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o Misérieux). > 2.2 Patrimoinebâti civil r r > 2.3 Patrimoinereligieux > e m e t i t

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d a d > 2.4 Patrimoineécrit, orfèvrerie et monnaies

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n i les rythment les saisons avec les couleurs automnal a contribué à la formation d'un méandre très pronon ne et délimite ainsi la zone d'inondation de la riv se développe en pied de versant jusqu'au cours de l o marquée par la ligne de pied de versant de la côtiè s. de versant est plus en retrait, le champ d'expansio m flets pittoresques. qu'à l'Est puis au Sud, au droit des communes de R i majeurceà niveau. ge de trois cent mètres, et parfois, des petites îl

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e Par contre, de part et d'autre du bourg où le pied Il Il en va de même au droit du bourg de Trévoux, qui la rivière est nettement plus large, tant à l'Ouest gauche. Ainsi, l'avancée rocheuse de Saint-Bernardcoursde rivière la etpar unelimitation coursdu .C'est le domainedes parcelles maraîchère Dans sa traversée du territoire, la rivière est lar d'eau d'une végétation dense. Les ambiances naturel

La façade fluviale de Saint-Bernard à Dombes, Parcieux qui est s'étend parfois jusqu'au bord de la Saô brumeshivernales, lescouchers de soleil etles re

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Vuesur Dombes, la depuis Saint-Didier-de-Formans. Vuesur Dombes, la depuis Saint-Didier-de-Formans. > La La Saône, Saint-Bernard. à e la ou le t t perceptible dans le site. le offre aussi qui permet aux

Panorama depuis les hauteurs deTrévoux. Panorama depuisla place dela Terrasse, Trévoux. à Photodu panorama depuis Trévoux. révoux depuis le panorama de l'Orme, sur la place d anorama sur la vallée de la Saône et des Monts d'Or er du bord de l'eau. La côtière est particulièremen s d'Or et le Beaujolais qui s'imposent visuellement rquée, portant parfois toute une façade urbaine. El oire sont nombreux, à commencer par le chemin de halage (ici, l’écluse (ici, deSainte-Euphémie).

2 Les rivières Les duFormans et du Morbier irriguentle territ PanoramiqueSaône. Ecluse Ste Euphémie cyclistes et promeneurs de cheminer et de s'approch des perspectives magnifiques sur la Saône, les Mont Les postes d'observations du paysage depuis les ponts alors qu'elle forme une avancée ma Plusieurs points de vue sont réputés, notamment à T Terrasse ou au sommet du château-fort, offrant un p Beaujolais. 7 3

7 P 3 accès PARCIEUX ) ). rs u P Limite Sud PK 25.820 LimiteSudPK o ours). c n e n o i x / e l f (ré r e s 1 accès ri o l a v à x      !"#$   % & '() *+)*,)#- $  & #"##.# *+"#$ / & 01'# "#"#2 3!!) '$  3453 6 1 3 7 8#)8,#, *9#))).# 1## # *+ u ZNIEFFtype 1, Ripisylves avifaune a i n o m i r t sdeFrance). a p s t Zone hors superposition de gestion de superposition hors Zone n e m é l t les t éléments patrimoniaux valoriser à é éléments patrimoniaux à valoriser (réflexion en c en à (réflexion patrimoniaux valoriser éléments s 4 accès e TREVOUX d t n e % m e s n P e c e r  : ZNIEFFtype 1, Ripisylves avifaune e Limite Nord PK 37.630 Limite NordPK n ô a S e d P s d rrage rrage ski de Zone nautique r o stationnements utilisés 9 accès b SAINT BERNARD SAINT s e d t P n (réflexion encours, en partenariatavec Voiesnavigable e m e g a n é Aménagement des bords de Saône de : des bords recensement des AménagementAm  Etude Etude pour l’aménagement desbords de Saône,recensan Limites ZNIEFF type 2 LimitesZNIEFF type Rampe de mise àRampe de l’eau d’ama quai Chemin d’accès à la Saône Bords de Saône, espace naturel et patrimoine et naturel espace Saône, de Bords Le Le pont neufdeTrévoux (1976). Saint-Bernard(1837), reconstruit en1947. La tracéde pontsur la Saône depuis à . notammentà Saint-Bernard. (pont suspendu (pont par descâbles). La La passerelledeTrévoux (1850) de typeSeguin

4

7 traverséede la rivière se faisait alors par bacs, Les troisLes pontssur la Saône duterritoire Lacarte de Cassini de 1760 environne porteaucun nt

5

7 e modifiant rment en prés siècle, il y a encore trente quatre e es morainiques et creusé par les affluents Au XIX , il en reste aujourd'hui neuf sur les deux vrieux unes de Saint-Didier-de-Formans, Sainte-Euphémie, es vallons du Formans, du Morbier, du Grand-Rieu so parcelles en eau et celles qui sont cultivées, en s . . , les immenses parcelles céréalières qui se transfo tangs de la Dombes. a un relief peu marqué, façonné de quelques collin plateau de Dombes Photoétang. au gréau des époquesselon une pratique spécifique. étangs à Saint-Jean-de-Thurigneux et vingt trois à Ci communes. Le paysage du milieu des étangs mêle les remarquables depuis certains points élevés closou en bosquetsboisés desà l'approche desvallons comm Aux confins Est du territoire débute l'espace des é de la Saône. Les paysages du plateau de Dombes et d Misérieux, . Ils développent à perte de vue > Le premiers étangsles plateauDombes et de Le

L’étangdela Combes, à Saint-Jean-de-Thurigneux. > Des milieux riches

La plaine inondable de la Saône et les quelques îles du territoire constituent une zone naturelle du plus grand intérêt pour l'avifaune et pour la flore , classée ZNIEFF 37 de types 1 et 2. Parmi l'avifaune, le râle des genets est l'espèce la plus spectaculaire pour laquelle le Val de Saône est classé zone d'importance européenne. D'autres espèces remarquables sont à mentionner comme le courlis cendré, la barge à queue noire, la locustelle tachetée, l'alouette des champs, le traquet tarier… En outre, les îles de la Pradelle, du Roquet, et de Beyne développent des ripisylves peu dégradées du fait de la très faible fréquentation ; elles servent d'abri à l'avifaune. Des roselières et des bosquets arbustifs (saules et peupliers) s'associent sur les berges de Saint-Bernard à Trévoux où se développe aussi l'iris d'eau. Au bord des étangs, on rencontre toute une végétation originale et variée : des végétaux flottants comme la châtaigne d'eau, la renoncule ou le faux nénuphar, des roselières, avec phragmite, scirpe et typha, ou, dans les zones plus ou moins inondées, avec glycérie, rubanier, sagittaire, enfin en limite de terre et eau, la jonchaie avec joncs, iris, salicaire et lotier des marais. Chacune de ces zones végétales est exploitée par les oiseaux d'eau soit Les bords de Saône, un milieu sensible à préserver. comme lieu de nidification, soit comme source de nourriture, soit comme asile protecteur. Les bords d'étangs en Dombes comprennent 26 espèces protégées qui sont menacées de régression. La Dombes vient d’être classée site Natura 2000, au titre de la directive européenne Oiseaux, pour son intérêt ornithologique exceptionnel (arrêté ministériel du 12 avril 2006).

> Les parcs, jardins et squares

Parmi les personnages célèbres du territoire, il en est un qui a marqué les parcs et les jardins, François Treyve . Pépiniériste et horticulteur à Trévoux, il était installé au Clos des Planches, dans la deuxième moitié du XIX e siècle, où il créera plusieurs poiriers appelés : la Précoce de Trévoux ou Précoce de Treyve, la Tardive de Trévoux. La structure métallique de la serre, laboratoire de l'arboriculteur, existe toujours dans le parc de sa maison, aujourd'hui aménagée en centre social et garderie. François Treyve est le concepteur de la plupart des jardins des châteaux et maisons bourgeoises de la région et serait considéré aujourd'hui comme un architecte paysagiste.

Dessin aquarellé signé Treyve pour un projet de parc en 1937.

37 Zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique, décrite dans la partie 1.3. 76 7

7 'Inventaire : . .

é aménagé au moment de la création de l'école Le Le parcarboré de lamaison dite LeJonc, à Trévoux riétésprivées à Reyrieux ; inventairedes jardins remarquables du Servicede l Le grand parc de d'agricultureà Misérieux Cibeins de seize hectares qui Lejardin duchâteau a Escoffieret six parcs de prop ét Le parcLe du Boujardà Sainte-Euphémie ; Leparc Praillebart à Saint-Jean-de-Thurigneux.     Plusieursparcs ou jardinssont répertoriés dans l'

Le Le parcdeCibeins.

