Rapport Annuel
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moins d’une fois par mois entre une et deux fois par mois entre deux et trois fois par mois ? Bacs non utilisés 50 25 % Nombre de réclamations reçues 45 45% 2009 1 658 22,7 % 1 658 20 % Traitement 40% 21,6 % 38% 2010 1 141 423 40 1 564 36% 15 % 17,1 % Tri 2011 1 096 376 35 1 472 Collecte 14,6 % 2015 1 868 348 2 216 10 % 28% 10,5 % 11,3 % 30 9 % 2014 2 244 176 2 420 5 % 5,3 % 2013 1 113 436 25 1 549 20% Réclamations concernant 20% 20% 3,4 % 2012 l’année en cours 19% 19% 1 054 355 18% 1 409 18% 0 % 20 Réclamations concernant 17% 17% l’année précédente 16% 2007 2008 2009 2010 20110 200 2012400 600 800 20131 000 1 200 20141 400 1 600 20151 800 2 000 2 200 2 400 15% 15% 14% 13% 13% 15 12% 12% 12% 12% 10 10% 5 RAPPORT ANNUEL 2015 0 2014 Ensemble Communes Communes Communes Communes 115 Retrait du SMICTOM <1000 hab de 1000 à de 2000 à >5000 hab 247 2000 hab 5000 hab 446 Réparation à l’adresse 516 Remplacement 385 341 Échange / 12015 786 Changement Dotation 1sur 868 le prix et la qualité du service public 1 051 de prévention et Typede de logements gestion des déchets Ajout / Placement 1 589 0 500 1000 1500 2000 7 % 100 2 339 5 personnes 2 80 3 2 30 2 27 21 Tarification 15 60 54 52 51 53 40 Prévention Nombre de réclamations reçue20 s 0 2012 2013 2014 2015 Type de résidences 2009 Déchèteries1 658 Communication1 658 2010 1 141 423 1 564 2011 1 096 376 1 472 2015 1 868 348 2 216 2014 2 244 176 2 420 2013 1 113 436 1 549 Réclamations concernant l’année en cours 2012 1 054 355 1 409 Réclamations concernant l’année précédente 0 200 400 600 800 1 000 1 200 1 400 1 600 1 800 2 000 2 200 2 400 RAPPORT Sommaire ANNUEL 2015 Faits 4 marquants ÉDITO Présentation Réaliser le bilan d’une année d’activité est un moment important et enrichissant pour les collectivités. Cela permet 6 générale de regarder avec recul une année de service public, d’en analyser les résultats, de comprendre les réussites pour les reproduire et d’identifier les marges de progrès pour actionner les leviers d’amélioration sur d’autres points. 2015, en cela, fut une année riche d’enseignements. Riche d’enseignements, car il s’agit de la première année nous permettant d’obtenir des indicateurs de résultats complets du dispositif de gestion des déchets. En effet, lancé en mars 2013 avec la campagne de distribution des équipements de collecte, la mise en œuvre du dispositif se finalise en 2015 avec la facturation du service selon la Indicateurs redevance incitative dans son schéma définitif (application de la part fixe 2015 et de la part variable 2014). 12 techniques Riche d’enseignements également, car ces grandes mutations ont impliqué une restructuration interne de l’équipe du Smictom. Une mission d’optimisation de l’organisation a été commandée et réalisée dans ce sens. À présent, la feuille de route du Smictom est de consolider Indicateurs les actions engagées, toujours dans une dynamique d’amélioration continue. 30 financiers Je vous souhaite une bonne lecture de ce rapport. Christine GARDAN Présidente du Smictom des Pays de Vilaine 39 Glossaire Ce rapport est rédigé conformément aux obligations mentionnées à l’article L.2224-5 du Code Général des Collectivités Territoriales. Ce texte de loi fait obligation au maire ou au président d’EPCI de présenter au Conseil Municipal ou à son assemblée délibérante un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public de collecte et de traitement des ordures ménagères. Le présent rapport est à soumettre aux assemblées délibérantes des collectivités adhérentes au Smictom. 2 3 Faits marquants SE STRUCTURER POUR RESTER de l’année UNE COLLECTIVITÉ DE PROJETS La mise en œuvre d’un dispositif de collecte des déchets aussi global que celui du Smictom des Pays de Vilaine a bouleversé l’organisation initiale du syndicat. La collectivité est notamment passée de 15 agents BLE en 2011, à 26 actuellement. La prise en charge de ISA EN IL T nouvelles missions et de nouvelles compétences a, U par exemple, engendré la création de la plateforme de compostage (3 emplois relocalisés sur le territoire). POST Pour veiller à stabiliser la structure, les élus ont souhaité COM tifié initier un audit interne, réalisé par D15 Conseils, à partir cer de janvier 2015. Le nouvel organigramme des services LE COMPOST CERTIFIÉ adopté par le comité syndical en fin d’année 2015, après AGRICULTURE présentation aux agents et avis favorable du Comité UTILISABLE EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE Technique Départemental, est maintenant mis en place. BIOLOGIQUE Parallèlement à cette réorganisation et avec l’appui du centre de gestion du département d’Ille-et-Vilaine, Depuis octobre 2015, le compost produit sur le site de la un règlement intérieur a été adopté, après avoir été lande de libourg à Guignen est certifié « matière fertilisante