DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse Sur les traces de Fellini 1

En compagnie d’un réalisateur qui avait le sens de la démesure

« Mon travail c’est de faire des films, et la façon dont je les fais est un mode d’existence pour moi, pas seulement un mode d’expression. Vivre en faisant du cinéma est la forme la plus proche de l’identité dans laquelle je peux me retrouver. C’est au centre de mes histoires que je me sens au centre de mon existence. »

« Je ne suis pas un bon critique. Je suis un très mauvais témoin. Je déforme tout, je suis très partisan. Je n’accepte pas la polémique. Les discussions m’ennuient. C’est un fait physique : je ne supporte pas ceux qui veulent me définir de façon trop précise. »

Federico Fellini

2013 est l’année fellinienne par excellence

Le 20ème anniversaire de sa mort Le 30ème anniversaire de LA NAVE VA Le 40ème anniversaire d' Le 50ème anniversaire de 8 ½ Le 60ème anniversaire de I VITELLONI Le 70ème de son mariage avec Giulietta Masina

Site internet du film www.artemis-films.ch

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Résumé

SUR LES TRACES DE FELLINI film documentaire de Gérald Morin (2013), 1h15 Ancien assistant de Fellini de 1971 - 1977, Morin retourne aujourd’hui à Rome, Cinecittà, Milan et Rimini pour retrouver les amis avec lesquels il a partagé ces années-là sur les plateaux de ROMA, AMARCORD et CASANOVA. Ensemble ils évoquent le « Maestro », ce merveilleux créateur d’images et d’univers baroques, ce metteur-en-scène qui maniait avec tant de brio le sens de la démesure, cet imposant dictateur démocratique qui ne rougissait que lorsqu’il disait la vérité.

Synopsis

« Il y quarante ans, j’ai pris le train pour Rome afin d’interviewer Fellini. Un bon prétexte pour l’approcher. Le réalisateur italien renvoyait de jour en jour l’interview, mais finalement me prit sous son aile pendant six années comme son secrétaire privé puis comme assistant sur ROMA, AMARCORD et CASANOVA.

Pour faire revivre ces moments privilégiés et entraîner les spectateurs Sur les traces de Fellini, j’ai repris contact avec une vingtaine de collaborateurs du grand maître afin d’évoquer avec eux l’auteur de 8 ½ et de rappeler tout particulièrement cette période des années ’70, cette période de la maturité du réalisateur quand ce dernier créait sa grande trilogie construite autour d’une autobiographie réinventée : ROMA évoquant un présent noyé dans le magma de la Ville Eternelle, AMARCORD le passé d’une enfance rebelle et inconsciente et CASANOVA un futur sans lendemain, une répétition sans fin jusqu’à la mort.

Pour réaliser ce documentaire, je suis retourné à Rome dans les quartiers populaires de la capitale italienne où a été tourné une grande partie de ROMA. Sur la Piazza del Popolo au café Canova, son bar préféré, avec sa directrice de casting, Fiammetta Profili, sans oublier de faire un détour chez son fidèle barbier, Antonio Burdino et chez son galeriste et voisin de Via Margutta, Enrico Todi. Dans les studios de Cinecittà, son refuge permanent, sa boîte à outil pour donner corps à ses rêves, j’ai rejoint le directeur de la photo, Peppino Rotunno, le décorateur, Dante Ferretti et les costumiers Gabriella Pescucci, Piero Tosi et Maurizio Millenotti pour retrouver l’atmosphère magique des décors du CASANOVA qui avaient occupé à l’époque tous les plateaux, piscines et espaces extérieurs disponibles à l’intérieur des studios.

A Milan, J’ai réuni dans un cirque de province trois de ses acteurs fétiches d’AMARCORD: Magali Noël « la Gradisca », Nando Orfei le « Patacca » et Alvaro Vitali le sale gosse.

Enfin à Rimini, sa ville natale, je me suis arrêté au Grand Hôtel où le Maestro aimait se reposer et où il pensait à son prochain film.