Allée Allée demûriers, Parcieux. à Château deSaint-Bernard : le potager. ncs permet aux d'arbres fruitiers jardins à la française. l'industrie lyonnaise installés au e l'ancien château de Parcieux, de la maison des Jo nes. Une partie du jardin est ouvert aux écoles et eure eure d’Utrillo :création une contemporaine inspirée des comprennent un labyrinthe où les parcelles bordées témoignent encore des élevages de vers à soie pour

allées de mûriers Le Le parcduchâteau Utrillo, Saint-Bernard. à siècle dans les dépendances disparues aujourd'hui d e

8 Les jardins Les duchâteau deSaint-Bernard, ancienne dem XIX enfantsde s’initier au jardinage. Plusieurs Les jardins du château de Saint-Bernard palissés accueillent des variétés de plantes ancien à Trévoux, età Saint-Didier-de-Formans. 7 l 9

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i de cour haut sur c onde et les u au hourd, un escalier à i t

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2 des étages et fenêtres de grandes dimensions. La t

. ui semble copié sur les tours de Constantinople, la urtines s'étendent vers l'ouest délimitant une gran

2 il n'a conservé que deux étages, soit 16 mètres de et et à une galerie. Celle-ci dessert les chemins de r ement témoigne d'un relatif : desserte par ue sur le site, soit début XIV equ'un pan de mur. lutage, associé vraisemblablement aux mâchicoulis o

> > Trévoux, decapitale de souveraineté l’ancienne Do siècle, les courtines sont recoupées par la constru e le le château fort domine la ville et la Saône Châteaude Trévoux châteauLe et les fortifications Au sommet de la côtière, par deux courtines. Avec son appareil polychrome, q maîtresse est la construction la plus ancienne conn les28 de sahauteur d'origine. Une seule porte à l'étage permet l'accès au donjon protestants, puis du démantèlement révolutionnaire, gaines des courtines. Dans un premier temps, ces triangulaire. co Avant la fin du XIV flanquentun nouveau corps de logis dont ilne rest La conception militaire du donjon est limitée au ta et et à la protection des accès ; alors que son aménag vis dans l'épaisseur des murs, cheminée dans chacun Le château Le deTrévoux, château Le deTrévoux, Les fortifications Les de Trévoux, gravure parIsraël Silvestre,vers 1640. lors des lors Journées européennes du patrimoine. des lors Journées européennes du patrimoine.

dansplusieurs lieux. Les Les anciensremparts sont visiblesencore s de iellement dans la ville

e urbaine : la est remplacée uelle passerelle ; dansplusieurs lieux.

Les Les anciensremparts sont visiblesencore La La Tournache. n àn échauguette. ennemi potentiel en rappelant la puissance des Sire ant subsisté de nos jours. Les fortifications, part tes tours. L'extrémité orientale de la muraille sud à l’Ouest ; la porte de la Saône, en face de l’act me un triangle dont les sommets sont le donjon, et rt etdu péage, installés à ses pieds. ache. Quatre portes étaient ménagées dans l'enceint des des quatreportes que comptait laville. sièclepar une escarpe talutéeen pierre, avec reda La La portedeVillars, seule restante porte e La La portedeVillars, seule restante porte des des quatreportes que comptait Trévoux.

0 basse, la tour Alincola (Saint Nicolas) et la Tourn porte de Lyon, à l’Est ; la porte de Saint-Bernard, maîtresse, monumentale, destinée à impressionner l' L'enceinte de la ville, en pierre et en brique, for Villars,aussia une fonctionde surveillance du po et la porte de Villars, au Nord-Est, seule porte ay conservées dans les jardins, sont jalonnées de peti au XVII 8 1

8 sance et des ent ent des maisons 'escarpement de la côtière oblige l'habitat fenêtres à meneaux, ses voûtes en ogives, ses l'enceinte, il va s'accrocher sur la côte. L'étagem conserve un ensemble remarquable daté de la Renais unpâté de maisons. » au» sein desimmeuble. 38 s'est d'abord groupé autour du port et du péage. L siècles avec ses cours intérieures, ses tours, ses e et XVIII e bourg de Trévoux Mot employé à Lyonpour désigner un passage à travers Photoville Trévoux portes etimpostes, ainsi que les « traboules La villeLa Le 38

à s'étendre le long de la rivière, mais, limité par constitue une caractéristique de la ville. Celle-ci XVII

Trévoux

de rampes d'escaliers rampesd'escaliers de

d'impasses, de pentes escarpées, d'impasses,escarpées, pentes de vrais casse-cou pourplupart…"la casse-cou vrais

Peu de ville quiPeuville de aientplus ruelles, de

"…sent le Moyen Âge d'une surprenante. façon Âge Moyen le "…sent Baron Raverat, Baron De Lyonà Trévoux parSathonay, 1882.

La rue La Casse-cou. La rue La Casse-cou. hôtel de la ternes s'élèvent au-dessus siècle, était aligné le long de e

La La maisonThermac. La La maisonThermac. eraineté de Dombes, au XVII gouverneur, les bâtiments de l'Administration et l' umentallatéral. siècles possèdent des escaliers en vis dont les lan e et et XVII e

Trabouleausein des immeubles. Trabouleausein des immeubles.

2 la rue qui porte son nom et comprenait le logis du Certains immeubles des XVI Monnaie.On entrait dans courla par un portail mon destoits. L'ensemble des bâtiments du Gouvernement de la Souv 8 L it ée sé 3

8 lades, jourd'hui nstitution va topératoires.

autre hôpital plus ancien, et sur ulières qui s'organisent autour d'une de sa fondatrice, il est profondément La La tour actuelle, avecson dômeajouté vers 1910. Les travaux Les de modernisationencours. La La tour actuelle, avecson dômeajouté vers 1910. par le Nord. A l'origine, le rez-de-chaussée abrita , conseiller au Parlement ; il est autori t t les pièces de service. L'étage est réservé aux ma 1968 et à la fermeture de la maternité en 1975. Au elle. du rempart de la ville et intègre la tour Alincola, qui sera coiff hospitalierréservé à la gériatrie et aux soins pos de Dombes, Anne-Marie Louise d'Orléans en 1686. L'i té St Vincent-de-Paul. siècle. L'hôpital est composé de quatre ailes irrég e

est construit à partir de 1684 en remplacement d'un

siècle et rebaptisé hôpital Montpensier, en mémoire e Façade del’hôpital avecson ancienne tour. La La tour actuelle, avecson dômeajouté vers 1910. officiellement par lettre patente de la souveraine être placéesous directionla de fillesde la Chari Le nouveau bâtiment s'appuie sur l'angle sud-ouest d'un dôme au début du XX l'initiative de Claude Cachet de Montezan, comte de L’hôpital Montpensier et l’apothicairerie L'hôpital Maison Dieu restructuré, notamment après le départ des sœurs en encore,d'importants travaux modernisentle centre avecdeux dortoirs placés de chaque côté de chapla Agrandi au XX l'appartement du médecin, les logements des sœurs e cour fermée ; un porche d'entrée en permet l'accès

Façade del’hôpital avecson ancienne tour.

Les Les pots del’apothicairerie sont classés. e siècle e XVIII

siècle. Une série de pots en e gulaire, restaurée au milieu du XIX Les Les pots del’apothicairerie sont classés. siècle, sans doute en provenance d'une fabrique e de faite à la fin du XVIII du XVIII ses et de tiroirs probablement réalisés à la fin du

uropéennes dupatrimoine. uropéennes dupatrimoine.

ouvre sur le jardin. C'est une grande pièce rectan sièclecomplète collection.la e Présentation del’apothicairerie, lors Journées des e

4 lyonnaise. Une seconde série correspond porcelainedu à XIX la comman pourloger une importantecommande pots.de Une première série de pots en faïence date du début L'apothicairerie de l'hôpital siècle et meublée de trois étagères, d'armoires bas Aujourd'hui,56 pots sont présentés dans le meuble. 8 Présentation del’apothicairerie, lors Journées des e 5

cour 8 et A" s a été ont la date toire de Trévoux é et agrandi à la fin l’office detourisme 'un édifice de la première tructions de la vieille ville, uverains de Dombes, pour le siècle, dans lequel, boiseries, parquets et e TrévouxSaône Vallée. siècle). ur nom à la maison, en ornant de leurs initiales "P l'Ancien Régime, la maison dite des Sires de Villar es ouvertures qui ponctuent les trois façades et la e milieu du XVIII IV e sur le rempart sud et l'ancienne porte de Saône d "oriel". Il est probable que le bâtiment fut modifi La La maison Sires des deVillars, qui abrite aujourd’hui aire en 1991. La maison retrace par elle-même l'his nantaccès à l'escalieren vis. siècle, donnant à la maison toutes les apparences d e est une des plus anciennes et des plus belles cons établis par les ducs de Bourbon, seigneurs puis so officiers siècle ou au début du XVI e maison des Sires de Villars

Pierre de Bourbon et Anne de Beaujeu ont attaché le du XV occupée par des l'entablement de l'avant corps particulier, appelé Les hôtelsparticuliers La acquise par la ville en 1989 et inscrite à l'Invent n'estpas connue (vraisemblablement tout débutdu X et et de la principauté de Dombes. Le bâtiment s'appui monnayage,la justice, la police, les finances. ouvertures témoignent encore de cette époque. Sous Renaissance. De cette période sont datées les petit intérieure,l'oriel, la galerie voûtée d'ogives don L'ensemble a été transformé en hôtel particulier au

Hôtel Hôtel Messimy.

