Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 FÉDÉRALE 1 ÉLITE : MASSY CREUSE L'ÉCART, NEVERS SE RELANCE https://www.midi-olympique.fr - MIDI OLYMPIQUE - 12 FÉV 2017 - 19:02 Deux matchs en retard de la 14ème journée se jouaient ce week-end. Massy s'est imposé à Chambéry (9-27), alors que Nevers revient victorieux de son déplacement à Romans (21-34). Massy avait l'occasion de creuser l'écart en tête de la Fédérale 1 Élite. Le club de l'Essonne ne l'a pas manqué. Sur la pelouse de Chambéry, le RCM ont réalisé un nouveau festival offensif. Et cela, une semaine après la victoire bonifiée à Valence (6-29). Massy a une nouvelle fois inscrit quatre essais à l'extérieur pour s'imposer largement (27-9). Avec ce succès et le bonus offensif, les Ciel et Noir prennent seuls les commandes de leur poule. Ils comptent désormais 5 points d'avance sur l'US Bressanne. NEVERS REMET LA MARCHE AVANT Battu la semaine dernière à Aix-en-Provence, Nevers s'est imposé à Romans contre Roval Drôme (21-34). Avec ce succès, ils reviennent à hauteur de à la troisième place du classement. A Valence, la partie a été plaisante avec pas moins de sept essais inscrits. Les locaux en ont inscrit trois contre quatre pour les visiteurs.

Les Massicois font le plein https://www.essonneinfo.fr - Par Gérald Delin lundi 13 février 2017 à 10:50Rugby : RCME Le RCME est seul leader de cette Poule Elite de Fédérale 1. A égalité avec Bourg-en-Bresse depuis plusieurs journées, Massy s’est emparé seul de la tête ce dimanche en remportant son match en retard face à Chambéry. Solides, et inspirés devant, les Massicois sont repartis de Savoie avec le bonus offensif qui leur permet de compter 5 points d’avance sur les Burgiens, avec un match en retard. Une très bonne opération donc pour les hommes de Didier Faugeron, une semaine avant de recevoir Tarbes, un mauvais souvenir pour Desassis et ses partenaires lors de la phase aller. 15e journée le dimanche 19 février prochain, 15h, au Stade Jules Ladoumègue de Massy face à Tarbes. SOC / Massy (9 / 27 ) du 12/02/2017 http://defours.com/ Résumé du match SOC / Massy 9 à 27 en faveur des visiteurs... retour sur les temps forts en video https://www.youtube.com/watch?v=aaaCqSLQJzA&feature=youtu.be

SOC rugby :INSTANTANÉ Defours.com - Soc /Massy https://www.facebook.com/socrugby/videos/944729065628396/ https://www.facebook.com/socrugby/videos/944743898960246/

Réaction du Président de Massy François Guionnet. Interview en direct par Defours.com partenaire du club ! https://www.facebook.com/socrugby/videos/944821005619202/

L’USON renoue avec le succès à l'extérieur, mais pêche en défense http://www.lejdc.fr - Publié le 13/02/2017 - Vincent Darbeau Nevers s’est enfin imposé à l’extérieur, ce dimanche 12 février, à Romans (21-34). Mais la détermination et le bonus offensif manquent encore à l’appel. L'USON a regoûté à la victoire en déplacement, après quatre mois de disette. Et ça devrait suffire au bonheur de la troupe de Xavier Péméja. Mais cette victoire à Romans (21-34) laisse comme un goût amer. Celui d'une équipe qui n'a pas été à son niveau défensivement, surtout en première mi-temps. Celui d'un

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 groupe qui n'a pas su se transcender, en fin de match, quand il restait dix minutes pour aller arracher le bonus offensif qui aurait effacé toutes les scories du jeu neversois.

