VALLOUREC Société anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de 228 993,88 euros Siège social : 27, avenue du Général Leclerc – 92100 Boulogne-Billancourt 552 142 200 R.C.S. Nanterre

AMENDEMENT AU DOCUMENT D’ENREGISTREMENT UNIVERSEL 2020

Cet amendement au document d’enregistrement universel 2020 a été déposé le 2 juin 2021 auprès de l’AMF, en sa qualité d’autorité compétente au titre du règlement (UE) 2017-1129, sans approbation préalable conformément à l’article 9 dudit règlement.

Le document d’enregistrement universel peut être utilisé aux fins d’une offre au public de valeurs mobilières ou de l’admission de valeurs mobilières à la négociation sur un marché réglementé s’il est complété par une note relative aux valeurs mobilières et le cas échéant, un résumé et tous les amendements apportés au document d’enregistrement universel. L’ensemble est approuvé par l’AMF conformément au règlement (UE) 2017-1129.

Le présent amendement (l’« Amendement ») actualise et doit être lu conjointement avec le document d’enregistrement universel 2020 déposé auprès de l’Autorité des marchés financiers le 29 mars 2021 sous le numéro D. 21-0226 (le « Document d’Enregistrement Universel 2020 » ou « DEU 2020 »). Une table de correspondance est fournie dans le présent Amendement afin de permettre de retrouver facilement les informations incorporées par référence et celles mises à jour ou modifiées. Dans l’Amendement, « Vallourec » et la « Société » désignent la société Vallourec et le « Groupe » désigne la Société et l’ensemble de ses filiales consolidées. Le Document d’Enregistrement Universel 2020 ainsi que l’Amendement y afférent sont disponibles sur le site internet de Vallourec (www.vallourec.com) ainsi que sur le site de l’AMF (www.amf-.org).

SOMMAIRE

REMARQUES GENERALES ...... 3 1. INFORMATIONS FINANCIERES DU PREMIER TRIMESTRE 2021 PUBLIEES LE 20 MAI 2021 ...... 4 2. PERSPECTIVES ...... 20 3. FACTEURS DE RISQUE ...... 23 4. GOUVERNEMENT D’ENTREPRISE ...... 30 5. FAITS MARQUANTS DU DEBUT DE L’EXERCICE 2021 ...... 31 6. ATTESTATION DU RESPONSABLE DE L’AMENDEMENT AU DOCUMENT D’ENREGISTREMENT UNIVERSEL 2020 ...... 34 7. TABLE DE CONCORDANCE ...... 35

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REMARQUES GENERALES

Informations prospectives

L’Amendement contient des indications sur les objectifs et les prévisions du Groupe ainsi que des déclarations prospectives concernant notamment ses projets en cours ou futurs. Ces indications sont parfois identifiées par l’utilisation du futur, du conditionnel et de termes à caractère prospectif tels que « croire », « s’attendre à », « pouvoir », « estimer », « considérer », « avoir pour objectif », « avoir l’intention de », « souhaiter », « envisager de », « anticiper », « devoir » ou, le cas échéant, la forme négative de ces mêmes termes, ou toute autre variante ou terminologie similaire. Ces informations ne sont pas des données historiques et ne doivent pas être interprétées comme des garanties que les faits et données énoncés se produiront. Ces informations sont susceptibles d’être affectées par des risques connus ou inconnus, et d’évoluer ou d’être modifiées en raison des incertitudes et d’autres facteurs liés notamment à l’environnement économique, financier, concurrentiel et réglementaire qui pourraient faire en sorte que les résultats futurs, les performances et les réalisations du Groupe soient significativement différents des objectifs formulés ou suggérés. Les informations prospectives mentionnées dans l’Amendement sont données uniquement à la date de l’Amendement. Sauf obligation légale ou réglementaire qui s’appliquerait, le Groupe ne prend aucun engagement de publier des mises à jour des informations prospectives contenues dans l’Amendement afin de refléter tout changement affectant ses objectifs ou les événements, conditions ou circonstances sur lesquels sont fondées les informations prospectives contenues dans l’Amendement, étant rappelé qu’aucune de ces informations prospectives ne constitue une garantie de résultats réels.

Arrondis

Certaines données chiffrées (y compris les données exprimées en milliers ou millions) et pourcentages présentés dans l’Amendement ont fait l’objet d’arrondis. Le cas échéant, les totaux présentés dans l’Amendement peuvent légèrement différer de ceux qui auraient été obtenus en additionnant les valeurs exactes (non arrondies) de ces données chiffrées. Facteurs de risques

Parmi les informations contenues dans le Prospectus, les investisseurs sont invités à prendre attentivement en considération les facteurs de risque détaillés au chapitre 5 du Document d’Enregistrement Universel 2020, à la section 3 de l’Amendement ainsi qu’à la section 2 de la note d’opération relative à l’augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription avant de prendre toute décision d’investissement. La réalisation de tout ou partie de ces risques est susceptible d’avoir un effet défavorable sur les activités, l’image, la situation financière, les résultats, les perspectives du Groupe ou sur sa capacité à réaliser ses objectifs. En outre, d’autres risques, non encore identifiés ou considérés comme non significatifs par la Société à la date du Prospectus, pourraient également avoir un effet défavorable et les investisseurs pourraient ainsi perdre tout ou partie de leur investissement.

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1. INFORMATIONS FINANCIERES DU PREMIER TRIMESTRE 2021 PUBLIEES LE 20 MAI 2021 Le Chapitre 3.8 « Résultats des activités » du Document d’Enregistrement Universel 2020 est complété comme suit : Résultats du premier trimestre de l’exercice 2021 Boulogne-Billancourt (France), le 20 mai 2021 – Vallourec, un leader mondial des solutions tubulaires premium, annonce aujourd’hui ses résultats du premier trimestre de l’exercice 2021. L’information financière consolidée a été présentée par le Directoire au Conseil de Surveillance le 19 mai 2021. Résultats du T1 : RBE en hausse à 80 millions d’euros

• Chiffre d’affaires de 702 millions d’euros, en baisse de 18 % par rapport au T1 2020 (- 5 % à taux de change constants) • RBE de 80 millions d’euros contre 68 millions d’euros au T1 2020, porté par la contribution de la mine et les économies de coûts • Taux de marge en hausse de 3,4 points à 11,4 % du chiffre d’affaires • Flux de trésorerie disponible négatif de - 62 millions d’euros, contre - 181 millions d’euros au T1 2020 • Trésorerie de 1 242 millions d’euros au 31 mars 2021 Confirmation des perspectives 2021 :

• Perspectives pour l’année 2021 révisées à la hausse le 30 avril, sur la base des volumes et des prix de vente anticipés en hausse pour l’activité OCTG en Amérique du Nord, et d’une contribution plus importante de la mine de fer au Brésil o RBE visé entre 350 et 400 millions d’euros o Flux de trésorerie disponible visé entre - 340 et - 260 millions d’euros, incluant le paiement de l’option de rachat de la dette liée au contrat de location-financement au Brésil • Efforts continus sur la réduction des coûts • Maintien d’une gestion rigoureuse de la trésorerie et enveloppe d’investissements à environ 160 millions d’euros Finalisation de la restructuration financière le 30 juin 2021…

• Plan de Sauvegarde approuvé par le Tribunal de commerce de Nanterre le 19 mai 2021 • Lancement de l’augmentation de capital avec droits préférentiels de souscription de 300 M€, garantie par les Créanciers1, planifié pour début juin • Réalisation de la restructuration financière prévue le 30 juin (y compris l’augmentation de capital réservée aux Créanciers)

1 Les Créanciers font référence à tous les créanciers de Vallourec SA au titre des différentes RCF et des obligations, à l’exception des Banques Commerciales (les Banques Commerciales font référence à BNP Paribas, Banque Fédérative du Crédit Mutuel / CIC et ).

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… permettra à Vallourec de dérouler son plan stratégique

• Renforcer la profitabilité sur notre cœur de métier à travers la mise en place d’économies de coûts supplémentaires, l’utilisation de nos routes les plus compétitives, et l’innovation continue, afin de tirer profit de la reprise des marchés • Exploiter le plein potentiel de notre mine au Brésil, avec fin 2021 la nouvelle ligne de traitement du minerai de fer • Innover dans les solutions d’énergie bas carbone pour saisir les opportunités de croissance liées à la transition énergétique Porté par une politique RSE engagée

• 1,7 tonne de CO2 par tonne de tubes produits • Noté AA par MSCI et classé 13e sur 128 parmi les sociétés de Services du Secteur de l’Energie • Réduction de 25% les émissions de gaz à effet de serre du Groupe à horizon 2025 sur la base 2017, en ligne avec les accords de comme validé par le SBTi en mai 2020 Chiffres clés

En millions d'euros T1 2021 T1 2020 Variation T4 2020

Production expédiée (en milliers de tonnes) 358 450 - 20,4 % 408

Chiffre d'affaires 702 853 - 17,7 % 830 Résultat brut d'exploitation 80 68 17,6 % 76 (en % du CA) 11,4 % 8,0 % + 3,4 pts 9,2 %

Résultat d'exploitation 27 (29) + 56 M€ (495)

Résultat net, part du groupe (93) (74) - 19 M€ (570)

Cash-flow disponible (62) (181) + 119 M€ 112 Dette nette 2 364 2 267 + 97 M€ 2 214

Commentant ces résultats, Edouard Guinotte, Président du Directoire, a déclaré : Malgré l'impact qui se prolonge au niveau mondial de la crise du Covid-19 et les incertitudes qui subsistent quant à l'évolution de la pandémie, l'accélération de la campagne de vaccination dans de nombreux pays permet un regain d'optimisme quant à la reprise économique mondiale. Au cours des dernières semaines, les perspectives du Groupe se sont améliorées en Amérique du Nord pour l’activité OCTG en termes de volumes et de prix et au Brésil au regard de la contribution de la mine de fer. Cela nous a conduits à relever nos perspectives pour 2021. Notre RBE du 1er trimestre est en hausse par rapport au premier trimestre 2020, grâce aux initiatives d'économies déployées dans l'ensemble du Groupe, et aux résultats plus élevés de la mine de fer. Après son approbation par nos créanciers et nos actionnaires, le plan de restructuration financière a été approuvé par le tribunal de commerce de Nanterre le 19 mai 2021, ce qui ouvre la voie à sa finalisation prévue le 30 juin 2021. La finalisation de notre restructuration financière nous assurera une structure financière allégée, nous permettant, avec le soutien de nos nouveaux actionnaires de référence Apollo et SVPGlobal, de déployer notre plan stratégique. Nous visons tout d’abord à renforcer la rentabilité de notre cœur de métier en

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réalisant des économies supplémentaires, en maximisant l'utilisation de nos routes les plus compétitives, ainsi qu'en continuant à innover dans notre activité principale. Nous créerons également de la valeur supplémentaire en exploitant davantage le potentiel de notre mine au Brésil et en innovant dans la transition énergétique. Le lancement de l’augmentation de capital de 300 M€, prévu début juin, offrira à nos actionnaires l'opportunité d'accompagner Vallourec sur ce chemin de création de valeur.

I – CHIFFRE D’AFFAIRES CONSOLIDE PAR MARCHE

A taux de En millions d'euros T1 2021 T1 2020 Variation change T4 2020 constants

Pétrole et gaz, Pétrochimie 410 613 - 33,1 % - 25,0 % 566

Industrie & Autres 255 193 31,9 % 60,6 % 225

Energie électrique 37 47 - 21,7 % - 19,1 % 39

Total 702 853 - 17,7 % - 5,2 % 830

Au premier trimestre 2021, Vallourec a enregistré un chiffre d’affaires de 702 millions d’euros, en retrait de 18 % par rapport au T1 2020 (- 5 % à taux de change constants), avec :

• un effet volume de - 20 % principalement lié à l’activité Pétrole et Gaz en Amérique du Nord et, dans une moindre mesure, dans les régions EA-MEA, tandis que les volumes dans l’Industrie et Autres étaient en hausse en et au Brésil • un effet prix/mix + 15 % reflétant un prix/mix favorable en Amérique du Sud ainsi qu’une contribution plus importante de la mine de fer • un effet conversion de devises de - 13 % principalement lié à la parité EUR/BRL Pétrole & Gaz, Pétrochimie (58 % du chiffre d’affaires consolidé du T1 2021) Au T1 2021, le chiffre d’affaires Pétrole et Gaz s’est établi à 364 millions d’euros, en baisse de 188 millions d’euros ou - 34 % par rapport au T1 2020 (- 26 % à taux de change constants).

