Révision du SCoT du Pays des Vallons de Vilaine

Mémoire en réponse à l’avis de Mission Régionale d’Autorité Environnementale (MRAe)

Il va de soi que tous les plans, schémas et cartes figurant dans le SCoT, comme la carte de synthèse de la trame verte et bleue, seront disponibles en format papier à des échelles adaptées, mais aussi et surtout en format informatique compatible avec les Systèmes d’Information Géographique (SIG). Ainsi, grâce à ces outils cartographiques puissants et précis, l’ensemble des enjeux environnementaux et le projet de développement du Pays des Vallons de Vilaine pourront très facilement être transcris, en particulier dans les documents d’urbanisme locaux. Le projet sera ajusté : Dans les annexes du DOO, des annexes cartographiques seront ajoutées.

Le premier SCoT du Pays des Vallons de Vilaine a été approuvé le 6 avril 2011 et sa révision a été engagée par délibération du Comité syndical en date du 10 juillet 2014 pour deux principales raisons : - adapter le SCoT aux évolutions territoriales et éviter ainsi le phénomène de « zone blanche », handicapant pour les collectivités concernées ; - et adapter le SCoT aux évolutions législatives (Grenelle II et ALUR). Le temps d’application du premier SCoT, 3 ans environ, est trop court pour réaliser une réelle évaluation. En effet, d’une part la très grande majorité des documents d’urbanisme locaux n’ont pas été mis en compatibilité. Et d’autre part la production de données sur une échelle de temps aussi courte est difficile et non significative. Sur un périmètre qui a fortement évolué qui plus est, l’évaluation ex post du premier SCoT n’était pas pertinente. Le projet ne sera pas modifié

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Pays des Vallons de Vilaine ZA la Lande rose - rue Blaise Pascal - BP 88051 - 35580 Tél. : 02 99 57 08 73 - Fax : 02 99 57 37 10 www.paysdesvallonsdevilaine.fr Le caractère opérationnel du SCoT envers les PLU, notamment pour ce qui concerne la prise en compte des enjeux environnementaux, résulte de la réponse à la première remarque (cf. ci-dessus avec la mise à dispositions d’outils cartographiques) couplée à l’application des prescriptions développées au sein de la thématique 5 du DOO « Préserver la qualité de l’environnement », pp. 29-32. Le SCoT a par ailleurs intégré les documents de planification supérieurs (SDAGE, SAGE, SRCE, …) pour assurer sa fonction de SCoT intégrateur, ce qui permet aux PLU(i) et cartes communales de ne se référer juridiquement qu’à lui pour assurer leur légalité au regard de ces objectifs. C’est un principe fort de simplification et de sécurisation juridique, qui renforce le caractère opérationnel du SCoT. Le projet ne sera pas modifié

L’Ae reprend à son compte l’observation formulée par les services de l’Etat sur le scénario démographique retenu (+1,75%), considéré comme ambitieux, et le bilan de la consommation foncière, considéré comme surévalué, ces deux remarques conjuguées étant de nature à remettre en cause l’ensemble du projet de SCoT et, en particulier, le tableau central du DOO fixant le développement de chacune des communes.

S’agissant de la mesure de la consommation d’espace à partir des fichiers fonciers, elle repose sur la méthode CERTU/CEREMA. Pour mettre au point cette méthode, un groupe de travail national a été mis en place en 2011 par la DGALN1. Le pilotage de ce groupe a été confié au PCI Foncier et Stratégies Foncières et au CEREMA, et a fait intervenir de nombreux partenaires (services de l’État, Ministère de l’Agriculture, FNAU, FNSafer et INRA notamment). Le travail de ce groupe s’est concrétisé par la publication d’une série de fiches proposant, sur la base d’expériences, des indicateurs de mesure de la consommation d’espace. Conformément à cette méthode, l’analyse de la consommation d’espace sur la période 2006-2014 (cf. chapitre 1 du rapport de présentation, pp 55-65) mesure et compare les rythmes annuels de consommation d’espace : - période 2006-2014 : consommation moyenne d’environ 150 ha / an pour l’habitat ; - période SCoT 2015-2035 : consommation moyenne maximale d’environ 36 ha / an pour l’habitat. Et il s’agit bien d’un maximum car chaque document d’urbanisme (PLU/PLUi) devra analyser la capacité en densification et renouvellement urbain de l’ensemble des espaces bâtis, potentiel qui viendra en déduction de l’enveloppe foncière maximale. Globalement, cette méthode va permettre de réduire à minima par 4 la consommation foncière observée ces dernières années pour l’habitat.

S’agissant de la croissance démographique, plusieurs scénarii ont été débattus et un scénario réaliste et équilibré a été retenu. La croissance démographique fixée à environ 1,7% par an en moyenne est cohérente avec les tendances passées et les perspectives connues à ce jour, notamment les prévisions INSEE 2040 appliquées au Pays des Vallons de Vilaine.

