Diapositive 1

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

Diapositive 1 Médiamètre politique RTBF-Auxipress Octobre 2014 Ministres, secrétaires d’Etat et Présidents de parti Médiamètre politique RTBF-Auxipress Octobre 2014 Commentaires Le médiamètre RTBf-Auxipress nouveau est arrivé. Le nouveau gouvernement fédéral aussi et c’est le nouveau 1er Ministre Charles Michel qui en prend immédiatement les commandes. Charles Michel chasse une autre personnalité du MR Didier Reynders qui avait dominé l’actualité politique les 2 mois précédents. Il atteint d’emblée près de 15% de taux d’occupation médiatique principalement grâce à son rôle de formateur et à sa prestation de serment comme nouveau 1er Ministre. Et derrière Charles Michel, très peu de francophones. C’est en effet le constat principal de ce médiamètre. On ne dénombre que 5 francophones dans le top 5. Didier Reynders reste dans le top 3, juste derrière Bart De Wever. Jacqueline Galant, Ministre fédérale de la mobilité intègre tout juste le top 10 en raison probablement des erreurs de communication liées aux futures économies de la SNCB. Reste Elio Di Rupo, 5ème de ce baromètre, dont l’actualité a principalement été liée à ces derniers jours comme 1er Ministre. Et il faut attendre la 19ème place pour retrouver une 5ème personnalité francophone: Joëlle Milquet. Et dans ce top 20, un parti se détache C’est en effet la NVA qui obtient le plus de représentants dans ce top 20 avec 6 personnalités dont 3 se retrouvent dans le top 10: Bart De Wever, Jan Jambon et Théo Francken, ces deux derniers ayant déjà alimenté la polémique par leurs propos ou une participation à des événements controversés durant le mois d’octobre. En revanche, sur les réseaux sociaux, les francophones sont bien présents. Dans un top 20 des personnalités, on retrouve 9 francophones et si on se limite au top 10, on dénombre 6 francophones. Il s’agit de 3 personnalités MR – Charles Michel (1er), Didier Reynders (6ème) et Olivier Chastel (8ème) -, de 2 personnalités CDH – Joëlle Milquet (9ème) et Benoît Lutgen (10ème) -, et d’une personnalité PS – Elio Di Rupo (5ème). Auxipress © Confidentiel Ministres, secrétaires d’Etat et Présidents de parti Médiamètre politique RTBF-Auxipress Octobre 2014 Top 20 Octobre 2014 du taux d’occupation des médias par politique Taux d'occupation (tous Taux d'occupation par média Presse Radio/Tv Internet les médias confondus) Charles Michel 12,4% 18,5% 13,5% 14,8% Bart De Wever 10,5% 7,4% 7,8% 8,6% Didier Reynders 4,8% 12,6% 3,7% 7,1% Jan Jambon 6,2% 4,9% 6,7% 5,9% Elio Di Rupo 6,9% 4,4% 6,0% 5,8% Kris Peeters 5,9% 5,8% 5,5% 5,7% Theo Francken 4,4% 6,2% 6,1% 5,6% Maggie De Block 4,6% 5,7% 3,9% 4,7% Jacqueline Galant 2,2% 4,9% 2,5% 3,2% Alexander De Croo 2,1% 3,4% 2,6% 2,7% Ben Weyts 2,7% 3,5% 1,9% 2,7% Hilde Crevits 2,5% 3,7% 1,6% 2,6% Wouter Beke 2,6% 1,7% 2,0% 2,1% Annemie Turtelboom 1,8% 2,8% 1,7% 2,1% Koen