MINISTERE DU DEVELOPPEMENT REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE RURAL ET DE L'ENVIRONNEMENT MAURITANIE Honneur- Fraternité - Justice

SOCIETE NATIONALE POUR LE

Public Disclosure Authorized DEVELOPPEMENT RURAL SO. NA. DE. R. E-272 VOL. 4

Banque Mondiale/IDA Public Disclosure Authorized ETUDE D'EEVALUATION ENVIRONNEMENTALE

DU PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT INTEGRE DE

L'AGRICULTURE IRRIGUEE EN MAURITANIE

(PDIAIM) Public Disclosure Authorized

RAPPORT FINAL

Volume 3: Annexes Public Disclosure Authorized

S.A.AGRER a N.V. avenueLouise 251, bte 23 B- 1050Bruxelles (Belgique) Tél. +32264063 10 Fax +32 2 648 75 38 E-mail agrer(arcadis.be AOÛT 1998 IR

a

g MINISTERE DU DEVELOPPEMENT REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE RURAL ET DE L'ENN'IRONNEMENT MAURITANIE Honneur - Fraierniué - Justice

SOCIETE NATIONALE POUR LE DEVELOPPEMENT RURAL SO. NA. DE. R.

Banque Mondiale/IDA

ETUDE D'EN ALUATION ENVIRONNEMENTALE

DU PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT INTEGRE DE

L'AGRICULTURE IRRIGUEE EN MAURITANIE

(PDIAIM)

RAPPORT FINAL

Volume 3: Annexes

S.A.AGRER aNv. avenueLouise 251, bte 23 B-1050Bruxelles (Belgique) Tél. :+32264063 10 Fax +32264875 38 E-mail agrer(arcadis.be AOÛT 1998 à ETUDE D'EN ALUATION ENVIRONNEMENTALE DU PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT INTEGRE DE L'AGRICULTURE IRRIGUEE EN MAURITANIE (PDIAIM)

RAPPORT FINAL

Volume 1: Rapport exécutif

Volume 2: Texte principal

Volume 3: Annexes pub-ique

V'olume 4: Consultation publique t TABLE DES MATIERES

ETlDE D'EN'ALLUATION ENV'IRONNENIENT'ALE DI PROGRANIME DE DENVELOPPENIENT INTEGRE DE L'AGRICULTURE IRRIGUEE EN MAURITANIE (PDIAIM)

RAPPORT FINAL

Volume 3: Annexes

Annexe I Aspects environnementaux en rive gauche du fleuve Sénégal Annexe 2 Cartographie de base de la zone d'études Annexe 3 Fiches de présentation des projets 3.1. Projets soumis au financement de la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM 3.2. Autres projets localisés dans la vallée du fleuve Annexe 4 Géologie et hydrologie: tableaux et carnes Annexe 5 Dimensionnement d'un Système d-Information Géoaraphique (SIG) pour le suivi du développement du secteur irrigué dans le cadre du PDIAIM Annexe 6 Références bibliographiques Annexe 7 Liste des institutions et des personnes rencontrées Annexe 8 Procès-verbaux de réunions et autres documents de travail 8.1. Commentaires du Maître d'Ouvrage sur le rapport provisoire et aide- mémoire mission FAO/CP 8.2. PV de réunion - Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM - 23/07/1998 8.3. PV du séminaire no 2 - Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM - 15/03/1998 8.4. PV du séminaire n° 1 - Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM - 03/02/1998 8.5. Texte principal du rapport d'établissement -janvier 1998 Annexe 9 Check list environnementale pour la viabilisation des périmètres irrigués et pour la réalisation de nouveaux périmètres Annexe 10 Termes de référence de la présente étude Annexe 11 Liste des principales abréviations

ANNEXE 1

Aspects environnementaux en rive gauche du fleuve Sénégal

A

Rapportfinal - Volume3 Evaluation Environnementale du PDWAIM

ANNEXE I

Aspects enIVironnementaux en Rive Gauche du fleuve Séné-al

1. Confornément aux Termes de Référence. le Consultant a vérifié la cohérence de l'étude EE avec les mesures environnementales prises en rive gauche du fleuve Sénégal'.. Le Consultant s'est par conséquent rendu à Dakar et Saint Louis du 9 au 12 février 1998. La présente note constitue un rapport de cette visite.

2. Durant sa visite à Dak-ar. le Consultant a eu l'occasion de s'entretenir avec des responsables des institutions suivantes

(i) A Dak-ar

- OMVS - Commissariat à l'Après-Barrage - Centre de Suivi Ecologique - Banque Mlondiale - ORSTOM

(ii) A Saint-Louis

- SAED - ISRAT - ADRAO

3. Contrairement à ce qui est mentionné dans les Termes de Référence, il n'existe aucune EE préparée pour la rive gauche du fleuve Sénégal qui soit similaire à la présente étude. Contrairement à la Mauritanie, aucune approche "Programme'" du secteur irrigué dans la vallée du fleuve Sénégal n'a pu être élaborée et le processus de concertation entre le Gouvernement et l'ensemble des bailleurs de fonds semble encore relativement loin d'aboutir. Cette constatation a été confirmé au niveau de la représentation de la Banque Mondiale à Dakar.

4. Bien que n'ayant pas été rédigé dans le même esprit que le PDIAIM, le PDRG (Plan Directeur Rive Gauche!, constitue un document officiellement ratifié par le Gouvemement Sénégalais. La coordination de la mise en oeuvre du PDRG est du ressort du Commissariat à l'Après- Barrage. Le PDRG peut être considéré, du point de vue technique, comme le pendant de l'EAB (Etudes Après-Barrage). Le PDRG constitue actuellement au Sénégal, le document stratégique de mise en oeuvre de l'irrigué en rive gauche et définit également les mesures d'accompagnement nécessaires, notamment d'ordre environnementales.

voir page 12 des TdR, deuxième paragraphe

Rapport final - Volume 3 1 Etude environnementale du PDIAIM 5. Dans le cadre de i OMVS, le volet "Energie" doit faire l'objet d'une étude environnementale dans le cadre des infrastructures d'électrification à réaliser depuis Manantali. Il s'auit du PASIE. L'étude environnernentale définit les impacts causés par la réalisation des travaux et les impacts liés à l'emprise des lignes électriques en terme d'expropriation. IUnplan d'atténuation de ces impacts est prévu.

7. Toujours dans le cadre du volet "Energie". il est également prévu une composante Gestion de l'Eau destinée à examiner l'impact des crues artificielles sur l'agriculture irriguée dans la vallée du fleuve. Cette étude de Gestion de l'Eau est menée par l'ORSTOMsI sur un financement FAC et devrait être réalisée au cours des trois prochaines années. Il en sera fait mention plus en détail plus loin.

8. IJn Ohscrnatoire Environnemental a également été prévu au sein de l'OMVS. Des études préliminaires ont été menées. mais n'ont pas permis jusqu'à présent d'élaborer une stratégie satisfaisante pour la mise en oeuvre d'un tel observatoire. De nouvelles études doivent démarrer dans le courant 1998 sur financement FADIBAD et devraient perrnettre de mieux définir la liste des paramètres et informations à collecter ainsi que la structure organisationnelle de l'Observatoire en terme de collecte, gestion et de restitution des inforrmations.

9. Comme mentionné plus haut. une étude de Gestion de l'Eau vient de démarrer au niveau de l'ORSTOM. L'objet de cette étude est de:

(i) examiner l'impact de la crue artificielle telle que prévue dans les consignes de lâchés de Manantali sur les superficies de Walo inondées (entre 30.000 et 50.000 ha), sur le pourcentage de ces superficies inondées qui sont effectivement cultivées en décrue, en dégageant également les superficies pour lesquelles les crues sont trop importantes, trop longues ou au contraire trop faibles ou trop courtes pour permettre une exploitation adéquate.

(ii) effectuer une approche cartographique des cuvettes inondées et étendre cette étude cartographique à l'ensemble de la vallée du fleuve par télédétection. Le format ARC- VIEW sera considéré comme standard. Il est à noter que ce travail constituera par la suite une couche SIG intéressante pour les opérateurs des deux rives.

(iii) étudier l'impa.ct de la crue artificielle sur la remontée des nappes aquifères par une campagne svstématique de relevé des piézomètres du réseau OMVS aussi bien en rive gauche que en rive droite.

L'étude doit durer environ trois ans. La rive droite fera l'objet de campagnes de mesures spécifiques durant l'hivemage 1998. A noter cependant que le études de l'ORSTOM se limitent à la crue artificielle dont l'influence sur la ligne d'eau se limite aux alentours de Podor. La zone de vallée en aval de Podor est quand à elle influencée par le barrage de Diama et ne rentre pas en principe dans le cadre de cette étude.

10. Depuis 1990, la SAED a développé un observatoire des activités hvdro-agricoles en rive gauche. Cette initiative a été motivée par le désengagement de la SAED de ses sources d'informations compte tenu de du développement rapide des périmètres privés et de la limitation prouressi\e de son rôle à la stricte gestion hydraulique des ouvrages.

Les outils développés à la SAED sont

(i) une Base de Données - BDD (logiciel FOX-PRO) dans laquelle on trouve plusieurs tables dont - une table AHA (liste des aménagements hvdro-agricoles. et caractéristiques - superficie. opérateur....) - une table OP (liste des opérateurs - organisations paysannes. privés. prestataires de service....>) - une table LNIV (liste des Unités de Mises en valeur qui est l'unité gérée par un opérateur) - définie par un code d'aménagement et un code d'OP La BDD est délécuée au niveau de 4 sites: Dagana. Podor, Matam. Bakel qui assurent la collecte. la saisie, les premières corrections et une édition provisoire). La structure de la BDD. la nomenclature et les prises de données sont imposées. Il est prévu que les 4 sites soient prochainement mis en réseau avec la SAED St Louis.

De cette BDD. des statistiques de suivi agricole, de situation du matériel, su suivi des exploitations. commercialisation et prix sont effectués)

(ii) un SIG dont les couches sont formées de: - carte des périmètres irrigués à partir d'imagerie satellite (SPOT) - à noter qu'en RINM. on a l'avantage de disposer d'une cartographie cadastrale en cours d'élaboration à partir de photos aériennes. - collectes d'information de terrain afin de compléter et caler l'interprétation satellitaire - numérisation d'autres cartes (carte des sols FAO, carte de végétation - en cours) - BDD

Le locgiciel utilisé initialement était MAP-INFO, mais ce logiciel s'est avéré limité au niveau des possibilités d'analyse. Ils sont récemment passé à ARC-INFO et ARC- VIEW, plus performant, mais nécessitant une assistance technique plus lourde. Risque = transfert de technologie et maîtrise , maintenance par personnel national plus délicat.

(iii) Etudes spécifiques (salinité des sols, besoin en eau de la riziculture par modèle "BIRIZ", suivi agronomique, outil de base pour le POAS) Le SIG perrmet de mieux connaître les % de superficies exploitées, qui exploite et qui n'exploite pas. les zones favorable et non favorables à la riziculture,... La SAED vient d'éditer un atlas - carte d'intensité culturale

(iv) Mise à disposition des cartes à la disposition des agents de terrain - motivation pour eux car ils voient pourquoi ils ont acquis des données et également se sentent contrôlés. Mise à disposition des cartes pour les populations qui peuvent voir qui n'a pas mis en valeur et appliquer des sanctions si nécessaire.

P,r,.. .2 F t fi(e epvirrnenempnt,,

Il. Le Centre de Suivi Ecolo-ique (CSE) de Dakar a également développé des outils de suivi environnementaux. Plusieurs études ont été menées. dont certaires en vallée du fleuve crâce à des analvses d'images satellitaires et photo-interprétation. Une carte de végétation de la zone du fleuve (rive gaucheO en 8 couleurs (combinaisons de deux classes de véeétation humide et sèches et de 4 classes de recouvrement) a été élaborée (Walo et Diéri) dans la zone de Dagana. Matam et Podor .

12. Ce même CSE est à présent chargé de la mise en oeuvre du PNAE (Plan National d'Action Env ironnementfl qui est le pendant sénégalais du PANE en cours d'élaboration en MNvauritanie.Le PNAE vient de sortir en édition définitive et doit être officiellement ratifié par le gouvemement sénégalais dans les toutes prochaines semaines. Dans le cadre du PNAE, il est notamment prévu de définir les procédures et standards de mises en oeuvre des études d'impacts environnementales dans le secteur irriguë.

13. Afin de gérer de façon environnementalement durable le délicat problème de l'affectation des terres et, à terme, de fixer de façon et de façon concertée au niveau des Comités Ruraux. les attributions foncières, la mise en oeuvre du POAS (Plan d'Occupation et d'Affectation des Sols) constitue une pièce rnaîtresse de la stratégie environnementale Sénégalaise dans la vallée du fleuve. ]1' s'agit d'une démarche participative de la part des comités ruraux qui vise à l'aménagement du territoire rural. Des cartes de zones d'activités sont peu à peu élaborées à partir de l'outil cartographique élaboré dans le cadre du SIG. Le domaine irrigable -est alors intégré et limité en fonction d'équilibre avec les autres activités. La :recherche d'un consensus dans ces matières délicates devrait fortement favoriser à terme la mise en valeur durable des ressources rurales, dont le domaine irrigable constitue un des éléments.

14. Il est prévu que les normes et recommandations en matière d'aménagements hydro- agricoles soient présentées dans le cadre du POAS sous forme d'une charte de bonne conduite dans un premier temps, pour devenir contractuel une fois que le POAS est fixé.

projets PREMINA et PROGENA ANNEXE 2

Cartographie de base de la zone d'études

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDLAIM 1. CCA A;Ti0iMALE E i// ?EX~~~~~~~ r.2 z~ ~ ~ 8 g AK tq, 1£ . EVALUATION~~~~~~~~~~EN I O N M N A E D A MLE E D 0,ES, » ) i T8 8 t» ^ BOUHO~IO/>'4

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ANNEXE 3

Fiches de présentation des projets- ---

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j~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Rapport3 ~~~~~~ final - Volume Evaluation Environnementale du PDL4IMs ~~~~C;

ANNEXE 3.1.

Projets soumis au financement de la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDL4IM I Liste récapitulative des projet présentés au financement de la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM

No TITRE

' `,'Viabilisationdes périmètres irrigués villageois entre Gani et Dar El Barkla

2 Construction d'ouvrag7es de désenclavement dans le cadre de l'Appui aux initiatives de base dans la zone de Gani à

3 Investissements structurants des Unités naturelles d'équipement de Koundi I à 5

4(1) Investissements structurants de l'Unité naturelle d'équipement du Dirol (dans une optique de décrue contrôlée)

5( ) Projet d'arnénag-ement des infrastructures générales de M'Bagne

6 Gestion des Eaux de la Vallée du Gorgol

7 j Soutien à l'irrigation privée dans la vallée du Gorgol

Suivant les commentaires transmis par la SONADER (annexe 8. 1.)

les projets d'aménagement hvdraulique des plaines de Dirol et de ne sont plus inscrits dans les priorités d'intervention de la Banque Mondiale,

- la réhabilitation des périmètres ne sera pas ciblée sur la zone de Gani - Dar El Barka, pas plus qu'elle ne sera limitée aux seuls périmètres villageois. Tous les périmètres dégradés de la Vallée. collectifs ou privés. pourront postuler au crédit de réhabilitation, seuls seront admis les dossiers les plus bancables.

Rapportfinal - Volume3 Evaluation Environnementaledu PDIAIM

1. Viabilisation des périmètres irrigués villageois entre Gani et Dar El Barka

Zone d Î,2îern enî1ou- Zone 1 Basse - Vallée / Gani-Dar El Barka Le domaine du projet est circonscrit sur une bande de 80 km environ entre Gani (45 km à l'Est de ) dans le Trarza et Dar El Barka (60 km à l'Ouest de Boghé) dans le Brak-na.

Documenis dc' céférences. 1. Termes de réf'erence de l'enquête sur les périmètres irrigués - Cas des Périmètres Irrigués Villageois (PIV) situés entre Gani et Dar El Barka et les périmètres privés situés au niveau de la vallée du Gorgol - Janvier 1997 2. Projet de viabilisation des périmètres irrigués villageois (P.I.V.) dans le Trarza et le Brakina - SONADER. Rapport provisoire - novembre 1997

Conlexte er;i i/ Les périmètres irrigués v illageois (PIV) ont été aménagés et équipés par la SONADER et sont mises en valeur par des exploitants regroupés au sein d'une coopérative villageoise. Chaque exploitant dispose d'une parcelle de taille réduite (0.50 ha en moyenne). L'irrigation sc f'ait au départ de stations de pompage équipées d'un groupe moto-pompe et ensuite par tour d'eau à l'intérieur des quartiers hydrauliques. Dans une enquête préliminaire. on a dénombré 148 PIV situés dans la zone du projet.

(b2Cil/b' duroÉ'1c Le projet vise a réhabiliter I 150 ha de PIV sur base d'un recensement qui doit permettre de dégager: (i) état des lieux et évaluation de la nature et les coûts des travaux de réhabilitation pour les PIV; (ii) cerner la motivation des bénéficiaires: (iii) sélection des groupements les plus performants. Ce projet constitue une première phase du programme de réhabilitation prévu par le PDIAIM visant à terme la réhabilitation de plus de 10.000 ha sur des périmétres irrizués privés et collectifs.

Sicide de mise L'O oeuure du nroiet: Les enquêtes onlt été mises en oeuvre de la mi-août à fin septembre 1997. Les fiches d'enquêtes ont été dépouillées en novembre et font l'objet du rapport provisoire mentionné plus laut. Un total de 125 PIV totalisant 3630 ha a ainsi été recensé au stade du rapport pro% isoire, un montant total de 617 millions de UM. soit une moyenne de 170.000 UIM par ha. Les critères de sélection des PIV tiennent compte de la situation vis à vis du crédit agricole (UNCACEM), de l'ancienneté de l'exploitation, du taux d'intensification. de la régularité de la mise en valeur, de la diversification et des résultats techniques. Des scénarios de sélection ont été proposés. Mentionnons les constats suivants: (i) sur le seul critère de l'enveloppe financière prévue (600 rnillions d'UM), la presque totalité des périmètres pourraient être réhabilités (env. 3500 ha); (ii) sur le seul critère de régularité envers l'UNCACEM. seuls 730 ha seraient éligibles.

Rapportfinal - Voluzme3 Evaluation Environnementaledu PDIAIM Phase d 'investissement Des études pour les travaux d'aménagements devront être menées pour chaque PIV à réhabiliter. Les "normes de conception des périmètres irrigués" éditées par la. Direction de l'Environnement et de l'Aménagement Rural (DEAR) devront être respectées. A partir de ces études, un dossizr de f'inancement devra être monté et présenté à l'organisme de crédit pour financement dans le cadre d'une ligne de crédit long terme.

Phase de fonctionncuncnt' Les dispositions à prendre pour la phase de fonctionnement n'ont pas été précisés dans les documents à notre disposition.

Développemenl rermis nrar Ics investissements. En dehors du seul objectif quantitatif de la superficie à réhabiliter, aucune réflexion sur le développement perrm'is par les investissements ne ressort des documents à notre disposition.

Prise en comptc a('ctiuel/C des c-ontraintes environnementales: Les contraintes environnementales n'ont pas été prises en compte de façon explicites dans les estimation des coùts de réhabilitation des travaux. Il faut toutefois noter que le critère "diversification" a été intégré au niveau de la sélection, ce critère pouvant être considéré partiellement comme avant un impact environnemental à priori positif.

Raonort final - VoIlume3 Evaluation Environnementale du PDIAIM 2. Construction d'ouvrages de désenclavement dans le cadre de l'Appui aux initiatives dc base dans la zone de Gani à Dar El Barka

Zone d nitererlo. Zone 1: Basse - 'allée: (iani-Dar El Barka Le domaine du projet est circonscrit sur une bande de 80 km environ entre Gani (45 km à l'Est de Rosso) dans le lTrarza et Dar El Barka (60 km à l'Ouest de Boghé) dans le Brakna.

Docunments dtc rêlerences 1. Termes de rétérence du projet d'étude de désenclavement des zones de production aLricole. situées entre (iani et Dar El Barka - Janvier 1997

Contexte ryenerul Le Brakna et le '['rarza représente une zone de production agricole importante (près de 24000 ha aménaués sur 40000 ha recensés). Elle est toutefois d'accès très difficile durant la saison des pluies. et tout particulièrement dans la zone de Gani- Dar El Barka. La liaison Rosso-BoLue derait ctre réalisée prochainement (et plus particulièrement dans une première phase le tronçon Rosso-Lekseiba) sous la tutelle de la Direction des Travaux Publics. cet investissement n'entrant pas dans le cadre-du PDIAIM.

Obiet dn pro!et .- Le projet vise à équiper la zone de pistes secondaires, de bretelles d'accès et d'ouvrages de franchissement permettant une connexion des zones de production à la future route Rosso-Bogué (RN).

Stade de mise en oeuvre du p/'o(jet A ce stade, seul des TdR d'études préliminaires ont été élaborés. Ces études préliminaires sont en cours (topographie hydrologie, génie civil. étude socio-économique) et un rapport d'études préliminaires devrait être disponible en janvier 98.

Phase d'investissement : En l'absence de rapport d'études, il est actuellement impossible de dégager la teneur de la phase d'investissements. A ce stade, 3 sous-zones à désenclaver ont été définies: (i) secteur localisé entre le N'Diawane et le Sénégal; (ii) secteur Koundi-cordon dunaire; (iii) secteur Leikseba - Leighet

Phase de fonctionnement: Aucune indication sur la phase de fonctionnement n'a été précisée à ce stade.

Dévelornnement permis par les investissements: Aucune indication sur le développement permis par les investissements n'a été précisé à ce stade. Les études socio-économiques devraient toutefois apporter des éléments sur ce point.

Prise en comple actulelle des contraintes environnementales: Aucune prise en compte des contraintes environnementales n'a été mentionnée dans les TdR.

Rapportfinal- Volume 3 Evaluation Environnementaledu PDIAIM 3. Investissements structurants des Unités naturelles d'équipement de Koundi 1 à5

Zone d'interientiofi Zone 1: Basse - Vallée / Gani-Dar El Barka Le domaine du projet est circonscrit sur une bande de 80 km environ entre Ciani (45 km à l'Est de Rosso) dans le Trarza et Dar El Barka (60 km à l'Ouest de Boghé) dans le Brakna.

Documents de références 1. Termes de Référence pour l'étude préliminaire des infrastructures des UNE de Koundi 1 àa, SONADER, janvier 1997 2. Schéma d' aménagement de l'Etude Après-Barrage, Groupement AGRER-SCET AGRI-HASKONING, 1991 3. Etude de faisabilité de Koundi 3, SONADER/BCEOM, 1995

Contexte ZénérZL: Le tronçon de la vallée entre Gani et Dar El Barka est délimité d'une part par le fleuve Sénégal et traversé par le Koundi et ses défluents, dont le Kiraye, le Koundi étant lui- même un défluent clu Sénégal. La présence de chenaux hydrauliques naturels rend la zone propice au développement de la culture irriguée et de décrue en ce qui conceme les dépressions. Aucun ouvrage hydraulique permettant de contrôler les niveaux de l'eau n'a été amnénagé dans la zone. Le schéma d'aménagement prévu dans les études après- barrages et dans les études de faisabilité de Koundi 3 s'avère à l'heure actuelle difficile à mettre en oeuvre, du fait, entre-temps de l'implantation non contrôlée et anarchique de nombreux périmètres privés dans la zone.

Objet du proiet Le projet devrait permettre d'améliorer les conditions de mise en valeur de la zone, à défaut de pouvoir envisager de façon réaliste de mettre en oeuvre un réel schéma d'aménagement pour les raisons évoquées ci-dessus. Le constat actuel met en effet en évidence les contraintes suivantes: (i) un pourcentage important de terres aménagées n'est pas mis en valeur, dont les causes sont d'ordre technique (déficience des aménagements réalisés quasi toujours sans études et sans respect des norrnes), d'ordre financier (accès au crédit et endettement), et aussi d'ordre spéculatif (obtention d'un droit foncier conditionné à l'arnénagement sans réelle coercition si aucune mise en valeur n'est pratiquée par après); (ii) les réseaux de drainage sont totalement inexistants. ce qui à terme constitue un grave risque de dégradation des sols par salinisation des terres, cet état de fait ayant déjà été constaté de façon critique dans le delta.

Stade de mise en oeuzvre du proie t: L'étude préliminai:re est en cours. Elle consiste à: (i) compléter les données de base (topographie, suivi -hydrologique); (ii) constituer une association d'usager des infrastructures hydrauliques; (iii) à procéder à une enquête socio-agro-économique; (iv) à actualiser le schéma d'amnénagement de l'EAB; (v) élaborer un APS des ouvrages. notamment hydraulique.

p erf *f,,,, _ V,-,I,n' vEvaluatrion Environnementale,du lPDIAIM Phase J jflV3S.sc'n! Aucune phase d'investissement n'est encore définie de façon précise à ce stade dans la mesure où unie stratécie doit d'abord être élaborée pour tenir compte des contraintes techniqucs. socio-cconomiques et environnementales. Les investissements suggérés dans les TdR poretentsur <(ji)la rccalibration de marigots pour en améliorer la débitance: (il) la mise en oeuv re de colFeteturs de drainage. la recherche d'exutoire posant toutefois problèmc: (iiih les ouvraces d'ari sur les grands marigots permettant d'assurer la gestion des plans d'eau: (iv) un endiguement intérieur principal complémentaire à l'endiguement du Sénégal-ri\ve droite de Rosso à Lekseiba (plusieurs scénarios doivent être étudiés techniquement)

Phcasede cie tuuu?e?l- Non définie a ce stalde

Déi'elo,n7ernin7i errnirsniar Ies investissements. Non défini à ce stade

Prise en Comn7oteactel/C des contraintes environnementales Les besoins cenévaluation en\ironnementale sont exprimé clairement dans les TdR. en reportant l'anal\ se à la prcscnte ctude.

Rapportfinal - Iolume 3 Evaluation Environnementaledu PDIAIM 4. Investissements structurants de l'Unité naturelle d'équipement du Dirol (dans une optique de décrue contrôlée)

Zone d'intervention : Zone II: Moyenne - Vallée / M'Bagne-Kaedi

Documents de références. 1. Termes de Référence d'un projet d'étude de développement agricole de la plaine du Dirol, SON'ADER - Juin 1997 2 Etude USAID. 1983 - 1985

Contexte général: La plaine de Diroi est une vaste cuvette de décrue, inondée chaque hivemage par les eaux de l'Oued Gueliouar et par les débordements des eaux du fleuve Sénégal. C'est la crue du fleuve qui est toutefois la plus détermiinante pour l'inondation de la plaine. Dans les conditions naturelles d'hydraulicité du fleuve, en année moyenne. la crue inonde une superficie dépassant les 8000 ha. Le caractère aléatoire du niveau de la crue, de sa durée et la rapidité de la décrue font que la plaine est actuellement cultivée à un faible niveau de son potentiel.

Objet du proiet Les études USAID mentionnées plus haut étaient orientées vers l'exploitation de la plaine de Dirol en irrigué. A l'heure actuelle, il est plutôt question d`arnéliorer les cultures de décrues par des ouvrages hydrauliques permettant un meilleur contrôle des plans d'eau (décrue améliorée).

Stade de mise en oeuvre du proiet: Les études préparatoires doivent débuter prochainement. Dans le cadre de ces études, il est prévu: (i) une étude socio-économique de la zone du projet; (ii) une étude foncière; (iii) une étude hydrologique complémentaire; (iv) une proposition de schéma d'aménagement de la plaine (avec altematives éventuelles); (v) un suivi hydrologique.

Phase d'investissement : Doit ressortir clairement des études préparatoires. Seule l'option décrue améliorée sera étudiée.

Phase de fonctionnement: Non précisé en temps que résultat des études préparatoires.

DévelopZpement rermis par les investissements: Non précisé en temps que résultat des études préparatoires.

Prise en compte actuelle des contraintes environnementales: Non précisé en temps que résultat des études préparatoires. La collecte de données permettant ultérieurement de mieux caractériser le contexte environnemental est cependant prévue, spécialement en matière de suivi hydrologique et de problématique foncière.

RaDvortfinal - Volume3 Evaluation Environnemensaledu PDIAIM 5. P'rojet d'aménagement des infrastructures générales de M'Bagne

ZOnc' (i hiu71TlC?io- Zone Il N1o!ennc - Vallée , Bababe-M'Bagne

I)ocîll7?en (d 'Li cc L'` ] Etude de solutions alternatives de l'aménagement hvdro-agricole de l'unité naturelle d'équipemient de M'Bagne - Mai 1992 - INYPSA (financement Institut Espagnol de Coopération avec le Monde Arabe - ICMA) Etude de tactibîlité de l'aménagement hNvdro-agricole de l'unité naturelie d'équipement de Nl'I3agne - Juillet 1992 - INYPSA (financement : Institut Espagnol de C'ooperation avec le Monde Arabe - ICMA) 3. Termes je Rélérence pour les études de préparation et schéma d'aménagement - juin l).

( )71''['onexte 1 '!'! La zonc dui pr(oiet est située entre les villes de Bababé et M'Bagne. La zone d'étude mesure environ kk) eem long et 2 à 8 klm de large. Une vingtaine de village gravitent autour de la plaine. en bordure du tleuve ou à la limite de la zone du Diéri. La population dans la zone est d'environ '3.000 habitants.

)h/evt c1ilfl!O s.:/ L'étude dcs solutions alternatives a mis en évidence un potentiel aménageable de 20.000 ha. l'étude de i'actihilité portant sur 6.000 ha. L'étude de factibilité a été menée dans une logique d'amenagement de grands périmètres irrigués collectifs, ce qui ne rentre désormais plus dans le cadre stratégique du PDIAIM. C'est pourquoi, il a été décidé de reprendre les concepts à la base. Les TdR des études de préparation sont à présent orientés sur un concept d'amélioration de culture de décrue et/ou de réalisation d'ouv-rafles structurants devant permettre le développement de l'irrigation à petite échelle. Dans le cadre dc celte étude, il est prévu : (i) réalisation d'un schéma d'amenagement de la zone du proiet et d'un plan foncier à partir d'une étude hydrologique, d'une étude socio-économiquu. d'une enquête foncière et de la caractérisation des infrastructures géniérales à réaliser (iii) conception d'un APD/DAO et priorisation pour la réalisation de tranches d'init'rastructures générales (échéancier d'aménagement).

SadIle ti cie ('c oerlTe dut pr¢iel Démarrage des etudes préparatoires prévues au début 1997, études devant étre exécutées par la SONADER

Phase J inves,'t N.e,,zen Non défini à l'lheure actuelle mais une première estimation devrait ressortir des études préparatoires

P17CaSedle 10r7c'[ior7fleflt Les TdR prévoient d'étudier (i) les coûts d'entretien: (ii) la répartition de ces coûts entre l'Etat et le paysan: (iii) le montage institutionnel pour la gestion des ouvrages

Rapportfinal - I olurme3 Evaluatrion Environnementale du PDIAIM Dév'elopnnenent 17ermis n)czrles investissements Les TdR prévoient une estimation sommaire des coûts et avantages des différents types d'anénagements. Une analvse fine des développement permis par les invest!-sements n`est toutetois pas cnv,isa2ce de façon explicite.

Pri.se en comn2i iciculte/e dles contraintes environnementales Les TdR prévoient que de développer un schéma d'aménagement en affectan: Aes zones à l'irrigué, à la culturc de décrues. aux petites et moyennes exploitations villageoises, des zones naturelles préservées et aménagées en conséquence, des zones de mises en défens et des zones de boisement.

Rapport final - Volume 3 Evahiation Environnementaledu PDIAIM 6. Gestion des Eaux de la Vallée du Gorgol

Zone d 'interLvention- Zone III: Vallée du Gorgol

Documents de' références 1. Etude sur la gestion des eaux de la vallée du Gorgol. rapports phase I et Il, Lahmever International - SONADER, oct 87 et juillet 88 2. Termes de Référence pour une étude générale de valorisation et d'optimalisation de l'utilisation des ressources en eau dans la vallée du Gorgol. Dendros Internacional, févricr 1997. 3. Une version modifiée de ces mêmes TdR a été élaborée pour présentation aux bureaux short l stés invités à remettre offre. Nous n'avons pas eu l'autorisation de consulter ce document. (la description ci-dessous est donc basée uniquement sur le document 1)

CoileXiL' eL Lé'rI! En 1984. le barrage de Foum Gleita a été établi sur le Gorgol Noir, ce qui a permis le développement de l'asgriculture irriguée. Dans la vallée coexistent deux types d'agriculture la culture de décrue et la culture irriguée. Le barrage de Foum Gleita en amont et le pont vanne dce Kaedi en aval (confluence du Gorgol et du fleuve Sénégal) permettent dans cer.aines limites d'optimaliser l'utilisation des ressources en eau. Toutefois des améliorations conséquentes pourraient encore être apportée dans la mesure ou l'axe hvdraulique entre ces deux ouvrages dispose également d'ouvrages de contrôles ou d'amélioration d'hldraulicité.

Obiet du2 roiet L'objet du projet sera défini dans les études qui incluront les aspects suivants: (i) collecte et traitement des données de base (topographie), cartographie générale. hydrologie, socio- économie, pédologie. géotechnie; (ii) élaboration d'un schéma directeur d'aménagement (APS et APD!DAO des travaux prioritaires).

Stade de misc en7oeuvre du Uroiet: Les études, objet des TdR mentionnés plus haut doivent être attribuées à un Bureau d'Etudes sur base d'appel d'offres qui devrait être lancé en décembre 1997. Elles auront donc lieu postérieurement à la présente étude.

Phase d inveshissement Le dimensionnement de la phase d'investissement doit constituer un résultat de l'étude générale au stade APS. Les investissements devraient toutefois comprendre: (i) infrastructures générales pour l'aménagement de 500 ha de périmètres à mettre en valeur en polder ou en décrue contrôlée; (ii) l'aménagement de seuil dans le Gorgol Noir pour faciliter l'alimentation en eau des périmètres privés aménagés entre Foum Gleita et Leikseiba; (iii) l'aménagement du bief Leikseiba - Kaedi améliorant le transfert au PPG extension et équipé de petits ouvrages de prise pour la culture de submersion dans le Oualo; (iv) construction de pistes de désenclavement

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Enivironnemenraledu PDIAIM Phase de fonctionnement Les études doivent fournir des recommandations sur le fonctionnement des ouvrages.

Développement pernis par les investissements: Devrait ressortir des schéma d'aménagement.

Prise en comnte actuelle des contraintes environnementales Non indiqué dans les TdR.

Ra.nnor,tfihno - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM Soutien. à l'irrigation privée dans la vallée du Gorgol

Zone d interienhl(n Zone III: Vallée du Gorgol

Documneni's cl' retci;rencc,s. 1. Termes de référence de l'enquête sur les périmètres irrigués - Cas des Périmètres Irrigués Villageois (Pl,') situés entre Gani et Dar El Barka et les périmètres privés situés au niveau de la vallée du Gorgol - Janvier 1997

C lexte

Oibet du p"ricr Le projet vise à réhabiliter les périmètres privés sur base d'un recensement qui doit permettre de dégager ti) état des lieux et évaluation de la nature et les coûts des travaux de réhabilitation: (ii) cerner la motivation des bénéficiaires: (iiî) sélection des bénéficiaires les plus perf`ormants. Ce projet constitue une première phase du programme de réhabilitation prévu par le PDIAIM visant à terme la réhabilitation de plus de 10.000 ha sur des périmetres irrigués privés et collectifs.

Slade de m7iseen oeuvre cizdprojet . Les enquêtes sont en cours. Les fiches d'enquêtes seront dépouillées prochainement. Nous ne disposons donc à ce stade d'aucune inforrnation quantitative supplémentaire.

Phasczed iniest1isc'zeent Des études pour les travaux d'aménagements devront être menées pour chaque PIV à réhabiliter. Les 'norrnes de conception des périmètres irrigués-' éditées par la Direction de l'Environnement et de l'Aménagement Rural (DEAR) devront être respectées. A partir de ces études, un dossier de financement devra être monté et présenté à l'organisme de crédit pour financement dans le cadre d'une ligne de crédit long terme.

Pha.se dle fonclionnemen -- Les dispositions à prendre pour la phase de fonctionnement n'oni pas été précisés dans les documents à notre disposition.

Dé'ieioencnementn2ermis par les investissements En dehors du seul objectif quantitatif de la superficie à réhabiliter, aucune réflexion sur le développement permis par les investissements ne ressort des documents à notre disposition.

