseau de Gellenoncourt au droit des stations suivantes : • une station en amont du rejet ; • une station en aval immédiat du rejet ; • une station dans le ruisseau de Gellenoncourt en amont immédiat de la confluence avec la Roanne. Article 2.4. – Suivi de la qualité physico-chimique du ruisseau de Gellenoncourt En période de surverse, les paramètres suivants sont contrôlés selon les modalités ci-après. Fréquence minimale des contrôles Paramètres Station Rau de Chenal Station Rau de Station Rau de Gellenoncourt aval Gellenoncourt d’écoulement Gellenoncourt aval lointain amont proche (amont confluence) débit Par le calcul

température Continue en période de surverse conductivité pH salinité

sodium La nature et les modalités de ces contrôles sont fixées par l'exploitant sous sa responsabilité. S’il l’estime chlorures utile, le préfet peut demander à l'exploitant de modifier ou de compléter les modalités retenues ou lui demander des informations ou des explications supplémentaires. sulfates DCO MES Article 2.5. – Surveillance des effets sur les eaux souterraines L’exploitant dimensionne, sous sa responsabilité, le réseau de surveillance des eaux souterraines sur la base de l’avis d’un hydrogéologue expert indépendant établi conformément aux normes en vigueur. Le programme de surveillance (implantation et type d’ouvrage, périodicité des mesures) est réévalué après chaque effondrement et communiqué au Préfet. Le Préfet peut demander à l’exploitant de modifier ou de compléter les modalités retenues ou lui demander des informations ou des explications supplémentaires. Les têtes de chaque ouvrage de surveillance sont nivelées en cote NGF de manière à pouvoir tracer la carte piézométrique des eaux souterraines du site à chaque campagne. Les localisations de prise de mesures pour les nivellements sont clairement signalisées sur l'ouvrage. Article 2.6. – S urveillance des événements micro-sismiques induits Lors de l’exploitation du « secteur de dissolution » décrit dans le dossier produit à l’appui de sa demande un réseau de capteurs micro- sismiques est implanté en surface. Le protocole défini permet d’enregistrer les principaux pics d’activité attendus. L’exploitant communique au service en charge de la police des mines, au plus tard six mois après le premier effondrement un rapport sur l’intérêt de mise en œuvre d’un plan de surveillance des événements micro-sismiques induits par son activité. Il confie cette expertise à une société extérieure spécialisée. Les conséquences éventuelles sur les constructions environnantes et sur l’intégrité des puits et des cavités salines stables seront notamment estimées. Article 2.7. – Comité de suivi local Un Comité de suivi local des mesures d’évitement des atteintes à l'environnement, de réduction, de compensation des impacts du projet sur les milieux naturels et d’accompagnement décrites dans le dossier produit à l’appui de la demande susvisée et complétée par le présent arrêté est mis en place. L’exploitant propose, au plus tard dans un délai de six mois compté à partir de la date de notification du présent arrêté, au service en charge de la Police des mines pour validation le règlement fixant les modalités de fonctionnement du Comité (composition, fréquence de restitution au Comité, indicateurs de suivi, trame des bilans de suivi…). Cette instance a un rôle consultatif, mais non décisionnaire. Elle a pour objet d’examiner la pertinence des mesures et leur état d’avancement, et de proposer, le cas échéant, des modifications, allégements ou compléments en fonction des résultats obtenus. La réalisation des mesures est préalablement présentée au Comité. La fréquence de ces réunions est adaptée aux enjeux et fonction des résultats obtenus. Le comité de suivi local est composé a minima d’un représentant de l’exploitant, des services de l’État chargés du contrôle, d’un opérateur de compensation ou d’un bureau d’étude bénéficiant des compétences pour mener à bien les études nécessaires ainsi que d’acteurs locaux impliqués dans l’environnement et dans l’aménagement du territoire. Les frais afférents au suivi de ces mesures et au fonctionnement de ce Comité sont à la charge de l’exploitant. CHAPITRE III - REAMENAGEMENT DU SITE EXPLOITE Article 3.1. – Réaménagement des sols Le réaménagement des berges est réalisé au fur et à mesure que le lac atteint son contour définitif, après que la pente d’équilibre ait été atteinte naturellement. Après stabilisation de chaque effondrement, l’exploitant présente, a priori et pour avis, les modalités d’aménagement des berges nouvellement créées au Comité défini à l’article 2.7. Article 3.2. – Surveillance post-exploitation et expertises Sans préjudice des obligations générales de l’exploitant relatives aux conditions d’arrêt définitif des travaux miniers, l’exploitant maintient, a minima pendant une durée de quinze ans comptée à partir de l’arrêt définitif des travaux miniers, une surveillance adaptée de leurs effets sur l’environnement ainsi que l’inactivité effective du processus de dissolution. Il communique annuellement au service en charge de la Police des mines la nature de son dispositif de surveillance ainsi que son analyse des résultats d’autosurveillance. Lors de la déclaration d’arrêt définitif, au bout de sept ans puis à terme de cette période de surveillance, l’expert défini à l’article 4.7. : • met à jour la modélisation prévisionnelle de l’impact de l’exploitation du champ de Gellenoncourt sur l’aquifère du Rhétien jointe au dossier produit à l’appui de sa demande susvisée ; • évalue l’absence de dissolution, la stabilité des travaux miniers autorisés par le présent arrêté et des travaux miniers voisins. Article 3.3. – Renaturation par tielle du ruisseau de Gellenoncourt L’exploitant définit une stratégie visant à rétablir un régime hydrologique proche de l’état naturel et à restaurer la continuité écologique sur le tronçon du ruisseau de Gellenoncourt présent sur ses terrains. Il présente son projet, pour avis, au Comité défini à l’article 2.7. au plus tard un an après la mise en service de l’installation de surverse et réalise les travaux de renaturation dans un délai de dix-huit mois compté à partir de la validation du service en charge de la police des mines. RECUEIL N° 51 14 3 juillet 2020

Article 3.4. – R uisseau du Canton du Chêne L’exploitant transmet, dans un délai de cinq ans compté à partir de la date de notification du présent arrêté, au Comité défini à l’article 2.7. pour avis, une étude des conséquences hydrogéologiques prévisibles du projet sur le réseau hydrographique du secteur. Tous travaux dans le lit mineur du ruisseau du canton du Chêne est soumis à la validation préalable du préfet. CHAPITRE IV - PRESCRIPTIONS PARTICULIERES Article 4.1. – Disposition transitoire Pendant une période qui n’excède pas dix-huit mois comptés à partir de la date de notification du présent arrêté, les cavités dont la reprise d’exploitation est autorisée par le présent arrêté peuvent être exploitées dans les conditions définies au complément de dossier produit le 3 mars 2020 à l’appui de la demande et intitulé « Poursuite de l'exploitation du panneau A du champ de Gellenoncourt – mars 2020 » sous réserve de la préservation des intérêts énumérés aux articles L. 161-1. et L. 161-2. du Code minier et sans préjudice des conditions d’exploitation autorisées par le présent arrêté. Article 4.2. – Propriété des parcelles Pendant toute la durée de validité de la concession et des renouvellements successifs éventuels de cette dernière, l ’exploitant reste propriétaire ou dispose des droits nécessaires (convention de mise à disposition) sur les terrains : • formant le périmètre dénommé « zone de sécurité Z3 » dans le dossier produit à l’appui de la demande susvisée (périmètre global des travaux) ; • concernés par des mesures environnementales d’évitement, de réduction, de compensation et d’accompagnement. Avant l’exploitation de chaque « secteur de dissolution » décrit dans le dossier produit à l’appui de sa demande, l’exploitant justifie au service en charge des mines du respect de cette prescription. Article 4.3. – Accès au périmètre d’exploitation de Gellenoncourt Les zones de sécurité décrites dans le dossier produit à l’appui de la demande susvisée sont régulièrement redéfinies et réimplantées sur site en fonction de l’évaluation des risques conduite et actualisée, en tant que de besoin, par l’exploitant. Le périmètre clôturé dénommé « zone de sécurité Z0 » englobe notamment les zones effondrées. L’accès y est formellement interdit à tout véhicule et à toute personne. Toutefois, l’exploitant peut, en fonction des résultats de sa démarche d’évaluation et de prévention des risques et sous sa responsabilité, autoriser un accès temporaire aux zones effondrées en donnant aux intervenants des instructions appropriées. Article 4.4. – Surveillance rendue impossible en « zone de sécurité Z0 » Les dispositions prévues à l’article 8 de l’arrêté préfectoral n°987 du 14 juin 2002 nécessitant une intervention humaine ne sont pas mises en œuvre au sein du périmètre clôturé dénommé « zone de sécurité Z0 ». Article 4.5. – Synthèse des conditions d’exploitation autorisées L’exploitant communique à la DREAL, dans un délai de six mois compté à partir de la date de notification du présent arrêté, une synthèse opérationnelle et exhaustive des conditions d’exploitation autorisées. Ce document rassemble notamment tous les paramètres d’aménagement et d’exploitation, le zonage de sécurité, les paramètres de surveillance des effets des travaux miniers sur l’environnement et les mesures d’évitement, de réduction, de compensation et d’accompagnement. Il y est précisé si ces données sont définies au dossier produit à l’appui de sa demande susvisée ou si elles sont prescrites par le présent arrêté. Cette synthèse est tenue à jour et à disposition du service en charge de la police des mines et du Comité défini à l’article 2.7. Article 4.6. – Travaux interdits Sont interdites la fracturation hydraulique des terrains et l’emploi de toute autre méthode conduisant à ce que la pression de pore soit supérieure à la pression lithostatique de la formation géologique, sauf pour des actions ponctuelles de maintenance opérationnelle ou de sécurité du puits. Article 4.7 . – Avis d’expert Un expert, proposé par l’exploitant et soumis à l’approbation du préfet, peut être consulté et l’avis de cet expert communiqué au service en charge de la police des mines. Les frais correspondants sont à la charge de l’exploitant. CHAPITRE V - PRESCRIPTIONS FINALES Article 5.1. – Publicité de l'arrêté Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et transmis pour affichage au maire de la commune de Gellenoncourt . Un extrait de l’arrêté est publié aux frais du demandeur, dans les journaux où l'avis d'enquête publique a été inséré. Article 5.2. – Notification et exécution de l'arrêté La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et du logement de Grand Est, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera notifié au directeur de la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est, et transmis à titre d’information : • aux maires des communes de Courbesseaux, Drouville, Gellenoncourt et Haraucourt ; • au président de la communauté de communes Seille et Mauchère Grand Couronné et au président de la communauté de communes du Pays du Sânon, • au directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle, • à la directrice générale de l’agence régionale de santé Grand Est – délégation départementale de Meurthe-et-Moselle, • à la directrice régionale des affaires culturelles Grand Est, • au général de corps d’armée, commandant de zone Terre Nord-Est.

