FESTIVAL INTERNATIONAL D ’A RT DE TOULOUSE

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A COMES FIRST INTRODUCTION Depuis sa création, Le Printemps de Septembre a toujours eu à cœur de se renouveler régulièrement. En 2013, il se métamorphose : nouvelle direction, nouvelles dates, nouveau concept, nouveau nom. La première ambition du Festival international d’art de Toulouse est de placer l’artiste au tout premier plan : ARTIST COMES FIRST. La direction artistique, assurée par un comité permanent constitué de personnalités internationales du monde de l’art* choisies pour la singularité de leur parcours, pourra se projeter sur plusieurs années et mettra en œuvre des projets de longue haleine en développant l’identité de la manifestation au fur et à mesure des éditions. Le parcours principal du festival se recentre autour de la Garonne et investit des sites magnifiques du patrimoine de la Ville de Toulouse. Les Jacobins, le Château d’Eau, l’Hôtel-Dieu, le Port Viguerie, la Fondation Bemberg, les Abattoirs – Frac Midi-Pyrénées (rejoints dès l’année prochaine par le Musée des Augustins et l’Espace Edf–Bazacle), deviennent l’écrin des expositions de la famille Smith, Lindsay Seers, Emmanuel Van der Meulen, Howard Hodgkin, Julian Rosefeldt et Richard Buckminster Fuller. Le temps des week-ends du Festival, la cour d’honneur de l’Institut supérieur des arts de Toulouse devient le centre vif de la manifestation en accueillant des discussions inédites avec les artistes, la médiation culturelle, mais également des concerts lors des Nocturnes. Toujours attentif à une scène contemporaine plus émergente et à ses collaborations avec le territoire, le Festival confie à Lieu-Commun, à La Fondation espace écureuil (également partenaire du festival), au bbb centre d’art et à l’Espace Croix-Baragnon, réunis sous le nom A comme Associés, le soin de concevoir un programme en adéquation avec ce concept. En écho à sa programmation autour de la Garonne, dans le Grand Toulouse, c’est au Pavillon Blanc Centre d’art de Colomiers que le Festival s’associe pour présenter une exposition de l’artiste espagnol Jordi Colomer ; en région Midi-Pyrénées, à la résidence d’artiste Caza d’oro qui invite Gary Hill et Allan Packer à se saisir du spectaculaire site du Mas d’Azil. Les Soirées Nomades de la Fondation Cartier se concentrent cette année sur un projet pensé par l’artiste Jean-Michel Alberola pour le Port Viguerie et un concert de la chanteuse texane Chrysta Bell, révélée par David Lynch. Plus que jamais vigilant à la qualité de l’accompagnement de ses visiteurs, sous la houlette du Centre photographique de Lectoure, le Festival propose à tous les publics des actions multiples et adaptées, et met en place des médiateurs professionnels dans tous les lieux de son parcours. C’est avec le soutien et la confiance inestimables 1 . Expositions de nos partenaires, au premier rang desquels figure la Ville de Toulouse, Les Jacobins 8 qu’il est donné au Festival de changer de cap dans un si court laps Julian Rosefeldt de temps. Nous les en remercions chaleureusement. Nous espérons Fondation Bemberg 12 que vous partagerez notre enthousiasme toujours renouvelé pour Howard Hodgkin l’art et les artistes avec cette première édition du Festival international Château d’Eau 16 d’art de Toulouse et vous donnons rendez-vous à tous le 24 mai ! Emmanuel Van der Meulen Hôtel-Dieu 20 Marie-Thérèse Perrin Lindsay Seers Présidente-fondatrice Port Viguerie 24 Jean-Marc Bustamante R.Buckminster Fuller Directeur Les Abattoirs — 30 Frac Midi-Pyrénées Kiki, Seton & 2 . L’Institut supérieur des arts 55 de Toulouse 3 . Les Soirées Nomades 59 de la Fondation Cartier pour * l’art contemporain Comité de programmation 4 . A comme associés 63 Penelope Curtis 5 . Dans le Grand Toulouse 67 Tate Britain, & en Région Midi-Pyrénées Londres 6 . Actions pour les publics 73 Isabelle Gaudefroy 7 . Autour du festival 77 Fondation Cartier 8 . Calendrier 81 pour l’art contemporain, 9 . Informations pratiques 87 Paris Adresses, plans et transports Christy MacLear Fondation Rauschenberg, New York Olivier Michelon Les Abattoirs — Frac Midi-Pyrénées, Toulouse Eckhard Schneider PinchukArtCentre, Kiev Philippe Vergne Dia Art Foundation, New York L’exposition du dôme de R.Buckminster Fuller est réalisée avec le soutien de la Fondation Edf ; conception et installation de l’éclairage : Philips.

L’œuvre vidéo de 1. Lindsay Seers One of Many est coproduite par Le Jeu de Paume, Paris.

EXPOSITIONS LES JACOBINS L’ensemble conventuel des Jacobins fut construit à partir de 1229 par l’ordre des frères prêcheurs fondé par Saint Dominique à Toulouse en 1215. En 1369, le pape autorisa le transfert aux Jacobins du corps de Saint Thomas d’Aquin, philosophe dominicain de l’école scolastique dont la synthèse entre la pensée d’Aristote et la Bible permit d’articuler la raison et la foi. Transformé en caserne au début du XIXe siècle, le couvent fut sauvé en 1845 par Prosper Mérimée, inspecteur général des Monuments a historiques, et restauré au XXe siècle.

JULIAN ROSEFELDT Depuis une dizaine d’années, Julian Rosefeldt a s’est fait connaître par ses grandes installations vidéo sur plusieurs écrans. Dans le réfectoire des Jacobins il présente son film le plus récent My Home is a dark and cloud-hung land b (« Ma patrie est un pays sombre suspendu aux nuages »), une œuvre qui met en scène quelques-uns des archétypes de la culture germanique. La forêt en est le motif central.

Le cinéma est au cœur du travail de Julian Rosefeldt. Ses films a Portrait de Julian Rosefeldt, 2013. sont tournés en pellicule de 16 ou 35 mm. L’action se déroule dans des paysages soigneusement cadrés ou dans des décors de studio balayés par de longs travellings. L’enjeu n’est pas seulement esthétique, les mythes du cinéma, sa mécanique, sont en soi des objets d’étude pour Rosefeldt. American Night, réalisé en 2009, décline par exemple tous les codes du Western. Dans certaines de ses installations multi-écrans, la projection d’une même séquence sous plusieurs angles ou la représentation concomitante de la scène et des coulisses sont d’autres manières de déjouer l’illusion cinématographique. Les personnages dirigés par Rosefeldt se débattent dans l’espace clos d’un « Grand théâtre du monde », une notion popularisée au xviie siècle par la pièce de Calderón La vie est un songe dans lequel sont enchâssés différents niveaux de réalité. Avec la distance qu’induit ce dispositif, le spectateur observe les entreprises vaines et forcenées d’êtres que l’artiste qualifie de « Sisyphes modernes » pris dans les rituels de l’existence et désarmés par la futilité de toute chose. Les groupes ethniques de travailleurs d’Asylum (2001–2002), s’affairent à des tâches inutiles dont la répétition sans fin est accentuée 9 b par la mise en boucle du film. Les trois personnages de la Trilogie de l’échec (2004 – 2005) se laissent emporter par la folie destructrice de leurs obsessions. Le thème universel que constitue l’absurdité de l’expérience humaine parcourt l’œuvre de Julian Rosefeldt ; le registre grotesque dans lequel évoluent ses personnages la décharge pourtant de toute noirceur philosophique. My Home is a dark and cloud-hung land a été réalisé en 2011 à l’occasion de l’exposition « How German is it ? » (« À quel point est-ce allemand ? ») au Musée juif de Berlin.

« Le mot Heimat me fut donné pour seul champ thématique. Comme c pour tous les projets, j’ai commencé par de nombreuses recherches et suis tombé sur nombre d’éléments qui témoignent d’une perception ambiguë de la nature chez les Allemands si l’on se réfère à la notion d’une identité nationale. Ainsi le paysage devint le thème initial et se focalisa relativement rapidement sur la forêt. Et soudain, ce motif de la forêt se trouva être omniprésent dans l’histoire allemande – au début dans Germania de Tacite, puis dans les contes des frères Grimm, dans la représentation de la nature chez les nazis, dans la peur de la disparition de la forêt dans les années 1980 et le concept actuel de ‹ jardin d’enfant forestier ›, jusqu’aux répercussions de la catastrophe de Fukushima sur la politique environnementale allemande. Dans d la conscience collective des Allemands, la forêt est un motif récurrent.» Extrait de Dans la tête du gestionnaire de « hedge funds ». Julian Rosefeldt, entretien avec Robert Seidel, Berlin, le 6 février 2012.

Julian Rosefeldt est né en 1965 à Munich. Il vit et travaille à Berlin. Des monographies ont été consacrées à son œuvre dans de nombreuses institutions internationales comme le Domus Artium à Salamanque (2010 – 2011), le BFI à Londres et la Berlinische Galerie (2010), le Kunstmuseum de Bonn (2009), la Platform China Contemporary Art Institute à Pékin (2007), la Haus der Kunst à Munich (2005), le Kunst-Werke à Berlin (2004), le Hamburger Bahnhof à Berlin (2002), b c d Images extraites de My home is a dark le Herzliya Museum of Art de Tel Aviv (2001). and cloud-hung land, 2011. Installation composée de 4 films projetés, tournés en HD, convertis en HD-SR et transférés sur disque dur. Format : 16:9. Durée : 29’23”, en boucle.

11 FONDATION BEMBERG Cet hôtel particulier fut élevé en 1555 – 1557 sur les plans de Nicolas Bachelier, le plus grand architecte toulousain de la Renaissance. Derrière son monumental portail en bois se cache une cour intérieure à la façade Renaissance classique. Construit par un marchand enrichi dans le pastel, l’hôtel a été rénové par la ville en 1993 et abrite depuis 1994 la Fondation de Georges Bemberg, héritier d’une famille d’origine allemande. La collection comprend des œuvres européennes allant du XIVe siècle a au Postimpressionnisme. L’hôtel d’Assézat est également le siège de plusieurs sociétés savantes dont l’Académie des Jeux floraux, ancienne Compagnie du Gai Savoir créée en 1323 par les troubadours des derniers comtes de Toulouse. Ces poètes au lyrisme courtois ont donné ses lettres de noblesse à la langue occitane et organisé le premier concours littéraire d’Europe.

HOWARD HODGKIN La Fondation Bemberg accueille la première exposition consacrée a Portrait de Howard Hodgkin, 2013. à Howard Hodgkina en France depuis plus de vingt ans. Une sélection inédite d’une trentaine de peintures rend compte de l’étendue de son œuvre depuis ses premiers tableaux jusqu’à ses pièces les plus récentes. Le choix de l’Hôtel d’Assézat, dépositaire d’une riche collection de peintures européennes, résonne avec l’attachement fort de Hodgkin à la peinture française. Outre les espaces d’exposition dédiés aux seules œuvres de l’artiste, quatre toiles sont accrochées à sa demande dans deux salles hébergeant respectivement une sélection d’œuvres majeures de l’art italien du xviiie et un ensemble unique de peintures de Pierre Bonnard.

