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DISTRIBUTION DES RECOMPENSES ii

20 SOCIETE INDUSTRIELLE DE L EST MM. MM.

Olinger (Georges). Simon (Louis). SOCIETE DES FAÏENCERIES DE LOSGWY, à - Richard (Michel). Ras (Meurthe-et-Moselle). Simon (Jean). Rodange (Henri). Véber (Didier). MM. MM. Simon (Rem y). Bosquet (Louis). Lemoine (Alberl). Breda (M'»e Marie) née Louche. Pierlot (Mme Augustine) née Tolionne. Doisy (Auguste). Sehires (Henri). SOCIÉTÉ MÉTALLURGIQUE DE GORCY (Meurthe-et- Moselle). Guidozy (Mile Adèle). Tairai (Joseph). 32,

Lauvray (Jean-Baptiste). MM. MM.

Balon (Jean-Baptiste). Hablot (Joseph). Brion (Gustave). Habrand (Jean-Baptiste). SOCIÉTÉ DE MOCTIERS, à Moutiex-s (Meurthe-et-Moselle). Carpentier (Louis-Lucien). Jeanjean (Prosper). M. M. Champenois (Antoine). Nesse (Joseph-Emile). Commun (Auguste). Raizer (Alfred). L' ; Bertin. (Augustin). Cloos (Michel). tt.jp Curé (Louis). Sehnster (Charles). LiL_ Depiesse (Léopold). This (François). y Feith (Pierre). Tresson (Jean-Baptiste). SOCIETE DE LORRAINEj Syndicat desPhar- Feltes (Nicolas). Tresson (Jules). maciens de Meurthe- et-Moselie et de la Meuse, à Nancy. Gisquet (Alphonse). M.

Louvat (Arsène-Firmin). SOCIÉTÉ MÉTALLURGIQUE DE SENELLE- à, Longwy-Bas (Meurthe-et-Moselle). SOCIETE DES SALINES DES AULNOIS, à Laneuveville- MM. MM. devant-Nancy (Meurthe-et-Moselle) . Agathosthène (Isidore). Petey (Arthur). M. Bentz (Nicolas). Poncin (Théodule). Oulmann (Stanislas). Chaudron (François-Xavier). Rosquin (Jean-Pierre). Claisse (François-Ferdinand). Savener (Georges). Fendt (Jean). Schumer (Michel). SOCIETE MARC RATY & Cie, Hauts-Fourneaux de , Genette (François-Joseph). Theisen (Jean). près Longwy (Meurthe-et-Moselle).

MM. MM. SOCIÉTÉ NANCÉIENNE DE CRÉDIT INDUSTRIEL ET Aubrion (Auguste). Inglebert (Jean-Baptiste). «1CY Baillieux (Isidore). Inglehert (François). IMPOTS, à Nancy et Rureaux de la Région. Barthélémy (Honoré). Inglebert (Louis). MM. MM. Bastian (Léon). Jean (Victor). Bûcher (Victor). Pierre (Alfred). Bourguignon (Frédéric). Kommea (Louis) . Cronel (Léon). Sayer (Charles-Joseph). Claude (François). Lelivre (Edouard-Joseph). Marcon (Jean-Baptiste Théodule). Touvenot (Louis).' Claude (Louis-Jea'n-Baptiste). Luc (VicLor). Maurice (Emile). (Julien). Didier (Jean-Baptiste). Lugen (Mathias). Ohling (Constant). Wongkoefi't (Jules-VicLor). Grandjean (Edouard). Lux (Célestin). Hanzel (François). Maréchal (Eugène-Alexandre) Hanaei (Jules). Mignon (Joseph). tSC

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DISTRIBUTION DES RECOMPENSES 2i 9,9 SOCIÉTÉ INDUSTRIELLE DE LEST

SOCIÉTÉ F. DE SAINTIGNON & Ci'', Hauts-Fourneaux de USINES BEYER Frères, Ateliers de Constructions et Fon¬ Longwy et de la Sauvage, à Longwy-Bas (Meurthe-et- deries, à Saint-Dié (Vosges).

Moselle). M.

MM. MM. Kubler (Adolphe).