• En Amérique du Nord, la baisse du chiffre d’affaires s’explique par le recul des volumes et par des prix plus faibles. • Dans les régions EA-MEA, la baisse du chiffre d’affaires traduit principalement des volumes plus faibles. • En Amérique du Sud, la hausse du chiffre d’affaires, malgré un effet conversion de devises défavorable, reflète une hausse des volumes et un prix/mix favorable. Au T1 2021, le chiffre d’affaires Pétrochimie s’est établi à 46 millions d’euros, en baisse de 24 % par rapport au T1 2020 (- 15 % à taux de change constants) en raison notamment de la baisse des livraisons en Amérique du Nord et dans les régions EA-MEA. Au T1 2021, le chiffre d’affaires Pétrole et Gaz et Pétrochimie s’est établi à 410 millions d’euros, en retrait de 33 % par rapport au T1 2020 (- 25 % à taux de change constants).

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Industrie & Autres (36 % du chiffre d’affaires consolidé du T1 2021) Le chiffre d’affaires Industrie & Autres s’est établi à 255 millions d’euros au T1 2021, en progression de 32 % par rapport au T1 2020 (+ 61 % à taux de change constants) :

• En Europe, la progression du chiffre d’affaires s’explique par des volumes en hausse. • En Amérique du Sud, le chiffre d’affaires est en progression du fait de l’augmentation du chiffre d’affaires de la mine, reflétant des prix plus élevés et la hausse des volumes à 1,9 million de tonnes (+ 28 % par rapport au T1 2020), ainsi que de la hausse des ventes à destination des marchés Industrie portée par des volumes et des prix plus élevés, malgré un effet conversion de devises défavorable. Énergie électrique (5 % du chiffre d’affaires consolidé au T1 2021) Le chiffre d’affaires de 37 millions d’euros au T1 2021 est en baisse de 22 % par rapport au T1 2020 (- 19 % à taux de change constants), en raison notamment de la fermeture du site de Reisholz en Allemagne, effective depuis mi-2020.

II – ANALYSE DES RESULTATS CONSOLIDES Analyse des résultats consolidés du T1 2021 Au T1 2021, le résultat brut d’exploitation a atteint 80 millions d’euros contre 68 millions d’euros au T1 2020, soit une marge de 11,4 % contre 8,0 % au T1 2020, avec :

• Une marge industrielle de 168 millions d’euros, comparée à 161 millions d’euros au T1 2020, en hausse à 23,9 % du chiffre d’affaires (contre 18,9 % au T1 2020). La plus forte contribution de la mine, combinée aux mesures de réduction de coûts à travers le Groupe, ont plus que compensé l’effet de la baisse de l’activité Pétrole et Gaz dans les régions EA-MEA et en Amérique du Nord. • Une baisse de 14 % des coûts administratifs, commerciaux et de recherche à 77 millions d’euros, soit 11,0 % du chiffre d’affaires, reflétant les économies de coûts. Le résultat d’exploitation est positif à 27 millions d’euros, contre - 29 millions d’euros au T1 2020, reflétant, en plus de l’amélioration du résultat brut d’exploitation, des charges de restructuration plus faibles ainsi que de moindres charges d’amortissement et dépréciation. Le résultat financier s’est établi à - 82 millions d’euros, à comparer à - 35 millions d’euros au T1 2020 (positivement impacté par la résolution d’un litige au Brésil pour 26 millions d’euros). Alors que les charges d’intérêts nettes sont restées stables, le résultat financier a été impacté par l’amortissement accéléré des frais liés aux obligations existantes pour - 16 millions d’euros et des frais de restructuration de la dette pour - 7 millions d’euros. L’impôt sur les bénéfices s’est établi à - 40 millions d’euros, principalement liés aux activités brésiliennes, contre - 20 millions d’euros au T1 2020. Le résultat net, part du Groupe, s’est établi à - 93 millions d’euros, contre - 74 millions d’euros au T1 2020.

III – FLUX DE TRESORERIE & SITUATION FINANCIERE Flux de trésorerie généré par l’activité Au T1 2021, le flux de trésorerie généré par l’activité est ressorti positif à 13 millions d’euros, contre - 31 millions d’euros au T1 2020. Cette amélioration reflète principalement la hausse du résultat brut

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d’exploitation ainsi que le gel des paiements des intérêts financiers dans le cadre de la procédure de sauvegarde ouverte le 4 février (représentant 44 millions d’euros d’intérêts courus), en partie compensés par l’effet favorable non-récurrent lié à la résolution d’un litige au Brésil pour 26 millions d’euros au T1 2020.

Besoin en fonds de roulement lié à l’activité Le besoin en fonds de roulement lié à l’activité a augmenté de 47 millions d’euros au T1 2021 contre une hausse de 119 millions d’euros au T1 2020, en raison de la bonne performance de gestion du besoin en fonds de roulement net – 104 jours de chiffre d’affaires, contre 119 jours au T1 2020 – et du paiement par NSC du montant résiduel de sa contribution à la couverture des coûts fixes de VSB au Brésil pour 34 millions d’euros, suite à la cession de ses parts dans VSB.

Investissements industriels Les investissements industriels bruts se sont élevés à - 28 millions d’euros au T1 2021, à comparer à - 31 millions d’euros au T1 2020, reflétant le calendrier usuel des investissements industriels. Flux de trésorerie disponible En conséquence, le Groupe a généré un flux de trésorerie disponible négatif de - 62 millions d’euros au T1 2021, contre - 181 millions d’euros au T1 2020.

Cession d’actifs et autres éléments Les cessions d’actifs et autres éléments se sont élevés à - 89 millions d’euros au T1 2021 reflétant principalement les intérêts courus pour - 44 millions d’euros liés à la restructuration financière, l’amortissement accéléré des frais liés aux obligations existantes pour - 16 millions d’euros, le remboursement du solde du prêt d’actionnaire de NSC à VSB pour - 9 millions d’euros ainsi que l’acquisition des parts de NSC dans VSB pour - 7 millions d’euros.

Dette nette et liquidité Au 31 mars 2021, la dette nette s’élève à 2 364 millions d’euros, contre 2 214 millions d’euros au 31 décembre 2020. Au 31 mars 2021, la dette de location s’établit à 103 millions d’euros, contre 108 millions d’euros au 31 décembre 2020. Au 31 mars 2021, la trésorerie s’élève à 1 242 millions d’euros, contre 1 390 millions d’euros au 31 décembre 2020. À la même date, la dette long terme s’élève à 9 millions d’euros et la dette court terme à 3 597 millions d’euros, reflétant la reclassification des obligations de dette long-terme en dette court-terme dans le cadre de la restructuration financière en cours. Actifs à céder Au 31 mars 2021, 92 millions d’euros d’actifs ont été classés en actifs destinés à la vente, et concernent principalement les activités nucléaires. La cession de Valinox Nucléaire SAS devrait intervenir au cours du premier semestre 2021.

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IV – PERSPECTIVES 2021 Pétrole et Gaz

• En Amérique du Nord, le marché OCTG connaît une reprise progressive avec une hausse des prix et des volumes. • Dans les régions EA-MEA, l’activité globale restera encore fortement impactée par la pandémie et le prix/mix restera sous pression. La baisse importante des livraisons de tubes en aciers spéciaux aura un impact négatif sur le chiffre d’affaires et les marges. Cependant le redémarrage en 2021 des appels d‘offres devrait bénéficier à l’activité en 2022. • Au Brésil, les livraisons de produits pour le Pétrole & Gaz sont attendues en hausse par rapport à 2020. Industrie & Autres

• En Europe, la reprise est en cours et devrait continuer à impacter positivement notre activité. • Au Brésil, le niveau global de l’activité devrait continuer à s’améliorer. • Une contribution plus élevée de la mine de fer est attendue, malgré une baisse graduelle des prix anticipée durant l’année. Economies de coûts

• Les initiatives d’économies de coûts permettront au Groupe de continuer à réduire sa base de coûts. • Le contrôle strict de la trésorerie sera maintenu, avec une enveloppe d’investissements d’environ 160 millions d’euros.

Sur la base de ces perspectives, Vallourec a annoncé le 30 avril une révision à la hausse de ses objectifs 2021 avec : - un résultat brut d’exploitation visé compris entre 350 et 400 millions d’euros - un flux de trésorerie disponible visé compris entre - 340 et - 260 millions d’euros - le nouvel objectif de flux de trésorerie disponible inclut un décaissement supplémentaire d’environ 65 millions d’euros résultant de l’exercice de l’option de rachat de la dette liée au contrat de location-financement au Brésil (DBOT).

V – Un nouveau chapitre de Vallourec : un plan stratégique solide porté par un bilan renforcé Renforcer la profitabilité grâce aux mesures d’économies de coûts et aux services à valeur ajoutée Maximiser l’utilisation de nos routes les plus compétitives Les activités brésiliennes ont été rationalisées et des économies significatives réalisées. VSB, qui est notre fer de lance pour l’export, est qualifiée par les Majors pour les produits OCTG premium. Tianda, acquise fin 2016, fait désormais partie intégrante du réseau Vallourec. Elle est aujourd’hui qualifiée par les Majors et les Compagnies Pétrolières Nationales pour le premium conventionnel. Tianda vise une production premium à hauteur de 45 % de sa production totale d’ici 2025, contre 23 % en 2020.

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Dans les régions EA-MEA, le Groupe vise un taux d’utilisation des nouvelles routes2 pour la demande premium Pétrole et Gaz d’environ 74 % en 2025. 400 M€ d’économies de coûts supplémentaires d’ici 2025 Afin de renforcer sa compétitivité, Vallourec vise 400 M€ d’économies brutes de coûts supplémentaires d’ici 2025. Cet objectif est détaillé dans la feuille de route industrielle 2021-2025 qui s’appuie sur plus de 250 initiatives identifiées et pilotées au niveau du Groupe, avec notamment : - L’amélioration des processus de production grâce au déploiement des outils de l’Industrie 4.0, à l’analyse des données et à l’intensification des initiatives lean. - La réduction des coûts d’achats, grâce au contrôle des dépenses et à l’approvisionnement dans des pays à bas coût. Cette feuille de route industrielle est renforcée par des actions spécifiques au niveau régional : - En Europe, l’ajustement en cours des capacités de production au niveau attendu de la demande, incluant la fermeture du site de Deville, un plan social dans les sites français et des mesures structurelles en Allemagne portant sur le temps de travail et l’organisation des équipes. - Au Brésil, le déploiement du programme de réduction de coûts de l’aciérie, l’optimisation des flux de production au sein de chaque site mais également entre les différents sites, et l’internalisation de certaines fonctions clés. - En Amérique du Nord, l’utilisation optimale de nos flux de production les plus compétitifs grâce au dégoulottage et à l’internalisation de certaines fonctions, et le renforcement de la flexibilité de nos opérations pour faire face à la volatilité du marché. Avantage technologique et notoriété de la marque au cœur de la stratégie de Vallourec Le Groupe vise également à augmenter son chiffre d’affaires en capitalisant sur son avantage technologique et la notoriété de sa marque pour développer de nouveaux produits et solutions. Fort de son savoir-faire, soutenu par ses cinq centres dédiés à la R&D en Europe, au Brésil et aux Etats- Unis, et ses 430 ingénieurs et techniciens, le Groupe bénéficie d’une position de leader dans les connexions OCTG premium grâce à la famille des produits VAM®, co-développée avec . Vallourec continue d’innover et de maintenir son avantage technologique : le Groupe a récemment lancé avec succès de nouvelles connexions telles que VAM® Sprint-SF, VAM® Sprint-FJ ou VAM® SLIJ-3 et a développé une nouvelle offre de grades d’acier permettant une résistance accrue à la corrosion, une robustesse élevée à basse température et une très bonne soudabilité. Vallourec multiplie les collaborations avec ses clients et des start-ups afin de développer des solutions innovantes, comme récemment avec la première impression-3D d’un composant essentiel à la sécurité, livré à Total en Mer du Nord. Complétés par une offre de services alliant assistance sur site et solutions digitales L’excellence technique de Vallourec sera complétée par une grande variété de services et de solutions digitales.