Des scènes stylisées des années 1950 et 60 aux images plus spontanées et presque entièrement abstraites peintes à partir de 1970, le travail de Howard Hodgkin semble marqué par une évolution continue. Pourtant, tout le vocabulaire de l’artiste est déjà présent dès les premières pièces. Ainsi, Memoirs,b achevée en 1949, annonce par sa technique (une gouache aux couleurs vives sur une planche de bois), son titre et son sujet (une discussion dans un appartement) toute l’œuvre 13 b à venir. Les titres des tableaux de Hodgkin évoquent des rencontres, des instants, des lieux. Sur le panneau de bois qui, chez lui, remplace la toile, comme sur les cadres, les fragments de ces souvenirs s’étalent, se mélangent et fondent l’un dans l’autre comme les éléments liquéfiés d’un collage. La couleur y est le véhicule d’impressions ténues (la réminiscence d’une journée) ou de sentiments plus exaltés (un coucher de soleil flamboyant) qui entrouvrent une perspective dans les pensées de l’artiste. Howard Hodgkin explique être « un peintre figuratif, mais peintre d’une figuration qui représente non des apparences, mais des situations émouvantes ». Si l’œuvre d’Hodgkin se caractérise par sa dimension c littéraire, elle ne s’exprime pas moins dans le langage propre à la peinture, portée par son incomparable talent de coloriste. Interrogé sur son rapport à l’art anglais, Hodgkin met en relation le goût modéré de ses compatriotes pour les couleurs vives et la re­tenue inhérente, d’après lui, à la culture anglo-saxonne. C’est cette logique d’équivalence qu’il faut renverser pour ajouter à la lecture limpide que l’auteur propose de son œuvre, une appréciation plus purement visuelle où les sentiments sont mis au service des couleurs.

Howard Hodgkin est né à Londres en 1932, il vit et travaille à Londres. Membre des comités de direction de la Tate (de 1970 à 1976) d et de la National Gallery à Londres (de 1978 à 1985), représentant de l’Angleterre à la Biennale de Venise en 1984, lauréat du Turner Prize en 1985, ennobli en 1992, la réputation de Howard Hodgkin, établie depuis plus de 40 ans, est aussi forte en Angleterre qu’à l’étranger et en particulier aux États-Unis où ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections.

b Memoirs, 1949. c After Visiting David Hockney (second version), 1991 – 1992. d After Vuillard, 1996 – 2002.

15 CHÂTEAU D’EAU GALERIE REZ-DE-CHAUSSÉE ET GALERIE 2 Il est construit en 1825 par un bienfaiteur de la ville pour pomper l’eau boueuse de la Garonne, l’épurer dans la Prairie des Filtres et la renvoyer vers les fontaines publiques de la rive droite. Merveille d’ingénierie à son époque, le Château d’Eau est devenu obsolète. En 1974, le photographe toulousain Jean Dieuzaide en fait la première galerie publique d’Europe exclusivement consacrée à la photographie. a EMMANUEL VAN DER MEULEN Emmanuel Van der Meulena est peintre. Il a été invité au Château d’Eau à poursuivre son projet de recherche sur l’inscription de la peinture dans l’architecture, développé lors de sa résidence à la Villa Médicis à Rome en 2012 – 2013. S’il a choisi le tableau comme support privilégié, il a toujours tenu comme essentielle la relation entre celui-ci, l’espace qui l’entoure et la situation physique du spectateur. La couleur, sa présence particulière, est le centre de son œuvre comme de ses tableaux.

De grandes figures élémentaires peintes sur des formats monumentaux a Portrait d’Emmanuel Van der Meulen, 2013. rythment l’exposition en plusieurs stations. Des tondi (« toiles rondes ») complètent ce cycle. Ces formes simples auxquelles Emmanuel Van der Meulen circonscrit son œuvre, une certaine économie de moyen, lui permettent de mettre à distance, ou, pour le moins, de « retarder » toute forme de représentation, afin de proposer au regard les éléments propres à la peinture, attirer l’œil, en deçà ou au-delà de la vision quotidienne. « Dans le partage avec le spectateur, ces quelques formes simples sont le minimum reconnaissable. Elles se donnent à voir d’emblée et on peut passer à autre chose. On peut aller au-delà de la reconnaissance de ce qu’il y a à voir sur le tableau et en venir à l’expérience de la peinture.» E. Van der Meulen, entretien avec Éric de Chassey, Emmanuel Van der Meulen. Enten – Eller. Tableaux 2006 – 2008, Paris, Lienart – Galerie Jean Fournier, 2009, n. p. Ce travail rappelle la radicalité de l’art minimal et les œuvres de quelques grandes figures contemporaines comme Blinky Palermo ou Günther Förg mais prend sa source dans l’histoire bien plus 17 b lointaine de la peinture ancienne, de l’ornement et du décor peint. Le groupe d’œuvres présentées au Château d’Eau s’inspire notamment très librement des visions géométriques et cosmologiques d’Hildegarde de Bingen décrites dans le Livre des heures divines.

Emmanuel Van der Meulen est né en 1970 à Paris. Il vit à Paris et travaille à Nogent sur Marne. Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 2001, il est pensionnaire de l’Académie de France à Rome — Villa Médicis en 2012 – 2013. Il a été associé au BlueOrange Support Prize en 2006 par Gabriel Orozco, a exposé à l’Espace de l’art concret à Mouans-Sartoux, au Minus Space c à Brooklyn, au Collège des Bernardins à Paris. Il a été le commissaire de l’exposition « Buongiorno Blinky » aux Cantieri Culturali alla Zisa à Palerme en 2013. Son premier essai critique, L’imagination et le suspens du regard selon Simone Weil, a été publié dans le catalogue d’exposition La pesanteur et la grâce en 2010.

d

b Atelier, Villa Médicis, 2012. c Croce bianca, Villa Médicis, Rome, 2012. d Giorno Uno, 2012. Galleria Bianca, Palerme. Avec le soutien des peintures Farrow & Ball et des Amis du Printemps — Festival international d’art de Toulouse 19 HÔTEL-DIEU Fondé au XIIe siècle par la communauté de la Daurade, l’Hôpital Saint-Jacques du Bout-du-Pont était relié à l’église de la Daurade par un pont couvert démoli au XVIIe siècle. Après les grandes pestes du XVIIe siècle, l’hôpital ouvrit au XVIIIe siècle des salles pour les femmes, les enfants et les malades incurables tandis que, non loin de là, le bâtiment de la Grave devenait un hôpital d’isolement pour les pestiférés, les mendiants, les prostituées et les fous. Des entrepreneurs y installèrent diverses a manufactures, utilisant avec profit cette réserve de main-d’œuvre à bas coût. En 1793, déterminés à laïciser ces institutions, les révolutionnaires les renommèrent ‹‹ Hospices de l’Humanité et de la Bienfaisance ››. L’Hôtel-Dieu est désormais inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco en tant qu’étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.

LINDSAY SEERS À l’invitation du Festival, Lindsay Seersa réalise une installation vidéo et sonore inédite, One of Many, inspirée par le pèlerinage de a Portrait de Lindsay Seers, 2012. Saint-Jacques-de-Compostelle et par l’histoire de l’Hôtel-Dieu, ancien hôpital dont le symbole est la coquille Saint-Jacques, marqué comme le quartier Saint Cyprien par les inondations, fléau récurrent sur les rives de la Garonne.

La pratique artistique de Lindsay Seers s’apparente à une enquête poétique et visuelle sur la manière dont la photographie et le cinéma façonnent l’être humain et modifient notre regard sur le monde. Lindsay Seers élabore des récits personnels ponctués de constructions narratives invraisemblables où les théories sur la photographie se mêlent à des concepts philosophiques, psychologiques et scientifiques. Son approche de la photographie s’inspire essentiellement de la philosophie métaphysique (néoplatonisme, alchimie de la Renaissance et philosophie d’Henri Bergson). Toutes les œuvres de Lindsay Seers sont liées entre elles et évoluent simultanément pour nous emmener vers des voyages multiples. On y retrouve ses interrogations sur la perception, les symboles, la représentation ainsi que sa fascination pour l’hétérochromie (le fait qu’une personne ait les yeux de couleurs 21 b différentes), phénomène qui atteste la présence d’un fragment étranger d’Adn hérité d’un jumeau et qui est responsable de cette erreur de coloration. Ses œuvres récentes (Monocular, 2011, It has to be this way, 2010) forment des installations complexes : véritables cabinets de curiosité, ce sont des structures à la fois réelles et théâtrales. Certaines d’entre elles ont été créées in situ pour des lieux inattendus comme Nowhere less now, 2012, installée à la chapelle Tin Tabernacle dans un quartier de Londres. Dans One of Many, l’espace de projection est une structure architecturale apparentée à un confessionnal. Les sphères-écrans qui s’y trouvent changent de signification au fil des différentes projections. c Elles symbolisent avant tout l’œil omniscient auquel on ne peut rien cacher et que l’on retrouve dans ce lieu où les secrets sont avoués et expiés. Le symbole de l’œil divin est également présent sur la porte de la chaire de l’Hôtel-Dieu : un œil unique pour un Dieu unique. Le Dieu monoculaire dont le point de vue ne peut être divisé. L’iconographie de la coquille Saint-Jacques a également toute son importance dans cette œuvre parce qu’elle rappelle les yeux multiples du mollusque, la symbolique du pèlerinage et les foules qui ont voyagé à travers le temps sur le chemin menant au cap Finisterre. Le contenu du film est le résultat direct d’une recherche et n’a été véritablement défini qu’au moment du tournage. Il inclut des événements d survenus au hasard des rencontres, au cours du voyage qui a donné naissance à l’œuvre.

Lindsay Seers est née en 1966 à Londres, où elle vit et travaille. Formée à la Slate School of Art et au Goldsmith College (Université de Londres), Lindsay Seers a remporté plusieurs bourses et prix : Sharjah Art Foundation en 2012 ; prix Paul Hamly en 2010 ; prix Derek Jarman en 2009. Son travail artistique a fait l’objet de nombreuses expositions en Grande-Bretagne dont la 4e édition de la Tate Triennial (2009), et à l’étranger, notamment à la National Gallery of Denmark à Copenhague (It has to be this way 2, 2010), b c d Photographies préparatoires pour à Toronto (Extramission 6, 2011), au Lofoten International Art Festival, One of Many, 2013. en Norvège (Monocular, 2011) et au Smart Project Space à Amsterdam (Swallowing Black Maria, 2008).

