The Neon Demon Belle, Belle, Belle Maxime Labrecque
Document generated on 09/23/2021 8:43 p.m. Séquences : la revue de cinéma The Neon Demon Belle, belle, belle Maxime Labrecque André Forcier. Embrasse-moi comme tu m’aimes Number 304, October 2016 URI: https://id.erudit.org/iderudit/83860ac See table of contents Publisher(s) La revue Séquences Inc. ISSN 0037-2412 (print) 1923-5100 (digital) Explore this journal Cite this review Labrecque, M. (2016). Review of [The Neon Demon : belle, belle, belle]. Séquences : la revue de cinéma, (304), 26–27. Tous droits réservés © La revue Séquences Inc., 2016 This document is protected by copyright law. Use of the services of Érudit (including reproduction) is subject to its terms and conditions, which can be viewed online. https://apropos.erudit.org/en/users/policy-on-use/ This article is disseminated and preserved by Érudit. Érudit is a non-profit inter-university consortium of the Université de Montréal, Université Laval, and the Université du Québec à Montréal. Its mission is to promote and disseminate research. https://www.erudit.org/en/ 26 | NICOLAS WINDING REFN The Neon Demon Belle, belle, belle Une fois de plus, Nicolas Winding Refn polarise la critique et l’opinion publique avec son dernier film. Pourtant, le sujet lui sied à merveille : en filmant le milieu de la mode à Los Angeles, il combine un esthétisme glossy, léché, scintillant et envoûtant à une violence d’abord psychologique, qu’il convertit en violence physique poussée à l’extrême, dans un défoulement bestial qui s’inscrit en continuité avec Drive et Only God Forgives. MAXIME LABRECQUE ’emblée, on se demande si Jesse est vraiment l’ingénue tombent au ralenti sur le titre suivi du travelling arrière sur Jesse qu’elle laisse paraître.
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