Madre De Dios Basin, Peru (P
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%NVUEDELOBTENTIONDU %0$503"5%&-6/*7&34*5²%&506-064& $ÏLIVRÏPAR Université Toulouse III Paul Sabatier (UT3 Paul Sabatier) $ISCIPLINEOUSPÏCIALITÏ Sciences de la Terre 0RÏSENTÏEETSOUTENUEPAR Mélanie LOUTERBACH LE vendredi 24 octobre 2014 4ITRE Propagation du front orogénique Subandin et réponse sédimentaire associée dans le bassin d'avant-pays Amazonien (Madre de Dios, Pérou) %COLEDOCTORALE Sciences de l'Univers, de l'Environnement et de l'Espace (SDU2E) 5NITÏDERECHERCHE UMR 5563-GET / Institut Polytechnique Lasalle Beauvais $IRECTEURS DE4HÒSE Patrice BABY, Julien BAILLEUL et Martin RODDAZ 2APPORTEURS Michel LOPEZ, Jaume VERGÉS MEMBRES DUJURY: Patrice BABY (IRD), Julien BAILLEUL (Lasalle-Beauvais), Elton DANTAS (Brasilia), Jean GÉRARD (Repsol S.A.), Michel LOPEZ (Montpellier), Martin RODDAZ (Toulouse-UPS), Olivier VANDERHAEGHE (Toulouse-UPS), Jaume VERGÉS (Barcelone), Remerciements Voici la fin de « quelques » mois de rédaction. Une telle quantité de mots en tous genres est sortie de ma tête pour finir sur Word Microsoft, que j’aimerai ne plus avoir à écrire quoi que ce soit pendant quelques années. Je me fourvoie évidemment. Rien qu’hier, je pensais en avoir fini avec les ultimes corrections, et j’allais, émue, figer pour l’éternité mon manuscrit dans un pdf irréversible quand l’évidence m’a soudain sauté aux yeux : « Meeeeeeeeeeerde j’ai oublié les remerciements……. ». Eh oui car dans les remerciements on a le droit d’écrire un peu n’importe comment et même d’être grossière, dans une certaine mesure. Mais le but principal reste tout de même, si j’ai bien compris, de remercier toute la smala. Eh bien soit, me suis-je dit, remercions tout le monde. Ceux qui ne m’ont pas aidée à écrire, ceux qui m’ont corrigée tellement de fois que je ne suis plus sûre par moment d’être l’auteure de certains paragraphes, et même ceux qui n’ont jamais réellement compris ce que je faisais avec tous ces cailloux… ! Eh Oui ! J’ai bien eu un moment de blues post-rédaction, un moment honteux j’en conviens, au cours duquel je me suis dit « Vraiment ? Faut-il même remercier….mes directeurs de thèse ?!! ». Puis une vague d’émotion s’est emparée de moi, les souvenirs ont commencé à affluer et je me suis remémorée toutes ces missions de terrain passées ensemble, nos discussions houleuses, tout. Et j’ai repensé à toutes les personnes sans qui effectivement je n’aurais pas pu faire cette thèse. En effet, les remerciements sont de rigueur. Puis un problème premier s’est imposé à moi : oui, remercier tout le monde, d’accord, mais dans quel ordre ? Vais-je grouper les personnes par importance ? Ce serait totalement indélicat, et un casse-tête évident pour établir une telle hiérarchie. Les regrouper selon leur appartenance à un groupe socio-culturel ? Martin me poserait problème…Devrait-il entrer dans le groupe des Toulousains-rugbymen à l’accent du sud ? Ou bien dans le groupe des intellectuels trentenaires-grincheux à polo rose? Trop difficile. Pas assez de polos roses. La méthode graphique aurait été parfaite : une photo par personne ! Mais certains ne sont vraiment pas photogéniques…Alors j’ai finalement décidé que pour une fois je ne suivrai aucune méthode. Honnêtement, je ne sais pas ce que ça va donner…Mais ce qu’il y a de bien avec les remerciements c’est qu’il s’agit d’une zone de non-droit : on peut à peu près faire ce que l’on veut, il n’y a pas de règles, on ne peut pas nous évaluer sur ces quelques pages, et si le lecteur n’est pas content il ne peut s’en prendre qu’à lui- même d’avoir eu la curiosité de les lire. Je commencerai par remercier mes parents, qui se sont pourtant inquiétés de mes orientations académiques et demandés à plusieurs reprises « Mais quand va-t-elle vraiment commencer à travailler ? » (« C’est un travail, Maman !! J’ai signé un CDD !!! »). Ils m’ont tout simplement appris à m’intéresser à ce qui m’entoure, et mon père m’a appris à réfléchir par moi-même (merci Mimi !). Ça peut paraître dérisoire, dit comme ça, mais que c’est utile dans une vie !! Et maintenant que l’occasion se présente, Maman, vraiment, merci pour ta cuisine et tes gâteaux. C’est un régal pour l’âme. Ceux qui connaissent la maison Louterbach en conviendront j’en suis certaine. Je remercie aussi ceux qui ont eu confiance en moi très tôt, et qui m’ont permis de réaliser cette thèse en amont. Merci donc à Jean Gérard et à Julien Bailleul, qui ont porté et défendu ce projet de thèse dans les M. Louterbach (2014) |Remerciements 2 hautes sphères administratives et décisionnelles (sisi !), que ce soit à Repsol ou à l’Institut