Fait à Nancy le 29 juin 2020 Pour le préfet et par délégation, La secrétaire générale, Marie-Blanche BERNARD

Délais et voies de recours : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de NANCY dans les deux (2) mois à compter de sa notification ou de sa publication. Le tribunal administratif peut être saisi par l'application informatique « Télérecours Citoyen » accessible par le site Internet www.telerecours.fr. La présente décision peut également faire l'objet d'un recours gracieux. Pour préserver le délai de recours contentieux, le recours gracieux devra être introduit dans le délai de deux mois précédemment évoqué.

Arrêté préfectoral n°1086 modifiant les prescriptions de l’arrêté préfectoral n°995 du 23 avril 2004 autorisant la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est à poursuivre l’exploitation du sel par dissolution dans les concessions minières de Drouville et de Courbesseaux

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU le code minier; VU le code de l’environnement; VU le décret n° 2006-649 du 2 juin 2006 modifié relatif aux travaux miniers, aux travaux de stockage souterrain et à la police des mines et des stockages souterrains, notamment ses articles 16 et 17 ; VU le décret n° 2016-1303 du 4 octobre 2016 relatif aux travaux de recherches par forage et d’exploitation par puits de substances minières ; VU l’arrêté ministériel du 14 octobre 2016 relatif aux travaux de recherches par forage et d’exploitation par puits de substances minières ; VU le décret du 24 novembre 1894 instituant la concession de mines de sel de Drouville ; VU le décret du 9 janvier 1973 instituant la concession de mines de sel de Courbesseaux; VU l’arrêté du 16 juin 1999 autorisant la mutation des concessions de Drouville et de Courbesseaux au profit de la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est ; RECUEIL N° 51 15 3 juillet 2020

VU le décret du 13 décembre 2019 accordant la prolongation de la concession de mines de sel gemme et sources salées de Drouville (Meurthe-et-Moselle), à la Compagnie des salins du Midi et des Salines de l’Est ; VU l’arrêté préfectoral n°995 du 23 avril 2004 autorisant la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est à poursuivre l’exploitation du sel par dissolutions dans les concessions minières de Drouville et Courbesseaux ; VU la demande du 20 novembre 2019 par laquelle la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est (CSME) sollicite pour ce qui concerne les revêtements internes et externes des canalisations de transport de saumure, une modification de l’article 15 de l’arrêté préfectoral du 23 avril 2004 précité ; VU la demande du 12 février 2020 par laquelle la Compagnie des salins du midi et des Salines de l’Est sollicite, pour ce qui concerne les revêtements internes et externes des canalisations de transport de saumure, une modification de l’article 15 de l’arrêté préfectoral du 23 avril 2004 précité ; VU les éléments d’appréciation joints aux demandes du 20 novembre 2019 et du 12 février 2020 susvisées ; VU le rapport de la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) du Grand Est en date du 6 mai 2020 et le projet d’arrêté annexé à ce rapport ; VU l’avis émis le 29 avril 2020 par la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est en réponse au projet d’arrêté préfectoral qui lui a été transmis le 27 avril 2020 ; VU l’avis émis par la commission départementale compétente en matière d’environnement, de risques sanitaires et technologiques de Meurthe- et-Moselle dans sa séance du 24 juin 2020 ; VU le courrier en date du 25 juin 2020 par lequel CSME a été invitée à présenter ses observations sur le projet de modification de l’AP n°995 du 23 avril 2004 ; VU la lettre du 25 juin 2020 par laquelle CSME indique ne pas avoir d’observations à formuler sur le projet d’arrêté préfectoral ; CONSIDÉRANT que le projet de modification des conditions d’exploitation sollicité ne remet pas en cause l’objectif d’évitement de la corrasion des canalisations et tubages ; CONSIDÉRANT que ces projets de modification n’engendrent pas d’inconvénients ou de dangers nouveaux ; CONSIDÉRANT que les projets de modification sollicités ne sont pas des modifications substantielles au regard des dispositions de l’article 17 du décret du 2 juin 2006 précité ; CONSIDÉRANT que ces projets nécessitent une modification de certaines des prescriptions initiales de l’autorisation du 23 avril 2004 précitée e-t notamment de ses articles 14 et 15 ; SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture A R R Ê T E Article 1 er : Au point 2 de l’article 14 de l’arrêté préfectoral n°995 du 23 avril 2004, les termes « température : inférieure à 30° C » sont remplacés par les termes « température : inférieure à 40°C ». Article 2 : Le deuxième alinéa « Les canalisations enterrées seront enfouies à plus de 0,80 m de profondeur et seront repérées sur un plan détaillé. Ces conduites seront revêtues intérieurement et extérieurement d’un produit d’enrobage protégeant celles-ci de l’action corrosive des terrains (côté extérieur) et de la saumure (côté intérieur). » du point 3 de l’article 15 de l’arrêté préfectoral n°995 du 23 avril 2004 susvisé est remplacé par l’alinéa suivant : « Les canalisations enterrées seront enfouies à plus de 0,80 m de profondeur et seront repérées sur un plan détaillé. Elles sont conçues et exploitées de manière à éviter les fuites et à se prémunir notamment de l’action corrosive des terrains (côté extérieur) et de la saumure (coté intérieur). Elles font l’objet d’un plan de surveillance et de maintenance.» Article 3 : Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de l’État dans le département de Meurthe-et-Moselle. Il sera affiché dans les communes visées à l’article 4 selon les usages. L’accomplissement de cette formalité est justifié par un certificat des maires. Article 4 : La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et du logement Grand-Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de présent arrêté qui sera notifié au directeur de la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est, et transmis à titre d’information : • aux maires des communes de Courbesseaux, Drouville, Gellenoncourt, Haraucourt et Réméréville ; • au président de la communauté de communes Seille et Mauchère Grand Couronné et au président de la communauté de communes du Pays du Sânon , • au directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle, • à la directrice générale de l’agence régionale de santé Grand Est – délégation départementale de Meurthe-et-Moselle, • à la directrice régionale des affaires culturelles Grand Est, • au général de corps d’armée, commandant de zone Terre Nord-Est.

Fait à NANCY le 29 juin 2020 Pour le préfet et par délégation, secrétaire générale, Marie-Blanche BERNARD

Délais et voies de recours : La présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de NANCY dans les deux (2) mois à compter de sa notification ou de sa publication. Le tribunal administratif peut être saisi par l'application informatique « Télérecours Citoyen » accessible par le site Internet www.telerecours.fr. La présente décision peut également faire l'objet d'un recours gracieux. Pour préserver le délai de recours contentieux, le recours gracieux devra être introduit dans le délai de deux mois précédemment évoqué.

DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES DE MEURTHE ET MOSELLE SIP DE NANCY

Arrêté portant délégation de signature

LE COMPTABLE, RESPONSABLE DU SERVICE DES IMPOTS DES PARTICULIERS DE NANCY VU le code général des impôts, et notamment l'article 408 de son annexe II et les articles 212 à 217 de son annexe IV ; VU le livre des procédures fiscales, et notamment les articles L. 247, L. 257 A et R* 247-4 et suivants ; VU le décret n° 2008-309 du 3 avril 2008 portant diverses dispositions relatives à la direction générale des finances publiques ; VU le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques ; VU le décret n° 2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique, et notamment son article 16 ; ARRÊTE : Article 1er : délégation de signature est donnée à Mesdames Véronique MARSAN, Claire DUC et Sophie CORDIER, et Monsieur Jean Emmanuel HILS, Inspecteurs des finances publiques, adjoints au responsable du service des impôts des particuliers de Nancy, à l’effet de signer : 1°) dans la limite de 60 000 €, en matière de contentieux fiscal d’assiette, les décisions d’admission totale, d'admission partielle ou de rejet, de dégrèvement ou restitution d’office ; 2°) en matière de gracieux fiscal, les décisions portant remise, modération, transaction ou rejet dans la limite de 60 000 € ; 3°) les documents nécessaires à l'exécution comptable des décisions contentieuses et gracieuses, sans limitation de montant ; 4°) au nom et sous la responsabilité du comptable soussigné, a) les décisions relatives aux demandes de délai de paiement , le délai accordé ne pouvant excéder 12 mois et porter sur une somme supérieure à 60 000 € ; RECUEIL N° 51 16 3 juillet 2020

b) les avis de mise en recouvrement ; c) l'ensemble des actes relatifs au recouvrement, et notamment les mises en demeure de payer, les actes de poursuites et les déclarations de créances ainsi que pour ester en justice ; d) tous actes d'administration et de gestion du service. Article 2 : délégation de signature est donnée à l'effet de signer : 1°) les décisions gracieuses, relatives aux pénalités et aux frais de poursuites, portant remise, modération ou rejet, dans la limite précisée dans le tableau ci-dessous ; 2°) les décisions relatives aux demandes de délai de paiement, dans les limites de durée et de montant indiquées dans le tableau ci-après ; 3°) les avis de mise en recouvrement ; 4°) l'ensemble des actes relatifs au recouvrement, et notamment les mises en demeure de payer, les actes de poursuites et les déclarations de créances ; aux agents désignés ci-après : Nom et prénom des agents grade Limite des décisions Durée maximale des Somme maximale pour laquelle un gracieuses délais de paiement délai de paiement peut être accordé Muriel HUMBERT Contrôleuse principale 1,000 € 6 mois 10.000 € Veronique DI GENNI Contrôleuse principale 450 € 6 mois 4.500 € Aline WEISS Contrôleuse 450 € 6 mois 4.500 € Julie DUQUENOY Contrôleuse 450 € 6 mois 4.500 € Véronique KIEFFER Contrôleuse 450 € 6 mois 4.500 € Stephanie ROBERT Contrôleuse 450 € 6 mois 4.500 € Alban JACQUOT Contrôleur 450 € 6 mois 4.500 € Olivier BAILLARGEAT Contrôleur 450 € 6 mois 4.500 € Faustine LUCQUIN Contrôleuse 450 € 6 mois 4.500 € Dominique VERREL Contrôleur 450 € 6 mois 4.500 € Geoffroy BOYER Contrôleur 450 € 6 mois 4.500 € Aleksandar ARSENIJEVIC Contrôleur 450 € 6 mois 4.500 € Patrice BERTHELIER Contrôleur 450 € 6 mois 4.500 € Mélanie CONICELLA Contrôleuse 450 € 6 mois 4.500 € Samir BOUGUERRA Contrôleur 450€ 6 mois 4 500 € Anthony LECLERC Contrôleur 450€ 6 mois 4 500 € Emmanuelle LUDWIG Contrôleuse 450 € 6 mois 4.500 € Norosoa RATOVONASY Contrôleuse 450 € 6 mois 4.500 € Mélanie GOFFART Agente 450 € 6 mois 4.500 € Hervé MARQUE Agent 450 € 6 mois 4.500 € Hacene BELGHORZE Agent 450 € 6 mois 4,500 € Nadège MARULIER Agente 450 € 6 mois 4.500 € Mathias JULIEN Agent 450 € 6 mois 4.500 € Mohamed BEL HADRI Agent 450 € 6 mois 4,500 € Valentin BIGEARD Agent 450 € 6 mois 4,500 € Jérôme GOMBERT Agent 450 € 6 mois 4,500 € Article 3 : délégation de signature est donnée à l’effet de signer, en matière de contentieux fiscal d’assiette, les décisions d’admission totale, d'admission partielle ou de rejet, de dégrèvement ou restitution d’office et, en matière de gracieux fiscal, les décisions portant remise, modération ou rejet : 1°) dans la limite de 10 000 €, aux agents des finances publiques de catégorie B désignés ci-après : Agnes BAVEREZ, Sandrine LUNG, Nicolas WEBER, Estelle MARTINI, Stephanie LAVIOLETTE, Natacha FOURNIER, Mélanie CONICELLA, Muriel HUMBERT, Alban JACQUOT, Olivier BAILLARGEAT, Faustine LUCQUIN, Stephanie ROBERT, Julie DUQUENOY, Dominique VERREL, Samir BOUGUERRA, Anthony LECLERC, Norosoa RATOVONASY, Emmanuelle LUDWIG. 3°) dans la limite de 2 000 €, aux agents des finances publiques de catégorie C désignés ci-après : Claude SAVINEL, Didier CUNAT, Nathalie KINTZ, Aurélien GAIGNIER, Anycia BOURDON, Alexandre CHAUDRON, Jordan GROSSE-CRUCIANI, Fabrice ROBUSTELLI, Catherine COLAS, Jérôme AUBERTIN, Laurent COPPI, Sylvie SAINTOT, Stéphanie MUNIER, Corinne NICOT, Laetitia COUCHOT-MONNIER, Vincent ZINGRAFF, Fabien BOUL, Peggy VERHEE, Sophie KAROTSCH, Nadège LALAUT-MATANA, Sylvaine SOLEIL, Sébastien CANTE, Audrey FEBVRET, Virginie MICHEL, Ndeye CISSE. Article 4 : le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du département de Meurthe et Moselle.

A Nancy, le 2 juin 2020, la comptable, responsable de Service des Impôts des Particuliers,de NANCY, Éliane GRANIÉ RECUEIL N° 51 17 3 juillet 2020

Liste des responsables de service disposant de la délégation de signature en matière de contentieux et de gracieux fiscal prévue par le III de l’article 408 de l’annexe II au code général des impôts

Situation au 1er juin 2020 Nom-Prénom Responsable des services Services des Impôts des Entreprises DIRAND André Nancy Nord PAYSANT Philippe Nancy Est PARISOT Alain Vandœuvre Service des Impôts des Particuliers GRANIE Eliane Nancy STREBLER Claire Vandœuvre DELILLE Georges PAJOT Jean-Michel Pont-à- ROBERT Dominique Intérim Toul Service des Impôts des Particuliers Service des Impôts des Entreprises NAU Jean-Louis Intérim Briey RAVIER Béatrice Lunéville Services de publicité foncière LINHART Pascal Intérim Briey HERBOURG Philippe Intérim SPF Lunéville HERBOURG Philippe SPFE Nancy 1 HERBOURG Philippe Intérim SPF Nancy 2 Brigades Départementales de vérification BARBIER Nicolas 1ère Brigade Départementale de vérification LAINE Lionel 2ème Brigade Départementale de vérification PESAVENTO Elie Brigade de Contrôle et de Recherche Nancy BERNHART Steve Pôle de Contrôle et d’Expertise Nancy Nord Est- Nancy Nord-Ouest DREYFUSS Valérie Pôle de Contrôle des Revenus du Patrimoine BOULHASSA Jasia Intérim Pôle de Recouvrement Spécialisé Centre des Impôts fonciers DURAND Philippe CDIF Nancy- PTGC- PELP

A Nancy, le 1er juin 2020, l’Administrateur Général des Finances publiques, Directeur départemental des Finances publiques de Meurthe et Moselle Dominique BABEAU

Arrêté de subdélégation en matière domaniale

L’ADMINISTRATEUR GENERAL DES FINANCES PUBLIQUES, DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 relatif au pouvoir des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et les départements, modifié par le décret n°2010-146 du 16 février 2010 et par le décret n°210-687 du 24 juin 2010 ; VU le décret n°2008-310 du 3 avril 2008 relatif à la direction générale des finances publiques ; VU le décret n°2009-707 du 16 juin 2009 modifié relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques ; VU l’arrêté du 8 août 2017 relatif à l’organisation des missions d’évaluations domaniales ; VU l’arrêté du préfet de Meurthe-et-Moselle n°15.BI.98 en date du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à Monsieur Dominique BABEAU, directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle ; A R R Ê T E Article 1 : La délégation de signature qui est conférée à Monsieur Dominique BABEAU, directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle, par l’article 1er de l’arrêté du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à Monsieur Dominique BABEAU, sera exercée par Madame Patricia VILMAIN, directrice chargée du pôle gestion publique, par Monsieur Julian MESSIER, inspecteur principal des finances publiques et par Madame Nathalie SAULNIER, inspectrice divisionnaire des finances publiques. Article 2 : En cas d’absence ou d’empêchement, la même délégation sera exercée par Madame Émilie JAUBERT, inspectrice des finances publiques, en ce qui concerne les attributions visées dans l’arrêté du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à Monsieur Dominique BABEAU, sous le n° 1, 2, 4, 5, 6. Article 3 : En ce qui concerne les attributions visées sous le n° 1, 2, 4, 5, 6 et 8 de l'article 1er de l’arrêté du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à Monsieur Dominique BABEAU, délégation de signature est accordée aux fonctionnaires suivants : Madame Émilie JAUBERT, inspectrice des finances publiques, dans la limite de 15 000 euros pour les prises à bail par l’État et de 150 000 euros pour les acquisitions et cessions de l’État ; Monsieur Claude MAGNETTE, contrôleur des finances publiques, pour les bordereaux d’envoi et les demandes de renseignement ; Madame Déborah ERSFELD, contrôleuse des finances publiques, pour les bordereaux d’envoi et les demandes de renseignement. Article 4 : Cet arrêté abroge celui du 1er avril 2019. Article 5 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratif du département et affiché dans les locaux de la direction départementale des finances publiques de Meurthe-et-Moselle.

