DANIEL BALAVOINE Les auteurs remercient tout particulièrement tous ceux qui ont accepté de témoigner. Les interviews nous ont été accordées exclusivement pour ce livre entre juillet et octobre 1995. Les sources sont indiquées pour tous les extraits d'entretiens réalisés précédemment (presse, radio, télévision) dans la mesure des informations disponibles. Pour les interventions de dont la source n 'est pas précisée, deux cas de figure : soit il s'agit de communiqués de presse distribués par sa maison de disques, soit nous n'avons simplement pas pu en retracer l'origine, sans que leur authenticité soit mise en doute.

N'ont pas souhaité parler, ce que nous respectons mais regrettons : Bernard Balavoine, Robert Bialek, Patrick Dulphy.

Christine Lamiable remercie Elisabeth Balavoine, Claire Balavoine, Marie-Françoise Balavoine, Guy Balavoine et Yves Balavoine ainsi que Florence Aboulker, Jacques Attali, Bernard de Bosson, Jean-Louis Burgat, Nicolas Chapuis, Thérèse Chasseguet-Brunet (Barclay), Etienne Chicot, Diane Dupuis, Jacques Durutty, Catherine Ferry, Toizy Frank, , François Girbaud, Linda Lecomte, Patrice Léglise, Monique Le Marcis, Alain Marouani, Léo Missir, Didier Pinot (Chorus), Luc Plamondon, Geneviève Salama, Aliss Terrell, Fabienne Thibeault, Jean-Luc Wachthausen, Jessica Wachthausen et le département de la Phonothèque Nationale et de l'Audiovisuel de la B.N.

Jean-Eric Perrin remercie Alain Bouhlil, Pierrot Bongni, Philippe Constantin, Dany Darras, Joe Hammer, , Jacques Leblanc du magazine "Juke-Box ", Hervé Limeretz, Christian Padovan, Alain Pewzller, Jean-Luc Roy, Erick Saint-Laurent, Andy Scott et Bernard Serré.

Gilles Verlant remercie Corinne Barcessat et Elisabeth Balavoine ainsi que Sophie Brandy, Jean-Luc Bresse, Véronique Colucci, Antoine de Caunes, Yves Desnos, Michel Drucker, France Gall, Jean-Jacques Goldman, Fred Hidalgo, Sylvain Jaraud, Monique Le Marcis, Anne Patrigeon, Lucien Rioux, Marie-Dominique Vandenweghe, Philippe Vidalenc, Patrick et Manuel du magasin "Rock Paradise", Serge du magasin "Monster Melodies " et Christophe du magasin "Lucky Records " / "Ecoute ce disque

© Editions Albin Michel S.A., 1995 ISBN : 2 - 226 - 08181 - X DANIEL BALAVOINE

ALBIN MICHEL (Les Enfants du Rock, Antenne 2, 14 septembre 1984)

DANIEL BALAVOINE PAR BERGERMICHEL

La raison pour laquelle il y a plein de gens qui ne peuvent pas le supporter, c'est qu'il sait ce qu'il veut. Il sait ce qu'il veut faire dans ses disques, dire dans ses chansons, comment il a envie de faire de la scène. Ça paraît très très simple mais c'est plus difficile qu'on ne pense. Parce que ça veut dire que tous les gens qui travaillent autour de lui sont obligés de réviser leur idée du confort. Je crois qu'il réussit à imposer ce qu'il a vraiment envie de faire et ça c'est une nouvelle race de chanteurs ! Ça vient de sortir comme dirait . Evidemment ça veut dire aussi beaucoup d'angoisse parce que quand quelqu'un a envie d'écrire quelque chose de fort plutôt que de devenir riche ou alors qu'il aime mieux faire un beau spectacle que d'être simplement connu, c'est une autre manière de vivre. Moi, c'est ce qui me plaît dans Balavoine. A part ça, c'est mon copain mais ça n'a absolument rien à voir.