2 Pourcentage de produits premium OCTG et PLP laminés à VSB ou à Tianda, par rapport aux livraisons totales de « swing orders » c’est-à-dire de commandes pouvant être servies indifféremment depuis l’Europe, le Brésil ou l’Asie.

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Le groupe souhaite utiliser son offre de services comme facteur différenciant pour ses lignes de produits traditionnels et se diversifier par le développement de nouveaux services utilisant les technologies digitales et la marque SmartengoTM. L’offre de services regroupe également les services physiques auprès des clients : les équipes d’ingénieurs sur site, les services d’optimisation de la supply chain et l’incubation et le développement d’une offre digitale complémentaire et autonome autour des solutions SmartengoTM.

Notre cœur d’activité : des tendances moyen-terme favorables sur la base de fondamentaux solides Pétrole et Gaz La demande mondiale de pétrole devrait repasser au-dessus de 100mb/j. Combinée à la réduction des stocks et à la déplétion naturelle des champs pétroliers, elle devrait conduire à la reprise des investissements en exploration et production, notamment dans les régions clés où opère Vallourec : Moyen-Orient, Brésil, Etats-Unis et Chine. En Amérique du Nord, la reprise de l’activité de forage en 2021 (+190 plateformes actives aux Etats-Unis depuis août 2020) devrait continuer en 2022 dans la mesure où les stocks ainsi que le nombre de puits forés mais inachevés (DUCs) vont se réduire. Néanmoins, la reprise de l’activité de forage reste limitée par la discipline financière des opérateurs ainsi que par les gains d’efficacité. La hausse des prix entamée en 2021 est le reflet de l’équilibre offre/demande domestique mais est aussi imputable à la tension sur les prix des matières premières. Le marché est également marqué par une consolidation de la concurrence et de la distribution. Enfin, la réduction des capacités de production de tubes soudés devrait jouer positivement sur la part de marché des tubes sans soudure. En Amérique du Sud, et en particulier dans les activités offshore au Brésil, Petrobras concentre ses investissements en exploration et production sur le développement de ses projets pré-salifères dont la demande est exclusivement haut de gamme. Les tendances de marché sont également favorables pour les projets offshore PLP et le développement de l’activité au Guyana offre des opportunités supplémentaires. Dans les régions EA-MEA, le marché reste fortement impacté par la crise de 2020-2021. La reprise du marché en termes de volume devrait avoir lieu à partir de 2022, en particulier dans les régions « gagnantes » (Moyen-Orient et Afrique de l'Est), avec comme conséquence la reprise des investissements en exploration et production. L'intensité de la concurrence devrait maintenir la pression sur les prix dans les régions EA- MEA.

Industrie et Autres L'industrie brésilienne connait une reprise rapide. A long terme, la croissance devrait être favorisée par la compétitivité de l’industrie brésilienne. Les prix de minerai de fer sont actuellement favorables, mais devraient baisser graduellement. Le démarrage de la nouvelle ligne de traitement est attendu fin d’ici 2021. En Europe, le marché de l'industrie a fortement baissé en 2020 mais témoigne déjà d’une reprise en V en 2021. Après un effet restockage en 2021, la croissance devrait être modérée. Activer des leviers additionnels de création de valeur

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Exploiter le plein potentiel de notre mine au Brésil : nouvelle ligne de traitement du minerai de fer fin 2021 Avec un investissement d’environ 60 millions d’euros, l’extension de la capacité de production de la mine de fer, dont actuellement environ 25% est destinée à alimenter l’usine de fabrication de pellets chez VSB, est en cours. Sa mise en route est attendue fin 2021. En conséquence, la production totale devrait atteindre 8,7 Mt/an dès 2022. Grâce à sa structure de coûts très compétitive, la mine est très profitable.

Innover dans les solutions d’énergies bas carbone afin de saisir les opportunités de croissance liées à la transition énergétique Le Groupe entend saisir les opportunités de la transition énergétique en développant des solutions dans les domaines suivants : la géothermie, l’éolien offshore, la capture et le stockage de carbone (CCUS), l’hydrogène ainsi que l’énergie solaire. Vallourec s’appuiera sur son expertise industrielle, sur ses capacités d'innovation, ainsi que sur ses relations avec ses clients engagés dans la transition énergétique pour capturer ces opportunités. Le Groupe a mis en place une organisation dédiée pour mener à bien ces projets innovants et est déjà actif sur chacun de ces segments. - Dans le domaine de la géothermie, Vallourec adapte déjà son expertise dans le Pétrole et Gaz pour accompagner la croissance de ses clients qui évoluent dans des environnements exigeants (corrosion, haute température …). - S’agissant de l’éolien offshore, Vallourec fournit les structures secondaires pour les fondations d’éoliennes ainsi que les structures tubulaires pour les treillis, les navires et les grues d’installation. - Le Groupe contribue également au déploiement des infrastructures CCUS (capture, transport, injection, stockage). Ses tubes de conduite permettent un transport en toute sécurité du CO2 et ses produits OCTG sont adaptés à son injection souterraine. - Dans le domaine de l’hydrogène, Vallourec fournit des solutions tubulaires pour le transport, la distribution et le stockage, qui exigent une haute étanchéité ainsi qu’une résistance à la corrosion. - Vallourec fournit aux acteurs du secteur de l’énergie solaire des structures tubulaires optimisées pour supporter des panneaux solaires dans des structures de grande surface, comme les ombrières de parkings ou les hangars agricoles et industriels. Une structure financière assainie permettant à Vallourec de dérouler son plan stratégique Ce plan stratégique sera mené à bien avec à une structure financière assainie résultant de la finalisation de la restructuration financière. En effet, la dette sera réduite de 1,8 milliard d’euros permettant un levier financier net approprié - environ 1,6x proforma 2020 (calculé sur la base du ratio suivant au 31 décembre 2020 : endettement financier net (égal à 2 214 millions d’euros) sur lequel est appliqué la réduction de la dette (1,8 milliard d’euros) sur le résultat brut d’exploitation (égal à 258 millions d’euros)). Les charges financières seront réduites d’environ 110 millions d’euros en année pleine, grâce à la nouvelle structure d’endettement et à la fin du contrat de location-financement DBOT (qui représente une réduction des charges financières d’environ 20 millions d’euros). L’enveloppe normative d’investissements industriels bruts restera contenue sous les 200 millions d’euros dans les prochaines années grâce à un outil industriel rajeuni (étant précisé qu’une enveloppe de 160 millions d’euros est prévue pour 2021).

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VI – UNE AUGMENTATION DE CAPITAL DE 300 M€ AVEC DPS POUR ACCOMPAGNER VALLOUREC SUR LE CHEMIN IDENTIFIE DE CREATION DE VALEUR A la suite de l’approbation en Assemblée Générale, et sous réserve de l’obtention du visa de l’AMF sur le prospectus, Vallourec lancera début juin une augmentation de capital avec droits préférentiels de souscription pour un montant de 300 M€. Le prix de souscription de 5,66 € de l’augmentation de capital avec DPS représente une décote de 30 % par rapport au prix de souscription de 8,09 € par action nouvelle de l’augmentation de capital réservée aux Créanciers. Bpifrance Participations et Nippon Steel Corporation se sont d’ores et déjà engagés à souscrire à hauteur respectivement de 20 millions d’euros et de 35 millions d’euros. Cette augmentation de capital conduira à la création d’environ 53 millions d’actions nouvelles qui représenteront environ 23 % du capital post restructuration financière et avant exercice des bons de souscription en actions (et environ 20 % en cas d’exercice de ces bons de souscription). L’augmentation de capital avec DPS est entièrement garantie par les Créanciers par compensation de créances et son produit en espèces sera utilisé pour rembourser une partie de leurs créances.

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Annexes Du fait des arrondis, l’addition des chiffres figurant dans ces tableaux et d’autres documents peut ne pas exactement correspondre aux totaux et les pourcentages peuvent ne pas refléter exactement les valeurs absolues. Pièces jointes à ce communiqué :

• Production expédiée • Taux de change • Chiffre d’affaires par zone géographique • Chiffre d’affaires par marché • Compte de résultat consolidé résumé • Bilan consolidé résumé • Flux de trésorerie disponible • Tableau des flux de trésorerie • Définitions des données financières à caractère non strictement comptable Production expédiée

En milliers de tonnes 2021 2020 Variation

T1 358 450 - 20,4 %

T2 - 422 -

T3 - 319 -

T4 - 358 -

Total 358 1 599 -

Taux de change

Taux de change moyen T1 2021 T1 2020

EUR / USD 1,20 1,10

EUR / BRL 6,60 4,92

USD / BRL 5,48 4,47

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Chiffre d’affaires par zone géographique

En millions d'euros T1 2021 En % du CA T1 2020 En % du CA Variation

Europe 113 16,1 % 148 17,4 % - 23,6 %

Amérique du Nord (Nafta) 115 16,4 % 270 31,7 % - 57,4 %

Amérique du Sud 226 32,2 % 152 17,8 % 48,7 %

Asie et Moyen-Orient 198 28,2 % 226 26,5 % - 12,4 %

Reste du monde 49 7,0 % 57 6,7 % - 14,0 %

Total 702 100 % 853 100 % - 17,7 %

Chiffre d’affaires par marché

En millions d'euros T1 2021 En % du CA T1 2020 En % du CA Variation

Pétrole et gaz 364 51,9 % 552 64,7 % - 34,1 %

Pétrochimie 46 6,6 % 61 7,2 % - 24,6 %

Pétrole et gaz, Pétrochimie 410 58,4 % 613 71,9 % - 33,1 % Mécanique 94 13,4 % 79 9,3 % 18,7 %

Automobile 19 2,7 % 18 2,1 % 5,6 %

Construction & autres 142 20,2 % 96 11,2 % 47,7 %

Industrie & Autres 255 36,3 % 193 22,6 % 31,9 % Energie électrique 37 5,2 % 47 5,5 % - 21,7 % Total 702 100 % 853 100 % - 17,7 %

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Compte de résultat consolidé résumé

En millions d'euros T1 2021 T1 2020 Variation

Chiffre d'affaires 702 853 - 17,7 %

Coûts industriels des produits vendus (534) (692) - 22,8 %

Marge Industrielle 168 161 4,3 %

(en % du CA) 23,9 % 18,9 % + 5,1 pts

Coûts administratifs, commerciaux et de recherche (77) (90) - 14,4 %

Autres (11) (3) na

Résultat brut d'exploitation 80 68 17,6 %

(en % du CA) 11,4 % 8,0 % + 3,4 pts

Amortissements industriels (43) (59) - 27,1 %

Amortissements et autres dépréciations (9) (14) na

Dépréciations d'actifs - - na

Cessions d'actifs, restructuration et éléments non récurrents (1) (24) na

Résultat d'exploitation 27 (29) + 56 M€

Résultat financier (82) (35) - 47 M€

Résultat avant impôts (55) (64) + 9 M€

Impôts sur les bénéfices (40) (20) na

Quote part dans les résultats nets des sociétés mises en équivalence (3) (1) na

Résultat net (98) (85) - 13 M€

Part des participations ne donnant pas le contrôle (5) (11) na

Résultat net, part du groupe (93) (74) - 19 M€

Résultat net par action (en €) * (8,2) (0,2) na na = non applicable

* Chiffres du T1 2021 impactés du nouveau nombre d’actions post regroupement d’actions effectif au 25 mai 2020.