Hôtel Hôtel Messimy. L'hôtel Messimy . our de la maison s particuliers qui elle. din, la façade principale est ider à Trévoux, ce qui conduit ceux-ci à édifier les hôtels de Fontbleins, de Messimy,et Beauséjde ourg supérieur, l'actuelle rue du Palais. Les hôtel ent dans des demeures plus anciennes. C'est le cas e,dans la vieille ville, estune construction nouv vont adopter un parti classique, entre cour et jar

Hôtel Beauséjour. Hôtel , le Duc du Maine contraint les parlementaires à rés siècle e L'hôtel Beauséjour 6 leur résidence, soit intra-muros, soit dans le faub sont implantés dans la ville intra-muros, s'install des Siresde Villarsseul, ; l'hôtel de l'Imprimeri Les hôtels particuliers du faubourg orientéeau sud, côté Saône. Ce sont parexemple Au XVIII 8 7

8 ture très Prince de r la sous- ombes à la rd'hui le siège s, le bâtiment . La construction la Souveraineté C'est un simple bâtiment rectangulaire à l'architec e est affecté à l'intendance, puis il est occupé pa acte politique : la première annexion du pays de D ancien palais de Roanne. En 1696, le Duc du Maine, rvices fiscaux. Hormis les modifications intérieure Melle Chuinaguedeet Longin M gendarmerie. Propriété du Département, il est aujou etour destinéeaux communs.

transfert du siège du Parlement dans la capitale de de Dombes

Tableaureprésentant Parlementle : Noce masquée de conserveson aspectd'origine. du tribunal d'instance et abrite, à l'étage, les se commence en 1697, dans le faubourg est de la ville. préfecture, le tribunal de première instance et la Le Parlement Dombes, ordonne le Le Parlement de Dombes a été établi à la suite d'un (1523-1560). Il siège d'abord à Lyon dans l' sobrequi se prolonge à l'arrière par une aile r en Après la suppression du Parlement en 1771, l'édific

Audibert(1784) La La noce masquée tableaureprésentant le Parlement, entre entre l’ancienneprison et lecouvent Picpus. de de Mademoiselle deChuinague et de Monsieur Longin, Le Parlement de Dombes est le symbole suprême de l'indépendance et des privilèges de la souveraineté et il va en témoigner par le décor exubérant de la salle d'audience traduisant le dessein politique du prince et de ces représentants. Claude Cachet de Garnerans , comme pour l'hôpital, sera le véritable maître d'ouvrage et, en 1698, commande au peintre Pierre-Paul Sevin un décor prestigieux, sur le thème de la justice et la paix . Le décor en trompe l'œil en l’honneur de sa majesté le Prince de Dombes rappelle aux conseillers leur double devoir : à la fois juges et gardiens de la paix publique. Les médaillons placés à la liaison des murs et du plafond illustrent des scènes de l'ancien testament, épisode de la vie de Moïse et du roi Salomon. Moïse, représentant Dieu sur terre, reçoit les tables de la Loi. La sagesse du roi Salomon est un exemple pour les conseillers du Parlement de Dombes. La reine de Saba reconnaît cette sagesse en offrant des présents au Roi, lors de sa visite. Les scènes sont inspirées partiellement des œuvres de Raphaël pour les Loges du Vatican. Le décor se poursuit sur les poutres et suggère un parallèle entre Rome (le Sénat, l’empereur, les faisceaux de verges portés par les licteurs…) et la Principauté de Dombes : le Prince, le Parlement La Justice divine et la Magistrature. et les armes de Dombes sont représentées en allégories romaines. Les peintures des murs et du plafond de la salle d’audience sont classées en 1920.

Moïse présente les Tables de la Loi au peuple hébreu.

Salle du Parlement.

88 La visite de la reine de Saba à Salomon. 9

8 (Sainte- 89). igneux, en Boujard (Civrieux), au ancêtres des premiers châteaux, sont , encore entourée d'un fossé, constitue > Châteaux mottes castrales et Seigneur - siècle, elle était encore ceinte d'un mur de e Bois poypes,

ou Poypede Reyrieux. siècle. Au XVII e la poype de Ligneux PoypedeSaint-Jean-de-Thurigneux ux, dont le premier seigneur connu est Adalard de L araissent ausommet. La motte estprotégée (ISMH 19 mottes castrales (Reyrieux), à Parcieux, à siècle, puis au XV e Herbevache (Saint-Jean-de-Thurigneux) ; et à Ligneux Châtel siècle, les fortifications de terres appelées e brique etsurmontée d'une tourdont lesassises app Les mottescastrales Au X Euphémie) et à répertoriées, à l'ultime vestige d'un château, appelé Tour de Ligne 1100. Le château est évoqué au XII Anciensremparts, surlapoype deCivrieux.

La cour La intérieure. ou e nce de siècle. La e ccidentales, lise de Lyon. A 7, est mentionné au XIII siècle avant d'être fortement remanié au XVI eOlive. e er et Suzanne Valadon, le château devient la réside au fort : murs d'enceinte, base des tours d'angle o esvues du village etde la région. onnais et à ce titre, elle est revendiquée par l'Ég rélevé au XV

à Saint-Bernard, classé Monument historique en 199 Château deSaint-Bernard, vue extérieure. siècle,elle estvendue à Martin Covet, baron de St e siècle. e château «Utrillo » 0 Les châteaux Le seigneurie de Saint-Bernard fait partie du Franc Ly la findu XVI Racheté en 1923 par le couple d'artistes, André Utt reposde Maurice Utrillo.va Il peindre de nombreus basse-cour, tour d'entrée. Le corps de logis est su XVII Le château garde le plan et la structure d'un châte 9 1

9 ulaire à ier et des ville, c'est n appareil en e en 1717. Le te. tours massives sur la siècle, a été une maison forte. Le

e II

siècle. L'édifice dit "maison forte avec fossés" e Le château Le deTanay, à Saint-Didier-de-Formans. Le château Le deTanay, à Saint-Didier-de-Formans. 45. Le vaste ensemble de bâtiments, de plan rectang en 1918 pour devenir l'École d'agriculture de cette . . Une chapelle existait depuis 1500 et a été rebâti and parc. La travée centrale est différenciée par u dans œuvre. L'ajout de créneaux sur la tour d'escal ot. En1990, une adjonctionau château est construi siècle ; aujourd'hui, le bâtiment, flanqué de deux e siècleont changé l'aspect du château. e à Misérieux, dont les terres sont mentionnées au X à Saint-Didier-de-Formans, est attesté au XIII siècle, est modifié au début du XVII e château de Tanay, château de Cibeins façade postérieure, s'élève entre une cour et un gr Le au XVI pierre de taille et correspond modifications à de la toiture au XX l'escalier en vis Le aujourd'hui,le lycée agricole d'État ÉdouardHerri château de Cibeins est acquis par la ville de Lyon deux cours fermées, est flanqué de quatre pavillons château actuel date de 1696 et a été restauré en 18

Façade Façade duchâteau deCibeins, à Misérieux. Le château de Fétan (ancien fief) à Trévoux, est une construction de 1623 qui longe le bief du moulin. L'édifice, de plan en U, comporte deux ailes de logis, reliées par un corps de passage donnant sur le parc. L'aile nord intègre un corps de bâtiment plus ancien, flanqué d'une tour en demi-hors d'œuvre, vraisemblablement la maison forte, attestée au XV e siècle.