Geens 2,9% 0,6% 1,8% 1,8% Johan Van Overtveldt 2,1% 0,8% 2,2% 1,7% Gwendolyn Rutten 1,8% 1,3% 1,7% 1,6% Joëlle Milquet 2,2% 0,0% 1,8% 1,3% Geert Bourgeois 1,8% 0,5% 1,5% 1,3% Auxipress © Confidentiel Ministres, secrétaires d’Etat et Présidents de parti Médiamètre politique RTBF-Auxipress Octobre 2014 Top 10 : Nombre d'articles (Presse) 1000 939 900 795 800 700 600 524 500 470 450 400 361 350 331 300 220 203 200 100 0 Charles Michel Bart De Wever Elio Di Rupo Jan Jambon Kris Peeters Didier Reynders Maggie De Theo Francken Koen Geens Ben Weyts Block Auxipress © Auxipress © Confidentiel Ministres, secrétaires d’Etat et Présidents de parti Médiamètre politique RTBF-Auxipress Octobre 2014 Top 10 : Nombre de reportages (Radio/TV) 160 143 140 120 98 100 80 57 60 48 45 44 38 38 40 34 29 20 0 Charles Michel Didier Reynders Bart De Wever Theo Francken Kris Peeters Maggie De Jan Jambon Jacqueline Elio Di Rupo Hilde Crevits Block Galant Auxipress © Auxipress © Confidentiel Ministres, secrétaires d’Etat et Présidents de parti Médiamètre politique RTBF-Auxipress Octobre 2014 Top 10 Nombre d'articles (Internet) 2000 1800 1737 1600 1400 1200 1009 1000 868 785 770 800 706 600 499 483 400 341 319 200 0 Charles Michel Bart De Wever Jan Jambon Theo Francken Elio Di Rupo Kris Peeters Maggie De Didier Reynders Alexander De Jacqueline Block Croo Galant Auxipress © Auxipress © Confidentiel Ministres, secrétaires d’Etat et Présidents de parti Médiamètre politique RTBF-Auxipress Octobre 2014 Top 20 Octobre 2014: Twitter & Facebook (nombre de mentions) 12.194 8.044 6.257 5.726 3.954 1.740 1.514 1.345 1.329 1.138 950 871 826 711 701 630 623 623 613 540 Auxipress © Confidentiel Ministres, secrétaires d’Etat et Présidents de parti Médiamètre politique RTBF-Auxipress Octobre 2014 Méthodologie Le Médiamètre politique RTBF Auxipress vous permet de visualiser le nombre d’articles issus de la presse et du web et le nombre de séquences Radio/TV consacrés aux ministres et secrétaires d’Etat de tous les gouvernements belges en fonction et aux Présidents de partis. Grâce au Médiamètre politique, vous accédez au score de chaque personnalité ou de chaque parti en comparant leur impact d’un mois à l’autre. Champs d’étude presse: Tous les quotidiens belges, leurs éditions régionales et leurs suppléments; Trends, Trends-Tendances, Knack, Ciné- Télé-Revue, Le Vif/L'Express, Humo. Champs d’étude audiovisuel: Les journaux télévisés du midi et du soir (début de soirée) sur la RTBF, la VRT, RTL-TVI et VTM. Les journaux parlés de 8h et 18h en Radio sur la RTBF, la VRT et Bel RTL. Champs d’étude Internet: 7sur7, actu24, De Morgen, de redactie, dhnet, Gazet van Antwerpen, Het Belang van Limburg, Het Laatste Nieuws, Knack, Trends, Trends-Tendances, La Libre Belgique, La Meuse, L’Echo, De Tijd, Le Soir, RTBF info, RTL info, De Standaard, VTM. Champs d’étude Médias sociaux: Twitter et Facebook. Auxipress © Confidentiel .