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Bilan consolidé résumé En millions d'euros

Actifs 31/03/2021 31/12/2020 Passifs 31/03/2021 31/12/2020

Capitaux propres - part du Groupe * -200 -187

Intérêts attribuables aux participations ne donnant pas le 238 321 contrôle

Immobilisations incorporelles nettes 47 50 Total des capitaux propres 38 134

Écarts d'acquisition 24 25 Prêt actionnaire - 9

Immobilisations corporelles nettes 1 694 1 718 Emprunts et dettes financières (A) 9 1 751

Actifs biologiques 32 30 Dette de location (D) 78 84

Sociétés mises en équivalence 40 42 Engagements envers le personnel 182 203

Autres actifs non courants 130 128 Impôts différés 16 20

Impôts différés 180 187 Autres provisions et passifs 148 142

Total actifs non courants 2 147 2 180 Total passifs non courants 433 2 200

Stocks 720 664 Provisions 69 104

Emprunts et concours bancaires Clients et comptes rattachés 539 468 3 597 1 853 courants (B)

Instruments dérivés - actif 11 37 Dette de location (E) 25 24

Autres actifs courants 209 203 Fournisseurs 456 426

Instruments dérivés - passif 12 21 Trésorerie et équivalents de 1 242 1 390 trésorerie (C) Autres passifs courants 291 241

Total actifs courants 2 721 2 762 Total passifs courants 4 450 2 669

Actifs destinés à être cédés et Passifs destinés à être cédés et 92 107 39 37 activités abandonnées activités abandonnées

Total actifs 4 960 5 049 Total passifs 4 960 5 049

* Résultat net, part du Groupe (93) (1 206)

Dette nette (A+B-C) 2 364 2 214

Dette de location (D+E) 103 108

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Flux de trésorerie disponible

En millions d'euros T1 2021 T1 2020 Variation

Flux de trésorerie générés par l’activité (A) 13 (31) + 44 M€

Variation du besoin en fonds de roulement lié à l'activité [+ baisse, (hausse)] (B) (47) (119) + 72 M€

Investissements industriels bruts (C) (28) (31) + 3 M€

Flux de trésorerie disponible (A)+(B)+(C) (62) (181) + 119 M€

Tableau des flux de trésorerie

En millions d'euros T1 2021 T1 2020

Flux de trésorerie générés par l’activité 13 (31)

Variation du besoin en fonds de roulement lié à l'activité [+ baisse, (hausse)] (47) (119)

Flux nets de trésorerie générés par l'activité (34) (150)

Investissements industriels bruts (28) (31)

Cessions d'actifs et autres éléments (89) (55)

Variation de l'endettement net [+ baisse, (hausse)] (151) (236)

Dette nette (fin de période) 2 364 2 267

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Définitions des données financières à caractère non strictement comptable Besoin en fonds de roulement : défini comme les créances clients plus les stocks moins les dettes fournisseurs (hors provisions). Besoin en fonds de roulement net : défini comme le besoin en fonds de roulement net des provisions pour stock et créances clients ; les jours de besoin en fonds de roulement net sont calculés sur la base des ventes trimestrielles annualisées. Besoin en fonds de roulement lié à l’activité : inclut le besoin en fonds de roulement et les autres créances et dettes. Dette de location : la dette de location est définie comme la valeur actualisée des engagements de loyers futurs. Dette nette : la dette nette consolidée se définit comme les emprunts et dettes financières non courants + emprunts et concours bancaires courants - trésorerie et équivalents de trésorerie. La dette nette exclut la dette de location financement. Données à taux de change constants : les données présentées « à taux de change constants » sont calculées en neutralisant l’effet de conversion en euro du chiffre d’affaires des sociétés du Groupe dont la devise fonctionnelle n’est pas l’euro. L’effet de change de conversion est neutralisé par l’application des taux de change de l’année N-1 au chiffre d’affaires de l’année N de ces sociétés. Flux de trésorerie disponible : le flux de trésorerie disponible se définit comme le flux de trésorerie généré par l'activité minoré des investissements industriels bruts et majoré/minoré de la variation du besoin en fonds de roulement lié à l’activité. Investissements industriels bruts : les investissements industriels bruts se définissent comme la somme des décaissements liés aux acquisitions d’immobilisations corporelles et incorporelles et ceux liés aux acquisitions d’actifs biologiques. Marge industrielle : la marge industrielle se définit comme la différence entre le chiffre d’affaires et les coûts industriels des produits vendus (c’est-à-dire après imputation des coûts industriels variables et des coûts industriels fixes), hors amortissements.

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2. PERSPECTIVES Le Chapitre 3.9 « Perspectives » du Document d’Enregistrement Universel 2020 est amendé comme suit :

Prévisions du Groupe pour l’exercice 2021 Pour les besoins de la négociation du projet de restructuration financière plus amplement décrit à la section 3.7 du Document d’Enregistrement Universel 2020, la Société a préparé et communiqué au mois d’octobre 2020, à certains de ses créanciers soumis à des engagements de confidentialité, un plan d’affaires afin d’identifier les éventuels besoins de nouvelles liquidités et des perspectives de certains agrégats financiers du groupe extraits du plan d’affaires. Dans son communiqué du 3 février 2021 relatif à la conclusion d’un accord de principe avec ses principaux créanciers dans le cadre de sa restructuration financière, le Groupe a présenté certains indicateurs financiers pour l'année 2021. La Société a estimé que les indicateurs communiqués pour l’exercice 2021 résultant des travaux d’octobre 2020 ne reflétaient plus les perspectives pour l’exercice 2021. Dans son communiqué du 30 avril 2021, le Groupe a annoncé les objectifs révisés suivants pour l’exercice 2021 :

• un résultat brut d’exploitation compris entre 350 et 400 millions d’euros ; • la génération d’un flux de trésorerie disponible3 compris entre - 340 et - 260 millions d’euros (incluant les frais liés à la restructuration financière). Ils sont basés sur : o Les nouvelles perspectives de flux de trésorerie disponible intègrent un décaissement supplémentaire prévu d’environ 65 millions d’euros résultant de la décision du Groupe d’exercer son option de rachat de la dette liée au contrat de location-financement au Brésil (DBOT). o Les initiatives mises en place dans le cadre des mesures d’économies qui permettront au Groupe de continuer à réduire sa base de coûts. o Le maintien d'un contrôle strict de la trésorerie, avec une enveloppe d’investissements d’environ 160 millions d’euros. Ces objectifs sont qualifiés de prévisions au sens du Règlement Prospectus UE 2017/1129. Ces nouvelles prévisions pour 2021, et les hypothèses qui les sous-tendent, ont été établies en application des dispositions du règlement délégué (UE) n°2019/980 et des recommandations ESMA relatives aux prévisions. Ces nouvelles prévisions ont été présentées par le Directoire au Comité d’audit le 29 avril 2021. Par rapport aux indicateurs communiqués le 17 février 2021 pour l’exercice 2021, le passage d’un résultat brut d’exploitation visé compris entre 250 et 300 de millions d’euros et d’un flux de trésorerie disponible visé compris entre - 380 et - 300 millions d’euros à un résultat brut d’exploitation visé compris entre 350 et 400 de millions d’euros et d’un flux de trésorerie disponible visé compris entre - 340 et - 260 millions d’euros résulte de perspectives significativement meilleures sur certains des marchés sur lesquels Vallourec opère. C’est le cas en particulier des volumes et des prix de vente anticipés pour l’activité OCTG en Amérique du Nord, et de la mine de fer au Brésil. Les nouvelles perspectives de flux de trésorerie disponible intègrent un décaissement supplémentaire prévu d’environ 65 millions d’euros résultant de la décision du Groupe d’exercer son option de rachat de la dette liée au contrat de location-financement au Brésil (DBOT). L’enveloppe d’investissements d’environ 160 millions d’euros est inchangée.

3 Le flux de trésorerie disponible se définit comme le flux de trésorerie généré par l'activité minoré des investissements industriels bruts et majoré/ minoré de la variation du besoin en fonds de roulement lié à l’activité.

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Les prévisions présentées ci-dessus sont fondées sur des données, des hypothèses et des estimations considérées comme raisonnables par le Groupe à la date de l’Amendement. Ces données, hypothèses et estimations sont susceptibles d’évoluer ou d’être modifiées en raison des incertitudes liées notamment à l’environnement économique, financier, concurrentiel, fiscal ou encore réglementaire. La survenance d’un ou plusieurs risques décrits au chapitre 5 « Facteurs de risque » du Document d’Enregistrement Universel 2020 et à la section 3 de l’Amendement, et notamment les risques les plus importants signalés par un astérisque, pourrait avoir un impact sur les activités, la situation financière, les résultats ou les perspectives du Groupe et donc venir remettre en cause sa capacité à réaliser ses objectifs et prévisions. Le Groupe ne prend donc aucun engagement, et ne donne aucune garantie vis-à-vis de la réalisation des prévisions présentées ci-dessus. Principales hypothèses Les prévisions pour l’exercice clos le 31 décembre 2021 présentées ci-dessus ont été établies sur une base comparable aux informations financières historiques et conformément aux méthodes comptables appliquées dans les états financiers consolidés du Groupe pour l’exercice clos le 31 décembre 2020. Ces prévisions 2021 reposent principalement sur les hypothèses suivantes : 1. Sur le marché Pétrole & Gaz :

• En Amérique du Nord, le marché OCTG connaît une reprise progressive avec une hausse des prix et des volumes. • Dans les régions EA-MEA, l’activité globale restera encore fortement impactée par la pandémie et le prix/mix restera sous pression. La baisse importante des livraisons de tubes en aciers spéciaux aura un impact négatif sur le chiffre d’affaires et les marges. Cependant le redémarrage en 2021 des appels d’offres devrait bénéficier à l’activité en 2022. • Au Brésil, les livraisons de produits pour le Pétrole & Gaz sont attendues en hausse par rapport à 2020. 2. Sur le marché Industrie :

• En Europe, la reprise est en cours et devrait continuer à impacter positivement notre activité. • Au Brésil, le niveau global de l’activité devrait continuer à s’améliorer. 3. Les volumes de minerai de fer produits au Brésil devraient être comparables à ceux de 2020. La mise en service de l’extension de la capacité de production de la mine est attendue pour fin 2021. Une contribution plus élevée de la mine de fer est attendue, malgré une baisse graduelle des prix anticipée durant l’année. Les prix du minerai de fer livré aux clients du groupe devraient être supérieurs à ceux de 2020. 4. Une hypothèse de hausse matérielle en moyenne annuelle des prix des matières premières, notamment pour le Scrap aux Etats-Unis et au Brésil. 5. Des hypothèses d’inflation hors matières premières légèrement supérieures à celles de 2020 ; reflétant une hausse de l’inflation attendue aux États-Unis, au Brésil et en Europe. 6. Pour l’exercice 2021, le Groupe anticipe une légère appréciation en moyenne sur l'année de l'EUR par rapport à l'USD et par rapport au BRL et une relative stabilité par rapport au CNY. 7. La réalisation de la restructuration financière prévue par l’Accord de Principe. 8. La stabilité de l’environnement politique, réglementaire et fiscal.

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9. Un décaissement supplémentaire prévu d’environ 65 millions d’euros résultant de la décision du Groupe d’exercer son option de rachat de la dette liée au contrat de location financement au Brésil (DBOT). 10. La réalisation des mesures d’économies qui permettront au Groupe de continuer à réduire sa base de coûts, ainsi que le maintien d’un contrôle strict de la trésorerie avec une enveloppe d’investissements d’environ 160 millions d’euros. 11. En matière d’évolution de périmètre, la fermeture du site de Déville-Lès-Rouen et la cession de Valinox Nucléaire SAS en France au premier semestre 2021, actifs classés en actifs destinés à la vente au 31 décembre 2020. Parmi les hypothèses mentionnées ci-dessus, les hypothèses 3, 9, 10 et 11 correspondent à des facteurs que peuvent influencer les membres des organes de direction. Les prévisions ci-dessus ne tiennent pas compte de l’éventuel exercice par les minoritaires des droits dont ils bénéficient présentés à la note 6.2 de l’annexe aux comptes consolidés.

