PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS Edition n° 56 du 29 novembre 2016

Les actes dans leur intégralité peuvent être consultés à la préfecture ou auprès des services concernés.

Le recueil peut aussi être consulté :

☛ sur le site Internet des services de l'État en Meurthe-et-Moselle : www.meurthe-et-moselle.gouv.fr

☛ aux guichets d'accueil de la préfecture et des sous-préfectures, pendant deux mois à partir du 29 novembre 2016 RECUEIL N° 56 1627 29 NOVEMBRE 2016

S O M M A I R E

ARRETES, DECISIONS, CIRCULAIRES...... 1628

PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 1628 DIRECTION DE L'ACTION LOCALE...... 1628 Bureau du contrôle de légalité, de l’intercommunalité et du conseil aux collectivités...... 1628 Arrêté préfectoral du 22 novembre 2017 portant création du Syndicat Intercommunal Scolaire de la Vallée de la Seille issu de la fusion du syndicat scolaire public intercommunal de et du Syndicat scolaire intercommunal de la Vallée...... 1628 Arrêté préfectoral du 22 novembre 2016 autorisant la création du nouveau Syndicat intercommunal « La Marelle » issu de la fusion du Syndicat intercommunal « La Marelle » et du Syndicat de construction du Pôle intercommunal –Scolaire-Périscolaire-Culturel-Sportif de Blénod-lès- à compter du 1er janvier 2017...... 1630 Bureau des procédures environnementales...... 1631 Arrêté préfectoral du 23 novembre 2016 enregistrant l’implantation et l’exploitation d’une déchetterie par la Communauté de Communes Moselle et Madon sur le territoire de la commune de ...... 1631 Arrêté préfectoral du 24 novembre 2016 déclarant cessibles les parcelles nécessaires à la création d’une déviation de la RD 974 à ALLAIN...... 1632 DIRECTION DE LA COORDINATION INTERMINISTERIELLE ET DES MOYENS...... 1633 Bureau de l'interministérialité...... 1633 Convention d'utilisation n° 54-2016-0185 valant mise à disposition d'immeubles de l'État au profit de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC)..1633 SERVICES DECONCENTRES DE L’ETAT...... 1633 AGENCE REGIONALE DE SANTE ...... 1633 DELEGATION TERRITORIALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 1633 Service territorial de veille et sécurité sanitaires et environnementales...... 1633 Arrêté n° 2531/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 29 rue Victor Hugo - 54190 ...... 1633 Arrêté n° 2532/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 30 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT...... 1635 Arrêté n° 2533/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 33 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT...... 1636 Arrêté n° 2534/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 34 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT...... 1637 Arrêté n° 2535/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 35 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT...... 1639 Arrêté n° 2536/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 36 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT...... 1640 Arrêté n° 2537/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 31 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT...... 1641 DIRECTION DE LA SANTE PUBLIQUE...... 1643 Service Pharmacie et Biologie...... 1643 Arrêté ARS n° 2016/2805 du 17 novembre 2016 portant modification de l’autorisation de fonctionnement du laboratoire de biologie médicale multisite, exploité par la SELCA « LABORATOIRE ATOUTBIO » sise 89 rue de l'Hôtel de Ville à (54390) - Modification de la répartition du capital social - Démission et intégration de 2 biologistes-coresponsables...... 1643 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE...... 1645 SERVICE ACTEURS, VILLE ET TERRITOIRES...... 1645 Arrêté préfectoral du 2 février 2016 fixant la composition du conseil citoyen de la commune de - Quartier prioritaire Les Provinces N° QP 2015-3 ...... 1645 DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES...... 1646 SECRETARIAT GENERAL...... 1646 Décision 2016/DDT/SG/023 du 9 novembre 2016 portant constitution de la commission de réforme compétente à l’égard des Ouvriers des Parcs et Ateliers ...... 1646 SERVICE AGRICULTURE - FORET - CHASSE...... 1647 Unité Espace rural - Forêt - Chasse...... 1647 Arrêté préfectoral 2016/DDT54/AFC-FF/n° 542 du 7 novembre 2016 portant dissolution de l’association foncière de remembrement dans la commune de ...... 1647 RECUEIL N° 56 1628 29 NOVEMBRE 2016

ARRETES, DECISIONS, CIRCULAIRES

PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE

DIRECTION DE L'ACTION LOCALE Bureau du contrôle de légalité, de l’intercommunalité et du conseil aux collectivités

Arrêté préfectoral du 22 novembre 2017 portant création du Syndicat Intercommunal Scolaire de la Vallée de la Seille issu de la fusion du syndicat scolaire public intercommunal de Nomeny et du Syndicat scolaire intercommunal de la Vallée

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code général des collectivités territoriales et notamment les articles L5211-1 et suivants et L5212-1 et suivants ; VU la loi 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales ; VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et les départements ; VU l'arrêté préfectoral du 16 septembre 1960 portant création du Syndicat Scolaire Intercommunal de Nomeny ; VU l’arrêté préfectoral du 6 septembre 1996 approuvant les nouveaux statuts du syndicat scolaire intercommunal de Nomeny changeant notamment la dénomination en « syndicat scolaire public intercommunal de Nomeny » ; VU l’arrêté préfectoral du 7 mai 1975 autorisant la création du syndicat scolaire intercommunal de la Vallée ; VU la délibération du syndicat scolaire public intercommunal de Nomeny en date du 3 mars 2016, enregistrée en préfecture le 17 mars 2016, proposant la fusion avec le syndicat scolaire intercommunal de la Vallée ; VU l’arrêté préfectoral du 28 avril 2016 fixant le périmètre du syndicat intercommunal à la carte issu de la fusion du syndicat scolaire public intercommunal de Nomeny et du Syndicat scolaire intercommunal de la Vallée VU les statuts du syndicat ; VU la lettre de notification, en date du 28 avril 2016, aux maires des communes et aux présidents des syndicats concernés, respectivement pour accord et avis, leur demandant de délibérer dans un délai de 3 mois sur l’arrêté de projet de périmètre et sur les statuts ; VU les accords exprimés par les communes de : (26/05/2016), (26/05/2016), Arraye-et-Han (12/05/2016), Belleau (06/06/2016), Bey-sur-Seille (15/06/2016), (23/05/2016), Éply (24/05/2016), (02/06/2016), (08/06/2016), Létricourt (03/06/2016), Mailly-sur-Seille (13/05/2016), Nomeny (19/05/2016), (29/06/2016), (25/05/2016), (12/05/2016), Sivry (25/05/2016) et Thézey-Saint- Martin (23/05/2016), VU le désaccord exprimé par la commune de Villers-les- en date du 21 juin 2016 ; VU l’avis favorable du comité syndical du Syndicat scolaire intercommunal de la Vallée en date du 28 juin 2016 ; VU l’avis favorable rendu par la commission départementale de la coopération intercommunale réunie dans sa formation plénière lors de la séance du 17 octobre 2016 ; CONSIDÉRANT que l’absence de délibération au terme du délai de 3 mois vaut avis favorable ; CONSIDÉRANT que les conditions de majorité qualifiée requise par le II de l’article L5212-27 du code général des collectivités territoriales est atteinte ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ; A R R E T E Article 1er : Est autorisée, à compter du 1er janvier 2017, entre les communes d’Abaucourt, Armaucourt, Arraye-et-Han, Belleau, Bey-sur-Seille, , Chenicourt, Clémery, Éply, Jeandelaincourt, Lanfroicourt, Létricourt, Mailly-sur-Seille, Moivrons, Nomeny, Phlin, Port-sur-Seille, Raucourt, Rouves, Sivry, Thézey-Saint-Martin et Villers-lès-Moivrons, la création syndicat intercommunal à la carte issu de la fusion du Syndicat scolaire public intercommunal de Nomeny et du Syndicat scolaire intercommunal de la Vallée. Ce syndicat porte le nom de : « Syndicat Intercommunal Scolaire de la Vallée de la Seille » Article 2 : Ā la même date le Syndicat Intercommunal Scolaire de la Vallée de la Seille est substitué au Syndicat scolaire public intercommunal de Nomeny et au Syndicat scolaire intercommunal de la Vallée qui cessent d’exister. Article 3 : Le siège du syndicat est fixé en mairie de Nomeny (54610) Article 4 : Le syndicat est institué pour une durée illimitée. Article 5 : Le syndicat a pour objet d’assurer les compétences suivantes : La compétence gymnase : La construction, la réhabilitation, l’entretien et la gestion de gymnases dans le cadre des activités scolaires et associatives. La compétence collège : Le transport des élèves des établissements d’enseignement du 2ème degré de Nomeny dans le cadre de sorties « piscine » ou de sorties exceptionnelles. La compétence scolaire « primaire » : - La gestion d’une école primaire de regroupement à Nomeny, y compris la cantine et le préau couvert. - Le transport des élèves des établissements d’enseignement du 1er degré de Nomeny dans le cadre de sortie « piscine » ou de sorties exceptionnelles. La compétence scolaire « maternelle » : - La gestion d ‘une école maternelle à Nomeny et d’une école maternelle à Mailly-sur-Seille. - Le transport des élèves des établissements d’enseignement du 1er degré de Nomeny et de Mailly-sur-Seille dans le cadre de sorties « piscine » ou de sorties ou de sorties exceptionnelles. Article 6 : Les conditions dans lesquelles les communes transfèrent au syndicat tout ou partie des compétences que celui-ci est habilité à exercer sont fixées par l’article L5211-17 du code général des collectivités territoriales. Article 7 : Le comité syndical du Syndicat Intercommunal Scolaire de la Vallée de la Seille est composé de 44 délégués titulaires et 22 délégués suppléants à raison de 2 délégués titulaires et 1 délégué suppléant par commune. Article 8 : L'ensemble des biens, droits et obligations du Syndicat scolaire public intercommunal de Nomeny et du Syndicat scolaire intercommunal de la Vallée est transféré au Syndicat Intercommunal Scolaire de la Vallée de la Seille Article 9 : Le comptable du syndicat est le trésorier du Bassin de Pont-à-. Article 10 : L'ensemble des personnels du Syndicat scolaire public intercommunal de Nomeny et du Syndicat scolaire intercommunal de la Vallée est réputé relever du Syndicat Intercommunal Scolaire de la Vallée de la Seille dans les conditions de statut et d'emploi qui sont les siennes. Article 11 : Les statuts approuvés du syndicat resteront annexés au présent arrêté. Article 12 : Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Nancy, dans un délai de deux mois à compter de sa notification ou de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. RECUEIL N° 56 1629 29 NOVEMBRE 2016

Article 13 : Le secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le sous-préfet de Toul sont chargés de l’exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée aux maires des communes concernées et au directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et- Moselle et qui fera, en outre, l’objet d’une publication au recueil des actes administratifs de la préfecture Nancy, le 22 novembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY

Statuts du syndicat intercommunal scolaire de la vallée de la Seille OBJET

ARTICLE PREMIER En application des dispositions des articles L.5212-1 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales relatifs aux syndicats de communes, les communes adhérentes se constituent en syndicat intercommunal fonctionnant à la carte en vue d'assurer : La compétence gymnase : la construction, la réhabilitation, l'entretien et la gestion de gymnases dans le cadre des activités scolaires et associatives. La compétence collège : le transport des élèves des établissements d'enseignements du 2ème degré de Nomeny dans le cadre de sorties "piscine" ou de sorties exceptionnelles. La compétence scolaire "primaire" : - La gestion d'une école primaire de regroupement à Nomeny, y compris la cantine et le préau couvert. - Le transport des élèves des établissements d'enseignements du 1er degré de Nomeny dans le cadre de sorties "piscine" ou de sorties exceptionnelles. La compétence scolaire "maternelle" : - La gestion d’une école maternelle à Nomeny et d’une école maternelle à Mailly-sur-Seille. - Le transport des élèves des établissements d'enseignements de 1er degré de Nomeny et de Mailly-sur-Seille dans le cadre de sorties ″piscine″ ou de sorties exceptionnelles. CIRCONSCRIPTION - SIEGE ARTICLE DEUX Le Syndicat qui porte le nom de ″Syndicat intercommunal scolaire de la Vallée de la Seille″ a son siège en Mairie de Nomeny et comprend les communes suivantes : ABAUCOURT-SUR-SEILLE - ARMAUCOURT - ARRAYE-et-HAN - BELLEAU - BEY-sur-SEILLE - BRATTE - CHENICOURT - CLEMERY - EPLY - JEANDELAINCOURT - LANFROICOURT - LETRICOURT - MAILLY-sur-SEILLE - MOIVRONS - NOMENY - PHLIN - PORT-sur-SEILLE - RAUCOURT - ROUVES - SIVRY - THEZEY-SAINT-MARTIN - VILLERS-lès-MOIVRONS. Les communes membres pour les compétences sont : Compétence gymnase : ABAUCOURT-SUR-SEILLE - ARMAUCOURT - ARRAYE-et-HAN - BELLEAU - BEY-sur-SEILLE - BRATTE - CHENICOURT - CLEMERY - EPLY - JEANDELAINCOURT - LANFROICOURT - LETRICOURT - MAILLY-sur-SEILLE - MOIVRONS - NOMENY - PHLIN - PORT-sur-SEILLE - RAUCOURT - ROUVES - SIVRY - THEZEY-SAINT-MARTIN - VILLERS-les-MOIVRONS. Compétence collège : ABAUCOURT-SUR-SEILLE - ARMAUCOURT - ARRAYE-et-HAN - BELLEAU - BEY-sur-SEILLE - BRATTE - CHENICOURT - CLEMERY - EPLY - JEANDELAINCOURT - LANFROICOURT - LETRICOURT - MAILLY-sur-SEILLE - MOIVRONS - NOMENY - PHLIN - PORT-sur-SEILLE - RAUCOURT - ROUVES - SIVRY - THEZEY-SAINT-MARTIN - VILLERS-les-MOIVRONS. Compétence scolaire "primaire" : ABAUCOURT-SUR-SEILLE - BELLEAU - BRATTE - EPLY - MAILLY-SUR-SEILLE - NOMENY - PHLIN - PORT-SUR-SEILLE - RAUCOURT - ROUVES - THEZEY-SAINT-MARTIN. Compétence scolaire "maternelle" : ABAUCOURT-SUR-SEILLE - EPLY - MAILLY-SUR-SEILLE - NOMENY - PHLIN - PORT-SUR-SEILLE - RAUCOURT - ROUVES - THEZEY-SAINT-MARTIN. DUREE ARTICLE TROIS La durée du Syndicat est illimitée. ADMINISTRATION ARTICLE QUATRE Le Syndicat est administré par un Comité composé de membres élus par les Conseils Municipaux des Communes intéressées, chacune représentée au Comité par deux Délégués auxquels sera associé un Délégué suppléant appelé à siéger au comité avec voix délibérative en cas d'empêchement de l'un des Délégués titulaires. Peuvent être invités à titre consultatif aux séances du Comité : le Conseiller départemental du Canton, le Receveur du S.I.S., l'Inspecteur de l'Éducation Nationale de la circonscription, le Principal du Collège, les Directeurs des Écoles Primaire et Maternelle, les Présidents des Associations de Parents d'Élèves et toute personne qualifiée, en fonction de l'ordre du jour. Le fonctionnement du Syndicat à la carte est encadré par l’article L. 5212-16 du CGCT : 1°) Tous les Délégués prennent part au vote pour les affaires présentant un intérêt commun à toutes les Communes et notamment pour l'élection du Président et des Membres du Bureau, le vote du budget, l'approbation du compte administratif et les décisions relatives aux modifications des conditions initiales de composition, de fonctionnement et de durée du Syndicat ; dans le cas contraire, ne prennent part au vote que les Délégués représentant les Communes concernées par l'affaire mise en délibération ; 2°) Le Président prend part à tous les votes sauf en cas d'application des articles L. 2121-14 et L. 2131-11 ; 3°) Pour tenir compte des compétences transférées par chaque Commune au Syndicat, la décision d'institution peut fixer des règles particulières de représentation de chaque Commune. Le Comité se réunit au moins une fois par semestre. Il peut être convoqué extraordinairement par son Président ou à la demande d'un tiers au moins des Membres du Comité. Les délibérations du Comité sont soumises aux mêmes règles que celles des Conseils Municipaux. La fonction de Receveur est assurée par le Chef de Poste de la Trésorerie de Pont-à-Mousson. BUDGET ARTICLE CINQ Le budget du Syndicat comprend six sections comptables ainsi dénommées : - Cantine - École Primaire de Regroupement - École Maternelle - Collège : au titre de l'aide aux sorties et projets exceptionnels - Gymnase - Frais communs Chaque section a ses propres recettes et ses propres dépenses. Section CANTINE Les dépenses de fonctionnement incombant à cette section ainsi que la participation de la section aux frais communs, fixée à 20 %, sont couvertes par des subventions, la participation des familles, des commensaux et les recettes découlant de la location des matériels ou locaux. RECUEIL N° 56 1630 29 NOVEMBRE 2016

