W ANNEE. N» 38. MERCREDI 29 MARS 1939.

0RQANI3 BEFTO:

3 mois 6 mois 1 an . - 1, RUE DES CAPUCINS, 1. - CAHORS ANNONCES JUDICIAIRES.. 1 f*. 90 ANNONCES COMMERCIALES 0a ligne ou son espace) . 2 ir. 25 et Départements limitrophes 11 fr. 50 21 fr. 38 fr. RÉCLAMES 3e page ( - d» - ). entres départements 12 fr. 22 fr. 40 fr. A. COUESLAKT, Directeur 3 fr. 50 » 2* page ( — d" — ). 6fr. » TÉLÉPHONE 81 COMPTE POSTAI. : 6899 TOULOUSE Rédacteurs : Emile LAPOSTE, Louis BONNET, Paul GARNAL Les abonnements se paient d'avance Les Annonces judiciaires et légales peuvent être insérées dans 1« Joindre 1 franc à chaque demande de changement d'adresse Les Annonces sont reçues au bureau du Journal. Journal du Loi pour tout le département.

coupe pas les ponts avec la et on assure que le Reich ne verrait aucun LECTURES ET IMPRESSIONS la ES ÉVÉNEMENTS inconvénient, bien au contraire, à une Informations reprise des contacts franco-italiens. Elections législatives Mais - on tient à souligner dès mainte- « Ou les démocraties d'Europe deviendront plus fortes que les dictatures nant l'adhésion absolue de l'Allemagne Dimanche, ont eu lieu 5 élections lé- aux thèses italiennes. BEILI E « en se soumettant à un effort égal, ou elles périront. » gislatives. Election à Aubusson, en remplace- Un accord franco-anglo-roumain ment de M. Chambonnet, radical-socia- Le gouvernement roumain se déclare- On ne lassera pas Hitler par la sa- cune espérance de secours utile et de liste, élu sénateur. rait prêt à conclure avec la France aus- A Cahors comme à Sarlat, person- Les galas se multiplient ; les affai- tiété, on ne l'arrêtera pas à coups de réelle protection contre le terrible Voici le résultat du scrutin : si bien qu'avec la Grande-Bretagne, sans ne n'a perdu la mémoire du succès res prospèrent. Négoces et parades fa- concessions. bandit berlinois. Inscrits, 17.235 ; votants, 13.352 ; suf- aucune restriction, un accord semblable qu'obtint, l'an dernier, dans notre vorisent et camouflent quantité d'in- frages exprimés, 13.290. à celui qu'il vient de signer avec l'Al- région particulièrement, le livre pé- M. Albert Rivaud, réminent pro- C'est affreux à dire !... Après l'oc- : trigues petites et grandes. Les voiliers Ont obtenu : MM. Sourioux (U.R.D.), lemagne. gourdin décoré du titre quercynois de fesseur à la Sorbonne qui connaît ad- cupation de la Rhénanie, après l'an- 5.589 voix (élu) ; Moluçon (S.F.I.O.), de Livourne n'apportent pas à Porto- mirablement choses et gens d'Alle- nexion de l'Autriche, après l'aban- Incidents Pontcarral. Ceux qui assistèrent, en Ferrajo que des rescapés de la tour- 5.100 ; Hindermeyer (rad. soc), 2.594. à la frontière germano-polonaise magne, publie dans le Capital un arti- don de la Tchécoslovaquie, personne septembre, à la plantureuse et enthou- mente impériale. Des aventuriers A NICE cle saisissant sur les buts et les en Europe n'a plus confiance dans la On apprend de Katowice que des ba- siaste manifestation de n'ou- débarquent aussi sur le quai et des moyens d'Hitler. Ses buts, qui appa- France et. dans l'Angleterre ! On a vu Inscrits, 21.940 ; votants, 16.896 ; suf- garres assez sérieuses auraient éclaté à blient pas non plus de quelles ova- espions Bogumin, à la frontière polono-alleman- frages exprimés, 16.703 ; blancs ou nuls, tions lut l'objet M. Albéric Cahuet, Le lieutenant Jacques Nortier, raissent à tous les yeux, voici com- comment elles ont toujours reculé de- 193. de où des Allemands auraient essayé de ment M. Albert Rivaud les expose : vant les attentats d'Hitler ! On a vu héros de la fête. Elles s'adressaient dont l'arrivée sert de prélude au ré- Ont obtenu : MM. Jacques Bounin (rép pénétrer en territoire polonais. tout ensemble à l'homme privé sym- « Il n'est plus guère possible d'hé- celui-ci prendre à leur nez et à leur ind.), 8.000 voix (élu) ; Albert Robini cit, connaît, parmi d'autres, de tels « siter touchant les intentions du barbe ce qui lui plaît sans provoquer (comm.), 4.843 ; Marcel Sableau (rad.