A Nancy, le 1er juillet 2020, l’Administrateur Général des Finances publiques, Directeur départemental des Finances publiques de Meurthe et Moselle Dominique BABEAU

Décision de délégation générale de signature au directeur du pôle gestion publique L’ADMINISTRATEUR GENERAL DES FINANCES PUBLIQUES, DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE MEURTHE-ET-MOSELLE,

VU le décret n°2008-310 du 3 avril 2008 relatif à la direction générale des finances publiques ; VU le décret n°2009-208 du 20 février 2009 relatif au statut particulier des administrateurs des finances publiques ; VU le décret n°2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques ; VU le décret n°2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique ; VU l’arrêté du 11 décembre 2009 portant création de la direction départementale de Meurthe-et-Moselle ; VU le décret du 11 septembre 2017 portant nomination de Monsieur Dominique BABEAU, administrateur général des finances publiques, et l’affectant à la direction départementale des finances publiques de Meurthe-et-Moselle ; RECUEIL N° 51 18 3 juillet 2020

VU la décision du directeur général des finances publiques en date du 21 septembre 2017 fixant au 1er janvier 2018, la date d’installation de Monsieur Dominique BABEAU dans les fonctions de directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle ; D E C I D E Article 1 - Délégation générale de signature est donnée à : Mme Patricia VILMAIN, administratrice des finances publiques, directrice du pôle gestion publique. Celle-ci reçoit mandat de me suppléer dans l’exercice de mes fonctions et de signer, seule, ou concurremment avec moi, tous les actes relatifs à ma gestion et aux affaires qui s’y rattachent, sous réserve des restrictions expressément prévues par la réglementation. Elle est autorisée à agir en justice et effectuer des déclarations de créances. Article 2 : La décision du 2 septembre 2018 est abrogée. Article 3 : La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs du département.

A Nancy, le 1er juillet 2020, l’Administrateur Général des Finances publiques, Directeur départemental des Finances publiques de Meurthe et Moselle Dominique BABEAU

Arrêté portant délégation de signature en matière de gestion et d’évaluations domaniales

L’ADMINISTRATEUR GENERAL DES FINANCES PUBLIQUES, DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le code général de la propriété des personnes publiques, notamment ses articles D. 1212-25, D. 2318-8, D 3221-4, D. 3222-1 et D. 4111-9 ; VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et départements, modifié par le décret n°2010-146 du 16 février 2010 et par le décret du 24 juin 2010, notamment le 3° du I de l’article 33 ; VU le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 modifié relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques ; VU l’arrêté du 8 août 2017 relatif à l’organisation des missions d’évaluations domaniales ; VU le décret n° 2011-1612 du 22 novembre 2011 relatif aux première, deuxième, troisième et quatrième parties réglementaires du code générale de la propriété des personnes publiques ; VU le décret du 11 septembre 2017 portant nomination de Monsieur Dominique BABEAU administrateur général des finances publiques et l’affectant à la direction départementale des finances publiques de Meurthe-et-Moselle ; VU la décision du directeur général des finances publiques en date du 21 septembre 2017 fixant au 1 er janvier 2018 la date d’installation de Monsieur Dominique BABEAU dans les fonctions de directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle : A R R Ê T E Article 1 : Délégation de signature est donnée à Mme Patricia VILMAIN, administratrice des finances publiques, directrice du pôle gestion publique, dans les conditions et limites fixées par le présent arrêté, à l’effet d’émettre, au nom de l’administration, des avis d’évaluation domaniale, sans limitation de montant. Article 2 : Délégation de signature est donnée à M. Eric PIQUE, administrateur des finances publiques adjoint, responsable de la division des Domaines, dans les conditions et limites fixées par le présent arrêté, à l’effet d’émettre, au nom de l’administration, des avis d’évaluation domaniale, sans limitation de montant. Article 3 : Délégation de signature est donnée à Madame Nathalie SAULNIER, inspectrice divisionnaire des finances publiques, dans les conditions fixées par le présent arrêté, à l’effet d’émettre, au nom de l’administration, des avis d’évaluation n’excédant pas 1 500 000 euros pour les évaluations en valeur vénal et 300 000 euros pour les évaluations en valeur locative. Madame SAULNIER, peut signer les évaluations à destination des organismes sociaux sans limitation de montant. Article 4 : Délégation de signature est donnée à Mesdames Isabelle BURNEL et Catherine VIEUX MELCHIOR, inspectrices des finances publiques, et Messieurs Thierry BRAUN, Patrick KREMER, et Pierre-Lionel BARSACQ, inspecteurs des finances publiques, et Monsieur Laurent DARNE, contrôleur principal des finances publiques, dans les conditions et limites fixées par le présent arrêté, à l’effet d’émettre, au nom de l’administration, les avis d’évaluation domaniale n’excédant pas 500 000 euros pour les évaluations en valeur vénale et 50 000 euros pour les évaluations en valeur locative. Article 5 : Délégation de signature est donnée à Mme Patricia VILMAIN, administratrice des finances publiques, directrice du pôle gestion publique, Monsieur Eric PIQUE, administrateur des finances publiques adjoint, Monsieur Julian MESSIER, inspecteur principal des finances publiques, et Madame Nathalie SAULNIER, inspectrice divisionnaire des finances publiques, dans les conditions fixées par le présent arrêté, à l’effet de : 1- fixer l’assiette et liquider les conditions financières des opérations de gestion et d’aliénation des biens de l’État ; 2 – suivre les instances relatives à l’assiette et au recouvrement des produits et redevances domaniaux ainsi qu’au recouvrement de toutes sommes quelconques dont la perception incombe au comptable chargé des produits domaniaux (articles R. 2331-5, R. 2331-6 et 3° de l’article R. 2331-1 du code général de la propriété des personnes publiques). Article 6 : La délégation visée à l’article 4-2 est également confiée à Madame Émilie JAUBERT, inspectrice des finances publiques. Article 7 : Les délégations de signature conférées aux articles 1 et 2 à Mme Patricia VILMAIN, administratrice des finances publiques, directrice du pôle gestion publique et à M. Eric PIQUE, administrateur des finances publiques adjoint, responsable de la division des Domaines, seront exercées, en cas d’absence ou d’empêchement de ces derniers, par Madame Nathalie SAULNIER, inspectrice divisionnaire des finances publiques ou par Monsieur Julian MESSIER, inspecteur principal des finances publiques. Article 8 : Le présent arrêté abroge l’arrêté du 31 octobre 2019. Article 9 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du département et affiché dans les locaux de la direction départementale des finances publiques de Meurthe-et-Moselle.

A Nancy, le 1er juillet 2020, l’Administrateur Général des Finances publiques, Directeur départemental des Finances publiques de Meurthe et Moselle Dominique BABEAU

DIRECCTE GRAND EST L’UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE SERVICE INSERTION/DÉVELOPPEMENT DE L’EMPLOI

Arrêté 2020-04 portant affectation des agents de contrôle dans les unités de contrôle et gestion des intérims

LE DIRECTEUR REGIONAL ADJOINT DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI GRAND EST, RESPONSABLE DE L’UNITE DEPARTEMENTALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU le code du travail, notamment ses articles R. 8122-3 et suivants ; VU le décret n° 2014-359 du 20 mars 2014 relatif à l’organisation du système d’inspection du travail ; VU le décret n° 2003-770 du 20 août 2003 portant statut particulier du corps de l’inspection du travail ; VU le décret n° 2009-1377 du 10 novembre 2009 relatif à l’organisation et aux missions des directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi ; VU l’arrêté ministériel du 26 mai 2014 portant création et répartition des unités de contrôle de l'inspection du travail ; RECUEIL N° 51 19 3 juillet 2020

VU l’arrêté interministériel du 24 juin 2014 portant dérogation à la création dans chaque département d’une section d’inspection du travail compétente dans les exploitations, entreprises et établissements agricoles ; VU l’arrêté interministériel du 18 avril 2019 portant nomination de Madame Isabelle NOTTER sur l’emploi de directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi Grand Est ; VU l’arrêté 2019/67 du 20 décembre 2019 de Madame la Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi Grand Est portant subdélégation de signature dans le cadre des attributions et compétences générales à Monsieur François MERLE, directeur régional adjoint des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi Grand Est, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté n°2019/17 du 27 décembre 2019 de Monsieur François MERLE, Directeur régional adjoint des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Grand Est, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle, portant subdélégation de signature en matière d’actions d’inspection de la législation du travail ; VU l’arrêté n° 2018-57 du 17 décembre 2018 de Madame la Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Grand Est portant localisation et délimitation des unités de contrôle et des sections d’inspection du travail de la région Grand Est ; VU l’arrêté n° 2018-62 du 17 décembre 2018 de Madame la Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Grand Est portant localisation et délimitation des unités de contrôle et des sections d'inspection du travail du département de la MEURTHE-ET-MOSELLE ;

A R R E T E Article 1 : Les inspecteurs et contrôleurs du travail dont les noms suivent sont chargés des actions d’inspection de la législation du travail dans les entreprises relevant des sections d’inspection du travail composant les unités de contrôle du département. Unité de contrôle Ouest Responsable de l’unité de contrôle : Monsieur Patrick OSTER, Directeur Adjoint du Travail 1ère section : Madame Valérie VIRIOT, Inspectrice du Travail, par intérim ;

2ème section : Monsieur Pascal BRENON, Inspecteur du Travail ;