Michel Berger (Propos recueillis par Didier Lecat. France-Inter. 1983) Je trouve que c'est casse-bonbon, les souvenirs d'enfance !

ELISABETH BALAVOINE : Ses premiers concerts, Daniel les a donnés à cinq ou six ans. Il s'installait avec un tambourin entre ses genoux et des baguettes de jeu de construction. Il hurlait un air de Harry Belafonte en tapant sur tout ce qu'il trouvait. Ses petits copains venaient s'asseoir dans le couloir et l'écoutaient derrière la porte. Un jour, il s'en est aperçu et il a fait un scandale ! Elisabeth Balavoine est une octogénaire pimpante. L'expression "maîtresse femme" semble avoir été inventée pour elle. De la volonté, il en fallu à cette mère de sept enfants qui a mené sa barque exactement comme elle le souhaitait... ELISABETH : Je me suis mariée pour avoir des gosses : je voulais être entourée d'enfants, et de préférence en nombre pair : quatre, six ou huit ! Ma série de casseroles ! Je trouve les maris ennuyeux. Daniel Balavoine est né le 5 février 1952, à Alençon, dans l'Orne, le septième et dernier enfant d'une famille aisée. A sa naissance, ses grandes soeurs Marie-Françoise et Claire ont douze et neuf ans respectivement, ses grands frères Bernard, Guy et Yves ont huit, six et quatre ans. En 1950 était né le petit Xavier Balavoine mais il avait été emporté à quatorze mois par une méningite foudroyante. ELISABETH : Un jour, Daniel m'a dit une chose très étrange : "Je ne serais pas né si Xavier n'était pas mort." Ça m'avait choquée, bouleversée, alors que c'est celui que j'ai le plus voulu, le plus désiré ! Et je le lui ai dit, bien entendu... GUY BALAVOINE : Daniel a toujours eu l'impression qu'il était sur le banc des remplaçants et qu'il était rentré en jeu parce qu'un joueur avait été blessé. Il disait qu'il était né à la place d'un autre. MARIE-FRANÇOISE BALAVOINE : C'était le petit dernier, il a été chouchouté et dorloté, à cause de ça, il était insupportable ! Ce n'était pas vraiment de sa faute. On lui passait tout. Un jour, on était