- pathique à tous et au romancier qui mauvais compagnons. Il les démas- « Reich. L'Allemagne a commencé autre chose que des protestations de soc), 3.727 ; divers, 134. m PÊU m, mors. se plait à mettre sa plume au service quera, non sans peine. Cet ancien de sa province volontiers élargie. « l'exécution du plan indiqué par Hit- mots suivies d'un bel accord signé A MARENNES officier de la garde impériale, passé « 1er dans « Mein Kampf ». La né- avec le brigand pour confirmer et lé- — Un Dijonnais, M. Paul Briot, épicier dans la cavalerie royale, a fui la Inscrits, 17.308 ; votants, 12.413 ; suf- Le nouveau récit que M. Cahuet ap- « gligence et l'aveuglement prolongés galiser son brigandage. Et l'on se dit à Dijon, vient de poser sa candidature à pelle Les Abeilles d'Or et qu'il vient France, après avoir provoqué et bles- frages exprimés, 12.063. la présidence de la République. « des Puissances occidentales et de qu'il est décidément trop dangereux cé grièvement en duel son nouveau Ont obtenu : MM. Jean Hay (rad.-soc), — Six condamnés à mort ont été élec- de nous offrir pour nos récentes « l'Italie lui ont permis d'en réaliser d'être leur ami ou leur allié ! 4.580 voix ; Joneau (S.F.I.O.), 1.998 ; De- trocutés samedi, au pénitencier de Co- étrennes, est de la même veine que colonel. Il vient chercher appui et re- « la première partie, sans rencontrer *** rouet (rép. antimarx.), 1.908 ; Lavaud lumbia, en l'espace de 48 minutes. Ils Pontcarral. On y voit, d'ailleurs, ap- fuge auprès de son ancien maître. Il « de résistance appréciable. §ans au- Les choses sont ainsi. Et elles sui- (comm.), 1.567 ; Vernon (rad. ind.), avaient été reconnus coupables de l'as- paraître le bouillant hussard, fraî- nous conduit à travers Elbe: au châ- 1.305 ; Méon (frontiste), 705. teau, à la caserne, à la campagne, « cun doutet ce succès inattendu en- vront leur cours logique jusqu'à no- sassinat du capitaine Sanders, au cours chement pourvu de ses insignes de co- « gage les Allemands à persévérer. tre propre asservissement si nous ne Il y a ballottage. d'une tentative d'évasion en décembre lonel, en pleine action, au soir de dans les rues et les cabarets de la vil- « Nous savons quels sont les articles suivons pas le conseil que je trouve A MARSEILLE 1937. Waterloo. S'il ne joue cette fois qu'un le. Ses camarades de la Grande Ar- — L'avion allemand « Student » a « du plan qui restent à appliquer: an- très bien formulé sous la signature rôle épisodique, la façon dont il le mée lui font bon accueil ; les nota- Ont obtenu: MM. le docteur Toussainl établi, entre Bremen et Schwessih (Po- if nexion à l'Allemagne des terres de de notre confrère anglais, Garvin, bles du pays le reçoivent avec hon- Franchi, cons. munie. (S.F.I.O.), 4.931 mèranie), un nouveau record interna- tient porte la marque de cette fougue dans son journal, l'Observer : « population germanique encore in- voix ; Albert Pascalet, avocat (P.P.F.), tional de vitesse pour avion léger. Il a indomptable dont le demi-solde de neur. Il est admis au palais. Bien que « dépendantes du Reich (Alsace, Hol- « Ou les démocraties d'Europe de- 3.087 ; Louis Auguste, cheminot (comm.), couvert la distance de 1.000 kilomètres Fondaumier fournira bientôt d'autres l'empereur l'ait reçu assez fraîche- 2.595 ; Louis Francheschi, pilote (rad. « lande, Flandre belge et française, « viendront plus fortes que les dicta- en 5 h. 48', réalisant une vitesse moyen- preuves à son Périgord interloqué. ment, Son Altesse la princesse Bor- « Suisse alémanique, Trente et Tries- « tures en se soumettant à une ef- soc), 2.170 : F. Montlouis (rép. soc), 155; ghèse, « la divine Pauline », l'atta- Reybaud, 113. ne de 171 kilomètres 950 à l'heure. M. Albéric Cahuet ne fait pas de « te) ; annexion des territoires qui « fort égal, ou elles périront. » — Dans la nuit de dimanche, deux che à sa personne. II fréquente la Il y a ballottage. l'histoire romancée suivant la formu- « ont fait partie jadis du Saint Em- Gavés d'illusions, abreuvés de ehi- avalanches se sont déclenchées dans la boutique vite achalandée de Rose le ordinaire qui fit florès naguère et « pire Romain Germanique (Lorrai- mères, nos deux peuples avaient per- A SAINT-BRIEUC région de Barèges. Le centre de Barèges Bonjour, marchande de frivolités, semble aujourd'hui passée de mode. « ne, Franche-Comté, Italie du nord du le sens du réel. Il n'est que temps Inscrits : 20.757 ; votants : 13.700. Ont a été enseveli par les neiges. Le haut émigrée de Paris et venue du conti- quartier de la