3ème section : Monsieur Philippe ADAM, Inspecteur du Travail ; 4ème section : Monsieur Julien MATHIEU, Inspecteur du Travail ; 5ème section : Monsieur Jean-Philippe GABOURY, Inspecteur du Travail, par intérim ; 6ème section : Madame Céline MARTINO, Inspectrice du Travail ; 7ème section : Madame Valérie VIRIOT, Inspectrice du Travail ; 8ème section : Monsieur Marc CORCHAND, Inspecteur du Travail ; 9ème section : Monsieur Jean-Philippe GABOURY, Inspecteur du Travail ; 10ème section : Monsieur Arnaud ALVES DOS SANTOS, Inspecteur du Travail ; Unité de contrôle Est Responsable de l'unité de contrôle : Monsieur Mickaël MAROT, Directeur Adjoint du Travail 12ème section : Madame Isabelle GOBE, Inspectrice du Travail ; 13ème section : Monsieur Arnaud TRAPP, Inspecteur du Travail ; 14ème section : Madame Valérie VERBEKE, Inspectrice du Travail ; 15ème section : Monsieur Jean-Philippe LE DAIN, Inspecteur du Travail ; 16ème section : Madame Clotilde PELTIER, Inspectrice du Travail ; 17ème section : Madame Sylvie TEDESCO, Inspectrice du Travail ; 18ème section : Monsieur Jean-Michel ALCARAZ, Inspecteur du Travail ; 19ème section : Madame Diane LEPAGE, Inspectrice du Travail ; 20ème section : Monsieur Jean-Marie HIRTZ, Inspecteur du Travail ; Article 2 : En cas d’absence ou d’empêchement d’un ou plusieurs agents de contrôle désignés à l’article 1 ci-dessus, l’intérim est organisé selon les modalités ci-après : Intérim des inspecteurs du travail : Unité de contrôle OUEST (1) : 1ère section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 1ère section est assuré par l’inspectrice du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8 ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9 ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section. 2ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 2ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8 ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section. 3ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 3ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section. 4ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 4ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 5ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1 ère section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section 5ème section d’inspection du travail : RECUEIL N° 51 20 3 juillet 2020

L’intérim de l’inspecteur du travail de la 5ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 9ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section 6ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 6ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section, ou en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10 section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4 ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5ème section 7ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 7ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 2ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section, ou en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10 section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section ou, en cas d’absence ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5 ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section 8ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 8ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 9ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5 ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section. 9ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 9ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 10ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6 ème section, en cas d’absence ou d’empêchement la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section. 10ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 10ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 9ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6 ème section , en cas d’absence ou d’empêchement la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section. En cas d'absence ou d'empêchement simultané de tous les inspecteurs du travail affectés au sein de l'unité de contrôle faisant obstacle à ce que l'intérim soit assuré selon les modalités fixées ci-dessus, l'intérim est assuré par l'inspecteur du travail de la 12 ème section de l’Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13ème section de l’Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14 ème section de l’Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16 ème section de l'Unité de contrôle EST (2) , et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17 ème section de l’Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18 ème section de l’Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19 ème section de l'Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section de l’Unité de contrôle EST (2). 1. Du 1er juillet au 2020 au 15 septembre 2020, l’intérim de la 1ère section d’inspection du travail est assuré par madame Valérie VIRIOT, Inspectrice du travail ; 2. Du 1er juillet au 2020 au 15 septembre 2020, l’intérim de la 5ème section d’inspection du travail est assurée par monsieur Jean Philippe GABOURY, Inspecteur du travail ; Unité de contrôle EST (2) : 12ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 12ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 13ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section, par l’inspecteur du travail de la 14ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17ème section. 13ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 13ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 12ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14ème section, par l’inspecteur du travail de la 15ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section. 14ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 14ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 17ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 12 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier , par l’inspecteur du travail de la 16ème section en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18ème section. RECUEIL N° 51 21 3 juillet 2020

15ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 15ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 16ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 12 ème section. ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13ème section, par l’inspecteur du travail de la 18ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19ème section. 16ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 16ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 18ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 12 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17ème section, par l’inspecteur du travail de la 19ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section. 17ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 17ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 14ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16ème section, par l’inspecteur du travail de la 12ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14ème section. 18ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 18ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 15ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 12ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19ème section, par l’inspecteur du travail de la 14ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17ème section. 19ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 19ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 20ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15ème section, par l’inspecteur du travail de la 12ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16ème section. 20ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 20ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 19ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 12ème section, par l’inspecteur du travail de la 17ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18ème section. En cas d'absence ou d'empêchement simultané de tous les inspecteurs du travail affectés au sein de l'unité de contrôle faisant obstacle à ce que l'intérim soit assuré selon les modalités fixées ci-dessus, l'intérim est assuré par l’inspecteur du travail de la 1 ère section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l'inspecteur du travail de la 2 ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l'inspecteur du travail de la 3ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l'inspecteur du travail de la 4ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1), en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l'inspecteur du travail de la 5ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) , en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l'inspecteur du travail de la 6ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7 ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section de l’Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9 ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1). Article 3 : Le contrôle de la maison de retraite Saint-Joseph, sise 113, avenue de Strasbourg à Nancy, est exercé par l’inspectrice du travail de la 19ème section. Article 4 : En cas d’absence ou d’empêchement simultané de tous les inspecteurs du travail faisant obstacle à ce que l’intérim soit assuré selon les modalités fixées aux articles 2 et 3, et en l’absence de tout inspecteur du travail présent dans l’unité départementale, l’intérim est assuré pour l’UC OUEST par Monsieur Patrick OSTER, directeur adjoint du travail, et pour l’UC EST par Monsieur Mickaël MAROT, directeur adjoint du travail. Article 5 : Conformément aux dispositions de l'article R. 8122-10 du code du travail, les agents mentionnés à l'article 1 participent, lorsque l'action le rend nécessaire, aux actions d'inspection de la législation du travail sur le territoire de l'unité départementale à laquelle est rattachée l'unité de contrôle où ils sont affectés. Article 6 : La présente décision annule et remplace la décision en date du 28 février 2020 prise par Monsieur François MERLE, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle. Article 7 : Le directeur régional adjoint des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Grand Est, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle, est chargé de l’exécution de la présente décision qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle.

Fait à Vandœuvre-lès-Nancy, le 30 juin 2020 Le directeur régional adjoint de la DIRECCTE, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle, François MERLE

DIRECTION INTERDÉPARTEMENTALE DES ROUTES – EST

Arrêté préfectoral N° 2020-DIR-Est-M-54-079 portant arrêté particulier pour la réglementation de la circulation au droit d'un « chantier non courant » sur le réseau routier national, hors agglomération, relatif aux travaux de comblement d’une buse située sous la RN52, au PR 9+453

LE PRÉFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU le code de la voirie routière ; VU le code de la route ; VU le code de justice administrative ; VU le code pénal ; RECUEIL N° 51 22 3 juillet 2020

VU le code de procédure pénale ; VU la loi N° 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions, modifiée par la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales ; VU le décret N° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié par le décret N° 2010-146 du 16 février 2010, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’État dans les régions et les départements ; VU le décret du Président de la République en date du 8 décembre 2017 nommant Monsieur Eric FREYSSELINARD préfet de Meurthe-et- Moselle ; VU l'arrêté du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation des routes et autoroutes et l'ensemble des arrêtés modificatifs, ainsi que l’instruction interministérielle sur la signalisation routière approuvée par l'arrêté du 7 juin 1977 et l'ensemble des textes d'application (guides techniques spécifiques) ; VU l’arrêté SGARE N° 2018-433 du 28 août 2018 du Préfet coordonnateur des itinéraires routiers – Est portant organisation de la direction interdépartementale des routes Est ; VU l'arrêté préfectoral de délégation de signature N° 19.BCI.12 du 12 juillet 2019, accordant délégation de signature à Monsieur Erwan LE BRIS, directeur interdépartemental des routes-Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté de la DIR-Est N° 2020/DIR-Est/DIR/SG/BAJ/54-02 du 1er mars 2020 portant subdélégation de signature par Monsieur Erwan LE BRIS, directeur interdépartemental des routes-Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté préfectoral du 19 décembre 2017 concernant les chantiers courants et réglementant la mise en œuvre des chantiers exécutés sur les réseaux autoroutiers et routiers nationaux non concédés ; VU la note technique du 14 avril 2016 relative à la coordination des chantiers sur le réseau routier national ; VU le dossier d'exploitation en date du 04/06/2020 présenté par la société Diadès ; VU l'avis du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle en date du 25/05/2020 ; VU l’avis de la commune de Villers-la-Montagne en date du 28/05/2020 ; VU l'avis du CISGT « Myrabel » en date du 09/06/2020 ; VU l'avis du district de Metz en date du 04/06/2020 ; CONSIDÉRANT qu’il importe d’assurer la sécurité des usagers de la voie publique ainsi que celle des agents de la Direction Interdépartementale des Routes - Est, des concessionnaires ou opérateurs occupant le réseau routier national hors agglomération et des entreprises chargées de l’exécution des travaux, et de réduire autant que possible les entraves à la circulation, en réglementant la circulation à l'occasion du chantier particulier évoqué dans le présent arrêté ; A R R E T E Article 1 : Le présent arrêté annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2020-DIR-Est-M-54-072 en date du 22 juin 2020. Le présent arrêté particulier s’applique au chantier engagé et exécuté sur le réseau routier national dans les conditions définies à l'article 2. Il réglemente la circulation aux abords de ce chantier et définit les mesures de restrictions qui seront mises en œuvre et signalées conformément à la réglementation en vigueur. Il détermine également les mesures d'information des usagers qui devront être appliquées. Article 2 : Un chantier particulier est engagé dans les conditions suivantes : VOIE RN52 POINTS REPÈRES (PR) Du PR 7+810 au PR 10+200 SENS Sens Metz - Belgique (sens 1) et Belgique - Metz (sens 2) SECTION Section courante à 2x2 voies NATURE DES TRAVAUX Travaux de comblement de la buse N52-075-1 PÉRIODE GLOBALE Du 15 juin au 3 juillet 2020

- Neutralisations de voies ; SYSTÈME D'EXPLOITATION - Fermetures de bretelles avec mise en place de déviations.