Seilala Lam perce et tente de donner après contact à Isei Colati , sous les yeux de Victor Coria, qui a fait sa première apparition sous le maillot de l’USON, hier. © photo fabien belloli Nevers s’est enfin imposé à l’extérieur, ce dimanche 12 février, à Romans (21-34). Mais la détermination et le bonus offensif manquent encore à l’appel. L'USON a regoûté à la victoire en déplacement, après quatre mois de disette. Et ça devrait suffire au bonheur de la troupe de Xavier Péméja. Mais cette victoire à Romans (21-34) laisse comme un goût amer. Celui d'une équipe qui n'a pas été à son niveau défensivement, surtout en première mi-temps. Celui d'un groupe qui n'a pas su se transcender, en fin de match, quand il restait dix minutes pour aller arracher le bonus offensif qui aurait effacé toutes les scories du jeu neversois. La semaine précédente, Massy n'avait pas failli face à Valence, en vertu de l'alternance entre les deux stades de l'entente drômoise. Les leaders de la poule Élite étaient rentrés en Île-de-France avec le bonus offensif, comme ils l'ont refait hier, à Chambéry, confortant l'idée que Nevers pouvait et devait faire mieux, dans une course à la première place qui se jouera à très peu de chose. Une conquête solide mais des Neversois trop gourmands Bien sûr, tout n'est pas à jeter. On ne gagne jamais à l'extérieur en marquant quatre essais sans un minimum de qualités. D'abord, la conquête fut solide. La mêlée neversoise n'a pas traîné pour dominer son adversaire et la touche a été propre, malgré un lancer mal assuré par Lam. Ensuite, il y a toujours ces individualités qui mettent à chaque fois l'USON dans le sens de la marche. Lam, Fabrègue, Faleali'i ou San Martin ont souvent trouvé des brèches. Mais, et c'est là que les reproches commencent, les Neversois se sont montrés trop gourmands, tentant des passes après contact très compliquées, relançant le jeu au lieu de s'appuyer sur une construction plus classique, quand la puissance de l'USON prenait le pas en seconde période. Et puis, surtout, c'est la défense, en première période, qui a été catastrophique. La percée de Perkins sur le deuxième essai de Romans-Valence en est l'expression la plus flagrante, avec trois plaquages manqués sur le premier centre drômois. Heureusement que Lam a marqué juste avant la pause, sans quoi la colère du manager neversois aurait été encore plus grande dans le vestiaire. On est obligé de gueuler tout le temps. C'est pénible. « On est obligé de gueuler tout le temps. c'est usant. On manque de détermination, comme à Aix », pestait Xavier Péméja à l'issue de la rencontre. « Gagner ici, c'était le minimum. Et je suis déçu du contenu. On ne

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 sent pas une équipe qui donne tout. C'est pénible. » Il ne se dit pas désabusé, juste déçu. « On devrait parler de jeu. On a tout. On a une belle mêlée, une bonne touche. Mais on parle de détermination… » Ce goût amer dans la bouche de la victoire. LA FICHE ROMANS-SUR-ISÈRE (stade Marcel-Guillermoz). Romans-Valence\Nevers, 21-34 (évolution du score : 0-7, 0-10, 7-10, 14-10, 14-17, mi-temps ; 14-20, 14-27, 14-34, 21-34). Points terrain : 0-4. Arbitre : M. Darche (Île-de-France). Les points : pour Romans-Valence, 3 essais de Fontaine (17 e'), Besson (32 e') et Lacour (80 e'), 3 transformations de Vernissat ; pour Nevers, 4 essais de Vallejos (8 e'), Lam (40 e') et Bonvalot (51 e et 71 e'), 3 transformations de Duvallet (8 e, 40 e et 71 e') et Vuillemin (51 e'), 2 pénalités de Duvallet (14 e et 43 e'). Carton blanc : à Romans-Valence, Leso (65 e'). Romans-Valence : Royer (Vaudaine, 58 e'), Larrieu (cap., Colliat, 44 e', Humbert, 59 e'), Goze (Leso, 38 e') - Souquet (Soqeta, 58 e'), Gauche - Bezert, Loutongo, Fontaine - (m) Camberabero, (o) Romain - Daoudou (Mege, 48 e'), Perkins (Lacour, 56 e'), Quinnez, Besson - Vernissat. Nevers : Ndiaye (Colati, 50 e'), Lam, Merabet (Coria, 57 e') - Vallejos (Gonzalez, 72 e'), Basson (cap.) - Kazubek (Salavea, 57 e') e, Fabregue, Bastide (Briatte, 50 e') - (m) Faleali'i (Bruzulier, 72 e'), (o) Vuillemin - Bonvalot, Herry, Drouard (Maya, 74 e'), San Martin - Duvallet. L'USO Nevers gagne à Romans mais sans le bonus offensif http://www.lejdc.fr - Publié le 12/02/2017 à 15h58

Auvasa Falealii a été l'homme du match côté USON. © Siège NEVERS Mission accomplie pour les Neversois ce dimanche 12 février sur le terrain de Valence-Romans. Ils ont obtenu leur seconde victoire à l'extérieur qui les fuyait depuis longtemps (21-34). Mais ils ne sont pas parvenus à prendre le bonus offensif. La victoire (21-34) mais sans le point de bonus offensif. Pour l'USO Nevers, le bilan de ce déplacement à Romans est plutôt bon mais aurait pu être meilleur encore, ce dimanche 12 février. Les Neversois ont inscrit quatre essais, contre trois à leurs adversaires. La première période a été irrégulière du côté usoniste, avec cinq bonnes minutes en début et en fin mais aussi beaucoup de ballons relachés et d'erreurs individuelles de défense. La seconde période fut du même acabit. Heureusement, la mêlée neversoise a dominé son homologue. Un Falealii en très grande forme a fait la différence derrière un paquet d'avants conquérant par intermittence. le direct de Romans-Valence / USO Nevers

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 Le VRDR chute http://www.ledauphine.com - Publié le 12/02/2017 à 19:49