ville a dû être évacué en « jusqu'à Rome) ; destruction de la de les y ramener. Si rude qu'elle soit, obtenu : MM. François Auffary (rad. Il a sa manière propre d'user de nent par le même bateau que lui. soc), 4.013 voix ; Louis Huchet du pleine nuit. -l'histoire à des fins romanesques. S'il « France comme élément important c'est dans la vérité qu'est le salut. — M. de Monzie, ministre des Travaux Dans cetfe gerbe variée de rencon- Guermeur (P.S.F.), 3.253 voix ; Emile Le évoque les grands faits militaires ou « de là politique européenne et vassa- ïl est devenu parfaitement clair Guen (rép. dém.), 2.563 voix ; Antoine puMics, a reçu les représentants tîè la*' tres, de démarches et de flâneries, « Ksation complète de notre pays ; que notre pays n'a jamais été plus en Mazier (S.F.I.O.), 1.749 voix ; Marcel Le Fédération nationale des travailleurs des politiques — de préférence les napo- une fleur bleue met sa note tendre. « destruction des Empires coloniaux danger. Dans la partie décisive qui se Solleu (ind. de gauche), 929 voix ; Yves chemins de fer. Des mesures de clémen- léoniens, — il apporte à sa mise en Une brune petite Elboise, étrange et « français et anglais ». jouera bientôt entre notre libre Lourio (comm.), 858 voix. ce seront vraisemblablement appliquées œuvre un souci constant de vérité do- délicate, Stella, s'éprend de Jacques. *** civilisation et l'horrible « barbarie II y a ballottage. aux cheminots grévistes du 30 novem- cumentaire ; mais il garde, pour le Abandonnée déjà par une autre/elle Pour justifier ces opérations de bri- scientifique » venue de Berlin, il est bre. reste, sa liberté d'invention et de com- sait que le nouvel amant qu'elle se Remise de vaisseaux position. Pontcarral nous avait donné gandage, Hitler se sert tour à tour de indispensable que nous soyons les au gouvernement espagnol donne la quittera bientôt et qu'elle ne théories interchangeables suivant les plus forts. Car il faut se mettre bien un exemple de cette méthode appli- survivra point à son départ. Elle n'hé- Les autorités navales britanniques ont 1 NI quée aux heures troubles de la. Restau- cas ou les besoins : tantôt le droit ça dans la tête, ce n'est pas à coups remis aux autorités espagnoles le con- CHOS] site cependant pas à se jeter dans ses des peuples à disposer d'eux-mêmes, de principes qu'on triomphera, mais tre-torpilleur républicain « José-Luiz- ration. Les Abeilles d'Or nous en bras. Cet épisode sentimental tient tantôt l'espace vital, tantôt la thèse à coups de canons et, sans se soucier Diez ». Explication. montrent un second, d'une liberté et dans le récit une place réduite mais raciste ou encore la tradition histori- du bon droit, c'est à la force qu'ira la Celui-ci a quitté le port de Gibraltar d'une élégance non moindres, dans le charmante. que de l'Empire... Et pendant qu'on victoire. tiré par un remorqueur espagnol. Un Une des anecdotes, vraies ou fausses, cadre du premier exil de l'Empereur Les aventures du lieutenant Nor- chalutier armé et un « sloop » espagnol qu'on se raconte à Berlin, sous le man- et des Cent Jours, discute ou qu'on s'effare, il prend ! Emile LAPORTE. teau : tier, la vie de l'île, bien d'autres inté- Bref, l'Allemagne s'est mise en mar- l'attendaient au large pour l'escorter jus- qu'à Algésiras. Hitler arrive au Congrès de Nurem- La plus grande partie de l'action se rêts plus hauts et plus vastes sont che pour la conquête de l'Europe. Elle berg. déroule dans l'île d'Elbe. Pour nar- dominés et régis par ce qui se médite VN PETIT MOT D'ECRIT. D'autre part, on annonce que, après est pressée. Elle casse tout sur son la décision de l'Angleterre, de rendre à La foule salue et l'acclame. Un seul rer avec précision, il faut avoir vu. et se trame dans le cabinet bien gar- passage. Une grêle de coups portés l'Espagne nationale, à Gibraltar, le contre- homme reste impassible. Surpris, le Pour bien voir, il est nécessaire d'exa- dé des Mulini. De ces pensers et de avec autant de force que de précision Voyages présidentiels torpilleur « José-Luiz-Diaz », on reçoit Fùhrer va vers lui et lui demande pour- miner à loisir. Fidèle à son culte de ces projets rien ne transpire. Dans le s'abat sur les peuples qu'elle veut as- la nouvelle que le gouvernement français