L’œuvre vidéo One of Many est réalisée en coproduction avec Le Jeu de Paume. 23 PORT VIGUERIE ACCÈS PAR LE Nº29 DE LA RUE VIGUERIE Au XVIIIe siècle, l’ingénieur Saget embellit l’ancien port du faubourg Saint-Cyprien en creusant une demi-ellipse dans les digues de brique au pied de l’Hôtel-Dieu. Pour protéger le quartier des inondations, Saget conçoit une porte monumentale sur le modèle des portes éclusières. En 2008, le port est restauré et une passerelle créée pour le relier au Jardin Raymond VI en passant devant les murs de l’Hôpital de La Grave. En 2009, le Port Viguerie a est officiellement renommé Quai de l’Exil-Républicain- Espagnol, en l’honneur des hommes des femmes qui ont fui le régime franquiste.

RICHARD BUCKMINSTER FULLER Au cœur de son parcours et à proximité immédiate de la Garonne, le Festival international d’art de Toulouse expose sur le Port Viguerie le 50 feet Fly’s Eye Dome de Richard Buckminster Fuller.a Ce dôme géodésique, prototype original de 15 mètres de diamètre restauré tout récemment par le collectionneur Robert Rubin, n’a été exposé qu’une fois en public à l’occasion du 150e anniversaire de la ville a Richard Buckminster Fuller. de Los Angeles en 1981. Le Fly’s Eye Dome occupera le Port Viguerie pendant les deux prochaines éditions du Festival. Un éclairage spécifique, conçu par Philips, illumine le dôme tous les soirs pendant la manifestation.

Écologue avant la lettre, par Robert Rubin « Buckminster Fuller est-il ‹ le cousin américain de Jean Prouvé › ? Né six ans avant le constructeur de la Maison Tropicale,b Fuller était, comme Prouvé, un autodidacte. Ayant abandonné ses études à Harvard, ce n’était pas un architecte, pas un ingénieur, pas un urbaniste, pas un capitaliste maximaliste. Comme Prouvé, il recyclait ses profits dans des projets utopiques. Comme Prouvé, il a été ostracisé, et même voué aux gémonies par l’industrie du bâtiment. Enfin, comme Prouvé, il est aujourd’hui porté aux nues par les architectes et les artistes, qui voient en lui un créateur d’une grande intégrité. Buckminster Fuller, en effet, a anticipé les préoccupations sociales et écologiques de notre nouveau siècle avec des concepts et des conceptions qui font preuve d’une magnifique prescience. 25 b Le Fly’s Eye Dome ‹ dôme en œil de mouche › représente pour Fuller l’aboutissement d’un demi-siècle d’engagement profond au service d’une idée : ‹ mettre à la disposition de toute l’humanité un abri hautement performant ›, ce que l’on peut comparer au célèbre précepte de Prouvé : ‹ Il faut des maisons usinées ›. Le dôme présenté ici à Toulouse est le plus grand des deux imaginés par Fuller.c Le petit est plus petit qu’une maison, mais plus grand qu’un van. Celui-ci est conçu pour permettre de vivre dans le ‹ jardin d’Éden › : trois étages ou plus, un jardin, des arbres et une piscine. Les maîtres mots sont lumière, efficacité, flexibilité et échelle industrielle. La surface en fibre de verre est occupée aux trois quarts c par les ouvertures de ‹ l’œil de mouche ›d qui peuvent servir de portes, de fenêtres, de bouches d’aération, ou recevoir des cellules photovoltaïques : ‹ En ce qui concerne les orifices et les pores de tous les systèmes organiques, leur fonction, selon leurs dimensions et leur forme, est de trier, filtrer et classer la circulation des éléments physiques qui entrent et qui sortent pour permettre la régénération métabolique incarnée par les dômes.› Buckminster Fuller a anticipé la double paroi en concevant deux dômes concentriques séparés l’un de l’autre d’une trentaine de centimètres pour l’isolation et l’aération. Simultanément, il imaginait une ville entière sous un gigantesque dômee destiné à être déposé par voie aérienne dans des endroits reculés d du monde, à l’intention de ‹ skieurs, géologues, artistes et autres ›. Il lui donne le nom de ‹Machine d’Habitation Autonome ›. Aujourd’hui, ce serait une façon de vivre en dehors de tout raccordement aux réseaux. Fuller avait même prévu de transformer les excréments des occupants en méthane et en poudre fertilisante. À l’instar de la Maison Tropicale de Jean Prouvé, ce dôme apparaît comme le prototype d’un système de construction industrialisé qui ne s’est jamais développé parce qu’il était trop en avance sur son temps (ou, comme le disent les spécialistes de technologie aujourd’hui, parce qu’il est venu ‹ trop tôt ›). Il y eut à la même époque trois prototypes de Maisons Tropicales (un déployé à Niamey, deux à Brazzaville) b Assemblage de la Maison Tropicale après et trois prototypes de dôme en ‹ œil de mouche ›, dont celui-ci qui, restauration, Presles, 2004. c 50 Foot Fly’s Eye avec un diamètre d’une quinzaine de mètres, est le plus grand des trois. Dome, 1981. d Dessin brevet, Monohex, 1965. Ils ont été précédés par la Maison Dymaxion,f autre construction en aluminium, que l’on peut voir aujourd’hui au Ford Museum à Dearborn. Ma fascination pour Fuller, comme pour Prouvé, tient au caractère artisanal de ces prototypes industriels. Chacun intègre dans sa beauté futuriste des éléments touchants qui rappellent la faillibilité humaine. 27 e Ainsi, certains panneauxg ont dû être modifiés après-coup, parce que les moules pour la fibre de verre avaient été construits en oubliant de convertir les degrés en pouces. Dans le processus de restauration, nous avons laissé des traces de cet incident qui nous rappelle qu’à l’ère industrielle – avant celle des ordinateurs – les hommes construisaient des choses qui ressemblaient à ce qu’ils avaient en tête, et qu’ils se servaient de leur tête, mais aussi de leurs mains. Et même, quand il le fallait, de ce qu’ils avaient sous la main (il semble que les ‹ futuristes › aient toujours travaillé dans des délais très serrés). Par exemple, le cahier des charges de Fuller prévoyait de l’aluminium très fin ou une tôle d’acier revêtu de plusieurs couches pour renforcer f la fibre de verre ; or, pour le prototype, c’est du contreplaqué qui a été utilisé. Chose étonnante, nous n’avons pas eu besoin de remplacer ce matériau, et bien que le dôme ait passé trente ans démonté dans un champ en Californie, nous avons seulement dû remplacer quelques panneaux en fibre de verre. Le reste était en bon état. Fuller est mort en 1983. (Prouvé est mort en 1984.) Pendant une grande partie des dix dernières années de sa vie, il a travaillé avec Norman Foster à la mise au point de nouveaux dômes. Lord Foster et d’autres ont certainement adopté les nouvelles géométries architecturales de Fuller, et ils les ont fait avancer. Bucky est juste venu un peu trop tôt ». Mars 2013. Robert Rubin est un conservateur et historien g de l’architecture. Il a restauré des bâtiments exceptionnels comme la Maison Tropicale du constructeur Jean Prouvé, actuellement à Nancy après quatre années passées sur les terrasses du Centre Pompidou, ou la Maison de verre de Pierre Chareau, chef-d’œuvre moderniste au cœur de Paris.

e Dôme au dessus de Manhattan, projet, 1950 et 1960. f Image Dymaxion. g Photos de la restauration Projet mis en œuvre dans les ateliers de Carlson Arts. avec le soutien de la Fondation Edf. Conception et réalisation de l’éclairage par Philips. 29 LES ABATTOIRS — FRAC MIDI-PYRÉNÉES EXPOSITION DU 24 MAI AU 1ER SEPTEMBRE 2013 Installés au bord du fleuve pour les mêmes raisons sanitaires que les hôpitaux, les abattoirs verront leur activité cesser en 1988. De type néoclassique industriel, les bâtiments conçus en 1831 par Urbain Vitry ont été convertis en un musée d’art moderne et contemporain de 7 000 m2 qui accueille aujourd’hui une collection de plus de 2 500 œuvres de la seconde moitié du XXe siècle et du XXIe siècle. a KIKI, SETON & TONY SMITH L’artiste américain Tony Smitha aurait eu 100 ans en 2012. À cette occasion, une exposition organisée en Allemagne par la Kunsthalle de Bielefeld rassemblait les œuvres de Tony Smith et celles de ses deux filles, Kikia et Seton.a C’est à partir de cette première présentation qu’a été développée l’exposition du Festival international d’art de Toulouse pour le musée Les Abattoirs. En concertation avec Kiki et Seton Smith, un ensemble de sculptures de grand format de Tony Smith a été réuni pour constituer l’une des plus larges rétrospectives jamais consacrées à son œuvre en Europe et la première à présenter son travail d’architecte. Une installation de Seton Smith a Tony Smith avec ses filles Chiara (à gauche), et un groupe de dix-huit dessins sur mousseline de ont Seton (au milieu) et Béatrice (à droite) pendant également été ajoutés à l’exposition conçue comme la combinaison l’assemblage des tétraèdres pour Bat Cave, 1969. de trois monographies. Parce qu’elle réunit Tony Smith – architecte, peintre et sculpteur, issu de l’expressionnisme abstrait américain des années 1950, pionnier, dès le début des années 1960, de ce qui deviendra l’art minimal –, Seton Smith – une photographe dont la carrière commence au moment où cette technique, jusque-là principalement documentaire, bascule dans le champ de l’art – et Kiki Smith – une sculptrice et dessinatrice qui a accédé à une reconnaissance internationale dès les années 1980 avec son travail sur le corps féminin – cette exposition traverse la vie d’une famille mais aussi un ensemble de tendances esthétiques et de courants de pensées qui ont fait l’histoire de l’art des soixante-dix dernières années.