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3. FACTEURS DE RISQUE Les facteurs de risque « Clauses de résiliation anticipée et d’options de vente ou d’achat prévues dans certains accords de coopération industrielle liant Vallourec aux sociétés Nippon Steel Corporation et Sumitomo Corporation* », « Risque de liquidité* » et « Risques liés à la mise en œuvre du projet de restructuration financière* » du chapitre 5.1 « Facteurs de risque » du Document d’Enregistrement Universel 2020 sont amendés et un nouveau facteur de risque « Risques liés à la stratégie de croissance externe du Groupe » est ajouté comme suit :

Clauses de résiliation anticipée et d’options de vente ou d’achat prévues dans certains accords de coopération industrielle liant Vallourec aux sociétés Nippon Steel Corporation et Sumitomo Corporation* Certains accords de coopération industrielle liant le Groupe aux sociétés Nippon Steel Corporation (NSC) et Sumitomo Corporation comportent des clauses de cession. Sumitomo Corporation bénéficie ainsi, en cas de pertes de Vallourec Star LP dépassant un certain seuil sur un ou plusieurs exercices consécutifs, de la possibilité de demander à son partenaire filiale de Vallourec de racheter sa participation de 19,5 % dans la société Vallourec Star LP aux États-Unis. Compte tenu de la chute d’activité aux États-Unis en 2020 ayant impacté le résultat opérationnel et de la dépréciation des écarts d’acquisition des opérations en Amérique du Nord, les comptes attestés de Vallourec Star LP au 31 décembre 2020 font ressortir une perte d’un montant permettant l’exercice par Sumitomo Corporation de son option de vente. En application des clauses du contrat, les parties se sont réunies le 21 mai 2021 pour conclure dans les 90 jours à compter de cette date sur la poursuite de leur coopération au sein de cette entité. À l’issue de ce délai, si Sumitomo Corporation ne souhaite pas poursuivre sa coopération au sein de Vallourec Star LP, elle disposera d’un délai de 30 jours pour notifier à Vallourec l’exercice de son option de vente, laquelle interviendrait alors sur la base d’une valeur de marché, déterminée à dire d’expert. À la date du présent Amendement, Sumitomo Corporation n’a pas communiqué ses intentions. De même, s’agissant de VAM USA LLC, en cas de pertes de VAM USA LLC dépassant un certain seuil sur un ou plusieurs exercices consécutifs, chaque partie (NSC et Sumitomo Corporation d’une part et Vallourec d’autre part) bénéficie de la possibilité de proposer aux autres de leur céder sa participation ou de racheter la leur au prix déterminé par la partie qui prend l’initiative de la mise en œuvre de cette option (« buy or sell offer »). Compte tenu de la chute d’activité aux États-Unis en 2020 ayant impacté le résultat opérationnel et de la dépréciation des écarts d’acquisition des opérations en Amérique du Nord, les comptes attestés de VAM USA LLC au 31 décembre 2020 font ressortir une perte d’un montant permettant l’exercice par Sumitomo Corporation (qui détient 15 % de VAM USA LLC) et NSC (qui détient 34 % VAM USA LLC) de cette option ensemble. En application des clauses du contrat, les parties se sont réunies le 23 avril 2021 pour conclure dans les 90 jours à compter de cette date sur la poursuite de leur coopération au sein de cette entité. À l’issue de ce délai, et si une partie ne souhaite pas poursuivre sa coopération au sein de VAM USA LLC, elle disposera d’un délai de 60 jours pour notifier aux autres l’exercice de l’option. La Société n’a pas chiffré les deux éléments visés ci-dessus dans la mesure où (a) l’exercice par les minoritaires concernés de leurs droits est incertain à ce jour, (b) les éléments de valorisation de ces participations minoritaires sont susceptibles de débats significatifs et (c) la Société considère qu’une éventuelle acquisition de ces participations minoritaires n’aurait pas d’impact significatif sur le Plan de Sauvegarde de la Société en général et sur l’augmentation de capital avec DPS en particulier. Par ailleurs, certains accords de coopération industrielle liant le Groupe aux sociétés NSC et Sumitomo Corporation comportent des clauses réciproques de changement de contrôle, aux termes desquelles chaque

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partie bénéficie, sous certaines conditions, d’une option d’achat de la participation de l’autre partie, ou d’un droit de résiliation selon le cas, en cas de changement de contrôle de cette dernière (ou de l’entité la contrôlant). Dans ces accords, le contrôle s’entend de la détention (de concert ou non selon les cas) de plus de 50 % des actions ou des droits de vote (selon les cas) composant le capital de l’entité considérée. Sur la base des informations fournies à la Société concernant les détentions des créanciers dans les RCF et les Obligations, les clauses de changement de contrôle ne sont pas déclenchées par la mise en œuvre du Plan de Sauvegarde. NSC et/ou Sumitomo Corporation bénéficient ainsi, en cas de changement de contrôle de Vallourec Tubes ou de Vallourec, du droit d’acquérir les actions détenues par le Groupe dans le capital de la société VAM USA LLC, à un prix déterminé à dire d’expert à défaut d’accord entre les parties. Sumitomo Corporation bénéficie également en cas de changement de contrôle Vallourec Tubes ou de Vallourec de la faculté de résilier l’accord de coopération au sein de Vallourec Star LP et de la liquider. En outre, NSC bénéficie, en cas de changement de contrôle de Vallourec Oil and Gas France (VOGFR), de Vallourec Tubes ou de Vallourec, du droit de résilier le contrat de Recherche et Développement conclu entre VOGFR et NSC le 1er avril 2007, tout en conservant le droit d’utiliser les résultats des recherches et développements obtenus en commun et d’en faire bénéficier ses éventuels licenciés, VOGFR bénéficiant des mêmes droits en cas de changement de contrôle de NSC. Si NSC exerce ce droit de résiliation, NSC bénéficiera également du droit de poursuivre son utilisation des marques VAM® pendant six années à compter de la date de cette résiliation.

Risque de liquidité* Au 31 décembre 2020, les échéances des emprunts et dettes financières courants s’élevaient à 1 852 984 milliers d’euros ; les échéances des emprunts et dettes financières non courants, s’élevant à 1 750 527 milliers d’euros, sont détaillées ci-après : Analyse par échéance des emprunts et dettes financières non courants (> 1 an)

5 ans et (en milliers d’euros) > 1 an > 2 ans > 3 ans > 4 ans Total plus Au 31/12/2019 1 723 781 368 399 722 502 211 62 037 1 747 061 Au 31/12/2020 786 709 399 755 501 690 2 344 60 029 1 750 527

Au 31 mars 2021, la dette long terme s’élève à 9 millions d’euros et la dette court terme à 3 597 millions d’euros, reflétant la classification des obligations de dette long terme en dette court terme dans le cadre de la restructuration financière en cours. Au 30 avril 2021, les ressources financières du Groupe se répartissent entre des financements bancaires et des financements de marchés. La majeure partie du financement bancaire a été mise en place en Europe sur Vallourec et, dans une moindre mesure, sur des filiales au Brésil. Les lignes de crédit de Vallourec (1 724 millions d’euros) ne bénéficient pas de sûreté ni de garantie. Les financements de marché sont exclusivement mis en place par Vallourec et ne bénéficient pas de sûreté ni de garantie. Financements bancaires

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Au 30 avril 2021, le Groupe disposait de lignes de crédits bancaires confirmées d’un montant de 1 724 millions d’euros, dont 12 millions d’euros non utilisées, et de la trésorerie à hauteur de 1 205 millions d’euros. Comme mentionné en Note 7.1.5 de l’annexe aux comptes consolidés de l’exercice clos au 31 décembre 2020 du Groupe figurant à la section 6.1 du Document d’Enregistrement Universel 2020, 1 724 millions d’euros de lignes de crédit venaient à échéance en février 2021. En février 2014, Vallourec a mis en place une ligne de crédit confirmée d’un montant de 1,1 milliard d’euros à échéance février 2019 avec deux options d’extension d’une année supplémentaire chacune. En plus de la première extension d’un an obtenue pour un montant de 1,078 milliard d’euros, la seconde extension a été accordée en juillet 2016 pour un montant de 989 millions d’euros, puis portée à 1 034 millions d’euros en juillet 2017. La nouvelle échéance est à février 2021. Cette ligne de crédit est disponible pour les besoins de financement généraux du Groupe. Au 30 avril 2021, cette ligne est tirée à hauteur de 1 029 millions d’euros. En juin 2015, Vallourec a signé une ligne bilatérale confirmée de 90 millions d’euros à échéance février 2019 avec deux options d’extension d’une année supplémentaire chacune qui ont été accordées en juillet 2016. Au 30 avril 2021, cette ligne est tirée à hauteur de 89 millions d’euros. En septembre 2015, Vallourec a mis en place une ligne de crédit confirmée d’un montant de 400 millions d’euros à échéance juillet 2019. Une première extension d’un an (jusqu’à juillet 2020) a été accordée en juillet 2016 pour la totalité du montant. Une seconde extension a été accordée en février 2019 prorogeant ce financement de juillet 2020 à février 2021 à hauteur de 300 millions d’euros. Au 30 avril 2021, cette ligne est tirée à hauteur de 297 millions d’euros. En mai 2016, Vallourec a mis en place une ligne de crédit confirmée d’un montant de 450 millions d’euros à échéance février 2020. Une extension d’une année supplémentaire a été accordée en février 2019 permettant de proroger ce financement de février 2020 à février 2021 à hauteur de 300 millions d’euros. Au 30 avril 2021, cette ligne est tirée à hauteur de 297 millions d’euros. L’ensemble de ces contrats de financements bancaires prévoit le respect par le Groupe Vallourec d’un ratio de dettes financières nettes consolidées sur fonds propres consolidés (« covenant ») inférieur ou égal à 100 %, calculé au 31 décembre de chaque année. Tel que défini dans les contrats bancaires, le ratio de covenant bancaire est le rapport entre l’endettement net consolidé du Groupe (y inclus la dette de location- financement et le prêt d’actionnaire au Brésil) sur les capitaux propres du Groupe retraités des gains et pertes sur produits dérivés et des réserves de conversion (gains et pertes sur les filiales consolidées en devises). Il convient de noter néanmoins que postérieurement à la clôture, compte tenu de l’entrée dans une procédure de sauvegarde le 4 février 2021, en pratique, le bris de ce covenant n’a pas contraint la société à rembourser ses créanciers en février 2021. La mise en œuvre du Plan de Sauvegarde arrêté par le Tribunal de Commerce de Nanterre le 19 mai devrait permettre à la Société de parvenir à une structure financière rééquilibrée lui permettant de faire face à ses obligations de remboursement ou de refinancer sa dette à sa maturité. Cependant, en cas de dégradation très significative non anticipée du niveau de dépenses d’investissement, d’exploration et/ou de production de ses clients du secteur du Pétrole et du Gaz, duquel le Groupe tire la majeure partie de son chiffre d’affaires, les marges de manœuvre résultant de la mise en œuvre du Plan de Sauvegarde pourraient s’avérer insuffisantes et conduire la Société à rechercher des sources de financement supplémentaires.