dans un magasin à Bordeaux, il a été d'une telle insolence avec maman que je lui ai fichu une baffe. Pourtant, je ne suis pas violente ! Bernard, Guy, Elisabeth, Daniel et Yves au mariage Le papa, Emile, est ingénieur des Ponts-et-Chaussées et travaille après la guerre pour le Ministère ende Marie-Françoise1963. de la Reconstruction. La maman est une La Magdelaine, anciennement de La Magdelaine, famille aristocratique du Sud-Ouest. DANIEL BALAVOINE (Invité du Jeudi, Antenne 2, 1er novembre 81) : Mes parents ont fait les cochonneries qu'ils avaient à faire où ils pouvaient. Il se trouve qu'un jour ils les ont faites en Normandie et que c'est là que je suis né. Il a un an lorsque la famille déménage, à Bordeaux d'abord, pendant sept ans, puis à Biarritz, de 1960 à 1962. C'est le métier du papa qui voulait ça. Pour initier ses enfants à la musique, Elisabeth leur chante des cantiques. Pour leur apprendre la charité, elle emmène Bernard et Guy dans les hôpitaux voir des personnes âgées... ELISABETH : Ce n'était pas la grande aisance. Nous n'étions pas une famille bourgeoise du tout, il y avait du chahut, le langage n'était pas châtié, tout était à la bonne franquette. A dix-huit mois, Daniel parlait déjà comme un livre. DANIEL (Parlez-moi d'amour, RTL, 27 avril 82) : Je suis en fait un mélange de sang basque et landais. J'avais un grand-père un peu picard mais qui est venu s'installer tellement tôt dans le sud-ouest qu'on a oublié ça. Du côté de ma mère, mes grands-parents étaient landais. Et mes grand-mère et arrière grand-mère étaient basques. A quatre ans, il fait une escapade avec un des ses petits copains. Ils avaient décidé d'aller à la foire de Bordeaux. Affolement chez les Balavoine. Il y avait à l'époque de gros chantiers près de la voie ferrée, plein de dangers pour les moutards. A son retour, il reçoit une fessée carabinée. ELISABETH : J'avais des enfants extravagants. La grande, Marie-Françoise, faisait de l'art dramatique. Il suffisait qu'elle entre en déclamant un texte dans le séjour où mon mari était en train de lire pour qu'il rassemble ses affaires et file. On faisait beaucoup trop de bruit pour lui. Daniel, Bernard, A table, les enfants Balavoine n'ont pas le droit de parler. Comme l'explique Yves, Emile était Yves, Guy et leurs grand-parents introverti, alors que tous les autres membres de la famille sont expansifs. C'était un homme en 1962. d'une autre génération, un peu dépassé par le caractère de ses enfants, en particulier celui de Daniel, déjà très bavard. MARIE-FRANÇOISE : Papa était un père de l'ancienne manière. La tendresse, ça ne se montre pas, on est des hommes. Sous des dehors d'autorité, il était très faible. YVES : Il nous aimait tous énormément mais il ne s'extériorisait pas. Je ne suis pas sûr que mon père ait jamais vu Daniel sur une scène importante. Je ne crois pas qu'il lui en ait voulu, tellement on sentait que ça n'était pas de sa faute. Papa ne savait pas communiquer. On en souffrait pour lui. Il était maladroit. Le pire, c'est que quand on faisait les imbéciles entre nous, on l'entendait rire derrière... GUY : Daniel est resté seul avec mon père, de 67 à 70. Ils avaient des liens tout à fait privilégiés. Mon père n'arrivait pas à parler. Il a eu un contact différent avec lui. Il lui en a pourtant fait voir de toutes les couleurs. Milou s'est fait du mouron mais il a tout accepté. Daniel a connu mon père comme personne ne l'a connu. Il a dû lui dire des choses incroyables, qu'on ne se serait jamais permis ! ELISABETH : Daniel était un petit tyran ! Il était coléreux mais tous les autres le soutenaient. Je n'avais pas voix au chapitre, c'était le chouchou. Mais qu'est-ce que les garçons ont pu le faire râler ! Ils l'appelaient Moumou-Caoutchouc... GUY : On l'appelait aussi Bambi, Bibiche ou Bambino ! On lui inventait plein de noms parce qu'on savait qu'il allait se foutre en rogne. On faisait des courses de voitures avec des billes. Yves et moi, dès qu'il avait le dos tourné, on avançait nos voitures et on reculait les siennes. Il nous lançait un regard mauvais et il finissait par nous jeter les voitures à travers la figure. Il voulait toujours être premier ! La première à quitter le cocon familial, c'est Marie-Françoise. En 1959, elle trouve du travail ; plus tard, elle sera hôtesse de l'air. Quant à Claire, future infirmière et kinésithérapeute, elle est déjà très sportive... CLAIRE : A Biarritz, au début des années 60, je nageais énormément : en piscine, en mer et en rivière ! Daniel était mon supporter principal, il me suivait partout ! Un sport, c'est de la bagarre. Il a peut-être inconsciemment pris conscience de ce qu'était la vie, en me voyant m'entraîner pour des compétitions... Yves et Daniel, à Biarritz, en 62 : Le père est ensuite muté en Algérie, à Tizi-Ouzou, fin 1959, où il passe un an et demi. Daniel rentre ballade sur le front en pension à Hasparren et Yves à l'école militaire préparatoire, à Aix-en-Provence, en octobre de mer. 59. Six ans plus tard, il est engagé comme simple para. Aujourd'hui, il est commandant parachutiste des forces spéciales. Lorsque Daniel a huit ans, sa maman, qui en a quarante-cinq, décide de changer de vie... ELISABETH : Je suis d'une génération où les femmes vivaient chez elles, c'était la cuisine et les gosses. Quand mes enfants ont été élevés, je me suis mise à travailler. Après l'Algérie, à Pâques 62, Emile est envoyé à Pau. Bernard est parti faire médecine à Toulon. Elisabeth ne veut plus suivre son mari. Un autre homme est entré dans sa vie, prénommé René, avec qui elle a vécu jusqu'à sa mort, survenue en septembre 1995. En 63, elle s'en va vivre à Nice. Daniel est toujours en pension, mais cette fois à Dax, au collège Cendrillon. MARIE-FRANÇOISE : Les garçons ont plus subi la séparation de mes parents que moi, ils l'ont vécue comme un abandon de maman. Ils lui en ont énormément voulu. A tort. En même temps, ils ont vécu, grâce à maman et René, des choses merveilleuses. Lors d'une émission radio, Parlez-moi d'amour, sur RTL en avril 82, Daniel a longuement et lucidement parlé de cet épisode de sa vie... DANIEL : Mes parents sont restés longtemps ensemble et je les en remercie, même si je suis celui des enfants qui en a le moins profité puisqu'ils se sont séparés quand j'avais huit ans. Si durant mon adolescence, j'ai cru pouvoir me donner le droit de leur en vouloir, je le regrette infiniment parce que c'est ridicule. Finalement, ça a dû être à un moment donné, un beau couple. Je n'ai pas de souvenirs précis. Je crois que ma mère a toujours été stricte et a toujours été belle, en tous cas. VOUS ÉTIEZ AVEC VOS FRÈRES ET SŒURS OU VOUS EN ÉTIEZ AUSSI SÉPARÉ ? DANIEL : Au départ, nous sommes tous restés avec mon père mais ma mère venait souvent. J'ai peut-être plus vécu avec mon père et ma mère que des enfants qui sont avec des parents unis jusqu'au bout. Je n'ai pas eu à m'obliger à fermer les oreilles vis-à-vis de l'un pour écouter l'autre. J'ai toujours entendu les deux. Je me dis maintenant que je suis heureux que mes parents soient séparés. Et si ça peut encourager tous les enfants qui ont entre cinq et quinze ans et qui ont des parents séparés à vivre tranquillement, tant mieux. La séparation de mes parents m'a beaucoup apporté . Même s'il y a eu des périodes de colère, de tristesse ou de sentiment d'abandon. A l'école, Daniel a beaucoup de facilités, surtout dans le domaine littéraire. Pour des raisons pratiques, le père s'était vu contraint d'envoyer les garçons en pension. Ce qui ne plaît pas du tout à Daniel, même si ça lui permet d'avoir son grand frère sous la main en cas de coup dur...

