12. MO LUE KING. "\ composée d'artistes ayunt déjà tourné de* LIVRES 13. IRENE VÉ11NON-CASTLE. — Comment on râles de premier plan et dont une autre TECHNIQUE^ forme des « vedettes >. partie sera composée de sujets, homme* Traité pratique de çilLéiriiïtUyïuphiè-, par1 I I. WILLIAM S. HAUT. et femmes, n'ayant au besoin jamais faft Pour les abonae»e*ata «t Us demandes A B • oiistet : Edition Mendel. 111». rue d'Assas. 15. MARY PIC.KFORD. NNEMENTS ni de cinéma, ni de théâtre. '—~ d'anciens numéros . .17. l'RLSCIlJ.A. DEAN. — GEORGES BEBAN. Fiants Hmnwni A ces derniers l'éducation nécessairt Le Cinéma, par Coustet ; Edition Hachette. IS. SUZANNE (.BANDAIS. adresser correspondance et mandats à CINÉ 26 numéros.. 15 b. 17 h. ,*0, boulevard Saint-Germain, Paris (5 fr.). 19, OLIVE THOMAS. Le Benjamin de» jird faite pour devenir véritables artistet Le Cinéma, par H. Diamant-Berger ; E'di- réalisateurs : PIERRE CARON. capables d'interpréter pour la Société Pierre HENRY, directeur POUR 13 asméro».. 8 fr. 9 b. Hi n « Renaissance du Livre », 7S, boulevard 50. EVE FRANCIS. , A. C. tous rôles dans les films dramati e U B L I C I T t J. Jean Aicard et réalisé par André Hu- établissements E. Mollier. 26, avenue de la — Commeut on a tourné Le Rêve. (.Kdition Erka.) Le Film pour Tous, 4, rue Puteaux, Pn D'après un roman de Balzac et sous ande-Armée, Parts. 65. MARY MILES M1NTER (biographie illus- La Vérité, composé et réalisé par gon et Henri Krauss, avec l'interpré- ■'lgnal, 66, rue de Bondy. Paris (X*>. rie 'T/^i. - ■ tation d'Henri Krauss, Claude Mérelle, la direction de Fred Nibio, le réalisa- trée).— Comment on a tourné B'anchette. Henri Koussell, avec Emmy Lynn, Me- teur des 2'roi's Mousquetaires de Fair- 66. WILLIAM HART (comment il tourne ses naud et Violette Jyl. (Edition A.G.C.) Romuald Joubé, Armand Bernard, Gi- APPAREILS DE films)'. — Ce que gagnent les vedettes.. STUDIOS nette Maddie. banks, Norma Talmadge, désormais La houe, composé et réalisé par installée en Californie, tourne La Du- PROJECTION ii7. PEARL WRITE. — Article sur la Pro- t:i T. ION PAIUSIEN.M- Abel Gance, avec Severin-Mars, ivy Roger-la-Honte, adapté par J. de Ba- duction Triangle 1910-19/7. chesse de Langeais. « Pathé-Kok », Pathé-Enseignement, 67. Studios Gaumont, 53, rue de la Vllletn roncelli, avec G. Signoret, Rita Jolivet 68. ANDRE NOX (biographie illustrée). — Close, de Gravone, Pierre Magnier et suhoure Saint-Martin, Paris (X'). Paris-XIX« (Nord 40-97). et Eric Barclay. Alla Nazimova, dont les nouveaux HUGUETTE DUFLOS (biogr. illustrée). Térof. (Edition Pathé.) « Snlus » Etablissements Bancarel, 59 bis. Studio des Films Lucifer, 92, rue de l'Ami films seront édités par United Ar- rue Danton. LevalloisrPerret. 69. 'MARCAR1TA FISHER (biographie illustr.). Le Double, composé par M. Vàlly et ral-Mouchez, Paris-Xlll". tists', tourne Maison de Poupée, d'a- Etablissements « Union •. fi, rue du Con 79. ADRESSES INTERPRETES FRANÇAIS. — réalisé par A. Ryder, avec Simone e Studio Hervé, 93. rue Villiers de l'IsIe-Adani près l'œuvre d'Ibsen, qu'elle a maintes •ervatoire, Paris (9 ). Edouard Mathé. — L'envers du cinéma, l'ar'is-XX' (Roquette 51-57). Vaudry, J. Lorette, Tania Daleyme, On sait que la Société des Films c Phélms », 13. rue Ferrari. Marseille. 71. ADRESSES INTERPRETES AMERICAINS. fois interprétée à la scène. P. BurKi, 42. rue d'Enghien, Paris. Studio des Lilas, rue des Villegranges, Le» Harout et Maillard. Paramount a édifié à Londres un stu- — Séverin-Mars. -— Le marché cinégra- Rex ingram, que ses réalisations des « Gaumont-Matériel 35, rue des Alouet ! i Lis (Seine). L'Espagnole, de Musidora et Jac- dio, où sont tournés les intérieurs de e phique mondial. • Quatre cavaliers de l'Apocalypse, Eu- • tes, Paris (19 l. S'hdio Ermolieff, 52, rue du Sergent-Bo 72. La revue des films de l'année 1921. ' — ques Lasseyne, avec Musidora. films dont les extérieurs sont tournés E. Laval. 16-10 bis, boulevard Bonne-Nou- l>illoK à Montre*ii.l-sous-Bois (Seine). (Télé génie Grandet et Turn 10 the right ont GENEVIEVE FELIX. en Europe par des réalisateurs améri- relle, Paris. l'hone : Montreuil 00-57). On tourne : affirmé le seul rival américain de D. Radiguet et Massiot. 15. boulevard des Fil- 73. Ce qu'il faut savoir pour devenir inter- cains. ^ Studio Pathé, 43," rue du Bois, Vlncenm-' Don Juan de Manara, composé et W. Griffith, tourne Le Prisonnier de Vs-du-Calvaire. prète de cinéma. — Adresses interprète! établissements E. Mnlfler. 26. avenue de I» Hoquette 35-99). • _ C'est ainsi qu'après être venu à Cau- Zenda, d'après le roman d'Anthony Scandinaves, anglais, italiens, russes, réalisé par Marcel L'Herbier, avec . V, *.nde-A rmép. Parf«. Cinéma-Studio, 7, rue des Réservoirs, loin debec-an-Caux tourner les extérieurs allemands. Vanni-Marcoux, Jaque-Cateiain et Mar- H ope. \ ille-le-Pont (Seine). Télépb. : Joinville 112 de Perpétua, d'après le roman de J. 7- t Charles CHAPLIN en Europe. — Pour celle Pradot. (Fiim Gaumont-Pax.) Charles Chaplin a commencé sa sep- Studio Eclair, 2, avenue d'Enghien, Épinay CINÉ devenir scénariste. — MAY ALLISON. Barrie, le metteur en scène John S. sur-Seine. . . La Femme de Nulle part, composé tième et avant-dernière comédie en POUR TOUS 75. DOUG LAS FAI R BANKS (biographie illus- Robertson, vient de revenir à Londres Studio Eelair-Menchen, 10, rue Dumont et réalisé par Louis Delluc, avec Eve deux parties pour First National. • publié : trée). après avoir itourné en Espagne la ma- Epinay-sur-Seije (Téléphone : Epinay 43). Francis, Roger Karl et Gine Avril. Mary Pickford se prépare à itourner 76. ALLA NAZIMOVA (au travail). ï. CHARLES CHAPLIN (biographie!. Studio d'Asniéres. 11, rue de l'Ouest, As jeure partie d'un film tire d'un" ro- Tess of the Storm Coumry, après quoi 77. LE GOSSE (The Kid). — Poltyanna. Jocelyn, adapté de l'œuvre de La- 3. IÎLTII ROLAND. nières (Seine). man de Maurice Hewlett.ô'panisA Jade, 78. MARCELLE PRADOT. — FERNAND martine et réalisé par Léon Poirier, elle incarnera dans un autre film un s. IIAROI.D I.ÔbKWO.OD. - ' a revue des Studio du « Film d'Art », rue Cbauveau domt l'un des interprètes est notre films édités en 1919. , HËRRMANN. — Comment on a tourné avec Myrga, Dhartigny et Armand personnage, non plus de fillette, mais Neuilly-sur-Seine (Téléphone : Wagram 74-34 compatriote Charles de Rochefort. 9. FLORENCE BEED. la Charrette Fantôme. Tallier. (Gaumont-Pax.) de jeune temme. VYagra'm 91-06). 10; Le scénario illustré de la Sultane de l'A- Chacun de ces numéros- {sauf naturellement , autre réalisa- Studio Eclipse, 32, rue de la Tourelle, Bou Le mauvais.garçon, composé par J. Douglas Fairbanks va tourner The mour. (Comment on a tourné ce film.' •es numéros 2, I, 5, 6, 7, 13, 21. 24, 25, 29,. teur de la Paramount vient lui aussi logne-sur-Sclne (Téléphone : Auteuil 06-311 Deval et réalisé par H. Diamant-Ber- Virgiman ; le grand romancier cana- 11. BRYANT WASHBUHN. 35 et 46, qui sont épuisés) peuvent être en- de revenir à Londres pour terminer Studio >• Gallo-Film », 3, boulevard Victor ger, avec P. de Guingand, Denise Le- dien Gilbert Parker, écrit le scénario 12. PEARL WHITE (une visite à son studio.) voyés franco contre la somme de 0,50 (en tim- Hugo, Neuilly-sur-Seine (Tél.: Wagram 94-21) geay, Maurice Chevalier. Three live Ghosts, dont la plupart des du film que Doug. entreprendra en- 14. RENE CRESTE. bres-poste, ou mandats) au nom de P. Hen- e Studio S. C. A. G. L.-Pathé, \, rue du Ciné scènes d'extérieur se déroutent en Ita- 15. CHAR LIE CHAPLIN (comment il compose ry. 92, rue de Richelieu. Paris (11 ). L Eternel amour, composé et réalisé suite. iiiatographe, Vincennes (T. : Roquette 48-60) lie. - et réalise ses films.) par M. Hérault, avec Pauline Pô. Max Linder tourne une parodie des