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Environnementaledu PDIAIM Prise en commeneaÉic'/,clie dcl contrainies environnemenhales Les contraintes enrvironnementales n'ont pas été prises en compte de façon e icites dans les estimation des coûts dc rehabilitation des travaux. Il faut toutefois note e le critère "diversificationi` a ete intceré au niveau de la sélection. ce critère pouvant - considéré paniellement commmeanvant un impact environnemental à priori positif.

Rannort final - IVolume3 Evaluation Environnementale du PDIAIM ANNEXE 3.2.

Autres projets localisés dans la vallée du fleuve

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Environnementaledu PDL4IM

Liste récapitulative des autres projets localisés dans la vallée du fleuve

NO TITRE

I Bassin de Gouère: Programme de développementintégré du Gouère

2 Bassin de Dioup - Diallo: Etude de faisabilité du projet de développementdu système d'irrigation agricole dans le Haut Delta du fleuve Sénégal

3 Bassin de N'Diadier: Projet Aftout / Alimentation en eau de la ville de Nouakchott

4 Garak - Sokarn: Projet de développement intégré de GARAK - SOKAM

5 Koundi 6 à 10: Etude hydro-agricole de Brakna Ouest - terme de référence

6 Réhabilitationde la plaine de M'Pourié

7 PPG extension (irrigué et décrue): Extension du Périmètre Pilote du Gorgol ()

8 Etude d'exécution de III

9 Projet de consolidation et d'extension de Boghé Phase II

10 AménagementHydro-agricole du périmètre de Gouère Wassa (périmètre de Bellara)

1 Infrastructures générales de Maghama - Améliorationdes cultures de décrue

12 Actualisation de l'étude de la Route Rosso-Boghé

13 Digue Rosso - Lexeiba: Etude complémentairedes endiguements du fleuve Sénégal

14 Projet / deuxième phase du Lac R'Kiz

15 Etude de l'aménagementdes dépressions interdunairesRosso-R'Kiz

16 Consolidation hydraulique du marigot de Laouvaja Rosso-R'Kiz

17 Etude de consolidation et d'extension du périmètre de Foum-Gleita (phase II)

1.Intitulé: 1. PROGRAMME DE DEVELOPPEMENI INTEGRE DU GOUERE

2. Maître d'ouvrage: SONADER

3. Maître d'oeuvre: SONADERet AGETA

4. Consultants: |SONADER

15.Objectifs du projet

- Travaux hydrauliques

. Prolongement du chenal d'amenée entre l'ouvrage OMVS et le marigot . réalisation de deux digues (M'Bah. Lakmar) et de deux ouvrages vannés . creusement de fossés de drainage collectifs et d'ouvrages de franchissement

6. Localisation géographique

La zone du projet est constitué par ie dans le bassin de Gouére situé à l'ouest de Rosso dans le Haut Delta. Le bassin du Gouère est limité par la digue rive droite du fleuve Sénégal au sud, le marigot Ibrahima à l'ouest, la piste nord de Rosso à Keur -Macène au nord, la limite ouest de la plaine de M'Pourié à l'est.

[7. Zone du projet:

La zone du projet se compose de neuf unités couvrant une superficie totale de 10 700 ha au nord de la digue et 2 200 ha entre le fleuve et la digue.

8. Données du projet:

- Population concemée

- Aspects environnementaux

a . travaux forestiers . stabilisation de 100 ha de dunes près de Dieuk dont 60 ha en reboisement mise en réserve de la forét de gonakiers de Lakrnar (500 ha), reboisement de 50 ha . création d'une ceinture verte de 50 ha près de Breune

b. drainage envisagé: rejet dans des cuvettes

- Mesures d'accompagnement

. création d'une organisationprofessionnelle des usagers de Gouère . appui à la commission nationale chargée de la gestion des ouvrages de l'OMVS . maîtrise de la salinité daris les cuvettes et sur les périmètres irrigués . mise en place d'attributaires des parcelles boisées . essais fourragers et promotion de l'élevage laitier

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM 19.Timing du Projet

Travaux dinfrastructures structurants réalisés en 1995

10. Durée du projet: m

]11. Coût du projet: 12,9 FF (303 millions UM) 1. Travaux hydrauhiques: 222 millions UM 2. Travaux forestiers: 37 millions UM 3. Mesures d'accompaonement: 14 millions UM 4. Non affecté: 30 millions UM

112. Source

note de présentation Décembre 1994 1. Intitulé: 2. ETUDEDE FAISABILITEDU PROJET DE DEVELOPPEMENT DU SYSTEMED'IRRIGATION AGRICOLEDANS LE HAUT DELTA DU FLEUVE SENEGAL

12.Maître d'ouvrage: MDRE

13.Maître d'oeuvre: SONADER

14.Consultants: NIPPON KOEL CO., LTD TAIYO CONSUTANTSCO., LTD AERO ASAHI CORPORATION

5.Objectifs de l'étude:

1. Faisabilitédu Projet de Développementdu Système Agricole portant sur les bassins du Dioup-Diallo situés dans la plaine alluviale de la rive droite du fleuve Sénégal à environ 200 km au sud de Nouakchott. en vue de l'améliorationdu niveau de vie de la population rurale, l'augmentationde la production alimentaire et la préservation de l'environnement.

2. Transfert technique à la contrepartie mauritanienne à travers l'exécutionde l'étude.

16. Localisation géographique:

La zone du projet se situe au centre du haut Delta du fleuve Sénégal à 20 km à l'ouest de Rosso. Elle s'étend sur une bande de 20 km de long et 10km de large , limitée par des dunes au nord et la digue rive droite au sud. La zone étudiée est rattachée administrativementà la moughataa de Keur-Macène. Wilaya de Trarza.

17.Zone du projet:

environ 8 000 ha dans ie bassin de Dioup-Dialloet 10 000 ha dans celui de N'Diadier situé plus en aval.

8. Donnéesdu pro'et:

- Populationconcernée: 11 180 habitants (70 % de Maures et 30 % de Wolof)

- Aménagementsprévus: . ouvragesstructurants (réalisation par le projet) . ouvrages quaternaires et parcelles (réalisation par le projet) - Superficie totale: 4 730 ha .Riziculture: 3 940 ha .pâturage: 790 ha

- Spécuiationet production: . riz en saison des pluies . riz en saison sèche . pâturage

- Aspects environnementaux: . suivi de l'évolution de la qualité des sols . suivi de l'évolution de la qualité de l'eau . mise en oeuvre et suivi des mesures de protections contre la désertificationet l'ensablement . suivi sanitaire . drainage envisagé: par pompage et rejet dans le fleuve - Mesures d'accompagnement: . instruction et formation en matière de I 'entretien et de gestion des installations transfert des installations et les équipements d'exploitation et d'entretien à l'Associationdes Usagers de Dioup (A.U.D)

Rnfl,7t" finn1 VertlmoR Fvaluatinn Fnvirrnn7ementalpdv PDJ4M |9. Timing du Projet

année let 2: conception et préparation année 3: aménagement d'un périmètre modèie de 810 ha incluant une ferme de démonstration de 100 ha. année 4 à 7: poursuite des aménagements (3920 ha) et des installations de l'ensemble du projet

10. Durée du projet: 16 ans

I1.Coût du projet: 3 095 millions UM

Financement: Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA)

Frais d'exploitation et cl'entretien: 90,8 millions UM/an soit 19 200 UM/anJha

Bénéfice économique: 148 125,5 millions UM/ha.

12. Source

Rapport principal -juillet 1°97 1. Intitulé: 13. AEP A LONG TERME DE NOUAKCHOTT

12.Maître d'ouvrage: |MrNISTEREDE L'HYDRAULIQUEET DE L'ElNERGIE

3. Maître d'oeuvre: SONELEC

14. Consultants: Appel d'offres en cours

5. Objectifs de l'étude:

Prévision de la demande en eau potable de Nouakchott et la zone du projet à l'horizon 2030 Avant Projet Sommaire de variantes d'alimentation à partir de l'ouvrage de l'Aftout Avant Projet Détaillé et dossier d'appel d'offres pour la solution retenue

6. Localisation géographique: |

La prise de l'Aftout ES Sahel se situe à 250 km au Sud de Nouakchott en bordure du fleuve

7. Zone d'étude:

La voie d'eau envisagée (canai à ciel ouvert ou conduite en charge) doit longer le littoral atlantique

8. Données du projet:

Les données qui seront élaborées par le Consultantcomprendront: .les besoins de la zone urbaine (domestiques, industriels ...) .les besoins des zones rurales traversées (cultures maraîchéres) .le système de traitement et la qualité de l'eau .le choix du tracé de la voie d'eau .le système de pompage à la prise de l'Aftout .les ouvrages et équipements requis (conduits, réservoirs, accès...) .les aspects fonciers .l'impact du projet sur l'environnement .l'analyse des coûts et la rentabilité du projet .l'entretien et la maintenance des ouvrages et équipements

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementaledu PDLAIM 9. Timing du Projet

1998-2000: réalisation des études (18 mois) 2000: début probable des travaux

|10.Durée du projet:

|1. CoÛt du projet:

Financement: FADES I BID

~~~~~~~~r 1 r ; . _ T)Fr"/rrf |1. Intitulé: 4. PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT fINTEGRE DE GARAK - SOKAM

2. Maître d'ouvrage: SONADER

3. Maître d'oeuvre: SONADER

4. Consultants: SONADER

5. Objectifs de l'étude: Définition d'un schema d'aménagement pour un projet de développement intégré de Garak -Sokam visant: - l'amélioration de la desserte en eau des périmètres situés à l'extrémité de certains marigots et/ou création des chenaux d'irrieation - le drainage; - la protection contre les inondations: - l'amélioration de la décrue: - le désenclavement.

6. Localisation géographique:

La zone du projet. correspond à la bande de Walo comprise entre la ville de de Rosso et le village de Gani

7. Zone du projet: l

La zone du projet est constituée par les UNE GA I , GA2.

8. Données du projet:

- Population concernée:

- Aménagements prevus: . ouvrages structurants (realisation par le projet) ouvrages quatemaires et parcelles (réalisation non spécifiée)

- Superficie irriguée: 1500 ha Périmètres collectifs: 1000 ha Périmètres privés 500 ha

- Décrue: 2000 ha

- Aspect environnementaux: fixation des dunes pour la protection des marigots contre l'ensablement: 130 h ha seront stabilisés (fixation mécanique et biologique) . protection et régénération des forêts drainage envisagé: par pompage et rejet dans les cuvettes ou dans les cours d'eau naturels.

- Mesures d'accompagnement: mise sur pied d'un fonds de recherche - développement.

Rarnor>rt final - Volum, 3°rn' r v A DrVt rrr 19.Timing du Projet Z-

110.Durée du projet: Z-

11. Coût du projet: 32 318 millions UM

Financement: Caisse Française de Développement

Frais d'exploitation:

Bénéfice économique: -

112.Source: 3

Rapport provisoire - septembre 1997 1. Intitulé: 5. ETUDE HYDRO-AGRICOLE DE BRAKNA OUEST TERMES DE REFERENCE

12. Maître d'ouvrage: MDRE

3. Maître d'oeuvre: SONADER

4. Consultants: OCDN BAD

5. Objectifs de l'etude:

- Réalisation d'un schema d'amenaerement des infrastructures générales et principales - Réalisation d'un avant projet détaillé et un dossier d'appel d'offre ainsi que la faisabilité financière et économique d'une prerniere tranche

6. Localisation géographique:7-

La zone de l'étude se situe dans la Wilaya du Brakna à l'ouest de Boghé. Le projet concerne les comrmunes de Dar El Avia, Ould Birane et Dar et Bark-a

7. Zone du projet:

La zone du projet comprend les unités naturelles d'équipement (UNE) de Koundi 6 à 10. Elle est constituée par une succession de cuvettes s'étendant sur une longueur de 80 km en bordure du fleuve Sénégal, entre Boghé en amont et Donave en aval

8. Données du projet:

- Population concemee 15 000 habitants

- Superficie totale 18 630 ha - Superficie à amena-er pour la première tranche: 4 000 ha

- Aspects environnementaux: évaluation des impacts du projet sur le milieu . proposition d'un programme d'actions de correction et de mitigation

- Mesures d'accompagnement: séminaire de sensibilisation et d'information

RaDwort final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM 19.Timing de l'étude démarrage début 1998

10. Durée de l'étude:- 16 mois l 11. Coût de l'étude: -

Financement: FAD / FAT / Etat Mauritanien

112. Source 1. Intitulé: 16. REHABILITATION DE LA PLAINE DE M'POURIE

12. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maître d'oeuvre: DIRECTION DE LA PLAINE DE M'POURIE

4. Consultants: GERSAR -SCP

5. Objectifs du projet:

Etude de factibilité de la réhabilitation de la plaine de M'Pourié

6. Localisation géographi ue:

La plaine de M'Pourne se situe le long du Fleuve Sénégal à l'ouest de la viile de Rosso

7. Zone du projet: 1

La zone du projet se situe dans la plaine de M'Pourie et couvre une superficie totale de 1525 ha dont 725 ha sont exploités

88.Donhées du proJet

- Population agricole: 600 à 800 familles

- Aménagement prévu: . ouvrages structurants (réalisation par projet) . ouvrages quaternaires et parcelles( réalisation par le projet et les bénéficiaires)

- Spéculation et production: . riziculture irrigu&e . production annuelle: 2 200 tonnes (une seule culture /an . production commercialisée: 1 100 tonnes

- Aspects environnementaux: drainage envisagé: Pompage et rejet dans le fleuve

- Mesures d'accompagnement: . mise sur pied d'un organisme chargé: * de distribution de l'eau ' d'exploitation et de la maintenance des ouvrages * d'organisation des tours d'arrosage ' de recouvrement des redevances.

Ravnort final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM 9. Timing du projet

Durée des études: 6 mois Lancement du dossier d'appel d'offre 6 mois Durée des travaux 18 mois Travaux acheves Exploitation en cours

|IO.Duréeduprojet: 6 ans

[I 1. Coût du projet: 1514 100.000 UM

Financement FIDA

Frais d'exploitation 105 472 UM / 1.8 ha

Bénéfice économique 80 829 UM / 1.8 ha

|12. Source:

Etude de factibilité - juillet 1989 LI. Intitulé: 17. EXTENSION DU PERIMETRE PILOTE DU GORGOL (KAEDI)

j2. Maître d'ouvrage: |MDRE

13. Maître d'oeuvre: SONADER

14. Consultants: IFAGRARIA - DENDROS INTERNACIONAL

[5. Objectifs du projet:

. Aménagementd'un périmètre irrigué Aménagementd'une zone d'essai pour la culture de décrue contrôlée et améliorée . Aménagementd'une zone de décrue contrôlée . Réalisationde deux digues de protection d'une longueurtotale de 15 km environ

16.Localisation géographique:

Le périmètre est constitué par une partie du vaste territoire plat compris entre la digue de de protection du périmètre pilote de Kaedi, la dune longeant le fleuve Sénégal et un tronçon du lit de Gorgol

7. Zone du roet:

La zone du projet se situe à l'est de l'ancien Périmètre Pilote du Gorgol (PPG) . j8. Données du projet:

- Population concernée:

- Aménagements prévus: . ouvrages structurants (réalisation par le projet) .ouvrages quaternaires et parcelles (réalisation par le projet + bénéficiaires)

- Superficie totale de: 2 500 ha . périmètre irrigué : l 188 ha . décrue contrôlée et améliorée: 137 ha . décrue contrôlée : 571 ha

- Aspects environnementaux: - .drainage envisagé: par pompage et rejet dans le Gorgol

- Mesures d'accompagnements:

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIlIM 19. Timing du Projet

1991 - 1997: construction 1997: début d'exploitation

10. Durée du projet:

111. Coût du projet: 1.464.011.148 UM

Financement: Fonds Européen de développement (FED)

Frais d'exploitation et d'entretien:

Bénéfice économique:

112. Source

DENDROS rNTERNACIONAL Il. Intitulé: 8. ETUDE D'EXECUTION DE MAGHAMA III

12. Maître d'ouvrage: MDR

13. Maître d'oeuvre: SONADER

4. Consultants: EUROCONSULT

5. Objectifs du projet:

Aménagement de la plaine pour la culture irriguée avec une disponibilitéen eau toute l'année qui permettra d'augmenter l'intensite culturale d'un facteur qui peut s'élever jusqu'à 1.6.

16. Localisation géographique:

La zone du projet se situe dans le bassin inférieur du fleuve Sénégal à 23 km au sud de Maghama entre les localités de Wali et de Toulèl.

7. one du projet:

Unité naturelle d'équipement de Maghama III (MD3)

18. Données du projet:

- Population concernée 6 747 habitants . agriculteurs 2 968 habitants

- Aménagements prévus: . ouvrages structurants (réalisation par le projet) . ouvrages quaternaires et parcelles ( réalisation par le projet) - superficie totale brute: 1000 ha . superficie riziculture 470 ha superficie polyculture 530 ha

- Spéculation et production . riz d'hivernage 366 ha . riz contre saison 220 ha . sorgho 271 ha . maïs 348 ha jardin 23 ha

- Aspects environnementaux: . drainage envisagé: mixte (par gravité et pompage) et rejet dans le fleuve

- Mesures d'accompagnement: mise en place d'une équipe d'assistance technique composéed'un agro-économiste,d'un ingénieur aménagiste et d'un électromécanicienafin d'assurer le fonctionnementdu projet et la formation de son personnel durant les premières années

RcRannnrrfinal - Volume 3 Evaluation Environnementale di, PDIAIM 19.Timing du Projet l

Les travaux sont achevés

10. Durée du projet: 1 12 mois

11. Coût du projet: 1 200 millions UM

financement du projet Banque Islamique de Développement(B.l.D)

Frais d'exploitationet d'entretien

Bénéfice économique

112. Source

Avant projet détaillé - Novernbre 1990 PDIAM: Infrastructureset arnénagement- juillet 1995 |1. Intitulé: 19. PROJET DE CONSOLIDATION ET D'EXTENSION DE BOGHIE - PHASE Il

12. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maître d'oeuvre: SONADER

4. Consultants: |OCDN/ BAD

1S. Objectifs du projet:

Les objectifs du projet sont: - La réhabilitation de 790 ha. - L'aménagementde 660 ha complémentaires, - Le renforcement de la station de pompage, - Le renforcement des coopératives en vue de la mise sur pied d'une union des coopératives et une société de gestion du casier

6. Localisation géographique:_]

Le périmètre de Boghe est situé en bordureNord de la vallée du fleuve Sénégal à une distance (à vol d'oiseau) de 220 k-mde la cote atlantique.

7. Zone du projet: l

La zone du projet est constiruée par la plaine de Boghé située entre Boghé et Sarendogou, elle est complètement endiguée. Sa partie amont est occupée par le casier pilote et la partie aval est prévue pour l'extension

8. Données du projet:

- Population concernée:

- Aménagements prévus: ouvrages structurants (projet) ouvrages quaternaires et parcelles (projet + bénéficiaires)

- Superficie totale 1 450 ha . réhabilitation 790 ha . extension 660 ha

- Production et spéculation: . riz 1 800 tonnes (en année de croisière) . autres céréales: 1 350 tonnes (en année de croisière) . produits maraîchers: 3 000 tonnes (en année de croisière)

- Aspects environnementaux: . suivi des principaux indicateurs d'impact au niveau du développement des maladies d'origine hydrique. lle dépistage et le traitement des foyers de prolifération. lla reforestation lle contrôle de l'utilisation des produits agro-chimiquesetc.... . drainage envisagé: mixte (par pompage et par gravité) et rejet dans le fleuve - Mesures d'accompagnement: renforcement des coopératives .

i P,,,,,,rtf#Xs7I _-T 1n1,,e 6 2t ralvtion Env"rn,nnm,,ntcle Jv Pnr.t/f 9. Timing du Proet

Année I et 2 Etude pour la consolidation Année 3 Aménasgement de la zone alimentée par la station de pompaee du CPB

Démarrage prévu en 1998

10. Durée du projet: 24 ans

11. Coût du projet: 142.97 Millions UM ( 10,73 Millions UC)

- Financement: FAD. Etat Mauritanien. Bénéficiaires.

- Frais d'exploitation et d'entretien:

12. Source:

Rapport d'évaluation 1997' BAD |I. Intitulé: 10. AMENAGEMENT HYDRO-AGRICOLE DU PERIMETRE DE GOUERE WASSA (PERIMETRE DE BELLARA)

12. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maître d'oeuvre: SONADER

4. Consultants: SONADER

5. Objectifs du projet:

Aménagement du périmètre irrigué de Bellara pour la réalisation: - d'un réseau de canaux d'irrigation - d'un réseau de canaux de drainage - d'une station d'alimentation et d'exhaure

6. Localisation géo-ra2 h.ue:

La zone du projet se situe dans le delta du fleuve Sénégal à proximité de Keur-macène. Elle se trouve au sud du marigot de Diallo qui constitue sa source d'alimentation.

7. Zone du projet:

Le périmètre est limité au sud par l'endiguement rive droite du fleuve Sénégal, à l'Esr par la digue route reliant Keur-Macène à Rosso et à l'Ouest par un périmétre privé.

8. Données du projet:

- Population concemée

- Aménagement prévus . ouvrages structurants (réalisation par le projet) . ouvrages quaternaires et parcelle (réalisation par le projet)

- Superficie totale: 250 ha

- Spéculation et production: riziculture

- Aspects environnementaux:

. drainage envisagé: pompage et rejet dans une cuvette endéroïque

Ran7r'o-rfinal - Volume 3 Fvaluation EnvironnemÉnralp dv PVJ14Tv 19.Timing du Projet

Travaux de construction en cours.

110. Durée du projet: 12 mois (travaux en cours)

11. Coût du projet: 21.71130.000UM

- Financement: Banque Islamique de Développement (BiD) Fonds Saoudien de Développement(FSD)

- Frais d'exploitation et d'ent-etien

- Bénéfice économique

112. Source

Mémoire descriptif Marché N 30 /96 CCM

~' .-

._:1 1. Intitulé: 11. INFRASTRUCTURES GENERALES DE MAGHAMA AMELIORATION DES CULTURES DE DECRUE

2. Maître d'ouvra e: MDRE

3. Maître d'oeuvre: CELLULE DE PLANIFICATION

14. Consultants: S.A. AGRER - SCET AGRI - HASKONING - AFRECOM.

5. Objectifs du projet:

- Etendre et consolider l'agriculture traditionnelle (décrue) sur les UNE MD1 à MD5 par une valorisation des apports des oueds Gorfa. Niordé et désili (travaux phase 1) - Favoriser le développement de l'agriculture irrigué grâce notamment aux endiguements de protection contre les crues et à un réseau routier de désenclavement prévu dans la partie amont (MD4,MD5) en phase 2

6. Localisation géo2raphi ue:

La zone du projet s'étend de Wompou à Maghama. elle appartient à la moyenne vallée du fleuve Sénégal.

7. Zonedu projet:

La zone du projet engiobe les UNE de MD5. MD4, MD3,MD2 et MD i et couvre une superficie totale de 35 550 ha,dont 21 691 ha irrigable.

8. Données du projet:

- Population concernée: 20 000 personnes - Aménagement prévus: . ouvrages structurants (réalisation par le projet)

- Surface totale inondée: 22 500 ha brute et 13 500 ha (nette). bief I (MD5) : 3 400 ha .bief 2 (MD4) : 3 600 ha . bief 3 (MD 1+MDD2-+MD3): 15 500 ha

- Spéculation et production: . sorgho sur 80% de la surface cultivée avec un rendement 0,8 t / ha . maïs sur 18 % de la surface cultivée avec un rendement de 0,6 t / ha llégume sur 2 % de la surface cultivée avec un rendement de 6 t I ha

- Aspects environnementaux: . drainage envisagé: par gravité et rejet dans le fleuve

- Mesures d'accompagnement: . cours des services de l'Etat dans les domaines suivants: * gestion de l'eau * sélection des semences * protection des végétaux * stockages, conservation et transport des récoltes * commercialisation des produits

Rarnrort final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM 19. Timing du Projet

les travaux sont en cours

il0. Durée du projet: 12 ans

|11. Coût du projet: 547 700 000 UM

- Financement:

- Frais d'exploitation et d'éntretien: 2 300 000 UM / an

- Bénéfice économique: .sorgho: 16 305 UM /ha . mais: 12 265 UM ha

[Ir iu

Rapport principal - Janvier -1991 r. Intitulé: 12. ACTUALISATIONDE L'ETUDEDE LA ROUTE ROSSO- BOGHE

2. Maître d'ouvrage: MINISTERE DE L'EQUIPEMENT

3. Maître d'oeuvre: |DIRECTION DES TRAVAUX PUBLICS

14.Consultants: BCEOM

|5. Objectifs du projet: - dynamiser ie développement de l'agriculture dans la région du fleuve - favoriser l'intégration de la région du fleuve dans l'espace économique national par le renforcement du grand axe de communication national Ouest - Est. Nouakchott - Rosso - Bophé - Kaédi - Sélibabi

6. Localisationgéographique - La route Rosso - Boghé doit relier les villes de Rosso - Boghé.

17.Zone d'influence du projet: l - La zone d'influence du projet constitue le premier centre d'approvisionnementen produits vivrières de la capitale. Elle couvre une superficie aménageable en cultures irriguées de plus de 75 000 hectares et dispose du plus fort potentiel de développement agricole du pays.

|8. Données du projet: - population de la zone d'influence du projet 128 000 habitants superficie irrigable dans la zone d'influence 76 625 ha - superficie aménageable en cultures irriguées 15 600 ha - nombre d'unités naturelles d'équipement (UNE) 1 l - longueur de la route 190 km

- Aspects environnementaux

- Mesures d'accompagnement

I_ rtelotnssD _zz-< S;nol ÉEvaluationEnvironnementale du PDIA M 19.Timing du Projet:

1998: lancement de l'étude de faisabilité et du dossier d'appel d'offres sur financement de l'Union Européenne

|10.Durée du projet:

11. Coût du projet: (étude BCEOMI

- Financement Fonds d'Aide et de Coopération

- Frais d'entretien 9 373 055 UM en 1995 à 35 469 155 en 2014

- Taux de rentabilité Interne 11.25 à 13,14 % selon les variantes.

12. Source

Rapport économique - janvier 1991 I. Intitulé: 13. ETUDE COMPLEMENTAIRE DES ENDIGUEMENTS DU FLEUVE SENEGAL

2. Maître d'ouvrage: |OMVS

3. Maître d'oeuvre: HAUT COMMISSARIAT DE L'OMVS

4. Consultants: COYNE & BELLIER

5. Objectifs de l'étude:

Définition d'un aménagement garantissant: .une exploitation à la cote 2.5m de la réserve du barrage de Diama. .une meilleure gestion des ressources en eau dans le delta et la basse, . un niveau de protection elevé contre les crues. lla mise hors d'eau des zones basses lors de l'exploitation du barrage à la cote +2,50 m.

6. Localisation géographique: }

Amont et aval immediat de Rosso (raccordement avec la digue existante)

17. Zone d'étude:

Elle s'étend de Rosso a Boghé, limite de la zone d'influence du barrage de Diama.

8. Données du pro'et:

- Les données qui seront elaborées par le consultant porteront sur: lla population concernée par le remous. la surface concernée par le remous, ll'hydrologie. la topographie, . la géotechnique, l'hydraulique et le génie civil. l'agro-économie ll'impact du projet sur l'environnement en particulier les modifications biophysiques.

Ravport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM |9. Timing de J'étude

étude en cours

1l 0. Durée de l'étude: 15 mois

| I i. Coût du projet:

- Financement: CFD |1. Intitulé: j 14. ETUDE D'EXTENSION DE LA DEUXIEME PHASE DU LAC R'KIZ

2. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maître d'oeuvre: |SONADER

F4. Consultants: |SCET-TUNISIE / OADA

.5. Objectifs du projet:

Aménagement d'un réseau d'irrigation et de drainage sur 853 ha nets irrigables avec volets mise en valeur et mesures d'accompagnement.

|6. Localisation géographique:

Le Lac R'kiz qui est une vaste dépression de 30 km de long sur 5 km de large se trouvant à une trentaine de kilomètres du fleuve Sénégal en rive droite et immédiatement au sud de la localité de R'kiz

17.Zone duproet:

La zone du projet est un prolongement du périmètre pilote de 60 ha et couvre une superficie nette de 853 ha

8. Données du projet:

- Populationconcernée: 25 000 habitants - Superficie nette: 853 ha - Aménagements prévus: aménagements structurants réalisés par le projet . aménagements quatemaires et parcelles: ( réalisés par le projet + bénéficiares) - Spéculation et production . riziculture - Aspects environnementaux

. drainage envisagé: gravitaire et rejet dans des cuvettes endéroiques.

Rar,ort final - Volume 3 Fvaluartir Envirnn,ormorp71pdi' PPiTJrTU 9. Timing du Projet

Travaux achevés 1997

110. Durée du projet:

|11. Coût du projet: 997 503 700 UM

- financement: BID - coût mise en valeur et besoins en financement: 89 440 500 UM sur 2 ans

12. Source

Avant projet - Volume 2: Socio-économie !Janvier 1991 Projet en cours ou requis aupres de la Banque Islamique de Développement SONADER - novembre 1996 |1. Intitulé: 15. ETUDE DE L'AMENAGEMEN^T DES DEPRESSIONS INTERDUNAIRES ROSSO-R'KIZ

12. Maître d'ouv'rage: IMDRE

3. Maître d'oeuvre: | SONADER

14. Consultants: | BCEOM

15. Objectifs du projet

L'objectif du projet est d'étudier l'amenagement des cuvettes de Tin Yeddir à l'Ouest, Léounne, Tambass et Diguinet, afin d'y perrmettre les cultures de décrues. L'idée générale est de limiter l'inondation lors des crues du fleuve par une digue et de laisser passer dans les dépressions le voiume d'eau nécessaire à la culture de décrue

r6. Localisation géographique

La zone étudiée est située à une trentaine de kilomètres au Nord- Est de Rosso et au Sud du Lac R'kiz

17. Zone du projet:

La zone du projet est constituée par les cuvettes de Tin Yeddir, Léourine, Tambass et Digumet et couvre une superficie de 1564 ha

8. Données du projet:

- Aménagements prévus: . ouvrages structurants (réalisation par le projet)

- Superficie exploitable en décrue: .Tin Yeddir 608 ha .Tambass 650 ha . Léourine 166 ha . Diguinet 140 ha

- Spéculation et production . culture de sorgho . production annuelle 1880 tonnes

D- T/AZa~Aw~AI 7 Fvczluariorn En iTv""i"'nentaiprordu PDlAT4 19.Timing du Projet

110.Durée du projet:

|11. Coût du projet: (Investissements et fonctionnement): 177 300 000 UM

Tin Yeddir 24 572 000 UM Tambass 57 120 000 UM Grande Diguinet 3 708 000 UM Léourine 91 900 000 UM

- Taux de rentabilité intemne. TTin Yeddir 20.9 % .Tambass 15,20% . Grande Diguinet 38,40% -Léourine < 0 %

12. Source

Avant - Projet Détaillé I Rapport Général I Septembre 1991

.*g- [1. Intitulé: 16. CONSOLIDATION HYDRAULIQUE DU M-ARIGOT LAOUVAJA (Lac R'kiz)

12. Maître d'ouvrage: | MDRE

13. Maître d'oeuvre: |SONADER

4. Consultants:

l5. Objectifs du projet

L'objectif du projet est le recalîbrage du marigot Laouvaja alimentant la cuvette orientale du lac R'kiz. L'étude s'atteliera à préciser les tronçons qu'il y a lieu de récalibrer et ceux pour lesquels un curage peut suffir

6. Localisation géographique

Le projet se trouve entre Gani. situé sur le fleuve Sénézal et le Lac R'Kiz

17. Zone du projet:

La zone du projet est constituée par le marigot de Laouvaja

8. Données du projet:

Les données qui seront élaborées par le projet porteront sur: le régime d'écoulement du marigot. lla variation des débits en fonction des différents niveaux du plan d'eau dans ie marigot à sa confluence avec ie fleuve lesl scénarios de gestion en fonction des cotes de calage du fond du marigot. Ies conditions dans lesquelles devront être exécutées les futurs travaux et les engins à même de les effectuer

brPAI.,w- .' , v Fvaluatinn Enviro.nnementale du PDIAIM 9. Timing du Projet l

Requête de financement lancee auprès de la BID

10. Durée du projet: mois

11. Coût du projet: m 27 500 000 UM

Financement requête adressée à la BID.

12. Source

Consolidation hydraulique du marigot de Laouvaja Requête de financement. Octobre 1996 |1. Intitulé: 17. ETUDE DE CONSOLIDATION ET D'EXT:ENSION DU PERIMETRE DE FOUM-GLEITA ( Phase Il)

12. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maitre d'oeuvre: SONADER

14. Consultants: |EURO-CONSULT / SODESE Engineering

5. Objectifs de l'étude:

Le projet comprend deux volets: - Consolidation de la première phase du périmètre de Foum-Gleita par: la réalisation de 3 ponts suppiementairessur les canaux principaux PI et P2, lla réalisation d'un pont sur le Gorgoi lla réalisation d'une passereile sur le canal d'amenée et l'agrandissement du dalot au PK 900 m sous le canal d'amenée lla construction d'une route d'accès reliant la base vie a la route nationale - Extension du périmetre

6. Localisation géographique:

Le projet d'aménagement de Foum-Gleitaest situé dans la vallée du Gorgol Noir. Il se situe à 120 km de Kaédi et à 30 kilomètres a l'Ouest de M'Bout.

7. Zone du roet:

La zone d'extension est à l'aval du périmètre existant et couvre une superficie de 2520 ha brute.

18. Données du projet:

- aménagement prévus . ouvrages structurants ( réalisationpar le projet) . ouvrages quaternaires et parcelles ( projet + bénéficiaires).

- Spéculation et production . riziculture

- Aspects environnementaux . reboisement autour et à l'intérieur du périmètre. .drainage envisagé: gravitaire et rejet dans le Gorgol

PR,7trt fina!f- Vn!Vm' 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM 19.Timing du Projet

Appel d'offres pour l'exécution des travaux de consolidation est lancé.

10. Durée du projet:

11. Coût du projet: 6 600 000 000 UM pour la consolidation

- Financement Fonds Abou Dhabi

112.Source

. Avant-projet détaillé I Volume I - Rapport général -juin 1989 . Entretien SONADER \~~~~------e -* -~r - - -~ -- ~~~~~ -- - - -~--a-~---

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-s`-~--Géologie et hydrologie tableaux et cartes ~|

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I Cartesgéologiques et hydrogéologiques l

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.MnD. _I_I_.Axe de la dorsale du socle ancien *t.*,.,-.*'., 5 Profondeur (en m.) |J^n""s`gAA l . Eocene Inférieur j Pa (eoce ne I N C H I R Ir1,qu,s

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Tableau 1 Profil en long du fleuve Sénégal

13AKEL MATAM KAEDI SAL.DE BOGHE Zéroéchelle: m IGN (Xm3/s) H1(cm) m ION Q (m3/s) il (cm) m IGN Q (m3/s) H (cm) m IGN Q (n3/s) H (cm) m IGN Q (m3/s) H (cm) m ION PKde Si - Louis

20 94 12.10 -13 6.19 -24 3.61 52 1.84 100 0.43 ZéroOualia :118.112 30 106 12.22 O 6.32 l 3.74 66 1.98 109 0.52 ZéroCGourbas : non ran 50 123 12 39 23 6.55 12 3.97 86 2.18 121 0.64 ZéroKayes :21.55 75 142 12.58 50 6.82 39 4.24 110 2.42 136 0.79 ZeroBakel :11.16 100 157 12.73 71 703 60 4.45 132 2.64 150 0.93 ZuroMatam: 6 32 125 171 12.87 91 723 80 4.65 150 2.82 161 1 04 ZéroKaédi 3.85 150 184 13.00 109 7.41 98 4.83 167 2.99 172 1.15 Zéro Saldc 1.32 200 210 13.26 145 7.71 133 5.18 205 3.37 196 1.39 Zéro 13oghc -0.57 250 231 13.47 174 806 162 5.47 232 3.64 213 1.56 ZéroPodor :444 300 251 13.67 202 8.34 195 5.80 266 3.98 234 1.77 Zéro Dagana -0.44 500 320 14.36 291 9.23 303 6.88 378 5.10 330 2.73 750 393 15.09 379 10.11 389 7.74 468 6.00 417 3.60 1000 454 15.70 452 10,84 460 8.45 546 6.78 493 4.36 1250 507 16.23 516 11.48 522 9.07 608 7.40 553 4.96 15(0 561 16.77 569 12.01 574 9.59 660 7.92 603 5.46 1750 612 17.28 608 12.4 610 9.95 702 8.34 643 5.86 PKKayes :948 Km 2000 659 17.75 635 12.67 630 10.15 723 8.55 663 6 06 Pl B3akel :794 Km 2250 704 18.20 661 12.97 649 10.34 744 8.76 683 6.26 PKMatam :623 Km 2500 748 18.64 687 13.19 668 10.53 768 9.00 706 6.49 PK Ka6di :532 Km 2750 788 19.04 710 13.42 685 10.70 790 9.22 727 6.70 PKSaldc 474 Km 3000 825 19.41 731 13,63 700 10.85 810 9.42 747 6.90 PK Boghé :379 Km 3250 856 19.72 749 13.81 713 10.98 821 9.53 757 7.00 PKDagana: 169Km 3500 885 20.01 766 13.98 726 11.11 833 9.65 769 7.12 3750 911 20.27 781 14.13 716 Il.21 842 9.74 777 7.20 4000 939 20.55 797 14.29 148 11.33 852 9.84 787 7.30 4250 966 20.82 813 14.45 7 863 9.95 797 7 40 4500 991 21.07 827 14.59 770 11.55 872 10.04 806 7.49 4750 1017 21.33 N42 1-174 781 11.6(W 88# 10 13 815 7.581 [sùof1 _10421 21.58 857 14.89 792 11.77 891 10.23 8241 7.671

Source: Logiciel Progesen (OMVS) Fig 5. Hydrogrammedu fleuve Sénégal4 Bakel 1996

3550

3000

2500

4nn 020

1000. /

500

2 96 01-aoù-96 05-aoû-96 09.o-96 13-aoû-96 17-aoû-96 21-aoû-96 25-aoû-96 29-t-96 0 -sep- 06sep-96 1Osep-96 14-sep-96 18-sep-96 JOURS 1~ ~ ~ ~~~

Inondation des cuvettes

Superficie inondées (ha) en fonction des débits du fleuve à Bakel

Débit du fleuve à Bakel U.N.E (m3/s) 1 800 2 750 3 000

MBI 1 972 2 896 3 007 MB2 2 747 4 780 5 109 MB3 600 2 805 3 424 KI 6 442 8 556 8 967 GAI 1 280 1 574 1 661 GA2 1 478 2 005 2 290 KOI 1 309 2 289 2 554 K02 1 293 2 561 2 886 K03 2 243 4 487 5 325 K04 114 1 321 1 609 KO5 1 886 4 468 5 386 K06 523 2 745 3 280 K07 47 247 490

Total 21 934 40 734 45 988 Superficieinondées (ha) en fonction de la cote de gestion du barrage de Diama pour un débit d'étiage de 50 m3/s

Cote de gestionde Diama U.N.E (m) 1.50 2.25

MBI = O MB2 0 MB3 O O KI _ O GAI 1671 3 428 GA2 1690 2 902 KOI 778 I 547 K02 250 I 086 K03 283 1 158 K04 __ KO5 0 0 K06 0 0 K07 O _

Total _ 4 672 10 121 1

éisd luei ae !~~~~~~~~uef'isiode nfnto e

U.N E MBl

Répartition hypsométrique des surfaces Altitudeabsolue du 0=6 coterelative (m) 0 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 Surfacetotale (ha) coteabsolue (m IGN) 6 6-7 7-8 8-9 9-10 1-11 surface(ha) 20 745 1165 10()5 64< 25 3600 Surfacecumuilée(ha) 20 765 1930 2935 3575 360)0)

Surfacebnite cultivablc= 31928 coteniloNclie: 7 9 Surfacenette irrigable 2945 Coieberge: 9-1<) surfacecultivée en décrue(1970-1971) 1450 Coteplan d'cau: n Hlauteurdc pompage: 7-X

Surfaceinondée en fonctiondu débità Bakel pertede charge entre fleuve et cuvette(m)= 0.3 Q(m3/S) cote fleuve cotecuvette Surfaceinondée (mlGN) (tnIGN) (ha) 1800 8.34 8.04 1972 2750 9.22 8.92 2896 3000 9.42 9.12 3007

Surfaceinondée en fonctiondu débitdu fleuve à Bakel 9.5 3100

9.1 2900

8.9570 8.78.5 200

7.9 2100 7.7 7.5 1900 1800 2750 3000 cuoe fleuve(miON) débitdu fleuve à O"j (m31à) cote auvete (rOmIN) + Surface inondée(ha) U.N.E MB2

Réprttition hypsométriquedes surfaces Altitudeabsolue du 0=6 cote relative (m) O 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 6-7 Surfacetotale (ha) cote absolue (m) 6 6-7 7-8 8-9 9-l1) lU-11 12-13 surfacepartiellc(ha) ()295 2360 2310 120<) 375 10 655( Surfacecunîulée(ha) C 295 2655 4965 6165 6540) Surfaccbhite cuItivabIc-- 629)0 cotemoMcInc: X3 Surfacenette irrigable 4718 Cotebergc: lo-11 surfacecultivée en décmie (1910-1911) 458( Coteplan d'cau: 2.6 Hauteurde pompage: 8 Surfaceinondée en fonction du débit pertede charge entre le fleuve et la cuvette(m) 0.3 Q(m3/S) cotedu fleuve cotecuvette Surfacinondée (mlGN) (miGN) (ha)

1800 8.34 8.04 2747 2750 9.22 8.92 4780 3000 9.42 9.12 5109

Surface Inondéeen fonctiondes débits à Bakél 9.6 .5500 9.6 9.2 ~~~~~~~~~~~~~~~4500

18.8 ~~~~~~~~~~~~4000j 18.6 3500 8.4 3000

8 22500 1800 2750 .i _ _ _ -4-cote dufleuve (mlON) d4bhtdu 0rue à klaW1(m3ts) -cote cuvette(

Répartition hypsométrique des surfaces Altitude absolue du 0=4 cote relative (m) O 0-I 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 6-7 cote absolue (m) 6 6-7 7-8 8-9 9-10 10-Il 11-12 12-13 surface(ha) 130 65 305 2505 3495 2475 270 55 Surfacecumulée(ha) 130 195 500 3005 6500 8975 9245 9300

Surface brute cultivable= 8379 cote moyenne: 9 4 Surface nette irrigable. 6285 Cotc berge; 11-12 surface cultivée en décrue (1970-1971) 705 Cote plan d'eau: 2.8 Hautetir dc pompage: 8-9

Surface inondée en fonction du débit Perte de charge entre fleuveet cuvette (m)- 0.3 Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée (mlGN) (mIGN) _ (ha) 1800 8.34 8.04 600 2750 9.22 8.92 28R5 30(NI 9.42 9.12 3424

Surface inondée enfonction du débit à Bakél 9.5 3500 9 30004 t& 5 l <2500 *{ 2(000

7 500 t800 2750 3000 D f B Cote du fleuve(mlON) Débit du lleuvei Bal (tn3h) a cote cuvette(mION) 4 Sutrfaceinondée (ha) U N E KI

Répartition hypsométriqtuedes surfaces Altitude absolue du 0=6 cote relative (m) 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 6-7 cote absolue (m) 6 6-7 7-8 8-9 9-1( 10-Il 11-12 12-13 surface (ha) I ( 650 1280 2095 3285 2740 138(0 215 Surface cumulée(ha) 30 800 2080 4175 746() 10200) 1158(< 11795

Surfaccbnmitc cuIlivablc- 1<16()>cotc flo\cfillc 'J 4 Surface nette irrigablc. 762) Cote berge 12 surface cultivée en décrue (1970-1971) 5285 Cole plan dcau 4 lauiiteurdc pompage: 8

Surface inondée en fonctiondu débit

Perte de char ge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée (mlGN) (mlGN) (ha) 1800 9.99 9.69 6442 2750 10.7 10.4 8556 3000 10.85 10.55_ j 8967

Surface Inondée en fonction du débit à Bakél I l > 9000 10.8 ~~~~~~~~~~~~~~~~8500 10.6 800 10.4 _oo00 10.2 750 10 7000 j 9.8g 65008 9.6 6000 9.4 9.2 5500 9 5000 1800 2750 3000 Débtdu fleuve DébItàâ BnkelB.kl du~ (m3lo)(013/) | -O-Coe-cote cuvettedu fleuve(miON) (mION) - Surface inondée(hla) U N E GAI

Répartition hypsomnétrique des surfaces Altitudeabsolue du 0=0 cote relative(rn) ( 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 Surfacetotale (ha) coteabsolue (m) 0 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 surfacepartielle (ha) 10 250 1470 6065 2450 155 104() Surface cumtuléc(hl) Il 260 1730 7795 10245 10400

Surfacebrute cultivable .(>145 colcmoxneill 2.3 Surfacenette irrigable 7609 Coteberge: 4 surfacecultivée en décrue(1970-1971) 1210 Coteplan d'eau Hautecurdc pompage 4 Surfaceinondée en fonctiondu débit Pertede chargeeitre fleuve et cuvette(m)= 0.3 Q(m3/S) Cotedu fleuve cotecuvette Suîrfaceinondée (mlGN) (mlGN) (ha) 1800 2.04 1.74 1280 2750 2.21 1.91 1574 3000 2.26 1.96 1661

SurfaceInondée en fonction du débità Bakel 2.4 1800 2.2 1 16000

1400 1.60

1.4 1.2 12000

1900 2750 -300( *---Coted leue(IN débih du fleuve à Bakil (m3/a) é-cole cuvette (mlON) -- Surface inondée (ha) U N.E GA2

Répartition hypsométrique des surfaces Altitudeabsolue du 0=1 coterelative (m) 0-1 1-2 2-3 3-4 Surfacetotale (ha) cote absolue (m) I 1-2 2-3 34 4-5 Surface partielle(ha) 0 1760 40()80 840 120 6800 Surface cumulée (ha) 0 1760 5840 66X0 68t)0

Surfacebrite cullivable: 6715 cotcmowennc 2 4 Surfaçe netteirrigable: 5036 Cotcbeige: 4 surface cultivéeen décrue(1970-1971):= 2575 Coteplan d'eat t Hlauletirde pompage 4 Surfaceinondée en fonctiondu débit

Surfaceinondée en fonctiondu débit Pertede chargeentre fleuveet cuvette(m)= 0.3 Q(m3/S) Cote du fleuve cotecuvette Surfaceinondée (mIGN) (mIGN) (ha) 1800 2.14 1.84 1478 2750 2.36 2.06 2005 3000 2.43 2.13 2290

Surfaceinondée en fonctiondu débit à Bakel

2.5 2400 2.4 2200 2.3 22 2000 - 5 2.1 ueo

1.9 ~~~~~~~~~~~~~~~~600-

1.67 ^ 1.5 1000 1800 2750 3000 débitdu deuve à 8edt1(m3/*) Cote du fleuve(mION) débitBaké d fleuvtA

Répartition hypsométrique des surfaces Altitude absolue du 0=0 (lia) cote relative (m) ( 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 Surface totale cote absolue (m) 0 O-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 5480 Surface partielle(ha) 70 70 665 2650 1730 205 9(l Surface cumulée (ha) 70 140 805 3455 5185 539<) 5480)

Surface bniiecultivable= 529(0 cote noNctinic2 4 Surface nette irnigable 3968 Cote bergc=4 surface cultivée en décrue (1970-1971) 2220 Cote plan d'eaîv(0 Hatileur dc pompage= 4

Surface inondée en fonctiondu débit Perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée (mlGN) (mlGN) | (ha) 1800 2.49 2.19 i3091 27S0 2.86 2.56 2289 3000 2.96 2.66 2554

Surface inondée en fonction du débit à Bakél 3 3000 2.8 2.6 2500 ~2.4 c~2.2

1.2 î 1000 1800 2750 3000 déblt du lieuve à Bmêli(m3hs) _Cote du fleuve (miON) - cotecuvette (mlON) + Swface inondée(ha) U.N.E K02

Répartition hypsométrique des surfaces Altitude absolue du 0=0 cote relative (m) 0 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 Surface totale (ha) cote absolue (m) I 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 Surface partielle (ha) 20 240 2950 5850 950 9( 10100 Surface cumulée (ha) 20 260 3210 960 10010 1010()

Surfacebrute cultivable= 966(3 cote moycnne. 1 2 Surfacç nette irrigable 7247 Cote berge: 4-5 surface cultivée en décrue (1970-1971) 975 Cote plan d'cau 0 Hauteuirde pomnpagc:4-5

Surface inondée en fonction du débit

Perte de charge entre fle ve et cuvette (m) 0.3 Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée (mlGN) (rnlGN) (ha) 1800 2.65 2.35 1293 2750 3.08 2.78 2561 3000 3.19 2.89 2886

Surface inondée en fonction du dèbit à Bakél .S5 3000

§25 e X2500 ~25 200 2

1.5 1500

1800 2750 3000 -- CoWdufleiuv (mlON) ddbttdu flne à Bal (n3ts) cote cJvette (nmlON) + Surfaceinondée (ha) UNE KO3

Répartitionhypsométrique des surfaces Altitude absolue du 0=0 Surface totale (ha) cote relative (m) O 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 6-7 cote absolue (m) I 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 15400 surface partielle (ha) 110 180 3100 6450 5050 500 10 15400 Surfacecumulée (ha) 110 290 3390 9840 14890 1539() 3.6 Surfacebnitc cultivablc= 15025 cote moycnnc: Surface nette irrigable 11268 Cotc berge: 5-6 surface cultivée en décrue (1970-1911) 1210 Cote plan d'eau: 0 Hauteur de pompage: 5-6

Surface inondée en fonction du débit

Perte de charge entre fleuveet cuvette (m)= 03 Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée (m2GN) (t .GN) (ha) 1800 2.93 2.63 2243 2750 3.47 3.17 4487 3000 3.6 3.3 5325

Surface inondée en fonction du débit à Bakél 4 5500 135000 3.5 - 4500 4000 c., ~~~~~~~~~~3500 2.5 3000 .

20(00 1300 I ~~~~~~~~~~~~~~~1000 1800 2750 3000 -*-Cote du fleuve(mION) débitdu fleuve à Bakl(nm3/t) =. ote uvette(mlON) +Surface- inonde(lu) U N E K04

Répartitionhypsométrique des surfaces Altitude absoluedu 0=2 Coterelative (m) () I I-2 2-3 3-4 4-5 Surfacetotale (ha) Coteabsolue (m) 2 2-3 3-4 4-5 5-6 6-7 Surfacepartielle(ha) 5 IIl( 1800 260)0 81(> 75 54() Surfaccecumnulée(ha) 5 115 1915 -1515 53 25 540<)

Surfacebrute ciltivable= 5273 colc momcnnc 4 3 Surfacenette irrigable .1954 Caoieberge. 6 Surfacecultivée en décrue (1970-1971) X8( (Coieplani d'caîî ( hlalitClit de pornpagcb

Surfaceinondée en fonctiondu débit Perte de charge entre fleuveet cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) Cotedu fleuve cotecuvette Surfaceinondée (mlGN) (ml;GN) (ha)

2750 3.97 3 67 1321 3(0() 4.13I 3.83 1609

SurfaceInonnlée en ronctiondiu d(ébit à Bakél 4.5 1800 4 11600 t- ~~~~~~~~~~~~~~~~~1400 1200

1.5 20

1800 2750 3000 Débidu fleuveà B.II (m3/) _ICote du fleuve(ml(N) - cotecuvette (mlON) - Surfaceinondée (ha) U.N E KO5

Répartition hypsométriquedes surfaces Altitude absolue du 0=2 cote relative (m) 0 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-4 6-7 Surface totale (ha) cote absolue (m) 2 3-4 4-5 5-6 6-7 7-8 8-9 surface partielle (ha) 30 600 2920) 5400 410() 185<) 39() 1t) 153()( Surface cumuléc(lia) 30 630) 355( 8950) 13(5() 1490)U 15290) 151((

Surface brutc cultivablc= 146()( cote moNcuIc: 4 X Surface nette irrigable 10950 Cote berge: 6-1 surface culüvée en décrue (1970-1971) 4420 Cote plan d'cau. < 2 Hauteiurdc pompagc. 6

Surface inondée en fonction du débit

Perte de charge entre fleuveet cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) Cote du fleuve cotc cuvette Surface inondée (rnlGN) (mlGN) (ha) 1800 3.73 3.43 1886 2750 4.47 4.17 4468 3000 4.64 4.34 5386

Surface inondée en fonction du débit à Bakél

5 6000

500<

3.5 4000

fi2.5 3000 e

'.5 1000 1800 2750 3000 O Cotedu fleuve(mION) Débitdu fleuveà Rakil (mh)a cotecuvette (mlIGN) [-4-Surface inondée(ha) U NE K06

Répartition hypsométrique des suirfaces Altitude absolue du 0=3 cote relative (m) ( 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 6-7 7-X cote absolue (m) 3 3-4 4-5 5-6 6-7 7-8 8-9 9-10 10-Il swface partielle (ha) 200 340 3150 405() 3850) 1050 15 5 Surface cumulée(ha) 200 54() 3690 7740 1159( 12640 12655 12655 12660

Surface brute cultivablc= 11795 cotc movcnlinc: 5< Surface nette irrigable 8845 Cote berge: 7 surface cultivée en décrue (1970-1971) 1325 Cote plan d'cau ().3 stirfacecultivée en décrue (1971-1972) 2305 laiuntetirdc pormpagc: 7

Surface inondée en fonctiondu débit

Perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée (mlGN) (mlGN) (ha) 1800 4.25 3.95 523 2750 5 4.7 2745 3000 5.17 4.87 3280

Surfaceinondée en fonctiondu débità Bakél 6 3nno0 1800 2750 3000 2500

1500 2 1000 500 0 O 1800 2750 3000 _e-Cote dufleuve (ml(N) DêbItdu fltUVCA Ili'UI (iti3li> -&-cotc cuvette(miON)

- Surfaceinondée (ha) U.N.E K07

Répartition hypsométrique des surfaces Altitude absolue du 0=4 Cote relative (m) 0 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 Surface totale (ha) Cote absolue(m) 4 4-5 5-6 6-7 7-8 8-9 Surfacepartielle(ha) 0 130 1200 2100 1100 70 4600 Surface curmulée(ha) 0 130 1330 3430 4530 4600