Nouvelle défaite pour Le Valence Romans Drôme Rugby à domicile, cette fois face à Nevers. Photo Le DL/Stéphane MARC En poule Elite de Fédérale 1, le VRDR a subi après Massy un nouveau revers contre un cador de la division, Nevers en l'occurrence. Les Bourguignons se sont imposés cet après-midi 34-21 au stade Guillermoz de Romans avec quatre essais contre trois. Malgré un courage constant et une belle défense en première période, les Damiers n'ont pu contester la supériorité des Neversois mais sont parvenus en toute fin de match à leur ôter le bonus offensif. La réaction de Grégory Tournayre après la défaite du VRDR contre Nevers (21-34) http://lesportdauphinois.com - Clément Chossat • 2017-02-12 19:54

Le VRDR y a cru. Menant au score en fin de première période, les romano-valentinois ont malheureusement craqué en seconde période (21-34) contre une belle équipe de Nevers. Pour #LSD, l’entraîneur Grégory Tournayre réagit à cette défaite. Quel est ton sentiment après cette défaite contre Nevers ? Est-ce le même sentiment qu’après la défaite contre Massy la semaine dernière ? On rencontre encore une équipe de haut de tableau qui joue la montée en Pro D2. On a eu vraiment une belle équipe de Nevers mais je pense qu’on a vu aussi une belle équipe du VRDR, qui a mis du coeur et les tripes.

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 Après, on récupère encore de nombreux pépins. Mais le niveau de la confrontation fait aussi que nous y laissons des plumes. Maintenant, on va bien récupérer pour avoir le même esprit jusqu’à la fin de la saison. Offensivement, l’équipe a fonctionné, c’est un signe positif pour les prochaines rencontres ? Cela fait vraiment du bien. Pour les joueurs, cela valide le gros travail effectué. Maintenant, nous travaillons vraiment sur l’avenir. C’est un groupe qui se forme avec un état d’esprit qui est présent. On sait vraiment sur quoi on veut tendre. Si on veut tendre sur des équipes comme Massy et Nevers, on voit le travail qu’il reste à effectuer. La semaine prochaine, un véritable choc vous attend contre Chambéry, important pour la fin de saison ? On prend vraiment match après match. Déjà, on va faire le point cette semaine sur les différentes blessures. Cela fait quatre matchs que nous laissons de plumes. Maintenant, on va continuer et bien se préparer pour ce match contre Chambéry. LA RÉACTION DE DAVID VAUDAINE APRÈS VRDR – NEVERS (21-34) http://lesportdauphinois.com - Clément Chossat • 2017-02-13 18:30 Le VRDR progresse de semaine en semaine. Après avoir réalisé de gros matchs à l’extérieur contre Auch ou Limoges, l’entente drômoise a cette fois-ci tenu tête pendant plus d’une mi-temps à Nevers. Après cette défaite honorable, David Vaudaine, pilier du VRDR est revenu sur cette défaite pour #LSD. https://vimeo.com/203789988 La réaction de David Vaudaine après VRDR – Nevers (21-34) from LSD – Le Sport Dauphinois on Vimeo. Après l'appel aux dons réussi, le FCAG a «encore besoin de vous» http://www.ladepeche.fr - Publié le 12/02/2017 à 08:14 - Christophe Zoia

Le club appelle les supporters à donner de la voix lors des matchs à domicile. Samedi, le FCAG reçoit Aix en Provence, qui était venue s'imposer en 2014./Photo DDM archive Sebastien Lapeyrère Le club appelle les supporters à donner de la voix lors des matchs à domicile. Samedi, le FCAG reçoit Aix en Provence, qui était venue s'imposer en 2014./Photo DDM archive Sebastien Lapeyrère Dans un communiqué, le FCAG fait le bilan de l'opération sauvetage. Elle est un «grand succès», avec 800 donateurs. Mais les dirigeants cherchent de nouveaux partenaires pour assurer l'avenir en Poule Élite de Fédérale 1.