16. MAX LINDER. COTE L'AZUR ! Rolande, adapté du roman de Louis Trois Mousquetaires intitulée Le der- 17. VIVIAN MARTIN. COURS Létang et réalisé par Léonce Perret, nier des Mousquetaires. Ciné-Studio, Chemin Saint-Augustin, Car en AMERIQUE 18. CHARLES RAY. avec L,ucy Fox, H. G. Sell, Bréon. -TIS-Nice (Alpes-Maritimes). tourne un second 19. EDNA PUR VIAN CE (la partenaire de D'INTERPRÉTATION Studio Gaumont, Chemin Saint-Augustin, 2 L'Ecuyère, d'après Paul Bourget, La Fox-Film C tourne actuellement Charlie Chaplin), — D. W. GBIFFITH film avec Bessie Love pour partenaire: Carras-Nice (A.-M.). réalisé par Léonce Perret, avec Angelo en Californie une adaptation du et ses films. Le Crayon Rouge. Le premier : le Ma- Studios de ta Société des Çiné-Romans, rue ÏO. JUNE CAPRICE. et Marcya Capri. Comte de Monte-Cristo. Le réalisateur récage a obtenu un vif succès. ACADÉMIE DU CINÉMA de la Buffa, 23, et boulevard du Tsarévitch. >2. EMMY LYNN. 24. EDDIE POLO. — Léon Mathot dans l'Ami Vice. ' ' ^ . ' . Studio de la Monte-Carlo-Film, à Saint Fritz. . , - - " / 1.11 urcnt-dUrVar, près Nice (Alpes-Maritimes) 26. ALLA NAZIMOVA. TVT\ Renée CARL Studio Pathé, route de Turin, Nice. 27. Los Angeles, capitale du film américain. DU THÉATRE-CINÉ GAUMONT Studio Ambulant Mcrcanlon, bureau : 2H. Divorces : . article de Mrs Fannie Ward. Depuis de longs mois on s'attendait n rue de la Michodière, Paris-II. 28. HOUDINI. — C. B. de Mille, le réalisateur Constance Talmadge divorce de DERRIERE à apprendre son mariage; mais la sur- de Forfaiture. LEÇONS PARTICULIERES sur RENDEZ-VOUS John Pialoglou, qu'elle avait épousé il prise a été grande dans les -milieux 30. TEDDY. y a un an environ. Mise en demeure cinégraphiques américains quand on et Cours, le Samedi de 3 h. à 6 h. L'ECRAN n. DIANA KARENNE. — Nos grands films à COURS GRATUITS 7, rue du 29-Julllct. — Métro : Tuileries. par son mari de choisir entre sa car- sut que Mrs W. Hart n'était autre que l'étranger. rière et lui, Consitance a opté pour la . Winifred Westover — et non Jane No- J2. BEBE DANIELS et HAHOl.I) LLOYI). Tous les jours de 2 h. à 6 h. ROCHE (1.0. U) ne, un acteur new-yorkais qu'elle avait première. épousé il y a près de deux ans. Ivro- vak comme on l'avait tant laissé pré- 13. MABBI. SORMAND: voir. M. MONROi: SAUSBURY. Article « ména- Cinéma — Tragédie — Comédie Kenneth Harlan, partenaire de Cons- gnerie et abandon du mari. ges d'artistes, n Irvin-Mirhel et Jorret, 4, rue Goustou, Pa- tance Talmadge dans les récents films 10. RH Jtoqu.mont. PARIS d»") Earle Williams divorce de Miss Flo- Il parait que l'idylle commença voi- 36. Photo d'Andrew Brunelle. — Article sur ris (18°). (Métro : Blanche). de cette artiste, divorce de Miss Hert ; (35* Année) * (Nocd-Sod : U F*mn& rine Walz qu'il avait épousée en 1914. là déjà trois ans; tandis que William les dessins animés. les raisons invoquées par cette derniè- A cette époque il avait déjà été pour- S. tournait John Petticoats, avèc Miss 37. DESDEMONA MAZZ. — Miss IVY CLOSE. Noms des ilrtlstes en renom au cinéma on re sont l'ivrognerie et la brutalité. suivi par Miss Raymond à laquelle il Westover pour partenaire ; pourtant 38. BESSIE LOVE. — LARRY SEMON (Zjgoto). au théâtre qui ont pris des leçons avec b Géraldine Ferrar divorce de Lou-Tel- La société française R. 4. C. aména- professeur Roche : MM. Denis d'Inès, Plern avait promis le mariage et à laquelle ce fut le seul film où elle ait paru aux 39. MARCELLE PRADOT. — CREIGHTON legen, qui a été maintes fois son par- H A LE. — Qu'est-ce qu'une « étoile » V qeant plusieurs théâtres de pri«e de tmes Magnier, Etiévant, Velnys, Cueille, Térof, dt il dut payer 25.000 dollars. côtés de son futur époux. Longtemps, Gravone, etc. ; Mlles Mislinguette, Geneviève tfl. JAQUE-CATELAIN. — RESSIE BABRIS- pour produire de nombreux et beau? tenaire à l'écran, en particulier dans par la suite, ils furent séparés, lui res- Félix, la jolie muse de Montmartre ; Pasca CALE. films, constitue actuellement des groupe- La Femme et le Pantin, qui vient de Mariage : line, Eveline .la'nney. Pierrette Madd. Grr tant au sudio d'Hollywood, elle allant ri. GABY MORLAY. ments artistiques dont une partie sera innine lïouer, Louise DâtlVÎHé, etc., etc. paraître en France. Depuis le 7 décembre William S. tourner à New-York, puis en Suède, Alice Brady divorce de James Cra- Hart a renoncé^au célibat. puis revenant en Californie. Le ma- Ciné pour Tous

riage, parait-il, s'était conclu par des Orphelines a eu lieu à l'Apollo-Théâ- opinion sur ce film. Je suis étonnée que les directeurs de Ciné- LES DOLEANCES lettres échangées depuis plusieurs En 1920 les recettes, en France, de» tre, le 30 décembre. Cette dernière salles de cinéma ont atteint près de mas tolèrent ces idioties macabres, et je ne peux comprendre D'UN DEBUTANT mois par les deux « stars ». production de Griffith — la plus con- qu'il y ait des gens capables d'écrire ces stupidités-là. Ce film Winifred Westover est fille d'un 69 millions ; Théâtres : 64 millions ; sidérable et la meilleure, dit-on — oc- Théâtre subventionnés : 22 millions ; qui se passe soit dans un cimetière ou dans une chambre mor- Monsieur le Directeur, journaliste éminent de San-Francisco, cupe une représentation entière à elle Clyde Westover et a débuté en 1915 Concerts et Music-halls : 45 millions ; tuaire n'a pour sujet que la mort et la mort. Il faudrait tout Le cinéma, en France, à l'heure actuelle, se trouve entre les seule, ne comprenant pas moins de cirques, skatings et bals : 26 millions; de même bien que ces auteurs de films (qui la plupart du temps mains de quelques grands pontifes qui tiennent en lui la poule soûs la direction de D. W. Griffith. quinze parties. griffonnent n'importe quoi pour que cela rapporte) comprennent Le voyage de noces a lieu au Parc musées : un million. aux œufs d'or. Ils éloignent, brutalement si besoin est, les jeu- Le même film sera donné simulta- A lui seul le Gaumont-Palace a en- bien que les spectateurs sont là pour s'amuser, se distraire et nes qui, par leurs idées neuves, pourraient leur prouver leur National et dans le nord de la Cali- nément en exclusivité, jusqu'à épuise- fornie. caissé en 1920 près de trois millions non pour pleurer. La vie par elle-même est déjà assez triste incapacité, tant au point de vue scénario que réalisation et in- ment du succès, comme Way doiun et demi ; la Salle Marivaux : 2 mil- sans l'assombrir à plaisir. Non qu'on raye carrément les terprétation ; qu'un jeune, capable, résolu, connaissant le travail, Accident : East, à Boston, Philadelphie, Cleve- lions 251.000 ; quatorze autres ciné- Charrette fantôme et autres imbécilités de ce genre ; que les cherche un petit capital pour débuter modestement, il est bafoué. land, Pittsburg et Chicago. mas ont dépassé le million. directeurs de Cinémas nous fassent passer des Doug, Rio Jim, « Que voulez-vous faire avec si peu d'argent, c'est une escro- Ruth Roland vient de l'échapper Voyages : oui, et je vous assure que dans le cinéma où je vais on aime querie ». belle. Alors qu'elle tournait près d'Hol- • autrement mieux cela. A Doug. tout le monde applaudit, à La Les films, en France, reviennent fort cher par 'suite d'une lywood une scène d'incendie desti- Cecil B. de Mille, le réalisateur de L'Annuaire des Artistes (31* année) Charrette le public siffle et, certes, cette mère qui empoisonne mauvaise organisation et du désordre qui Tègne partout. Tel née à figurer dans son nouveau ciné- Forfaiture, Jeanne d'Arc, et du Fruit ses enfants n'a rien de bien