COMMUNE DE ROLAMPONT PROCÈS VERBAL SÉANCE DU 13 JANVIER 1998

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L'AN MIL NEUF CENT QUATRE VINGT DIX HUIT, LE MARDI 13 JANVIER A VINGT HEURES, LE CONSEIL MUNICIPAL, dûment convoqué par Monsieur le maire le 9 janvier 1998, s'est assemblé sous la présidence de M. Michel Gallissot.

Étaient présents : M. Michel GALLISSOT, maire, MM. DELIN, PELLETIER, MLLE TORRAILLE, MME RUEL, adjoints, BOUVIER, WEHRUNG, maires-délégués, MMES ROBIN, BROCHOT, MLLE DIOT, MM. Patrick GALLISSOT, BREGERE, COUVREUX, ANDRE, RAGUET, HERBERT, conseillers municipaux.

Excusés : M. DOUCHE, maire-délégué (procuration à M. le maire), M. THOMASSIN, conseiller municipal (procuration à Mme Ruel).

Absent : M. PEUREUX, conseiller municipal.

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M. le Maire ouvre la séance à 20 h 07.

Les conseillers présents formant la majorité des membres en exercice, conformément à l'article L.121-14 du Code des communes, il a été procédé à la nomination d'un secrétaire pris au sein du Conseil. Mlle TORRAILLE ayant obtenu la majorité des suffrages, a été désignée pour remplir ces fonctions qu'elle a acceptées.

INTERVENTIONS

M. le maire souhaite le bonsoir aux membres présents.

Il présente les excuses de Messieurs Douche et Thomassin. Il indique que M. Douche lui a donné procuration et M. Thomassin à Madame Ruel.

Il présente ses félicitations à Monsieur Raguet à l'occasion de la naissance de son fils Maxime.

Il invite Mlle Torraille à faire lecture du procès-verbal de la dernière séance du Conseil.

Mlle TORRAILLE fait lecture du procès-verbal de la séance du 14 novembre 1997.

M. DELIN rejoint la séance.

M. le Maire demande s'il y a des observations.

N°0 Adoption du procès-verbal de la séance du 14 novembre 1997. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire passe à l'ordre du jour.

M. le Maire présente la question relative à l'approbation de la réalisation de travaux d'investissement programmés et aux demandes d'aide s'y rapportant et notamment de DGE pour l'exercice 1998.

Il précise que les demandes d'aides porteraient sur :

- L'isolation d'une classe du Groupe Scolaires, le montant des travaux s'élevant à la somme de 50 460,00 F ht,

- L'isolation thermique et acoustique de la Maison du Temps Libre.

Le montant de ces travaux s'élevant à la somme de 125 683,00 F ht,

- La création d'une salle des sports. Le montant des travaux s'élevant à la somme de 2 165 542,00 F ht.

Il ajoute qu'il a rencontré Monsieur le Directeur de la Jeunesse et des Sports qui lui a fait remarquer que le matériel d'équipement de la salle des sports pouvait être subventionné. Il souligne que le coût du matériel sportif a donc été ajouté au devis présenté.

Il informe que l'on pourrait espérer 35 % de DGE selon les demandes.

Il communique les devis et plans des travaux aux membres présents.

Il propose d'approuver la réalisation des travaux d'investissement programmés et les demandes d'aide qui permettront leur financement.

Il dit qu'il convient aussi de solliciter le Groupement d'action locale (GAL) pour porter les projets au niveau de la Région dans le cadre de la stratégie de développement du territoire.

Il signale que la maîtrise d'ouvrage serait communale, mais que l'ouvrage serait incorporé dans une structure intercommunale, en l'occurrence le GAL.

Il invite les membres présents à délibérer.

N°1 Approbation de la réalisation de travaux d'investissement programmés. Demandes d'aides. DGE exercice 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit, pour continuer en ce qui concerne la réalisation des travaux programmés, qu'il convient de solliciter l'aide de la Région, du Département (FNDAE), de l'Europe (5b) et de l'Agence de l'eau Seine- Normandie dans le cadre du renforcement de l'alimentation en eau potable par raccordement de la source du Lonceau au réservoir de la route de .

Il rappelle que ce projet est déjà subventionné à 35 % au titre de la DGE 1997, restes à attribuer.

Il rappelle le montant des travaux : 1 500 000,00 F ht soit 1 809 000,00 F ttc.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°2 Renforcement de l'alimentation en eau potable par raccordement de la source du Lonceau au réservoir de la route de Beauchemin. Demande d'aides. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire fait part, toujours dans le cadre des travaux d'investissement programmés, du projet de création d'une médiathèque en 1999.

Il précise qu'il convient de solliciter des aides, mais aussi de demander au Groupement d'action locale (GAL) de porter le projet dans le cadre de la stratégie de développement du territoire.

Il rappelle que la maîtrise d'ouvrage serait communale, mais que l'ouvrage serait incorporé dans une structure intercommunale, en l'occurence le GAL.

Il informe du coût du projet :1 154 000,00 F ht, soit 1 391 724,00 F ttc.

Il invite les Membres présents à approuver la réalisation des travaux, les demandes d'aides, ainsi que l'intervention du GAL et à l'habiliter à signer toutes les pièces relatives au projet et plus généralement faire le nécessaire.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°3 Création d'une médiathèque. Demandes d'aides et d'intervention du GAL. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire fait part de la question relative à la mesure exceptionnelle d'allongement des prêts garantis par la Commune au bénéfice de l'OPAC de la Haute-Marne.

Il précise que l'organisme par courrier en date du 20 novembre dernier a sollicité la Commune en vue d'adapter les garanties initialement accordées sur les prêts qui feront l'objet d'un allongement de leur durée d'amortissement, dans le cadre de la mesure annoncée par le Gouvernement en juin 1996.

Il communique aux membres présents le tableau récapitulatif des deux emprunts réaménagés garantis par la commune ainsi qu'une simulation de l'allongement du tableau d'amortissement pour chaque contrat concerné.

Il souligne que l'OPAC de la Haute-Marne souhaite que la Commune accorde sa garantie pour le remboursement aux conditions indiquées pour chaque contrat dans ces tableaux.

Il ajoute que la garantie sera accordée à hauteur de la quotité initialement garantie par la Commune sur chacun des contrats.

Il signale qu'il est toutefois précisé que pour les prêts partiellement garantis par la commune, le réaménagement envisagé ne sera consenti par la Caisse des dépôts et consignations que si l'organisme emprunteur justifie d'une garantie complémentaire. En conséquence, à défaut de réaménagement de tout ou partie des contrats précités, la garantie correspondante initialement accordée par la Commune sera maintenue jusqu'à extinction des prêts concernés.

Il souligne que les taux d'intérêts et de progressivité de l'ensemble des contrats sont révisés à chaque échéance annuelle en fonction de la variation du taux du livret A et que les annuités seront recalculées, pour chacun des contrats visés dans les tableaux annexés, sur la base du capital restant dû à la date d'effet du réaménagement consenti.

Il fait remarquer qu'au cas où l'emprunteur, pour quelque motif que ce soit, ne s'acquitterait pas des sommes devenues exigibles ou des intérêts moratoires qu'il aurait encourus, la Commune s'engage à en effectuer le paiement en ses lieux et place, sur simple notification de la Caisse des dépôts et consignations par lettre missive, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement. Le Conseil municipal s'engageant pendant toute la durée des prêts à libérer, en cas de besoin, les ressources suffisantes pour couvrir les charges des emprunts.

Il invite les membres présents à délibérer afin que la Commune accorde sa garantie étendue à la période supplémentaire d'amortissement pour le remboursement des réaménagés au bénéfice de l'OPAC de la Haute-Marne par la Caisse des dépôts et consignations et à l'habiliter à intervenir à l'avenant, ou le cas échéant aux avenants qui seront passés entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°4 Approbation de la garantie étendue à la période supplémentaire

d'amortissement pour le remboursement de deux prêts au bénéfice de l'OPAC de la Haute-Marne. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire fait part de la question relative au concours de la DDE de la Haute-Marne pour assurer une mission de conseil et d'assistance relative au contrôle de la conformité des installations d'assainissement autonome réalisées sur la Commune à compter du 1er janvier 1998.

Il informe qu'en application de la loi sur l'eau n°92-3 du 3 janvier 1992, les communes doivent désormais assurer le contrôle de l'installation d'assainissement autonome et prendre en charge les dépenses correspondantes.

Il ajoute que les services de la DDE peuvent apporter leur concours pour aider les communes dans la vérification des installations.

Il fait part du contenu de la mission qui serait confiée à la Direction départementale de l'Equipement.

Il dit qu'elle comprend toutes les démarches nécessaires à la bonne exécution du contrôle et notamment : la réception et l'examen de la recevabilité des demandes ; l'organisation des visites et l'accès aux propriétés privées; la vérification sur place de la conformité des installations avec l'étude filière réalisée par le bureau d'études spécialisé incluse dans la demande de création d'un dispositif d'assainissement autonome : dispositif d'assainissement préconisé, implantation des ouvrages, bon écoulement des effluents ; l'établissement des constats conduisant à la délivrance ou au refus de la conformité de l'installation par le maire ; l'organisation le cas échéant de nouvelles visites après reprise des installations en cas de refus de conformité ; l'envoi des différents courriers au propriétaire de l'ouvrage.

Il ajoute que dans le cas particulier d'une installation d'assainissement autonome non liée à une demande de permis de construire, la Direction départementale de l'Equipement interviendra à la demande de la commune dans les mêmes conditions pour d'une part, instruire la demande en vue de l'approbation par le maire du dispositif d'assainissement individuel, d'autre part, effectuer la visite de conformité des installations en vue de la signature par le maire du procès-verbal de conformité. Le contrôle du bon fonctionnement et du bon entretien des installations ne sera effectué par la DDE qu'au vu d'une commande spécifique de la commune.

Il indique que le forfait de rémunération de ce concours est fixé à 350 F ht par intervention et qu'il sera réglé en une seule fois sur présentation d'un décompte d'honoraires établi et notifié à la Commune par la Direction de l'Equipement en fin d'année.

Il ajoute que le forfait de 350 F par intervention sera revalorisé chaque année (n) en fonction de l'évolution de l'index ingénierie entre les mois de janvier des années n-1 et n.

Il précise que la Commune, ou le Préfet, sur proposition du Directeur départemental de l'Equipement, pourront mettre un terme au présent concours moyennant un préavis de 6 mois.

LES MEMBRES PRESENTS s'inquiètent du prix et de savoir si l'on ne pourrait pas bénéficier d'un prix forfaitaire par installation.

M. le Maire dit qu'il ne le pense pas.

M. HERBERT demande quelles installations seront intéressées.

M. le Maire répond qu'il s'agit des installations des personnes qui ne sont pas raccordées et pas raccordables au réseau d'assainissement.

Il invite les Membres présents à se déterminer.

N°5 Demande de concours de la DDE pour une mission de contrôle de la conformité des installations d'assainissement autonome. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'approbation de la convention pour travaux programmés dans le collège de Nogent en 1997.

Il fait part de la demande du SIVOS de Nogent reçue en mairie le 9 janvier dernier.

Il informe que cette participation est demandée étant donné les travaux de reconstruction du collège de Nogent et en fonction de l'annuité de l'emprunt contracté pour ces travaux.

Il indique que la participation de la Commune est estimée à la somme de 390,44 F pour un élève scolarisé à Nogent durant l'année 1996-1997.

Il dit qu'il s'agit de Mickaël Durost.

Il ajoute que cette participation pourra, si besoin, être réajustée en fonction du décompte final.

Il invite les membres présents à délibérer et à l'habiliter à signer la convention à intervenir.

N°6 Approbation de la convention pour participation aux travaux programmés au collège de Nogent en 1997. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative aux Sapeurs-Pompiers et à la réponse à Monsieur le Sous-Préfet et à Madame le Préfet.

Il demande à Mademoiselle Torraille de faire lecture des courriers échangés.

MLLE TORRAILLE fait lecture d'une lettre en date du 14 octobre 1997, reçue en mairie le 15 octobre 1997. Elle précise qu'il s'agit d'une lettre de Madame le Préfet visée par la Sous-Préfecture.

"Monsieur le maire,

Le Directeur du Service départemental d'incendie et de secours vient de m'informer des difficultés de fonctionnement du corps communal des sapeurs- pompiers de votre commune.

Une réunion de concertation, placée sous votre présidence, a été organisée le lundi 29 septembre dernier à 20 h 30 en mairie. Elle s'est déroulée en présence des membres de votre conseil municipal, des sapeurs- pompiers de Rolampont et du Directeur du SDIS. Cette réunion n'a, semble-t-il, pas permis de rétablir la sérénité indispensable à la bonne marche de ce centre de secours.

Cette situation risque d'entraîner des dysfonctionnements opérationnels dont les conséquences pourraient mettre en cause votre autorité de police administrative.

Je souhaite donc que vous assuriez que les mesures techniques proposées par le Directeur du SDIS soient rapidement mises en oeuvre.

Je pense en particulier :

- aux visites médicales obligatoires auxquelles les sapeurs-pompiers doivent se soumettre ; - au suivi des sessions de formation ; - à la distinction entre les instances : conseil d'administration et bureau de l'amicale ; - au respect du devoir de réserve et de discrétion ; - au suivi des manoeuvres obligatoires ; - au bon déroulement des interventions avec un effectif suffisant ; - à la bonne tenue de l'administration du corps.

Je vous saurais gré, en conséquence, de me faire savoir, dans un délai d'un mois, si le fonctionnement interne au corps de Rolampont est redevenu suffisamment stable, pour que la continuité de ce centre puisse perdurer et soit assurée avec la fiabilité indispensable à la mission de service public qui lui incombe.

Par avance, je vous remercie de vos démarches."

MLLE TORRAILLE fait lecture de la réponse du maire à Madame le Préfet de la Haute-Marne sous-couvert de Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de en date du 22 novembre 1997.

"Madame le Préfet,

En réponse à votre lettre du 14 octobre dernier qui m'a été transmise par Monsieur le Sous-Préfet, je viens vous faire le rapport que vous avez souhaité recevoir.

* Un rapide historique des faits :

- La visite de Monsieur le Colonel Directeur du SDIS. le 4 février 1997 avait pour but de régler un problème vieux de vingt-cinq ans. Au moment de la fusion des Communes les différents CPI auraient du être dissous pour n'en former plus qu'un mais les choses en étaient restées en l'état. Cette volonté de régularisation ne fut pas du goût des intéressés et servit de catalyseur aux problèmes qui commencèrent.

- Lors de la réunion de conciliation du 29 septembre 1997, destinée à calmer les esprits, l'ambiance fut infernale et Monsieur le Directeur du SDIS fut violemment pris a parti, notamment par les sapeurs-pompiers de Lannes, qui frôlèrent l'insolence.

* Visites médicales et suivi de formation :

- Commune Associée de Charmoilles deux pompiers à jour de leur visite médicale mais sans suivi de formation.

- Commune Associée de Lannes : six ou huit pompiers (?) à jour de leur visite médicale sans suivi de formation (certains même sans formation initiale).

- Commune Centre de Rolampont : quatre sapeurs pompiers à jour de leur visite médicale et de leur formation (dont deux actuellement en stage de secours routier), trois autres ne sont à jour ni sur le plan médical, l'un a passé sa dernière visite médicale en 1984 et les deux autres (dont le Chef de Corps) en 1988, ni sur le plan de la formation. Quatre ont démissionné courant juillet-août 1997.

* Conseil d'administration et amicale :

En juin 1997 le conseil d'administration n'a pas été élu régulièrement. Le plus ancien dans le même grade aurait du être vice-président de droit, mais il a été écarté au profit d'un autre sapeur-pompier.

Ce conseil d'administration ne fonctionne pas plus que le bureau de l'amicale qui est inexistant comme suite aux dernières démissions.

Le Chef de Corps détient la caisse de l'amicale.

* Devoir de réserve et de discrétion :

Critique et contestations verbales ont pris le relais des écrits.

Il semble que le maire soit à l'origine de tous les maux. Lors d'une réunion du Conseil Municipal à laquelle les sapeurs-pompiers ont assisté en nombre et ne se sont pas privés de faire du chahut, je me suis trouvé obligé de répondre que je ne saurais prendre de décision sous la menace et la contrainte.

* Manoeuvres obligatoires :

- Manoeuvre de septembre. Elle s'est déroulée à Rolampont en présence du Lieutenant Michel de Langres. Le Chef de Corps était absent, seuls quatre pompiers étaient présents. Lors d'un essai de Bip la sirène a sonné (à 10 heures du matin), je fus la seule personne à me déplacer.

- Manoeuvre d'octobre. Le Chef de Corps a renvoyé Monsieur Jean-Claude Logerot en lui disant qu'il n'était plus sapeur-pompier (De quel droit ?). Cette manoeuvre était une manoeuvre de nuit. Je pense qu'elle s'est bien déroulée, une photographie dans le Journal de la Haute-Marne du 7 octobre 1997 montrait les sapeurs pompiers présents à table sous le titre "Les pompiers dans le feu de l'action" !

- Manoeuvre de novembre. Elle a eu lieu à Charmoilles. J'étais présent. Le départ de Rolampont a été un peu laborieux et en arrivant sur place les soldats du feu ne savaient pas dans quel endroit de la rivière ils allaient pomper l'eau. Il leur a fallu une demi heure pour être opérationnel. Heureusement qu'il ne s'agissait que d'une manoeuvre !

* Déroulement des interventions :

Peu nombreuses (heureusement) : un feu paille dans les champs au mois d'août, un malaise dans les bois début novembre. N'étant pas présent l'on m'a rapporté que l'effectif lors de ces interventions était acceptable.

* Tenue et administration du Corps :

Elles sont inexistantes. Il ne se passe sûrement pas grand chose, le maire n'étant au courant de rien.

Après avoir refusé de tirer le feu d'artifice du 13 juillet, comme ils le faisaient traditionnellement, seulement quatre sapeurs-pompiers, toujours les mêmes (ceux qui sont à jour), étaient présents le soir du 13 juillet. Ce sont les seuls que l'on a retrouvé aux manifestations officielles du 14 juillet et du 11 novembre.

Comme je l'ai dit à l'avant dernière réunion du Conseil Municipal, et en sa présence, l'on doit se poser la question de savoir si le Chef de Corps est à la hauteur de ses responsabilités. Il ne sait pas se faire entendre, tout le monde commande sauf lui.

Comme vous le constaterez, les choses n'ont guère évolué à ce jour. Je vous laisse juge des suites à donner.

Je vous prie d'agréer, Madame le Préfet, l'expression de mes respectueuses salutations."

MLLE TORRAILLE fait lecture de la lettre de Monsieur Bernard Cousin, en date du 7 décembre 1997 et reçue en mairie le 9 décembre 1997 ; adressée à Monsieur le maire et à Monsieur le chef de corps et pour information à Monsieur le responsable départemental le Colonel Montalétang et à Messieurs les maires-délégués des communes associées de Charmoilles, Tronchoy et Lannes.

"Messieurs,

La manoeuvre du 07.12.97 à Tronchoy se terminait relativement bien ; mais selon un rituel bien établi, sont venues les réflexions aigre-douces ou insinuations douteuses. Le sapeur Alain Durné a eu le tort de répondre à ces provocations. Le ton était donné. Les méchancetés ont fusé. Prenant Pierre Douche, maire-délégué de Tronchoy à témoin, j'ai insisté auprès de notre chef de corps afin qu'il use de son autorité pour faire taire les langues. Celui-ci, baissant les bras a reconnu ne pouvoir y arriver s'il essayait. En conséquence, j'en tire ces conclusions : -Ayant échoué maintes fois dans mes tentatives de conciliation. - N'ayant pas l'intention de prendre quelque responsabilité. - Constatant que ces rivalités neutralisent réciproquement les protagonistes. Doutant de l'efficacité des ordres donnés en cas d'intervention réelle (du fait d'un réel manque d'autorité).

Si la devise des pompiers était "honneur et courage", la première partie de cette expression n'a plus de sens dans notre corps, ni le devoir de réserve, ni l'intérêt du contribuable.

Désolé de cette situation d'échec, avec regret, je vous offre ma démission et je tiens mes effets à votre disposition. Soyez assuré Messieurs de mon salut respectueux.

PS. J'ai gardé toute ma considération pour le sens de camaraderie d'Alain Durné, malgré son intervention."

MLLE TORRAILLE fait lecture de la lettre de Monsieur le Sous-Préfet de Langres en date du 23 décembre 1997 et reçue en mairie le 30 décembre 1997.

" Objet : Centre de première intervention

Par courrier en date du 22 novembre 1997, vous m'avez transmis à l'attention de Mme le Préfet de la Haute-Marne, divers éléments d'information concernant le fonctionnement actuel du corps de sapeurs- pompiers de votre commune.

Au vu de votre rapport et considérant les éléments qui y sont mentionnés, il m'apparait opportun d'envisager la dissolution du Corps de première intervention de Rolampont.

Or dans cette perspective, l'article 17 du décret n°88-623 modifié du 6 mai 1988 relatif à l'organisation générale des Services d'incendie et de secours précise :

"En cas de négligences graves ou de difficultés de fonctionnement constatées dans un corps de sapeurs-pompiers communal ou intercommunal réparti en un ou plusieurs centre classés centre de première intervention... Le Préfet peut dissoudre le corps par arrêté pris après avis du Directeur départemental des services d'incendie et de secours, du Comité technique paritaire compétent et de l'organe délibérant de la commune ou de l'établissement public de coopération intercommunale".

Le corps communal des sapeurs-pompiers de Rolampont étant exclusivement composé de sapeurs-pompiers volontaires, il n'existe pas, en l'occurrence, de Comité technique paritaire.

Aussi, je vous demande donc de me transmettre l'avis de votre Conseil municipal afin que je puisse prendre l'arrêté réglementaire de dissolution.

* *

*

Je vous précise également que Mme le Préfet souhaite mettre en oeuvre,

concomitamment, une procédure visant à réorganiser un Centre de première intervention à Rolampont afin qu'il puisse fonctionner de façon satisfaisante pour assurer la sécurité de la population concernée.

A cette fin, je vous saurais également gré de soumettre à l'avis de votre Conseil municipal une délibération portant avis favorable à la réorganisation du corps."

M. le Maire dit : voilà le déroulement des faits. Monsieur le Sous- Préfet nous demande aujourd'hui un avis de dissolution et Madame le Préfet un avis de réorganisation du corps.

M. HERBERT donne des précisions. Il ajoute que la lettre que nous avons tous reçue est une lettre de démission de tous les sapeurs-pompiers et que lors de la réorganisation, le Conseil, le maire devront choisir un nouveau chef.

M. DELIN souligne que si le Conseil donne un avis favorable, le Préfet pourra dissoudre le corps.

M. Patrick GALLISSOT précise que si l'on se prononce contre, cela ne veut pas dire que la dissolution ne sera pas prononcée par le Sous-Préfet.

M. DELIN ajoute : c'est vrai.

MLLE DIOT demande si l'on dissout comment l'on réorganise un nouveau corps. Elle fait remarquer qu'il y aurait une interruption de la protection entre la dissolution et la réorganisation. Elle ajoute que les nouveaux ne seront pas forcément opérationnels.

M. PATRICK GALLISSOT répond qu'il a été sapeur-pompier et qu'il est évident que l'on ne peut pas être opérationnel de suite, mais qu'à force de formation et de manoeuvre on le devient. Il signale que ce n'est pas parce que le corps est dissous que ceux qui y sont déjà ne seront pas réintégrés lors de la réorganisation.

M. DELIN dit : oui pourquoi pas.

MLLE DIOT fait remarquer qu'elle doute de ceci étant donné les circonstances.

M. le Maire répond pourquoi pas.

M. HERBERT fait remarquer que des affaires personnelles montées par deux ou trois personnes ont mené à aujourd'hui et ils se sont cassés les reins. Il ajoute qu'il a passé vingt-cinq ans avec eux et qu'il sait comment cela se passe.

LES MEMBRES PRESENTS évoquent les deux réunions passées pour arranger les choses.

MLLE DIOT rappelle que l'autorité n'avait rien apporté pour trouver une solution.

M. DELIN répond que les sapeurs-pompiers étaient venus pour imposer leurs points de vue et que le Colonel a tout de même laisser planer le risque de dissolution.

M. le Maire fait remarquer que les sapeurs-pompiers n'ont pas laissé beaucoup parler leur autorité.

MLLE DIOT dit que l'autorité a eu l'air de dire qu'il ne fallait pas seulement s'en tenir aux textes ce qui est étonnant.

M. HERBERT précise qu'il ne faut pas confondre l'organisation locale de l'amicale et celle du corps proprement dit.

M. le Maire signale que le maire est responsable s'il leur arrive un pépin et qu'il ne sont pas à jour des visites médicales et de la formation.

Il informe que le 26 novembre des demandes de stage ont été menées en mairie. Il ajoute qu'il a demandé au chef de centre de Langres qui lui a répondu d'attendre.

MME BROCHOT remarque que c'est pour cela que çà traînait.

M. WEHRUNG dit que ce qu'il faut voir, c'est l'avenir du corps des sapeurs-pompiers. Il précise qu'il faut s'attacher à reconstituer un corps. Il demande si l'on a des données sur la manière de le reconstituer.

M. le Maire répond que pour l'instant nous n'en avons aucune.

LES MEMBRES PRESENTS évoquent la mise à jour des situations en formations et en visites médicales.

M. BREGERE demande comment seront choisis les sapeurs-pompiers de Rolampont. Il demande s'il est logique que des personnes demeurant à Langres soient pompiers à Rolampont.

MME ROBIN répond qu'elle a un ami chef de corps à côté d'Orléans dans une commune et habite dans une autre.

MLLE TORRAILLE signale qu'il convient peut-être maintenant de prendre une position.

MLLE DIOT demande si les sapeurs-pompiers ne sont pas venus l'autre jour aux voeux du maire ou n'ont pas été invités.

M. le Maire dit qu'ils n'ont pas été invités. Il explique que si certains étaient là, ils l'étaient à d'autre titre.

Il invite les membres présents à se déterminer.

N°7 Avis favorable à la demande de dissolution et de réorganisation du corps des sapeurs pompiers de Rolampont faite par M. le Sous-Préfet de l'arrondissement de Langres et Mme le Préfet du Département de la Haute- Marne. Adopté par 11 voix POUR, 5 ABSTENTIONS, 2 CONTRE en ce qui concerne la dissolution et par 13 voix POUR, 5 ABSTENTIONS en ce qui concerne la réorganisation.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit que l'on va à présent passer aux questions diverses.

Il demande aux membres présents s'ils sont d'accord afin de délibérer sur ces questions si nécessaire.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent unanimement sur ce point.

M. le Maire invite Mademoiselle Torraille à faire part du courrier du SICTOM reçu en mairie le 12 janvier dernier et relatif aux nouveaux statuts du Syndicat.

MLLE TORRAILLE fait lecture des correspondances et du projet de statuts.

Elle signale que le SICTOM se transforme en SMICTOM

M. le Maire dit qu'il convient d'approuver les adhésions des communes de Serqueux, Pressigny, Fresne-sur-Apance au SICTOM, les nouveaux statuts et

de nommer un délégué et un suppléant de plus, ou plus exactement nommer, en confirmant les deux délégués au SICTOM, trois délégués et trois suppléants au SMICTOM.

Il propose sa candidature en qualité de délégué.

MM. DELIN, BOUVIER et HERBERT proposent leur candidature en qualité de suppléants.

M. le Maire invite les membres présents à délibérer.

N°8 Approbation de quatre adhésions et des statuts du SMICTOM de la région de Langres. Désignation des délégués et des suppléants. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire informe qu'il a reçu une lettre de Monsieur Philippe Delienne relative à une demande d'autorisation pour abaisser les bordures de trottoir face à sa propriété avenue de Verdun. Il fait lecture de ce courrier. Il fait remarquer que l'intéressé à bien noté que les travaux se feraient à sa charge et dans les règles de l'art. Il signale que les demandes se font toujours ainsi. Il dit ceci pour information car il y a eu un problème à Lannes à propos d'une facture reçue pour des travaux de bordures commandés par un particulier.

Il informe que comme suite à sa réclamation, lors de la dernière Commission communale des impôts directs, on a reçu en mairie notification d'un dégrèvement de taxe foncière de 10 394 F. Il précise que ce dégrèvement sera identique pour les années suivantes.

Il informe des déclarations d'intention d'aliéner qui ont été reçues en mairie et pour lesquelles il a déclaré au nom de la Commune ne pas exercer le droit de préemption urbain conformément à la délégation qui lui a été faite par le Conseil municipal, délibération n°95-44 du 4 juillet 1995, en vertu de l'article L. 122-20 15 du Code des communes.

Il ajoute que ces décisions municipales portent sur les propriétés dont la vente amiable est envisagée : une maison de Monsieur René Durné acheté par Monsieur Dehan ; un terrain appartenant à Monsieur Eric Brulé cédé à son frère ; ainsi qu'un échange entre Messieurs Maupin et Sanrey.

Il informe avoir reçu encore beaucoup de courrier contre Natura 2000, d'autres pour. Il dit que l'on ne sait plus ce que l'on doit faire, mais que pour l'instant l'on n'a pas répondu et que comme cela on n'est pas pris. Il invite Monsieur Brégère à faire lecture de la lettre reçue de la Fédération des Chasseurs de la Haute-Marne demandant au Conseil de prendre une délibération contre le projet Natura 2000 à adresser à Monsieur le premier ministre.

M. BREGERE en fait la lecture.

M. le Maire dit : bon d'accord, et fait lecture de la fin du courrier adressé par l'Association des communes forestières de à ce sujet. Il ajoute qu'il convient de laisser venir.

Il fait remarquer que lors de la dernière séance l'on a évoqué l'affaire Verry. Il informe qu'il a été fait appel du jugement civil et que finalement l'on a pu bénéficier de la Protection Juridique de notre assurance.

Il signale qu'il a vu le comité de soutien pour l'édification, ou l'érection, d'une stèle en l'honneur de l'abbé Bour pour choisir un emplacement, peut-être sur la place de l'église.

Il informe que cet après-midi, en réunion en Sous-Préfecture, il a rencontré Monsieur Baillet, maire de Langres. Il précise qu'OERTLI, c'est fini, mais que la création du giratoire ne semble pas mise en cause. Il dit qu'il en sera question demain lors de la réunion de la CCEL en même temps que celui du Sabinus.

MLLE DIOT demande pourquoi finalement OERTLI ne vient pas à Rolampont.

M. le Maire indique que d'après la direction, la décision est d'ordre économique. Rester à Langres implique moitié d'investissement en moins pour la société. Il ajoute que l'on n'a pas eu de chance que le directeur change. Monsieur Moineau était à 100 % pour Rolampont ainsi que Monsieur Vianco directeur Grand-est.

Il présente la maquette du projet de construction de huit logements par l'OPAC de la Haute-Marne à Rolampont.

Il signale, toujours pour information, que l'on a reçu l'autorisation dérogatoire de la Région de commencer les travaux d'aménagement de la mairie avant l'arrêté de subvention.

Il informe que le Département a subventionné la réfection du clocher de l'église de Rolampont pour 35 100 F sur les restes à attribuer de l'exercice 1997.

Il fait remarquer que monsieur Fouassier est encore arrêté depuis le 5 décembre et jusqu'au 15 février 1998.

Il dit qu'il en a fini avec l'ordre du jour.

Il demande si quelqu'un souhaite prendre la parole.

M. BOUVIER demande si l'on pourrait envisager ces jours-ci de faire les rigoles route de . Il ajoute que cela fait longtemps qu'il le demande. Il signale qu'il faudrait aussi prévoir de l'enrobé à froid car des trous sont en formation.

M. le Maire répond que cette année notre fournisseur ne nous a rien donné.

MME Robin demande si l'on fera ou non le bulletin municipal.

M. le Maire dit qu'il sera fait, avant l'an 2000 ! Il demande s'il y a quelque chose à ajouter.

M. RAGUET invite les membres présents à un petit pot pour fêter l'arrivée de Maxime.

L'ORDRE DU JOUR ÉTANT ÉPUISÉ M. LE MAIRE LÈVE LA SÉANCE LE 13 JANVIER 1998 À 23 H 10.

COMMUNE DE ROLAMPONT DÉLIBÉRATIONS SEANCE DU 13 JANVIER 1998

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N°98-01 Approbation de la réalisation de travaux d'investissement programmés. Demandes d'aides. DGE exercice 1998.

M. le Maire passe à l'ordre du jour.

M. le Maire présente la question relative à l'approbation de la réalisation de travaux d'investissement programmés et aux demandes d'aide s'y rapportant et notamment de DGE pour l'exercice 1998.

Il précise que les demandes d'aides porteraient sur :

- L'isolation d'une classe du Groupe Scolaires, le montant des travaux s'élevant à la somme de 50 460,00 F ht,

- L'isolation thermique et acoustique de la Maison du Temps Libre. Le montant de ces travaux s'élevant à la somme de 125 683,00 F ht,

- La création d'une salle des sports. Le montant des travaux s'élevant à la somme de 2 165 542,00 F ht.

Il ajoute qu'il a rencontré Monsieur le Directeur de la Jeunesse et des Sports qui lui a fait remarquer que le matériel d'équipement de la salle des sports pouvait être subventionné. Il souligne que le coût du matériel sportif a donc été ajouté au devis présenté.

Il informe que l'on pourrait espérer 35 % de DGE selon les demandes.

Il communique les devis et plans des travaux aux membres présents.

Il propose d'approuver la réalisation des travaux d'investissement programmés et les demandes d'aide qui permettront leur financement.

Il dit qu'il convient aussi de solliciter le Groupement d'action locale (GAL) pour porter les projets au niveau de la Région dans le cadre de la stratégie de développement du territoire. Il signale que la maîtrise d'ouvrage serait communale, mais que l'ouvrage serait incorporé dans une structure intercommunale, en l'occurrence le GAL.

Il invite les membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU les dossiers des travaux d'investissement programmés,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE la liste des travaux d'investissement communal programmés comme suit :

______LISTE DES TRAVAUX D'INVESTISSEMENT COMMUNAL : MONTANT/ ht & ttc ------:------Isolation d'une classe du Groupe Scolaire : 50 460,00 F ht : 60 854,76 F ttc ------:------Isolation thermique et acoustique : 125 683,00 F ht de la Maison du Temps Libre : 151 573,69 F ttc ------:------Création d'une salle des sports : 2 165 542,00 F ht : 2 611 643,65 F ttc ______:______

DECIDE leur réalisation.

SOLLICITE l'aide de l'Etat au titre de la DGE exercice 1998, de la Région, du Département et de l'Europe.

SOLLICITE en outre l'intervention du GAL afin de porter les projets au niveau de la Région.

FIXE le financement prévisionnel de ces travaux comme suit :

- Subvention,

- Autofinancement, - Emprunt.

HABILITE M. le Maire à signer toutes les pièces se rapportant à ces dossiers et à leur financement.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-02 Renforcement de l'alimentation en eau potable par raccordement de la source du Lonceau au réservoir de la route de Beauchemin. Demande d'aides.

M. le Maire dit, pour continuer en ce qui concerne la réalisation des travaux programmés, qu'il convient de solliciter l'aide de la Région, du Département (FNDAE), de l'Europe (5b) et de l'Agence de l'eau Seine- Normandie dans le cadre du renforcement de l'alimentation en eau potable par raccordement de la source du Lonceau au réservoir de la route de Beauchemin.

Il rappelle que ce projet est déjà subventionné à 35 % au titre de la DGE 1997, restes à attribuer.

Il rappelle le montant des travaux : 1 500 000,00 F ht soit 1 809 000,00 F ttc.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la délibération du Conseil municipal n°97-35 du 11 septembre 1997,

VU le dossier des travaux d'investissement programmés,

APRES en avoir délibéré,

RAPPELLE que par délibération n°97-35 du 11 septembre 1997 le Conseil a approuvé et décidé la réalisation des travaux de renforcement de l'alimentation en eau potable par raccordement de la source du Lonceau au réservoir de la route de Beauchemin.

DIT que le montant de ces travaux s'élèvera à la somme de 1 500 000,00 F ht soit 1 809 000,00 F ttc.

SOLLICITE l'aide de la Région, du Département(FNDAE), de l'Agence de l'eau Seine-Normandie, et de l'Europe (5b).

FIXE le financement prévisionnel de ces travaux comme suit :

- Subvention, - Autofinancement, - Emprunt.

HABILITE M. le Maire à signer toutes les pièces se rapportant à ce dossier et à son financement.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-03 Création d'une médiathèque. Demandes d'aides et d'intervention du GAL.

M. le Maire fait part, toujours dans le cadre des travaux d'investissement programmés, du projet de création d'une médiathèque en 1999.

Il précise qu'il convient de solliciter des aides, mais aussi de demander au Groupement d'action locale (GAL) de porter le projet dans le cadre de la stratégie de développement du territoire. Il souligne que la maîtrise d'ouvrage serait communale, mais que l'ouvrage

serait incorporé dans une structure intercommunale, en l'occurrence le GAL.

Il informe du coût du projet : 1 154 000,00 F ht, soit 1 391 724,00 F ttc.

Il précise qu'il convient aussi de demander au Groupement d'action locale (GAL) de porter le projet dans le cadre de la stratégie de développement du territoire. Il rappelle que la maîtrise d'ouvrage serait communale, mais que l'ouvrage serait incorporé dans une structure intercommunale, en l'occurrence le GAL.

Il invite les Membres présents à approuver la réalisation des travaux, les demandes d'aides, ainsi que l'intervention du GAL et à l'habiliter à signer toutes les pièces relatives au projet et plus généralement faire le nécessaire.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU le dossier des travaux d'investissement programmés,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE la création d'une médiathèque en 1999.

DECIDE la réalisation des travaux programmés.

DIT que le montant de ces travaux s'élèvera à la somme de 1 154 000,00 F ht soit 1 391 724,00 F ttc.

SOLLICITE l'aide de l'Etat, de la Région, du Département, et de l'Europe (5b).

SOLLICITE en outre l'intervention du GAL afin de porter ce projet.

FIXE le financement prévisionnel de ces travaux comme suit :

- Subvention, - Autofinancement, - Emprunt.

HABILITE M. le Maire à signer toutes les pièces se rapportant à ce dossier et à son financement.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-04 Approbation de la garantie étendue à la période supplémentaire d'amortissement pour le remboursement de deux prêts au bénéfice de l'OPAC de la Haute-Marne.

M. le Maire fait part de la question relative à la mesure exceptionnelle d'allongement des prêts garantis par la Commune au bénéfice de l'OPAC de la Haute-Marne.

Il précise que l'organisme par courrier en date du 20 novembre dernier a sollicité la Commune en vue d'adapter les garanties initialement accordées sur les prêts qui feront l'objet d'un allongement de leur durée d'amortissement, dans le cadre de la mesure annoncée par le Gouvernement en juin 1996.

Il fait lecture de cette correspondance.

Il communique aux membres présents le tableau récapitulatif des deux emprunts réaménagés garantis par la commune ainsi qu'une simulation de l'allongement du tableau d'amortissement pour chaque contrat concerné.

Il souligne que l'OPAC de la Haute-Marne souhaite que la Commune accorde sa garantie pour le remboursement aux conditions indiquées pour chaque contrat dans ces tableaux.

Il ajoute que la garantie sera accordée à hauteur de la quotité initialement garantie par la Commune sur chacun des contrats.

Il signale qu'il est toutefois précisé que pour les prêts partiellement garantis par la commune, le réaménagement envisagé ne sera consenti par la Caisse des dépôts et consignations que si l'organisme emprunteur justifie d'une garantie complémentaire. En conséquence, à défaut de réaménagement de tout ou partie des contrats précités, la garantie correspondante initialement accordée par la Commune sera maintenue jusqu'à extinction des prêts concernés.

Il souligne que les taux d'intérêts et de progressivité de l'ensemble des contrats sont révisés à chaque échéance annuelle en fonction de la variation du taux du livret A et que les annuités seront recalculées, pour chacun des contrats visés dans les tableaux annexés, sur la base du capital restant dû à la date d'effet du réaménagement consenti.

Il fait remarquer qu'au cas où l'emprunteur, pour quelque motif que ce soit, ne s'acquitterait pas des sommes devenues exigibles ou des intérêts moratoires qu'il aurait encourus, la Commune s'engage à en effectuer le paiement en ses lieux et place, sur simple notification de la Caisse des dépôts et consignations par lettre missive, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement. Le Conseil municipal s'engageant pendant toute la durée des prêts à libérer, en cas de besoin, les ressources suffisantes pour couvrir les charges des emprunts.

Il invite les membres présents à délibérer afin que la Commune accorde sa garantie étendue à la période supplémentaire d'amortissement pour le remboursement des emprunts réaménagés au bénéfice de l'OPAC de la Haute- Marne par la Caisse des dépôts et consignations et à l'habiliter à intervenir à l'avenant, ou le cas échéant aux avenants qui seront passés entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la demande présenté par l'OPAC de la Haute-Marne,

VU l'article 19.2 du Code des caisses d'épargne,

VU les articles L. 2252-1 et L.2252-2 du Code général des collectivités territoriales,

VU l'article 2021 du Code civil,

APRES en avoir délibéré,

ACCORDE sa garantie étendue à la période supplémentaire d'amortissement pour le remboursement de deux emprunts réaménagés par la Caisse des dépôts et consignations au bénéfice de l'OPAC de la Haute-Marne et dont les références sont précisées dans les tableaux annexés à la présente délibération.

INDIQUE que la garantie sera accordée à hauteur de la quotité initialement garantie par la Commune sur chacun des contrats.

PRECISE toutefois que pour les prêts partiellement garantis par la commune, le réaménagement envisagé ne sera consenti par la Caisse des dépôts et consignations que si l'organisme emprunteur justifie d'une garantie complémentaire. En conséquence, à défaut de réaménagement de tout ou partie des contrats précités, la garantie correspondante initialement accordée par

la Commune sera maintenue jusqu'à extinction des prêts concernés.

EN OUTRE précise les conditions dans lesquelles la garantie est accordée à savoir les caractéristiques de taux et de durée des prêts indiquées, pour chaque contrat, dans les tableaux annexés. Les taux d'intérêts et de progressivité de l'ensemble des contrats sont révisés à chaque échéance annuelle en fonction de la variation du taux du livret A. Les annuités seront recalculées, pour chacun des contrats visés dans les tableaux annexés, sur la base du capital restant dû à la date d'effet du réaménagement consenti.

AJOUTE qu'au cas où l'emprunteur, pour quelque motif que ce soit, ne s'acquitterait pas des sommes devenues exigibles ou des intérêts moratoires qu'il aurait encourus, la Commune s'engage à en effectuer le paiement en ses lieux et place, sur simple notification de la Caisse des dépôts et consignations par lettre missive, en renonçant au bénéfice de discussion et sans jamais opposer le défaut de ressources nécessaires à ce règlement.

S'ENGAGE pendant toute la durée des prêts à libérer, en cas de besoin, les ressources suffisantes pour couvrir les charges des emprunts.

AUTORISE M. le maire à intervenir à l'avenant, ou le cas échéant aux avenants qui seront passés entre la Caisse des dépôts et consignations et l'emprunteur.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-05 Demande de concours de la DDE pour une mission de contrôle de la conformité des installations d'assainissement autonome.

M. le Maire fait part de la question relative au concours de la DDE de la Haute-Marne pour assurer une mission de conseil et d'assistance relative au contrôle de la conformité des installations d'assainissement autonome réalisées sur la Commune à compter du 1er janvier 1998. Il informe qu'en application de la loi sur l'eau n°92-3 du 3 janvier 1992, les communes doivent désormais assurer le contrôle de l'installation d'assainissement autonome et prendre en charge les dépenses correspondantes. Il ajoute que les services de la DDE peuvent apporter leur concours pour aider les communes dans la vérification des installations. Il fait part du contenu de la mission qui serait confiée à la Direction départementale de l'Equipement. Il dit qu'elle comprend toutes les démarches nécessaires à la bonne exécution du contrôle et notamment : la réception et l'examen de la recevabilité des demandes ; l'organisation des visites et l'accès aux propriétés privées; la vérification sur place de la conformité des installations avec l'étude filière réalisée par le bureau d'études spécialisé incluse dans la demande de création d'un dispositif d'assainissement autonome : dispositif d'assainissement préconisé, implantation des ouvrages, bon écoulement des effluents ; l'établissement des constats conduisant à la délivrance ou au refus de la conformité de l'installation par le maire ; l'organisation le cas échéant de nouvelles visites après reprise des installations en cas de refus de conformité ; l'envoi des différents courriers au propriétaire de l'ouvrage. Il ajoute que dans le cas particulier d'une installation d'assainissement autonome non liée à une demande de permis de construire, la Direction départementale de l'Equipement interviendra à la demande de la commune dans les mêmes conditions pour d'une part, instruire la demande en vue de l'approbation par le maire du dispositif d'assainissement individuel, d'autre part, effectuer la visite de conformité des installations en vue de la signature par le maire du procès-verbal de conformité. Le contrôle du bon fonctionnement et du bon entretien des installations ne sera effectué par la DDE qu'au vu d'une commande spécifique de la commune. Il indique que le forfait de rémunération de ce concours est fixé à 350 F ht par intervention et qu'il sera réglé en une seule fois sur présentation d'un décompte d'honoraires établi et notifié à la Commune par la Direction de l'Equipement en fin d'année. Il ajoute que le forfait de 350 F par intervention sera revalorisé chaque

année (n) en fonction de l'évolution de l'index ingénierie entre les mois de janvier des années n-1 et n. Il précise que la Commune, ou le Préfet, sur proposition du Directeur départemental de l'Equipement, pourront mettre un terme au présent concours moyennant un préavis de 6 mois.

Il invite les Membres présents à se déterminer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DEMANDE le concours de la Direction départementale de l'Equipement de la Haute-Marne pour assurer une mission de conseil et d'assistance relative au contrôle de la conformité des installations d'assainissement autonome réalisées sur la Commune à compter du 1er janvier 1998.

AJOUTE que le contenu de cette mission permanente est défini en annexe à la présente délibération.

FIXE le forfait de rémunération à 350 F ht par intervention. Ce forfait étant revalorisé chaque année (n) en fonction de l'évolution de l'index ingénierie entre les mois de janvier des années n-1 et n.

DIT qu'il sera réglé en une seule fois sur présentation d'un décompte d'honoraires établi et notifié à la Commune, par la Direction départementale de l'Equipement, en fin d'année.

REMARQUE que la Commune, ou le Préfet sur proposition du Directeur départemental de l'Equipement pourront à tout moment mettre un terme au présent concours moyennant un préavis de six mois.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-06 Approbation de la convention pour participation aux travaux programmés au collège de Nogent en 1997.

M. le Maire évoque la question relative à l'approbation de la convention pour travaux programmés dans le collège de Nogent en 1997.

Il fait part de la demande du SIVOS de Nogent reçue en mairie le 9 janvier dernier. Il informe que cette participation est demandée étant donné les travaux de reconstruction du collège de Nogent et en fonction de l'annuité de l'emprunt contracté pour ces travaux. Il indique que la participation de la Commune est estimée à la somme de 390,44 F pour un élève scolarisé à Nogent durant l'année 1996-1997. Il ajoute que cette participation pourra, si besoin, être réajustée en fonction du décompte final.

Il invite les membres présents à délibérer et à l'habiliter à signer la convention à intervenir.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU le projet de convention pour travaux programmés dans les collèges en 1997, collège de Nogent, présenté par le SIVOS de Nogent,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE la convention pour travaux programmés dans le collège de Nogent en 1997.

DIT que la participation communale s'élèvera à la somme de 390,44 F pour un

élève scolarisé.

PRECISE que cette participation financière pourra être réajustée, si besoin, en fonction du décompte final.

AJOUTE que les crédits nécessaires sont inscrits au Budget de la Commune.

HABILITE M. le Maire à signer la convention à intervenir et plus généralement faire le nécessaire.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-07 Avis favorable à la demande de dissolution et de réorganisation du corps des sapeurs pompiers de Rolampont faite par M. le Sous-Préfet de l'arrondissement de Langres et Mme le Préfet du Département de la Haute- Marne.