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 800. C'est le nombre à retenir du communiqué que vient de diffuser le FC Auch Gers. Le club de rugby auscitain a en effet pu compter sur «plus de 800 soutiens», ce qui a permis au club «d'atteindre 100 % de ses objectifs et de bénéficier d'une manne financière importante, qui a compensé la défaillance d'une échéance de notre partenaire.» Rappelons que «l'opération sauvetage» avait été lancée au tout début de l'année : il fallait d'urgence 100 000 euros au club. L'essai a donc été transformé, sans que l'on en sache plus sur les sommes recueillies lors de la campagne d'appel aux dons, la vente aux enchères des maillots et via le financement participatif. L'argent recueilli devrait en tout cas permettre de terminer la saison dans de bonnes conditions. Rappelons toutefois que la dette cumulée du club s'établirait à plus de 500 000 euros. Contacts au-delà du Gers Face à cette situation, les dirigeants quinzistes déclarent chercher de nouveaux partenaires financiers : «Nous sommes ouverts à toutes nouvelles entreprises ou sociétés qui souhaiteraient s'impliquer, dans l'avenir et dans le Gers, en investissant au sein du FCAG». Ils assurent même avoir des contacts à Auch, dans le Gers et même ailleurs en France, qui «peuvent aboutir dans les mois à venir.» Bref, «nous travaillons à assainir la situation économique du club, pour repartir sur un budget qui nous permettrait de continuer notre aventure en Poule Élite de Fédérale 1 sur la saison 2017-2018.» Cela dit, et c'est l'une des informations importantes de ce communiqué, «l'ensemble de l'équipe dirigeante se réserve la possibilité de démarrer la saison 2017-2018, en Fédérale 1 Jean Prat, si les conditions économiques et budgétaires, ne permettent pas au FC Auch Gers de répondre au cahier des charges de la Poule Élite.» Descendre d'un -petit- cran pour éventuellement jouer dans la même poule que Lombez-Samatan n'est donc plus exclu. Mais les «contacts» entre le FCAG et d'éventuels futurs partenaires financiers et le potentiel nouveau format de la poule Élite de la saison prochaine laissent encore des marges de manœuvre au club. D'où l'appel du FCAG à ses supporters et partenaires : «Nous avons encore besoin de vous». Une Saint Valentin sportive Le FC Auch Gers poursuit ses journées très spéciales lors des rencontres à domicile. Samedi 18 février, le club propose une après-midi sur le thème de la St-Valentin, à l'occasion de la réception de Provence rugby, 3e de la poule Élite de Fédérale 1. Dès 12 h 30, samedi, un repas d'avant-match est organisé (18 €, vin et café compris). Les équipes B s'affronteront à 16 h 30, les équipes fanions à 19 heures. Entre les deux matchs, les dames se verront offrir des fleurs et du maquillage gratuit. Par ailleurs, deux places sont à gagner pour ce match sur la page Facebook du FCAG… La mêlée au rugby : une gigantesque secousse sismique entre deux judokas à 8 têtes http://rugby-en-melee.com/melee-symbole-sacre-rugby-francais/ - par Frédéric Bonnet Ce n'est pas si souvent qu'on peut lire un article aussi fouillé sur la mêlée ! A diffuser largement aux amoureux de notre sport. LE RUGBY EN MÉLÉE / LE RUGBY LE SPORT OÙ LES AVANTS DONNENT DE TEMPS EN TEMPS LA BALLE AUX ARRIÈRES, MAIS PAS TROP SOUVENT. Merci pour leur aide précieuse à Régis Sonnes, le directeur rugby du collège de « Bandon Grammaire School » et entraîneur de l’équipe senior du Bandon RFC (club) et en charge du développement de ce club, à Olivier Nier directeur de l’IFER (institut de formation de TECH XV) et organisateur du séminaire des entraineurs de rugby de Villard de Lans en 2016 et à Nicolas Barbaz entraineur des avants et de la mêlée du centre de formation et des Crabos du club de Rugby de Bourg en Bresse en poule Elite de la Fédérale 1. Merci aussi à mon ami physicien, qui se reconnaitra…...... la suite : http://rugby-en-melee.com/melee-symbole-sacre-rugby-francais/

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Thibault Duvallet, buteur de l’USON : "Pas la même motivation à l'extérieur" http://www.lejdc.fr - Publié le 11/02/2017 - Vincent Darbeau

Thibault Duvallet est le deuxième réalisateur de la poule Élite, avec 126 points marqués. © Photo Fabien belloli

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 L’USON devra gagner, dimanche 12 février à Romans, pour croire encore à la première place. Pour l’arrière et buteur Thibault Duvallet, qui revient en équipe premier, les Neversois n’ont peut-être pas la même motivation à l’extérieur qu’au Pré-Fleuri. Blessé aux adducteurs depuis janvier, Thibault Duvallet a effectué son retour sur les terrains, dimanche 5 février, à Aix, avec la réserve de l'USON. L'arrière et buteur neversois réintègre l'équipe A pour le déplacement à Romans, ce dimanche, à 14 h. Un déplacement qui sera, comme les deux suivants (à Aubenas, le 26 février, et à Auch, le 26 mars), celui de la dernière chance dans la course à la première place. Alors que Nevers n'a gagné qu'un seul de ses cinq premiers déplacements, il faudra probablement faire le plein lors des trois derniers pour décrocher la première place synonyme de montée directe en Pro D2. Pour l'ancien joueur de Bordeaux-Bègles et Mont-de-Marsan, qui joue, à 30 ans, sa quatrième saison à l'USON, où il a encore une année de contrat, il faudra mettre la même envie à l'extérieur qu'au Pré-Fleuri. Comment s'est passé votre retour sur les terrains ? Déjà, je suis revenu dans les temps et tout va bien. J'ai joué quatre-vingts minutes sans problème. Ça m'a permis de me remettre dans le bain car, avec la réserve, on joue avec les mêmes systèmes de jeu que l'équipe première. On a beau faire du physique, rien ne remplace les matches. Vous êtes passé cette année de l'ouverture à l'arrière. Est-ce un repositionnement définitif ? Cette année je joue arrière. Il y a Fred Urruty et Nicolas Vuillemin à l'ouverture. Ça s'est décidé comme ça. Ce qui m'importe, c'est de jouer. Comment allez-vous aborder ce déplacement à Romans, après la défaite à Aix ? On n'a plus le droit à l'erreur. Il reste six matches. On doit les prendre les uns après les autres et s'enlever de nos têtes que c'est à l'extérieur. Pour vous, les mauvais résultats à l'extérieur sont donc dus au mental et pas au jeu ? Oui. Peut-être que, à l'extérieur, on n'a pas la même motivation qu'à domicile, où on joue devant la famille. Dans le jeu, il n'y a pas de différence. Il faut surtout qu'on mette plus d'envie que nos adversaires. Mais les équipes adverses sont, elles aussi, à leur maximum. On rigole bien, on bosse très bien. C'est ça le pire ! Qu'est-ce qui a évolué par rapport à l'an dernier ? Xavier Péméja a changé notre jeu et on a bien absorbé ces nouveautés. L'équipe a plus de qualité aussi. On vit toujours bien ensemble, on rigole bien, on bosse très bien. C'est ça le pire ! Le vrai changement, c'est que ce n'est pas la même Fédérale 1 que l'an dernier. Avant, on avait du mal lors des gros déplacements car on en jouait très peu. Cette année, c'est différent, il n'y a pas de petites équipes. On l'a vu à Chambéry, où on n'a même pas ramené le bonus défensif. Il faut tout le temps être à 120 %. Vous allez retrouver votre rôle de buteur. Est-ce une pression supplémentaire, surtout à l'extérieur, quand les scores sont serrés ? Moi, je ne sens pas plus de pression. Bien sûr, on sait que ça peut se jouer à deux ou trois points. Alors on bosse un peu plus dans la semaine. Et puis il y a des jours avec et des jours sans. On ne peut pas l'expliquer, mais on le sent assez vite. Dans ces cas-là, comme ça m'était arrivé à Massy, on change de buteur. Quelle est la fréquence d'un entraînement pour les buteurs ? C'est variable. On fait deux, trois ou quatre séances par semaine, en plus des autres entraînements. On travaille les tirs au but, mais aussi les autres coups de pied. On ne peut jamais faire de séance trop longue. Si on travaille une heure, ça tire trop musculairement, notamment au niveau des adducteurs.