moral. Défendu qui paraît cette semaine, vient de paraître. metteur en scène spécialisé dans les romans-feuilletons, a mobi- roman d'aventures, son vêtement prit Donc je demande à l'avenir davantage de films jais, sains, lisé 3 matinées de suite 40 figurants et 12 artistes pour tour- feu. Assez sérieusement brûlée aux vient d'arriver à Paris en compagnie Véritable encyclopédie du monde des Chariot, des Hart, tout ce qui amûse, divertit et intéresse de son collaborateur notre compa- ner 50 mètres de bande. Rien n'était prêt, les machinistes n'a- bras et à la tête elle devra rester inac- du théâtre, de la musique, du music- surtout. tive plusieurs semaines. triote Iribe. Durant ses Vacances en vaient rien préparé et qui mieux est, le metteur en scène avait hall, de la danse, du cinéma, cet ou- Paule SOHEGE, l'air, en prenant connaissance de son découpage, d'en être à une Europe C. B. de Mille séjournera en vrage contient non seulement des bio- a Premières « : outre à Londres, à Berlin, et visitera 3, rue Rigaud, Neuilly-s/Seine. première rencontre, il n'avait rien pesé, rien réfléchi, rien exa- graphies illustrées, 100.000 adresses miné, d'où des tâtonnements, des colères et finalement un piètre La première représentation des l'Italie et l'Afrique du Nord. d'artistes de théâtre, d'artistes ciné- Pearl White, qui était venue passer matographiques, de France, de Bel- résultat. Trois Mousquetaires de Douglas Fair- SOUVENIRS... Quand, dans le silence de son bureau, le metteur en scène se banks en Angleterre a eu lieu au Co- Chrisbmas à Paris vient de quLter gique, du Luxembourg et de la l'hôtel Crillon pour revenir tourner buisse, mais aussi l'anaiyse, le compte- Monsieur le Directeur, décidera avec des pions, des jetons, des haricots, n'importe quoi veni-Garden-Opera de Londres, le 19 enfin, à étudier ses mouvements, quand il exigera le silence décembre. Le succès a été considéra- à New-York les derniers films de son rendu et la distribution de toutes les Etant un vieil amateur de cinéma, je me suis aperçu que plu- contrat avec Fox. Pearl White a ma- œuvres nouvelles représentées bu exé- pendant le travail, quand il ne déplacera ses artistes que pour ble, et le théâtre a été loué pour trois sieurs des productions françaises éditées cette année avaient leur dire : vous faites ceci, puis encore ceci, vous vous placez mois; deux représentations de cette ex- nifesté son intention bien arrêtée de cutées au cours de la saison. d'étranges analogies avec d'anciens films présentés avant la revenir parmi nous en juin ; elle ex- Très heureusement présenté sur ici, puis ici. Alors là seulement nous aurons en France du clusivité sensationnelle y sont données guerre, chose qui ne se produit pas dans les productions améri- bon film pas cher. / chaque jour. cursionnera longuement, car elle aime un beau papier et avec une re- caines, italiennes et Scandinaves. Celles-ci nous présentent par- A Stockholm Le Signe de Zorro vient fort notre pays ; peut-être même, â liure originale, il constitue un im- fois (je parle des deux premières), des bandes dont les scéna- Et puis il y a encore la question figuration. En France n'im- d'être représenté au Roda Kvarn avec l'exemple de Fannie Ward s'y fixera- posant volume de 1.360 pages dans rios laissent à désirer, mais dont la réalisation technique est porte qui se bombarde « artiste de cinéma », et fait 2 ou 3 ca- un succès énorme ; fait très rare, le t-elle pour un certain temps. Peuî-ètre lequel tout a été classé suivant un intéressante. Elles ne nous présentent pas du « déjà vu ». chets par mois, aussi quelle pagaïe. Que l'on prenne des pro- film est resté à l'affiche de cette salle aussi y entreprendra-t-elle quelque plan méthodique. D une lecture at- Par exemple (et il me semble d'après un des derniers numéros fessionnels, capables de se grimer et d'incarner l'esprit de la durant trois semaines consécutives. chose, soit à la scène, soit pour l'écran. trayante et d'une documentation pui- de Ciné pour Tous que vous vous en êtes aperçu vous-même). scène et de créer l'atmosphère. A Nice, en ce moment, des quan- Dans d'autres salles de Stockholm, Divers : sée aux sources mêmes, sa place sem- Petit Ange, présenté il y a un an, avait une ressemblance assez tités de jeunes gens de « tous sexes » « font du ciné » ; l'année on a bien accueilli Les Trois Mousque- ble tout indiquée chez tous ceux qui étonnante avec l'Ange de la Maison, film de Léonce Perret, dernière ils étaient bouchers, marchands de meubles, employés Jean Petithuguenin et L. Massou- s'intéressent a l'art théâtral et ciné- de trams, etc., aujourd'hui ils courent le problématique cachet. taires de Pathé-Consortium, et l'on at- lard consacrent un volume à la bio- édité par Gaumont en janvier 1914 et interprété par l'auteur, tend avec curiosité le film que Dou- matographique, artistes ou amateurs. Armand Dutertre et la petite Suzanne Privât. Place aux jeunes, oui, mais à ceux qui le méritent. graphie de Georges Biscot, le comique L'Annuaire des Artistes est en vente, Pourquoi les metteurs en scène considérent-ils comme quan- glas Fairbanks a tiré du même sujet et de café-concert et des ciné-feuilletons Enfin, tout dernièrement, Une soirée de Réveillon, me rappe- dont la représentation en Suède est au prix de 30 francs à l'Office géné- lait singulièrement une courte comédie Gaumont (comment elles tité négligeable tous les débutants ? Pourquoi ne font-ils pas prochaine. de Louis Feuillade ; préfacée par ce ral de la Musique, 15, rue de Madrid, tourner une bande d'essai ? Il .y a des quantités d' a étoiles » dernier, la brochure sera éditée par nous prennent), interprétée en 1912 par Léonce Perret et Yvette A New-York, la première des Deux Ferenczi. et chez tous les principaux libraires et Andréyor, et dans laquelle une jeune femme, délaissée par son inconnues, car il y a, en réalité, si peu de véritables « étoiles ». marchands de musique. mari, parvenait, avec la complicité d'une amie, à le reconquérir Cette bande d'essai, mettons 50 mètres, peut être tournée aux au cours d'un bal masqué au moyen d'un stratagème fort sem; frais du candidat : 50 mètres à 2 fr. 40 = 120 fr. Ce n'est pas blable à celui d'Une soirée de Réveillon. une ruine, et dans le cas où le résultat est favorable, quelle Bis repetita non placent, et, si les cinéphiles prennent plaisir affaire! Ceux qui ont des capacités seraient ainsi à même de ù encourager les novateurs et à applaudir les films originaux percer. Un rôle à leur taille pour débuter, quelques conseils et et bien conçus comme Le Penseur, L'homme qui vendit son âme les laisser à. leur naturel, voilà la recette. Mais aussi pas d'en- L'OPINION DES SPECTATEURS au Diable et El Dorado, ils n'aiment' pas qu'on leur présente gagements de « camarades » ; avec les camarades on fait de mau- • SUEDE ET FRANCE sous une forme nouvelle les anciens scénarios édités jadis. vaises bandes. Nous avons tout en France pour supplanter les Donc, d'une part : conception simple et nette. Réalisation Espérons que 1922 nous apportera un peu moins de « déjà vu .» Américains, il s'agit de vouloir et de savoir. Monsieur le Directeur, presque toujours supérieure, chacun des protagonistes incar- Je profite de cette occasion de vous écrire, Monsieur le Direc- Vouloir : se débarrasser des principes désuets qui craquent nant à ce point son personnage qu'on ne voudrait ni ne saurait teur, pour vous féliciter des justes et sévères critiques que vous de toutes parts. Je m'étonne de ce qu'aucun de vos collaborateurs n'ait encore en substituer un autre. Passages où tout concorde pour vous faites pour la rénovation du film