A Parcieux, la Grange Blanche est un manoir qui abrita, au XVI e siècle, la poétesse lyonnaise Louise Labé. Le bâtiment est modifié au XIX e siècle avec l'ajout de tourelles et d'une chapelle.

Le château de Reyrieux est probablement bâti vers 1672 par la famille Cachet de Garnerans, sur le fief de Balmont leur appartenant. Le corps de logis est flanqué de quatre tours carrées et s'ouvre sur un vaste parc. Le bâtiment est modifié au XIX e siècle. Aujourd'hui, il appartient à une école japonaise qui enseigne la gastronomie française à ses ressortissants.

La Grange Blanche à Parcieux.

Château de Fétan à Trévoux. Le château Escoffier à Reyrieux. 92 de 3

9 siècle e ravées, et ntique : un siècle par la e 'Arras, le clos social et une de quartier.

siècle. e

XVII ristiques des maisons de plaisance. pépiniériste et horticulteur à Trévoux. Le placement d'une ferme. En 1875 s'ajoute Le château Le duBoujard, à Sainte-Euphémie. illes lyonnaises, désireuses d'implanter leur Le château Le duBoujard, à Sainte-Euphémie. > Maisonsdedu plaisance XIX ntcorps central en moellonsappareillés. ainsi une tradition amorcée dès la fin du XVII milieu de vastes parcs paysagers, entourés d'un mur ntal. Leur plan répond à un parti architectural ide es façades régulières sont uniquement rythmées de t propriété de la ville de Trévoux, c'est une maison stige. La ville l'a acheté pour y établir un centre . précédée d'un perron. Trois exemples : la maison d lescommuns. siècle,pour mettre augoût du jourle bâtiment du e à Sainte-Euphémie présente, aujourd'hui, les caracté existe en 1855, elle appartient à François Treyve, La La maison d’Arras, , est une maison de maître construite en 1850 à l'em siècle, le site de Trévoux a attiré de vieilles fam e estbâtie en 1867 pour Joseph Ruolz, en pisé ava et

39 qui héberge qui aujourd’huilecentre social Le Tournesol Cette maisonfigure à lapage 86. maison de campagne en bordure de Saône, poursuivant Au Au milieu du XIX 39 Le château du Boujard s'agit Il d'un aménagement du XIX clôture interrompu par une entrée au portail monume corps de logis peu important, des communs isolés. L noblesse parlementaire. Ces maisons sont bâties au jardin a été réduit et la serre n'est plus qu'un ve des Plancheset le Jonc à Trévoux. La maison d'Arras un fronton triangulaire accentue la partie centrale garderie, transformant l'intérieurde la maison et Jonc Le des écuries,une serre et une fontaine.Aujourd'hui, Le clos des Planches on. on. La La maison d’Arras, qui hébergequi aujourd’huile centre de loisir Val Horiz

Décor salon, du détail. à l'italienne, siècle. Vers 1840, il est e

Décorsalon, du détail. de Ruolz. La partie la plus originale est le salon thème de chasse.la avec chapelle et colombier, existe déjà au XVIII

château de Corcelles, Le salon Le l’italienne à duchâteau deCorcelles.

4 A Trévoux, le transformé en rendez-vous de chasse par la famille entièrementrecouvert de peintures murales, sur le 9 5

eules 9 , limon élimitée. Les gars. ques cuites. Le nt nt utilisés pour le

les galets et la terre > L'architecture rurale Murdeferme orné decroix de moisson. aône est l'absence de pierre de construction. Les s les techniques architecturales, sont un plan en U, un mur pouvant fermer la cour ainsi d sation des murs de pisé et à la fabrication des bri pierre, qui provient d'outre Saône, ou le galet, so uventmodeste, les dépendancesagricoles etles han ementsdes baies.

corpsde bâtimentsabritent le logis du fermier,so matériau de construction est extrait sur place. La solin.La pierre est utilisée aussi pour les encadr La plupart des fermes en pisé du territoire adopte argileux superficiel de Dombes, propices à la réali ressources locales qui vont largement conditionner Fermes La grande caractéristique de la rive gauche de la S (Saint-Jean-de-Thurigneux). Pisé Pisé enduit et galets : (Saint-Jean-de-Thurigneux). Fermedela Dombes, avecsa cour intérieure en U les les matériauxdes constructions locales. Fermedela Dombes, avecsa cour intérieure en U Pigeonniers et fours à pain Le four à pain , habituellement inclus dans la ferme, pouvait parfois être logé sous un appentis, isolé au bord du chemin, à proximité de quelques fermes. Il en demeure encore quelques uns. Les pigeonniers apportent une note caractéristique dans le paysage et gardent le souvenir de l'ancien régime et du droit de colombier. Plusieurs subsistent à , dont l'un est bâti sur des piliers, à Misérieux, Reyrieux, et à Parcieux.

Pigeonnier à Misérieux… …et à Parcieux.…et à Parcieux. Four communal,Four communal, à Saint-Didier-de-Formans. à Saint-Didier-de-Formans.

96 ns, 7

9 s ou des ine. onner les crèches et hôpitaux de Lyon en denrées exemple rare d’une ferme modèle des années 1920 omprend des bâtiments destinés à héberger les lycée erainsi l’exode rural) es inscrits dans les années 1920 étant des orphelin eexploitation avaitun double objectif : en enseignement général et professionnel. Entre leEntre château l’internat, et , stabulations…) , et des espaces verts. le centre le de documentation d’architecturecontempora Photochâteau + internat développer un pôle agricole susceptible d’approvisi alimentaires(principalement en lait) formerles jeunes à l’agriculture moderne(et contr La fermeLa modèlede Cibeins Le domaine de Cibeins (commune conçue de à la Misérieux) campagne estpar des un citadins. Le domaine c  Elle Elle poursuivait aussi un but social, 30 % des élèv l’exploitationagricole (écurie, hangars à céréales  Construitesous l’impulsion d’Edouard Herriot, cett pupillesde la nation. Aujourd’hui,le lycée agricoleaccueille 450 élèves

, , s, s, . . EdouardHerriot EdouardHerriot

en souffrions les premiers ». ». souffrions en premiers les en souffrirons les premiers ». ». premiers souffrironsles en

«nous, urbain nous, «urbains désertée, campagnesera oùdésertée, la jour campagnesera où la Le jour Le « L’école est appelée à rendre de grands services à la collectivité en contribuant au progrès de la science agricole, en développant les moyens de production et en formant des praticiens instruits ». Le Président Deschanel, mars 1920 .

Plan de l’exploitation agricole tel qu’elle était prévue à l’origine.

98 Une vision industrielle de l’agriculture…

Les hangars, dont la charpente métallique Rails pour acheminer les wagonnets provient des anciens abattoirs de Vaise. au sein de l’exploitation.

La maison du chef de culture et la boulangerie Plaque d’aiguillage. (au premier étage, l’espace pour couver les poussins). 99

au au Parc de la tête d’or deLyon, Les statues, Les initialement destinées qui décida qui deles installerCibeins. à furent furent jugéestrop licencieuses parleur commanditaire

La roseraie La Cibeins, de lors du lors Moisdes jardins en1999.

0

0

… etune vision romantique de la campagne. 1

1

0

1 siècle e privé en e même date, le pouvoir ublicaine de Trévoux ; il est édifié par siècle et du débutdudusiècle et XX L’ancienne prison,réhabilitée en logements. e L’ancienne prison,réhabilitée en logements. la liberté ». iment a été transformé récemment par un propriétair en 1891 sur l'emplacement des anciens cachots. A la sera la grande construction de la municipalité rép >du L'architecture civilepublique XIX André Bellemain hôtel de ville logementsauxquels ila donné le nomde « Résidence central élève dans les faubourgs une prison. Ce bât l'architecte lyonnais Le nouvel L’hôtel L’hôtel deville deTrévoux. siècle. e

l’école municipale. La La mairie deParcieux, caractéristique de de l’architecturedudébut duXX Le kiosque Le à musique(1910) La La mairie deReyrieux accueillait autrefois Ici, lors Ici, de la fête dela musique. fait partie fait dusite inscrit de laTerrasse.

l’école municipale. est Le kiosque Le à musique(1910) Ici, lors Ici, de la fête dela musique. fait partie fait dusite inscrit de laTerrasse. La La mairie deReyrieux accueillait autrefois ignement est la la place de la Terrasse siècle, celle de Trévoux, du fait e en 1902 et Parcieux en 1909 par Delorme la porte de Saône en 1876 ; sa ville (et rendre la plus salubre) : un plan d'al Françoisde Treyve. rchitecte lyonnais grands travaux au cours du XIX Le Le pland’alignement de Trévoux(1873).