Ce voyage sur les traces de Fellini prend fin sur la plage de Rimini avec la musique de Nino Rota interprétée par Richard Galliano qui clos ainsi le film avec la séquence finale d’AMARCORD, séquence mémorable du mariage de Magali Noël. »

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A la recherche de Fellini (1963-1971) Par Gérald Morin

De famille bourgeoise, catholique par ma mère, protestant par mon père, j’ai vécu dans les années ’50 à Martigny en Valais, fréquentant le collège des chanoines de St Maurice. A Martigny, à l’ombre du Catogne et du Mont Chemin, soufflait la bise. A St Maurice, à l’ombre des Chanoines et des parois rocheuses de Savatan, le soleil ne brillait pas tous les jours. Je me suis évadé, dès que j’ai pu, par le grand écran des salles de cinéma.

Après avoir vu en 1963 « 8 ½ », le film mythique de Fellini, j’ai décidé que, sous une forme ou sous une autre, je ferai du cinéma et qu’un jour je travaillerai avec le réalisateur de « LA STRADA ». J’ai commencé à collectionner frénétiquement tout ce qui regarde le cinéaste italien.

Un beau jour de l’été 1971, je jugeai qu’il était temps de réaliser mon rêve. Je partis à Rome avec l’excuse d’obtenir une interview du Maestro. Je me présentai le vendredi 30 juillet sur le plateau de ROMA , film que Fellini était entrain de tourner dans les quartiers populaires de la Cité éternelle. Je n’obtins pas l’interview que le metteur en scène renvoyait de jour en jour, mais fut finalement engagé par lui, d’abord comme son secrétaire privé puis comme assistant réalisateur. Il nous arrivait parfois d’évoquer nos « évasions » de la province pour rejoindre la capitale.

Je travaillai ainsi aux côtés de Fellini, de 1971 à 1977, sur trois de ses films, ROMA, AMARCORD et CASANOVA. Puis continuai de le voir plus ou moins régulièrement jusqu’en 1993, l’année de sa disparition.

Au cours de l’an dernier, je me suis rendu compte que, les années passant, nombreux collaborateurs de Fellini disparaissaient sans laisser de traces. J’ai décidé alors de réaliser un documentaire pour parler avec certains d’entre eux de cette période d’un cinéma qui a disparu, qui n’existera plus, de cette manière de raconter qui n’appartenait qu’à Fellini. De faire parler des témoins de cette période d’or avant qu’il ne soit trop tard. Et de faire partager avec eux cette expérience de vie passée.

Federico Fellini et son assistant, Gérald Morin, sur le tournage de « CASANOVA » à Cinecittà.

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La grande autobiographie (1970-1976)

En 1970, Fellini a 50 ans. Après le tournage épuisant du SATYRICON, voyage dans une délirante antiquité imaginaire, Fellini s’est aventuré dans l’univers des CLOWNS à travers un court film reportage pour la télévision, film qu’il vient de terminer.

Après ce petit film, Fellini choisit à nouveau le chemin de la grande fresque en hommage à cette grande ville où il a choisi de vivre depuis plus de 30 ans, Rome.

Et, sans en être vraiment conscient, il va entreprendre un long voyage à travers une autobiographie en trois actes qui va l’occuper pendant sept années, de 1970 à 1976, avec la réalisation de trois films, que l’on pourrait définir comme la trilogie de la maturité. Une autobiographie imaginaire reconstruite, naviguant entre :

Un présent – aujourd’hui : FELLINI ROMA, une Métropole à la fois réelle et inventée de 1939 à 1970, un Fellini adulte plongé dans le magma de l’anonymat, de la foule, prisonnier de sa matrice/Ville Eternelle, envahi dans un violent silence par une horde de barbares/motocyclistes venus de nulle part.

Un passé – hier : AMARCORD, une enfance rebelle et inconsciente prisonnière d’ une société oppressante (Famille, Religion, Ecole, Fascisme…), dans cette province de Rimini bercée de souvenirs nostalgiques mais aussi aigres-doux de 1934 à 1935.