Surface brute cultivable= 4470 cote moyenne: 6.4 Surface nette irrigable. 3352 Cote berge: 7-8 Surfacecultivée en décrue (1970-1971) Néant Cote plan d'eau: 0.4 Hautetir de pompage: 7

Surfaceinondée en fonction du débit

Perte de chage entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée (mlGN) (mlGN) (ha) 1800 4.66 4.36 47 2750 5.42 5.12 274 3000 5.6 5.3 490

Surface inondéeen fonctiondu débit à Bakél

6 300 53 400

300 4.5 4 3.5 0 3 1800 2750 3000 -E--Cote dufleuve (mlON) Mâbltdufleuve à Bakel -aàcote cuvette(mlON) -4--Surface inondée(ha)

Superficies inondées en fonction de la cote de gestion de DL4MA pour un débit d'étiage du fleuve de 50 m3/s à Bakel i

4 U.N.E K04

K04: Superricie Inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m31s pertede charge entre fleuveet cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) cote Diama cote fleuve cote cuvette Surface inondée (mlGN) (mlJN) (mlGN) (ha) 50 1.5 2.26 1.96 O 2.25 2.58 2.28 0

KO5: Superficie inondée en fonction de la cote de geStion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m3/s perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) cote Diamna cote fleuve cote cuvette Surface inondée _(mlGlGN(mlCN) (mlGN) (ha) 50 I.S 1_5_ 1.21 O 2.25 2.25 1.95 O

K06: Superricie inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m31s pertede charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 ___ Q(m3/S) cote Diama cote fleuve cotecuvette Surfaceinondée (mlGN) (mlGN) (mlGN) (ha) 50 1.5 1.52 1.22 O 2.25 2.25 1.95 ()

K07: Superficie Inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m31s perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) cote Diama cote fleuve cotecuvette Surfaceinondée ______(mlGN) (mlGN) (mIGN) (ha) 50 1.5 1.52 1.22 0 2.25 2.25 1.95 O UJ.N.EGAI

GAI: Superficieinondée en fonctionde la cote de gestionde Diania pour un débit d'étiage (le 50 m3/s perte dc charge cnire fictiveet cuvette (m)= 0.3 Q(M3/S) cote Diama cote fleuve cote cuvelle Surfiaccinondée (mlGN) (mlGN) (mIGN) (ha) 50 1.5 2 26 1.96 1671 2252 2582 2X2 3428

GA2: Superficieinondée en fonction de la cote dc gestionde Diamnapour un débitd'étiage dc 50 m3/s perte de charge enire fleu e et cuvette (m)= _ _ 1 Q(mn3/S) cotc Diania cote fl1uze cote cu elte Suir-Lcciîolidèc (mlGN) (nmlGN) (iilGN) ._ ha)_, 50 1.5 2.26 1.96 1690 2.25 2.58 2.28 2902

KOI: SuperficieInondée en fonctionde la cotede gestion de Diama pouruin débit d'étiage de 50 m3/s pertede charge entre fleuve et cuvette (m)= ( .3 Q(m3/S) cote Diama cote fleuve cote cuvelle SSurfaceinondée (mIGN) (mlGN) (mnIGN) (ha) 5() I 5 2 26 1.96 778 2.25 2,58 2.28 1547

K02: Superficie inondéeen fonctionde la cote de gestionde Diama pour un débit d'étiage de 50 m3/s pertede charge entre fleuve et cuvette (nî)= (.3 Q(mY3S) cote Diama cote fleuve cote cuvette Surface inon(lée (mlIGN) (mlGN) (mlGN) (ha) 50 1I5 2.26 1.96 25(0 225 2.58 2.28 It)86

KO3 Superficie inondéeen fonction(le ta cote de gestionde Diama pourlin débit(l'étiage de 50 m3/s perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) cote Diama cote fleuve cote cuvette Surface inondée (mlGN) (mlGN) (mlGN) (ha) 50 1.5 2.26 1.96 283 2.25 2.58 2.28 1158 U.N. E MB i

MBI: Superficie Inondéeen fonctionde la cote de gestionde Diama pour un débit d'étiagede 50 m3/s pertede charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 Q(mn3/S) cote fleuve cote cuvette Surfaceinondée (mIGN) (nmIGN) (ha) 50 2.26 1.96 0

MB2: Sutperficieinondée en fonctionde la cote de gestionde Diama pour un débit d'étiagede 50 m33s pertede charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) cote fleuve cotccuvette Surfaceinondée i(mlGN) (mIGN) (ha) 50 2.26 1.96 0

MB3: Superficie inondéeen fonction dela cote de gestionde Diania pour un débit d'étiagede 50 m3/s pertede charge entre fleuveet cuvette (m)= 0.3 Q(m3/S) | cote fleuve cote cuvette Surface inondée | (mlGN) (mlGN) (ha) 50 1 2.26 1.96 j ()

KI: Superficie inondéeen fonctionde la cote de gestionde Diama pour un débit d'étiage de 50 m3/s pertede charge entre fleuve et cuvette(nm)= 0.3 Q(m3/S) cotefleuve cotecuvette Surfaceinondée (mlGN) (mlGN) (ha) 50 4.06 3.76 0 récapitulatif

Superficies inondées en fonction des débits du fleuve à Bakel

U.N.E MMBI MB2 MB3 KI GAI OA2 KOI K02 K03 K04 KO3 K06 K07 Totlal DébiiàBakel (m3 7sjI_

18()( 1972 2747 6)) 6442 1128 17 I13(9' 1293 2243 114 IXX 523 -17 2373 2750 2896 4780 2805 8556 1574 2005 2289 2561 4487 1321 4468 2745 274 43511 301)() 3007 5109 3424 8967 1661 2290) 2554 2X86 5325 1609 5386 3280 49( 48988 ANNEXE 5

Dumensionnement d'un Système d'Information Géographique (SIG) pour le suivi

du développement du secteur irrigué dans le cadre du PDLAIM

&Rapportfinal- Volevan Envwromementaledu

ETUDED'EVALUA1ION ENVtONNEMENTALE DU PDIAIM MISE EN PLANE D'UNSIG

REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE MAURITANIE Honneur - Fraternité - Justice

MINISTERE DU DEVELOPPEMENT RURAL ET DE L'ENVIRONNEMENT

SOCIETE NATIONALE POUR LE DEVELOPPEMENT RURAL

BANQUE MONDIALE

EVALUATIONENVIRONNEMENTALE DU PDIAIM

MISE EN PLACE D'UN SIG

S~APEGE Ingénieun Conseils

Siège Social: Parc de l'le - 15/27. Rue du Port - B.P. 727 - 92007 Nanterre Cedex - France Tél. 33 (0)14614 71 00 - Fax 33 (0) 1 47 24 77 88 - Télex 612611 F ! E11rDE D'EVALUA1bON ENVIRONNEMNTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE DUN SIG

TABLE DES MATIERES

INTRODUCTION ...... I FONCTIONNALITES D'UN OUTIL SIG ...... 5

1.1 QU'EST CEQU'UN SIG.S 1,1.1 Definition.5 1.1.2 Aspects graphiques.5 1.1.3 Aspects alphanumériques.7 1.1.4 E:xploitation d'un SIG.9 1.2 LES DONNEESNECESSAIRES. 10 1.2.1 Fond de plan.10 1.2 2 Structurationdes objets...... I...... l...... l...... 1 2 R ESSOURCESNECESSAISARES ...... 13 2.1 LE FONDDE PLAN,BASE CARTOGRAPIQUE .13 2.1.1 Fond de plan vectorisé .13 2.1.2 Images satellites.14 2.2 LES DONNEES.17 2.2.1 Format informatique.. 17 2.2.2 Résultat d'études .17 2.2.3 Regroupement par thème .18 2.2.4 Modélisation hydraulique .20 2.3 EXPLOITATIONDU SIG.21 3 MISE EN OEUVRE D'UNE CELLULE SIG DE SUIVI DU SECTEUR IRRIGUE ...... _ 25

3.1 FONCTIONNEMENT D'UNE CELLULE SIG .25 3.1.1 Matériel et logiciels.25 3.1.2 Alimentation et restitution de données .27 3.2 INTEGRATIONDE LA CELLULESIG DANSL'ORGANIGRAMME SONADER .31 3.2.1 Organisation ...... , 31 3.2.2 Niveau de responsabilité des intervenants .31 3.2.3 Flux d'informations et niveau d'accès .31 3.2.4 Service informatique SONADER .32 3.2.5 Manuel de procédure .32 IS-''''-'-'-D'''O-'IIJs-9soD 3X3NNV' - ()S P w - -- ~~~~~~~~~~~~~~~s2nÔsrufC9

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DISNIIQ 33DJNS 33SW IKAJiICd.3 31YL%33IN2SOXIARNB NuneX:lVl3GW.3ru ETUDE D'EVALUAlON ENVIROrNNEMENTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE D'UN SIG

INTRODUCTION

Ce rapport s'inscrit dans le cadre de l'étude d'évaluation environnementale du PDIAIM, confiée à la S.A. AGRER N.V. Il s'agira, à terme, de disposer d'un outil d'aide à la décision et à la gestion environnementale de type "observatoire de l'environnement" qui pourra être constitué d'un serveur de réseau (de type intranet ou internet par exemple) et d'un Système d'Informations Géographiques (SIG) propre, permettant de superposer différentes couches d'informations intersectorielles, qui resteront alimentées et gérées par chaque institution compétente. Une faisabilité technique et institutionnelle détaillée devra être réalisée préalablement. Vu l'absence actuellement d'outil de ce type relatif au secteur irrigué et afin de permettre dans les meilleurs délais d'améliorer la prise en compte objective des critères environnementauxdans les stratégies d'aménagementet l'appui au secteur irrigué, nous avons étudié plus en détails la faisabilité d'un SIG de suivi du secteur. La mise en place d'un SIG passe par la constitution d'une base de données cartographiques permettant le stockage d'informations à la fois graphiques et alphanumériques. Le SIG permet de réunir de façon synthétique des informations provenant d'horizons et de domaines de compétences très divers. C'est un outil indispensable dans une approche globale et intégrée d'un programrne de planification dans le secteur de l'environnement Mauritanien. Banque de donnée à la fois graphique et alphanumérique, le SIG tend à rationaliser les étapes à mettre en oeuvre dans cette étude. C'est une image très proche des situations de terrain auxquelles sont confrontés les spécialistes (Géologie, état sanitaire, développement d'ouvrages, pollution, ...). Son élaboration et son exploitation couvrent les différentesphases du projet: En amont de l'étude, en réunissant des acteurs de compétencesvariées dont le savoir et le concours mutuel seront.indispensables à l'élaboration de ce creuset d'informations, ETUDEDEVALUAklON ENVIRONNEMENrALE DU PDIAIM MISE ENPLACE DUN SIG

Au cours des différentes phases du projet, par l'enrichissement des études, en offrat des bases objectives de décision. L'intégration des différentes couches physiques du SIG sera un excellent indicateur du degré d'avancement du projet. Dans une prospective à mooyenet à long terme, le SIG est une richesse offerte au pouvoir décisionnel. Il s'agit d'un outil partagé, fédérateur des organismes intervenant. L'ère des communications et du partage des données, bien loin de diminuer les prérogatives de chacun, a jusqu'à présent porté les fruits du développement et de la réussite des entités s'y étant impliquées. Le SIG deviendra un puissant outil de gestion des terres agricoles au niveau environnemental mais les connaissances acquises pourront être aussi exploitées en termes de démograplhie, de cartographie ou de management économique. La mise en place d'un outil informatique demande une rigueur et une organisation indispensable à son rnaintien dans le temps. MISE EN PL&CE DUN SIG E-1UDE D'EVALUArON ENVIRO'

PREMIERE PARTIE L'OUTIL SIG E1UDEDEVALUATnON ENVMONNEMENTALkE DU PDLAIM MISE ENP?ACE D'UN SIG

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l ET'UDE D'EVALUAIION ENVIRONNEMENTALE D'u PD[A[M MISEEN PLACE D'lNSIG

Fonctionnalités d'un outil SIG

1.1 Qu'est ce qu'un SIG

1.1.1 Définition Un SIG est un outils de cartographie qui dispose en plus de fonctionnalités d'analyse et de manipulation des données. Il permet d'explorer les relations spatiales qui existent entre les objets. Les fonctionnalités de dessin et d'édition du SIG permettent de modifier les données géographiques et tabulaires, de voir en temps réel comment ces transformations se répercutent sur les cartes.

1.1.2 Aspects graphiques Un système d'information géographique s'appuie naturellement sur une représentation graphique des objets dans l'espace. Trois types d'éléments peuvent être représentés . Les points . Les lignes (simples ou complexes) . Les surfaces

! ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~5 ET1DE D'EVALUAfION ENVIRO%NENIENTALE Du PDIA[M MISE ENPLACE D'ON SIG

Les éléments ponctuels

Ce sont des objets graphiques représentés par des symboles. La forme et la c ,eur du symbole peuvent varier.

Les éléments linéaires Ce sont des objets représentés par des lignes ou des polylignes. L'épaisseur, le type et la couleur peuvent permettre la différenciation entre entités.

Les éléments surfaciques Ce sont des objets linéaires délimitant des zones closes. La couleur de remplissage est le moyen le plus pratique de différencier les entités.

Choix du tvpe graphique En ce qui concerne les éléments de tvpe point, il est judicieux de choisir une symbolique évidente pour éviter tout ambi-uïté lors de la consultation des cartes.

Par exemple la présence d'un aéroport pourra être svmbolisée par ce symbole

Selon l'échelle à laquelle la vision de la carte s'effectue la localisation du symbole peut être imprécise. Au 1/20000, il sera difficile de déterminer si un élément ponctuel comnme un forage limitrophe de deux zones d'études se trouve dans l'une ou dans l'autre.

Zone A Zone A

.~ ~~~~~~~~~~~~~~Zn ~ ~ Zoc

Vue au 1/5000 Le forace est visiblement dans Vue au 1/200000: L'echelle gomme les détails la zone A de la limite. Zone d'appartenance difficile à déterminer. ETUDE DEVALUA1ION ENVIRONNEMENTALE Du PDLAIM MISE EN PLACE DlN SIG

Le choix entre un objet de type ligne ou surfacique est aussi délicat et dépend de l'échelle d'exploitationdes éléments. Le fleuve SENEGAL peut, selon l'échelle choisie être représenté par une série de lignes ou comme une surface englobant les deux berges. Dans ce cas le choix d'un type surfacique est déterninant si l'on souhaite connaître la surface exacte du fleuve.

i Etude enviuonnementale .ri X

Dans l'exemple présenté ci-dessus, les puits sont des entités de type point (carrés), les pistes ainsi que l'axe de migration du bétail sont représentés par des lignes. Le contour des communes est un objet surfacique.

1.1.3 Aspects alphanumériques Le système d'information géographique va au delà d'une simple représentation cartographique. Des informations sont associées aux entités graphiques. Elles permettent de stocker des valeurs caractérisant l'objet. (Débits, surfaces, type,...) ainsi que des liens les unissant. (code commun à deux tables)

! Attributs de Puits et forages Mg E3

Point 5940000.000. 9487. 1.i i 4680000000 9715. 2. i Point 4001296.500 9905 3 jPoint 4745000.000 9635

IPoint 3280000000 si8si Î ______I Point 328000.0000 9181. 7.:

Chaque ligne de ce tableau décrit un forage. Un code l'associeà l'éléments graphique.

7 DUN SIG E1r1DED EVALUA-nONENVIRONNEMiENTALE DU PDLAIM MISE ENPLACE

--.

8 ErvDE D'EVALUAnONPNVIRONNEMENTALE DL PDLAIM MISEEN PLACE D'UN SIG

1.1.4 Exploitation d'un SIG L'exploitation d'un SIG permet de répondre à différentes attentes des utilisateurs. Du stockage de l'information à l'outil d'aide à la décision, chaque intervenant peut tirer partie du système.

Stockage de l'information La mise en place d'un SIG permet de disposer de l'historique des informations saisies. Le format inforrnatiqueest à l'abri des altérations dues au climat, aux manipulation des cartes.... Il est possible d'imprimer à tout moment les plans à l'échelle souhaitée. Ces données sont ré-exploitables lors de différents travaux concernant la même zone géographique.

Requêtes La base de données associée contient la description des objets enregistrés. L'interrogation du svstème sous la forme de requêtes portant suI- certaines caractéristiques permet de localiser, de regrouper les objets répondant à des critères précis sous la forme de jeux de sélection. Ces sous ensembles sont exploitables pour des opérations très diverses: Somme des champs numériques, édition de cartes thématiques, jointure avec des objets en relation,...

Rapports,illustration Les études menées doivent, pour être exploitables, présenter leurs résultats de façon claire et synthétique. L'exploitation des données alphanumériques permet très simplement de produire des résultats statistiques. Quant aux données graphiques, l'illustration de l'analyse et des conclusions d'une étude sous la forme de plans thématiques permet une évaluation immédiate de son impact géographique.

Aide à la décision De part la clarté des études exposées, les décideurs peuvent plus aisément évaluer l'impact à court et à long terme des solutions proposées. La possibilité d'effectuer des simulations en faisant varier plusieurs facteurs permet de disposer d'altematives dans la prise de décision.

g ETUDE D'EVALUAMON ENVIRONNEMENTALE DL' PDLAIM MISE EN PLACE DVUNSIG

1.2 Les données nécessaires

1.2.1 Fond de plan C'est l'élément indispensable dans la mise en place d'un SIG puisqu'il permet de se positionner dans l'espace. Le fond de plan peut être de deux natures Le vecteur, constitué d'éléments graphiques dessinés sous la forme de lignes, de surfaces,... Le raster, constitué de points. C'est le cas des photographies.

Type de fond de plan Commentaire Vecteur Basé sur la saisie de plans papiers existants ou sur la base de photographies à l'aide d'une table à digitaliser.

Le fond de plan est modifiable à posteriori.

Coût: Matériel de digitalisation, personnel formé, temps de réalisation élevé. Raster Intégré au logiciel graphique à une échelle donnée.

Non modifiable

La taille du plus petit point (pixel) donne la précision possible.

Coût : Achat des photographies, mises à jour régulières pour suivre l'évolution terrain. MISE FN PLACFD'UN Sl( ETUDED'EVALUAn1ON ENVIRONNEMENTAtE nu PDIAIM

1.2.2 Structuration des objets L'organisation des données estprimordiale dans l'élaborationd'un SIG.La structuration des objets porte à la fois sur le graphiquleet les données alphanumériques. Les données graphiques s'organisent sous la forme de couches. Chaque couche correspondà un thème particulier.

Base de données Volumetroupeau pour un bétail-...... \,rpiu accès _ . Données/ / linéaires j +Pistes, axes,parco élevage-.urs

Basede donnée" Graphique Surfaceexploitée,... Couvertvégétal, développement Biise de données / ~ / parasitaire, _ _ _ _ _ Basede données"______Coût station,volume Graphique ponctuelles pompé,... Données ( Station de pompage,... ______

------Cbhargementdes différentsthèmes

Jointureentre les tables constituantla basede données

s EXPLOITATIONDU SYSTEME .zIiiiIliiiizI thématiques REQUETESSQL REQllETES SPATIALES Carte Statistiqtues Exportationtableurs Edition derapports

Il ~g .'' ETUDE D'EVALUAkION ENVIRONNEMENTALE DL PDIAIM MtSE EN PLACEDuN SIG

12 ETUDE D'EVALUAT-ON ENVIRO'JNEMENTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE D'UN SIG

2

Ressources nécessaires

2.1 Le fond de plan, base cartographique Une gestion de type vecteur du fond de plan et l'exploitation d'images est envisageable. Ces solutions ne sont pas antagonistes. Le fond de plan vectorisé pouvant servir de base initiale de saisie alors que les images satellites peuvent permettre l'appréciation de l'évolution dans le temps des phénomènes.

2.1.1 Fond de plan vectorisé Le MDRE dispose d'un SIG dans le cadre de la gestion des parcelles agricoles (Bureau des Affaires Foncières).

Données FDP La digitalisation est basée sur les photographies aériennes de l'IGN au 1/12500. Les éléments observés sont interprétéspuis digitalisés sur table AO. L'ensemble du projet représente 150 planches. A ce jour, 60 planches ont été digitalisées.

Donnéesterrain Des relevés terrain du foncier sont effectués in situ et saisis sur un portable. On stocke le code de parcelle exploitée ainsi que les points de relevé de son contour. Ces données sont ensuite injectées dans le SIG GEOCONCEPT et le contour réel de la parcelle est digitalisé.

Structuration Les données sont structurées par thème.

13 ETJ'DE D'EVALUATION ENV1RO\NEME\T.ALE DU PDIAIN¶ Mi!SE N PLACE D'UN SIG

Thème Eléments! Corrnmentaire

Occupation du sol Type de terrain. nature du sol....

Hydrographie Fleuves. rivières

Plans d'eau temporaire/permranents

Mares avec ou sans végétation

Terrains Occupation du sol de part les activités humaines

Habitat Communes, cimetières, mosquées,...

Ouvrages hvdrauliques Canaux d'irrigation, digues, stations de pompage....

Limites Haies, zériba (haies épineuses), talus. barbelés,.

Voies de communication Routes, chemins, pistes, ponts....

Points de repère géodésiques Relevés GPS

Exportation et intégration des données existantes Les éléments identifiés pourraient venir s'intégrer directement comme objets SIG mais le format d'exportation du logiciel du MDRE ne tient pas compte des liens alphanumériques. La version du SIG utilisé au ministère de l'environnement exporte les données au format DXF. Des test d'importation doivent être effectués pour s'assurer que les données présentes sont compatibles avec d'autres SIG plus récents et mieux adaptés à la gestion environnementale. Les données graphiques récupérées serviraient alors de fond de plan.

2.1.2 Images satellites Les satellites à haute résolution (Landsat et Spot) permettent de disposer d'images dont la qualité ne cesse de s'améliorer. La résolution des images obtenues est de l'ordre de 10 mètres. Le lancement de nouveau programrmes pourrait conduire à une résolution améliorée à 5 mètres. Les scènes enregistrées couvTent un terrain d'environ 60 km sur 60 km. Le niveau de détail des images obtenues permet de détecter l'état des surfaces, de les classer selon l'occupation et l'utilisation des sols. Cependant, la précision n'autorise pas l'observation d'éléments de faible taille telles les pistes. ETUDE D'EVA LUAlkON ENVIRO,N EMENTALE DL PDIAIMli MISE PE PUCE D'JN SIG

La prise des photographies peut être faite à intervalle régulier (annuel, saisonnier,..) Cette possibilité présente l'avantage, dans le cadre d'une étude environnementale, de pouvoir comparer les répartitions et mesurer l'impact des mesures mises en oeuvre.

Les photographies satellites foumies ont besoin de subir des transformations (échelles, calage,...) avant d'ètre intégrées. Ces opérations peuvent être effectuées par un prestataire de service spécialisé ou à l'aide de logiciels de transformation d'image. Le coût et les connaissances techniques nécessaires pour l'utilisation de ce tvpe d'outil incitent à préconiser la premiere solution.

L'acquisition d'un logiciel permettant de retravailler les photographies satellites pourrait être programmée à plus long terme. D'autant que dans ce type de domaine relativement récent, les coûts ont tendance à diminuer. )l

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Une image satellite SPOT sur la vallée du fleuve SENEGAL

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164

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ETUDED'EVALUATION ENVIRONNE>4rkTALE DU PDIAIM MISED PUŒCDUN SIG

2.2 Les données 2.2.1 Format informatique

Les données disponibles au forma.tinformatique sont en général simples à intégrer. Il peut s'agir de plans existants dont le format d'échange est compatible avec le système choisi. L'existence d'une localisation d'objets sous la forme de listes de points géoréférencés (coordonnées spatiales) permet de les intégrer directement aux cartes. Ces points peuvent notamment être obtenus par des relevés GPS. Une base de données existante peut aussi être exploitée. Il suffit pour cela de disposer d'un code permettant de réaliser un lien avec des objets graphiques existants. Des systèmes existants peuvent communiquer avec le SIG mis en place. Le logiciel du MDRE évoqué précédemment pourrait échanger des informations. La direction de l'Hydraulique dispose aussi d'un système d'information, IRHW, dont les données graphiques et alphanumériques sont compatibles avec la plupart des logiciels bureautiquesdu marché.

2.2.2 Résultat d'études

Les données papier résultant d'études antérieures doivent naturellement être saisies. Après la mise en place d'un SIG, les études et les analyses de terrain devront être réalisées en tenant compte de leur possibilité d'intégration au SIG. Les experts, les responsables de travaux peuvent saisir directement leurs résultats à l'aide d'un ordinateur portable. Il peut s'agir de relevés topographiques, de plans de réalisation, de résultats de mesures,... La restitution de ces données au niveau du SIG de référence doit faire l'objet de procédures d'importations normalisées.

17 ETUDEDEVALUATnON FNViROiNEN4ErrALE DU PDLALM MISE EN PL"CE DvUNSIG

2.2.3 Regroupement par thème Les données résultant des études environnementales vont être regroupées par thèmes. A l'intérieur de chaque thème, selon le type de données (localisation, sur.aces, ...) des objets SIG seront créés.

Thème |Couches Type d'objet

Hydrologie Fleuves Surfacique

Axes d'irrigation Linéaire

Unité Naturelle d'Equipement(UNE) Surfacique

Unité Autonome d'Exploitation (UAE) Surfacique Pompage Ponctuel

Axes de drainage Linéaire Environnement Villages, démographie Point socioculturel

Caractéristiquesethniques Surfacique

Pédologie Nature de la végétation(Type de culture, forêt,... ) Linéaire Nature du sol Surfacique

Sanitaire Localisation des structures médicales Point Localisation des cas épidémiologiques recensés Point

Z'ones de localisationdes vecteurs Surfacique épidémiologiques(anophèle,...)

Z'ones d'épandage de produits traitants Surfacique Structures Réseau routier et pistes Linéaire

FPonts Linéaire Barrages Linéaire Salinité Mesures de salinité des sols Point Front salé Linéaire

18 E1I`DE D'EVALUAllON E VRO1'NENfEXNTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE D'UN SIG

Thème Couches Type d'objet

Climat Températures,hygrométrie. Régime des vents A préciser selon le niveau d'information requis

Hydrogéologie Nappes Surfacique

Ecologie Sources de pollution Point Zone de protection Surfacique Point d'observationdes espèces menacées Point

La liste précédente n'a pas la prétention d'être exhaustive. La souplesse du SIG est de pouvoir très simplement créer de nouveaux thèmes selon les besoins exprimés et des données disponibles. Chaque Ministère. Direction ou Institution continuera de développer et d'alimenter les couches d'informnationsrelatives à ses compétences et pourra disposer de son propre SIG et BDD sectoriels (;viDRE,'DEAR/SONADER;SANTE, HYDRAULIQUE, STATIS- TIQUES, ...). A terme, les couches d'informations devront toutefois pouvoir être utilisées et croisées au niveau d'un observatoire de l'environnement qui pourra être constitué d'un serveur de réseau (de type intranet ou internet par exemple) et d'un SIG propre. Une faisabilité technique et institutionnelle détaillée devra être réalisée préalablement. Nous proposons dans le chapitre suivant un outil de suivi du secteur irrigué devant permettre dans les meilleurs délais d'améliorer la prise en compte objective des critères environnementaux dans les stratégies d'aménagement et dans l'appui au secteur irrigué.

19 ETUDED'EVALUATON EVIROINENENrALE DU PLUAM MISE E RACE DUN SIG

2.2.4 Modélisation hydraulique Pour peser l'impact des ouvrages d'irrigation, il est nécessaire d'élaborer un système permettant de matérialiser l'interdépendancedes structures. L'appréciation des besoins en eau et de la disponibilité des ressources passent par la conception d'un modèle relationnel. L'organisation de la base de données doit refléter les liens unissant ces structures: Trois grandes entités . les Unités Naturellesd'Equipement (UNE), les Unités Autonomes d'Exploitation (UAE) et l'Exploitant (E) sont reliées de la manière suivante:

|UNE 7 ( Gere E

Divise en Cultive

La terminologie 'UNEregroupe les objets impliqués dans le processus d'irrigation Fleuve Sénégal et ses adducteurs (affluents/effluents), stations de pompage, axes d'irrigation, périmètres irrigués et axes de drainage. Chaque UNE est dominée par une station de pompage ou un ouvrage hydrauliqued'alimentation. L'Exploitant peut étre une entité individuelle ou collective. Son implication dans la gestion des ressources en eau est indispensable. Ces individus ou organisations convenablement inforrnés et motivés seront des facteurs déterminants dans la régulation des facteurs environnementatLx.L'utilisation de l'outils SIG pour présenter des cartes explicites peut s'avérer un moyen simple et direct d'expliquer les situations locales. L'UAE, incluse dams l'UNE, représente la superficie gérée par l'Exploitant selon l'usage qu'il en fait. Cultivée, abandonnée, inexploitable,... Un lien de chaînage de type père/fils entre les aménagements permet de rendre compte des réalités hydrauliques au sein d'une UNE. f Fleuve Sénégal I. ~~~~~~Pompage Axe-d'irrigation SurfaceUTNE irriguée

|Auents/Effluents m

Axe de drainage

20 ETUDE D'EVALUAllON ENVIROENEMENTALE DU PDLNIM MISE EN PLACE D'UN SIG

2.3 Exploitation du SIG L'exploitation du SIG permet d'étayer objectivement les hvpothèses et les projets à l'aide de recoupement entre les différentes sources d'information. Présenter les informations sous forme de cartes L'édition de canes est nécessaire pour intervenir sur le terrain ou illustrer le résultat d'une étude. cr Analyser des lieux La diversités des éléments représentables permet de détenir un outil d'analyse très puissant. Les points de mesure de la salinité des sols apparaissent en évidence sur les cartes. Leur répartition peut etre analvsée dans un contexte topologique, agricole.... Cela permet d'expliquer les taux observés en tenant compte des facteurs environnementaux. - Trouver des sites potentiels répondant à certains critères Identifier les capacités d'irrigation en fonction d'un couvert végétal ou d'un projet de culture devient possible.

__ Etablir des cartes démographiques pour cibler l'urgence des besoins Les zones prioritaires sont immédiatement visibles. Plusieurs critères peuvent intervenir simultanément. Dans le domaine sanitaire, il est possible d'optimiser des zones de mise en place de mesures de protection en fonction d'études de terrain. Les campagnes d'information des populations, les zones d'épandage de substances traitantes peuvent être optimisées en fonction du nombre de cas observés, de la proximité de structures médicales,... Optimiser les allocations de ressources La planification en fonction de critères évolutifs permet au décideur de prévoir les actions à mener. - Intégrer des cartes contenant des informations de sources diverses La compatibilité croissante des outils graphiques autorise les échanges de données avec d'autres organismes. Actualiser facilement les cartes existantes La possibilité de mise à jour des plans à partir de relevés ou de photographies satellites permet de disposer d'une information proche de la réalité. - Suivre dans le temps l'évolution d'un phénomène La possibilité de stocker les informations lors de différentes étapes d'une étude met à disposition un historique. Confronter les situations dans le temps permet d'établir des tendances.

21 ErUDE D'EVALUArION ENVIRONNEMiENTALE DU PDIAIM MISE EN LACE D'UN SIG

22 ETUDED'EVALUAMTON MMVTRONNEMENTALE DU PDtAIM MISE ENPLACE D'UN SIG

SECONDE PARTIE ORGANISATIONDU SITE

23 ETUDE D'EVALUATTON ENVIRONNEMENTALE Du PDLAIM MISE EN PLACE D'UN StG

24 EThUDED'EVALUATION ENViRONNE\IE(TALE DU PDIAINI MISEEN PLACED'L-9 SIG

3

Mise en oeuvre d'une cellule SIG de suivi

du secteur irrigué

3.1 Fonctionnement d'une cellule SIG

3.1.1 Matériel et logiciels L'ensemble matériel et logiciel doit permettre la saisie et la maintenance des données graphiques et alphanumériques, ainsi que l'édition de cartes et de données résultant de l'exploitation. (graphiques. rapports,...)

Le matériel

3.1.11. Poste de gestion graphique . Un P.C. suffisamment puissant pour manipuler des données graphiques, . Une imprimante et/ou un traceur couleur pour l'impression des cartes, Une table à digitaliser permettant d'effectuer la saisie à partir de supports papiers.

3.1.12. Poste de consultation . Un P.C. du type bureautique est suffisant pour manipuler le SIG. L'utilisateur pourra utiliser toutes les capacités d'analvse et de thématisation du système. Une imprimante et/ou un traceur couleur pour l'impression des cartes.

3.1.13. Saisie terrain Lors des mission de terrain, le personnel sera équipé en matériels et logiciels permettant de saisir les données directement au format informatique.

25 ETUDE D'EVALUATION ENVIRONNE.MENTALE DU PDIALM MISE EN PLACE DOUNSIG

. PC portables . GPS autorisant des mesures en cinématique ou en statique

3.1.14.Serveur Dans mesure où l1a SONADER se dote d'un serveur et d'un réseau interne, il est recom.mandé de placer les données sur cette machine. Les accès pourront s'effectuer au travers du réseau i ntormatiQue. La gestion des versions et des sauvegardes est ainsi simplifiée.

Les logiciels . SIG bureautique. . Logiciel de dessin pour la digitalisation. . Logiciel de gestion de bases de données (SGBD) pour les contrôles et rmises à jour purement alphanumeriques. Divers logiciels Bureautique, . Logiciel de modélisation hydraulique. . Logiciel de traiternent et d'analyse des images satellites. Il est à noter que le logiciel de dessin peut remplir d'autres fonctions que la digitalisation. Notamment la réalisation de plans architecturaux, d'ouvrages de génie civil,...

Formation L'exploitation correcte du logiciel SIG bureautique ne nécessite pas une formation très poussée. Par contre, une assistance à la mise en route est indispensable pour apprécier toutes les phases d'intégration de données, de restitution de plans, ... L'utilisation du logiciel de dessin demande des connaissances particulières dans ce domaine et une formation spécialisée. La connaissance des SGBD relationnels est une condition fondamentale dans la gestion des tables. Le développement de macro-commandes doit être un élément clé du contrôle des données entrantes. La mise en place cd'unlogiciel de modélisation hydraulique est un aspect indispensable qui appartient à une phase avancée. En effet, cela demande des compétences techniques que les opérateurs devront acquérir par étape. Il en va de même du logiciel de modélisation et de traitement des images. Son intégration ne sera programmée que lorsque les outils SIG seront bien maîtrisés.

26 ETUDE D'EVALUATlON ENVIRONNEMENTALE DU PDLAIM MILEEN PLACE D UN SIG

3.1.2 Alimentation et restitution de données Les données de l'étude environnementale du PDIAIM viendront alimenter le système. Chaque thème sera intégré par la saisie des éléments graphiques et des mesures effectuées. Une phase d'automatisation de la saisie passe par l'équipement technique des missions de terrain (Portable. GPS,...) La synthèse de ces travaux sera produite au travers du SIG. La vision globale des différents aspects (environnement, économie, sanitaire,...) de l'étude permettra d'apprécier l'impacts des projets d'irrigation mis en oeuvre. Le phasage dans l'espace (par site) et dans le temps (Evolution du milieu) sera géré sous la forme de sites indépendants.

Saisie de l'existant La collecte des données existantes permettra d'évaluer la situation avant la mise en oeuvre des projets d'irrigation. Il s'agira de saisir manuellement l'ensembles des documents graphiques présentant un intérêt pour la description de la situation actuelle. Le ou les sites saisis seront Figés et serviront de référence lors des études ultérieures.

Saisie des résultats Chaque étude spécialisée viendra s'intégrer au système, soit par modification des données déjà saisies. soit par ajout des nouvelles mesures. La cellule SIG peut. par l'intermédiaire des images satellites, élaborer un suivi du couvert végétal et des structures hydrauliques observables sur les zones étudiées. Des procédures de collectes de données terrain directement au format informatique permettront de simplifier l'intégration des résultats. Des procédures visant à rationaliser les collectes seront définies. Les données de terrain peuvent aussi être collectées et géoréférencées à l'aide de GPS en opération statique. Il peut s'agir de la localisation d'un site ou d'un objet. L_erelevé peut être dynamique. C'est la cas d'un relevé de parcours par enregistrement périodique des coordonnées du GPS embarqué. Lors des différentes phases d'avancement, un site peut toujours être figé comme étant l'appréciation de la situation à cette étape du projet. Ce site une fois dupliqué peut à nouveau faire l'objet de modifications tenant compte de l'enrichissement des connaissances environnementales.

Contrôle Une phase de contrôle précède toujours l'intégration des données. Ces contrôles peuvent être automatisés en déterrninant des règles logiques. (Surface irriguée inférieure à la surface réelle d'une parcelle,...)

27 ETTUDED'EVALUAT1ON BNVIRONNEMENTALE DU PDIAIM NISE EN PLACE DUN SIG

Prospective et transfert technologique Le SIG et les logiciels mis en oeuvre doivent devenir des outils intégrés au fonctionnement de la SONADER. Le format informatique permet la réutilisation à volonté des plans. Cette véritable banque de données permettra à cet organisme de disposer d'une autonomie dans l'élaboration de projets futurs. Les résultats obtenus dans l'étude d'évaluationdu PDIAIM resteront vivants et pourront très simplement servir de base de travail.

28 ETUDE DEVALLAllON ENV1RONNEMENrTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE DUN SIG

Flux de données entrnt et sortant du SIG

Collecte Saisie/lntégration oitation Contrôle J _

Saisie des fiches de terrain prédéfinies

Consommables

Résultats d'études uti (Valeurs quantitatives ou Saisie des resuitati qualitatives sur papier) Statistiques

Données terrain saisies surPotGrpqu portable Poste Graphique (Travaux de réalisation. enquêtes ... )

__== IntMgrauon M Tirage de plans automatique Relevés GPS Cot ol de (Liste de points géoréférencés) oL __ ..

Outils cartographiques et SIG compatibles Gmphes (Récupération de données existantes, communication _ avec dautres organismes) _

Production de pians divers

Cartes et relevés papiers (Résultats d'études sous la Digitalisation a forme de cartes, ...) 'aide du logiciel

de dessin , - Rapports

29 EluDE D'EVALUÀATONENVIRONNEMENTALE DU PDIAIM MISE E4 PLACED'UN SIG

i 30

-~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~I ETUDE D'EVALUATION ENVIRONNEMEMTALE DL PDIAIM MISE EN PLAcE DuN SIG

3.2 Intégration de la cellule SIG dans l'organigramme SONADER

3.2.1 Organisation La gestion du SIG vient s'intégrer dans le cadre d'un service existant. Après étude de l'organigramme des directions de la SONADER. la cellule Planification Suivi Evaluation pourrait assurer le rôle d'encadrement. La centralisation de la banque de données et la responsabilisationdes personnes chargées du maintien du système sont les conditions indispensables au fonctionnement du SIG. Les directions nécessitant des informations pourront disposer de postes de consultation ou formuler des demandes auprès du service responsable.(Besoin de tirages papier....)

3.2.2 Niveau de responsabilité des intervenants Pour la maintenance système, plusieurs personnes devront suivre les forrnations appropriées afin d'éviter une perte des compétences du fait des mouvements de personnel. Un responsable encadrera ce personnel. Il aura à la fois un rôle directeur dans l'organisation et la saisie des données, mais il servira aussi d'interface avec les demandes expriméespar les autres directions. Le responsable sera chargé de la gestion des consommables.

3.2.3 Flux d'informations et niveau d'accès

