plan local d’urbanisme intercommunal Communauté de communes du Pays de climat

éVOLUTION du climat Exposition aux risques climatiques

Les évolutions observées depuis Perspective 2050 Perspective 2080 les années 1950 (scénario intermédiaire) (scénario intermédiaire)

+2 ,6 °C par rapport à la période Nord-Pas de : +1,3 7°C +1,8 °C par rapport à la période 1971 –2000 Surfac e du globe: +0,69°C 1971 –2000 COMMUNES Des vagues de chaleur + fréquentes 3 et + intenses +14,4% de nombre de jours +6 ,5 % de nombre de jours FORTEMENT chauds (T °>30 °C ) par rapport à la +1 jour de fortes chaleurs par chauds (T °>30 °C ) par rapport à la pério de 1971 –2000 EXPOSÉES : déc ennie pério de 1971 –2000 +0,49 nuit chaude par déc ennie - Elnes - -1 à -5,5 jours de gel par -28 jours de gel par rapport à la -34jours de gel par rapport à la décennie pério de 1971 –2000 - pério de 1971 –2000

-15mm en été et -24 mm en -106mm en été et -30mm + 20 % de précipitations hiver en hiver hivernales +1,2 j o u r s de fortes +1,2 j o u r s de fortes + d e jours de fortes pluies précipitations précipitations par rapport à la période 1971 –2000 par rapport à la période 1971 –2000

+ 8 2 c m (extrême haut des +9,0 4 c m à Dunkerque + 25 cm hypothèses du GIE C ) Des communes MOYENNEMENT EXPOSÉES AUX RISQUES CLIMATIQUES (tempêtes, inondations, mouvements de terrain) Le changement climatique déjà visible dans notre région effets du changement climatique Les réponses face au changement Effet de serre climatique

ATTÉNUATION ADAPTATION Impacts sur les pratiques agricoles + - Réduire les émissions de gaz à effet - Agir contre la vulnérabilité aux Bouleversements du climat de serre risques naturels (retrait-gonflement des argiles et inondations) - Réduire les consommations énergétiques - Préserver et renforcer la biodiversité - Développer les énergies renouvelables - Adapter les pratiques agricoles - Préserver les puits de carbone : les - Gérer durablement les boisements espaces naturels, les prairies, les et les haies forêts, la capacité de séquestration du carbone des sols agricoles - Prévenir les effets d’îlots de chaleur urbains dans les projets Impacts sur les pratiques agricoles : - développer une économie circulaire d’aménagement

• Baisse du confort hydrique des c ultures • Ac c élération des cycles végétaux et perturbation de la pollinisation • Baisse du confort des animaux l’été Réduction • Augmentation de c ertains risques pathogènes des déchets à la source et développement du recyclage : marge EMISSIONS de GES du territoire de progrès importante pour Répartition 2013 des émissions de gaz à la CCPL effet de serre sur la CCPL (ancien périmètre) L’industrie représente 0% 0% 0% 4% 0% 3% 3/4 des émissions de 3% 8% 6% 1% Gaz à Effet de Serre de

75% la CCPL (bilan carbone 2013, ancien périmètre de la CCPL)

Procédés industriels Tertiaire Résidentiel Agriculture et pêche Transport de marchandises Déplacements de personnes Construction et voirie Fin de vie des déchets Des actions engagées dans le cadre de : Fabrication des futurs déchets Alimentation Industries de l'énergie Territoire à Energie Positive pour la Croissance CCPL Pays de Région Nord Verte (TEPCV) En comptant les émissions Saint-Omer Pas-de-Calais industrielles, 1 habitant de la CCPL émet 2 fois plus de GES Plan Climat Territorial du Pays de Saint-Omer qu’un audomarrois et 4 fois plus qu’un habitant de la région Nord - Pas de Calais 45.2 21.1 11.2 A formaliser dans un Plan Climat Air Energie Territorial TEQCO2/AN TEQCO2/AN TEQCO2/AN (PCAET) avant le 31 décembre 2018 plan local d’urbanisme intercommunal Communauté de communes du Pays de Lumbres énergies renouvelables et de récupération géothermie Méthanisation UN POTENTIEL GÉOTHERMIQUE TRÈS BASSE ÉNERGIE (11-13°C) UN GISEMENT IMPORTANT : 1er producteur de substrats de LIMITÉ méthanisation du Pays de Saint-Omer Distance maximale de collecte des substrats IAA, effluents Cibles : bâtiments neufs équipés de planchers ou murs chauffants d’élevage et boues de STEP Potentiel géothermie très basse énergie 140 GWH potentiel : - 68% agriculture - 29% élevage - 3% déchets des collectivités