élaboré avec les agents en groupe de travail restreint. utilisable en agriculture biologique ». C’est le Bureau Veritas, VERS organisme certificateur agréé, qui a délivré le label. LA DÉMATÉRIALISATION Ce groupe est devenu officiellement le « Groupe Ce résultat est d’abord et avant tout, dû au choix des élus Transversal de Concertation » par délibération du pour le tri à la source des biodéchets. En effet, parmi les comité syndical du 2 juillet 2015. Il s’agit d’un « comité composts produits à partir des déchets fermentescibles, En 2015, le Smictom a mis en place technique interne » qui a la vocation de traiter des seuls ceux issus d’une collecte séparée des biodéchets la dématérialisation de la chaine comptable sujets d’organisation interne et de faciliter l’écoute et peuvent être éligibles à cette certification, la plus stricte et financière. Ainsi, les pièces comptables la circulation de l’information au sein de la collectivité. en la matière. (mandats de dépenses, titres de recettes, factures…) 3 autres facteurs contribuent à ce résultat : sont désormais acheminées vers le Trésor public • le geste de tri des usagers, par internet (protocole PESV2) et les bordereaux • le travail des agents : pour veiller à ne pas collecter sont signés électroniquement. de déchets indésirables, • un processus de production rigoureux sur le site de la lande de libourg. Pour promouvoir son utilisation auprès du monde agricole, le Smictom et la Chambre d’Agriculture d’Ille-et-Vilaine ont également cosigné une convention de partenariat. GOUVERNANCE PARTICIPATIVE : LE DÉVELOPPEMENT DE NOUVELLES LES DÉCHETS SONT FILIÈRES EN DÉCHÈTERIES L’AFFAIRE DE TOUS ! Initié en 2009 avec les associations du territoire pour Le Smictom a profité du renouvellement des marchés l’opération « Foyers Témoins » et formalisé en 2011 de traitement des déchets issus des déchèteries pour améliorer avec la constitution d’un Comité Consultatif Local leur valorisation en privilégiant le recyclage. Ainsi, depuis Déchets (CCLD), le mode de gouvernance des er le 1 décembre 2015, avec la mise en place de contenants et projets du Smictom s’est toujours voulu participatif. de bennes spécifiques sur l’ensemble des déchèteries, les films En décembre 2015, une trentaine d’associations du plastiques, le polystyrène et le plâtre ne sont plus incinérés territoire agissant sur des thématiques variées ont UN AGNEAU SUR LE SITE ou enfouis mais recyclés. Par exemple, l’entreprise Placo- répondu à l’invitation du Smictom pour s’impliquer Saint Gobain, implantée sur la commune de Guipry, récupère dans les projets liés à la question des déchets. DE LA LANDE DE LIBOURG le polystyrène. Cette matière première retrouve une seconde L’objectif de cette rencontre était de donner un vie dans des panneaux d’isolation des bâtiments fabriqués par nouveau souffle au CCLD. La démarche voulue par Carnet rose sur le site de la lande de libourg… l’entreprise. Une application locale et concrète d’économie les élus est de développer une action de territoire, Depuis plusieurs années maintenant, un petit durable et circulaire. de consulter les avis des usagers sur les actions troupeau de moutons d’Ouessant paît sur Par ailleurs, les déchets encombrants, qui étaient auparavant menées et de consolider les décisions prises. enfouis, sont dorénavant broyés et valorisés en produisant de les prairies de l’ancien centre d’enfouissement l’énergie par leur incinération. et permet de les entretenir. Au cours du mois d’avril 2015, la famille s’est agrandie avec la naissance d’un bel agneau. 4 5 Présentation Population desservie générale Nombre d’habitants par commune au 1er janvier 2016 Population Population Population Nom de la commune Nom de la commune Nom de la commune municipale municipale municipale Bain-de-Bretagne 7 512 La Bosse-de-Bretagne 629 Pancé 1 154 VALLONS DE GOVEN HAUTE-BRETAGNE BAULON Baulon 2 094 La Chapelle-Bouëxic 1 366 Pipriac 3 672 COMMUNAUTÉ LASSY Bourg-des-Comptes 3 234 La Couyère 508 Pléchâtel 2 692 BOVEL GUICHEN COMMUNAUTÉ CAMPEL DE COMMUNES DE Bovel 595 La Dominelais 1 307 Poligné 1 140 LOUTEHEL LA CHAPELLE- CHANTELOUP MOYENNE VILAINE BOUEXIC CREVIN GUIGNEN BOURG- LE PETIT ET SEMNON Bruc-sur-Aff 852 La Noë-Blanche 959 Sainte-Anne-sur-Vilaine 992 DES-COMPTES FOUGERAY SAINT- Fiche d’identité LES BRULAIS MERNEL SAULNIERES SENOUX LE SEL- Campel 487 Lalleu 601 Saint-Ganton 410 COMBLESSAC MAURE-DE- POLIGNE DE-BRETAGNE LA COUYERE LOHEAC BRETAGNE PANCE TRESBOEUF Lassy 1 504 Saint-Just 1 097 SAINT-MALO- PLECHATEL Chanteloup 1 788 Nom : Smictom des Pays de Vilaine SAINT-SEGLIN DE-PHILY LA BOSSE- LIEURON DE-BRETAGNE Comblessac 714 Le Petit-Fougeray 899 Saint-Malo-de-Phily 1 056 Adresse : Maison Communautaire LALLEU GUIPRY- 36 rue de l’avenir – 35 550 PIPRIAC BRUC- MESSAC BAIN DE BRETAGNE Crevin 2 588 Le Sel-de-Bretagne 998 Saint-Séglin 516 SUR-AFF PIPRIAC ERCE-EN- Tél.