Recommended publications
  • Diapositive 1
    Médiamètre politique RTBF-Auxipress Février 2013 Ministres, secrétaires d’Etat et Présidents de parti Médiamètre politique RTBF-Auxipress Février 2013 Commentaires Bart De Wever revient petit à petit mais sûrement aux devants des médias. Au mois de janvier, il était 2ème loin derrière Di Rupo, le médiamètre du mois de février révèle-t-il plus? Le taux d’occupation des médias d’Elio Di Rupo chute de façon spectaculaire puisqu’en janvier, il dépassait en effet les 12% et qu’au mois de février, il atteint 7,9%. Bart De Wever se maintient en 2ème place, perd beaucoup moins en visibilité que Di Rupo aussi mais dépasse le Premier Ministre dans la presse écrite. Didier Reynders monte sur la 3ème place du podium alors que Kris Peeters est relégué en 8ème place, ce que l’on peut considérer comme un très mauvais score si on analyse sa présence médiatique sur les 3 dernières années. Quelles sont les surprises de ce mois de février? Paul Magnette est toujours dans le top 10 malgré sa sortie du gouvernement fédéral. Il faut dire qu’il a repris la Présidence du PS et que, dans ce registre, il est sans aucun doute plus présent médiatiquement que son prédécesseur Thierry Giet. Il faut également souligné son implication médiatique dans l’annonce des licenciements chez Caterpillar. Hendrik Bogaert, secrétaire d’Etat à la fonction publique, pointe en 9ème place en raison de la fronde des syndicats fâchés de sa politique qui prône la réduction des effectifs et des moyens dans les services publics. Jean-Marc Nollet, Vice-Président et Ministre du développement durable du gouvernement wallon, pointe en 14ème place, secoué par la cacophonie en matière de politique énergétique wallonne.
    [Show full text]
  • Sample Chapter
    Copyright material – 9781137029607 © Kris Deschouwer 2009, 2012 All rights reserved. No reproduction, copy or transmission of this publication may be made without written permission. No portion of this publication may be reproduced, copied or transmitted save with written permission or in accordance with the provisions of the Copyright, Designs and Patents Act 1988, or under the terms of any licence permitting limited copying issued by the Copyright Licensing Agency, Saffron House, 6–10 Kirby Street, London EC1N 8TS. Any person who does any unauthorized act in relation to this publication may be liable to criminal prosecution and civil claims for damages. The author has asserted his right to be identified as the author of this work in accordance with the Copyright, Designs and Patents Act 1988. First edition 2009 This edition published 2012 by PALGRAVE MACMILLAN Palgrave Macmillan in the UK is an imprint of Macmillan Publishers Limited, registered in England, company number 785998, of Houndmills, Basingstoke, Hampshire RG21 6XS. Palgrave Macmillan in the US is a division of St Martin’s Press LLC, 175 Fifth Avenue, New York, NY 10010. Palgrave Macmillan is the global academic imprint of the above companies and has companies and representatives throughout the world. Palgrave® and Macmillan® are registered trademarks in the United States, the United Kingdom, Europe and other countries ISBN: 978-1-137-03024-5 hardback ISBN: 978-1-137-02960-7 paperback This book is printed on paper suitable for recycling and made from fully managed and sustained forest sources. Logging, pulping and manufacturing processes are expected to conform to the environmental regulations of the country of origin.
    [Show full text]
  • Plenumvergadering Séance Plénière
    PLENUMVERGADERING SÉANCE PLÉNIÈRE van du DONDERDAG 26 JUNI 2008 JEUDI 26 JUIN 2008 Avond Soir ______ ______ De vergadering wordt geopend om 18.22 uur. In de regeringsbanken hebben plaatsgenomen de heren Yves Leterme, eerste minister, Didier Reynders, vice-eerste minister en minister van Financiën en Institutionele Hervormingen, Patrick Dewael, vice-eerste minister en minister van Binnenlandse Zaken, Joëlle Milquet, vice-eerste minister en minister van Werk en Gelijke Kansen, Karel De Gucht, minister van Buitenlanse Zaken, Marie Arena, minister van Maatschappelijke Integratie, Pensioenen en Grote Steden, Pieter De Crem, minister van Landsverdediging, Vincent Van Quickenborne, minister van Ondernemen en Vereenvoudigen en Melchior Wathelet, staatssecretaris voor Begroting, toegevoegd aan de eerste minister, en staatssecretaris voor Gezinsbeleid, toegevoegd aan de minister van Werk, en wat de aspecten inzake personen- en familierecht betreft, toegevoegd aan minister van Justitie. La séance est ouverte à 18.22 heures. Ont pris place au banc du gouvernement MM. Yves Leterme, premier ministre, Didier Reynders, vice-premier ministre et ministre des Finances et des Réformes institutionnelles, Patrick Dewael, vice-premier ministre et ministre de l'Intérieur, Joëlle Milquet, vice- première ministre et ministre de l'Emploi et de l'Égalité des chances, Karel De Gucht, ministre des Affaires étrangères, Marie Arena, ministre de l'Intégration sociale, des Pensions et des Grandes villes, Pieter De Crem, ministre de la Défense, Vincent Van Quickenborne, ministre pour l'Entreprise et la Simplification et Melchior Wathelet, secrétaire d'État au Budget, adjoint au premier ministre, et secrétaire d'État à la Politique des familles, adjoint à la ministre de l'Emploi, et en ce qui concerne les aspects du droit des personnes et de la famille, adjoint au ministre de la Justice.
