1917. 1713 de à communale maison de office l’étage fit dont Baron, l’Hôtel du s’élevait rue la de Au coin l’école (1825) et communale. l’église primitive construites également Ysont colza. le ou blé le àmoudre àfoulon, moulins leurs demeures. de lavillebelgeavantguerre1914-1918.Lesgrandesfamillesyont le nomdelarue)etformecentrepolitique,administratifcommercial Cerné pardeuxponts,cetespaceconstitueunréduitaiséàdéfendre(d’où Au Moyen-Âge,cettepartiedelavillesesitueentreLysetMorte-Lys.

A gauche, la rue des Moulins, ainsi nommée vu l’ancienne présence des des présence l’ancienne vu nommée ainsi Moulins, des rue la A gauche,

La rue du Fort rue La SurlarivegauchedeLys,CominesBelgique des frères Brussin, exploité de 1921 de à1984. exploité Brussin, frères des

A gauche, la façade du Royal Palace, cinéma cinéma Palace, Royal du façade la A gauche, Jusque dans les années 1970, la famille possède possède 1970, famille la années les dans Jusque également un cinéma sur la place de Comines Comines de place la sur cinéma un également (le Plazza). Plazza). (le France

Le rond-point du Pont-NeufLe Il estl’emplacementd’unpetit pont détruitlorsdetravaux Lys. Celle-ci,probablement d’assainissement delaMorte- creusée auXII a étévoûtéeen1967. alimenter lesmoulinsàfoulon,

La presseàrubanrappelle le passérubanierdela ville. e sièclepour

Degroux (chef defile duréalisme social), natifs delarégion. d’Eugène Verboekhoven(peintre animalier derenom)et Charles du Centenairede laBelgique.Lasalleduconseilcontient desœuvres L’Hôtel deville, stylenéo-gothique,estinauguré le27juillet1930lors attribués ausaint. bombardements en1917.Cettedernière contientlecrâneetl’osiliaque fresque consacréeàsaintChrysole etlachâssedusaint,sauvéedes De stylegothiquecistercien(1924), ellerenfermenotammentune L’église, commecelledeComines France,estdédiéeàsaintChrysole. Hitler. de aupouvoir l’accession avant figure y il car nazi d’allégeance auparti signe n’est un pas ornement Cet façade. la de svastikas cinq les par intrigué est 1940, Hitler 26 juin le à Comines,

A droite, la façade du café « Au Téléphone ». Lors de son second passage passage second son de ». Lors «Au Téléphone café du façade la A droite,

La place Sainte-Anne place La La rue du Faubourg rue La enseigne de la ville dont la première mention date de 1430. de date mention première la dont ville la de enseigne pour les accouchements laborieux. Elle est aujourd’hui aujourd’hui est Elle laborieux. accouchements les pour invoquée Grâces, de Notre-Dame de 1963, statue la vers préservée en l’église Saint-Chrysole, place Sainte-Anne. place l’église en Saint-Chrysole, préservée

chapelle dite «Meire » (XVI » «Meire dite chapelle Morte-Lys.

allait duruisseauHoccartjusqu’aupetitpontsurla Le préfixe«fau»signifiehorsde».bourgmédiéval

Sur le coin à droite, le café « Le Chat », plus vieille vieille », Chat plus «Le café le àdroite, coin le Sur gare. notamment grâceaudéveloppementduquartierdela Peu àpeu,lavillebelges’étendverslenord,