M. le Maire évoque la question relative aux Sapeurs-Pompiers et à la réponse à Monsieur le Sous-Préfet et à Madame le Préfet.

Il demande à Mademoiselle Torraille de faire lecture des courriers échangés.

MLLE TORRAILLE fait lecture d'une lettre en date du 14 octobre 1997, reçue en mairie le 15 octobre 1997. Elle précise qu'il s'agit d'une lettre de Madame le Préfet visée par la Sous-Préfecture.

Elle fait lecture de la réponse du maire à Madame le Préfet de la Haute- Marne sous-couvert de Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Langres en date du 22 novembre 1997.

Elle fait lecture de la lettre de Monsieur Bernard Cousin, en date du 7 décembre 1997 et reçue en mairie le 9 décembre 1997 ; adressée à Monsieur le maire et à Monsieur le chef de corps et pour information à Monsieur le responsable départemental le Colonel Montalétang et à Messieurs les maires- délégués des communes associées de Charmoilles, Tronchoy et Lannes.

Elle fait lecture de la lettre de Monsieur le Sous-Préfet de Langres en date du 23 décembre 1997 et reçue en mairie le 30 décembre 1997.

M. le Maire dit : voilà le déroulement des faits. Monsieur le Sous-Préfet nous demande aujourd'hui un avis de dissolution et Madame le Préfet un avis de réorganisation du corps.

Il invite les membres présents à se déterminer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire,

OUI le compte-rendu de Mademoiselle l'Adjoint,

VU la correspondance de Monsieur le Sous-Préfet de Langres en date du 23 décembre 1997, reçue en mairie le 30 décembre 1997.

APRES en avoir délibéré,

DONNE, à la demande de Monsieur le Sous-Préfet de l'Arrondissement de Langres, un avis favorable à la demande de dissolution du Corps des sapeurs- pompiers de Rolampont.

DONNE, à la demande de Madame le Préfet du Département de la Haute-Marne, un avis favorable à la réorganisation d'un Centre de première intervention à Rolampont.

Adopté par 11 voix POUR, 5 ABSTENTIONS, 2 CONTRE en ce qui concerne la dissolution et par 13 voix POUR, 5 ABSTENTIONS en ce qui concerne la réorganisation.

N°98-08 Approbation de quatre adhésions et des statuts du SMICTOM de la région de Langres. Désignation des délégués et des suppléants.

M. le Maire dit que l'on va à présent passer aux questions diverses. Il demande aux membres présents s'ils sont d'accord afin de délibérer sur ces questions si nécessaire.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent unanimement sur ce point.

M. le Maire invite Mademoiselle Torraille à faire part du courrier du SICTOM reçu en mairie le 12 janvier dernier et relatif aux nouveaux statuts du Syndicat.

MLLE TORRAILLE fait lecture des correspondances et du projet de statuts. Elle signale que le SICTOM se transforme en SMICTOM

M. le Maire dit qu'il convient d'approuver les adhésions des communes de Serqueux, Pressigny, Fresne-sur-Apance au SICTOM, les nouveaux statuts et de nommer un délégué et un suppléant de plus, ou plus exactement nommer, en confirmant les deux délégués au SICTOM, trois délégués et trois suppléants au SMICTOM. Il propose sa candidature en qualité de délégué.

MM. DELIN, BOUVIER et HERBERT proposent leur candidature en qualité de suppléants.

M. le Maire invite les membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

OUI le compte-rendu de Mademoiselle l'Adjoint,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE l'adhésion des communes de Serqueux, Pressigny, Fresne-sur-Apance au SICTOM de la Région de Langres.

DECIDE l'adhésion de la Commune au SMICTOM de la Région de Langres.

APPROUVE les nouveaux statuts du SMICTOM.

DESIGNE MM. Michel Gallissot, Charles Wehrung et Gilbert Pelletier en qualité de délégués au SMICTOM et MM. Claude Bouvier, Martial Delin et Jean- Yves Herbert en qualité de suppléants.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

COMMUNE DE ROLAMPONT PROCÈS VERBAL SÉANCE DU 12 FEVRIER 1998

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L'AN MIL NEUF CENT QUATRE VINGT DIX HUIT, LE JEUDI 12 FEVRIER A VINGT HEURES, LE CONSEIL MUNICIPAL, dûment convoqué par Monsieur le maire le 7 février 1998, s'est assemblé sous la présidence de M. Michel Gallissot.

Étaient présents : M. Michel GALLISSOT, maire, MM. DELIN, PELLETIER, MLLE TORRAILLE, MME RUEL, adjoints, BOUVIER, DOUCHE, WEHRUNG, maires-délégués, MMES ROBIN, BROCHOT, MLLE DIOT, MM. Patrick GALLISSOT, BREGERE, COUVREUX, ANDRE, HERBERT, THOMASSIN conseillers municipaux.

Excusés : MLLE DIOT conseiller municipal, M. RAGUET, conseiller municipal (procuration à M. le maire),

Absent : M. PEUREUX, conseiller municipal.

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M. le Maire ouvre la séance à 20 h 5.

Les conseillers présents formant la majorité des membres en exercice, conformément à l'article L.121-14 du Code des communes, il a été procédé à la nomination d'un secrétaire pris au sein du Conseil. Mlle TORRAILLE ayant obtenu la majorité des suffrages, a été désignée pour remplir ces fonctions qu'elle a acceptées.

INTERVENTIONS

M. le maire souhaite le bonsoir aux membres présents.

Il présente les excuses de Mademoiselle Diot, souffrante, et de Monsieur Raguet. Il indique que M. Raguet lui a donné procuration.

Il invite Mlle Torraille à faire lecture du procès-verbal de la dernière séance du Conseil.

Mlle TORRAILLE fait lecture du procès-verbal de la séance du 13 janvier 1998.

M. le Maire demande si quelqu'un a des observations à formuler.

M. PELLETIER fait remarquer que le projet de renforcement en eau est situé route de et non pas route de Beauchemin.

M. BREGERE signale que cette route mène aussi à Beauchemin.

M. le Maire précise qu'il s'agit en fait du CD 155, mais que l'essentiel est de retrouver le même nom partout sur les dossiers afin qu'ils soient bien suivis par les services extérieurs.

N°0 Adoption du procès-verbal de la séance du 13 janvier 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit que l'on va passer à l'ordre du jour.

Il présente la question relative à la désignation d'un délégué du conseil municipal à la commission communale chargée de l'établissement de la liste électorale pour le renouvellement des administrateurs du centre régional de la propriété forestière.

Il fait part de la correspondance des services préfectoraux en date du 27 janvier 1998, reçue en mairie le 29 janvier dernier, relative à ce sujet.

Il informe qu'il a proposé les noms de Messieurs Jean Logerot et Jany Michel afin que Madame le Préfet puisse choisir son délégué.

Il propose le nom de Monsieur Robert Dongois et invite le Conseil à désigner l'intéressé en qualité de membre de la commission communale chargée de l'établissement de la liste électorale pour le renouvellement des administrateurs du centre régional de la propriété forestière.

N°1 Désignation de M. Robert Dongois en qualité de membre de la commission communale chargée de l'établissement de la liste électorale pour l'élection des administrateurs du centre régional de la propriété forestière. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la deuxième question à l'ordre du jour.

Il rappelle qu'il s'agit de la question relative à l'adhésion à l'ORAC du plateau de Langres.

Il signale que cette question est déjà réglée d'avance puisque Rolampont a déjà adhéré à l'ORAC de Nogent et que l'on ne peut pas bénéficier une deuxième fois d'une Opération de Restructuration de l'Artisanat et du Commerce, comme donc pour tout le canton de Neuilly.

Il ajoute que la question est ici réglée.

Il évoque la question relative à la destination des coupes en Forêt Communale de Lannes pour l'exercice 1998.

Il précise qu'il a regardé le programme qui a été modifié en automne dernier avec l'accord de tout le monde et que la destination des coupes proposée par l'ONF correspond à ce qui avait été décidé.

Il signale qu'il s'agit d'approuver la destination des coupes 202 et 205, soit la vente des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF de ces coupes en 1999 et la délivrance en 1998 du taillis sur les chemins de vidange et petites futaies non vendues de ces coupes aux affouagistes.

Il ajoute qu'il y aura même du broyage pour 6 182,00 F dans la coupe 205 car tout ne pourra être fait par les affouagistes.

M. WEHRUNG précise : dans les chemins de vidange.

M. le Maire signale que les produits mis en vente seront des chênes, des frênes, des érables planes et sycomores, des fruitiers, des hêtres, à partir de 35 centimètres de diamètre, les autres feuillus, à partir de 40 centimètres de diamètre.

Il indique que la découpe des arbres mis en vente sera une découpe normale à 25 centimètres de diamètre pour toutes les essences.

Il dit que le partage de l'affouage sera réalisé par feu, c'est-à-dire, par ménage ou par chef de famille.

Il ajoute qu'il convient de nommer les garants.

LES MEMBRES PRESENTS proposent que les garants soient Messieurs Francis André, Pierre Douche et Charles Wehrung.

M. le Maire indique que les délais à respecter dans les coupes affouagères sont les suivants : le 15 avril 1999 pour l'abattage du taillis et des petites futaies ; le 15 octobre 1999 pour la vidange du taillis et des petites futaies et le 15 avril 2001 pour le façonnage et la vidange des houppiers.

Il informe que faute par les affouagistes d'avoir enlevé tout ou partie de leur lot avant l'expiration du délai de vidange, ils seront considérés comme y ayant renoncé et la vente en sera poursuivie au profit de la Commune.

Il dit que les charges à imposer seront de 0,5 % du prix de vente au profit de la S.M.P.F.A.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°2 Destination des coupes en FC de Lannes. Exercice 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit que l'on va à présent passer aux questions diverses.

Il demande aux membres présents s'ils sont d'accord afin de délibérer

sur ces questions si nécessaire.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent unanimement sur ce point.

M. le Maire évoque les suites concernant les pompiers.

Il fait part de la lettre de Monsieur le Sous-Préfet en date du 4 février 1998, reçue en mairie le 5 février dernier.

Il ajoute qu'il pense que tous les sapeurs-pompiers en ont eu connaissance.

M. BOUVIER précise : sauf les maires-délégués.

M. le Maire précise qu'il a dit tous les sapeurs-pompiers.

Il fait lecture de la correspondance de Monsieur le Sous-Préfet.

"Objet : dissolution et réorganisation du corps de première intervention communal des sapeurs-pompiers de Rolampont

Monsieur le Maire,

Le Conseil Municipal de Rolampont, au cours de sa séance du 13 janvier 1998, a émis un avis favorable à la dissolution puis à la réorganisation du corps communal des sapeurs-pompiers de Rolampont, suite aux dysfonctionnements internes du corps.

A cet effet, et conformément à l'article R 354-11 du Code des communes, je me propose de réunir une commission chargée d'émettre, auprès de vous- même, un avis quant à l'acceptation du réengagement des sapeurs-pompiers volontaires du corps dans le cadre de la réorganisation.

Cette commission sera composée comme suit :

- Président : lieutenant Jean-Claude Michel, officier professionnel du CSP Langres, lequel assurera les fonctions de chef de corps par intérim lors de la reconstitution du corps.

- Membres :

* Deux membres du Conseil Municipal désignés par vous-même

* Trois délégués désignés par le Préfet :

- Lieut. Charles Martin, Président de l'Union Départementale des Sapeurs-Pompiers de la Haute-Marne;

- M. Favrel, chef du service interministériel de défense et de protection civile;

- M. le Président de l'Association départementale des maires de la Haute-Marne ou son représentant;

* Le directeur départemental des services d'incendie et de secours

* Le médecin-chef des services d'incendie et de secours

Je vous demande donc de bien vouloir désigner deux membres de votre Conseil Municipal et les inviter à participer à la réunion de cette commission qui aura lieu le :

- Lundi 16 février prochain de 9 h 00 à 18 h 00, dans les locaux de la Sous-Préfecture de Langres.

Au cours de cette réunion, sera entendu l'ensemble des sapeurs-pompiers actuels du corps de Rolampont, ceux qui ont démissionné depuis moins de 3 ans et les candidats actuels à la fonction, répertoriés suite à la réunion

du 19 janvier dernier en mairie.

Comptant sur leur présence, je vous prie d'agréer, Monsieur le Maire, l'assurance de mes sentiments les meilleurs."

Il précise qu'il a désigné les deux membres de la Commission communale des sapeurs-pompiers qui sont Messieurs Michel Brégère et Jean-Yves Herbert.

Il souligne qu'il ne fait pas partie de la commission.

Il informe que monsieur le capitaine Legouëler a fait récupérer les registres de matricules.

M. PATRICK GALLISSOT demande si la dissolution du corps est à présent prononcée.

M. le Maire répond par la négative et précise que cette décision sera prise en même temps que celle concernant la réorganisation.

M. DELIN demande si l'on sait combien de temps Monsieur Michel assurera l'intérim. Il ajoute que les sapeurs-pompiers seront certainement reçus individuellement.

M. le Maire indique qu'il ne sait pas, qu'il n'en sait pas plus que ce qu'il vient de dire notamment en ce qui concerne la façon dont se déroulera cette commission.

Il rappelle pour information et à un autre propos, le montant du dégrèvement de taxe foncière obtenu pour 1997 et dont il a parlé lors de la dernière réunion du Conseil.

Il montre aux membres présents la copie du chèque émis par le Trésor Public d'un montant de 10 394,00 F.

Il évoque le projet de réalisation du giratoire de Rolampont.

Il fait part des rapports de Monsieur Pascal Girault des services techniques de la ville de Langres à la CCEL.

Il communique le plan du projet de giratoire de Rolampont aux membres présents.

Il fait part d'une partie du compte-rendu de la Commission développement économique et aménagement du territoire du 4 février 1998 relative au carrefour giratoire de Rolampont.

Il transmet aux membres présents le plan relatif au projet de carrefour giratoire du Sabinus.

Il invite Mademoiselle Torraille a continuer la lecture du compte-rendu en ce qui concerne le projet de lotissement de Saints-Geosmes, l'Imprimerie du Petit-Cloître et la zone artisanale de la Margelle.

Mademoiselle Torraille en fait lecture.

M. le Maire précise, pour ceux qui ne le savent pas, que le Petit- Cloître cherche à se délocaliser et que Monsieur Morel est le directeur de Haute-Marne Développement.

Il évoque le projet d'installation du garage Fiat.

Il informe qu'en ce qui concerne les projets sur Rolampont, il conviendra de modifier le POS par rapport à la réglementation sur l'entrée des villes, c'est-à-dire, l'amendement Dupont relatif au recul de 75 mètres.

Il précise qu'il a pris l'attache de Madame Milesi à la DDE de Chaumont

à ce propos.

Il souligne que la modification ne pourra intervenir que lorsque le projet Renaudie aura fait retour en mairie.

Il indique que l'étude globale sera certainement remise par le cabinet Renaudie vers la fin du mois de mars prochain.

Il informe des délais dans le cadre de la procédure de modification du POS, soit au minimum six mois durant lesquels sont compris : la phase d'instruction par les services de la DDE, l'enquête publique (un mois), la désignation par le Tribunal administratif d'un commissaire enquêteur qui aura un mois pour remettre ses conclusions, la délibération du Conseil municipal et la publicité.

Il signale, sous toutes réserves, que les travaux du giratoire de Rolampont pourraient être réalisés à la fin de cette année. Les travaux sur Saints-Geosmes en 1999.

Il dit qu'il serait souhaitable dans un premier temps d'approuver le principe de la mise en oeuvre de la procédure de modification du POS, de solliciter le concours des services de la DDE afin de mener la procédure de modification pour le compte de la Commune et l'habiliter à signer la convention à intervenir.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°3 Adoption du principe de la mise en oeuvre d'une modification du POS. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire fait part d'une lettre qu'il a adressé à SAME France le 28 janvier dernier au sujet des problèmes rencontrés depuis l'acquisition d'un tracteur livré fin novembre 1995. Il précise que la Commune n'est toujours pas en possession des pièces nécessaires à son immatriculation et qu'une fuite d'huile au pont arrière n'est toujours pas réparée. Il ajoute, au cas où certains conseillers en auraient des échos, qu'il demeure toujours avec le même fournisseur un petit problème de facture qui n'est pas encore réglée. Il souligne qu'il a expliqué les raisons du non paiement à l'intéressé qui a adressé un avoir en mairie sans plus de précision. Il dit que l'on aurait aimé avoir une facture détaillée.

Il informe d'une note de présentation graphique détaillée du budget départemental pour l'exercice 1998.

LES MEMBRES présents signalent que ces chiffres ont été publiés dans le dernier numéro de "Ligne directe".

M. le Maire évoque la nécessité de changer les isoloirs. Il communique aux membres présents les catalogues de vente par correspondance et les tarifs.

Il informe que l'on a reçu récemment une note d'Electricité de France. Il ajoute, pour avoir une idée et à titre d'information, que la consommation des vestiaires du stade entre le 12 novembre 01997 et le 14 janvier 1998 s'élève à la somme de 2332,00 F.

M. DELIN précise qu'en faisant une projection cela donnerait entre 12 000,00 F et 13 000,00 F par an. Il précise en communiquant aux membres présents les calculs qu'il a effectués. Il souligne que cela fait cher les journées EJP. Il ajoute qu'en laissant les chauffes-eaux et les radiateurs hors gel on ne peut pas descendre en dessous de 20 Kw alors que le vestiaire est inoccupé.

Il dit que si l'on compare pour la même période, la journée MTL revient à 300,00 F en journée EJP. Il informe qu'il lui semble avoir constaté un dysfonctionnement sur le compteur EJP de la Maison du Temps Libre qui tournerait même lorsqu'il n'y a pas de journée EJP. Il précise avoir noté une consommation anormale soit 1200 Kw entre le 11 juillet 1997 et le 14 novembre 1997.

M. BREGERE répond qu'un relais est peut-être défectueux et qu'il conviendrait de contrôler le compteur, celui du haut, des heures creuses, en fin de période EJP.

M. DELIN compare sa consommation personnelle avec celle des nouveaux vestiaires.

M. le Maire lui fait remarquer que la Commune reçoit plus deux factures par an.

Il signale qu'il va continuer ses informations.

Il évoque la Commission de sécurité qui s'est réunie à l'église de Lannes. Il précise qu'il faudra installer un extincteur de six litres et vérifier l'installation électrique. Il signale que cette installation n'est pas trop ancienne.

Il informe que le Contrat Emploi Consolidé de Monsieur Gobert est arrivé à échéance et doit être renouvelé. Il propose si le Conseil s'en accorde de porter ses heures de travail de 20 heures par semaine à 30 heures d'autant plus que l'on a un employé toujours en javelle. Il précise que Monsieur Fouassier est toujours arrêté, à présent jusqu'au 8 mars.

Il informe de l'intervention, à sa demande, des sapeurs-pompiers de Langres sur le haut du clocher de l'église de Rolampont, une plaque de plomb de quelques kilos menaçait de tomber et n'était plus retenue que par deux clous. Il ajoute que les travaux nécessaires à sa réfection deviennent plus que jamais nécessaires et que l'on n'attend plus que la décision d'aide du Conseil Régional, les travaux ayant été présentés au titre du Programme Patrimoine Rural (PPR) 1998.

Il fait remarquer que l'on a trouvé dans la boîte aux lettres le 15 janvier dernier un petit mot daté du 14 : "Monsieur le maire, nous vous écrivons pour vous demander s'il serait possible de faire une piste de roller à Rolampont. Serait-elle faite pour l'été 1998. Recevez nos sincères salutations. Les jeunes." Le lendemain un autre mot : "Les jeunes de Rolampont - Nous voudrions une piste de roller à Rolampont (avec quelques accessoires si possible). Merci" avec une liste de nom : " Durost, Fouassier, Loyola, Mathiot, Cartagena, Croville, Parrot, Royer, Logerot, Cardoso, Gagant, Conard". Il dit qu'il avait pensé que le parking de la future salle des sports pourrait faire l'affaire.

Il informe qu'il a été trouvé un autre papier le 29 janvier dernier dont il fait lecture : "Monsieur le Maire. Nous jeunes de Rolampont désirons, avec votre accord, qu'un banc soit installé sous l'arrêt des bus. Attendre le bus assis est beaucoup plus agréable ! Effectivement tous les abris bus sont dotés de bancs. Alors pourquoi pas le notre ? Merci." il précise que le nécessaire sera fait.

M. DELIN évoque la destruction d'une affiche et de la porte du placard d'affichage qui avait été installé dans l'abri-bus.

M. le Maire invite Monsieur Wehrung à faire part de la dernière réunion de l'Association Foncière de Lannes.

M. WEHRUNG dit que l'Association Foncière a accepté la rétrocession de chemins, rétrocession dont il avait été question il y a fort longtemps et qui avait été laissée sans suite. Il précise que l'Association Foncière a repris l'ancienne liste des chemins, leur superficie et références cadastrales. Il signale qu'un document d'arpentage sera nécessaire.

M. le Maire fait remarquer qu'il s'est renseigné des tarifs à ce propos et qu'il faudra prévoir 970,00 F, 1000,00 F ttc sans aller sur le terrain plus 375,00 F car il faudra passer devant la Commission de remembrement.

M. WEHRUNG ajoute que l'on profitera de cette occasion pour régulariser le problème d'un bout de chemin communal incorporé par erreur dans une parcelle privée lors du remembrement.

M. le Maire signale que le partage des frais avec l'Association Foncière a été convenu.

M. le Maire précise qu'il n'y a pas à délibérer aujourd'hui car il convient d'obtenir le document d'arpentage d'abord. Il demande si les membres présents sont d'accord pour confier ce travail au cabinet Kolb. Il souligne qu'il n'est pas favorable à la rétrocession de la côte de Pré Juin qui ne donne accès qu'à l'autoroute. Il précise qu'elle n'est pas très utile et ne dessert que les champs.

M. WEHRUNG dit qu'elle dessert aussi le pont de l'autoroute.

M. le Maire répond que ce chemin ne dessert que ce pont et que c'est là la seule réserve qu'il émet en ce qui concerne les rétrocessions de chemins sur Lannes.

Il s'inquiète du passage sur le chemin de la Côte Robert par Michel Logerot dont on a démonté l'acqueduc car il ne souhaitait pas participer aux frais. Il signale qu'avec du bois l'acqueduc risque d'être encore plus bouché.

M. le Maire informe d'un appel téléphonique qu'il a reçu de Madame Rousselot de Tronchoy qui souhaite que l'électricité et l'eau soient installées avant de procéder à la vente. Il rappelle les faits et signale que le chemin est achevé.

M. DOUCHE précise que Madame Rousselot lui a dit qu'il lui fallait l'eau et l'électricité pour avoir le permis de construire.

M. WEHRUNG s'étonne. Il signale que dès lors que la Commune a pris l'engagement sur la viabilité du terrain cela suffit, la réalisation des travaux n'étant pas nécessaire à l'obtention du permis de construire.

M. le Maire évoque l'intervention qui a eu lieu sur les panneaux de basket de l'école. Il précise que les écrous ont été remplacés et que des essais de mise en charge ont été effectués par la société Récré-Action mandatée par la Camif.

Il fait par du courrier reçu du Syndicat d'électrification de la région langroise en date du 12 janvier 1997, reçu le même jour en mairie relatif à l'entretien de l'éclairage public. Il informe qu'en plus des deux visites d'entretien, et compte tenu du nombre de luminaires installés dans la Commune, nous avons droit annuellement à sept interventions de maintenance corrective, dépannages, payées par le Syndicat et assurées par l'entreprise Baudoin, soit quatre pour Rolampont, une pour Charmoilles, une pour Lannes et une pour Tronchoy. Il ajoute que toutes les autres interventions étant à la charge de la Commune.

Il signale que l'on va revenir à Natura 2000.

Il demande à Mademoiselle Torraille de faire lecture de la lettre de la Préfecture en date du 19 janvier 1997 et reçue en mairie le 21 janvier dernier relative à la consultation des maires dans le cadre de la directive européenne Habitats - Réseau Natura 2000.

Mademoiselle Torraille précise qu'en application du décret n°95-631 du 5 mai 1995 et de la circulaire du ministère de l'aménagement du territoire et de l'environnement en date du 11 août 1997 relatifs à la mise en oeuvre de la directive européenne Natura 2000, l'on adresse à Monsieur le maire de Rolampont la deuxième liste des sites soumis à l'avis du comité départemental de suivi Natura 2000 réuni à Chaumont le 22 septembre 1997. Elle ajoute que la Commune est concernée par le site n°33 - Tufière de Rolampont, d'une superficie de 23 ha (partie 2e liste) et qu'en conséquence Monsieur le maire est invité à faire connaître dans un délai de deux mois, à compter du présent envoi, son point de vue sur l'intérêt de l'intégration du site concerné dans le futur réseau Natura 2000, ainsi que les remarques et suggestions que cette proposition d'intégration à ce réseau suscitent de sa part. Elle signale qu'à l'issue de la phase de consultation, le Préfet transmettra la liste au ministre de l'aménagement du territoire et de l'environnement en tenant compte de ses observations.

M. le Maire fait remarquer qu'à présent l'on doit répondre, mais que depuis la dernière réunion l'on a reçu en mairie de nombreux courriers concernant Natura 2000 : le 22 janvier de la Fédération des chasseurs de la Haute-Marne, le 14 janvier de la Société départementale de protection de la nature et de l'environnement : nature Haute-Marne, le 22 janvier dernier aussi du Syndicat des propriétaires forestiers sylviculteurs de Haute-Marne.

Il propose de s'abstenir car l'on ne connait ni les contraintes, ni les compensations financières.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent unanimement sur ce point sans qu'il soit nécessaire de délibérer.

M. le Maire informe d'une proposition de Monsieur Jean-Claude Sautier visant à céder à la Commune environ 5000 tuiles violons pour le prix de 5000 F.

M. HERBERT remarque que c'est le prix.

M. ANDRE ajoute qu'il n'y a rien à dire. Il précise que c'est plus cher que çà.

M. le Maire souligne que cette proposition est intéressante lorsque l'on sait que nombre de bâtiments communaux ont une toiture couverte de tuiles de ce type.

M. BREGERE ajoute que cela fait de beaux toits.

M. le Maire souligne que ces tuiles sont recherchées. Il dit que même Monsieur Ebrard lui en a même fait la remarque.

Il propose en ce qui concerne la toiture de la Maison du Temps Libre qui est à présent achevée que l'on attende qu'il pleuve avant de réceptionner les travaux afin de pouvoir constater s'il n'y a pas quelques fuites.

Il indique que la société ConstruMétal sera chargée de l'isolation des pignons du garage communal des Prayes passé le délai de livraison des tôles qui sont fabriquées sur mesure.

Il évoque le souhait du Collège des Franchises d'organiser une collation pour ses élèves à la récréation de 10 h 00 et sa demande d'aide financière pour assurer la pérennité de ce projet. Il ajoute : à votre bon coeur. Il propose que l'on attende plus de précisions sur les besoins en

financement.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent sur ce point.

M. le Maire informe avoir reçu la demande de Monsieur Grapinet qui souhaitait faire une abaissée de trottoir devant sa propriété. Il dit qu'il lui a fait la réponse type prévoyant que les travaux devraient être réalisés à ses frais et dans les règles de l'art, c'est-à- dire en utilisant notamment des bordures normalisés dont les types sont expressément définis. Il signale que l'intéressé a répondu qu'il utiliserait l'ancienne bordure qu'il enterrerait.

Il évoque le questionnaire enquête de l'INSEE relatif à l'inventaire communal 1998.

Il invite Madame Brochot à faire état des modifications à intervenir dans le cadre de la rédaction des actes administratifs par les services de l'Etat pour la rétrocession des chemins des différentes associations foncières de la Commune.

M. BROCHOT informe de la nécessité de reprendre les habilitations des délibérations n°97-48 du 11 septembre 1997 et n°97-27 du 6 juin 1997, le maire ne pouvant intervenir à l'acte au nom de la Commune et recevoir l'acte en sa qualité d'officier public, en quelque sorte comme un notaire.

Elle ajoute que le service de l'Etat ne peut par ailleurs accepter la délibération produite de l'Association Foncière de Charmoilles car elle est trop ancienne, elle date de 1983. Elle dit, toujours pour Charmoilles, qu'il conviendrait de préciser les contenances.

Elle fait remarquer que la délibération n°97-13 du 26 mars 1997 relative aux rétrocessions de Rolampont n'appelle aucun commentaire et que l'acte est prêt à être signé.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer.

N°4 Modification de la délibération n°97-48 du 11 septembre 1997 relative à l'acceptation de la rétrocession du chemin dit de la Côte Martin par l'A.F. de Tronchoy, cadastré Section 498 ZB n°5 lieu-dit "Les Grands Prés". Habilitations. Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°5 Modification de la délibération n°97-27 du 6 juin 1997 relative à l'acceptation de la rétrocession à la Commune de chemins appartenant à l'Association Foncière de Charmoilles. Habilitations et contenances. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire indique qu'il en a fini avec l'ordre du jour.

Il demande si quelqu'un souhaite intervenir.

MME RUEL informe du lancement d'une enquête auprès des personnes âgées de la Commune à l'initiative de la CCEL, inspirée notamment de l'enquête faite à Langres au moment du projet de portage des repas à domicile.

Elle communique aux membres présents le formulaire de l'enquête.

M. COUVREUX évoque la facturation de l'entretien des espaces verts par l'OPAC de la Haute-Marne répercutée sur certains locataires cette année.

M. le Maire demande s'il y a d'autres questions.

L'ORDRE DU JOUR ÉTANT ÉPUISÉ M. LE MAIRE LÈVE LA SÉANCE LE 12 FEVRIER 1998 À 22 H 50.

COMMUNE DE ROLAMPONT DÉLIBÉRATIONS SEANCE DU 12 FEVRIER 1998

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N°98-09 Désignation de M. Robert Dongois en qualité de membre de la commission communale chargée de l'établissement de la liste électorale pour l'élection des administrateurs du centre régional de la propriété forestière.

M. le Maire présente la question relative à la désignation d'un délégué du conseil municipal à la commission communale chargée de l'établissement de la liste électorale pour le renouvellement des administrateurs du centre régional de la propriété forestière. Il fait part de la correspondance des services préfectoraux en date du 27 janvier 1998, reçue en mairie le 29 janvier dernier, relative à ce sujet. Il informe qu'il a proposé les noms de Messieurs Jean Logerot et Jany Michel afin que Madame le Préfet puisse choisir son délégué. Il propose le nom de Monsieur Robert Dongois et invite le Conseil à désigner l'intéressé en qualité de membre de la commission communale chargée de l'établissement de la liste électorale pour le renouvellement des administrateurs du centre régional de la propriété forestière.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DESIGNE Monsieur Robert Dongois en qualité de membre de la commission communale chargée de l'établissement de la liste électorale pour le renouvellement des administrateurs du centre régional de la propriété forestière.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-10 Destination des coupes en FC de Lannes. Exercice 1998.

M. le Maire évoque la question relative à la destination des coupes en Forêt Communale de Lannes pour l'exercice 1998. Il précise qu'il a regardé le programme qui a été modifié en automne dernier avec l'accord de tout le monde et que la destination des coupes proposée par l'ONF correspond à ce qui avait été décidé. Il signale qu'il s'agit d'approuver la destination des coupes 202 et 205, soit la vente des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF de ces coupes en 1999 et la délivrance en 1998 du taillis sur les chemins de vidange et petites futaies non vendues de ces coupes aux affouagistes. Il ajoute qu'il y aura même du broyage pour 6 182,00 F dans la coupe 205 car tout ne pourra être fait par les affouagistes. Il signale que les produits mis en vente seront des chênes, des frênes, des érables planes et sycomores, des fruitiers, des hêtres, à partir de 35 centimètres de diamètre, les autres feuillus, à partir de 40 centimètres de diamètre. Il indique que la découpe des arbres mis en vente sera une découpe normale à 25 centimètres de diamètre pour toutes les essences. Il dit que le partage de l'affouage sera réalisé par feu, c'est-à-dire, par ménage ou par chef de famille. Il ajoute qu'il convient de nommer les garants.

LES MEMBRES PRESENTS proposent que les garants soient Messieurs Francis André, Pierre Douche et Charles Wehrung.

M. le Maire indique que les délais à respecter dans les coupes affouagères sont les suivants : le 15 avril 1999 pour l'abattage du taillis et des petites futaies ; le 15 octobre 1999 pour la vidange du taillis et des petites futaies et le 15 avril 2001 pour le façonnage et la vidange des

houppiers. Il informe que faute par les affouagistes d'avoir enlevé tout ou partie de leur lot avant l'expiration du délai de vidange, ils seront considérés comme y ayant renoncé et la vente en sera poursuivie au profit de la Commune. Il dit que les charges à imposer seront de 0,5 % du prix de vente au profit de la S.M.P.F.A.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la proposition de Monsieur l'Agent de l'Office National des Forêts,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE la destination des coupes 202 et 205 de la Forêt Communale de Rolampont Commune Associée de Lannes pour l'exercice 1998, à savoir :

- Vente des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF de ces coupes en 1999

- Délivrance en 1998 du taillis sur les chemins de vidange et petites futaies non vendues de ces coupes aux affouagistes.

DIT que les produits mis en vente seront des chênes, des frênes, des érables planes et sycomores, des fruitiers, des hêtres, à partir de 35 centimètres de diamètre, les autres feuillus, à partir de 40 centimètres de diamètre.

AJOUTE que la découpe des arbres mis en vente sera une découpe normale à 25 centimètres de diamètre pour toutes les essences.

DIT que l'exploitation de ces parties délivrées sera effectuée par les affouagistes après partage, sous la responsabilité de trois garants.

NOMME les garants pour l'exploitation de la partie délivrée des coupes.

- 1er garant : M Francis André, - 2ème garant : M. Pierre Douche - 3ème garant : M. Charles Wehrung.

PRECISE que le partage de l'affouage sera réalisé par feu, c'est-à-dire, par ménage ou par chef de famille

AJOUTE les délais à respecter dans les coupes affouagères :

- abattage du taillis et des petites futaies : 15 avril 1999 - vidange du taillis et des petites futaies : 15 octobre 1999 - façonnage et la vidange des houppiers : 15 avril 2001

DIT que faute par les affouagistes d'avoir enlevé tout ou partie de leur lot avant l'expiration du délai de vidange, ils seront considérés comme y ayant renoncé et la vente en sera poursuivie au profit de la Commune.

INDIQUE les charges à imposer, soit 0,5 % du prix de vente au profit de la S.M.P.F.A.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-11 Adoption du principe de la mise en oeuvre d'une modification du POS.

M. le Maire évoque le projet de réalisation du giratoire de Rolampont. Il fait part des rapports de Monsieur Pascal Girault des services techniques de la ville de Langres à la CCEL. Il communique le plan du projet de giratoire de Rolampont aux membres

présents. Il fait part d'une partie du compte-rendu de la Commission développement économique et aménagement du territoire du 4 février 1998 relative au carrefour giratoire de Rolampont. Il transmet aux membres présents le plan relatif au projet de carrefour giratoire du Sabinus. Il invite Mademoiselle Torraille a continuer la lecture du compte-rendu en ce qui concerne le projet de lotissement de Saints-Geosmes, l'Imprimerie du Petit-Cloître et la zone artisanale de la Margelle. Il informe qu'en ce qui concerne les projets sur Rolampont, il conviendra de modifier le POS par rapport à la réglementation sur l'entrée des villes, c'est-à-dire, l'amendement Dupont relatif au recul de 75 mètres. Il précise qu'il a pris l'attache de Madame Milesi à la DDE de Chaumont à ce propos. Il souligne que la modification ne pourra intervenir que lorsque le projet Renaudie aura fait retour en mairie. Il indique que l'étude globale sera certainement remise par le cabinet Renaudie vers la fin du mois de mars prochain. Il informe des délais dans le cadre de la procédure de modification du POS, soit au minimum six mois durant lesquels sont compris : la phase d'instruction par les services de la DDE, l'enquête publique (un mois), la désignation par le Tribunal administratif d'un commissaire enquêteur qui aura un mois pour remettre ses conclusions, la délibération du Conseil municipal et la publicité. Il signale, sous toutes réserves, que les travaux du giratoire de Rolampont pourraient être réalisés à la fin de cette année. Les travaux sur Saints- Geosmes en 1999. Il dit qu'il serait souhaitable dans un premier temps d'approuver le principe de la mise en oeuvre de la procédure de modification du POS, de solliciter le concours des services de la DDE afin de mener la procédure de modification pour le compte de la Commune et l'habiliter à signer la convention à intervenir.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE le principe de mise en oeuvre d'une procédure de modification du POS.

SOLLICITE le concours des services de la Direction Départementale de l'Equipement afin de mener la procédure de modification pour le compte de la Commune.

HABILITE M. le Maire à signer la convention à intervenir et plus généralement faire le nécessaire.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-12 Modification de la délibération n°97-48 du 11 septembre 1997 relative à l'acceptation de la rétrocession du chemin dit de la Côte Martin par l'A.F. de Tronchoy, cadastré Section 498 ZB n°5 lieu-dit "Les Grands Prés". Habilitations.

M. le Maire invite Madame Brochot à faire état des modifications à intervenir dans le cadre de la rédaction des actes administratifs par les services de l'Etat pour la rétrocession des chemins des différentes associations foncières de la Commune.

M. BROCHOT informe de la nécessité de reprendre les habilitations des délibérations n°97-48 du 11 septembre 1997 et n°97-27 du 6 juin 1997, le maire ne pouvant intervenir à l'acte au nom de la Commune et recevoir l'acte en sa qualité d'officier public, en quelque sorte comme un notaire. Elle ajoute que le service de l'Etat ne peut par ailleurs accepter la

délibération produite de l'Association Foncière de Charmoilles car elle est trop ancienne, elle date de 1983. Elle dit, toujours pour Charmoilles, qu'il conviendrait de préciser les contenances. Elle fait remarquer que la délibération n°97-13 du 26 mars 1997 relative aux rétrocessions de Rolampont n'appelle aucun commentaire et que l'acte est prêt à être signé.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DIT que la délibération n°97-48 du 11 septembre 1997 relative à l'acceptation de la rétrocession du chemin dit de la Côte Martin par l'A.F. de Tronchoy, cadastré Section 498 ZB n°5 lieu-dit "Les Grands Prés" est ainsi modifiée :

* Au lieu de : "HABILITE Monsieur le Maire à préparer l'acte administratif, à intervenir et à signer l'acte ainsi que toutes les pièces nécessaires s'y rapportant, ou plus généralement faire le nécessaire."

* lire : "HABILITE Monsieur Martial Delin, Adjoint, à signer l'acte à intervenir, qui sera reçu en la forme administrative par Monsieur le Maire, ainsi que toutes les pièces s'y rapportant."

AJOUTE le reste sans changement.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-13 Modification de la délibération n°97-27 du 6 juin 1997 relative à l'acceptation de la rétrocession à la Commune de chemins appartenant à l'Association Foncière de Charmoilles. Habilitations et contenances.

M. le Maire invite Madame Brochot à faire état des modifications à intervenir dans le cadre de la rédaction des actes administratifs par les services de l'Etat pour la rétrocession des chemins des différentes associations foncières de la Commune.

M. BROCHOT informe de la nécessité de reprendre les habilitations des délibérations n°97-48 du 11 septembre 1997 et n°97-27 du 6 juin 1997, le maire ne pouvant intervenir à l'acte au nom de la Commune et recevoir l'acte en sa qualité d'officier public, en quelque sorte comme un notaire. Elle ajoute que le service de l'Etat ne peut par ailleurs accepter la délibération produite de l'Association Foncière de Charmoilles car elle est trop ancienne, elle date de 1983. Elle dit, toujours pour Charmoilles, qu'il conviendrait de préciser les contenances. Elle fait remarquer que la délibération n°97-13 du 26 mars 1997 relative aux rétrocessions de Rolampont n'appelle aucun commentaire et que l'acte est prêt à être signé.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DIT que la délibération n°97-27 du 6 juin 1997 relative à l'acceptation de la rétrocession à la Commune de chemins appartenant à l'Association Foncière de Charmoilles est ainsi modifiée :

* Au lieu de : "HABILITE Monsieur le Maire à préparer l'acte

administratif, à intervenir et à signer l'acte ainsi que toutes les pièces nécessaires s'y rapportant, ou plus généralement faire le nécessaire."

* lire : "HABILITE Monsieur Martial Delin, Adjoint, à signer l'acte à intervenir, qui sera reçu en la forme administrative par Monsieur le Maire, ainsi que toutes les pièces s'y rapportant."

* Au lieu de : "DECIDE l'acquisition des chemins suivants sis sur le territoire de Rolampont Commune Associée de Charmoilles et appartenant à l'Association Foncière de Charmoilles :

- Côte Roussel d'une longueur de 1160 mètres, cadastré lieu-dit Pré Hubert, Section ZD n°6,

- Chemin du Réservoir qui mène au château d'eau d'une longueur de 190 mètres, cadastré lieu-dit Sous Mont Venge, Section ZI n°38,

- Chemin du Mont Venge d'une longueur de 615 mètres, cadastré lieu-dit Sous mont Venge, Section ZI n°44."

* lire : "DECIDE l'acquisition des chemins suivants sis sur le territoire de Rolampont Commune Associée de Charmoilles et appartenant à l'Association Foncière de Charmoilles :

- Chemin dit Côte Roussel, cadastré lieu-dit Pré Hubert, Section ZD n°6, 93 ares 50 centiares,

- Chemin dit du Réservoir, cadastré lieu-dit Sous Mont Venge, Section ZI n°38, 17 ares 80 centiares,

- Chemin du Mont Venge, cadastré lieu-dit Sous mont Venge, Section ZI n°44, 65 ares 30 centiares."

AJOUTE le reste sans changement.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

COMMUNE DE ROLAMPONT PROCÈS VERBAL SÉANCE DU 30 MARS 1998

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L'AN MIL NEUF CENT QUATRE VINGT DIX HUIT, LE LUNDI 30 MARS A VINGT HEURES, LE CONSEIL MUNICIPAL, dûment convoqué par Monsieur le Maire le 25 mars 1998, s'est assemblé sous la présidence de Monsieur Michel Gallissot.

Etaient présents : M. Michel GALLISSOT, Maire (sauf délibération n°1), MM. DELIN, PELLETIER, MLLE TORRAILLE, MME RUEL, Adjoints, BOUVIER, DOUCHE, WEHRUNG, Maires-Délégués, MMES ROBIN, MM. Patrick GALLISSOT, HERBERT, THOMASSIN, BREGERE, COUVREUX, ANDRE, Conseillers municipaux.

Excusés : M. RAGUET, MLLE DIOT, MME BROCHOT (procuration à M. WEHRUNG), Conseillers municipaux,

Absent : M. PEUREUX, Conseiller municipal.

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M. le Maire ouvre la séance à 20 h 5.

Les Conseillers présents formant la majorité des membres en exercice, conformément à l'article L.121-14 du Code des Communes, il a été procédé à la nomination d'un secrétaire pris au sein du Conseil. Mlle TORRAILLE ayant obtenu la majorité des suffrages, a été désignée pour remplir ces fonctions qu'elle a acceptées.

INTERVENTIONS

M. le Maire souhaite le bonsoir aux Membres présents.

Il présente les excuses de Monsieur Raguet, Mademoiselle Diot et Madame Brochot. Il indique que cette dernière a donné procuration à Monsieur Wehrung.

Il invite Mlle Torraille à faire lecture du procès-verbal de la dernière séance du Conseil.

Mlle TORRAILLE fait lecture du procès-verbal de la séance du 12 février 1998.

M. le Maire demande s'il y a des observations à formuler sur le procès- verbal de la dernière séance.

M. DELIN précise que depuis le 12 février, le compteur EJP fonctionne bien.

M. le Maire dit que cela ne concerne pas le procès-verbal de la dernière séance.

M. DELIN répond qu'il le sait, mais qu'il tenait à faire cette remarque.

M. le Maire précise que contrairement à ce qui a été transcrit, le bois ne se trouve pas dans l'acqueduc, mais dans le fossé.

N°0 Adoption du procès-verbal de la séance du 12 février 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit que l'on va passer maintenant à l'ordre du jour.

Il présente la question relative à l'approbation des Comptes Administratifs pour l'exercice 1997.

Il signale qu'ils sont conformes au Comptes de Gestion de Monsieur le Trésorier Municipal.

Il fait lecture du Compte Administratif de la Commune pour l'exercice 1997.

Il souligne que les Membres présents sont en possession des vues d'ensemble du Compte Administratif 1997.

Il donne la vue d'ensemble de la section de fonctionnement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 6 885 944,00 F 4 154 022,35 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 6 885 944,00 F 6 389 131,07 F

Il rappelle l'excédent de fonctionnement antérieur reporté de 846 559,00 F et indique un excédent de fonctionnement d'exercice de 2 235 108,72 F soit un excédent de fonctionnement de clôture de 3 081 668,51 F.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 4 689 321,00 F 3 035 074,14 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 4 689 321,00 F 953 612,56 F

Il rappelle l'excédent d'investissement antérieur reporté de

1 023 559,20 F et indique un déficit d'investissement d'exercice de 2 081 461,58 F soit un déficit d'investissement de clôture de 1 057 902,38 F.

Il souligne le résultat total de clôture de l'exercice 1997, soit un excédent de 2 023 766,13 F.

Il fait lecture du Compte Administratif du Centre Communal d'Action Sociale pour l'exercice 1997.

Il donne la vue d'ensemble de la section de fonctionnement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 37 391,72 F 12 746,45 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 37 391,72 F 18 232,63 F

Il rappelle l'excédent de fonctionnement antérieur reporté de 21 391,72 F et indique un excédent de fonctionnement d'exercice de 5 486,18 F soit un excédent de fonctionnement de clôture de 26 877,90 F.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 8 187,39 F 0,00 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 8 187,39 F 0,00 F

Il rappelle l'excédent d'investissement antérieur reporté de 8 187,39 F et indique que le résultat d'investissement de l'exercice étant égal à 0,00 F, l'excédent d'investissement de clôture s'élève ainsi à 8 187,39 F.

Il souligne le résultat total de clôture de l'exercice 1997, soit un excédent de 35 065,29 F.

Il fait lecture du Compte Administratif de l'Usine Relais pour l'exercice 1997.

Il donne la vue d'ensemble de la section de fonctionnement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 291 318,77 F 277 459,01 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 291 318,77 F 465 540,28 F

Il rappelle l'excédent de fonctionnement antérieur reporté de 785 748,25 F et indique un excédent de fonctionnement d'exercice de 188 081,27 F soit un excédent de fonctionnement de clôture de 973 829,52 F.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 013 858,79 F 141 480,15 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 013 858,79 F 22 500,00 F

Il rappelle le déficit d'investissement antérieur reporté de 832 445,64 F et indique le déficit d'investissement d'exercice de 118 980,15 F, soit un déficit d'investissement de clôture de 951 425,79 F.

Il souligne le résultat total de clôture de l'exercice 1997, soit un excédent de 22 403,73 F.

Il fait lecture du Compte Administratif de la Régie des Transports Scolaires pour l'exercice 1997.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 189 775,82 F 0,00 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 189 775,82 F. 10 573,65 F.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'exploitation :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 452 128,00 F. 145 936,65 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 452 128,00 F 175 589,62 F

Il rappelle l'excédent de fonctionnement antérieur reporté de 273 401,98 F et le déficit d'investissement antérieur reporté de 189 775,47 F.

Il souligne les résultats de l'exercice soit un excédent de 10 573,65 F en section d'investissement, et un excédent de 29 652,97 F en section d'exploitation.

Il donne le résultat de clôture de l'exercice 1997 : un déficit d'investissement de 179 201,82 F et un excédent d'exploitation de 303 054,95 F soit un total d'excédent de 123 853,13 F.