En haut : Daniel, à 10 ans DANIEL (Les Enfants du Rock, Antenne 2, 14 septembre 84) : De l'autre côté de la chapelle, il y avait en famille, ou l'art la cour des petits. J'emmerdais bien deux ou trois mecs : quand ils étaient bien excités, je me de se faire remarquer. barrais comme une fusée dans la cour des grands et j'appelais mon frangin : "Guy, Guy, ils font Traditionnelle photo avec sa classe, que m'embêter !" Mon frère arrivait, genre Zorro, et il castagnait les petits. Ça me faisait à l'Immaculée beaucoup rigoler. C'était vraiment dégueulasse... J'étais de tout façon un petit garçon très Conception, à Pau. dégoûtant, très méchant. JACQUES DURRUTY (ami de Daniel, aujourd'hui concessionnaire) : En 1962, j'étais pensionnaire à Hasparren. Le week-end, quelques uns des grands étaient chargés de ramener deux ou trois LP YVES SIMON - Amazonique USA-USSR (33 t) BMG France Daniel choriste sur la chanson, J' pense à elle tout I' temps. 1986 LP (33 t) Pathé Marconi / EMI Daniel Balavoine, par Geneviève Beauvarlet, éditions Seghers, Les titres Oh Mama et Cœur en stéréo sont réalisés par Daniel Balavoine, collection Poésie et Chansons, , 1986. Andy Scott et Joe Hammer. Magazines Article de fond de Marie-Dominique Vandenweghe dans "Jukebox Magazine" n° 18 (mars/avril 1988) Spécial Balavoine, n° 66 du mensuel "Paroles et Musique" (décembre 86), dossier coordonné par Fred Hidalgo et Geneviève Beauvarlet L'aziza, CDV Barclay Divers (un clip plus trois titres en audio seulement), 1985. Seventies, Le petit dico de Frédéric Zeitoun, éditions Belfond, Paris, 1994. Les Seventies, The Book (De Woodstock au Walkman) ouvrage collectif sous Sauver l'amour, CDV Barclay la direction de Gilles Verlant, éditions Vade Retro, Paris, 1994. (un clip plus trois titres en audio seulement), 1986. Daniel Balavoine - Les clips, cassette VHS Polygram Music Vidéo (Pour la femme veuve qui s'éveille, L'Aziza, Sauver l'amour), 1987. Daniel Balavoine - Le chanteur, cassette VHS PolyGram Vidéo (douze chansons), 1995. Programme proposé par Gilles Verlant, mis en Alors heureux ? de Pierre et Marc Jolivet, mis en scène par Claude Barrois, 1979. images par Yves Desnos assisté de Yann Grasland. Qu'est-ce qui fait craquer les filles ? de Michel Vocoret, 1982.