solaire biomasse PHOTOVOLTAÏQUE : UN GISEMENT À EXPLOITER UNE FILIÈRE À STRUCTURER : 1er gisement potentiel du Pays

4,5 GWH Production des installations solaires existantes 52 GWH de potentiel Gisement brut bois-énergie d’électricité d’exploitation des massifs forestiers photovoltaïque produit

Une production de 866 KM de haies solaire thermique à bocagères encourager sur les bâtiments résidentiels

150 HA D’ESPACE EN FRICHES

2 M DE 43 943 Chauffages TOITURE non ombragée individuels ou réseau et hors périmètre de de chaleur contraintes patrimoniales Foyers fermés = rentabilité énergétique + qualité air préservée éolien Récupération de chaleur fatale PLUSIEURS ZONES DE DÉVELOPPEMENT POTENTIEL DU GRAND HOLCIM - SICAL : sources de chaleur fatale haute (combustion) et ÉOLIEN, notamment au nord et à l’est de la CCPL. basse température (compression/refroidissement) à valoriser L’opportunité de mettre en place un réseau de chaleur à étudier

8 ÉOLIENNES Zones accessibles aux développeurs éolien Potentiel de valorisation de la chaleur HOLCIM - SICAL = 16 MW INSTALLÉS + 3 PROJETS ACCORDÉS (7MW)

Equilibre à trouver avec les enjeux environnementaux et paysagers forts du territoire plan local d’urbanisme intercommunal Communauté de communes du pays de lumbres patrimoine naturel habitats et enjeux écologiques espaces protégés

HABITATS ÉCOLOGIQUES PROTECTIONS RÉGLEMENTAIRES, FONCIÈRES ET CONTRACTUELLES

GRANDE VARIÉTÉ D’HABITATS : 1 RÉSERVE NATURELLE NATIONALE : « Grotte et pelouses • Place prédominante des espaces d’Acquin-Westbécourt et coteaux de Wavrans-sur-l’ », 54 ha, gérée par agricoles : 77,8 % répartis de la sorte: le Conservatoire des Espaces Naturels du Nord-Pas de Calais - Cultures : 52,5 % - Part importante de prairies : 25,3 % 1 RÉSERVE NATURELLE RÉGIONALE : « Site des anciennes • Des espaces artificialisés : 9,2 % carrières de Cléty », 2 ha, gérée par le Conservatoire des Espaces Naturels • Des espaces boisés (12,5 %) au-dessus de la moyenne du Nord-Pas de Calais régionale (9 %), • Des milieux aquatiques (0,1 %), SITES NATURA 2000, 1 ESPACE NATUREL SENSIBLE, • Des pelouses et landes (0,4 %), 4 la Vallée de l’Aa,10 ha • Un linéaire de haies (866 km). 869 ha

ENJEUX ÉCOLOGIQUES MAJEURS OU FORTS 2 SITES CLASSÉS pour la préservation du patrimoine naturel et paysager : Gué d’Audenfort à et Eglise de Cormette à

ESPACES INVENTORIÉS

18,1 % du territoire identifiés en ENJEUX ÉCOLOGIQUES MAJEURS OU FORTS (16,6% à l’échelle régionale) • 5 732 HA EN ZNIEFF DE TYPE 1 • 21 064 HA EN ZNIEFF DE TYPE 2 Une multitude de sites à enjeux écologiques majeurs ou forts dispersés sur le territoire. 881 HA DE ZONES À DOMINANTE HUMIDE Principaux sites : Vallées, Montagne de Lumbres, coteaux identifiées par le SDAGE Artois-Picardie + inventaires calcaires, prairies humides, boisements. des SAGE de l’Audomarois, du Delta de l’Aa et de la Lys. plan local d’urbanisme intercommunal Communauté de communes du pays de lumbres patrimoine naturel

continuités écologiques des prairies aux multiples fonctions • Valorisation par l’agriculture (élevage), TRAME VERTE ET BLEUE (ISSUE DU SCHÉMA DE TVB DU PAYS DE ST-OMER) • Habitat favorable à de multiples espèces, • Lutte contre les ruissellements et l’érosion des sols (rétention naturelle), • Epuration des eaux, • Qualité paysagère, • Puits de carbone.