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Un changement de contrôle de Vallourec pourrait provoquer le remboursement de tout ou partie du crédit, sur décision de chacune des banques participantes. Il est aussi prévu que le crédit devienne immédiatement exigible si le Groupe venait à faire défaut sur le remboursement d’une de ses dettes financières (« cross default »), ou s’il advenait un événement significatif emportant des conséquences sur l’activité ou la condition financière du Groupe et sa capacité à rembourser sa dette. La mise en œuvre du Plan de Sauvegarde rendrait ces clauses caduques, puisque le Plan de Sauvegarde a notamment pour objet de restructurer les créances au titre de ces contrats de financements bancaires ; les termes et conditions de ces contrats de financements seraient donc caducs et remplacés par ceux des nouveaux instruments de dettes, et notamment le Nouveau RCF (voir section 3.7 du Document d’Enregistrement Universel 2020). Financements de marché En complément de ces financements bancaires, le Groupe a souhaité diversifier ses ressources de financement en faisant appel aux financements de marché. Ainsi, Vallourec a mis en place le 12 octobre 2011 un programme de billets de trésorerie pour satisfaire ses besoins à court terme. Le plafond du programme est d’un milliard d’euros. Au 30 avril 2021, Vallourec n’avait pas d’encours de billets de trésorerie. Ce programme de billets de trésorerie est noté D par l’agence de notation Standard & Poor’s. Vallourec a également émis en août 2012 un emprunt obligataire à long terme pour un montant de 55 millions d’euros à 15 ans, avec un coupon annuel de 4,125 %. Vallourec a émis le 30 septembre 2014 un emprunt obligataire pour un montant de 500 millions d’euros à échéance septembre 2024, avec un coupon fixe annuel de 2,25 %. Vallourec a émis le 27 septembre 2017 un emprunt obligataire à option de conversion et/ou d’échange en actions nouvelles et/ou existantes pour un montant de 250 millions d’euros à échéance octobre 2022, avec un coupon fixe annuel de 4,125 %, une prime de conversion de 37,5 % et un prix d'exercice initial de 6,89 euros porté à 275,60 euros à la suite du regroupement des actions Vallourec par 40 intervenue le 25 mai 2020. Vallourec a émis le 11 octobre 2017 un emprunt obligataire pour un montant 400 millions d’euros, abondé le 23 octobre 2017 pour un montant de 150 millions d’euros (soit 550 millions d’euros au total) à échéance octobre 2022, avec un coupon fixe annuel de 6,625 %. Cet emprunt est remboursable par anticipation aux conditions contractuelles à partir du 15 octobre 2020. Vallourec a émis le 12 avril 2018 un emprunt obligataire pour un montant de 400 millions d’euros à échéance octobre 2023, avec un coupon annuel de 6,375 %. Cet emprunt est remboursable par anticipation aux conditions contractuelles à partir du 15 octobre 2020. Au 30 avril 2021, la valeur de marché de ces emprunts obligataires émis à taux fixe est respectivement de 62,9 millions d’euros, 527,2 millions d’euros, 556,1 millions d’euros et 408,7 millions d’euros. Ces emprunts obligataires ont permis de diversifier et d’augmenter le montant et la maturité des ressources financières du Groupe. Ils comportent notamment une clause de changement de contrôle susceptible d’entraîner le remboursement anticipé obligatoire d’obligations à la demande de chaque porteur d’obligations en cas de changement de contrôle de Vallourec (au profit d’une personne ou d’un groupe de personnes agissant de concert) emportant une dégradation de la notation financière de celle-ci.

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Les obligations peuvent également faire l’objet d’un remboursement anticipé à la demande du porteur ou, selon le cas, de Vallourec dans des hypothèses de survenance de certains cas de défaillance usuels pour ce type de transaction, de changement de situation de Vallourec ou de la réglementation fiscale. Au 30 avril 2021, les échéances contractuelles des dettes obligataires de la société ne sont pas modifiées et la société n’a pas connaissance de clause d’exigibilité pouvant être activées par les créanciers à cette date. Cependant, la mise en œuvre du Plan de Sauvegarde a rendu ces clauses caduques, puisque le Plan de Sauvegarde a notamment pour objet de restructurer les créances au titre de ces emprunts obligataires ; les termes et conditions de ces emprunts obligataires seraient donc caducs et remplacés par ceux des nouveaux instruments de dettes, et notamment les Nouvelles Obligations (voir section 3.7 du Document d’Enregistrement Universel 2020). Restructuration financière Après avoir obtenu les autorisations nécessaires de ses créanciers bancaires et obligataires pour ce faire, la Société a demandé et obtenu en septembre 2020, la nomination d’un mandataire ad hoc en vue de l’assister dans ses négociations avec ses principaux créanciers afin de parvenir à une structure financière rééquilibrée en réduisant son endettement et sécuriser les liquidités nécessaires pour lui permettre de déployer son plan stratégique dans un environnement de marché volatile. La Société a ainsi annoncé le 3 février 2021 avoir conclu un Accord de Principe avec ses principaux créanciers avec notamment pour objectif la réduction à hauteur de 1 800 millions d’euros de l’endettement de Vallourec (voir section 3.7 du Document d’Enregistrement Universel 2020). Dans ce contexte, le Tribunal de commerce de Nanterre a ouvert le 4 février 2021 une procédure de sauvegarde à l’égard de Vallourec. L’ouverture de cette procédure a notamment pour objectif de permettre la restructuration financière de la Société prévue par l’Accord de Principe dans le cadre d’un plan de sauvegarde (le « Plan de Sauvegarde »). Cette procédure a en outre suspendu les obligations de paiement de la Société au titre de ses dettes antérieures au 4 février 2021, et notamment des financements bancaires venant à échéance en février 2021. Le Plan de Sauvegarde a été arrêté par un jugement du Tribunal de commerce de Nanterre en date du 19 mai 2021. La réalisation des opérations de restructuration réduira significativement le risque de liquidité du Groupe. Cependant, en cas de dégradation très significative non anticipée du niveau de dépenses d’investissement, d’exploration et/ou de production de ses clients du secteur du Pétrole et du Gaz, duquel le Groupe tire la majeure partie de son chiffre d’affaires, les marges de manœuvre résultant de la mise en œuvre du Plan de Sauvegarde pourraient s’avérer insuffisantes et conduire la Société à rechercher des sources de financement supplémentaires.

Risques liés à la mise en œuvre du projet de restructuration financière* Le projet de restructuration financière prévu par le Plan de Sauvegarde repose essentiellement sur :

• un désendettement majeur de 1 800 millions d’euros grâce à :

o une augmentation de capital avec DPS ouverte aux actionnaires de la Société pour un montant de 300 millions d’euros au prix de souscription de 5,66 € par action nouvelle et garantie intégralement par les créanciers au titres des Obligations et des RCF autres que BNP Paribas, Natixis, Banque Fédérative du Crédit Mutuel et le cas échéant CIC (les « Banques Commerciales »), par voie de compensation à due concurrence avec une partie

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de leurs créances ; le produit en espèces de cette augmentation de capital sera affecté au remboursement partiel de leurs créances,

o une augmentation de capital réservée d’un montant de 1 331 millions d’euros souscrite par les créanciers au titre des Obligations et des RCF autres que les Banques Commerciales par voie de compensation à due concurrence avec une partie de leurs créances, au prix de souscription de 8,09 € par action nouvelle,

o un abandon de créances par les Banques Commerciales à hauteur de 169 millions d’euros, associé à un instrument de retour à meilleure fortune sous la forme de BSA,

o un refinancement de la dette résiduelle et l’obtention de nouvelles lignes de financement opérationnel sur un horizon de cinq ans grâce à :

o la mise en place par les Banques Commerciales d’un crédit renouvelable de 462 millions d’euros,

o la mise en place par les Banques Commerciales d’un emprunt garanti par l’État de 262 millions d’euros,

o la mise en place d’un nouvel emprunt obligataire de 1 023 millions d’euros par les créanciers au titre des Obligations et des RCF autres que les Banques Commerciales souscrit par voie de compensation avec le solde de leurs créances,

o l’octroi de lignes de caution de 178 millions d’euros sur une période de cinq ans. L’ensemble des conditions suspensives du Plan de Sauvegarde ont été satisfaites et le Plan de Sauvegarde a été arrêté par le Tribunal de commerce de Nanterre le 19 mai 2021. Le Plan de Sauvegarde est donc opposable à tous et lie tous les créanciers de la Société qui sont tenus de l’exécuter. Toutefois, les opérations prévues dans le Plan de Sauvegarde forment un tout indivisible de sorte que si l’une d’entre elles ne pouvait se réaliser, aucune d’entre elles ne se réaliserait. En cas d’inexécution des engagements prévus dans le Plan de Sauvegarde, le Tribunal de commerce de Nanterre pourrait prononcer la résolution du Plan de Sauvegarde. Une telle résolution pourrait conduire à l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire. Une telle ouverture de procédure de redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire pourrait conduire à la cession de tout ou partie des actifs de la Société et pourrait placer (i) les actionnaires dans la situation de perdre la totalité de leur investissement dans la Société, et (ii) les créanciers dans la situation de perspectives moindres de recouvrement de leurs créances. Dans l’hypothèse où la résolution du Plan de Sauvegarde serait prononcée, la Société ne disposerait pas du fond de roulement net consolidé nécessaire pour couvrir (i) ses besoins opérationnels pour les 12 prochains mois, jusqu’à fin mai 2022 et (ii) le remboursement des lignes de crédit renouvelables arrivées à échéance à compter du 9 février 2021 ainsi que le paiement des intérêts au titre des RCF et des Obligations jusqu’au 31 mai 2022 et la continuité d’exploitation serait compromise. Enfin, la procédure de sauvegarde et la restructuration financière de la Société pourraient affecter, notamment, la volonté de clients nouveaux ou existants de conclure ou poursuivre des contrats et relations d’affaires. Par ailleurs, en cas de mise en œuvre de la restructuration financière, compte tenu du nombre très important d’actions et BSA émis dans le cadre des émissions prévues par le Plan de Sauvegarde, ces émissions seraient fortement dilutives pour les actionnaires. A titre indicatif, un actionnaire détenant 1% du capital social de la Société verrait sa participation diminuer (sur une base diluée), post réalisation de l’Augmentation de Capital Réservée, et de l’Augmentation de Capital avec DPS à (i) 0,05% s’il ne souscrit pas à

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l’Augmentation de Capital avec DPS (0,04% post exercice de la totalité des BSA) et (ii) 0,28% dans l’hypothèse où il exercerait l’ensemble de ses droits préférentiels de souscription au titre de l’Augmentation de Capital avec DPS (0,25% post exercice de la totalité des BSA). De plus, des ventes d’un nombre significatif d’actions ou de BSA de la Société pourraient intervenir rapidement à compter de la date de réalisation des augmentations de capital ; or de telles ventes pourraient être anticipées par le marché, ce qui pourrait avoir un impact défavorable sur le prix de marché de l’action et/ou le prix de marché des BSA. Enfin, la restructuration financière en cours ainsi que la procédure de sauvegarde ouverte à l’égard de Vallourec pourraient avoir un effet négatif sur les relations de la Société avec ses principaux fournisseurs, salariés et clients. En particulier, elles pourraient affecter les relations ainsi que la capacité du Groupe à négocier dans des conditions favorables avec ses créanciers, clients, fournisseurs, salariés ou autres contreparties, ou affecter la capacité des sociétés du Groupe à maintenir des conditions normales de crédit avec ses fournisseurs. De plus, la perception de la viabilité du Groupe liée à la restructuration financière et/ou à l’existence de cette procédure pourrait affecter, notamment, la volonté de clients nouveaux ou existants à conclure ou poursuivre des contrats et relations d’affaires. Enfin la capacité du Groupe à répondre aux appels d’offre de certains de ses clients pourrait être affectée par la difficulté accrue d’obtenir de ses partenaires bancaires la mise en place de garanties de marché lorsqu’elles sont exigées.

Risques liés à la stratégie de croissance externe du Groupe Une fois la restructuration réalisée, le Groupe a l’ambition de s’inscrire dans une stratégie de croissance et de devenir un acteur de la consolidation du secteur dans lequel il opère et dans le cadre de cette politique de développement, le Groupe pourrait procéder à des opérations de croissance externe (au travers notamment d’acquisitions d’activités et/ou de sociétés), ainsi qu’à des développements de partenariats. Ces opérations comportent des risques liés aux difficultés pouvant être rencontrées dans l’évaluation des actifs et passifs objets de ces opérations, dans l’intégration du personnel, des activités, des technologies et des produits et dans la mise en œuvre des systèmes et procédures en matière de gouvernance et de conformité. Le Groupe n’a pas d’assurance que les activités ou sociétés acquises n’incluent pas des passifs non identifiés au moment de la réalisation de l’opération et pour lesquels le Groupe n’a pas de protection ou des protections partielles de la part du cédant ou du partenaire. Aucune assurance ne peut également être donnée que ces acquisitions, joint-ventures et partenariats n’entraîneront pas de besoins de financement supplémentaires, des coûts d’acquisition et d’intégration accrus, ainsi que des risques en matière de propriété industrielle, des désaccords ou blocages entre les partenaires ou encore que la performance financière effective ne soit pas conforme aux hypothèses initiales. Ainsi, les risques liés à la valorisation et aux passifs non déclarés et à l’intégration des opérations (gestion des procédures complexes d’intégration du personnel, des produits, des technologies et d’autres actifs de la société acquise pour garantir la valeur projetée et les synergies projetées) peuvent être importants. La survenance de tels événements est susceptible d’avoir un effet défavorable sur l’activité, la situation financière, les résultats ou les perspectives du Groupe.