quoi il ne salue pas. la sincérité, M. Albéric Cahuet n'hési- roman lui-même, Napoléon ne se servir. a décidé de remettre à l'Espagne natio- — Parce que je ne suis pas National- montre en personne qu'une fois, pres- M. Albert Lebrun aura la satisfac- ta pas à se rendre à Porto-Ferrajo. En Voyez un peu le travail qu'Hitler a nale toutes les unités de l'escadre espa- Socialiste répond celui-ci, je suis So- dépit de Tinconfort de ce lieu de vil- que entre deux portes. Tout cepen- tion d'être allé, lui aussi, à l'étranger et gnole réfugiée dans le port de Bizerte. cial-Démo crate. fait en quelques semaines. de terminer son septennat dans une apo- légiature, il y demeura tout le temps dant est subordonné à ses désirs et à — Et pour quelle raison, demande le ses gestes. Depuis Munich — qui devait sau- théose. On n'a jamais trop d'égards pour Un discours de Mussolini Chancelier ? qu'il lui fallut, non pas pour recueil- ver la paix — il a annexé la Bohème les peuples amis, surtout à l'heure où L'Italie a célébré, dimanche, le 20° an- — Mon arrière-grand-père, mon grand- lir des notes, mais pour écrire son ou- L'empereur semble accepter sa dé- et la Slovaquie. Dix ou douze mil- l'on constate les procédés de certains niversaire de la fondation des faisceaux père, mon père étaient sociaux-démocra- vrage jusqu'au point final. Ainsi in- chéance. On peut le croire résigné à lions de Slaves mis en servitude sous autres. de combat. Les vétérans des premières tes, je suis, comme eux. formé par la lecture et par la vision se contenter du royaume dérisoire le joug de Berlin. Puis, se portant Les voyages présidentiels ont connu sections d'assaut ont été réunis sur le Hitler tique un momènt, puis reprend: directe, il put sans crainte reconsti- dont les alliés lui firent aumône, com- des phases très diverses. Jusqu'en 1888, Stade Olympique de Rome. au nord-est, il a sommé la Lithuanie — Alors, si ton arrière-grand-père, tuer le décor et l'atmosphère du rè- me on jette un os décharné à un chien nos chefs d'Etat ont été plutôt casa- de lui livrer Memel, grand port sur la A cëtte occasion, M. Mussolini a pro- ton père avaient été des assassins, tu... dangereux. Il restaure et embellit ce niers. Mac Mahon détestait les voyages noncé un discours dans lequel il a ap- gne momentané de Napoléon sur son Baltique, Ça n'a pas traîné. Deux — ...Je serais National-socialiste. et Jules Grévy pratiquait l'économie. Ce prouvé la politique de force de l'Alle- rocher méditerranéen. domaine, ordonne des travaux de lon- jours plus tard, il en prenait pos- Un avis autorisé. fut Carnot qui inaugura ces tournées magne et a proclamé que le litige qui sé- Sauvage et indigente. Elbe nourrit, gue durée. Et, tout à coup, c'est l'or- session. Désormais, l'Allemagne tient multiples à travers la France dont la sa- pare l'Italie de la France se résume aux en 1815, environ 15.000 habitants. dre d'embarquement, de départ pour dans sa gueule la Pologne sur qui au Le roi d'Italie est un esprit très culti- tire des chansonniers le railla bien in- points suivants : Tunis, Djibouti, Suez. vé, n en est résulté chez lui, de ce Sous les forts qui la couronnent et les rivages de France. Nul n'était au jour fixé elle pourra refermer ses mâ- justement. Félix Faure étendit la tradi- D'autre part, répudiant toute commu- goût de la culture, un profond mépris l'oppriment, Porto-Ferrajo, capitale courant de l'entreprise. Le coup de choires. Si M. Beck n'a pour se proté- tion qui s'accordait avec son goût du nauté de vue et d'intérêt avec la France, théâtre ne suprprend personne... pour ceux qu'on pourrait appeler ses de l'île, n'est guère qu'un village de ger que le traité de non-agression si- faste et des honneurs ; il fut le premier il a déclaré : « Ne parlons plus de Une rapide et pathétique relation congénères, les favorisés nés sur les mar- pêcheurs et de petits boutiquiers. A gné, il y a trois ou quatre ans avec à sortir des frontières pour rendre au parenté entre la France et l'Italie. » ches d'un trône et destinés à régner à des Cent Jours conclut le roman et tsar Nicolas sa visite de 1895. De ce Et le Duce a affirmé que les tentatives qui vient des Tuileries, de Saint- Hitler, alors son compte est bon. leur tour. fixe le destin de ses héros. Au