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 LEKA TAGOTAGO QUITTE DÉJÀ LE VRDR http://lesportdauphinois.com - Clément Chossat • 2017-02-10 12:30

C’était l’un des joueurs phares du recrutement du VRDR version 2016-2017. L’ailier fidjien Leka Tagotago aura finalement joué 7 mois pour l’entente drômoise. Leka Tagotago était attendu comme l’un des fers de lance de l’entente valentino-romanaise. Malheureusement, après 7 mois de compétition et aucun essai à la clé, le fidjien quitte déjà le club. Il s’est engagé cette semaine avec l’US Carcassonne, équipe de Pro D2. Tagotago arrive en tant que joker médical et sera titulaire dès aujourd’hui contre le . Le VRDR a décidé de son côté de ne pas le remplacer, faisant confiance au jeune Josias Daoudou ou encore à Youri Mege. TPR-FFR devant le CNOSF : «Ils n'ont pas voulu concilier» http://www.ladepeche.fr - Publié le 08/02/2017 à 08:40 - J.-P. L.

La décision du CNOSF devrait tomber en début de semaine prochaine, mais le refus de la FFR «laisse songeur» / Photo L. D. Convoqué hier, à Paris, devant le Comité national olympique et sportif français en vue d'une conciliation avec la Fédération française de rugby pour annuler la décision fédérale concernant la non-participation aux phases finales, Antoine Nunès, le président du TPR, est sorti agacé de l'entrevue parisienne. «Ils n'ont pas voulu concilier. Ils ont fait une boulette sur le cahier des charges. C'est un manque de respect total. On nous parle d'équité sportive, mais sur 100.000 €, quand tu as des budgets à 3 millions et d'autres à 9 millions, elle est où l'équité sportive ? C'est pénible, on se bat, mais le rugby de province ne semble intéresser personne. On ne va rien lâcher», ne décolérait pas le président tarbais, joint par téléphone, hier, en milieu d'après-midi. Actuellement 5e au classement de cette poule d'accession de fédérale 1 (et donc qualifiable), le TPR attend donc maintenant la réponse du CNOSF, en début de semaine prochaine, «même si ça ne paraît pas très positif», terminait le président tarbais.