    [Show full text]
  • 2015 Belgium Country Report | SGI Sustainable Governance Indicators
    Sustainable Governance Indicators SGI 2015 Belgium Report Micael Castanheira, Benoît Rihoux, Nils C. Bandelow (Coordinator) SGI 2015 | 2 Belgium Report Executive Summary Belgium, located in the heart of Europe, is a small country with 11.1 million inhabitants. In 2013, its gross domestic product (GDP) was €395 billion at market prices (i.e. 14.5% above the 2007 pre-crisis level of €345 billion; data from the Belgian National Bank). Belgium has shown itself to be one of the good performers in the euro area in recent years. According to Eurostat data, Belgium’s purchasing power per capita is about 10.2% above the euro area average, and 19% above the EU28 average. Belgium also boasts an extremely open economy, with the sum of imports and exports amounting to 170% of GDP; the country’s trade balance is slightly positive. The unemployment rate was 8.5% in September 2014, which is below the euro area average (11.5%). Belgium is thus economically rather healthy, although not among the best performing economies of the EU. It boasts a highly educated population, attracts substantial foreign direct investment, maintains high-quality hospitals, has a healthy housing market (i.e. it did not crash during the financial crisis, but recent estimates still suggest some overvaluation of the market) and overall manages a well-performing economy. With its comprehensive road, rail, water and information technology networks, in addition to its world-class harbors, Belgium provides direct access to and from the rest of the world into Europe. Its openness in terms of trade and high reliance on exports implies that Belgian companies must remain competitive or face losing their market position.
    [Show full text]
  • Eurozone Crisis Forces Belgium to Finally Form a Government | World
    Eurozone crisis forces Belgium to finally form a government | World ... http://www.guardian.co.uk/world/2011/dec/01/eurozone-crisis-forces-b... Eurozone crisis forces Belgium to finally form a government Eurozone crisis forces Belgian politicians to act and form a coalition with French-speaking Elio Di Rupo at the helm Angelique Chrisafis guardian.co.uk, Thursday 1 December 2011 19.56 GMT Belgium's chief negotiator in charge of forming a cabinet, Elio Di Rupo, (2nd R) and party leaders meet in Brussels, Photograph: Thierry Roge/REUTERS Students tried stripping to their underwear and handing out free chips; giant lions and roosters snogged in the street; the country's leading actor ordered all men to go on shaving strike; and a woman senator said politicians' wives should deny them sex. But in the end, it took a looming financial meltdown in the eurozone to force Belgium's absurdly divided and squabbling political class to form a government. After breaking the modern-day world record for failing to form a government – making war-torn Iraq look like amateurs – Belgium has surmounted the linguistic and cultural stand-off that threatened to wipe it from the map, and agreed to form a coalition in the name of sorting out its finances. After 535 days without a proper leader – the country has been led by a transitional caretaker government – Belgian officials said there was now likely to be a coalition cabinet in place next week. But the crisis has left divisions more deeply entrenched than ever between the rich, Dutch-speaking north and poorer, French-speaking south, with melting pot Brussels marooned in the middle.