Il fait lecture du Compte Administratif du Service de l'Eau et de l'Assainissement pour l'exercice 1997.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 198 203,19 F 797 897,25 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 198 203,19 F 551 190,31 F

Il rappelle le déficit d'investissement antérieur reporté de 348 279,55 F et fait remarquer le déficit d'investissement d'exercice de 246 706,94 F, soit un déficit d'investissement de clôture de 594 986,49 F.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'exploitation :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 369 716,00 F 665 535,73 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 369 716,00 F 910 476,04 F

Il rappelle l'excédent de clôture de l'exercice précédent, soit la somme de 807 716,83 F, dont 457 716,00 F ont été reportés au titre des excédents antérieurs, le reste, soit 350.000,00 F ayant été affecté à l'investissement de l'exercice 1997 ce qui donne un excédent de fonctionnement pour l'exercice de 244 940,31 F.

Il indique l'excédent d'exploitation de clôture de 702 657,14 F.

Il donne le résultat de clôture de l'exercice soit un excédent de 107 670,65 F.

Il demande s'il y a des questions à poser.

M. PATRICK GALLISSOT s'inquiète car il lui semble que les réalisations ne prennent en compte les excédent ou les déficits antérieurs reportés.

M. le Maire explique que ces opérations figurent à la balance de fin d'exercice et de clôture, mais qu'effectivement elles n'apparaissent pas dans les opérations de l'exercice en réalisation, puisque aucune écriture ne peut être passé sur l'exercice, comme il en est de même pour les virements d'une section à l'autre qui ne sont là que pour assurer l'équilibre des

prévisions budgétaires. Il ajoute qu'en cours d'exercice il n'est plus possible en M14 d'exécuter le résultat prévisionnel, comme en M11. Il rappelle que les comptes administratifs sont le bilan financier de l'ordonnateur et présentent les résultats de l'exécution du budget.

Il quitte la séance afin de permettre aux Membres présents de délibérer sur les Comptes Administratifs.

M. DELIN invite les Membres présents à délibérer.

N°1 Approbation des Comptes Administratifs - Exercice 1997 - Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire rejoint la séance.

Il s'inquiète du résultat du vote et remercie les membres présents de l'adoption des comptes administratifs.

Il signale qu'après le vote des comptes administratifs 1997, le Conseil doit décider d'affecter les résultats de fonctionnement cumulés au 31 décembre 1997 des différents budgets.

Il propose d'affecter ces résultats de la manière suivante :

* Commune : 3 081 668,51 F répartis comme suit :

- 2 500 000,00 F affecté à la section d'investissement (compte 1068), - 581 668,51 F en excédent de fonctionnement reporté.

* Service Eau et Assainissement : 702 657,14 F répartis comme suit :

- 702 657,14 F affecté à la section d'investissement (compte 108).

* Usine Relais : 973 829,52 F réparti comme suit :

- 950 000,00 F affecté à la section d'investissement (compte 1068), - 23 829,52 F en excédent de fonctionnement reporté.

* Régie de Transports Scolaires : 303 054,95 F réparti comme suit :

- 179 201,82 affecté à la section d'investissement (compte 106), - 123 853,13 F en excédent de fonctionnement reporté.

* C.C.A.S. : 26 877,90 F repris en excédent de fonctionnement reporté.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°2 Affectation des résultats de fonctionnement cumulés au 31.12.1997. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit qu'il convient de décider d'amortir, à compter de 1998, les bus de la Régie de Transports Scolaires achetés en 1991 et 1993. Il propose que le bus acheté en 1991, 213 465,23 F, soit amorti sur six ans et que le bus acheté en 1993, 230 795,60 F, le soit sur huit ans.

Il ajoute que les subventions d'investissement encaissées pour l'achat de ces deux bus seront reprises à la section de fonctionnement sur la même durée que l'amortissement.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°3 Amortissement des bus de la Régie de Transports Scolaires.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit qu'il convient au titre des produits communaux pour l'exercice 1998 d'adopter le taux des quatre taxes. Il signale que comme convenu lors des dernières Commissions des Finances des 20 et 25 mars 1998 il propose le maintien des taux de l'année dernière.

Il demande si tout le monde est toujours d'accord.

Il ajoute que le Budget Primitif de la Commune a été entre autre élaboré sur cette base.

Il rappelle les bases d'imposition prévisionnelles pour 1998 :

TAXE HABITATION : 4 410 000 F TAXE FONC. BATI : 3 832 000 F TAXE F. NON BATI : 1 062 000 F TAXE PROFESSION. : 22 170 000 F

Il rappelle les taux des quatre taxes soit :

TAXE D'HABITATION : 10,38 % FONCIER BATI : 18,95 % FONCIER NON BATI : 23,69 % TAXE PROFESSIONNELLE : 6,21 %

Il indique les produits attendus pour l'exercice 1998 avec un coefficient de variation de 1,00 c'est-à-dire sans augmentation des taux :

TAXE D'HABITATION : 457 758 F FONCIER BATI : 726 164 F FONCIER NON BATI : 251 588 F TAXE PROFESSIONNELLE : 1 376 757 F

Soit un total de 2 812 267 F

Il invite les Membres présents à délibérer sur le taux des quatre taxes.

INTERVENTIONS

N°4 Taux des quatre taxes. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire salue Monsieur Rosselle, Trésorier Municipal, présent au sein de l'Assemblée et l'invite à décrire en son nom ses propositions pour les budgets primitifs de l'exercice 1998 telles qu'elles ont été élaborées lors des dernières Commissions.

M. le Trésorier Municipal présente les propositions de M. le Maire pour le Budget Primitif de la Commune. Il donne le contenu et le détail des propositions chiffrés en section de fonctionnement et en section d'investissement, tant en dépenses qu'en recettes. Il indique que le Budget Primitif de la Commune s'équilibre en section de fonctionnement à 6 788 803,00 F et à 7 081 156,00 F en section d'investissement.

M. le Maire demande s'il y a des questions.

M. WEHRUNG demande si l'électrification des cloches de l'église de Lannes est comprise dans le Budget Primitif.

M. le Maire répond qu'elle n'est pas prise en compte, le devis n'ayant pas été communiqué à temps en mairie.

M. WEHRUNG fait remarquer qu'un montant avait été donné en Commission.

M. BOUVIER signale que 50 000,00 F pour les bâtiments communaux cela fait peu.

M. le Maire précise qu'il ne s'agit là que de ce qui est prévu en section d'investissement.

M. le Trésorier Municipal fait part des propositions de Monsieur le Maire pour le Budget Annexe des Services Publics d'Assainissement et de Distribution d'Eau Potable. Il indique que le Budget Annexe des Services Eau et Assainissement s'équilibre en section d'investissement à 2 820 146,00 F et à 861 318,00 F en section d'exploitation.

M. le Maire demande s'il y a des observations.

M. le Trésorier Municipal présente les propositions de M. le Maire pour le Budget Primitif de l'Usine Relais. Il indique que le Budget Primitif de l'Usine Relais s'équilibre ainsi en section de fonctionnement à 167 828,00 F et à 1 105 781,00 F en section d'investissement.

M. le Maire demande s'il y a des questions.

M. le Trésorier Municipal présente les propositions de M. le Maire pour le Budget Primitif de la Régie de Transports Scolaires. Il décrit le contenu du Budget et donne les propositions chiffrés par section et chapitre, tant en recettes qu'en dépenses. Il indique que le Budget Primitif de la Régie des Transports Scolaires s'équilibre en section d'investissement à 243 629,00 F et à 348 280,00 F en section d'exploitation.

M. le Maire demande s'il y a des questions.

M. le Trésorier Municipal présente les propositions de M. le Maire pour le Budget Primitif du C.C.A.S. Il indique que le Budget Primitif du CCAS s'équilibre en section de fonctionnement à 42 277,00 F et à 8 187,00 F en section d'investissement.

M. le Maire demande s'il y a des questions.

M. PELLETIER dit qu'il demande quelque chose, car il croyait que la benne à huile était gratuite.

M. le Maire lui répond en lui faisant remarquer que l'acquisition de la colonne à huiles usagées implique son paiement, donc une dépense. Il ajoute que le versement de la subvention du Conseil Régional couvrira la dépense, le montant de cette subvention étant quant à lui prévu dans les recettes.

Il invite les Membres présents à délibérer sur les propositions relatives aux Budgets Primitifs pour l'Exercice 1998.

N°5 Budgets Primitifs 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire remercie Monsieur le Trésorier Municipal.

Il raccompagne Monsieur Rosselle qui prend congé et quitte la séance.

Il rejoint l'assemblée et évoque la question relative aux subventions

qui seront octroyées par la Commune au titre de l'année 1998.

Il rappelle la liste des bénéficiaires et les montants qui ont été discutés et arrêtés en Commission des Finances.

Il fait lecture de la liste.

______BENEFICIAIRES : MONTANT ______:______FANFARE : 5 000,00 F ______:______C.A.R. : 6 920,00 F ______:______F.C.P.E. ROLAMPONT-LANNES : 2 884,00 F ______:______CLUB CYCLISTE : 1 500,00 F ______:______POMPIERS : 5 074,00 F ______:______ASSOCIATION ANCIENS COMBATTANTS : 576,00 F ______:______A.C.P.G. : 576,00 F ______:______D.T.R. : 576,00 F ______:______INFIRMES MENTAUX : 116,00 F ______:______PARALYSES DE FRANCE : 116,00 F ______:______PREVENTION ROUTIERE : 116,00 F ______:______DONNEURS DE SANG : 576,00 F ______:______OFFICE DEPARTEMENTAL ANCIENS COMBATTANTS : 116,00 F ______:______COMITE DU CANCER : 634,00 F ______:______HANDICAPES SUD HAUT-MARNAIS : 229,00 F ______:______CLUB DES OPTIMISTES : 289,00 F ______:______COMPAGNONS DU PASSE : 1 552,00 F ______:______JUDO-CLUB :2 TAPIS A CONCURRENCE :DE 751,00 F L'U ______:______FOYER RURAL / CENTRE AERE : 22 666,00 F ______:______BOULE ROLAMPONTAISE : 1 035,00 F ______:______AS SOCIATION TINTA'MARS (SUBVENTION EXCEPTIONNELLE) : 1 370,00 F ______:______C.A.R. TENNIS : 3 000,00 F ______:______AERO CLUB LANGROIS : 1 045,00 F ______:______CHARMILLE : 500,00 F ______:______CHARMILLE POUR 14 JUILLET DE CHARMOILLES : 2 884,00 F ______:______BIBLIOTHEQUE DE LANNES : 2 613,00 F ______:______FOURNITURES SCOLAIRES : 31 500,00 F ______:______PO MPIERS DE LANNES POUR 14 JUILLET : 5 421,00 F ______COMMUNE DE TRONCHOY POUR 14 JUILLET : 1 242,00 F

______NIVEOLE DE LANNES : 1 000,00 F ______V.C.L. : 500,00 F ______

Il ajoute que le versement aux associations des aides de plus de 1 000,00 F. est subordonné comme les années précédentes à la transmission en Mairie d'un rapport relatif à leurs activités et à leurs finances.

Il fait part de la demande des 3 V du Bassigny apportée cet après-midi en Mairie par Monsieur Bouvier. Il indique que cette association organise un camp de vacances pour les enfants.

M. BOUVIER précise qu'il s'agit d'une demande d'aide pour les enfants défavorisés.

M. le Maire indique que pour le Centre Aéré l'on donne 10,00 F par jour et par enfant et qu'ainsi, pour 15 jours, l'on pourrait donner 150,00 F par enfant, soit 600,00 F pour quatre enfants de Charmoilles.

Il propose de demander à l'association de justifier la participation de ces enfants à ses activités préalablement au versement de l'aide.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent sur ce point.

M. le Maire demande aux Membres présents d'approuver la liste des subventions qui seront octroyées par la Commune en 1998 Il rappelle que les crédits sont inscrits au Budget Primitif de la Commune.

M. PATRICK GALLISSOT fait remarquer que cette année il ne s'abstient pas, mais est contre.

N°6 Subventions octroyées par la Commune 1998. Adopté par 16 voix POUR et 1 CONTRE.

INTERVENTIONS

M. le Maire rappelle la discussion des dernières Commissions des Finances.

Il fait remarquer l'augmentation de la participation au SICTOM et souligne que déjà l'an passé les produits recouvrés n'ont pas compensé la contribution à la charge de la Commune.

Il souligne que la contribution au Syndicat Intercommunal est pour l'exercice 1998 de 280,00 F par habitant, soit 424 760,00 F pour 1517 habitants alors qu'elle était de 205,00 F par habitant en 1997.

Il rappelle les tarifs de la redevance d'enlèvement des ordures ménagères actuellement en vigueur tels qu'ils résultent de la délibérations du conseil municipal n°97-11 du 26 mars 1997 :

- 2 X PAR AN :

105,00 F PAR PERSONNE ( DE 1 A 4 ), 20,00 F PAR PERSONNE SUPPLEMENTAIRE,

- 1 X PAR AN :

315,00 F POUR LES RESIDENCES SECONDAIRES.

Il propose de revaloriser les tarifs du service des Ordures Ménagères comme suit pour l'année :

- 2 X PAR AN :

140 F PAR PERSONNE ( DE 1 A 4 ), 40 F PAR PERSONNE SUPPLEMENTAIRE,

- 1 X PAR AN :

420 F POUR LES RESIDENCES SECONDAIRES.

Il demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent et les invite à délibérer.

N°7 Revalorisation des tarifs Ordures Ménagères. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'aide à l'investissement forestier. Il ajoute que cela concerne la parcelle 4 reboisée en fin d'année. Il précise que les travaux consistant au renouvellement artificiel de peuplement feuillus doivent être réalisés à partir de 1998. Il ajoute que ces travaux seront étalés sur trois ans et subventionnés à 40 %. Il dit que pour 1998 il y aura 54 600,00 F de travaux avec une subvention de 23 136,00 F ; pour 1999 14 400,00 F de travaux avec une subvention de 6 102,00 F ; et pour 2001 24 000,00 F de travaux avec 10 170 F de subvention. soit un coût total de 104 800,00 F ht honoraires ONF compris. Il souligne l'obligation faite d'un réinvestissement de 6 280,00 F représentant 20 % des recettes préalables, ce qui donne un devis subventionnable de 98 520,00 F. Il ajoute qu'il s'agit apparemment d'une des dernières grandes parcelles à réaménager. Il signale qu'elle est de 12 ha 78. Il fait part du projet de délibération communiqué par l'ONF.

Il dit que ce projet de renouvellement artificiel de peuplements feuillus qui doit être réalisé à partir de 1998.

Il indique qu'il convient de retenir le projet d'une surface de 12,78 hectares, étudié par l'Office National des Forêts et dont la réalisation entraînera une dépense estimée à 104 800,00 F. ht honoraires ONF compris.

Il ajoute qu'il convient de solliciter l'octroi sur le Fonds Forestier National, le Budget de l'Etat ou du Conseil Régional, d'une aide, prime à l'investissement ou subvention.

Il indique le titre de propriétaire de la Commune de Rolampont sur la propriété en cause, le lieu de l'opération : Département de la Haute-Marne, Commune de Rolampont.

Il rappelle que la parcelle intéressée par le projet est la parcelle 4.

Il insiste sur le fait que le Conseil Municipal ne s'engage que dans la mesure où l'aide lui serait accordée :

- à inscrire chaque année au budget communal les sommes nécessaires à l'entretien des peuplements concernés, - à assurer la part d'autofinancement lui incombant pour la réalisation intégrale des projets, - à exécuter l'intégralité des travaux dans un délai de quatre ans maximum à compter de la date d'attribution de l'aide.

Il dit que l'Office National des Forêts devra être désigné pour assister la Commune dans les démarches à entreprendre pour l'obtention de l'aide sollicitée.

Il demande aux Membres présents de l'habiliter à signer les pièces

contractuelles s'y rapportant.

Il précise qu'il convient de solliciter le concours de l'Office National des Forêts, habilité à apporter son concours à la Commune en application de la loi n°64-1278 du 23 décembre 1964, et du décret n°65-1065 du 7 décembre 1965, pour l'étude, la direction et la réception des travaux qui seront exécutés en régie d'office.

Il ajoute que l'on doit aussi autoriser l'ONF à signer le devis des travaux.

Il informe que le Conseil Municipal s'engagera à rémunérer l'Office National des Forêts pour son concours selon les taux fixés à l'arrêté interministériel du 7 décembre 1979, modifié par les arrêtés du 8 janvier et du 31 juillet 1986 et rappelés à l'article 6.1 de la convention permanente d'intervention de l'Office National des Forêts en forêts communales.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°8 Demande d'aide à l'investissement forestier. Année 1998. Parcelle 4. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire informe de l'existence d'un autre programme pour lequel il conviendra de délibérer pareillement.

Il précise qu'il s'agit par contre d'entretien, de dégagement sur de petites parcelles, au Châtelet, parcelles 51-52.

Il ajoute que les travaux projetés consistent en du dégagement de semis manuel et de l'entretien de cloisonnement à 10 mètres en 1998 et en du dégagement de semis manuel, du dépressage et de l'entretien de cloisonnement à 10 mètres en 2201.

Il informe du montant total des travaux qui s'élèvent à 9 900,00 F sans les honoraires et à 10 200,00 F avec les honoraires de l'ONF.

Il souligne que ces travaux sont subventionnés en totalité à 40 %

Il signale que ce projet de renouvellement naturel de peuplements feuillus qui doit être réalisé à partir de 1998.

Il indique qu'il y a lieu de retenir le projet d'une surface de 16,67 hectares, étudié par l'Office National des Forêts et dont la réalisation entraînera une dépense estimée à 10 200,00 F. ht honoraires ONF compris.

Il ajoute qu'il convient de solliciter l'octroi sur le Fonds Forestier National, le Budget de l'Etat ou du Conseil Régional, d'une aide, prime à l'investissement ou subvention.

Il indique le titre de propriétaire de la Commune de Rolampont sur la propriété en cause, le lieu de l'opération : Département de la Haute-Marne, Commune de Rolampont.

Il dit qu'il s'agit de la tranche n°2.

Il rappelle que les parcelles intéressées par le projet sont les parcelles 51-52.

Il souligne une fois de plus que le Conseil Municipal ne s'engage que dans la mesure où l'aide lui serait accordée :

- à inscrire chaque année au budget communal les sommes nécessaires à l'entretien des peuplements concernés, - à assurer la part d'autofinancement lui incombant pour la réalisation intégrale des projets, - à exécuter l'intégralité des travaux dans un délai de quatre ans

maximum à compter de la date d'attribution de l'aide.

Il dit que l'Office National des Forêts devra être désigné pour assister la Commune dans les démarches à entreprendre pour l'obtention de l'aide sollicitée.

Il demande aux Membres présents de lui donner tous les pouvoirs pour signer les pièces contractuelles s'y rapportant.

Il précise qu'il convient de solliciter le concours de l'Office National des Forêts, habilité à apporter son concours à la Commune en application de la loi n°64-1278 du 23 décembre 1964, et du décret n°65-1065 du 7 décembre 1965, pour l'étude, la direction et la réception des travaux qui seront exécutés en régie d'office.

Il ajoute que l'on doit aussi autoriser l'ONF à signer le devis des travaux.

Il informe que le Conseil Municipal s'engagera à rémunérer l'Office National des Forêts pour son concours selon les taux fixés à l'arrêté interministériel du 7 décembre 1979, modifié par les arrêtés du 8 janvier et du 31 juillet 1986 et rappelés à l'article 6.1 de la convention permanente d'intervention de l'Office National des Forêts en forêts communales.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°9 Demande d'aide à l'investissement forestier. Année 1998. Parcelles 51- 52. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'approbation du programme valant devis des travaux en forêt communale pour l'exercice 1998. Il donne la description des travaux d'investissement :

* Régénération feuillues, fourniture de plans (5 200 hêtres, 100 érables planes et 100 merisiers).

- Parcelle 4 : régénération feuillue, nettoyage mécanique du terrain, mise en place des plans, protection individuelle,

- Parcelle 16, 45, 52 et 53 : entretien et régénération, cloisonnement sylvicole,

- Parcelle 45 et 53 : dégagement manuel des plantations,

- Parcelle 51 et 52 : dégagement manuel des semis.

* Travaux d'entretien :

- Entretien des équipements touristiques de la Tuffière,

- cloisonnement d'exploitation sur les parcelles 47, 8, 10, 11 et 48,

- divers lotissement affouages, parcelles 3, 20 et 9.

* Autres travaux d'investissement :

- création de barrières RF des Moulinots,

- création de barrières RF du Châtelet,

- Cloisonnement sylvicole, un aller et retour par chemin de débardage, largeur 2,50 à 3 mètres, parcelle 205,

- Broyage de végétation sur emprise RF du Châtelet et RF des Moulinots,

- Fourniture et pose de signalisation routière RF du Châtelet et RF des Moulinots, - Fourniture et pose de barrières RF du Châtelet et RF des Moulinots.

Il ajoute le tout pour 128 384,09 F ht, soit 149 798,99 F ttc.

Il invite les Membres présents à approuver ce programme.

N°10 Approbation du programme valant devis de travaux en FC. Exercice 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à la vente de terrain à Tronchoy.

Il ajoute qu'au cas où cela se préciserait il conviendrait de fixer le prix de vente en délibérant comme convenu à 10 F le mètre carré.

Il signale que selon l'usage les frais de bornage et d'arpentage sont à la charge des preneurs. Il propose cependant que l'on s'accorde sur la prise en charge de ces frais moitié à la charge de la Commune, moitié à la charge des acquéreurs.

M. DOUCHE dit que la Commune pourrait faire un effort en faveur de Monsieur et Madame Rousselot, car ils sont jeunes et que c'est difficile pour eux.

M. le Maire répond qu'il veut bien.

M. PATRICK GALLISSOT s'étonne. Il souligne que les intéressés sont demandeurs et que de surcroît il convient de ne pas faire de différence ou de créer des précédents en la matière.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent sur la prise en charge des frais de bornage et d'arpentage, moitié par la Commune, moitié par les preneurs.

M. le Maire demande aux Membres présents de l'habiliter à dresser, comme convenu l'état des frais de viabilisation et d'aménagement du terrain qui seront mis en recouvrement pour moitié à la charge des preneurs, ainsi que de l'habiliter à signer l'acte à intervenir qui pourrait être reçu par Maître Xavier Guichard, notaire à Langres.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°11 Vente d'un terrain à Tronchoy. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative aux demandes d'aides sur les projets d'équipements à venir selon un programme étalé dans le temps et qui pourront être éventuellement portés par le GAL.

Il rappelle que par délibération n°98-01 du 13 janvier 1998, le Conseil Municipal a déjà approuvé la réalisation de certains travaux d'investissement programmés en 1998, les demandes d'aides qui permettront le financement de ces projets, et sollicité le GAL pour les porter.

Il rappelle qu'il s'agit des projets suivants :

- Isolation d'une classe du Groupe Scolaire, - Isolation thermique et acoustique de la Maison du Temps libre, - Création d'une salle des sports.

Il rappelle que le Conseil Municipal, par délibération n°98-03 du

13 janvier 1998, a aussi approuvé la création d'une médiathèque programmée en 1999, les demandes d'aides qui permettront le financement de ce projets, et sollicité le GAL pour le porter.

Il ajoute que pour 1999, il conviendrait d'ajouter à la programmation la réfection de la toiture du futur musée de l'outillage artisanal dont le montant des travaux a été estimé à 74 989,00 F ht, soit 90 463,00 F ttc.

Il dit que pour 2000 le projet de réfection de l'intérieur de l'église de Rolampont, chiffré à 378 018,00 F ht, soit à 455 889,00 F ttc pourrait compléter la programmation.

Il invite les Membres présents à approuver ces projets, à solliciter les aides de l'Etat, notamment au titre de la DGE, de la Région, du Département et de l'Europe qui permettront leur financement, ainsi que l'intervention du GAL pour les porter au niveau de la Région.

N°12 Projets de réfection de l'intérieur de l'église de Rolampont et de réfection de la toiture du bâtiment des Compagnons du Passé. Demande d'aides et d'intervention du GAL. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à Natura 2000.

Il souligne que les services préfectoraux le relancent.

Il fait lecture de la dernière lettre reçue en Mairie à ce propos le 25 mars dernier.

"Par courrier du 19 janvier 1998, je vous ai informé que votre commune était concernée par un ou plusieurs sites figurant sur la deuxième liste de site susceptibles d'être intégrés au futur réseau Natura 2000. Dans ce courrier, je vous invitais, conformément au décret n°95-631 du 5 mai 1995, à me faire part de votre avis, dans un délai de 2 mois, sur cette proposition d'intégration à ce réseau.

Or au terme de ce délai, je relève que votre commune ne s'est pas encore prononcée.

Je vous rappelle que les observations des communes concernées seront prises en compte lors de la transmission des sites de 2ème liste au Ministère de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement.

En conséquence, je vous serais obligé de bien vouloir me faire part de votre avis sur l'intérêt de l'intégration du ou des site(s) vous concernant avant le 1er avril."

Il ajoute que cette correspondance fait suite à celle dont il a parlé lors de la dernière séance.

Il signale que l'on a encore reçu en Mairie une lettre de la Fédération Nationale des Communes Forestières de France aux maires adhérents de communes forestières.

Il invite Mademoiselle Torraille a faire lecture de cette correspondance.

MLLE TORRAILLE fait lecture de la lettre de Monsieur Delong, Président de la Fédération Nationale des Communes Forestières de France en date du 2 mars 1998 et reçue en Mairie le 12 mars dernier.

"Madame, Monsieur le Maire et cher(e) collègue, Nous en sommes actuellement, au niveau de la forêt communale, à la deuxième liste de sites réservés et non pas préservés, tels que définis de la façon la plus autocratique par la directive européenne "habitat", modifiée et renforcée par le ministère français de l'Environnement. Nous

avons accepté le première liste, sans restriction, car son contenu était logique et scientifique. La deuxième liste pose, à côté d'initiatives que nous jugeons adaptées, d'autres initiatives dont la nature, les modalités et la finalité sont non seulement ridicules mais parfaitement nuisibles. On ne peut que regretter que la France urbaine veuille appliquer et réaliser ses fantasmes au détriment de la France rurale. En tout cas, maires de communes, vous, adjoints ou conseillers municipaux, votre devoir fondamental vis-à-vis, non de vos électeurs mais des citoyens de votre commune, est de vous opposer carrément et brutalement à ce qui vous semble désordonné et nuisible. Deux questions restent toujours à poser : premièrement, quelles sont les obligations, deuxièmement, quelles sont les indemnisations résultant de la dépossession pratique de votre domaine forestier, en tout ou en partie. Quel ministre, quel préfet, quel directeur de l'environnement a-t-il déjà répondu à ces deux questions ? Aucun ! Il vous appartient donc de juger, d'approuver ou de condamner. Il nous appartenait à nous, Fédération des Communes Forestières de France, de vous dire carrément, nettement ce que nous pensions. Vous trouverez ci-joint un modèle de délibération adapté aux circonstances et que vous pouvez envoyer au Préfet de votre département, même si vous avez déjà pris une délibération antérieurement. J'en prends personnellement toute la responsabilité. Je vous prie de croire..."

Elle fait part du modèle de délibération joint à cette correspondance.

M. le Maire demande ce que les Membres présents en pensent.

M. PATRICK GALLISSOT dit que cela lui va bien.

M. le Maire lui répond que cela lui va moins bien.

M. PATRICK GALLISSOT lui demande pourquoi.

M. le Maire dit par exemple lorsque tu dois demander quelque chose aux services de l'Etat.

M. PATRICK GALLISSOT réplique qu'à ce compte là on ne fait plus rien.

M. le Maire demande ce que l'on doit répondre.

MME ROBIN signale que pour l'instant l'on dit non.

M. le Maire dit qu'il pense que l'on pourrait nuancer la réponse, car l'on répond quand même au Préfet.

M. PATRICK GALLISSOT répond qu'à ce compte là on demande les projets de délibérations au Préfet et l'on n'y passe pas plus d'une demi heure.

LES MEMBRES PRESENTS débattent de la question.

M. PATRICK GALLISSOT signale qu'en fait l'on demande l'avis du maire.

M. le Maire précise qu'il se doit de tenir le conseil au courant des affaires de surcroît lorsqu'elles lui semblent sensibles comme celle-ci.

MME ROBIN dit que l'on a qu'à délibérer.

LES MEMBRES PRESENTS demandent que l'on passe aux voix afin de formaliser leur opposition à la directive Natura 2000.

M. le Maire accepte qu'il en soit ainsi et fait remarquer qu'il s'abstiendra pour sa part de voter.

N°13 Opposition à la directive Natura 2000. Adopté par 13 voix POUR et 3 ABSTENTIONS.

INTERVENTIONS

M. le Maire indique que l'on va à présent passer aux questions diverses.

Il demande aux Membres présents s'ils sont d'accord afin de délibérer sur ces questions si besoin est.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent unanimement sur ce point.

M. le Maire dit que l'on va à présent parler de l'eau, c'est-à-dire de l'assujettissement à la TVA des services des Eaux et de l'Assainissement.

Il précise que la TVA est en la matière à 5,5 %

Il souligne qu'il a déjà été question de la chose en Commission des Finances et que l'on est un peu obligé de s'assujettir afin de récupérer la TVA sur tout le service et notamment sur l'étude Diagnostic sans attendre la réalisation des travaux qu'elle prescrira. L'assujettissement permettant aussi de récupérer la TVA sur les charges de fonctionnement, c'est-à-dire sur les travaux d'entretien.

Il ajoute que cela va faire de l'eau à 8,45 F au lieu de 8,01 F le mètre cube.

Il propose d'assujettir les services après le relevé des compteurs qui aura lieu au mois de mai prochain ce qui fera un assujettissement au 1er juin 1998.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°14 Assujettissement des services Eaux et Assainissement à la TVA à compter du 1er juin 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

Il informe des déclarations d'intention d'aliéner qui ont été reçue en Mairie et pour lesquelles il a déclaré au nom de la Commune ne pas exercer le droit de préemption urbain conformément à la délégation qui lui a été faite par le Conseil Municipal, délibération n°95-44 du 4 juillet 1995, en vertu de l'article L. 122-20 15 du Code des Communes.

Il ajoute que ces Décisions Municipales portent sur les propriétés dont la vente amiable est envisagée et appartenant a :

- M. Trinquesse Albert qui vend un bâtiment, - la SA Maillefert qui vend à M. Alain Martin, - Mme Michel qui vend sa maison à M. Maire, - M. et Mme Pruneau qui vendent les murs à M. et Mme Jacquin, - MM. Demay qui vendent leur garage à la SCI de l'Etoile, - M. Claude Gallier qui vend à M. Ney, assureur à Langres, -la SA Maillefert qui vend dans le lotissement à M. Chesnel, M. Poinsel qui vend à la SCI du Trot Matelin.

Il informe des suites à donner à la dernière réunion de l'Association Foncière de Rolampont. Il précise qu'il s'agit encore une fois de régularisation de rétrocessions de chemins il y a longtemps décidées et pour lesquelles aucun acte n'est intervenu afin de matérialiser les cessions qui sont d_ès lors restées sans suite.

Il ajoute que les chemins concernés sont les suivants :

- Section ZI n°14, le Sentier au Feu, pour 133 mètres environ, un document d'arpentage sera ici nécessaire,

- ZN n°76, Chemin des Prés, d'une contenance de 24 ares 10 centiares,

- ZR n°2, chemin de la Tuffière, d'une contenance de 10 ares 40 centiares,

- ZP n°19, chemin de Champigny à Vaubrien, d'une contenance de 1 hectare 21 ares et 20 centiares.

Il indique que le document d'arpentage pourrait être effectué par Monsieur Kolb et que la cession se ferait à la Commune pour le franc symbolique.

Il souligne qu'il pourrait recevoir l'acte en la forme administrative et qu'il conviendrait dès lors d'habiliter Monsieur Delin, Adjoint, pour représenter la Commune et le signer.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°15 Approbation de la rétrocession de chemin appartenant à l'AF de Rolampont. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire demande à Monsieur Wehrung s'il y a un branchement d'éclairage public sur l'école de Lannes.

M. WEHRUNG répond qu'il ne le sait pas.

M. le Maire ajoute qu'il semble y avoir un problème. Il souligne une consommation électrique de 6 407,00 F pour deux classes et pour six mois, alors qu'au Groupe Scolaire de Rolampont la consommation est de 4 200,00 F pour la même période. Il ajoute qu'il a demandé à Monsieur Brégère de voir le problème avec EDF.

M. WEHRUNG dit qu'en tout cas il y a deux compteurs, un pour l'école, l'autre pour le locataire et que le simple radiateur électrique de la bibliothèque ne peut expliquer une telle consommation.

M. le Maire signale qu'il conviendrait d'installer quelques miroirs dans l'année, comme il avait été prévu de le faire depuis longtemps, et notamment à la Voie des Vignes.

M. Wehrung fait remarquer que ces installations sont fort utiles comme on peut le constater à Lannes.

M. le Maire dit, toujours pour information, que la stèle à la mémoire de l'abbé Bour sera posée pour dimanche, l'inauguration étant prévue à la sortie de la messe.

Il signale que l'on a ensuite des devis des Brigades Vertes pour Charmoilles, trois devis.

- Un devis de 3 300,00 F pour le balayage des trottoirs, le désherbage des trottoirs et du cimetière, et l'entretien régulier du cimetière, soit pour 132 heures.

- Un devis de 7 450,00 F pour la tonte, le fauchage de la rivière, le tour du château d'eau et du calvaire et le bêchage des plantations et massifs, soit pour 298 heures.

- Un devis de 500,00 F pour le nettoyage du calvaire face à l'église.

M. le Maire propose que les employés fassent le cimetière, le désherbage et le balayage des trottoirs.

Il propose de ne retenir que les deux devis : celui de 7 450,00 F et celui de 500,00 F.

Il signale que cela fera toujours à peu près 8 000,00 F comme l'an passé.

M. BOUVIER répond que l'on fait comme on dit, mais qu'il espère qu'il n'aura pas à réclamer trop souvent afin que le travail soit fait, comme par exemple pour la dératisation. Il signale qu'elle a été faite à Rolampont mais pas à Charmoilles.

M. PELLETIER dit qu'elle n'est pas finie.

M. BOUVIER lui répond que c'est un peu longuet, cela fait un an et demi qu'il attend. Il ajoute que de toute manière on lui a répondu qu'il n'y en avait pas besoin.

M. le Maire évoque les taux d'impositions de 1998 des taxes directes locales prévues par la Communauté de Communes de l'Etoile de Langres et leur augmentation pour un produit fiscal attendu de 1 950 000,00 F. Il donne les équilibres budgétaires de la Communauté, soit : 3 550 000,00 F en fonctionnement et 13 100 000,00 F en investissement.

Il informe du choix de Monsieur Jean Logerot par Madame le Préfet en qualité de membre de la Commission Communale chargée de la révision de la liste électorale des propriétaires forestiers pour les élections au Centre Régional de la Propriété Forestière.

Il signale qu'il lui semble que lors de la dernière Commission des Finances, il n'a pas été question de la lettre reçue de Maître Bocquillon dans le cadre de l'affaire Verry et dont il a déjà fait part à Monsieur Wehrung.

M. Wehrung dit que c'est exact.

M. le Maire fait lecture de cette correspondance en date du 21 mars 1998 et reçue en Mairie le 23 mars dernier.

"Vous connaissez le jugement rendu par le Tribunal Administratif de Chalons-en-Champagne le 10 février 1998 et qui nous a été notifié le 17 mars écoulé. Vous savez, par conséquent, que la délibération du 10 octobre 1995, modifiant la délibération de la précédente municipalité du 30 mars 1995, est annulée en raison des motifs retenus par le Tribunal. Il y a peu de chances que nous puissions obtenir une décision différente, même en faisant appel. Je le déconseille donc mais je vous remercie de me faire part de votre position à ce sujet. Ce jugement, s'il n'en est pas fait appel, entraînera le désistement de l'appel que nous avions tenté devant la Cour d'Appel de Dijon et qui visait à obtenir d'attendre que la décision administrative soit prononcée. Je tenais à vous en aviser..."

Il dit que cela fait donc suite au jugement du Tribunal Administratif qui nous a débouté. Il ajoute qu'il lui semble que nous soyons mal parti dans cette affaire.

M. BREGERE souligne qu'on nous dit qu'il n'y a plus rien à faire.

MME ROBIN ajoute que c'est cela.

M. le Maire évoque une fois de plus le problème de facturation par l'OPAC de l'entretien des espaces verts aux locataires qui se sont plaints en Mairie. Il informe que cela semble s'être bien terminé et que l'OPAC doit avoir adressé un courrier aux intéressés.

M. COUVREUX fait remarquer qu'il n'a rien reçu.

M. le Maire s'en étonne.

Il évoque le fleurissement des villages et ajoute que l'on pourrait convenir de reporter la même somme que l'an passé, soit 30,00 F par habitant.

LES MEMBRES présents s'en accordent.

M. le Maire dit qu'il va à présent évoquer un problème sensible : la chasse., c'est-à-dire, la demande, par la Société Communale de Chasse, de l'abandon par la Commune, à son avantage, du droit de chasse et de destruction des animaux nuisibles.

Il précise qu'il s'agit de l'association dont Monsieur Hubert Mariot est le Président.

M. DELIN demande des précisions et demande de quoi il s'agit.

M. BREGERE donne des précisions. Il souligne que la Société Communale de Chasse est la société qui regroupe tous les chasseurs de Rolampont à l'exception de quelques uns qui n'ont pas souhaité en faire partie. Il précise que cette société ne refuse personne, en tout cas de Rolampont, et qu'elle demande à la Commune l'abandon du droit de chasse sur les terres lui appartenant.

M. le Maire ajoute : gratuitement.

M. PATRICK GALLISSOT demande si cette gratuité est obligatoire.

M. DOUCHE fait remarquer que traditionnellement la chasse en plaine est gratuite.

MLLE TORRAILLE confirme.

M. BREGERE rappelle une fois de plus que tous ceux qui veulent venir à la Société Communale le peuvent.

M. le Maire dit qu'il convient tout de même de faire remarquer que si l'on souhaite adhérer à la Société Communale l'on doit accepter que l'on chasse sur ses terres, ce qui est plus facile à accepter pour ceux qui n'en n'ont pas.

Il signale qu'il s'abstiendra de voter et invite les Membres présents à se déterminer sur l'abandon du droit de chasse et du droit de destruction des animaux nuisibles pour une période de trois ans, à compter du 1er juin 1998, sur les parcelles suivantes appartenant à la Commune, cadastrées comme suit :

------Section & n° ! Lieu-dits ! Contenance ! ! Boisée ! Non boisée ------!------!------!------ZN n° 1 ! La Roche ! 0 ha 47 a 40 ca ! ZN n° 61 ! Les Grandes Combes ! 1 ha 15 a 10 ca ! ZO n° 18 ! Les Mergères ! 1 ha 23 a 70 ca ! ZP n° 30 ! Roche Morand ! 0 ha 4 a 00 ca ! ZD n° 3 ! Champ Tondey ! ! 2 ha 28 a 80 ca E n° 511 ! Voie des Diguets ! 0 ha 6 a 92 ca ! E n°1328 ! Tête des Herbus ! 0 ha 9 a 78 ca ! E n°1329 ! Tête des Herbus ! 0 ha 18 a 4 ca ! E n°1330 ! Tête des Herbus ! 0 ha 20 a 90 ca ! E n°1331 ! Tête des Herbus ! 0 ha 77 a 90 ca ! E n°1332 ! Tête des Herbus ! 2 ha 63 a 90 ca ! E n°1326 ! Tête des Herbus ! 4 ha 72 a 00 ca !

E n°1336 ! Tête des Herbus ! 1 ha 80 a 60 ca ! E n° 980 ! Tête des Herbus ! 0 ha 5 a 54 ca ! E n° 982 ! Tête des Herbus ! 0 ha 30 a 20 ca ! E n° 983 ! Tête des Herbus ! 0 ha 29 a 00 ca ! E n°1338 ! Tête des Herbus ! 0 ha 30 a 20 ca ! ZH n° 36 ! Prés aux Chaires ! 0 ha 68 a 40 ca ! ZL n° 13 ! Les Rieppes ! ! 0 ha 85 a 70 ca ZN n° 77 ! ! ! 3 ha 66 a 50 ca ZN n° 78 ! ! ! 0 ha 77 a 80 ca ------

N°16 Abandon du droit de chasse et du droit de destruction des animaux nuisibles sur des terrains appartenant à la Commune. Adopté par 15 voix POUR et 1 ABSTENTION.

INTERVENTIONS

M. le Maire signale que pour sa part il en a terminé.

M. BREGERE demande : pour les pompiers, à propos de l'article paru dans le journal ?

M. le Maire répond qu'il n'a pas vu le journaliste alors que celui-ci cherchait à le contacter, et que seulement le voyant un peu plus tard, Monsieur Piderit lui a dit que cela ne faisait rien car il avait vu Monsieur le Sous-Préfet qui a pu répondre à ses questions.

Il indique que par ailleurs, monsieur le Sous-Préfet a laissé un délai aux sapeurs-pompiers pour régler leur problème de caisse d'amicale.

Il demande aux Membres présents s'il y a d'autres questions.

L'ORDRE DU JOUR ÉTANT ÉPUISÉ M. LE MAIRE LÈVE LA SÉANCE LE 30 MARS 1998 À 23 HEURES 50 MINUTES.

COMMUNE DE ROLAMPONT DÉLIBÉRATIONS SEANCE DU 30 MARS 1998

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N°98-14 Approbation des Comptes Administratifs - Exercice 1997 -

M. le Maire dit que l'on va passer maintenant à l'ordre du jour. Il présente la question relative à l'approbation des Comptes Administratifs pour l'exercice 1997. Il signale qu'ils sont conformes au Comptes de Gestion de Monsieur le Trésorier Municipal. Il fait lecture du Compte Administratif de la Commune pour l'exercice 1997. Il souligne que les Membres présents sont en possession des vues d'ensemble du Compte Administratif 1997. Il donne la vue d'ensemble de la section de fonctionnement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 6 885 944,00 F 4 154 022,35 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 6 885 944,00 F 6 389 131,07 F

Il rappelle l'excédent de fonctionnement antérieur reporté de 846 559,00 F et indique un excédent de fonctionnement d'exercice de 2 235 108,72 F soit un excédent de fonctionnement de clôture de 3 081 668,51 F.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 4 689 321,00 F 3 035 074,14 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 4 689 321,00 F 953 612,56 F

Il rappelle l'excédent d'investissement antérieur reporté de 1 023 559,20 F et indique un déficit d'investissement d'exercice de 2 081 461,58 F soit un déficit d'investissement de clôture de 1 057 902,38 F. Il souligne le résultat total de clôture de l'exercice 1997, soit un excédent de 2 023 766,13 F.

Il fait lecture du Compte Administratif de l'Usine Relais pour l'exercice 1997.

Il donne la vue d'ensemble de la section de fonctionnement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 291 318,77 F 277 459,01 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 291 318,77 F 465 540,28 F

Il rappelle l'excédent de fonctionnement antérieur reporté de 785 748,25 F et indique un excédent de fonctionnement d'exercice de 188 081,27 F soit un excédent de fonctionnement de clôture de 973 829,52 F.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 013 858,79 F 141 480,15 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 013 858,79 F 22 500,00 F

Il rappelle le déficit d'investissement antérieur reporté de 832 445,64 F et indique le déficit d'investissement d'exercice de 118 980,15 F, soit un déficit d'investissement de clôture de 951 425,79 F. Il souligne le résultat total de clôture de l'exercice 1997, soit un excédent de 22 403,73 F.

Il fait lecture du Compte Administratif de la Régie des Transports Scolaires pour l'exercice 1997.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 189 775,82 F 0,00 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 189 775,82 F. 10 573,65 F.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'exploitation :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 452 128,00 F. 145 936,65 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 452 128,00 F 175 589,62 F

Il rappelle l'excédent de fonctionnement antérieur reporté de 273 401,98 F et le déficit d'investissement antérieur reporté de 189 775,47 F. Il souligne les résultats de l'exercice soit un excédent de 10 573,65 F en section d'investissement, et un excédent de 29 652,97 F en section d'exploitation. Il donne le résultat de clôture de l'exercice 1997 : un déficit d'investissement de 179 201,82 F et un excédent d'exploitation de 303 054,95 F soit un total d'excédent de 123 853,13 F.

Il fait lecture du Compte Administratif du Service de l'Eau et de l'Assainissement pour l'exercice 1997.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 198 203,19 F 797 897,25 F

RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 198 203,19 F 551 190,31 F

Il rappelle le déficit d'investissement antérieur reporté de 348 279,55 F et fait remarquer le déficit d'investissement d'exercice de 246 706,94 F, soit un déficit d'investissement de clôture de 594 986,49 F.

Il donne la vue d'ensemble de la section d'exploitation :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 369 716,00 F 665 535,73 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 369 716,00 F 910 476,04 F

Il rappelle l'excédent de clôture de l'exercice précédent, soit la somme de 807 716,83 F, dont 457 716,00 F ont été reportés au titre des excédents antérieurs, le reste, soit 350.000,00 F ayant été affecté à l'investissement de l'exercice 1997 ce qui donne un excédent de fonctionnement pour l'exercice de 244 940,31 F. Il indique l'excédent d'exploitation de clôture de 702 657,14 F. Il donne le résultat de clôture de l'exercice soit un excédent de 107 670,65 F. Il demande s'il y a des questions à poser. Il explique que les excédents et les déficits antérieurs reportés figurent à la balance de fin d'exercice et de clôture, mais n'apparaissent pas dans les opérations de l'exercice en réalisation, puisque aucune écriture ne peut être passé sur l'exercice, comme il en est de même pour les virements d'une section à l'autre qui ne sont là que pour assurer l'équilibre des prévisions budgétaires. Il ajoute qu'en cours d'exercice il n'est plus possible en M14 d'exécuter le résultat prévisionnel, comme en M11. Il rappelle que les comptes administratifs sont le bilan financier de l'ordonnateur et présentent les résultats de l'exécution du budget.

Il quitte la séance afin de permettre aux Membres présents de délibérer sur les Comptes Administratifs.

M. DELIN invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

ADOPTE le Compte Administratif de la Commune pour l'exercice 1997.

DIT qu'il s'établit comme suit :

- Section de fonctionnement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 6 885 944,00 F 4 154 022,35 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 6 885 944,00 F 6 389 131,07 F

INDIQUE un excédent de fonctionnement antérieur reporté de 846 559,00 F et un excédent de fonctionnement d'exercice de 2 235 108,72 F soit un excédent de fonctionnement de clôture de 3 081 668,51 F.

- Section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 4 689 321,00 F 3 035 074,14 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 4 689 321,00 F 953 612,56 F

INDIQUE un excédent d'investissement antérieur reporté de 1 023 559,20 F et

un déficit d'investissement d'exercice de 2 081 461,58 F soit un déficit d'investissement de clôture de 1 057 902,38 F.

SOULIGNE le résultat total de clôture de l'exercice 1997, soit un excédent de 2 023 766,13 F.

ADOPTE le Compte Administratif de l'Usine Relais pour l'exercice 1997.

DIT qu'il s'établit comme suit :

- Section de fonctionnement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 291 318,77 F 277 459,01 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 291 318,77 F 465 540,28 F

INDIQUE un excédent de fonctionnement antérieur reporté de 785 748,25 F et un excédent de fonctionnement d'exercice de 188 081,27 F, soit un excédent de fonctionnement de clôture de 973 829,52 F.

- Section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 013 858,79 F 141 480,15 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 013 858,79 F 22 500,00 F

INDIQUE un déficit d'investissement antérieur reporté de 832 445,64 F et un déficit d'investissement d'exercice de 118 980,15 F, soit un déficit d'investissement de clôture de 951 425,79 F.

SOULIGNE le résultat total de clôture de l'exercice 1997, soit un excédent de 22 403,73 F.

ADOPTE le Compte Administratif de la Régie des Transports Scolaires pour l'exercice 1997.

DIT qu'il s'établit comme suit :

- Section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 189 775,82 F 0,00 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 189 775,82 F. 10 573,65 F.