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 TPR : La FFR refuse la conciliation http://www.tarbes-infos.com - mardi 7 février 2017 par Rédaction - Jean-Jacques Lasserre Après la notification d’interdiction de participation aux phases finales et donc de montée, le TPR avait aussitôt fait Appel de cette décision auprès du CNOSF (Comité National Olympique et Sportif Français) qui a « une mission de conciliation dans les conflits nés à l’occasion d’une activité sportive, opposant les licenciés, les agents sportifs, les associations et sociétés sportives et les fédérations agréées. » Les représentants du TPR et ceux de la Fédération ont été reçu ce mardi en début d’après-midi par un conciliateur mais les deux partis n’ont pas pu trouver un accord. Les représentants de la FFR refusant de négocier lors de l’audience de ce jour. L’affaire n’est pas perdue pour autant par le TPR puisque « le conciliateur est tenu, aux termes du dernier alinéa de l’article R.141-22, de notifier aux parties des mesures de conciliation, au moyen d’une proposition de conciliation motivée en droit et en équité (l’équité de même que l’éthique sportive prennent une part importante dans l’appréciation d’un litige par un conciliateur). Cette proposition de conciliation est présumée acceptée par les parties dès sa notification et d’application immédiate. » Mais même en cas de jugement favorable le TPR ne sera pas tiré d’affaires car les deux parties « ont la possibilité de s’y opposer dans le délai de 15 jours à compter de sa notification par le conciliateur pour les décisions des fédérations rendues à compter du 15 juin 2015 (décret n°2015-651 du 10 juin 2015), ou d’un mois pour les décisions des fédérations rendues antérieurement au 15 juin 2015. Si à l’issue de ce délai, aucune des parties ne s’est opposée à la proposition de conciliation, celle-ci est considérée comme définitivement acceptée. » Une décision qui devrait être rendue en début de semaine prochaine par le conciliateur. Une phrase litigieuse Les arguments présentés par le TPR portaient sur « l’annexe VIII des Règlements Généraux de la FFR » portant sur les critères financiers, et semblaient recevables. Le TPR soulignait une phrase qui pouvait prêter à confusion : « Tout club de 1ère Division Fédérale faisant acte de candidature à l’accession en 2ème Division Professionnelle devra justifier : « D’une situation nette définitivement arrêtée au 30 juin suivant la date butoir du dépôt des candidatures, d’un montant au moins égal à 100 000 € après retraitement éventuel. » La date butoir du dépôt des candidatures étant fixées au 15 juillet 2016, la logique de la phrase fait comprendre que la situation nette définitive doit être présentée au 30 juin 2017 ! D’autant plus que divers témoignages de Présidents de clubs ont déclaré que le Président Pierre Camou (Président en exercice à l’époque) leur avait confirmé qu’ils devraient être en règle à la fin de la saison. Les Tarbais plaident leur bonne foi, car en Pro D2 la situation nette définitive est arrêtée au mois de juin de la fin de la saison en cours, comme la phrase incriminée « arrêtée au 30 juin suivant la date butoir du dépôt des candidatures (15 juillet 2016), le laisse supposer. Les représentants de la FFR auraient reconnu qu’il y avait une erreur dans le cahier des charges, mais refusent la conciliation immédiate, laissant au conciliateur le soin de prendre lui même la décision. Le TPR fait valoir aussi que la FFR est au courant de la situation depuis le 15 octobre 2016, date à laquelle le club a déposé ses comptes. Depuis cette date et malgré une lettre envoyée par le club le 2 novembre 2016, la FFR ne s’est pas manifestée jusqu’au fameux 22 décembre 2016. Une FFR qui était complètement désorganisée par la tenue des élections qui ont désigné un nouveau Président le 3 décembre 2016 et par la mise en place des nouveaux élus aux différents postes de gouvernance. Le Président Antoine Nunes est catégorique : « Depuis le mois de juin personne de la Fédération ne nous a appelé, personne ne nous a accompagné et on nous tire dessus le 22 décembre, à la veille de Noël et des Fêtes de fin d’années.... » Recours au CNOSF obligatoire Le TPR était dans l’obligation de faire Appel auprès du CNOSF avant d’engager d’autres procédures car les textes sont clairs : « Ce dispositif constitue un préalable obligatoire à toute saisine juridictionnelle dès lors que le conflit résulte d’une décision prise par une fédération - ou l’un de ses organes déconcentrés - dans

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 l’exercice de prérogatives de puissance publique ou en application de ses statuts (article R.141-5 du Code du sport). La conciliation est une procédure par laquelle deux parties en désaccord tentent, à l’occasion d’une audience de conciliation, de rapprocher leurs points de vue, en faisant des concessions réciproques, grâce à l’intervention d’un tiers, en l’occurrence l’un des conciliateurs du CNOSF. » Même si la route est encore longue vers la Pro D2, l'USON poursuit son marché http://www.lejdc.fr - Publié le 07/02/2017 - Vincent Darbeau