HIÉRARCHISATION DES PRAIRIES (PNRCMO)

Enjeux liés aux Hiérarchisation des prairies sur le territoire de la Communauté de Communes du Pays de Lumbres prairies

Prioritaire

Important

Intermédiaire

Deux types d’enjeux : Source : BD TOPO – • PRÉSERVATION DES COEURS DE BIODIVERSITÉ IGN – PNRCMO 2015 • PRÉSERVATION ET DÉVELOPPEMENT DES CORRIDORS ÉCOLOGIQUES

FACTEURS DE PRESSION importants sur la biodiversité : Hiérarchisation des prairies effectuée par le PNRCMO • Fragmentation par les infrastructures, sur l’ensemble du territoire suivant 3 niveaux : • Des points de conflits le long des corridors aquatiques, prioritaire, important et intermédiaire • Artificialisation/étalement urbain.

MÉTHODE D’IDENTIFICATION DES CONTINUITÉS la trame verte et bleue en action OUTILS : • Schéma Régional de Cohérence Ecologique-Trame Verte et MULTIPLES ACTEURS ET OPPORTUNITÉS : Bleue Nord-Pas de Calais, Région, PNRCMO, Etablissement Public Foncier, Syndicats • Charte et inventaires du PNRCMO, d’Aménagement et de Gestion des Eaux, Agence de l’Eau Artois- • Schéma de Trame Verte et Bleue du Pays de St-Omer. Picardie, Département, Pays de Saint-Omer, Conservatoire des Espaces Naturels ... CONTINUITÉS PRÉCISÉES EN FONCTION DU CONTEXTE LOCAL VIA :

EXEMPLE DE TRADUCTION

EFFACEMENT D’UNE PISCICULTURE ET RESTAURATION D’UNE ZONE HUMIDE À D’UN BARRAGE À AUDENFORT CLERQUES

PARC NATUREL RÉGIONAL DES CAPS ET MARAIS D’OPALE

Aménagements paysagers et écologiques des abords de la 1 Barrière d’entrée du site 7 Verger de hautes tiges ferme thérapeutique de ZUDAUSQUES 2 Carrés potagers 8 Mare

3 4 Gîtes à insectes 9 Tas de pierre Sur ce terrain communal d’environ un hectare, la commune de Zudausques a souhaité créer 5 Kiosque en torchis 10 11 Accès du talus un espace dédié à la nature. Ce site est à la fois un lieu de promenade et de détente pour les habitants et les 6 Tas de bois mort Panneaux d’informations

visiteurs de notre village et un lieu de sensibilisation et de pédagogie pour la Sentier piéton découverte de notre patrimoine local (barrière de pays, kiosque en torchis, biodiversité, arbres fruitiers…).

Réalisé en partenariat avec le Parc naturel régional des Caps et Marais d’Opale, il s’inscrit dans la mise en œuvre d’une trame verte et bleue qui facilite la circulation des espèces animales et végétales et concourt ainsi à leur survie.

En parcourant ce site, vous pourrez apprécier la diversité 9 de notre faune et de notre flore locales, mise en valeur sur les panneaux d’informations. Vous pouvez 7 4 reproduire ces aménagements chez vous.

Pour vous y aider, consultez notre guide « Gestes 8 10 natures » téléchargeable sur le site du Parc 6 (www.parc-opale.fr) rubrique bibliothèque.