Un futur – demain : LE CASANOVA DE FELLINI ou un futur sans lendemain, une répétition sans fin jusqu’à la mort de 1755 à 1798. Un Casanova-Fellini qui sort de la prison des Plombs de Venise, par les toits, comme s’il sortait d’un utérus desséché en compagnie de son oiseau mécanique fétiche. Mais pour aller où ?

Ayant travaillé avec Fellini d’août 1971 à juillet 1977, je connais bien cette période et tous les aléas et les affres par lesquels le cinéaste italien est passé pour réaliser cette fresque d’apparence régionale mais de portée universelle.

Tant qu’il n’était pas achevé, Fellini ne voulait pas parler de son film, car, pour lui, il n’existait pas encore... Ce film à réaliser n’était pas un objet pour Fellini, mais un expédiant pour tisser des relations. Il était l’expression de sa rencontre avec la vie de tous les jours.

Mais une fois le film terminé, celui-ci n’était plus intéressant pour le Maestro, puisque la relation n’existait plus.

L’équipe technique s’était dispersée ainsi que tous ceux qui avaient prêté leurs figures aux différents personnages.

Le film était devenu un objet et Fellini l’abandonnait comme on délaisse une photographie qui n’est que le reflet, pour ne pas dire l’ombre bien vague, de ce que l’on a vécu. Il ne restait alors au réalisateur d’autre solution que celle d’entreprendre un nouveau projet. Le plus tôt possible.

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Les protagonistes

Le narrateur et quelques-uns des vingt intervenants devant la camera

Gérald Morin, réalisateur de ce film, est également le fil rouge qui accompagne les vingt invités, collaborateurs de Fellini, qu’il a côtoyés durant quatre décennies et avec lesquels il a travaillé dans les années ‘70 et ’80. Son rôle est charnière à plusieurs niveaux dans cette narration, puisqu’il a été pendant six années le secrétaire personnel de Fellini et assistant-réalisateur sur les trois films traités dans ce documentaire, mais aussi en sa qualité de critique de cinéma.

Giuseppe Rotunno, directeur de photo de ROMA, AMARCORD et CASANOVA, est né le 19 mars 1923 à Rome. Il a également dirigé la photo du SATYRICON, de PROVA D’ORCHESTRA, de LA CITE DES FEMMES et de LA NAVE VA. On lui doit aussi la lumière de films de Bob Fosse, , Robert Altman, Henry Koster, Martin Ritt, John Huston, Mario Monicelli, Arthur Hiller, Valerio Zurlini, , Stanley Kramer. Ava Gardner dira de lui : « C’est le plus grand cameraman que je connaisse. »

Gabriella Pescucci est née en Toscane en 1941. Elle a été la costumière de PROVA D'ORCHESTRA et de LA CITÉ DES FEMMES. Gabriella Pescucci fait ses débuts comme assistante du costumier Piero Tosi avec Pier-Paolo Pasolini, Luchino Visconti et Mauro Bolognini. On lui doit en autres quatre films avec Ettore Scola, IL ÉTAIT UNE FOIS EN AMÉRIQUE de Sergio Leone, LE NOM DE LA ROSE de Jean-Jacques Annaud, LES AVENTURES DU BARON DE MÜNCHHAUSEN de Terry Gilliam, INDOCHINE de Régis Wargnier, et LE TEMPS DE L'INNOCENCE de Martin Scorsese qui lui vaudra un Oscar pour les costumes.

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Dante Ferretti, né à Macerata en 1943, est décorateur de cinéma et de théâtre. Il a collaboré à de nombreux films (une soixantaine) aussi bien américains et qu’européens (comme LE NOM DE LA ROSE). Il a travaillé notamment avec Pier Paolo Pasolini (cinq films), Federico Fellini (cinq films), Terry Gilliam, Franco Zeffirelli, Martin Scorsese (huit films), Anthony Minghella, Tim Burton, Brian De Palma... Il a obtenu trois fois l'Oscar des meilleurs décors : en 2005 pour AVIATOR, en 2008 pour SWEENEY TODD et en 2012 pour UGO CABRET.