- Section d'exploitation :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 452 128,00 F. 145 936,65 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 452 128,00 F 175 589,62 F

INDIQUE un excédent de fonctionnement antérieur reporté de 273 401,98 F et un déficit d'investissement antérieur reporté de 189 775,47 F.

SOULIGNE les résultats de l'exercice soit un excédent de 10 573,65 F en section d'investissement, et un excédent de 29 652,97 F en section d'exploitation ; le résultat de clôture de l'exercice 1997 : un déficit d'investissement de 179 201,82 F et un excédent d'exploitation de 303 054,95 F soit un total d'excédent de 123 853,13 F.

ADOPTE le Compte Administratif du Service de l'Eau et de l'Assainissement pour l'exercice 1997.

DIT qu'il s'établit comme suit :

- Section d'investissement :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 198 203,19 F 797 897,25 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 198 203,19 F 551 190,31 F

INDIQUE un déficit d'investissement antérieur reporté de 348 279,55 F et un déficit d'investissement d'exercice de 246 706,94 F, soit un déficit d'investissement de clôture de 594 986,49 F.

- Section d'exploitation :

DÉPENSES PRÉVU RÉALISÉ 1 369 716,00 F 665 535,73 F RECETTES PRÉVU RÉALISÉ 1 369 716,00 F 910 476,04 F

INDIQUE un excédent de clôture de l'exercice précédent de 807 716,83 F, un report de 457 716,00 F au titre des excédents antérieurs, et la somme de 350.000,00 F affectée à l'investissement de l'exercice 1997, soit un excédent de fonctionnement pour l'exercice de 244 940,31 F.

SOULIGNE l'excédent d'exploitation de clôture de 702 657,14 F et le résultat de clôture de l'exercice, soit un excédent de 107 670,65 F.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-15 Affectation des résultats de fonctionnement cumulés au 31.12.1997.

M. le Maire rejoint la séance. Il s'inquiète du résultat du vote et remercie les membres présents de l'adoption des comptes administratifs. Il signale qu'après le vote des comptes administratifs 1997, le Conseil doit décider d'affecter les résultats de fonctionnement cumulés au 31 décembre 1997 des différents budgets. Il propose d'affecter ces résultats de la manière suivante : * Commune : 3 081 668,51 F répartis comme suit : - 2 500 000,00 F affecté à la section d'investissement (compte 1068), - 581 668,51 F en excédent de fonctionnement reporté. * Service Eau et Assainissement : 702 657,14 F répartis comme suit : - 702 657,14 F affecté à la section d'investissement (compte 108). * Usine Relais : 973 829,52 F réparti comme suit : - 950 000,00 F affecté à la section d'investissement (compte 1068), - 23 829,52 F en excédent de fonctionnement reporté. * Régie de Transports Scolaires : 303 054,95 F réparti comme suit : - 179 201,82 affecté à la section d'investissement (compte 106), - 123 853,13 F en excédent de fonctionnement reporté.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU les comptes administratifs de l'exercice 1997,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE d'affecter les résultats de fonctionnement cumulés au 31 décembre 1997 des différents budgets.

AJOUTE que cette affectation se fera de la manière suivante :

* Commune : 3 081 668,51 F répartis comme suit :

- 2 500 000,00 F affecté à la section d'investissement (compte 1068), - 581 668,51 F en excédent de fonctionnement reporté.

* Service Eau et Assainissement : 702 657,14 F répartis comme suit :

- 702 657,14 F affecté à la section d'investissement (compte 108).

* Usine Relais : 973 829,52 F réparti comme suit :

- 950 000,00 F affecté à la section d'investissement (compte 1068), - 23 829,52 F en excédent de fonctionnement reporté.

* Régie de Transports Scolaires : 303 054,95 F réparti comme suit :

- 179 201,82 affecté à la section d'investissement (compte 106), - 123 853,13 F en excédent de fonctionnement reporté.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-16 Amortissement des bus de la Régie de Transports Scolaires.

M. le Maire dit qu'il convient de décider d'amortir, à compter de 1998, les bus de la Régie de Transports Scolaires achetés en 1991 et 1993. Il propose que le bus acheté en 1991, 213 465,23 F, soit amorti sur six ans et que le bus acheté en 1993, 230 795,60 F, le soit sur huit ans. Il ajoute que les subventions d'investissement encaissées pour l'achat de ces deux bus seront reprises à la section de fonctionnement sur la même durée que l'amortissement.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE l'amortissement, à compter de l'exercice 1998, des bus de la Régie de Transports Scolaires achetés en 1991 et 1993.

DIT que le bus acheté en 1991 (213 465,23 F) sera amorti sur six ans ; le bus acheté en 1993 (230 795,60 F) sur huit ans.

PRECISE que les subventions d'investissement encaissées pour l'achat de ces deux bus seront reprises à la section de fonctionnement sur la même durée que l'amortissement.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-17 Taux des quatre taxes.

M. le Maire dit qu'il convient au titre des produits communaux pour l'exercice 1998 d'adopter le taux des quatre taxes. Il signale que comme convenu lors des dernières Commissions des Finances des 20 et 25 mars 1998 il propose le maintien des taux de l'année dernière.

Il demande si tout le monde est toujours d'accord.

Il ajoute que le Budget Primitif de la Commune a été entre autre élaboré sur cette base.

Il rappelle les bases d'imposition prévisionnelles pour 1998 :

TAXE HABITATION : 4 410 000 F TAXE FONC. BATI : 3 832 000 F TAXE F. NON BATI : 1 062 000 F TAXE PROFESSION. : 22 170 000 F

Il rappelle les taux des quatre taxes soit :

TAXE D'HABITATION : 10,38 % FONCIER BATI : 18,95 % FONCIER NON BATI : 23,69 % TAXE PROFESSIONNELLE : 6,21 %

Il indique les produits attendus pour l'exercice 1998 avec un coefficient de variation de 1,00 c'est-à-dire sans augmentation des taux :

TAXE D'HABITATION : 457 758 F FONCIER BATI : 726 164 F FONCIER NON BATI : 251 588 F TAXE PROFESSIONNELLE : 1 376 757 F

Soit un total de 2 812 267 F

Il invite les Membres présents à délibérer sur le taux des quatre taxes.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

FIXE, au titre de l'année 1998, les taux d'imposition de la taxe d'habitation, des taxes foncières, et de la taxe professionnelle, comme suit :

______DESIGNATION DES TAXES : BASES : TAUX : PRODUITS ______:______:______:______TAXE D'HABITATION : 4 410 000 : 10,38 % : 457 758 F FONCIER BATI : 3 832 000 : 18,95 % : 726 164 F FONCIER NON BATI : 1 062 000 : 23,69 % : 251 588 F TAXE PROFESSIONNELLE : 22 170 000 : 6,21 % : 1 376 757 F ______:______:______:______... PRODUIT FISCAL ATTENDU ...... 2 812 267 F ______

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-18 Budgets Primitifs 1998.

M. le Maire salue Monsieur Rosselle, Trésorier Municipal, présent au sein de l'Assemblée et l'invite à décrire en son nom ses propositions pour les budgets primitifs de l'exercice 1998 telles qu'elles ont été élaborées lors des dernières Commissions.

M. le Trésorier Municipal présente les propositions de M. le Maire pour le Budget Primitif de la Commune. Il donne le contenu et le détail des propositions chiffrés en section de fonctionnement et en section d'investissement, tant en dépenses qu'en recettes. Il indique que le Budget Primitif de la Commune s'équilibre en section de fonctionnement à 6 788 803,00 F et à 7 081 156,00 F en section d'investissement.

M. le Maire demande s'il y a des questions.

M. le Trésorier Municipal fait part des propositions de Monsieur le Maire pour le Budget Annexe des Services Publics d'Assainissement et de Distribution d'Eau Potable. Il indique que le Budget Annexe des Services Eau et Assainissement s'équilibre en section d'investissement à 2 820 146,00 F et à 861 318,00 F en section d'exploitation.

M. le Maire demande s'il y a des observations.

M. le Trésorier Municipal présente les propositions de M. le Maire pour le

Budget Primitif de l'Usine Relais. Il indique que le Budget Primitif de l'Usine Relais s'équilibre ainsi en section de fonctionnement à 167 828,00 F et à 1 105 781,00 F en section d'investissement.

M. le Maire demande s'il y a des questions.

M. le Trésorier Municipal présente les propositions de M. le Maire pour le Budget Primitif de la Régie de Transports Scolaires. Il décrit le contenu du Budget et donne les propositions chiffrés par section et chapitre, tant en recettes qu'en dépenses. Il indique que le Budget Primitif de la Régie des Transports Scolaires s'équilibre en section d'investissement à 243 629,00 F et à 348 280,00 F en section d'exploitation.

M. le Maire demande s'il y a des questions.

Il invite les Membres présents à délibérer sur les propositions relatives aux Budgets Primitifs pour l'Exercice 1998.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de M. le Maire et sur sa proposition,

OUI le rapport de M. le Trésorier Municipal,

VU le compte-rendu des Commissions des Finances,

VU les documents budgétaires fournis par le secrétariat de mairie,

APRES en avoir délibéré,

ADOPTE le Budget Primitif de la Commune pour l'exercice 1998.

DIT qu'il s'équilibre s'équilibre à 6 788 803,00 F en section de fonctionnement et à 7 081 156,00 F en section d'investissement.

ADOPTE le Budget Primitif de l'Usine Relais pour l'exercice 1998.

DIT qu'il s'équilibre s'équilibre à 167 828,00 F en section de fonctionnement et à 1 105 781,00 F en section d'investissement.

ADOPTE le Budget Primitif des Services de l'Eau et Assainissement pour l'exercice 1998.

DIT qu'il s'équilibre à 2 820 146,00 F en section d'investissement et à 861 318,00 F en section d'exploitation.

ADOPTE le Budget Primitif de la Régie des Transports Scolaires pour l'exercice 1998.

DIT qu'il s'équilibre à 243 629,00 F en section d'investissement et à 348 280,00 F en section d'exploitation.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-19 Subventions octroyées par la Commune 1998.

M. le Maire évoque la question relative aux subventions qui seront octroyées par la Commune au titre de l'année 1998. Il rappelle la liste des bénéficiaires et les montants qui ont été discutés et arrêtés en Commission des Finances. Il fait lecture de la liste.

______BENEFICIAIRES : MONTANT ______:______FANFARE : 5 000,00 F

______:______C.A.R. : 6 920,00 F ______:______F.C.P.E. ROLAMPONT-LANNES : 2 884,00 F ______:______CLUB CYCLISTE : 1 500,00 F ______:______POMPIERS : 5 074,00 F ______:______ASSOCIATION ANCIENS COMBATTANTS : 576,00 F ______:______A.C.P.G. : 576,00 F ______:______D.T.R. : 576,00 F ______:______INFIRMES MENTAUX : 116,00 F ______:______PARALYSES DE FRANCE : 116,00 F ______:______PREVENTION ROUTIERE : 116,00 F ______:______DONNEURS DE SANG : 576,00 F ______:______OFFICE DEPARTEMENTAL ANCIENS COMBATTANTS : 116,00 F ______:______COMITE DU CANCER : 634,00 F ______:______HANDICAPES SUD HAUT-MARNAIS : 229,00 F ______:______CLUB DES OPTIMISTES : 289,00 F ______:______COMPAGNONS DU PASSE : 1 552,00 F ______:______JUDO-CLUB : 2 TAPIS ______:______FOYER RURAL / CENTRE AERE : 22 666,00 F ______:______BOULE ROLAMPONTAISE : 1 035,00 F ______:______AS SOCIATION TINTA'MARS (SUBVENTION EXCEPTIONNELLE) : 1 370,00 F ______:______C.A.R. TENNIS : 3 000,00 F ______:______AERO CLUB LANGROIS : 1 045,00 F ______:______CHARMILLE : 500,00 F ______:______CHARMILLE POUR 14 JUILLET DE CHARMOILLES : 2 884,00 F ______:______BIBLIOTHEQUE DE LANNES : 2 613,00 F ______:______FOURNITURES SCOLAIRES : 31 500,00 F ______:______PO MPIERS DE LANNES POUR 14 JUILLET : 5 421,00 F ______COMMUNE DE TRONCHOY POUR 14 JUILLET : 1 242,00 F ______NIVEOLE DE LANNES : 1 000,00 F ______V.C.L. : 500,00 F ______

Il ajoute que le versement aux associations des aides de plus de 1 000,00 F. est subordonné comme les années précédentes à la transmission en Mairie d'un rapport relatif à leurs activités et à leurs finances.

Il fait part de la demande des 3 V du Bassigny apportée cet après-midi en Mairie par Monsieur Bouvier.

Il indique que cette association organise un camp de vacances pour les enfants. Il indique que pour le Centre Aéré l'on donne 10,00 F par jour et par enfant et qu'ainsi, pour 15 jours, l'on pourrait donner 150,00 F par enfant, soit 600,00 F pour quatre enfants de Charmoilles. Il propose de demander à l'association de justifier la participation de ces enfants à ses activités préalablement au versement de l'aide.

Il demande aux Membres présents d'approuver la liste des subventions qui seront octroyées par la Commune en 1998 Il rappelle que les crédits sont inscrits au Budget Primitif de la Commune.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

Oui l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

______BENEFICIAIRES : MONTANT ______:______FANFARE : 5 000,00 F ______:______C.A.R. : 6 920,00 F ______:______F.C.P.E. ROLAMPONT-LANNES : 2 884,00 F ______:______CLUB CYCLISTE : 1 500,00 F ______:______POMPIERS : 5 074,00 F ______:______ASSOCIATION ANCIENS COMBATTANTS : 576,00 F ______:______A.C.P.G. : 576,00 F ______:______D.T.R. : 576,00 F ______:______INFIRMES MENTAUX : 116,00 F ______:______PARALYSES DE FRANCE : 116,00 F ______:______PREVENTION ROUTIERE : 116,00 F ______:______DONNEURS DE SANG : 576,00 F ______:______OFFICE DEPARTEMENTAL ANCIENS COMBATTANTS : 116,00 F ______:______COMITE DU CANCER : 634,00 F ______:______HANDICAPES SUD HAUT-MARNAIS : 229,00 F ______:______CLUB DES OPTIMISTES : 289,00 F ______:______COMPAGNONS DU PASSE : 1 552,00 F ______:______JUDO-CLUB : 2 TAPIS ______:______FOYER RURAL / CENTRE AERE : 22 666,00 F ______:______BOULE ROLAMPONTAISE : 1 035,00 F ______:______AS SOCIATION TINTA'MARS (SUBVENTION EXCEPTIONNELLE) : 1 370,00 F ______:______C.A.R. TENNIS : 3 000,00 F ______:______AERO CLUB LANGROIS : 1 045,00 F ______:______CHARMILLE : 500,00 F

______:______CHARMILLE POUR 14 JUILLET DE CHARMOILLES : 2 884,00 F ______:______BIBLIOTHEQUE DE LANNES : 2 613,00 F ______:______FOURNITURES SCOLAIRES : 31 500,00 F ______:______PO MPIERS DE LANNES POUR 14 JUILLET : 5 421,00 F ______COMMUNE DE TRONCHOY POUR 14 JUILLET : 1 242,00 F ______NIVEOLE DE LANNES : 1 000,00 F ______V.C.L. : 500,00 F ______3 V DU BASSIGNY (pour 15 jours et 4 enfants) : 600,00 F ______

RAPPELLE que le versement aux associations des aides de plus de 1 000,00 F. est subordonné comme les années précédentes à la transmission en Mairie d'un rapport relatif à leurs activités et à leurs finances.

AJOUTE que l'association 3 V du Bassigny devra justifier la participation des quatre enfants de Charmoilles au camp de vacance préalablement au versement de l'aide.

Adopté par 16 voix POUR et 1 CONTRE.

N°98-20 Revalorisation des tarifs Ordures Ménagères.

M. le Maire rappelle la discussion des dernières Commissions des Finances. Il fait remarquer l'augmentation de la participation au SICTOM et souligne que déjà l'an passé les produits recouvrés n'ont pas compensé la contribution à la charge de la Commune. Il souligne que la contribution au Syndicat Intercommunal est pour l'exercice 1998 de 280,00 F par habitant, soit 424 760,00 F pour 1517 habitants alors qu'elle était de 205,00 F par habitant en 1997. Il rappelle les tarifs de la redevance d'enlèvement des ordures ménagères actuellement en vigueur tels qu'ils résultent de la délibérations du Conseil Municipal n°97-11 du 26 mars 1997 :

- 2 X PAR AN :

105,00 F PAR PERSONNE ( DE 1 A 4 ), 20,00 F PAR PERSONNE SUPPLEMENTAIRE,

- 1 X PAR AN :

315,00 F POUR LES RESIDENCES SECONDAIRES.

Il propose de revaloriser les tarifs du service des Ordures Ménagères comme suit :

- 2 X PAR AN :

140 F PAR PERSONNE ( DE 1 A 4 ), 40 F PAR PERSONNE SUPPLEMENTAIRE,

- 1 X PAR AN :

420 F POUR LES RESIDENCES SECONDAIRES.

Il demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent et les invite à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE de revaloriser les tarifs du service des Ordures Ménagères comme suit à compter de l'exercice 1998 :

- 2 X PAR AN :

140 F PAR PERSONNE ( DE 1 A 4 ), 40 F PAR PERSONNE SUPPLEMENTAIRE,

- 1 X PAR AN :

420 F POUR LES RESIDENCES SECONDAIRES.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-21 Demande d'aide à l'investissement forestier. Année 1998. Parcelle 4.

M. le Maire évoque la question relative à l'aide à l'investissement forestier. Il ajoute que cela concerne la parcelle 4 reboisée en fin d'année. Il précise que les travaux consistant au renouvellement artificiel de peuplement feuillus doivent être réalisés à partir de 1998. Il ajoute que ces travaux seront étalés sur trois ans et subventionnés à 40 %. Il dit que pour 1998 il y aura 54 600,00 F de travaux avec une subvention de 23 136,00 F ; pour 1999 14 400,00 F de travaux avec une subvention de 6 102,00 F ; et pour 2001 24 000,00 F de travaux avec 10 170 F de subvention. soit un coût total de 104 800,00 F ht honoraires ONF compris. Il souligne l'obligation faite d'un réinvestissement de 6 280,00 F représentant 20 % des recettes préalables, ce qui donne un devis subventionnable de 98 520,00 F. Il ajoute qu'il s'agit apparemment d'une des dernières grandes parcelles à réaménager. Il signale qu'elle est de 12 ha 78. Il fait part du projet de délibération communiqué par l'ONF. Il dit que ce projet de renouvellement artificiel de peuplements feuillus qui doit être réalisé à partir de 1998. Il indique qu'il convient de retenir le projet d'une surface de 12,78 hectares, étudié par l'Office National des Forêts et dont la réalisation entraînera une dépense estimée à 104 800,00 F. ht honoraires ONF compris. Il ajoute qu'il convient de solliciter l'octroi sur le Fonds Forestier National, le Budget de l'Etat ou du Conseil Régional, d'une aide, prime à l'investissement ou subvention. Il indique le titre de propriétaire de la Commune de Rolampont sur la propriété en cause, le lieu de l'opération : Département de la Haute-Marne, Commune de Rolampont. Il rappelle que la parcelle intéressée par le projet est la parcelle 4. Il insiste sur le fait que le Conseil Municipal ne s'engage que dans la mesure où l'aide lui serait accordée :

- à inscrire chaque année au budget communal les sommes nécessaires à l'entretien des peuplements concernés, - à assurer la part d'autofinancement lui incombant pour la réalisation intégrale des projets, - à exécuter l'intégralité des travaux dans un délai de quatre ans maximum à compter de la date d'attribution de l'aide.

Il dit que l'Office National des Forêts devra être désigné pour assister la Commune dans les démarches à entreprendre pour l'obtention de l'aide sollicitée. Il demande aux Membres présents de l'habiliter à signer les pièces contractuelles s'y rapportant. Il précise qu'il convient de solliciter le concours de l'Office National des Forêts, habilité à apporter son concours à la Commune en application de la loi n°64-1278 du 23 décembre 1964, et du décret n°65-1065 du 7 décembre

1965, pour l'étude, la direction et la réception des travaux qui seront exécutés en régie d'office. Il ajoute que l'on doit aussi autoriser l'ONF à signer le devis des travaux. Il informe que le Conseil Municipal s'engagera à rémunérer l'Office National des Forêts pour son concours selon les taux fixés à l'arrêté interministériel du 7 décembre 1979, modifié par les arrêtés du 8 janvier et du 31 juillet 1986 et rappelés à l'article 6.1 de la convention permanente d'intervention de l'Office National des Forêts en forêts communales.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la proposition des services de l'Office National des Forêts,

APRES en avoir délibéré,

CONSIDERANT le projet de renouvellement artificiel de peuplement feuillus qui sera réalisé à partir de 1998.

CONSIDERANT qu'il y a lieu de retenir le projet d'une surface de 12,78 hectares, étudié par l'Office National des Forêts et dont la réalisation entraînera une dépense estimée à 104 800,00 F ht honoraires ONF compris,

APRES en avoir délibéré,

SOLLICITE l'octroi sur le Fonds Forestier National, le budget de l'Etat ou du Conseil Régional, d'une aide, prime à l'investissement ou subvention.

INDIQUE le titre de propriétaire de la Commune de Rolampont sur la propriété en cause, le lieu de l'opération : Département de la Haute-Marne, Commune de Rolampont.

PRECISE que la parcelle intéressée par le projet est la parcelle 4.

S'ENGAGE dans la mesure où l'aide lui serait accordée :

- à inscrire chaque année au budget communal les sommes nécessaires à l'entretien des peuplements concernés,

- à assurer la part d'autofinancement lui incombant pour la réalisation intégrale des projets,

- à exécuter l'intégralité des travaux dans un délai de quatre ans maximum à compter de la date d'attribution de l'aide.

DESIGNE l'Office National des Forêts pour assister la Commune dans les démarches à entreprendre pour l'obtention de l'aide sollicitée.

HABILITE M. le Maire à signer les pièces contractuelles s'y rapportant.

SOLLICITE le concours de l'Office National des Forêts, habilité à apporter son concours à la Commune en application de la loi n°64-1278 du 23 décembre 1964, et du décret n°65-1065 du 7 décembre 1965, pour l'étude, la direction et la réception des travaux qui seront exécutés en régie d'office, et la signature du devis des travaux.

S'ENGAGE à rémunérer l'Office National des Forêts pour son concours selon les taux fixés à l'arrêté interministériel du 7 décembre 1979, modifié par les arrêtés du 8 janvier et du 31 juillet 1986 et rappelés à l'article 6.1 de la convention permanente d'intervention de l'Office National des Forêts en forêts communales.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-22 Demande d'aide à l'investissement forestier. Année 1998. Parcelles

51-52.

M. le Maire informe de l'existence d'un autre programme pour lequel il conviendra de délibérer pareillement. Il précise qu'il s'agit par contre d'entretien, de dégagement sur de petites parcelles, au Châtelet, parcelles 51-52. Il ajoute que les travaux projetés consistent en du dégagement de semis manuel et de l'entretien de cloisonnement à 10 mètres en 1998 et en du dégagement de semis manuel, du dépressage et de l'entretien de cloisonnement à 10 mètres en 2201. Il informe du montant total des travaux qui s'élèvent à 9 900,00 F sans les honoraires et à 10 200,00 F avec les honoraires de l'ONF. Il souligne que ces travaux sont subventionnés en totalité à 40 % Il signale que ce projet de renouvellement naturel de peuplements feuillus qui doit être réalisé à partir de 1998. Il indique qu'il y a lieu de retenir le projet d'une surface de 16,67 hectares, étudié par l'Office National des Forêts et dont la réalisation entraînera une dépense estimée à 10 200,00 F. ht honoraires ONF compris. Il ajoute qu'il convient de solliciter l'octroi sur le Fonds Forestier National, le Budget de l'Etat ou du Conseil Régional, d'une aide, prime à l'investissement ou subvention. Il indique le titre de propriétaire de la Commune de Rolampont sur la propriété en cause, le lieu de l'opération : Département de la Haute-Marne, Commune de Rolampont. Il dit qu'il s'agit de la tranche n°2. Il rappelle que les parcelles intéressées par le projet sont les parcelles 51-52. Il souligne une fois de plus que le Conseil Municipal ne s'engage que dans la mesure où l'aide lui serait accordée :

- à inscrire chaque année au budget communal les sommes nécessaires à l'entretien des peuplements concernés, - à assurer la part d'autofinancement lui incombant pour la réalisation intégrale des projets, - à exécuter l'intégralité des travaux dans un délai de quatre ans maximum à compter de la date d'attribution de l'aide.

Il dit que l'Office National des Forêts devra être désigné pour assister la Commune dans les démarches à entreprendre pour l'obtention de l'aide sollicitée. Il demande aux Membres présents de lui donner tous les pouvoirs pour signer les pièces contractuelles s'y rapportant. Il précise qu'il convient de solliciter le concours de l'Office National des Forêts, habilité à apporter son concours à la Commune en application de la loi n°64-1278 du 23 décembre 1964, et du décret n°65-1065 du 7 décembre 1965, pour l'étude, la direction et la réception des travaux qui seront exécutés en régie d'office. Il ajoute que l'on doit aussi autoriser l'ONF à signer le devis des travaux. Il informe que le Conseil Municipal s'engagera à rémunérer l'Office National des Forêts pour son concours selon les taux fixés à l'arrêté interministériel du 7 décembre 1979, modifié par les arrêtés du 8 janvier et du 31 juillet 1986 et rappelés à l'article 6.1 de la convention permanente d'intervention de l'Office National des Forêts en forêts communales.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la proposition des services de l'Office National des Forêts,

APRES en avoir délibéré,

CONSIDERANT le projet de renouvellement naturel de peuplement feuillus qui sera réalisé à partir de 1998.

CONSIDERANT qu'il y a lieu de retenir le projet d'une surface de 16,67

hectares, étudié par l'Office National des Forêts et dont la réalisation entraînera une dépense estimée à 10 200,00 F ht honoraires ONF compris,

APRES en avoir délibéré,

SOLLICITE l'octroi sur le Fonds Forestier National, le budget de l'Etat ou du Conseil Régional, d'une aide, prime à l'investissement ou subvention.

INDIQUE le titre de propriétaire de la Commune de Rolampont sur la propriété en cause, le lieu de l'opération : Département de la Haute-Marne, Commune de Rolampont.

PRECISE que les parcelles intéressées par le projet sont les parcelles 51- 52.

DIT qu'il s'agit de la deuxième tranche des opérations.

S'ENGAGE dans la mesure où l'aide lui serait accordée :

- à inscrire chaque année au budget communal les sommes nécessaires à l'entretien des peuplements concernés,

- à assurer la part d'autofinancement lui incombant pour la réalisation intégrale des projets,

- à exécuter l'intégralité des travaux dans un délai de quatre ans maximum à compter de la date d'attribution de l'aide.

DESIGNE l'Office National des Forêts pour assister la Commune dans les démarches à entreprendre pour l'obtention de l'aide sollicitée.

HABILITE M. le Maire à signer les pièces contractuelles s'y rapportant.

SOLLICITE le concours de l'Office National des Forêts, habilité à apporter son concours à la Commune en application de la loi n°64-1278 du 23 décembre 1964, et du décret n°65-1065 du 7 décembre 1965, pour l'étude, la direction et la réception des travaux qui seront exécutés en régie d'office, et la signature du devis des travaux.

S'ENGAGE à rémunérer l'Office National des Forêts pour son concours selon les taux fixés à l'arrêté interministériel du 7 décembre 1979, modifié par les arrêtés du 8 janvier et du 31 juillet 1986 et rappelés à l'article 6.1 de la convention permanente d'intervention de l'Office National des Forêts en forêts communales.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-23 Approbation du programme valant devis de travaux en FC. Exercice 1998.

M. le Maire évoque la question relative à l'approbation du programme valant devis des travaux en forêt communale pour l'exercice 1998. Il donne la description des travaux d'investissement :

* Régénération feuillues, fourniture de plans (5 200 hêtres, 100 érables planes et 100 merisiers).

- Parcelle 4 : régénération feuillue, nettoyage mécanique du terrain, mise en place des plans, protection individuelle, - Parcelle 16, 45, 52 et 53 : entretien et régénération, cloisonnement sylvicole, - Parcelle 45 et 53 : dégagement manuel des plantations, - Parcelle 51 et 52 : dégagement manuel des semis.

* Travaux d'entretien :

- Entretien des équipements touristiques de la Tuffière, - cloisonnement d'exploitation sur les parcelles 47, 8, 10, 11 et 48,

- divers lotissement affouages, parcelles 3, 20 et 9.

* Autres travaux d'investissement :

- création de barrières RF des Moulinots, - création de barrières RF du Châtelet, - Cloisonnement sylvicole, un aller et retour par chemin de débardage, largeur 2,50 à 3 mètres, parcelle 205, - Broyage de végétation sur emprise RF du Châtelet et RF des Moulinots, - Fourniture et pose de signalisation routière RF du Châtelet et RF des Moulinots, - Fourniture et pose de barrières RF du Châtelet et RF des Moulinots.

Il ajoute le tout pour 128 384,09 F ht, soit 149 798,99 F ttc.

Il invite les Membres présents à approuver ce programme.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU le programme valant devis de travaux établi par les services de l'Office National des Forêts,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE le programme valant devis des travaux en forêt communale pour l'exercice 1998.

DIT que ces travaux s'élèveront à la somme de 128 384,09 F ht, soit 149 798,99 F ttc.

PRECISE que les crédits nécessaires sont inscrits au Budget de la Commune.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-24 Vente d'un terrain à Tronchoy.

M. le Maire évoque la question relative à la vente de terrain à Tronchoy. Il ajoute qu'au cas où cela se préciserait il conviendrait de fixer le prix de vente en délibérant comme convenu à 10 F le mètre carré. Il signale que selon l'usage les frais de bornage et d'arpentage sont à la charge des preneurs. Il propose cependant que l'on s'accorde sur la prise en charge de ces frais moitié à la charge de la Commune, moitié à la charge des acquéreurs.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent sur la prise en charge des frais de bornage et d'arpentage, moitié par la Commune, moitié par les preneurs.

M. le Maire demande aux Membres présents de l'habiliter à dresser, comme convenu l'état des frais de viabilisation et d'aménagement du terrain qui seront mis en recouvrement pour moitié à la charge des preneurs, ainsi que de l'habiliter à signer l'acte à intervenir qui pourrait être reçu par Maître Xavier Guichard, notaire à Langres.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE la vente d'un terrain à Tronchoy à prélever sur une parcelle cadastrée section 498 ZB n°62, lieu-dit "Les Grands prés".

FIXE le prix de vente à à 10,00 F le mètre carré.

DIT que les frais de bornage et d'arpentage seront moitié à la charge de la Commune, moitié à la charge des acquéreurs.

CHARGE Monsieur le Maire de dresser, l'état des frais de viabilisation et d'aménagement du terrain qui seront mis en recouvrement pour moitié à la charge des preneurs.

HABILITE Monsieur le Maire à signer l'acte à intervenir qui sera reçu par Maître Xavier Guichard, notaire à Langres et plus généralement faire le nécessaire.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-25 Projets de réfection de l'intérieur de l'église de Rolampont et de réfection de la toiture du bâtiment des Compagnons du Passé. Demande d'aides et d'intervention du GAL.

M. le Maire évoque la question relative aux demandes d'aides sur les projets d'équipements à venir selon un programme étalé dans le temps et qui pourront être éventuellement portés par le GAL. Il rappelle que par délibération n°98-01 du 13 janvier 1998, le Conseil Municipal a déjà approuvé la réalisation de certains travaux d'investissement programmés en 1998, les demandes d'aides qui permettront le financement de ces projets, et sollicité le GAL pour les porter. Il rappelle qu'il s'agit des projets suivants : - Isolation d'une classe du Groupe Scolaire, - Isolation thermique et acoustique de la Maison du Temps libre, - Création d'une salle des sports. Il rappelle que le Conseil Municipal, par délibération n°98-03 du 13 janvier 1998, a aussi approuvé la création d'une médiathèque programmée en 1999, les demandes d'aides qui permettront le financement de ce projets, et sollicité le GAL pour le porter. Il ajoute que pour 1999, il conviendrait d'ajouter à la programmation la réfection du futur musée de l'outillage artisanal dont le montant des travaux a été estimé à 74 989,00 F ht, soit 90 463,00 F ttc. Il dit que pour 2000 le projet de réfection de l'intérieur de l'église de Rolampont, chiffré à 378 018,00 F ht, soit à 455 889,00 F ttc pourrait compléter la programmation.

Il invite les Membres présents à approuver ces projets, à solliciter les aides de l'Etat, notamment au titre de la DGE, de la Région, du Département et de l'Europe qui permettront leur financement, ainsi que l'intervention du GAL pour les porter au niveau de la Région.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE la programmation des travaux d'investissements suivants :

* Exercice 1999 : réfection du futur musée de l'outillage artisanal, - montant estimé des travaux : 74 989,00 F ht (90 463,00 F ttc).

* Exercice 2000 : réfection de l'intérieur de l'église de Rolampont, - montant estimé des travaux : 378 018,00 F ht (455 889,00 F ttc).

SOLLICITE les aides de l'Etat, notamment au titre de la DGE, de la Région, du Département et de l'Europe qui permettront leur financement,

SOLLICITE en outre l'intervention du GAL pour porter ces projets au niveau de la Région.

FIXE le financement prévisionnel des travaux comme suit :

- Subventions,

- Autofinancement, - Emprunt (éventuellement).

HABILITE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces se rapportant à ces projets et à leur financement.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-26 Opposition à la directive Natura 2000.

M. le Maire évoque la question relative à Natura 2000. Il souligne que les services préfectoraux le relancent. Il fait lecture de la dernière lettre reçue en Mairie à ce propos le 25 mars dernier.

"Par courrier du 19 janvier 1998, je vous ai informé que votre commune était concernée par un ou plusieurs sites figurant sur la deuxième liste de site susceptibles d'être intégrés au futur réseau Natura 2000. Dans ce courrier, je vous invitais, conformément au décret n°95-631 du 5 mai 1995, à me faire part de votre avis, dans un délai de 2 mois, sur cette proposition d'intégration à ce réseau. Or au terme de ce délai, je relève que votre commune ne s'est pas encore prononcée. Je vous rappelle que les observations des communes concernées seront prises en compte lors de la transmission des sites de 2ème liste au Ministère de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement. En conséquence, je vous serais obligé de bien vouloir me faire part de votre avis sur l'intérêt de l'intégration du ou des site(s) vous concernant avant le 1er avril."

Il ajoute que cette correspondance fait suite à celle dont il a parlé lors de la dernière séance.

Il signale que l'on a encore reçu en Mairie une lettre de la Fédération Nationale des Communes Forestières de France aux maires adhérents de communes forestières. Il invite Mademoiselle Torraille à faire lecture de cette correspondance. Il demande ce que les Membres présents en pensent. Il dit qu'il pense que l'on pourrait nuancer la réponse, car l'on répond quand même au Préfet.

LES MEMBRES PRESENTS débattent de la question. Ils demandent que l'on passe aux voix afin de formaliser leur opposition à la directive Natura 2000.

M. le Maire accepte qu'il en soit ainsi et fait remarquer qu'il s'abstiendra pour sa part de voter.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire,

APRES en avoir délibéré,

DECLARE son opposition à la directive Natura 2000.

Adopté par 13 voix POUR et 3 ABSTENTIONS.

N°98-27 Assujettissement des services Eaux et Assainissement à la TVA à compter du 1er juin 1998.

M. le Maire dit que l'on va à présent parler de l'eau, c'est-à-dire de l'assujettissement à la TVA des services des Eaux et de l'Assainissement. Il précise que la TVA est en la matière à 5,5 % Il souligne qu'il a déjà été question de la chose en Commission des Finances et que l'on est un peu obligé de s'assujettir afin de récupérer la TVA sur tout le service et notamment sur l'étude Diagnostic sans attendre la réalisation des travaux qu'elle prescrira. L'assujettissement permettant

aussi de récupérer la TVA sur les charges de fonctionnement, c'est-à-dire sur les travaux d'entretien. Il ajoute que cela va faire de l'eau à 8,45 F au lieu de 8,01 F le mètre cube. Il propose d'assujettir les services après le relevé des compteurs qui aura lieu au mois de mai prochain ce qui fera un assujettissement au 1er juin 1998.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE l'assujettissement à la taxe sur la valeur ajoutée des Services Publics de Distribution d'Eau et de l'Assainissement après le relevé des compteurs qui aura lieu au mois de mai prochain.

INDIQUE que dès lors l'assujettissement à la tva se fera à compter du 1er juin 1998.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-28 Approbation de la rétrocession de chemin appartenant à l'AF de Rolampont.

M. le Maire informe des suites à donner à la dernière réunion de l'Association Foncière de Rolampont. Il précise qu'il s'agit encore une fois de régularisation de rétrocessions de chemins il y a longtemps décidées et pour lesquelles aucun acte n'est intervenu afin de matérialiser les cessions qui sont d_ès lors restées sans suite. Il ajoute que les chemins concernés sont les suivants :

- Section ZI n°14, le Sentier au Feu, pour 133 mètres environ, un document d'arpentage sera ici nécessaire, - ZN n°76, Chemin des Prés, d'une contenance de 24 ares 10 centiares, - ZR n°2, chemin de la Tuffière, d'une contenance de 10 ares 40 centiares, - ZP n°19, chemin de Champigny à Vaubrien, d'une contenance de 1 hectare 21 ares et 20 centiares.

Il indique que le document d'arpentage pourrait être effectué par Monsieur Kolb et que la cession se ferait à la Commune pour le franc symbolique. Il souligne qu'il pourrait recevoir l'acte en la forme administrative et qu'il conviendrait dès lors d'habiliter Monsieur Delin, Adjoint, pour représenter la Commune et le signer. Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE la cession par l'Association Foncière de Rolampont à la Commune des chemins suivants :

* Sentier au Feu, cadastré section ZI n°14, pour 133 mètres environ.

* Chemin des Prés, cadastré section ZN n°76, d'une contenance de 24 ares 10 centiares,

* Chemin de la Tuffière, cadastré section ZR n°2, d'une contenance

de 10 ares 40 centiares,

* Chemin de Champigny à Vaubrien, cadastré section ZP n°19, d'une contenance de 1 hectare 21 ares et 20 centiares.

PRECISE que la cession se fera gratuitement ou pour le franc symbolique,

AJOUTE, pour le chemin dit Sentier au Feu, qu'un document d'arpentage sera nécessaire et que sa réalisation sera confiée au Cabinet Kolb de Saints-Geosmes,

AUTORISE Monsieur le Maire à recevoir l'acte en la forme administrative et plus généralement faire le nécessaire.

HABILITE Monsieur Delin, Adjoint, à signer l'acte à intervenir ainsi que toutes les pièces s'y rapportant.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-29 Abandon du droit de chasse et du droit de destruction des animaux nuisibles sur des terrains appartenant à la Commune.

M. le Maire dit qu'il va à présent évoquer un problème sensible : la chasse., c'est-à-dire, la demande, par la Société Communale de Chasse, de l'abandon par la Commune, à son avantage, du droit de chasse et de destruction des animaux nuisibles. Il précise qu'il s'agit de l'association dont Monsieur Hubert Mariot est le Président.

Il signale qu'il s'abstiendra de voter et invite les Membres présents à se déterminer sur l'abandon du droit de chasse et du droit de destruction des animaux nuisibles pour une période de trois ans, à compter du 1er juin 1998, sur les parcelles appartenant à la Commune dont il donne la liste.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

CONSIDERANT la demande de l'association "Société Communale de Chasse",

APRES en avoir délibéré,

DECIDE l'abandon du droit de chasse et du droit de destruction des animaux nuisibles pour une période de trois ans, à compter du 1er juin 1998, sur les parcelles suivantes appartenant à la Commune, cadastrées comme suit :

------Section & n° ! Lieu-dits ! Contenance ! ! Boisée ! Non boisée ------!------!------!------ZN n° 1 ! La Roche ! 0 ha 47 a 40 ca ! ZN n° 61 ! Les Grandes Combes ! 1 ha 15 a 10 ca ! ZO n° 18 ! Les Mergères ! 1 ha 23 a 70 ca ! ZP n° 30 ! Roche Morand ! 0 ha 4 a 00 ca ! ZD n° 3 ! Champ Tondey ! ! 2 ha 28 a 80 ca E n° 511 ! Voie des Diguets ! 0 ha 6 a 92 ca ! E n°1328 ! Tête des Herbus ! 0 ha 9 a 78 ca ! E n°1329 ! Tête des Herbus ! 0 ha 18 a 4 ca ! E n°1330 ! Tête des Herbus ! 0 ha 20 a 90 ca ! E n°1331 ! Tête des Herbus ! 0 ha 77 a 90 ca ! E n°1332 ! Tête des Herbus ! 2 ha 63 a 90 ca ! E n°1326 ! Tête des Herbus ! 4 ha 72 a 00 ca ! E n°1336 ! Tête des Herbus ! 1 ha 80 a 60 ca ! E n° 980 ! Tête des Herbus ! 0 ha 5 a 54 ca ! E n° 982 ! Tête des Herbus ! 0 ha 30 a 20 ca ! E n° 983 ! Tête des Herbus ! 0 ha 29 a 00 ca ! E n°1338 ! Tête des Herbus ! 0 ha 30 a 20 ca !

ZH n° 36 ! Prés aux Chaires ! 0 ha 68 a 40 ca ! ZL n° 13 ! Les Rieppes ! ! 0 ha 85 a 70 ca ZN n° 77 ! ! ! 3 ha 66 a 50 ca ZN n° 78 ! ! ! 0 ha 77 a 80 ca ------

HABILITE Monsieur le Maire à signer la convention à intervenir.

Adopté par 15 voix POUR et 1 ABSTENTION.

COMMUNE DE ROLAMPONT PROCÈS VERBAL SÉANCE DU 22 JUIN 1998

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L'AN MIL NEUF CENT QUATRE VINGT DIX HUIT, LE LUNDI 22 JUIN A VINGT ET UNE HEURES, LE CONSEIL MUNICIPAL, dûment convoqué par Monsieur le Maire le 15 juin 1998, s'est assemblé sous la présidence de M. Michel Gallissot.

Étaient présents : M. Michel GALLISSOT, Maire, MM. DELIN, MLLE TORRAILLE, MME RUEL, Adjoints, BOUVIER, DOUCHE, WEHRUNG, Maires-Délégués, MMES ROBIN, BROCHOT, MLLE DIOT, MM. Patrick GALLISSOT, HERBERT, THOMASSIN, BREGERE, COUVREUX, ANDRE, Conseillers municipaux.

Excusés : M. PELLETIER, Adjoint (procuration à M. le Maire), M. RAGUET, Conseiller municipal (procuration à Mme Ruel).

Absent : M. PEUREUX, Conseiller municipal.

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M. le Maire ouvre la séance à 21 h 05.

Les Conseillers présents formant la majorité des membres en exercice, conformément à l'article L.121-14 du Code des Communes, il a été procédé à la nomination d'un secrétaire pris au sein du Conseil. Mlle TORRAILLE ayant obtenu la majorité des suffrages, a été désignée pour remplir ces fonctions qu'elle a acceptées.

INTERVENTIONS

M. le Maire souhaite le bonsoir aux Membres présents.

Il présente les excuses de Messieurs Raguet et Pelletier.

Il dit que M. Raguet a donné procuration à Mme Ruel et qu'il a reçu celle de M. Pelletier.

Il invite Mlle Torraille à faire lecture du procès-verbal de la dernière séance du Conseil.

Mlle TORRAILLE fait lecture du procès-verbal de la séance du 30 mars 1998.

M. le Maire demande s'il y a des observations à formuler.

N°0 Adoption du procès-verbal de la séance du 30 mars 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit que l'on va passer maintenant à l'ordre du jour.

Il indique qu'il convient, comme chaque année, de procéder au tirage au sort à partir de la liste générale des électeurs, d'un juré qui figurera sur la liste départementale annuelle des jurés d'assises. Il précise qu'il s'agit d'établir la liste préparatoire des jurés

d'assises et que celle-ci doit comporter un nombre de noms triple de celui fixé par l'arrêté préfectoral n°98-1119 du 16 mars 1998, soit un juré pour Rolampont et les Communes Associées. Il indique les modalités pratiques du tirage au sort. Il dit qu'un premier tirage donnera le numéro de la page de la liste générale des électeurs, un second tirage celui de la ligne et par voie de conséquence, le nom du juré.

Il invite Monsieur Bouvier,le plus jeune Membre du Conseil, à effectuer le tirage au sort.

M. BOUVIER accepte.

TIRAGE AU SORT

- page 1, ligne 1 : M. Roger Adam, domicilié à Rolampont, - page 6, ligne 2 : Mme Renée Morlet née Bertrand, domiciliée à Rolampont, - page 11, ligne 3 : M. Michel Brégère, domicilié à Rolampont.

M. le Maire ajoute : le sort a décidé. On pense que la main était innocente.

INTERVENTIONS

M. le Maire présente la question relative à l'approbation de l'adhésion de la Commune de au Groupement des Collectivités Locales de la Région de Langres. Il fait lecture de la lettre de Monsieur Camille Garnier, Président de GCL reçue en Mairie le 4 juin dernier. Il signale que pour permettre d'engager la procédure d'adhésion, conformément aux dispositions de l'article L. 163-15 du Code des Communes la délibération du Comité Syndical en date du 4 avril 1998 acceptant cette demande d'adhésion nous est notifiée pour avis. Il ajoute que le Conseil Municipal de Rolampont est ainsi invité à formuler son avis dans le délai de quarante jours à compter de cette notification conformément à la réglementation en vigueur.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°1 Approbation de l'adhésion de la Commune de Palaiseul au GCL. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'avis sur la reprise d'un commerce.

Il précise qu'il a eu un jour la visite de Monsieur Laumont qui souhaite reprendre Coccinelle. Il informe avoir adressé à la demande de l'intéressé un courrier à la CCI. Il en fait lecture.

"Comme suite à notre entretien téléphonique de ce jour, je vous confirme avoir rencontré Monsieur Pierre-Jean Laumont qui se propose de reprendre la supérette, unique commerce d'alimentation et de boucherie, de Rolampont. Cet établissement a été créé et géré depuis environ 20 ans par Monsieur et Madame Thibonnet qui souhaitent à présent prendre leur retraite. Nous ne pouvons qu'être favorable et encourager cette reprise. A la prochaine réunion du conseil municipal, une délibération sera prise en ce sens dans l'intérêt de la sauvegarde de notre commerce local."

Il précise que cette correspondance était adressé à Madame Hissette de la CCI à Langres.

Il ajoute que ce courrier doit être entériné par une délibération.

M. Patrick GALLISSOT s'étonne.

Il demande qu'elle est la compétence du Conseil Municipal en la matière. Il ajoute qu'il comprend encore que l'intéressé ait demandé au maire bien qu'il ne voit pas bien la réponse à une telle requête dans les compétences communales.

M. le Maire fait remarquer qu'il ne s'agit que d'un simple avis demandé au Conseil sur la reprise d'un commerce, qui n'engage de surcroît à rien.

M. Patrick GALLISSOT précise qu'il ne peut pas donner un avis sur quelque chose qu'il ne connaît pas.

M. DELIN souligne qu'il s'agit d'un avis général et non d'un cautionnement.

M. le Maire ajoute qu'il ne voit pas pourquoi l'on serait contre.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°2 Avis favorable à la reprise d'un commerce à Rolampont, Commune centre. Adopté par 15 voix POUR, 1 CONTRE et 2 ABSTENTIONS.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative au renouvellement des bureaux des associations foncières de Lannes et Charmoilles.

Il fait lecture des lettres reçues de Monsieur le Sous-Préfet à ce sujet.

Il indique que les membres du bureau des associations foncières ont été nommés pour six ans.

Il ajoute que la durée de validité des désignations étant arrivée à expiration, Monsieur le Sous-Préfet doit procéder au renouvellement des bureaux.