2

0 réaménagéeen 1873avec plantationla d'arbres par Reyrieux fera construire son hôtel de ville par l'a l’architecteLanier. mis en place en 1873 qui entraîne la suppression de de son rayonnement antérieur, veut encore embellir Si Si les autres municipalités n'entreprennent pas de 1 3

0

1 entspublics e pare des (architecteTAO, 2005). Ecolemunicipale deCivrieux Collège JeanCollège Compagnon à Reyrieux (architecteBerlottier, Dosse etDelers, 2000) (architecteTAO, 2005). Ecolemunicipale deCivrieux mporainesur le territoire. Celle-ci est représenté aône Valléesont soucieuses deconstruire des bâtim Collège JeanCollège Compagnon à Reyrieux (architecteBerlottier, Dosse etDelers, 2000)

(1992) Lycée Val Lycée deSaône à Trévoux de de Trévoux,réalisée parl’architecte Saintourens. L’architecture des années1950 la salle: des fêtes > L'architecture contemporaine Il Il existede nombreux exemples d’architecture conte bâtimentscivils, privés etindustriels. Depuisune dizained’années, les collectivités de S hautede qualité architecturale. La mairie de Saint-Bernard (architectes Minassian et Frenoy, 2002)… …dont les coursives rappellent celles du château.

Le nouvel hôpital de Trévoux : une réhabilitation réussie.

104 5

0

1

EntrepriseIPS, Reyrieux. à

Alliance Metal, Trévoux. à (agenceTectoniques, 2007) Le Le projetpetite enfance, Saint-Didier-de-Formans

Sofradim,à Trévoux. 6

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e clocher à i

g écédente, sont i l

e siècle subsistent dans

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e t t subsiste en forme de U. La n i des moines de l'abbaye Saint siècle, la nef était plafonnée et le o > L’architecture religieuse e Isère, dans la première moitié du IX

m ées depuis ; seuls, quelques anciennes i

r t

a siècle. L'aile sud abrite une chapelle datée du XI pour les habitants du hameau. Elle est inscrite à e P

3 Bruyèreet l'églisede Saint-Bernard . à Anse. Jusqu'au XIX orté, aux moulures de style gothique flamboyant. Le rs de la nef, et quatre chapiteaux du X 2 tempsqu'une sacristie. vestiges de la chapelle St Roch, attenante à la pr e datée du XII

> siècle et dépend de l'abbaye d'. Le bâtimen e est mentionnée en 1032, elle aurait été fondée par est attribuée à Saint Barnard, évêque de Romans en siècle. De nombreuses restaurations ont été effectu e

siècle et correspondaient à un lieu de culte ouvert e monastère RestaurationStSébastien eux. été reconstruitété en 1827et l'abside en 1879en même le chœur. Le porche a été fermé par un portail rapp L'ancienprieuré des Bénédictines Notre-Dame de la L'origine du siècle. Il est mentionné au XII siècle, actuellement transformée en habitation. Les datés du XV baies apparaissent entre les nouvelles, dans les mu partie ouest de la cour conserve une aile du cloîtr ISMHen 1992. L'église de Saint-Bernard Barnard de Romans à la suite du concilechœur était dedaté du 994 X tenu

eux.

siècle, Ie siècle(détail), e

Restauration dela statue deSaint Sébastienà Miséri dessinaquarellé du XVI Archives départementalesduRhône. Archives départementalesduRhône. L’église et lechâteau deSaint Bernard, L’église et lechâteau deSaint Bernard, dessinaquarellé du XVII Restauration delastatue deSaint Sébastienà Miséri

Eglise de Saint-Bernard,vue extérieure. Eglise de Saint-Bernard,porte intérieure.

Ancien prieuré de Saint-Bernard. Ancien prieuré de Saint-Bernard.

8

0

1

9

0

1 St Jean- construites

eux.

siècle).

e

siècle). e Eglise de Parcieux(chœur du XIII Eglise de Parcieux(chœur du XIII Elémentsromans rapportés sur l’église deCivrieux. sions de l’église de Lyon, ont été partiellement re Elémentsromans rapportés sur l’église deCivrieux. 'est le cas de St Denis et St Blaise à Civrieux, de sérieuxet JeanSt Baptisteà Saint-Jean-de-Thurign

siècle). e

Eglise de Misérieux. Élémentsd'architecture romane et gothique Plusieurs églises, mentionnées dès 994 comme posses Baptisteet St Blaise à Parcieux, de St Martinà Mi et et conservent des éléments d‘architecture romane. C Eglise de Saint-Jean-de-Thurigneux(nef duXII e deux t t d'une hameau du Château, siècle. La chapelle de la Résurrection ou e

récemment fait l'objet d'une étude archéologique e t t mentionnée au XI -Formans était adossée à son mur nord. Elle conserv

siècle. Une tête sculptée remployée dans un mur du e ChapelledeSaint-Didier-de-Formans, vue extérieure.

0 ChapelledeSaint-Didier-de-Formans, vue extérieure. 1 proviendrait de l'ancienne église. restauration. Les vestiges ont Notre Dame date quant à elle du XVI La chapelleLa deSaint-Didier-de-Formans La chapelle de l'ancienne église de Saint-Didier-de petites baies romanes murées. L'église démolie étai 1 nt

1 entre mur 1 oux,

1 rchitectes landon en e-Euphémie Faugeron, de en 1860 et un privé. isérieux en 1824, Saint- édifices néo-romans ou arrière cour, aujourd’hui

relever les clochers abattus siècle e siècle, ont été détruits. Il ne reste qu'un pan de e hantiers, ces architectes, tous lyonnais, s'entoure aint-Didier-de-Formans en 1885 et celle de Trévoux nes, qui vendent leur couvent des faubourgs de Trév hitectes lyonnaisau XIX odestes : ue favorisent la reconstruction des églises : les a ngée et la façade refaite sur le dessin d'Albin Cha 1843et de Sainte-Euphémie. ard 1879en ; les, devenues trop petites, par des sà Misérieux en 1866 par l'architecte Bernoux ; ntreconstruites en 1888. nt le XIX n et Bourdon, dressent les plans de celles de Saint s un château à la Sidoine, font bâtir une chapelle Journoud.Aujourd'hui, c'est l'école et le collège ; ainsi sont rétablis dans le territoire, ceux de M , comme Auguste Chambon, Hippolyte et Jean-Baptiste siècle hors les murs de la ville, visible dans une e siècle, le nouvel évêque de entreprend de e . à Parcieux, après d'autres travaux, la nef est prolo 1870 nefla avec sa chapelle sont en partie refaite l'architecteReboul agrandit le chœur de Saint-Bern à Civrieux, la nefetles chapelles sont partielleme Dans la première moitié du XIX dans son diocèse pendant la révolution Bernarden 1827, de Trévouxen 1829,de Parcieuxen Puis, l'essor économique et l'expansion démographiq  Pour l'exécution de d'entrepreneurs leurs et artisans travaux locaux et le suivi des c Thoubillon, George, Carret, Donat et Benoît, Bresso néo-gothiques Lesautres communes se contentent de travauxplus m 1899 et 1904. Toutes remplacent les églises médiéva   et et de Reyrieux en 1875, de Toussieux, en 1876, de S Trévoux. Les bâtiments conventuels, construits à Trévoux ava Le renouveauLe dans laconstruction, l’apport desarc du couvent Picpus, élevé au XVII pour créer en 1851, une école de jeunes filles, dan édificecentral en 1891 par l'architecte diocésain aménagé en nouveau parking du Parlement. Les Ursuli

Eglise de Trévoux,vue des quais deSaône.

…et …et deReyrieux.

…deSainte-Euphémie… s…

2

1

1 Un air Un de famille: églises deSaint-Didier-de-Forman 3

1

1 parfois fonte. ux.