A gauche, la rue de la Procession où se trouve la la trouve se où Procession la de rue la A gauche, e siècle). Celle-ci abrite jusque jusque abrite Celle-ci siècle). comblés. sont découvertset Guerre mondiale lors delaSeconde des abriscreusés de laplaceen1999, d’aménagement Lors destravaux Anne. dédiée àSainte- une chapelleyest Jusqu’en 1907, recèle aujourd’huiunpetitmuséeconsacréaux«Pionniers»allemands. Le bunker,érigéparlesAllemandslorsdelaPremièreGuerremondiale, toujours productiveactuellement. l’histoire textile des deux Comines et la découverte de l’industrie rubanière fonctionnement. Savisitepermetuneplongéedeprès300ansdans du CentreCulturel.Ilabriteunecollectiondemétiersàrubanenétat Le muséedelarubanerie,inauguréen1985,estsituéprèsducomplexe au XIII Le vieuxrêvedeliaisonentreYpres,lamerduNordetLysremonte A gauche, belle vue sur le beffroi de Comines France. France. Comines de beffroi le sur vue belle A gauche, textiles. entreprises quelques face, En frontière. pont le jouxtant et Comines à 1865, de située écluse l’ancienne remplacent Elles Bas-. de àDunkerque. anglaises troupes des rembarquement le menace qui l’avance allemande freiner de mission avec canal le sur troupes des dépêche britannique expéditionnaire corps du commandant effondrements en1913.Jamaislecanalneverranaviguerdebateaux. pratiquement achevé,denouveauxmouvementsterrainentraînentdes les mouvementsdeterrainetreprisen1910.Alorsquelecanalest

A droite, les nouvelles écluses mises en service en 1983 sur le territoire territoire le 1983 en sur service en mises écluses nouvelles les A droite, Le 1940). au28 mai (26 canal du bataille la de monument le A droite,

La rue des Arts des rue La Les abords de la Lys la de abords Les Comines-Ypres Canal Le e siècle.Lespremierstravaux(1864)sontinterrompuspar Collection M. Bouckhuyt ©Collection 1900 vers Comines de écluses Anciennes Avec le soutien du Commissariat Général au Tourisme de la Région Wallone, la Maison du Tourisme de la Picardie et la ville de Comines-Warneton Photo de couverture : Ancien Pont-Levis vers 1900 © Collection M. Bouckhuyt Tél :0033(0)320 14 2151 Maison dupatrimoine Office de Tourisme www.ville-comines.fr 59560 Comines(F.) 4/6, rue duPont4/6, rue www.villedecomines-warneton.be Tél :0032(0)5655 5600 7780 Comines(B.) 21, cheminduMoulin Soete de Comines-Warneton Office du Tourisme

Réalisation : Service communication © Ville de Comines France - 2011 (Comines France) de laGrand Place Jardin public : Départ Environ 1h30 Durée : Comines au filrues des de Saint-Chrysole à Saint-Chrysole transfrontalier Circuit Au Moyen-Âge, Comines se développe essentiellement sur la rive droite de la Lys (aujourd’hui française) autour de Selon la légende, en 303, alors qu’il prêche à , il est frappé à la tête par des soldats. Le martyr vient mourir à Comines en tenant dans « Au téléphone» la collégiale Saint-Pierre, du château et de la maison commune. Au fil des ans, la ville s’étend sur la rive gauche Monument ses mains sa calotte crânienne. L’église abrite (aujourd’hui belge). La séparation se fait en plusieurs étapes, mais c’est le traité d’Utrecht qui fixe définitivement de nombreux vestiges historiques : le gisant la Lys comme frontière en 1713. Il faut cependant attendre la Révolution française, puis la création de la Belgique du tombeau de Jean II de la Clyte, les sarcophages conservant les restes de Jean en 1830, pour voir les deux villes véritablement séparées. Le développement de l’industrie rubanière dans la 1er de la Clyte et les viscères de Charles de seconde moitié du XIXe siècle resserre à nouveau les liens entre les deux villes qui connaissent un important flux Cröy, tous trois seigneurs de Comines. journalier de travailleurs frontaliers. Situées à quelques kilomètres du front et occupées par les troupes allemandes, Sur la base du campanile de l’église, « Le Chat » les deux Comines voient leur population évacuée en mai 1917 et sont rasées par les bombardements britanniques. s’inscrit le Monument aux Morts. Aujourd’hui, les deux villes mènent ensemble de nombreux projets, dans le cadre de ce qu’on appelle « Comines L’Hôtel de ville (inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments Europe ». A travers les rues, les lieux et les monuments, les deux Comines nous racontent leur histoire commune Historiques) et le beffroi (Patrimoine mondial de l’Unesco), où se mêlent traditions et passions. reconstruits en 1929, sont l’œuvre de Louis-Marie Cordonnier, célèbre architecte originaire de la région. A l’intérieur de l’Hôtel de ville, les