cours voyage deux souvenirs sont demeurés pour briser l'axe Rome-Berlin sont Cloud et de Fontainebleau, le pseudo- En même temps qu'elle opérait au Il disait un jour à un de ses prési- de cet épisode, nous apparaît, héroï- dans l'esprit public : le projet du Prési- puériles et a ajouté : « Il faut s'armer palais des Mulini et la maison cham- nord-est, l'Allemagne ne négligeait pas dents du Conseil pourvu d'une belle fa- que et forcené, le colonel Pontcarral. dent de se faire confectionner, pour se à outrance. Le dogme de l'Italie actuel- mille : pêtre de San-Martino ne peuvent pa- le sud et, s'adressant à la Roumanie, Il termine sa carrière par un coup de rendre en Russie, un uniforme brodé le est croire, obéir, combattre. » — Vous êtes heureux, vous ! Vous raître que des bicoques. Napoléon le Reich mettait celle-ci en demeure dor, projet que la presse ridiculisa de maître, improvisation qui permet à L'Allemagne appuie entièrement I" Italie pourrez marier vos filles à des hommes- s'en contente sans récriminer. Il d'avoir à lui céder son blé, ses céréa- telle sorte qu'il devint irréalisable, et l'armée française vaincue de prendre dignes d'elles, des savants, des ingé- fait aménager et réparer ces deux ré- les et son pétrole. Le roi Carol a eu ensuite, le don fait aux jeunes princesses Dans les milieux politiques bien infor- du champ et d'organiser sa retraite. nieurs, des avocats, des médecins. Mais sidences comme s'il entendait s'en quelques velléités de résistance. Puis, de poupées parlantes, véritables chefs- més, on déclare que le discours du Du- moi, que ferai-je des miennes ? Des Jamais livre n'a réussi mieux que servir pour toujours. Il s'y entoure sous l'effet de menaces qu'on peut ai- ci oeuvre de l'industrie française du ce n'a pas été connu à Berlin avant femmes de princes ! celui-ci à nous restituer pleinement jouet. qu'il soit prononcé. Bien qu'on n'exclut des débris de sa cour qui n'ont pas sément imaginer, il a cédé et il a si- sous une attachante forme romanes- M. Loubet fut, de tous no Chefs pas la possibilité d'une conversation di- Expulgfon. craint de partager son sort et réta- gné un traité qui accorde à l'Alle- s que, une émouvante phase de notre d'Etat, celui qui visita davantage les recte préalable entre MM. Mussolini et blit, en miniature, à leur usage l'éti- magne une espèce de dictature écono- pays étrangers. On le vit au Danemark, Hitler, on affirme que l'Allemagne parta- Une actrice qui connut des heures très histoire nationale. A ceux qui ne con- prospères vient d'être expulsée de son quette des anciens, jours. A l'échelle mique sur la Roumanie. en Italie, en Espagne, au Portugal, et en- ge entièrement le point de vue exprimé naissent point encore les évocations coquet appartement de l'avenue Carnot. du pays,-et même en la forçant quel- L'exécution méthodique du plan fin en Angleterre. M. Fallières fut un par le Duce. impériales, de M. Albéric Cahuet, je Président morne pour qui le coin du feu Et il nous souvient d'un des meilleurs que peu, il se crée une armée. hitlérien, tel qu'il est écrit dans Singulièrement, on exprime l'avis et mots de la turbulente petite comédien- conseille de lire les Abeilles d'Or en Mein Kampf, continue à un rythme et sa maison du Loupillon constituaient on souligne ce point que le discours ne Elbe et Porto-Ferrajo n'ont jamais premier lieu. C'est la meilleure préfa- les suprêmes joies. M. Poincaré, vérita- ne. A la campagne, elle demandait à haletant. Berlin a renversé les fron- connu paréille fête. L'île ingrate s'ap- ce qu'ils puissent donner à Pontcar- ble touriste national, multiplia les cir-