Les communes concernées par cette section sont : ABAUCOURT-SUR-SEILLE - BELLEAU - BRATTE - EPLY - MAILLY-SUR-SEILLE - NOMENY - PHLIN - PORT-SUR-SEILLE - RAUCOURT - ROUVES - THEZEY-SAINT-MARTIN. Section ECOLE PRIMAIRE DE REGROUPEMENT Les dépenses de fonctionnement de la section sont réparties, selon leur nombre d'habitants, entre les communes intéressées, à savoir : ABAUCOURT-SUR-SEILLE - BELLEAU - BRATTE - EPLY - MAILLY-SUR-SEILLE - NOMENY - PHLIN - PORT-SUR-SEILLE - RAUCOURT - ROUVES - THEZEY SAINT MARTIN. La participation de la section aux frais communs est fixée à 20 %. Section ECOLE MATERNELLE La participation des communes aux frais de fonctionnement de l'école maternelle et de la section est établie au prorata du nombre d'habitants des communes concernées, à savoir : ABAUCOURT-SUR-SEILLE - EPLY - MAILLY-SUR-SEILLE - NOMENY - PHLIN - PORT-SUR-SEILLE - RAUCOURT - ROUVES - THEZEY-SAINT-MARTIN. La participation de cette section aux frais communs est fixée à 20 %. Section COLLEGE La participation des communes aux frais de fonctionnement de la section est établie au prorata du nombre d'habitants des communes concernées, à savoir : ABAUCOURT-SUR-SEILLE - ARMAUCOURT - ARRAYE-et-HAN - BELLEAU - BEY-sur-SEILLE - BRATTE - CHENICOURT - CLEMERY - EPLY - JEANDELAINCOURT - LANFROICOURT - LETRICOURT - MAILLY-sur-SEILLE - MOIVRONS - NOMENY - PHLIN - PORT-sur-SEILLE - RAUCOURT - ROUVES - SIVRY - THEZEY-SAINT-MARTIN - VILLERS-les-MOIVRONS. La participation de cette section dans les frais communs est fixée à 20 %. Section GYMNASE La participation de cette section dans les frais communs est fixée à 20 %. Les dépenses de fonctionnement de la section sont couvertes par des subventions, la participation du collège ″Val de Seille″, la participation de la section ″Collège″, ainsi que la participation des autres utilisateurs. Le prix de l'heure d'occupation est fixé par délibération du comité. Le remboursement des emprunts et les dépenses d'investissement incombant à cette section sont répartis entre les 22 communes concernées au prorata du nombre d'habitants. Section FRAIS COMMUNS Les dépenses de cette section comprennent : - Les frais de transports - Les dépenses de personnel - Les indemnités de fonction - L’assurance responsabilité civile - Les fournitures de bureau et imprimés - Les dépenses liées à la gestion du S.I.S. - Les frais de location de salles et de bureau Les recettes de la section sont constituées par : - Les subventions couvrant les frais de transports - La participation des autres sections Copie des budgets et des comptes du Syndicat sera adressée chaque année aux Maires des Communes membres pour communication à leur conseil municipal. INVENTAIRE PERMANENT ARTICLE SIX Le Président du Syndicat tiendra un inventaire permanent du mobilier et du matériel acquis au compte du Syndicat. ADHESION ARTICLE SEPT L’adhésion d’une Commune à un syndicat est strictement encadrée à l’article L.5211-18 du CGCT. DISPOSITIONS GENERALES ARTICLE HUIT Toute disposition non prévue aux présents statuts sera réglée conformément aux dispositions contenues dans les articles L. 5212-1 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales. Nancy, le 22 novembre 2016 Préfecture de Meurthe-et-Moselle Vu pour être annexé à notre arrêté de ce jour

Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral du 22 novembre 2016 autorisant la création du nouveau Syndicat intercommunal « La Marelle » issu de la fusion du Syndicat intercommunal « La Marelle » et du Syndicat de construction du Pôle intercommunal –Scolaire-Périscolaire-Culturel-Sportif de Blénod-lès-Toul à compter du 1er janvier 2017

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code général des collectivités territoriales et notamment l’article L5212-27 ; VU la loi 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales ; VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et les départements ; VU l'arrêté préfectoral du 8 juin 2004 portant création du Syndicat Intercommunal « La Marelle » ; VU l’arrêté préfectoral du 13 mars 2013 autorisant la création du Syndicat Syndicat de construction du Pôle intercommunal –Scolaire- Périscolaire-Culturel-Sportif de Blénod-lès-Toul ; VU l’arrêté préfectoral du 23 mai 2016 fixant le projet de périmètre du syndicat de communes issu de la fusion du Syndicat intercommunal « La Marelle » et du Syndicat de construction du Pôle intercommunal –Scolaire-Périscolaire-Culturel-Sportif de Blénod-lès-Toul ; VU les statuts du syndicat ; VU la lettre de notification aux maires des communes et aux présidents des syndicats concernés, respectivement pour accord et avis, leur demandant de délibérer dans un délai de 3 mois sur l’arrêté de projet de périmètre et sur les statuts ; VU les accords exprimés par les communes de : Blénod-lès-Toul (14 juin 2016), (20 juin 2016), Charmes-la-Côte (10 juin 2016), Gye (30 mai 2016) et Mont-le-Vignoble (3 juin 2016) ; VU l’avis favorable du syndicat intercommunal « La Marelle » en date du 9 juin 2016 ; RECUEIL N° 56 1631 29 NOVEMBRE 2016

VU l’avis favorable rendu par la commission départementale de la coopération intercommunale réunie dans sa formation plénière lors de la séance du 17 octobre 2016 ; CONSIDÉRANT que les conditions de majorité qualifiée requise par le II de l’article L5212-27 du code général des collectivités territoriales est atteinte ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ; A R R E T E Article 1er : Est autorisée, à compter du 1er janvier 2017, entre les communes de Blénod-lès-Toul, Bulligny, Charmes-la-Côte, Gye et Mont-le- Vignoble la création d’un syndicat de communes issu de la fusion du Syndicat intercommunal « La Marelle » et du Syndicat de construction du Pôle intercommunal –Scolaire-Périscolaire-Culturel-Sportif de Blénod-lès-Toul. Ce syndicat porte le nom de : Syndicat intercommunal « La Marelle » Article 2 : À la même date, le nouveau Syndicat intercommunal « La Marelle » est substitué à l’ancien Syndicat intercommunal « La Marelle » et au Syndicat de construction du Pôle intercommunal –Scolaire-Périscolaire-Culturel-Sportif de Blénod-lès-Toul qui cessent d’exister. Article 3 : Le siège du syndicat est fixé en mairie de Blénod-lès-Toul (54113) Article 4 : Le syndicat est institué pour une durée illimitée. Article 5 : Le syndicat a pour objet d’assurer les compétences suivantes : - Le fonctionnement des écoles de Blénod-lès-Toul, Bulligny, Charmes-la-Côte et Mont-le-Vignoble dans le cadre du regroupement pédagogique des premiers, deuxièmes et troisièmes cycles scolaires, - Le fonctionnement du péri et extra scolaire sur les communes de Blénod-lès-toul, Bulligny, Charmes-la-Côte, Gye et Mont-le-Vignoble, - Le fonctionnement du futur groupe scolaire de Blénod-lèsToul, - Le fonctionnement d’activités culturelles et sportives du futur groupe scolaire de Blénod-lès-Toul, - Les investissements nécessaires à la bonne marche du syndicat, - Les investissements pour la prise en charge de l’ensemble des investissements propres à la construction du groupe scolaire projeté à Blénod- lès-Toul, - La contractualisation avec les partenaires financiers. Article 6 : Le comité syndical du nouveau Syndicat intercommunal « La Marelle » est composé de 15 délégués titulaires et 5 délégués suppléants à raison de 3 délégués titulaires et 1 délégué suppléant par commune. Article 7 : L'ensemble des biens, droits et obligations du Syndicat intercommunal « La Marelle » et du Syndicat de construction du Pôle intercommunal –Scolaire-Périscolaire-Culturel-Sportif de Blénod-lès-Toul est transféré au nouveau Syndicat intercommunal « La Marelle » Article 8 : Le comptable du syndicat est le trésorier de Colombey-les-Belles. Article 9 : L'ensemble des personnels du Syndicat intercommunal « La Marelle » et du Syndicat de construction du Pôle intercommunal – Scolaire-Périscolaire-Culturel-Sportif de Blénod-lès-Toul est réputé relever du nouveau Syndicat intercommunal « La Marelle » dans les conditions de statut et d'emploi qui sont les siennes. Article 10 : Les statuts approuvés du syndicat resteront annexés au présent arrêté. Article 11 : Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Nancy, dans un délai de deux mois à compter de sa notification ou de sa publication au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Article 12 : Le secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le sous-préfet de Toul sont chargés de l’exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée aux maires des communes concernées et au directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et- Moselle et qui fera, en outre, l’objet d’une publication au recueil des actes administratifs de la préfecture Nancy, le 22 novembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY Les statuts annexés au présent arrêté sont consultables en préfecture à la Direction de l’action locale - Bureau du contrôle de légalité, de l’intercommunalité et du conseil aux collectivités.

Bureau des procédures environnementales

Arrêté préfectoral du 23 novembre 2016 enregistrant l’implantation et l’exploitation d’une déchetterie par la Communauté de Communes Moselle et Madon sur le territoire de la commune de MESSEIN Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de l’environnement, et en particulier ses articles L. 512-7 à L. 512-7-7, R. 512-46-1 à R. 512-46-30 ; VU le Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) Rhin-Meuse, le plan départemental de gestion et d’élimination des déchets non dangereux de Meurthe-et-Moselle et le plan local d’urbanisme de la commune de MESSEIN ; VU l’arrêté ministériel du 26 mars 2012 relatif aux prescriptions générales applicables aux installations classées relevant du régime de l'enregistrement au titre de la rubrique n° 2710-2 (installations de collecte de déchets non dangereux apportés par leur producteur initial) de la nomenclature des installations classées pour la protection de l'environnement ; VU la demande présentée en date du 25 août 2016 par la Communauté de Communes Moselle et Madon, dont le siège est situé 145 rue du Breuil à NEUVES-MAISONS (54230), pour l’enregistrement d’une déchetterie relevant de la rubrique 2710-2 de la nomenclature des installations classées, sur le territoire de la commune de MESSEIN, lieu-dit « le Crassier » ; VU le dossier technique annexé à la demande, notamment les plans du projet et les justifications de la conformité des installations projetées aux prescriptions générales de l’arrêté ministériel susvisé ; VU l’avis formulé par le maire de la commune de MESSEIN le 6 septembre 2015 sur la proposition d’usage futur du site faite par le demandeur pour sa remise en état en cas d’arrêt définitif de la déchetterie projetée ; VU l’arrêté préfectoral 2016-1296 CP du 8 septembre 2016 fixant les jours et heures où le dossier d’enregistrement a pu être consulté par le public ; VU l’absence d’observation formulée par le public sur le registre de consultation tenu à disposition du 3 au 31 octobre 2016 ; VU l’avis favorable émis par le conseil municipal de la commune de MESSEIN le 21 octobre 2016 sur la demande de la Communauté des Communes Moselle et Madon pour exploiter une déchetterie sur la commune de Messein ; VU le rapport de l’inspection des installations classées de la DREAL Grand Est PM/LL/695-2016 en date du 18 novembre 2016 ; CONSIDÉRANT que la demande d’enregistrement justifie le respect des prescriptions générales fixées par l’arrêté ministériel du 26 mars 2012 susvisé et que le respect de celles-ci suffit à garantir la protection des intérêts mentionnés à l’article L. 511-1 du code de l’environnement ; CONSIDERANT que la demande précise que le site sera remis dans un état permettant d’accueillir une nouvelle activité en adéquation avec les contraintes du secteur (activité tertiaire ou industrielle autorisées dans le permis d’aménager de la Zone Moselle Rive Gauche), en cas d’arrêt définitif de l’installation ; CONSIDERANT que la sensibilité du milieu ne justifie pas le basculement en procédure d’autorisation ; SUR proposition du Secrétaire Général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle ; RECUEIL N° 56 1632 29 NOVEMBRE 2016