31 Associé à l’art minimal, Tony Smith appartient pourtant à la génération À l’inverse, le corps humain, et en particulier le corps féminin, des artistes de l’expressionnisme abstrait. Proche d’Ad Reinhardt, est un motif récurrent dans le travail de Kiki Smith. Cette dernière se fait de Barnett Newman ou de Jackson Pollock, il développe lui-même, reconnaître internationalement après sa première exposition au MoMA parallèlement à son activité d’architecte, une œuvre de peintre. au début des années 1980. Son œuvre puise aussi dans ses souvenirs L’exposition présentée aux Abattoirs rend compte des influences d’enfance, mais, chez elle, ces apports biographiques sont traités réciproques de son activité d’architecte et de sa relation à la peinture. de manière symbolique et figurative. Depuis les années 1990, son travail Il débute sa carrière comme commis de bureau dans le cabinet a pris un tour plus narratif avec certaines œuvres qui réfèrent directement de Frank Lloyd Wright avant de se mettre à son compte. Pendant à des personnages bibliques ou mythologiques. les années 1940 et 50, plusieurs commandes témoignent de sa proximité avec les peintres de l’expressionnisme abstrait, comme les ateliers Tony Smith est né en 1912 à Orange, New Jersey, et est mort en 1980. construits pour le peintre Theodoros Stamos et l’artiste-galeriste Bien que sa carrière de sculpteur n’ait duré qu’une quinzaine d’année, Betty Parsons, ou un projet de chapelle non réalisé dont les vitraux Tony Smith a participé à plusieurs expositions historiques comme devaient être peints par Jackson Pollock. La peinture de Smith, « Black, White and Gray » au Wadsworth Atheneum à Hartford dans qui préfigure pourtant son approche modulaire de la sculpture, le Connecticut en 1964, considérée comme la première exposition ne lui vaut pas la même reconnaissance que ses réalisations d’art minimal, « Scale as Content » avec Ronald Bladen et Barnett d’architecte. Ainsi, la série des Louisenberg (1953 – 1955), montrée Newman à la Corcoran gallery de Washington en 1967 ou « Primary une fois seulement dans la légendaire exposition «The Art of the Real » Structures » en 1966 au Jewish Museum à New York. Ses œuvres ont au MoMA en 1968, aura été la dernière exposée de son vivant. notamment été exposées à la Biennale de Venise et à la Documenta 4 À partir de 1961, Tony Smith se consacre à la sculpture. de Kassel en 1968. Une exposition rétrospective a été consacrée Icône de l’art du xxe siècle, Die, cube noir de 6 × 6 × 6 pieds réalisé à son travail en 1998 au MoMA à New York, Tony Smith : Architect, en 1962, est l’une de ses premières réalisations. La réponse Painter, Sculptor. qu’il donne à la question de Robert Morris sur la taille de cette pièce : il ne souhaite en faire « ni un monument, ni un objet », nous Kiki Smith est née en 1954 à Nüremberg, en Allemagne. Elle vit renseigne sur la méthode à laquelle s’accordera dorénavant toute et travaille à New York. Kiki Smith obtient une reconnaissance son œuvre. internationale en 1990 avec sa première exposition au MoMA Ses filles Kiki et Seton ont grandi dans la maison familiale (elle y exposera une seconde fois en 2003). Depuis, son œuvre du New Jersey au milieu des sculptures de leur père et des œuvres a fait l’objet d’un grand nombre d’expositions, notamment au Moderna expressionnistes des grands peintres de l’époque amis de la famille. Museet de Stockholm (1992), au Power Plant de Toronto (1994), Jane, leur mère, était une actrice et chanteuse d’opéra. Au sein au Irish Museum of Modern Art à Dublin (1997), et en 2003, de cet environnement où rien n’existait en dehors de l’art, Seton au Whitney Museum à New York, au Contemporary Arts Museum s’intéresse très vite aux arts visuels, tandis que Kiki envisage d’abord à Houston et au Walker Art Center à Minneapolis. une carrière dans l’artisanat. Très tôt, Seton Smith commence à photographier des éléments Seton Smith est née en 1955 à Newark, New Jersey. Elle vit d’architecture qu’elle présente en polyptyques de grand format. et travaille à Paris et New York. Seton Smith a beaucoup exposé La question de l’espace est au cœur de son travail, qu’il s’agisse aux États-Unis mais aussi en France où elle passe une partie de son temps de l’espace physique d’un lieu ou de celui que délimitent depuis 1985. Ses œuvres font, entre autres, partie des collections les déplacements de l’appareil photographique. Loin de la photographie du Musée d’art Moderne de la Ville de Paris, du Frac Bretagne dite d’architecture, où les bâtiments sont le plus souvent magnifiés, ou du Frac Champagne Ardenne. Aux États-Unis plusieurs expositions Seton porte sur ses sujets un regard rêveur, habité par les souvenirs monographiques ont été consacrées à son travail, notamment de la maison familiale, mais vide de toute présence humaine. au Whitney Museum à New York en 1998. 33 b b En 1956, alors qu’il est âgé de 44 ans, Tony Smith se tourne vers la sculpture. Il débutait généralement ses recherches par la manipulation de petits modules géométriques en papier ou en carton. Il assemblait et désassemblait des unités simples, tétraèdres, octaèdres, rhomboïdes, jusqu’à obtenir une forme qui retienne son intérêt. Cette méthode lui servira à préparer la fabrication industrielle de ses sculptures en métal jusqu’à la fin de sa carrière. Les notes et commentaires qu’il a laissés témoignent de son étonnement quand apparaissait un modèle qui évoquait pour lui la forme d’un objet quotidien, le souvenir d’une architecture ou des réminiscences de ses lectures. c c Tony Smith fait un bref passage par l’école d’architecture et de design du New Bauhaus de Chicago en 1937. En 1938 et 1939, avant de se mettre à son compte, il collabore à plusieurs projets de l’architecte Franck Lloyd Wright grâce à une bourse de la Fondation Taliesin. La carrière d’architecte de Smith s’étend sur deux décennies. Il laisse derrière lui une quinzaine de bâtiments, principalement des maisons, mais aussi quelques églises et mémoriaux ainsi que de nombreux documents sur des projets non réalisés. Smith est influencé par le concept de « maison usonienne » énoncé par Wright en référence à sa vision d’une nouvelle culture typiquement d américaine (Usonian dérivant de l’acronyme « U.S. »). En 1944, il construit à Washington la « Brotherton House », à partir d’une structure en nid d’abeille. La maison est destinée à ses beaux-parents. La plupart des commandes qu’il reçoit sont directement ou indirectement liées à sa proximité avec le cercle des peintres expressionnistes abstraits. En 1945, il crée les studios Bultman à Provincetown, Massachusetts, pour l’artiste Fritz Bultman et, en 1951, une maison à Long Island pour le peintre Theodoros Stamos. Deux de ses bâtiments les plus célèbres, les deux maisons Olsen dans le Connecticut, datent de 1951 et témoignent de l’influence du Corbusier.

Tony Smith, modèles préparatoires pour b d Certaines constructions de Smith comme le studio de la galeriste sculptures, 1962 – 1965. c Tony Smith, Brotherton et artiste Betty Parsons ou la structure cellulaire de la Stamos House House, plan, ca. 1944. d Tony Smith, maquette pour la maison Stamos, vers 1951, réplique de 1998. traduisent l’intérêt de Smith pour la géométrie et la biologie. Il était influencé par les travaux du naturaliste D’Arcy Thompson et en particulier par son traité sur les formes géométriques naturelles On growth and Form (« Forme et croissance ») qui l’inspira tout au long de sa vie ; une référence qui fait écho au conseil prodigué 35 e par Frank Lloyd Wright à ses collaborateurs : « Étudiez la géométrie, qui est l’idée de toute forme ; une caille, un escargot, un coquillage, un poisson ; ils cèdent leurs secrets sans peine, et ils sont plus faciles à saisir que chiens, chevaux, humains parce qu’ils sont plus près des origines, plus primitifs. » In The Cause of Architecture : « Composition as method in creation », 1928. Bruce Brooks Pfeiffer (dir.) Frank Lloyd Wright Collected Writings, Volume 1, New York 1992.

e En 1951, à l’initiative du peintre Alfonso Ossorio, Jackson Pollock reçoit commande d’un cycle de vitraux pour une église. Il l’accepte f à la condition que Tony Smith en soit l’architecte. Pollock envisage un ensemble de peintures, apposé sur les fenêtres à claire-voie du plan modulaire imaginé par Smith. Conçue à partir d’unités hexagonales, l’église était censée n’avoir ni centre, ni plan hiérarchique traditionnel, donnant ainsi forme aux réflexions de Smith sur les « questions de chrétienté et de démocratie ». En raison de problèmes de financement, la chapelle ne fut jamais construite.

f La première ambition de Tony Smith est de devenir peintre. En 1932, âgé de 20 ans, il s’inscrit à la Art Students League de New York où il étudie le dessin, la peinture et l’anatomie. Il continuera à peindre g toute sa vie parallèlement à sa carrière d’architecte puis de sculpteur. Professeur dans plusieurs écoles d’art et ami des grands peintres de l’époque, Smith est l’un des principaux penseurs du mouvement expressionniste. Tony Smith a peint la série des Louisenberg en Allemagne entre 1953 et 1955 alors qu’il accompagnait sa femme Jane, chanteuse et comédienne, dans une tournée européenne. Ces toiles sont toutes composées à partir d’une grille. À la même époque, Smith évoque une « grille métrique proportionnelle », une théorie qu’il élabore à propos des unités de mesure élémentaires employées dans l’industrie.

Tony Smith, maquette pour église, 1950. e g Seton Smith : « J’ai orienté mon travail vers le langage de f Tony Smith, Série Louisenberg, 1953 – 1954. l’architecture, notamment sous ses aspects psychologiques et affectifs, g Seton Smith, G. Stairs D, 2007. qui englobent aussi la dimension hiérachique, politique et sociale. Mes photographies donnent à voir plusieurs types d’espaces, qui sont parfois présentés en regard d’images de la nature. Notre perception de l’environnement, du paysage et des espaces publics est imprégnée de notions romantiques et de nostalgie dans sa confrontation 37 h à l’artifice de la vie contemporaine. J’ai travaillé sur plusieurs projets liés à des sites spécifiques afin de m’interroger sur notre place dans ce contexte complexe et incertain. Certaines de mes œuvres récentes représentent des maisons relevant de l’architecture vernaculaire ; c’est une façon d’évoquer le fondement sur lequel nous découvrons et construisons nos relations personnelles et sociales, notre éducation, nos attentes et nos rêves, mais aussi le monde extérieur. Je reviens à la photographie en noir et blanc de paysages et de bâtiments, car c’est une autre façon de figer ces images dans le temps et de les transposer dans des univers psychologiques imaginaires où il ne nous est pas vraiment possible de vivre. » i h Au début des années 1960, Smith épuise les possibilités de la forme cubique, au fil d’une série de compositions en deux ou trois dimensions. La plupart des peintures qu’il exécute alors, sont des combinaisons d’unités rectangulaires, à la fois inspirées de la tradition De Stijl de Theo van Doesburg et Piet Mondrian et des recherches de ses contemporains américains.

i À cette époque charnière, ces réflexions s’appliquent indifféremment à ses peintures, à ses premières sculptures et à son travail d’architecte comme le montre le projet du Mémorial à Roosevelt conçu en 1960. j Trois murs de granit blancs aux dimensions croissantes forment les trois côtés d’un quadrilatère incomplet. Le mur le plus grand aurait dû recevoir l’inscription « Cette génération d’Américains a rendez-vous avec le destin ».

j L’installation Mirror Pool with Arch Door, Low Door and Venezia, a été créée en 1986-1988, dans un contexte pesant pour l’artiste et son entourage. Elle évoque l’épidémie de Sida à New York au moment où le virus faisait des ravages, en particulier dans le monde de l’art. En 1987, Seton Smith intitule Things from Down Under (« Les choses d’en bas ») une série de photos qui tourne en dérision h Tony Smith, EXIT, 1962 – 1963. i Tony Smith, cette situation tragique : le monde vu en contre-plongée, depuis la tombe ; F. D. Roosevelt Memorial, 1961. j Seton Smith, les objets de la vie quotidienne transformés en formes fuyantes et Mirror Pool with Arch door, Low Door & Venezia, 1986 – 1988. abstraites. Le silence qui émane de ce dispositif deviendra une constante dans l’œuvre de Seton Smith.