    [Show full text]
  • Benoît Rihoux1, Audrey Vandeleene1, Lieven De Winter1, Pierre
    Belgium (2014 – published 2015) Benoît Rihoux1, Audrey Vandeleene1, Lieven De Winter1, Pierre Baudewyns1, Serge Deruette2 1 Centre de Science Politique et de Politique Comparée (CESPOL), Université catholique de Louvain, Belgium; 2Université de Mons, Belgium INTRODUCTION The year 2014 was particularly dense, with simultaneous regional, parliamentary and European Parliament elections on 25 May. This was followed by a relatively short government formation process towards an unprecedented ‘Swedish’ federal cabinet. The electoral cycle took place in the context of a still quite difficult socioeconomic situation and ethnolinguistic tensions at the elite level. ELECTION REPORT Regional Elections: 25 May 2014 Most parties did not present a separate regional and federal manifesto (De Winter and Van Wynsberghe forthcoming), therefore blurring regional and federal issues. Remarkably, following the electoral results at the regional level (Blaise et al. 2014b), the regional government formations brought regionalist parties in power in three of the five regional/community governments. In Flanders, the N-VA became the predominant party in the Flemish region, replacing the CD&V, and thus legitimately claimed the leadership of the formation of the Flemish executive, which resulted in the formation of the Bourgeois I government with the N-VA, the CD&V and the Open VLD. At the Walloon elections, of the three incumbent coalition parties (PS, CdH and Ecolo) only the latter lost heavily, with the fourth traditional party (MR) regaining some ground, as well as the newcomers PTB and PP. The new Walloon government was formed as a left-centre coalition of the PS and CdH, under the leadership of P. Magnette (PS), while the executive of the Francophone community government was headed by the incumbent R.
    [Show full text]
  • Le Classement Complet De Septembre 2013
    Médiamètre politique RTBF-Auxipress Septembre 2013 Ministres, secrétaires d’Etat et Présidents de parti Médiamètre politique RTBF-Auxipress Septembre 2013 Commentaires D’un point de vue médiatique, la rentrée de septembre semble remettre un peu d’ordre dans les rangs du monde politique. Après deux mois sans briller, Bart De Wever retrouve sa seconde place au sein du médiamètre politique. Septembre aura été pour lui le mois où, dès la rentrée, il aura dû remettre un peu d’ordre dans les déclarations de ses collaborateurs à propos du programme de la NV-A. Mais c’est aussi le mois où le Roi Phillippe et la reine Mathilde auront fait leur joyeuse entrée à Anvers, un événement très commenté. Le Premier ministre Elio Di Rupo garde en revanche tout le monde politique à belle distance et dépasse largement les 10% de taux d’occupation des médias. Didier Reynders recule sur la 3ème marche du podium après un mois d’août loin devant tout le monde, Kris Peeters réintègre le top 5 et Joëlle Milquet ferme la marche… …Juste devant l’homme du mois Jean-Pascal Labille. Le Ministre des entreprises publiques intègre en effet le top 10 de chaque media. Jean-Pascal Labille est un peu un cas particulier. Il a remplacé Paul Magnette début 2013 et continue d’affirmer qu’il ne sera pas candidat aux prochaines élections. En attendant, il est sollicité par l’actualité de son mandat et existe médiatiquement. Deux dossiers l’ont accaparé au mois de septembre: Le dossier des nominations à la SNCB mais surtout Belgacom empêtré dans des dossiers d’espionnage et de bonne ou mauvaise gouvernance selon l’angle sous lequel on observe la situation.