Sculpturevoleur. du tues en bois, provenant du calvaire de Lyon, sont > Statuaire, calvairesmission de croix et Sculpturevoleur, du calvaire deParcie uphémie et celle de Reyrieux sont parmi les plus siècle, lors d'un jubilé ou d'une mission rappelés e u XIX . . En 1900,elles sont remplacées pardes statues en uréesparla Communauté de communes Saône Vallée. est érigé en 1815 à Parcieux. A l'origine, les sta calvaire La plupart des croix ont été relevées ou établies a sur une inscription. La croix du Machard Un à Sainte-E intéressantes. Plusieursde ces croix ont été resta Lecalvaire de Parcieuxa étérestauré en 2007. offertespar Chanoinele Frangin,natif de Parcieux

Croix Reyrieux, de détail. Croix Croix de Saint-Bernard,encours derestauration. Croix de Saint-Bernard,encours derestauration.

VitrauxReyrieux. de

siècle e XIX

traux datent de > Fresquesvitraux et > Fresques, vitraux dessinées par Claude Barriot, peintre lyonnais du

lon. aux intéressants. Dans l’église de Reyrieux, les vi AnticailleLyon.à Ils sont datés de 1875. Fresque à Sainte-Euphémie.

4

1

1 qui aqui aussi réalisé les décors de Chapellela de l’ Plusieurs églises du territoire comportent des vitr 1874et sont l’œuvre du maîtreverrier Bernard Guil Les fresques de l’église de Sainte-Euphémie ont été

5

1

1 suisse Communauté siècle. Elle a fait e relief ou élément > Tableaux sculptures et

18 est sculptée sur le cuvier au centre de la cène. ; elle est datée de la fin du XVII u cardinal Fesh, originaire de Parcieux, depuis la munesen 2006. toire, le plus ancien est à Parcieux. C'est un Retable Parcieux à (détail). bjet de programmes de restauration conduits par la l'Annonciation

Retable Parcieux à (détail). en bois peint et doré, figurant la Cène. La date 14 l’objet d’unerestauration par Communautéla de com Tableaux et sculptures classés et inscrits font l’o decommunes Saône Vallée. Parmi les objets d'art sacré conservés sur le terri d’un retable romande. A Misérieux, une huile sur toile représente Il Il a été donné à la paroisse par le grand vicaire d

avantrestauration. Après restauration. Après Tableaudel’Annonciation (détail), Misérieux, ion. TableauChrist croix, en Trévoux, à après restaurat s ui a peint siècle, pourrait provenir de e Après restauration. Après hrist sur la croix de Charles Le Brun ; le l'hôpital de Trévoux. Deux de style et de dimension œuvre, dans un cadre du XVIII tribués à Daniel Sarrabat (Paris 1666-Lyon 1748), q

ticulierceux de Lyon et St Antoinel'Abbaye. on. on. , à l'église de Trévoux, copie d'après gravure d'un C TableauChrist croix, en Trévoux, à avant restaurati TableauChrist croix, en Trévoux, à avant restaurati

Christ en croix 6

1 fond du paysage est cependant très simplifié. Cette Un l'anciennecollégiale. Plusieurs tableaux ornaient semblables, œuvre l'ancienne d'un même peintre, ils ont chapelleété at de pourles édifices hospitaliers de la région, en par 1

Saint Antoine, Civrieux, avant restauration. Saint Antoine, après restauration.

Saint Sébastien, Misérieux. Vierge à l’enfant, Sainte-Euphémie, avant restauration.

117 8

1

1 s e 9 i 1 1 a servi pour èle "notice ine) et les n e faciliter un

n .

o les ouvrages les deux collections

m atalogue général des – sans compter une t

e > Le patrimoine écrit

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e Mémoiresde Trévoux

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r etcomplète celle des n 1887. Ils concernent la Dombes historique et ont nières années, ont permis de constituer dela ville de Trévoux. c sieurs fonds patrimoniaux. Un inventaire sur le mod réalisé par Bernard et Josette Namian dans le but d ages. Il n'y a pas d'incunables dans les fonds ;

é siècles) - des estampes diverses (environ une centa e e

n

i et XX 2500 monographies, périodiques et manuscrits e o . Quatre manuscrits en 7 volumes sont inscrits au "C

m (XIX i siècle r e

t Dictionnaire de Trévoux

a siècle. e P

4 .

2 Journal de Trévoux

> M Coquard,présentation du dictionnaire despublications au XIX manuscrits des bibliothèques publiques de France" e Les acquisitions de la municipalité, faites ces der futur futur catalogage. Il porte collection sur du plus de dernières acquisitions, environ une centaine d'ouvr plus anciens datent du XVI Le fonds ancien de la ville de Trévoux comprend plu Bibliothèque nationale de France" est actuellement complètesdes éditions du L'ensemble donneun intérêt majeurau fonds ancien

,

Présentation duDictionnaire de Trévoux.

Traité des opérationsdechirurgie siècle,fonds ancien dela ville deTrévoux). e de René-Jacques de Croissant deGarengeot (XVIII Présentation duDictionnaire de Trévoux. Plancheextraite du

MémoiresdeTrévoux est conservéeest la à mairie de Trévoux. La collection La complète des s s qui tout en imerie se à Paris de , , dès 1699, imprimé la nt nt également rfections dus aux avec les principaux . Ils servent les intérêts Journal de Trévoux Dictionnaire français et latin e 1767 siècle, et ceux des rédacteurs e Dictionnaire de Trévoux ou Mémoires pour l’Histoire des Sciences et que des théories de l’époque (Newton,

. Compagnie de Trévoux Les , à partir de 1701, et le dus que rédigent les Jésuites, présents sur tous le fragile au début du XVIII verain de Dombes eau fonde la comme polémiques dans leurs résumés des publication ne renouvèle pas le privilège au MémoiresdeTrévoux libraires de Lyon, quand il appelle à sa direction nouveau accordé mais l'impression se fait à Paris, nné en 1603, c'est grâce au Duc du Maine que l'impr es idées parmi la noblesse et la bourgeoisie. Ils o desrègles d'édition françaises. bassadeursde Trévoux dans l’Europe des Lumières. ui sépare les rédacteurs du Collège Louis le Grand t t art). Aux conflits s'ajoutent des retards et impe s plus connus sont . Journal de Trévoux . Pagesextraites des paraissent mensuellement de janvier 1701 à décembr MémoiresdeTrévoux Mémoiresde Trévoux

appelés communément , en rendant compte des ouvrages scientifiques ainsi Pagesextraites des

0

2 s'imprime alors à Lyon. En 1734, conservant le titre de le privilège est à Jésuites qui,à Trévoux, échappent aux contraintes Les Mémoires Leibnitz…) ont largement contribué à la diffusion d élargi la connaissance du monde par les comptes-ren continents. Leurs contenus sont parfois considérés scientifiques (théologie, jurisprudence, sciences e tensions internes à la rédaction et à la distance q l'imprimerie trévoltienne. En 1730, le Duc du Maine des Beaux-Arts, libraires parisiens. Plus de 1500 titres sortent de l'imprimerie dont le du Duc du Maine qui alimente son imprimerie encore imprimé par ordre de S.A.S., Monseigneur Prince Sou première fois 1704.en Ces titres deviennent les am Les Mémoires de Trévoux Si Si un premier privilège d'imprimer à Trévoux est do développe considérablement, malgré l'opposition des Jean Boudot, libraire à Paris. En 1707, Etienne Gan 1 e le

1

e au 2

1 . révoux dont on de 1704, trouve dans raphie. Il rend s’explique car nces. Il est considéré DictionnairedeTrévoux . Le remaniement de la réédition du sortent des presses de Trévoux en

Dictionnaire de Trévoux Pagesextraites du

, beaucoup d'ouvrages, correspondant au goût du en. L’encyclopédie de Diderot et d’Alembert citera Dictionnaire deTrévoux rimeur installé à Nancy (terre de Lorraine rattaché es d'Amsterdam, la Hayes,… mais son activité diminu t t 1740. Le succès du Dictionnaire de Trévoux ses éditions s’étoffent- deux volumes pour l’éditi rance, en 1762. ce qui prouve que l’ouvrage était recherché. On le des sciences, des arts, de l’histoire ou de la géog Basnage de Bauval sert de base au Dictionnaire de T Exposition autourdu lors des lors Journées européennes du patrimoine. siècle, y compris du parler en usage dans les provi e Dictionnaire universel françois et latin comme une source pourcertains termes. l'imprimerie se lance dans la contrefaçon 1704 et 1721, imposant la dénomination courante de Les deux premières éditions du comme le premier dictionnaire de rayonnement europé Dictionnairede Trévoux A partir de 1731, Royaume de Pologne) produit deux éditions en 1734 e les auteurs comptent quelques jésuites. Les nombreu dictionnaire d'Antoine Furetière par le protestant public, sont alors imprimés lentementjusqu'au rattachement de sous la Dombes laà F de fausses rubriqu toutes les cours d’Europe ainsi qu’au Japon. Un imp cinq pour celle de 1721, six en 1752, huit en 1771- c’est le premier dictionnaire à aborder les termes compte du langage courant du XVIII .

