Mes PIERRE De Bretagne, Autour De Pluméliau, De François Ier À Aujourd’Hui
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JEAN ARRACHART www.arrachart.eu Mes PIERRE de Bretagne, er autour de Pluméliau, de François I à aujourd’hui Jean Pierre PIERRE (1879-1918) Marie Philomène PIERRE (1885-1946) Mes grands-parents maternels JE DEDIE CE TRAVAIL A MON EPOUSE ÉLISABETH. ELLE EST ALLEE, BEAUCOUP TROP TOT, REJOINDRE NOS ANCETRES. JE DEDIE EGALEMENT CE TRAVAIL A MA MERE, DONT C’EST LA FAMILLE. J’ESPERE QU’ELLES REGARDENT AVEC BIENVEILLANCE, EN COMPAGNIE DE NOS ANCETRES, CE TRAVAIL. QU’ILS ME PARDONNENT LES ERREURS QUI ONT PU SE GLISSER ICI OU LA. ILS ONT LA REPONSE A TOUTES MES QUESTIONS. Pour Solène, notre petite-fille : l’histoire n’est pas faite que, par les impératrices et les empereurs ; les reines et les rois ; les princesses et les princes, qui peuplent les contes, les légendes et les livres d’histoire; elle a été aussi, et surtout, faite par nos ancêtres, et maintenant par toi. Cet ouvrage se veut avant tout un hommage à toutes celles et à tous ceux qui nous ont précédés, et à qui nous devons d’être ce que nous sommes, car « Une personne n’est réellement morte que quand plus personne ne pense à elle » Faisons donc ici revivre quelques-uns, des membres de notre famille. Dernière mise à jour le vendredi 16 avril 2021 Page 1 sur 482 PREAMBULE Il y a quelques quarante ans, je commence la généalogie comme, je le pense, beaucoup de monde, c’est-à-dire en accumulant des dates : baptême puis naissance ; mariage ; sépulture puis décès. Que les Archives appellent BMS puis NMD. Et je remonte les générations, sans trop me poser de question sur ce qui se passe entre ces dates ; comment sont remplies toutes ces vies. Certaines longues, d’autres très courtes. Puis je remarque que les actes de l’état civil, sur la commune de Kergrist dans le Morbihan, pendant la période révolutionnaire sont rédigés par un de mes aïeux Joseph CORNIQUEL, puis par son frère, mon arrière….arrière grand-tonton Jean Guillaume. Ce qui retient ma curiosité est le changement de titre de celui qui signe, même si c’est la même personne. Je veux savoir à quelles attributions correspondent chacun de ses titres et comment ils sont attribués : Désigné, par qui ? Élus, par qui ? Je cherche dans les différents régimes et donc les différentes lois, qui se succèdent rapidement à cette époque. C’est la première biographie que je rédige. Comment a vécu, en 1867, une de mes arrière-arrière grande tante, qui se retrouve chargée d’une famille de huit frères et sœurs, dont le plus jeune à tout juste quatre ans ; ayant perdu son père, sa mère, en l’espace de deux jours. Puis, qui doit assumer le décès de son plus jeune frère, quatre jours plus tard. Elle a eu 21 ans, deux semaines auparavant. Il faut imaginer sa situation en ce début de seconde moitié du XIX° siècle. Puis, au fur et mesure de mes découvertes, des questions se posent amenants de véritables enquêtes. LE SUJET DE CE DOCUMENT EST TROUVE. Dernière mise à jour le vendredi 16 avril 2021 Page 2 sur 482 CODE DE DEONTOLOGIE DU GENEALOGISTE DE LA FEDERATION FRANÇAISE DE GENEALOGIE 1 - L'ENTRAIDE MUTUELLE 1.1 -Le généalogiste collabore de différentes façons avec ses pairs, avec l'association de généalogie dont il est membre, et avec les autres organismes œuvrant en généalogie ou dans des domaines connexes. 1.2 -Le généalogiste partage le fruit de ses recherches en les publiant, ou en déposant une copie de son travail à la bibliothèque d'une société dont il est membre. 1.3 -Le généalogiste fait connaître le sujet de ses recherches afin d'éviter la duplication de travaux semblables par plusieurs à l'insu l'un de l'autre. 2 - LA PROBITÉ INTELLECTUELLE 2.1 -Le généalogiste ne doit pas déformer, camoufler, minimiser ou exagérer sciemment la portée des informations recueillies dans le cadre de ses travaux, ni publier d'informations non vérifiées ou qu'il sait fausses. 2.2 -Le généalogiste prend soin de ne pas véhiculer d'informations généalogiques erronées, en vérifiant les renseignements recueillis aux sources initiales (état civil, actes notariés, etc.) avant de les diffuser, ou, en cas d'impossibilité, en faisant mention de l'inaccessibilité de la source initiale ou en précisant pour le moins la source d'où il les a lui-même tirées. 2.3 -Le généalogiste respecte les droits d'auteur et la propriété intellectuelle sur les travaux manuscrits, publiés ou autrement produits par autrui, en ne s'appropriant pas leur contenu sans l'autorisation de leur auteur, sauf dans les limites prévues dans la loi. 2.4 -Le généalogiste rejette le plagiat et indique les sources d'informations consultées dans l'élaboration de son travail, prenant soin de bien identifier les extraits de texte d'un autre auteur, et de mentionner, s'il y a lieu, la collaboration reçue de collègues ou de groupes de travail. 