français. Savoir ': avoir de l'ordre, de . la méthode et réfléchir avant songé à établir un parallèle entre la beauté et la réalisation su- émouvoir : le costume, la figure le décor. D'autre part, faiblesse « Plus on aime quelqu'un, moins il faut qu'on le flatte. » d'agir. périeures de certains films de la Svenska et celles des produc- de la conception ; des sous-titres, encore des sous-titres, des pay- Albert RONNEAU, Paris. UN DEBUTANT NIÇOIS. tions françaises qui passent pour les meilleures. Bien entendu je sages de hasard, l'incompréhension des milieux, une interpré- ne songe même pas à une comparaison entre les bandes d'Amé- tation quelconque quand elle n'est pas très mauvaise — et voilà rique et les nôtres. Il serait trop facile de répondre : Dollars I cù nous en sommes. La Suède n'est pas richissime, que je sache, il y a donc autre Ne croyez-vous pas, Monsieur, que quelques articles en ce chose et je sais bien quoi. • sens, sérieux, sans complaisance — je sais que c'est bien diffi- Tom Moore Tom Moure Routine d'abord ! Camaraderie (il n'y a pas qu'en politique cile 1 — mais documentés et sévères, rendraient service à la William Russell Ouilieum Reusseul la république des camarades 1) Amour 1 si je puis parler ainsi cause que nous aimons, et j'ajouterai, au pays, car quelle figure ON PRONONCE : Charlie Chaplin Tcharlé Tchaplinn des coucheries que nous valent tant de dames, figées à l'écran, faisons-nous en Europe avec les pauvretés de nos producteurs 1 Bryant Washburn Breieunt Ouachbeurn Et peut-être permettraient-ils un jour l'accès des studios à quel- qui réservent sans doute leurs ardeurs pour l'alcove et ne sont Mary Pickford Meirei PiMeurd même pas, hélas, de jeunes femmes. Voilà pour l'interpréta- qu'un de ceux qui doivent exister quelque part (je ne fais point Creighton Haie • • Créteunn Heile tion. Pour la conception ou le sujet, des romans décapités et de scénarios et ne songe point à en faire) et qui ont des idées Pearl White Peurl Ouaillte Mary Miles Minter Meirei Maills Minteur découpés à la diable, incompréhensibles malgré tant de sous-ti- nettes et saines, ou de la fantaisie joyeuse et nous donneraient Norma Talmadge Norma Talmeudge Viola Dana Vaïla Dana tres, comme la Terre ou le Père Goriot, où une recherche morbide enfin de vrais films de chez nous, ou gais et fins, ou graves et émouvants — mais clairs. Bessie Barriscale Bessi Barriskeil Lilian Gish Lililieun Guisch de l'originalité qu'on ne rencontre d'ailleurs jamais en Suède Priscilla Dean Priçilla Dîne et qui mène seulement à des choses absurdes et incompréhensi- Veuillez agréer, Monsieur, avec l'assurance de ma sympathie Irène Castle Aillrine Kasseul bles. La Fê.e Espagnole, par exemple, qui voulait être profonde pour le bon combat que vous menez dans votre journal, celle Sessue Hayakawa Sessu Heyakaoua Mae Murray Mai Morrai et tragique, et arrivait à des effets l'un burlesque imprévu, ou de mes sentiments très distingués. Douglas Fairbanks Dogleuss Fairbainks Margarita Fisher Margarita Fischeu'r L'Homme du large, que je vois hélas si souvent vanté, et qui R. AULMANT. William Hart Ouilieum Hart Marjorie Daw Mardjeri Dàh m'est apparu comme' le comble de l'ineptie prétentieuse. Aucune 6, rue Larrey, Paris-V. WalJace Reid Oualeus Reid connaissance du milieu choisi : une Bretagne d'opéra, Koger Juanita Hansen Djouanita Hennseunn Karl, effarante effigie du maître d'hôtel qui aurait des visions. AUTRE SON DE CLOCHE Eugène O'Brien Ioudjinn O'Brailleun Fannie Ward Fanay Oouardd Je n'insiste point et ne parlerai ni de Fièvre ni d'El Dorado ! Thomas Meighan ' Tomeuss Mieunn David Griffith Dévid Griffiç Monsieur le Directeur, Mais je songe au Trésor d'Arne ou au Mariage de Joujou, ou- Charles Ray Tcharl Ray Anita Stewart Anîta Stiouweurtt A travers les Rapides et j'ai honte pour mon pays... Puisqu'on a beaucoup parlé dans votre journal de La Char- rette Fantôme, je me permets à titre d'abonnée de donner mon Bert LvteU Beurt Liteul Jack Warren-Kerrigan Djak Ouarreun Kerrigueun LES F I L M 3 DE LA QUIN Z A I N E

Du 13 au 19 Janvier : BLANCHE SWEET Da 20 au 26 Janvier : et Thomas Meighan LE FRUIT DEFENDU dans : L'Associée. LE ROI DE CAMARGUE (Forbidden fruit) tiré du roman de Jean Aicard et réa- EARLE WILLIAMS composé pour l'écran par Jeanie Mac- lisé par André Hugon. pherson et réalisé par Cecil B. de Mille dans : Swift l'aventurier. Films A. Hugon 1921. Edition Pathé. Film Paramount 1921. WANDA HAWLEY Renaud Charles de Rochefort , Edition Paramount. La Zinzara Claude Mérelle dans : Miss Futuriste. Rampai Jean Toulout Mary ' Agnès Ayres Livette Elmire Vautier Roggers Stanley Forrest BESSIE BARRISCALE L'aïeule Marie-Laure Malory Clarence Burton dans : La Chanterelle. Madame Malory . . Kathlyn Williams (Mêmes salles que La Ferme du Cho- quart.) PRISCA LA FERME DU CHOQUART Il n'y a pas cette quinzaine, de composé et réalisé par Gaston Roudès. tiré du roman de V. Cherbuliez et réa- chefs-d'œuvre nouveaux ; mais il y a Gallo-Film 1921. Edition Harry. lisé par Jean Kemm. plusieurs films très intéressants, et Prisca Rachel Devirys Fiim S.C.A.G.L. 1920. Edition Pathé. c'est déjà quelque chose. Richard Georges Lannes Robert Paluel André Varennes Patrice '.. Schutz Aleth Guépie Marie Marquet D'abord, Le Fruit défendu ; on sait Mathias Constant Rémy Mariette Geneviève Félix que le réalisateur de Forfaiture et de Dorlac de Roiméro Marquis de Montaillé Maurice Escande Jeanne d'Arc a, depuis trois ans orien- Ciné-Opéra, Palais des Fêtes, Palais Mme Vve Paluel Jane Even té sa production dans une direction des Glaces, Capilole, Barbès, Gaîté-Pa- Palmyre Mme Lemercier risienne, Select, Demours, Lutetia. Rochard Guépie Mévisto assez différente ; plus de films d'intri- gue, plus de reconstitutions histori- LE RENOUVEAU D'AMOUR Omnia-Pathé, Pathé-Palace, Cinê- ques ; des détails pris dans la vie de Pax, Palais des Fêtes, Cinéma des Arts, tiré de la pièce de A. C. Terhune par Tivoli. Lutetia, Batignolles, Artistic, tous les jours qui, choisis et disposés Daniel Whitcomb et réalisé par Thos- etc. dans un certain ordre, concourent à la • Heffron. démonstration d'une vérité qu'il est Films Hodkinson 1920. Ed. Triomphe. LE CŒUR MAGNIFIQUE toujours bon de redire. C'est ainsi que Le mari Mahlon Hamilton C. B: de Mille nous a déjà donné Après La femme Francelia Billington composé et réalisé par Séverin-Mars. L'ancienne amie Betty Blythe Films A. Legrand. Edition A.G.C. la pluie le beau temps, (en Amérique : Marquis Horoga Séverin-Mars Ne changez pas de mari), puis Why Camajo Charles Granval change your wife ? (Pourquoi changer Isabelle France Dhelia d'épouse ?) Le Fruit défendu continue Marie-Louise Tania Daleyme ELMIRE VAUTHIER Bernard Gandrey dignement la série. dans : L'Autre. Marquis du Hait Maxudian . Satan ne passe que dans une seule HOUDINI —Salle Marivaux, Ciné Max Linder, et Lila Lee salle de Paris, et c'est dommage ; car dans : L'Ile de la Terreur. Colisée, Lutetia. . le scénario, bien qu'un peu bizarre par endroits, sort des sentiers battus, et la SOAVA GALLONE SATAN réalisation, y compris l'interprétation dans : La voix de l'Enfant. . (The Penalty) extraordinaire de Lon Chaney, ne mé- Douglas MAC LEAN tiré du roman de Gouverneur Morris rite que des éloges. et Doris May par J. G. Hawkes et réalisé par Wal- dans : La Permission de Teddy. lac.e Worsley. Le Cœur Magnifique nous fait re- Film Goldwyn 1920. Edition Erka. gretter plus que jamais la disparition ALICE JOYCE dans : Le Fouer. Blizzard Lon Chaney de son auteur-réalisateur-interprète, WILLIAM RUSSELL Docteur Ferris Charles Clary Séverin-Mars. Ce film n'est pas exempt dans : Rien faire et la