PARC NATUREL RÉGIONAL DES CAPS ET MARAIS D’OPALE

PARC NATUREL RÉGIONAL DES CAPS ET MARAIS D’OPALE

en Caps et Marais d’Opale

... égétal... Spirale à her elle ur v bes aroma natur M tiques... Mare RÈGLEMENT

T d... ont n tetar dins 5 e différ Arbre e s jar enciée... ns no e da tur la na Pour mettre de Ne pas jeter ses déchets. Même ceux dits « bio-dégradables ». 2

Ne pas prélever de plantes. Kokot : Michel et Illustrations Conception graphique Elles seraient fanées une fois arrivées chez vous. 3

Ne pas introduire VOUS d’animaux dans la mare. 1 11 ÊTES P ICI

Promener les chiens en laisse.

COMMUNE DE ZUDAUSQUES LA COMMUNE DÉCLINE TOUTE RESPONSABILITÉ EN CAS D’INCIDENT SUR LE SITE.

SITE DE BIODIVERSITÉ COMMUNAL À PROTECTION DE BERGES À ZUDAUSQUES plan local d’urbanisme intercommunal Communauté de communes du pays de lumbres artiFIcialisation des sols

l’artiFIcialisation des sols les raisons de l’artiFIcilisation ?

UN MORCELLEMENT PROGESSIF DES SURFACES AGRICOLES ET L’ACCROISSEMENT DE LA POPULATION NATURELLES - MOS 1998-2009

+ 255 habitants par an entre 1999 et 2012

LA PRODUCTION DE LOGEMENTS

Clerques 24 +282 ha artificialisés entre 1998 et 2009 Audrehem Bonningues- lès-

52 32

Journy Zudausques 20 66 51 9 DES DYNAMIQUES QUI SE POURSUIVENT ... 22 Haut-Loquin 59 20 15 61 Acquin-Westbécourt Escoeuilles 24 19 Nombres de constructions 38 71 3 161 neuves entre 2004 et 2013 Setques Lumbres 18 70 Bayenghem- lès-Seninghem 119 Esquerdes logements 58 15 100 64 construits par 15 Elnes

Nielles-lès-Bléquin 46 50 66 Wavrans-sur-l’Aa an entre 1999 et Bléquin 55 Remilly-Wirquin 53 58 14 18 Répartition des constructions 28 2013 59 39 Ouve-Wirquin neuves entre 2004 et 2013 Cléty Supérieur à 5% 25

De 4% à 5%

De 2% à 4% 40 Inférieur à 2%

FORMES D’HABITAT ET DENSITÉS

Habitat semi-mitoyen Habitat collectif 25 Logements 75 Logements par hectare par hectare 179 ha 25,6 ha 1 de perte de terres consommés exploitation agricole agricoles, environ chaque consommée en deux ans naturelles et année et demi forestières entre (par rapport à la surface 2006 et 2013 agricole utile par exploitant)

... MAIS À UN RYTHME QUI SEMBLE SE RÉDUIRE

Habitat en bande Habitat pavillonnaire 45 Logements 10 Logements par hectare par hectare plan local d’urbanisme intercommunal Communauté de communes du pays de lumbres risques naturels retrait-gonFLement des argiles inondations

ALÉA RETRAIT-GONFLEMENT DES ARGILES ALÉAS INONDATIONS ET SURFACES BÂTIES EN ZONE INONDABLE

VULNÉRABILITÉ FAIBLE AU PHÉNOMÈNE DE DES RISQUES D’INONDATION PAR RETRAIT-GONFLEMENT DES ARGILES. DÉBORDEMENTS DE COURS D’EAU IMPORTANTS, sur les vallées de la Hem et de l’Aa. FORTE VULNÉRABILITÉ sur la vallée de la Hem TRÈS FORTE SENSIBILITÉ AU RISQUE DE + CAVITÉS SOUTERRAINES, principalement sur la REMONTÉE DE NAPPES sur la vallée de l’Aa et les vallée de l’Aa communes de la vallée de la Hem. ARRÊTÉS DE CATASTROPHE NATURELLE 3 RETRAIT-GONFLEMENT enregistrés entre 1989 et ARRÊTÉS DE CATASTROPHE NATURELLE 2012 (2 à Alquines et 1 à Escoeuilles). 132 INONDATION enregistrés entre 1989 et 2012 (dont un par remontée de nappes à Bayenghem-lès- Ce phénomène très coûteux, susceptible de fragiliser Seninghem). le bâti notamment à la suite d’épisodes de sécheresse, risque de s’aggraver avec le changement climatique. Effets du changement climatique : accentuation de l’occurrence des averses et des risques de ruissellement induits. érosion des sols DOCUMENTS ET STRATÉGIES ÉROSION DES SOLS EN RÉGION 2 PLANS DE PRÉVENTION DU RISQUE D’INONDATION : • Vallée de l’Aa supérieure,approuvé le 07/12/2009, 12 communes CCPL, • Vallée de la Hem, approuvé le 07/12/2009, 4 communes CCPL.