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4. GOUVERNEMENT D’ENTREPRISE Au chapitre 7.2 « Composition et fonctionnement du futur Conseil d’Administration », la précision suivante est ajoutée : A l’issue de la Restructuration, il est envisagé que le conseil d’administration procède à la cooptation de Maria Silvia, Hera Xiu et Angela Minas, étant précisé que ces nominations à titre provisoire seront soumises à la ratification de la plus prochaine assemblée générale ordinaire. Au chapitre 7.4 « Politique de Rémunération applicables aux futurs membres du Conseil d’Administration et aux futurs Président-Directeur Général et Directeur Général délégué », la précision suivante est ajoutée : Certains futurs actionnaires de la Société ont proposé la mise en place d’un mécanisme de rémunération en actions de la Société, reposant sur la performance et sur la base de modalités généralement pratiquées par les fonds de private equity, dans le cadre d’une enveloppe globale maximum de 5% du capital (sur la base du capital social post-Augmentation de Capital avec DPS, Augmentation de Capital Réservée et avant émission des Actions Nouvelles émises sur exercice des BSA). La mise en place d’un tel plan sera soumise à l’approbation du Conseil d’administration à l’issue de la Restructuration ainsi qu’au vote préalable des actionnaires sur les résolutions nécessaires à cette mise en place, dans le cadre d’une assemblée générale des actionnaires.

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5. FAITS MARQUANTS DU DEBUT DE L’EXERCICE 2021 L’assemblée générale des actionnaires approuve les résolutions nécessaires à la mise en œuvre du plan de restructuration financière à une très large majorité (communiqué du 20 avril 2021) Boulogne-Billancourt, le 20 avril 2021 – Dans le contexte de l’épidémie de Covid-19 et conformément à la réglementation, l’Assemblée générale mixte des actionnaires de Vallourec S.A. (la « Société ») et l’Assemblée spéciale des détenteurs d’actions de la Société à droits de vote double doivent se tenir exceptionnellement à huis clos sans la présence physique de ses actionnaires, aujourd’hui, respectivement à 8h et 14 heures. En conséquence, tous les votes ont déjà été reçus par la Société. Vallourec annonce, sur la base des informations reçues, que la totalité des résolutions nécessaires à la mise en œuvre de la restructuration financière prévue par le projet de plan de sauvegarde de la Société ont été approuvées, à plus de 83% des votes exprimés. Toutes les autres résolutions soumises à l’Assemblée générale mixte des actionnaires de Vallourec SA ont également été approuvées. De même, la suppression des droits de vote double a été approuvée par l’Assemblée spéciale des détenteurs d’actions de la Société à droits de vote double. Les informations détaillées concernant le quorum et les votes sur chaque résolution seront disponibles après certification des feuilles de présence par le bureau des Assemblées, dans la section « Assemblées générales » du site internet de la Société https://www.vallourec.com/fr/investisseurs/assemblees-generales. Les actionnaires pourront suivre à distance et en direct le déroulé des Assemblées à l’adresse suivante https://www.vallourec.com/fr/investisseurs/assemblees-generales; ces déroulés seront également disponibles en différé sur le site internet de Vallourec à la même adresse. La Société permettra aux actionnaires qui le souhaiteraient de poser des questions en direct, après l’ouverture du débat par le Président de l’Assemblée générale, via un « chat » par écrit accessible lors de la retransmission en direct de l’Assemblée générale sur le site Internet de la Société (https://www.vallourec.com/fr/investisseurs/assemblees-generales). Edouard Guinotte, Président du Directoire, a déclaré : « L’approbation de nos actionnaires est une étape- clé dans la mise en œuvre de notre plan de restructuration financière et je souhaite les remercier pour leur soutien décisif en vue de nous permettre de déployer notre plan stratégique. » Les plus prochaines étapes de la restructuration financières sont les suivantes : - l’obtention des autorisations requises aux titres du contrôle des concentrations et des investissements étrangers par les autorités compétentes ; selon le calendrier indicatif actuellement envisagé, ces autorisations pourraient être obtenues avant le 11 mai 2021 ; - l’arrêté du projet de plan de sauvegarde de la Société par jugement du Tribunal de commerce de Nanterre. Selon le calendrier indicatif actuellement envisagé, le tribunal devrait examiner la demande d’arrêté du projet de plan lors d’une audience prévue le 11 mai 2021 et le jugement d’arrêté du plan pourrait être rendu dès le 19 mai 2021 ; et - le lancement de l’augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription de 300 millions d’euros garantie en totalité par certains créanciers, après approbation par l’Autorité des marchés financiers du prospectus relatif à cette opération ; selon le calendrier indicatif actuellement envisagé, ce lancement pourrait intervenir début juin.

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Il est rappelé que, selon le calendrier indicatif actuellement envisagé, Vallourec a pour objectif de mettre en œuvre l’ensemble des opérations prévues par le plan de restructuration financière d’ici la fin du mois de juin 2021. Vallourec ouvre de nouvelles voies avec son Open Innovation Challenge 2021 Boulogne-Billancourt, le 11 mai 2021 – Vallourec, un leader mondial des solutions tubulaires premium, lance aujourd’hui son Open Innovation Challenge 2021 autour de leviers additionnels de création de valeur. Récoltant les fruits des éditions précédentes, Vallourec souhaite, cette année encore, s’appuyer sur l’innovation ouverte pour alimenter sa feuille de route dans cinq domaines identifiés : les énergies nouvelles, les nouvelles activités, les services d’assistance sur site et à distance, les tubes et conduites intelligents, et enfin l’Industrie 4.0. Concrètement, le Groupe lance trois appels à projets auprès des start-ups, laboratoires et entreprises : - « Nouvelles solutions de production d’énergie » : Les énergies ciblées sont les énergies marines, notamment les vagues, les différences thermiques et l’éolien offshore flottant. - « Réutilisation des tubes et pipelines » : pour leur donner une seconde vie. - « Site de stockage de tubes automatisé et numérisé » : pour optimiser la gestion des stocks, l’inspection, et les autres activités de chantier. Vallourec est ouvert à la collaboration au-delà de ces challenges et étudiera toutes les propositions soumises. « Nous souhaitons développer plus de partenariats avec des entreprises agiles et leaders. En alliant leurs nouvelles technologies à nos compétences spécialisées et notre connaissance du marché, nous mettons en place des collaborations mutuellement avantageuses. Nous ouvrons ainsi notre Groupe à de nouveaux domaines et de nouvelles possibilités de croissance, notamment dans les services numériques et la transition énergétique », indique Sylvie Dubois-Decool, Directrice de l’Innovation. Depuis le développement des premières connexions VAM® il y a plusieurs décennies, le Groupe a adopté une démarche d’innovation ouverte. Celle-ci a été particulièrement renforcée au cours des quatre dernières années, avec l’organisation de trois « Open Innovation Challenges » à travers le monde. Chacun de ces challenges a généré des développements collaboratifs fructueux avec les lauréats, dont notamment la solution Intelligent Pipe, développée avec Openfield Technology. Cet équipement connecté inclut des capteurs miniaturisés directement intégrés dans les tubes, qui permettent d’enregistrer et de transmettre en temps réel des informations sur le comportement des puits et leur environnement.

Pour envoyer une candidature ou obtenir davantage d’informations sur les challenges et sur les start-ups, laboratoires et entreprises, inscrivez-vous à cette adresse : https://openinnovation.vallourec.com Les candidats ont jusqu’au 22 septembre 2021 pour proposer leurs projets, qui seront ensuite soumis à une présélection jusqu’au 7 octobre. Les meilleures propositions présélectionnées seront conviées à présenter leurs solutions aux équipes et cadres dirigeants de Vallourec à la fin du mois d’octobre, lors d’une session de pitchs. Les projets retenus seront dévoilés au mois de novembre. Les collaborations avec les start-ups, laboratoires et/ou entreprises sélectionnés démarreront en janvier 2022

Le Tribunal de commerce de Nanterre approuve le plan de sauvegarde de Vallourec Boulogne-Billancourt, le 20 mai 2021 – Vallourec annonce que, par jugement rendu le 19 mai 2021, le Tribunal de commerce de Nanterre, après avoir notamment constaté que les autorisations réglementaires requises avaient été obtenues, a approuvé le plan de sauvegarde de Vallourec S.A. (la « Société »), examiné

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lors de l’audience du 11 mai 2021. Tous les créanciers de la Société sont ainsi tenus d’exécuter le plan de sauvegarde. La prochaine étape de la restructuration financière de la Société est le lancement de l’augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription autorisée par l’assemblée générale mixte des actionnaires du 20 avril 2021 et garantie par les Créanciers4, qui devrait intervenir début juin, sous réserve de l’approbation du prospectus par l’Autorité des marchés financiers. Le calendrier indicatif des étapes de la restructuration financière (tel que publié par la Société dans le prospectus ayant reçu le numéro d’approbation 21-093 en date du 31 mars 2021) sera mis à jour lors de la mise à disposition du prospectus relatif à l’augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription, la date de réalisation des opérations prévues par le plan de sauvegarde devant demeurer selon ce calendrier indicatif le 30 juin 2021.

Vallourec finalise la cession de la société Valinox Nucléaire SAS à Framatome Boulogne-Billancourt, le 1er juin 2021 – Vallourec, leader mondial des solutions tubulaires premium, annonce aujourd’hui avoir finalisé la cession à Framatome de la société Valinox Nucléaire SAS, située sur le site de production français de Montbard (Bourgogne, Côte d’Or). Créée en 1974, Valinox Nucléaire SAS – France est spécialisée dans les tubes pour îlot nucléaire. Cette opération fait suite à l’obtention de l’ensemble des approbations et autorisations réglementaires requises et à la consultation des instances représentatives du personnel. Edouard Guinotte, Président du Directoire de Vallourec, souligne que « l’intégration de Valinox à Framatome va lui offrir ainsi qu’à ses équipes les meilleures perspectives. Je connais la qualité, les compétences et l’engagement des salariés de Valinox et leur souhaite à tous les meilleurs succès ». L’intégration de la société Valinox Nucléaire SAS au sein de Framatome va lui permettre de rejoindre pleinement la filière nucléaire française, de bénéficier des synergies possibles avec cet acteur majeur et de lui assurer de nouvelles perspectives commerciales.

4 Les Créanciers font référence à tous les créanciers de Vallourec SA au titre des différentes RCF et des obligations, à l’exception des Banques Commerciales (les Banques Commerciales font référence à BNP Paribas, Banque Fédérative du Crédit Mutuel / CIC et Natixis).

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6. ATTESTATION DU RESPONSABLE DE L’AMENDEMENT AU DOCUMENT D’ENREGISTREMENT UNIVERSEL 2020

« J’atteste que les informations contenues dans le présent Amendement au Document d’Enregistrement Universel 2020 sont, à ma connaissance, conformes à la réalité et ne comportent pas d’omission de nature à en altérer la portée. »

Fait à Paris, le 2 juin 2021

Monsieur Edouard Guinotte Président du Directoire de Vallourec

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7. TABLE DE CONCORDANCE La table de concordance ci-après reprend les rubriques prévues par l’annexe 1 du règlement délégué (UE) 2019/980 de la Commission du 14 mars 2019 et renvoie aux pages du Document d’Enregistrement Universel 2020 et du présent Amendement où sont mentionnées les informations relatives à chacune de ces rubriques.