Il souligne qu'ainsi, conformément au décret n°92-120 du 11 décembre 1992, le Conseil Municipal de Rolampont est invité à désigner la moitié des membres des bureaux, l'autre moitié étant désignée par la Chambre d'agriculture au vu des désignation de la Commune.

Il précise qu'il convient donc de désigner pour chaque association foncière : "trois membres propriétaires à l'intérieur du périmètre de remembrement susceptibles de remplir cette fonction."

Il indique que les gens de Charmoilles, c'est-à-dire les membres du bureau de l'AF de Charmoilles proposent : MM. Paul Bordel, Claude Mariot et Michel Bouvier.

Il rappelle le nom des membres nommés en 1991 par le Conseil Municipal : MM. Claude Mariot, Michel Bouvier et Bernard Jacquottin.

M. BOUVIER, maire-délégué de Charmoilles fait lecture de la lettre de l'Association Foncière de Charmoilles en date du 8 juin 1998 qui a été adressée à Monsieur le Maire de Rolampont à ce sujet.

"Monsieur le Maire, Conformément à la lettre de M. le Sous-Préfet de Langres, en date du 15 mai dernier, relative au renouvellement du bureau de l'Association foncière de Charmoilles, le bureau s'est réuni le 5 juin, sous la présidence de M. Paul Bordel et de tous les membres, excepté M. Bernard Jacquottin, excusé, et en présence de M. Claude Bouvier, maire-délégué.

A l'unanimité, les propositions suivantes ont été retenues :

Membres propriétaires à désigner par le conseil municipal : MM. Paul Bordel, Claude Mariot, Michel Bouvier demeurant à Charmoilles.

Au vu de ces nomination, la chambre d'agriculture de la Haute-Marne désignera les trois membres restant, à savoir :

MM. Bernard Cousin, Bernard Jacquottin, Jean-François Richard, demeurant à Charmoilles "

M. le Maire dit que c'est bien, l'AF de Charmoilles fait le travail du Conseil Municipal et de la Chambre d'Agriculture.

M. BOUVIER signale que ce ne sont que des propositions.

M. le Maire demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent.

LES MEMBRES PRESENTS acceptent les candidatures de MM. Paul Bordel, Claude Mariot et Michel Bouvier.

M. le Maire indique qu'en 1991 pour l'AF de Lannes avaient été désignés MM. Pierre Bougrel, Marcel Petit et Robert André.

Il propose les noms de MM. Francis André, Marcel Petit et Denis Floriot.

Il demande à Monsieur le maire-délégué de Lannes ce qu'il en pense.

M. WEHRUNG approuve ce choix.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer.

N°3 Renouvellement des bureaux des AF de Lannes et Charmoilles. Désignation des membres. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire fait part de la question relative à la destination des coupes en forêt communale de Rolampont.pour l'exercice 1999.

Il dit qu'il s'agit de la destination des coupes n°3, 8, 10, 11, 21, 47, et 48-2 du massif de Rolampont.

Il précise la contenance respective de chaque parcelle : 7,34 hectares, 11,01 hectares, 9,01 hectares, 8,98 hectares, 11,90 hectares, 11,35 hectares et 8,12 hectares, soit un total de 67,71 hectares.

Il précise qu'il s'agit de la vente des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF des coupes 3, 8 et 11 en 1999 et de la délivrance en 1999 du taillis, des houppiers et petites futaies non vendues de ces coupes aux affouagistes. Il ajoute que les produits mis en vente seront des chênes, des frênes, des érables planes et sycomores, des fruitiers, des ormes et des hêtres, à partir de 35 centimètres de diamètre ; autres feuillus, à partir de 35 centimètres de diamètre. Il indique que la découpe des arbres mis en vente sera une découpe normale à 25 centimètres de diamètre pour toutes les essences.

Il ajoute qu'il s'agit aussi de la vente des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF des coupes 10, 21, 47 et 48-2 en 2000. Il ajoute que les produits mis en vente seront des chênes, des frênes, des érables planes et sycomores, des fruitiers, des ormes et des hêtres, à partir de 35 centimètres de diamètre ; autres feuillus, à partir de 35 centimètres de diamètre. Il indique que la découpe des arbres mis en vente sera une découpe normale à 25 centimètres de diamètre pour toutes les essences.

Il souligne qu'il convient de nommer des garants pour l'exploitation de la partie délivrée des coupes.

Il dit que le partage de l'affouage sera réalisé par feu, c'est-à-dire, par ménage ou par chef de famille

Il propose comme garants Messieurs Jean-Yves Herbert, Gilbert Pelletier et André Thomassin.

LES MEMBRES PRESENTS et les intéressés acceptent cette proposition à l'exception de Monsieur Pelletier absent.

M. le Maire indique que les délais à respecter dans les coupes affouagères sont les suivants : le 15 avril 2000 pour l'abattage du taillis et des petites futaies, le 15 avril 2000 pour la vidange du taillis et des petites futaies, le 15 avril 2000 pour le façonnage et la vidange des houppiers pour les parcelles 3, 8 et 11 et 15 octobre 2000 pour les parcelles 10, 21, 47 et 48-2.

Il informe que faute par les affouagistes d'avoir enlevé tout ou partie de leur lot avant l'expiration du délai de vidange, ils seront considérés comme y ayant renoncé et la vente en sera poursuivie au profit de la Commune.

Il dit que les charges à imposer sont de l'ordre de 0,5 % du prix de vente au profit de la SMPFA.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°4 Approbation de la destination des coupes en F.C. de Rolampont. Exercice 1999. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'étude "Aménagement paysager" dans le cadre de LEADER 52.

Il précise que les choses ne sont pas encore claires.

Il dit qu'il s'agit cependant, ce soir, d'approuver le principe de l'étude et de l'habiliter à signer la convention à intervenir avec certainement la commune de Neuilly-l'Evêque, le GAL ne souhaitant pas s'occuper de cette affaire, et plus généralement faire le nécessaire

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°5 Approbation du principe de la mise en oeuvre d'une étude d'aménagement paysager dans le cadre de LEADER 52. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'approbation de la convention de participation aux travaux d'investissement programmés et urgents dans les collèges de Langres pour l'année 1997.

Il ajoute qu'il s'agit d'une dépense obligatoire en vertu de la loi du 22 juillet 1983 modifiée.

Il dit que la participation communale s'établit ainsi :

- pour 78 enfants de Rolampont scolarisés au Collège des Franchises en 1997 : 374,55 F - pour 79 enfants fréquentant la SES des Franchises en 1997 : 16.939,79 F - pour 1 enfant de Rolampont scolarisé au Collège Diderot en 1997 : 36,45 F

Soit une participation totale de 17.350,79 F à la charge de la Commune.

Il invite les Membres présents à délibérer et à l'habiliter à signer la convention à intervenir.

N°6 Approbation de la convention pour travaux d'investissement programmés et urgents. Collèges de Langres. Année 1997. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire indique que l'on va à présent passer aux questions diverses.

Il demande aux Membres présents s'ils sont d'accord afin de délibérer sur ces questions si besoin est.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent unanimement sur ce point.

M. le Maire évoque le chantier de jeunes qui se déroulera du 19 juillet au 2 août prochain sur le territoire de la Commune.

Il précise que comme par le passé la commune mettra à la disposition du Foyer Rural la cantine et les vestiaires du stade, versera une subvention de 6.000,00 F et paiera les matériaux.

MLLE DIOT demande ce que les jeunes vont faire.

M. le Maire répond : installer des plots de bois de sapin traité, scellés tous les 1,50 m, devant le parking du pont-romain à la place du fil de fer barbelé. Il ajoute qu'ils feront ensuite un chemin fléché pour aller à pied du pont-romain à la Tuffière.

Il invite les Membres présents à approuver la subvention qui sera versée au Foyer Rural de Rolampont, maître d'oeuvre, dans le cadre de cette opération.

N°7 Subvention Foyer Rural. Chantier de jeunes 1998 (6.000,00 F). Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit, à titre d'information, que Monsieur Martinez offre à la Commune la réfection de la liste du tableau des maires qui se trouve dans la salle du Conseil.

Il informe des déclarations d'intention d'aliéner qui ont été reçue en Mairie et pour lesquelles il a déclaré au nom de la Commune ne pas exercer le droit de préemption urbain conformément à la délégation qui lui a été faite par le Conseil Municipal, délibération n°95-44 du 4 juillet 1995, en vertu de l'article L. 122-20 15 du Code des Communes.

Il ajoute que ces Décisions Municipales portent sur les propriétés dont la vente amiable est envisagée et appartenant à :

- M. Pernot François qui vend à M. Philippe Delienne, - MM. Mota-Dubois Gabriel qui vendent à Mlle Diot, - la SA Maillefert qui vend à M. Jean-Louis Maillefert.

Il signale qu'il y a aussi un terrain à vendre derrière la gendarmerie.

Il ajoute qu'il n'a pas répondu à la déclaration d'intention d'aliéner reçue en mairie le 29 avril dernier. Il dit qu'il faut voir si un jour on a besoin de quelque chose dans le coin. Il demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent. Il ajoute qu'il y a trente ares pour 3.000,00 F.

M. Patrick GALLISSOT demande qui achète.

M. le Maire répond que cela n'est pas indiqué dans la déclaration d'intention d'aliéner.

M. BREGERE demande qui vend.

M. le Maire précise que ce terrain appartient à M. Georges Lallement. Il ajoute que l'on parle souvent de réserve foncière et que lorsque l'on nous demande quelque chose on n'a rien.

M. WEHRUNG souligne qu'il y a effectivement un intérêt à préempter dans le cadre de la réserve foncière.

MLLE DIOT approuve et dit que c'est utile.

M. HERBERT demande des précisions sur l'implantation du terrain et comment il est cadastré car il convient qu'il n'y ait pas de magouille.

M. le Maire répond qu'il allait y venir.

Il indique la désignation du bien, un immeuble non bâti, sa situation : Section AD n°134, lieu-dit "La pommeraie-Sud".

Il rappelle sa contenance et son prix, soit 3000 m2 pour trois mille francs.

Il précise que le droit de préemption serait exercé conformément aux dispositions des articles L. 210-1 et suivant du Code de l'urbanisme, en application de la délibération n°87-60 du 28 août 1987, à des fins de constitution de réserve foncière dans le cadre du plan d'occupation des sols actuellement en vigueur. Il rappelle que le terrain concerné se situe en zone NAy du POS, secteur réservé à l'implantation d'activités futures, destinée à une utilisation industrielle ou artisanale.

Il demande qui est pour.

M. Patrick GALLISSOT dit qu'il n'a pas d'avis, car il ne connaît pas le terrain et demande à quoi il peut servir.

MLLE DIOT remarque que ce terrain est peut-être un terrain à bâtir.

M. le Maire dit qu'actuellement ce n'est pas le cas puisqu'il se trouve en zone NAy. Il précise que la décision de préemption a un intérêt collectif puisque l'on se trouve dans la zone de la réserve foncière.

MLLE DIOT demande si quelqu'un sait qui souhaite acheter.

MLLE TORRAILLE signale que c'est peut-être mieux afin qu'il n'y ait pas d'a priori.

M. le Maire demande à Monsieur Wehrung de préciser de quoi il s'agit.

M. WEHRUNG explique que la zone NAy est une zone de réserve foncière à aménager et que le terrain n'est pas constructible en l'état. Il précise qu'il s'agit d'une zone à urbaniser, que ce n'est pas une zone gelée, mais une zone à aménager dans le futur et qui dans l'état actuel ne peut être construite.

M. le Maire invite les Membres présents à se déterminer, sur l'acquisition de ce terrain au prix de 3.000,00 F.

Il signale que les frais d'acte seront à la charge de la Commune.

Il dit qu'il convient aussi de désigner le notaire qui sera chargé de recevoir l'acte à intervenir et de l'habiliter à le signer et plus généralement faire le nécessaire.

N°8 Acquisition de terrain. Parcelle AB n°134. Exercice du droit de préemption urbain. Adopté par 9 voix POUR et 9 ABSTENTIONS.

INTERVENTIONS

M. le Maire demande à Madame Brochot si les actes administratifs sont prêts.

MME BROCHOT répond qu'en ce qui concerne la vente à la Commune par l'AF de Rolampont l'essentiel est fait. Elle rappelle que l'on attendait une division pour en finir avec Rolampont.

M. le Maire signale qu'elle est arrivée en Mairie.

MME BROCHOT dit qu'elle passera la prendre. Elle ajoute que Tronchoy est fait et qu'il manque donc l'AF de Lannes et une rétrocession de chemin à Rolampont.

M. WEHRUNG précise que la Commission de remembrement semble s'être réunie ces jours ci, sous réserve.

M. le Maire informe d'un petit litige relatif à un trop perçu de location de terrain avec Monsieur Didier Bougrel de Lannes et qu'il convient de le rembourser.

M. ANDRE dit qu'on lui a demandé un tarif alors que l'on n'en avait pas le droit.

M. le Maire répond que la délibération n°97-05 du 28 janvier 1997 relative à l'harmonisation des tarifs de location des terrains communaux ne s'applique pas à Monsieur Bougrel Didier.

Il invite les Membres présents à délibérer afin que l'on puisse rembourser à l'intéressé les sommes qui lui ont été facturées en trop au titre des années 1996 et 1997.

N°9 Remboursement d'un trop versé sur location de terrain. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire informe des obtentions de DGE, soit 30 % pour l'isolation du Groupe Scolaire, 30 % pour l'isolation de la Maison du Temps Libre et 35 % pour la salle des sports.

Il informe de la réunion qui a eu lieu en Sous-Préfecture sur les nuisances sonores. Il signale qu'un arrêté préfectoral interviendra à ce sujet dans l'avenir. Il précise qu'il y aurait des périmètres de part et d'autre :

- de 100 mètres de la route nationale, - de 300 mètres de la voie de chemin de fer, - de 250 mètres de l'autoroute.

Il évoque un problème de tracteur.

M. Patrick GALLISSOT demande si c'est toujours le même.

M. le Maire répond non. Il précise qu'il a prêté le sien pour finir les accotements avec le girobroyeur. Il signale que le tracteur de la Commune n'en pouvant plus, le gros n'étant pas adapté à certains travaux, notamment pour des questions de visibilité, il avait pensé à l'acquisition d'un tracteur d'occasion.

Il ajoute qu'une Commission devra se réunir à ce propos.

Il informe, pendant qu'on y est, que le véhicule des employés de voirie n'est pas passé depuis cinq ou six ans au contrôle technique. Il signale qu'il est percé. Il indique que l'on en a récupéré un autre appartenant à la Commune et oublié dans les orties en dépôt vente au garage Serge Delienne. Il précise qu'il a été nettoyé et qu'il conviendrait de changer le moteur véhicule Il dit que la caisse n'est pas mauvaise et que le véhicule pourrait fonctionner avec un échange standard du moteur pour environ 12.000,00 F. Il ajoute qu'il ne faudra pas être surpris si un jour on voit les employés de voirie avec un nouveau véhicule.

M. Patrick GALLISSOT demande si le véhicule qui sera remplacé sera mis en dépôt vente.

M. DELIN répond oui et on le ressortira dans dix ans.

M. le Maire informe avoir eu récemment la visite des dirigeants du CAR Foot. Il fait lecture de la lettre de Monsieur Collier en date du 6 mai 1998 et reçue en Mairie le 11 mai dernier.

"Monsieur le Maire,

Le CAR a l'honneur de vous demander une entrevue sur les points suivants : anomalies de fonctionnement des vestiaires, factures réparations de la tondeuse, factures électricité Maison du Temps Libre en augmentation, création d'un poste emploi jeune, local pour installation de matériel informatique de secrétariat, drainage du terrain insuffisant, bungalow à enlever, produits d'entretien des espaces verts (désherbant, semence, engrais), CARVEJ.

La délégation sera composée de Messieurs Durné, Party et Collier."

Il souligne qu'il a rencontré les intéressés, Monsieur Delin était présent, qu'il l'a dit à Monsieur Pelletier qui n'est pas venu.

Il donne la liste des problèmes et demandes évoqués :

- vestiaires 3 et 4 pas de douche, pas de pression en général depuis le début, - impossibilité de régler la température de l'eau, les tuyaux sont- ils bien qualibrés, - les pommes des douches restent bloquées, - fuite au chauffe-eau, - carreaux non hydrofugés, - humidité dans les murs, la peinture tombe, - un chéneau fuit au raccord des deux bâtiments côté école, - frein de la porte d'entrée, - minuterie pour installation projecteurs extérieurs, - terre pour le nivellement entre les deux terrains, - frisette au bas des murs du hall d'entrée, - bungalow réservé et ne convenant plus à ôter, - regard 2e terrain, pas d'embout pour brancher, ni de bouchon, - désherbant pour le terrain et un sac de semence d'herbes.

MME ROBIN demande si la convention d'utilisation des vestiaires a été signée par le CAR.

M. le Maire répond par la négative. Il ajoute que l'on en est à ce sujet au même point.

Il donne des précisions en ce qui concerne les réparations de la tondeuse. Il présente trois factures respectivement de 492,25 F, 4.103,98 F et celle de 2.000,00 F payée par le CAR.

Il dit, en ce qui concerne la contestation du prix du Kw/h à la Maison du Temps Libre, qu'il a été fait remarqué que le prix de l'électricité était partout à la baisse et seulement en augmentation à Rolampont.

M. DELIN souligne qu'il y a une différence entre rendre les douches fonctionnelle et le prix du Kw/h de la Maison du Temps Libre en terme de réclamation.

M. le Maire évoque l'utilité pour l'association d'un local pour le matériel informatique de secrétariat et de la création d'un emploi-jeune.

Il évoque aussi le drainage du terrain qui a été loupé. Il souligne que ce terrain est plus humide du côté chemin de fer.

Il fait remarquer que l'association comprend 160 licenciés

MLLE DIOT demande combien sont de Rolampont.

M. DELIN répond : la moitié, l'autre moitié venant des communes avoisinantes. Il ajoute que certes, quelques uns viennent de Nogent.

MLLE DIOT signale que dans l'équipe 1, seulement trois joueurs sont de Rolampont. Elle ajoute qu'il faut dire ce qui est et qu'une priorité a été instaurée sur le foot alors que le tennis est entrain de couler. Elle précise que si l'on comptait ce qui a été versé depuis dix ans au foot on aurait une salle des sports.

M. le Maire répond que ce n'est quand même pas le cas. Il dit que la salle des sports viendra. Il souligne la difficulté de boucler le dossier, qu'une réponse de la Région au sujet d'une aide de 25 % est toujours attendue, le GAL n'avance pas, puis il y a eu les élections et l'on ne peut pas commencer avant les arrêtés de subvention.

M. Patrick GALLISSOT demande ce que l'on conclut sur le foot.

M. le Maire répond que l'on va essayer de faire fonctionner les douches.

M. Patrick GALLISSOT ajoute : c'est tout tant que la convention d'utilisation des vestiaires n'est pas signée.

M. le Maire ajoute que c'est ce qu'il a fait remarquer.

Il signale que le bungalow restant ne fait pas l'affaire du CAR, l'association en aurait préféré un autre qui a été pris par la ville de Chaumont.

Il évoque les aides obtenues pour la réfection du clocher de la DRAC et du Département. Il précise que pour l'instant on en est à 37 % et que l'on attend toujours la décision de la Région au sujet du Programme Patrimoine Rural. Il indique qu'ici aussi tout est bloqué, semble-t-il comme suite aux dernières élections, les élus bloquent les financements, la question étant de savoir si le PPR sera prorogé. Il fait remarquer que jusqu'à présent la Région aidait à concurrence de l'Etat, c'est-à-dire de la DRAC.

M. le Maire dit qu'il y a encore du courrier des employés de voirie qui ont encore écrit à Monsieur Jospin.

Il invite Mademoiselle Torraille à faire lecture de ce courrier.

MLLE TORRAILLE fait lecture de cette correspondance.

"Les employés communaux de Rolampont à Mr le Ministre.

Nous venons à nouveau solliciter votre aide, à propos des problèmes que nous vous avons déjà exposer, car malgré votre intevention, à ce jour, rien na changer dans notre travail. Mr le Maire Galissot a fait le sourde oreille, et très mécontant de notre initiative, nous a fait comprendre et dit que "la porte était large" On nous impose des horaires de 34 heures l'hiver et 44 l'été, alors que nous souhaitons 39 heures par semaine. nous n'avons droit à aucun vêtement de travail prévu par la loi, ni indemnitées compensatrises pour les travaux pénibles (égoûts, fauchage, tronçonnage). Nous avons à notre disposition un local insalubre (sans douches ni WC. En ce jour, nous avons passer notre première visite médicale du travail (l'un de nous est employé depuis 20 ans) tous trois avons des vaccins à faire pour maladies professionnelles, mais Mr le Maire ne veut pas les prendre en charge. Nous avons fait part de tous ces problèmes, au Centre de Gestion de l'administration de Chaumont- 52 - qui devait se réunir et nous faire part de nos droits En septembre 97. nous attendons toujours ? N'ayant plus aucun recours, nous avons penser, nous adresser à vous même "Nous sommes sans doute, une goutte d'eau dans la tempête, mais une goutte qui compte et qui peut faire le ruisseau" espérons que notre demande ne restera pas vaine. Nous, compagnons communaux, vous prie de croire, Mr le Ministre, à l'assurance de nôtre considération distinguée. Suivent les signatures de MM. Saget Jean-Pierre, Génin Jean-Michel et Fouassier René"

MLLE TORRAILLE indique qu'il y a une autre lettre. Elle fait lecture de la lettre de Monsieur le Sous-Préfet de Langres à Monsieur le Maire, en date du 30 avril 1998 et reçue en Mairie le 6 mai dernier.

"Objet : situation des employés communaux

Comme suite au courrier adressé au Premier Ministre en date du 19 février 1998 (dont vous trouverez ci-jointe la copie), j'ai été amené à recevoir 3 agents municipaux de votre commune, MM. FOUASSIER, GENIN et SAGET, accompagnés de Mme DUFORT, Secrétaire du Syndicat CGT pour le Sud Haut- Marnais. Ces personnes souhaitaient m'entretenir sur 3 points :

* Situation administrative de M. FOUASSIER * Diverses questions relatives aux conditions de travail des autres employés municipaux, * Comportement à leur égard de M. PELLETIER, adjoint au maire, responsable de l'équipe municipale.

1°) S'agissant de M. FOUASSIER, il s'avère que suite à la délibération en date du 14 novembre 1997, ce dernier a intégré la fonction publique territoriale. Cette décision reste à être mise à exécution par le biais d'un arrêté établi par le maire. Je n'ai pas reçu à ce jour un tel arrêté aux fins de contrôle de légalité et les personnes présentes m'ont indiqué que vous aviez souhaité en différer la signature.

Je vous prie de bien vouloir me confirmer ces éléments et me faire part de toutes difficultés qui s'opposeraient à la prise de l'arrêté indispensable. La reconstitution de carrière effectuée par le Centre de Gestion apparait aboutir à un montant de rémunération pour M. FOUASSIER inférieur d'environ 500 F à celui actuellement perçu. Dans ces conditions, il me semble particulièrement souhaitable que vous lui accordiez comme cela vous est possible une indemnité compensant cette perte de revenus.

Je vous remercie enfin de bien vouloir me faire connaître les solutions qui auraient pu être envisagées pour permettre à Monsieur FOUASSIER de bénéficier pour sa retraite du nombre d'annuités correspondant au travail effectif rendu pour la commune.

Il m'a été rapporté que les conditions de travail des 3 agents municipaux n'ont été que très récemment et surtout très partiellement améliorées pour atteindre la normale ; local sans douche ou sanitaire,

vêtements de travail, etc...

2°) Concernant les horaires : il m'a été indiqué que les agents communaux effectuent 34 H 00 en hiver et 44 H 00 en été : si une certaine souplesse peut êté faite selon la charge de travail celle-ci doit être maintenue dans des limites acceptables pour les intéressés et doit être soumise au Comité Technique Paritaire.

3°) M. PELLETIER, auquel vous avez donné délégation pour diriger l'équipe des salariés municipaux, semble être parvenu à faire l'unanimité de ceux-ci contre lui. Il a été indiqué devant moi ainsi que dans la lettre adressée à M. le Premier Ministre que cet élu ait une attitude et un comportement tels que les employés municipaux se sentent atteints dans la considération de leur personne.

Je vous remercie de bien vouloir m'éclairer sur ces faits.

Le Sous-Préfet. Jean-Michel PRETRE."

M. le Maire ajoute qu'il a vu Monsieur le Sous-Préfet et qu'il lui a demandé ce qu'il devait faire. Il ajoute que Monsieur le Sous-Préfet lui a répondu qu'il le plaignait et de faire ce qu'il pouvait.

M. Patrick GALLISSOT dit que cette réponse n'est pas très sérieuse et qu'il aurait pu ne pas écrire.

M. le Maire informe de la demande de logement de Monsieur Jean-Michel Génin qui souhaite reprendre le logement de Mademoiselle Diot situé dans l'enceinte du Groupe Scolaire.

MLLE DIOT dit qu'il n'est toujours pas libre.

M. le Maire signale que l'on a eu encore un petit problème à Lannes avec Madame Dormoy qui est tombée sur un trottoir à Lannes. Il pensait que les assurances devaient en faire leur affaire et que cette histoire était réglée. Il ajoute, pour information, avoir reçu par Monsieur Wehrung un reliquat de frais d'environ 500,00 F qui resterait à la charge de l'intéressée comme suite à son accident.

Il dit qu'il y a encore une chose à Charmoilles, mais qu'il n'a pas bien compris. Il fait part d'un courrier reçu à l'entête de M. Claude Prautois, artisan ébéniste adressée à l'attention de Monsieur le Maire-Délégué de Charmoilles, co-signée par Monsieur Jean-François Richard et dont l'objet est le détail de peupliers apportés par ce dernier.

M. BOUVIER donne des explications. Il précise que ce sont des peupliers pris par Monsieur Richard qui ont été cubés par un professionnel afin qu'il n'y ait pas d'ambiguïté. Il dit que c'est une chose déjà délibérée et qu'il n'y a plus qu'à facturer.

M. le Maire informe d'une délibération à prendre, comme suite au courrier reçu le 20 juin dernier de France Telecom au sujet de la dissimulation du réseau rue Maréchal de Lattre et rue du Mennelet. Il précise qu'il s'agit de la deuxième tranche d'effacement des réseaux de l'avenue de Verdun.

Il invite les Membres présents à approuver la dissimulation des réseaux France Telecom et à l'habiliter à signer la convention à intervenir et plus généralement faire le nécessaire.

N°10 Approbation de la convention de dissimulation des réseaux France Telecom. Avenue de Verdun. 2e tranche. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

Il informe avoir reçu récemment le permis de construire de Monsieur Rousselot de Tronchoy. Il indique que les travaux de viabilité devront donc bientôt démarrer.

Il évoque la circulaire préfectorale relative aux délibérations fiscales à prendre par les collectivités locales avant le 1er juillet pour application différée au 1er janvier 1999. Il signale que cette circulaire concerne notamment la taxe d'habitation, les taxes foncières sur les propriétés bâties et non bâties, la taxe professionnelle. Il souligne qu'il ne s'agit pas de délibérations portant sur les taux qui sont votés une fois par an avant le 31 mars, mais de délibérations à prendre sur les régimes de majoration, de diminution, de suppression et des abattements. Il ajoute qu'il pense que les Membres présents ne souhaitent rien changer au régime en vigueur à ce jour.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent sur ce point.

M. le Maire informe de la dernière réunion du SICTOM dont le sujet était le tri sélectif. Il signale que plus on triera, moins on paiera.

Il signale l'arrivée du conteneur à textiles.

Il fait part de la dernière réunion de la CCEL. Il précise qu'il a vu Monsieur Baillet qui pense avoir le devis de la DDE ces jours-ci pour attaquer le démarrage du giratoire de Rolampont, c'est-à-dire, lancer l'appel d'offre pour les travaux. Il souligne que le giratoire de Saints-Geosmes est aussi prévu en 1999. Il ajoute que l'imprimerie du Petit-Cloître est pressée.

Il fait part, toujours pour information, de l'étude rendue pour Lannes, Charmoilles et Tronchoy dans le cadre du schéma d'assainissement. Il souligne que l'on ne sait pas encore ce que cela coutera, mais que cela coutera beaucoup en tout cas. Il signale que les travaux seraient cependant subventionnés à 80 % Il ajoute que la solution 2A, assainissement collectif, variante A, avec éventuellement un aménagement par rapport aux réseaux existant, semble préconisée. Il précise le coût estimatif hors taxe de cette solution :

- Charmoilles : 2 755 400,00 F - Lannes : 4 550 250,00 F - Tronchoy : 1 446 850,00 F

Il dit donc des sommes rondelettes, même si l'on est subventionné à 80 %

M. BOUVIER précise qu'il resterait 1 700 000,00 F à la charge de la Commune pour les quatre communes.

M. WEHRUNG ajoute : sachant qu'il ne s'agit que d'un devis, une estimation à la louche.

M. BOUVIER dit : pire, une étude, le devis des travaux devant venir après.

M. Patrick GALLISSOT souligne que sur vingt ans cela représente environ 200 000,00 F par an.

M. le Maire ajoute : plus 100 000,00 F de fonctionnement.

M. Patrick GALLISSOT demande à combien cela met le m3.

M. le Maire dit que cela double le prix de l'eau.

Il indique qu'il en a fini avec l'ordre du jour.

Il demande si quelqu'un souhaite dire quelque chose.

M. DELIN dit : pour information et demande pour le 14 juillet, qu'il pensait organiser un circuit promenade en vélo sur les quatre communes. Il ajoute qu'il avait pensé que la Commune pourrait offrir les rafraîchissements.

Il dit qu'à propos d'information, il souhaitait parler du SITS. Il indique que depuis qu'il est à la tête du SITS il a du règler de nombreux problèmes : le circuit de Jorquenay la première année, le circuit Montagne la deuxième année. Il signale que cela a permis de régler le problème des retours le mercredi et qu'il existe maintenant un retour à midi ou un retour le soir. Il évoque les répercussions financières de ces aménagements et la diminution de la part demandée aux Communes.

M. BOUVIER fait remarquer qu'il n'a que six tables à la salle des fêtes qui contient soixante-cinq personnes. Il dit qu'il y a un peu de location et que cela pose problème. Il précise qu'il conviendrait d'investir pour six tables et les chaises qui vont avec.

Il souhaite savoir où on en est avec la signalisation Dorvaux.

Il renouvelle sa demande de boucher les trous sur la route de Changey.

M. ANDRE demande ce que devient l'histoire des pompiers.

M. le Maire répond qu'il ne sait pas où cela en est, qu'il a posé la question au Sous-Préfet qui lui a répondu que le dossier était en Préfecture..

L'ORDRE DU JOUR ÉTANT ÉPUISÉ M. LE MAIRE LÈVE LA SÉANCE LE 22 JUIN 1998 À MINUIT VINGT MINUTES.

COMMUNE DE ROLAMPONT DÉLIBÉRATIONS SÉANCE DU 22 JUIN 1998

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N°98-30 Approbation de l'adhésion de la Commune de Palaiseul au GCL.

M. le Maire présente la question relative à l'approbation de l'adhésion de la Commune de Palaiseul au Groupement des Collectivités Locales de la Région de Langres. Il fait lecture de la lettre de Monsieur Camille Garnier, Président de GCL reçue en Mairie le 4 juin dernier. Il signale que pour permettre d'engager la procédure d'adhésion, conformément aux dispositions de l'article L. 163-15 du Code des Communes la délibération du Comité Syndical en date du 4 avril 1998 acceptant cette demande d'adhésion nous est notifiée pour avis. Il ajoute que le Conseil Municipal de Rolampont est ainsi invité à formuler son avis dans le délai de quarante jours à compter de cette notification conformément à la réglementation en vigueur.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de M. le Maire et sur sa proposition,

VU la demande Monsieur Camille Garnier, Président de GCL reçue en Mairie le 4 juin 1998,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE l'adhésion de la Commune de Palaiseul au Groupement des Collectivités Locales de la Région de Langres.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-31 Avis favorable à la reprise d'un commerce à Rolampont, Commune centre.

M. le Maire évoque la question relative à l'avis sur la reprise d'un commerce. Il précise qu'il a eu un jour la visite de Monsieur Laumont qui souhaite reprendre Coccinelle. Il informe avoir adressé à la demande de l'intéressé un courrier à la CCI. Il en fait lecture.

"Comme suite à notre entretien téléphonique de ce jour, je vous confirme avoir rencontré Monsieur Pierre-Jean Laumont qui se propose de reprendre la supérette, unique commerce d'alimentation et de boucherie, de Rolampont. Cet établissement a été créé et géré depuis environ 20 ans par Monsieur et Madame Thibonnet qui souhaitent à présent prendre leur retraite. Nous ne pouvons qu'être favorable et encourager cette reprise. A la prochaine réunion du conseil municipal, une délibération sera prise en ce sens dans l'intérêt de la sauvegarde de notre commerce local." Il précise que cette correspondance était adressé à Madame Hissette de la CCI à Langres. Il ajoute que ce courrier doit être entériné par une délibération. Il fait remarquer qu'il ne s'agit que d'un simple avis demandé au Conseil sur la reprise d'un commerce, qui n'engage de surcroît à rien. Il ajoute qu'il ne voit pas pourquoi l'on serait contre.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la correspondance de Monsieur le Maire adressée à la CCI de Langres,

APRES en avoir délibéré,

DONNE un avis favorable à la reprise par Monsieur Laumont du commerce d'alimentation sis Avenue de Verdun à Rolampont, Commune-centre.

Adopté par 15 voix POUR, 1 CONTRE et 2 ABSTENTIONS.

N°98-32 Renouvellement des bureaux des AF de Lannes et Charmoilles. Désignation des membres.

M. le Maire évoque la question relative au renouvellement des bureaux des associations foncières de Lannes et Charmoilles. Il fait lecture des lettres reçues de Monsieur le Sous-Préfet à ce sujet. Il indique que les membres du bureau des associations foncières ont été nommés pour six ans. Il ajoute que la durée de validité des désignations étant arrivée à expiration, Monsieur le Sous-Préfet doit procéder au renouvellement des bureaux. Il souligne qu'ainsi, conformément au décret n°92-120 du 11 décembre 1992, le Conseil Municipal de Rolampont est invité à désigner la moitié des membres des bureaux, l'autre moitié étant désignée par la Chambre d'agriculture au vu des désignation de la Commune. Il précise qu'il convient donc de désigner pour chaque association foncière : "trois membres propriétaires à l'intérieur du périmètre de remembrement susceptibles de remplir cette fonction." Il indique que les gens de Charmoilles, c'est-à-dire les membres du bureau de l'AF de Charmoilles proposent : MM. Paul Bordel, Claude Mariot et Michel Bouvier.

Il rappelle le nom des membres nommés en 1991 par le Conseil Municipal : MM. Claude Mariot, Michel Bouvier et Bernard Jacquottin. Il demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent.

LES MEMBRES PRESENTS acceptent les candidatures de MM. Paul Bordel, Claude Mariot et Michel Bouvier.

M. le Maire indique qu'en 1991 pour l'AF de Lannes avaient été désignés MM. Pierre Bougrel, Marcel Petit et Robert André. Il propose les noms de MM. Francis André, Marcel Petit et Denis Floriot. Il demande à Monsieur le maire-délégué de Lannes ce qu'il en pense.

M. WEHRUNG approuve ce choix.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU le décret n°92-120 du 11 décembre 1992,

VU la délibération du Conseil Municipal n°91-89 du 18 décembre 1991,

VU les correspondances de Monsieur le Sous-Préfet en date du 15 mai 1998,

VU l'avis de Messieurs les Maires-Délégués de Lannes et Charmoilles,

CONSIDERANT la nécessité de renouveler les membres des bureaux des associations foncières de Lannes et Charmoilles, la validité des désignation étant arrivée à expiration,

APRES en avoir délibéré,

DESIGNE en qualité de membres de l'association foncière de Charmoilles : MM. Paul Bordel, Claude Mariot et Michel Bouvier.

DESIGNE en qualité de membres de l'association foncière de Lannes : MM. Francis André, Marcel Petit et Denis Floriot.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-33 Approbation de la destination des coupes en F.C. de Rolampont. Exercice 1999.

M. le Maire fait part de la question relative à la destination des coupes en forêt communale de Rolampont.pour l'exercice 1999. Il dit qu'il s'agit de la destination des coupes n°3, 8, 10, 11, 21, 47, et 48-2 du massif de Rolampont. Il précise la contenance respective de chaque parcelle : 7,34 hectares, 11,01 hectares, 9,01 hectares, 8,98 hectares, 11,90 hectares, 11,35 hectares et 8,12 hectares, soit un total de 67,71 hectares. Il précise qu'il s'agit de la vente des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF des coupes 3, 8 et 11 en 1999 et de la délivrance en 1999 du taillis, des houppiers et petites futaies non vendues de ces coupes aux affouagistes. Il ajoute que les produits mis en vente seront des chênes, des frênes, des érables planes et sycomores, des fruitiers, des ormes et des hêtres, à partir de 35 centimètres de diamètre ; autres feuillus, à partir de 35 centimètres de diamètre. Il indique que la découpe des arbres mis en vente sera une découpe normale à 25 centimètres de diamètre pour toutes les essences. Il ajoute qu'il s'agit aussi de la vente des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF des coupes 10, 21, 47 et 48-2 en 2000. Il ajoute que les produits mis en vente seront des chênes, des frênes, des érables planes et sycomores, des fruitiers, des ormes et des hêtres, à partir de 35 centimètres de diamètre ; autres feuillus, à partir de 35 centimètres de diamètre.

Il indique que la découpe des arbres mis en vente sera une découpe normale à 25 centimètres de diamètre pour toutes les essences. Il souligne qu'il convient de nommer des garants pour l'exploitation de la partie délivrée des coupes. Il dit que le partage de l'affouage sera réalisé par feu, c'est-à-dire, par ménage ou par chef de famille Il propose comme garants Messieurs Jean-Yves Herbert, Gilbert Pelletier et André Thomassin.

LES MEMBRES PRESENTS et les intéressés acceptent cette proposition à l'exception de Monsieur Pelletier absent.

M. le Maire indique que les délais à respecter dans les coupes affouagères sont les suivants : le 15 avril 2000 pour l'abattage du taillis et des petites futaies, le 15 avril 2000 pour la vidange du taillis et des petites futaies, le 15 avril 2000 pour le façonnage et la vidange des houppiers pour les parcelles 3, 8 et 11 et 15 octobre 2000 pour les parcelles 10, 21, 47 et 48-2. Il informe que faute par les affouagistes d'avoir enlevé tout ou partie de leur lot avant l'expiration du délai de vidange, ils seront considérés comme y ayant renoncé et la vente en sera poursuivie au profit de la Commune. Il dit que les charges à imposer sont de l'ordre de 0,5 % du prix de vente au profit de la SMPFA.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU les propositions de Monsieur l'Agent de l'ONF,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE la destination des coupes de l'exercice 1999 dans la Forêt Communale de Rolampont, à savoir :

- VENTE des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF des coupes 3, 8 et 11 en 1999 et délivrance en 1999 du taillis, des houppiers et petites futaies non vendues de ces coupes aux affouagistes.

DIT que les produits mis en vente seront des chênes, des frênes, des érables planes et sycomores, des fruitiers, des ormes et des hêtres, à partir de 35 centimètres de diamètre ; autres feuillus, à partir de 35 centimètres de diamètre.

AJOUTE que la découpe des arbres mis en vente sera une découpe normale à 25 centimètres de diamètre pour toutes les essences.

- VENTE des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF des coupes 10, 21, 47 et 48-2 en 2000.

DIT que les produits mis en vente seront des chênes, des frênes, des érables planes et sycomores, des fruitiers, des ormes et des hêtres, à partir de 35 centimètres de diamètre ; autres feuillus, à partir de 35 centimètres de diamètre.

AJOUTE que la découpe des arbres mis en vente sera une découpe normale à 25 centimètres de diamètre pour toutes les essences.

DIT que l'exploitation des parties délivrées de ces coupes sera effectuée par les affouagistes après partage, sous la responsabilité de trois garants.

NOMME les garants pour l'exploitation de la partie délivrée des coupes.

- 1er garant : Jean-Yves Herbert, - 2e garant : Gilbert Pelletier, - 3e garant : André Thomassin.

PRECISE que le partage de l'affouage sera réalisé par feu, c'est-à-dire, par ménage ou par chef de famille.

INDIQUE les délais à respecter dans les coupes affouagères :

- 15 avril 2000 pour l'abattage du taillis et des petites futaies, - 15 avril 2000 pour la vidange du taillis et des petites futaies, - 15 avril 2000 pour le façonnage et la vidange des houppiers pour les parcelles 3, 8 et 11, - 15 octobre 2000 pour les parcelles 10, 21, 47 et 48-2.

DIT que faute par les affouagistes d'avoir enlevé tout ou partie de leur lot avant l'expiration du délai de vidange, ils seront considérés comme y ayant renoncé et la vente en sera poursuivie au profit de la Commune.

INDIQUE les charges à imposer, soit 0,5 % du prix de vente au profit de la S.M.P.F.A.

Adopté à l'.

N°98-34 Approbation du principe de la mise en oeuvre d'une étude d'aménagement paysager dans le cadre de LEADER 52.

M. le Maire évoque la question relative à l'étude "Aménagement paysager" dans le cadre de LEADER 52. Il précise que les choses ne sont pas encore claires. Il dit qu'il s'agit cependant, ce soir, d'approuver le principe de l'étude et de l'habiliter à signer la convention à intervenir avec certainement la commune de Neuilly-l'Evêque, le GAL ne souhaitant pas s'occuper de cette affaire, et plus généralement faire le nécessaire

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE le principe de l'étude "Aménagement paysager" dans le cadre de LEADER 52.

HABILITE Monsieur le Maire à signer la convention à intervenir et plus généralement faire le nécessaire

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-35 Approbation de la convention pour travaux d'investissement programmés et urgents. Collèges de Langres. Année 1997.

M. le Maire évoque la question relative à l'approbation de la convention de participation aux travaux d'investissement programmés et urgents dans les collèges de Langres pour l'année 1997. Il ajoute qu'il s'agit d'une dépense obligatoire en vertu de la loi du 22 juillet 1983 modifiée. Il dit que la participation communale s'établit ainsi : pour 78 enfants de Rolampont scolarisés au Collège des Franchises en 1997 : 374,55 F, pour 79 enfants fréquentant la SES des Franchises en 1997 : 16.939,79 F, pour 1 enfant de Rolampont scolarisé au Collège Diderot en 1997 : 36,45 F. Soit une participation totale de 17.350,79 F à la charge de la Commune.

Il invite les Membres présents à délibérer et à l'habiliter à signer la convention à intervenir.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE la convention de participation aux travaux d'investissement programmés et urgents dans les collèges de Langres pour l'année 1997.

DIT que la participation communale s'établit ainsi :

- pour 78 enfants de Rolampont scolarisés au Collège des Franchises : 374,55 F - pour 79 enfants fréquentant la SES des Franchises : 16.939,79 F - pour 1 enfant de Rolampont scolarisé au Collège Diderot : 36,45 F

Soit une participation totale de 17.350,79 F.

AJOUTE que les crédits nécessaires sont inscrits au budget de la Commune.

HABILITE Monsieur le Maire à signer la convention à intervenir.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-36 Subvention Foyer Rural. Chantier de jeunes 1998 (6.000,00 F).

M. le Maire évoque le chantier de jeunes qui se déroulera du 19 juillet au 2 août prochain sur le territoire de la Commune. Il précise que comme par le passé la commune mettra à la disposition du Foyer Rural la cantine et les vestiaires du stade, versera une subvention de 6.000,00 F et paiera les matériaux. Il dit que seront installés des plots de bois de sapin traité, scellés tous les 1,50 m, devant le parking du pont-romain à la place du fil de fer barbelé. Il ajoute qu'ils feront ensuite un chemin fléché pour aller à pied du pont- romain à la Tuffière.

Il invite les Membres présents à approuver la subvention qui sera versée au Foyer Rural de Rolampont, maître d'oeuvre, dans le cadre de cette opération.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la demande de l'association Foyer Rural de Rolampont,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE la mise en place d'un chantier de jeunes bénévoles dans le cadre de l'aménagement des abords du pont-romain et de la réalisation d'un chemin fléché sur le territoire de la Commune de Rolampont du 19 juillet au 2 ao-t 1998.

DIT que l'Association Foyer Rural de Rolampont aura la maîtrise d'oeuvre du projet.

DECIDE le versement d'une subvention de 6.000,00 F (six mille francs) au bénéfice du Foyer Rural de Rolampont destinée à mener à bien ce projet.

PRECISE que les crédits nécessaires sont inscrits au budget de la Commune.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-37 Acquisition de terrain. Parcelle AB n°134. Exercice du droit de préemption urbain.

M. le Maire informe des déclarations d'intention d'aliéner qui ont été reçues en Mairie et pour lesquelles il a déclaré au nom de la Commune ne pas exercer le droit de préemption urbain conformément à la délégation qui lui a été faite par le Conseil Municipal, délibération n°95-44 du 4 juillet 1995, en vertu de l'article L. 122-20 15 du Code des Communes.

Il signale qu'il y a aussi un terrain à vendre derrière la gendarmerie. Il ajoute qu'il n'a pas répondu à la déclaration d'intention d'aliéner reçue en mairie le 29 avril dernier. Il demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent. Il précise que ce terrain appartient à M. Georges Lallement. Il indique la désignation du bien, un immeuble non bâti, sa situation : Section AD n°134, lieu-dit "La Pommeraie-Sud". Il rappelle sa contenance et son prix, soit 3000 m2 pour trois mille francs. Il précise que le droit de préemption serait exercé conformément aux dispositions des articles L. 210-1 et suivant du Code de l'urbanisme, en application de la délibération n°87-60 du 28 ao-t 1987, à des fins de constitution de réserve foncière dans le cadre du plan d'occupation des sols actuellement en vigueur. Il rappelle que le terrain concerné se situe en zone NAy du POS, secteur réservé à l'implantation d'activités futures, destinée à une utilisation industrielle ou artisanale. Il précise que la décision de préemption a un intérêt collectif puisque l'on se trouve dans la zone de la réserve foncière. M. le Maire invite les Membres présents à se déterminer, sur l'acquisition de ce terrain au prix de 3.000,00 F. Il signale que les frais d'acte seront à la charge de la Commune. Il dit qu'il convient aussi de désigner le notaire qui sera chargé de recevoir l'acte à intervenir et de l'habiliter à le signer et plus généralement faire le nécessaire.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU les articles L. 210-1 et suivant du Code de l'urbanisme,

VU la délibération du Conseil Municipal n°87-60 du 28 ao-t 1987,

VU le Plan d'Occupation des Sols,

VU la déclaration d'intention d'aliéner reçue en mairie le 29 avril dernier,

CONSIDERANT la nécessité de poursuivre la constitution de la réserve foncière,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE d'exercer son droit de préemption urbain sur la parcelle de terrain suivante appartenant à M. Georges Lallement et dont la vente amiable est envisagée :

* Désignation du bien : immeuble non bâti * Situation du bien : Section AD n°134, lieu-dit "La Pommeraie-Sud" * Contenance du bien : 3000 m2

FIXE le prix de l'acquisition à trois mille francs (3.000,00 F), les frais d'acte à la charge de la Commune.

PRECISE que le droit de préemption urbain est exercé conformément aux dispositions des articles L. 210-1 et suivant du Code de l'urbanisme, en application de la délibération n°87-60 du 28 ao-t 1987, à des fins de constitution de réserve foncière dans le cadre du plan d'occupation des sols actuellement en vigueur.

SOULIGNE que le terrain concerné se situe en zone NAy du POS, secteur réservé à l'implantation d'activités futures, destinée à une utilisation industrielle ou artisanale.

HABILITE Monsieur le Maire à signer l'acte à intervenir qui sera reçu par la SCP Xavier Guichard, Notaire Associé à Langres, et plus généralement faire le nécessaire.