Polytechnique Lasalle Beauvais. Moment anecdote : saviez-vous que l’accord mutuel entre Repsol et Lasalle au sujet de la thèse se fit en haut d’une montagne des Pyrénées, lors de la rencontre fortuite et non planifiée Jean et Julien lors d’une randonnée? Merci à eux. Merci aussi à toute l’équipe de Lasalle Beauvais. Que de bons souvenirs !! Mes premières heures de cours en tant qu’enseignante, les moments de détente avec Julien D. et Loïc, les apéros chez Julien B. et Poupou…C’était le bon temps ! Merci aussi à Yannick, Thuan, Sébastien, Stéphane, Pascal, Olivier, Bastien et Michel-Bières. J’ai pourtant beaucoup critiqué Beauvais mais je me sens désormais comme chez moi en Picardie! Et rien n’aurait été pareil sans PH, évidemment. Au Pérou, merci à Willy Gil et Mayssa, qui nous ont toujours accueillis et hébergés, à Lima ou à Cuzco. Du coté Toulousain, je remercie toute l’équipe du laboratoire GET, et en particulier Ludo, à qui les doctorants manquent toujours un peu quand ils partent… Merci à Stéphanie Brichau, qui fut la première à me loger à Toulouse et qui m’a initiée au monde étrange de la thermochronologie et des traces de fissions (merci.. ?). Que de fous rires aussi pendant les missions de terrain ! Merci Steph ! Et puis je dois évidemment remercier Stéphane Brusset, d’abord pour son aide en structurale (c’est peu dire) mais aussi pour son tempérament ours-bourru que j’aime bien. Et puis surtout, merci aux co-bureaux et autres acolytes !! Jean- Louis, Guillaume et Angela tout particulièrement. J’ai aimé partager ces trois années à vos côtés, c’était parfait. Jean-Louis et sa musique des années 80, Guillaume et ses blagues souvent drôles, Angela et ses questionnements intérieurs (souvent drôles eux aussi). Et puis Merci à Manuel Henry (de son nom entier), hétérosexuel de son état, par nature et par choix (c’est dit Manu !!). Quel art ! Quelle manière de manier la pipette et les solvants! Ma vie à Toulouse n’aurait pas été la même sans toi. Merci aussi à Sophie, Caro, Alysson, Masbou, Maria, Vincent, Léandre, Alex, et tous les autres ! Spéciale dédicace à Adrien, avec qui nous avons partagé bien des douleurs et quelques épopées Péruviennes. Et à Alexandra Robert, qui ne peut apporter que du bien au labo. Elle est tellement drôle vous comprenez… Que serait une vie sans amis ? Pour leur humour (qui va au-delà du trente-sixième degré), leur bonne humeur et leur amitié sincère, je remercie en particulier Alizée, Chonchon, Clémentine, Leslie, copain Canard-Dimitri et évidemment Eugénie Pérouse. Et Angela bien sûr, mais elle a déjà été citée plus haut alors je ne peux pas la mettre dans deux catégories, je suis mal à l’aise avec les doublons ! Ma nouvelle vie commençant tout juste à Madrid, je tiens à remercier tout particulièrement Brice et Narimane pour leur bonne humeur et leur soutient (les pauses thés sont nécessaires à l’équilibre de l’employé), sans oublier Roger, Cédric et Amandine, Alexandre, Thomas et tous les autres. Enfin, parce qu’il le faut bien n’est-ce pas ? Je remercie mes directeurs de thèse. Eh oui, malgré les quelques mésententes par-ci par-là, il faut bien avouer que c’est grâce à eux que j’ai pu réaliser cette thèse. C’est avec eux que j’ai découvert le Pérou, l’Amazonie, le terrain en bateau. A chacun d’eux je dois quelque chose de différent, mais merci à eux trois. Merci à Patrice pour son soutient, son hospitalité, ses histoires mystiques qui font parfois peur (« Vraiment, tu as été capturé par des indiens à moitié nus avec des arcs et des 3 Remerciements | M. Louterbach (2014) flèches ??! » ) et ses corrections tardives (il fallait que je le dise, c’est sorti tout seul !). Merci à Julien pour sa patience, sa gentillesse, sa rigueur scientifique et tout ce qu’il m’a appris pendant ces trois (quatre) années. Je n’oublierai pas la découverte du Machu Pichu avec toi ! Et puis ne la cachons pas, je suis parfois exaspérante et obstinée, ça n’a pas dû être facile tous les jours de me gérer…La palme revient donc à Martin, que j’ai souvent rendu chèvre, il est vrai. Que j’ai appelé presque tous les deux jours, même une fois installée à Madrid, afin d’avoir des précisions sur telle ou telle chose. J’ai même été jusqu’à l’appeler pour lui demander « Mais Martiiiiiin Pourquoi tu as encore fait des corrections sur cette partie ??! Tu ne vas donc jamais t’arrêter ?! ». Bon, c’est difficile les corrections…Je demande pardon (ça sert aussi à ça les remerciements). Mais tu as toujours été là pour moi, et tu m’as soutenue au jour le jour, alors merci. Je n’aurais pas dû gratter tes piqures de moustique sur le terrain, c’est l’unique chose dont je me sente coupable.