Accès aux données Seul le poste graphique détient le pouvoir de modification/création/effacement de données. Les postes de consultation auront un accès direct via le réseau au SIG et pourront l'exploiter. La possibilité de saisir ou de modifier des valeurs dans les tables peut être accordée aux postes de consultation sous réserve d'une définition de droits spécifiques. Les niveaux de droits seront gérés par l'administrateur SIG qui affectera un mot de passe aux utilisateurs. Cette mesure a pour objet de limiter les possibles actions malveillantes, mais aussi de contrôler les erreurs et les maladresses toujours possibles de la part d'utilisateurs insuffisammentformés.

Flux d'information Le circuit de l'informationentre les services doit permettre de répondre aux attentes de chacun tout en préservant la planification des travaux des opérateurs SIG. L'établissement de règles, de demandes écrites et justifiées est une condition incontournable d'un bon fonctionnementdu système dans son ensemble.

31 ETUDEDEVALUATION ENVIRONNE}MEN4TALE DU PDIAIM MISE E PLACEeUN SIG

Les directions f-ormulent leurs requêtes auprès de la Cellule Planification Suivi Evaluation. Le responsable SIG analyse les demandes (Edition de plans, création de nouveau objets SIG en vue d'une étude,...) et planifie les travaux des opérateurs SIG. Une fois la tâche terminée. la validation du demandeur vient clore les démarches. Les données seront disponibles sur le réseau SONADER,consultable par les utilisateurs habilités. Ce réseau pourra s'ouvrir vers d'autres systèmes afin de permettre des échanges de données. Cette possibilité est très importante à l'heure du développement des réseaux de communication informatiques.

Les locaux Physiquement. les accès aux locaux devront être contrôlés. Seuls les personnes habilitées auront droit de manipuler les machines et les logiciels. L'utilisation des consommablessera aussi réglementée. L'équipement des locaux informatiques est déterminant.Le sable pouvant détériorer très rapidement le matériel, il est indispensable d'isoler la cellule SIG. Compte tenu des conditions climatiques. un local hermétique équipé d'une climatisation par recyclage d'air est la solution la moins coùteuse et la plus sûre.

3.2.4 Service informatique SONADER Le service inforrnatiquetient une place non négligeable dans l'architecture de la cellule SIG. La mise en place d'un réseau permettra de stocker les données sur un volume commun, ce qui fiabilisera et simplifiera la gestion du système. L'assistance de premier niveau doit etre prise en charge par ce service pour permettre une réponse rapide aux utilisateurs en difficulté.

3.2.5 Manuel de procédure Un manuel de procédures sera rédigé. Il permettra de préciser et d'adapter l'organisation générale et le planning des activités nécessaire à la bonne marche du système. Ce document définira les responsabilités des différents acteurs impliqués à tous les échelons.

32 EmDjE D'EVALUATION ENViRONN 4ENrALE ou PDIAIM MISE EN PLACE DItN SIG

Intégration de la cellule SIG dans l'organigramme SONAI)ER

DIRECTION ETUDES ET DIRECTION EXPLOITATION TRAVAUX

Poste de consultation C3, Poste de consultation t

IValidation ' l tRemise des trvaux Fornula tion des demandes Remise des travaux Validatton Classemen:de la réalises (Plans,évolution des objets SiG I réalisés Classement de la tdemande dmirots, d'accès,...) ,

CELLULE PLANIFICATION SUIVI EVALUATION

RESPONSABL I

Prise en compte e t Compte rendu de travaux planification des requêtes réalisés fortnules I

CELLULE SIG OPERATEURSSIG

__I

Acccèset exploitationdirecte Accès et exploitationdirectt des données par le réseau des données par le réseau SONADER SONADER (NOVELL.NT) (NOVELL,NT) Poste graphique

1'_"

I : ( ~~~~~~~Stockageet traitement des données SIG ) I

SERVICE INFORMATIQUE SERVEURSONADER __

PARTENAIRESDE LA SONADER(MDRE, OMVS,_.)

33 sl ETUDE DEVALUATON ENVIRONNE\tErTrALE DU PD!ALM MISE EN PLUCE D'UN SIG

Transfert d'informations dans un contexte général et élargi

__= COLLECTE TERRAIN

Données terrain Résultats d'études Saisie de cartes papy

SIG BASE DE TRAVAIL SUR LE SERVEUR SONADER AIMPOrATION

RESTITUTIO

Exploitation Expor-tation de données Tirage pians Format tableur Statistiques Extrait de plans digital isés Graphes..

COMMUNICATION SERVEURSONADER INTERFACEPUBLIC Plans Résultatsd'études Données diverses

DIRECTIONS SONADERORGANISME LA SONADER (MDRE. OMVS,....

34 th Er',DED EVALUATIONENVIRONNEMENTALE DU PDIAM MISE EN PLAUEDUN SIG

f

TROISIEMEPARTIE MISE EN OEUVRE

35 EntDE D'EVALUAlON ENVIRONNEMErrALE DU PDIAIM MISE EN PLACE DVUNSIG

1

36 ETUDED'EVALUATION ENVIRONNEMtErrALE DU PDI.AIM\ MISE EN PLACEDWUN SIG

4

Planning

Les étapes du projet doivent conduire à un développement rationnel des activités, à un contrôle technique rigoureux et au transfert progressif des compétences. Le planning de mise en place de l'outil SIG est présenté en annexe.

Phases | Description

Ia) Initialisation L'environnement technique initial doit faire l'objet d'une attention particuliere.

La cellule SIG doit disposer d'un local particulier, suffisamment étanche pour se libérer des contraintes climatiques.

Cette phase permettra d'assurer une mise en place correcte des matériels et logiciels.

La collecte des données fond de plan, vecteur ou raster, est une étape préliminaire indispensable. lb) Modélisation Cette phase permettra de construire l'architecture du SIG. Des documents décrivant les modes de traitement et de saisie des données seront rédigés pour formaliser la collecte.

Ic) Installation - Formation La formation doit être accompagnée d'une aide au démarrage pour s'assurer que toutes les notions sont acquises.

37 ETUDE D'EVALUAT7ON ENVIRO>NEMENTALE DU PDIAIN/ MISE EN PL4CE D'UN SIG

Phases Description

II) Phase de montée en charge Le système sera enrichi par saisie, intégrat -m et importation de données.

L'utilisation du réseau interne et externc à la SONADER simplifiera les échanges. lIla) Phase d'exploitation L'exploitation des données ne s'effectuera pas seulement au niveau de la cellule SIG. Les utilisateurs pourront interroger le système par l'intermédiaire des postes de consultation.

Des présentation permettront de valoriser les études auprès d'organismes externes.

IIIb) Suivi technique Un suivi régulier est indispensable au maintien et à l'évolution du SIG. Des contrôles périodiques seront effectués. Le transfert de compétence et la maîtrise des outils s'effectueront progressivement.

L'extension à d'autres sites géographiques permettra de valoriser l'expérience acquise.

IV) Mise en place d'outils La mise en place d'outils avancés nécessite une avancés parfaite maîtrise technique et un volume de données suffisamment important. Cette orientation ne sera prise qu'une fois le SIG parfaitement fonctionnel.

38 ETUDE DEVALUATTON ENVIRONNEMENrALE Du PDILM1 MISE EN PL,'CE eUN SIG

5

Coûts de mise en oeuvre

5.1 Recommandations techniques Compte tenu de l'évolution rapide des matériels et des logiciels, les indications fournies sont indicatives. Il faudra. à l'initialisation du système choisir les produits les plus performants pour un coût comparable.

5.1.1 Caractéristiques Matériels Poste graphique Unité centrale PENTIUM dernier modèle, Carte graphique, Carte audio, Carte modem-fax, Carte réseau Lecteur CD-ROM, Disque dur 2 Go ou supérieur, cache intégré. Mémoire 128 Mo RAM Ecran 21"

Poste de consultation Unité centrale PENTIUM 200 ou supérieur, Carte graphique, Disque dur 1 Go.

39 ElUDE D'EVALUATION ENVIRON\F\çN'TALE Du PD[AIM MISE ENPLACE DuN SIG

Carte réseau Mémoire 64 Mo RAM Ecran 17" ou supérieur

Table à digitaliser Table AO Curseur 12 boutons

Impressions Traceur AO Couleur, jet d'encre 24 Mo de RAM Imprimante A4!A3 Couleur, jet d'encre 12 Mo de RAM

5.1.2 Portable Unité centrale PENTIUM 200 Mhz ou supérieur, Carte graphique, Carte modem-fax, Lecteur CD-ROM, Disque dur 2 Go ou supérieur, cache intégré. Carte réseau mémoire 80 Mo RAM Ecran 122"

5.1.3 GPS Récepteur mobile avec antenne, 12 canaux, précision métrique, traitement statique et cinématique, système temps réel avec collecteur de données.

5.1.4 Logiciel

Environnement Système d'exploitation Windows NT ou 95 Utilitaire d'exploitation des disques (Défragmenteur, anti-virus,...)

40 ETt'DE D'EV&LUATION ENVfRO.NNEME'TALE DU PDLAINI IUSE EN PLACED'UN SIG

Logiciels Les logiciels utilisés reflètent la diversité des modes de gestion des données. En plus du coût d'achat. il faut prévoir le provisoirement de la mise à jour des licences. . SIG Bureautique . Outil de dessin et de dittitalisation . Gestionnaire de bases de données . Tableur. traitement de texte . Post-traitement GPS . Outil de modélisation hvdraulique . Outil d'analyse des imaiges satellites

41 ETUDEDlVALUAklON DMIRONNEMENTALEDu PDLAIM MISE EN PLACEDUN SIG

5.2 Coûts

5.2.1 Matériel et logiciel

Coût par poste

5.2.11.Poste graphique Montant en USD

Matériel |vMicro-ordinateur 5 000,00

rable à digitaliser AO 7 500,00

Fraceur AO 4 000,00

Imprimante A4/A3 1 000,00

Logiciels SIG Bureautique 4 000,00

Outil cartographique 9 500,00

Gestionnairede base de données 500,00

Outils bureautiques 500,00

Total 32 000,00

5.2.12.Poste consultation Montant en UJSD

Matériel Micro-ordinateur 4 000,00

=ImprimanteA4/A3 I 000,00

Logiciels SIG Bureautique 4 000,00

Total 9 000,00

42 ETUDE D'EVALUAnON ENVIRONNE-MENTALE DU PD[LAI4 MISE EN PLACE D'UN SIG

5.2.13.Terrain

Montant en USD

Matériel Micro-ordinateur 4 000,00

GPS 6 000,00

Logiciels Logiciel GPS Traitementdifféré -

Total 10 000,00

5.2.14.Outils avancés Logiciel Montant en USD

Outil de modélisation hydraulique 25 000,00

Outil de traitement des images satellite 35 000,00

Total 60 000,00

<ç`J Récapitulatif (*) Poste fQté Totalposte Montanten USD Phases Graphique _ 32 000,00 32 000,00 I

Consultation 2 9 000,00 18 000,00 II

Terrain 2 10 000,00 20 000,00 I et Il

Outils avancés 1 60 000,00 60 000,00 IV

Total 130 000,00

(*) Prévoir en outre dans l'hypothèse où la SONADERn'a pas encore mis en place son réseau informatique interne: - l'aménagementdu local informatique, - une unité de sauvegarde des données.

43 EruDED'EVALUATION ENVIRC:N\FNTENALE DL PDArM MISE EN PLACED'UN SIG

5.2.2 Données

Provision pour l'acquisition de 6 images satellites

Données Coût unitaire Qté Montant en USD Phases

Image satellite 6000 6 36 000,00 II(2) et III (4)

Total |36 000,00

5.2.3 Mises à. jour logiciel

IEnontt en USD Phase

Provision pour le suivi des versions des logiciels 15 000,00 III exploités. Total f 15ooo,ool

5.2.4 Prestations

Phase Durée (Homme/Mois)

I) Initialisation 1

1) Modélisation 1,5

I)Installation - Formation 1,5

II) Phase de montée en charge 4

III) Phase d'exploitation 2

III) Suivi technique 5

IV) Mise en place d'outils avancés 3 Total I 18

44 En'DE D'EVALUATION ENVIRONNEMENTALE DU PDIANM MISE EN PVŒCEDUN SIG

5.2.5 Coût total par phase

Phase Mise en oeuvre Prestation (investissements) (Hommeimois) (USD)

PHASE I - ivise en oeuvre du SIG

Durée: l an

Initialisation du SIG avec les données existantes 42 000,00 4 (*)

Formationdu personnel SONADER

PHASEIl - Actualisation - extension de la base

Durée: 1 an

Collecte de données 40 000.00 4 (*)

Saisie de masse et imponation

PHASE III - Déploiement SIG

Durée: 5 ans

Echanges de données avec les partenaires 39 000,00 7

Exploitationdes résultats

Suivi - évaluation

Intégration de nouveaux sites

PHASE IV - Outils avancés

Durée: 1 an

Mise en place et exploitation d'outils avancés dans 60 000,00 3 modélisationhydraulique et le traitement des images satellites.

Total 181 000,00 18

(*) Sur base de l'expérience de projets similaires, une assistance technique permanente serait souhaitable durant les deux premières années.

45 ETuDE D EVALUAT1ON EN% IRONNE.MENTA LE DU PDALXML% MIsE EN PLACE D0 N SIG

46 QSow

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o~ ~ a~~ ETUDE DEVALUAlON ENVIRONNEMENTALEDU PDIAIM MISE ENPLACE DUN SIG

48

-7 E1'DE D'EVALUATTON ENVIRONNEME!TALE DU PDIALM MISE E PLACEo3m SIG

6

Conclusions

6.1 Questions en suspens z Le fond de plan permettant de débuter simplement et rapidement l'implantation des objets SIG pourrait provenir du logiciel utilisé par le bureau foncier au MDRE (GEOCONCEPT). Cette possibilité dépend des capacités d'exportation de ce SIG vers un système d'information plus récent. Des contacts ont été pris avec les fournisseurs de ce logiciel pour déterminer les possibilités d'exportation: . Fonctionnalité du logiciel dans sa version actuelle d'exporter dans un format compatible . Actualiser la version logiciel présente à la MDRE . Fourniture d'un programme de transformation des données au format actuel vers un forrnat lisible par les SIG récents. L'une de ces solutions doit pouvoir répondre aux besoins évoqués. Le fournisseur nous a précisé que les fichiers d'export DXF créés par la version 3.00b de GEOCONCEPT sont au format Autocad 12

La SONADER mène actuellement une réflexion sur la mise en place d'un réseau interne. Il serait souhaitable que ces investissements accompagnent le développement du SIG.

49 ETIJDED'EVALUAknON E VIROINE.MI.ALE DU PDAMN M,sE EN PLkE DUN SIG

6.2 Réserves

Il faut déterminer précisément au moment de la mise en place du système 1l ilveau de compétence requis du responsable SIG et des opérateurs. Un bon encadr :ent, le respect des règles permettront de produire des travaux de qualité. L'autonomie, les capacités d'exploitation rationnelle des données passer.- par une responsabilisation des intenrenants. Le rôle hiérarchique du responsable Sl-~ doit être suffisamment solide pour assurer l'assise de la cellule SIG. e Pour que le transfert de technologie s'effectue vers l'organisme exploitant, il faut souligner l'importance de l'assistance au démarrage et du suivi-évaluation. Ces phases ont pour finalité d'assurer une mise en route optimale du système mais surtout son maintien sur site. r Pour que l'exploitation du SIG soit vivante et dvnamique, il est indispensable de répercuter l'information détenue vers des services décentralisés. Ce but peut être atteint en mettant à disposition des oreanismes intervenant sur le terrain des plans actualisés. Faire connaitre les capacités du système est la meilleur façon de garantir son succès.

6.3 Risques Le risque majeur est de voir progressivement le SIG mis en place s'isoler des autres structures. Il faut développer les possibilités de communication pour empêcher ce phénomène. La mise à jour régulière des versions logiciel est indispensable au maintien d'une compatibilité. Le système d'exploitation, les formats de données et d'exportation doivent rester conformes au standard du marché pour pouvoir comuniquer avec de nouveaux produits.

50 E1IDE D'EVALUATtON ENViRONNEMENTALE DU PDIArm MiSE EN PLACEDUN SIG

ANNEXE CHRONOGRAMME

51 ETUDE D'EVALUAfIONENVIRONfNEMENTALE DU PDLAIM MISE EN PLACEDVN SIG

52 I Année 1 I MOIS1 2 I Plannina IMi22 OS2 OSi 24 lZli[;al;5aljOIr MOI518 | MO;S19 I ~~~~~~~~~~~~MOiS20 IMOiS 21

`qUiPCîIIeIl donUlocal SIG

AChalt installatlioI logiciel nuItCnel E

lcqnisitivîl i icsi ue g t suisaiellites

I titégratjoni dCSimnlaes

T'ests fonctioluiels

Mise à nireait logiciet AIDRE

Tranferildea donodées

Tests lbnctioIuiels

,1Iodd;lisaliLoll

Anallyse (lcs donn1leesdisponibles

Défiiîîtioiî du modèle de doiuiées

Organisation p1arthIèi1es et coUch1esgral)phiqties

Non11ede Collecteterrain

hisxallatjozî - J`oruilaîio,i

linstallat;olI outil - miiodèle

lrorxiinîtnlIstCclIuI;Cic:îs SIG

Assistalce aiu dénuiarige

OrgatisaItion dC la cellule SIG

D)ocîUUenItde l)rocédUresdC oIbnctiomueinent

P'1jae ide ,niinée ethcLlarge

Collecte de diîleiéer-lerrîiîii

Fonlatioll personnîcl

TestS terrainI

OrLiuiiat iOI dCSpi oceduresd'îtpoilation

Digifal.saxioiusaisie base de d,aunices

Nonîialisatîoîs des smties

Saisir dc mlisse

I'rocedurcs dc coniitiîle

saisie ijle r s&iaifs diétudes

Nontalisatlloi iles doiutecs

- l'rtrdoi es dc cottile

Tran1sfert deLdnnh vrçui îIîiirtrevlr. .çiwfèines

Proiocolesd'accus resC;II

- P~~~~Irnc:dtires dL traitaslcr

'lhIIaed'es pliiati i)i

I )LIjOIttlOI d rcq tsaitems

Rc:ilieiwtzltnde docsîieis dc tttiscil te ;vtièfne pLl~~~~c I

P1,nn~c.,,rii ceo~SIG - vii ed-m..ie

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ANNEXE 6

Références bibliographiques

MAURITANIE

1 Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Rapport Général. MDRE, Juillet 1995

2. Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Contexte Institutionnel. MDRE. Juillet 1995

3 Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Protectionde l'Environnement. NIDRE.Juillet 1995

4. Programme de Développement Intégré de ['AgricultureIrriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Contexte économique, MDRE, Juillet 1995

5. Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Infrastructureset Aménagements. MDRE, Juillet 1995

6. Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Actes et synthèse des travaux de la réunion consuitative, MDRE.Novembre 1995

7. Offre pour la réalisation des études de préparationdes projets PDIAM - SONADER - Juin 1997 et Termes de Références pour: * Projet d'Aménagement des Infrastructuresde la Plaine de M'Bagne / Etude de préparation et schéma d'aménagement * Etude préliminaire des infrastructuresdes UNE de Koundi I à 5 * Projet d'étude d'un schéma de développementagricole de la plaine de Dirol * Enquete sur les périmètres irrigués: cas des périmètres irrigués villageois (PIV) situés entre Gani et Dar El Barka et les périmétres privés situés au niveau de la vallée du Gorgol * Projet d'étude de désenclavement des zones de productionagricole, situées entre Gani et Dar El Barka * Etude générale de valorisation et d'optimisation de l'utilisation des ressources en eau dans la vallée du Gorgol

8. Mission FAO/CP d'appui à la finalisation de la préparation du PDIAIM - mai 1998

9. Profil de l'environnement de la vallée du Fleuve Sénégal - EuroconsultlRIM, 1990

10.Projet de viabilisation des périmètres irrigués villageois (P.I.V.) dans le Trarza et le Brakna, SONADER- rappport provisoire. novembre 1997

Il . Evaluation des impacts sur l'environnement du PGRNP - Plan de gestion environnemental - Tropica Sari - Financement IDA, janvier 1997

12.Expertise technique en vue de la résolution du problème d'alimentation en eau de l'extension du PPG à Kaedi, Dendros Internacional - SONADER - FED, avril 1997

13.Etude d'application des schémas directeurs de la vallée et du delta rive droite du fleuve Sénégal - rapport générai - Groupement AGRER-SCETAGRI-Haskoning,MDR, Cellule de Planification, 1991

14. Etude sur la gestion des eaux de la vallée du Gorgol, rapports phase I et II, Lahmeyer International- SONADER. oct 87 et juillet 1988

1 1~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ 15.Etude de faisabilité du projet de développement du système d'irrigation agricole dans le haut delta du fleuve Sénégal - Nippon Koei Co.. Ltd - SONADER, juillet 1997

16.Etude d'impact du projet d'aménagement et de désenclavementde quatre moyens périmè-res irrigués dans la région de Kaecdi-Gourave.SONADER, SCET-TUNISIE-MCG, rapport provisoire, décembre 1997

17.Programme de Développement intégré du Gouere, Note de présentation - SONADER, déc 1994

18. Etude de consolidation et d'extension du périmètre de Foum Gleita, Phase Il - Extension du périmètre, Euroconsult - Sodese Engineering, SONADER, AID, nov 1988

19. Etude d'exécution de M1aghama1I1. Avant-projet détaillé, Euroconsult- SONADER, nov 1990

20. Etudes d'exécution de la deuxième phase du Lac R'Kiz, SCET Tunisie, SONADER. financement BID, janvier 1991

21. Inventaire des ressources du sud-ouest: Géologie. Sols. Forêt. Pâturages - Gestion des ressources renouvelable.Prépare par Remote sensing institute (institut de télédétection) South DAKOTA STATE UNIVERSITY(USAID; AID! Afr c-1619)

22. Législation (principaiuxtextes): Ordonnance n' 84 208 portant code d'Hygiène, ordonnance 85-144 (code de l'eau), décret 951060(CNED). décret 22193/PM(MDRE), loi 97-006 (code chasse et protection nature), loi 97-007 (code forestier), décret 009-98 (MSAS). ordonnance 83-127 (foncier), décrets 84-009 et 90-020 (foncier),...

23. Le virus de la fièvre hémorragique de CRIMEE - CONGO ( C.C.H.F ) en Mauritanie. Cahier ORTOM, ser. EnL Méd. El ParasicoL.Vol XXIV n° 2, [986: 129 - 13

24. Enquête sur la prevalence de la schistomiaseà schistoma Mansoni dans la Wilaya du Trarza Dr Ly Centre National d'Hygiene 8 - 18 / 09 / 1993

25. Bilharziose Génito - Urinaire et Intestinale étude bibliographique- CNH 19/04 / 1995

26. Enquête Epidémiolos,iquedans la région du Brakna résultats préliminaires - CNH Juin 1996

27. Etude de la prévalence des maladies parasitaires au Trarza CNH - DRASS Trarza - Octobre 1997

28. Bilan de l'Action Sanitaire et Sociale DRASS du Trarza - Janvier 1998.

29. Enquête sur la valeur prédictive du diagnostic Présomptif du Paludisme dans les formations sanitaires du Hodh el Gharbi. - Dr Ahmed O/ Aïda, Dr Dieter Kôcher Aïoun Avril 1997.

30. Enquête sur les schistomiases dans le sud Brakna Yéro Hamadi, Sandrine Daniaud, Lucien EROBU; CNH 10 - 18 Juin 1995.

31. Situation du Programme National d'Eradication du Ver de Guinée en République Islamique de Mauritanie. Réunion des Coordinateurs des Programmes d'Eradication du Ver de Guinée. Niamey (Niger) 24 - 26 - Mars 1997.

32. Rapport d'enquète sur la chimiosenssibilité de Plasmodium Falciparumà la Chloriquine dans la région du Brakna 5 /10 au 6 /12 / 1996; Diallo A., Lam Thièrno, Niang Saidou, Sagna M. Sidibé O.

33. L'Epidemie de fièvre à Boghé: Mission d'enquête du CNH 15 -17 Avril 1993 M.G. Siviwardane, LIN SHUPE, Dieynaba Dia, Larn Thierno, Sidi O/ Alouemine.

34. Poiitique et stratégies nationales de lutte contre le paludisme en Mauritanie - septembre 1997

2 35. Rapport annuel d'activités - Année 1997; équipe Cellule d'Appui aux Initiatives de Base en Mauritanie (CAIB) - Groupe de Recherche et de Réalisations pour le Développement Rural - GRDR -janvier 1998

36.Un quart de siècle au service de la promotion humaine; Caritas Mauritanie - CARITAS - décembre 1997

37. Plan de formation du personnel du MDRE, MDRE, Coopération Mauritano-Allemande - Pr. Dr. Cheikh Saad-Bouh KAMARA, 1997

38. Lettre de mission, 1er janvier 1994 - 31 décembre 1996 - SONADER, 1994

39. Politiques et Stratégies générales pour le Développement du Secteur Rural - Horizon 2010, MDRE, RIM - MDRE, 1998

40. Principes de maintenance-gestion des ouvrages collectifs; élaboration de contrats-types, SONADER, RIM - SFCD-FAAR, 1994

41. Etude « Activités de vulgarisation. formation et désengagement », SONADER, RIM - BDPA, 1997

42. Cadre d'action pour la mise en place d'un système de suivi-évaluation au projet GIRNIEM, projet GIRNEM, MDRE/DEAR, Cooperation Mvlauritano-Allemande,J. Gely. février 1998

43. Séminaire constitutif de l'initiative des Maires Mauritaniens Défenseurs des Enfants, UNICEF, DCL-AMM, RIM, avril 1996

44. Projet des services agricoies. revue à mi-parcours, aide mémoire, Banque Mondiale. mai 1997

45. Situation du secteur de l'hydrnulique - sous-secteur de l'hydraulique rurale, Direction de l'Hydraulique, MHE. RIM. décembre 1997

46. El Belediya - bulletin d'information de la direction des collectivités locales, Min. Intérieur, Postes et Télécom., RIM - n=3-1995, n'4 et 5 - 1996, n° 6 - 1997

47. Etude d'impact sur l'environnement de Boghé

48. Rapport concernant la vulgarisation agricole dans la vallée du Sénégal et sur les aménagements hydrauliques, SONADER, RIM, JC Dubasque et JR Demouiin, mars 1995

49. Tableau de bord global du développement intégré du bassin du fleuve Sénégal en rive droite - MHE - CN/OMVS - PNUD, juin 1995

50. Base de données des projets sur l'environnement - BDENV - manuel d'utilisation - DEAR-MDRE-UNEP, août 1997

51. Document de stratégie environnementale - Mauritanie - Banque Mondiale, 1994

52. PDIAIM - volet foncier - problématique et termes de référence de l'étude foncière, MDRE, février 1997

53. Projet de gestion rationnelle des ressources forestières, DEAR-MDRE, rapport n°3 - aménagement forestier, juin 1997

Documents de travail provisoires (simple consultation)

54. Contrat-programme entre l 'EatzMauritanien et la Société Nationale pour le Développement Rural, SONADER - MDRE, 1,1 998 - 1212000 - SONADER, 1997

55. Proposition de loi-cadre prenant en compte les observations du PNUE et du groupe de travail sur I 'Environnement - MWohamedNltahmoud Ould MOHAMED SALAH, 1997

3 56. Etude diagnostic sur le fnetionnement actuel de I 'LNC4CEAI et réflerion stratégique sur I' politique de crédit agricole adaptée à la mise en valeur de la vallée du Fleuive Sénégal, ULCACE.ll CFD - LG- SOFRECO, 1997

57. Etude de lafilière r:: en .tlauritanie. SONADER. RlI - GCG. 1998

58. Etude de ratîonal:sî ur des actwit-irsde ia Direction de I 'Hydrauilique - rapport diagnosti. MHE, RIMAf -SATEC. 1997

59. Document d'appuii à la formuiatîon cd'zunprogramme de gestion et de protection de lenvm iement, CE:DRA4T PVUD. RlRI. :décembre1997v

60. Code pratique annot' d adlmnitstratzon des collectivités territoriales, Min. Intérieur, RLW, 1998

SENEGAL

6 1. Etude de la salinite a Thiazar - Utiiisation d'un conductivimètre électromagnétiaque. Projet de Gestion de l'Eau, Coopération Scientifique KULeuven - S.A.E.D., Septembre 1996

62. Plan National d'Action pour i'Environnement, CONSERE, Ministère de l'Environnement et de la Protection de la Nature. Sénégal. septembre 1977

63. Utilisation de l'imagerie satellitaire à haute résolution. Centre de Suivi Ecologique, Sénégal, 1996

64. L'imagerie NOAA.AVHRR dans la veille environnementale, Centre de Suivi Ecologique, Sénégal, 1995

65. Recueil de Statistique de la Vallée du Fleuve Sénégal, Annuaire 1995/1996, S.A.E.D, Ministère de l'Agriculture. Aoùt 1997

66. Soul Salinization Processes in Rice Irrigation Schemes in the Senegal River Delta. J. Ceupiens, M.C.S. Wopereis, and KM. \vliézan. Soil Science Society of America Journal, Volume 61, n°4, Jliiy-August 1997

67. Preserving soil qualitv under irrigation in the Senegal River Valley, M.C.S.Wopereis, J.Ceuppens, P.Boivin, A.M. Ndiave and A.Kane. WARDA-ADRAO, feb 1998

68. Impact of non-drained îrrigated rice cropping on soil salinization in the Senegal River Delta, J.Ceuppens and M.C.S. Wopereis, WARDA-ADRAO, feb 1998

69. La dégradation des terres irriguées dans la moyenne vallée du fleuve Sénégal - P. Boivin, Chargé de Recherches - ORSTCOM. Dakar - Atelier SCOPE, nov 1993

70. Etude et méthodologie pour la mise en oeuvre d'une stratégie environnementale dans la vallée du fleuve Sénégal - document introductif pour la table ronde de Dakar - CAB - Ministère de l'Economie, des Finances et du Plan. Rép du Sénégal. GM. 1995

O.M.V.S. I REGIONAL

71. Etudes des problèmes d'environnement et de protection des milieux naturels dans le delta du fleuve Sénégal - Phase 1 - Bilan et Diagnostic. OMVS - Fonds d'Aide et de Coopération (France) - BDPA- SCETAGRI,'ORSTONiMSECA/AFID/SERADE, déc 1994. Volume principal et annexes

72. Etudes des problèmes d'environnement et de protection des milieux naturels dans le delta du fleuve Sénégal - Phase 1[1 - Projets pr-oritaires. OMVS - Fonds d'Aide et de Coopération (France) - BDPA- SCETAGRI/ORSTOM/SECA/AFID/SERADE, janvier 1995

4 73. Etudes des problèmes d'environnement et de protection des milieux naturels dans le delta du fleuve Sénégal - Synthése générale, ONIVS - Fonds d'Aide et de Coopération (France) - BDPA- SCETAGRI/ORSTO vMSECA,'AFID/SERADE, mai 1995

74. Atelier sur la Mfise en Oeuvre du Programme d'Attéunation et de Suivi des Impacts sur l'Environnement (PASIE) - OMVS - Projet Energie Manantali - Rapport de la réunion de concertation. 17 et 18 novembre 1997

75. Etude de l'Environnement du Delta du Fleuve Sénégal. OMVS / BDPA-SCETAGRI-ORSTOM-SECA- AFID-SERADE (1995)

76. Notice explicative relative aux inventaires des points d'observations hydrogéologiques série A et 8 rives droites et gauche. Les eaux souterraines de Mauritanie. Projet PNUD/ DTCD / MAU / 87/ 008- Direction de l'Hydraulique (Février 1990)

77. Bureau de recherche géologique et minière. Etude géologique et hvdrogéologique des formations sédimentaires de la vallée du Sénégal

78. Etude hydro-agricole du fleuve Senégal, SEDAGRI 1973

79. Etude socio-économique du bassin du fleuve Sénégal. Réédition 1984

80. Etude hydro-agricoles du bassin du fleuve Sénégal. Atlas des Unités Naturelles d'Equipement - RAF /65 / 061 - CHAUMENY -juin 1975

8 1. Etude macro-économique d'un programme de développement intégré du Bassin du Fleuve Sénégal - OMVS - AGRER - septembre 19Q4

DOCUNIENTS GENERAUX

82. Environmental Assessment Sourcebook (Volume 1, [I and III), World Bank Technical Paper Number 139 - Environmental Department - The World Bank - Washington D.C., 1991

83. Environmental Impact Assessment of Irrigation and Drainage Projects, FAO Irrigation and Drainage Paper 53 - Rome. 1995

84. Environmental economics and sustainable development, Mohan Munasinghe, World Bank Environment Paper n° 3, 1993

85. Sustainabilitv-oriented project appraisal for developing countries, Michiel J. F. Van Pelt, CIP-Data, Koninklijke Bibliotheek. Den Haag

86. Salt-affected soils and their management, FAO Soils Bulletin 39 (1988)

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ANNEXE 7

Liste des institutions et des personnes ressources rencontrées et contactéespar la mission

MINISTERE DU DEVELOPPEMENTRURAL ET DE L'ENVIRONNEMENT

Baba Ould BOMEISS Cellule de Planification Ahmed YOURA O/ IMANE CoordinateurPDIAIM Dendou O/ TAJEDINE DirecteurUnité de Coordination du PDIAIM (8/98-> Paul GINIES ConseillerTechnique (UE) - PDIAIM Christian LEDUC ConseillerTechnique (UE) - PGRNP/Lac D' Sephan NEU ConseillerTechnique (GTZ) Alain BERNARD ConseillerTechnique (FAC) P. BOULANGER AssistantTechnique au Bureau des affaires foncières

DIRECTION DE L'ENVIRONVVEiEiT ET DE L'AMENVAGEIENT R URAL (DEAR) Oumar FALL Directeur COULIBALY DirecteurAdjoint Cheikna Ould BARE Responsabledu Service de la Protection de la Nature Djibrill SARR Responsabledu Service Hydrologique Soen CHEY Conseillertechnique environnement (Coop Franç) François CAZOTTE ConseillerGénie Rural (Coop. Franç.) Cheikh Ahmed Ould KHALIFA Programme PAN/Fonds Nat. Lutte contre la désertification Dr Kebir Ould SELAMI Resp. du Progr. de Formation et Inform. sur l'Envir. (PFIE)

SONADER Mohamed Ould BABETTA Directeur Général Alassane Chérif GUISSET Conseillerdu Directeur Général Amadou Moussa NGAIDE DirecteurTechnique des Etudes et Travaux Mohamed ALY DET/Chef de service études Ndiongo OUSMANE DET/Chargéd'études Beddou Ould SALEK DET/Chargéd'études Sidi Mohamed Ould MOINE DET/Chargéd'études Abdoulaye Ould BABA Directeur Régional de Rosso Brahim Ould AHMED Directeur Régional de Kaedi

CENTRE NA TIONVALD 'ELEVA GE ET DE RECHERCHES VETERINAIRES(CNER P) Dr Boubacar DIALLO Directeur

PGRNP Hamada Ould DIDI Directeur Ba Thierno OUSMANE Chef du Département Formation Mohamed Lemine Chef du Département Suivi-Evaluation Ahrned Ould BRAHIM Chef du Service Technique

page I Projet Lac d'Aleg N'Gaïdé HAMAD Directeur du Projet Sidati Ould MACIRE- Responsable "Volet Structurant"

DELEGA TIONS REG1O,OMILES DU .lIDRE Dr Moharned Abdarrahmana 0/ Limam Délégué Régional du Gorgol Mome Ould HAMAHOUJLLAH Délégué Régional du Trarza

MINISTERE DE L'HYDRAULIQUEET DE L'ENERGIE

DIRECTION DE L HYDRAL'LIOUE Elle Ould EL HADJ Directeur de l'Hydraulique Moustapha Ould MIA.OtJLOUD CT/CN OMVS Jean LE PRIOL Conseiller technique (coop. franç.) JP SASMAYAUX Conseiller technique (coop. Franç)

SONELEC Brahirn Ould ABDELLALI Projet Aftout - adduction d'eau de Nouakchott

MINISTERE DE L'INTERIEUR,DES POSTES ET TELECOMMUNICATIONS

N'Diave KANE Directeur des Collectivités Locales Moctar Ould EL ACEN Directeur de l'Aménagement du Teritoire Mohamed Ould SIDI: MIOHAMED Régisseur Foncier, chargé de mission Nicolas WIDMER Conseiller Technique (FAC) André HARNISTE Conseiller Technique (FAC)

COMMUNVES Alioune Ould AOUBEK Maire de Tékane

MINISTERE DE L'EQUIPEMENTET DES TRANSPORTS

DIRECTION DES TRAVA UX PUBLICS Mohamed Mahmoud Ould Sidi Chef du Service des Etudes

MINISTERE DES PECHES ET DE L'ECONOMIE MARITIME

DIRECTION DE LA PECHE ARTISANIALE Abderahmane O/ SIDI ALI Coordinateur projets japonais Elemine O/ SID'AHMED Service pèche continental

page2 MINISTERE DES MlINESET DE L'INDUSTRIE

DIRECTIOiVDES MINES Ibrahim Wane Ingénieur

MINISTERE DE L'EDUCATION

FACULTE DES SCIE.VCESET DES TECHNIQUES Ahrnedou Ould HAOUBA Doyen Mohamed Limine Ould BABA Secrétaire Général

MINISTERE DE LA SANiTEET DES AFFAIRES SOCIALES

DIRECTIOiVDE L1 PROTECTIONSANITAIRE Dr Ibrahima KANE Directeur

DIRECTIONS REGIO.N'4LESDE L 'ACTIOi SANITAIRE ET SOCIALE Dr Cheikhna DIAGANA Directeur DRASS Trarza (Rosso) Dr Saïdou NIANG Directeur DRASS Brakna (Aleg) Dr Sidi O/ MOHAMED LAGHDAF Directeur DRASS Gorgol (Kaedi)

CENTRE NA TIONAL D 'HYGIENE Dr Moharned Lemine O/ EL HAJ Directeur Dr Cheikh DIALLO Inspecteur Général de la Santé

BANQUE MONDIALE M MAZURELLE Représentant Résident Karim OKA Task Manager (Washington) - Agriculture/Environ. Afrique Mohamed Ould TOLBA Chargé du PDIAIM Cheikh A. Ould HOUEIBIB Economiste Souleymane SOW Chargé du DIU-Amextipe François GADELLE Senior irrigation engineer, Agric.and Nat. Ress.Dept. Rémi KINI Economiste de l'environnement, consultant

DELEGATION DE LA COMMISSIONEUROPEENNE EN RIM Mazochi Allemani Ambassadeur, Chef de Délégation Frank GREILING Conseiller en Développement Rural Alfonso RUIZ DE AZUA Conseiller en Génie Civil Jérome DENDURAS Assistant du Conseiller en Développement Rural

page3 CAISSE FRANCAISE DE DEVELOPPE.MENT Marc JAUDOIN' Directeur Frédéric BOURDILL,AT Conseiller

OMS Dr. El Hadi BENZERROUG Représentant résident Dr. Carlo URBANI Consultant "Bilharziose"

PNUD Mariem BEKAYE Prograrnrnes PAN et PANE

UNICEF Dr Issa COULIBALY

FAO Représentantrésident

UTNCACEM Jean Pierre GRAILLE Conseiller technique(CFD)

SOCIETE CIVILE, ONG, ORGANISATIONSPROFESSIONNELLES

UICN Olivier Hamerlvnck Conseiller Technique

AGETA Sidi Ould MAYOUF Président du Conseil d'Administration Jacques MAUBUISSON Conseiller technique

CARITAS (ONG) Daniel VERGER Directeur

DEVELOPPEMENT DURABLE (ONG) Mohamed Abdellah ould TOLBA Président

Divers exploitants privés et responsables d'associations d'exploitants dans la vallée

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ANNEXE 8.1.

Commentaires du Maître d'Ouvrage sur le rapport provisoire et aide-mémoire mission FAO/CP

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Rapportf nal - Voluwme3 Evaluation E:nvironnementaledu PDL4IM

SOCI ETE NATIONALE k 45F POUR LE DEVELOPPEMENT RURAL

SO.NA.DE.R

B.P 321- Tél. 521-61 & 518-00 l - A 1 1 1: Io 1 Télex807 MTN - Nouakchott - A '

DGi/Y0.MfMvNÆMBOSi98

Nouakchott, le G3

LE DIRECTEUR GENERAL

A

Monsieurle DirecteurGénéral du bureau AGRER

OBJET :Etude d'impact environnemental du PDIAIM

Monsieurle DirecteurGénéral,

J'ai l'honneur de vous adresser ci-joint les remarques de l'Administration sur le rapport provisoire de l'étude d'impact environnemental du Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM), que votre bureau a menée pour notre compte.

Vous en souhaitant bonne reception,je vous prie de recevoir mes meilleuressalutations.

Mohamed Yah u IMohamed Mahmoud

Pièces jointes. - ObservationsSonader sur EIE PDIAIM \ Y' x, - Observationsde la DEAR

AmRDilation: - UCIPDIALIM - CTDAGE,DET. SE. DET/Beddou SONADER

REMARQUES SUR LE RAPPORT PROVISOIRE DE L'ETIUDE D'IMPACT ENVIIRONNEMENTAL DU PDIAIM

* Tout au long de la preparation du PDIAIM, la composante Banquemondiale du programme a évolué, dans sa forme et dans son contenu. C'est ainsi que, au lieu d'une programmation en deux phases de cinq années chacune, la 13anquemondiale a proposé une conception de type «prêt pour programme ajustable » (APL), qui. permettra d'envisager le programme en trois phases (3 ans - 4 ans - 3 ans) couvrant une pénode totale de 10 ans De même, les composantesdu projet soumis à la Banque ont été revues, et, s'agissant des mvestissements,il convient de souligner que:

- les projets d'a.menagementhydraulique des plaines de Dirol et de Mbagnene sont plus inscrits dans les pnorites d'intervention de la Banque Mondiale.

- la réhabilitationdes périmetres imgués ne sera pas ciblée sur la zone de Gan; - Dar El Barka, pas plus;qu'elle ne sera limitéeaux seuls périmètresvillageois. Tous les périmètres dégradésde la 'Vallée,collectifs ou privés, pourront postuler au crédit de réhabilitation,seuls seront admis les dossiers les plus bancables.

C'est pourquoi il conviendra de revoir le document provisoire en intégrant ces éléments. Pour une définition détaillée du projet Banque mondiale, se référer au dernier Aide-Mémoirede la FAO/CP du mois de mai 1998.

* P 19, point 13. Le Ministèredu Plan a changé d'appellation. Il s'appelle désormais « Ministèredes affaires écononiques et du développement». En tenir également conpte dans les montages institutionnelsdu Programme.

* P 23, point 30. La direction de l'artisanat n'est pas au Ministère des Mines et de l'Industrie. P 62, point 4. ( - « .) 240 villagesrepartis entre 6 Moughataa composéesde 14 communes...», pourquoi seulement 14 communes"Sur le tableau de la mème page, vous en avez déjà 16, bien que la communede Bogué n'ait pas été recense.

- Sur le tableau, on ne voit pas à quoi correspondle total 18(>.058habitants. Il ne s agit nudu total pour les Moughataa,ni du total pour les communes.

* P 63, point 4 (suite). Le tableau n'intégre pas les donnéespour la Moughataa de Boghé. Par ailleurs. il aurait fallu commenterla coïncidenceparfaite (à l'habitant près) entre la populationprojetée pour l'année 1993 et la population foumie par l'Etat Civil, dans le cas des deux Moughataa de Mbagneet de Bababé. Est-ce une erreur d'écriture?

- P 64, point 10. « Precisons tout simplement que les dérivées de l'évolution historique ont fait des H.alpulaaren,Soninko et Wolofdes sociétés fortement hiérarchiséesqui s'organisent autour d'un double principe vertical et honzontai avec prééminencede l'âge. », phrase pas claire.

* P 65, point 14. Aux paragraphes I et 2 le mot statuaire (relatif à statue) est utilisé à la place du mot statutaire (relatif à statut).

' P 69, point 35. On ne voit pas de quelle «contrainte généréepar la mise en oeuvre de la législation foncière » vous parlez.