Adams (Jacques). Niederkorn (Antoine). Niederkorn (Dominique) Bequert (Eugène). Maison Paul VAUDEVILLE, Epicerie en Gros, à Niederkorn (Pierre). Conrardy (Xavier). (Meurthe-et-Moselle). Hengen (Hubert). Omseïs (Jean-Pierre). Lhote (Alfred). Pertuy (Joseph). M. MM. Lndovicy (Joseph). Vaudeville (Paul), Chef d'Etablis- April (Eugène). sèment. Gaspard (Jules-François).

ÉTABLISSEMENTS SOLVAY ET C'e, Soude et Produits Maison VAXELAIRE <& PIGNOT, Vêtements pour Hommes, chimiques, à Dombasle -sur- Meurthe (Meurthe-et-Mo¬ à Naney. selle). 15 M. MM. MM. MM. Pierron (Charles), Directeur. Oster (Victor). Aubert (Charles). Houssemand (Jean-Baptiste) Batlog (Mme Vve Marie) née Mnller. Thomas (Albert). Barehat (Emile). Lanina (Jean-Baptiste). Gïbert (M"e Mathilde). A.L Baumgarten (Antoine). Leclerc (Eugène). Berger (Sébastien). Maire (Basle). Boilean (Jules). Martel (Joseph). Maison Paul WEILLER et Fils, Ameublements, à Nancy. Rolus (Auguste). Mercy (Jules). Bouton (Emile). Niess (Michel). M. MM. Osvald (Charles-François). Césary (François). Weiller (Paul), Chef (l'Etablisse- *" Matt (Frédéric) Perrin (Joseph). Clair (Constant). ment. Ochem (Jean). Philippe (François). Discours (Mne Adelphine) Grumbach (MUe Rosalie). Salorgue (Maurice), Picard (Jules). Gascard (François). lietter (M»e Elisa). Suisse (Paul). Georges (Auguste). Prévôt (Paul). Greff (François). Robert (Emile). Handen (Claude). Stnber (Chrétien). Helmer (Joseph). Terwagne (Alphonse). Henri (Jean-Baptiste). Urbain (Charles), Henry (Jean-François). nieyer (Jules). ^JCY

Maison G. STERNE, Vins, Liqueurs et Spiritueux, à

Naney.

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Thièle (René).

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NANCY. IMP. P: PIERRON, RUE DU- FOUR, 1

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Façade extérieure.

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NANCY - Hôtel de l'Exposition, 92, Rue de Strasbourg.

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mmif. m Façade intérieure.

y»fe"fî If k C' V&*&^&sfe Bailes supplémentaires d'Attrj i \ aA'àïïr]a*ir" mW^m La publication de nos clichés, .p t'A] A(M A'C-"i il tributlon des primes, touche à saï, L'Est FépufoUeain n'a pas publi NANCY - Hôxel de l'Exposition, 92, Rue de Strasbourg. de huit séries. . Bon nombre de nos concitoyens T1 hésité à se reconnaître. Ce fut, c - ^-#p3£-t5 \xt- bureaux, un long défilé d'abonni myfAAAAkssC^ ' ^^Cs^A^AAAy^}, lecteurs qui, munis de leurs tick vinrent réclamer le bénéfice de il tiative'.'- ! ,

Si Nancy fut bien partagé, les-' NANCY. - Hôtel de l'Exposition. attirés de tous les points de la pour l'inauguration officielle du; !V-> ont eu lieu d'exprimer une égale tion. \-p> Succès oblige. '<' Nous avons promis qu'une certaii

tité de cartes valables seulement p tl" trée permanente aux Attractions s< se à la disposition de nos lecteurs: Garage à Automobiles. Les numéros de VEst républico ii-A tant la date du jeudi 1er juillet et du vendredi 2 juillet, contiendrou

ries de portraits ayant droit à p« 1 supplémentaires qu'a bien voulu i' frir M. John-Calvin Brown. IMPRIMERIES 'Jl Ces cartes de faveur accorderont RÉUNIES |