Max Curie sera l’un des nouveaux visages de l’USON la saison prochaine. © Photo Studio 9 Après l’ouvreur Mathieu Bélie et le talonneur Jean-Philippe Genevois la semaine dernière, l’USON a confirmé, hier, les signatures de deux autres joueurs de Pro D2 pour la saison prochaine : le pilier gauche Max Curie et le deuxième ligne Bastien Chalureau. Alors que, sur le terrain, les Neversois ont perdu un match important à Aix (20-13), samedi, et qu'ils vont devoir cravacher lors des six dernières rencontres pour accrocher la première place et éviter les barrages de montée, en coulisse, le recrutement se poursuit en vue de la saison prochaine, avec les signatures du pilier gauche d'Albi, Max Curie, et du deuxième ligne de Perpignan, Bastien Chalureau. Xavier Péméja, le manager usoniste, a rappelé les critères impératifs : des joueurs français ou habitués des championnats hexagonaux, et des joueurs qui signent sans condition. Les années précédentes, certaines recrues avaient fait faux bond à l'USON en activant une clause permettant d'annuler leur contrat en cas de non-montée en Pro D2. Et ça, l'entraîneur neversois n'en veut plus. Son président, Régis Dumange, est exactement sur la même ligne quand il explique qu'il veut des joueurs qui signent « pour un projet, pas pour la Pro D2. Si un joueur veut une clause en cas de non-montée, je ne le prends pas ». Hier, le club a donc confirmé deux nouvelles recrues, qui font suite aux annonces de la signature, la semaine dernière, de Mathieu Bélie (demi d'ouverture de 28 ans, international espagnol) et Jean-Philippe Genevois (talonneur de 30 ans, 6 sélections avec France A), deux joueurs évoluant à Perpignan, avec une solide expérience en et en Pro D2. Les deux qui les suivent sont plus jeunes, mais ont également tutoyé le niveau international. Chalureau non conservé sans être prévenu… Bastien Chalureau est donc le troisième joueur de l'USAP à s'engager avec Nevers. Non conservé par le club catalan, qui a annoncé sa décision sans prévenir le joueur, il avait des touches notamment avec Narbonne (Pro D2), mais a finalement choisi Nevers. À bientôt 25 ans (il les aura la semaine prochaine), ce solide deuxième ligne a été formé au Stade toulousain, où il n'a évolué que dans les catégories de jeunes, avant de rejoindre l'USAP. Il a également été international U20, disputant la Coupe du monde de la catégorie en 2012, au cours de laquelle il s'était blessé à un genou. Il avait d'ailleurs enchaîné les blessures pendant trois saisons et aspire maintenant à retrouver son meilleur niveau. Comme il l'a souligné dans L'Indépendant, il y a deux semaines, « je pense que j'ai enchaîné toute la malchance d'un coup. Maintenant, je suis tout neuf ». La deuxième recrue annoncée est également un joueur encore jeune, puisque Max Curie n'a, lui aussi, que 25 ans. Ce pilier gauche, qui a découvert le rugby à Dole, puis à Dijon, a intégré le centre de formation de Clermont, où il a connu plusieurs joueurs actuellement à l'USON.

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 Passé par les équipes de France U18, U19 et fédérale, il évolue depuis deux saisons à Albi, en Pro D2, après une année à Aubenas, où il était dirigé par Sébastien Fouassier, aujourd'hui entraîneur des avants neversois. C'est d'ailleurs ce qui a fait la différence au moment de son choix. « Il m'avait beaucoup aidé à progresser », explique-t-il. « J'ai toujours eu le souhait de retravailler avec lui. On est d'ailleurs toujours resté en contact et c'est lui qui m'a dit que l'USON cherchait quelqu'un à mon poste. » Le nouveau centre d'entraînement est parfait. Même en Pro D2 il n'y a pas ça. Ni une ni deux, il vient à Nevers un week-end de janvier pour visiter les installations. « Je ne m'attendais vraiment pas à ça. Le nouveau centre d'entraînement est parfait. Même en Pro D2, il n'y a pas ça. Ça m'a beaucoup plu, comme le discours de Xavier Péméja sur les objectifs du club. » Et si les objectifs sont la montée en Pro D2, Max Curie sait qu'il court le risque de jouer en Fédérale 1 la saison prochaine. « J'avais surtout envie de faire partie d'un projet », argumente-t-il, en accord avec le discours des dirigeants usonistes. « Bien sûr, j'espère que le club va monter en Pro D2 et que je pourrais l'aider à se maintenir la saison prochaine. Mais s'il faut jouer en Fédérale 1, ça ne me dérange pas. » D'ailleurs, même si, « comme tout joueur », il espère un jour fouler les pelouses du Top 14, Max Curie a un objectif simple : « Le plus important, c'est de gagner sa place, peu importe où on est ». Pour y parvenir à Nevers, il va s'appuyer sur ses qualités en mêlée. « J'aime beaucoup cette phase de jeu, comme toutes les phases de combat. Et puis, ballon en main, j'arrive à tirer mon épingle du jeu grâce à mon explosivité. » L'effectif 2017-2018 prend peu à peu forme. C'est au groupe de cette saison de décider sur le terrain à quel niveau il évoluera… Rugby : la formation massicoise perdure http://www.le-republicain.fr - Par Aymeric Fourel - 11 février 2017 0

Yacouba Camara, 3e ligne du Stade Toulousain, ets le parrain de la promotion 2016-2017 du centre de formation. ©A.F.