DictionnairedeTrévoux Dictionnaire deTrévoux Pagesextraites du Exposition autourdu lors des lors Journées européennes du patrimoine. orfèvrerie de Trévoux. Cuillère saupoudrer, à

prix lent à eule, six arqué à ses Dès lors, les siècle, parmi on de pièces e rc et Eustache, > L’orfèvrerie Trévoux de arque (1672) entraîne un renchérissement des objets eberc, et la dynastie Bouvier qui fournit, à elle s pement de clientèle, des orfèvres lyonnais s’instal t t de Marque, les orfèvres de Trévoux pratiquent des s’installerailleurs dans le Royaume. du maître, celui du Prince et celui de la ville, m r des monnaies de Lyon met fin à leurs privilèges. lisé une vaisselle de qualité au cours du XVIII s, constitue, depuis plusieurs années, une collecti s, réalisés par les orfèvres Raussin, Bouvier, Debe Présentation del’orfèvrerie deTrévoux Présentation del’orfèvrerie deTrévoux lors des lors Journées européennes du patrimoine. des lors Journées européennes du patrimoine.

2

2 La création dans le Royaume de France du droit de M 1 d’orfèvrerie, notamment à Lyon. Echappant à ce droi avantageux. Attirés par ces perspectives de dévelop Près d'une trentaine d'orfèvres trévoltiens ont réa Trévoux. C’est en 1786 que le rattachement à la cou commandesdiminuent, etbeaucoup d’orfèvres partent armes d'unetour surmontée de troisfleur de lys. La ville de Trévoux, conseillée par des spécialiste lesquels, Antoine Eustache, Jean Raussin, Jacquesorfèvresà Trévoux. D Chaque ouvrage est marqué de trois poinçons : celui d'orfèvrerie trévoltienne. A ce jour, vingt ouvrage sontrassemblés. 3 ège trop 2

ité, est 1 seils de Dombey jetait un on (1427- t t médailles, la monnaie allé au "Petit e premier atelier une dépendance Quartd’écu, > Les monnaies Ecu, Ecu, monnaie d’Anne MarieLouise deMontpensier. monnaieGaston de d’Orléans. , conservés dans un médailler à l'apothicairerie de tons pays de Dombes, un droit de frapper monnaie, privil le, le, la monnaie de Trévoux, produite en grande quant Ecu, Ecu, ce de Dombes, interdisant le monnayage à cause des cus d'or, blancs et deniers, copient en tous points ril la monnaie du Royaume de France, la monnaie de s italiennes surtout). Le nombre croissant de faux nes sont frappées, l'une au nom de Jean II de Bourb urce principale de la ville, le "Petit Moulin" est 38-1503). monnaies de Dombes, depuis quinze ans, sur les con n se compose de plus de quarante jetons, monnaies e aies. lier monétaire de la Grande Mademoiselle était inst Trévoux est choisi comme siège de la fabrication. L monnaieGaston de d’Orléans. siècle,ildeviendra l'Hôtel des Fermes. e Doubletournois monnaie d’Anne MarieLouise deMontpensier. Doubletournois monétaire est ouvert en 1414. Les espèces émises, é Jean de Bourbon, Prince de Dombesplaçant le duc sur un pied d'égalité établit, avec le roi ; pour le si prisée qu'elle est imitée jusqu'en Italie. L'ate del'Hôtel de la monnaie. Au XVIII française. Pendant le règne de la Grande Mademoisel Moulin". Élevé sur le rempart et alimenté par la so spécialistes. Aujourd'hui, cette deuxième collectio ayantcours. Une première collection concerne 139 monnaies et je discrédit sur la monnaie de Dombes et mettait en pé importantes copies faites à l’étranger (principauté La ville de Trévoux fait l'acquisition régulière de l'hôpital Montpensier. Les monnaies les plus ancien 1488),les autres au nom deson frère Pierre (14II achetés l'unité,à et d'un lotde quatre-vingt monn

La fabrication cesse en 1675, le Duc du Maine, Prin monnaie de Marie de Bourbon-Montpensier. Quartd’écu, monnaie d’Anne MarieLouise deMontpensier. 4

2

1 e e 5 r r 2 i i que 1 a a le lingot f f

- - pas soumis re plus large s amener au r r ui-ci s'enroule rneau et argue. or est en réalité voux.

i i e, sans qu'il y ait

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v v siècle, à Trévoux, alors a

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i i obtenue va subir d’autres manipulations

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n n iers. Cette opération est renouvelée autant de fois i i timètre. La une extrémité est introduite dans un trou de filiè re. inage qui est l'art de purifier les métaux et de le présentée à Trévoux par l'Hôtel des Monnaies. Puis lingot d'or n'est pas étiré, ce qu'on nomme fil d' nt nt les affinages privés. Le Pays de Dombes, n'étant e e cieux sont assez bien répartis dans la vieille vill onnais puisqu'il est possible d'avoir chez soi, fou tirée par une tenaille dentée fixée à un câble. Cel La qualité du travail va fairela renommée de Tré n n i i apparaît dans la deuxième moitié du XVI

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4 5 affineurs et tireurs d'or . .

2 2

> > Filiéristes pour être portée à son dernier point de finesse. Le nécessaire pour atteindre le diamètre d'un demi-cen un traitun d'argent recouvert d'une feuilled'or. autour d'un cabestan ou argue mû par plusieurs ouvr La corporation des obtenuest battu chaudà pour le transformeren bar d'un côté que de l'autre. Elle est alors saisie et Chaque barre, aussi ronde que possible et effilée à à cette règle, Trévoux accueille les tireurs d'or ly Les ateliers d'affinage et de tirage des métaux pré ruede qui sesoit spécialisée dans cette activité. degré de fin déterminé par la loi ; celle-ci est re La fabrication du trait d'argent commence par l'aff que la réglementation royale se durcit en interdisa 6. 6. Trois Trois anciensfiliéristes deretour au métier lors des lors Journées européennes du patrimoine. Trois Trois anciensfiliéristes deretour au métier Tissubrodé defils d’argent, exposition réalisée Tissubrodé defils d’argent, exposition réalisée lors des lors Journées européennes du patrimoine. par par l’associationPrivals, Journées du patrimoine 200 par l’associationPrivals, Journées du patrimoine 200

…et …et engrandeur nature. …et …et engrandeur nature. era Dombes té. Quatre : en : : en : miniature… miniature… Reconstitution d’une arguepar l’associationPrivals Reconstitution d’une arguepar l’associationPrivals nctionnera jusqu'en 1781 ; rétablie en 1798, elle s supprimées, marquant un coup d'arrêt à cette activi , grâce à une forte demande lyonnaise. Mais quand la Illustration d’uneargue Illustration d’uneargue tirée tirée de l’EncyclopédiedeDiderot et d’Alembert. tirée tirée de l’EncyclopédiedeDiderot et d’Alembert.

6

2 devient française en 1762, les argues privées sont ans plus tard, une définitivementsupprimée en 1864. argue royale est installée et fo L'apogée de la production est atteinte en 1720 1 u

7

2

nde de 1 ères que erme à la ne grande . On appelle ou en acier. ser ce nouveau lle. atissage, point de parvient à percer le filières > Ladiamant en filière Explications spécialiste d’un chargés de l'entretien des filières dans Explications spécialiste d’un lors des lors Journées européennes du patrimoine. n orifice de forme conique pratiqué dans un matéria lors des lors Journées européennes du patrimoine. accoutreurs, mondiale. La difficulté d'approvisionnement en fili faire des ont ceux-ci à les fabriquer eux-mêmes, mettant un t s. Elle va employer, directement ou indirectement u rend un essor extraordinaire quand survient la dema sertir le matériau percé dans une monture en laiton voltien Antoine Millan sera un des premiers à utili vite dans l'opération de tréfilage. Vers 1865, on ée unée quartier nouveau, à l'ouestdu noyau de la vi ur développer une spécialité : la fabrication des e. à percer un trou conique, en plusieurs étapes (apl ière ière en diamant » e. ière ière en diamant » fabriquer du fil métallique par étirage à travers u

installée à l’office de tourisme TrévouxSaône Vallé L’exposition Trévoux, « capitale mondialedela fil trèsdur. prééminence de Trévouxsur cette industrie. connaîtront les pays étrangers à ce moment, conduir partie de la population jusqu'à la deuxième guerre L'industrie de la filière filaments en de tungstène diamantpour les ampoules trévoltienneélectrique p centre, perçage, contre-perçage, polissage) puis à Quand les argues sont abolies en Dombes, le savoir- Tout l'art de la fabrication d'une filière consiste Il fallut trouver un matériau qui ne s'use pas trop diamant, le plus dur de tous les matériaux; le tré matériau. ATrévoux, l'installationdes ateliers cr l'industrie du tirage de métal, est mis à profit po filière l’outil qui sert à installée à l’office de tourisme TrévouxSaône Vallé L’exposition Trévoux, « capitale mondialedela fil