Magali Noël est née le 27 juin 1931 à İzmir en Turquie et vit à Fribourg depuis plus de 35 ans. Actrice dans LA DOLCE VITA, LE SATYRICON et AMARCORD, Magali a interprété 85 films pour le cinéma et 30 pour la télévision. Elle a chanté Jacques Prévert et Boris Vian, et joué au théâtre. On se souvient spécialement en Suisse de sa Mère Courage au théâtre de Carouge et de Solange au cinéma dans LA MORT DE MARIO RICCI de Claude Goretta.

Alvaro Vitali est né à Rome en 1950. Electricien de son état, il a le sens du spectacle comme tous les romains des quartiers populaires. Il devient très vite un acteur spécialisé dans « la comédie érotique à l’italienne ». On le trouve à l’écran au générique de plus de 80 films. Fellini va utiliser son physique et sa gouaille toute romaine dans quatre de ses films : SATYRICON, LES CLOWNS, ROMA et AMARCORD.

Nando Orfei, né en 1932, fait partie de la grande dynastie des ORFEI, directeurs des cirques italiens du même nom. Il commence sa carrière comme jongleur, clown et dompteur. Le cinéma l’a toujours attiré. Il va travailler par deux fois comme acteur avec Fellini. Sur LES CLOWNS en 1971 et dans AMARCORD où il interprète le rôle de l’oncle de Titta.

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Biographie du réalisateur Gérald Morin

Gérald Morin est un réalisateur et producteur suisse Né le 27 février 1943 à Lausanne en Suisse, passionné de cinéma, d’histoire et de philosophie, Morin a travaillé dans une vingtaine de pays. Il a exercé ses principales activités dans le domaine cinématographique, à travers la presse écrite, la radio et la télévision d’abord, puis dès 1971 sur les plateaux de cinéma. Tout en fréquentant l’université, il suit les séminaires de l’historien du cinéma Henri Agel et du sociologue Edgar Morin, puis débute en 1967 comme pigiste à l’ORTF (Paris) sous la direction de Léon Zitrone au Téléjournal et de Roger Louis à « 5 colonne à la une ».

D’assistant - réalisateur de Federico Fellini sur AMARCORD et CASANOVA , à production supervisor sur LE NOM DE LA ROSE de Jean-Jacques Annaud avec Sean Connery, de producteur exécutif sur THE BURNING SHORE de Jeannot Szwarc à producteur de THE FIVE OBSTRUCTIONS de Lars von Trier & Jorgen Leth, il a participé à plus de cinquante productions de films, avec entre autres José Giovanni, Sergeï Bondarciuk, Sergio Leone, Robert Altman, Michelangelo Antonioni, Marcel Carné, Nikita Michalkov, Francesco Rosi, Richard Donner, Franklin Schaffner… Rome a été sa base pendant vingt-trois années et les studios de Cinecittà sa seconde maison.

Morin a également produit des films publicitaires réalisés par Giuseppe Tornatore, David Lynch, Marc-Henri Wajnberg, Juan-Carlos Tabio, Baktyar Khoudojnazarov… dirigé des festivals (« Le Manuscript de Vercorin » de 1992 à 1997 et « Le Festival du Film de Genève, Stars de Demain» de 1995 à 1998), monté des expositions et donné des conférences sur le cinéma en France, en Suisse, en Italie, en Espagne et en Slovaquie, enseigné le cinéma dans la Haute Ecole d’Art Contemporain (ECAV) à Sierre de 2004-2009. Il a rassemblé et collectionné pendant quarante années des documents et du matériel d’archives (plus de 13'500 pièces), qui ont permis de créer « la Fondation Fellini pour le cinéma » basé à Sion, une des plus grandes collections privées au monde sur le réalisateur de LA DOLCE VITA .