    [Show full text]
  • Responsive Public Management
    Responsive Public Management IGPDE /Research Office Public Management Monitoring News - No. 42 - February 2012 Belgium The Di Rupo Government: State and public management reforms A new government and a focus on budgetary consolidation On 6 December 2011, after a year and a half of negotiations, a new Belgian coalition government was sworn in. It consists of twelve ministers1 and six ministers of State, under the leadership of the French-speaking Socialist Elio Di Rupo. The ministerial posts are divided between six political parties, including social democrats, Christian democrats and liberals from both the French- and Dutch-speaking communities. The government does not include the major winner in the June 2010 elections, the New Flemish Alliance (N-VA), because it withdrew from the talks. The civil service, which had previously been managed by a specific Federal Public Service (FPS)2, is now the responsibility of the Minister of State for the Civil Service and the Modernisation of Public Services (Hendrik Bogaert), attached to the Minister of Finance and Sustainable Development (Steven Vanackere). Administrative simplification is now the purview of Olivier Chastel, Minister for the Budget. Budgetary restraint is a pressing issue. In its proposed policy statement of 1 December 2011, the government made putting public finances back on a sound footing a top priority3. Even before the vote on the 2012 budget took place, an initial budget review was scheduled for the end of February4. This was triggered by a likely downward revision of growth forecasts and an ongoing Excessive Deficit Procedure initiated by the European Commission5, which requested that certain expenditures be suspended pending the corresponding budget adjustments.
    [Show full text]
  • Gouvernement Jean-Luc Dehaene II (23.06.1995 – 14.06.1999)
    Gouvernement Jean-Luc Dehaene II (23.06.1995 – 14.06.1999) Quadripartite : CVP / PS / SP / PSC 15 ministres et 2 secrétaires d’Etat Jean-Luc Dehaene , CVP : Premier ministre. Elio Di Rupo , PS : vice-Premier ministre, Reginald Moreels , CVP : secrétaire d’État à la ministre de l’Économie et des Coopération au développement, adjoint au Télécommunications Premier ministre Johan Van De Lanotte , SP : vice-Premier Jan Peeters , SP : secrétaire d’État à la ministre, ministre de l’Intérieur Sécurité et l’Environnement Melchior Wathelet , PSC : vice-Premier ministre, ministre de la Défense nationale Philippe Maystadt , PSC : ministre des Finances et du Commerce extérieur Herman Van Rompuy , CVP : vice-Premier ministre, ministre du Budget Yvan Ylieff , PS : ministre de la Politique scientifique Marcel Colla , SP : ministre de la Santé publique et des Pensions Erik Derycke , SP : ministre des Affaires étrangères Miet Smet , CVP : ministre de l’Emploi et du Travail, chargée de la Politique d’égalité des chances entre hommes et femmes Magda De Galan, PS : ministre des Affaires sociales Karel Pinxten , CVP : ministre de l’Agriculture et des Petites et Moyennes Entreprises Michel Daerden , PS : ministre des Transports Stefaan De Clerck , CVP : ministre de la Justice André Flahaut , PS : ministre de la Fonction publique Remaniements et modifications de compétences : 3 septembre 1995 Melchior Wathelet démissionne. Philippe Maystadt devient vice-Premier ministre. Jean-Pol Poncelet , PSC, devient ministre de la Défense nationale. 24 avril 1998 Johan Vande Lanotte et Stefaan De Clerck démissionnent. Louis Tobback , SP, devient vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur. Tony Van Parys , CVP, devient ministre de la Justice.