séduire. Clara Ferris Claire Adams de défauts, d'erreurs, de souvenirs ex- cessifs ; c'est bien un film d'acteur. House PETERS et Jane NOVAK Rosa Esthel Grey Terry dans : Isobel. Docteur Allen Kenneth Harlan Mais à côté de cela il y a des « mo- HESPERIA Un voleur Wilson Himmel ments J> vraiment supérieurs dans dans : Le fils de Mme Sans-Gêne. Peter James Mason cette œuvre originale. Et l'incarna- O'Hagan Milton Ross tion d'Horoga par Séverin-Mars est ad- , Colisée. mirablement intense et variée. CHARLOT VOYAGE La, Ferme du Choquart, Prisca et Le composé et réalisé par Charlie Cha- LA VIVANTE EPINGLE Roi de Camargue sont des films fran- plin en 1917 pour la Cie Mutual, avec le concours de Eric Campbell et Edna composé par Jean-Joseph Renaud et ■ çais qui, cette fois, sont français. Purviance. réalisé par Jacques Robert. Reste à mentionner un film ita- ' Réédition A.G.C. Film Pax 1921. . Edition Gaumont ■ lien, le Fils de Madame Sans-Gêne, HAROLD LLOYD Professeur Terraude Maurice Vouthier sur lequel la maison Gaumont a fait et Bebe Daniels Heckey Jean Toulout beaucoup de réclame. Le public pen- dans : Voilà l'plaisir, mesdames Christophe Rozès Jean Hervé sera sans doute avec nous qu'il n'y ROSCOE ARBUCKLE Mlle Terraude .... Lucienne Legrand avait vraiment pas de quoi. dans : Fatty fait du ciné. Gaumont-Palace, Gaumont-Théâtre. LARRY SEMON Et il faut revoir Chariot voyage. dans : Zigoto homme de ménage. Ciné Ji Tous

LE MOWEMENT AU C NÉ M A son évolution — ses périls

Allant plus loin encore dans cette lent à se mouvoir, les scènes qu'il a en- voie, un opérateur de prise de vues registrées ont, elles, dès l'origine con- d'actualités a imaginé un dispositif tenu quantité d'action. de prises de vues automatique qui lui Quoi de plus mouvementé que l'un laisse les deux mains libres pour orien- 'Prise de vues en auto, dans un film de Ruth Roland des premiers « films s enregistrés : ter son appareil en tous sens, tout l'arrivée d'un train en gare de Lyon ; comme un œil humain. ou, un peu plus tard, les farces à Le cinéma, art de limage animée, évoluant dans des décors de théâtre; Scène tirée d'un récent film de Tom Mix o poursuite auxquelles d'ailleurs on est n'a cessé depuis sa création d'explo- avec un maquillage de théâtre et des Si l'appareil de prise de vues a été loin d'avoir -.renoncé. Les rixes, les rer les domaines qui lui sont propres. gesticulations de théâtre, à ce temps- chevauchées endiablées, les scènes nombre, les mêmes acrobaties que cel- Nous avons montré, l'autre semaine, là l'appareil de prise de vues enregis- de bataille, les tempêtes, les naufrages, les qu'on lui a vu faire, mais avec comment il avait en peu d'années évo- trait des scènes d'une interminable les mouvements de foule, les acroba- cette différence que là elle n'étaient qué successivement devant le specta- longueur, toujours à la même place. La prodigieuse scène final JjNE POULE MOUILLEE ties de toutes sortes, éminemment pho- pas réussies. Ces erreurs et ces acci- teur toutes les formes possibles du L'innovation du « grosplan » rap- togéniques, d'ailleurs, datent des ori- dents il en a gardé un vivant souvenir •merveilleux ; montrons aujourd'hui procha l'appareil des acteurs, dans gines du film dramatique et n'ont ces- dans sa bibliothèque cinématographi- comment il a retracé avec une préci- les s moments » de l'action particu- sé de s'améliorer depuis. que privée et les projette souvent à ses sion et une intensité chaque jour plus lièrement importants. Puis, peu après On s'explique ainsi que tant de ciné- amis et visiteurs. grandes le mouvement sous ses formes suivirent d'autres innovations de dé- romans d'aventures, même suprême- L'un de ces accidents arriva dans les plus diverses. tail qui vinrent donner plus de vie, ment illogiques et incohérents, aient Manhattan Madness (Une aventure à • plus d'intimité aux tableaux enregis- pu plaire si longtemps. New-York) où l'on voyait Doug. pour- A l'époque où l'on se figurait que trés ; on plaça, l'appareil aux fenêtres, Quoi de plus photogénique que les suivre un adversaire, qui se retour- le cinéma n'était que du théâtre sans ou presque à terre, suivant les cas, on avatars angoissants des Pearl White, nait brusquement et tirait sur lui à paroles, et .où l'on photographiait à le porta successivement à la place de des Ruth Roland, Mary Walcamp, He- bout portant. La revolver était chargé une assez grande distance des acteurs deux interlocuteurs, bref on obtint len Holmes, Juanita Hansen, Williaim à blanc et le figurant savait qu'il au- ainsi, par la quantité des

D'ailleurs il arrive souvent que c'est resta inanimé deux heures durant, au cours des répétitions préparatoires ayant reçu'un coup de bouteille non que surviennent les accidents et, alors, en carton comme il avait été prévu, la prise de vues n'est même pas là mais en véritable verre, par suite de pour en perpétuer le souvenir. Ainsi, l'erreur d'un figurant. au cours de la réalisation d'un « exté- Les terribles incendies que l'on voit rieur i du Tigre Humain, tandis qu'on dans bien des films coûtent parfois cherchait des sites les plus favorables cher aux acteurs qui y figurent. Tout pour y situer l'action, Jane Novak récemment encore Charlie Chaplin fut alors partenaire de W. Hart, s'aven- victime d'un accident de ce genre. tura sur une éminence rocheuse Et Ruth Roland est actuellement au qu'elle escalada sans trop de mal ; repos pour plusieurs semaines pour mais quand il lui fallut descendre ce avoir poussé la témérité un peu loin, fut une toute autre affaire et Hart eut dans une scène d'incendie. à venir à son secours ; l'ayant prise O Scène tirée d'un film de Tom Mix sur ses épaule il redescendit, s'aidant d'un lasso tenant lieu de rampe, au Ce n'est donc pas parce qu'il lui est cemment à un confrère américain : génieux ou plus difficile que ceux des fréquemment donné de voir des artis- ses à faire face à l'inattendu ; d'abord pas seulement dans les films d'aventu- prix de mille difficultés. ...Et cette'scè- « Le truquage ou le doublage par un jours précédents, il ne peut que ga- ce fut, dans la scène du filet de pêche, res ; il y a au contraire bien des scè- ne, qui eut fait sensation dans le film, tes jouer un double rôle, et parce que acrobate engagé pour la circonstance, gner et en réputation et en confiance dans les films comiques quantité d'au- un gros poisson qui d'un coup de nes anodines d'apparence qui occa- n'y parut pas, n'ayant malheureuse- est mauvais, mauvais surtout au point en soi-même. D'ailleurs la vraie me- tres truquages adroits sont utilisés, queue l'étourdit à moitié ; puis, dans sionnèrent bien de la peine et plus ment pas été « tournée ». de vue psychologique. Car une pre- sure de danger couru, la réelle impor- que le spectateur doit voir partout du la scène de l'avalanche, un éboulement d'un péril. Les scènes maritimes ont elles aussi mière défaillance conduira l'artiste à tance du péril ne croyez pas la ren- truquage. imprévu qui lui valut quelques entail- donné lieu à plus d'un péril. Dans d'autres défaillances de plus en plus contrer chez l'intéressé, mais bien On sait que William S. Hart, bien Les vedettes que nous avons énumé- les assez sérieuses. Fille d'Ecosse Mary Pickford faillit se conséquentes. Dans le même ordre chez le spectateur, qui peut donner que ses interprétations vaillent surtout rée& plus haut répugnent au truquage. Dans une scène de The Nut, encore noyer en voulant sauver des eaux un d'idées, d'ailleurs, si l'artiste se pro- libre cours à son anxiété, à sa nervo- par le côté dramatique, ne recule pas Voici pourquoi, d'ailleurs, comme inédit en France, Douglas Fairbanks petit chat, dans The Little American pose fermement d'accomplir chaque sité, et qui n'a pas à demeurer en pos- devant les risques que certaines scènes Douglas Fairbanks le déclarait ré- était suspendu à une fenêtre quand .