BARCLAY: A. Resplandin: 53, 78-79, 80-81 /A. Marouani: , 21, 31, 41, 50, 54-55, 55, 58, 60, 77 Coll. Bernard De Bosson: 6, 7, 64-65 Coll. Catherine Ferry : 26-27 Coll. Elisabeth Balavoine : 56 / R. Habert : 19 Coll. Joe Hammer : 76 Coll. Marie-Françoise Balavoine : 9, 10, 11 Coll. Yves Balavoine : 13 C. Gassian : 84, 98, 102, 118, 122 F. Gaillard : 34 F. Patez : 51 GAMMA : 121 / Campion : 96 / J. Guichard : 116, 117 / R. Bouhet : 12, 15, 17, 18 IMAPRESS : 12, 23/Patrick Maria : 66, 67 KIPA : 125/A. Denize : 82, 83, 99 / E. Megret : 113, 119 / F. Meylan : 92 / J. Prebois : 40, 90-91 J.-P. Guilloteau : 110 / J. Pimentel : 41 / Veldman : 46 OROP PRESSE : 48 Photothèque RANCUREL : 55 SCOOP : OK - Auger : 25 / Poster - B. Leloup : 16 / Salut - B. Leloup : 17, 22, 32, 35, 48, 49, 50, 92 Salut - P. Soubiran : 92 / SLC - B. Leloup : 29 STILLS : 57, 68-69, 70, 71, 84, 85, 101 / F. Stromme : 105, 108, 112, 123 / G. Moreau : 51 / J.-L. Urli : 44 / Senepart : 100 SYGMA : A. Marouani : 74 / D. Goldberg : 59 / G. Schachmes : 89, 11 1 / J. Guichard : 89, 107/ J. Andanson : 51 P. Ledru : 89G. Rancinan : 39, 63, 66, 73, 74, 75, 87, 88, 89, 92, 93, 95, 98-99 T. Frank : 36, 43, 44, 45, 57, 60, 61, 115 Droits réservés : 5

Impression et reliure : Pollina s.a., 85400 Luçon - n° 68616 - Octobre 1995 Dépôt légal : novembre 1995 N° d'édition : 15020

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