PROGRAMMES D’ACTION ET DE PRÉVENTION DES 3 INONDATIONS (PAPI) : Audomarois, Delta de l’Aa et Lys.

Stratégies Locales des Risques d’Inondation de l’Audomarois (25 communes CCPL), Delta de l’Aa (10 communes CCPL) et Lys (Dohem) en cours de définition

ACTIONS ET PROGRAMMES EN COURS SUR LA CCPL

Les sols limoneux, « Facteurs aggravants : labour dans le sens HYDRAULIQUE DOUCE AMÉNAGEMENTS RÉGULATEURS ET (HAIES, BANDES ENHERBÉES, FASCINES) de la pente ; imperméabilisation générant DE STOCKAGE dominants en région, sont PROGRAMME ENGAGÉ (BASSINS, DIGUES, ETC.) plus sensibles à l’érosion. des ruissellements, disparition des éléments Photo SMAGEAa réalisée à Affringues Photo SMAGEAa réalisée à Nielles-les-Bléquin de végétation (haies notamment) » AUTRES ACTIONS À FAVORISER : Conséquences : pertes irréversibles de terres agricoles, et création/ • Gestion des eaux pluviales et infiltration des eaux à la parcelle, accentuation d’inondations, coulées de boue et pollutions des cours d’eau • Actions agronomiques (couvert végétal, travail du sol, etc.) plan local d’urbanisme intercommunal Communauté de communes du pays de lumbres risques technologiques et nuisances

risques technologiques nuisances

RISQUE INDUSTRIEL QUALITÉ DE L’AIR EXTÉRIEUR : NOMBRE DE JOUR DE DÉPASSEMENT DE LA VALEUR LIMITE JOURNALIÈRE DE 50 ΜG/M³ POUR LES PM10 EN 2011

Source: DREAL NPdC

SECTEUR LE + ÉMETTEUR DE PM10 l’épandage des effluents libère de l’ammoniac qui se transforme en PAYS DE SAINT-OMER : microparticules dans l’atmosphère • Arc International : PPRt, SEVESO seuil haut, • 2 sites SEVESO seuil bas : ALPHADEC à Arques et EQIOM à DES PICS DE POLLUTION DE PARTICULES FINES (proximité Lumbres, de territoires fortement émissifs + propres émissions) • 2 ICPE : NORPAPER à et SICAL à Lumbres, • 3 silos à enjeux très importants (Aire-sur-la-Lys, Eperlecques, Arques), Les pollutions de particules = 90% DU COÛT SANITAIRE • 2 établissements d’engrais (Eperlecques et Aire-sur-la-Lys). DE LA POLLUTION DE L’AIR EN EUROPE SITE SEVESO SEUIL 1 450 €/HAB/AN EN (mortalité et EQIOM (Ex-HOLCIM) à SITE ICPE AUTORISATION : HAUT : 1 morbidité) Lumbres SICAL à Lumbres

RISQUE TRANSPORT DE MATIÈRES DANGEUREUSES ONDES SONORES ET ÉLECTROMAGNÉTIQUES

Principales SOURCES DE NUISANCES SONORES : TOTALITÉ DES COMMUNES SOUMISES AU • les grandes infrastructures routières (A26, RN42 et RD928), RISQUE DE TMD (par terre, air ou eau) • voie ferrée, • industries de la vallée de l’Aa.

PLUSIEURS ANTENNES RELAIS génèrent localement des • PRINCIPAUX AXES ROUTIERS ET FERROVIAIRES ondes électromagnétiques. Leur densité est toutefois assez • CANALISATIONS SOUTERRAINES qui constituent des faible au regard des grandes agglomérations. servitudes d’utilité publique UN RÉSEAU DE LIGNES ÉLECTRIQUES.