39 k k Kiki Smith s’est fait connaître par son travail sur le corps féminin. Au milieu des années 1990, les mythes, les contes et la religion ont pris une place plus centrale dans son œuvre. Le thème biblique de l’Annonciation inspire cette sculpture. Extrait d’un entretien entre Kiki Smith et Robert Ayers, 2006.

« J’ai eu l’idée d’une femme que je connais, assise et portant un costume. J’ai d’abord pensé à cette image de Frida Kahlo assise en costume, avec les cheveux courts et des mèches de cheveux coupés autour d’elle. J’aimais l’idée d’en faire une femme qui soit très androgyne […] et puis j’ai eu l’idée d’en faire une Annonciation, même si je me disais l qu’il pouvait y avoir quelque chose de très étrange à faire d’une femme de soixante ans, une vierge Marie. Par la suite,j’ai réalisé que ce dont il s’agissait dans cette œuvre, c’était précisément de ce que signifie le fait d’être un artiste : l’Esprit Saint vient vers toi exactement comme la créativité vient à l’artiste – elle se pose librement dans ta conscience.»

l m Born et Rapture font partie d’un ensemble de pièces où cohabitent figures humaines et animales. Born est inspiré du conte Le Petit Chaperon rouge dont certaines versions se terminent par l’épisode du Chaperon et de sa grand-mère hors de l’estomac du loup. L’histoire se superpose à celle de Sainte Geneviève, sainte patronne m de la ville de Paris traditionnellement représentée avec un agneau à ses pieds. Rapture pourrait aussi se référer à la légende de Sainte Geneviève de Brabant qui, ayant dû s’exiler dans les bois, est secourue par une biche. « Rétrospectivement je peux essayer d’analyser cet aspect de mon œuvre : je suis partie du microscopique pour aller vers les organes, les systèmes, les peaux, les corps, les corps religieux, les cosmologies. C’est surtout à partir de 1992 que mon travail a commencé à porter sur l’iconographie religieuse et la cosmologie. Il s’agissait d’histoires racontant notre tendance à faire l’univers à notre image, à notre manière d’anthropomorphiser le monde. C’est en pensant à cela que k Kiki Smith, Annunciation, 2008. l Kiki Smith, Born, j’ai commencé à représenter ensemble l’homme et l’animal.» 2002. m Kiki Smith, Rapture, 2001. Publié dans le communiqué de presse de l’exposition Kiki Smith – « You are the sunshine of my life is empty without you », Fruitmarket Gallery Edimbourg, 1999

41 n n L’inspiration que Smith trouve dans les formes biologiques alimente à la fois ses recherches théoriques sur les thèmes de la génération et de la régénération et ses expérimentations en peinture. Le motif des cellules est au cœur d’une série de compositions réalisées dès le début des années 1950. Une dizaine d’années plus tôt, en 1943, Smith écrivait The pattern of Organic life in America (« Le motif de la vie organique en Amérique »). Smith y envisageait l’idée de répétition – en peinture comme en architecture à partir d’unités industrielles préfabriquées – comme une caractéristique de la culture américaine.

o « Quelqu’un m’avait demandé de faire une maison. Le site était o magnifique et sa complexité permettait d’imaginer un schéma où le même motif se répétait symétriquement sur les trois axes. Frank Lloyd Wright avait enveloppé l’espace et tourné autour de lui mais il ne l’avait jamais fait de la même manière dans toutes les dimensions ou en conservant les mêmes mesures. J’ai fait un dessin schématique ; je ne tirai rien de cette maison mais je décidai de faire une maquette à partir du croquis. Je retournai la maquette, je fus étonné de voir qu’elle tenait debout.» Samuel J. Wagstaff Jr., «Talking with Tony Smith » Artforum, 1966.

p « La silhouette de Playground avait été utilisée dans un tableau peint p en 1961. Je ne m’en étais pas rendu compte au moment où j’ai dessiné la sculpture. J’aime ce type de formes : elles me rappellent les plans des bâtiments anciens dont les murs étaient construits en briques de terre crue. Les sections horizontales noires des bâtiments de ce type imprimées dans les manuels présentent presque la même relation du noir au blanc que la plupart des sculptures de cette série. Cette association existe en tout cas dans mon esprit.» Samuel J. Wagstaff Jr, Tony Smith : Two Exhibitions of Sculpture, extrait du catalogue des expositions à Hartford au Wadsworth Atheneum ; et à Philadelphia à l’Institute of Contemporary Art, 1966

n Tony Smith, Untitled, 1958. o Tony Smith, The Keys to Given !, 1965. p Tony Smith, Playground, 1962.

43 q q L’idée de Throne vint à Smith à l’occasion d’un cours qu’il donnait à ses élèves et dont la consigne consistait à trouver l’articulation tridimensionnelle la plus simple. Smith avait retenu la solution géométrique composée de quatre prismes triangulaires contenant deux tétraèdres. La masse abstraite symétrique ainsi formée lui rappelait le volume dense des panneaux acoustiques trouvés un jour dans la cave de sa maison.

r Die constitue une rupture dans l’histoire de l’art du xxe siècle. Cette sculpture ne semble ressortir d’aucun modèle historique, n’appartenir à aucune généalogie et introduit un nouveau paradigme r dans l’art des années 1960 qui sera par la suite compris comme l’Art minimal. Le titre concentre un empilement de significations et de références : à l’industrie, « die casting » (moulage sous pression), au hasard, « roll the dice » (lancer les dés), et à la mort, comme l’indiquent à la fois le titre Die (« meurs ») et la taille du cube « six foot » dont Smith s’amusait : « Six foot box. Six foot under », six pieds sous terre… Tony Smith passe commande de cette sculpture par téléphone auprès d’une société de soudure industrielle, dont le slogan était : « Vous le décrivez, nous le fabriquons ». D’après Smith, les dimensions sont empruntées à celles du corps humain tel qu’il apparaît dans s le dessin de Léonard de Vinci L’homme de Vitruve dont les bras et les jambes tendus sont inscrits dans le périmètre d’un cercle et d’un carré. Smith disait que des dimensions plus grandes auraient fait de la pièce un monument alors que des dimensions plus petites l’auraient réduite à un simple objet.

s Nervous Giants fait partie d’un ensemble d’œuvres conçues par Kiki Smith dans les années 1980 au début de sa carrière. Le corps humain en est le motif récurrent. Inscrit dans la tradition de la sculpture figurative, ces œuvres en renversent pourtant littéralement la logique en ramenant au premier plan organes, cellules, nerfs… q Tony Smith, Throne, 1956. r Tony Smith, Die, 1962. À cette époque, Kiki Smith étudie l’anatomie et assiste à des séances s Kiki Smith, Nervous Giants, 1986 – 1987. de dissections. Les Nervous Giants sont inspirés par les planches illustrées du célèbre manuel d’anatomie d’Henry Gray. La technique – des lais de mousselines brodées – évoque une forme d’artisanat traditionnellement féminin qui, conjugué à l’allongement démesuré des corps représentés, confère à l’ensemble une étrange facture antique. 45 t

u

t Seton Smith, Outcropping with Fence, 2011. Tony Smith, Wandering Rocks, 1967.

u MERCI MERCI partenaires à nos

47 t Les Hills a.k.a Dirt Pictures font partie d’une série de photographies réalisées aux États-Unis. Elles représentent des reliefs isolés au sein d’une géographie essentiellement plane. Les images des Hills rappellent les œuvres d’art des années 1970 conçues à l’échelle du paysage comme les Earth works ou le Land Art. À la manière de monolithes, elles évoquent des monuments créés par la nature composés de terre et des organismes qui y vivent. u Wandering Rocks se compose de cinq éléments. Smith a conçu cette sculpture comme un ensemble au sein duquel chaque unité peut être déplacée. Les formes des solides ont pu être inspirées par les cerfs-volants et les tours de l’ingénieur Alexander Graham Bell que Smith admirait. Ici encore le titre est riche de significations. Il pourrait évoquer un labyrinthe de pierres, « Louisenbourg », qui aurait été visité par Smith en Allemagne et qui aurait donné son nom à la série de peintures Louisenberg. Les Wandering Rocks – dans la mythologie grecque, des rochers errants dangereux pour la navigation – donnent aussi leur titre à l’un des chapitres de l’Ulysse de Joyce dont Tony Smith était un fervent lecteur, capable de citer de mémoire des passages entiers de Finnegans Wake.

51 v v Cigarette est l’une des toutes premières sculptures de grand format réalisées par Tony Smith. L’idée du titre est venue à Smith en observant le modèle miniature qu’il avait réalisé en plâtre blanc : « En voyant le modèle en plâtre lisse, j’ai réalisé que je m’étais laissé duper par les irrégularités du modèle en papier. La pièce était surchargée et avait l’air d’un mémorial de guerre. En conservant seulement la colonne vertébrale, je me suis retrouvé avec une cigarette dont on aurait pris une bouffée avant de l’écraser dans le cendrier ».* La version de la sculpture présentée aux Abattoirs est réalisée en contreplaqué. Pendant sa carrière, Tony Smith a eu recours à de nombreuses reprises à des prototypes en bois pour la présentation v’ de ses œuvres les plus monumentales. Dans certains cas, des modules issus d’une première sculpture étaient recyclés pour la création d’une seconde pièce comme le montre cette anecdote à propos de l’œuvre Smokev’ dont les segments ont servis à la fabrication de Smogv”: « Smoke venait d’être transportée depuis la galerie Corcoran et déposée à côté de la clôture à l’arrière du jardin. Je me dis que le voisin de l’autre côté de la barrière allait finir par en avoir assez de la voir traîner et je décidai donc de la faire déposer à la décharge pour la brûler. Puis, cette nuit-là, je dormai pour de bon et me réveillai l’espace de quelques minutes. Je me dis que j’aurais pu faire quelque chose d’autre avec Smoke avant que la pièce ne soit jetée.»* v” * Samuel J. Wagstaff Jr, Tony Smith : Two Exhibitions of Sculpture, extrait du catalogue des expositions à Hartford au Wadsworth Atheneum ; et à Philadelphia à l’Institute of Contemporary Art, 1966

v Tony Smith, Cigarette, 1961. v’ Installation du prototype en bois de Smoke à la Corcoran Gallery of Art, Washington, D.C., 1967. v” Tony Smith, Smog au Middleburry College, 1969 – 1970.

