Les routes en Algérie française

Source : Gallica (BnF), site routes.fandom.com

Dans Algérie Tunisie 14ème édition (1911)

En 1915, début du tracé de la 17 de Mostaganem à Mascara, par Perrégaux et Saint- Hippolyte, de la d’Affreville à Bouïra, par Berrouaghia, Souk-el-Khrémis et Bir- Rabalou, de la de Ténès à Orléansville, par Montenotte et Warnier, de la de Bône à Constantine, par Guelma et Oued-Zenati, de la de Bône à Ghardimaou, par Duvivier et Souk-Ahras

En 1916, début du tracé de la route nationale 4A, voie d’accès au port d’Oran (quai Sainte-Thérèse, boulevard Marceau)

Le 29 février 1916, le préfet d’Oran, H. Lacombe : « Les conducteurs devront diriger leurs animaux de façon que la circulation soit toujours assurée conformément aux prescriptions du décret du 3 novembre 1855 et de l’arrêté ministériel du même jour réglementant la Police des routes en Algérie, et en évitant d’obstruer le passage des véhicules de toute nature. »

Février 1922

Au début de l'année 1925 on comptait plus de 25.000 km de routes dont 5351 km de routes nationales et 20.000 km de routes départementales.

600 autobus assurent des transports réguliers de voyageurs sur 20.000 km de lignes fixes (jusqu'à 50 personnes sur des parcours que la voie ferrée ne dessert pas : Bel Abbès-Wagram 130 km, Alger-Bou Saada 250 km, Bou Saada-Djelfa 110 km … )

Qui dit routes dit voitures … Qui dit voitures dit … garages

1928

En mars 1928

Le 15 avril 1928, premier numéro du CALAO

L’Avenir de l’Est du 10 août 1929 : « Modernisons nos routes ! En Algérie, presque partout, les routes actuelles ont été d’abord des pistes du génie, qui avaient épousé le tracé des sentiers arabes … »

En 1930 ce sont 2600 autocars qui circulent en Algérie et plus de 100 000 automobiles.

Etat des routes algériennes en 1930

Dans le Manuel à l’usage des troupes employées outre-mer (1941 mais rédigé en 1925)

L’Algérie française du 8 janvier 1943

En 1954, il y aura 58 000 km de routes goudronnées dont 23.000 km de routes à grandes circulations …

Construction de pistes en avril 1956

Pour éviter cela …

Alger-Burdeau

On fabrique ça

10 avril 1956

12 avril 1956

En juin 1956, en petite Kabylie, l’armée française ouvre de nouvelles routes

12 juin 1956

N6 en 1957

« 8 900 km de routes nationales classées servant, en effet, d’ossature à 13 000 km de chemins départementaux (21 900) complétés par 13 730 km de chemins vicinaux bien entretenus, auxquels s’ajoutent 19 300 km de chemins ruraux reconnus (54 930). En conformité avec nos exploitations sahariennes, des perfectionnements ultra-modernes ont été apportés aux liaisons Nord-Sud, entre Constantine-Biskra, Touggourt-Alger, Ghardaïa-Oran- Béchar. » in Pied-Noir mon frère de Jean Loiseau (1963)

Dans le Journal d’Alger du 9 mai 1961 : « Sahara : la piste s’efface devant le macadam. En 5 ans on a construit 1.800 km de routes modernes. 5.000 km sont à l’étude. »

Le réseau routier en Algérie en décembre 1961 (ouvrage d’Alain Peyrefitte)