Les Les gestesprécis du filiériste. Les Les gestesprécis dufiliériste. > L'imprimerie

L'imprimerie, installée dans un premier temps dans l'ancienne maison des pères du Tiers Ordre, manque de place et traverse la rue en 1723 pour s'établir dans une nouvelle construction, contiguë au Grenier à sel. Elle comptera sept presses à bras, et une trentaine d’ouvriers, ce qui était très important pour l’époque. Certains ouvrages interdits dans le Royaume de France seront imprimés à Trévoux et porteront la fausse adresse de la Haye ou d’Amsterdam alors qu’avant il était nécessaire de les faire imprimer à l’étranger pour échapper à la censure royale. L’imprimerie de Trévoux avait une telle renommée que des tomes des premiers exemplaires de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert sortirent de ses presses. Une imprimerie a fonctionné à Trévoux au cours des XIX e et XX e siècles. Avant sa fermeture, le matériel du début du XX e siècle, a été sauvegardé et remis à la ville de Trévoux, en 1989 (massicot, meuble de rangement, rang typographique) ainsi que des lots de Journaux de Trévoux de 1869 à 1949.

L’imprimerie de « Son altesse sérénissime » à Trévoux. > Les métiers et le patrimoine liés à l'eau

La Saône, métiers et aménagements Au XIX e siècle, la Saône génère de nombreuses activités qui font prospérer la région : sablières, pêcheries, laveries, teintureries, tanneries, … elle fait vivre passeurs, mariniers, scaphandriers (en charge de l'entretien des barrages et de diverses réparations), hommes et chevaux chargés du halage des péniches. Au début du XIX e siècle, le trafic de marchandises s'effectuait encore sur des bateaux à faible tirant d'eau, et le transport des voyageurs sur des "coches d'eau". La navigation se fait essentiellement à la descente à l'aide de rames gouvernails, la remonte s'effectue à vide, le convoi étant halé par 2 à 4 chevaux. Des relais mariniers possèdent de vastes écuries permettant d'accueillir les chevaux de halage lors des escales. Il en existe encore deux, réaménagés par les propriétaires privés, à Saint-Bernard. Puis, l’aménagement de la Saône est entrepris pour une meilleure navigation. Ces transformations sont caractéristiques d'une époque, d’un savoir-faire et de techniques alors innovantes, qui confèrent à cette voie d’eau une dimension économique, historique et patrimoniale indéniable. L'écluse de Port Bernalin, la maison éclusière, le local technique du barrage à aiguilles sur l'île Beyne, à Parcieux, en sont le témoignage. Les mutations économiques de la fin du XIX e siècle et du début du XX e siècle ont modifié les rapports entre l'Homme et la rivière. La Saône est passée d'un statut "d'outil de production" à un élément de contemplation et de loisirs. Aujourd'hui la pêche professionnelle en Saône pratique encore des méthodes anciennes, au carrelet ou à l'araignée, surtout à Saint-Bernard, pour une production de petits poissons. Elle demeure très marginale. Ecluse de Port Bernalin.

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Le Le moulinà huile deReyrieux.

t aux de la ancienne iècle, dans les e siècle et son mécanisme est e Didier-de-Formans, Misérieux et s disposant de sources et de terres , de Rochefort et du Foulon à Saint-Didier- est arrêtée en 1985. Le moulin à huile de onstruit au XVIII

Forquevaux à Trévoux abritait une siècle, sur trois cours d'eau, à Sainte-Euphémie, e e que les écluses, les eaux, les empellages. "Rivière yrieux pour la même période. Le Formans alimente à Sainte-Euphémie, l'empreinte de l'artisanat lié nt nt les godets recevaient, il y a peu encore, l'eau on toutelocale. t tl f ti t é é àl fin du XIX liésaux cours d'eauet aux sources

sont aménagées sur les petits cours d'eau à Saint- et son rouissage, fut très répandu sur les commune biefs

siècle, plusieurs moulins à blé, tels ceux de Tanay siècle : barrage, roue hydraulique. Son activité s' e e

fonctionnent probablement dès le XVIII l i sur le bief du Formans. Le moulin de Tanay est rec chanvre écluses à moulins mouturière"pour le biefdu Marry,est une expressi moulins est profonde, marquant la toponymie qui évo A Saint-Didier-de-Formans, à Reyrieux et plus encore modernisé au XIX de-Formans et de blanchisserie Forquevaux à Trévoux. Le moulin de quatre moulins et deux également, au XIX huileries sont recensés à Re Métiers etaménagements Plusieurs Reyrieux a conservé ses rouages et Talançonne,sa canalisée dans Chânée.rouela à eau do Le travail du Sainte-Euphémie. Quatre chènevières(Parcieux, Reyrieux, Sainte-Euphémie). L b siècle, dans les e u XIX encore en usageaujourd’hui. …vu par…vu les enfantsducentre de loisirs. Le Le lavoir-source delaRamassière (Reyrieux), est couverts et les fontaines sont aménagés à la fin d

Lavoir de Parcieux.

lavoirs-sources Lavoir des peupliers,à Reyrieux, dont la programmation prévue pour 2008. 0

3 communescôtières, à Parcieux,Reyrieux, Trévoux. Les nombreux 1

1 unes de ; les : : Vila autés 3 eurs

1 nuscrit cadre du patrimoine : ée par la ville l'objet d'une t t liée aux étangs oire», Alexandra Histe, étudiante en . neétudiante de l’université Lyon2. Truchelut le Conseil général de l’ et le Lions Club de > La mémoires des territoire du collecte gat, gat, pour la communauté turque ; et Osmane pour les ue particulière qui associe pêche et culture. Plusi s liés auxétangs ou régions d’origine pour les personnes étrangères s de populations : les personnes natives de Trévoux soit relativement nouvelle à la Communauté de comm lyonnaise) ; les personnes appartenant à des commun 40 istoriquede Trévoux hiviste du Comité des Géomètres des arrondissements opriétaire et ancien juge de paix en Dombes. Son ma a collecte de témoignages qui sera conduite dans le jà permisde mettre au jour certains aspects de ce avoir-fairespécifique. el es par les associations Privals et Alpara, cofinanc mbes, traités de manière incomplète, ont fait alors ticulière, juristes et géomètres dont l'activité es rementappelé le pistesréflexionde pour la politique des publics. suivant. sd’affirmation culturelle Entre – patrimoine et mém », sous », la direction de François M. Portet. sur les mémoiresd’habitants conduit en2007 par u 41 Trévoux. Travaild’analyse de Trévoux, la Communauté de communes Saône Vallée, Réalisation d’une vidéo sur le métier des filiérist certains parcours individuels au sein de trois type Pouca de Aguiar pour la communauté portugaise ; Marocainsvivant Yozà Trévoux. rurbains(issus le plus souvent de l’agglomération étrangères. Il a notamment été repéré trois la relationla au patrimoine des habitants du centre h « « Le labelPays d’art ethistoire, nouveau processu Voir définition dupatrimoine immatériel auchapitre  Bien Bien que la réflexion autour du patrimoine immatéri  Saône Vallée,plusieurs travauxrecherchede ont dé associationsde Dombes protègentet valorisent ce s réflexion consignée en 1840 par Charles Rivoire, pr Le droit et les usages locaux liés aux étangs de Do est publié en 1881 par A. Truchelut, secrétaire-arc Master patrimoine2 « rural et valorisation culturelle 41 La pêcheen étangs Dombesde et les droitset usage 40 La gestion des étangs de Dombes relève d'une pratiq Bourg et de Trévoux. A défaut d'une législation par  Ce travail constitue une première expérience pour l Paysd’art etd’histoire de la Saône Valléeetdes Cettedernière étude donnedes informations sur :  seréfèrent encore aujourd'hui ceà recueil familiè , réaliséeen 2002.

Le chant dudiamant La vidéo La 2

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