53 Situé au cœur du Festival, l’Institut supérieur des arts de Toulouse demeure une étape incontournable de la manifestation bien qu’à cette période de l’année les espaces d’exposition du bâtiment soient dévolus à la présentation des travaux des étudiants. Centre vif de la manifestation, l’Institut est un lieu de convergence pour l’ensemble 2. des publics. À la fois lieu d’information, d’accueil, de rencontre et de convivialité, il propose, autour d’une structure spécialement conçue pour le lieu, des discussions en public avec les artistes, une programmation musicale concoctée par les Siestes électroniques, une performance proposée par Lieu-Commun ou encore un concert des Soirées Nomades de la Fondation Cartier…

L’Institut supérieur des arts de Toulouse 24, 25, 31 mai Invitation aux Siestes Électroniques 25 & 26 mai Conversations en public avec les artistes & 1er juin Festival singulier, défricheur, généreux autant à partir de 14 h Au sein d’un espace scénique conçu par Statue 19 h – minuit qu’exigeant, né à Toulouse et voyageant à travers (Romain Guillet et Louise de Saint Angel) pour le monde, les Siestes Électroniques répondent la cour de l’école, chacun des artistes de l’édition à l’invitation du Festival en y programmant, 2013 présente son projet et discute de son œuvre. en toute légèreté et décontraction, des sets musicaux Chaque conversation est dirigée par un critique pensés pour l’Institut des arts. d’art, un conservateur, un journaliste…

Samedi 25 mai 14 h Howard Hodgkin en conversation avec John-Paul Stonard, critique et historien d’art. 15 h 15 Kiki et Seton Smith en conversation avec Jonas Storsve, conservateur au Centre Pompidou. 16 h 30 Elizabeth Thompson directrice du Buckminster Fuller Institute et John Warren, collaborateur de R. Buckminster Fuller, spécialiste du Fly’ Eyes Dome, conversent sur le travail de R. Buckminster Fuller. 17 h 45 Emmanuel Van der Meulen en conversation avec Guitemie Maldonado, critique et historienne d’art, professeur aux Beaux-arts de Paris.

Dimanche 26 mai 14 h Lindsay Seers en conversation avec Penelope Curtis, Buvette directrice de la Tate Britain. Pour se désaltérer et se sustenter, 15 h 30 Julian Rosefeldt une buvette menée en conversation avec Heinz Peter Schwerfel, L’ensemble tambour battant critique d’art, réalisateur et auteur des manifestations par l’association TA. proposées CONCERT PERFORMANCE à l’Institut supérieur 24 et 31 mai 17 h Concert Drone & Folk des arts de Toulouse 17 h – minuit Je suis le petit chevalier, Félicia Atkinson est gratuit. L’entrée 25 mai et 1er juin est libre dans 14 h – minuit Chicaloyoh, Alice Dourlen la limite des places 26 mai et 2 juin Alahuta, Aurélie Vivier disponibles. 14 h – 18 h 30 En partenariat avec Lieu-Commun 57 3.

LES SOIRÉES NOMADES

DE LA FONDATION CARTIER POUR

L’ART CONTEMPORAIN Concert Chœur du Capitole Concert Chrysta Bell Port Viguerie Inventer quelque chose de connu, voici le pari Cour de l’Institut Révélée par David Lynch, la song-writer texane Samedi 25 mai que s’est lancé le peintre français Jean-Michel supérieur des Chrysta Bell hypnotise de sa voix sensuelle à 20 h et 20 h 45 Alberola en réponse à l’invitation de la Fondation arts de Toulouse et planante avec des ballades étirées entre Cartier pour l’art contemporain. Jean-Michel Samedi 1er juin trip-hop et blues enfumé, proche de l’univers Une proposition Alberola développe depuis de nombreuses années à 22 h fantasmagorique du réalisateur. Au cours de Jean-Michel une réflexion sur l’histoire et les traditions. de sa carrière, Chrysta Bell a partagé la scène Alberola Pour cette nouvelle incursion dans le monde Chrysta Bell, avec de nombreux musiciens américains tels que de la musique, il s’associe au Chœur du Capitole, voix/guitare Brian Setzer, Willie Nelson ou Donovan. Alfonso Caiani, créé dès l’ouverture du théâtre éponyme à la fin Rodrigo Castro, En 2000, elle rencontre David Lynch. Ils collaborent direction du xviie siècle et aujourd’hui dirigé par Alfonso clavier/video une première fois en 2006 avec le duo « Polish Élisabeth Caiani. Installés sur le Port Viguerie, en écho Lee Patrick Poem », ballade lynchieenne par excellence, qui Matak-Meric, à la structure géodésique de Buckminster Fuller, Mastelotto, sublimait les derniers instants du film Inland Empire. piano les quarante-cinq choristes interprèteront batterie De leur complicité est également né l’envoutant Forêt paisible, un extrait de l’opéra-ballet Christopher album This Train, sorti sur le label La Rose Noire, Durée 15 minutes Les Indes Galantes de Jean-Philippe Rameau suivi English Smart, dont les onze chansons ont été composées et environ du Magnificat d’Arvo Pärt. Forêt paisible évoque bass/guitare écrites par David Lynch. « Beau comme Portishead la figure du bon sauvage, cher à Jean-Jacques égaré chez Tom Waits […].» J.D. Beauvallet Rousseau contemporain de Jean-Philippe Rameau, Production pour Les Inrockuptibles. alors que Magnificat est un cantique de la vierge Get Your Acts Marie écrit par Arvo Pärt, compositeur estonien Together souvent qualifié de « mystique minimaliste ». Si plus de 250 ans séparent ces œuvres magistrales, une délicatesse et une subtilité communes s’en dégagent. Un pont entre deux mondes, deux époques.

CHRYSTA BELL

Port Viguerie, accès par le nº29 de la rue Viguerie. JEAN-PHILIPPE RAMEAU 1736 Institut Supérieur Entrée libre dans ARVO PÄRT 1989 des arts de Toulouse la limite des places 5, quai de la Daurade disponibles. Entrée libre dans Avec le soutien la limite des places du Théâtre du Capitole disponibles. 61 Le Festival international d’art de Toulouse s’est rapproché de la Fondation espace écureuil (également partenaire de la manifestation), du BBB centre d’art, du Lieu-commun, de l’Espace Croix-Baragnon, pour repenser ensemble un concept d’expositions développant des perspectives complémentaires 4. au programme que le Festival conçoit par ailleurs autour du bassin de la Garonne. Une publication dévolue à A COMME ASSOCIÉS est disponible dans les lieux du parcours du Festival.

A comme associés BBB centre d’art Autour de l’exposition Espace Croix-Baragnon 96, rue Michel-Ange o Mardi 28 mai à 18 h, 24, rue Croix-Baragnon Métro ligne B, Cafés savoirs : Foucault Métro ligne B, arrêt Fr.-Verdier arrêt Barrière-de-Paris et la vérité de la représentation, Métro ligne A, arrêt Esquirol ou Trois-Cocus rencontre débat Accès rez-de-chaussée de la galerie Bus 36, arrêt Louin, avec Olivier Guerrier et Espace III o Bus 27, arrêt Lycée Lautrec, (Professeur en Littérature française Bus 41, arrêt Pradet Renaissance – laboratoire Patrimoine, Du lundi au vendredi VélôToulouse, station 153 Littérature, Histoire) suivie de 12 h à 19 h d’une visite de l’exposition. Samedis et dimanches Du mardi au dimanche En partenariat avec l’Université de 11 h à 19 h de 14 h à 19 h Toulouse II le Mirail, Nocturnes les 24 et 25 mai Nocturne le vendredi 24 mai la Ville deToulouse et le Cnrs et les 31 mai et 1 juin jusqu’à 22 h jusqu’à minuit Exposition jusqu’au Samedi 8 juin à 15 h, 13 juillet 2013 RV à la Bibliothèque des Izards : CLAUDIA MANN PHILLIP SCHULZE Double visite Née en 1982 à Wuppertal, Né en 1979 à Düsseldorf, GUILLAUME PINARD découverte tous publics vit et travaille à Düsseldorf vit et travaille à Düsseldorf Né en 1971, vit et travaille du projet de Guillaume Pinard (sculpture) CHRISTOPHE GIFFARD à Rennes. à la Bibliothèque des Izards qui Né en 1974 à Toulouse, présente la genèse de l’exposition et Autour de l’exposition vit et travaille à Toulouse. Vandale au BBB centre d’art, Visites tous les jeudis à 17 h THOMAS HATCHER (ensemble de dessins) par la médiatrice du centre. menées par le médiateur Né en 1985 au Royaume-Uni, de la galerie vit et travaille à Toulouse. Jeudi 13 juin à 18 h, Lecture autour de l’œuvre The Shinning (2013) de Guillaume Pinard, Extraordinary expectations (2013) par le comédien Alain Daffos, (installations sonores et visuelles) Cie La Part Manquante. Autour de l’exposition Samedis 15 juin et 6 juillet à 15 h, Performances sonores et visuelles Samedis en balade les vendredi 24 mai à 20 h, visite guidée de l’exposition seul, samedi 25 mai à 18 h, en famille ou entre amis. dimanche 26 mai à 16 h Des actions de médiation sont organisées par le Festival (voir page… dans le calendrier)

65 Fondation espace écureuil Lieu-Commun 3, place du Capitole 23-25, rue d’Armagnac o Métro ligne A, arrêt Capitole Bus n 40, 42, 73 Accès rez-de-chaussée o arrêt Armagnac

Du lundi au vendredi Du mardi au vendredi, de 12 h à 19 h de 14 h à 19 h Samedis et dimanches 5. de 11 h à 19 h Le samedi 25 Nocturnes les 24 et 25 mai et dimanche 26 mai et les 31 mai et 1 juin de 11 h à 19 h ; jusqu’à minuit les autres week-ends de la manifestation, GEORGE EKSTS de 1 4 h à 19 h Né en 1978 au Royaume-Uni, Nocturne vit et travaille à Londres. le vendredi 24 mai jusqu’à minuit Yaw, Titch and Roll FÉLICIA ATKINSON (installations, vidéos) Née en 1981 à Paris, vit et travaille entre Bruxelles Autour de l’exposition et la France Des actions de médiation RYAN FOERSTER sont organisées par le Festival Né à Newmarket (Canada), Dans (voir page… dans le calendrier) vit et travaille à New York SHELTER PRESS Maison d’édition indépendante le grand Toulouse basée entre Paris et Bruxelles & en Région Attraction Minérale (installations, dessins, fanzine, sons) Midi-Pyrénées

Autour de l’exposition Dimanche 26 mai à 17 h Concert Drone & Folk Je suis le petit chevalier, Félicia Atkinson Chicaloyoh, Alice Dourlen Clahuta, Aurélie Vivier Pavillon Blanc, Jordi Colomer L’Avenir Centre d’art Le Pavillon Blanc, Centre d’art de Colomiers répond de Colomiers au projet du Festival International d’art de Toulouse en invitant un acteur majeur de la scène européenne, Du 24 mai Jordi Colomer, à investir son espace d’exposition. au 31 août 2013 Cet artiste espagnol, à la formation plurielle d’architecte, artiste et historien de l’art, est connu Du mardi pour une œuvre qui explore la ville et les utopies. au samedi, Marquée d’un fort sens sculptural, son œuvre 12 h – 18 h englobe de multiples disciplines et tout Dimanches particulièrement la photographie et la vidéo ainsi 26 mai, 2 et 9 juin, que leur mise en scène dans l’espace d’exposition. 15 h – 19 h À Colomiers, l’artiste conçoit un projet monographique pensé pour le lieu et présente L’Avenir, un projet autour du Phalanstère de Charles Fourier. Cette utopie architecturale et sociale jamais réalisée trouve un écho particulier dans les rapprochements chers à l’artiste entre politique, fiction et architecture. L’Avenir est la projection des possibles, le récit vidéographique d’une aventure. Né à Barcelone en 1962, Jordi Colomer, L’Avenir, 2011. Jordi Colomer vit et travaille entre Barcelone et Paris.