Document d’Enregistrement Amendement Annexes 1 et 2 du règlement délégué 2019/980 du 14 mars 2019 Universel 2020 Pages Section

1. Personnes responsables, informations provenant de tiers, rapports d’experts et approbation de l’autorité compétence

1.1 Indication des personnes responsables 10 6

1.2 Déclaration des personnes responsables 10 6

1.3 Déclaration ou rapport d’expert N/A N/A

1.4 Attestations relatives aux informations provenant de tiers N/A N/A

1.5 Déclaration sans approbation préalable de l’autorité compétente 1 p. 1 2. Contrôleurs légaux des comptes 2.1 Nom et adresse des contrôleurs légaux des comptes 11 N/A 2.2 Contrôleurs légaux ayant démissionné, ayant été écartés ou n’ayant pas été N/A N/A redésignés durant la période couverte 3. Facteurs de risques 172 3 4. Informations concernant l’émetteur 4.1 Raison sociale et nom commercial 14 p. 1

4.2 Lieu, numéro d’enregistrement et identifiant d’entité juridique (LEI) 14 N/A

4.3 Date de constitution et durée de vie 14 N/A

4.4 Siège social, forme juridique, législation, pays d’origine, adresse et 14 / 14 N/A numéro de téléphone du siège statutaire et site web 5. Aperçu des activités 5.1 Principales activités 38 / 53 / 80 N/A 5.1.1 Nature des opérations et principales activités 38 / 67 / 80 N/A

5.1.2 Nouveaux produits et/ou services 53 N/A

5.2 Principaux marchés 43 N/A

5.3 Événements importants dans le développement des activités 36 / 54 / 67 / 69 / 80 / 91 1 / 3 / 5

5.4 Stratégie et objectifs 38 / 53 / 69 / 91 1 / 2

5.5 Dépendance à l’égard des brevets, licences, contrats industriels, 53 N/A commerciaux ou financiers ou de nouveaux procédés de fabrication 5.6 Éléments sur lesquels est fondée toute déclaration de l’émetteur sur sa 44 N/A position concurrentielle 5.7 Investissements 87 1 / 2

5.7.1 Investissements importants réalisés 87 1 / 2

5.7.2 Investissements en cours ou pour lesquels des engagements fermes ont 87 1 / 2 déjà été pris

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Document d’Enregistrement Amendement Annexes 1 et 2 du règlement délégué 2019/980 du 14 mars 2019 Universel 2020 Pages Section 5.7.3 Coentreprises et entreprises dans lesquelles l’émetteur détient une part de capital susceptible d’avoir une influence significative sur l’évaluation de 224 3 son actif et de son passif, de sa situation financière ou de ses résultats

5.7.4 Questions environnementales pouvant influencer l’utilisation, faite par 93 / 126 N/A l’émetteur, de ses immobilisations corporelles

6. Structure organisationnelle 46 N/A

6.1 Description sommaire du Groupe 46 N/A

6.2 Liste des filiales importantes 46 / 250 N/A

7. Examen de la situation financière et du résultat 80 / 91 / 92 / 192 / 259 1

7.1 Situation financière 80 / 91 / 92 / 192 / 259 1

7.1.1 Évolution et résultat des activités de l’émetteur, évolution de sa situation

financière pour chaque exercice et période intermédiaire pour lesquels des 80 / 91 / 92 / 192 / 259 1 informations financières historiques sont exigées

7.1.2 Évolution future probable des activités de l’émetteur et activités en matière 53 / 91 1 de recherche et développement 7.2 Résultats d’exploitation 80 / 91 1 7.2.1 Facteurs importants, évènements inhabituels ou peu fréquents

ou nouveaux développements, influant sensiblement sur le revenu 80 1 d’exploitation 7.2.2 Raison des changements importants du chiffre d’affaires net ou des 80 1 produits nets 8. Trésorerie et capitaux 86 / 194 1

8.1 Informations sur les capitaux 195 1

8.2 Source et montant des flux de trésorerie et description de ces flux de 194 1 trésorerie

8.3 Besoins de financement et structure de financement 230 1 / 3

8.4 Informations concernant toute restriction à l’utilisation des capitaux ayant

influé sensiblement ou pouvant influer sensiblement, de manière directe ou 230 N/A indirecte, sur les opérations de l’émetteur

8.5 Informations concernant les sources de financement attendues nécessaires 230 3 pour honorer les engagements visés au point 5.7.2.

9. Environnement réglementaire 93 / 126 / 175 / 176 N/A

9.1 Description de l’environnement réglementaire dans lequel l’émetteur opère et qui peut influer de manière significative sur ses activités et toute mesure

ou facteur de nature administrative, économique, budgétaire, monétaire ou 93 / 126 / 172 N/A politique ayant influé ou pouvant influer sensiblement, de manière directe ou indirecte, sur les activités de l’émetteur

10. Informations sur les tendances 58 1 / 2 10.1 Principales tendances ayant affecté la production, les ventes

et les stocks, les coûts et les prix de vente depuis la fin du dernier exercice 58 1 / 2 jusqu’à la date du document d’enregistrement

10.2 Tendance connue, incertitude ou demande ou engagement

ou événement raisonnablement susceptible d’influer sensiblement sur les 91 / 172 1 / 2 perspectives de l’émetteur, au moins pour l’exercice en cours

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Document d’Enregistrement Amendement Annexes 1 et 2 du règlement délégué 2019/980 du 14 mars 2019 Universel 2020 Pages Section 11. Prévisions ou estimations du bénéfice 91 1 / 2 11.1 Prévisions ou estimations du bénéfice publiées 91 1 / 2 11.2 Principales hypothèses sur lesquelles l’émetteur a fondé sa prévision ou 91 1 / 2 son estimation 11.3 Déclaration de comparabilité avec les informations financières historiques N/A N/A et de conformité aux méthodes comptables de l’émetteur 12. Organes d’administration, de direction et de surveillance et direction générale 285 4

12.1 Informations concernant les membres des organes d’administration, de 285 4 direction et de surveillance 12.2 Conflits d’intérêts au niveau des organes d’administration, de direction et 28 / 77 / 319 / 319 / 319 / N/A de surveillance 321 13. Rémunération et avantages 327 4 13.1 Montant de la rémunération versée et avantages en nature octroyés par 327 4 l’émetteur et ses filiales 13.2 Montant total des sommes provisionnées ou constatées par ailleurs par

l’émetteur ou ses filiales aux fins de versement de pensions, 244 / 321 / 327 / 341 / 349 N/A de retraites ou d’autres avantages 14. Fonctionnement des organes d’administration et de surveillance 308 N/A 14.1 Date d’expiration des mandats actuels et période durant laquelle la 285 N/A personne est restée en fonction 14.2 Informations sur les contrats de service liant les membres des organes d’administration, de direction ou de surveillance à l’émetteur ou à l’une 319 N/A quelconque de ses filiales et prévoyant l’octroi d’avantages, ou une déclaration appropriée attestant de l’absence de tels avantages 14.3 Informations sur le comité d’audit et le comité de rémunération de 312 N/A l’émetteur 14.4 Déclaration de conformité au régime de gouvernement d’entreprise en 320 N/A vigueur

14.5 Incidences significatives potentielles sur la gouvernance d’entreprise 4

15. Salariés 107 N/A

15.1 Nombre de salariés à la fin de la période couverte par les informations

financières historiques ou nombre moyen durant chaque exercice de cette 107 N/A période et répartition des salariés par grande catégorie d’activité et par site

15.2 Participations au capital, options, attribution d’actions de performance 244 / 335 / 342 N/A

15.3 Accords prévoyant une participation des salariés dans le capital social 342 N/A

16. Principaux actionnaires 24 N/A

16.1 Nom de toute personne non membre d’un organe d’administration, de direction ou de surveillance détenant, directement ou indirectement, un pourcentage du capital social ou des droits de vote de l’émetteur devant 24 N/A être notifié en vertu de la législation nationale applicable et montant de la participation ainsi détenue, ou déclaration appropriée en l’absence de telles personnes 16.2 Existence de droits de vote différents 15 / 24 N/A

16.3 Détention ou contrôle, direct ou indirect, de l’émetteur 24 / 28 N/A

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Document d’Enregistrement Amendement Annexes 1 et 2 du règlement délégué 2019/980 du 14 mars 2019 Universel 2020 Pages Section 16.4 Accord, connu de l’émetteur, dont la mise en œuvre pourrait, à une date N/A N/A ultérieure, entraîner un changement de contrôle

17. Transactions avec les parties liées 224 N/A

17.1 Détail des transactions avec des parties liées 224 N/A

Informations financières concernant le patrimoine, la situation financière et les 18. 191 1 résultats de l’émetteur 18.1 Informations financières historiques 191 N/A

18.1.1 Informations financières historiques auditées pour les trois derniers N/A N/A exercices et rapport d’audit pour chacun de ces exercices

18.1.2 Changement de date de référence comptable N/A N/A 18.1.3 Normes comptables 200 N/A 18.1.4 Changement de référentiel comptable 200 N/A 18.1.5 Informations financières auditées établies conformément à des normes 191 N/A comptables nationales 18.1.6 États financiers consolidés 192 N/A 18.1.7 Date des dernières informations financières 192 N/A 18.2 Informations financières intermédiaires et autres N/A 1 18.2.1 Informations financières semestrielles ou trimestrielles N/A 1 18.3 Audit des informations financières annuelles historiques N/A N/A 18.3.1 Audit indépendant des informations financières annuelles historiques 255 / 276 N/A 18.3.2 Autres informations auditées par les contrôleurs légaux 103 N/A 18.3.3 Informations financières non tirées des états financiers audités N/A N/A 18.4 Informations financières pro forma N/A N/A 18.4.1 Modification significative des valeurs brutes N/A N/A 18.5 Politique en matière de dividendes 31 N/A 18.5.1 Description de la politique de distribution de dividendes et de 31 N/A toute restriction applicable 18.5.2 Montant du dividende par action 31 N/A 18.6 Procédures judiciaires et d’arbitrage 94 / 248 N/A 18.6.1 Procédures significatives N/A N/A 18.7 Changement significatif de la situation financière de l’émetteur 72 /252 1 18.7.1 Description 72 / 252 1 19. Informations complémentaires 19.1 Capital social 16 N/A 19.1.1 Montant du capital émis et autorisé, nombre d’actions émises et totalement libérées et émises mais non totalement libérées, valeur 16 / 21 N/A nominale par action, rapprochement du nombre d’actions en circulation à la date d’ouverture et à la date de clôture de l’exercice 19.1.2 Informations relatives aux actions non représentatives du capital 22 N/A

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Document d’Enregistrement Amendement Annexes 1 et 2 du règlement délégué 2019/980 du 14 mars 2019 Universel 2020 Pages Section

19.1.3 Nombre, valeur nominale et valeur comptable des actions détenues par 20 N/A l’émetteur lui-même ou en son nom, ou par ses filiales

19.1.4 Informations relatives aux valeurs mobilières convertibles, 19 N/A échangeables ou assorties de bons de souscription

19.1.5 Informations sur les conditions régissant tout droit d’acquisition

et/ ou toute obligation attaché(e) au capital autorisé, mais non 17 N/A émis, ou sur toute entreprise visant à augmenter le capital

19.1.6 Informations sur le capital de tout membre du Groupe faisant l’objet

d’une option ou d’un accord conditionnel ou inconditionnel 24 N/A prévoyant de le placer sous option 19.1.7 Historique du capital social 21 N/A 19.2 Actes constitutifs et statuts N /A N/A 19.2.1 Registre et objet social 14 N/A 19.2.2 Droits, privilèges et restrictions attachés à chaque catégorie d’actions 16 / 367 N/A existantes

19.2.3 Dispositions de l’acte constitutif, des statuts, d’une charte ou d’un

règlement de l’émetteur qui pourraient avoir pour effet de retarder, 16 / 367 N/A de différer ou d’empêcher un changement de son contrôle

20. Contrats importants 53 / 72 / 176 / 179 / 230 / N/A 252

20.1 Résumé de chaque contrat important 53 / 176 / 179 / 230 / 252 N/A 21. Documents disponibles 14 / 32 p. 1 21.1 Déclaration sur les documents pouvant être consultés 14 / 32 p. 1

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