A R R E T E TITRE 1 : Portée et conditions générales Article 1er : Exploitant - durée et péremption L’installation classée ayant fait l’objet de la demande présentée le 25 août 2016 par la Communauté de Communes Moselle et Madon, dont le siège se situe 145 rue du Breuil à NEUVES-MAISONS (54230), est enregistrée. Cette installation, précisée à l’article 2 du présent arrêté, est localisée : lieu-dit « le Crassier » à MESSEIN (sur la parcelle définie à l’article 3 du présent arrêté). L’arrêté d’enregistrement cesse de produire effet lorsque, sauf cas de force majeure, l’installation n’a pas été mise en service dans le délai de 3 ans ou lorsque l’exploitation a été interrompue plus de deux années consécutives (article R. 512-74 du code de l’environnement). Article 2 : Liste et principales caractéristiques des installations classées Les installations classées visées par le présent arrêté sont les suivantes : Rubrique de la nomenclature Installations et activités concernées Éléments caractéristiques Régime Installation de collecte de déchets non dangereux Déchets non dangereux tota- apportés par le producteur initial de ces déchets, le 2710-2-b lisant un volume susceptible E volume susceptible d’être présent dans l’installation étant d’être présent de 550 m3 supérieur ou égal à 300 m3 et inférieur à 600 m3 E (enregistrement) Article 3 : Situation de l’établissement Les installations classées visées à l’article 2 du présent arrêté sont implantées sur le territoire de la commune de MESSEIN sur la parcelle cadastrale n° AK 239, lieu-dit « le Crassier ». Elles sont reportées avec leurs références sur un plan de situation de l’établissement tenu à jour et tenu en permanence à disposition de l’inspection des installations classées. Article 4 : Conformité au dossier d’enregistrement Les installations et leurs annexes, objet du présent arrêté, sont disposées, aménagées et exploitées conformément aux plans et données techniques contenus dans le dossier accompagnant la demande d’enregistrement déposée par l’exploitant le 25 août 2016. Elles respectent les dispositions de l’arrêté ministériel du 26 mars 2012 relatif aux prescriptions générales applicables aux installations classées relevant du régime de l'enregistrement au titre de la rubrique n° 2710-2 (installations de collecte de déchets non dangereux apportés par leur producteur initial) susvisé. Article 5 : Mise à l’arrêt définitif des installations A la fin de l’exploitation de cette unité de collecte des déchets, toutes les constructions seront démontées et la voirie pourra être utilisée comme parking ou comme voirie d’accès à la nouvelle activité. Le site pourra être réutilisé pour accueillir une nouvelle activité en adéquation avec les contraintes du secteur (activité tertiaire ou industrielle autorisées dans le permis d’aménager de la Zone Moselle Rive Gauche). Article 6 : Prescriptions techniques applicables Les dispositions des textes réglementaires suivants sont applicables à la déchetterie : l’arrêté ministériel du 26 mars 2012 relatif aux prescriptions générales applicables aux installations classées relevant du régime de l'enregistrement au titre de la rubrique n° 2710-2 (installations de collecte de déchets non dangereux apportés par leur producteur initial) susvisé. TITRE 2 : Modalités d’exécution et voies de recours Article 7 : Frais Les frais inhérents à l’application des prescriptions du présent arrêté sont à la charge de l’exploitant. Article 8 -Recours Conformément à l’article L. 514-6 du code de l’environnement, la présente décision est soumise à un contentieux de pleine juridiction. Elle ne peut être déférée qu’au Tribunal Administratif de NANCY – 5, place de la Carrière – case officielle n° 38 – 54 036 NANCY Cedex, dans les délais prévus à l’article R. 514-3-1 du même code : - par l’exploitant, dans le délai de deux mois qui suit la date de notification du présent arrêté, - par les tiers, personnes physiques ou morales, les communes intéressées ou leurs groupements, en raison des inconvénients ou des dangers que le fonctionnement de l'installation présente pour les intérêts mentionnés aux articles L. 211-1 et L. 511-1 du même code dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage de ces décisions. Article 9 : En vue de l’information des tiers : 1° - une copie du présent arrêté sera déposée à la mairie de MESSEIN et pourra y être consultée par toute personne intéressée. 2° - un extrait de cet arrêté sera affiché à la mairie précitée pendant une durée minimum de quatre semaines. Le maire établira un procès-verbal constatant l’accomplissement de cette formalité et le fera parvenir à la préfecture. Le même extrait sera publié sur le site internet de la préfecture pour une durée identique. 3° - un avis sera inséré par les soins du préfet et aux frais de l’exploitant dans deux journaux diffusés dans le département. Article 10 : Le secrétaire général de la préfecture, le maire de MESSEIN, Mme la directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement Grand Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié : - au président de la Communauté de Communes Moselle et Madon et dont une copie sera adressée : - à l’Inspecteur des installations classées. Nancy, le 23 novembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY ______

Arrêté préfectoral du 24 novembre 2016 déclarant cessibles les parcelles nécessaires à la création d’une déviation de la RD 974 à ALLAIN

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de l'expropriation pour cause d'utilité publique, notamment les articles L. 1, L.132-1 et R.131-1 à R.132-4 ; VU le décret n° 55-22 du 4 janvier 1955 modifié portant réforme de la publicité foncière, et notamment ses articles 5 à 7 ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et les départements ; VU l’arrêté préfectoral du 23 avril 2013 modifié déclarant d’utilité publique les travaux nécessaires à la réalisation de la RD 974 à Allain ; VU l’arrêté préfectoral du 16 décembre 2015 portant ouverture d’une enquête parcellaire dans le cadre de la réalisation de la déviation de la RD 974 à Allain ; VU le dossier établi par le Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle en vue de l'enquête parcellaire ; RECUEIL N° 56 1633 29 NOVEMBRE 2016

VU les pièces justificatives attestant de l'accomplissement des formalités de publicité prévues par le code de l’expropriation dans le cadre de l’organisation d’une enquête parcellaire ; CONSIDÉRANT que le commissaire-enquêteur a émis un avis favorable sous réserve du déclassement préalable des parcelles cadastrées ZP 54 et ZI 1 appartenant respectivement au domaine public de l’Etat et de la commune d’Allain ; CONSIDÉRANT que le Conseil départemental a décidé de ne solliciter que la cessibilité des parcelles situées en dehors du périmètre d’aménagement foncier excluant de fait les parcelles cadastrées ZP 54 et ZI 1 ; CONSIDÉRANT la nécessité pour le Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle d’acquérir les parcelles nécessaires à la réalisation du projet de déviation de la RD 974 à Allain ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1 : Les parcelles désignées sur le plan et l'état parcellaire annexés au présent arrêté sont déclarées immédiatement cessibles au profit du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle. Article 2 : Le présent arrêté de cessibilité est valable pour une durée de six mois. Article 3 : L'acquisition par le Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle des parcelles mentionnées dans l'état parcellaire annexé au présent arrêté peut être opérée soit par voie amiable, soit par voie d'expropriation dans les conditions fixées par les dispositions législatives et réglementaires du code de l'expropriation pour cause d'utilité publique. Article 4 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et notifié par le président du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle, en pli recommandé avec avis de réception, aux propriétaires figurant sur l'état parcellaire. Article 5 : La présente décision peut faire l'objet, dans le délai de deux mois à compter de sa notification, d'un recours gracieux et/ou contentieux auprès respectivement du préfet de Meurthe-et-Moselle et du président du Tribunal administratif de Nancy. Article 6 : Le secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le président du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée, pour information, au maire d’Allain, au sous-préfet de Toul et à la directrice départementale des Territoires. Nancy, le 24 novembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY

DIRECTION DE LA COORDINATION INTERMINISTERIELLE ET DES MOYENS Bureau de l'interministérialité

Convention d'utilisation n° 54-2016-0185 valant mise à disposition d'immeubles de l'État au profit de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC)

Le 22 novembre 2016 a été conclue, dans le cadre des dispositions des articles R.2313-1 à R.2313-5 et R.4121-2 du code général de la propriété des personnes publiques, la convention d'utilisation n°54-2016-0185 entre L’administration chargée des Domaines, représentée par l’Administrateur Général des Finances Publiques du département de Meurthe et Moselle, dont les bureaux sont à NANCY, 50 rue des Ponts, stipulant en vertu de la délégation de signature du préfet de Meurthe-et-Moselle qui lui a été consentie, ci-après dénommée le propriétaire, et La Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC), rattachée au Ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer, représentée par M. Le Chef du Pôle de Strasbourg du Service National d’Ingénierie Aéroportuaire (SNIA) dont les bureaux sont situés à ENTZHEIM (67960), Quartier de l’Aéroport, ci-après dénommée l’utilisateur, La présente convention a pour objet de mettre à la disposition de l’utilisateur pour l’exercice de ses missions un immeuble intitulé « Antenne Avancée » situé au lieu-dit sur le Chemin de Saint-Nicolas à BRATTE et cadastré OB 78. La convention est conclue pour une durée de neuf ans. Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY

L'intégralité de cette convention peut être consultée à la préfecture au bureau de l'interministérialité.

SERVICES DECONCENTRES DE L’ETAT AGENCE REGIONALE DE SANTE GRAND EST

DELEGATION TERRITORIALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE Service territorial de veille et sécurité sanitaires et environnementales

Arrêté n° 2531/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 29 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la santé publique, notamment les articles L.1331-26 à L.1331-30, L.1337-4, R.1331-4 à R.1331-11, R.1416-1 à R.1416-5 ; VU le code de la construction et de l'habitation notamment les articles L.521-1 à L.521-4 et les articles L.541-2 ; VU le décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent ; VU l’arrêté du 10 décembre 2012 et ses modificatifs, notamment du 20 juillet 2016 relatif à la composition du conseil départemental de l’environnement des risques sanitaires et technologiques (CODERST) de Meurthe-et Moselle ; VU la circulaire DGS/DGUHC/SD7C/IUH4 n° 293 du 23 juin 2003 relative à la mise à disposition d’une nouvelle grille d’évaluation de l’état des immeubles susceptibles d’être déclarés insalubres ; VU l’arrêté préfectoral du 5 août 1981 modifié établissant le Règlement Sanitaire Départemental de Meurthe-et-Moselle et notamment les dispositions de son titre II applicables aux locaux d’habitation ; VU l’enquête sanitaire des services de l’agence régionale de santé du 9 août 2016 ; RECUEIL N° 56 1634 29 NOVEMBRE 2016

VU l'avis du 13 octobre 2016 du conseil départemental de l’environnement, des risques sanitaires et technologiques (CODERST) sur la réalité et les causes de l'insalubrité de l’immeuble susvisé et sur la possibilité d’y remédier ; CONSIDERANT que l’immeuble constitue un danger pour la santé et la sécurité des personnes qui l’occupent ou qui sont susceptibles de l’occuper, notamment aux motifs suivants : - Seuls le rez de chaussée et le 1er étage peuvent être considérés comme des pièces principales (compte tenu de la faible hauteur sous plafond et de l’éclairage naturel insuffisant) ; - Insuffisance d’éclairement naturel avec risques d’atteinte à la santé mentale ; - Présence de sanitaires ne pouvant garantir l’intimité des occupants ; - Absence de garde-corps aux fenêtres situées aux 1er et 2ème étages avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Escalier extérieur permettant d’accéder au logement et les 3 escaliers intérieurs non sécurisés avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Accès au sous-sol et accès aux combles non sécurisés : absence de dispositif de retenue des personnes ou dispositif inadapté avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Installation électrique non sécurisée présentant des risques de chocs électriques, d’électrocution et d’incendie ; - Système de ventilation et de renouvellement permanent d’air neuf non fonctionnel, préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et défavorable au bon état et entretien du logement ; - Présence d’humidité préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) ; - Installation de chauffage non sécurisée, et non adaptée à la configuration et aux caractéristiques du logement avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et risque d’intoxication par le monoxyde de carbone ; - Réseau intérieur d’évacuation des eaux usées non conforme et risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies infectieuses, parasitaires) ; - Présence de nuisibles (rongeurs, pigeons) avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies infectieuses, parasitaires) ; - Isolation thermique insuffisante avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et avec risque de dégradation du bâti ; CONSIDERANT que le CODERST est d’avis qu’il est possible de remédier à l’insalubrité de l’immeuble ; A R R E T E Article 1 : L’immeuble situé 29 rue Victor Hugo à VILLERUPT (54190) – références cadastrales AD 667 – propriété de l’Etablissement Public Foncier de Lorraine, établissement public industriel et commercial, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière, créé par décret n°73-250 en date du 7 mars 1973, modifié par le décret n°2014-1733 du 29 décembre 2014, dont le siège est à PONT-A-MOUSSON (54700), rue Robert Blum, identifiée au SIREN sous le numéro 301365847, Propriété acquise par acte du 01 décembre 2014, reçu par Maître CUIF, notaire associé à NANCY, et publié le 22 décembre 2014 au volume 2014P n°4629,ou leurs ayants droit, est déclaré insalubre remédiable. Article 2 : Afin de remédier à l’insalubrité constatée, il appartiendra aux propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 de réaliser selon les règles de l’art, et dans le délai de 1 an à compter de la notification du présent arrêté, les mesures ci-après : - Prise de toute disposition (hauteur sous plafond, éclairage naturel) pour rendre habitable la pièce du 2ème étage voire des combles (à défaut ces pièces, comme le sous-sol, ne pourront être considérées comme pièce principale) ; - Aménagement de sanitaires permettant de garantir l’intimité des occupants ; - Mise en place de garde-corps réglementaires au niveau des fenêtres des 1er et 2ème étages ; - Sécurisation de l’escalier extérieur menant au logement et des 3 escaliers intérieurs ; - Sécurisation de l’accès à l’escalier du sous-sol et aux combles ; - Mise en sécurité de l’installation électrique avec fourniture d’une attestation de conformité CONSUEL en rénovation et mise en sécurité des bâtiments d’habitation, ou d’un diagnostic PROMOTELEC ; - Mise en place d’un système de ventilation assurant un renouvellement permanent d’air neuf conforme à la législation en vigueur ; - Recherche et suppression durable de toutes sources d’humidité ; - Mise à disposition de moyens de chauffage suffisants et sécurisés, adaptés aux caractéristiques intrinsèques du logement, et notamment à l'isolation pour assurer une température de 18°C dans toutes les pièces, quelque soient les conditions extérieures ; - Mise en place d’un réseau d’évacuation conforme et adapté ; - Renforcement de l’isolation de l’immeuble ; - Ainsi que toutes mesures propres à rendre les lieux conformes à la législation sanitaire en vigueur et plus particulièrement à l’article 3 du décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent. Article 3 : En cas de travaux susceptibles d’altérer les matériaux et/ou revêtements (ponçage, abattage de cloisons, intervention sur des matériaux amiantés…), les diagnostics amiante et plomb devront être fournis aux entreprises amenées à intervenir dans l’immeuble. Article 4 : Compte tenu de la nature et de l’importance des désordres constatés, le logement susvisé est interdit à l’habitation à titre temporaire à compter de la notification du présent arrêté jusqu’à sa mainlevée. Le local visé ci-dessus ne peut être ni loué, ni mis à la disposition à quelque usage que ce soit, en application de l’article L. 1331-28-2 du code de la santé publique. Les propriétaires mentionnés à l’article 1 doivent à compter de la notification du présent arrêté, informer le préfet de l’offre d’hébergement qu’ils ont faite aux occupants pour se conformer à l’obligation prévue à l’article L.521-3-1 du code de la construction et de l’habitation. Article 5 : La mainlevée du présent arrêté d’insalubrité ne pourra être prononcée qu’après constatation de la conformité de la réalisation des travaux aux mesures prescrites pour la sortie d’insalubrité, par l’autorité compétente. Les propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 tiennent à la disposition de l’administration tout justificatif attestant de la réalisation des travaux, dans les règles de l’art. Article 6 : Les propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1 sont tenus de respecter les droits des occupants dans les conditions précisées aux articles L. 521-1 à L. 521-3 -2 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe au présent arrêté. Le non respect des prescriptions du présent arrêté et des obligations qui en découlent sont passibles des sanctions pénales prévues par l’article L. 1337-4 du code de la santé publique ainsi que par les articles L. 521-4 et L.111-6-1 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe. Article 7 : Le présent arrêté sera notifié aux personnes mentionnées à l’article 1 ci-dessus ainsi qu’aux occupants du logement concerné. Il sera également affiché à la mairie de VILLERUPT. Article 8 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur général de l’agence régionale de santé, le maire de VILLERUPT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Article 9 : Le présent arrêté sera publié au service de publicité foncière, dont dépend le logement aux frais des propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1. Il sera également publié au recueil des actes administratifs du département. Il sera transmis à Monsieur le maire de la commune de VILLERUPT, à monsieur le procureur de la République, à monsieur le directeur départemental des territoires, aux organismes payeurs des aides aux logements (CAF, MSA) et de l’aide personnalisée au logement, ainsi qu’aux gestionnaires du fonds de solidarité pour le logement du département, à la Communauté de Communes du Pays Haut Val d’Alzette, à la chambre départementale des Notaires et à l’Etablissement Public d’Aménagement Alzette Belval. RECUEIL N° 56 1635 29 NOVEMBRE 2016