AJOUTE que les crédits nécessaires sont inscrits au Budget de la Commune

CHAPITRE 21, ARTICLE 2111-999.

Adopté par 9 voix POUR et 9 ABSTENTIONS.

N°98-38 Remboursement d'un trop versé sur location de terrain.

M. le Maire informe d'un petit litige relatif à un trop perçu de location de terrain avec Monsieur Didier Bougrel de Lannes et qu'il convient de le rembourser. Il dit que la délibération n°97-05 du 28 janvier 1997 relative à l'harmonisation des tarifs de location des terrains communaux ne s'applique pas à Monsieur Bougrel Didier.

Il invite les Membres présents à délibérer afin que l'on puisse rembourser à l'intéressé les sommes qui lui ont été facturées en trop au titre des années 1996 et 1997.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la délibération n°93-07 du 22 février 1993 relative aux pâtis communaux de Lannes et à la mise en conformité de la tarification par rapport à la règlementation préfectorale,

VU la délibération n°97-05 du 28 janvier 1997 relative à l'harmonisation des tarifs des terrains communaux (pâtis),

APRES en avoir délibéré,

DIT que la délibération n°97-05 du 28 janvier 1997 ne s'applique pas à Monsieur Didier Bougrel (GAEC du Val).

DECIDE de rembourser à l'intéressé du surplus facturé au titre des locations des années 1996 et 1997.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-39 Approbation de la convention de dissimulation des réseaux France Telecom. Avenue de Verdun. 2e tranche.

M. le Maire informe d'une délibération à prendre, comme suite au courrier reçu le 20 juin dernier de France Telecom au sujet de la dissimulation du réseau rue Maréchal de Lattre et rue du Mennelet. Il précise qu'il s'agit de la deuxième tranche d'effacement des réseaux de l'avenue de Verdun.

Il invite les Membres présents à approuver la dissimulation des réseaux France Telecom et à l'habiliter à signer la convention à intervenir et plus généralement faire le nécessaire.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU le projet de convention adressé en Mairie par l'entreprise France Telecom,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE la convention de dissimulation du réseau France Telecom, avenue de Verdun, 2e tranche - rue du Maréchal de Lattre et rue du Mennelet.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

COMMUNE DE ROLAMPONT PROCÈS VERBAL SÉANCE DU 15 SEPTEMBRE 1998

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L'AN MIL NEUF CENT QUATRE VINGT DIX HUIT, LE MARDI 15 SEPTEMBRE A VINGT HEURES TRENTE, LE CONSEIL MUNICIPAL, dûment convoqué par Monsieur le Maire le 9 septembre 1998, s'est assemblé sous la présidence de M. Michel Gallissot.

Étaient présents : M. Michel GALLISSOT, Maire, MM. PELLETIER, MLLE TORRAILLE, MME RUEL, Adjoints, BOUVIER, DOUCHE, WEHRUNG, Maires-Délégués, MMES ROBIN, BROCHOT, MLLE DIOT, MM. Patrick GALLISSOT, HERBERT, THOMASSIN, COUVREUX, ANDRE, Conseillers municipaux.

Excusés : M. DELIN, Adjoint (procuration à Mlle Torraille), M. RAGUET, conseiller municipal (procuration à M. le maire), M. BREGERE, conseiller municipal (procuration à Mlle Diot).

Absent : M. PEUREUX, Conseiller municipal.

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M. le Maire ouvre la séance à 20 h 40.

Les Conseillers présents formant la majorité des membres en exercice, conformément à l'article L.121-14 du Code des Communes, il a été procédé à la nomination d'un secrétaire pris au sein du Conseil.

Mlle TORRAILLE ayant obtenu la majorité des suffrages, a été désignée pour remplir ces fonctions qu'elle a acceptées.

INTERVENTIONS

M. le Maire souhaite le bonsoir aux Membres présents.

Il présente les excuses de Messieurs Raguet, Delin et Brégère.

Il indique que M. Delin a donné procuration à Mlle Torraille, M. Brégère à Mlle Diot et qu'il a reçu procuration de M. Raguet.

Il invite Mlle Torraille à faire lecture du procès-verbal de la dernière séance du Conseil.

Mlle TORRAILLE fait lecture du procès-verbal de la séance du 22 juin 1998.

M. le Maire demande s'il y a des observations à formuler.

M. WEHRUNG précise : ce n'est qu'un petit détail, mais l'on a dit que M. Bougrel était domicilié à Lannes alors qu'il réside à Charmes.

M. le Maire dit que cela sera noté.

N°0 Adoption du procès-verbal de la séance du 22 juin 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit que l'on va passer à l'ordre du jour.

Il fait part de la question relative à l'approbation de la convention de fourniture de repas à la cantine scolaire.

Il rappelle, comme on le sait que Madame Thibonnet a arrêté de fournir les repas de la cantine scolaire en juin dernier. Il ajoute que la convention a été dénoncée. Il précise, comme il a été vu avec Madame Ruel, que l'on s'est entendu avec la société "Les repas santé" qui se trouve à côté de Vesoul, à Saint- Rémy, sur la livraison de repas en liaison froide.

Il souligne que l'on a dû acquérir du matériel : une armoire frigorifique pour le stockage des repas qui sont livrés la veille au soir pour le lendemain ainsi qu'un four pour la remise en température.

Il invite Mlle Torraille à faire lecture du projet de convention qu'il conviendra d'approuver.

MLLE TORRAILLE fait lecture de la proposition de contrat de restauration en liaison froide.

"Entre les soussignés : mairie de Rolampont, place de la mairie, 52260 Rolampont ; représentée par M. Michel Gallissot, maire, ci-après désigné le client ; d'une part ; et la société Estredia "Les repas santé" sarl au capital de 1 000 000 F dont le siège social est à Paris 75116, 16 rue Octave Feuillet et représentée par M. Dominique Joguet, directeur d'exploitation d'Estredia "Les repas santé", BP 16, 70160 à Saint Rémy ; ci-après désignée "Les repas santé" ; d'autre part. Il a été convenu et arrêté ce qui suit :

Objet du contrat : article 1 : Le Client confie à "Les repas santé" qui accepte, la mission de fournir les prestations ci-après définies en vue de la restauration de ses convives et de son personnel dans son établissement situé à : Groupe Scolaire, avenue de Verdun, 52260 Rolampont. article 2 : "Les repas santé" s'engage à assurer la préparation et la livraison des repas à l'usage du client qui seront confectionnés dans l'Unité de Production Culinaire de Saint-Rémy. Cette unité de production a reçu un agrément des Services vétérinaires de la Haute-Saône sous le n° 70-472.01.

Description des prestations "Les repas santé" article 3 : La prestation alimentaire proposée aux convives est la suivante : Menu scolaire à 4 composants : une entrée, un plat protidique, une garniture, un fromage ou un dessert. Pain et boissons non compris. article 4 : Les menus seront établis au plus tard chaque semaine le mercredi pour la semaine suivante. article 5 : "Les repas santé" assure l'entière responsabilité du transport des plats cuisinés qui seront préparés à l'Unité de Production Culinaire et livrés à l'adresse indiquée à l'article 1 en véhicule frigorifique. article 6 : Il est expressément prévu que "Les repas santé" se contente de préparer et de livrer les repas. En aucune façon, "Les repas santé" ne dépêche du personnel dans les locaux du Client afin d'apprêter les repas, les servir ou effectuer des prestations d'entretien ou de nettoyage. Le Client s'oblige à disposer de locaux spécifiques destinés à constituer un office de remise en température et de stockage des repas. Ses locaux sont équipés des fluides nécessaires au bon fonctionnement des offices. La répartition et le service des repas ainsi que la vaisselle et le nettoyage seront exclusivement à la charge du Client. article 7 : Le nombre de couverts prévisionnels devra être communiqué au plus tard le vendredi avant 9 h 00 pour la semaine suivante. Le nombre de couverts définitifs sera transmis la veille du jour de consommation avant 9 h 00. Ce chiffre servira de base à la facturation. "Les repas santé" pourra, en outre, servir sur la demande du client toute forme de prestations annexes dont le prix sera fixé d'un commun accord, cas par cas, par les deux parties.

Prix : article 8 : Le prix des prestations telles qu'elles sont définies dans l'article 3 est comme suit : repas = 15,50 F hors taxes (menu à 4 composants)

article 9 : tous les prix tels que ci-dessus stipulés à l'article 8 du présent contrat s'entendent hors taxes et seront majorés de la T.V.A. au taux légalement en vigueur pour ce type de restauration collective qui est actuellement de 5,5 % Au cas où ces taux viendraient à être modifiés, les prix seraient ajustés à due concurrence. Toutes taxes ou charges nouvelles qui pourraient être créées ou toute modification des charges et taxes actuelles entraîneraient automatiquement le réajustement de ces prix.

Etablissement et révision de prix : article 10 : Les prix seront révisés automatiquement et de plein droit, sans qu'il soit besoin d'aucune notification préalable ou formalité quelconque, tous les ans au 1er septembre et pour la première fois le 1er septembre 1999 selon la formule suivante : P = PO (0,50 V/VO + 0,50 S/SO) dans laquelle P = nouveau prix ; PO = prix en vigueur au semestre précédent ; VO = valeur de l'indice mensuel des prix à la consommation (ensemble hors tabac), publiée au bulletin mensuel de l'Insee. Ref. 9174 T La valeur prise pour base du présent contrat est celle du mois d'avril 98, soit : 115,1 ; V = la dernière valeur de ce même indice connue à la date de la révision du prix ; SO = valeur de l'indice trimestriel des taux de salaire horaire des ouvriers rubrique "ensemble des services non agricole", publiée au bulletin mensuel de l'Insee. Ref. : ENS.O. Cette valeur prise pour base du présent contrat est celle du mois de Janvier 98 soit : 111,6 ; S = la dernière valeur de ce même indice connue à la date de révision du prix. Après chaque révision de prix, les valeurs V et S deviennent respectivement les valeurs VO et SO servant de base à la révision suivante. Il est convenu entre les deux parties qu'une modification des taux de charges sociales entraînera la modification d'office correspondante de la part S du prix de repas et par conséquence du prix de vente du repas.

Conditions financières : article 11 : Les prestations "Les repas santé" feront l'objet d'une facturation mensuelle au titre des prestations du mois écoulé. Le Client réglera à "Les repas santé" les montants des factures dès réception de celles-ci. Le défaut de paiement à l'échéance d'une ou plusieurs factures entraînera la possibilité pour "Les repas santé" de résilier le contrat de plein droit et sans formalité judiciaire 15 jours après une mise en demeure par lettre recommandée avec accusé de réception restée en tout ou partie sans effet pendant ce délai.

Durée et résiliation du contrat : article 12 : Le présent contrat prendra effet le 3 septembre 1998. Il est conclu pour une durée indéterminée, chacune des parties ayant la possibilité d'en cesser l'effet à tout moment sans indemnité de part et d'autre pour une fin de mois calendaire, à la condition expresse de prévenir l'autre partie par lettre recommandée avec accusé de réception au moins trois mois avant la fin de mois retenue comme échéance. Hormis les cas prévus à l'article 11 le présent contrat sera résilié de plein droit et sans formalité, si bon semble à l'une des parties, un mois après l'envoi d'une lettre recommandée avec accusé de réception restée, en tout ou partie sans effet pendant ce délai, au cas d'inexécution par l'une des parties de l'une quelconque de ses obligations contractuelles et sous réserve de tous dommages et intérêts. article 13 : A défaut d'accord amiable, tout différent survenant entre les parties à l'occasion de l'interprétation de l'exécution ou des suites du présent contrat, sera porté devant le tribunal de commerce de Paris, dont il fait expressément attribution de compétence, quelque soit, le domicile du défendeur.

Assurances :

article 14 : "Les repas santé" s'engage à assurer sa responsabilité civile auprès d'une compagnie notoirement solvable dans le cas où celle-ci serait recherchée à l'occasion d'accidents pouvant survenir à des tiers et notamment pour le risque d'intoxication alimentaire. "Les repas santé" s'engage à payer régulièrement les primes d'assurances et à justifier de la régularité de sa situation à toutes demandes du Client. Dans le cadre de la fourniture des repas, "Les repas santé" renonce à tout recours et en fait part à ses assureurs en cas de sinistre atteignant son matériel et ses marchandises. En contre partie, le Client renonce à tout recours et en avise ses assureurs contre "Les repas santé" en cas de sinistre atteignant son matériel."

MME RUEL donne des précisions. Elle informe que l'on a trouvé peu de fournisseur sur le plan local. Elle dit que la Sodexo a été contactée et que celle-ci assurait les repas en liaison chaude pour un peu plus cher, 19 F. Elle ajoute que "Les repas santé" a proposé une présentation de ses services qui a eu lieu en mairie lors d'une réunion à laquelle ont participé les parties intéressées et que de surcroît la liaison froide devrait devenir prochainement la norme en matière de restauration collective. Elle souligne que l'on n'aura par ailleurs plus de problème d'hygiène. Elle indique qu'elle est sur place depuis le démarrage et qu'aucun enfant ne sort sans avoir apprécié au moins un plat. Elle signale que des pâtisseries sont fournies deux fois par semaine et qu'un plan est réalisé sur huit semaines, c'est-à-dire que pendant huit semaine les enfants ne mangent jamais la même chose. L'aspect diététique des repas fournis étant très poussé.

M. le Maire ajoute que la société estime l'amortissement du matériel à 1,50 F par repas, que le pain fournit revient à 0,60 F par repas.

Il précise que le pain est pris deux jours chez un boulanger, deux jours chez l'autre.

Il souligne que les coûts de fonctionnement et notamment le coût salarial du personnel de cantine entre aussi en ligne de compte dans le prix du repas.

Il précise qu'ainsi il a été proposé lors d'une réunion avec les utilisateurs une augmentation de 1,00 F par repas, ce qui porterait le prix du repas servi à la cantine à 26,00 F. Tout le monde s'est accordé sur cette proposition logique.

Il signale qu'il convient donc de délibérer pour approuver la convention de fourniture de repas, mais aussi afin de porter le prix de facturation du repas, actuellement de 25,00 F, à 26,00 F.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°1 Approbation du contrat de restauration en liaison froide (fourniture de repas à la cantine scolaire) au bénéfice de la société Estredia "Les repas santé". Fixation du prix du repas. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

MLLE DIOT demande si la nouvelle organisation ne cause pas trop de problème. Elle fait remarquer que les parents étaient habitués à une très grande souplesse pour commander ou annuler les repas pris par leurs enfants, parfois le jour même.

MME RUEL répond qu'une note a été adressé à tous les parents lors de la rentrée scolaire et que pour l'instant tout semble bien se passer. Les parents doivent prévenir l'école ou le secrétariat de mairie la veille avant 9 h 00 pour les repas du lendemain, sauf pour les repas du lundi où le jour de commande est le vendredi, puisque les bureaux sont fermés le samedi.

M. le Maire fait part de la question relative à l'approbation de l'adhésion des communes de Louvières et Noyers au Sictom de la région de Langres.

Il fait part de la lettre de Monsieur le Président du SICTOM de la Région de Langres en date du 4 juillet 1998 et reçue en Mairie le 18 juillet dernier. Il indique que conformément au Code général des collectivités territoriales, article L.52-12-26, la procédure d'adhésion de ces communes est lancée. Il précise que ces adhésions seront transférées au Smictom dès sa création.

Il invite les membres présents à délibérer.

N°2 Approbation de l'adhésion des communes de Louvières et Noyers au S.I.C.T.O.M. de la Région de Langres. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'approbation des conventions de participation pour travaux d'investissement dans les collèges chaumontais pour l'année 1998. Il fait part des projets de conventions. Il indique que sont concernés les collèges Louise Michel et Saint-Saëns. Il précise que la participation communale sera :

- pour le collège Louise Michel de 39,44 F - pour le collège Saint-Saëns de 339,53 F

Il invite les Membres présents à délibérer et à l'habiliter à signer la convention à intervenir.

N°3 Approbation des conventions de participation pour travaux d'investissement dans les collèges chaumontais. Année 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire fait part de la question relative à la modification de la délibération du conseil municipal n°98-33 du 22 juin 1998 relative à l'approbation de la destination des coupes en F.C. de Rolampont. Exercice 1999. Il précise qu'il s'agit, à la demande de l'Agent de l'ONF de rectifier deux erreurs formelles qui ne sont pas notre fait.

Il souligne qu'il conviendra de compléter l'alinéa 8 du dispositif : "VENTE des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF des coupes 10, 21, 47 et 48-2 en 2000" par : "délivrance du taillis et des petites futaies en 1999, et délivrance des houppiers des arbres vendus en 2000".

Il ajoute qu'il conviendra de lire à l'alinéa 16 du dispositif, délais à respecter dans les coupes affouagères : "15 octobre 2001 pour les parcelles 10, 21, 47 et 48-2" au lieu de : 15 octobre 2000 pour les parcelles 10, 21, 47 et 48-2"

Le rapport étant lui aussi dans le même sens modifié.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°4 Modification de la délibération n°98-33 du 22 juin 1998 relative à l'approbation de la destination des coupes en F.C. de Rolampont. Exercice 1999. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à la proposition de vente d'un immeuble à Charmoilles par le service des Domaines. Il précise qu'il s'agit d'un immeuble susceptible d'être appréhendé par l'Administration au titre des successions vacantes. Il ajoute qu'il s'agit d'un immeuble issu de la succession de Mme Testevuide Christiane en son vivant domiciliée à Marcilly en Bassigny, veuve Simonnet et décédée le 24 septembre 1997. Il signale qu'il s'agit d'un ancien atelier sis à Rolampont, ex Charmoilles, cadastré section 111 A n°381, ledit immeuble étant voué à l'arasement compte tenu de son état de ruines. Il indique que ce bien est proposé pour la somme de 100,00 F, les frais s'élevant à la même somme. Il informe que ceci s'avère ne pas être forcément une bonne affaire. L'immeuble dont il est question se situe au milieu du village, à côté de l'église et par ailleurs un de ses murs s'écroule chez un voisin.

M. BOUVIER précise qu'effectivement un mur s'écroule chez M. Robert Fourcaut qui s'est déjà retourné contre le propriétaire de son vivant.

M. le Maire demande s'il est intéressant d'acquérir un tel bien.

M. BOUVIER répond que cela dépend de ce que l'on souhaite faire, de la politique en la matière, et qu'il y a des communes qui rachètent des immeubles en ruines pour améliorer les villages.

Il ajoute qu'il s'agit d'une question à étudier, à approfondir, par exemple en commission des travaux.

M. le Maire en convient.

Il fait part de la question relative à l'approbation de la convention d'occupation précaire et temporaire d'un terrain communal de 11 ha 28 a 30 ca, au bénéfice de Monsieur Richard Perret agriculteur à Rolampont, sis dans la future zone d'activités. Il ajoute que l'indemnité d'occupation annuelle est fixée sur la base de 6 035 F en 1997 valeur d'indice 107,40, ce qui représente 4 quintaux par hectare. Il précise qu'il s'agit d'approuver le projet de convention soumis par la SCP Xavier Guichard, notaire associé, et transmis en mairie pour accord. Il invite Mme Ruel à faire lecture de ce texte.

MME RUEL fait lecture du projet de convention d'occupation temporaire et précaire établit à la requête de la Commune et de M. Richard Perret.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer.

N°5 Approbation de la convention d'occupation temporaire de terrain au bénéfice de M. Richard Perret. Adopté par 16 voix POUR, 1 CONTRE et 1 ABSTENTION.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'entretien du Groupe Scolaire.

Il invite Madame Ruel à expliquer. Il précise qu'elle connaît bien la question.

MME RUEL signale que l'entretien des locaux du Groupe Scolaire sera confié à une entreprise et qu'ainsi tous les problèmes seront résolus et notamment les problèmes d'absence de personnel, de coût salarial.

Elle informe qu'une petite société de Langres a été choisie : L. Oger.

Elle précise que les instituteurs semblent satisfaits.

MLLE DIOT demande : qui ils emploient.

MME RUEL répond : une personne de l'entreprise plus une de Rolampont si possible.

Elle indique que pour l'instant l'entreprise est prise à l'essai pour trois mois et qu'ensuite un contrat devra intervenir.

Elle ajoute que tous les produits sont fournis, sauf le papier toilette. Le matériel professionnel utilisé a permis de récupérer en temps de travail.

Elle dit que cela coûte 360,00 F par jour d'école pour quatre heures.

Elle souligne qu'il a été demandé de prendre du personnel sur place.

MME RUEL donne le descriptif des tâches qui seront effectuées :

* travaux journaliers :

- aération des locaux, - vidange et nettoyage des corbeilles à papier, - évacuation des papiers et cartons, - dépoussiérage du mobilier, pupitres, plinthes, hauteurs, sièges, - dépoussiérage par aspiration des sols, - lavage des sols carrelés ou thermoplastiques, - nettoyage et désinfection des sanitaires, - aspiration et lavage des sols sanitaires à l'eau additionnée d'un détergent désodorisant et désinfectant.

* travaux une fois par trimestre :

- nettoyage des baies vitrées des sept classes recto verso.

M. le Maire demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent, il signale qu'il conviendrait de l'habiliter à signer la convention à intervenir, et les invite à délibérer.

N°6 Approbation de la convention à intervenir pour l'entretien du Groupe Scolaire. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative aux subventions.

Il rappelle qu'en ce qui concerne le Foyer Rural et le Centre de loisirs l'on s'était accordé sur une aide de 10,00 F par jour et par enfant, ainsi la délibération n°98-19 du 30 mars 1998 relative aux subventions octroyées par la Commune en 1998 prévoyait le versement de 22 666,00 F. Or le 20 juin dernier, le Foyer Rural a communiqué en mairie un état de la fréquentation du Centre aéré faisant apparaître un total de 2487 journées enfants pour l'année 1997.

Il précise que l'on a versé 22 666,00 F et qu'il manque donc 2 204,00 F pour faire le compte.

Il informe qu'une subvention est aussi à octroyer à la Fanfare pour l'animation du 14 juillet.

Il propose la somme de 500,00 F.

Il indique aussi d'une demande de subvention reçue récemment, le 14 septembre dernier, de l'association Arcad de la région de Neuilly-l'Evêque- Rolampont.

Il fait lecture de la lettre de son président, M. J.C. Sautier :

"Comme convenu, je vous adresse un dossier de financement pour la

soirée "Guinguette" organisée le 31 juillet dernier à Rolampont.

A.R.C.A.D. (Association rurale de Coordination, d'Animation et de développement de la Région Neuilly-l'Evêque-Rolampont) s'est créée fin décembre 1997 avec l'objectif de développer l'animation rurale sur le secteur.

Après avoir organisé, en mai 1998, une soirée Cinéma à Neuilly- l'Evêque, l'ARCAD a mis en place un spectacle musical d'été le 31 juillet dernier à Rolampont au port du canal.

L'objectif était :

- de créer un événement culturel de qualité en accueillant une compagnie professionnelle.

- valoriser le milieu rural en installant le spectacle dans le village, en ouverture de la fête foraine et dans un lieu inhabituel.

- proposer une animation culturelle qui soit un moment d'échange entre le public local et un public de vacanciers et des alentours.

La compagnie retenue avec l'aide de la Fédération départementale des Foyers Ruraux était : compagnie Joël le Vago de Bourges avec comme nom de spectacle : "La Guinguette" comprenant 3 musiciens-chanteurs.

Afin de compléter le montage financier de ce projet, nous avons l'honneur de solliciter un financement (1 000,00 F). Si une aide communale nous est accordée, une somme identique à cette aide pourra être accordée par l'ADRL dans le cadre du programme européen LEADER II.

Veuillez trouver, ci-joint, le budget prévisionnel. Nous restons à votre entière disposition pour toutes informations complémentaires..."

Il souligne que le budget s'équilibre en dépenses et recettes à 7 960,00 F.

Il communique ce document aux Membres présents.

M. PATRICK GALLISSOT fait remarquer en ce qui concerne le prix des entrées que les spectateurs payaient et que cela ne fait pas partie du budget.

LES MEMBRES PRESENTS précisent que le prix d'entrée était de 40,00 F.

M. PATRICK GALLISSOT souligne qu'il conviendrait d'obtenir un budget définitif et que l'on ne peut se satisfaire d'un simple budget prévisionnel alors que les opérations sont réalisées.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent unanimement pour rejeter la demande de l'ARCAD dans l'attente de la fourniture d'un bilan définitif.

N°7 Subventions. Foyer Rural (centre aéré). Fanfare (14 juillet). Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire indique que l'on va à présent passer aux questions diverses.

Il demande aux Membres présents s'ils sont d'accord afin de délibérer sur ces questions si besoin est.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent unanimement sur ce point.

M. le Maire évoque le projet de mise en oeuvre d'une étude d'aménagement paysager dans le cadre de Leader 52.

Il rappelle que le Conseil à déjà approuvé le principe du projet, lors de la dernière réunion, par délibération n°98-34 du 22 juin 1998.

Il informe qu'il est demandé aujourd'hui de préciser par une délibération favorable à la mise en oeuvre des études suivantes :

- une étude portant sur l'aménagement et l'embellissement des coeurs de village, - une étude paysagère sur le périmètre des communes concernées par l'étude.

Il signale qu'il conviendra aussi de demander à l'Association de Développement de la Région Langroise (Adrl) d'assurer la maîtrise d'ouvrage des deux opérations et d'accepter le principe d'une participation financière de la Commune fixée en proportion de sa population totale et qui devra s'inscrire en conséquence au Budget 1998 de la Commune.

Il précise que cette participation couvrira la part de financement que l'Adrl devra apporter en tant que maître d'ouvrage.

Il ajoute que la participation de la Commune représentera donc un pourcentage de la part maître d'ouvrage de l'ordre de 43,42 ou 42,45 %

Il précise que ces études sont subventionnées à 90 % et que les 10 % restant à la charge des communes représentent 33 000,00 F. Ce qui représenterai pour Rolampont une charge de 14 328,70 F dans l'hypothèse où le taux de 43,42 % serait retenu.

Il invite les membres présents à délibérer afin de compléter la délibération n°98-34 du 22 juin 1998.

N°8 Approbation de la mise en oeuvre des études aménagement de village/paysage. Maîtrise d'ouvrage et participation financière. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire informe qu'il convient aussi d'approuver la convention de mise à disposition de l'intervenante Musique proposée par l'Association Départementale pour l'Emploi Sportif et Socio-Culturel (Adess).

Il précise qu'il s'agit de la même convention qui est proposée chaque année.

Il rappelle le coût horaire qui sera facturé, soit : 123,00 F pour 1998, comme pour l'an passé, et 126,00 F pour 1999.

Il fait lecture du texte de la convention :

"Convention de mise à disposition

Entre l'Adess, représentée par son Président, et la Commune de Rolampont-Lannes, représentée par M. le Maire,

L'Adess 52 s'engage à mettre Mme Christelle Robin-Pauvre à disposition de la Commune de Rolampont-Lannes, aux conditions suivantes :

Poste occupé : professeur de musique Les interventions, 8 heures par semaine, se dérouleront selon le calendrier ci-dessous : lundi : 8h45/10h45 à Lannes, et 10/12h, 13h30/16h30 à Rolampont. vendredi : 11/12h à Rolampont. Durée totale de la mise à disposition : 33 semaines, soit 264 heures prévisionnelles. Coût horaire facturé : 123,00 F en 1998 et 126,00 F en 1999.

Frais de déplacement : 0

Déduction faite des participations Jeunesse et Sports et du Conseil Général sur le coût horaire de 166,00 F. La facturation sera effectuée chaque mois au vu d'un relevé des heures et des kilomètres réellement effectués, co-signé par l'utilisateur et l'intervenante. La structure utilisatrice est priée de signaler à l'association toute absence et tout manquement aux termes de la présente convention."

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°9 Approbation de la convention de mise à disposition d'un intervenant musique. ADESS. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

Monsieur le Maire évoque le projet de création d'une salle des sports. Il dit que cela patine un peu au niveau du Conseil Régional avec le Gal. Il informe qu'il a obtenu un rendez-vous avec un conseiller régional et que tout cela est encore à suivre.

Il indique qu'en attendant il conviendrait de délibérer afin de l'autoriser à déposer le permis de construire et par la même occasion, et avant toute chose, d'approuver officiellement le projet de réalisation d'une salle des sports, de décider la réalisation des travaux et de confier la maîtrise d'oeuvre à la Saua M. Journe. Il précise que par ailleurs il conviendrait de l'habiliter à lancer l'appel d'offre en vue de la passation du marché ainsi qu'à signer toutes les pièces relatives à cette opération dans le cadre du financement prévu au Budget de la Commune et plus généralement faire le nécessaire.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°10 Approbation du projet de réalisation d'une salle des sports. Maîtrise d'oeuvre. Habilitations. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire informe qu'il a une proposition à faire : affilier la Commune au régime d'assurance chômage, mais cela uniquement pour le personnel non-titulaire.

Il précise qu'il est allé encore hier au Centre départemental de Gestion du personnel de la fonction publique territoriale de Chaumont afin de se faire confirmer que l'on pouvait bien s'affilier au régime Unedic.

Il communique aux membres présents une note d'information sur le projet établie par Monsieur Rivière, secrétaire de mairie.

M. ANDRE demande pourquoi car comment l'on faisait à présent.

M. PATRICK GALLISSOT lui demande si lui il ne cotise pas. il ajoute que s'il perd son emploi il sera bien content d'avoir cotisé.

Il souligne qu'il ne comprend pas pourquoi ce n'est pas une obligation pour les collectivités publiques.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer.

N°11 Approbation de l'adhésion au régime d'assurance chômage UNEDIC. Adopté par 11 voix POUR et 7 ABSTENTIONS.

INTERVENTIONS

M. le Maire indique qu'il a rencontré Monsieur Moro, nouveau directeur de l'école.

Il signale qu'il y a un problème qui n'est pas nouveau avec le photocopieur.

Il informe que 25 à 30 000 copies sont réalisées annuellement.

M. PELLETIER demande combien il faut compter à peu près pour un photocopieur.

Les MEMBRES PRESENTS s'accordent sur une fourchette de 12 000,00 F à 17 000,00 F.

M. le Maire dit que pour 15 000,00 F ht on devrait trouver.

LES MEMBRES PRESENTS approuvent sans qu'il soit besoin de délibérer.

M. le Maire précise que cet achat sera à programmer au Budget Supplémentaire.

Il signale, toujours pour information, en ce qui concerne la conclusion de l'affaire Verry, comme il en a déjà parlé à Monsieur Wehrung, que les honoraires d'avoué s'élèvent à la somme de 2 961,00 F pour le désistement d'appel. Il ajoute qu'environ la même somme sera à payer en plus au titre des frais d'avoué de la partie adverse.

Il demande aux Membres présents s'ils sont tous au courant du congrès des maires qui aura lieu le 26 septembre prochain. Il précise que ceux qui sont intéressés doivent répondre maintenant le plus rapidement possible en joignant un chèque de 135,00 F.

Il évoque les suites de la décision de modification du Pos. Il signale que l'étude du cabinet Renaudie est terminée. Il ajoute que les services de la D.D.E. de Chaumont vont commencer l'étude. Il donne l'échéancier des opérations :

- 15 octobre : documents fournis par la D.D.E. (Mme Milesi), - 15 octobre : demande de révision au Tribunal Administratif, - 1er novembre : désignation du commissaire enquêteur, - du 5 au 20 novembre : publicité, - du 20 novembre au 20 décembre : enquête publique, - 15 janvier : rapport du commissaire enquêteur, - 15 février : documents remis par la D.D.E., - 1er mars : délibération pour approuver la modification.

Il précise que l'on doit savoir que dès que l'enquête sera terminée, l'on pourra déposer le permis de lotir.

Il communique aux Membres présents le document portant notice d'impact et présentation du projet d'aménagement de la zone d'activités de Rolampont à proximité de l'échangeur de l'A31 établit par le Cabinet Serge Renaudie pour la Communauté de communes de l'étoile de Langres.

Il fait lecture, à propos des sapeurs-pompiers, du courrier en date du 20 août 1998 reçu de Monsieur le lieutenant Michel, Chef de corps par interim.

"Monsieur le Maire,

Suite à la commission de recrutement qui s'est tenue ce jour, et après avis des membres du corps présents, j'ai l'honneur de vous proposer de recruter les personnes dont les noms suivent :

- M. Romeis Armand, - M. Rantswiler Sylvain,

- M. Lardin Christophe, - M. Loyola François, - M. Durné Alain.

Il est évident que ces personnes seront stagiaires pendant une année, restant à votre disposition recevez ..."

Il ajoute que la lettre est co-signé par Messieurs Quarrey, Chesnel, Catherinet.

Il signale que dans l'intervalle il a reçu la démission de Messieurs Francis Douche et Jean-Louis Cordier.

Il fait lecture des lettres qu'il vient de recevoir ce soir même des intéressés. Il précise que ce sont les deux mêmes et sont adressées aussi à Messieurs Wehrung et Chesnel.

"Suite à notre entrevue du samedi 12 septembre 1998 avec Messieurs les maires de Rolampont et Lannes, je viens confirmer ma volonté de démissionner du corps des sapeurs-pompiers de Rolampont pour les raisons suivantes.

Le jeudi 9 juillet 1998, j'ai accepté de me ré-engager au nouveau corps de Rolampont dans l'esprit de garder une section sur Lannes de cinq à six sapeurs.

Au jour du 12 septembre 1998 aucune candidature à Lannes; nous ne pouvons pas assurer une astreinte sérieuse à DEUX.

De plus mes camarades de l'ancienne section de Lannes ne comprennent pas mon ré-engagement au nouveau corps de Rolampont et une polémique s'installe dans notre village. Me trouvant dans une position délicate et pour essayer de retrouver une meilleure convivialité dans notre village, je juge bon de me retirer du corps de Rolampont.

Je tiens à m'excuser de cette décision au moment où certaines personnes s'investissent pour assurer la sécurité à la population de la grande commune de Rolampont, mais je reste néanmoins à votre disposition pour tout autre renseignement se rapportant aux pompiers sur le secteur de Lannes.

Veuillez agréer ..."

M. COUVREUX dit qu'il pensait que Monsieur Durné avait été écarté. Il ajoute qu'il est de Langres et qu'il fait ce qu'il veut.

MM. ANDRE et HERBERT expriment leur incompréhension.

M. BOUVIER demande pourquoi Monsieur Cousin Bernard n'y est plus.

M. le Maire lui fait remarquer que l'on ne parle ici que des sapeurs- pompiers nouvellement recrutés.

M. PATRICK GALLISSOT fait remarquer que certains à Lannes n'ont rien fait pour retenir ceux qui voulaient rester.

M. ANDRE répond que ce n'est pas vrai.

M. PATRICK GALLISSOT reprend les termes des lettres de démission des pompiers de Lannes :"mes camarades de l'ancienne section de Lannes ne comprennent pas mon ré-engagement au nouveau corps de Rolampont"

Il souligne :"une polémique s'installe dans notre village"

Il rappelle que ces pompiers se "trouvant dans une position délicate" ont démissionné "pour essayer de retrouver une meilleure convivialité dans leur village"

M. BOUVIER déplore que lors de la dernière manoeuvre à Charmoilles le

maire-délégué n'ait pas été prévenu.

M. ANDRE ajoute : cela continue.

M. le Maire informe que les Domaines n'ont toujours pas donné leur estimation du bâtiment Usine Relais Abanel.

Il informe des déclarations d'intention d'aliéner qui ont été reçue en Mairie et pour lesquelles il a déclaré au nom de la Commune ne pas exercer le droit de préemption urbain conformément à la délégation qui lui a été faite par le Conseil Municipal, délibération n°95-44 du 4 juillet 1995, en vertu de l'article L. 122-20 15 du Code des Communes.

Il ajoute que ces Décisions Municipales portent sur les propriétés dont la vente amiable est envisagée et appartenant à :

- M. Huberdaux qui vend une maison, - M. Durné qui vend une maison à M. Maignien et Mlle Gallier Claude

MME ROBIN précise qu'à ce propos l'on pourrait reparler du problème de Monsieur Jean-Michel Génin comme on l'avait dit lors de la dernière réunion informelle.

M. le Maire demande quand j'aurai fini ou si vous le souhaitez de suite. Il ajoute qu'il n'en avait pas encore parlé car il reste encore des questions diverses.

MME ROBIN explique que lors de la dernière réunion informelle il avait été admis de revoir la décision de préemption de la Commune sur un bien dont on ne connaissait pas l'acheteur.

M. PATRICK GALLISSOT précise qu'il ne s'agissait pas uniquement de personne, mais aussi d'une question de principe.

M. le Maire rappelle qu'il s'agissait d'un terrain à vendre derrière la gendarmerie, trente ares pour 3.000,00 F, et que le nom de l'acquéreur n'était pas indiqué dans la déclaration d'intention d'aliéner.

Il précise que ce terrain appartient à M. Georges Lallement.

Il rappelle la désignation du bien, un immeuble non bâti, sa situation : Section AD n°134, lieu-dit "La Pommeraie-Sud".

Il ajoute que le droit de préemption a été exercé conformément aux dispositions des articles L. 210-1 et suivant du Code de l'urbanisme, en application de la délibération n°87-60 du 28 août 1987, à des fins de constitution de réserve foncière dans le cadre du plan d'occupation des sols actuellement en vigueur. Le terrain concerné se situant en zone NAy du Pos, secteur réservé à l'implantation d'activités futures, destinée à une utilisation industrielle ou artisanale.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°12 Annulation de la délibération n°98-37 du 22 juin 1998 relative à l'acquisition de terrain. Parcelle AB n°134. Exercice du droit de préemption urbain. Adopté par 12 voix POUR, 1 CONTRE et 4 ABSTENTIONS.

INTERVENTIONS

M. le Maire rappelle le règlement des services eaux et assainissement.

Il souligne que la Commune intervient jusqu'en limite de propriété pour l'eau potable.

Il ajoute qu'il précise cela car certains confondent cette limite avec celle où se trouve le compteur.

M. BOUVIER précise que c'est quelque chose que l'on oublie et qu'il y a confusion, le compteur appartenant certes à la Commune, mais aussi le robinet d'arrêt avant le compteur.

M. le Maire rappelle qu'en ce qui concerne l'assainissement, l'utilisateur doit se brancher sur le réseau existant à ses frais.

M. BOUVIER dit qu'il conseille aux gens de créer deux regards lors de nouvelles constructions, même lorsque le réseau d'assainissement est unitaire.

M. le Maire dit que cela est une bonne précaution pour l'avenir.

Il fait part d'un voeu du Syndicat Cgt d'EDF - GdF.

Il fait lecture du projet de voeu :

"Le secteur de l'énergie et tout particulièrement le gaz, est depuis la loi de 1946, propriété de la nation. Les élus locaux sont, par cette loi, l'autorité concédante. En conséquence, le droit à l'énergie pour tous doit être axé sur l'égalité de traitement, la péréquation tarifaire et la vente au coût de revient, le développement industriel et de l'emploi, l'aménagement du territoire. Afin de respecter les finalités d'un service public nationalisé, il est demandé au conseil municipal d'émettre le souhait que la commune soit desservie en gaz par Gaz de France. En conséquence, de demander au directeur du centre EDF-GdF services, Haute-Marne et Meuse, de prendre toutes les dispositions techniques et budgétaires pour satisfaire à sa demande."

Il demande aux Membres présents s'il convient de délibérer et leur communique le courrier du Syndicat en date du 1er septembre 1998 et reçu en Mairie le 4 septembre dernier.

M. le Maire dit qu'en attendant l'on va continuer.

Il informe qu'il prendra un arrêté à la demande de Monsieur Prodhon, Agent de l'ONF comme suite à la pose des barrières en Forêt Communale, R.F. du Châtelet et R.F. des Moulinots et ceci afin de réglementer la circulation sur ces routes forestières.

Il fait part d'un devis à propos des travaux de viabilisation à Tronchoy.

Il indique qu'il y a à peu près 120 mètres et qu'on nous demande 23,00 F pour l'éclairage public du lotissement.

Il ajoute qu'il y a aussi le téléphone et que l'on a aussi demandé qu'il passe en souterrain.

Il signale qu'il y avait trois poteaux prévus en aérien.

Il précise que l'on nous demande 11 300,00 F ht de participation pour passer en souterrain.

Il informe qu'il a eu un interlocuteur de France Telecom cet après-midi et qu'il lui a fait remarquer que c'était un peu cher. Le prix total étant de 19 300,00 F moins 8 000,00 F, il restait donc 11 300,00 F à payer.

Il ajoute que l'on ne sait pas encore s'ils reverront leur prix.

Il explique que c'est la même chose avec l'électricité, qu'au départ ils étaient à 40,00 F et ils sont maintenant à 23,00 F.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent sur le caractère coûteux de ces travaux.

M. le Maire ajoute que si l'on arrivait encore à obtenir la moitié de

ce prix ce serait encore envisageable.

M. BOUVIER demande : à combien cela amène le prix du mètre carré.

M. le Maire lui fait remarquer qu'il s'agit ici de travaux communaux.

Il informe de l'ouverture des plis le 1er octobre prochain pour le giratoire. Il ajoute qu'il a appris cela ce soir et que le conseil communautaire se réunira donc le 1er octobre 1998.

Il informe au sujet du point-à-temps, route de Changey qu'un acqueduc est à refaire avant. Il précise que l'on voit le trou depuis la route.

Il en informe Monsieur le Maire-Délégué qui s'en étonne.

M. le Maire ajoute qu'il y a du point-à-temps à faire en urgence.

M. WEHRUNG demande quand il sera fait.

M. le Maire répond : avant l'hiver.

Il signale que l'on a des actes en souffrance. Il demande si l'on doit prendre un notaire.

MME BROCHOT répond qu'ils sont faits, mais qu'il lui manque une esquisse de division.

M. le Maire lui rappelle qu'elle devait la prendre lors de la dernière réunion et que celle-ci l'attend toujours sur son bureau.

MME BROCHOT dit qu'elle la prendra tout à l'heure en sortant avec l'ensemble des dossiers.

M. le Maire informe que l'on a aussi un problème de sonneur de cloches.

M. WEHRUNG précise qu'il en avait déjà parlé et que le problème s'intensifie, car l'on n'a plus de sonneur de cloches à Lannes.

M. le Maire signale que la question sera à considérer lors du vote du budget Supplémentaire.

M. WEHRUNG souligne que l'on avait obtenu des devis et qu'il faudra peut-être demander leur actualisation.

M. le Maire dit qu'il n'a plus rien à ajouter.

MME RUEL indique que le projet de portage de repas à domicile, dans le cadre intercommunal de la CCEL avance à grands pas. Elle précise que le portage en liaison chaude n'est plus à l'ordre du jour car il n'est plus subventionné par la CRAM. Elle ajoute que l'on part sur du froid, que l'on s'oriente vers l'achat d'un véhicule, une personne de l'ADAPA sera chargée du portage pour des questions d'expérience etc... Elle souligne que le Foyer des jeunes travailleurs peut être équipé du jour au lendemain et qu'il reste à acquérir l'étiquetteuse et l'operculeuse à acheter. Elle signale que Langres actuellement en liaison chaude rejoindrait la CCEL et la liaison froide.

M. le Maire remarque que le document sur le voeu du Syndicat CGT EDF - GdF revient.

Il demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent.

MLLE DIOT signale que la demande vient d'un Syndicat et que l'on n'a pas à donner une réponse à un syndicat.

M. PELLETIER ajoute : aucune.

M. le Maire demande : qui veut répondre ? Personne ?

LES MEMBRES PRESENTS estiment qu'une telle demande ne ressort pas des attributions d'un Syndicat.

M. le Maire dit : donc on ne répond pas.

Il indique que l'on a toujours des problèmes avec la réfection du clocher de l'église. Il signale qu'il n'y a toujours pas de décision du Conseil régional. Il ajoute que si l'immeuble n'était pas inscrit à l'inventaire on aurait eu de la DGE sans problème.

Il informe que Monsieur Laumont qui devait reprendre le Coccinelle ne le reprend plus.

Il ajoute qu'il y a un nouveau repreneur qui cherche actuellement un logement.

M. THOMASSIN signale que cela n'a rien à voir avec Coccinelle.

M. le Maire dit qu'il en a fini et demande aux Membres présents s'ils souhaitent ajouter quelque chose.

M. BOUVIER rappelle qu'il avait demandé six tables et les chaises qui vont avec. Il souligne qu'il souhaiterait les avoir maintenant assez rapidement.

M. ANDRE dit : la dératisation, c'est pour bientôt à Lannes car cela commence à courir.

M. BOUVIER signale : nous avons été servis avant à Charmoilles.

M. le Maire explique qu'il a oublié une question dont il avait prévu de parler.

Il indique qu'il s'agit d'une petite chose concernant la location de la Maison du Temps Libre pour les personnes de l'extérieur.

Il rappelle que le tarif est actuellement de 950,00 F par jour ce qui fait 1 900,00 F pour une fin de semaine.

Il propose un forfait de 1 300,00 F pour la location aux personnes de l'extérieur en fin de semaine, soit le samedi plus le dimanche.

Il ajoute qu'il faudrait aussi convenir d'un tarif de location pour la salle des fêtes de Tronchoy.

Il demande au Maire-délégué ce qu'il en pense.

Il propose 200,00 F par jour.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent sur un tarif de 150,00 F par jour et de 200,00 F pour la fin de semaine : samedi plus dimanche pour tous les utilisateurs.

N°13 Modification de la tarification de la location de la M.T.L. Création d'un tarif fin de semaine pour les demandeurs extérieurs. Fixation du prix de location de la salle des fêtes de Tronchoy. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. COUVREUX dit : et les cantonniers et la lettre qu'on a eu ? Il ajoute qu'ils sont venus et que l'on pourrait leur demander leur

avis.

M. le Maire lui répond : puisque tu connais la question pose moi des questions.

Il ajoute : quand tu n'es pas content tu écris à ton patron ?

Il signale que la visite médicale a été passée en février et non en mars.

Il dit que s'il convient de répondre : la titularisation de Monsieur Fouassier suit son cours. Des chaussures ils en ont, la visite ils l'ont passée.

M. ANDRE signale qu'il conviendrait de savoir si les vaccins sont obligatoires et de les faire par souci de tranquillité.

M. le Maire dit que si c'est à la Commune de payer on payera.

Il précise que ce n'est pas lui qui a passé la visite. Si les intéressés ont des vaccins à faire qu'ils les fassent et si la Commune doit les payer on les payera.

Il signale que les chaussures de sécurité ont été achetées depuis un an, Monsieur Ventadour les a fournies. Les casques il y en a mais ils ne veulent pas les porter. Ce n'est pas ma faute. Il fait remarquer que les toilettes sont à vingt mètres de leur local. Il demande s'il faut des douches pour trois salariés qui habitent à 500 mètres de leur lieu de travail.

M. THOMASSIN demande à propos des heures, combien en font-ils.

M. le Maire informe qu'ils ont décrété de leur propre chef qu'ils ne feraient plus que huit heures.

Il souligne qu'il en a terminé.

Il ajoute qu'il est prêt à répondre aux autres questions des Membres présents.

Il dit : plus de questions ?

L'ORDRE DU JOUR ÉTANT ÉPUISÉ M. LE MAIRE LÈVE LA SÉANCE LE 15 SEPTEMBRE 1998 À VINGT-TROIS HEURES & QUARANTE MINUTES.

COMMUNE DE ROLAMPONT DÉLIBÉRATIONS SEANCE DU 15 SEPTEMBRE 1998

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N°98-40 Approbation du contrat de restauration en liaison froide (fourniture de repas à la cantine scolaire) au bénéfice de la société Estredia "Les repas santé". Fixation du prix du repas.

M. le Maire fait part de la question relative à l'approbation de la convention de fourniture de repas à la cantine scolaire.