3 - LE RESPECT DES LIEUX DE RECHERCHE ET DES DOCUMENTS 3.1 -Le généalogiste respecte les consignes des autorités et les règlements établis dans les différents centres ou lieux de recherches qu'il fréquente. 3.2 -Le généalogiste effectue ses travaux de recherches dans le respect des autres chercheurs qui l'entourent. 3.3- Le généalogiste traite avec le plus grand soin les instruments de travail et les documents mis à sa disposition, qu'ils soient livres, registres, fiches, manuscrits, plans, photos, microfilms, microfiches, ou données sur support informatique; il redouble d'attention et de minutie lorsqu'il s'agit de pièces originales pour ne pas contribuer à leur dégradation. 3.4 -Le généalogiste ne doit pas annoter ces instruments de recherche ou documents, ni apposer d'inscriptions manuscrites sur ceux-ci, même pour des motifs de correction, mais il est encouragé à signaler à leur détenteur les rectifications qu'il estime devoir y être apportées. 3.5- Le généalogiste ne doit pas s'approprier, subtiliser, endommager, ni mutiler les instruments de recherche ou documents mis à sa disposition. Dernière mise à jour le vendredi 16 avril 2021 Page 3 sur 482 4 - LE RESPECT DU DROIT À LA VIE PRIVÉE 4.1 -Le généalogiste respecte la nature confidentielle de certaines informations recueillies sur la vie privée des citoyens, faisant preuve de discrétion et de discernement dans la communication, la publication et la diffusion de telles informations, et obtenant, le cas échéant, l'autorisation des personnes concernées. Le généalogiste ne doit sous aucun prétexte diffuser des données généalogiques pouvant porter préjudice à des tiers. 4.2 -À moins que les personnes visées n'y consentent ou qu'il ne s'agisse d'un fait de commune renommée qu'il lui incombe de faire valoir, le généalogiste ne divulgue pas la filiation biologique d'une personne adoptée légalement. 4.3 -Le généalogiste respecte les engagements de discrétion pris lors de la communication d'informations confidentielles, et il répond d'éventuelles violations de tels engagements. Tout le long de ce document, je me suis efforcé de respecter ces règles. Dernière mise à jour le vendredi 16 avril 2021 Page 4 sur 482 PROLOGUE Si j’écris cet ouvrage, cela ne veut pas dire que j’en sois l’auteur exclusif, j’ai bénéficié de « coups de pouce », car il n’aurait jamais vu le jour, sans l’aide des personnes, avec qui j’ai échangé des informations, soit dans les groupes de discussion, soit directement, ainsi que grâce aux articles et aux questions/réponses, parus dans les revues des cercles généalogiques. Que tous ceux que je ne peux pas citer personnellement dans le cours de l’ouvrage, car leur aide a été plus globale, en soient collectivement, mais non moins sincèrement, remerciées. Ma lignée bretonne commence très tôt dans ma généalogie puisque qu’elle commence avec ma mère, vous me trouverez donc, avec mes deux frères et ma sœur, en début de cette lignée. Le nombre d’implexes ne facilitera pas la description des générations ; je vais tenter d’être le plus clair possible. J’indique le numéro « Sosa », pour plus de facilité de lecture bien que son utilité soit surtout rédactionnelle. QU’EST CE QU’UN NUMERO SOSA ? « La numérotation de SOSA-STRADONITZ est une méthode de numérotation des individus utilisée en généalogie permettant d'identifier par un numéro unique chaque ancêtre dans une généalogie ascendante. Elle fut mise au point par le franciscain et généalogiste Jérôme de SOSA en 1676 dans son ouvrage « Noticia de la gran casa de los marqueses de Villafranca », reprenant en cela la méthode publiée à Cologne en 1590 par Michel EYZINGER qui avait déjà utilisé ce système de numérotation » (Source Wikipédia) FONCTIONNEMENT Le numéro 1 est attribué à la personne que l’on désigne comme origine de la généalogie. Son père aura le numéro double, soit le numéro 2. Sa mère aura le numéro du père +1, donc le numéro 3. Cette même logique est appliquée à la génération suivante, coté paternel comme maternel, ce qui fait que Le grand-père paternel est numéro 4 ; la grand-mère paternelle est numéro 5. Le grand-père maternel est numéro 6 ; la grand-mère maternelle est numéro 7. Et ainsi de suite…. L’on remarque que, mis à part le numéro 1, qui est attribué indifféremment à un homme ou une femme, les hommes ont toujours un numéro pair, et les femmes un numéro impair. J’ai attribué le Sosa 1 conjointement à mes deux filles, afin d’intégrer ma belle-famille, qui apparaît dans un autre document, puisqu’elle concerne une toute autre région, qui est l’Orléanais et ses départements limitrophes.