A LA CHARGE DE : MISE EN PLACE PAR : SIGNALISATION - DIR-Est – district de Metz - CEI de Villers-la-Montagne TEMPORAIRE - Entreprise Est Ouvrages - Entreprise Est Ouvrages Article 3 : Les travaux seront réalisés conformément au plan de phasage ci-dessous : N° Date/Heure PR et SENS SYSTÈMES D'EXPLOITATION RESTRICTIONS DE CIRCULATION 1 Le 15 juin 2020 RN52 sens 1 : Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; de 9h00 AK5 PR 7+810 - Interdiction de dépasser pour tous les à 15h30 B31 PR 9+800 véhicules.

2 Du 15 juin 2020 RN52 sens 1 : Fermeture de la bretelle d’accès à la RN52 enDéviations : à 9h00 PR 9+310 direction de la Belgique de l’échangeur avec la RD26b Les usagers de la RD26b en provenance de la au 3 juillet 2020 ZI de Villers-la-Montagne souhaitant emprunter à 15h00 la RN52 en direction de la Belgique emprunteront la RN52 en direction de Metz jusqu’à l’échangeur de où ils feront demi-tour via la RD125 pour reprendre la RN52 en direction de la Belgique.

Les usagers de la RD26b en provenance de Villers-la-Montagne souhaitant emprunter la RN52 en direction de la Belgique continueront sur la RD26b (route d’Hussigny) puis emprunteront la RD26e (avenue Jean-Monet) pour accéder à la RN52 au droit de l’échangeur de Tiercelet.

3 Du 24 juin 2020 RN52 sens 1 : Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; à 6h00 AK5 PR 7+810 - Interdiction de dépasser pour tous les au 26 juin 2020 B31 PR 9+800 véhicules. à 15h00 RECUEIL N° 51 23 3 juillet 2020

4 Du 2 juillet 2020 RN52 sens 1 : Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; à 9h00 AK5 PR 7+810 - Interdiction de dépasser pour tous les au 3 juillet 2020 B31 PR 9+800 véhicules. à 15h00

Article 4 : En cas d'intempéries ou de problèmes techniques, les travaux prévus à l'article 2 sont susceptibles d'être reportés du nombre de jours d'intempéries ou nécessaires à la résolution des problèmes techniques. Ces dispositions sont aussi applicables au phasage des travaux de l'article 3. Les dispositions d'exploitation de la circulation cesseront à la fin effective des travaux concrétisée par la levée de la signalisation. Article 5 : Ce chantier fera l'objet des mesures de publicité et d'information du public suivantes : 1. publication et/ou affichage du présent arrêté au sein de la commune de Villers-la-Montagne ; 2. affichage à chaque extrémité de la zone des travaux ; 3. mise en place de la signalisation de police conforme aux instructions contenues dans le présent arrêté. Article 6 : La signalisation du chantier sera conforme à l’arrêté interministériel du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation des routes et des autoroutes et ses arrêtés modificatifs, à l’instruction interministérielle sur la signalisation routière approuvée par l'arrêté du 7 juin 1977, et aux Manuels de Chef de Chantier (routes bidirectionnelles ou routes à chaussées séparées selon les cas) et guides thématiques spécifiques (SETRA, CERTU). La signalisation du chantier sera mise en place conformément aux mentions figurant sous l'article 2 du présent arrêté. Article 7 : Pendant les périodes d’inactivité des chantiers, notamment de nuit et les jours non ouvrables, les signaux en place seront déposés quand les motifs ayant conduit à les implanter auront disparu (présence de personnel, d’engins ou d’obstacles). Article 8 : Toute contravention au présent arrêté sera constatée et poursuivie conformément aux lois et règlements en vigueur. Article 9 : Les dispositions du présent arrêté prennent effet le jour de la signature du présent arrêté et prendront fin conformément aux dispositions des articles 3 et 4 ci-dessus et en tout état de cause pas avant la fin effective des travaux concrétisée par la levée de la signalisation. Article 10 : Le secrétaire général de la préfecture de Meurthe et Moselle, le directeur interdépartemental des routes – Est, le commandant du groupement départemental de gendarmerie de Meurthe et Moselle, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Une copie sera adressée pour affichage à monsieur le Maire de la commune de Villers-la-Montagne, Une copie sera adressée pour information au : - Général du Commandement de la Région Militaire Terre Nord-Est, - Directeur Départemental des Territoires (DDT) de Meurthe-et-Moselle, - Président du Conseil Départemental de Meurthe-et-Moselle, - Directeur Départemental des Services d’Incendie et de Secours (SDIS) de Meurthe-et-Moselle, - Directeur Départemental du Service d'Aide Médicale Urgente (SAMU) de Meurthe-et-Moselle, - Directeur de l'hôpital de Nancy responsable du SMUR, - Directeur de la société EST-OUVRAGES, - Responsable de la cellule juridique de la DIR-Est.

Moulins-lès-Metz, le 1er juillet 2020 Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, L’adjoint au chef de la division d'exploitation de Metz, Christophe TEJEDO

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES SERVICE AGRICULTURE – FORÊT – CHASSE Unité Aides Directes - Structures

Décision 2020/DDT54/AFC-AD-S/n° 418, du 29 juin 2020, portant agrément du Groupement Agricole d’Exploitation en Commun – GAEC DE FONTENAIS à CHAMPENOUX – N° agrément 54-20-003-

LE PRÉFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU le code rural et de la pêche maritime et notamment les articles D 323-31-1, L 323-2 , L 323-7, L 323-11, L 323-12, L 323-13, R 323-7-1 et R 323-8 à R 323-51 ; VU la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt n° 2014-1170 du 13 octobre 2014 ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l’État dans les régions et départements ; VU le décret n° 2006-665 du 07 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la composition de diverses commissions administratives ; VU le décret n° 2006-672 du 08 juin 2006 relatif à la création, à la composition et au fonctionnement des commissions administratives à caractère consultatif ; VU le décret n° 2014-1515 du 15 décembre 2014 relatif aux conditions d’accès des groupements agricoles d’exploitation en commun totaux aux aides de la politique agricole commune ; VU le décret n° 2015-215 du 25 février 2015 relatif aux conditions et modalités d’agrément des groupements agricoles d’exploitation en commun et portant diverses dispositions d’adaptation réglementaire ; VU le décret n° 2015-216 du 25 février 2015 relatif à l’agrément en tant que groupement agricole d’exploitation en commun ; VU le décret du président de la République en date du 08 décembre 2017 nommant M. Eric FREYSSELINARD, préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté du 24 mars 2015 portant approbation des statuts types des groupements agricoles en commun et relatif au modèle de note constituant le dossier de demande d’agrément ; VU l’arrêté préfectoral 05 mars 2015 fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, formation spécialisée des groupements agricoles d’exploitation en commun (GAEC) ; VU l’arrêté préfectoral 07 novembre 2019 accordant délégation de signature à M. Yann DACQUAY, directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 05 mars 2020 portant subdélégation de signature à M. Fabrice MICHEL, chef du service "Agriculture - Forêt - Chasse" ; VU la demande d’agrément déposée le 02 avril 2020 par M. et Mme MOREL Thibault et Carole ; VU l’avis de la CDOA - formation spécialisée des groupements agricoles d’exploitation en commun (GAEC) du 25 juin 2020 ; CONSIDERANT que ce GAEC correspond bien par son objet et ses statuts aux dispositions législatives et réglementaires sur les GAEC ; SUR proposition du directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle ; D E C I D E Article 1 : L’agrément du groupement agricole d’exploitation en commun : GAEC DE FONTENAIS dont le siège social se situe à : 48 rue d’Amance – 54280 CHAMPENOUX composé de 2 membres associés ayant le statut de chef d’exploitation est accordé en tant que GAEC total à compter de la présente décision sous le numéro 54-20-003 RECUEIL N° 51 24 3 juillet 2020