Chef de projet et directeur artistique des manifestations genevoises à EXPO.02 (exposition nationale suisse en 2002), membre du comité de plusieurs organisations professionnelles cinématographiques (ARC, SWISSFILMS, Fondation vaudoise pour le Cinéma,) il a également été Président du Conseil de la Culture de l’Etat du Valais (Suisse) de 1998 à 2003. Depuis 2004 il collabore à la rédaction du magazine culturel suisse « CultureEnJeu » (www.cultureenjeu.ch) dont il devient en janvier 2009 le rédacteur en chef.

Après avoir publié nombreux articles et participé à l’édition de plusieurs ouvrages collectifs sur Fellini, produit IMAGO, L’IMAGINAIRE DE FELLINI un film documentaire d’Antinozzi et de De Michele présenté au festival de Locarno en 2003, Morin a publié en 2009 Avec Fellini et Casanova pour le Musée Alexis Forel de Morges et réalisé en 2013 deux films documentaires SUR LES TRACES DE FELLINI (75’) et SOUVENIRS D’UN ASSISTANT SUR LES TRACES DE FELLINI (52’). Actuellement il prépare un nouveau livre : Tournages avec Fellini. Dossier de presse Sur les traces de Fellini 8

Biographie du producteur Raphaël Blanc

Raphaël Blanc est un producteur et réalisateur suisse. Né en Valais en1951, Raphaël Blanc suit un cursus classique au collège St-Joseph à Fribourg. C’est pendant les cours de cinéma du collège qu’il commence a se passionner pour le 7ème art. Par la suite, il termine une formation commerciale à Sion en 1971.

Son certificat de commerce en poche, il « monte » à Paris et s’inscrit au Conservatoire Libre du Cinéma Français (CLCF) et obtient un diplôme de réalisation sous l’égide d’Henri Verneuil en 1974.

Il est engagé aussitôt sur des films de longs-métrages en France, puis travaille tour à tour comme régisseur général, premier assistant et directeur de production. Il a été le premier assistant- réalisateur sur les films entre autres de José Giovanni, Robert Hossein, Elisabeth Rappeneau, Dominique Othenin Girard, Yvan Butler, Jacob Berger.

De retour en Suisse en 1980, âgé de 29 ans, il produit le long-métrage L’OGRE DE BARBARIE de Pierre Matteuzzi, adapté du Roman de Pierre Billon. En 1990, il crée sa propre maison de production à Genève, Artémis Films, active aussi bien dans les films documentaires et que les films de commandes. Parallèlement à ses activités de réalisateur indépendant, il collabore à plus d’une centaine d’émissions de télévision pour la RTS, notamment « Zig-Zag Café » de Jean- Philippe Rapp. Dans le cadre de cette émission, il réalise des portraits documentaires, non seulement en Suisse, mais aussi au Niger, au Mali, au Brésil et aux Etats-Unis.

Il a réalisé entre autres les films documentaires suivants : L’ARÊTE VALAISANNE (2003), MA SŒUR, MON AMOUR (2004), SUPERCONSTELLATION , L’HISTOIRE D’UN SAUVETAGE RÉUSSI (2004). De 2002 à 2004, il n’hésite pas à affronter le froid polaire pour suivre Mike Horn dans son expédition Arktos, le tour du cercle arctique polaire sans moyens motorisés. Ce film, LE VOYAGE INTÉRIEUR DE MIKE HORN (2005) a remporté sept prix internationaux et a été vendu dans le monde entier. Raphaël Blanc réalise et produit un grand documentaire en 2010-2011 sur le peintre Hans Erni, intitulé HANS ERNI, UN PEINTRE DANS LE SIÈCLE.

Comme producteur, il permet à des réalisateurs de ses amis de réalise des documentaires, parmi lesquels ont peut citer : TERRE PROMISE et LA LÉGENDE DE LA TERRE DORÉE. (Brésil, 2001- 2006), LE RODÉO DES CONDAMNÉS de Nicolas Pallay (2005), HAÏTI, BONDYE BON de Ian Jaquier et Arnaud Robert (2010).