1 Direction Générale de l’Aménagement, du Logement et de la Nature

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Source : Insee, recensement de la population

Le Pays des Vallons de Vilaine est celui qui a connu la plus forte croissance démographique de la Région Bretagne entre 1999 et 2010 (+33%), plus de 3 fois supérieure à la Région Bretagne (+10%) et près de 2,5 fois supérieure au Département d’Ille-et-Vilaine (+14%) sur la même période.

Source : Insee, recensement de la population

Il convient de rectifier une donnée formulée par les services de l’Etat et qui peut conduire à une erreur d’interprétation ou d’appréciation. Les services de l’Etat précisent que « même si la population du Pays des Vallons de Vilaine est passée de 48 600 à 68 000 habitants entre 1999 et 2013 (+1,89% en moyenne annuelle), il est peu probable que la croissance soit de 1,76% / an sur les prochaines décennies ». Le taux de croissance annuel moyen n’est pas de +1,89% mais de +2,43% entre 1999 et 2013. Le taux affiché de 1,89% correspond en réalité à la croissance moyenne observée entre 2008 et 2013, période plus récente qui a effectivement connu un fléchissement en matière de dynamique démographique, au regard notamment de la crise économique des années 2008 et suivantes.

Les prévisions INSEE 2040 pour le Pays des Vallons de Vilaine sont les suivantes :

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Pays des Vallons de Vilaine ZA la Lande rose - rue Blaise Pascal - BP 88051 - 35580 GUICHEN Tél. : 02 99 57 08 73 - Fax : 02 99 57 37 10 www.paysdesvallonsdevilaine.fr Population à l'horizon 2040 Scénario bas Scénario central Scénario haut 2007 2020 2030 2040 2020 2030 2040 2020 2030 2040 0 à 9 ans 10 196 12 358 13 126 14 142 13 073 14 273 15 601 13 887 15 440 17 152 10 à 19 ans 7 454 11 793 12 476 13 018 11 823 13 286 14 268 11 851 14 191 15 541 20 à 29 ans 6 479 7 551 9 382 9 510 7 614 9 463 10 214 7 670 9 542 10 989 30 à 39 ans 10 189 11 763 12 076 13 625 11 863 12 284 13 928 11 957 12 491 14 235 40 à 49 ans 8 557 11 916 12 978 13 089 11 973 13 127 13 405 12 028 13 272 13 718 50 à 59 ans 6 912 9 716 11 772 12 734 9 759 11 869 12 973 9 798 11 959 13 204 60 à 69 ans 4 343 7 065 9 162 10 875 7 103 9 259 11 083 7 140 9 349 11 274 70 à 79 ans 3 995 4 300 6 213 8 040 4 340 6 336 8 296 4 376 6 448 8 526 80 à 89 ans 1 932 2 466 2 894 4 176 2 524 3 028 4 499 2 580 3 159 4 795 90 ans ou plus 255 576 677 924 605 757 1 096 648 878 1 335 Total 60 312 79 504 90 756 100 133 80 677 93 682 105 363 81 935 96 729 110 769 Source : Insee, Omphale 2010

A horizon 2035, le scénario central de l’INSEE prévoit une population de 100 000 habitants, en parfaite corrélation avec les perspectives retenues dans le PADD du SCoT. Ces éléments viennent donc conforter les choix retenus et confirmer la cohérence d’ensemble du projet de SCoT. Le projet sera ajusté : la partie justification pourra être compétée.

Au-delà de sa compétence en matière d’élaboration, d’approbation, de suivi et de révision du SCoT, le Syndicat mixte du SCoT du Pays des Vallons de Vilaine a également pour missions : . le conseil et l’assistance des collectivités qui en font en la demande, dans les domaines de l’urbanisme (planification, urbanisme réglementaire et opérationnel, maîtrise foncière) et de l’habitat ; . et depuis le 1er juillet 2015, la gestion du service Application Droits des Sols (ADS), pour l’instruction des autorisations d’urbanisme des collectivités qui en font la demande.

Un service de conseil en urbanisme partagé est venu renforcer l’équipe du Pays des Vallons de Vilaine, début 2015, afin de pouvoir : . d’une part traiter des questions d’urbanisme dans toutes ses composantes et à toutes les échelles, en lien avec les objectifs du SCoT et des PLU(i) ; . et d’autre part donner un sens aux liens qui existent entre planification, réglementation et réalisation.