(inédit en France), la même courut de jour quelque exploit nouveau, plus in- session de tout son courage ». de ses films peuvent lui faire courir. véritables dangers dans les scènes de une pièce d'attache céda, précipitant On sait que dans The Narrout Path l'artiste, d'une assez grande hauteur reconstitution du torpillage du Lusi- (La Révélation) il fit avec son che- tania. Thomas Meighan échappa de sur le sol. U s'en tira cette fois avec val une chute qui eut pu être mor- bien peu à la noyade dans L'Admira- ques lignes dans les colonnes d'une revue composée pour deux doigts cassés. telle ; on l'a vu dans A l'affût du Rail Mais l'expérience la plus périlleuse ble Crichton.un film tiré par Cecil de les spectateurs. Car cet artiste, dans de nombreux films sauter d'un cheval dans un train en Mille de la pièce de Barrie. sans prétentions, a toujours su plaire, distraire, intéresser. de Douglas Fairbanks est The Three Depuis 1918 on a vu cet artiste dans les films qu'il a marche ; et dans quantité d'autres Un autre genre d'accidents, égale- Musketeers ; principalement à cause films on l'a vu accomplir des proues- tournés pour la Cie Paralta : Le Secret de Dolorès (A ment fréquent provient d'une confu- man's man), La carte que tourne, L'affaire du Grand- du port constant d'une épée, même ses équestres vraiment remarquables. dans les scènes acrobatiques. Pourtant sion dans le choix d'un accessoire ; Central (Burglar for a night) ; puis dans les six premiers Des accidents sont d'ailleurs survenus d'une série de huit tournées pour Hodkinson : Le Prison- aucun accident sérieux ne s'y produi- c'est ainsi qu'Harold Lloyd fut très pendant la réalisation de ses films ; grièvement blessé aux yeux, il y a nier de la Forêt, Sa Majesté l'Amour, Une mission hu- sit, hormis les quelques entailles que on se rappelle qu'une chute de cheval maine, Le Saut de la mort, Don Juan, Les Naufragés de deux ans, par suite de l'éclatement la Vie, le Joyeux menteur, et, tout dernièrement encore : l'étoile et ses adversaires se firent au dans un film tourné l'an dernier lui cours des scènes de duel. d'une bombe qui aurait dû n'être La conquête du Bonheur (Lord loves the Irish). Viendront valut plusieurs côtes cassées et un qu'une bombe en carton-pâte ; et que ensuite : Live Sparks et 30.000 dollars. D'ailleurs si les vedettes de ces films mois de lit. r La Conquête du Bonheur nous a montré Jack Kerrigan courent des risques, leurs partenaires W allace Beery, dan^ Le Loup des Mers, sous un aspect qui lui convient particulièrement, car sa . n'en sont pas non plus exempts. Frank famille est d'origine irlandaise, et son caractère réel est Campeau, maintes fois le « traître » bien celui de l'aventureux bon garçon que nous pré- sente ce film. C'est en 1889 que Kerrigan est né à Louis- des films de Fairbanks, a gardé des ville, aux Etats-Unis, de parents irlandais. Dernier né souvenirs cuisants de ces incarnations d'une faimille de neuf enfants dont le père, employé dans successives aux côtés de Doug. Sur le une grande maison de commerce de l'endroit, ne gagnait qu'à peine le nécessaire, il lui fallut songer de bonne tibia gauche lui est restée une marque heure au choix d'un métier. de Le Sauveur du Ranch, au-dessus de Tout d'abord, dès qu'il eut atteint sa seizième année, l'œil droit un coup reçu pendant Dou- son père le prit avec lui, car il désirait vivement le voir glas dans la lune, et une douleur au devenir un commerçant prospère ; tel n'était pourtant poignet gauche vient souvent lui rap- pas le désir de sa mère — qui souhaitait voir son fils pas- teur ; son frère aîné, lui, estimait tout au contraire que peler Douglas for ever. Marjorie Daw, Jack trouverait le succès comme boxeur. Quant à l'in- se cassa une jambe au cours d'une che- téressé, lui, c'était encore à une autre carrière qu'il son- vauchée de A Modem Musketeer (Dou- geait. glas, le nouveau d'Artagnan). Déjà, alors qu'il suivait les cours de l'école supérieure de Louisville, iï avait eu l'occasion de donner libre cours Comme bien on pense Tom Mix, à un penchant très net qu'il se sentait pour la scène ; il Russell, Walsh et tant d'autres ont eu, avait joué avec des camarades de petites pièces devant un eux aussi, leurs mésaventures ; Tom JACK WARREN public d'amis très favorable. Mix, en particulier, a gardé d'une chu- Les heures qu'il ne passait pas à la maison de com- merce où son père l'avait fait entrer, c'est donc à orga- te sérieuse une cicatrice sous le men- niser des représentations d'amateurs qu'il les consacrait. ton qui resite encore visible sous le KERRIGAN Et, tout comme dans les romans, un jour vint où un maquillage. imprésario, qui assistait à une de ces représentations, Jack Warren-Kerrigan, sans que jamais, au cours de conseilla vivement au futur « star » de suivre son pen- © sa carrière cinématographique, il ait collaboré à une créa- chant et de débuter en tournée dans sa troupe. tion vraiment sensationnelle n'en mérite pas moins quel- Mais ces accidents ne se produisent Marie Walcamp dans une scène d'enlisement qui faillit finir mal Il y eut bien quelque résistance dans sa famille ; mais, Ciné pour TOUJ 13

U fougue et l'enthousiasme de ses dix-huit ans emportè- UJ rent tous les doutes. Jack Kerrigan devenait acteur. La Spooner Stock C* le promena dans une infinité de villes des Etats-Unis ; en 1911 il revenait dans sa ville natale, vedette de la troupe dans un répertoire qui com- prenait les succès d'alors : Sam Houston, Master Key, o OH The Road to Yesterday et Brown of Harvard (qui a été tourné depuis par Toim Moore et qu'on a vu en France o o sous le titre : ii'nfre l'amour et l'amitié. Quelque temps après le père de Jack mourut et sa mère vint habiter avec lui. Mais l'état de santé de celle-ci ne lui permit pas longtemps de suivre son fils dans toutes les villes que la troupe visitait successivement. De pas- sage à Chicago, Kerrigan se résolut donc à signer un con- trat qui l'attachait à la Compagnie des films Essanay, dont les studios étaient dans celte ville. Le salaire serait moins élevé mais la résidence serait désormais fixe. Au bout d'un an de travail, Kerrigan commençait à être connu dans les milieux cinématographiques américains, et une offre lui fut bientôt adressée par l'American-Film pour venir tourner en Californie. Jack Kerrigan accepta avec d'autant plus de plaisir que le climat exceptionnel de cette contrée ne pouvait qu'être favorable à la santé de sa mère. Kerrigan resta deux ans aux studios de Santa-Barbara ; il fut la première étoile de l'American-Film, qui a révélé depuis W. Russell, Mary Miles et Margarita Fisher ; et a une époque (1913) où les interprètes étaient rarement nommes. En 1914, Jack Warren Kerrigan signait avec l'Univer- sal Film C° un engagement de trois ans. Pour cette com- pagnie il tourne plusieurs ciné-romans d'aventures et quantité de courtes comédies dramatiques ou sentimen- tales. En fin en 1917, il formait la Kerrigan Feature Film C, dont la production, que nous avons enumérée plus haut a ■tement 1 va. 85, que ses cheveux sont bruns,- ses yeux mar- été éditée, d'abord par la Cie Paralta, ensuite par la Cie ron-gris, que son poids est de 88 kilos. Hodkinson. Jack Kerrigan est célibataire ; il fit avec sa mère dans une villa de style californien pur dénommée Kerryvilla. Ses principales, distractions sont l'auto, le tennis, l'équi- On ne saurait terminer convenablement la biographie tation, le jardinage ; et il répond en personne aux lettres d'une vedette si l'on n'y joignait quelques détails dont les qu'on lui adresse et signe de sa main les photos qu'on admirateurs et admiratrices sont particulièrement friands. lui demande — on sait qu'il y a des « stars » qui laissent