Article 10 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de M. le préfet de Meurthe-et-Moselle, soit hiérarchique auprès de la ministre chargée de la santé (Direction générale de la santé – SD7C – 8, avenue de Ségur – 75350 PARIS 07 SP) dans les deux mois suivant la notification. Un recours contentieux peut être déposé auprès du tribunal administratif de NANCY – 5, place Carrière, également dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse de l’administration si un recours administratif a été déposé, l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois valant rejet implicite. Nancy, le 20 octobre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY L'annexe jointe au présent arrêté est consultable à l'ARS – Délégation Territoriale 54 – Cellule habitat-santé. ______

Arrêté n° 2532/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 30 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la santé publique, notamment les articles L.1331-26 à L.1331-30, L.1337-4, R.1331-4 à R.1331-11, R.1416-1 à R.1416-5 ; VU le code de la construction et de l'habitation notamment les articles L.521-1 à L.521-4 et les articles L.541-2 ; VU le décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent ; VU l’arrêté du 10 décembre 2012 et ses modificatifs, notamment du 20 juillet 2016 relatif à la composition du conseil départemental de l’environnement des risques sanitaires et technologiques (CODERST) de Meurthe-et Moselle ; VU la circulaire DGS/DGUHC/SD7C/IUH4 n° 293 du 23 juin 2003 relative à la mise à disposition d’une nouvelle grille d’évaluation de l’état des immeubles susceptibles d’être déclarés insalubres ; VU l’arrêté préfectoral du 5 août 1981 modifié établissant le Règlement Sanitaire Départemental de Meurthe-et-Moselle et notamment les dispositions de son titre II applicables aux locaux d’habitation ; VU l’enquête sanitaire des services de l’agence régionale de santé du 9 août 2016 ; VU l'avis du 13 octobre 2016 du conseil départemental de l’environnement, des risques sanitaires et technologiques (CODERST) sur la réalité et les causes de l'insalubrité de l’immeuble susvisé et sur la possibilité d’y remédier ; CONSIDERANT que l’immeuble constitue un danger pour la santé et la sécurité des personnes qui l’occupent ou qui sont susceptibles de l’occuper, notamment aux motifs suivants : - Seuls le rez de chaussée et le 1er étage peuvent être considérés comme des pièces principales (compte tenu de la faible hauteur sous plafond et de l’éclairage naturel insuffisant des autres pièces) ; - Absence de garde-corps aux fenêtres situées aux 1er et 2ème étages avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) - Escalier permettant d’accéder aux 1er et 2ème étages non sécurisé avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Cages d’escalier au niveau du sous-sol et du rez-de-chaussée non sécurisées : absence de dispositif de retenue des personnes ou dispositif inadapté avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Garde-corps de la coursive extérieur dégradé ; - Installation électrique non sécurisée présentant un risque de chocs électriques, d’électrocution et d’incendie ; - Système de ventilation et de renouvellement permanent d’air neuf non fonctionnel, préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et défavorable au bon état et entretien du logement ; - Présence d’humidité préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) ; - Installation de chauffage non sécurisée avec risque d’intoxication par le monoxyde de carbone ; - Dégradation de la coursive extérieure avec risque de chute d’éléments ou d’accidents de personne (chutes) ; CONSIDERANT que le CODERST est d’avis qu’il est possible de remédier à l’insalubrité de l’immeuble ; A R R E T E Article 1 : L’immeuble situé 30 rue Victor Hugo à VILLERUPT (54 190) – références cadastrales AD 664 – propriété de l’Etablissement Public Foncier de Lorraine, établissement public industriel et commercial, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière, créé par décret n°73-250 en date du 7 mars 1973, modifié par le décret n°2014-1733 du 29 décembre 2014, dont le siège est à PONT-A-MOUSSON (54700), rue Robert Blum, identifiée au SIREN sous le numéro 301365847, Propriété acquise par acte du 3 février 2016, reçu par Maître CUIF, notaire associé à NANCY, et publié le 1er mars 2016 au volume 2016P n°821,ou leurs ayants droit, est déclaré insalubre remédiable. Article 2 : Afin de remédier à l’insalubrité constatée, il appartiendra aux propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 de réaliser selon les règles de l’art, et dans le délai de 1 an à compter de la notification du présent arrêté, les mesures ci-après : - Prise de toute disposition (hauteur sous plafond, éclairage naturel) pour rendre habitable la pièce du 2ème étage voire des combles (à défaut ces pièces, comme le sous-sol, ne pourront être considérées comme pièce principale) ; - Mise en place de garde-corps réglementaires au niveau des fenêtres des 1er et 2ème étages ; - Sécurisation des escaliers intérieurs (accès aux combles) ; - Sécurisation de l’accès aux cages d’escalier intérieures ; - Sécurisation du garde-corps de la coursive extérieure ; - Mise en sécurité de l’installation électrique avec fourniture d’une attestation de conformité CONSUEL en rénovation et mise en sécurité des bâtiments d’habitation, ou d’un diagnostic PROMOTELEC ; - Mise en place d’un système de ventilation assurant un renouvellement permanent d’air neuf conforme à la législation en vigueur ; - Recherche et suppression durable de toutes sources d’humidité ; - Mise à disposition de moyens de chauffage suffisants et sécurisés, adaptés aux caractéristiques intrinsèques du logement, et notamment à l'isolation pour assurer une température de 18°C dans toutes les pièces, quelque soient les conditions extérieures ; - Remise en état/remplacement de la coursive (structures béton et garde-corps) ; - Ainsi que toutes mesures propres à rendre les lieux conformes à la législation sanitaire en vigueur et plus particulièrement à l’article 3 du décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent. Article 3 : En cas de travaux susceptibles d’altérer les matériaux et/ou revêtements (ponçage, abattage de cloisons, intervention sur des matériaux amiantés…), les diagnostics amiante et plomb devront être fournis aux entreprises amenées à intervenir dans l’immeuble. Article 4 : Compte tenu de la nature et de l’importance des désordres constatés, le logement susvisé est interdit à l’habitation à titre temporaire à compter de la notification du présent arrêté jusqu’à sa mainlevée. Le local visé ci-dessus ne peut être ni loué, ni mis à la disposition à quelque usage que ce soit, en application de l’article L. 1331-28-2 du code de la santé publique. Les propriétaires mentionnés à l’article 1 doivent à compter de la notification du présent arrêté, informer le préfet de l’offre d’hébergement qu’ils ont faite aux occupants pour se conformer à l’obligation prévue à l’article L.521-3-1 du code de la construction et de l’habitation. Article 5 : La mainlevée du présent arrêté d’insalubrité ne pourra être prononcée qu’après constatation de la conformité de la réalisation des travaux aux mesures prescrites pour la sortie d’insalubrité, par l’autorité compétente. RECUEIL N° 56 1636 29 NOVEMBRE 2016

Les propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 tiennent à la disposition de l’administration tout justificatif attestant de la réalisation des travaux, dans les règles de l’art. Article 6 : Les propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1 sont tenus de respecter les droits des occupants dans les conditions précisées aux articles L. 521-1 à L. 521-3 -2 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe au présent arrêté. Le non respect des prescriptions du présent arrêté et des obligations qui en découlent sont passibles des sanctions pénales prévues par l’article L. 1337-4 du code de la santé publique ainsi que par les articles L. 521-4 et L.111-6-1 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe. Article 7 : Le présent arrêté sera notifié aux personnes mentionnées à l’article 1 ci-dessus ainsi qu’aux occupants du logement concerné. Il sera également affiché à la mairie de VILLERUPT. Article 8 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur général de l’agence régionale de santé, le maire de VILLERUPT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Article 9 : Le présent arrêté sera publié au service de publicité foncière, dont dépend le logement aux frais des propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1. Il sera également publié au recueil des actes administratifs du département. Il sera transmis à Monsieur le maire de la commune de VILLERUPT, à monsieur le procureur de la République, à monsieur le directeur départemental des territoires, aux organismes payeurs des aides aux logements (CAF, MSA) et de l’aide personnalisée au logement, ainsi qu’aux gestionnaires du fonds de solidarité pour le logement du département, à la Communauté de Communes du Pays Haut Val d’Alzette, à la chambre départementale des Notaires et à l’Etablissement Public d’Aménagement Alzette Belval. Article 10 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de M. le préfet de Meurthe-et-Moselle, soit hiérarchique auprès de la ministre chargée de la santé (Direction générale de la santé – SD7C – 8, avenue de Ségur – 75350 PARIS 07 SP) dans les deux mois suivant la notification. Un recours contentieux peut être déposé auprès du tribunal administratif de NANCY – 5, place Carrière, également dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse de l’administration si un recours administratif a été déposé, l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois valant rejet implicite. Nancy, le 20 octobre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY L'annexe jointe au présent arrêté est consultable à l'ARS – Délégation Territoriale 54 – Cellule habitat-santé. ______

Arrêté n° 2533/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 33 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la santé publique, notamment les articles L.1331-26 à L.1331-30, L.1337-4, R.1331-4 à R.1331-11, R.1416-1 à R.1416-5 ; VU le code de la construction et de l'habitation notamment les articles L.521-1 à L.521-4 et les articles L.541-2 ; VU le décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent ; VU l’arrêté du 10 décembre 2012 et ses modificatifs, notamment du 20 juillet 2016 relatif à la composition du conseil départemental de l’environnement des risques sanitaires et technologiques (CODERST) de Meurthe-et Moselle ; VU la circulaire DGS/DGUHC/SD7C/IUH4 n° 293 du 23 juin 2003 relative à la mise à disposition d’une nouvelle grille d’évaluation de l’état des immeubles susceptibles d’être déclarés insalubres ; VU l’arrêté préfectoral du 5 août 1981 modifié établissant le Règlement Sanitaire Départemental de Meurthe-et-Moselle et notamment les dispositions de son titre II applicables aux locaux d’habitation ; VU l’enquête sanitaire des services de l’agence régionale de santé du 9 août 2016 ; VU l'avis du 13 octobre 2016 du conseil départemental de l’environnement, des risques sanitaires et technologiques (CODERST) sur la réalité et les causes de l'insalubrité de l’immeuble susvisé et sur la possibilité d’y remédier ; CONSIDERANT que l’immeuble constitue un danger pour la santé et la sécurité des personnes qui l’occupent ou qui sont susceptibles de l’occuper, notamment aux motifs suivants : - Seuls le rez de chaussée et le 1er étage peuvent être considérés comme des pièces principales (compte tenu de la faible hauteur sous plafond et de l’éclairage naturel insuffisant) ; - Insuffisance d’éclairement naturel avec risques d’atteinte à la santé mentale ; - Absence de garde-corps aux fenêtres situées aux 1er et 2ème étages avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Escalier reliant sous-sol et rez de chaussée (absence de protection, absence de main courante) et escalier extérieur permettant d’accéder au logement non sécurisés avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Trappe de soupirail dégradée avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Installation électrique non sécurisée présentant un risque de chocs électriques, d’électrocution et d’incendie ; - Système de ventilation et de renouvellement permanent d’air neuf non fonctionnel, préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et défavorable au bon état et entretien du logement ; - Présence d’humidité préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) ; - Installation de chauffage non sécurisée, et non adaptée à la configuration et aux caractéristiques du logement avec risque de survenue et aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et risque d’intoxication par le monoxyde de carbone ; - Isolation thermique insuffisante avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et avec risque de dégradation du bâti ; CONSIDERANT que le CODERST est d’avis qu’il est possible de remédier à l’insalubrité de l’immeuble ; A R R E T E Article 1 : L’immeuble situé 33 rue Victor Hugo à VILLERUPT (54 190) – références cadastrales AD 313 – propriété de l’Etablissement Public Foncier de Lorraine, établissement public industriel et commercial, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière, créé par décret n°73-250 en date du 7 mars 1973, modifié par le décret n°2014-1733 du 29 décembre 2014, dont le siège est à PONT-A-MOUSSON (54700), rue Robert Blum, identifiée au SIREN sous le numéro 301365847, Propriété acquise par acte du 9 avril 2015, reçu par Maître CUIF, notaire associé à NANCY, et publié le 6 mai 2015 au volume 2015P n°1563,ou leurs ayants droit, est déclaré insalubre remédiable. Article 2 : Afin de remédier à l’insalubrité constatée, il appartiendra aux propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 de réaliser selon les règles de l’art, et dans le délai de 1 an à compter de la notification du présent arrêté, les mesures ci-après : - Prise de toute disposition (hauteur sous plafond, éclairage naturel) pour rendre habitable la pièce du 2ème étage voire des combles (à défaut ces pièces, comme le sous-sol, ne pourront être considérées comme pièce principale) ; - Mise en place de garde-corps réglementaires au niveau des fenêtres des 1er et 2ème étages ; - Sécurisation de l’escalier reliant le sous-sol et le rez-de-chaussée et de l’escalier extérieur menant au logement ; - Sécurisation de la trappe du soupirail situé sur le trottoir ; RECUEIL N° 56 1637 29 NOVEMBRE 2016

- Mise en sécurité de l’installation électrique avec fourniture d’une attestation de conformité CONSUEL en rénovation et mise en sécurité des bâtiments d’habitation, ou d’un diagnostic PROMOTELEC ; - Mise en place d’un système de ventilation assurant un renouvellement permanent d’air neuf conforme à la législation en vigueur ; - Recherche et suppression durable de toutes sources d’humidité ; - Mise à disposition de moyens de chauffage suffisants et sécurisés, adaptés aux caractéristiques intrinsèques du logement, et notamment à l'isolation pour assurer une température de 18°C dans toutes les pièces, quelque soient les conditions extérieures ; - Renforcement de l’isolation de l’immeuble ; - Ainsi que toutes mesures propres à rendre les lieux conformes à la législation sanitaire en vigueur et plus particulièrement à l’article 3 du décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent. Article 3 : En cas de travaux susceptibles d’altérer les matériaux et/ou revêtements (ponçage, abattage de cloisons, intervention sur des matériaux amiantés…), les diagnostics amiante et plomb devront être fournis aux entreprises amenées à intervenir dans l’immeuble. Article 4 : Compte tenu de la nature et de l’importance des désordres constatés, le logement susvisé est interdit à l’habitation à titre temporaire à compter de la notification du présent arrêté jusqu’à sa mainlevée. Le local visé ci-dessus ne peut être ni loué, ni mis à la disposition à quelque usage que ce soit, en application de l’article L. 1331-28-2 du code de la santé publique. Les propriétaires mentionnés à l’article 1 doivent à compter de la notification du présent arrêté, informer le préfet de l’offre d’hébergement qu’ils ont faite aux occupants pour se conformer à l’obligation prévue à l’article L.521-3-1 du code de la construction et de l’habitation. Article 5 : La mainlevée du présent arrêté d’insalubrité ne pourra être prononcée qu’après constatation de la conformité de la réalisation des travaux aux mesures prescrites pour la sortie d’insalubrité, par l’autorité compétente. Les propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 tiennent à la disposition de l’administration tout justificatif attestant de la réalisation des travaux, dans les règles de l’art. Article 6 : Les propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1 sont tenus de respecter les droits des occupants dans les conditions précisées aux articles L. 521-1 à L. 521-3 -2 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe au présent arrêté. Le non respect des prescriptions du présent arrêté et des obligations qui en découlent sont passibles des sanctions pénales prévues par l’article L. 1337-4 du code de la santé publique ainsi que par les articles L. 521-4 et L.111-6-1 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe. Article 7 : Le présent arrêté sera notifié aux personnes mentionnées à l’article 1 ci-dessus ainsi qu’aux occupants du logement concerné. Il sera également affiché à la mairie de VILLERUPT. Article 8 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur général de l’agence régionale de santé, le maire de VILLERUPT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Article 9 : Le présent arrêté sera publié au service de publicité foncière, dont dépend le logement aux frais des propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1. Il sera également publié au recueil des actes administratifs du département. Il sera transmis à Monsieur le maire de la commune de VILLERUPT, à monsieur le procureur de la République, à monsieur le directeur départemental des territoires, aux organismes payeurs des aides aux logements (CAF, MSA) et de l’aide personnalisée au logement, ainsi qu’aux gestionnaires du fonds de solidarité pour le logement du département, à la Communauté de Communes du Pays Haut Val d’Alzette, à la chambre départementale des Notaires et à l’Etablissement Public d’Aménagement Alzette Belval. Article 10 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de M. le préfet de Meurthe-et-Moselle, soit hiérarchique auprès de la ministre chargée de la santé (Direction générale de la santé – SD7C – 8, avenue de Ségur – 75350 PARIS 07 SP) dans les deux mois suivant la notification. Un recours contentieux peut être déposé auprès du tribunal administratif de NANCY – 5, place Carrière, également dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse de l’administration si un recours administratif a été déposé, l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois valant rejet implicite. Nancy, le 20 octobre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY L'annexe jointe au présent arrêté est consultable à l'ARS – Délégation Territoriale 54 – Cellule habitat-santé. ______