Il rappelle, comme on le sait que Madame Thibonnet a arrêté de fournir les repas de la cantine scolaire en juin dernier. Il ajoute que la convention a été dénoncée. Il précise, comme il a été vu avec Madame Ruel, que l'on s'est entendu avec la société "Les repas santé" qui se trouve à côté de Vesoul, à Saint-Rémy, sur la livraison de repas en liaison froide. Il souligne que l'on a du acquérir du matériel : une armoire frigorifique pour le stockage des repas qui sont livrés la veille au soir pour le lendemain ainsi qu'un un four pour la remise en température.

Il invite Mlle Torraille à faire lecture du projet de convention qu'il conviendra d'approuver.

MLLE TORRAILLE fait lecture de la proposition de contrat de restauration en liaison froide.

M. le Maire ajoute que la société estime l'amortissement du matériel à 1,50 F par repas, que le pain fournit revient à 0,60 F par repas. Il précise que le pain est pris deux jours chez un boulanger, deux jours chez l'autre. Il souligne que les coûts de fonctionnement et notamment le coût salarial du personnel de cantine entre aussi en ligne de compte dans le prix du repas. Il précise qu'ainsi il a été proposé lors d'une réunion avec les utilisateurs une augmentation de 1,00 F par repas, ce qui porterait le prix du repas servit à la cantine à 26,00 F. Tout le monde s'est accordé sur cette proposition logique.

Il signale qu'il convient donc de délibérer pour approuver la convention de fourniture de repas, mais aussi afin de porter le prix de facturation du repas, actuellement de 25,00 F, à 26,00 F.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la proposition de contrat de la société Estredia "Les repas santé".

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE le contrat de restauration en liaison froide, de fourniture de repas à la cantine scolaire, au bénéfice de la société Estredia "Les repas santé".

HABILITE Monsieur le Maire à signer la convention à intervenir et plus généralement faire le nécessaire.

DIT que le prix du repas à facturer sera de 26,00 F l'unité.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-41 Approbation de l'adhésion des communes de Louvières et Noyers au S.I.C.T.O.M. de la Région de Langres.

M. le Maire fait part de la question relative à l'approbation de l'adhésion des communes de Louvières et Noyers au Sictom de la région de Langres. Il fait part de la lettre de Monsieur le Président du SICTOM de la Région de Langres en date du 4 juillet 1998 et reçue en Mairie le 18 juillet dernier. Il indique que conformément au Code général des collectivités territoriales, article L.52-12-26, la procédure d'adhésion de ces communes est lancée. Il précise que ces adhésions seront transférées au Smictom dès sa création.

Il invite les membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE l'adhésion des communes de Louvières et Noyers au S.I.C.T.O.M. de la Région de Langres.

DIT que ces adhésions seront transférées au Smictom dès sa création.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-42 Approbation des conventions de participation pour travaux d'investissement dans les collèges chaumontais. Année 1998.

M. le Maire évoque la question relative à l'approbation des conventions de participation pour travaux d'investissement dans les collèges chaumontais pour l'année 1998. Il fait part des projets de conventions. Il indique que sont concernés les collèges Louise Michel et Saint-Saëns. Il précise que la participation communale sera :

- pour le collège Louise Michel de 39,44 F - pour le collège Saint-Saëns de 339,53 F

Il invite les Membres présents à délibérer et à l'habiliter à signer la convention à intervenir.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE les conventions de participation pour travaux d'investissement dans les collèges chaumontais. Année 1998.

DIT que la participation communale s'élèvera à :

- 39,44 F pour le collège Louise Michel - 339,53 F pour le collège Saint-Saëns

HABILITE M. le Maire à signer les conventions à intervenir et plus généralement faire le nécessaire.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-43 Modification de la délibération n°98-33 du 22 juin 1998 relative à l'approbation de la destination des coupes en F.C. de Rolampont. Exercice 1999.

M. le Maire fait part de la question relative à la modification de la délibération du conseil municipal n°98-33 du 22 juin 1998 relative à l'approbation de la destination des coupes en F.C. de Rolampont. Exercice 1999. Il précise qu'il s'agit, à la demande de l'Agent de l'ONF de rectifier deux erreurs formelles qui ne sont pas notre fait.

Il souligne qu'il conviendra de compléter l'alinéa 8 du dispositif : "VENTE des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF des coupes 10, 21, 47 et 48-2 en 2000" par : "délivrance du taillis et des petites futaies en 1999, et délivrance des houppiers des arbres vendus en 2000".

Il ajoute qu'il conviendra de lire à l'alinéa 16 du dispositif, délais à respecter dans les coupes affouagères : "15 octobre 2001 pour les parcelles 10, 21, 47 et 48-2" au lieu de : 15 octobre 2000 pour les parcelles 10, 21, 47 et 48-2"

Le rapport étant lui aussi dans le même sens modifié.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la délibération du conseil municipal n°98-33 du 22 juin 1998 relative à l'approbation de la destination des coupes en F.C. de Rolampont. Exercice 1999.

CONSIDERANT la demande de M. l'Agent de l'ONF,

APRES en avoir délibéré,

DIT que la délibération du conseil municipal n°98-33 du 22 juin 1998 relative à l'approbation de la destination des coupes en F.C. de Rolampont. Exercice 1999 est ainsi modifiée :

- l'alinéa 8 du dispositif : "VENTE des arbres de futaies affouagères par les soins de l'ONF des coupes 10, 21, 47 et 48-2 en 2000" est complété par : "délivrance du taillis et des petites futaies en 1999, et délivrance des houppiers des arbres vendus en 2000".

- lire à l'alinéa 16 du dispositif, délais à respecter dans les coupes affouagères : "15 octobre 2001 pour les parcelles 10, 21, 47 et 48-2" au lieu de : 15 octobre 2000 pour les parcelles 10, 21, 47 et 48-2"

PRECISE que le rapport du Maire est dans le même sens modifié.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-44 Approbation de la convention d'occupation temporaire de terrain au bénéfice de M. Richard Perret.

M. le Maire fait part de la question relative à l'approbation de la convention d'occupation précaire et temporaire d'un terrain communal de 11 ha 28 a 30 ca, au bénéfice de Monsieur Richard Perret agriculteur à Rolampont, sis dans la future zone d'activités. Il ajoute que l'indemnité d'occupation annuelle est fixée sur la base de 6 035 F en 1997 valeur d'indice 107,40, ce qui représente 4 quintaux par hectare. Il précise qu'il s'agit d'approuver le projet de convention soumis par la SCP Xavier Guichard, notaire associé, et transmis en mairie pour accord. Il invite Mme Ruel à faire lecture de ce texte.

MME RUEL fait lecture du projet de convention d'occupation temporaire et précaire établit à la requête de la Commune et de M. Richard Perret.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU le projet de convention établit par la SCP Xavier Guichard, notaire associé à Langres,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE la convention d'occupation temporaire de terrain au bénéfice de M. Richard Perret.

HABILITE M. le Maire à signer l'acte à intervenir qui sera reçu par M. Xavier Guichard, Notaire associé à Langres et plus généralement faire le nécessaire

Adopté par 16 voix POUR, 1 CONTRE et 1 ABSTENTION.

N°98-45 Approbation de la convention à intervenir pour l'entretien du Groupe Scolaire.

M. le Maire évoque la question relative à l'entretien du Groupe Scolaire. Il invite Madame Ruel à préciser.

MME RUEL signale que l'entretien des locaux du Groupe Scolaire sera confié à une entreprise et qu'ainsi tous les problèmes seront résolus et notamment les problèmes d'absence de personnel, de coût salarial. Elle informe qu'une petite société de Langres a été choisie : L. Oger.

Elle précise que les instituteurs semblent satisfaits. Elle indique que pour l'instant l'entreprise est prise à l'essai pour trois mois et qu'ensuite un contrat devra intervenir. Elle ajoute que tous les produits sont fournis, sauf le papier toilette. Le matériel professionnel utilisé a permis de récupérer en temps de travail. Elle dit que cela coûte 360,00 F par jour d'école pour quatre heures. Elle souligne qu'il a été demandé de prendre du personnel sur place.

M. le Maire ajoute que l'entreprise occupera une personne de Rolampont et une personne de l'entreprise à l'entretien du Groupe Scolaire.

MME RUEL donne le descriptif des tâches qui seront effectuées :

* travaux journaliers : aération des locaux ; vidange et nettoyage des corbeilles à papiers ; évacuation des papiers et cartons ; dépoussiérage du mobilier, pupitres, plinthes, hauteurs, sièges ; dépoussiérage par aspiration des sols ; lavage des sols carrelés ou thermoplastiques ; nettoyage et désinfection des sanitaires ; aspiration et lavage des sols sanitaires à l'eau additionnée d'un détergent désodorisant et désinfectant. * travaux une fois par trimestre : nettoyage des baies vitrées des sept classes recto verso.

M. le Maire demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent, il signale qu'il conviendrait de l'habiliter à signer la convention à intervenir, et les invite à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

OUI le rapport de Madame l'Adjoint,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE les nouvelles modalités d'entretien du Groupe Scolaire de Rolampont.

PRECISE que l'entretien sera confié à l'entreprise.

HABILITE M. le Maire à signer la convention à intervenir et plus généralement faire le nécessaire.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-46 Subventions. Foyer Rural (centre aéré). Fanfare (14 juillet).

M. le Maire évoque la question relative aux subventions. Il rappelle qu'en ce qui concerne le Foyer Rural et le Centre de loisirs l'on s'était accordé sur une aide de 10,00 F par jour et par enfant, ainsi la délibération n°98-19 du 30 mars 1998 relative aux subventions octroyées par la Commune en 1998 prévoyait le versement de 22 666,00 F. Or le 20 juin dernier, le Foyer Rural a communiqué en mairie un état de la fréquentation du Centre aéré faisant apparaître un total de 2487 journées enfants pour l'année 1997. Il précise que l'on a versé 22 666,00 F et qu'il manque donc 2 204,00 F pour faire le compte.

Il informe qu'une subvention est aussi à octroyer à la Fanfare pour l'animation du 14 juillet. Il propose la somme de 500,00 F.

Il indique aussi d'une demande de subvention reçue récemment, le 14 septembre dernier, de l'association Arcad de la région de Neuilly-l'Evêque- Rolampont. Il fait lecture de la lettre de son président, M. J.C. Sautier. Il souligne que le budget s'équilibre en dépenses et recettes à 7 960,00 F. Il communique ce document aux Membres présents.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent unanimement pour rejeter la demande de l'ARCAD dans l'attente de la fourniture d'un bilan définitif.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE les subventions suivantes :

- Foyer Rural : 2 204,00 F pour complément de subvention Centre aéré, - Fanfare : 500,00 F pour l'animation du 14 juillet.

REJETTE la demande de subvention de l'ARCAD dans l'attente de la fourniture d'un bilan définitif.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-47 Approbation de la mise en oeuvre des études aménagement de village/paysage. Maîtrise d'ouvrage et participation financière.

M. le Maire évoque le projet de mise en oeuvre d'une étude d'aménagement paysager dans le cadre de Leader 52. Il rappelle que le Conseil a déjà approuvé le principe du projet, lors de la dernière réunion, par délibération n°98-34 du 22 juin 1998. Il informe qu'il est demandé aujourd'hui de préciser par une délibération favorable à la mise en oeuvre des études suivantes :

- une étude portant sur l'aménagement et l'embellissement des coeurs de village, - une étude paysagère sur le périmètre des communes concernées par l'étude.

Il signale qu'il conviendra aussi de demander à l'Association de Développement de la Région Langroise (Adrl) d'assurer la maîtrise d'ouvrage des deux opérations et d'accepter le principe d'une participation financière de la Commune fixée en proportion de sa population totale et qui devra s'inscrire en conséquence au budget 1998 de la Commune. Il précise que cette participation couvrira la part de financement que l'Adrl devra apporter en tant que maître d'ouvrage. Il ajoute que la participation de la Commune représentera donc un pourcentage de la part maître d'ouvrage de l'ordre de 43,42 ou 42,45 % Il précise que ces études sont subventionnées à 90 % et que les 10 % restant à la charge des communes représentent 33 000,00 F. Ce qui représenterai pour Rolampont une charge de 14 328,70 F dans l'hypothèse où le taux de 43,42 % serait retenu.

Il invite les membres présents à délibérer afin de compléter la délibération n°98-34 du 22 juin 1998.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la délibération du conseil municipal n°98-34 du 22 juin 1998.

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE la mise en oeuvre des études suivantes :

- une étude portant sur l'aménagement et l'embellissement des coeurs de village, - une étude paysagère sur le périmètre des communes concernées par l'étude.

DEMANDE à l'Association de Développement de la Région Langroise (Adrl)

d'assurer la maîtrise d'ouvrage des deux opérations.

ACCEPTE le principe d'une participation financière de la Commune fixée en proportion de sa population totale.

PRECISE que cette participation sera inscrite au Budget 1998 de la Commune.

HABILITE Monsieur le Maire à signer toutes les pièces nécessaires.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-48 Approbation de la convention de mise à disposition d'un intervenant musique. ADESS.

M. le Maire informe qu'il convient aussi d'approuver la convention de mise à disposition de l'intervenante Musique proposée par l'Association Départementale pour l'Emploi Sportif et Socio-Culturel (Adess). Il précise qu'il s'agit de la même convention qui est proposée chaque année. Il rappelle le coût horaire qui sera facturé, soit : 123,00 F pour 1998, comme pour l'an passé, et 126,00 F pour 1999. Il fait lecture du texte de la convention.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

Oui l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la convention proposée par l'Association Départementale pour l'Emploi Sportif et Socio-Culturel (Adess).

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE la convention de mise à disposition d'un intervenant musique.

HABILITE M. le Maire à signer la convention à intervenir et plus généralement faire le nécessaire.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-49 Approbation du projet de réalisation d'une salle des sports. Maîtrise d'oeuvre. Habilitations.

Monsieur le Maire évoque le projet de création d'une salle des sports. Il dit que cela patine un peu au niveau du Conseil Régional avec le Gal. Il informe qu'il a obtenu un rendez-vous avec un conseiller régional et que tout cela est encore à suivre. Il indique qu'en attendant il conviendrait de délibérer afin de l'autoriser à déposer le permis de construire et par la même occasion, et avant toute chose, d'approuver officiellement le projet de réalisation d'une salle des sports, de décider le réalisation des travaux et de confier la maîtrise d'oeuvre à la Saua M. Journe. Il précise que par ailleurs il conviendrait de l'habiliter à lancer l'appel d'offre en vue de la passation du marché ainsi qu'à signer toutes les pièces relatives à cette opération dans le cadre du financement prévu au Budget de la Commune et plus généralement faire le nécessaire.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

CONSIDERANT le projet de création d'uns salle des sports,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE le projet de réalisation d'une salle des sports,

DECIDE la réalisation des travaux

CONFIE la maîtrise d'oeuvre à la Saua M. Journe.

AUTORISE M. le Maire à déposer le permis de construire

HABILITE M. le Maire à lancer l'appel d'offre en vue de la passation du marché ainsi qu'à signer toutes les pièces relatives à cette opération dans le cadre du financement prévu au Budget de la Commune et plus généralement faire le nécessaire.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-50 Approbation de l'adhésion au régime d'assurance chômage UNEDIC.

M. le Maire informe qu'il a une proposition à faire : affilier la Commune au régime d'assurance chômage, mais cela uniquement pour le personnel non- titulaire. Il précise qu'il est allé encore hier au Centre départemental de Gestion du personnel de la fonction publique territoriale de Chaumont afin de se faire confirmer que l'on pouvait bien s'affilier au régime Unedic. Il communique aux membres présents une note d'information sur le projet établie par Monsieur Rivière, secrétaire de mairie.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la note d'information sur le projet d'affiliation au régime Unedic établie par le Secrétariat de mairie,

VU le modèle de contrat d'adhésion au régime d'assurance chômage,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE l'adhésion au régime d'assurance-chômage pour l'ensemble des agents non titulaires et non statutaires de la Commune.

HABILITE M. le Maire à signer le contrat à intervenir avec l'Association pour l'emploi dans l'industrie et le commerce et plus généralement faire le nécessaire.

Adopté par 11 voix POUR et 7 ABSTENTIONS.

N°98-51 Annulation de la délibération n°98-37 du 22 juin 1998 relative à l'acquisition de terrain. Parcelle AB n°134. Exercice du droit de préemption urbain.

M. le Maire rappelle qu'il s'agissait d'un terrain à vendre derrière la gendarmerie, trente ares pour 3.000,00 F, et que le nom de l'acquéreur n'était pas indiqué dans la déclaration d'intention d'aliéner. Il précise que ce terrain appartient à M. Georges Lallement. Il rappelle la désignation du bien, un immeuble non bâti, sa situation : Section AD n°134, lieu-dit "La Pommeraie-Sud". Il ajoute que le droit de préemption a été exercé conformément aux dispositions des articles L. 210-1 et suivant du Code de l'urbanisme, en application de la délibération n°87-60 du 28 août 1987, à des fins de constitution de réserve foncière dans le cadre du plan d'occupation des sols actuellement en vigueur. Le terrain concerné se situant en zone NAy du Pos,

secteur réservé à l'implantation d'activités futures, destinée à une utilisation industrielle ou artisanale.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire,

APRES en avoir délibéré,

DIT que la délibération n°98-37 du 22 juin 1998 relative à l'acquisition de terrain. Parcelle AB n°134. Exercice du droit de préemption urbain est annulée.

Adopté par 12 voix POUR, 1 CONTRE et 4 ABSTENTIONS.

N°98-52 Modification de la tarification de la location de la M.T.L. Création d'un tarif fin de semaine pour les demandeurs extérieurs. Fixation du prix de location de la salle des fêtes de Tronchoy.

M. le Maire explique qu'il a oublié une question dont il avait prévu de parler.

Il indique qu'il s'agit d'une petite chose concernant la location de la Maison du Temps Libre pour les personnes de l'extérieur. Il rappelle que le tarif est actuellement de 950,00 F par jour ce qui fait 1 900,00 F pour une fin de semaine. Il propose un forfait de 1 300,00 F pour la location aux personnes de l'extérieur en fin de semaine, soit le samedi plus le dimanche. Il ajoute qu'il faudrait aussi convenir d'un tarif de location pour la salle des fêtes de Tronchoy. Il demande au Maire-délégué ce qu'il en pense. Il propose 150,00 F par jour.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent sur un tarif de 150,00 F par jour et de 200,00 F pour la fin de semaine : samedi plus dimanche pour tous les utilisateurs.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

COMPLETE la tarification de la location de la M.T.L. comme suit :

- 1 300,00 F : forfait fin de semaine (samedi plus dimanche) pour les particuliers de l'extérieur.

FIXE le prix de location de la salle des fêtes de Tronchoy comme suit :

- 150,00 F : la journée pour tous les utilisateurs. - 200,00 F : la fin de semaine (samedi plus dimanche) pour tous les utilisateurs.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

COMMUNE DE ROLAMPONT PROCÈS VERBAL SEANCE DU 1er DÉCEMBRE 1998

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L'AN MIL NEUF CENT QUATRE VINGT DIX HUIT, LE MARDI 1er DECEMBRE A VINGT HEURES, LE CONSEIL MUNICIPAL, dûment convoqué par Monsieur le Maire le 27 novembre 1998, s'est assemblé sous la présidence de M. Michel Gallissot.

Étaient présents : M. Michel GALLISSOT, Maire, MM. DELIN, PELLETIER, MLLE TORRAILLE, MME RUEL, Adjoints, BOUVIER, DOUCHE, WEHRUNG, Maires-Délégués, MMES ROBIN, BROCHOT, MLLE DIOT, MM. Patrick GALLISSOT, THOMASSIN, COUVREUX, ANDRE, BREGERE, Conseillers municipaux.

Excusés : M. RAGUET, Conseiller municipal,

Absent : M. HERBERT, PEUREUX, Conseillers municipaux.

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M. le Maire ouvre la séance à 20 h 10.

Les Conseillers présents formant la majorité des membres en exercice, conformément à l'article L.121-14 du Code des Communes, il a été procédé à la nomination d'un secrétaire pris au sein du Conseil.

Mlle TORRAILLE ayant obtenu la majorité des suffrages, a été désignée pour remplir ces fonctions qu'elle a acceptées.

INTERVENTIONS

M. le Maire souhaite le bonsoir aux Membres présents. Il fait remarquer que l'on inaugure, en quelque sorte, ce soir une salle du Conseil rénovée.

Il présente les excuses de Monsieur Raguet.

Il informe que M. Brégère arrivera avec un peu de retard.

Il invite Mlle Torraille à faire lecture du procès-verbal de la dernière séance du Conseil.

Mlle TORRAILLE fait lecture du procès-verbal de la séance du 15 septembre 1998.

M. le Maire demande si quelqu'un a des observations.

N°0 Adoption du procès-verbal de la séance du 15 septembre 1998. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire dit qu'il a le plaisir d'accueillir Monsieur Moro, Directeur au Groupe Scolaire de Rolampont, venu à sa demande présenter son projet pédagogique aux Membres du Conseil.

M. MORO remercie Monsieur le Maire de l'avoir invité et ainsi de lui permettre d'exposer son projet pour l'école.

Il se présente pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore. Il dit qu'il est le remplaçant de Monsieur Kartner depuis la rentrée scolaire de septembre.

Il fait part du dernier Conseil des écoles.

Il informe en ce qui concerne les travaux d'entretien du Groupe Scolaire :

- la cour de la maternelle pourrait-être mise en macadam,

- les toilettes sont à revoir. Les urinoirs qui ne fonctionnaient plus et que l'on avait prévu de démonter, fonctionnent depuis que l'entreprise chargée par la commune de l'entretien intervient. Il conviendrait donc de les laisser en place.

Il fait remarquer que la réfection du sol de deux classes qui semblait avant son arrivée prioritaire ne l'est plus à présent.

Il ajoute qu'il s'en accommode pour sa part dans sa classe.

Il informe en ce qui concerne l'aménagement pédagogique de l'école, de ce qui a déjà été fait depuis son arrivée :

- installation d'une ligne téléphonique en primaire

- achat d'un photocopieur,

- aménagement de deux pièces de rangement,

- pose d'étagères dans sa classe,

- achat d'une chaîne hifi,

- achat d'étagères pour la classe de Madame Reveillon.

Il ajoute qu'il remercie la municipalité, Monsieur le Maire et Madame Ruel Adjoint, chargée du secteur scolaire, pour cela.

Il informe en ce qui concerne l'aménagement pédagogique de l'école, de ce qui est demandé :

- au titre de la subvention que verse la Commune, une somme forfaitaire de 160,00 F par enfant, Il précise que la pratique actuelle du versement d'une somme globale qui n'est plus revalorisée est pénalisante. Il fait remarquer l'existence d'une classe supplémentaire.

- l'aménagement par des jeux après la mise en macadam de la cour des maternelle. Il souligne qu'ici il s'agit plutôt du projet de la Directrice de la maternelle dont il se fait l'écho.

- l'aménagement d'une aire de saut en longueur,

- la création d'une salle informatique avec huit ordinateurs PC, une imprimante couleur et un scanner. Il souligne qu'il s'agit là du gros point. Il précise que l'école est toujours équipée depuis 1982-1985 en MO5. Ceux qui connaissent auront compris. En terme de coût il conviendrait de prévoir 65 000,00 F, sachant que ce projet pourrait bénéficier d'une aide de 30 % au titre de la DGE.

Il informe en ce qui concerne le secteur action pédagogique :

- l'école de Rolampont a une très bonne réputation avec un pourcentage de réussite très élevé lors de l'arrivée des enfants aux Franchises.

- de ce qu'il demande ; l'organisation d'un spectacle par trimestre. un spectacle de Jazz a déjà eu lieu, un autre sur les volcan est en préparation ; la poursuite du CARVEJ : musique, football et tennis. Il souligne qu'ici l'ébauche d'un projet théâtre est toujours en l'état ; l'organisation de classe de découverte : mer, montagne, en séjour de 12 jours, afin qu'une fois au moins chaque enfant en profite dans sa scolarité.

Il précise qu'il est certes demandeur vis-à-vis de la Commune, mais qu'il a aussi demandé aux enseignants de prendre les choses en main. Ainsi, la kermesse de fin d'année autrefois organisée par une association de parents d'élèves sera organisée par les enseignants. Elle permettra ainsi d'aider au financement de l'acquisition de livres pour la bibliothèque et des spectacles en cours d'année.

Il demande s'il y a des questions.

MLLE DIOT s'inquiète du remplacement selon elle trop fréquent des livres scolaires.

Elle demande si tous les enfants en ont.

M.MORO répond que tous les enfants ont des livres, mais certains sont vraiment en très mauvais état, malgré l'effort effectué pour les restaurer au mieux. Il précise qu'il préfère que ces ouvrages soient pris en charge par l'école, mais que les parents prennent en charge le petit matériel scolaire : cahiers, crayons etc., bien que certains enseignants préfèrent qu'il soit demandé une participation pécuniaire afin que tous les élèves aient le même modèle, par exemple de cahier, ce qui facilite le travail pédagogique, surtout en maternelle.

MLLE DIOT fait remarquer que tous les parents n'ont pas les moyens d'acheter les fournitures scolaires.

M. MORO répond qu'une allocation de rentrée scolaire est allouée aux parents.

MLLE DIOT précise que tous n'y ont pas droit.

M. DELIN explique que tous les parents y ont droit.

M. MORO demande s'il y a d'autres questions.

Il prend congé.

M. le Maire remercie Monsieur Moro de son intervention et le raccompagne à la porte de la salle du Conseil.

M. le Maire dit que l'on va passer à l'ordre du jour.

Il fait part de la question relative à l'approbation des budgets supplémentaires de l'exercice.

Il rappelle que ces budgets ont été discutés en Commission des Finances du 26 novembre dernier après la présentation de Monsieur le Trésorier municipal.

Il signale que comme il l'a déjà dit qu'il n'y a pas eu de problème en ce qui concerne la préparation des budgets supplémentaires qui se sont établis sans difficulté puisque l'essentiel avait été prévu aux budgets primitifs de l'exercice.

Il précise qu'il n'y a rien à ajouter aux budgets primitifs de la Régie des transports scolaires, de l'Usine relais et du Ccas.

M. BREGERE rejoint la séance.

Il présente les propositions d'inscription pour le budget supplémentaire de la Commune.

Il indique que le budget supplémentaire de la Commune s'équilibre en section de fonctionnement à 49 959,00 F et à 123 057,00 F en section d'investissement.

Il demande s'il y a des questions.

Il présente ses propositions relatives au budget supplémentaire des services Eaux et assainissement.

Il indique que le budget Supplémentaire des services Eaux et assainissement s'équilibre en section d'exploitation à 59 027,00 F et à 75 864,00 F en section d'investissement.

Il demande s'il y a des questions.

Il indique que comme prévu au budget il convient d'aborder les

admissions en non valeurs.

Il fait part des états des taxes et produits irrécouvrables présentés par Monsieur le Trésorier Municipal et dont il a été question lors de la dernière réunion de la Commission des Finances.

Il indique qu'essentiellement en ce qui concerne le Service Eaux et assainissement pour les années 1994, 1995 et 1997 l'on trouve essentiellement les Forges de Belles Ondes en 1995 pour 55 657,00 F., la créance étant irrécouvrable comme suite au redressement judiciaire du 3 janvier 1996 et au plan de cession du 26 décembre 1996 et selon l'attestation de Maître Valliot.

Il précise le montant des sommes à admettre en non valeur pour le soit,

- pour le budget du Service Eaux et assainissement : 57 546,94 F au titre des exercice 1994, 1995 et 1997,

- pour le Budget de la Commune : 9 209,20 F, dont 741,06 F au titre de l'Eau et de l'Assainissement, exercice 1993 ; 3 486,14 F au titre du service des Ordures ménagères, exercices 1993 à 1997 ; 4 800,00 F au titre des loyers irrécouvrable du logement de la mairie-annexe de Lannes, exercice 1995 ; et 182,00 F au titre de la participation Transports scolaires, exercice 1997.

Il invite les Membres présents à délibérer sur ses propositions relatives aux budgets supplémentaires pour l'exercice 1998 et sur les admissions en non valeur.

N°1 Budgets supplémentaires. Exercice 1998 et admissions en non valeur. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'indemnité de fonction de maire dont il a déjà fait part à la dernière Commission des Finances.

Il précise qu'il s'agit d'approuver la modification de la délibération du conseil municipal n°95-72 du 15 décembre 1995 relative à l'application des indemnités des maires et adjoints en ce qui concerne son indemnité de maire.

Il propose que cette indemnité soit portée à 100 %.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°2 Modification de la délibération du Conseil municipal n°95-72 du 15 décembre 1995 relative à l'application des indemnités des maires et adjoints. Indemnités du maire Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire informe qu'il convient, toujours dans le cadre budgétaire d'évoquer la sortie de l'actif des bus de la Régie des transports scolaires vendus ou réformés.

Il propose à la demande de Monsieur le Trésorier municipal de mettre en conformité l'état de l'actif de la Régie de transports scolaire avec la valeur d'achat des bus existants et d'autoriser Monsieur le Trésorier municipal à constater l'opération d'ordre, non budgétaire, suivante :

- débit au compte 10688 : 119 045,86 F - débit 10232 au compte : 146 663,00 F (reprise des subventions encaissées pour l'achat des bus sortis de l'actif) - crédit au compte 2182 : 265 708,86 F (valeur des bus sortis de l'actif)

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°3 Approbation de la sortie de l'actif des bus vendus ou réformés de la R.T.S. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le maire signale toujours dans le même ordre d'idée, la nécessité de délibérer conformément à la circulaire ministérielle n° NOR/INT/B/97/ 00186/C du 7 novembre 1997 qui prévoit les modalités de recensement des immobilisations ainsi que la tenue de l'inventaire et de l'état de l'actif.

Il précise que Monsieur le Trésorier municipal a fait remarquer dans un courrier du 1er octobre dernier que le recensement des biens renouvelables autres que le matériel de transport : mobilier, matériel et outillage, apparaît comme une tâche extrêmement lourde dont l'opportunité est contestable s'agissant de biens qui, par nature, se déprécient rapidement et irrémédiablement en précisant que les communes sont autorisées à utiliser la procédure de simplification décrite dans la circulaire n°6955 du 31 décembre 1996. Les biens renouvelables autres que le matériel de transport acquis avant le 1er janvier 1996 pouvant être sortis de l'état de l'actif de façon progressive, de la manière suivante :

- biens acquis avant le 01.01.1993 : sortis de l'actif au 31.12.1998, - biens acquis en 1993 : sortis de l'actif au 31.12.1999, - biens acquis en 1994 : sortis de l'actif au 31.12.2000, - biens acquis en 1995 : sortis de l'actif au 31.12.2001.

Il ajoute que si le Conseil accepte cette procédure les sorties annuelles de ces biens constituent des opérations d'ordre non budgétaires, ainsi, Monsieur le Trésorier municipal propose un modèle de délibération pour justifier ces opérations, précisant que cette procédure de nettoyage de l'inventaire et de l'état de l'actif ne fait aucun obstacle au maintien de certains biens renouvelables à l'actif du bilan de la Commune si la commune le souhaite.

Il informe que les biens acquis à compter du 1er janvier 1996 sont traités conformément aux dispositions de l'instruction M14. Un numéro d'inventaire leur sera attribué pour permettre leur suivi jusqu'à leur sortie du patrimoine.

Il communique aux Membres présents la liste des biens renouvelables qui pourraient être sortis de l'état de l'actif selon la procédure de simplification.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°4 Etat de l'actif et inventaire communal. Recensement des immobilisations acquises avant le 1er janvier 1996. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire fait part de la question relative au transfert au Syndicat intercommunal d'électrification de la région langroise de la maîtrise des travaux de maintenance de l'éclairage public et au remboursement de la quote-part due.

Il informe de la correspondance reçue en Mairie à ce propos le 5 octobre dernier.

Il invite Mademoiselle Torraille à en faire part aux Membres présents.

MLLE TORRAILLE fait lecture de la lettre de Monsieur Marcel Pernot, président du Syndicat d'électrification de la région langroise en date du 1er octobre 1998 et reçue en Mairie le 5 octobre dernier.

M. le Maire invite les Membres présents à approuver les propositions du

Syndicat : l'adhésion au nouveau service, ainsi que le transfert de la maîtrise d'ouvrage des travaux de maintenance des équipements d'éclairage public, d'éclairage des terrains de sports et illuminations, de s'engager dès lors à rembourser au Syndicat la quote-part des dépenses engagées non couvertes par les différentes aides.

N°5 Approbation du transfert au Syndicat d'électrification de la région langroise de la maîtrise des travaux de maintenance de l'éclairage public et du remboursement de la quote-part due. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative au remboursement des frais médicaux engagés par les postulants à l'emploi de sapeur-pompier bénévole dans le cadre des visites médicales de recrutement.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°6 Approbation du remboursement des frais engagés par les postulants dans le cadre du contrôle médical de recrutement des sapeurs pompiers. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire fait part de la question relative à la détermination de certaines dépenses en tant que dépenses d'investissement.

Il précise qu'il s'agit pour le Conseil de préciser à la demande de Monsieur le Trésorier municipal que les dépenses relatives à l'achat de casques pour les sapeurs-pompiers et d'une vasque sont bien des dépenses d'investissement.

Il indique le coût des casques, soit : 7 362,63 F ; de la vasque soit moins de 1 000,00 F.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°7 Déterminations de dépenses d'investissement. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'acquisition de chemin à Lannes.

Il invite Madame Brochot a donner les précisions nécessaires, puisqu'elle détient l'ensemble du dossier sur la question et donc tout les éléments pour ce faire.

MME BROCHOT rappelle la réunion de l'Association Foncière de Lannes qui a eu lieu le 26 février 1998 et à laquelle Monsieur le Maire a été convié.

Elle précise que l'objet de la réunion était de régulariser l'affaire des chemins.

Elle donne la liste des terrains que l'Association Foncière de Lannes se propose de céder à la Commune.

- chemin dit du "Jeu de quilles", cadastré section 270 ZL n°35, d'une contenance de 8 ares 80 centiares,

- chemin dit "des Lots", cadastré section 270 ZC n°20 d'une contenance de 45 ares 80 centiares,

- chemin dit "la Côte Robert", cadastré section 270 ZA n°20, d'une contenance de 45 ares 20 centiares,

- chemin dit "des Saussys", cadastré section 270 ZH n°7, d'une contenance de 24 ares 60 centiares,

- chemin dit de "Changey", cadastré section 270 ZE n°13, d'une contenance de 28 ares 70 centiares,

- chemin dit de "Comme au Loup", cadastré section 270 ZE n°17, d'une contenance de 23 ares 40 centiares,

- chemin dit de "la voie de pré juin", cadastré section 270 ZB n°10, d'une contenance de 30 ares 60 centiares,

- chemin du captage de la ferme de "Fresnoy", cadastré section 270 ZI n°2, d'une contenance de 9 ares 00 centiares,

- chemin des "Maiches", cadastré section 270 ZH n°14, d'une contenance de 6 ares 80 centiares,

- parcelle lieu-dit "le Rû", cadastrée section 270 ZB n°46, d'une contenance de 1 are 00 centiares,

- une parcelle lieu-dit "des Tertres", cadastrée section 270 ZL n°81, d'une contenance de 19 ares 92 centiares,

- une parcelle lieu-dit "Vauremard", cadastrée section 270 ZC n°81, d'une contenance de 17 ares 66 centiares.

M. le Maire fait remarquer que l'on ne s'était pas accordé sur tous ces chemins, mais seulement sur certains.

M. DELIN précise qu'en principe l'on reprend les chemins d'utilité publique et on laisse ceux qui sont d'une simple utilité privée.

M. WEHRUNG répond que c'est effectivement le principe, mais sachant que l'Association Foncière a des ressources limitées et qu'elle ne pourrait pas prendre en charge des travaux qui seraient trop importants, ce poserait alors la question de la suppression des chemins.

M. BOUVIER informe que Monsieur le Sous-Préfet lors d'une visite à Neuilly-l'Evêque, s'est étonné d'apprendre que les Associations Foncières existaient toujours.

M. le Maire demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent.

M. WEHRUNG souligne que la décision à prendre ce soir a été déjà prise en 1987, mais par contre l'acte qui devait en découler n'a pas été fait.

M. le Maire demande qui est pour ou contre le fait de reprendre la totalité de ces chemins ou une partie seulement.

MLLE DIOT demande ce que préfère Lannes.

M. le Maire répond : quelle question ! Tout évidemment.

MLLE DIOT dit : c'est sûr, la reprise de ceux qui ne servent qu'à aller dans les bois ou les champs, à peu de particuliers, ne paraît pas utile, par contre je suis d'accord pour la reprise de que ceux qui servent à tout le monde.

M. le Maire donne sa position.

Il précise qu'il n'est pas d'accord en ce qui concerne la reprise des deux bouts qui vont aux ponts et du bout allant à l'autoroute.

Il demande de passer aux voix afin de savoir qui est pour une reprise partielle ou une reprise totale.

- 5 voix POUR une reprise partielle,

- 9 voix POUR une reprise totale, - 2 ABSTENTIONS.

Il dit que l'acquisition se fera donc sous forme d'acte administratif pour le franc symbolique.

Il invite les Membres présents à délibérer et à l'habiliter à préparer l'acte administratif à intervenir et plus généralement faire le nécessaire ; à habiliter Monsieur Martial Delin, Adjoint, à comparaître et à signer l'acte à intervenir, ainsi que toutes les pièces nécessaires s'y rapportant.

N°8 Approbation de l'acquisition de chemins appartenant à l'Association Foncière de Lannes. Adopté par 9 voix POUR une reprise totale, CONTRE 5 voix pour une reprise partielle et 2 ABSTENTIONS.

INTERVENTIONS

M. le Maire signale qu'il y avait aussi un autre chemin appartenant à un particulier.

MME BROCHOT répond que c'est exact.

M. WEHRUNG précise qu'il s'agit d'un bout de chemin communal appartenant à Monsieur Gilbert Bougrel demeurant à Lannes et à Monsieur Thierry Bougrel demeurant à Bannes, qui a été inclus par erreur, une erreur de dessin, dans une propriété privée lors du remembrement.

Il souligne que régulièrement le chemin communal aboutit à une propriété privée, une voie sans issue.

Il indique qu'il s'agit d'un terrain d'un are 90 centiares qui serait cédé pour le franc symbolique.

MME BROCHOT informe que le plus difficile sera d'obtenir la signature de l'ensemble des Membres de l'indivision propriétaire.

Elle ajoute que cette parcelle sise sur le territoire de Lannes est cadastrée section 270 ZB n°107, lieudit "Champ Caillet".

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer et à l'habiliter à préparer l'acte administratif à intervenir et plus généralement faire le nécessaire ; à habiliter Monsieur Martial Delin, Adjoint, à comparaître et à signer l'acte à intervenir, ainsi que toutes les pièces nécessaires s'y rapportant.

N°9 Achat d'un chemin à Lannes appartenant à MM. Gilbert et Thierry Bougrel. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire fait part de la question relative à une demande d'aide régionale.

Il précise qu'il s'agit de demander une aide nécessaire au financement de la salle des sports.

Il rappelle que les choses ont traîné. On espérait 25 % de la Région par l'intermédiaire du GAL, or l'enveloppe s'est avérée trop étroite, déjà à l'origine, puis par rapport au nombre de projets présentés.

Il ajoute que même en réduisant ce nombre on ne pourrait plus espérer que 10 % d'aide.

Il signale qu'il convient dès lors de demander une aide sur le Fonds de Solidarité en précisant que la Commune de Rolampont en fusion-association est située en zone 5b de Revitalisation rurale.

Il rappelle le montant prévu des travaux programmés, soit : 2 165 542,00 F ht, c'est-à dire, 2 611 643,65 F ttc.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°10 Demande d'aide régionale. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'adhésion des communes de Courcelles-en-Montagne et de Noidant-le Rocheux au Syndicat intercommunal de transports scolaires de Rolampont.

Il demande à Monsieur Delin, Adjoint, Président du Sits de préciser.

M. DELIN fait l'économie du RPID dont il a été à l'initiative.

Il souligne qu'il convient dans le cadre réglementaire propre à tous les Syndicats intercommunaux d'approuver l'adhésion de nouveaux membres.

Il propose l'adhésion des communes de Courcelles-en-Montagne et de Noidant-le Rocheux au Syndicat intercommunal de transports scolaires de Rolampont dont il a reçu la demande.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer.

N°11 Approbation de l'adhésion des communes de Courcelles-en-Montagne et de Noidant-le Rocheux au Syndicat intercommunal de transports scolaires de Rolampont. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire évoque la question relative à l'adhésion de la commune de Charmes au Syndicat mixte d'aménagement des lacs de la région langroise.

Il fait part du courrier reçu en Mairie à ce propos en date du 12 novembre 1998.

Il souligne que la commune de Charmes-les-Langres a sollicité par délibération du 25 mars 1998 son rattachement au Syndicat mixte d'aménagement des lacs de la région langroise.

Il ajoute que le comité syndical, par délibération n°98-53 du 5 octobre 1998 a décidé d'accepter l'adhésion de cette commune.

Il précise qu'en tant que collectivité adhérente au Syndicat, il nous est demandé d'approuver conformément à l'article L 5212-26 du code général des collectivités territoriales cette adhésion.

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°12 Approbation de l'adhésion de la commune de Charmes au Syndicat mixte d'aménagement des lacs de la région langroise. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire indique que l'on va à présent passer aux questions diverses.

Il demande aux Membres présents s'ils sont d'accord afin de délibérer sur ces questions si besoin est.

LES MEMBRES PRESENTS s'accordent unanimement sur ce point.

M. le Maire informe du courrier de Monsieur Sylvain Choulet, Agent de l'Onf à Neuilly-l'Evêque qui souhaite vendre un alisier.

Il invite Mademoiselle Torraille à faire part de cette correspondance.

MLLE TORRAILLE en fait lecture.

"Monsieur le Maire, Ayant remarqué qu'un arbre de l'espèce alisier blanc avait subi une attaque de champignons (armillaire) au cours de l'été 1998, dans le massif de Charmoilles-Tronchoy, parcelle 102, il serait judicieux de procéder à son exploitation rapidement avant qu'il ne se déprécie trop. C'est pourquoi, je souhaiterais qu'il soit récolté durant l'hiver 1998-1999 et vendu au printemps. Cependant, j'aurais voulu savoir si la Commune de Charmoilles pourrait trouver un tracteur pour effectuer le débardage de cette tige jusqu'à la route forestière du bois de Conge, c'est-à-dire, sur une distance d'environ 150 mètres..."

M. le Maire ajoute qu'il pense qu'il n'y a pas de problème.

Il indique qu'un devis a aussi été communiqué par Monsieur Choulet concernant des travaux sous semenciers de chêne sur la parcelle 106 à Charmoilles pour un montant de 997,47 F ttc.

Il précise qu'il s'agit de travaux de crochetage.

Il rappelle, toujours pour information, et comme évoqué en Commission des finances la nécessité d'acquérir un nouveau tracteur, bien sûr d'occasion.

Il fait part des propositions de prix reçue de la Sarl Voillemin de et le Garage Trinquesse.

- un tracteur Renault 551 de 1973 : 32 000,00 F ht, - un tracteur Renault 681 S de 1983 : 46 000,00 F ht, - un tracteur Renault 651 de 1975 : 42 000,00 F ht.

Il ajoute qu'il avait été décidé que ceux qui s'y connaissaient iraient voir ce matériel.

Il demande aux Membres présents ce qu'ils pensent de cet achat.

LES MEMBRES présents s'accordent sur ce point.

M. le Maire informe qu'une délibération du Conseil est nécessaire à la facturation de la participation des communes extérieures aux frais de piscine, au Noël des écoles et au transport scolaire de midi.

Il rappelle que ces sujets ont déjà été présentés lors de précédentes réunions.

Il ajoute que le Conseil n'a pas formalisé sa décision en fixant les prix par délibération et qu'il convient à présent de régulariser à la demande de la Trésorerie municipale.

Il informe que par ailleurs, la Commune de refuse de payer sa participation aux frais de piscine et au Noël des enfants.

Il rappelle les tarifs :

- participation aux frais de piscine : 150,00 F par élève, - participation au Noël des enfants : 20,00 F par élève, - participation au transport de midi : prix au kms parcourus (base : coût du km défini par le Conseil général)

Il invite les Membres présents à délibérer.

N°13 Approbation des tarifs de participation aux frais de piscine, du Noël

des élèves et du transport scolaire de midi. Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire fait part du courrier de remerciement reçu des conseillers pédagogiques pour l'éducation musicale dans le cadre du festival Hot'Marne Jazz et du concert de découverte du Jazz, action initiée par l'Inspection académique et l'Addmc. Il rappelle qu'à cette occasion la Maison du Temps Libre avait mise à disposition des organisateurs le 12 octobre dernier.

Il invite Mademoiselle Torraille à faire lecture du courrier de remerciement reçu en Mairie le 5 novembre dernier.

M. le Maire informe des déclarations d'intention d'aliéner qui ont été reçue en Mairie et pour lesquelles il a déclaré au nom de la Commune ne pas exercer le droit de préemption urbain conformément à la délégation qui lui a été faite par le Conseil Municipal, délibération n°95-44 du 4 juillet 1995, en vertu de l'article L. 122-20 15 du Code des Communes.

Il ajoute que ces Décisions Municipales portent sur les propriétés dont la vente amiable est envisagée et appartenant à :

- M. Jean-Yves Decaux qui vend une maison, l'acheteur n'est pas mentionné dans la Dia, - M. & Mme Marcel Maillefert qui vendent un terrain lieu-dit "Le Grand-Terreau" - la Sa Maillefert qui vend une maison rue d'Alsace.

M. le Maire informe qu'il a reçu une copie d'une délibération du Conseil municipal de Langres.

Il demande à Mademoiselle Torraille d'en faire lecture.

"Cher Collègue, A titre de réflexion, je vous adresse un voeu du Conseil municipal de Langres adressé aux Pouvoirs Publics. Il concerne notre petite région mais par les temps qui d'accélération de propositions (plans et schémas) il serait opportun que nous concertions en particulier sur la notion de "pays" (sans pluriel puisque le mot se termine par un s !). Je recueillerai volontiers les remarques "sud Haute-Marne" dont les vôtres qui nous concernent... Guy Baillet.

" Sur la proposition de son Président, le conseil, à l'unanimité, émet les réflexions suivantes pour le contrat Etat-Région (au-delà des programmes "agglomération" ou "pays") :

1°) Infrastructures de liaisons européennes Bouclage de l'électrification Nord-Sud (Chaumont-). Prolongation de l'A5 vers Belfort (programme Konver). Centre Rail-Route/Fret Chalindrey. Valorisation économique du canal Marne-Saône.

2°) Développement économique Aides spécifiques à l'installation/à la reprise/à la transmission. Aides à l'implantation de tertiaire sur ZI et casernes abandonnées. Nouvelles technologies : BTS : structures matériaux (pour bois/osier- Plastics-Coutellerie)

3°) Retrouver et créer de la matière grise Accueil de jeunes (offre de logements) Lancement d'innovations : conservatoire cynégétique et nature / bourse aux idées / cybernétique, télé-travail, circuits métallurgie / et eaux ... Espaces de rencontres touristiques et de communication.

4°) Promotion culturelles

Festival Tinta'mars / rendez-vous d'été. Relation avec l'Université Paris II grâce à Diderot et l'Encyclopédie et mise en réseaux. Parc naturel régional. Développement du tourisme vert."

M. le Maire dit que l'on a ensuite le fameux immeuble à Charmoilles, proposé à la vente et dont on a parlé lors de la dernière séance du conseil municipal.

Il informe que l'immeuble a été vu par certains et qu'il convient peut- être à présent de répondre aux Domaines.

Il précise que le mur du voisin poserait problème en cas de démolition.

M. DOUCHE fait remarquer que ce n'est pas un cadeau.

M. le Maire propose de répondre que l'on n'est pas intéressé.

LES MEMBRES présents s'en accorde sans délibérer.

M. BOUVIER ajoute que c'est une question de politique, que certains achètent pour embellir, d'autres ne le souhaitent pas.

Il remarque que certes le mur du voisin pose problème, mais que l'on pourrait taluter en deux fois ce qui consoliderait aussi le mur de l'église.