colonel, dans L'Embarquement pour Cythère. En 1913, c'est à Vichy, au Grand Casino que la jeune Blanchette PQ BLANCHE exerce ses talents ; son principal succès y fut un rôle de fillette dans Les Petits, de Lucien Népoty. A partir de ce moment, la carrière théâtrale de Blanche MONTEL Montel s'interrompt et, la même année, elle affronte pour la première fois l'appareil de prise de vues ; un metteur en scène des studios Pathé lui a confié un rôle de petite « Loin des yeux, loin du cœur », dit-on. Cela est parti- Hollandaise dans La Fille de Deljt, une film qui eut à culièrement vrai en ce qui concerne la popularité des l'époque un vrai succès. vedettes de l'écran ; que d'admiration se sont évanouies faute d'aliment 1 Le contraire est d'ailleurs tout aussi Le public — qui d'ailleurs, pour une grande part, est fondé, et l'on a vu des renommées s'établir en fort peu de occupe à tout autre chose — ne reverra plus Blanche temps, à la faveur d'éditions fréquentes de films de la Montel ni à la scène, ni à l'écran, pendant les quatre même vedette. années qui suivent. La renommée des interprètes des ciné-romans de Louis En 1918, pourtant, c'est le retour au studio ; mais un Feuillade n'a pas d'autre origine. Nous avons déjà ali- studio bien diffèrent de celui de 1913... En 1919 on tourne menté la curiosité de nos lecteurs, avec des biographies Barrabas; en 1920 ce sont les Deux Gamines; en 1921, ■tû de René Cresté, E. Mathé, F. Herrmann, Violette Jyl ; nous c'est l'Orpheline. ai <*> allons vous parler un peu, à présent, de Blanche Montel. La petite Blanchette d'hier sait que la véritable artiste < < Françoise Varèse, de Barrabas, Blanche, des Deux Ga- dramatique ne s'éternise pas dans la répétition conti- mines, et Dolorès, de L'Orpheline, ont fait en trois ans nuelle du même type ; aux aimables jeunes filles de Bar- > « à peine de Blanche Montel l'une des plus connues parmi rabas et des Deux Gamines succède ta mauvaise fille de OS les rares jeunes filles du cinéma français. l'Orpheline. Et entre temps ce sont les amusantes sil- — 18 Blanche Montel est toute jeune. Née a Tours en 1902 — houettes esquissées dans quatre ciné-vaudevilles, avec Bis- o £j le 14 août, pour plus de précision — elle a fait connais- cot Ensuite, sous la direction d'H. Destontaines, vient U" w sance avec le public dès l'âge le plus tendre. A l'âge de 1 occasion d esquisser un très fidèle portrait de petite mi- quatre ans, en effet, elle paraissait' pour la première fois dinette parisienne, dans.une comédie qui vient de pa- en scène, sur laquelle elle reparut fréquemment dans la raître : Chichinette et Cie. Et bientôt ce sera Friquette, suite, chaque fois que son pere, M. Montel, alors direc- de Son Altesse, une autre comédie tirée par le même met- teur du Théâtre de Tours, avait besoin d'une petite fille teur en scène d'un roman de Delphi-Fabrice. pour un rôle d'enfant. Les rôles étaient petits ou grands, Enfin, nous aurons à pe uprès tout dit quand ses admi- suivant les cas ; Fanfan, des Deux Gosses, fut parmi ces rateurs sauront que la véritable chevelure de Blanche derniers. Montel est celle de Dolorès dans l'Orpheline, une cheve- En 1912 nous trouvons Blanche Montel — au théâtre lure châtain aux reflets acajou, qui dans les autres rôles on l'appelait Blanchette — à Bruxelles au Théâtre du fut recouverte, ainsi les metteurs-en-scène l'ont désiré, Parc, ou elle joue aux côtés d'Emmy Lynn le rôle du petit d'une perruque blonde. Yeux noirs. Taille : 1 m. 58. 14 Ciné pour Tous Ciné pour Te us

est célibataire. — Vous Verrez Le Mau- semaine. Dommage que le public du pre- conservées. — Vous verrez sans doutt REPONSES POSEES PAR vais garçon au .printemps. mier soit si agaçant, que le deuxième ne VAgonie des Aigles en février. entre nous Tito Shippà. -— Vous reverrez prochai- se gène pas pour pratiquer des coupures Princesse Slave. — Fitzmaurice et Ro- AUX QUESTIONS NOS LECTEURS nement Gabrielle Robinne dans Un mons- cl que le troisième ait une projection bertson sont des metteurs en scène de. la tre et La Destinée. — Pierrette Madd, 1, souvent trop rapide. La projection de Cie Paramount d'Amérique, qui tournent A. Z. —• Mais oui, L'Atlantide est en d'avant-guerre. — G. Biscot est marié à lieff sont ceux que nous avons mention- rue Bcaiijon, Paris (7*). l.utetia-Wagram n'est pas fameuse, ei la actuellement en Europe. La succursale quelque sorte, le Phi-Phi du cinéma, en Rollette, Félix Huguenet à Mme Simon- nés. Dnlljl t'.. Three marked inen (Les projection est au cinéma ce que l'acous- de France' ne fait qu'éditer et n'a pas de partie grâce aux « petits païens » de Girard. Les autres sont célibataires. — Simone Weber. — G. Robinne est Fran- Hommes marqués). — Harry Morey a tique est au théâtre. studio, — George Fitzmaurice a réalisé là Napierkowska, sans doute... L'Assommoir a été filmé en deux moi* ; çaise. Sauf en ce qui concerne Constance .esse de-faire.partie de là Cie Vitagraph, Pilier de cinéma, — Oui. mariés : de plupart des films de Fannie Ward pour Francine. — Aucun autre film, inter- cela se sent, d'ailleurs. Talmadge, encore peu connue en France, et est retourné à la scène. —L'Autre fem- même Mme Kovanko et son metteur en Pathé-Exehange ; il a réalisé ensuite pour prété par Aimé Simon-Girard n'est an- Quelqu'un. — Jack Holt n'a été le par- nous avons publié des biographies de ces nie est un film tourné pour Pathe-Ex- scène M. Tpurjànski. Paramount Le Loup de dentelle qui vient noncé, jusqu'à présent. — Sans doute tenaire de Sessue Hayakawa que deux ou artistes ; voyez la liste page 2. ,-hangé 1917 par Pcggy Hyland. - Le île paraître, L'Homme qui assassina, qui ; Louisette el A. — Essayez tou jours Léon Mathot sera-t-il d'Artagnan dans trois fois ; non, pas dans Forfaiture, où Florine. — Ce film où vous reverrez metteur en scène habituel" de Carey esl va paraître, etc. Amateur de ciné. — Biographie de' Ge- Vingt ans après. le rôle du mari était joué par Jack Dean, P. de Guingànd est intitulé Le Mauvais Inck Ford. neviève Félix dans le numéro 11. Cha- Chose. — La maison Pathé, qui a Colette. —- Voir article dans les numé- le mari de Fannie Ward. —■ Maria Jaco- garçon. L'adresse actuelle de cet artiste O'Antonia. - - Thomas Meighàn est ma- plin joue,, en effet, du violon cii tenant édité ce film en-France, peut vous vendre bini, dans Anna Karénine. — Ces produc- est : studio Film d'Art, 14, rue Chau- ros 76 et 79. — Le référendum de Co- rié -à Frances' Riiig. Né à Pittsburg. l'archet de la main gauche. — Les exté- cette photo. Adressez-vous : 67, faubourg mcedia avait presque exclusivement dési- teurs ne tournent pas de cinéromans. — veau, Neuilly-sur-Seine, . Maya, — Luna Cavaliéri ne tourne rieurs de ce film ont été tournés à Nice Saint-Martin. gné pour le rôle de d'Artagnan Romuald C'est exact pour la France, aans la plu- Ninon D. —• Oui, d'ailleurs nous avions qu'occasionnellement ; elle est avant tout M. Cinéma. - Je n'ai pas vu Le Clul Joubé. part des cas. indiqué, dans la distribution de Rose de .R. Ghémar, - Nous né vendons pas de cantatrice, comme Géraldine rarrar. De des Requins. — Marcel Levesque vient df G. M. A. Carolin. —\ Ce partenaire de Lili.