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 « C’est toujours un plaisir de revenir à Massy où j’ai vécu tant de bons souvenirs. » Yacouba Camara a profité de la trêve internationale pour rendre visite à son ancien club, le 2 février dernier, à l’occasion de la soirée de présentation du centre de formation du RC Massy-Essonne, dont il parraine la promotion 2016-2017. Le 3e ligne du Stade Toulousain a ainsi retrouvé d’anciens partenaires de promo (Abraham, David, Gueddouri…) qui évoluent désormais avec l’équipe première. « Quand le centre de formation a été créé en 2005, l’objectif premier était de s’appuyer sur nos meilleurs jeunes pour alimenter notre équipe séniors », explique Serge Moronvalle, le président de l’association RCME. Les dirigeants massicois ont depuis gagné leur pari. De nombreux joueurs formés au club font partie de l’effectif professionnel. Et même si certains quittent le cocon massicois pour rejoindre les clubs du Top 14 à l’image de Yacouba Camara, Judicaël Cancoriet (Clermont) ou Sekou Macalou (Stade Français), également présents jeudi dernier, la plupart font le bonheur du RCME. « Les jeunes du centre de formation ont vu… » Aymeric Fourel • Retrouvez la suite de l’article dans Le Républicain du 9 février 2017. Marcoussis : retrouvez la forme grâce au rugby… sans vous faire mal http://www.leparisien.fr |Gérald Moruzzi|06 février 2017, 16h20|0

Marcoussis, vendredi 3 février 2017. Isabelle et Matthieu ont accepté de jouer les cobayes dans le cadre d’une étude visant à montrer les bienfaits de la pratique du rugby à 5 sur la santé. LP/Gérald Moruzzi Cette fois, pas de tampon à encaisser, de traumatisme à soigner, ni de sang versé dans la mêlée. Seule la sueur coule sur le terrain mobilisé, chaque mardi et vendredi à l’heure du déjeuner, pour les séances gratuites de rugby à cinq proposées au centre national du rugby, à Marcoussis. Au cœur du temple de la Fédération française de rugby (FFR), cette version de l’ovalie garantie sans plaquage et autres contacts physiques violents (lire en encadré) est utilisée pour mener une étude scientifique. Son but : promouvoir le rugby auprès d’un nouveau public, en mettant en lumière tous les bienfaits qu’une personne faisant peu d’activités physiques peut tirer de la pratique régulière de ce « sport-santé ». L’occasion de découvrir une nouvelle discipline tout en étant suivi comme un sportif de haut niveau par une équipe de spécialistes. Et visiblement, ça marche. Les huit nouveaux rugbymen qui participent pour l’instant à ce programme expérimental — dont on relève régulièrement le poids ou la masse graisseuse — notent assez vite un changement. Selon Julien Piscione, responsable recherche et développement à la FFR, une heure de rugby à cinq par semaine suffit pour voir « une amélioration de la santé cardio-vasculaire, mais aussi musculaire ». Pour les personnes présentes aux deux séances hebdomadaires, « le bénéfice est réel en termes de diminution dela masse graisseuse et d’augmentation de la masse musculaire notamment au niveau des jambes».

Saison 2016/2017 : RP n°14reporté du 13/02/2017 « J’ai perdu et je n’ai pas repris les 10 kg que j’avais en trop » Isabelle, 36 ans, avoue se sentir bien mieux depuis qu’elle foule le gazon. « J’ai perdu et je n’ai pas repris les 10 kg que j’avais en trop », se félicite cette ancienne handballeuse, qui avait dû arrêter le sport à sa première grossesse il y a six ans. Deux enfants plus tard, elle a répondu sans hésiter à l’appel de la FFR. « Ces séances gratuites sont parfaites pour moi, assure la maman. C’est à deux pas de mon boulot et cela a lieu pendant la pause déjeuner. Ce qui laisse tout le temps pour bien transpirer tout en s’amusant. » De quatre ans son aîné, Matthieu ne raterait qu’avec regret ses deux heures de rugby à cinq par semaine. « Les joueurs sont de différents niveaux, mais tout le monde trouve sa place ici », souligne-t-il, confiant avoir « gagné en explosivité, en souffle et en endurance ». « Et tout cela sans me blesser », sourit-il. Renseignements et inscriptions par mail à [email protected] Le rugby à cinq, un rugby pour tous Courir avec un ballon ovale sous le bras sans craindre d’être tamponné par un adversaire : telle est la formule proposée par la Fédération française de rugby (FFR) avec le rugby à cinq. Anciennement appelée « rugby à toucher », cette version basée sur la technique de l’évitement s’adresse tant aux hommes qu’aux femmes, aux jeunes qu’aux séniors. Si elle conserve les fondamentaux de ce sport, elle se veut avant tout ludique et se joue sur un terrain plus petit que le rugby à 15. Benoît, directeur financier âgé de 45 ans, fait partie des anciens sportifs ayant vite adopté cette nouvelle façon de jouer. « J’ai fait un peu de rugby, mais j’ai dû arrêter à cause d’une blessure. Je n’ai jamais repris, car j’avais peur de me blesser de nouveau », glisse-t-il, voyant dans le rugby à cinq, « un parfait palliatif ». Adalgisa, sa collègue de bureau, s’est elle aussi laissée tenter. « Je n’avais jamais touché un ballon de rugby, avoue-t-elle. J’avais un peu d’appréhension au départ, mais elle s’est vite envolée. Et aujourd’hui, je suis un peu accro. »

Marcoussis, le 3 février. Les séances gratuites de rugby à cinq sont proposées dans les installations du centre national du rugby. LP/ leparisien.fr