* P 69, point 4. Pourquoivoulez vous que l'Administration applique cette circulaire,puisque vous dites dans la note bas de page n°23 que « le décret de 1990 met fin à son application »?

P 72, point 48. « Ce comportementdû fondamentalementà l'attachementviscéral à la terre ancestrale peut constrtuer,en l'absence d'une approche participative réelle et de lieux de consensus, une contrainte dans le développement du secteur privé et du développementdurable des infrastructures d'irrigation dans la zone », phrase pas claire. * P 115 et suivantes Dans les tableaux du planning de mise en oeuvre du plan d'atténuation des impacts du programnme,l'inscription dans le FNAE de tiroirs eau et assainissement nsque de créer une duplication de l'invest1ssement,puisque dans le cadre de la composante Banque mondiale du PDIAIM, il est prévu à part un voiet infrastructures sociales, qui prend en considérationces aspects.

Une étude pour identifierles besoins des populations dans ce domaine ainsi que les financementsrequis est en cours, et doit couvrir la zone de Gani - Dar El Barka et la zone de la vallée du Corgol.

fait le 2/8/98 `Ministere àuI Ùeve:oppveîrent rur.at ,e, de -. ,'- I 'Environnemnent 1'1;1Li i41ii, Direction de l'Environnemert ete t - ;

cle i'Ar-nénagernent Rural ____ _-. sT': 1'7r: T&o 5`5Y8 -7Ri7 5O7 ...... FA 49 $W / NoLiaichi-t,v- ie,i2 7 Ji g -

A Monsieur le Directeur Général de la SO.NA.DE.R.

Objet: remarques sur le rapport provisoire de l'étude PDIAM

Faisant suite à votré lettre n°0611 du 19 Juillet 1998, relative au rapport provisoire de l'éudecfimpact e irtmemental du PDIAM,j'ai l'honneur de vous transmettreci-joint nos remarques et observations sur ce document en vue de prise en compte.

POR LE D TRFTEURABSENT LE T JOINT

P.J.: 1 Observationssur le documnent

'k ^ E OBSERVATIONS DE LA DEAR SUR LE RAPPORT PROV1[SOfREDE L'ETUDE D'EVALUATION ENVIRONNEMENTALE DU PDIAM

Cadre institutionnel

,' Teii compte des structures institutionnelles existantes, notamment le conseil national Environnemrent Développement- (CNED) et ses organes annexes Comité TechniqiuéEnviroô nient Développement (CTED) et Conseils régionaux Environnement

Dévelop-p'men`t(CREID). -

Aspect straté2igue

Prendre en compte les documents stratégiques existants, à savoir Plan Directeur de Lutte contre la Désertification (PDLCD), le Programme Multisectoriel de Lutte conte la Désertification (PMLCD), la Stratégie Nationale de Conservation (SNC), la Stratégie Nationale d'Aménagement des Forêts Classées (SNAFC), le Programme dElaboration du PAN pour la désertification ainsi que le Programme dElaboration du Fonds National pour l'Environnement(FNEB.

Aspect létislatif

En plus des lois sectorielles de gestion de la flore et de la faune, prendre en ligne de compte la validation du projet de loi cadre sur l'environnement et les codes spécifiques de gestion des ressources naturelles et d'exploitation des fonds halieutiques etc... pour une vision globale et une intégration parfaite de la dimension environnementale.

Aspect Particivafif

Dans le cadre de la participation des populations à l'étude d'impact environnemental, l'aspect participation des populations ne sort pas clairement à travers le document présenté. Pour une meilleure adhésion de la société civile au suivi il y a lieu de ressortir par des activités concrètes cet aspect. de participation.

La dimension participative des populations aux activités environnernentales pour lesquelles la DEAR a réalisé des grands efforts dans la vallée (création de coopératives forestières, responsabilisation de ces dernières pour l'exécution des travauLx dépose de' clôtures et de plantation etc ) semblent être ignorées par le document. Outils d'étude à la décision et zestion environnementale

Le document présenté passe sous silence, les efforts menés jusque là par la DEAR, eni matière de suivi environnemerital qui dispose actuellement d'une base de données environnementales.qui méritait une intégration dans le document pour une ;analysede la qualité voire une améliorationfuture.

Plan d'occuDationdes sols (POS)

L'analyse menée à ce niveau a occulté certains programmes de restauration de l'environnement que la DEAR a effectué ou entrain d'exécuter dans la vallée à savoir le PGRRF, Barrière Verte de Trarza, fixation des dunes et le projet réhabilitation de la Chemarmaen'voie de démarrage. La DEAR dispose actuellement d'un schéma de plan d'aménagementpour la foret classée de Gani et pouvant être extrapolé aux autres forêts. Un tel_butil pourra ser-ir de base de plans d'occupation des sols prévus. I1 convient de souligner à ce titre que les plans d'occupation des sols doivent s'inspirer du projet de loi environnementale en cours de finalisation pour le suivi et l'évaluation des impacts environnementa=x.

Etablissement et diffusion des normes

Le diamnosticdans ce cadre doit s'inspirer des méthodes et pratiques menées jusque là, par les projets de la DEAR. Le document doit prendre en compte les expériences capitalisées par les projets(PLEMvfVASP,PGRRF, GERIN?, etc...) de la DEAR en matière de normes.

Fonds d'accompaenement environnemental

Les études en vue de la création et la mise en place d'un fonds national pour l'environnement sont en court, les documents de base, ont été déjà élaborés. Un consultant International a procédé à la finalisation des documents, en conséquence, le fonds d'accompa2nement environnemental doit être orienté vers le mécanisme national mis en place (FNE).

Présence de point d'eau

Le document prévoie l'implantation de point d'eau pour servir d'abreuvement et autres activités populaires, néanmoins le point d'eau en lùi même est un lieu de désertification. A cet effet le document ne renseimneen rien sur la couverture spatiale, la densité, le nombre et les modalités de gestion. * -'~Biodiversité

En matière de biodiversité, le document ne fait aucunement cas de la riche biologie de la zone. La faune n'a pas disparu comme mentionnée. Il y a des gazelles, des tortues, des outardes, etc... dans la Wilaya de Guidimakha, Gorgol, Trarza. Tenir compté-de la

diversité de faune, flore, avifaune. r.

En matière de pêche continentale, le ministère de la pêche et de l'économie maritime et en particulier les directions spécialisées doivent être contactées pour les normes et bases de données.

D'autre part l'aspect participation des populaire aux activités piscicoles a été négligé. - --

Santé humaine

Les services spécialisés du ministère de la santé n'on, pas été contacté pour d'une part les normes appropriées et d'autre part les normes préventives et curatives à développeret vulgriser dans la zone.

ForTmation

Le document doit prendre en compte la consolidation et le renforcement des capacités nationales. en matière d'appréhensions le suivi-évaluation ides problèmes evironnementaux.

SALINSATION DES SOLS

Le document n'a pas donné des précisions sur les superficies et le degr ce salification du Trarza et du Brakna. REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE MAURITANIE

PROGRAMMIEDE DEVELOPPEMENT DE L'AGRICULTURE IRAIGUEE EN MAURITANIE (PDIAIM) (composante Banque mondiale)

MISSION FAO/CP D'APPUI A LA FINALISATION DE LA PREPARATION (mai 1998)

Aide-mémoire i. Une mission de la FAO (Centre d'Investissement), composée de MM. A. Soumaila (chef de mission, FAOiCP), F. Gadelle (ingénieur d'irrigation. IPTRID/Banque mondiale), N. Gergely, (économiste, consultant), O. Roussel (agronome, consultant), R. Bensaid (spécialiste des institutions rurales, consultant), A. Soukehal (zootechnicien, consultant) et JM. Voisard (spécialiste en exportations de produits horticoles, consultant de la Banque inondiale) a séjourné en Mauritanie du 4 au 31I mai 1998. à la demande du Gouvernement et de la Banque mondiale, pour un appui à la finalisation de la préparation du Programme de développement de l'agriculture irriguée en Mauritanie (PDIAIMI,composante Banque mondiale). La mission a bénéficié de la contribution d'une équipe ad-hoc dans la formulation du volet recherche/développement (irrigation et drainage)l. Elle a travaillé en étroite colLaboration avec une équipe de cadres de haut niveau mise en place par le Gouvernement; cette équipe était dirigée par M. Ahmed Youra Ould Imame, Coordonnateur du PDIAIM.

. ^ANouakchott, la mission a eu des entretiens avec les responsables des Directions centrales et établissements publics sous tutelle du Ministère du Déveioppement Rural et de l'Environnement (MDRE), en particulier la Direction du développement des ressources agro- pastorale (DRAP), la Direction de la recherche, la formation et la vulgarisation (DRFV) qui exécute le Projet des services agricoles (PSA) appuyé par la Banque mondiale, la Direction de l'environnement et de l'aménagement rural (DEAR), la Société nationale pour le développement rural (SONADER), le Centre National de recherche agronomique de développement agricole (CNRADA), le Centre national d'études et de recherche vétérinaire (CNERV).. Elle a par ailleurs rencontré des responsables de l'Administration de l'Hydraulique, des Travaux Publics, du Commerce, de l'Intérieur/Postes/Télécommunications sur différentes questions liées au PDIAIM, ainsi qu'avec l'Union nationale des coopératives agricoles de crédit et d'épargne de Mauritanie (UNCACEM). La mission a rencontré les responsables des principaux bailleurs de fonds de la Mauritanie dans le secteur rural présents à Nouakchott (Banque mondiale, Mission française de Coopération, Agence française de développement, Union européenne, FAO). Elle a été reçue par Monsieur le Ministre du Développement Rural et de l'Environnement. La mission a effectué des visites de terrain dans les Willaya du Trarza, du Brakna, et du Gorgol, et rencontré les responsables régionaux de la SONADER, des responsables de projets, d'organisations paysannes (OP) et des exploitants individuels.

3. A l'issue de son séjour en Mauritanie, la mission et l'équipe mauritanienne ont établi le cadre logique détaillé du programme, rédigé et adopté les documents de travail conformes au cadre logique et nécessaires au montage du rapport de préparation. Une réunion de synthèse a eu

A. Savatier,hydraulicien, spécialiste en pompesd'irrigation, JC. LozoyaSanchez, spécialiste en drainage,E. Perry,spécialiste en technologiesmanuelles à faiblecoût, K. Lonsway,spécialiste en techniquesd'irrigation. et R. Hoevers,spécialiste en entretiendes réseaux.

A:\A[DMEMAU.DOC 5s [/98 lieu le 31 mai 1998 sous la présidence du Coordonnateur du PDIAIM. Le présent aide-mémoire rassemble les conclusions et recommandations préliminaires de la mission qui tient à remercier les responsables de l'Administration du IDRE et des autres départements ministériels et institutions pour l'appui qui lui a été apporté. Elle remercie le Coordonnateur d- la préparation du. PDIAIM pour l'organisation matérielle des travaux de la mission.

Préambule

4. La situation climatique particulière de la Mauritanie qui se caractérise par une forte aridité l'a conduit à metre l'accent sur le développement de l'agriculture irriguée depuis une vingtaine d'années. pour Caire face aux besoins alimentaires croissants. En dépit d'efforts d'investissement importants consentis par l'Etat et le secteur privé, les résultats enregistrés demeurent mitigés. comme le montrent la faiblesse des rendements agricoles et les taux de mise en valeur des terres amrnapées. Pour améliorer les performances de l'irrigation et assurer sa pleine intégration aux autres composantes du développement rural, le Gouvemement a décidé en 1993 de lancer le processus de forrmulation du PDIAIM, avec l'appui de ses partenaires tinanciers.

5. Afin de mieux garantir la cohérence des interventions en milieu rural et pour mieux cadrer le PDIAIs.l le pays s'est doté d'un document de politique et de stratégie pour le développement du secteur rural (Horizon 2010), présenté au Groupe consultatif de Paris fin Mars 1998. Dans le cadre de son appui apporté au Gouvernement pour la formulation du PDIAIM, la Banque mondiale a effectué une mission en février et mars 1998 sanctionnée par un aide- mémoire résumant l'objectif et les composantes du PDIAIM, qui sont repris et explicités dans le présent document. Pour le montage du PDIAIM, la Banque mondiale a proposé une conception de type "Prêt pour programme ajustable" (APL); ce nouvel instrument de prêt permet d'envisager le programme en plusieurs phases couvrant une période totale de 10 ans. L'engagement de la Banque mondiale aux côtés de la Mauritanie sur les objectifs globaux du programme s'inscrirait ainsi dans le long terme. Selon le systéme APL, seule la première phase sera détaillée en termes d'activités et de coûts; les phases subséquentes seront décrites dans leurs grandes lignes (coût et contenu), avec l'identification de critères de passage d'une phase à l'autre (triggers).

Approche du programme

6. Le bilarn de l'expérience mauritanienne en matière de développement rural montre toute l'importance à accorder à une implication significative et responsable des bénéficiaires dans le processus d'identification et de mise en oeuvre d'actions de développement qui se veulent efficaces et durables. Dans le secteur collectif, l'on note que la faible performance des cultures irriguées, en particulier la dégradation rapide des infrastructures et équipements, s'explique en gralide partie par le rôle mineur joué par les Organisations socioprofessionnelles (OSP) dans la conception, la mise en place et la gestion des investissements. Pour remédier à ces lacunes, le, PDIAIM aura une approche "ascendante" réservant aux bénéficiaires un rôle décisif tout au long du processus. L'appui pour une amélioration significative des capacités de gestion et d'organisation des OSP sera, dans ce sens, un axe essentiel de stratégie du programme. Une attention particulière sera accordée au caractère intégré des activités rurales au niveau de l'exploitation. Pour le secteur indivuduel intervenant dans le sous-secteur de l'irrigation, il s'agira pour l'essentiel de soutenir et de renforcer les initiatives en répondant avec efficacité à la demande qui s'exprimera.

2 7. Le second élément de l'approche du programnme,lié au concept ênèmede I'APL. porte sur la flexibilite. D'une phase à l'autre. les ajustements nécessaires seront apportés à la stratégie de mise en oeuvre du programme dans ses différents volets d'action. Le système de suivi et d'évaluation qui sera mis en place dans le cadre du programme devrait taciliter ces ajustements à temps, en impliquant pleinement les parties prenantes dont les bénéficiaires en premier lieu.

Objectifs du Programme

8. Partant des contraintes qui pèsent sur le développement de l'agriculture irriguée et du rôle qu'elle est amenée à jouer dans la dynamisation de l'économie nationale et du secteur rural en particulier, l'objectif assigné au PDIAIM dans sa globalité par le Gouvernement mauritanien porte sur l'accroissement durable de la valeur ajoutée agricole et des revenus en milieu rural, l'amélioration de la securité alimentaire et la réduction de la pauvreté; l'objectif spécifique visé par la composante Banque mondiale du PD[AIM est d'augmenter durablement la production agricole dans le cadre d'une gestion intégrée et pérenne des ressources naturelles.

Description du programme

9. La composante Banque mondiale du PDIAIM qui s'étalera sur une période de dix ans, couvrira l'ensemble de la rive droite de la vallée. Le programme se déroulera en trois phases (3 ans - 4 ans - 3 ans) et sera conçu conformément à la méthodologie APL. Les composantes du programme qui ont été déterminées lors de la mission de février 1998 de la Banque mondiale et explicitées à travers les documents de travail élaborés au cours de la présente mission, portent sur: (a) les catégories d investissements à mettre en place; (b) les appuis à développer en faveur des producteurs: (c) l'amélioration et le développement des filières; (d) les questions environnementales; et (e) un certain nombre d'actions d'accompagnement (renforcement institutionnel, crédit. foncier ...).

10. (a) Composante Investissements. Les actions envisagées au titre de cette composante porteront sur: (i) les investissements structurants (ponts, pistes de désenclavement, études de schéma directeur ...) qui visent une viabilisation de l'espace pour améliorer les conditions d'exploitation des aménagements agricoles; (ii) la réhabilitation du périmètres irrigués rizicoles collectifs i (4500 ha) et individuels (4500 ha), pour améliorer les performances techniques et les coùts d'exploitation, ainsi que la création de périmètres de diversification agricole (2000 ha); et (iii) la construction d'infrastructures socio-collectives (puits, forages, magasins de stockage,...). Les investissements structurants, qui par nature représentent des actions d'aménagement de l'espace, seront financés par le programme. Les réhabilitations d'exploitation irrigués collectives (à concurrence de 60 ha) seront financées par les OSP qui bénéficieront de crédit d'investissement et d'une aide incitatrice qui tiendra compte de la capacité contributive potentielle des paysans et de leurs contraintes d'autoconsommation ( les superficies unitaires familiales seront de l'ordre de 0,5 ha après réhabilitation). Les périmètres individuels bénéficieront de crédit et d'aide financière de l'Etat à concurrence de 60 ha. Le crédit d'investissement sera géré par î'UNCACEM (à qui pourraient être rétrocédées les lignes de crédit) et l'aide financière de l'Etat par un comité de gestion de l'aide incitatrice (CGAl).Au stade actuel de l'analyse, l'ordre de grandeur de cette aide serait de 50% pour les périmètres collectifs et 35% pour les individuels. Chacun de ces mécanismes de financement sera mis en oeuvre selon des procédures particulières mais coordonnées.

Il s'agit de périmètresregroupant de petitsproducteurs qui exploitentchacun sa propreparcelle.

3 il. (b) Composante Appui aux producteurs. L'appui aux producteurs couvrira trois aspects: (1) le r!netorcernent des organisations socioprofessionnelles (OSP) leur permettant d'acquérir des capacités de gestion et d'organisation indispensables à une appropriation effective des actions de développement (crédit, approvisionnement en intrants, productio7:, gestion d'exploitation, commercialisation); (ii) l'appui technique qui portera sur le montage e dossiers d'investissement (réhabilitation, création de périmètres de diversification) et la gestik- -echnique des exploitations (gestion de l'eau, maintenance, itinéraires techniques d'amélic- ;ion et de diversification), et iii) lu rccherche/développement pour répondre aux problemes -au pompage (nécessité de réduire les coûts par une optimisation technique et économique der. :quipements d'exhaure dans le contexte de l'aprés-barrages"), d'innovation en techniques d'irrigation (étude des conditions d'utilisationi dc techniques d'irri-ation sous-pression, expérimentation et vulgarisation des paramètres de calcul des investissements), et du drainage (investigations de complément aux actions de recherche menées dans la sous-région en particulier pour préciser la liaison salinitéialcalinité au niveau des différentes zones du programme, expérimentation en vraie grandeur et vulgarisation de procédés appropriés de drainage).

12. Le financement des activités d'appui aux producteurs pourrait être assuré pendant la première phase du prozramme par le Projet des Services agricoles en cours d'exécution et financé par la Banque mondiale. Les actions de consolidation des OSP toucheraient à terme 500 OSP environ. La nécessité d'aider la grande partie des OSP à redevenir éligibles au crédit recommande un démarrage imméidiatde la mise en oeuvre de cette sous-composante.

13. (c) Amiélioration et développement des filières. Il s'agira en premier lieu d'améliorer la compétitivité de lafilière rizicole qui concerne la grande majorité des agriculteurs de la vallée, par la correction des distorsions générées, entre autres, par le système de commercialisation en vigueur (absence d'incitation à produire un riz de qualité répondant aux goûts des consommateurs. déresponsabilisation des opérateurs au niveau des coûts de commercialisation, difficulté pour les producteurs de Foum Gleita et du Haut fleuve à s'intégrer au système), la promotion du riz de qualité, le financement de la commercialisation groupée intéressant les petits producteurs. le financement d'équipements de stockage et de transformation, la mise en place d'un système performant d'information sur les prix et marchés rizicoles (SIM), et la promotion de la professionnalisation progressive de la filière. Le programme financera la mise en place et le fonctionnement du SIM, appuiera la professionnalisation de la filière. Les équipemnts seront financés par apport personnel des bénéficiaires, crédit, et, dans certains cas (magasins), aide incitatrice.

14. Le programme aidera au développement de nouvelles filières (horticulture, production laitière, sylviculture) pour tenter de saisir les opportunités d'écoulement local et d'exportation; la diversification perrnettra d'accroître de manière significative la valeur ajoutée et les revenus, et d'améliorer la nutrition des populations. Pour répondre aux besoins du marché (intérieur et extérieur) en produits horticoles, les actions porteront en première phase sur des études préliminaires de marché, des tests d'introduction de variétés adaptées et appréciées, des tests commerciaux, la vulgarisation de techniques de productions et de conditionnement, la promotion de technologies de transformation, ainsi que sur les problèmes de logistique et de réglementation (marché à l'export). Les coûts liés au programme de tests et de vulgarisation seront pris en charge par le PDIAIM.

15. En phases 2 et 3 du programme le développement de la diversification se fera sur initiative privée en prenant appui sur les résultats techniques, éconmiques et pré-commerciaux de la phase i. A ce niveau le programme pourrait apporter un concours financier sous formnede crédit et éventuellement de'subvention. Une opération pilote sera conduite à court terme et

4 concernera le melon. la papaye, le gombo, le fruit de la passion et les fourrag,es(tests variétaux et d'investigations pré-commerciales pour l'exportation).

16. La Jitère laitière offre également un potentiel important de développement pour réduire les importations. Des tests variétaux pour la production fourragère de qualité nécessaire seront privilégiés et mis en oeuvre pendant la première phase du programme; ces actions qui feront appel à des techniques novatrices d'irrigation (I 00 ha) seront conduites avec des opérateurs privés. La vulgarisation des techniques de prodction laitière suivra la phase-test et pourrait générer un développement de fourrages sur 900 ha au cours des phases 2 et 3 du PDIAIM. Le programme couvrira le tinancement des intrants nécessaires (semences fourragères), ainsi que l'appui tehnique requis (encadrement et analyses diverses à conduire en laboratoires) à la conduites des tests.

17. D'autres opportunités régionales (exportations de viandes rouges vers les pays du Maghreb) devraient ètre étudiées en première phase.

18. (d) Composante environnementale. Les interventions envisageables pour améliorer et développer l'irrigation dans la vallée vont générer très peu cl'effets négatifs sur l'environnement. qui viendront s'ajouter à ceux déjà créés par les ouvrages de l'OMVS (bilharziose intestinale autour de Diama). L'étude d'impact environnemental réalisée en avril demier analvse ces effets dans le cadre global du PDIAIM, propose des mesures d'atténuation chiffrées pour l'ensemble, et précise celles qui pourraient être imputables à la composante Banque Mondiale. Du point de vue des normes de la Banque. seuls les ouvrages structurants appartieninent à la catégorie A. A ce titre. il est recommandé d'éliborer des plans d'occupation des sols avant la réalisation des ouvrages et des procédures de gestion des oLIvrages.Pour les actions de viabilisation des périmètres irrigués, il est recommandé de mettre en place des points d'eau potable, et d'élaborer des guides de bonne pratique environnementale pour la conception, la mise en oeuvre et la gestion des investissements. Ces différentes actions seront financées par le programme. D'autres actions environnementales telles que le reboisement et l'aménagement des forêts, demandant la participation des bénéficiaires, seront partiellement financées à travers un concours financier au Fonds national pour l'environnement en cours de création.

Mesures d'accompagnement.

19. Appui institutionnel au MDRE. Les faiblesses relevées au niveau du MDRE sont nombreuses et portent en particulier sur ses capaciés de planification et de contrôle interne, le système de collecte et de traitement des statistiques agricoles, les moyens logistiques, ainsi que la gestion de la documentation. Ces insuffisances majeures de base pourraient être corrigées sans attendre l'aboutissement de la réflexion en cours sur la restructurationdu MDRE. Le programme devrait apporter son concours au renforcement du MDRE, en finançant prioritairement des actions de formation, de renforcement du contrôle interne, des équipements informatiques, et des infrastructures de documentation. La mise en place d'un fonds d'études devrait être envisagée par ailleurs pour soutenir les initiatives du Département dans les domaines de l'analyse de problèmes spécifiques (études prospectives...) et de promotion de l'initiative privée (études techniques).

20. La SONADER jouera un rôle de premier plan dans la mise oeuvre du PDIAIM, conformément à son mandat. A ce titre, elle assurera la maîtrise d'oeuvre de l'appui aux OSP (renforcement des capacités de gestion et d'organisation, appui technique, et parrainage dans la procédure des réhabilitations). Compte tenu de ses contraintes de capacité dans le domaine de la formation, la SONADER privilégiera le développement du partenariat avec des ONG

5 spécialisées. Elle exercera les fonctions de mairrise d'ouvrage pour le compte de l'Etat pour les ouvrages structurants. Au terme de la dévolution de ces ouvrages aux associations d'uagers qui aura lieu pendant la première phase du programme, la SONADER veillera au respect des engagements contractuels relatifs à la gestion et à l'entretien.

21. Pour la SONADER. les actions d'appui porteront sur des for!-. -ions de perfectionnement au profit de certaines catégories de cadres. en particulier dans les di uines des études techniques d'aménagement, et de la méthodologie de formation des OSP.

22. Crédit. Les activités de crédit seront financées par l'UNCACE.vl, qui Ebne1éficierade lignes de crédit qui lui seraient rétrocédées dans le cadre du PDIAIM. dans 'a mesure où ses ressources actuelles sont insuffisantes. Ces nouveaux concours s'inscriront dans le cadre d'une stratégie de développement élaborée par l'UJNCACEMet approuvée par le Gouvernement, visant à atteindre à court terme la viabilité financière (grâce notament à une politique adaptée de taux d'intérêt), à diversifier ses concours, à developper ses activités en direction des coopératives de petits producteurs. e: à accroitre son autonomie financière par recours progressif à l' pargne et aux ressources commrrerciales.Trois types de crédit sont envisagés:

- des crédits long terme: pour le financement du coût de réalisation à la charge des expioitants en ce qui concerne: (a) les réhabilitations, extensions (pour les périmètres collectifs) et créations de nouveaux périmètres pour les cultures de diversification: (b) la construction de magzasinsde stockage par les coopératives et GIE

- des crédits moven ternie:(a) pour l'équipementen matérield'irrigationi (motopoinpes, nouvelles techniques d'irrigation) des exploitations réhabilitées ou des exploitations travaillant sur des cultures de diversification; (b) pour l'équipement en matériel agricole des exploitations rizicoles et divesifiées (tracteurs, cultures attelée, batteuses); (c) pour les équiprements post-récolte ( équipements de stockage spécialisé, transformation, conditionnement) aussi bien pour la filière rizicole que pour les filières de diversification, une fois testée la viabilité technique et économique de ces dernières.

- un concours à l'UNCACEM pour le financement des besoins additionnels en crédits court terme (financement des campagnes de production et de commercialisation, y compris pour les cultures de diversification) devrait aussi être envisagé étant donné que les ressources actuelles de cette institution sont insuffisantes.

23. L'UNCAt-Ehl élaborera pour les nouveaux types de crédit des manuels de procédures définissant de façon précise les conditions d'éligibilité et d'octroi, ainsi que les dossiers types à présenter. Chaque dossier de financement devra être justifié par une estimation de sa rentabilité économique et financière. Le projet fournira en outre un appui institutionel à l'UNCACEM- (fornation, appui technique) pour le développementde ses nouveaux produits. La définition de l'appui nécessaire et des procédures de prêt se fera en concertation avec les autres bailleurs de fonds de l'institution.

24. Foncier. La régularisation foncière constitue un élément préalable essentiel à la mise en oeuvre des mécanismes d'appui à la réhabilitation des exploitations existantes et à l'aménagement de nouveaux périmètres. Le processus est très avancé sur le Trarza depuis 1994, où près de 16 000 ha ont été traités. Il se poursuit de manière satisfaisante dans les zones de la Moyenne et Haute vallée.

6 25. Afin de permettre la réalisation des aménagements structurants dans le Koundi, l'élaboration des plans d'occupation des sois sera nécessaire. Un appel d'offres sera lancé très bientôt sur tinancement de l'Union européenne.

Organisation et gestion du programme

26. La mise en oeuvre du PDIAIM ne donnera pas lieu à la mise en place d'une structure de projet. Elle se fera à travers les structures compétentes existantes dans les secteurs public et privé. Le MDRE assurera la maîtrise d'oeuvre globale du programme, à travers une structure légère de coordination (Coordination du PDIAIM). Cette unité assumera les tâches de programmation, de coordination et de supervision des activités du programme, ainsi que la gestion des movens du programme, en particulier i'initiation et la gestion des contrats de prestation de services des différents structures chargées de mettre en oeuvre les composantes du programme. Pour assurer une cohérence d'ensemble au PDIAIM, les instances suivantes ont été envisagées:

(a) un Comité interministériel d'orientation et de suivi (CIMOS) pour orienter, impulser, suivre et infléchir en cas de nécessité; le CIMOS sera présidé par le Ministre du Développement rural et de l'Environnement par délégation du Premier Ministre; il comprendra les Chefs des principaux Départements ministériels concernés ainsi que la Banque centrale de Mauritanie;

(b) un Comité technique interministériel (CTI) chargé de préparer les réunions du CIMOS; le CTI comprendra des responsables des structures siégeant au CIMOS. Présidé par le Coordonnateur du PDIAIM. le CTI est chargé d'une mission de concertation avec les bailleurs de fonds et les OSP du secteur agricole;

(c) un Comité (M,[DRE) de pilotage du programme (CP/MDRE) chargé d'étudier et d'approuver les programmes annuels de travail et les budget correspondants, ainsi que les rapports d'activité préparés par la Coordination du PDIAIM; il propose au CIT/CIMOS les mesures nécessaires à la bonne marche du programme. Le comité de pilotage sera présidé par le Coordonnateur du PDIAIIMet comprendra les responsables des Directions centrales du MDRE et des Centres de recherche, la SONADER, I'UNCACEM, ainsi qu'un représentant de la Fédération des agriculteurs et éleveurs de Mauritanie;

(d) Des Comités régionaux de suivi du programme (CRSP). Comités consultatifs en matière de sensibilisation et d'exécution , ils seront présidés par le Wali et comprendront les représentants des administrations régionales et départementales concemées et des OSP.

27. Programme spécial de sécurité alimentaire (PSSA). Le PSSA est un programme lancé par le Gouvernement appuyé par la FAO depuis trois ans; un volet important de coopération sud-sud avec la République populaire de Chine sera mis en oeuvre, perrnettant à la Mauritanie de disposer d'une cinquantaine de cadres et techniciens hautement qualifiés clans les domaines de l'irrigation et de la maîtrise de l'eau, l'inténsification et la diversification des cultures, et le développement du petit élevage; cette opportunité constituera une capacité d'appui qui devrait s'intégrer dans le dispositif général d'appui technique du PDIAIM.

28. Suivi et évaluation du programme. L'approche APL, qui comporte une évaluation rigoureuse du programme phase par phase (critères de passage), nécessite la mise en place d'un système efficace de suivi et évaluation. Ce système sera conçu et mis en oeuvre de façon participative avec les bénéficiaires.

7 Coût du programme

29. Le coût indicatit du programme est de 63 millions SUS environ contformément a tableau suivant (en millions SUS):

Composante APL 1 APL 2 APL 3 TOTAL (3 ans) (4 ans) (3 ans) 1. Investissements 8 14,3 9,5 31,' * réhabilitation.extension 5,5 7,8 5,4 18, * équipements 1,3 2,9 2,8 * structurants 1,I 3,5 1,3 * formation 0,1 0,1 0,:

2. Appui aux producteurs 4 5 3 1 • OSP/appui technique 3 4 3 I * recherche-développement l I 0 3. Amélioration et 4 3 3 1 développement des filières 4. Gestion et appui institutionnel 1,5 2 1,5 ;. Environnement 0,7 1,5 2 4,2 TOTAL 18,2 25,8 19 62

Plan d'action et suite à dlonner

30. Avant la mission d'évaluation du PDIAIM que la Banque mondiale envisage d'effectuer en septembre 1998, les tâches à accomplir sous la responsabilité de i'UClPDAIM son: résumées dans le tableau ci-après:

Tâches Echeance Structure | compétente Appui technique et financier à la réhabilitation des périmètres 1. Elaboration des normes techniques pour l'aménagement 15 juin 1998 SONADER des périmètres non rizicoles 2. Actualisation des coûts de réhabilitation et d'extension 15juin 1998 SONADER des exploitations 3. Décision du Gouvernement sur les modalités de gestion fin juin 1998 UCP de l'aide incitatrice 4. Elaborer un barème des coûts unitaires de réhabilitation fin juin 1998 SONADER et d'extension z. Elaboration d'un dossier-type de demande de crédit et fin juin UCP- d'aide incitatrice UNCACEM Infrastructures hors exploitation 1. Relancer l'appel d'offres de l'étude des aménagements immédiat SONADER structurants -de la vallée du Goriol 2. Lancer la consultation pour l'étude des ouvrages de la immédiat SONADER

8 route Kaédl-v`'bout 3. Passer le marché de l'étude des investissements collectir's immédiat SONADER I (puits) à réaiiser dans les zoanesde Gani-Dar El Barka et la vallée du Gorgol Appui à la consolidation des OSP l 1. Analyse de la loi sur la coopération et de ses textes août 1998 DRAP- d'application et proposition d'amendement en concertation SONADER avec les producteurs l Amélioration de la commercialisation et de la transformation du paddv l 1. Mise en place de normes de qualité du riz juin 1998 UCP Crédit I I 1. Préparation du dossier permettant l'évaluation de f-injuin 1998 UNCACEvlM l'UNCACEMI __ I 2. Préparation d'un manuel de procédures pour les iin juin 1998 UNCACENI nouveaux produiLs |_ __

Question en suspens

*1. L'évaluation financiére du programme de réhabilitation/consolidation a été faite par la mission sur la base d'un objectif de 3000 ha pour la phase (APL 1). La partie mauritanienne a jugé insuffisant un tel objectit'. Pour atteindre le taux de croissance moyen de 72%Osur la période 1998-2001 programmé par le Gouvernement, taux nécessaire pour atteindre les objectifs de lutte contre la pauvrete . et compte tenu de la contribution attendue du secteur rural, il est opportun de retenir pour la prerniére phase de l'APL un objectif de réhabilitation de 6000 ha. La mise en place du dispositif technique et organisationnel approprié sera de ce fait la priorité du Gouvernement. Cette question sera discuté avec la Banque mondiale lors de la mission de pi'é-évaluation prévue en juin 1998.

9 à ANNEXE 8.2.

PV de réunion - Comité de Suivi Environnemental du PDAIALM- 23/07/1998

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Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnemernale du PDLIIM - -

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, PROCES VERBAL DE REUNION

L'an mil neuf cent quatre vingt dix huit; le Jeudi 23 Juillet s'est tenue une réunion du Comitéde Pilotagede l'étude d'Impact Environnementaldu PDIAIM/VoletIDA.

Etaientprésents:

AhmedYoura ould Imame C. Mission/MDRE- Dir UC/PDIAIM

MohamedYahya ould Mohamed Mahmoud DG/SONADER

Paul Giniès CT/MDRE

Guisset AlassaneChenf CTDAGEISONADER

MohamedAly ould Cheikh Ahmed CSE/SONADER

Beddouould Saleck SONADER

Salah Dine DEAR

Diallo AhmedYahya Gt AGRER/SERADE

L'ordre du jour de la réunion a porté sur deux points:

- Finalisationdu documentde remarques et observations de l'Administrationsur le rapport provisoire de l'EIE du PDIAIM.

- Préparatio de la consultationpublique prévue dans le cadre de cette étude, et examen des documents préparéspar le consultantà cet effet.

Les décisios ci-aprés ont été prises à l'issue de la réunion.

Point L Ravnort Drovisoire de l'étude

Il a été décidé que les remarques et observationsde tous les membres du Comitéde Pilotage doivent parvoeir à la SONADER, au plus tard le Mardi 28 Juillet 1998. Sur la base de ces obervations,la SONADER fera une synthèse et préparera le projet du document à adresser au consultant, au plus tard de Jeudi 30 Juillet. EFnfin,ce document sera analysé et finalisé le Samedi l' Août, au cours d'une réunion qui se tiendra dans les locaux de l'UCP et qui regroupera le Directeur de l'UCP et la SONADER Le documentfinal sera adressé le même jour au consultant, avec ampliationaux memnbres du Comité de Pilotage. Point Il. Consultation publigue

11.1. Méthodologie d'organisation de la consultation

Il a été retenu le pnncipe de réaliser cette consultation,en 3 étapes

1v étape:

Réunion préparatoire à Rosso puis à Kaédi regroupant les services de l'Etat (Autorités Administrati%es et ServicesTechniques) en vue d'une harnonisation des positions.

2' étape:

Réunion à Rosso puis a Kaédi, élargie aux participants potentiels (cf. Annexe) en vue d'expLiquer l'objet de l'atelier (consultation publique), ses contours, les modalités de sa tenue et remettre les documents de support a la consultationpublique; ceci dans le but d'assurer une large diffusion par les participants,des thèmes a développerau cours de l'atelier.

3' étape:

Tenue des ateliers a Rosso puis à Kaeédi

Les Participants aux reuruons préparatoires auront à exprimer les différents avis qu'ils auront pu collecter auprés des populations et usagers qu'ils auront contactés.

Il 2 Support didactique « NOTE DE SYNTHESE »

S'agissant du document note de synthèse» proposé par le consultant pour servir de support à la consultation publique, le Comntede suivi demandequ'il soit finalisé en tenant compte des observationis ci-aprés:

* faire un paragraphe introductif au début de la note de synthèse pour expliquer le but de la consultationpublique et les résultats attendus.

* alléger la note de synthèse en simplifiant certains ternes utilisés afin de la rendre facilement compréhensible,exemples: monitoring,screening

• prendre en compte l'aide mémoirede la Banquede Mai 98 et supprimer certains projets qu'elle ne finance plus; cela concernera aussi le rapport de l'étude,

* supprimer le paragraphe 3 et 4 «environnementsocio-culturel » de la note,

• vérifier qu'au niveau des directives de la Banque, il n'existe pas de critères d'évaluation auxquels doit obéir une telle consultation publique. Enfn, il a été décidé que Monsieur Guisset de la SONADER et Monsieur Diallo représentant le Groupement de consultants, proposent au comité de suivi, le planning de la consultationpublique prenant en compte en particulier les contraintes liées à l'évaluation du projet ainsi qu'aux délais de l'étude.

Fait à Nouakchott, le 28 17/98

Pour l'UCIPDIAIM

AHMEDYOURA OULrDIMAME

Pour la SONADER

MOHAMEDYAHYA OULD MOHAMED MAHMOUD

SALAH DINE

Pour le CONSULTANT

DIALLO AHMED YAHYA ', / ANNEXE

PV réunion Comité de Suivi EIE du PDL41M 23/7198

PARTICIPANTSPOTENTIELS IDENTiIFES POUR LA CONSULTATION PUJBLIQUE (En plus des Autorntes administratives locales, des membres du Comité de Pilotge et des services techniques régionaux)

. Elus locaux (Députes. Sénateurs, Maires)

. Représentants des organisations Socioprofessionnelles * Féclération Agriculteurs * Féclération Eleveurs * AGETA (ROSSO) * Président Association Usagers Bassins hydrauliques * Président Union Zonale et Coopératives . ONG (Agnculture, Elevage, Environnement) • Personnes ressources i leaders d'opmnions (à identifier en liaison avec Autorités Administratives)

rSFRVICES TECHNIQUES REGIONAUX

* Délégation MDRE (K. et R.) - DR/SONADER (K. et R.) * DRASS (K et R) , Travaux Publics (K et R) . HYDRAULIQUE (K et R) * CNRADA (K.) * ENFVA (Kaédi)

K = Kaédi R = Rosso ANNEXE 8.3.

PV du séminaire n° 2 - Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM - 15/0311998

Rapporifinal - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDLIIM

Procès verbal de réunion du Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM relatif à l'Etude d'Evaluation Environnemental du PDIAIM

Sérninaire n°2: Dimanche, 15 mars 1998

Présents:

Baba Ould Bometss Cellule de Planification/MDRE- Président de séance Mohamed Ould Babetta DG SONADER (à I 'ouverture de la réunion) Ournar Fail Directeur DEAR/MDRE Guisset Alassane Cherif CT/DG SONADER Ngaïdé Amadou Moussa DET/SONADER Beddou Ould Salek cadre DET/SONADER Cheïkna Ould Mbaré DEAR/SPN Eric Tilman Chef de Mission/AGRER DialloAhmed Yahya Expert Hydrologue/SERADE François Dugauquier Expert institutions/AGRER Georges Libois Expert économiste/AGRER

Ordre du Jour: - présentation des travaux de terrain réalisés par le Consultant (S.A. AGRER) et ébauche du plan d'atténuation (sur base d'un document : "Aide Mémoire" remis en séance et annexé au présent rapport)

Compte rendu de la réunion:

1. Mr Baba Ould Bomeiss, Président de la séance, ouvre celle-ci et demande au Consultant de présenter l'état de ses travaux. 2. Le'Consultant, Chef de Mission du Consultant, présentele contenu de l'aide mémoire, qui passe en revue les impacts environnementaux analysés., les contraintes observées et les 4 volets du plan datténuation proposé.

3. Mr Guisset explique que lors de la sous-commission 7 environnement. [e groupe a insisté sur les aspects salinité et santé. Il ajoute également que le dossier provisoire des études sera déposé par le Consultant aux alentours du 15 avril.

4. Mr Bomeiss propose alors un tour de table sur le contenu de 1' aide mémoire présenté par le Consultant.

5. Mr Guisset insiste sur le volet III - normes et recommandations. Pour lui, l'utilisation de techniques de communication est un élément essentiel. Il propose que l'élaboration de ce volet, le code de l'eau soit réévaluer.

6. Mr N'Gaïdé voudrait être inforrné du contenu des discussions entre le Consultant et la Banque.

7. Le Consultant souligne également que, conformément à la demande émise lors du séminaire n° I, le Consultant a eu des entretiens avec la Mission Banque Mondiale (BM) (Mrs Oka, Kini et Gadelle). Au cours de ces entretiens, la logique d'intervention et les lignes maîtresse du plan d'atténuation ont été présentées. Il semble que globalement, les propositions faites par le Consultant recoupent les préoccupations et répondent aux attentes de la BM.

Une discussion sur l'évaluation économique des impacts a eu lieu. Cette discussion a permis de préciser les limites de cette évaluation compte tenu des indicateurs disponibles.

-valuaLionEnvîronnementaie PDIAIM PV séminaire n2 3'1698 page I Le Consultant a également été informé de la suppression des plaines de M'Bagne et Dirol du prograrrune de financementde la BM.

8, 8. Mr Guisset lit une note de Mr Kini (BM) indiquant que les évaluations environnementales du schéma hydraulique du Gorgol (études devant démarrer prochainement) doivent être reportées à la fin des études de celui-ci. Il demande néanmoins au Consultant quel sera le niveau des évaluations environnementales des interventions dans le Gorgol.

9. Le Consultant précise qu'un screening général des impacts environnementaux peut être listé pour le Gorgol mais insiste sur le fait qu'aucune évaluation environnementale précise avec un plan d'atténuation détaillé n'est possible sans avoir les études. Il rappelle que les seuls documents en posession du consultant sont les Termes de référence de I 'étude schéma hydraulique.

10. Mr Salek demande au Consultant s'il peut faire une évaluation environnementale des systèmes de protection du périmètre de Foum Gleita.

Il. Le Consultant indique que d'une part ces travaux ne font pas partie à sa connaissance du financement Banque Mondiale du PDIAIM et que d'autre part aucun document n'a été remis sur le sujet. L'étude de terrain touchant à sa fin, il n'est plus possible à présent au Consultant d'intégrer de nouveaux documents de projet. Le Consultant rappelle toutefois que confonnément à l'engagement pris lors du sémninaire n°l, les études environnementales exploiteront au maximum les documents mis à disposition de la rnission, dont les documents relatifs à Koundi I à V (reçus le 3 mars en version provisoire).

12. Mr Bomeiss demande à la SONADER de fournir néanmoins tout document disponible au Consultant avant son départ de Mauritanie(le 16 mars au soir).

13. Mr Salek exprime ensuite les difficultés de mise en oeuvre institutionnelle du volet 111 (normes et recommandations) et aussi du volet I (observatoire de l'environnement). Il apprécie la proposition du volet Il (POS), pour autant que la cartographie soit inis à disposition au niveau communal.

14. Mr Mbaré regrette que l'aide-mémoire ne mentionne pas les problèmes d'ensablement qui ntquent de compromettre les investissements, l'utilisation de la forêt à des fins productives, et le manque de détail sur l'analyse de la biodiversité (ressources halieutiques et faunes).

15. Le Consultant indique qu'il s'agit d'un aide-mémoire très résumé, mais que tous ces éléments seront repris dans les études. Il souligne que l'ensablement n'est pas un impact globalement imputable au PDIA[M, mais que ce point sera néanmoins mentionné et analysé dans les études.

16. Mr Fali émét plusieurs remarques sur l'aide-mémoire: - il souligne qu'il y a des indicateurs et attend que le consultant les exploite - il insiste sur [e thème de l'ensablement, la présence des adventices - faut-il en faire du charbon de bois ou la détruire pour sauvegarder la biodiversité-, et le curage des canaux - il précise que la BDD et SIG suivi du secteur irrigué ne doit pas nécessairement être installé à la SONADER et demande au Consultant de ne pas prendre position à ce sujet - lePOS devrait releverdu foncier - il signale que la loi cadre environnementale devrait sortir est en préparation et qu'il faut en tenir compte - il demande que le Consultant tienne compte du programme global de l'après-barrage - il demande que le fonds soit consacré à des mesures environnementales

Evaluation Environnemcntale PDIAIM PV sémninaircn-2 3/16 98 page 2 - il demande que le Consultant se préoccupe des aspects forestiers, (cite l'exemple des gonakiers qui souffrent de la présence de l'irrigué.

17. Le Consultant souligne à nouveau que l'ensablement est pris au sérieux dans les études et que le Consultant se limite à proposer le POS, mais que la réalisation du POS ne fait évidemment pas partie de la présente étude.

18. Le Consuitant souligne que les remarques de Mr Fall sont d'ordre principalment institutionnelles et indique que le Consultant fait des propositions techniques et que son rôle n'est pas de décider de la localisation institutionnelle des volets du plan d'atténuation. Il indique également que les Terrnes de Référence de l'étude sont suivis scrupuleusement.

19. Mr Guisset explique que le Consultant a pris en compte le contexte après- barrage et qu'il s'est rendu à l'OMVS et dans les services sénégalais à cette fin. Il souligne que les tiffas sont de fait une préoccupation importante. Il explique que les aménagements structurants doivent permettre une meilleure gestion de l'eau, favorable aux gonakiers.

20. Le Consultant demande si, en dehors des aspects institutionnels évoqués par le Directeur de la DEAR, on peut considérer que le contenu technique du plan d'atténuation est acceptable par le Comité de Suivi.

21. Mr Bomeiss reprend quelques avis émis par les participants et conclut, en temps que Président de séance que: - le Consultant ne doit pas décider des détails institutionnels, bien que les études doivent émettre des recommandation sur "qui fait quoi" - le plan d'atténuation proposé est acceptable s'il est accompaoné d'une stratégie expliquant le logique des propositions faites.

2. Le Consultant confirme que le plan d'atténuation s'inscrit dans un cadre logique, lequel sera inclus dans le rapport.

23 Mr Bomeiss lève la séance en rappelant que la prochaine réunion aura lieu après évaluation du rapport provisoire

rapport rédigé le 16 mars 1998

Pour le Consultant Pour la SONADER

Evaluation EnvimnnementaicPD[AId I'Vséninaire n-2 3/16.98 page 3

Evaluation environnementale du PDIAIM Aide-Mémoire destiné aux participants au séminaire n°2 15 mars 1998

1. Impacts environnementaux majeurs

Des matrices détaillées seront reprises dans le rapport -

* eau et sol: salinité. alcalinisation, érosion des sols * biodiversité: déforestation, perte de diversité des écosystèmes, zones humides * santé: maladies hvdnques + sociaux accroissement des inégalités entre groupes sociaux, tensions pour le partage des activités irrigable/activités traditionnelles

2. Contraintes observées

Les indicateurs

* peu d'indicateurs susceptibles de caractériser de façon quantifiée l'état de l'environnement et son évolution en Mauritanie + peu d'éléments économuques permettant de chiffrer de façon monétarisée les coûts et pertes/bénéfices environnementaux de projets d'investissements + absence fréquente de protocoles et de systèmes d'archivages de données + cloisonnement des informations entre institutions rendant difficile l'établissement de relations entre des indicateurs 'inter-sectoriels"

Les outils à disposition des aménagistes:

* peu d'outils cartographiques intégrés permettant une vision globale des interactions investissements - Impacts sur le terroir ' manque d'outil permettant une approche participative dans les études et pas de méthodologie de consultation publique (composante essentielle et obligatoire de toute étude environnementale, et ce, dés les études APS)

Normes techniques et recommandations techniques:

t peu de normes et recommandations techniques à caractère environnemental (à l'exception notoire des normes de drainage peu appliquées)

Fonds d'accompagnement:

* nécessité de disposer d'un fonds environnemental déstiné à l'atténuation environnementale des investissements PDIAIM

3. Contenu résumé du plan d'atténuation

Volet 1: Outils d'aide à la décision et de gestion environnementale

Objectif: doter les décideurs (autorités nationales, populations, groupement de coopératives, administrations, opérateurs économiques, bailleurs de fonds,...) d'outils d'aide à la décision et à la gestion environnementale, de type "observatoire de l'environnement".

Principes d'intervention: * utiliser les ressources et les compétences existant dans le pays: concept réseau d'informations où chaque institution développe les couches selon ses compétences

Evaluationenvironnementale du PDIAIM- Aide Mémoire 31/3/98 page 1 * BDD et SIG sectoriels établis et gérés selon des procédures strictes. Nécessité d'établir un lieu "*inter-institutionnel" de concertation technique. * les données doivent. circuler librement auprès des utilisateurs potentiels. Nécessité d'établir un lieu "inter-institutionnel" dc concertation sur ce thème. * L'observatoire en lui-mème, pour ce qui est de sa phase ultime, peut être constitué d'un serveur de réseau (de t\pe intranet ou interret par exemple) et d'un Svstème d'Information Géographique spécifique regroupant les couches d'informations sectorielles. * les mêmes concepts peuvent être étendus sur la rive gauche du fleuve, et dans le cadre ii!' la nise en oeuvre d'un obsernatoire à I OMVS (synergie des outils nationaux)

Composantes * Etude de dimensionrnement d'une BDD multi-sectorielle et Etude de faisabilité de mise en réseau des BDD et SIG sectoriels * Mise en oeuvre d'un outil dc suivi sectonel du secteur irrigué (BDD et SIG)-Sonader * Etudes specifiques * Mise en oeuvre d'un rescau d'échange de données (Observatoire de l'Environnement)

Volet 1I: Plans d 'Occupation d(es Sols (POS)

Objeci'f + intégrer les mutations generces par la coexistence du domaine irrigable et du terroir traditionnel + renforcer la complementarité entre la activités générées dans le domaine irrigable et les différentes activites productives de la vallée ' développer une dynamique locale consensuelle autour de l'occupation des sols en s'intégrant dans le processus dc décentralisation (niveau communal) * fournir aux décideurs dcs éléments et outils de planification des investissements structurants, bases sur une approche participative et concertée des bénéficiaires.

Principes d'intervention a Constitution progressive par approche participative d'une cartographie d'occupation des sols * couches de base quw rclevent de documents géographiques et physiques (cartes des sols, végétation,...>.' cartographie du Bucau des Affaires Foncières et couches issues de travaux de terrain: éléments phvsiques (infrastructures de base, points d'eau, cimetières, habitats, forêts classées, périmètres imgués. routes et ouvrages, infrastructures publiques,.... + couches comportant des éléments devant faire l'objet d'appréciation dans le cadre d'un processus de concertation (zones de transhumance et de pâturages, zones de décrues, reboisement productif, zones mises en défens, zones d'artisanat, extension du domaine irrigable,..)

Composantes: * Etude de faisabilité technique et institutionnelle de la mise en oeuvre d'un POS. dans une zone pilote (une ou plusieurs communes pilotes) * Mise en oeuvre d'un POS dans une zone pilote * Suivi-évaluation externe de l'approche pilote * extension systématique du processus à d'autres communes

Volet III Etablissement et diffusion de normes et recommandations techniques à but environnemental

Objectifs: * définir un contenu technique aux différents thèmes de techniques environnementales. * si nécessité d'une norne, établir un texte règlementaire (entraînant par conséquent des mesures contraignantes). * assurer la diffusion au sein des intéressés (administrations, groupement de producteurs, ONG, exploitants,.... )-utilisation de techniques de communication

Composantes:

Evaluation environnementaie du PDIAIM - Aide Mémoire 3113198 page 2 * Etablissement de manuels techniques thématiques et mises à jour régulières * Etablissement de nornes techniques et de textes règlementaires associés (y compris procédures E.E.E. prévues dans la loi cadre environnementale) * Diffusion des thèmes techniques

Volet IV: Fonds d'Accompagnement Environnemental (FAE)

Objectjt. financer, ou contribuer au financement, d'investissements ou interventions à but d'amélioration environnementale.

Principes d 'intervention * fonds spécifiquement dcstiné aux atténuations environnementales des impacts négatifs du PDIAIM * fonds d'atténuation environnemental divisé en tiroirs: ex tiroirs accessibles aux structures de l'Etat (dans le cadre d'aménagements structurants) = tiroir -estion des ressources naturelles" tiroir santec tiroir `éducation et formation" tiroir approvisionnement en eau potable et assainissement" tiroir acccssible aux individus (et collectivités) * logiqued'interventions du FAE incitation visant au respect des recommandations techniques telles que définies dans le volet 11l. Ne concerne pas le respect de normes techniques à caractère légal.

Composantes: * Etude de faisabilité du FAE + Gestion du FAE et utilisation des fonds - tiroirs réservés à l'Etat * Gestion du FAE et utilisation des fonds - tiroir réservé aux initiatives privées * Appui technique/formation aux bénéficiaires du tiroir réservé aux initiatives privées * Suivievaluation externe de l'utilisation du FAE

Evaluation environnementale du PDIAIM - Aide Mémoire 3113/98 page 3

ANNEXE 8.4.

PV du séminaire n° 1 - Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM - 03/0211998

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM i~~~~~ * j: ~ ~ ~~

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ tAt g~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Procès verbal de réunion du Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM relatif à l'Etude d'Evaluation Environnemental du PDIAIM

Séminairen°l: Mardi, 3 février 1998

Présents - Mohamed Ould Babetta DG SONADER Guisset AlassaneCherif CT/DG SONADER Ngaidé AmadouMoussa DET/SONADER Mohamed Ould Tolba Spc.Ag/ Banque Mondiale Beddou Ould Salek DETiSONADER Cheïkna Ould Mbaré DEAR/SPN Eric Tilman Chef de Mission/AGRER Diallo AhmedYahya Expert HydrologuelSERADE Michel Schepens Expert environnement/AGRER

Ordre du Jour: - présentation du rapport d'établissementdu Consultant(S.A. AGRER) - débat sur le rapport et sur les orientationsà donner aux études

Compte rendu de la réunion:

1. Mr Babetta, Directeur Général de la SONADER, ouvre la séance en souhaitant la bienvenueaux participants. Il précise ensuite que la SONADERa transmis aux différents membres du Comité et en même temps que les convocations officiellespour la présente réunion, une copie du rapport d'établissement du Consultant. n excuse les membres du Cormitéqui n'ont pu se déplacer par suite d'empéchements. Il passe ensuite la parole au Chef de Mission du Consultant, Mr Eric Tilman afin que celui-ci présente le rapport d'établissement.

2. Mr Tilman présente le contenu du rapport d'établissement en mettant en avant les points suivants

(I) précisions quand au niveau de détail des études environnementalesconformément- aux distinctions reprises dans les OD de la Banque Mondiale - point 10 du rapport d'établissement

(ii) étapes principales des études et axes d'orientation du plan d'atténuation - point 10 du rapport d'établissement

3. S'ensuit ensuite une discussion sur le contenu du rapport:

-Mr Tolba demande si le Plan d'atténuation sera accompagnéd'une estimationbudgétaire.

-Mr Tilman répond que le plan d'atténuation sera bien évidemmentchiffré mnaisque ce plan sera forcément plus détaillé pour la zone d'étude, c'est à dire les zones où des projets potentiellement finances par la Banque Mondiale sont proposés (cfr point 5 page 2 du rapport d'établissement). Dans les autres zones du PDLAIM,le plan d'atténuation ne pourra qu'être extrapolé et seules des lignes budgétairesglobales et indicatives pourront être mentionnées. -Suite au commentaire du Consultant sur le caractère plutôt global des études environnementales (point 8 et 10 du rapport d'établissement), Mr Beddou Ould Salek s'inquiète de savoir si l y aura nécessité, quand les projets soumis a demande de financement de la part de la Banclue M^-diale en seront au stade de la factibilité, d'entreprendre des compléments d'études d'imr. _ts plus spécifiques.

Mr Babetta répond alors; que le Consultant doit s'efforcer de détailler son étude au maximum compte tenu des documents de projets mis à sa disposition, et que toute autre considération vis à vis du bailleur de fonds n'est pas de son ressort.

Bien que conscients que plusieurs projets ne sont pas encore très avancés au niveau des concepts et etudes techniques, Mir Guisset, Mr Ngaidé et Mr Cheikhna Ould Mbaré insistent également sur la nécessité de prendre en compte au maximum les éléments de projets existants .. A ce titre, il est mentionné que, depuis la ,édaction du rapport d'établissement, des études de niveau APS relatives au projet Koundi ont été entreprises et que les documents d'études seront remis; au Consultant pour le 15 février au plus tard.

Le Consultant marque son accord sur les commentaires qui précèdent.

Mr Babetta remet ensuite au Consultant un commentaire sur la manière dont les offires techniques sur l'évaluation du PDIAJLMont traité la composante économique (par Mr Remi Kini, Banque Mondiale). Il demande au Consultant d'en tenir compte dans ses études, et autant que possible d'essayer de rencontrer Msr Remi Kini, soit à Nouakchott, soit lors d'un passae;e de celui-ci à Bruxelles.

Après lecture rapide de ce comrnentaire, Mr Eric Tilman fait remarquer qu'ici encore, le niveau de détail de telles études économiques dépend du niveau de détail des projets proposés. Il marque son accord et son gr-andintérêL de rencontrer Mr Kini, et assure le Comité qu'une réflexion sera menée au sein de l'équipe, pour aborder au mieux cette question dans le rapport d'études.

Mr Beddou Ould Salek 'nterroge le Consultant sur la manière dont il compte mener la consultation publique.

Mr Diallo explique rapidement les étapes de cette consultation telles que décrites dans le rapport d'établissement (point 17).

Le rapport d'établissement ne faisant l'objet d'aucune autre remarque ou demande d'éclaircissement, Mr Babetta lève la séance.

Pour la SONADER Pour le Cornsultant

r>__ \,iC ti;A~~~

- 2-oa~~~~~~~~.oz& ANNEXE 8.5.

Texte principal du rapport d'établissement - janvier 1998

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDL4IM

MINISTERE DU DEVELOPPEMENT REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE RURAL ET DE L'ENVIRONNEMENT MAITRITANIE Honneur - firaternité - Justice

SOCIETE NATIONALE POUR LE DEVELOPPEMENT RURAL SO. NA. DE. R.

Banque Mondiale/IDA

ETUDE D'EVALUATION ENVLRONNEMENTALE

DU PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT INTEGRE DE

L'AGRICULTURE IRRIGUEE EN MAURITANIE

(PDIAIM)

RAPPORT D'ETABLISSEMENT

SAAGRERea N.V. avenue Louise 251, bte 23 B-1050 Bruxelles (Belgique) TéL. +32264063 10 Fax +3226487538 E-mail agrer(grarcadis.be JANVIER 1998

Evaluation Environnementaledu Programme de DéveloppementIntégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIMM)

Rapport d'établissement

TABLE DES MATIERES

page A. DEROULEMENT DES ETUDES 1

A.1. Présentationdu PDIAIM 1 A.2. Les études environnementales 2 A.3. Situation rencontrée 2 A.4. Contraintes 4 A.5. Mise en place du Comité de suivi 6 A.6. Planning actualisé de l'étude 7 A.7. Méthodologiepour la préparation d'une consultation publique 7

B. RAPPORT DE TACHE 18

B. 1. Déterminationde la zone d'étude 8 B.2. Horizon temporel de l'étude 9

C. RAPPORT DE TACHE 2 9

C. 1. Projets financés par la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM 9 C.2. Les Stratégies et Programme liés à l'environnement 10 C.3. Autres éléments à prendre en compte dans les études d'EE 12 C.4. Autres projets localisés dans la vallée du fleuve 13

ANNEXES

1. Planning actualisé de l'étude 2. Cartographie de base de la zone d'étude (4 cartes) 3. Fiches de présentationdes projets 3.1 Projets financés par la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM 3.2. Autres projets localisés dans la vallée du fleuve 4. Liste provisoire des documents de base 5. Liste provisoire des institutions et des personnes ressources 6. Documents divers

Rapport d'établissement i EvaluatnonEnvwronnementale du PDIAIM LISTE PROVISOIREDES ABREVIATIONS

BM Banque Mondiale CILSS Comité International de Lutte contre la Sécheresse au Sahel EA OD Environrnental Assessment - Operational Directive (Directive Opérationnelle pour les Etudes Environnementales) EAB Etude Après-Barrage EE Etude Environnementale MDRE Ministère du Développement Rural et de l'Environnement PAN Programnmed'Action National de lutte contre la désertification PANE Plan d'Action National de l'Environnement PDIAIM Programme de DéveloppementIntégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie PFIE Programme de Formnationet d'Information sur l'Environnement PGRNP Programme de Gestion des Ressources Naturelles en Zones Pluviales

Rapport d'établissemrent ii Evaluation Environnementale du PDL4IM A. DEROULEMENT DES ETUDES

A.1. Présentation du PDIAIM

1. Le PDIAIM est une approche programme qui définit une stratégie d'intervention et un cadre de planification dans le secteur de l'agriculture irriguée en Mauritanie. Les principaux objectifs du PDIAIM sont:

(i) aborder le développement de l'agriculture irriguée dans le cadre d'une approche globale et intégrée

(ài) hiérarchiser et prioriser les actions de développement

(iii) augmenter la rentabilité des exploitationsagricoles par des actions de réhabilitation et d'extension des parcelles irriguées, l'introduction d'une double culture, la diversification et l'amélioration des filières

(iv) de poursuivre les réformes en matière foncière, libéralisation et responsabilisation du monde rural.

2. Le PDIAIM doit être exécuté en deux phases:

(i) une première phase de 5 ans orientée vers la consolidation et la viabilisation de l'existant

(ii) une seconde phase marquée par l'extension du secteur irrigué

3. Les financements acquis au PDIAIM sont destinés aux quatre composantes suivantes:

(i) les aménagements et ouvrages dits "structurants" exécutés par l'Etat

(ii) les lignes de crédit rétrocédées au crédit agricole pour financer l'investissement privé à des conditions bonifiées

(iii) les actions d'accompagnement : foncier, vulgarisation-recherche-formation, appui institutionnel privé à des conditions bonifiées

(iv) l'environnement dans tous ses aspects avec une forte priorité à la protection des investissements et à la régénération du couvert végétal

Rapport d'établissement I Evaluation Environnementaledu PDWAIM A£2. Les études environnementales

4. La Banque Mondiale (BM)' impose une Evaluation Environnements EE) pour toute opération de prêt ou de crédit2 . Les projets d'investissements sectori- sont donc- sujets à EE. Les EE doivent s'inscrire dans les procédures décrites dar Directive Opérationnelle pour les Etudes Environnementales (EA OD, Oct 1989). T Fermes de Référence de l'Evaluation Environnementale du PDIAIM rentrent dc dans cette démarche.

A.3. Situation rencontrée

5. Description du projet présenté a évaluation environnementale. L'évaluation environnementale porte sur les projets financés par la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM - composante investissement. Ceux-ci sont listés dans le point III des TdR comme suit:

(i) Viabilisation des périmètres irrigués villageois entre Gani et Dar E] Barka

(ii) Investissements structurants des Unités naturelles d'équipement de Koundi 1 à 4 et du Dirol

(iii) Etude d'aménagement de la plaine de M'Bagne

(iv) Gestion des Eaux de la Vallée du Gorgol

(v) Construction d'ouvrages de désenclavement du périmètre de Foum-Gleita (aménagement de l'axe routier Kaedi-M'Bout)

(vi) Appui aux initiatives de base par la construction d'ouvrages de désenclavement dans la zone de Gani à Dar El Barka, la construction d'ouvrages collectifs (points d'eau, magasins, abreuvoirs, plantations...) et le soutien à l'irrigation (financement d'études d'aménagement et d'appui aux technique innovantes) dans ces différentes zones.

6. A la suite de nos entretiens avec le Conseiller du Directeur Général et le Directeur Technique des Etudes et Travaux de la SONADER, les corrections et précisions - suivantes sont apportées à la liste mentionnée ci-dessus:

(i) prise en compte de l'Unité naturelle de Koundi 5 non mentionnée précédemment dans les TdR.

Par Banque Mondiale, on entend: BIRD et AID 2 à l'exception toutefois des prêts d'ajustement sectoriel ou structurel - Operational Directive 4.00, October 1989

Rapport d'établissement 2 Evaluation Environnementale du PDL4WM (ii) dans le cadre du "soutien à l'irrigation (financement d'études d'aménagement et d'appui aux technique innovantes) dans les différentes zones", seuls les périmètres privés situés au niveau de la vallée du Gorgol font l'objet d'une enquête et d'une étude actuellement menée par la SONADER. L'EE se limitera donc à cette zone, les conclusions de l'EE pouvant par ailleurs être étendues aux autres zones dans le cas ou des études de préparationy seraient menées ultérieurement.

(iii) Le désenclavement de Foum Gleita est constitué de deux axes: - l'axe "barrage de Foum-Gleita vers la route Kaedi-Mbout" sous la tutelle de la SONADER sera financépar le Fonds Abu Dhabi - l'axe Mbout-Kaedi fait partie du financementBanque Mondial dans le cadre du PDIAIM et doit être réalisé sous la tutelle de la Direction des Travaux Publics, ce tronçon faisant partie du réseau national.

7. En conclusion et afin que l'EE corresponde de façon cohérente aux études en cours ou devant débuter prochainement(études pour lesquelles il existe au moins des TdR), la liste des projets soumis à l'EE sera désormais structurée de la façon suivante:

Zone I: Basse - Vallée / Gani-DarEl Barka

Pr.QjetI. 1: Viabilisation des périmètres irrigués villageois entre Gani et Dar El Barka

projet I.2: Construction d'ouvrages de désenclavement dans le cadre de l'Appui aux initiatives de base dans la zone de Gani à Dar El Barka

Projet .3: Construction d'ouvrages collectifs (points d'eau, magasins, abreuvoirs, plantations...) dans le cadre de l'Appui aux initiatives de base dans la zone de Gani à Dar El Barka

projet I.4: Investissements structurants des Unités naturelles d'équipement de Koundi 1 à5

Zone II: Moyenne - Vallée / Bababé - M'Bagne - Kaedi

Pr.jet ITI: Investissements structurants de l'Unité naturelle d'équipement du Dirol (dans une optique de décrue)

Projet I.2: Etude d'aménagement de la plaine de M'Bagne

Zone III: Vallée du Gorgol j PQJet IIT.I: Gestion des Eaux de la Vallée du Gorgol

Projet ITI.2: Aménagement de l'axe routier Kamdi-M'Bout (sous la tutelle de la Direction des Travaux Publics)

Rapportd'établissement 3 EvaluationEnvironnementale du PDL4IM

- i PrQjetII.3: Soutien à l'irrigation privée dans la vallée du Gorgol.

A.4. Contraintes

8. Documents de base disponibles pour l'Etude Environnementale. Ainsi que nous le montrerons en détail dans la partie B de ce rapport ("rapport de tâche 1"), les documents de base disponible se limitent quasiment à des Termès de Référence pour des études de préparation qui sont selon les cas, en cours ou prévues. Dans certains cas, des études ont été menées antérieurement (Koundi, M'Bagne), mais selon des concepts qui ne correspondent plus à la réalité actuelle3 d'où un besoin de refondre entièrement les concepts de schéma d'aménagement. Selon le calendrier de travail prévu pour la présente EE, le Consultant ne disposera donc pas, pour aucun des projets repris ci-dessus, de documents préparatoires suffisamment élaborés permettant d'effectuer une EE de projet spécifique au sens de l'OD 4.004. Par ailleurs, l'EE doit être menée en parallèle aux études de faisabilité5 (niveau APS) qui elles, sont prévues ultérieurement sans qu'un calendrier n'ait été déterrniné.

9. Signalons également que, contrairement à ce qui est mentionné dans les TdR, le code de l'Enviroinement ne sera à priori pas publié en 1997 et ne sera probablement pas disponible dans les délais fixés par les études. De même, le PANE, qui devrait constituer une base institutionnelle pour toutes actions environnementales du PDIAIM a été préparé avec l'appui du PNUD, mais n'a pas encore été examiné par les autorités mauritaniennes. Le contexte légal et institutionnel en matière d'environnement reste donc à l'heure actuelle encore trëèsmal défini.

10. Ces considLérationsamènent des conséquences directes sur les prestations du Consultant, telles que définies dans les TdR. Les constatations et propositions suivantes pour la poursuite des études peuvent être formulées comme suit

(i) les tâches 1, 2, 3 et 4 sont des tâches essentiellement descriptives de la situation actuelle dans la zone d'étude6 et pourront être exécutées conformément aux TdR.

(ii) la tâche f évaluera les impacts positifs et négatifs potentiels des projets d'agricultwue irriguée et des mesures de désenclavement dans la zone d'étude, de façon forcément générale dans la mesure où les projets spécifiques ne sont pas définis. Cette analyse permettra de grandement faciliter la prise en compte des aspects environnementaux lorsqu'il s'agira de réaliser les études de faisabilité du PDIAIM. Pour la clarté, nous proposons de distinguer les projets selon les classes suivantes:

par suite, notaument, des implantationsfoncières non maîtrisées qui rendent les schémas d'aménagement difficiles à mettre en oeuvre, et par suite également de l'introduction de nouvelles règles régissant Je partage des rôles entre l'Etat et le privé 4 OD 4.00-Annex A page I of 6 - item 5 5 OD 4.00-Annex A page 5 of 6 - item 23 6 la zone d'étucde étant définies plus loin dans le rapport de tàche I

Rapport d'établissement 4 Evaluation Environnementaledu PDLWIM I. v7roiets d 'aménazements hydrauliques considérés comme infrastructures structurantes (composante« investissements en aménagementsstructurants » du PDIAIM), et dont l'Etat est en principe Maître d'Ouvrage. Selon « l'Environmental screening » repris dans l'OD 4.00 , ce type d'investissement doit normalement tomber dans la catégorie A (Irrigation and Drainage - large scale).

II. vr2iets de désenclavement (routes rurales) également considérés comme infrastructures structurantes (composante investissements en arnénagements structurants du PDIAIM), et dont l'Etat est Maître d'Ouvrage. Selon « I'Environmental screening » repris dans l'OD 4.00, ce type d'investissement doit normalement tomber dans la catégorieA (Rural Roads).

III. _),rej'ts d'aménagements hydrauliques de petits périmètr,es villageois et de Zérimètresocivés (appui du PDIAIM sous forme de crédit long terme avec aide incitatice de l'état), et dont les privés ou collectivités locales sont Maîtres d'Ouvrage. Selon « I'Envirornmental screening » repris dans l'OD 4.009, ce type d'investissement doit normalement tomber dans la catégorie B (Irrigationand Drainage - small scale).

IV. Qrojetsd 'irfrastructures et équipements ruraux collectifs (composante investissements du PDIAIM). Selon « l'Envirornental screening » repris dans l'OD 4.0010,ce type d'investissement doit normalement tomber dans la catégorie B (Publicfacilities, Renewable energy, Rural electrification, Rural water supply and sanitation, ..).

(iii) du fait de qu'aucun projet n'est techniquement défini, même au stade d'un docurnent de préparation, la tâche 6, analyses des alternatives du projet se limitera a présenter les concepts majeurs à prendre en compte dans les études de faisabilité des schémas d'arnénagement. concepts visant à limiter les impacts négatifs de ceux-ci sur l'environnement.

(iv) la tâche 7 appelle les remarques suivantes:

- compte tenu de l'état d'avancement des projets financés par la Banque Mondiale, aucun plan d'atténuation spécifique par projet ne pourra être établi.

- l'établissement d'un Programme d'Atténuation et de Suivi des Inpacts Environnementaux (PASIE-PDIAIM) pour l'ensemble du PDIAIM, forcément constitué de recommandationsplus globales peut être proposé. Ce plan constitue dès lors un aménagement et un complément du document "Protection de l'environnement" du rapport PDIAIM de 1995.

1 OD 4.00--Annex A3 8 OD 4.00-Annex A3 9 OD 4.00-Annex A3 '° OD 4.00-Annex A3

Rapport d'établissement 5 Evaluarion Environnementale du PDWUM - compte tenu de la synthèse des débats de la réunion consultative sur le PDIAIM d'Octobre 1995, le PASIE-PDIAIM est constitué d'une phase L, d'une durée de S ans, pour un montant estimé à 1,1 milliard d'UM, soit environ 6,5 MUS$, et d'une phase II, également d'une durée de 5 ans, pour un montant estimé à 9,8 MfUSS(solde de 16,3 MUS$).

- la page 13 des TdR reprend la présentation du PASIE/PDIAIM selon 7 catégories d'intervention. Ces catégories étant davantage adaptées à la définition des mesures à prendre dans le cadre de projets spécifiques', elles ne nous paraissent pas adaptées au contexte. En remplacement, nous proposons les categoriiessuivantes (des aménagements à cette proposition et des modifications de terminologie pouvant encore intervenir plus tard dans les études):

a) Connaissance de l'environnement : établissement d'indicateurs environnementaux clefs et programme de suivi-évaluation (SIG, Observatoire, études et recherches complémentaires)