Il propose que l'on ne réponde pas et de laisser les choses ainsi.

M. le Maire répond que cela ne le dérange pas si tout le monde s'en accorde.

MLLE TORRAILLE et M. PATRICK GALLISSOT demandent ce que cela change de ne pas répondre ?

M. le Maire souligne qu'il pensait qu'il convenait de répondre, ne serait-ce que par politesse, et dire que la commune n'est pas intéressée pour le moment.

LES MEMBRES présents s'en accordent.

M. le Maire fait part de la correspondance en date du 2 octobre 1998 reçue de LPC Express, de Monsieur De Sa le 15 octobre dernier et par laquelle l'intéressé demande une diminution de loyer de 50 %

Il rappelle que ce courrier a été évoqué lors de la dernière réunion de la Commission des finances où le principe du rejet de la demande a été arrêté.

Il demande si quelqu'un a changé d'avis.

MLLE DIOT fait remarquer qu'il n'en est pas question, d'autant plus qu'il y existe des impayés.

M. le Maire précise : quatre mois de retard.

MLLE DIOT ajoute : et en plus ils ont laissé geler la conduite d'eau.

M. le Maire souligne qu'il sera donc répondu à Monsieur De Sa par la négative.

Il évoque la réponse du Domaine comme suite à la demande d'évaluation faisant suite à la proposition d'achat de Monsieur Sahnoun portant sur le bâtiment occupé par l'entreprise Abanel.

Il fait lecture de l'avis de l'Inspection domaniale reçue en Mairie le 30 septembre dernier.

"Service consultant : Commune de Rolampont Date de la consultation : 18 août 1998 Opération soumise au contrôle (objet et but) : estimation d'un bâtiment industriel en vue de sa vente L'immeuble est cadastré : AE 282 "Derrière le Trot" pour 72 a et 50 c dont 31 a 93 ca de pré, 40 a 57 ca de sol. Il s'agit d'un bâtiment industriel construit en 1982, sis dans la zone industrielle, à l'ouest de l'agglomération. La construction est entièrement métallique : ossature charpente, couverture, bardage. La partie bureaux et sanitaires est isolée de l'atelier par des murs en agglos ; le cloisonnement intérieur et le doublage est en carreaux de plâtre. La superficie est de 1405 m2 dont bureaux 168 m2, sanitaires 112 m2 et 2 ateliers de 900 m2 et 225 m2. Le sol est bétonné. Equipement : eau, électricité, assainissement. Le chauffage est électrique : trame chauffante au sol, air pulsé dans l'atelier, convecteurs dans les bureaux, l'installation est partiellement hors service. L'isolation thermique est quasiment nulle, cependant les fenêtres des bureaux ont un double vitrage. L'état d'entretien est très moyen, les papiers, peintures, sols sont à refaire, les sanitaires sont à revoir, divers équipements ne fonctionnent plus ou mal (portes, chauffage...). Le terrain autour est stabilisé et goudronné côté Nord-Ouest en façade du bâtiment. La partie Sud- Ouest du terrain est en nature de pré. Zone UY du POS : zone industrielle existante. Pas de Cos. La situation géographique de l'immeuble est assez bonne, à proximité d'un échangeur autoroutier et d'une voie ferrée. L'immeuble est loué à la Sa Abanel, par un bail de 9 ans à compter du 01.11.1996. au vu des prix pratiqués sur les bâtiments industriels et compte tenu de l'état de l'immeuble, la valeur vénale de l'ensemble est estimée aux environs de 600 000 F. La Commune agira au mieux de ses intérêts. L'évaluation contenue dans le présent avis correspondant à la valeur vénale actuelle, une nouvelle consultation du domaine serait nécessaire si l'opération n'était pas réalisée dans le délai d'un an."

Il pense qu'un prix assez bas nous est donné afin de ne pas nous coincer. Il informe à titre de comparaison du prix d'un bâtiment neuf dans la zone de Saints-Geosmes, soit 1 945 000,00 F pour 850 m2.

M. PATRICK GALLISSOT demande combien serait revendu ce bâtiment neuf deux mois après ?

M. le Maire explique qu'il fait simplement une comparaison.

M. PATRICK GALLISSOT répond qu'il n'appelle pas cela une comparaison.

Il ajoute que Le Domaine fait une comparaison : combien il y a de m2 de bureaux, de sanitaires, etc. ; il prend en compte la valeur locative du bien.

Il informe que l'entreprise Abanel doit la location des mois de juillet, août et septembre, soit trois fois 7 500,00 F et la location d'octobre et novembre, soit deux fois 10 000,00 F.

M. PATRICK GALLISSOT explique qu'on le fait traîner, alors il fait traîner.

M. le Maire fait remarquer que Monsieur le Trésorier municipal en a assez de relancer l'intéressé.

Il rappelle le décompte effectué par maître Bruneteaud portant le coût, donc la valeur du bâtiment, à 1 330 000,00 F. Il souligne que l'on s'était accordé avec Monsieur Sahnoun afin que les loyers déjà payés viennent en déduction du prix d'achat du bâtiment dans l'hypothèse d'une cession au bénéfice de l'intéressé.

Il ajoute qu'il convient de fixer un prix de vente.

M. PATRICK GALLISSOT ajoute que c'est ce qu'attend l'intéressé pour se positionner.

Il précise que le calcul de reprise des impayés n'est pas logique et qu'il conviendrait peut-être d'avoir un autre raisonnement sur les entreprises plutôt qu'en termes d'impayés, sans se préoccuper de savoir le pourquoi de ses impayés.

Il dit qu'il ne convient pas de prendre une décision sur deux chiffres et qu'il serait souhaitable de présenter une négociation afin de ne pas revenir sans arrêt sur la question sans rien décider.

M. le Maire souligne que le prix de la construction de Saints-Geosmes ne comprend pas celui du terrain vendu 60 F le m2.

M. PATRICK GALLISSOT précise qu'ici il s'agit d'un terrain construit, ce qui à proprement parler n'a rien à voir avec du terrain constructible.

Il ajoute que sur ces bases il ne participera pas à un vote sur la question.

M. le Maire répond que l'on n'est pas obligé de délibérer ce soir et propose que la question soit discutée avec d'autres données.

M. PATRICK GALLISSOT fait remarquer que Monsieur Sahnoun à quand même payé environ 150 000,00 F à la commune depuis son arrivée à Rolampont.

MLLE DIOT demande à monsieur Patrick Gallissot ce qu'il en pense puisqu'il a négocié avec l'intéressé.

M. PATRICK GALLISSOT répond qu'il est mal placé pour donner un avis qui pourrait passer pour objectif.

MLLE DIOT demande pourquoi.

M. PATRICK GALLISSOT répond qu'il est le comptable de l'intéressé.

MLLE DIOT dit : évidemment dans ce cas.

M. le Maire propose qu'une visite des locaux soit programmée afin que chacun puisse se rendre compte de l'état du bâtiment. Il indique que le sol est lisse comme la table et souligne le bon état d'entretien extérieur du bâtiment.

Il dit autre chose, les devis des travaux de réfection du clocher de l'église de Rolampont. Il rappelle comme déjà évoqué en Commission des travaux un écart de 40 000,00 F entre le devis Gallissot et le devis Martin. Il précise le choix de l'entreprise Gallissot pour 206 452, 72 F ht, sachant qu'il convient d'attendre un petit 50 % de subvention.

Il signale que l'on avait aussi envisagé l'achat d'un terrain au bout du pays.

M. PATRICK GALLISSOT dit oui, dans la suite de l'ancien Garage Delienne.

M. le Maire demande au Conseil de l'habiliter à faire le nécessaire au prix déjà convenu de 20 000,00 F.

Il communique aux Membres présent le plan de situation de ce terrain cadastré section ZS n°53.

Il signale que le notaire chargé de l'affaire par le vendeur est maître Hayotte.

Il ajoute qu'un bois de 7 hectares serait aussi à vendre. La proposition était au départ de 60 000,00 F, maintenant le vendeur serait d'accord pour 65 000,00 F.

M. PATRICK GALLISSOT dit que la semaine prochaine il sera à 70 000,00 F.

Il demande quel intérêt majeur cet achat représente pour la Commune.

M. le Maire souligne qu'il y a le massif autour.

M. BOUVIER demande si ce bien a été estimé par le Domaine.

M. le Maire répond que le garde forestier est là pour cela et précise que l'on n'a pas besoin du Domaine étant donné le montant estimé de l'opération.

Il invite les Membres présents à délibérer et à l'autoriser à négocier en ce qui concerne l'achat bu bois dans la limite maximale de 65 000,00 F.

N°14 Approbation de l'achat de terrains Adopté à l'UNANIMITÉ.

INTERVENTIONS

M. le Maire informe d'une pétition des parents d'élèves de , Beauchemin et Faverolles adressée au maire de Rolampont et transmise par le maire de Beauchemin qui l'a trouvé dans sa boîte aux lettres.

Il précise que les pétitionnaires souhaitent un accompagnateur dans le bus.

Il signale qu'il s'est retourné vers le Conseil général, la réponse obtenue étant : rien n'est prévu à ce sujet, vous débrouillez.

Il ajoute que Monsieur Moro, dans le même sens, à fait remarquer lors d'une réunion de parents d'élèves où la même question s'était posée : Rolampont ne saurait payer pour tout, à vous de vous débrouiller.

Il indique que Monsieur Gillet, du Conseil général, lui a suggéré d'équiper les chauffeurs d'un téléphone portable pour calmer le jeu.

Il dit qu'il y a aussi une lettre de mécontentement reçue de Madame Eliane Paoli de Beauchemin, le 26 novembre 1998, à propos de la réception par les parents d'un règlement du ramassage scolaire, transmis à l'école mais ne venant pas de la Commune.

Il demande à Mademoiselle Torraille d'en faire lecture.

MLLE TORRAILLE fait part de cette correspondance :

" Monsieur le Maire, Suite au règlement, que l'école primaire m'a fait parvenir, concernant le ramassage scolaire, je tiens à vous signifier mon mécontentement. Plusieurs personnes ont signé une pétition demandant un accompagnateur pour le bus Mardor - Beauchemin - Faverolles, je ne sais si vous en avez pris connaissance, mais rien n'a été fait, sauf nous "pondre" un règlement idiot quant on sait que ce car transporte des élèves de 2 ans 1/2 à 11 ans ! comment pensez-vous imposer une telle discipline, en particulier, à des enfants de maternelle (de 2 ans 1/2 à 6 ans) ? Il me semble aberrant que plus de 20 jeunes enfants soient sous la surveillance d'une seule personne qui doit aussi conduire ! Qu'adviendrait-il de ces enfants en cas d'accident le long du trajet ? La conductrice, Madame Bouquin, serait bien embêtée pour aller chercher de l'aide, à plus forte raison si elle était elle-même blessée (avez-vous déjà compté le nombre de véhicules empruntant la route de Faverolles - Beauchemin à 8 h 15 le matin ?). Permettez-moi de vous dire, que dans ce cas, vous faites preuve d'irresponsabilité ! Si un accompagnateur est impossible financièrement pour les communes, ce

dont je doute, faites au moins, installer un téléphone portable dans le bus afin de permettre au conducteur de signaler tout problème lors du parcours. J'espère que vous tiendrez compte de mes remarques afin que nos enfants soient plus en sécurité lors de leur transport scolaire. Monsieur je n'ai aucune animosité à votre égard car ne vous connaissant pas. Je ne sais pas si vous êtes père de famille, mais dans l'affirmative, vous comprendrez sûrement mon inquiétude..."

MLLE DIOT signale que le règlement ne peut émaner de l'école, puisque le transport scolaire n'est pas de sa compétence.

M. DELIN répond que le règlement des transports scolaires est de la compétence du Conseil d'école.

M. le Maire fait part d'une lettre reçue de Monsieur le Sous-Préfet de Langres le 28 septembre dernier. Il invite Mademoiselle Torraille à en donner lecture

MLLE TORRAILLE souligne qu'il s'agit d'une correspondance en date du 23 septembre 1998.

"Monsieur,

Par arrêté préfectoral n°2029 du 2 juillet 1998, le corps des sapeurs- pompiers de Rolampont a été dissous et un nouveau corps a été créé.

L'amicale dont vous étiez président de droit se trouve donc dissoute selon l'article 19 de ses statuts qui prévoit "qu'en cas de dissolution du corps, la Société Amicale cessera de fonctionner et le reliquat sera versé aux oeuvres de la Commune".

En conséquence, il vous appartient de procéder aux formalités de dissolution en provoquant la réunion d'une Assemblée Générale Extraordinaire qui décidera, le cas échéant, du versement des actifs de l'Association au Centre Communal d'Action Sociale de la commune de Rolampont.

Aussi, je vous serais reconnaissant de bien vouloir m'envoyer le compte- rendu de cette Assemblée dès lors qu'elle se sera tenue.

Afin d'éviter tout litige ultérieur, je vous conseille par la suite d'effectuer, auprès de mes services les démarches administratives d'insertion de cette dissolution au "Journal Officiel"

Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'assurance de mes sentiments distingués.

Le Sous-Préfet, Rémy-Charles Marion, à M. Gabriel Dubois, 10 rue du Goutteau. 52260 Rolampont. Copie pour information à Monsieur le Maire de Rolampont."

M. le Maire souligne qu'il a dit qu'il ne s'en occuperait pas et qu'il ne s'agissait pas de notre problème.

Il fait part de l'assignation de la Commune en conciliation devant le Tribunal paritaire des baux ruraux à propos d'une résiliation de bail rural. Le demandeur étant les époux Rémy Perret.

Il explique que donner un congé dans les cinq dernières années d'activité cela s'avère très difficile, voire impossible.

Il informe du procès-verbal de conciliation par lequel il est demandé à la Commune d'accepter d'envisager le principe de l'indemnité et de fixer au plus juste la superficie dont elle aura besoin. Le problème du congé sera revu à une prochaine audience. Le renvoi est prévu le 26 février 1999.

Il informe d'une lettre de Monsieur Guy Collier, Président du CAR relative aux dégradations sur les installations sportives

Il en fait lecture.

"Monsieur le Maire, Depuis quelques temps, des dégradations sur les installations sportives du CAR ainsi que sur tout le complexe sportif communal sont constatées. J'ai déjà averti verbalement la gendarmerie de ces faits en date du 24.10.98. Je me permets donc de vous informer afin que vous puissiez prendre des dispositions permettant d'arrêter cette casse gratuite..."

Il souligne que l'on s'inquiète des dégradations sur les installations sportives mais qu'on ne parle pas dans ce courrier, reçu en Mairie le 31 octobre dernier, des dégradations à l'intérieur des vestiaires dont il a entendu parler, une porte serait notamment cassée.

Il informe que Madame Marchal va bientôt cesser son activité, plusieurs personnes seraient intéressées pour reprendre les 4 à 5 heures de ménagères qu'elle assurait depuis environ 15 ans quand même. Il indique qu'il faudra prévoir son remplacement.

M. PATRICK GALLISSOT dit que cela dépendra de la convention. Il demande si elle a été retournée en Mairie signée.

M. le Maire répond par la négative.

Il fait part d'une lettre des jeunes qui renouvellent leur demande de piste de roller.

MLLE TORRAILLE fait lecture de cette correspondance du 21 novembre 1998, reçue en Mairie le 23 novembre dernier.

"Monsieur le Maire, et tous les conseillers, Je suis sûr que vous avez déjà entendu cette idée : Derrière la Maison du Temps Libre, il y a un terrain (je pense qu'il n'appartient à personne). Pourquoi ne pas faire une piste de ROLLER ? Je sais bien qu'à Langres, ils ont un plus gros budget (dans la commune) mais ils ont quand-même fais deux ou trois pistes de roller. C'est pareil, vous regardez Hûmes et , vous verrez qu'il y a des décorations de Noël au moins dans la rue principale alors qu'à Rolampont, il y a juste deux trois guirlandes électriques et une étoile. Pourtant Hûmes et Foulain ont un plus petit budget qu'à Rolampont. Enfin bref, revenons à la piste de roller. Il me semble que mes parents m'ont dit qu'il y avait eu une demande de piste de roller et on ne l'a jamais vue. A quoi sert la boîte à idée. Les jeunes."

M. le Maire fait part de l'arrêté préfectoral pris en application de la loi du 31 décembre 1992 relative à la lutte contre le bruit et reçu en Mairie le 28 novembre dernier.

Il communique cet acte, ainsi que la carte s'y trouvant annexée relatifs au classement des infrastructures de transport terrestre de la Haute-Marne au titre de la loi bruit.

M. WEHRUNG précise qu'il s'agit d'un simple rappel de la réglementation déjà en vigueur.

M. le Maire informe de la part de Madame Chénier des manifestations qui seront organisées à Rolampont dans le cadre du Téléthon.

Vendredi 4 décembre à 21 h., Maison du Temps Libre : soirée dansante et karaoké non stop. Entrée gratuite, tombola, buvette, pâtisseries.

Samedi 5 décembre à partir de 13 h., salle des fêtes : jeux de cartes et de société, enveloppes gagnantes enfants et adultes. Défilé dans les rues à 15 h. Crêpes, gaufres, tartes, boissons chaudes. Loto à partir de 17 h. Tous les dons et bénéfices sont pour le téléthon. N° d'accréditation pour la manifestation de Rolampont : 98 052 005). M. Legay coordinateur

départemental. Téléphone 03 25 03 50 04.

Il ajoute que tout ceci part d'un bon sentiment.

Il communique aux Membres présents les photographies déposées récemment en Mairie par Monsieur Hotier et évoque le problème de stagnation d'eau pluviale dans sa rue à Lannes en rapport avec la requête de Monsieur Gauthier.

Il signale pour information que le SIAHMA a repris les travaux de réfection des berges du Val de Gris. Il précise qu'ils ont commencé par l'autoroute et qu'ils sont arrivés devant chez Monsieur Sautier.

Il dit que tout à l'heure, dans le procès-verbal de la précédente séance, l'on parlait de la Cantine. Il informe que cela marche bien.

Il indique en ce qui concerne le projet Aménagement des villages, que deux entreprises ont été retenues, les seules entrant dans le cadre du prix, une de Dijon, l'autre de Paris.

Il informe dans le cadre de la modification du Pos, de la lettre qui a été adressée au Président du Tribunal administratif afin qu'il désigne un commissaire enquêteur. Il précise que l'enquête est prévue fin d'année, début de l'année prochaine.

Il informe que le téléphone a été installé en aérien à Tronchoy, la proposition d'enfouissement n'a donc pas eu de suite.

M. DOUCHE précise que l'électricité n'a toujours pas été installée.

M. BREGERE explique que c'est normal, tant que l'installation électrique n'est pas finie. Il dit que l'installateur doit demander le Consuel.

M. le Maire signale qu'il reste encore un problème avec les employés de voirie.

Il informe qu'ils commencent leur travail le matin à 7 h 00, que samedi dernier il a demandé s'ils voulaient bien saler à quoi il lui a été répondu, non.

Il insiste en faisant remarquer que s'ils vont se plaindre auprès de certains conseillers qui leur donnent raison, il ne sait plus quoi faire.

Il ajoute qu'ils font ce qu'ils veulent.

Il demande si cela peut durer encore longtemps.

M. DELIN s'inquiète de savoir si Monsieur le Maire s'en est préoccupé avec le Centre départemental de gestion.

M. le Maire répond qu'il l'a fait et qu'il a reçu des réponses contradictoires et qu'ils laissent traîner.

MME ROBIN demande qui leur donne des directives.

M. le Maire répond qu'avant il s'agissait de Monsieur Pelletier, mais qu'à présent il ne s'en occupe plus.

Il souligne qu'il ne demande pas non plus que l'on soit sans arrêt sur leur dos.

Il signale à propos des vaccins qu'à ce jour un seul s'est fait vacciner et que les autres font comme ils veulent.

Il informe qu'il a aussi un devis de la Colas pour la réfection de la cour de l'école, soit : 29 612,00 F ht pour 440 m2.

Il précise que de toute façon ce n'est pas pour cette saison.

Il communique aux Membres présents un plan sur lequel figure un projet de la Saprr, de création de parking poids-lourds.

Il signale qu'une trentaine d'ares leur serait nécessaire.

Il ajoute que pour sa part il en a fini avec l'ordre du jour.

M. WEHRUNG indique qu'il a une petite question à propos du nettoyage des châteaux d'eau qui a été plusieurs fois évoquée.

M. BOUVIER dit qu'il a trouvé un moyen de les faire venir, une grosse fuite de 12 m3 par heure.

M. le Maire précise, sans plaisanter, que l'on a à Rolampont le même problème et qu'il semble qu'il y ait d'importantes restructurations dans l'air à la Ceo.

Il signale par ailleurs, que les travaux du giratoire devraient commencer début janvier, vers le 15 janvier.

M. WEHRUNG demande si l'on connait les résultats de l'enquête passée sur la distribution du gaz.

M. le Maire répond que l'on n'en sait pas plus. Il dit que grosso modo une centaine de familles avaient répondu favorablement, l'étude semble longue.

M. DELIN explique qu'il souhaite soulever le problème des Carvej dont a parlé Monsieur Moro. Il signale que le reversement des subventions n'ont pas encore eu lieu. Il demande si une délibération ne serait pas nécessaire.

M. le Maire répond qu'une délibération est effectivement nécessaire et invite les Membres présents à délibérer.

N°15 Approbation du reversement des subventions Carvej. Adopté à l'UNANIMITÉ

INTERVENTIONS

M. BOUVIER demande quand seront posées les fenêtres de la Mairie de Charmoilles et quand seront effectués les travaux intérieurs.

M. le Maire ajoute que quelques petits travaux sont aussi à effectuer au secrétariat de la Mairie-Annexe de Lannes.

L'ORDRE DU JOUR ÉTANT ÉPUISÉ M. LE MAIRE LÈVE LA SÉANCE LE 2 DECEMBRE 1998 À ZÉRO HEURES & VINGT MINUTES.

COMMUNE DE ROLAMPONT DÉLIBÉRATIONS SEANCE DU 1er DECEMBRE 1998

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N°98-53 Budgets supplémentaires. Exercice 1998 et admissions en non valeur.

M. le Maire fait part de la question relative à l'approbation des budgets supplémentaires de l'exercice. Il rappelle que ces budgets ont été discutés en Commission des Finances du 26 novembre dernier après la présentation de Monsieur le Trésorier municipal. Il signale que comme il l'a déjà dit qu'il n'y a pas eu de problème en ce qui concerne la préparation des budgets supplémentaires qui se sont établis sans difficulté puisque l'essentiel avait été prévu aux budgets primitifs de l'exercice. Il précise qu'il n'y a rien à ajouter aux budgets primitifs de la Régie des transports scolaires et de l'Usine relais. Il présente les propositions d'inscription pour le budget supplémentaire de la Commune. Il indique que le budget supplémentaire de la Commune s'équilibre en section de fonctionnement à 49 959,00 F et à 123 057,00 F en section d'investissement. Il demande s'il y a des questions. Il présente ses propositions relatives au budget supplémentaire des services Eaux et assainissement. Il indique que le budget Supplémentaire des services Eaux et assainissement s'équilibre en section d'exploitation à 59 027,00 F et à 75 864,00 F en section d'investissement. Il demande s'il y a des questions.

Il indique que comme prévu au budget il convient d'aborder les admissions en non valeurs. Il fait part des états des taxes et produits irrécouvrables présentés par Monsieur le Trésorier Municipal et dont il a été question lors de la dernière réunion de la Commission des Finances. Il indique qu'essentiellement en ce qui concerne le Service Eaux et assainissement pour les années 1994, 1995 et 1997 l'on trouve essentiellement les Forges de Belles Ondes en 1995 pour 55 657,00 F., la créance étant irrécouvrable comme suite au redressement judiciaire du 3 janvier 1996 et au plan de cession du 26 décembre 1996 et selon l'attestation de Maître Valliot. Il précise le montant des sommes à admettre en non valeur pour le soit, pour le budget du Service Eaux et assainissement : 57 546,94 F au titre des exercice 1994, 1995 et 1997 ; pour le Budget de la Commune : 9 209,20 F, dont 741,06 F au titre de l'Eau et de l'Assainissement, exercice 1993 ; 3 486,14 F au titre du service des Ordures ménagères, exercices 1993 à 1997 ; 4 800,00 F au titre des loyers irrécouvrable du logement de la mairie-annexe de Lannes, exercice 1995 ; et 182,00 F au titre de la participation Transports scolaires, exercice 1997.

Il invite les Membres présents à délibérer sur ses propositions relatives aux budgets supplémentaires pour l'exercice 1998 et sur les admissions en non valeur.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU l'état des créances irrécouvrables présenté par Monsieur le Trésorier Municipal,

APRES en avoir délibéré,

ADOPTE le Budget Supplémentaire de la Commune pour l'Exercice 1998.

DIT qu'il s'équilibre en section de fonctionnement à 49 959,00 F et à

123 057,00 F en section d'investissement.

ADOPTE le Budget Supplémentaire des Services Eaux et Assainissement l'Exercice 1998.

DIT qu'il s'équilibre en section d'exploitation à à 59 027,00 F et à 75 864,00 F en section d'investissement.

DECIDE l'admission en non valeurs des créances dont les montants suivent :

- Budget du Service Eaux et assainissement : 57 546,94 F au titre des exercice 1994, 1995 et 1997,

- Budget de la Commune : 9 209,20 F, dont 741,06 F au titre de l'Eau et de l'Assainissement, exercice 1993 ; 3 486,14 F au titre du service des Ordures ménagères, exercices 1993 à 1997 ; 4 800,00 F au titre des loyers irrécouvrable du logement de la mairie-annexe de Lannes, exercice 1995 ; et 182,00 F au titre de la participation Transports scolaires, exercice 1997.

DIT que les crédits nécessaires sont inscrits aux Budgets de la Commune et des Services Eaux et Assainissement au compte 654.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-54 Modification de la délibération du Conseil municipal n°95-72 du 15 décembre 1995 relative à l'application des indemnités des maires et adjoints. Indemnités du maire

M. le Maire évoque la question relative à l'indemnité de fonction de maire dont il a déjà fait part à la dernière Commission des Finances. Il précise qu'il s'agit d'approuver la modification de la délibération du conseil municipal n°95-72 du 15 décembre 1995 relative à l'application des indemnités des maires et adjoints en ce qui concerne son indemnité de maire. Il propose que cette indemnité soit portée à 100 %.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la loi n°92-108 du 3 février 1992,

VU les articles L. 2123-20 et suivants du Code général des collectivités territoriales,

VU la délibération du Conseil municipal n°95-72 du 15 décembre 1995,

CONSIDERANT que le montant total des indemnités maximales susceptibles d'être allouées aux élus municipaux est actuellement de 314 653,00 F pour l'année, soit 26 221,08 F par mois sur la base de la valeur du point d'indice majoré au 1er novembre 1998,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE que le dispositif de la délibération n°95-72 du 15 décembre 1995 relatif aux modalités de calcul et au montant des indemnités des maires et adjoints est ainsi modifié à compter du 1er novembre 1998 :

- Pour le Maire : 31 % de l'Indice Majoré 818 (IB 1015) x 100 %

INDIQUE le montant de l'indemnité du maire au 1er novembre 1998, soit 6 971,33 F par mois (soit 83 656,00 F pour l'année).

DIT le reste sans changement.

PRECISE que les crédits nécessaires sont inscrits au Budget de la Commune.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-55 Approbation de la sortie de l'actif des bus vendus ou réformés de la R.T.S.

M. le Maire informe qu'il convient, toujours dans le cadre budgétaire d'évoquer la sortie de l'actif des bus de la Régie des transports scolaires vendus ou réformés. Il propose à la demande de Monsieur le Trésorier municipal de mettre en conformité l'état de l'actif de la Régie de transports scolaire avec la valeur d'achat des bus existants et d'autoriser Monsieur le Trésorier municipal à constater l'opération d'ordre, non budgétaire, suivante :

- débit au compte 10688 : 119 045,86 F - débit 10232 au compte : 146 663,00 F (reprise des subventions encaissées pour l'achat des bus sortis de l'actif) - crédit au compte 2182 : 265 708,86 F (valeur des bus sortis de l'actif)

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la demande de Monsieur le Trésorier municipal,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE de mettre en conformité l'état de l'actif de la Régie de transports scolaire avec la valeur d'achat des bus existants.

AUTORISE Monsieur le Trésorier municipal à constater l'opération d'ordre, non budgétaire, suivante :

- débit au compte 10688 : 119 045,86 F - débit 10232 au compte : 146 663,00 F - crédit au compte 2182 : 265 708,86 F

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-56 Etat de l'actif et inventaire communal. Recensement des immobilisations acquises avant le 1er janvier 1996.

M. le maire signale toujours dans le même ordre d'idée, la nécessité de délibérer conformément à la circulaire ministérielle n° NOR/INT/B/97/ 00186/C du 7 novembre 1997 qui prévoit les modalités de recensement des immobilisations ainsi que la tenue de l'inventaire et de l'état de l'actif. Il précise que Monsieur le Trésorier municipal a fait remarquer dans un courrier du 1er octobre dernier que le recensement des biens renouvelables autres que le matériel de transport : mobilier, matériel et outillage, apparaît comme une tâche extrêmement lourde dont l'opportunité est contestable s'agissant de biens qui, par nature, se déprécient rapidement et irrémédiablement en précisant que les communes sont autorisées à utiliser la procédure de simplification décrite dans la circulaire n°6955 du 31 décembre 1996. Les biens renouvelables autres que le matériel de transport acquis avant le 1er janvier 1996 pouvant être sortis de l'état de l'actif de façon progressive, de la manière suivante : biens acquis avant le 01.01.1993 : sortis de l'actif au 31.12.1998 ; biens acquis en 1993 : sortis de l'actif au 31.12.1999 ; biens acquis en 1994 : sortis de l'actif au 31.12.2000 ; biens acquis en 1995 : sortis de l'actif au 31.12.2001.

Il ajoute que si le Conseil accepte cette procédure les sorties annuelles de ces biens constituent des opérations d'ordre non budgétaires, ainsi, Monsieur le Trésorier municipal propose un modèle de délibération pour justifier ces opérations, précisant que cette procédure de nettoyage de l'inventaire et de l'état de l'actif ne fait aucun obstacle au maintien de certains biens renouvelables à l'actif du bilan de la Commune si la commune le souhaite.

Il informe que les biens acquis à compter du 1er janvier 1996 sont traités conformément aux dispositions de l'instruction M14. Un numéro d'inventaire leur sera attribué pour permettre leur suivi jusqu'à leur sortie du patrimoine. Il communique aux Membres présents la liste des biens renouvelables qui pourraient être sortis de l'état de l'actif selon la procédure de simplification. Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI le rapport de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la liste des biens renouvelables qui pourraient être sortis de l'état de l'actif selon la procédure de simplification,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE d'appliquer, pour le recensement des biens renouvelables autres que le matériel de transport, mobilier, matériel et outillage, acquis avant le 1er janvier 1996 la procédure de simplification décrite dans la circulaire interministérielle n°CD-6955 du 31 décembre 1996.

PRECISE que les biens renouvelables autres que le matériel de transport, acquis avant le 1er janvier 1996, seront sortis de l'état de l'actif de façon progressive, de la manière suivante :

Biens acquis avant le 01.01.1993 : sortis de l'actif au 31.12.1998, pour 368 710,14 F, Biens acquis en 1993 : sortis de l'actif au 31.12.1999, pour 87 936,52 F, Biens acquis en 1994 : sortis de l'actif au 31.12.2000, pour 287 990,24 F, Biens acquis en 1995 : sortis de l'actif au 31.12.2001, pour 299 054,99 F.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-57 Approbation du transfert au Syndicat d'électrification de la région langroise de la maîtrise des travaux de maintenance de l'éclairage public et du remboursement de la quote-part due.

M. le Maire fait part de la question relative au transfert au Syndicat intercommunal d'électrification de la région langroise de la maîtrise des travaux de maintenance de l'éclairage public et au remboursement de la quote-part due. Il informe de la correspondance reçue en Mairie à ce propos le 5 octobre dernier. Il invite Mademoiselle Torraille à en faire part aux Membres présents.

MLLE TORRAILLE fait lecture de la lettre de Monsieur Marcel Pernot, président du Syndicat d'électrification de la région langroise en date du 1er octobre 1998 et reçue en Mairie le 5 octobre dernier.

M. le Maire invite les Membres présents à approuver les propositions du Syndicat : l'adhésion au nouveau service, ainsi que le transfert de la maîtrise d'ouvrage des travaux de maintenance des équipements d'éclairage public, d'éclairage des terrains de sports et illuminations, de s'engager dès lors à rembourser au Syndicat la quote-part des dépenses engagées non couvertes par les différentes aides.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la correspondance de Monsieur Marcel Pernot, président du Syndicat d'électrification de la région langroise en date du 1er octobre 1998,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE les propositions du Syndicat d'électrification de la région langroise.

ADHERE au nouveau service.

TRANSFERE la maîtrise d'ouvrage des travaux de maintenance des équipements d'éclairage public, d'éclairage des terrains de sports et illuminations.

S'ENGAGE à rembourser au Syndicat la quote-part des dépenses engagées non couvertes par les différentes aides.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-58 Approbation du remboursement des frais engagés par les postulants dans le cadre du contrôle médical de recrutement des sapeurs pompiers.

M. le Maire évoque la question relative au remboursement des frais médicaux engagés par les postulants à l'emploi de sapeur-pompier bénévole dans le cadre des visites médicales de recrutement.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE le remboursement des frais médicaux engagés par les postulants à l'emploi de sapeur-pompier bénévole dans le cadre des visites médicales de recrutement.

DIT que ce remboursement se fera sur présentation des états d'honoraires par les intéressés.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-59 Déterminations de dépenses d'investissement.

M. le Maire fait part de la question relative à la détermination de certaines dépenses en tant que dépenses d'investissement. Il précise qu'il s'agit pour le Conseil de préciser à la demande de Monsieur le Trésorier municipal que les dépenses relatives à l'achat de casques pour les sapeurs-pompiers et d'une vasque sont bien des dépenses d'investissement. Il indique le coût des casques, soit : 7 362,63 F ; de la vasque soit moins de 1 000,00 F

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE que les dépenses suivantes sont des dépenses d'investissement :

- Casques de sapeurs-pompiers et accessoires pour : 7 362,63 F

- Vasque : à concurrence de 1 000,00 F

PRECISE que les crédits nécessaires sont inscrits au Budget de la Commune au CHAPITRE 21, ARTICLES 2156 et 2184.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-60 Approbation de l'acquisition de chemins appartenant à l'Association Foncière de Lannes.

M. le Maire évoque la question relative à l'acquisition de chemin à Lannes. Il invite Madame Brochot à donner les précisions nécessaires, puisqu'elle détient l'ensemble du dossier sur la question et donc tout les éléments pour ce faire.

MME BROCHOT rappelle la réunion de l'Association Foncière de Lannes qui a eu lieu le 26 février 1998 et à laquelle Monsieur le Maire a été convié. Elle précise que l'objet de la réunion était de régulariser l'affaire des chemins. Elle donne la liste des terrains que l'Association Foncière de Lannes se propose de céder à la Commune.

- chemin dit du "Jeu de quilles", cadastré section 270 ZL n°35, d'une contenance de 8 ares 80 centiares, - chemin dit "des Lots", cadastré section 270 ZC n°10 d'une contenance de 45 ares 80 centiares, - chemin dit "la Côte Robert", cadastré section 270 ZA n°20, d'une contenance de 45 ares 20 centiares, - chemin dit "des Saussys", cadastré section 270 ZH n°7, d'une contenance de 24 ares 60 centiares, - chemin dit de "Changey", cadastré section 270 ZE n°13, d'une contenance de 28 ares 70 centiares, - chemin dit de "Comme au Loup", cadastré section 270 ZE n°17, d'une contenance de 23 ares 40 centiares, - chemin dit de "la voie de pré juin", cadastré section 270 ZB n°10, d'une contenance de 30 ares 60 centiares, - chemin du captage de la ferme de "Fresnoy", cadastré section 270 ZI n°2, d'une contenance de 9 ares 00 centiares, - chemin des "Maiches", cadastré section 270 ZH n°14, d'une contenance de 6 ares 80 centiares, - parcelle lieu-dit "le Rû", cadastrée section 270 ZB n°46, d'une contenance de 1 are 00 centiares, - une parcelle lieu-dit "des Tertres", cadastrée section 270 ZL n°81, d'une contenance de 19 ares 92 centiares, - une parcelle lieu-dit "Vauremard", cadastrée section 270 ZC n°81, d'une contenance de 17 ares 66 centiares.

M. le Maire fait remarquer que l'on ne s'était pas accordé sur tous ces chemins, mais seulement sur certains. Il demande aux Membres présents ce qu'ils en pensent. Il donne sa position. Il précise qu'il n'est pas d'accord en ce qui concerne la reprise des deux bouts qui vont aux ponts et du bout allant à l'autoroute. Il demande de passer aux voix afin de savoir qui est pour une reprise partielle ou une reprise totale. Il dit que l'acquisition se fera donc sous forme d'acte administratif pour le franc symbolique.

Il invite les Membres présents à délibérer et à l'habiliter à préparer l'acte administratif à intervenir et plus généralement faire le nécessaire ; à habiliter Monsieur Martial Delin, Adjoint, à comparaître et à signer l'acte à intervenir, ainsi que toutes les pièces nécessaires s'y rapportant.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

OUI le rapport de Madame Brochot, Conseiller municipal,

VU la délibération de l'Association foncière de Lannes en date du 26 janvier 1998,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE l'acquisition des parcelles suivantes appartenant à l'Association Foncière de Lannes :

- chemin dit du "Jeu de quilles", cadastré section 270 ZL n°35, d'une contenance de 8 ares 80 centiares,

- chemin dit "des Lots", cadastré section 270 ZC n°10 d'une contenance de 45 ares 80 centiares,

- chemin dit "la Côte Robert", cadastré section 270 ZA n°20, d'une contenance de 45 ares 20 centiares,

- chemin dit "des Saussys", cadastré section 270 ZH n°7, d'une contenance de 24 ares 60 centiares,

- chemin dit de "Changey", cadastré section 270 ZE n°13, d'une contenance de 28 ares 70 centiares,

- chemin dit de "Comme au Loup", cadastré section 270 ZE n°17, d'une contenance de 23 ares 40 centiares,

- chemin dit de "la voie de pré juin", cadastré section 270 ZB n°10, d'une contenance de 30 ares 60 centiares,

- chemin du captage de la ferme de "Fresnoy", cadastré section 270 ZI n°2, d'une contenance de 9 ares 00 centiares,

- chemin des "Maiches", cadastré section 270 ZH n°14, d'une contenance de 6 ares 80 centiares,

- parcelle lieu-dit "le Rû", cadastrée section 270 ZB n°46, d'une contenance de 1 are 00 centiares,

- une parcelle lieu-dit "des Tertres", cadastrée section 270 ZL n°81, d'une contenance de 19 ares 92 centiares,

- une parcelle lieu-dit "Vauremard", cadastrée section 270 ZC n°81, d'une contenance de 17 ares 66 centiares.

PRECISE que cette acquisition se fera pour le franc symbolique.

AUTORISE la rédaction de l'acte d'acquisition en la forme administrative.

HABILITE Monsieur le Maire à préparer l'acte administratif à intervenir et plus généralement faire le nécessaire.

HABILITE Monsieur Martial Delin, Adjoint, à comparaître et à signer l'acte à intervenir, ainsi que toutes les pièces nécessaires s'y rapportant.

Adopté par 9 voix POUR une reprise totale, CONTRE 5 voix pour une reprise partielle et 2 ABSTENTIONS.

N°98-61 Achat d'un chemin à Lannes appartenant à MM. Gilbert et Thierry Bougrel.

M. le Maire signale qu'il y avait aussi un autre chemin appartenant à un particulier.

M. WEHRUNG précise qu'il s'agit d'un bout de chemin communal appartenant à Monsieur Gilbert Bougrel demeurant à Lannes et à Monsieur Thierry Bougrel demeurant à Bannes, qui a été inclus par erreur, une erreur de dessin, dans une propriété privée lors du remembrement. Il souligne que régulièrement le chemin communal aboutit à une propriété privée, une voie sans issue. Il indique qu'il s'agit d'un terrain d'un are 90 centiares qui serait cédé pour le franc symbolique.

MME BROCHOT ajoute que cette parcelle sise sur le territoire de Lannes est cadastrée section 270 ZB n°107, lieudit "Champ Caillet".

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer et à l'habiliter à

préparer l'acte administratif à intervenir et plus généralement faire le nécessaire ; à habiliter Monsieur Martial Delin, Adjoint, à comparaître et à signer l'acte à intervenir, ainsi que toutes les pièces nécessaires s'y rapportant.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

OUI le rapport de Monsieur le Maire-délégué de Lannes,

OUI le rapport de Madame Brochot, Conseiller municipal,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE l'acquisition de la parcelle suivante appartenant à Messieurs Gilbert et Thierry Bougrel :

- terrain cadastré section 270 ZB n°107, lieudit "Champ Caillet", d'une contenance de 1 are 90 centiares.

PRECISE que l'acquisition se fera pour le franc symbolique.

AUTORISE la rédaction de l'acte d'acquisition en la forme administrative.

HABILITE Monsieur le Maire à préparer l'acte administratif à intervenir et plus généralement faire le nécessaire.

HABILITE Monsieur Martial Delin, Adjoint, à comparaître et à signer l'acte à intervenir, ainsi que toutes les pièces nécessaires s'y rapportant.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-62 Demande d'aide régionale.

M. le Maire fait part de la question relative à une demande d'aide régionale. Il précise qu'il s'agit de demander une aide nécessaire au financement de la salle des sports. Il rappelle que les choses ont traîné. On espérait 25 % de la Région par l'intermédiaire du GAL, or l'enveloppe s'est avérée trop étroite, déjà à l'origine, puis par rapport au nombre de projets présentés. Il ajoute que même en réduisant ce nombre on ne pourrait plus espérer que 10 % d'aide. Il signale qu'il convient dès lors de demander une aide sur le Fonds de Solidarité en précisant que la Commune de Rolampont en fusion-association est située en zone 5b de Revitalisation rurale. Il rappelle le montant prévu des travaux programmés, soit : 2 165 542,00 F ht, c'est-à dire, 2 611 643,65 F ttc.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la délibération n°98-01 du 13 janvier 1998 portant approbation de travaux d'investissement programmés,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE une nouvelle fois les travaux d'investissement programmés relatifs à la création d'une salle des sports.

PRECISE le montant desdits travaux, soit 2 165 542,00 F ht (2 611 643,65 F ttc).

SOLLICITE une aide de la Région au titre du Fonds de Solidarité.

SOULIGNE que la Commune de Rolampont, commune en fusion-association, est située en Zone de Revitalisation Rurale.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-63 Approbation de l'adhésion des communes de Courcelles-en-Montagne et de Noidant-le Rocheux au Syndicat intercommunal de transports scolaires de Rolampont.

M. le Maire évoque la question relative à l'adhésion des communes de Courcelles-en-Montagne et de Noidant-le Rocheux au Syndicat intercommunal de transports scolaires de Rolampont. Il demande à Monsieur Delin, Adjoint, Président du Sits de préciser.

M. DELIN souligne qu'il convient dans le cadre réglementaire propre à tous les Syndicats intercommunaux d'approuver l'adhésion de nouveaux membres. Il propose l'adhésion des communes de Courcelles-en-Montagne et de Noidant- le Rocheux au Syndicat intercommunal de transports scolaires de Rolampont dont il a reçu la demande.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

OUI le rapport de Monsieur le Président du SITS de Rolampont,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE l'adhésion des communes de Courcelles-en-Montagne et de Noidant-le Rocheux au Syndicat intercommunal de transports scolaires de Rolampont.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-64 Approbation de l'adhésion de la commune de Charmes au Syndicat mixte d'aménagement des lacs de la région langroise.

M. le Maire évoque la question relative à l'adhésion de la commune de Charmes au Syndicat mixte d'aménagement des lacs de la région langroise. Il fait part du courrier reçu en Mairie à ce propos en date du 12 novembre 1998. Il souligne que la commune de Charmes-les-Langres a sollicité par délibération du 25 mars 1998 son rattachement au Syndicat mixte d'aménagement des lacs de la région langroise. Il ajoute que le comité syndical, par délibération n°98-53 du 5 octobre 1998 a décidé d'accepter l'adhésion de cette commune. Il précise qu'en tant que collectivité adhérente au Syndicat, il nous est demandé d'approuver conformément à l'article L 5212-26 du code général des collectivités territoriales cette adhésion.

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

VU la correspondance de Monsieur le Président du Syndicat mixte d'aménagement des lacs de la région langroise en date du 12 novembre 1998,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE l'adhésion de la commune de Charmes au Syndicat mixte d'aménagement des lacs de la région langroise.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-65 Approbation des tarifs de participation aux frais de piscine, du Noël des élèves et du transport scolaire de midi.

M. le Maire informe qu'une délibération du Conseil est nécessaire à la facturation de la participation des communes extérieures aux frais de piscine, au Noël des écoles et au transport scolaire de midi. Il rappelle que ces sujets ont déjà été présentés lors de précédentes réunions.

Il rappelle les tarifs :

- participation aux frais de piscine : 150,00 F par élève, - participation au Noël des enfants : 20,00 F par élève, - participation au transport de midi : prix au kms parcourus (base : coût du km défini par le Conseil général)

Il invite les Membres présents à délibérer.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

FIXE le montant des participations à facturer aux communes extérieures, pour leurs enfants scolarisés à Rolampont, comme suit :

- participation aux frais de piscine : 150,00 F par élève, - participation au Noël des enfants : 20,00 F par élève, - participation au transport de midi : prix au kms parcourus (base : coût du km défini par le Conseil général)

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-66 Approbation de l'achat de terrains

M. le Maire signale que l'on avait aussi envisagé l'achat d'un terrain au bout du pays. Il demande au Conseil de l'habiliter à faire le nécessaire au prix déjà convenu de 20 000,00 F. Il communique aux Membres présent le plan de situation de ce terrain cadastré section ZS n°53. Il signale que le notaire chargé de l'affaire par le vendeur est maître Hayotte.

Il ajoute qu'un bois de 7 hectares serait aussi à vendre. La proposition était au départ de 60 000,00 F, maintenant le vendeur serait d'accord pour 65 000,00 F. Il souligne qu'il y a le massif autour.

Il invite les Membres présents à délibérer et à l'autoriser à négocier en ce qui concerne l'achat bu bois dans la limite maximale de 65 000,00 F.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI l'exposé de Monsieur le Maire et sur sa proposition,

APRES en avoir délibéré,

DECIDE l'acquisition des biens suivants :

- une parcelle de terrain, cadastrée section ZS n°53, lieudit "Pré Jouan", d'une contenance de 1 ha 66 a 10 ca, prix de 20 000,00 F,

- deux parcelles boisées, cadastrées section ZP n°9 et 10 lieudit "Sur Vaubrien", d'une contenance respectivement de 2 ha 32 a 40 ca et 4 ha 71 a 20 ca, au prix maximum de 65 000,00 F.

HABILITE Monsieur le Maire à signer l'acte à intervenir qui sera reçu par la SCP Hayotte-Protois, notaires associés à Langres, et plus généralement faire le nécessaire.

Adopté à l'UNANIMITÉ.

N°98-67 Approbation du reversement des subventions Carvej.

M. le Maire invite les Membres présents à délibérer sur le reversement des subventions Carvej aux associations.

LE CONSEIL MUNICIPAL,

OUI la proposition de Monsieur le Maire,

APRES en avoir délibéré,

APPROUVE le reversement des subventions Carvej au bénéfice du CAR Foot au titre des activités prises en charge par cette association.

PRECISE les montants des subventions qui seront reversées :

- 5 750,00 F au titre de l'année 1997, - 5 000,00 F au titre de l'année 1998.

DIT que les crédits nécessaires sont inscrits au Budget de la Commune, COMPTE 65748.

Adopté à l'UNANIMITÉ