1 * •mes prérogatives que celles jusqu'à DE NA| vy accordées et, pendant toute la d *.-*& , ! r J 'S s* l'Exposition, elles permettront di gratuitement les divers établissements," tels que : "Water-chute, Hu.it-volant, Dou¬ ble Tourbillon, Cake-walk, Paîmistry- (sciences occultes), Palais du Rire, Pèleri¬ nage, Cinématographe, Théâtre guignol, etc., etc... Ainsi que nous l'avons dit précédem¬ 'A ment, un projet extrêmement intéressant .t: est mis à l'étude, dans le but de procurer quelques avantages à tous 'nos lecteurs CA4 92, Rue de Strasbourg. y y sans distinction. A '-. La semaine ne s'achèvera pas, sans que f nous ayons eu l'occasion de revenir sur ce ' sujet, pour fournir les explications atten¬ dues avec impatience par le public.

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Société Nancéienne de Crédit Industriel et de Dépôts ^iAsA Impnmenes IUtunes, Nancy Pavillon de l'Exposition, NANCY 1909

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-yy '* tip-(yyy-' Supplément Théâtral : JÇéroubinos, par Gabriel NI GOND

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POLITIQUES- ET-LITTÉR,AIRES A n

REVUE-UNIVERSELLE-PARAISSANT- LE-DIMANCHE,

Direcleur.Réddcteup.en cbefADOLPHE. BRISSON.

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de l'Académie française .: k'- ' j.i Wotes de la Semaine CHRYSALE L'Exposition de Nancy Max DURAND Orateurs du Palmarès Adolphe BRISSON Mouvem' Scientifique. MâX de NANSOUTY !\»p«-' Le Plus Joli Voyage Henri LAVEDAN Chronique Mutual L. MABÏLLEAU { p|i Les Echos de Paris SERGINES L" '. joachim Du Bellay Emile FAGUET

A Barcelone Fernand GREGH 1 ii Pages Oubliées. Joachim DU BELLAY - y Reyue des Livres . Jules BOIS La Vie Féminine Yvonne SARCEY 1: L'Histoire de Nancy André HALLAYS Roman . IC-A X B. HARRADEN &y -j - ILLUSTRATIONS : Vues de Nancy et de l'Exposition Aif \ AJ Jlovis Hugues par sa femme. Portraits et Photographies d'actualité AA fis A Supplément Théâtral : Kêroubinos, par Gabriel "NIGOND fi-C MUSIQUE i Jeanne-Ia-Patrie, par BOURGAULT-DUCOUDRAY C^ |

ABONNEMENTS

FRANCE ÉTRANGER UN AN SIX MOIS ri. , UN AN SIX MOIS Edition Illustrée. 10 francs 5"fr. 50 EDITION ILLUSTREE. 15 francs 8 francs s i-,yyi ÉDITION DE LUXE . 15 francs 8 francs Edition de Luxe . 20 francs 10 fr. 50 abonnements ei Rédaction : 51, Rue Saint-Georges, PARIS V': 1 Annonces : Huguet, Minart et C'% Régisseurs de la Publicité, 11, Boulevard des Italiens, Paris

Agents a l'Étranger : Londres : BINfiER, 16 et 18, Wardour Street. - Bruxelles : PECHENNE et C", 20, rue du Persil. Genève : NnviLLE & C'% 6 et 8, rue Pécolat. - Alexandrie : L. SCHULER, 6. eue Chérif-Pacha» l'fc il f n &[ fi

(Cl. fit. .u cumj'u&ie. I Production et la Traduction des matières de ce Numéro fACHETTE -© C1^ Prix de l'Abonnement (y compris les I\«s spéciaux), 24 N0' par a.. . ' yQtfes. Les Manuscrits non insérés ne sont pas rendus. ,i An.jofr.; 6 Mois, j 1 fr. Étranger,! An,a8 fr.; 6Mois,i5fr. \ \ ,J*°> ] fr.; Etranger, i fr. a5; des années écoulées, I fr. 5o. ^ 79, Boulevard Saint-Germain, PARIS ^ Le JSuméro parait le Premier et le Quinze de chaque Mois. LiWjmjiCTm.