vitraux arborent les armoiries des seigneurs successifs de Comines mais Piles de l’ancien pont évoquent aussi la création de la « Fête historique des Louches » et l’activité Rue de la Procession de chemin de fer Sur la rive droite de la Lys, Comines France Le buste de Philippe de Commynes textile, en particulier la rubanerie, spécifique à Comines.

Dans le jardin avoisinant l’église Saint-Chrysole, un buste représente Le jardin public de la Grand Place La Maison du patrimoine « André Schoonheere » Philippe de Commynes (1445-1511) qui passa son enfance au château de Comines avant de devenir un célèbre mémorialiste, diplomate et conseiller « Façade Pour faire face aux invasions barbares, un château est édifié au IXe siècle Plusieurs maisons relient en courbe la Grand Place au pont frontière. Royal Palace » au service de Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, puis des rois de aux abords de la rivière. Symbole des seigneurs de Comines, il est rebâti Parmi elles, la Maison du patrimoine « André Schoonheere » (grand France Louis XI et Charles VIII. en 1385 puis fortifié par Vauban au XVIIe siècle avant d’être détruit en historien passionné par Comines) illustre bien le style architectural de la 1674. Le pan de mur qui séparait l’ancienne église et l’ancien hôpital des région. Depuis 2002, le bâtiment est dédié à la culture, au tourisme et au A gauche, la rue commerçante d’Hurlupin, la plus ancienne rue de Rue des Moulins jardins du château est toujours visible dans le jardin public. patrimoine (les archives historiques de la ville y sont conservées). Comines et la seule à avoir conservé son tracé d’origine, en courbe. Le nom « Horlepin » signifierait « Hors les Pins ». Autrefois, ceux-ci marquaient Avant de franchir le pont, sur la gauche, la rue Pierre Housez évoque le La rue du Château l’une des limites de la ville. Belle vue souvenir de ce résistant cominois, décoré de la Croix de Guerre avec Palme. face aux entreprises Gravement blessé par l’occupant, il succombe le 4 septembre 1944, deux textiles et sur le beffroi Au cours du XIXe siècle, un quartier s’y épanouit et marque l’extension de La Grand Place jours avant la libération de Comines par les Alliés. la ville en dehors de ses limites historiques. Rue Pierre Housez La Grand Place est reconstruite après la Chaque année, deux simulacres de tours encadrent Le pont frontière Rue d’Hurlupin Première Guerre mondiale alors que la l’entrée de la rue du château à l’occasion de ville n’est plus qu’un champ de ruines. la « Fête historique des Louches » qui Au cours des siècles, de nombreux ponts sur la Lys L’église et l’Hôtel de Ville, jadis côte à envahit le quartier et rappelle le sont tour à tour construits puis détruits. A partir du côte, se font désormais face. e passé médiéval de la ville ! XIX siècle, ils sont le point de passage de centaines de Nouvelles frontaliers travaillant dans les rubaneries de Comines écluses L’église actuelle (Monument France. La douane est supprimée en 1993, mais de Historique) adopte, dès 1922, un style nombreuses anecdotes de contrebande restent ancrées néo-byzantin rappelant les premières dans les esprits. Le pont actuel (1951) a été rehaussé de églises chrétiennes. L’usage du béton 76 cm au cours de l’été 2010 pour permettre le passage armé est une innovation et favorise le de bateaux de plus gros gabarit. percement de grandes ouvertures et le jeu des volumes. Au loin à droite, les piles de l’ancien pont de chemin de fer qui enjambait la Lys. Inaugurée en 1876, la ligne L’église est dédiée à saint Chrysole ferroviaire Comines Belgique vers via Comines qui fonde une communauté France est fermée en 1963. chrétienne à Comines au IIIe siècle.