Concrètement, le conseil en urbanisme partagé propose aux collectivités du territoire 3 niveaux d’accompagnement :

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Pays des Vallons de Vilaine ZA la Lande rose - rue Blaise Pascal - BP 88051 - 35580 GUICHEN Tél. : 02 99 57 08 73 - Fax : 02 99 57 37 10 www.paysdesvallonsdevilaine.fr . des missions de conseil en matière de foncier, d’habitat, d’urbanisme de planification et réglementaire : il s’agit de conseiller et d’accompagner les collectivités dans la planification urbaine, l’élaboration des PLU(i) et cartes communales, en lien le SCoT ; . des missions d’expertise, de conseil et d’accompagnement en matière d’urbanisme opérationnel, qui s’apparentent à de l’assistance à maîtrise d’ouvrage : ce type de mission est proposé dans le cadre d’opérations d’aménagement, de projets de constructions structurants, urbains ou paysagers, de reconversion/réhabilitation de biens immobiliers ; . et des missions d’animation dans les domaines du foncier, de l’habitat et de l’urbanisme et de coordination avec le service instructeur d’application du droit des sols : ces missions sont de natures différentes selon qu’il s’agit d’animation, de formation/sensibilisation, ou de coordination d’actions à destination des élus et/ou des agents.

Le Pays des Vallons de Vilaine s’est donc doté de moyens et d’outils permettant d’assurer le suivi et la mise en œuvre du SCoT. Aussi, le Code de l’Urbanisme prévoit que six ans au plus tard après l’approbation du SCoT, une analyse des résultats de l’application du schéma doit être faite, afin de délibérer sur son maintien en vigueur ou sur sa révision partielle ou complète. A défaut d’une telle délibération, le SCoT est caduc. Il existe donc un enjeu fort à anticiper cette évaluation, en réalisant un suivi régulier, voire continu, de certains indicateurs et le Pays des Vallons de Vilaine saura se doter des moyens (méthodologiques, humains, matériels, budgétaires, etc.) et outils adaptés. Le projet ne sera pas modifié

Le DOO du SCoT fait figurer une carte de synthèse de la Trame Verte et Bleue (TVB) et pour apprécier l’ampleur du travail réalisé, y compris pour les espaces ou milieux naturels d’intérêt local, il est nécessaire de se référer au rapport de présentation, dans son chapitre II « Etat initial de l’environnement ». Les annexes 1 à 3, pp. 178-190, précisent le cadre méthodologique pour l’identification de la TVB et la prise en compte des TVB des SCoT limitrophes. Et au sein de la partie relative au patrimoine naturel, pp. 53-104, une sous-partie est dédiée au travail réalisé pour la préservation de la TVB. La méthodologie employée pour identifier la TVB est illustrée dans le schéma récapitulatif ci-dessous (cf. rapport de présentation, p. 81 du chapitre II).

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Cette nouvelle remarque de l’Ae sur les moyens et les outils du SCoT renvoie à la réponse formulée ci-avant. Il est peut-être utile de rajouter que l’application des prescriptions et recommandations du SCoT, ainsi que leur contrôle, s’opèreront dans le cadre de la mise en compatibilité des documents d’urbanisme vis-à-vis du SCoT. Le Syndicat mixte du SCoT, les services de l’Etat ainsi que les autres PPA seront tous associés et pourront tous s’assurer de la stricte maîtrise de l’urbanisation à l’horizon de 10 ans, dans le respect, obligatoire, du principe de compatibilité avec le SCoT. Le projet ne sera pas modifié

En cohérence avec ses missions, l’EPF s’est fixé comme objectif de réduire la consommation d’espace. Pour cela l’EPF, dans ses interventions, privilégie d’abord les opérations de restructuration urbaine, requalification de friches, utilisation des dents creuses et du bâti inoccupé… L’EPF peut intervenir sur les opérations en extension urbaine à la condition de justifier de l’impossibilité d’intervenir en restructuration urbaine. La densité brute minimale est alors de 20 logements à l’hectare en milieu rural et de 35 logements à l’hectare en zone périurbaine.

Si cette densité de 20 logements à l’hectare constitue un seuil pour l’EPF, propre à sa politique interne d’intervention, elle ne constitue en rien un élément normatif pour les documents d’urbanisme des collectivités locales.

S’agissant des objectifs de densité et comme le montre le tableau comparatif ci-dessous, seule la commune du Sel-de-Bretagne (représentant 1,4% de la population du Pays) voit ses objectifs diminués, en passant de pôle relais (ancien SCoT) à pôle de proximité (nouveau SCoT). Toutes les autres communes voient : . soit leurs objectifs de densité se stabiliser : 33,5% de la population du Pays . soit leurs objectifs de densité augmenter : 65,1% de la population du Pays