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X.ES y sy. ANNÂÙ_sï| 125 Dents fifanoûes - Btracïe saine - qoiuj.

f/fêmento Bibliographique squence, qui nous délivra des étrangère soin de celui qui veut Vivre, c'est de et d'une civilisation 'que nous n'avons' s'entourer de hautes murailles ; mais, dans pas choisie! Secoùss'e 'de terreur, "puis de son jardin fermé, il introduit ceux que JEffflFRiC? RÂTIDKhIl au nSBt-V joie, dans laquelle ce pays s'accouche J Dès guident des façons de sentir et des in¬ Très économigue : Dtirée do 4 _ 5 ' f s Lo pain Z', franco 2'25. En ïej'i ^[N-RouTCHKA ^ Pointes Sèclies (2 fr.). Les- au- lors, il y a un caractère lorrain. térêts analogues aux siens. S français contemporains jugés par un Allemand et à la PARFUMERIE ESTHÉTIQUE da.PÎÎ SS, vue K,& .PeïeÊie. . ss - 1 Russe. Ces braves gens croient connaître la Charles de Bourgogne, le Téméraire! ' française parce qu'ils Font probablement Quelle magnifique aisance dans ses al¬ «S* dansâtes brasseries du Quartier tâtin.- Aussi lures bruyantes et romantiques! Auprès ç jugements leur style et surtout leurs plaisan¬ des grands crus de Bourgogne qui met¬ Cette partie ancienne de Nancy, la! ts (!) ont tout juste la saveur et l'attrait qui tent la confiance au c le plus hésitant, « ville vieille », est bien fragmentaire ; elle Ij'uveiit'plaiie aux jeunes personnes du' beau sexe a ; comment se tiendra le petit vin de Mo>- fut perpétuellement refaite. Cette race nul¬ Unuentant ces établissements dits littéraires. "juyer-KarrV/^ï Sauvage (3 fr. 50). la Provence seîle, ce vin un peu plat, froid et dont la lement endormie, mais de trop bon sens, Lie et ensoleillée, un amour très charnel, maïs saveur n' étonne pas tout d'abord, mais sé¬ hésitait à affirmer sa personnalité. Sa fi¬ i et lionnête, un\ belle fille,/ "éclatante de vie duit un délicat réfléchi ! Comment René II, nesse, son sentiment exagéré du ridicule, 1)llini„ un robuste -fruit saavagej.toutes ces richesses faible prince qui parcourt en suppliant l'entravèrent toujours. Chaque génération ut contées dans une langri'e souple et colorée les rudes cantons suisses, a-t-il pu triom¬ reniait la précédente, sacrifiait les āuvres ,nie de l'aïeul du jeune.au.eur. François Bq'ur- pher? de la veille à la mode de l'étranger. Leur J)0 ; L'Amour sens A-' Révolution (3 fr; 50). « Chapelle Ronde », monument national 'amour est un sujet d'éluèe qui intéresse les hom- Dans la vie, fréquemment, nous avons s'il en fat, copie la Chapelle des Mé¬ ,£5„, et les ieimnes soifs tdiites les latitudes et à rencontré ces êtres tout brillantes, menant dias de Florence, mais avec maigreur, jutes les époques ; mais l'amour, pendant ces années grand tapage, apoplectiques -de confiance économie. Le Lorrain n'a pas d'abondance rribles et gigantesques de la^ Révolution, l'amour en soi; nous ne les aimions guère et tou¬ dans l'invention et ne fut' jamais prodi¬ 1 prison ou au pied de.l'écliafaud, c'est un roman jours les dépassions. À l'usage, il apparaît Lai et vivant, particulièrement \ attirant. Sans nous qu'un René II, avec sa douceur un peu gue. Les successeurs de René, ayant vi¬ réfélei l'ien de bi'-n nouveau, J\i. Bournand s'est grise, n'est pas un dépourvu; il est ré¬ sité les palais de la Renaissance, rebâti¬ iniisé à exciter jiîotre curiosité jW mille anecdotes fléchi, persévérant, et sa modestie le sert rent le palais ducal. Cette race, à son i i «es oatristes'etïl y a pleinement réussi. Alfred éveil, craint de se confesser; peu de pier¬ mieux que sa forfanterie. Dans l'histoire, r \m: Sous/ leur Masque (2 fr.)