Feuilleton du « Journal du Lof » 17 Si bien, qu'ayant attiré Leudes pli, scellé de cinq gros cachets de Pierre réussit à surmonter la dé- Ne se doutant toujours de rien, sans une réponse définitive pour son dans un coin il lui demanda : cire verte. ception qu'il éprouvait et à raffermir Jacques Leudes appelait Eskenhazy maître. Jean D'AGRAIVES — N'en as-tu pas assez mainte- Pierre Dartel les rompit en hâte. sa voix : qui accourut, suant de zèle et aussi \ — Naturellement ! Comment veux- nant ? Nous avons du travail, de- Son cœur battait tellement fort — Qu'est-ce que tu penses de cela, de curiosité. tu établir l'ombre d'un devis, sans main... qu'il en voyait trembler sa main. Jacques ? —■ Une fameuse aventure, mon j avoir vu l'installation ? — Nous froisserions Eskenhazy, Hélas ! Il dut, presque aussitôt, se — Que l'invitation tombe à pic ! cher ! déclara-t-il joyeusement. « Un — Enfant que tu es. Laisse-moi fai- PETITE SOURCE si nous le quittions aussitôt. reprocher son fol espoir... Comment Voilà qui sera de nature à dissiper sidi » qui nous fait convier à venir re. Pierre n'insista pas, d'autant plus avait-il pu même croire, un instant, à ton cafard, hein ! jusqu'en sa « guitoune » installer Et, avant même que Dartel ait pu qu'il voyait que Jacques s'amusait. pareil bonheur ! Pierre haussa les épaules. l'électricité et nous dit de faire notre reprendre la parole, Jacques Leudes, Ah ! qu'eût-il donné, lui, afin d'ac- prix. rassemblait rapidement toutes ses SOUS LES PALMES Tandis que Jacques Leudes, intri- — Tu crois ? quérir une philosophie aussi sourian- — Et il s'appelle ce sidi ? connaissances d'arabe, répondait gra- gué, regardait familièrement par-des- te de la vie ? — La lettre est authentique, mon — Le chérif Adb-El-Géméda. vement au bédouin, bien que ses yeux sus son épaule droite et que le brave vieux. Le procédé ne m'étonne pas — Monsieur Dartel ! Monsieur L'israélite fit claquer sa langue et brillassent comme s'il préparait une Emotions en douche écossaise... israélite s'était discrètement éclipsé, Dartel !... de la part d'un de ces vieux arabes. se frotta les mains. bonne farce : Sur l'emplacement où, tout à l'heure, le Breton lut à demi-voix : C'était son hôte qui, très ému, Et tous ces grands caïds du Sud ne — Fichtre ! Eh bien, mes très chers — Dis à ton maître que pour lui les descendants de Si-Ali-ben-Ahmed- expliquait en baissant la voix : savent que faire de leur argent. Ils amis, vous pouvez vous vanter d'avoir être agréable, nous nous contente- Er-Rafaï, avaient exécuté leurs « pas- Au nom du Puissant et du Miséri- « Il y a là un messager qui désire se jalousent tous entre eux. Qu'un de la veine... une fameuse veine ! rons d'un million... mais payé en or. ses », les couples tournoyaient, à de ses voisins ait déjà fait poser vous voir. Un Bédouin. Il voyage de- cordieux ! Adb-El-Géméda est peut-être le plus Tandis qu'Ekenhazy béait littérale- présent, au son d'un « blues » syn- l'électricité et il enrage de ne pou- puis fort longtemps pour vous ap- grand caïd qui soit, le souverain ment d'admiration, l'Arabe s'incli- copé. Je sais — ainsi va la gloire humai- voir l'imiter immédiatement. D'ail- porter certain pli. IL s'était rendu presque indépendant d'immenses ter- nant répondait : Pierre Dartel avait semblé prendre ne — que parmi ceux de ta profes- leurs, Pierrot, tu accepteras, je lis tout d'abord chez vous, mais quand ritoires dans le Sud! S'il daigne vous Une part beaucoup moins grande à sion, tu es des plus réputés /... Te dans tes yeux, vieille branche. Depuis — Dans vingt-huit jours exacte- on lui a dit que vous vous trouviez prendre en amitié, votre fortune est ment, je serai de retour ici avec la l'allégresse générale. plairait-il de venir jusqu'à ma de- que tu as lu cette lettre, tu n'as plus ici, il a voulu vous y rejoindre, sans faite, bien faite, car ces gens-là gâ- moitié de cet or, en témoignage de Etait-ce parce que cette scène meure ? Puisque Dieu — béni soit la même figure... chent l'argent ! prendre une seconde de repos. » son saint nom —■ permet que la lu- bonne foi, et ma caravane sera prête d'hypnose lui rappelait pareil spec- — Oui, c'est-à-dire. Je n'ose y Pierre ne put s'empêcher de rire, Jacques Leudes qui s'était appro- mière brille, même dans la nuit, dans à vous emmener. « Inch-Allah » ! tacle, mais grandiose, autrement tra- croire... Et pourtant si... si c'était en entendant de quelle façon et de ché emboîta le pas à Dartel. les maisons de Tunis, de Sfax, de Ga- Jacques en resta interloqué, malgré gique, dont il avait été témoin dans vrai ! < quel ton son hôte avait prononcé Drapé dans son long burnous bès, je veux cette lumière chez moi. son habituel aplomb. une zaouïa du Grand-Sud ?... Deux Mais, sous le regard questionneur cette dernière phrase. blanc, l'immense chapeau de paille J'habite aux confins des montagnes Quant à Pierre, malgré les efforts cents