Arrêté n° 2534/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 34 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la santé publique, notamment les articles L.1331-26 à L.1331-30, L.1337-4, R.1331-4 à R.1331-11, R.1416-1 à R.1416-5 ; VU le code de la construction et de l'habitation notamment les articles L.521-1 à L.521-4 et les articles L.541-2 ; VU le décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent ; VU l’arrêté du 10 décembre 2012 et ses modificatifs, notamment du 20 juillet 2016 relatif à la composition du conseil départemental de l’environnement des risques sanitaires et technologiques (CODERST) de Meurthe-et Moselle ; VU la circulaire DGS/DGUHC/SD7C/IUH4 n° 293 du 23 juin 2003 relative à la mise à disposition d’une nouvelle grille d’évaluation de l’état des immeubles susceptibles d’être déclarés insalubres ; VU l’arrêté préfectoral du 5 août 1981 modifié établissant le Règlement Sanitaire Départemental de Meurthe-et-Moselle et notamment les dispositions de son titre II applicables aux locaux d’habitation ; VU l’enquête sanitaire des services de l’agence régionale de santé du 9 août 2016 ; VU l'avis du 13 octobre 2016 du conseil départemental de l’environnement, des risques sanitaires et technologiques (CODERST) sur la réalité et les causes de l'insalubrité de l’immeuble susvisé et sur la possibilité d’y remédier ; CONSIDERANT que l’immeuble constitue un danger pour la santé et la sécurité des personnes qui l’occupent ou qui sont susceptibles de l’occuper, notamment aux motifs suivants : - Seuls le rez de chaussée et le 1er étage peuvent être considérés comme des pièces principales (compte tenu de la faible hauteur sous plafond et de l’éclairage naturel insuffisant des autres pièces) ; - Absence de garde-corps aux fenêtres situées aux 1er et 2ème étages avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Escalier permettant d’accéder aux combles non sécurisé avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Accès au sous-sol et accès aux combles non sécurisés : absence de dispositif de retenue des personnes ou dispositif inadapté avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Garde-corps de la coursive extérieur dégradé ; - Installation électrique non sécurisée présentant un risque de chocs électriques, d’électrocution et d’incendie ; - Système de ventilation et de renouvellement permanent d’air neuf non fonctionnel, préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et défavorable au bon état et entretien du logement ; - Présence d’humidité préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) ; RECUEIL N° 56 1638 29 NOVEMBRE 2016

- Installation de chauffage non sécurisée avec risque d’intoxication par le monoxyde de carbone ; - Dégradation des éléments de toiture avec risque de chute d’éléments, et risque de dégradation pouvant entraîner des problèmes d’infiltration et d’humidité ; - Dégradation du plancher/plafond entre 2ème étage et combles avec risque de chute d’éléments et risque de dégradation pouvant entraîner des problèmes d’infiltration et d’humidité ; - Dégradation de la coursive extérieure avec risque de chute d’éléments ou d’accidents de personne (chutes) ; - Présence de nuisibles (rongeurs) avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies infectieuses, parasitaires) ; - Isolation thermique insuffisante avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et avec risque de dégradation du bâti ; CONSIDERANT que le CODERST est d’avis qu’il est possible de remédier à l’insalubrité de l’immeuble ; A R R E T E Article 1 : L’immeuble situé 34 rue Victor Hugo à VILLERUPT (54 190) – références cadastrales AD 658 – propriété de l’Etablissement Public Foncier de Lorraine, établissement public industriel et commercial, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière, créé par décret n°73-250 en date du 7 mars 1973, modifié par le décret n°2014-1733 du 29 décembre 2014, dont le siège est à PONT-A-MOUSSON (54700), rue Robert Blum, identifiée au SIREN sous le numéro 301365847, Propriété acquise par acte du 6 août 2013, reçu par Maître CUIF, notaire associé à NANCY, et publié le 6 septembre 2013 au volume 2013P n°3348, ou leurs ayants droit, est déclaré insalubre remédiable. Article 2 : Afin de remédier à l’insalubrité constatée, il appartiendra aux propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 de réaliser selon les règles de l’art, et dans le délai de 1 an à compter de la notification du présent arrêté, les mesures ci-après : - Prise de toute disposition (hauteur sous plafond, éclairage naturel) pour rendre habitable la pièce du 2ème étage voire des combles (à défaut ces pièces, comme le sous-sol, ne pourront être considérées comme pièce principale) ; - Mise en place de garde-corps réglementaires au niveau des fenêtres des 1er et 2ème étages ; - Sécurisation de l’escalier permettant d’accéder aux combles ; - Sécurisation de l’accès à l’escalier du sous-sol et aux combles ; - Sécurisation du garde-corps de la coursive extérieure ; - Mise en sécurité de l’installation électrique avec fourniture d’une attestation de conformité CONSUEL en rénovation et mise en sécurité des bâtiments d’habitation, ou d’un diagnostic PROMOTELEC ; - Mise en place d’un système de ventilation assurant un renouvellement permanent d’air neuf conforme à la législation en vigueur ; - Recherche et suppression durable de toutes sources d’humidité ; - Mise à disposition de moyens de chauffage suffisants et sécurisés, adaptés aux caractéristiques intrinsèques du logement, et notamment à l'isolation pour assurer une température de 18°C dans toutes les pièces, quelque soient les conditions extérieures ; - Remise en état/remplacement de la toiture et de ses accessoires ; - Remise en état/remplacement des planchers dégradés ; - Renforcement de l’isolation de l’immeuble ; - Remise en état/remplacement de la coursive (structures béton et garde-corps) ; - Prise de toute disposition permettant de lutter efficacement contre la présence de nuisibles ; - Ainsi que toutes mesures propres à rendre les lieux conformes à la législation sanitaire en vigueur et plus particulièrement à l’article 3 du décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent. Article 3 : En cas de travaux susceptibles d’altérer les matériaux et/ou revêtements (ponçage, abattage de cloisons, intervention sur des matériaux amiantés…), les diagnostics amiante et plomb devront être fournis aux entreprises amenées à intervenir dans l’immeuble. Article 4 : Compte tenu de la nature et de l’importance des désordres constatés, le logement susvisé est interdit à l’habitation à titre temporaire à compter de la notification du présent arrêté jusqu’à sa mainlevée. Le local visé ci-dessus ne peut être ni loué, ni mis à la disposition à quelque usage que ce soit, en application de l’article L. 1331-28-2 du code de la santé publique. Les propriétaires mentionnés à l’article 1 doivent à compter de la notification du présent arrêté, informer le préfet de l’offre d’hébergement qu’ils ont faite aux occupants pour se conformer à l’obligation prévue à l’article L.521-3-1 du code de la construction et de l’habitation. Article 5 : La mainlevée du présent arrêté d’insalubrité ne pourra être prononcée qu’après constatation de la conformité de la réalisation des travaux aux mesures prescrites pour la sortie d’insalubrité, par l’autorité compétente. Les propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 tiennent à la disposition de l’administration tout justificatif attestant de la réalisation des travaux, dans les règles de l’art. Article 6 : Les propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1 sont tenus de respecter les droits des occupants dans les conditions précisées aux articles L. 521-1 à L. 521-3 -2 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe au présent arrêté. Le non respect des prescriptions du présent arrêté et des obligations qui en découlent sont passibles des sanctions pénales prévues par l’article L. 1337-4 du code de la santé publique ainsi que par les articles L. 521-4 et L.111-6-1 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe. Article 7 : Le présent arrêté sera notifié aux personnes mentionnées à l’article 1 ci-dessus ainsi qu’aux occupants du logement concerné. Il sera également affiché à la mairie de VILLERUPT. Article 8 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur général de l’agence régionale de santé, le maire de VILLERUPT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Article 9 : Le présent arrêté sera publié au service de publicité foncière, dont dépend le logement aux frais des propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1. Il sera également publié au recueil des actes administratifs du département. Il sera transmis à Monsieur le maire de la commune de VILLERUPT, à monsieur le procureur de la République, à monsieur le directeur départemental des territoires, aux organismes payeurs des aides aux logements (CAF, MSA) et de l’aide personnalisée au logement, ainsi qu’aux gestionnaires du fonds de solidarité pour le logement du département, à la Communauté de Communes du Pays Haut Val d’Alzette, à la chambre départementale des Notaires et à l’Etablissement Public d’Aménagement Alzette Belval. Article 10 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de M. le préfet de Meurthe-et-Moselle, soit hiérarchique auprès de la ministre chargée de la santé (Direction générale de la santé – SD7C – 8, avenue de Ségur – 75350 PARIS 07 SP) dans les deux mois suivant la notification. Un recours contentieux peut être déposé auprès du tribunal administratif de NANCY – 5, place Carrière, également dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse de l’administration si un recours administratif a été déposé, l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois valant rejet implicite. Nancy, le 20 octobre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY L'annexe jointe au présent arrêté est consultable à l'ARS – Délégation Territoriale 54 – Cellule habitat-santé. ______RECUEIL N° 56 1639 29 NOVEMBRE 2016

Arrêté n° 2535/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 35 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la santé publique, notamment les articles L.1331-26 à L.1331-30, L.1337-4, R.1331-4 à R.1331-11, R.1416-1 à R.1416-5 ; VU le code de la construction et de l'habitation notamment les articles L.521-1 à L.521-4 et les articles L.541-2 ; VU le décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent ; VU l’arrêté du 10 décembre 2012 et ses modificatifs, notamment du 20 juillet 2016 relatif à la composition du conseil départemental de l’environnement des risques sanitaires et technologiques (CODERST) de Meurthe-et Moselle ; VU la circulaire DGS/DGUHC/SD7C/IUH4 n° 293 du 23 juin 2003 relative à la mise à disposition d’une nouvelle grille d’évaluation de l’état des immeubles susceptibles d’être déclarés insalubres ; VU l’arrêté préfectoral du 5 août 1981 modifié établissant le Règlement Sanitaire Départemental de Meurthe-et-Moselle et notamment les dispositions de son titre II applicables aux locaux d’habitation ; VU l’enquête sanitaire des services de l’agence régionale de santé du 9 août 2016 ; VU l'avis du 13 octobre 2016 du conseil départemental de l’environnement, des risques sanitaires et technologiques (CODERST) sur la réalité et les causes de l'insalubrité de l’immeuble susvisé et sur la possibilité d’y remédier ; CONSIDERANT que l’immeuble constitue un danger pour la santé et la sécurité des personnes qui l’occupent ou qui sont susceptibles de l’occuper, notamment aux motifs suivants : - Seuls le rez de chaussée et le 1er étage peuvent être considérés comme des pièces principales (compte tenu de la faible hauteur sous plafond et de l’éclairage naturel insuffisant) ; - Insuffisance d’éclairement naturel avec risques d’atteinte à la santé mentale ; - Absence de garde-corps aux fenêtres situées aux 1er et 2ème étages avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) - Escalier reliant sous-sol et rez de chaussée et escalier permettant d’accéder aux combles non sécurisés avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Accès au sous-sol et accès aux combles non sécurisés : absence de dispositif de retenue des personnes ou dispositif inadapté avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Installation électrique non sécurisée présentant un risque de chocs électriques, d’électrocution et d’incendie ; - Système de ventilation et de renouvellement permanent d’air neuf non fonctionnel, préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et défavorable au bon état et entretien du logement ; - Présence d’humidité préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) ; - Isolation thermique insuffisante avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et avec risque de dégradation du bâti ; - Accumulation d’objets hétéroclites dans les combles constituant un fort potentiel calorifique présentant des risques d’incendie ; - Présence de calorifugeage amianté en sous-sol nécessitant une évaluation périodique, présentant des risques de survenue de maladies spécifiques ; CONSIDERANT que le CODERST est d’avis qu’il est possible de remédier à l’insalubrité de l’immeuble ; A R R E T E Article 1 : L’immeuble situé 35 rue Victor Hugo à VILLERUPT (54 190) – références cadastrales AD 654 – propriété de l’Etablissement Public Foncier de Lorraine, établissement public industriel et commercial, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière, créé par décret n°73-250 en date du 7 mars 1973, modifié par le décret n°2014-1733 du 29 décembre 2014, dont le siège est à PONT-A-MOUSSON (54700), rue Robert Blum, identifiée au SIREN sous le numéro 301365847, Propriété acquise par acte du 22 septembre 2015, reçu par Maître CUIF, notaire associé à NANCY, et publié le 20 octobre 2015 au volume 2015P n°3804,ou leurs ayants droit, est déclaré insalubre remédiable. Article 2 : Afin de remédier à l’insalubrité constatée, il appartiendra aux propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 de réaliser selon les règles de l’art, et dans le délai de 1 an à compter de la notification du présent arrêté, les mesures ci-après : - Prise de toute disposition (hauteur sous plafond, éclairage naturel) pour rendre habitable la pièce du 2ème étage voire des combles (à défaut ces pièces, comme le sous-sol, ne pourront être considérées comme pièce principale) ; - Mise en place de garde-corps réglementaires au niveau des fenêtres des 1er et 2ème étages ; - Sécurisation de l’escalier reliant le sous-sol et le rez-de-chaussée et de celui permettant d’accéder aux combles ; - Sécurisation de l’accès à la cage d’escalier au sous-sol et dans les combles ; - Mise en sécurité de l’installation électrique avec fourniture d’une attestation de conformité CONSUEL en rénovation et mise en sécurité des bâtiments d’habitation, ou d’un diagnostic PROMOTELEC ; - Mise en place d’un système de ventilation assurant un renouvellement permanent d’air neuf conforme à la législation en vigueur ; - Recherche et suppression durable de toutes sources d’humidité ; - Renforcement de l’isolation de l’immeuble ; - Evacuation des objets hétéroclites accumulés dans le logement et notamment dans les combles ; - Prise de toutes mesures adaptées pour les interventions contenant de l’amiante afin d’assurer la sécurité des occupants et des intervenants ; - Ainsi que toutes mesures propres à rendre les lieux conformes à la législation sanitaire en vigueur et plus particulièrement à l’article 3 du décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent. Article 3 : En cas de travaux susceptibles d’altérer les matériaux et/ou revêtements (ponçage, abattage de cloisons, intervention sur des matériaux amiantés…), les diagnostics amiante et plomb devront être fournis aux entreprises amenées à intervenir dans l’immeuble. Article 4 : Compte tenu de la nature et de l’importance des désordres constatés, le logement susvisé est interdit à l’habitation à titre temporaire à compter de la notification du présent arrêté jusqu’à sa mainlevée. Le local visé ci-dessus ne peut être ni loué, ni mis à la disposition à quelque usage que ce soit, en application de l’article L. 1331-28-2 du code de la santé publique. Les propriétaires mentionnés à l’article 1 doivent à compter de la notification du présent arrêté, informer le préfet de l’offre d’hébergement qu’ils ont faite aux occupants pour se conformer à l’obligation prévue à l’article L.521-3-1 du code de la construction et de l’habitation. Article 5 : La mainlevée du présent arrêté d’insalubrité ne pourra être prononcée qu’après constatation de la conformité de la réalisation des travaux aux mesures prescrites pour la sortie d’insalubrité, par l’autorité compétente. Les propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 tiennent à la disposition de l’administration tout justificatif attestant de la réalisation des travaux, dans les règles de l’art. Article 6 : Les propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1 sont tenus de respecter les droits des occupants dans les conditions précisées aux articles L. 521-1 à L. 521-3 -2 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe au présent arrêté. Le non respect des prescriptions du présent arrêté et des obligations qui en découlent sont passibles des sanctions pénales prévues par l’article L. 1337-4 du code de la santé publique ainsi que par les articles L. 521-4 et L.111-6-1 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe. RECUEIL N° 56 1640 29 NOVEMBRE 2016