\ Nouvelles mor- i l'extrême simplicité de sa tenue passe res, ici, qui puissent nous conter les ori¬ dautes et satiriques où, « sous leur masque », il est gines de nos âmes... jjale de reconnaître bien d s personnalités mon- infiniment en élégance, du moins pour l'hbmme de goût, l'ostentation de votre Pourtant, une vierge de Mansuy Gau- teines 01/ politiques. Pent volume \ amusant, en li L - .mme, polir les Parisiens en villégiature. Samuel Téméraire. Après la victoire, quelle gra¬ vain, dans l'église de Bon-Secours, est Porchère : Dictionnaire Poétique (7 ïr. 50). Recueillir vité ingénieuse dans les paroles modérées tout à fait significative. Voilà nos pri¬ _es poésies ou des pensées célèbres pour toutes les qu'il adresse au cadavre vaincu et dans mitifs! Nous nous agenouillons devant m Pour les usages de la TOILETTE des DAMES inconstances de la vie, anagrammes, boutades, épi- l'inscription que notre cocher nous fit lire une Mère, et, dans son manteau entr'ou- lie Coaltar Saponîné Le Beuf paunnes, fantaisies de toutes sortes, quel travail de Il suffit d'envoyer à la maison Fbère, 19, rue à la Commanderie Saint-Jean, où le Bour- vert, tout un peuple se précipite. Ces en¬ fjest très recommandé parce qu'il possède torapilatïon et de pa îence î II a été poussé à bien Jacob, Paris, cinquante centimes en timbres- _ -guignon subit la ruine et de gra-nds coups fants me touchent, si intrépides contre ïij les propriétés antiseptiques et détersives par M. Porchère ét mérite d'être signalé et recom- "'■j indispensables aux produits destinés à ces poste, en se recommandant des Annales, pour d'épée! La magnanimité de René n'a rien le Bourguignon et qui expriment leur rêve J usages, qualités qui lui ont valu d'être recevoir, franco par la poste, un délicieux cof¬ oandé. 3j admis dans les Hôpitans ûe Paris. fret, contenant un petit flacon de Dentol, une de théâtral, et, s'il honore Charles d'urt par cette image sincère; je vois qu'ils ont k Pj, fl/fyïS /.ES PHARMACIES. Se méfier dee Imitatione, boîte de Pâte Dentol, une boîte de Poudre (Ouvrages expédiés franco peu- la Librairie des splendide service funèbre, c'est qu'il beaucoup souffert. Ils conçoivent la divi¬ Dentol. Annales., sur demande accompagnée de timbres ou voulait publier devant son peuple épou¬ nité non sous la forme de beauté, mais Mandat.) vanté la définitive innocuité du brutal ad¬ dans l'idée de protection. Florence, leur versaire. pg'*#^P^-p^"jfg^V.W,P^'5'5 PPfrMy-PP^.p ^.;~.-j^gS^^ GEORGES ï>ET(VTrLE. sour, et qui donne parfois l'imag'e la Nous avions suivi le corps du Témé¬ plus approchante de cet idéal de clarté n }«5«=f= ^&D *sg-s> <2^a» C=S<:!> <2§° *E3'e5 *s_*3 ^-^ ^^ raire dans Nancy, et jusque dans cette, froide, d'élégance sèche, que les meilleurs Lorrains entrevoyaient, Florence prend les partie dite « ville vieille », où il fut publi¬ 4P quement exposé. Quand nous rêvions près loisirs d'embellir l'univers. Ceux-ci, dans foici un certain de guérir la faiblesse, c'est-à-dire de la nécessité de sauver d'abord leur indé¬ rénover la vie ; un moyen certain de guérir la souffrance, c'esl-â- la pierre tombale de René dans la froide dire de supprimer la cause. Combien les drogues sont loin de ce église des Cordelii'ers, le soir vint, jqiui, dans pendance, mettent leur orgueil, leur art résultat, et combien rapidement la méthode du docteur Maclaughlin T? les lieux sacrés, nous dispose toujours à naissant, toutes leurs ressources dans des le produit, voilà