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L’implantation des zones pour les activités économiques et commerciales a été examinée et s’articule avec les schémas intercommunaux de développement économique existants et l’armature territoriale définie par le SCoT. Trois types de pôle d’activités ont ainsi été définis : les parcs structurants, les parcs d’équilibre et les parcs de proximité. Le SCoT prescrit également des objectifs de qualité pour l’aménagement des futurs sites d’activités (cf. pp. 36-37 du DOO), qui respectera les principes suivants : . gestion économe des espaces, des déplacements et de l’énergie : densification des zones d’activités pour répondre à l’objectif de limitation de l’urbanisation ; . aménagement d’ensemble pensé et mis en œuvre dans le respect de l’environnement ; . localisation dans les tissus agglomérés existants ou en continuité des extensions urbaines projetées ; . principe de non extension en cordon linéaire le long des routes, mais en épaisseur, perpendiculairement aux voies de communication ; Mémoire en réponse à l’avis de l’Autorité environnementale (Ae) Page 7 sur 10

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S’agissant des implantations commerciales (cf. pp. 15-16 du DAAC), tout projet commercial de plus de 300 m² de surface de plancher devra, dans le cadre d’une procédure ou à minima dans une stratégie globale d’aménagement d’ensemble portée par les pouvoirs publics : . concourir de manière générale à l’économie de foncier, à l’amélioration de la qualité des entrées de villes et des accès pour un usage plus modéré de la voiture et pour stimuler l’accès piétons et deux roues ; . et proposer des solutions de mutualisation des espaces extérieurs (stationnement, zone de livraison, accès, …). Et pour s’assurer de l’engagement des espaces commerciaux dans une démarche de développement durable, d’autres critères seront également à respecter (gestion économe de l’énergie, …). Le projet ne sera pas modifié

Le Pays des Vallons de Vilaine a souhaité profiter de la révision de son SCoT pour officialiser sa politique de transition énergétique via l’élaboration, en parallèle du SCoT, d’un Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET).

Ce plan climat répond à 5 enjeux : . réduire les consommations énergétiques du territoire ; . atténuer le changement climatique en réduisant les émissions de gaz à effet de serre sur le territoire ; . adapter le territoire aux effets du changement climatique ; . développer la production d’énergie renouvelable sur le territoire ; . préserver la qualité de l’air sur le territoire.

Le DOO du SCoT intègre les objectifs et orientations stratégiques du PCAET. Pour autant, le DOO du SCoT ne reprend pas l’exhaustivité du PCAET, qui reste un document à part entière. Si le DOO reste plus général, ce qui est sa vocation (Document d’Orientation et d’Objectifs), le PCAET apporte quant

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Un schéma éolien territorial a été élaboré dans le cadre du PCAET. Ce schéma comporte une cartographie complète des zones favorables pour le développement de l’éolien sur le territoire. Le projet ne sera pas modifié

La thématique 12 du DOO (pp. 53-55) est consacrée aux questions de mobilité et de déplacements. Si l’élaboration de plans de déplacements n’est pas explicitement citée, le SCoT, à travers ses objectifs de proximité, de multimodalité et d’adéquation, fixe des prescriptions fortes aux collectivités lors de l’élaboration des documents d’urbanisme : . prise en compte de la desserte par les transports collectifs dans les politiques d’urbanisation communales, y compris pour les zones d’activités ; . développement de la multimodalité dans tous les projets urbains ; . maillage des cheminements doux à intégrer dans les documents d’urbanisme et à respecter dans les opérations d’aménagement ; . confortement du système de covoiturage et identification de secteur(s) privilégié(s) pour l’aménagement de futures aires de covoiturages dans les documents d’urbanisme ; . …

Le projet ne sera pas modifié

Dans sa thématique 10 (pp. 47-48) « Conserver les ressources du territoire », le DOO prescrit aux communes identifiées dans le SAGE Vilaine de : . réaliser, lors de la révision ou l’élaboration des documents d’urbanisme, un schéma directeur des eaux usées à l’échelle communale ou intercommunale ; . réaliser, lors de la révision ou l’élaboration des documents d’urbanisme, un schéma directeur des eaux pluviales à l’échelle communale ou intercommunale.

Ces préconisations sont donc déjà introduites dans le DOO. Le projet ne sera pas modifié Mémoire en réponse à l’avis de l’Autorité environnementale (Ae) Page 9 sur 10

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S’agissant de l’observation sur les aménagements paysagers, le DOO, dans sa thématique 5 « Préserver la qualité de l’environnement » et ses objectifs de qualité (pp. 31-32), introduit la préconisation suivante : . porter un regard attentif sur les espèces végétales introduites par l’homme (jardins, espaces verts) afin de bannir l’utilisation d’espèces végétales envahissantes et de favoriser les espèces locales. Les espèces envahissantes représentent l’une des causes du déclin de la biodiversité et sont responsables de nombreux impacts négatifs pour l’homme (déséquilibres hydrologiques, destruction de berges, réactions allergiques, destruction de récoltes …).

Le projet ne sera pas modifié

Les autres remarques de l’Ae sont prises en compte :

Les remarques sont comprises. Le projet ne sera pas modifié

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