Article 7 : Le présent arrêté sera notifié aux personnes mentionnées à l’article 1 ci-dessus ainsi qu’aux occupants du logement concerné. Il sera également affiché à la mairie de VILLERUPT. Article 8 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur général de l’agence régionale de santé, le maire de VILLERUPT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Article 9 : Le présent arrêté sera publié au service de publicité foncière, dont dépend le logement aux frais des propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1. Il sera également publié au recueil des actes administratifs du département. Il sera transmis à Monsieur le maire de la commune de VILLERUPT, à monsieur le procureur de la République, à monsieur le directeur départemental des territoires, aux organismes payeurs des aides aux logements (CAF, MSA) et de l’aide personnalisée au logement, ainsi qu’aux gestionnaires du fonds de solidarité pour le logement du département, à la Communauté de Communes du Pays Haut Val d’Alzette, à la chambre départementale des Notaires et à l’Etablissement Public d’Aménagement Alzette Belval. Article 10 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de M. le préfet de Meurthe-et-Moselle, soit hiérarchique auprès de la ministre chargée de la santé (Direction générale de la santé – SD7C – 8, avenue de Ségur – 75350 PARIS 07 SP) dans les deux mois suivant la notification. Un recours contentieux peut être déposé auprès du tribunal administratif de NANCY – 5, place Carrière, également dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse de l’administration si un recours administratif a été déposé, l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois valant rejet implicite. Nancy, le 20 octobre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY L'annexe jointe au présent arrêté est consultable à l'ARS – Délégation Territoriale 54 – Cellule habitat-santé. ______

Arrêté n° 2536/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 36 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la santé publique, notamment les articles L.1331-26 à L.1331-30, L.1337-4, R.1331-4 à R.1331-11, R.1416-1 à R.1416-5 ; VU le code de la construction et de l'habitation notamment les articles L.521-1 à L.521-4 et les articles L.541-2 ; VU le décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent ; VU l’arrêté du 10 décembre 2012 et ses modificatifs, notamment du 20 juillet 2016 relatif à la composition du conseil départemental de l’environnement des risques sanitaires et technologiques (CODERST) de Meurthe-et Moselle ; VU la circulaire DGS/DGUHC/SD7C/IUH4 n° 293 du 23 juin 2003 relative à la mise à disposition d’une nouvelle grille d’évaluation de l’état des immeubles susceptibles d’être déclarés insalubres ; VU l’arrêté préfectoral du 5 août 1981 modifié établissant le Règlement Sanitaire Départemental de Meurthe-et-Moselle et notamment les dispositions de son titre II applicables aux locaux d’habitation ; VU l’enquête sanitaire des services de l’agence régionale de santé du 9 août 2016 ; VU l'avis du 13 octobre 2016 du conseil départemental de l’environnement, des risques sanitaires et technologiques (CODERST) sur la réalité et les causes de l'insalubrité de l’immeuble susvisé et sur la possibilité d’y remédier ; CONSIDERANT que l’immeuble constitue un danger pour la santé et la sécurité des personnes qui l’occupent ou qui sont susceptibles de l’occuper, notamment aux motifs suivants : - Seuls le rez de chaussée et le 1er étage peuvent être considérés comme des pièces principales (compte tenu de la faible hauteur sous plafond et de l’éclairage naturel insuffisant des autres pièces) ; - Absence de garde-corps aux fenêtres situées aux 1er et 2ème étages avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Escalier permettant d’accéder aux combles non sécurisé avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Cages d’escalier intérieures non sécurisées : absence de dispositif de retenue des personnes ou dispositif inadapté avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Garde-corps de la coursive extérieure dégradé ; - Installation électrique non sécurisée présentant un risque de chocs électriques, d’électrocution et d’incendie ; - Système de ventilation et de renouvellement permanent d’air neuf non fonctionnel, préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et défavorable au bon état et entretien du logement ; - Présence d’humidité préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) ; - Installation de chauffage non sécurisée avec risque d’intoxication par le monoxyde de carbone ; - Dégradation des éléments de toiture avec risque de chute d’éléments, et risque de dégradation pouvant entraîner des problèmes d’infiltration et d’humidité ; - Dégradation de la coursive extérieure avec risque de chute d’éléments ou d’accidents de personne (chutes) ; - Présence de nuisibles (rongeurs) avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies infectieuses, parasitaires) ; - Isolation thermique insuffisante avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et avec risque de dégradation du bâti ; CONSIDERANT que le CODERST est d’avis qu’il est possible de remédier à l’insalubrité de l’immeuble ; A R R E T E Article 1 : L’immeuble situé 36 rue Victor Hugo à VILLERUPT (54 190) – références cadastrales AD 657 – propriété de l’Etablissement Public Foncier de Lorraine, établissement public industriel et commercial, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière, créé par décret n°73-250 en date du 7 mars 1973, modifié par le décret n°2014-1733 du 29 décembre 2014, dont le siège est à PONT-A-MOUSSON (54700), rue Robert Blum, identifiée au SIREN sous le numéro 301365847, Propriété acquise par acte du 31 décembre 2013, reçu par Maître CUIF, notaire associé à NANCY, et publié le 3 février 2014 au volume 2014P n°492,ou leurs ayants droit, est déclaré insalubre remédiable. Article 2 : Afin de remédier à l’insalubrité constatée, il appartiendra aux propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 de réaliser selon les règles de l’art, et dans le délai de 1 an à compter de la notification du présent arrêté, les mesures ci-après : - Prise de toute disposition (hauteur sous plafond, éclairage naturel) pour rendre habitable la pièce du 2ème étage voire des combles (à défaut ces pièces, comme le sous-sol, ne pourront être considérées comme pièce principale) ; - Mise en place de garde-corps réglementaires au niveau des fenêtres des 1er et 2ème étages ; - Sécurisation des escaliers intérieurs (accès aux combles); - Sécurisation de l’accès aux cages d’escalier intérieures ; - Sécurisation du garde-corps de la coursive extérieure ; - Mise en sécurité de l’installation électrique avec fourniture d’une attestation de conformité CONSUEL en rénovation et mise en sécurité des bâtiments d’habitation, ou d’un diagnostic PROMOTELEC ; RECUEIL N° 56 1641 29 NOVEMBRE 2016

- Mise en place d’un système de ventilation assurant un renouvellement permanent d’air neuf conforme à la législation en vigueur ; - Recherche et suppression durable de toutes sources d’humidité ; - Mise à disposition de moyens de chauffage suffisants et sécurisés, adaptés aux caractéristiques intrinsèques du logement, et notamment à l'isolation pour assurer une température de 18°C dans toutes les pièces, quelque soient les conditions extérieures ; - Remise en état/remplacement de la toiture et de ses accessoires ; - Renforcement de l’isolation de l’immeuble ; - Remise en état/remplacement de la coursive (structures béton et garde-corps) ; - Prise de toute disposition permettant de lutter efficacement contre la présence de nuisibles ; - Ainsi que toutes mesures propres à rendre les lieux conformes à la législation sanitaire en vigueur et plus particulièrement à l’article 3 du décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent. Article 3 : En cas de travaux susceptibles d’altérer les matériaux et/ou revêtements (ponçage, abattage de cloisons, intervention sur des matériaux amiantés…), les diagnostics amiante et plomb devront être fournis aux entreprises amenées à intervenir dans l’immeuble. Article 4 : Compte tenu de la nature et de l’importance des désordres constatés, le logement susvisé est interdit à l’habitation à titre temporaire à compter de la notification du présent arrêté jusqu’à sa mainlevée. Le local visé ci-dessus ne peut être ni loué, ni mis à la disposition à quelque usage que ce soit, en application de l’article L. 1331-28-2 du code de la santé publique. Les propriétaires mentionnés à l’article 1 doivent à compter de la notification du présent arrêté, informer le préfet de l’offre d’hébergement qu’ils ont faite aux occupants pour se conformer à l’obligation prévue à l’article L.521-3-1 du code de la construction et de l’habitation. Article 5 : La mainlevée du présent arrêté d’insalubrité ne pourra être prononcée qu’après constatation de la conformité de la réalisation des travaux aux mesures prescrites pour la sortie d’insalubrité, par l’autorité compétente. Les propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 tiennent à la disposition de l’administration tout justificatif attestant de la réalisation des travaux, dans les règles de l’art. Article 6 : Les propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1 sont tenus de respecter les droits des occupants dans les conditions précisées aux articles L. 521-1 à L. 521-3 -2 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe au présent arrêté. Le non respect des prescriptions du présent arrêté et des obligations qui en découlent sont passibles des sanctions pénales prévues par l’article L. 1337-4 du code de la santé publique ainsi que par les articles L. 521-4 et L.111-6-1 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe. Article 7 : Le présent arrêté sera notifié aux personnes mentionnées à l’article 1 ci-dessus ainsi qu’aux occupants du logement concerné. Il sera également affiché à la mairie de VILLERUPT. Article 8 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur général de l’agence régionale de santé, le maire de VILLERUPT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Article 9 : Le présent arrêté sera publié au service de publicité foncière, dont dépend le logement aux frais des propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1. Il sera également publié au recueil des actes administratifs du département. Il sera transmis à Monsieur le maire de la commune de VILLERUPT, à monsieur le procureur de la République, à monsieur le directeur départemental des territoires, aux organismes payeurs des aides aux logements (CAF, MSA) et de l’aide personnalisée au logement, ainsi qu’aux gestionnaires du fonds de solidarité pour le logement du département, à la Communauté de Communes du Pays Haut Val d’Alzette, à la chambre départementale des Notaires et à l’Etablissement Public d’Aménagement Alzette Belval. Article 10 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de M. le préfet de Meurthe-et-Moselle, soit hiérarchique auprès de la ministre chargée de la santé (Direction générale de la santé – SD7C – 8, avenue de Ségur – 75350 PARIS 07 SP) dans les deux mois suivant la notification. Un recours contentieux peut être déposé auprès du tribunal administratif de NANCY – 5, place Carrière, également dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse de l’administration si un recours administratif a été déposé, l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois valant rejet implicite. Nancy, le 20 octobre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY L'annexe jointe au présent arrêté est consultable à l'ARS – Délégation Territoriale 54 – Cellule habitat-santé. ______

Arrêté n° 2537/2016/ARS/DT54 du 20 octobre 2016 portant déclaration d’insalubrité remédiable de l’immeuble situé 31 rue Victor Hugo - 54190 VILLERUPT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la santé publique, notamment les articles L.1331-26 à L.1331-30, L.1337-4, R.1331-4 à R.1331-11, R.1416-1 à R.1416-5 ; VU le code de la construction et de l'habitation notamment les articles L.521-1 à L.521-4 et les articles L.541-2 ; VU le décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent ; VU l’arrêté du 10 décembre 2012 et ses modificatifs, notamment du 20 juillet 2016 relatif à la composition du conseil départemental de l’environnement des risques sanitaires et technologiques (CODERST) de Meurthe-et Moselle ; VU la circulaire DGS/DGUHC/SD7C/IUH4 n° 293 du 23 juin 2003 relative à la mise à disposition d’une nouvelle grille d’évaluation de l’état des immeubles susceptibles d’être déclarés insalubres ; VU l’arrêté préfectoral du 5 août 1981 modifié établissant le Règlement Sanitaire Départemental de Meurthe-et-Moselle et notamment les dispositions de son titre II applicables aux locaux d’habitation ; VU l’enquête sanitaire des services de l’agence régionale de santé du 9 août 2016 ; VU l'avis du 13 octobre 2016 du conseil départemental de l’environnement, des risques sanitaires et technologiques (CODERST) sur la réalité et les causes de l'insalubrité de l’immeuble susvisé et sur la possibilité d’y remédier ; CONSIDERANT que l’immeuble constitue un danger pour la santé et la sécurité des personnes qui l’occupent ou qui sont susceptibles de l’occuper, notamment aux motifs suivants : - Seuls le rez de chaussée et le 1er étage peuvent être considérés comme des pièces principales (compte tenu de la faible hauteur sous plafond et de l’éclairage naturel insuffisant) ; - Insuffisance d’éclairement naturel avec risques d’atteinte à la santé mentale ; - Absence de garde-corps aux fenêtres situées aux 1er et 2ème étages avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Escaliers intérieurs non sécurisés avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Accès au sous-sol et aux combles non sécurisés : absence de dispositif de retenue des personnes ou dispositif inadapté avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; - Trappe de soupirail dégradé avec risques de survenue d’accident (chute de personnes) ; RECUEIL N° 56 1642 29 NOVEMBRE 2016