ce qui est prouvé par des milliers de guérisois ac¬ remparts. complies dans les casr les plus désespérés par ce merveilleux traite' la mélancolie. Une race qui prend cons¬ PROMENADE AU PAYS LORRAIN ment électrique après que tous les autres traitements par drogués cience d'elle-même s'affirme aussitôt en Cernés d'étrangers qui les inquiètent, F ont échoué. La raison en est que toute souffrance et faiblesse résultent honorant ses morts. Ce sanctuaire na¬ sous l'til des barbares, ils n'ont pas le A la station qui précède immédiatement y. y d'une perte de force organique et nerveuse. Elle doit être réparée. Lésj . . loisir de se développer logiquement. La médicaments ne peuvent ramener la force. L'électricité peut le fai ifNancy, au bourg de Saint-Nicolas, nous tional, reliquaire des gloires de Lorraine, mais incomplet comme le sentiment qu'eut grâce, qui pour mi rien eût apparu, pres¬ si elle est bien appliquée. Nous l'appliquons comme il faut sommes descendus du train, car il con¬ t'ÉLEGTRQ-VIGUEUR du Dr MACLAUGHLIN sent d'entrer dans l'histoire de la Lor- jamais de soi ce peuple, date de René II. que mélancolique, dans le petit prince Les dentelures dorées qui festonnent René II, n'aboutit pas en Lorraine. Ils iiaine par une visite à son patron. Dans guérit pour toujours la Force perdue, les Faiblesses de toutes autour de sa statue moderne, toute cette n'ont pas créé un type de femme. Jeanne sortes, qu'elles soient des Nerfs, de l'Estomac, du Foie ou d'es Reins"; son église flamboyante, nous saluons Ni¬ d'Arc, que d'autres peuples eussent voulu Il guérit les Rhumatismes, la Sciatique, le Lumbago, les Indigestion"^ colas, debout près de sa cuve et des végétation délicate de figurines et l'élé¬ les Névralgies, la Constipation, la Dyspepsie, et tous les troubles oii gance de l'ensemble nous reportaient à honorer en lui prêtant les charmes des \ petits enfants. Cette maihleureuse loca¬ t*v une nouvelle vie peut rendre la santé. ces premières époques de la Lorraine, grandes amoureuses, demeure, dans la lité, qu'illustrent encore cette cathé¬ « Monsieur le Docteur d'une grâce bonhomme, si dépourvue, légende lorraine, celle qui protège, et cela » Je suis très heureux de" venir vous remercier des bienfaits que drale et des légendes, fut' ruinée par des d'emphase.. Dans cette maison des sou¬ uniquement. Elle est la s�ur de génie de j'ai obtenus de votre ELECTRO-VIGUEUR, qui a guéri les mau guerres confuses; elle- était riche, et, pour René II; persévérante, simple, très bonne de reins qui m'accablaient depuis cinq ans ; mes douleurs rhmnati|4 j]aJap"p!ller ±ms jes partis fôe tajrent quarante venirs, nous ne vîmes aucun désir d'é¬ maies, ma lassitude et ma faiblesse générale ont aussi compleiemeii'l tat^ heureshj d'accord,.h^'^tH Le1p noble,nnhk évêqueAr^ù tonner. Ces images de morts sans morgue et un peu matoise. Celle de qui l'Espagne' disparu.: ne se préoccupent ni de la noblesse clas¬ et J'Italie fussent devenues amoureuses,1 » Dans l'intérêt des malades qui souffrent de ces affections, jde Myre perdit sa domination. Il ne tou- est ici une vierge nullement troublante: vous autorise à donner à mon attestation la -plus large publicité qu [che plus, aujourd'hui, que les petits en¬ sique, ni de la pompe. René II aimait nos pères afJument que Jeanne ignora tou¬ ty i vous plaira. fants; même, il prête un peu, à rire comme le peuple, c'est ainsi qu'il séduisit les can¬ » Veuillez agréer, Monsieur le Docteur, avec ma profonde recoji jours les misères physiques de la femme. ;Unbonhiomme