— Jeanne Desclos a quelque chose Nice M. Rieffler. photos ; demander cela à Pathé-Consor- même pour Lou-Tellegeii, artiste drama- tourner La Dame de chez Maxim's er Chaplin dans tous les films de la série comme trente-cinq ans, — Germaine Lar- Ciné-Geviève. — Vous reverrez Romuald lium, 07. faubourg Saint-Mart in. Paris tique, qui vient de créer L'Homme à Ici France et en Italie, avec Pina Meniehelli. Mutual est Eric Campbell, tué en 1918 baudière, dans le rôle de Mme de Che- Joubé dans La Fille sauvage. — Après rose aux Etats-Unis. — Adresse de Pier- Amateur photo. — Demandez cela aui dans un accident d'auto. — Chaplin en- vreuse. Gigolette, Elaine Vernon, devenue Irène rette Madd plus haut ; de Mary Miles artistes eux-mêmes. voie sa photo à ceux qui la lui deman- Roussalka. — Je préfère Pollyanna à Wells, a tourné L'Homme et la Poupée. - rlahs le numéro 71. dent. Dans les bas-fonds. — Cette scène n'a pas La Fille sauvage sera édité par Pathé, au AVIS V. Régnier. — Si vous avez gardé lt fiât un. - Il va des films qui oui atten- R. Toulouse. — Rita Jolivet, Film d'Art, été supprimée par l'éditeur français, mais printemps 1922 sans doute. Vu if nombre sans cesse croissant îles de talrm du mandat, vous pouvez le menacer 14, rue Chauveau, Neuilly-sur-Seine. — par le producteur lui-même. — Non, au- Didy. — On a intercalé dans Pour l'Hu- ilù deux et trois ans l'édition dans les mandes, nous vous prions de bien noter' qu'il de poursuites. Tenez-moi au couranL j* Sans doute, ces artistes n'envoient-ils pas cun procédé technique de ce genre manité quelques scènes tirées de docu- iiiuoiieii de Pathé. Consortium: Ne vous ne nous est possible de répondre sous cette vous prie. plaignez pas trop en ce qui concerne L'Ar- rubrique qu'aux leur photo gratuitement. '— Nous parais- n'existe. mentaires du "front, mais la plupart des D. et Mari). — Rien de fixé jusqu'à pré- tésienne, car ce film n'est terminé que questions D'INTERET GENERAL sons toutes les deux semaines. Nostradamus. — Agnès Ayres, même scènes de bataille . nt réellement été re- sent, sur aucun des trois points. depuis quatre mois. non aux questions d'ordre privé, aux ques- Lilas. — Claude Mérelle, 106, rue de la adresse que Bebe Daniels ; Shirley Ma- constituées en Californie. — Eric Von tions déjà maintes fois examinées, et aux Adm. de Sham. — Quand on reverxa Tour, Paris (16'). son, même adresse que Tom Mix. — Ces Stroheim,, ainsi que nous l'avons indiqué Monique. — L'Autre paraît cette semai- lettres qui nous demandent la marche à sui- cet artiste^ — Aucun nouveau film eo Nouvelle Lectrice. — Ce George Vallos artistes françaises tournent si rarement dans le numéro 75. ne. Adressez-vous à la S.F.F.A., 17, rue vre pour <■ tourner » (a ceux-là nous répon- perspective. — JEcrivez-leur directement! m'est inconnu. que je ne puis vous indiquer d'adresse E. U. U. P. —■ Essayez toujours ; vous île C.lioiseul. dons une fois pour toutes : présentez-vour aux régisseurs, dans les studios). adresses dans le n° 71. Lisette. -— Adresse de W, Farnum dans de studio précise. verrez bien ce qu'on vous répondra ; Georges, — Sandra Milowanoff est Mme Nous ne pouvons répondre directement par César de Bazan. — Le titre américain le numéro 71 ; oui, Américain. Marié. Né Claudette. — En Espagne et principa- adresses de studios page 2. G. de Meek. Adresse dans le numéro 70. lettre, cette rubrique ayant .été créée spécia de Sa dette, d'Hayakawa, est His Debt. — à Roston le 4 juillet 1876. — Vous rever- lement au studio Gaumont. — Vous re- T- Marcel-Odette, A l'étranger il y a Envoie sil photo contre un franc en tim- lement à cet effet. Le titre de ce film de Tom Mix est The rez René Clair dans Parisette ; il se verrez Philippe Hériat dans Don Juan, tout ce qu'il faut et en France on tourne bres. Enfin, nous avons répondu par avance 0 Dare-devil. — Oui, de très nombreuses nomme en réalité René Chomette ; adres- Ecrivez-lui au studio Gaumont. — Eve toutes demandes d'adresses par la publica- si peu de films d'aventures, et, en outre, Rivière Rapide. — Plus exactement : photos. se : studio Gaumont, Carras-Nice. Francis tourne actuellement au studio on paie si peu... tion des adresses françaises (n° 70), amért-. torrent glacé, parait-il. — Rubye de Re- caines (n" 71), suédoises, anglaisés, russes, Gaumont La Femme de nulle part, de L. René Jeannetel. — Un double merci. Jane Martin. — Francesca Bertini ne Tom-Doug-Tou. — Gaumont réédite in- nier dans Mariage d'argent, c'est tout ce allemandes, italiennes, etc.. (n° 73). Delluc. Jeune H. — Oui, demandez-le leur par tournant plus, je ne puis vous indiquer cessamment un film Paramount de Dou- qui a été indiqué, pour ce film. — L'a- écrit, ainsi qu'aux autres maisons l &B d'adresse. — Max Linder est un céliba- Jomdy. —■ Vous allez revoir France glas Fairbanks : D. au pays des mosquées. dresse du n° 71 est la bonne; HayaUawa même genre. — Ces livres ne vous rensei- taire convaincu. Dhélia, dans Le Cœur magnifique, dans — La Petite Fadette a été exécutée (c'est •omprend suffisamment notre langue. Mignon. — Edouard de Max a légère gnerons pas mieux que ce que nous avons Annicircérès. — L'Assommoir a été un rôle bien plus de son emploi que le mot) sur les lieux mêmes décrits par .1. /.. M. — Geneviève Félix, 35. rue du nient dépassé la cinquantaine. -' La tourné aux environs de Paris. — G. Lan- ceux qu'elle avait uans La Montée vers l'auteur. publié sur cette question. Simplon, Paris (18') ; biographie dans le trentaine, pour P. de Guingand. — H. nes et G. Siguoret sont mariés. — Maë l'Acropole et Malenconire. Pollyanna. — Le prochain film à pa- Boblette. — Ecrivez à Bert Lytell £ nu niéro "72. ('resté ne tourne plus Murray est née en 1894 à Portsmouth. — Sisters three. — Kathrine Mac Donald raître en France, avec Lillian Gish, sera la même adresse que pour Viola Dana. — Cinéphs-d'A ftaghaiù Distribution R. Joubé a quarante-quatre ans ; les est née à Pittsburg il y a vingt-cinq ans. Le Cœur se trompe, au printemps, sans Old Rams. - ,1e n'ai pas vu ce film Billy West, le stupide imitateur de Cha- les Trois Mousquetaires dans le n° 7f>. autres n'indiquent pas leur âge, — Pour Célibataire. Pas de théâtre. — Les seuls doute. —- Jean Dax, Suzanne Delvé, italien. — Le partenaire de Pearl White plin, ne tourne plus depuis plus de deux Salisbury et Reid reportez-vous aux bio- interprètes nommés par la maison Ermo- Christiane Vernon et Georges Lannes, > st Henry G. Sell. Amateur A. C. — Aucun film de Mou- ans — et nul ne s'en plaint. graphies déjà publiées ici. — Pearl White dans Le Lys rouge. Marama. — Adresse dans le n" 71. rue Salisbury n'est annoncé pour le mo- O. Petresco." — Pathé-Consortium va est le véritable nom de cette artiste. — ment. - Vous reverrez Francelia Billing- AVOIR du SUCCES. DOMINER. RÉUSSIR Rêves H. for Charlie. — Nous avons publié Louis B. M. — Olga Noël qui a déjà sortir deux films encore inédits en Fran- G. Signoret et Germaine Dermoz dans réalités grâce au Sachtt de Niarka, parfumé, aslralmagnétiquc ton dans Le Renouveau d'amour, que une biographie illustrée de Tom Mix tourné Un cri dans l'abime avec Van ce que Douglas Fairbanks a tournés en Fanny Lear. — Les autres films datent très personnel. Force, Bonheur et Réussite en Tout Noti.e ex- nous annonçons dans < les Films de la plic. cO fr. 60. M"0. Niarka, 131. av.de Paris. St-Mandé(Seine) dans le numéro 58. — Blanche Montel Daëlc cf Menée Cari, tourne actuellement 1917 pour Paramount : In Again, oui Maman Pierre. (l'est une élève de Mme quinzaine ». — Le Coffret de Jade est again et Mr. Fix-it. Les nouveaux films, Cari. . ■ un. film aimablement ph'ilosophique;~fort rie cet artiste sont, comme chacun sait^ bien exécuté el solidement charpenté ; il édités par United Artists (en France : Lej, Zozo. /'. — Les programmes du Colisée. n'a

Le Gérant : P. HENHV