En septembre 2010, il a contacté Gérald Morin lui demandant de réaliser un grand documentaire sur Fellini pour le vingtième anniversaire de la disparition du « Maestro ». L’appétit venant en mangeant, ce n’est pas un, mais deux documentaires qu’il va produire, fruits de cette collaboration qui a duré deux années et demie : SUR LES TRACES DE FELLLINI et SOUVENIR D’UN ASSISTANT SUR LES TRACES DE FELLINI.

Le documentaire SUR LES TRACES DE FELLINI débute sa carrière en ouverture du Festival International du Film de Bari en Italie le 16 mars 2013.

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Sorties prévues en mars avril 2013

Italie :

Bari International Film Festival (16-23 mars 2013)

Film d’ouverture du festival, le 16 mars 2013 Suisse :

Genève - Cinémas du Grütli

26 mars - 11 avril 2013 dans le cadre de deux semaines consacrées à Fellini avec les projections de ROMA, AMARCORD et CASANOVA

Lausanne - Cinéma Bellevaux

À partir du 27 mars 2013

Sion – Arlequin et Capitole

À partir du 10 avril 2013

Et prochainement à Fribourg, Neuchâtel, Bienne, La Chaux-de-Fond,…

L’équipe de tournage à l’entrée des studios de Cinecittà à Rome. Dossier de presse Sur les traces de Fellini 10

SUR LES TRACES DE FELLINI (75’)

Générique « Sur les traces de Fellini », Suisse, 2013, Documentaire, 75’

Réalisateur Gérald Morin Producteur Raphaël Blanc Scénariste Gérald Morin Production Artemis Films Productions Musiques Nino Rota Coproduction Silvana Bezzola Rigolini, RSI Directeur photo Henri Guareschi Sven Wälti, SSR SRG Son Benedetto Garro Anne-Laure Négrin, Photographe Steeve Iunker ARTE GEIE Montage Tim Robert-Charrue Henri Guareschi Assistante réalisation Françoise Morin LE HUB CINEMA Assistante caméra Rita Garro Avec l’aide de Loterie Romande Valais Montage son Nicolas van Deth Conseil de la Culture Valais Graphiste Tim Robert-Charrue Teleproduktions Fonds Doublage/Mixage Studio Shazam Cinéforom Étalonnage Damien Molineaux Fonds culturel Suissimage Sous-titrage Sandrane Ducimetière Alexis Victor Thalberg-Stiftung

Avec à l’écran Gérald Morin, Fiammetta Profili, Enzo De Castro, Norma Giacchero, Enrico Todi, Antonio Burdino, Lamberto Mancini, Adriano De Angelis, Dante Ferretti, Antonello Geleng, Piero Servo, Giuseppe Rotunno, Maurizio Millenotti, Gabriella Pescucci, Piero Tosi, Magali Noël, Nando Orfei, Anita Orfei, Alvaro Vitali, Leopoldo Veronese, Richard Galliano

Format de tournage XDCAM HD 4.2.2 16/9 Version originale italien et français Format du son Stéréo 5.1 Versions sous-titrées français/Allemand/Anglais

Ce film a été tourné à Roma, Cinecittà, Rimini, Milano, Lausanne et Olten

© 2013 Artemis Films Productions SA

Production/Distribution Ventes internationales Contact presse

Artémis Films Productions sa INTRAMOVIES srl Diana Bolzonello Sàrl Rue Le Corbusier, 18 Via Manfredi, 15 Case postale 406 CH – 1208 Genève IT – 00197 Roma CH – 1225 Chêne-Bourg T. +41.22.789.05.59 T. +39.06.807. 72.52 T. +41.22.342.05.09 T. +41.79.204.01.87 T. +41.79.203.80.17 [email protected] [email protected] [email protected] www.artemis-films.ch www.intramovies.com

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