grossier. Le Lorrain, comme] tons suisses, et il fêtait l'anniversaire de naissance, l'expression bien sincère de mes meilleurs sentiments, Cette légende de Lorraine n'est-elie pasi j'ai moi-même coutume, hlpnqre mal le la victoire de Nancy, chaque année,^ en Signé : U. MERCIER, buvant avec les bourgeois; Jeanne était plus belle, selon le penseur, que les ten¬ Signature légalisée, Propriétaire-Viticulteur, à Ferrais (Aude) souvenir de ses émotions passées; c'est ton au Breton de s'émouvoir encore où à l'aise avec les grands, et la s�ur en dres soupirs du Tasse ! Voilà bien le même' L'ELECTRO-VIGTJEUR est un vrai tonique. Il infuse l'électricité, qui est la vie tremblaient ses pères. Nous rapetissons toute franchise des petits ; Drouot, quittant sentiment qui fit .agenouiller ce peuple( nerveuse, dans les nerfs et dans le corps pendant des heures durant le sommeil. Son effet BON pour le Livre illustré gratuit devant la vierge de Bon-Seoours. ; est adoucissant, vitalisant, et il restaure très vite la santé. valant 5 francs jee que nous touchons, et nous nous plai¬ la gloire de la Grande Armée, où il fut Venez nous voir, ou écrivez-nous, et nos Docteurs vous diront franchement si notre sons à giouailler. le plus simple des héros, acheva sa 'vie Dans le palais' ducal de la « ville méthode peut vous guérir ou non. Docteur B. -S MACLAUGHLIN C°, en brave homme parmi ses concitoyens. 14, boulevard Montmartre, Fûi'H . Cet hommage rendu au protecteur, nousi vieille », nous avons visité le musée his¬ CONSULTATIONS ET BROCHURES GRATUITES. — Venez consulter nos Docteurs .C'est mal dire qu'ils aiment le peuple, gratuitement. A toutes les personnes qui ne pourront pas venir nous voir et qui nous feront Prière de m'envoyer votre livre gratuit soi [prîmes une voiture pour assister au pre¬ torique lorrain. Les premières salles sont enveloppe. parvenir le coupon ci-contre, nous enverrons gratis la Brochure et un questionnaire de mier jour <le la Lorraine, et visiter les . ils ne " s'en distinguent ^ pas. Leur race consacrées aux époques gallo-romaines et Consultation. ATom . . se confond avec eux-mêmes.- lieux où cette nation naquit, en se cons¬ mérovingiennes; nous y interrogions vai¬ nement les plus anciens souvenirs de no¬ | Dr B-S. MACLAUGHLIN G°s 14, boulevard !VIonfmarîre5 PARIS Adresse . tituant' patrie par un -effort contre l'étran¬ Nous comprîmes alors notre haine des Les docteurs en médecine de la Faculté de Paris, attachés a notre clinique, reçoioent gratuitement ger. C'est entre Saint-Nicolas ,et Nancy étrangers, des barbares, et notre égotisme tre Etre. C'est la même ignorance que de 10 heures à 6 heures. Le Dimanche, de 10 heures à I heure. ''lue René H, appuyé des Suisses, tua le oirnous enfermons avec nous-mêmes toute' nous trouvions, le lendemain, aux champs W%£g&Z^S^ÇK^*8!S<&Z2^^ ipinêraire. Victoire de grande consé: notre" petite famille morale. Le premier pu fut ScarpoiMie, chez ces pauvres en- î'7l 1 [

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(Cl. fie u ... ^umj'uj.nic.i i Production et la Traduction des matières de ce Numéro L teS* ^es ^anusc"ts non insérés ne sont pas rendus, S Pr.x de 1 Abonnement (y compris les N" spéciaux), 24 N"' par an : li France, .An.jofr.; 6 Mo.s,:ifr. Etranger,. An,58 fr.; 6Mois ,5fr. l^'fr.; Etranger, j fr. î5; des années écoulées, 'l Ir. io. ^ 79, Boulevard Saint-Germain. PARIS ^- «. Le ISumero parait le Premier et le QuinzeOuinzr deAc chaqueM,,™. Mois.M-.:.

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