khouans, une musique d'enfer, de son camarade il se tut. conique rejeté derrière les épaules, le et les chutes d'eau y sont abondantes. Il se retourna aussitôt vers le mes- de sa raison, il se sentait envahi par une vraie folie collective et tellement Pour rien au monde il n'eût voulu sager immobile et commença de lui messager avait grand air. Avec cette Je sais que la tâche en sera facilitée- une joie nouvelle... exaspérée que trois frères en avaient exprimer la pensée fugace qui l'avait majesté du geste, dont le moindre Et je mettrai sous tes ordres autant parler en arabe — qu'il savait fort Cette acceptation spontanée, cette péri. •encore effleuré, alors qu'il finissait de bien. Du feu... du sang... une atmosphè- mendiant arabe semble posséder le d'hommes que tu voudras. N'emmè- atmosphère d'aventure lui rappe- lire le message d'Adb-El-Gémeda. L'autre parut fort bien embarrassé, re insupportable de sabbat. sens inné, l'homme toucha, de sa ne avec toi qu'un seul Français ! Si laient étrangement certaine nuit — Aïn-Srir n'était-elle pas partie vers puis il fit à plusieurs reprises, un Tout un aspect — le plus étrange- main, son front et puis ses lèvres et tu acceptes, dis-le au messager que je certain jardin -— aux côtés d'une cer- les montagnes lointaines ? N'était-ce geste de dénégation. ment vivant de l'Islam — s'était dé- son cœur — salut auquel l'ingénieur t'envoie. C'est un homme sûr. Fixe taine présence... pas « elle » qui avait pu insinuer la — Si je comprends bien, coupa roulé devant lui. répondit fort courtoisement d'un Ba- ton prix. Je l'accepte d'avance. Sur Machinalement il répéta... chose à son père ?... qui sait jusqu où Leudes, tu lui dis que tu ne peux pas ! ^Ce qu'il avait vu tout à l'heure raka ala' en fik. toi la bénédiction. — Vingt-huit jours... • "** peut aller la ruse d'une jeune fille n'était qu'une caricature sans gran- Sur quoi, des plis de ses vêtements, le fixer d'avance sur le prix, et il te deur d'un rite idolâtre. le messager mystérieux tira un large Adb-El-Géméda, chérif. amoureuse. ? répond qu'il ne peut point partir, lui, (A suivre). Le choix d'une villégiature De la Basse-Loire à la Gironde. 3 50 en panne, un arbre déraciné peuvent Essuie-glace obligataire A partir du 30 juin 1939, les auto- Châteaux et Plages de la Loire. 3 » l'obstruer. sur toutes les automobiles bus et autocars, les camions de plus LES GUIDES RÉGIONAUX S.N.C.F. Poitou, Angoumois, Bordelais.. 2 » Vous ne connaissez que la portion de 3.000 kilos de poids total en de route que vous avez en vue, et en- L'article 22 du code de la route : Simples, clairs, bien illustrés, les Bourbonnais, Auvergne 3 » D'CUKt charge, mis en circulation avant le core un troupeau peut sortir d'un Organes de manœuvre, de direction Guides régionaux S.N.C.F. vous per- 1" janvier 1939, devront être équi- Le Nord de la France 6 » champ, un piéton sur le bas côté peut et de visibilité, stipule que le pare- mettront de mieux choisir votre lieu pés dudit essuie-glace. Alsace et Lorraine 5 » traverser, un cycliste peut tomber, brise doit être muai d'un essuie- de villégiature et lorsque vous l'au- là Mode Enfin, au 31 décembre 1939 tous Berry, Limousin 3 » un gros véhicule peut vous cacher un glace à la fois autonMique et pou- rez trouvé, de préparer d'agréables les véhicules circulant en France Normandie 4 » danger. vant être manœuvré à la main en excursions pour la visite des sites en- Pratique devront avoir l'essuie-glace automa- Bretagne 4 50 En conduisant, ne soyez pas dis- cas de défaillance de la commande vironnants, qui augmenteront l'agré- tique et à main. trait. tout 24t ai pudique mécanique. ment de votre séjour. Un nouvel arrêté publié, au Jour- Agir ainsi démontre vos qualités de et t^uum&d Menant! Vous trouverez ces guides dans les nal officiel, établit que : bon conducteur. 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TOULOUSE.... d. 15^51 :—i , 9 17 10 50 14 6 — 16 35 18 12 21 46 0 » CAHORS / 12 » PARIS (Orsay) dép. » 10 15 M l5j 45 » » MONTAUBAN. d. 6 11 — | » i — 11 15 — — 17 16 18 34 22 4 Mercuès 7 16 32 9 16 10 » 10 28 » 20 25 21 59 22 50 » Caussade . 6 50 9 35 PARIS (Aust.) dép. — — — — 17 56 18 57 — Doueile (Arrêt). 