    [Show full text]
  • The Early Signs Are That Belgium Is Heading for More Political Deadlock Over Who Should Form the Next Government
    The early signs are that Belgium is heading for more political deadlock over who should form the next government blogs.lse.ac.uk/europpblog/2014/06/24/the-early-signs-are-that-belgium-is-heading-toward-more-political- deadlock-over-who-should-form-the-next-government/ 24/06/2014 Belgium held federal elections in May, with negotiations currently on-going over the makeup of the next government. As Peter Van Aelst writes, a key concern is that the country could experience political deadlock of the kind which occurred after the 2010 elections, where it took 541 days of negotiations before a government could be formed. He notes that while there appears to be more urgency than there was in 2010, the linguistic cleavage between French and Dutch-speaking parties will still be exceptionally difficult to overcome. Belgium has built a reputation when it comes to chocolate, beer and cycling. More recently, we are also making a name for ourselves when it comes to government formation – or, more precisely, the inability to make a government within a reasonable amount of time. After the 2007 election it took 194 days to form a government, while the 2010 election led to a world record breaking process of 541 days. So it comes as no surprise that today, one month after the federal elections on 25 May, not a single Belgian expected to have a new government. Why is the government formation process in Belgium so complicated? Forming a government in Belgium has never been easy. Belgium is a federal country mainly based on a linguistic cleavage between Francophones and Dutch-speaking inhabitants.
    [Show full text]
  • “With the US Ambassador's Good Wishes” Article in Left-Of-Center Le Soir
    “With the U.S. Ambassador’s Good Wishes” Article in left-of-center Le Soir (1/21)(circ. 92,700) “An American wind was blowing in Mons and in the Hainaut province yesterday morning. Elio Di Rupo and Claude Durieux confirmed this on the occasion of a pleasant informal visit by Howard Gutman, the new U.S. Ambassador to Belgium. The province of Hainaut is to some extent America’s little brother since it welcomes U.S. businesses: Caterpillar (in Gosselies since 45 years,) Johnson (in Courcelles since two years,) but also Google near Mons since 2007 and Microsoft for one year. “Having business focusing on new technologies in our province is a major asset in the eyes of the new Ambassador. ‘Google and Microsoft will attract others,’ said the Ambassador who is discovering how Mons and the Hainaut province experience reconversions that are similar to those of Boston, Philadelphia, and Virginia. Page | 2 “Howard Gutman also met with Elio Di Rupo to discuss climate, the international financial situation, Afghanistan, and Guantanamo. ‘The new U.S. Administration is a big hope for the entire world,’ Di Rupo said. ‘Each country, including Belgium, must help him, because your success will also be ours,’ he added, before offering the Ambassador a book on the city of Mons as well as a dragon in crystal. “After that, Ambassador Gutman visited the city, like his fellow Americans working at SHAPE can do four times a year, being invited by the alderman for economic development. The Ambassador also met with Governor Claude Durieux, with whom he discussed the good relations – including on the security field – with SHAPE and the base in Chièvres.
    [Show full text]
  • Belgium: Social Democratic Hegemony Disputed
    Belgium: social democratic hegemony disputed Twenty-five years of uninterrupted participation in government. With the possible exception of their Scandinavian counterparts, few European social democratic parties boast a record similar to that of Belgian social democracy. Almost three decades later, the tide might be changing. In Flanders, social democracy no longer commands 15% of the votes. In Wallonia, polls indicate the Parti socialiste is at risk of losing 12% of its support, falling back to a mere 20%. A concomitant surge in support for the radical Workers' Party of Belgium might change Belgium’s political landscape. Belgium’s neoliberal turn and social democracy Social democracy, including Belgian social democracy, played a central part in spreading and implementing neoliberal measures throughout Europe. In public debates, even social democratic members of Parliament readily admit this now. In Belgium, the neoliberal turn started towards the end of the seventies. Crisis was rampant in Belgium. Yearly inflation rates went up to 12%, and between the summer of 1974 and that of 1975, about 70.000 workers lost their job. The social democratic Minister of economic affairs, Willy Claes, made a vaguely Keynesian attempt at economic recovery. The state was made to pay for the restructuring of industries as coal, steel, ship construction, textile and glass. It bought parts of private enterprises, rationalising production or modernising factories, socializing losses, only to disengage from or reprivatize the companies afterwards. Public expenses increased rapidly. From 43.6% to 63.1% of GDP between 1974 and 1981. Government deficit jumps from 2.7 to 12.6%. By 1983, public debt comes close to 110% of GDP.
    [Show full text]