Dimanche 26 mai, 16 h Visite & apéro-jus Autour de de fruit au vélo-mixeur Bus de Ville l’exposition gratuits à Colomiers Samedi 1er juin, 11 h Pavillon Blanc, lignes 5 et 7 Samedi 25 mai, 11 h Visite-dialogue Centre d’art arrêt Mairie Conférence-rencontre autour des œuvres Dimanche 9 juin, 16 h de Colomiers lignes 2 et 3 avec Jordi Colomer Visite contée 1, pl. Alex-Raymond arrêt Bd. E.-Montel Dimanche 2 juin, 18 h de l’exposition avec Samedis 25 mai, Performance Marc Fauroux Exposition Bus Tisséo 8 et 22 juin, 10 h en musique avec co-programmée Lignes 21, 32, 64, 118 Atelier « Regarder le Conservatoire Samedi 15 juin, 16 h et coproduite arrêt Bd. E.-Montel et écrire » avec de Colomiers Parcours L’œuvre avec Le Festival M.-O. Flambard, Diane Jean-Sloninski dans la cité international Métro ligne C écrivain public et Marc Jamond (Rdv Pavillon Blanc) d’art de Toulouse arrêt gare Sncf 69 Grotte Gary Hill & Allan Packer du Mas d’Azil Sanctuary for Reverse Engineering (r.e.s.) Du 24 mai Ce projet monumental a été conçu par deux artistes au 11 novembre nord-américains de renommée internationale, 2013 Gary Hill et Allan Packer pour le site patrimonial de la grotte du Mas d’Azil. Mai , Juin, Gary Hill, considéré comme un des artistes Septembre les plus influents de sa génération de par tous les jours : son usage pionnier de l’image vidéo, collabore ici Grotte pour la première fois avec un de ses proches, 10 h – 12 h 30 Allan Packer, un sculpteur connu pour une œuvre 13 h 30 – 18 h 45 qui expérimente de nouveaux liens entre art, science en politique. La proposition commune Juillet , Août des deux artistes s’articule à travers trois œuvres tous les jours : spécifiquement conçues pour le site. Elle a été Grotte imaginée en regard de l’histoire du lieu et 10 h – 20 h de sa capacité à exacerber un imaginaire qui Musée dépasse les frontières chronologiques habituelles 11 h – 12 h 30 comme un espace-temps indéterminé, où les 14 h – 19 h rapports entre nature et culture, présent et passé, technologie et vie humaine seraient bouleversés. Octobre, Ce projet s’inscrit dans une collaboration Allan Packer, The Mesmerizer of absence, 2013. Novembre depuis près de cinq ans entre l’association Caza Gary Hill, Holding Pattern, circuit d’attente, 2013. tous les jours : d’oro, résidence d’artistes implantée au Mas d’Azil Grotte et les Abattoirs — Frac Midi-Pyrénées. 10 h 30 – 12 h 30 Gary Hill, né à Santa Monica 13 h 30 – 17 h 15 (Californie) en 1951, vit et travaille Musée à Seattle. 16 h 30 – 18 h Allan Packer, né à Windsor (Ontario) en 1956, vit et travaille Caza d’oro, à Seattle. Centre international Autour de d’art contemporain. l’exposition Résidences d’artistes

Dimanche 26 mai, 11 h Téléphone Balade à Caza d’oro 05 34 01 18 83 Une navette vous Gratuit, dans [email protected] conduit vers le Mas Départ à 11 h la limite des places d’Azil, à la découverte devant Les Abattoirs ; disponibles, réservation Accès par autoroute des expositions de retour à Toulouse indispensable A66/A64 G. Hill et A. Paker. prévu vers 15 h. au 05 62 30 00 72. 1 h 30 de Toulouse 71 Les actions de médiation, gratuites et ouvertes à tous, sont conçues pour faciliter la rencontre entre le public et les œuvres exposées. Réalisées par le Centre d’art et photographie de Lectoure, elles sont conduites par une équipe d’une vingtaine de médiateurs qui accompagnent les visites commentées et sont également présents 6. sur les lieux principaux du parcours durant toute la durée du festival.

Actions pour les publics Accueil Actions pour les publics Visites-ateliers ✷ Conférence Institut supérieur des arts de Toulouse (5, quai de la Daurade) Conduites par des plasticiennes Samedi 15 juin à 11 h Métro Ligne A, arrêt Esquirol. Permanence téléphonique et inscription intervenantes du musée aux Abattoirs (auditorium) aux activités suivi de (✷) du lundi au vendredi, 10 h-12 h et 14 h – 18 h, des Abattoirs et du festival, Éric Vidal, Sculpture et art minimal : téléphone 05 62 15 26 74, [email protected] elles prennent comme point autour de Tony Smith Pour les points de rendez-vous, se référer au calendrier page 81. de départ une sélection d’œuvres (intervention tous publics) pour amener les participants Visites commentées Parcours tous publics vers une pratique en atelier Les Passerelles tous publics Guidés par un médiateur, (durée 2 h env.) : Un plasticien (Gérard Tiné) Accompagnée d’un médiateur ces parcours permettent • Public familles et adultes : et une historienne de l’art (durée 1 h à 2 h) : les week-ends de découvrir un ou plusieurs lieux les samedis et dimanches à 15 h (Stefania Meazza) proposent à 16 h, lors des Nocturnes d’exposition (durée de 1 h à 2 h (sauf les 25 et 26 mai) de faire dialoguer une exposition à 22 h et en semaine à 17 h 30 selon visites). • Pour les plus jeunes de la programmation (voir calendrier). (entre 4 – 11 ans) : du Festival avec une proposition Les itinéraires les mercredis à 15 h. du parcours a comme associés. Visites sur réservation ✷ des parcours le week-end : Rendez-vous programmés • Pour les groupes scolaires • Rive gauche Parcours ludique ✷ en partenariat avec Lieu-Commun (mise à disposition des enseignants Château d’Eau, Hôtel-Dieu, pour jeune public (6-12 ans) et BBB centre d’art (voir calendrier d’un dossier pédagogique Port Viguerie, Les Abattoirs • Cinq ou six œuvres entre page 85). réalisé avec le soutien • Rive droite le Bazacle et Port Viguerie sont de la Délégation académique Fondation Bemberg, Les Jacobins, prétextes à de courtes épreuves A comme Associés à l’action culturelle (Daac). Fondation espace écureuil où chaque joueur découvre Un médiateur vous fait découvrir • Pour les groupes • Pont Saint-Pierre les multiples liens entre science, les expositions du parcours associé. de personnes à mobilité réduite. Les Jacobins, Port Viguerie, nature et art. • À pied • Sur mesure en français, Les Abattoirs • Pour les groupes et Espace Croix-Baragnon, anglais ou espagnol • Pont-Neuf les individuels accompagnés Fondation espace écureuil, pour des groupes d’adultes Château d’Eau, Hôtel-Dieu, d’un adulte, les mercredis Lieu-Commun (transfert en métro (8 personnes au minimum). Fondation Bemberg après-midi à partir de 14 h du Capitole à Lieu-Commun) • Garonne à vélo (durée 2 h env.) • À vélo Les Abattoirs, Port Viguerie, Espace Edf Bazacle, Les Abattoirs, BBB centre d’art, Lieu-Commun, Hôtel-Dieu, Château d’Eau, Jardin Raymond VI, Port Viguerie. Fondation espace écureuil, Fondation Bemberg et Les Jacobins Espace Croix-Baragnon (les vélos ne sont pas fournis) (les vélos ne sont pas fournis) • L’œuvre dans la cité Pavillon Blanc, Centre d’art de Colomiers (transfert en métro de Colomiers vers Saint-Cyprien), Port Viguerie, Les Abattoirs.

75 7.

Autour du festival Les Jeudis des Abattoirs 76, allée Charles-de-Fitte Entrée libre dans la limite des places disponibles

Jeudi 23 mai à 18 h Jeudi 30 mai à 19 h Médiathèque Auditorium VERNISSAGE DES CONFÉRENCE EXPOSITIONS Geneviève Furnemont : « But can you wrap fish in it ? », « Histoire des Musées II : restitution du projet Braconnages, Le Musée du Luxembourg ». dédié à l’édition en tant que pratique artistique et proposé Jeudi 6 juin à 19 h par l’Institut supérieur des Auditorium arts de Toulouse en partenariat PRÉSENTATION Jeu de Paume avec la Médiathèque du projet de Jorge Pardo 1, place de la Concorde, Paris des Abattoirs pour la collection d’art roman www.jeudepaume.org « J’étais, je suis, je serai », du musée des Augustins dans aboutissement d’un travail le cadre du Festival international LORNA SIMPSON d’atelier hebdomadaire d’art de Toulouse 2014. 28 mai – 1er septembre 2013 conduit par Sébastien Lange auprès des femmes détenues Jeudi 13 juin à 19 h à la Maison d’Arrêt Auditorium Fondation Cartier de Seysses. CONFÉRENCE pour l’art contemporain Anne-Marie Duguet : 261, Boulevard Raspail, Paris « Les sculptures de brouillard www.fondation.cartier.com de Fujiko Nakaya » À l’occasion de la sortie RON MUECK d’Anarchive nº5 16 avril – 29 septembre 2013 Jeudi 20 juin à 19 h Auditorium Domaine Pommery CONCERT 5, place du Général Gouraud, Reims Land Observations www.vrankenpommery.fr Une proposition de Club Beausoleil EXPÉRIENCE POMMERY #10 dans le cadre Jusqu’au 4 octobre 2013 des Siestes Électroniques