7 20 32 a 12 16 17 — » 0 36 2 *>{ ' 5 10 » 7 26 11 40 » 15 29 — — — — 18 4 — — Parnac 7 29 12 17 16 28 — 0 40 2 47 5 40 » 7 34 11 45 LIMOGES j-™ » 15 43 » — — — — — Luzech 7 35 12 22 16 36 — 7 21) » Sepl-Ponts 7 44 — 11 54 18 14 amyée » 17 03 » 1 56 4 3 > 12 a 28 » BRIVE... S 7 50 — 10 9 11 59 14 58 — 18 20 19 14 22 40 0 52 Pont de . ( départ. 8 14 12 28 — 17 9 18 3 2 1 4 18 7 33 » 45 12 30 i 16 50 CAHORS — 12 » 15 2 13 32 » 19 19 22 44 0 58 Castelfranc 7 Gignac-Cres sensac. 50 4 — 18 34 ■ — — — » ... j 8 13 10 13 49 12 33 | 16 56 8 13 :— — — 13 44 » 19 30 — (Arrêt) 7 12 36 — 17 46 18 52 — 4 58 8 12 » Espère 8 27 12 39 ! 17 6 SOUILLAC. dép. 9 13 — — . ;— 1,3 50 » 19 41 — Puy-l'Evêque 7 56 19 43 — _ 18 58 — ,— — » St-Denis-Catus... 8 40 i 17 16 CAZOULES 9 13 — » 19 53 — Duravel 8 3 12 45 — ■ _ 2 — — — » Thédirac-Peyril... 8 53 — — 14 12 1 La Chap.-d-Mareuil 9 24 13 48 19 — — — -Touzac 8 10 12 50 17 2(3 — — — — » Dégagnac 9 2 — 14 2,1 » 20 » Lamothe-Fénelùn . 9 33 13 57 _ 19 10 ■ Fumel , 8 20 12 59 17 40 Q in 9 lI âTt '-1J 1i uyJ O Nozac 9 42 14 6 — 19 18 — — — » Saint-Clair il lu 25 13 2 17 46 2— . 14 42 » 20 18 23 24 LIBOS ! 8 5-3 19 — 19 27 _ 5 23 8 36 » GOURDON (1) d. 9 23 10 51 < GOURDON.. dép. 9 14 18 8 ■ _ 14 49 » 20 25 — AGEN. 14 6 10 4 14 28 — — 19 35 — — » Nozac 9 30 Saint-Clair — — M — 14 57 » 20 33 — LIBOS. CÂHOttS aà EVëGOTÂUBAN 10 14 14 38 — _ 19 44 _ ' — Lamothe-Fénel. .. 9 33 Autorails Dégagnac —; — - — 15 3 20 39 .—i Autorails Thédirac-. 10 24 14 48 — 19 53 — — » La Chap.-de-Mar . 9 45 . » PENNE 6 26 33 30 — — — — 15 9 » 20 45 -— Saint-Denis-Catus. 10 34 14 58 _ _ 20 2 — _ » CAZOULES 9 51 LIBOS. dép. 6 43 9 15 13 52 18 14 — ■ 11 II ai — 15 18 . » 20 58 23 45 42 6 _ _ 9 .— — SOUILLAC. 9 ' Mercuès 7 38 M 8 14 45 19 oS | CAHORS 7 47 31 26 ' 14 si _lg_ 45 1 Toulouse- à Capfieaao, Brive et Paria Le Buisson à S* î enis-près-Martel CAHORS 7 48 11 ' "45- i7 25 » j St-Denis-près-BSartel à AuriLlac I EXP. tjUe TOULOUSE, dép.] ». i, » » 10 1:15 45i19 45 MONTAUBAN 8 55 13 17 19 4 » ! EXP. 7 33 10 37 17 11 jour de (!) Le Buisson, dép » » » 13 46 19 7123 23 LHOS pfiM :NA c~ 4 50 9 15 14 44U7 58 18 43 f*>ï re » St-Denis-près-Martel. 17 47 . j $;.| 2 20 7 17' 11 31 17 20 13 56:19 31123 43 CAHORS 8 2 9 50 12 43 17 04! 4 58 9 23 14 50'18 4 18 48 Sarlat dép 9 40 12 » 17 58 19 3) , FIGEAC .' 2 45 7 31; 11 23 17 29 14 8 19 44 23 54 Cabessut. 8 11 10 03 12 51 17 17 9 28 14 54 18 9 — Bétaille (arrêt") , 5 3 Cazoulès 10 34 12 36 18 12 19 07 20 24 Le Pournél 7 50131 42 » 14 24 20 3 Arcambal 8 20 10 37 13 » 17 28 ' 9 36 15 2 18 15 18 56 5 11 10 50 U2 46j 38 17 19 18 20 40 3 35 8 i fil 54 » 14 33 20 13 0 16 Vers 8 28 10 35 13 07 17 ^7 Bretenoux- Biars.... 5 20 9 44 15 10 38 24 19 3 Souillac îl 30 13 18 37 Flaujac (halte)... 8 10|12 3 » 14 42 20 21 Sainl-Géry 8 35 10 5r> 13 12 17 43 5 26 9 50 35 16 18 31 — Port-de--Gagnac.., 14 » 18 25 » D 5 7 8 23| 12 18 » 14 54 20 34 0 34 Conducbé 8 4: 0 ■ 11 24 13 22 17 58 9 58 15 23 18 39 19 14 Le Pigeon 11 48 Laval-de-Cère 5 34 5 39 8 35:12 28 » 15 7 '20 45 0 44 Saiut-Cirq-la-Popie.. 8 52 li 34 - 13 28 38 05 15 40 18 56 19 28 Lamativie 5 53 30 35 . Arrêt 11 56 14 4 — » )) Montraient 5 3:> 8 49! 12 42 » 15 23120 58 St-M artin-Labouval.. 8 59 . n 59 13 35 18 14 19 10 — Siran (arrêt) 6 7 10 30 15 54 St-Denis-p.- ( arr. 5 47 8 58! 12 51 » 15 33|21 7 1 3 Galvignae 9 5 12 G9 33 40 38 22 19 5? 12 04 14 11 18 34 » » La Roquebrou 6 25 10 43 16 5 19 22 Martel Martel ( dép. 5 58 9 6JÏ3 1 » 15 43121 15 1 7 Cajarc 9 16 12 26 33 52 18 36 AURILLAC.. arrivée. 7 13 11 20 16 40 19 58 20 24 — A titre S'-Denis-p.-Mar: 12 20 14 19 ; 18 42 » Quatre-Routes 6 9 9 3613 11 » 15 52 121 25 Montbrun 9 25 14 01 18 47 (1) A lieu si» il" Juillet au 26 Septembre. Turenne 6 21 9 26,13 21 » 16 2121 34 Toirac ' - 9 33 joui- s Je 14 08 18 57 St-Benis-près lartel au Buisson 9 44 roi re BRIVE ar. 6 54 9 -Î8I33 44 » 16 27 21 54 1 39 Lamadeleine à Cajarc 14 19 19 10 Auriliac à St-B eius-pres-J lartel (2) ; 13 S^Denis-p.-M.d. 7 3C 9 10 16 40 PARIS (Orsay) ar. » 19 41 » » 23 35 5 30 1 8 43 CAPDENAC 9 55 Oesl0&25) 14 30 19 22 AURILLAC . départ. 3 30 40 17 1721 3 CAH 105? S 55:22 7 sa 9 26 13 13 16 56 La Roquebrou 6 21 11 11 18 17 Martel Paris à Brive, Capdenae et Toulouse CAPDENAC 7 11 11 45 » 16 54 Siran (

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