- Installation électrique non sécurisée présentant un risque de chocs électriques, d’électrocution et d’incendie ; - Système de ventilation et de renouvellement permanent d’air neuf non fonctionnel, préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) et défavorable au bon état et entretien du logement ; - Présence d’humidité préjudiciable à la santé des occupants, avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) ; - Dégradation du réseau d’intérieur d’évacuation des eaux usées avec risques de survenue ou d’aggravation de pathologies (maladies infectieuse, parasitaires) ; - Dégradation des revêtements des murs, sols et plafonds ne permettant pas d’assurer un entretient satisfaisant du logement avec risques de survenue et d’aggravation de pathologies (maladies pulmonaires, asthmes, allergies) ; CONSIDERANT que le CODERST est d’avis qu’il est possible de remédier à l’insalubrité de l’immeuble ; A R R E T E Article 1 : L’immeuble situé 31 rue Victor Hugo à VILLERUPT (54 190) – références cadastrales AD 316 – propriété de M. FEGHOUL Cherif, né le 13 novembre 1963 à Thionville (57) et de Mme BENNOUR Saada, épouse FEGHOUL, née le 18 janvier 1967 en Algérie (99), Propriété acquise par acte du 26 avril 2001, reçu par Maître TERVER, notaire associé à HAYANGE, et publié le 15 mai 2001 au volume 2001 P n°1874,ou leurs ayants droit, est déclaré insalubre remédiable. Article 2 : Afin de remédier à l’insalubrité constatée, il appartiendra aux propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 de réaliser selon les règles de l’art, et dans le délai de 1 an à compter de la notification du présent arrêté, les mesures ci-après : - Prise de toute disposition (hauteur sous plafond, éclairage naturel) pour rendre habitable la pièce du 2ème étage voire des combles (à défaut ces pièces, comme le sous-sol, ne pourront être considérées comme pièce principale) ; - Mise en place de garde-corps réglementaires au niveau des fenêtres des 1er et 2ème étages ; - Sécurisation des escaliers intérieurs au logement ; - Sécurisation de l’accès à l’escalier du sous-sol et aux combles ; - Sécurisation de la trappe du soupirail situé sur le trottoir ; - Mise en sécurité de l’installation électrique avec fourniture d’une attestation de conformité CONSUEL en rénovation et mise en sécurité des bâtiments d’habitation, ou d’un diagnostic PROMOTELEC ; - Mise en place d’un système de ventilation assurant un renouvellement permanent d’air neuf conforme à la législation en vigueur ; - Recherche et suppression durable de toutes sources d’humidité ; - Remise en état/remplacement du réseau d’évacuation des eaux usées ; remise en état/remplacement des revêtements intérieurs (murs, sols, plafonds) ; - Ainsi que toutes mesures propres à rendre les lieux conformes à la législation sanitaire en vigueur et plus particulièrement à l’article 3 du décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent. Article 3 : En cas de travaux susceptibles d’altérer les matériaux et/ou revêtements (ponçage, abattage de cloisons, intervention sur des matériaux amiantés…), les diagnostics amiante et plomb devront être fournis aux entreprises amenées à intervenir dans l’immeuble. Article 4 : Compte tenu de la nature et de l’importance des désordres constatés, le logement susvisé est interdit à l’habitation à titre temporaire pendant la durée des travaux, et au plus tard dans un délai de 2 mois à compter de la notification du présent arrêté jusqu’à sa mainlevée. Le local visé ci-dessus ne peut être ni loué, ni mis à la disposition à quelque usage que ce soit, en application de l’article L. 1331-28-2 du code de la santé publique. Les propriétaires mentionnés à l’article 1 doivent dans un délai de 1 mois à compter de la notification du présent arrêté, informer le préfet de l’offre d’hébergement qu’ils ont faite aux occupants pour se conformer à l’obligation prévue à l’article L.521-3-1 du code de la construction et de l’habitation. Article 5 : La mainlevée du présent arrêté d’insalubrité ne pourra être prononcée qu’après constatation de la conformité de la réalisation des travaux aux mesures prescrites pour la sortie d’insalubrité, par l’autorité compétente. Les propriétaires ou leurs ayants droit mentionnés à l’article 1 tiennent à la disposition de l’administration tout justificatif attestant de la réalisation des travaux, dans les règles de l’art. Article 6 : Le coût des mesures d’hébergement en application du présent arrêté est évalué sommairement à 40000 euros. Le présent arrêté fera l’objet d’une première inscription au service de publicité foncière, à la diligence du préfet, pour le montant précisé ci- dessus, en application des articles 2384-1 et 2384-3 du code civil. Si la mainlevée du présent arrêté d’insalubrité a été notifiée aux propriétaires mentionnés à l’article 1, ou à leurs ayants-droit, la publication, à leurs frais, de cette mainlevée emporte caducité de la première inscription, dans les conditions prévues à l’article 2384-4 du code civil. Article 7 : Les propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1 sont tenus de respecter les droits des occupants dans les conditions précisées aux articles L. 521-1 à L. 521-3 -2 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe au présent arrêté. Le non-respect des prescriptions du présent arrêté et des obligations qui en découlent sont passibles des sanctions pénales prévues par l’article L. 1337-4 du code de la santé publique ainsi que par les articles L. 521-4 et L.111-6-1 du code de la construction et de l’habitation, reproduits en annexe. Article 8 : Le présent arrêté sera notifié aux personnes mentionnées à l’article 1 ci-dessus ainsi qu’aux occupants du logement concerné. Il sera également affiché à la mairie de VILLERUPT. Article 9 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur général de l’agence régionale de santé, le maire de VILLERUPT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Article 10 : Le présent arrêté sera publié au service de publicité foncière, dont dépend le logement aux frais des propriétaires, ou leurs ayants droits, mentionnés à l’article 1. Il sera également publié au recueil des actes administratifs du département. Il sera transmis à Monsieur le maire de la commune de VILLERUPT, à monsieur le procureur de la République, à monsieur le directeur départemental des territoires, aux organismes payeurs des aides aux logements (CAF, MSA) et de l’aide personnalisée au logement, ainsi qu’aux gestionnaires du fonds de solidarité pour le logement du département, à la Communauté de Communes du Pays Haut Val d’Alzette, à la chambre départementale des Notaires et à l’Etablissement Public d’Aménagement Alzette Belval. Article 11 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de M. le préfet de Meurthe-et-Moselle, soit hiérarchique auprès de la ministre chargée de la santé (Direction générale de la santé – SD7C – 8, avenue de Ségur – 75350 PARIS 07 SP) dans les deux mois suivant la notification. Un recours contentieux peut être déposé auprès du tribunal administratif de NANCY – 5, place Carrière, également dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse de l’administration si un recours administratif a été déposé, l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois valant rejet implicite. Nancy, le 20 octobre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général, Jean-François RAFFY L'annexe jointe au présent arrêté est consultable à l'ARS – Délégation Territoriale 54 – Cellule habitat-santé. RECUEIL N° 56 1643 29 NOVEMBRE 2016

DIRECTION DE LA SANTE PUBLIQUE Service Pharmacie et Biologie

Arrêté ARS n° 2016/2805 du 17 novembre 2016 portant modification de l’autorisation de fonctionnement du laboratoire de biologie médicale multisite, exploité par la SELCA « LABORATOIRE ATOUTBIO » sise 89 rue de l'Hôtel de Ville à FROUARD (54390) - Modification de la répartition du capital social - Démission et intégration de 2 biologistes-coresponsables N° FINESS ENTITE JURIDIQUE : 54 002 296 9

Le Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé Grand Est,

VU le code de la santé publique, sixième partie, livre 2ème et deuxième partie, livre 1er ; VU la loi n° 90-1258 du 31 décembre 1990 modifiée relative à l’exercice sous forme de sociétés des professions libérales soumises à un statut législatif ou réglementaire ou dont le titre est protégé et aux sociétés de participations financières de professions libérales ; VU la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 modifiée portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires et notamment son article 69 ; VU la loi n° 2013-442 du 30 mai 2013 portant réforme de la biologie médicale et notamment ses articles 8 et 10 ; VU l’ordonnance n° 2010-49 du 13 janvier 2010 modifiée relative à la biologie médicale et notamment ses articles 7 à 9 relatifs aux dispositions transitoires et finales ; VU l'arrêté du 26 novembre 1999 modifié relatif à la bonne exécution des analyses de biologie médicale ; VU le décret n° 2015-205 du 23 février 2015 relatif aux modalités de dépôt des demandes d'accréditation des laboratoires de biologie médicale prévues en application du I de l'article 7 de l'ordonnance n° 2010-49 du 13 janvier 2010 relative à la biologie médicale ; VU le décret no 2016-1430 du 24 octobre 2016 relatif aux modalités d’accréditation des laboratoires de biologie médicale ; VU le décret n° 2010-336 du 31 mars 2010 portant création des agences régionales de santé ; VU l’arrêté du Directeur général de l'Agence régionale de santé de Lorraine n° 2010-391 en date du 25 novembre 2010 définissant les territoires de santé de la région Lorraine ; VU le décret du 17 décembre 2015 portant nomination de Monsieur Claude d'HARCOURT en qualité de Directeur général de l'Agence régionale de santé d’-Champagne-Ardenne-Lorraine ; VU l’arrêté n°2016-0623 du 29 mars 2016 portant modification de l'autorisation de fonctionnement du laboratoire de biologie médicale multisite, exploité par la SELCA « LABORATOIRE ATOUTBIO » sise 89 rue de l'Hôtel de Ville à FROUARD (54390) ; CONSIDÉRANT les dossiers présentés par Maitre BERTAUD, exerçant à la SCP d'avocats BERTAUD-CALLET, au nom et pour le compte de la SELCA « LABORATOIRE ATOUTBIO » : - le 10 juin 2016, relatif à la modification du capital social de la société par apport de 893 258 de ses actions détenues par les SARL CLEA, BIO2F et LG BIO à une société civile BIOSTAN en cours de constitution ; - le 5 septembre 2016, relatif à la cessation des fonctions et des qualités de cogérant et d’associé commandité de Monsieur Bruno VIGNERON, avec effet au 30 juin 2016, de la nomination de Mesdames Sandrine SEPANIAK-LEROND et Isabelle DAUPHIN en qualité de nouvelles cogérantes et associées commanditées avec effet au 1er juillet 2016 ; - le 7 octobre 2016, relatif à la cessation de fonctions de Madame Françoise CHEF au 30 septembre 2016 ; CONSIDÉRANT le courrier en date du 21 octobre 2016 du Conseil central de la Section G de l’Ordre des pharmaciens transmettant le certificat mis à jour de la SEL suite à ces opérations ; CONSIDÉRANT que le nombre de biologistes médicaux en exercice au sein du laboratoire de biologie médicale détenant une fraction du capital social et travaillant au moins un mi-temps dans le laboratoire, est égal ou supérieur au nombre de sites de ce laboratoire, conformément aux dispositions de l’article L. 6223-6 ; CONSIDÉRANT que le laboratoire de biologie médicale exploité par SELCA «LABORATOIRE ATOUTBIO» répond, au 1er novembre 2016, aux conditions d'accréditation définies au quatrième alinéa du I de l'article 7 de l'ordonnance du 13 janvier 2010 modifiée susvisée ; A R R E T E Article 1 : La Société d’Exercice Libéral en Commandite par Actions (SELCA) « LABORATOIRE ATOUTBIO », sise 89 rue de l'Hôtel de Ville à FROUARD (54390), est ainsi constituée : Forme juridique : Société d’Exercice Libéral en Commandite par Actions (SELCA) au capital de 33 973 425 euros divisé en 7 152 300 actions de 4,75 euros chacune. A ces 7 152 300 actions, sont attachés 7 152 300 droits de vote, répartis comme suit à la date du présent arrêté :

Associés professionnels Titres Droits de vote

Monsieur Jean AUBRY 2,61% 2,61% Monsieur Christophe BAILLET 0,49% 0,49% Madame Marie-Hélène BOLLE 0,34% 0,34% Madame Michèle COLIN 0,38% 0,38% Madame Christine CRESSONIER 0,00% 0,00% Madame Catherine CUSSENOT 0,10% 0,10% Madame Géraldine DAP <0,1% <0,1% Madame Isabelle DAUPHIN <0,1% <0,1% Monsieur Sébastien FOUGNOT 0,01% 0,01% Monsieur Jean-Jacques GAULTIER 1,94% 1,94% Monsieur Yves GERMAIN 10,12% 10,12% Monsieur Ludovic GORNET 0,01% 0,01% Madame Olivia MELONE 0,00% 0,00% Madame Alexandra MEYER <0,1% <0,1% Madame Laure NEGRE-COMBES <0,1% <0,1% Monsieur Jean-Marcel PAULUS 8,84% 8,84% Madame Sandrine SEPANIAK-LEROND 0,00% 0,00% RECUEIL N° 56 1644 29 NOVEMBRE 2016

Monsieur Michel TEBOUL 7,52% 7,52% Monsieur Jean-Luc THIEBLEMONT 3,60% 3,60% Monsieur Ludovic WOELFFEL 0,49% 0,49% SARL SPFPL LG BIO 0,04% 0,04% SAS SPFPL DR CHRISTOPHE BAILLET 18,55% 18,55% SAS SPFPL YVES GERMAIN 8,39% 8,39% SARL SPFPL RAMO 6,45% 6,45% Associés externes Madame Françoise CHEF 2,35% 2,35% Monsieur Alain DAUCH <0,1% <0,1% Monsieur Jean-Louis HERBETH 2,82% 2,82% SARL ALGT 0,15% 0,15% SARL TROIZEF <0,1% <0,1% SAS LORBIO 12,32% 12,32% SC BIOSTAN 12,49% 12,49% Article 2 : (inchangé) A la date du présent arrêté, le laboratoire de biologie médicale multisite, exploité par la Société d’Exercice Libéral en Commandite par Actions dénommée « LABORATOIRE ATOUTBIO » - FINESS EJ 54 002 296 9 - dont le siège social est situé 89 rue de l’Hôtel de Ville - FROUARD (54390), est autorisé à fonctionner sous le numéro 54-69, sur les dix-huit sites, ouverts au public, suivants : 1. 89 rue de l’Hôtel de Ville - 54390 FROUARD (siège social) N° FINESS Etablissement : 54 002 297 7 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 2. 1170 Avenue Pinchard - 54100 NANCY N° FINESS Etablissement : 54 002 129 2 Site pré-analytique, analytique et post-analytique Familles d'examens réalisés : biochimie générale et spécialisée, pharmacologie-toxicologie, hématocytologie, hémostase, immunohématologie, allergie, spermiologie diagnostique, activités biologiques d’assistance médicale à la procréation (AMP), bactériologie, parasitologie-mycologie, sérologie infectieuse, virologie, Service de garde : en dehors des heures d’ouverture des autres sites 3. 70 rue Stanislas - 54000 NANCY N° FINESS Etablissement : 54 002 299 3 Site pré-analytique, analytique et post-analytique Familles d'examens réalisés : Génétique constitutionnelle (DPN) 4. 3 rue Mère Teresa - 54270 ESSEY-LES-NANCY N° FINESS Etablissement : 54 002 298 5 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 5. 2 rue des 4 Eglises - 54000 NANCY N° FINESS Etablissement : 54 002 130 0 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 6. 9 square de Liège - 54500 VANDOEUVRE-LES-NANCY N° FINESS Etablissement : 54 002 131 8 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 7. 23 boulevard de l’Europe - 54500 VANDOEUVRE-LES-NANCY N° FINESS Etablissement : 54 002 132 6 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 8. 17 rue de la République - 54140 JARVILLE-LA-MALGRANGE N° FINESS Etablissement : 54 002 285 2 Site pré-analytique post-analytique : aucune activité de phase analytique 9. 1 boulevard du Docteur Cattenoz - 54600 VILLERS-LES-NANCY N° FINESS Etablissement : 54 002 284 5 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 10. 45 Avenue Foch - 54270 ESSEY-LES-NANCY N° FINESS Etablissement : 54 002 307 4 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 11. 88, rue de LAXOU - 54000 NANCY N° FINESS Etablissement : 54 002 308 2 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 12. 5 rue de la Carrière - 54330 VEZELISE N° FINESS Etablissement : 54 002 309 0 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 13. 75 boulevard des Technologies - 54710 N° FINESS Etablissement : 54 002 310 8 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 14. 41 rue de Metz - 54390 FROUARD N° FINESS Etablissement : 54 002 311 6 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 15. 108 bis rue Jean-Jaurès - 54230 NEUVES-MAISONS N° FINESS Etablissement : 54 002 336 3 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 16. 185 rue Charles Garnier - 88800 VITTEL N° FINESS Etablissement : 88 000 762 0 RECUEIL N° 56 1645 29 NOVEMBRE 2016