Article 2 : Sous réserve de confirmation par les statuts définitifs du GAEC, le principe de transparence s'applique comme suit : - Transparence article R.323-53 nouveau du code rural et de la pêche maritime : 2 - Transparence article R.323-52 nouveau du code rural et de la pêche maritime : 2455 parts sociales réparties :  M. Thibault MOREL : 1067 parts sociales, soit 43,46 %  Mme Carole MOREL : 1388 parts sociales, soit 56,54 % Article 3 : Tout changement intervenant dans le fonctionnement du GAEC (modifications statutaires nécessitant une mise à jour des statuts, modification dans la répartition des parts sociales entre associés) devra être porté à la connaissance du préfet dans le mois qui suit sa mise en œuvre. Article 4 : Les activités extérieures, à titre accessoire, ne sont possibles que sur dérogation du préfet de Meurthe-et-Moselle, délivrée après examen de la demande individuelle motivée et justifiée adressée préalablement par le ou les associé(s) concerné(s) du groupement. Ainsi, le ou les associé(s) concerné(s) souhaitant exercer une activité à l’extérieur du groupement devra(ont) introduire une demande de dérogation auprès de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle dans le respect des dispositions réglementaires en vigueur et notamment celles mentionnées aux articles L 323.7, R 323.31, D 323.31, R 323.31.2 du CRPM. L’exercice d’une activité extérieure du groupement qui serait réalisée par l’un ou plusieurs des associés du GAEC sans avoir, au préalable introduit une demande de dérogation auprès de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle dans les conditions réglementaires requises, ni obtenu une dérogation du préfet autorisant la dite activité est de nature à faire encourir au GAEC le retrait de son agrément. Article 5 : Maintien exceptionnel de l’agrément. Dans les situations où les conditions de fonctionnement ne sont plus conformes aux textes réglementaires et législatifs en vigueur permettant à la société d’être regardée comme groupement agricoles d’exploitations en commun, il appartient aux associés d’en informer immédiatement la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle. Une demande de dérogation devra être introduite auprès de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle dans le mois qui suit la survenance de l’évènement rendant le fonctionnement du GAEC non conforme. Après examen, une éventuelle dérogation portant maintien de l’agrément pourra être prononcée. La décision de dérogation mentionnera la durée de maintien de l’agrément dont la période commence à courir à compter de la survenance de l’évènement rendant le fonctionnement du GAEC non conforme. Article 6 : Le respect par les associés des critères d’agrément du GAEC, notamment leur travail effectif et permanent au sein du GAEC fait l’objet de contrôles réalisés par la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle. Dans ce cadre, il pourra être demandé aux associés du GAEC de fournir différentes pièces permettant la vérification du respect des critères d’agrément. La non-fourniture des pièces demandées est susceptible d’entraîner le retrait de l’agrément. Dans les situations de constat de non-respect des critères d’agrément, cela peut conduire à la perte de la transparence ou au retrait de l’agrément. Article 7 : Le GAEC peut exercer un recours administratif auprès du ministre chargé de l’agriculture dans le délai de deux mois suivant la notification de la décision préfectorale. Dans un délai de deux mois à compter de la réponse ou du rejet implicite du ministre chargé de l’agriculture, il peut exercer un recours contentieux devant le tribunal administratif de Nancy. "Le Tribunal Administratif peut être saisi par l'application informatique "Télérecours Citoyens" accessible par le site Internet www.telerecours.fr". Article 8 :La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs et informations officielles de la préfecture de Meurthe et Moselle.

A Nancy, le 29 juin 2020 Le préfet Pour le préfet et par délégation Pour le directeur départemental L'adjointe au chef du service Agriculture – Forêt – Chasse Catherine NICOLEY

AUTRES SERVICES

DIRECTION DE L’ADMINISTRATION PENITENTIAIRE CENTRE PENITENTIAIRE NANCY-MAXEVILLE

Décision portant habilitation relative au traitement des moyens de communication en détention et au contrôle des communications et aux fouilles des équipements informatiques et téléphones portables.

LE CHEF D'ETABLISSEMENT DU CENTRE PENITENTIAIRE DE NANCY-MAXEVILLE, par délégation du Ministère de la Justice, VU la loi n° 2017-258 du 28 février 2017 relative à la sécurité publique ; VU le Décret n° 2017-750 du 03 mai 2017 relatif à la mise en œuvre de techniques de renseignement par l'administration pénitentiaire pris pour l'application de l'article 727-1 du Code de Procédure Pénale ; VU l'article 727-1 du Code de Procédure Pénale ; VU la circulaire NOR JUSD1713833C n° CRIM/2017-10/H3 du 05 mai 2017 relative au traitement des moyens de communication en détention ; VU la circulaire DAP du 11 mai 2017 relative au nouveau régime juridique applicable au contrôle des communications et aux fouilles des équipements informatiques et téléphones portables. D E C I D E Article 1 : - Officiers 1. M. CHEREAU Olivier 5. M. BONIN Alain 9. M. ROBET Philippe 6. Mme GRANDPIERRE 10. M. BONIFACE Julien 2. M. LEFKOUNE Jean- Solène 11. Mme MOUREY Marine Philippe 7. M. LEFEBVRE Fabien 3. Mme LOCATELLI Edith 8. M. MARX Jean-Claude 4. M. MATHE Armand - Majors et premiers surveillants • M. ALBRECHT Philippe • M. GEORGEL Fabien • Mme MUTZ Fabienne • M. BERCHI Jabrane • M. GERMANN Lionel • M. PARISOT Nicolas • Mme BIENTZ Ghislaine • Mme GERMANN Sabine • M. PELLICORI François • M. BLATTMANN Fabien • Mme GRANIER Sylvie • M. PIERSON Robert • M. BOULE Brice • M. GRUNENWALD Grégory • M. RAKOTOMANGA Henri • M. CANCE Matthieu • Mme HEBERLE Emmanuelle • M. ROBICHON Steve • Mme CAYETANO Jennifer • Mme JACQUIN Anne-Lise • M. ROUHILA Salah • Mme CESARI Corinne • M. JASNIEWSKI Nicolas • M. ROUSSY Jean-Claude • M. CHEVROT Franck • Mme JOURON Stéphanie • Mme THOMAS Barbara • M. CLAUDE Francis • Mme KROUMA Mauranne • M. VENET Hervé • M. COLIN Alexandre • M. LEMARQUIS Michael • M. VIAL Mickaël RECUEIL N° 51 25 3 juillet 2020

• M. COLSON Stéphane • M. LOCATELLI Yann • M. CRETON Rémi • M. MARTEL Christophe • M. DELTOUR Franck - Surveillants et surveillants brigadiers • M. AHAMADI Dhoulyadaini • M. GASS Jean-Charles • M. MEYER Christopher • M. AINOC Alyssa • M. GEORGES Robin • M. MICLO Aurélien • M. AIT AMEUR Brahim • M. GIRARD Sylvain • Mme NAUDIN Caroline • M. ANTOINE Franck • M. GLATT Kévin • Mme NASSE Alexia • M. BARANOWSKI Stéphane • M. GROSS Thomas • M. NEYRET Benoît • M. BERTEAUX Thomas • M. GUIRSCH Arthur • M. NOCILLA Patrick • M. BIGEL Loïc • M. HAAG Christophe • M. PADRE Johnatan • M. BITAT Nouar • M. HOUILLON Richard • M. PECCATTE Jean-François • M. BOUKIDAR Brahim • Mme HUGUENIN Nathalie • M. PETITGENET Pierre- Alexandre • M. BOUSSAHA Mohammed • M. IMCHAL Naguib • M. BOUSSOUS Azzouz • M. JALMA Gérard • M. PIZZORNO Paul • M. BRAHMI Ali • M. JOSEPH Junior • M. RAFIN Thierry • M. CHRISTOPHE Eddy • Mme KELPIN Karine • M. RICHALET Stéphane • M. CLAUDON Sébastien • M. KRIPPELER Sébastien • M. ROCHA Daniel • Mme CUNY Virginie • M. LAMBOUR Denis • M. ROSSI Philippe • M. DEPERLECQUE Loïc • Mme LAW-SEK Barbara • M. ROYER Alexandre • M. DERAM Tony • M. LEDUC Jacky • M. SALVETAT Jérôme • M. DESOUSA Patrick • M. LEVASSEUR William • M. SEDDYQY Mohamed • Mme DIDELOT Christelle • M. LOR Kim • M. TOURNIER Gérald • M. DJAGBO Antonio • M. LOTTE Stéphane • M. VIVIER Valérie • M. DO VALE Arthur • M. LUCAS Jérémy • M. VIDREQUIN Mickaël • M. EIFLER Cédric • M. MAGNIEZ Jérôme • M. WARIN Emmanuel • M. ERARD Kenny • M. MALKI Nordine • M. ZORN Olivier • Mme FRANA Jennifer • M. MARTIN Jean-Pierre • Mme FAUCHER Sandy • M. MELIN Cédric

Exerçant leurs fonctions au sein du Centre Pénitentiaire de NANCY-MAXEVILLE. - Techniciens de la CIRP STRASBOURG - M. EBERSOLD Yann, expert en investigation numérique - M. KAPELANCZYK Franck, technicien – support opérationnel - M. FARANDON Gérald, surveillant – support opérationnel Exerçant leurs fonctions au sein de la CIRP de STRASBOURG sont habilités à : intercepter, enregistrer, transcrire ou interrompre des correspondances de personnes détenues émises par la voie des communications électroniques et autorisées en détention, exception faite de celles avec leur avocat, et la conservation des données de connexion y afférent (le dispositif de téléphonie publique TELIO). Article 2 : La présente habilitation est valable du 1er Juillet 2020 au 1er Juillet 2021, renouvelable à son terme et mise à jour en fonction de la mobilité des personnels. Il peut être mis fin à la présente décision par le chef d'établissement en cas de manquements graves auxdispositions du Code de Procédure Pénale ou du Règlement Intérieur. Article 3 : Le chef d'établissement du Centre Pénitentiaire du NANCY-MAXEVILLE est chargé de l'exécution de la présente décision.