79 ACTIONS POUR BALADE LES PUBLICS À CAZA D’ORO (✗) Pour les rendez-vous Réservation pour suivis de (✷) la navette gratuite renseignements indispensable et inscriptions au 05 62 30 00 72. au 05 62 15 26 74 ou mediation@ POUR TOUS 8. toulouseartfestival.com LES AUTRES Itinéraires des parcours ÉVÉNEMENTS en page 74. Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Calendrier Vendredi 24 mai Mardi 28 mai 19 h – minuit MUSIQUE 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Sets musicaux programmés par les Siestes Électroniques (IsdaT) Visite commentée Fondation Bemberg 20 h PERFORMANCE 18 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Phillip Shulze, Christophe Giffard et Thomas Hatcher Café Savoirs, rencontre débat (bbb centre d’art) (Espace Croix-Baragnon) 22 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Mercredi 29 mai dès 14 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours Rive droite rdv Fondation Bemberg Parcours ludique jeune public ✷ Départ de l’Espace Edf-Bazacle Samedi 25 mai 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS 11 h CONFÉRENCE Visite-atelier jeune public (7 – 11 ans) ✷ Les Abattoirs Jordi Colomer (Pavillon Blanc, Colomiers) 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS 14 h – 18 h 30 DISCUSSIONS AVEC LES ARTISTES  (page 57) Visite commentée Hôtel-Dieu 16 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours Rive gauche rdv Château d’Eau Jeudi 30 mai 17 h ACTIONS POUR LES PUBLICS 18 h PERFORMANCE Visite commentée de l’exposition de Claudia Mann Phillip Shulze, Christophe Giffard et Thomas Hatcher (Espace Croix-Baragnon) (Espace Croix-Baragnon) 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS 19 h – minuit MUSIQUE Visite commentée Les Jacobins Sets musicaux programmés par les Siestes Électroniques (IsdaT) 19 h LES JEUDIS DU MUSÉE 20 h + 20 h 45 LES SOIRÉES NOMADES Geneviève Furnemont, conférence (Les Abattoirs– Auditorium) Concert du Chœur de l’Orchestre du Capitole, une proposition de Jean-Michel Alberola (Port Viguerie) Vendredi 31 mai 22 h ACTIONS POUR LES PUBLICS 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours Pont Saint-Pierre rdv Les Abattoirs Visite commentée Château d’Eau 19 h – minuit MUSIQUE Dimanche 26 mai Sets musicaux programmés par les Siestes Électroniques (IsdaT) 11 h BALADE À CAZA D’ORO ✗ 22 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Navette vers le Mas d’Azil pour une visite de l’exposition Parcours Pont Saint-Pierre rdv Les Abattoirs de Gary Hill et Allan Packer  (page 71) 14 h – 16 h 30 DISCUSSIONS AVEC LES ARTISTES  (page 57) Samedi 1er juin 16 h PERFORMANCE 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Phillip Shulze, Christophe Giffard et Thomas Hatcher Visite-atelier famille ✷ Les Abattoirs (Espace Croix-Baragnon) 16 h ACTIONS POUR LES PUBLICS 16 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours A comme Associés à pied rdv Espace Croix-Baragnon Parcours Pont-Neuf rdv Hôtel-Dieu 19 h – minuit MUSIQUE 17 h CONCERTS Sets musicaux programmés par les Siestes Électroniques (IsdaT) Félicia Atkinson, chikaloyo, alahuta (IsdaT) 22 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours Rive gauche rdv Château d’Eau Lundi 27 mai 22 h LES SOIRÉES NOMADES 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Concert Chrysta Bell (Institut supérieur des arts de Toulouse) Visite commentée Les Abattoirs Dimanche 2 juin 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite-atelier adulte ✷ Les Abattoirs 16 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours Pont-Neuf rdv Hôtel-Dieu 83 Lundi 3 juin Lundi 10 juin 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée Port Viguerie Visite commentée Château d’Eau

Mardi 4 juin Mardi 11 juin 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée Les Abattoirs Visite commentée Les Abattoirs

Mercredi 5 juin Mercredi 12 juin dès 14 h ACTIONS POUR LES PUBLICS dès 14 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours ludique jeune public ✷ Départ de l’Espace Edf-Bazacle Parcours ludique jeune public ✷ Départ de l’Espace Edf-Bazacle 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite atelier jeune public (4 – 6 ans) ✷ Les Abattoirs Visite atelier jeune public (4 – 6 ans) Les Abattoirs 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée Fondation espace écureuil Visite commentée BBB centre d’art

Jeudi 6 juin Jeudi 13 juin 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS 17 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée Espace Croix-Baragnon Visite commentée de l’exposition de Claudia Mann 19 h LES JEUDIS DU MUSÉE (Espace Croix-Baragnon) Présentation du projet de Jorge Pardo dans le cadre 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS du Festival international d’art de Toulouse 2014 Visite commentée Fondation Bemberg (Les Abattoirs – Auditorium) 18 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Lecture autour de l’œuvre de Guillaume Pinard (BBB centre d’art) Vendredi 7 juin 19 h LES JEUDIS DU MUSÉE dès 14 h ATTENTION Conférence Anne-Marie Duguet (Les Abattoirs – Auditorium) Fermeture exceptionnelle des Abattoirs 17 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Vendredi 14 juin Passerelle de la Fondation Bemberg au BBB centre d’art 17 h ACTIONS POUR LES PUBLICS rdv Fondation Bemberg Passerelle de Port Viguerie à Lieu-Commun, 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS rdv au Fly’s Eye Dome à Port Viguerie avec Gérard Tiné, plasticien Visite commentée Lieu-Commun 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée Hôtel-Dieu Samedi 8 juin 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Samedi 15 juin Visite-atelier famille ✷ Les Abattoirs 11 h CONFÉRENCE 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Sculpture et art minimal : autour de Tony Smith, Éric Vidal, Les Abattoirs Double visite de l’exposition de Guillaume Pinard, 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS rdv Bibliothèque des Izards Visite-atelier famille ✷ Les Abattoirs 16 h ACTIONS POUR LES PUBLICS 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours Rive gauche rdv Château d’Eau Samedi en balade visite du BBB centre d’art 16 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Dimanche 9 juin Parcours L’œuvre dans la cité rdv Pavillon Blanc, Colomiers 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite-atelier adultes ✷ Les Abattoirs 16 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours Garonne à vélo rdv Les Abattoirs 85 Dimanche 16 juin 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite-atelier adultes ✷ Les Abattoirs 16 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours Rive droite rdv Fondation Bemberg

Lundi 17 juin 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée Les Jacobins 9. Mardi 18 juin 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée Fondation espace écureuil

Mercredi 19 juin dès 14 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours ludique jeune public ✷ Départ de l’Espace Edf-Bazacle 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite atelier jeune public (4 – 6 ans) ✷ Les Abattoirs 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée Espace Croix-Baragnon

Jeudi 20 juin 17 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée de l’exposition de Claudia Mann (Espace Croix-Baragnon) 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée Les Abattoirs 19 h CONCERT — LES JEUDIS DU MUSÉE Land Observations, dans le cadre des Siestes Électroniques (Les Abattoirs – Auditorium)

Vendredi 21 juin 17 h 30 ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite commentée Fondation Bemberg Informations Samedi 22 juin pratiques 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite-atelier adultes ✷ Les Abattoirs 16 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours A comme Associés à vélo rdv BBB centre d’art

Dimanche 23 juin 15 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Visite-atelier famille ✷ Les Abattoirs 16 h ACTIONS POUR LES PUBLICS Parcours Pont-Neuf Hôtel-Dieu Chemin de Lanusse

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A COMME ASSOCIÉS Buvette et restauration rapide o Espace Croix-Baragnon Institut supérieur des arts de Toulouse 24, rue Croix-Baragnon 5, quai de la Daurade Esquirol 24 et 31 mai de 17 h à minuit o Fondation espace écureuil 25 mai et 1er juin de 14 h à minuit 3, place du Capitole 26 mai et 2 juin de 14 h à 18 h 30 Capitole o Lieu-Commun Point presse et professionnels 23-25, rue d’Armagnac 47, rue des Paradoux Marengo Gare Sncf Du 20 mai au 2 juin de 12 h à 19 h o BBB centre d’art Les 24, 25, 31 mai et 1er juin 96, rue Michel-Ange de 10 h à 21 h 30 Tois-Cocus Téléphone 05 61 75 79 19 91 Chemin de Lanusse

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u e l Colophon. Coordination éditoriale du Festival international d’art de Toulouse. Guide dessiné par SpMillot, Paris et fabriqué par Art & Caractère, Lavaur. Mai, 2013.

Crédits : 08 1 © association le Printemps de Septembre, Franck Alix. a © association le Printemps de Septembre, Mark Lyon. 10 b DR. c DR. d DR. 12 1 © association le Printemps de Septembre, Franck Alix. a © association le Printemps de Septembre, Mark Lyon. 14 b © Howard Hodgkin. c © Howard Hodgkin, Courtoisie photo : Gagosian Gallery. d © Howard Hodgkin. 16 2 © association le Printemps de Septembre, Franck Alix. a © association le Printemps de Septembre, Mark Lyon. 16 3 © association le Printemps de Septembre, Franck Alix. a © association le Printemps de Septembre, Mark Lyon. 18 b DR. c DR. d DR. 20 4 © association le Printemps de Septembre, Franck Alix. a © association le Printemps de Septembre, Mark Lyon. 22 b Courtoisie Lindsay Seers. c Courtoisie Lindsay Seers. d Courtoisie Lindsay Seers. 24 5 © association le Printemps de Septembre, Franck Alix. a Courtoisie Buckminster Fuller Estate. 26 b © association le Printemps de Septembre, Mark Lyon. c.DR. d DR. 28 e Courtoisie Buckminster Fuller Estate. f DR. g Courtoisie des photos DR Design and Carlson Arts LLC. 30 6 © association le Printemps de Septembre, Franck Alix. a © 2013 Tony Smith Estate/Artists Rights Society (ARS), New York 34 b c d © 2013 Tony Smith Estate/Artists Rights Society (ARS), New York 36 e f © 2013 Tony Smith Estate/Artists Rights Society (ARS), New York. g DR. 38 h Courtoisie Chiara Smith. i Courtoisie Tony Smith Estate. j Courtoisie Frac Bretagne. 40 k © Kiki Smith, courtoisie Pace Gallery. l m © Kiki Smith, courtoisie Pace Gallery. 42 n o p © 2013 Tony Smith Estate/Artists Rights Society (ARS), New York. 44 q © 2013 Tony Smith Estate/Artists Rights Society (ARS), New York. r © 2013 Tony Smith Estate/Artists Rights Society (ARS), New York, Whitney Museum of American Art, New York. Achat grâce aux fonds versés par the Louis and Bessie Adler Foundation, Inc., James Block, The Sondra and Charles Gilman, Jr. Foundation, Inc., Penny and Mike Winton, et le Painting and Sculpture Committee. s Courtoisie de l’artiste, New York, Photo: Walker Art Center. 46 t u DR. 52 v © 2013 Tony Smith Estate/Artists Rights Society (ARS), New York. v’ DR. 00 v” © 2013 Tony Smith Estate/Artists Rights Society (ARS), New York. 61 © Dutch Rall 68 © Collection Vanhaerents, Bruxelles. Courtoisie de l’artiste et de la galerie Michel Rein, Paris. 70 © Coproduction Caza d’oro/Frac Midi-Pyrénées, Sanctuary for Reverse Engineering (R.E.S.) 70 © Coproduction Caza d’oro/Frac Midi-Pyrénées/In Situ Fabienne Leclerc, Sanctuary for Reverse Engineering (R.E.S.). 01-96 © 2013 SpMillot. 89, 92-93 © 2013 SpMillot. FESTIVAL INTERNATIONAL D’ART DE TOULOUSE

DU 24 MAI AU 23 JUIN 20I3

NOCTURNES Les 24 & 25 mai Les 31 mai & 1er juin jusqu’à minuit.

GRATUIT

association Le Printemps de Septembre

toulouseartfestival.com

2-1019982 3-1019983