Site pré-analytique, analytique et post-analytique Familles d'examens réalisés : biochimie générale et spécialisée, hématocytologie, hémostase 17. 10 avenue Albert 1er - 54200 TOUL N° FINESS Etablissement : 54 002 345 4 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique 18. 11, rue de la République - 54200 TOUL N° FINESS Etablissement : 54 002 373 6 Site pré-analytique et post-analytique : aucune activité de phase analytique Article 3 : Il est pris acte de la cessation de fonctions de Monsieur Bruno VIGNERON, avec effet au 30 juin 2016, et de Madame Françoise CHEF au 30 septembre 2016 ; à la date du présent arrêté, le laboratoire de biologie médicale multisite est dirigé par les biologistes coresponsables (à temps complet, sauf précision contraire) suivants : - Monsieur Jean AUBRY, biologiste médical, pharmacien - Monsieur Christophe BAILLET, biologiste médical, médecin - Madame Marie-Hélène BOLLE, biologiste médical, pharmacien - Madame Laure COMBES, biologiste médical, pharmacien - Madame Christine CRESSONNIER, biologiste médical, pharmacien - Madame Géraldine DAP, biologiste médical, médecin - Madame Isabelle DAUPHIN, biologiste médical, médecin, depuis le 1er juillet 2016 - Monsieur Sébastien FOUGNOT, biologiste médical, médecin - Monsieur Yves GERMAIN, biologiste médical, pharmacien - Madame Olivia MELONE biologiste médical, médecin - Madame Alexandra MEYER, biologiste médical, médecin - Monsieur Jean-Marcel PAULUS, biologiste médical, pharmacien - Monsieur Michel TEBOUL, biologiste médical, médecin - Monsieur Jean-Luc THIEBLEMONT, biologiste médical, pharmacien - Madame Michèle COLIN, biologiste médical, pharmacien - Madame Catherine CUSSENOT, biologiste médical, pharmacien (0,7 ETP) - Monsieur Ludovic GORNET, biologiste médical, pharmacien - Monsieur Jean-Jacques GAULTIER, biologiste médical, médecin - Madame Sandrine SEPANIAK-LEROND, biologiste médical, médecin, depuis le 1er juillet 2016. - Monsieur Ludovic WOELFFEL, biologiste médical, pharmacien Les fonctions de biologiste médical sont assurées par : - Monsieur Alain DUDA, biologiste médical pharmacien, à temps complet - Madame Anne-Marie FABRIES, biologiste médical médecin (0,37 ETP) - Madame Christelle LEONARD, biologiste médical pharmacien (0,77 ETP) - Madame Catherine WAHL, biologiste médical pharmacien (0,49 ETP) Article 4 : le laboratoire doit fonctionner, sur chacun des sites ouverts au public, conformément aux exigences législatives et réglementaires en vigueur. L'autorisation peut être retirée lorsque les conditions de sa délivrance cessent d'être remplies. Article 5 : toute modification relative à l'organisation générale du laboratoire ainsi que toute modification apportée à sa structure juridique et financière, survenue postérieurement au présent arrêté doit faire l'objet d'une déclaration à l’Agence régionale de santé Grand Est. Article 6 : les dispositions du présent arrêté peuvent faire l’objet d’un recours dans un délai de 2 mois à compter de la notification pour les intéressés ou de l'exécution des formalités de publication pour les tiers : - auprès de la Ministre des Affaires sociales et de la Santé - 14 avenue Duquesne - 75350 PARIS 07 SP - pour le recours hiérarchique, - devant le Tribunal administratif de Nancy - 5 place Carrière - 54000 NANCY - pour le recours contentieux. Article 7 : la directrice-adjointe de la Santé Publique de l’Agence régionale de santé Grand Est, est chargée de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à la SELCA « LABORATOIRE ATOUTBIO » - 89 rue de l’Hôtel de Ville - 54390 FROUARD, et dont une copie sera adressée à : - Monsieur le Directeur général de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé, - Monsieur le Président du Conseil départemental de l’Ordre des Médecins de Meurthe-et-Moselle, - Monsieur le Président du Conseil départemental de l’Ordre des Médecins des Vosges, - Madame la Présidente du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens (Section G), - Madame la Directrice de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de Nancy, - Monsieur le Directeur de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie d’Epinal, - Monsieur le Directeur de la Mutualité Sociale Agricole de Lorraine, - Monsieur le Directeur du Régime Social des Indépendants de Lorraine, et publié au Recueil des Actes Administratifs des préfectures de la région Grand Est, et des départements de Meurthe-et-Moselle et des Vosges Pour le Directeur Général de l’ Agence Régionale de Santé Grand Est et par délégation, Le Directeur Général Adjoint, Simon KIEFFER

DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE

SERVICE ACTEURS, VILLE ET TERRITOIRES

Arrêté préfectoral du 2 février 2016 fixant la composition du conseil citoyen de la commune de LAXOU - Quartier prioritaire Les Provinces N° QP 2015-3

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU la loi n° 2014-173 du 21 février 2014 relative à la programmation pour la Ville et la Cohésion Urbaine et notamment ses articles 1 et 7 relatifs à la création des conseils citoyens ; VU le décret N° 2014-767 du 3 juillet 2014 du Conseil d'Etat fixant la méthode de délimitation des contours des quartiers prioritaires de la politique de la ville ; VU le décret N° 2014-1750 du 30 décembre 2014 fixant la liste des quartiers prioritaires de la politique de la ville dans les départements métropolitains ; VU la demande du maire de Laxou en date du 18 novembre 2015 ; VU l'avis favorable du président de la communauté urbaine du Grand Nancy en date du 11 janvier 2016 ; SUR proposition du secrétaire général de la préfecture de la Meurthe-et-Moselle ; RECUEIL N° 56 1646 29 NOVEMBRE 2016

A R R E T E Article 1 : Désignation des membres du conseil citoyen Sont désignés membres du conseil citoyen Pour le quartier Les Provinces Collège habitants : titulaires - Madame BOUZAR-ESSAÏDI Sarah – 9 immeuble Savoie - Madame NOUR-SAÏD Nadia – 2 immeuble Lorraine - Madame LOUIS Corinne – 15 immeuble Flandre - Madame BERTRAND Claire – 3 immeuble Provence - Madame JACQUEMIN Geneviève – 1 immeuble Savoie - Madame GATT Anne – 2 immeuble Alsace - Madame BERTHE Virginie – 4 immeuble Picardie - Madame CHOUBOU Turia- immeuble Argonne - Monsieur KABA Anthony – 3 immeuble Provence - Monsieur OUQAMRA Ayoube – 8 immeuble Savoie – avenue de l’Europe - Monsieur BENAÏSSA Houari – immeuble Touraine – avenue de l’Europe - Monsieur SAÏ Mohamed – 2 résidence le Dauphiné - Monsieur ARAHAL Hassan – 8 rue du 8 mai 1945 - Monsieur ORRU René – immeuble Savoie - Monsieur DELACHAPELLE Daniel – immeuble Ile de - Monsieur FLECK Xavier – 1 immeuble Bretagne suppléants - Madame GOGUILLOT Sylvie – 2 immeuble Touraine - Madame BOUGUERIOUNE Nacéra – 4 immeuble Provence - Madame ARAHAL Naïma – 9 route de Villers - Madame DAMRI Karima – 2 immeuble Picardie - Madame GERMAIN Sandra – 8 immeuble Picardie - Madame BARBE Muriel – 2 immeuble Alsace - Madame COLAS Thérèse – 3 rue du 8 mai 1945 - Madame MEZIANE Saadia – immeuble Picardie - Madame PAGEOT Christine – immeuble Alsace Nord - Madame AZZEGAG Yamina – 5 immeuble Picardie - Monsieur CARREAU Jean-Marie – 1 bis place de l’Europe - Monsieur CHEVALME David – immeuble Printemps Automne - Monsieur NOUR-SAÏD M’Barek – 2 immeuble Lorraine - Monsieur SIDQUI Abdellah – 9 rue du 11 novembre 1918 - Monsieur DABESCAT Christophe – immeuble Normandie - Monsieur SABBANE Nour-Ed-Dine – 13 immeuble Flandre - Monsieur STAAL Cyril – 11 immeuble Hainaut - Monsieur PASQUIN Jean-Marie – immeuble Champagne - Monsieur ROSSY Rose – 5 immeuble Savoie - Monsieur TURCO Renato – Tour Franche Comté Collège associations et acteurs locaux : titulaires - Confédération Générale du Logement 54 représentée par Mme FERIGO Inès – 1 immeuble Bourgogne - Association Jeunes et Cité représentée par Mr DZIUBA Alexandre ou SKALLI Fouad – 11 rue Robert Schuman à Vandoeuvre - Association des femmes solidaires de Laxou représentée par Mme YAKHELEF Micheline présidente – 1 immeuble Bourgogne - Association Provinces en fête représentée par Mme BOUZAR-ESSAÏDI Séverine ;présidente – 9 immeuble Savoie - Association Pys Cause Lorraine représentée par Mme GRESSOT Clotilde ; présidente – 11 rue du 8 mai 1945 - Association Si l’On se Parlait représentée par M. EL OUARDI Hafiane – immeuble Anjou Sud - Régie de Quartier de Laxou - Provinces représentée par M. PHANITHAVONG Nicolas – 5 immeuble Bourgogne – avenue de l’Europe - Entreprise indépendante représentée par M. BARDEAU Jean-Roger – immeuble le Maine – 2 place de l’Europe - SAS Ouxal Intermarché représentée par M. BRAS Jean-Nicolas – 12 avenue de l’Europe - Propriétaire associé non exploitant représenté par M. BERR André – centre commercial des Provinces – 25 rue Claudot à Nancy - Propriétaire associé non exploitant représenté par M. NABONNAND Didier – centre commercial des Provinces – 8 rue Edouard Osjean - Tabac Presse des Provinces- centre commercial représenté par M. ROUSSELOT Dominique place Louis Colin - Pharmacie des Provinces – centre commercial représentée par Mme THOMAS Karine – place Louis Colin Article 2 : Désignation de la structure porteuse du conseil citoyen Le conseil citoyen du quartier prioritaire de la commune sera porté par une association en cours de création. Son règlement intérieur précisera le rôle, les modalités d'organisation et de fonctionnement de l’association ainsi que la durée du mandat. Article 3 : Exécution du présent arrêté Le secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le directeur départemental de la cohésion sociale de Meurthe-et-Moselle sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Nancy, le 2 février 2016 Le Préfet, Philippe MAHÉ

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES

SECRETARIAT GENERAL

Décision 2016/DDT/SG/023 du 9 novembre 2016 portant constitution de la commission de réforme compétente à l’égard des Ouvriers des Parcs et Ateliers

La Directrice Départementale des Territoires de Meurthe-et-Moselle,

VU le décret n° 65-382 du 21 mai 1965 relatif aux ouvriers des parcs et ateliers ; VU le décret n° 2004-1056 du 05 octobre 2004 relatif au régime des pensions des ouvriers des établissements industriels de l’État ; RECUEIL N° 56 1647 29 NOVEMBRE 2016

VU le décret 72-154 du 24 février 1972 relatif aux congés en cas de maladie, de maternité et d’accidents du travail dont peuvent bénéficier certains personnels ouvriers de l’État mensualisés et notamment son article 2 modifié par le décret 2004-1280 du 26 novembre 2004 ; VU l’arrêté du 27août 1974 fixant les modalités d’application du décret n° 72-154 du 24 février 1972 ; VU l’instruction du 07 juillet 2014 relative à l’organisation des opérations électorales au sein du MEDDE ; VU la note spécifique du 07 juillet 2014 relative au renouvellement des commissions consultatives compétentes à l’égard des ouvriers des parcs et ateliers et composition des commissions de réforme ; VU les résultats des élections du 04 décembre 2014 ; D E C I D E Article 1 : La commission locale de réforme compétente à l’égard des ouvriers affiliés au régime spécial de pensions défini par le décret n° 2004-1056 susvisé est constituée ainsi qu’il suit : REPRESENTANTS DE L’ADMINISTRATION : - Madame la directrice départementale des Territoires, ou son représentant - Monsieur le Directeur Départemental des Finances publiques ou son représentant REPRESENTANTS DU PERSONNEL : - M. Bertrand BRICE – CFDT ou son suppléant CFDT - M. Serge MARCONI – CGT ou son suppléant CGT MEDECINS AGREES : - Monsieur le Docteur Philippe FERRAND, maison médicale Jolain, 47 rue Jolain - 54210 Saint Nicolas de Port - Monsieur le Docteur François THEBAULT, 49 boulevard d’ - 54000 Nancy Article 2 : Monsieur le Médecin de prévention de la DDT, participe en qualité de membre consultatif Article 3 : Le secrétariat de la commission local de réforme compétente à l’égard des ouvriers affiliés est assuré par le Secrétaire Général de la DDT / Ressources Humaines Article 4 : La Directrice Départementale des Territoires est chargée de l’exécution de la présente décision dont une copie sera notifiée à chacun de ses membres Nancy, le 9 novembre 2016 La Directrice départementale, Marie-Jeanne FOTRÉ-MULLER

SERVICE AGRICULTURE - FORET - CHASSE Unité Espace rural - Forêt - Chasse

Arrêté préfectoral 2016/DDT54/AFC-FF/n° 542 du 7 novembre 2016 portant dissolution de l’association foncière de remembrement dans la commune de MOUAVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code rural, livre 1er (nouveau) portant sur les associations foncières (partie législative et réglementaire) ; VU le décret du président de la République en date du 31 juillet 2015 nommant M. Philippe MAHE préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 25 août 2015 accordant délégation de signature à M. François PROISY, sous-préfet de l’arrondissement de Briey ; VU l'arrêté préfectoral du 31 janvier 1964 portant institution d'une association foncière dans la commune de MOUAVILLE ; VU la délibération du 14 mars 2016 du bureau de l'association foncière de MOUAVILLE décidant de transmettre à la commune son patrimoine et de demander sa dissolution ; VU la délibération du 15 avril 2016 du conseil municipal de MOUAVILLE acceptant la remise de ce patrimoine et s'engageant à assurer, dans l'avenir, l'entretien des ouvrages créés à l'occasion du remembrement ; VU l'acte du pôle topographique de gestion cadastrale de NANCY, antenne de BRIEY, du 29 juillet 2015 ; CONSTATANT que l'association foncière de MOUAVILLE n'a pas effectué de travaux depuis plus de trois ans, attestation du 14 mars 2016, et qu'elle est donc sans activité réelle en rapport avec son objet ; Sur proposition du secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E Article 1 : L'association foncière de MOUAVILLE est dissoute. Article 2 : Le patrimoine foncier de l'association foncière de MOUAVILLE est transféré à la commune de MOUAVILLE qui en assurera l'entretien. Article 3 : Le reliquat de trésorerie de l'association foncière de MOUAVILLE sera versé au comptable des finances publiques de la commune de MOUAVILLE. Article 4 : Le sous-préfet de Briey, la directrice départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle et le directeur départemental des finances publiques sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché à la mairie de MOUAVILLE et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Briey, le 7 novembre 2016 Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet de Briey, François PROISY Copie à : - M. le président de la chambre d'agriculture Délais et voies de recours : le bénéficiaire d'une décision qui désire la contester peut saisir le tribunal administratif compétent d'un recours contentieux dans les DEUX MOIS à partir de la notification de la décision considérée. Il peut également saisir d'un recours gracieux l'auteur de la décision. Cette démarche prolonge le délai de recours contentieux qui doit alors être introduit dans les deux mois suivant la réponse (l'absence de réponse au terme de deux mois vaut rejet implicite).