Fait à NANCY, le 1er Juillet 2020 LE DIRECTEUR, H. STAHL

Décision portant délégation permanente de signature

LE CHEF D’ETABLISSEMENT DU CENTRE PENITENTAIRE DE NANCY MAXEVILLE VU le décret n° 2010-1634 du 23/12/2010 modifiant le code de procédure pénale et relatif aux décisions prises par l'administration pénitentiaire. VU le décret n° 2013-368 du 30/04/2013 relatif aux règlements intérieurs types des établissements pénitentiaires. VU le code des relations entre le public et l'administration, entré en vigueur en 2016. VU le code de procédure pénale, notamment son article R57-6-24. D E C I D E Délégation permanente est donnée à : A rticle 1 : • M. MENSAH-ASSIAKOLEY Tété, Directeur des services pénitentiaires, adjoint au chef d’établissement • Mme DEBRIL Sophie, Directrice des services pénitentiaires • M. DESMULIE Laurent, Directeur des services pénitentiaires • M. SCHMITT François, Attaché d'administration • Mme MATHIEU Murielle, Attachée d'administration A rticle 2 : • M. CHEREAU Olivier, Capitaine pénitentiaire, Chef de détention • M. LEFKOUNE Jean-Philippe, Lieutenant pénitentiaire, adjoint au chef de détention • Mme LOCATELLI Edith, Commandant pénitentiaire, Responsable UHSI • M. MATHE Armand, Commandant pénitentiaire, Responsable de l’UHSA • M. BONIN Alain, Lieutenant pénitentiaire • Mme GRANDPIERRE Solenne, Lieutenant pénitentiaire • M. LEFEBVRE Fabien, Lieutement pénitentiaire • M. MARX Jean-Claude, Capitaine pénitentiaire • M. ROBET Philippe, Capitaine pénitentiaire • M. BONIFACE Julien, Stagiaire lieutenant • Mme MOUREY Marine, Stagiaire lieutenant A rticle 3 : • M. ALBRECHT Philippe, Premier surveillant • M. BERCHI Jabrane, Major • Mme BIENTZ Ghislaine, Première surveillante • M. BLATTMANN Fabien, Premier surveillant • M. BOULE Brice, Premier surveillant • M. CANCE Matthieu, Premier surveillant RECUEIL N° 51 26 3 juillet 2020

• Mme CAYETANO Jennifer, Première surveillante • Mme CESARI Corinne, Major pénitentiaire • M. CHEVROT Franck, Premier surveillant • M. CLAUDE Francis, Major pénitentiaire • M. COLIN Alexandre, Premier surveillant • M. COLSON Stéphane, Premier surveillant • M. CRETON Rémi, Premier surveillant • M. DELTOUR Franck, Premier surveillant • M. DOLLE Mickaël, Premier surveillant • M. GEORGEL Fabien, Premier surveillant • M. GERMANN Lionel, Premier surveillant • Mme GERMANN Sabine, Première surveillante • Mme GRANIER Sylvie, Première surveillante • M. GRUNENWALD Grégory, Premier surveillant • Mme HEBERLE Emmanuelle, Première surveillante • Mme JACQUIN Anne-Lise, Première surveillante • M. JASNIEWSKI Nicolas, Premier surveillant • Mme JOURON Stéphanie, Première surveillante • Mme KROUMA Mauranne, Première surveillante • M. LEMARQUIS Michael, Premier surveillant • M. LOCATELLI Yann, Premier surveillant • M. MARTEL Christophe, Premier surveillant • Mme MUTZ Fabienne, Première surveillante • M. PARISOT Nicolas, Premier surveillant • M. PELLICORI François, Premier surveillant • M. PIERSON Robert, Premier surveillant • M. RAKOTOMANGA Henri, Premier surveillant • M. ROBICHON Steve, Premier surveillant • M. ROUHILA Salah, Major • Mme THOMAS Barbara, Première surveillante • M. VENET Hervé, Premier surveillant • M. VIAL Mickaël, Premier surveillant aux fins de signer au nom du Directeur du Centre Pénitentiaire de NANCY-MAXEVILLE, toutes les décisions administratives individuelles visées dans le tableau ci-joint.

Fait à NANCY, le 1er Juillet 2020 LE DIRECTEUR H. STAHL

Le tableau annexé à cette décision est consultable au Centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville

RECTORAT DE NANCY-METZ DIVISION DES EXAMENS ET CONCOURS bureau des concours - DEC1

Arrêté portant sur le recrutement de deux adjoints administratifs

LE RECTEUR DE LA RÉGION ACADÉMIQUE GRAND EST, RECTEUR DE L’ACADÉMIE DE NANCY-METZ, CHANCELIER DES UNIVERSITES DE LORRAINE VU la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée relative aux droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ; VU le décret n°85-899 du 21 aout 1985 modifié relatif à la déconcentration de certaines opérations de gestion du personnel relevant du ministère de l’éducation nationale ; VU le décret 2004-1105 du 19 octobre 2004 relatif à l’ouverture des procédures de recrutement dans la fonction publique de l’État ; VU le décret n° 2005-902 du 2 août 2005 pris pour l’application de l’article 22 bis de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ; VU le décret n°2006-1760 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux dispositions statutaires communes applicables aux corps d’adjoints administratifs des administrations de l’État ; VU le décret 2008-1386 du 19 décembre 2008 portant dispositions transitoires relatives à la création du corps des adjoints administratifs de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur et modifiant le décret n°2005-1191 du 21 septembre 2005 modifié relatif à l’évaluation et à la notation de certains fonctionnaires du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche ; VU l’arrêté du 5 octobre 2005 modifié portant délégation de pouvoirs du ministre chargé de l’éducation nationale aux recteurs d’académie en matière de recrutement et de gestion de certains personnels stagiaires et titulaires des services déconcentrés relevant du ministre chargé de l’éducation nationale ; VU l’arrêté du 18 mai 2020 autorisant au titre de l’année 2020 l’ouverture de recrutements d’adjoints administratifs de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur par voie du parcours d’accès aux carrières de la fonction publique territoriale, hospitalière et de l'État (PACTE) et fixant le nombre et la répartition de postes offerts à ce recrutement. A R R E T E Article 1 : Est autorisée, au titre de l’année 2020, l’ouverture d’un recrutement d’adjoints administratifs de l’Education Nationale et de l’enseignement supérieur, par la voie du parcours d’accès aux carrières de la fonction publique territoriale, hospitalière et de l’État (PACTE). Article 2 : Le nombre de postes offerts est fixé à 2 (deux) pour l’académie de Nancy-Metz. Article 3 : Le PACTE est un contrat de droit public, d’une durée de 12 à 24 mois, qui alterne formation et activité professionnelle, et comporte une période d’essai de 2 mois. Son bénéficiaire a vocation à être titularisé au vu de son aptitude professionnelle et de son parcours de formation. Article 4 : Attributions Les adjoints administratifs sont chargés de fonctions administratives d’exécution comportant la connaissance et l’application de règlements administratifs ; ils peuvent également être chargés de fonctions d’accueil, de secrétariat ou de gestion dans un collège, un lycée ou dans un service déconcentré. Article 5 : Bénéficiaires Ce recrutement est ouvert aux jeunes gens âgés de vingt-huit ans au plus qui sont sortis du système éducatif sans diplôme ou sans qualification professionnelle reconnue et à ceux dont le niveau de qualification est inférieur au niveau IV (Baccalauréat). RECUEIL N° 51 27 3 juillet 2020

Peuvent également bénéficier de ce recrutement les personnes en situation de chômage de longue durée, âgées de quarante–cinq ans et plus et bénéficiaires : - du revenu de solidarité active, de l’allocation de solidarité spécifique ou de l’allocation aux adultes handicapées ; - ou du revenu minimum d’insertion ou de l’allocation de parent isolé dans les départements d’outre-mer et les collectivités de Saint- Barthélémy, Saint-Martin, et Saint-Pierre-et-Miquelon. Les candidats ou les candidates doivent impérativement remplir l'ensemble des conditions générales d'admission aux emplois publics, à savoir : - être de nationalité européenne ou d'un Etat membre de l'Union européenne ou partie à l'accord sur l'Espace économique européen (les candidats ou les candidates, en instance d’acquisition de l’une de ces nationalités, sont informé(e)s que celle-ci devra être obtenue au plus tard à la titularisation) ; - jouir de ses droits civiques ; ne pas avoir au bulletin n° 2 du casier judiciaire de mention incompatible avec l'exercice des fonctions ; - se trouver en position régulière au regard du service national ; - remplir les conditions d'aptitude physique exigées pour l'exercice des fonctions. Article 6 : Les candidats retirent et déposent leur dossier de candidature à l’agence locale du Pôle Emploi dont relève leur lieu de domicile. Le dossier de candidature comprend : - la fiche de candidature "dispositif PACTE", précisant notamment leur parcours antérieur de formation et, le cas échéant, leur expérience ; - un curriculum vitae et une lettre de motivation. La date limite de dépôt de candidature est fixée au 22 juillet 2020 (le cachet de la poste faisant foi). Tout renseignement peut être obtenu par mail auprès de Monsieur NIEDERLANDER [email protected], ou par courrier adressé à la DPAE 12 rue Philippe de Gueldres C.O. n° 30013 54035 NANCY CEDEX. Article 7 : Une commission académique auditionnera les candidats sélectionnés le 25 août 2020. Article 8 : La Secrétaire Générale de l’Académie est chargée de l’exécution du présent arrêté.

Fait à Nancy, le 30 juin 2020 Pour le recteur de l’académie Nancy-Metz la Secrétaire générale Marie-Laure JEANNIN 