b) LéZisLation et contrôle de l'environnement: Mise au point de procédures à suivre pour les EE de projets spécifiques et études de conception et de normes visant à accroitre les impacts positifs et limiter les impacts négatifs, et ce pour les 4 classes de projet définis ci-dessus. Appui et formation dans le cadre de la mise en oeuvre des normes et dans le cadre de la gestion de l'environnement (aux niveaux légal, institutionnelet technique).

c) Earmationet éducation / motivation : opérations de formation/éducation, information et procédures participatives perrnettant d'identifier et d'arnéliorer la motivation des acteurs du développement et des opérateurs écononiiquessur l'ensemble des aspects environnementaux

d) Fonds d'lnvestissements : établissement d'un fonds permettant d'investir dans les actions de protection environnementale.

(v) les tâches 8,9 et 10 n'appellent pas de commentairesparticuliers à l'heure actuelle.

A£5. Mise en iplacedu Comité de suivi

11. Conformément à la méthodologie proposée par le Consultant, il est prévu de mener l'étude envirormementaleen étroite collaboration avec les institutions concernées. Lors de nos entretiens avec la Direction Technique de la SONADER, celle-ci nous a confirmé son intention de prendre contact officiellement avec différentes institutions afin que celles-ci délèguent leur représentant au Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM. La liste des membres du Comité de Suivi n'a toutefois pas pu nous être communiquée par la SONADER avant la fin de la mission.

i" au sens de 1' OD 4.00-Annex A item 5

Rapport d'établissement 6 Evaluation Environnementale du PDL4JM 12. Nous voudrions rappeler l'importance que nous accordons à ce Comité dans la mesure où une orientation efficace des études environnementales ne peut se faire que si l'ensemble des intervenants adhèrent aux recommandations proposées. Nous nous permettons donc d'insister auprès de la SONADER pour qu'elle assure son rôle de tutelle et de coordination de ce Comité, la première tâche étant de procéder à sa constitution.

13. Le Comité de Suivi Environnementalsera convoqué à trois reprise au cours de ces études:

(i) séminaire n°l : environ I semaine après le démarrage des études par les experts de la mission en Mauritanie. Le présent rapport sera présenté et un débat sur les orientations à donner aux études sera proposé.

(ii) séminaire n°2 : à la fin de la partie "terrain" des études et avant la rédaction du rapport provisoire. Les points clefs se dégageant des études de terrain seront abordés et discutés.

(iii) séminaire n3 : après examen du rapport final version provisoire. Les remarques du comité pourront alors être prises en compte pour l'édition du rapport final des études.

A.6. Planning actualisé de l'étude

14. Une première mission en Mauritanie a eu lieu du 23-11-97 au 4-12-97. Cette mission était conduite par M. Eric TILMAN, Chef de Mission assisté de M. DIALLO Ahmed Yahya, hydrologue.

15. Le planning actualisé de l'étude est présenté en annexe 1. A l'exception du fait que la première mission du chef de mission a été scindée12, aucun changement notoire par rapport au planning initial n'est à mentionner.

16. Le Consultant se rendra à Dakar lors de sa deuxième mission afin de visiter le Commissariat à l'Après-Barrage, le siège de l'OMVS, la SAED, la représentation résidente de la Banque Mondiale et d'autres organismes susceptibles d'apporter des éléments à l'EE (Direction de l'Hydraulique, ORSTOM). Cette démarche permettra de mener cette EE prenant en compte les études similaires réalisées en rive gauche, et ce, conformément à ce qui est demandé dans les TdR.

A.7. Méthodologie pour la préparation d'une consultationpublique

17. La consultation publique prévue en tâche 8 sera réalisée conformément à la méthodologie proposée par le Consultant. Après vérification auprès du projet "Parc de

voir fax adressépar AGRER à la SONADER et daté du 17/11/97,joint en annexe 6 - documents divers

Rapport d'établissement 7 Evaluaton Environnementaledu PDW1M Diawling", il apparaît que la méthodologie suit une procédure similaire et est adaptée au mieux à la situation rencontrée et au planning prévu dans le cadre des TdR 'appelons en les grandes lignes

(i) Préparation d'une notice d'information en français et en araF e 1l pages maximum expliquant le PDIAIM, les composantes financées is les zones d'études. les impacts positifs et négatifs attendus et les mesure de sauvegarde recommandées.

(ii) Diffusion de cette notice auprès des communes. Information via la radio nationale que ces notices sont à la disposition des populations au siège du Conseil Municipal et information des secrétaires généraux des mairies.

(iii) Organisation par les communes de la collecte des avis.

(iv) Organisation d'un atelier de travail a KAEDI et à BOGHE avec les secrétaires généraux et des représentants des communes et les principaux opérateurs (SONADE-R.. DEAR. Direction des Collectivités Locales, ...)

(v) Préparation d'un procès verbal de consultation publique.

Le sociologue de l'équipe du Consultant sera chargé de cette tâche.

B. RAPPORT DE TACHE 1

B.1. Détermination de la zone d'étude

18. Conformément au point III des TdR et au rapport méthodologique, la zone d'étude est la zone couverte per les projets financés par la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM, projets listés par ailleurs et décrits plus haut.

19. Nous avons reporté la zone d'étude sur les cartes qui suivent en annexe 2, en distinguant:

la limitation de la zone d'étude selon un découpage administratif (voir carte 1). Ce découpage conceme essentiellement la composante institutionnelle de l'EE. Les- études environnementales prendront en compte la politique de décentalisation actuellement mise en oeuvre en Mauritanie et il sera donc tenu compte de l'importance accrue des pouvoirs décentralisés à court, moyen et long terme.

la limitation de la zone d'étude "stricto senso" selon un découpage mettant en évidence la zone d'influence directe du projet sur l'environnement (voir cartes 2, 3, et 4).

Rapport d'établissement 8 Evaluation Environnementale du PDL41M les influences environnementales indirectes couvrent quand à elles toute la partie avale des zones de projets dans le bassin du fleuve (rive gauche mais aussi rive droite) dont le contour géographique est clairement identifiable.

les zones agro-pastoralesavoisinantes à la zone d'étude "stricto senso" seront prises en compte dans la mesure où les activités humaines pratiquées dans ces zones sont interdépendantes.Ces zones pourront être identifiées de façon globale sur base des études sociologiques.

B.2. Horizon temporel de l'étude

20. L'horizon temporel de l'étude sera pris en compte de la façon suivante:

(i) les concepts et la stratégie développée s'intégreront dans une approche à long terme, soit une vingtaine d'années, considéré comme la durée de vie économique des investissements.

(à) compte tenu des limites temporelles du PDIAIM, les estimations budgétaires seront établies selon la planificationsuivante:

- phase I du PDL4IM- 5 ans: estimation budgétaire détaillée, permettant une mise en oeuvre opérationnellerapide du PASIE-PDIAIM.

- phase I! du PDL4IM - 5 ans : estimation budgétaire globale, qui devra être précisée en fin de phase I, après une évaluation des résultats de la phase I.

- période post-PDlAIM: énoncé des actions qui resteront à soutenir à long terme. A titre d'exemple, le suivi des données et indicateurs environnementaux fait partie de ces actions à long terme.

C. RAPPORT DE TACHE 2

C.1. Projet financés par la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM

21. Les projets financés par la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM sont décrits en annexe 3.1. La description est basée sur les documents mnisà la disposition du Consultant. Dans certains cas, il s'agit de documents provisoires ou non complets. Nous avons également tenu compte d'informations obtenues auprès des techniciens en charge des études respectives. Plusieurs études préparatoires sont en effet menées en parallèle à la présente étude d'Evaluation Environnementale. Les données sur les projets, telles que présentées ci-dessous, constituent donc la situation de départ de l'EE.

22. Dans la mesure ou aucun document de base n'a pu être fourni au Consultant pour le projet "Construction d'ouvrages collectifs (points d'eau, magasins, abreuvoirs, plantations...) dans le cadre de l'Appui aux initiatives de base dans la zone de Gani à Dar

Rapport d'établissement 9 Evaluation Environnementale du PDUAIM El Barka", il rne nous a bien évidemment pas été possible de l'inclure dans les descriptions ci-dessous.

23. Il en est de même en ce qui concerne la route Kaedi-Mbout. Aucun document de' base n'a pu nous être fourni par la Direction des Travaux Publics.

C.2. Les Stratégies et Programmes liés à l'environnement

24. Nous avons ensuite procédé au recensement des projets et programmes en cours ou en projet ayant comme objet le secteur environnemental ou la protection des ressources naturels.

25. Le PANE (Programme d'Action Nationale Environnementale) fait suite à la conférence de Rio visant à intégrer l'environnement au développement. Le PANE devrait constituer un cadre institutionnel et méthodologique sur lequel l'ensemble des programmes environnementaux du pays devrait s'appuyer, dont par conséquent le PASIE-PDIAIM. Dans ces conditions, la mise en oeuvre effective du PANE est déterminante et devrait constituer probablement un préalable à la mise en oeuvre du PASIE-PDIAIM . La mission de formulation du PANE, effectuée avec l'appui du PNUD, vient de remettre son rapport provisoire, celui-ci devant encore faire l'objet d'une approbation par le gouvemement mauritanien. Le PANE propose un cadre institutionnel qui sera bien entendu examiné en détail et pris en compte lors de la suite de la présente EE.

26. Le PAN 'rogramme d 'Action Nationale de lutte contre la désertification) est géré par la DEAR et appuyé par le PNUD/UNSO.Ce programme a démarré au début de 1996 et prévoyait une phase de sensibilisation, suivie d'un forum national, lui-même devant déboucher sur urnPlan d'Action National selon le concept de "l'approche programme". A l'heure actuelle, le fornumnational n'a pas encore eu lieu. A noter que dans le cadre du PAN, une réflexion semble être engagée au niveau de la DEAR pour la mise en oeuvre d'un Fonds National pour la lutte contre la désertification (statut du fonds, sensibilisation des partenaires, stratégie de mobilisationdes fonds).

27. Le PE.E Lfro gramme de Formation et d 'IDformation sur l 'Environnement) est gére au niveau du MI)RE en partenariat avec la Direction de l'Enseignement Fondamental sur un financement FED. Ce programme initié dans le cadre du CILSS a connu une première, phase de 5 ans. Actuellement on en est à la troisième année de la phase Il. Des ouvrages didactiques en firançaiset en arabe ont été édités et le programme repose non seulement sur l'éducation des enfants, mais également sur les transferts écoles-villages et enfants- parents.

28. Le projet-barrière verte du Trarza géré par la DEAR sous financement CFD propose une approche méthodologique originale (concept de "'protection des environnements productifs") et à priori efficace pour le reboisement et la fixafion de

13 lamise en oeuvredu PANEfaisait déjà partie des conditionnalitésémise dans le cadredu PASA

Rapportd'établissement 10 EvauationEnvironnementale du PDLAIM dunes. L'expérience couvre 600 ha découpés en 40 parcelles cédées à des usufruitiers (bail amphythéotique de 30 ans). Les aménagements de base sont subsidiés (clôture, clayonnage, plants), les usufruitiers étant rémunérés par plant vivant au bout de 5 mois, par une prime de gardiennage sur 5 ans, et le droit d'exploiter au delà.

29. Dans le cadre de l'OMVS, le Fonds d'Aide et de Coopération (France) a financé une étude des -problèmes d'environnement et de protection des milieux naturels dans le delta du fleuve Sénégal. Cette étude s'est achevée en mai 1995. Elle contient de nombreuses données environnementalesrelatives au delta du fleuve (sur les 2 rives) ainsi que des propositionsde mesures de protection de l'environnement et des écosystèmes.

30. Bien que ne faisant pas partie de la zone PDIAIM, le PGRNP (Projet de Gestion des Ressources Naturelles en zone Pluviale)14 est d'une certaine façon le pendant du PASIE-PDIA1M en zone pluviale. Il s'agit d'un projet long terme (de 15 à 20 ans), financé par la Banque Mondiale, actuellement en phase de démarrage. Il vise à améliorer les conditions de vie des populations vivant en zone pluviale, à apporter un appui institutionnel aux structures administratives décentraliséeset à assurer la formation de la population rurale et des techniciens en charge de la mise en oeuvre du projet sur le terrain. L'accord de crédit a été signé en juin 97 et une première tranche de 18 MUS$ pour une durée de 5 ans a été prévue (IDA). Le projet financera des micro-projets (ouvrages collectifs, diguettes, puits, pistes, banque de céréales, etc...) sur base d'objectifs définis par la population elle-même. Le projet a pour ce faire, comme première priorité la mise en place d'associations de développement communautaires(notamment sur base des Associations Pastorales mises en place lors du projet Elevage 2) .

31. Le priet "Lac dAleg, financé par le Fonds Européen de Développement est également mentionné ici pour mémoire, car bien que ne faisant pas partie de la zone PDIA1M, ses objectifs visent à une exploitation rationnelle et durable des ressources rurales. La méthodologieest similaire à celle mise en oeuvre dans le cadre du PGRNP. Le projet se concentre sur 9 communes de la Willaya du Brakna localisées dans le bassin versant du lac. Une première phase couvrant la période 1995-1999 est en cours. Le budget de cette phase est de 3 MECU. A noter qu'un projet similaire dans le Tagagt devrait démarrer prochainement(également sur financementFED)

32. L'aménagement et la protection du Parc National du Diawling , localisé dans le delta, est appuyée par plusieurs bailleurs de fonds et bénéficie d'une assistance technique de l'UICN. On dispose dans cette zone d'un suivi d'indicateurs environnementaux plus performant et plus élaboré que dans les autres régions de la vallée (basse et moyenne vallée). Un plan directeur d'aménagement du Parc est également en cours d'élaboration.

33. Dans le cadre de l'OMVS, le Programme d'Atténuation et de Suivi des Impact. Environnementaux ('ASIE-OM VS) vise à limiter les impacts lié à l'électrification des 3 pays à partir de Manantali. Ce PASIE comprend 5 volets (protection du chantier de construction, gestion environnementale des emprises des lignes électriques, gestion des

fait suite au projet élevage 2 financé par IIDA

Rapport d'établissement il Evaluation Environne-mentade du PD4I1M réservoir de Manantali. suivi environnemental pendant l'exploitation et programme de santé environnementale). Ce programme a été discuté en novembre 1998 lors d'une réunion rassemblant les autorités des 3 pavs constituant l'OMVS. Ce programme n'est pas encore opérationnel. mais il conviendra de surveiller particulièrement le volet' "gestion du réservoir" pour lequel un modèle mathématique de gestion à buts multiples devrait être élaboré dans le courant de 1998. Les stratégies à mettre en oeuvre en matière d'agriculture irriguée seront fort dépendantes des options prises en matié-re de gestion, et du respect de ces options. par les exploitants (SOGEM).

C.3. Autres éléments à prendre en compte dans les études d'EE

34. La rerme foncière est un élément clef à prendre en considération. Le cadre législatif prévoit l'acquisition d'une terre en trois étapes: (i) autorisation d'exploiter de 5 ans sous condition de mise en valeur; (ii) concession provisoire de 5 ans; (iii) titre de concession définitif. La ioi ne prévoit cependant pas de sanctions en cas de non respect de la condition de imise en valeur, et la politique du "fait accompii" fausse les règles du jeu, ce qui limite les possibilités de mettre en oeuvre des politiques cohérentes d'aménagement du territoire. La matérialisation cartographique de la régularisation foncière est réalisée à l'aide d'un Système d'Information Géographique (SIG). Celui-ci est localisé au Bureau des Affaires Foncières du MDRE. Le logiciel utilisé est le logiciel français GEOCONCEPT'5. Ce SIG est actuellement strictement limité aux applications foncières. Seule une codification qualitative sommaire des sois est associée au découpage parcellaire. Les zones en cours de couverture sont actuellement Keur Macène et Tékane. Les documents de base sont la couverture photographique aérienne au 1/40000, agrandie au 1/12500. datant de 1992-1993.

35. Les in vstssementsZrivés ou collecLifî en matière de réhabilitation des périmètres irrigués seront soutenues par l'UNCACEM (crédit agricole) partiellement par du crédit à long terme et partiellement par une aide incitatrice- L'obtention de ces crédits et aides seront soumises à conditionnalité: (i) être en règle vis à vis de l'UNCACEM; (ii) respecter les nornes d'aménagement MDRE établie dans une circulaire datant de 1993; (iii) justifier d'lne expérience agricole; (iv) justifier d'un titre foncier. Les conditions d'octroi de crédits et aides seront examinées dans le cadre de l'EE afin de reconmmander, le cas échéant, des conditionnalités additionnelles sur des critères environnementaux.

36. Deux étucies présentant un lien avec l'EE sont en cours: (i) étude de la filièr rizicole dans le cadre du PDIAIM, Banque Mondiale (bureau d'études SOFRECO); (ii) étude sur la rentabilité de l 'irrigué (SONADER/CPSE).

37. La route Rosso-BocIhé est considérée comrnmeprioritaire et un appel aux bailleurs de fonds a été lancé en ce sens. A l'heure actuelle, le FED semble d'accord pour financer le tronçon Rosso-Lexeïba. Des études de faisabilité doivent encore être effectuées, études dont les termes de référence n'ont pas encore été présentés au FED pour approbation. Le problème du tracé se pose dans la mesure où, en altemative, ce tracé pourrait suivre

distibué par Alsoft.62 rueJeanne d'Arc à 75641Paris - Fax: 33-1-4406 53 55

Rapport d'établissement 12 EvaluationEnvironnementale du PDL4IM I 'endiguement riv,e droite de la vallée en amont de Rosso, qui devrait être réalisé dans le cadre de l'OMVS. Le tracé envisagé actuellement est localisé plus au Nord, et est relativement excentré par rapport aux zones de production. Le schéma de désenclavement de la zone Gani - Dar El Barka est bien entendu directement lié au tracé qui sera retenu pour la route Rosso-Bogue.

C.4. Autres projets localisés dans la vallée du fleuve

La description des autres projets localisés dans la région du fleuve et devant être pris en considération de façon globale dans la suite des études est reprise dans des fiches regroupées en annexe 3.2

Rapport d'établissement 13 Evaluation Environnementale du PDL4IM

Eo~~safm samua sap llonqu lm--1iold- u-a-maonsa 4sq pi

ANNEXE 9

Check list environnementale pour la viabilisation des périmètres irrigués et pour la réalisation de nouveaux périmètres

Catégories de périmètres irrigués en Mauritanie:

Périmètresà viabiliser:

Il existe actuellement en Mauritanie 3 catégories de périmètres

=> G.P.C Grands périmètres irrigués collectifs =:' P.I.C. Périmètres irrigués collectifs autonomes = P.I.I. Périmètres irrigués individuels

(i) Grands périmètres irrigués collectifs. Ils sont au nombre de 7 et ont été réalisés à l'initiative des structures de l'état. Ces périmètres irrigués sont de type centralisé, autour d'une station de pompage et d'un réseau arborescent de canaux primaire, secondaire et tertiaires. Un réseau de collature permet le drainage. La gestion est assurée par des coopératives ou associations d'attributaires.

(ii) Périmètres irrigués collectifs autonomes. Il s'agit de petits périmètres irrigués de type « Petits Périmètres Irrigués - PPI » ou « Périmètres Irrigués Villageois - PIV », environ 10000 ha aménagés. Ces périmètres ont été financés par les structures de l'Etat sans autofinancement des bénéficiaires. Les aménagements comprennent un groupe motopompe (module standard de 20 ha) et un système d'irrigation et en principe un système de drainage. Les études de ces périmètres ont souvent été trop sommaires, ce qui pose des problèmes de fonctionnement. L'entretien est déficient. De plus le statut de ces périmètres n'est pas clairement défini (non dévolution de l'Etat).

(iii) Périmètres irrigués individuels. L'essentiel de ces périmètres sont localisés dans le Trarza (près de 20000 ha aménagés). Ces périmètres ont été réalisés généralement sans études valables et sans respecter les normes techniques minimales. Le drainage est en général inexistant, les sols ne sont pas nécessairementaptes à la riziculture et la gestion de l'eau est irrationnelle. De nombreux aménagements ont été abandonnées après seulement quelques saisons d'exploitation.

Nouveauxpérimètres:

Du fait du désengagement de l'Etat en temps que promoteur d'aménagements de périmètres irrigués, la classification des nouveaux périmètres a été considérée de la façon suivante:

|=aP.I.C.a Périmètres Irrigués Collectifs E =>P.I.I.: Périmètres Irrigués Individuels

Rapporrf ral - Volume 3 I Evaluation Environnementale du PDW4M (i) Péiète IrriguésCQllectifs. Périmètres dont les infrastructures de base (station de pompage, réseau de distribution et drainage primaire et secondaire) sont gérés de façon collective, la gestion de chaque parcelle étant à la charge d'exploitants privés.

(ii) Périmètres Irhçyués Individuels. Périmètres dont l'ensemble des infrastructures est financé et géré par l exploitant..

Localisation géographique:

Les localisations géographiques des périmètres irrigués peuvent être classées selon la partition suivante:

= ZD: Zone Delta = BV Basse Vallée = MV: Moyenne Vallée =: HV: Haute Vallée = VG: Vallées du Gorgol

Distinction entre viabilisation et nouveau périmètre

VI: viabilisation NP: nouveau périmètre

Check list environnementale légende: mesure recommandable: mesure fortement conseillée qui devrait faire l'objet d'une conditionalité lors de la demande d'un prêt:: mesure indispensable qui devrait faire l'objet d'une conditionalité lors de l'introduction d'un « permis d'exploiter » (législation nécessaire pour que la conditionalité soit applicable):

Note:

Les mesures énoncées ci-dessous ont généralement un caractère minimaliste car elles tiennent compte de la faisabilité de leur application sur le terrain. Il serait par exemple illusoire à l'heure actuelle d'imposer la délivrance d'un permis d'exhaure fixant des débits maximum - tant que la législation et les procédures et moyens de contrôle ne sont pas effectives.

Les tableaux qui suivent devront donc évoluer dans le temps et devenir peu à peu le reflet d'une législation. Les outils qui seront développés dans le plan d'atténuation devront également contribuer à affiner les éléments repris ci-dessous.

Rapportfinal - Volume 3 2 Evaluation Environnementale du PDL4JM Lors de l'établissement des études:

Vérifier que le périmètre s'insère dans un plan d'occupation des sols issu d'un processus de concertation

VI 1NP GPC PIC Pi PIC

BV

HV VG

Vérification de l'aptitude des somsà3l'irrigation et à la Eiziculture

Vl I~~~~~~~~~~~~~NP GPCT 4 ~PIC Pii PIC PlI ZD _ _ !

VG l | _

|EtablirZD la quantité d'eau théorique nécessaire à l'irrigation mv VIv N GPC TPIC TPu PIC iPli ZD_ B V |HV --

|Vénifier la disponibilité en eau pour les usagers localisés en aval. Délivrer un permis d'exhaure fixant les débits maximum (applicable dans le cadre d'une réforme du code de| l'eau en ce sens)

IVI NP | BV | ~~GPC PIC Piiu PIC PiP

[VG IIii|

Rapportfinal - Volume 3 3 Evafuation Emvironnementafe du PDIA1M Nécessité d'un plan de gestion de l'eau (périodes de prélèvement, tours d'eau, --ériodes de drainage, mouvement:sdes plans d'eau) Vl~~~~~~~~~~~~~~NP- GPC~ PICI~~I l PIC

HV I _ VG_1_S

|Vérifier le bon dimerisionnement (débit nominal, topographie) des canaux de distribution de| l'eau - efficacité des rnéthodes de planage

fi Vl I~~~NPI ~~~~~~~~ I GPC! ~~PIC IPli PIC IP[li rZD IBV-

rVénriFierle bon positionnement de la station de pompage (éviter des têtes mortes trop loges 1 ~~VI NP

[GPC i PIC Pli PIC Pli BV

V :

|Plan de drainage et de rejet -vérification du bon dimensionnement et impacts| |environnementaux; Ivl INP IGPC PI Pl PICPl ZD_

|Equipements et procédure de contrôle des débits prélevés au niveau de la station de| pompage

|VI |~ ~ ~ ~~~~~~~~~~NPI IGPC I PIC I PllI PIC | Pli

éBV _

Rapportfiinal - Volume 3 4 E:vaiuation Environnementale du PDL41M Equipements et procédure de contrôle de la salinité des eaux aux points de rejets des eaux de drainage et éventuellement contrôle du niiveau de la nappe aquifère

NP GPC_PIC Pl} PIC Pli ZD: BV

VGI _

Plan de protection contre l'érosion et l'ensablement: reboisement, brise-vent

NP GPC I ~~PIC IPli PIC IPli ZD _

HV_

VG 1

Plan de protection sanitaire (zone d'habitat, dispositifs de prévention)

[ XV9EIV; 0 T~~~~~~~~1NP I GPC I ~PIC IPli PIC Pl |ZD_ _

1HV _ IVG _

Lors de la construction:

Vérification de la bonne exécution des canaux d'adduction, du plan de drainage et de la station de pompage

|apportVolume final - 5 I NPA_Evalati Enironnementale du I |ZD LGPC § ~~PIC IPliI PIC IPli BHV .....

IVG

Rapotfnl-Klm35 Evaluation Environnementale du PDL41M Vérification de la boiine exécution du planage

Vl ~~~~~~~~ ~NP

ZD 1 ll ____ BV ;I ___$

HV.I I=I__ VG I ,||, _ |

Véification de la mise en oeuvre du plan de protection contre l'érosion/ensablement

rV`=I NPI IGPC IPIC IPli PIC IPif

BV_

VG ______

Lors de l 'exploitation:

|Vérification de la cohérence entre les débits prélevés et la quantité d'eau nécessaire àl l 'irrgation (efficience du réseau)T

I GPC I ~PIC IPHif PIC IPli

IHV ...:- -:iti7li

|Vérification périodique du bon entretien des canaux de drainage

FVI I ~~~~ ~ ~~~NP_I

IGPC IPIC IPli PIC IPliI ZD BV

Rapprificaina périodique de3rtcin cotr léoinEnsablemetio nionmnaed

;~ ~~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~~~~~N ANNEXE 10 -.

Termes de référence de la présente étude

_ - Ew = _; j ,,_* - +W_>=-tS.a=__,e>2r, ^; ié L;It- Yapponfmal..Volume 3 du PDLcIM_~~~~~~~~~~~~~~~P___L L

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* I*L-es cb ne^t :eLLnLncpau e de l.tsE.ldocunmcnt cadre de po1itiquc e cr.on.cu~e _'.e _~a '~~~alC pour la péri_ztde -S4~6 Sont dl atte -_rc, _-,nn de cr s~;ance de 2.5% mar an, de ramener le tau:~~ d'~-:r~~ 2,5'~- n 96ed'aD AÀr les échancres r:~~v_t-Cb~ort de V'rs.Ppef,zs -(C.u secte~Z- ruraLl

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1- o r esec:_ on sac d aotpau s stratcicces cadr c' eolitnq a Dans~~~~ .fan- ce cad-re sne~ot aMar.a~ot tan qua Ictro_cdue r`.e 'Ll ra mîtonrse ce plCI '2 future m:.se en son_

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ale':a oiv e n~o- esr'U'rocessus(">E) est on cou-rs pcour la ercn1rat~.cnr1 convnen*_L'r- G s_4:'usicna'e Po-;tX an 2Csert'`'fictLn c.osi h.enw rTt'.aslationa1 c icraE~eronnanencune C1clne`e l'nvirr.\Q'eno dasé f >9 ..et(cF\:N-e c^r- on etz--` ac-'. eo .

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rL.ve 'e ?DIPT8.Ns'insc-i_2 .. , ja zn,-)5e c25_Slans. 2C1 o TOS\nhqet ( const cm n,eun

_ ___~er rar.tabLLL~des activités

Sa f crrmLe1at .> a don arr5 en e' et IL a (' Lasaet d'unE irur'ies ~n~n c i rzer.suLtn .«aG`urs. - `an~e 'azn eciseac fondEacév' tenuerabLen Nouakc~xo n Oct-obre !L995.

Cette. rs4-o_n-on *a "e.r.s de s'occorder. s'.ir un cerstacn noirr

|a zecteur àt sav;ir.. 1' DC2r~.ti'réur.> FaJc- et extension des in' res Fconomlnue

CI sac _ eo.a O_le a lé+cS.o .col cces a_e- au Secte'- Od. .ct f (par'» exomr21 cD~.toutes ,Drincipaies, noS-st 2n c 1 a emen c amânae, dents scydraULzsure, un ec-trif nc rur na). t ire: 1 I eamn Lcratteon dus czi.xtsr d uoucLn, proo' quc 1 se-sntcL e'e,-x Les.e s r acta cr c e res 2c SerLo otr loL' e s acuriticn deu ?i 5'CS C

Ir le) ) lor ti c ee procI" ~ u, e-nstde

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dafno sr osts , et de _ _ econ:,aetL *ans Les Zesnza culls n t 17aon /nco\!e`.c:ve't: ' è- puLi:, ..

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~~~ es e nacemezntns 4_rts nor4;an's \~c D on4_ zxs ern cLace da.Π'2 Ces an-.ce2ent4s - o-.t anor4V_l r5xe c"arxotetnr-:.e _eres cru'. r~~~~~r'~~~xer~~~ rl ncs

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-j DorSL13~ 0 ~)> ren. _o4,_',inscr LvarxtWF;: -'acUn%?`lt»,CtR4 ooc -`t`de ~eo'c''°' 3

Les principaux problèmes d'environnement dans la vallée du Sénégal sont actuellement: . la salinisation des sols . le recul des surfaces de décrue cultivables (Walo) . le disfonctionnement des plaines inondables et autres zones humides importantes pour les cycles naturels de production animale; . la réduction de l'activité de pêche continentale et maritime, ainsi que la réduction de la biodiversité ichtyologique, . la dégradation du potentiel en pâturage, . la dégradation des foréts en raison des inondations quasi- permanentes, . les nuisances "habituelles" de travaux d'infrastructure générale, . l'augmentation des risques sanitaires.

On connaît les risques encourus pour la santé humaine si les facteurs hydriques - en particulier dans la transmission des maladies - ne sont pas parfaitement contrôlés, notamment par une protection physique des habitants, ainsi que par leur éducation.

Le résultat combiné de ces facteurs constitue une situation complexe et délicate.

Les objectifs de la présente évaluation environnementale (EE) sont: (i) d'identifier les impacts environnementaux défavorables que risquent d'engendrer les composantes du PDIAIM financées par la Banque Mondiale et d'évaluer l'ampleur et la probabilité de ces impacts sur la base de la définition actuelle de ces impacts, (ii) de proposer des mesures pertinentes et réalistes destinées à atténuer ces impacts, et, enfin (iii) d'effectuer l'intégration de ces mesures dans la conception de la composante environnementale du PDIAIM, en particulier par un renforcement des organismes de conception et de réalisation des activités du PDIAIM.

Dans un souci de cohérence, les mesures compensatoires des projets financés par d'autres bailleurs de fonds que la Banque Mondiale seront examinées et les dispositions communes (en particulier renforcements institutionnels) seront validées dans la future composante environnementale. Le cas échéant, pour les impacts environnementaux traités différemment dans les EIE financées par les autres bailleurs de fonds, ainsi que pour les projets non soumis à EIE, les auteurs de la présente évaluation environnementale pourront être amenés à faire des propositions complémentaires en attirant l'attention du Gouvernement Mauritanien sur l'opportunité de chercher à atténuer l'ensemble de ces impacts dans la composante environnementale du futur PDIAIM. e.s cofS ':an~s Sr ' ec` nr\nc:s cvderont zrEntndre connaissance des ternes doe ~'-ene - ELv aua'c on nàv7.roneneQnt:.e ce uie n1s ' caci r: : d erl v' oppemer.t . aaicltrra' cdans '.a v&`lée do ''-Y "vVo %r½cs. ,.. ,S&-xca2. iaa. Mnt. cO-n ài n ar ' a ' ns i quue cIe tc ,.r' r','a. ion '-!'V'-rt.t.an!\t..n-^2orr.ant. 2.-a zone crv^ç -e >?a' 2.e r- MV<. ov ZOt\Q e.véDlr ' .a -t z'.: oY.erntl e tonet c vcr ze Oo1u`! afin de cootErdc'.n-,er Lo"5-~ v.rardx - ?elaas mesure drui possi ble - z.vec les cowzlt' .:'. As ~ '.?O ; 'de ces c deO. COQtr: cO .rXa c.evra se- 'aire en teamc- e . e.echcz" 'orscue d-es s£:raLt ugiqucs seron, a

A in d'&vitorL. . rv.nue d-'ur.ne durlication d'effort, i1. est vivenent cor:-r r.5 -~ e`ecoredonner '-es trois activ:.tàs, surtoc\at -cour co cqu` es: cz.e 1a co lec4e des donnr-_s pràmair?z et de l.a cohr2nr.c vre dos r:oc-vn ct t:. onS.

Les. c nsU:-'' dev 'ron1_ êora2.enent. idente ier cles mersonnes reSsonrxcs r:- '.5 c.h ` r:c cr.rsu2 er, e larznonLser leur rf'f exions E:vec C2.es -ertc&z auor,zs àŽs inst1tut.ions concern Îes (Cellul-0e ?' >.,an *sr,> za-W_> SOK'.AD'.'ZR-., Parc de a'\Fnq etc ...

.Le rrsu2.:at c r-cv:lnoirzl de 2 {va'.ation '.*.ro.owen:ale sera une s r c ce. :hs-.; e cn- 'cs, x:rres, entLfô.es dans le

4_«.ec' `^)t_>t r- r,rt-. zron.Dr,r ni- t:'tt;lne ai_f L-

cornosanr: cul i:r.r uor-o cie .' uxx.luat.~on (ao rci d'ense'mb2 e du r:x'l

L r.Ses. n, rocess:s cuL __nuer> tcut. au lon!c dua reste de '- -Drç?,-larat.cr., r >:ncr cue. de la m Cseen Oe5uVr2:. CeC".te CO-."-cear . ne p?ase d'dt cécr-ti, e c -a"7. cr c'ia Cer 1obDjet & un r- _ at rss: erX re le Cou:vorrnerant. :aurL anien

Couxerrz':,e:-' `. -: .'!z. nc es erzt2 e2s.xrr'n

. la ;Lr.a sscazq d7dsa z'- en -'-ernes dc r+_-renrz rt le `ance.."2,:c'.r 'a a1 of'r-e' -,our 1' -. t.r1E_or (.de 2' ,tude U- la'' . _;`Q2'a'`.-" ''.` 'Jn '`.'. déêro '2-em an, -t de '' 'é.de *' ' .a~ s-zc.s_-n: C`'2'S racot.manada _ ors cie 1' >'_t.uc`. T:r`et rtrodct.ic4i d'un Idro"'r d bY6.et de ui-Y. 'CI sur 2.' n7v n et. (PA'32.S'e -idoss f rme 2.2.'o-m ent. ' e

* !.'8 ! 3c,' i-' +' r "'S' rl zor, l-an l xs cs onr c 1' .v ckt5oriposan_ t a'rz'ra'r 5, '2 ;tâ an«. x'e 5 i<0"'\ a' * '* .. ~c`' o *r..... oé\54 'V'C .\T; .... »a ...... cadre l r'1. 1. ? co.n-pss*

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-a va' ée ciu flcAve S£n aal' r .Ve, droite, y ccn.ris '.Xz et r tco !~ cou:v:e er.'.'oro> 4300.00 hla rêrartis sur c'u4:C 'e7ilaya {T-" -?''., Gm- o2. et c.^id5ak5 satfa. et rÂx{Don .f recoisce-.. ` t-'Xl Ia Trar't:}oel zt' &eva::; I 2zh'. . 2S5 soit 14;%

a. a rc n r.ii,t_ 'us ç_a n;> az onai e. E1- 1 e r L .4 dan,*4ri2 k1acaOnFzra--onsd.:.nt Cr&:ai atrt dans s_p

L e non<2r.0^ cw.'ex^' oit-a.nt s e.e~ Coles e e-iést à 2Tr CC, (de man2 ère cs eDnr :*at_ve dont er.v,ron 25.000 pra qOerCt l'rrigation, c un total nttonaél 1t002 .O00. La s':r ace rnette a.monaaoe en e rri C-Z rZtcT:iCe a 25Y7 0 ha, a Xc e 1S s'a> D'-74.Q t 4i 500 .a e n dcr'.ce cu le ' tcu.vette£ d' .' .

La zone d'8 'sde est la zone couverte nar l-es Prooetz Lr;ances rar il5a >,ncue ::~t,t'_2l.e dans le cadre du et' d-.ot l a cc,Dosa1-ne nvY.J zs:zs.ev-? concerne:

L-a vLabl tion des péri.Tz;trez iHr cufs villaczoLs entre GANI

i Le. cst»D. d,~z de l.a vD leo

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CQstruC.tacn W ouvrac-es , cc,locti4s c,oioz--au nar-as ns, C. auvo' rr-., nitat..ons. . . ., .. r a on

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T c' e 2 . Cr tc.-L. o':oro et e-rsentn iaâ

Les raar la Bancue londi.ale sc-ter . d(ncre>ins dans i _e-urs.cl.é orincala^. : ascz'enc;.tde cone, .cr.cteicn et . sc c -n

uhazece cmL~.D ~ LS_~~spc derzXce.e2.~z D»z>Car*-<_.5- lrones en sti t se n es s non

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Les ccnsuf -ants col lecataront, &.'oaluercnt et Dreerto les uonnur-. rants «vDa' q r at;-ves wau carao.r -c--

-. na!rs ecnnzir-.n- _ar dee - du la jui:o.e'e`?-ee- Z I sera conpaet'I:Lemen vn ' es Csc=)uces .,.e e _S(fecrnc ier fA:' i la cC.u2e de \ -~~...leszcrc-.*3s^ c«atl's e l aatoluzo au s_ues eau" >naturen_x ales

La scr_'u' de l3 '>5é -.- d_`ta-'.tits A-elr env ronnéent romvrerv2.ra:

(2} Lenv~~~~~~~ne nt chys'ique -L a '- eoloo~ de base, la to'car..cl,le cjLma et un aeec cela:roo ! cente,co.su'r*a-. :ect leson,

" J 0`soar':`, s 2 ct ` es _o`s, le c . ' 2.lae t n d'> 'aa':c 9e: d a .E - éf< oq t ve'ad dn z?f' ité dans les so.'_ rliu' a': `z . Ces crue anasrxnt t-rie . iordu barrc..e d 1:'.anza 2.c:. eu n:are oL -~*sur -.<.5.*^' _- c,r...~,A,c c_- el:. cours d'cu-e aQfeo:t&

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j (ii) L' ervLr er. _ soc_o-curterel - momulatLon, et les caractLzs=icvuos êth.ic'es, 'l os c;-:r.ogrraphL es, lla structure ! co.ln": r,`t :l ``sat..n des terres (!es c'.roits rad tiort.nels et_y non.-t_rad_ _onnarlt 's, 'le programine foncier râcerTnent adoctà oar le Gc-:vp-rne-2-., les M-zo-ets de voneret e- cours, in n' rastrutct r e cornnaucazre, e't 1 ro, âec cu'turelles; et

(iv) ''enlvLr:nnernen4_ institutionnel - les principales _nstitu;:-ons _m Lcuâes dans la planification et la gestion env«-on.nement.4{ e.'e ct les activitâs ayant un immac t sur !` ' envonr.e -t. IUne a:ttent;çon par'_tcu'rc doit âtre accordAe a2UY.i a_ L';i :_|`S ncas rar d' au.res bailleurs dec -onds dan.s la ` t v&e.': atrs rn'2`. râle mouci bar les zolitiaues s2c ori'alls C'.a^n. !lut*lit sati^n '-e l'eaul et des terres.

Coromr.ne^z-crC.e:'-nent r*entior.ne, des inforr%a+tins pertinentes ont

po,r ev..tzr _-»-. "'.Lzation d'e orts (ct ` r:th eJ . ce n>d2,-rssntes

coiné_e.n. 'S .re_ç.nt5>.s p.TTmLrctLauN suivt-tsrç des<.< <-cc*&'res

in t erno.c s de/ .e. '>en.c ue `,'tondii2al e . . e

w3 QD 4.023 La certion des ennermis de; cult ut.re G:QD Z. ^D7 La 'C,st` or. cies ressources enr eau D 4.- 20 Les ?mDulatonsinicnes QD3 .4.2033-D& _,ntv' _ivolontairc e4t ràinstallation de personfnes- 4 CD 4,. OO3 La liticue environnementale pour les cts dca: l~Q 75 barra`c0e'@"'`' r

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il ccnviaendr,a éfca' emer.t de r a ppeler 'es consic'éa ions `,JzL=cq:~ e>i>.nta_>-z D0rcra aux oé rat- ac,ns recevan: u- nanc-arnd e ç '~~a'2ar\c>>uc V'.crcXi.a', r'.isŽ oua lars *c .ns{i rar+'~ c.-l.t'a> S 2 ut-es bai`' -'"-e- . nrtme al es" e 2. Earzau2 aIY c n-Ç.*a i , nib en atn z enarta` - :,ra ltê, eZL e' - ) & .- r ei

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t- ' e d L.anace a:zsoci.e à la d^sa2.inL sea_ior. des terres irri guÉ a': ` :x -. .^.a.k` L >or et modernLsaz ' on des nérimiâtres !&'':. 's .na.(5.700 ha net e: 44.5 b!0a `ruts i '':'` C'1`55' LAes du dre.ana«e sur les pa uraces et la culial: des.j `'"` z uerra_ines eC_ superfLcLelles se;rCnt_ a'»lS` exa..r

Dans 'e vo`et mromnotior. d e. la nroc)uctor. a7rr_.c'Le les asee':z is*.e~ ...... -....r~._ a èFrc ex.ircs:

- la croe znrz de la producticn agricole et s;s aiversLficat iV.fac ::;on e2. et l.-robable su7r l' util isa a cn d.eo.s p re c I-its azi or d.-ses r ssues assec es sur la s -a'n h1 ne, t s`~~r' -_e \."'-a..ct>s `:ou5`rl1a :d.cru\e. cn:rôl&_Oe;

- - - - - 7Unc-2S~C_ ,r cfonc' 1 Z - 2~ *n :':e-et des eaux usoes t les3 c. rs à le.a Tco..: cr d',c>un cu rlus_eurs. aba_t'-;

;- ' ' accen _t ct.orn des nlressiq\ns sur e' s p: c ; deà r-e`u~. *n- dl lal otca' du bata` or.e". i ' ;ve= - r:n s nsnrr,es dans la valliée ct L ';a.clLora:i_ on tâBe ?.` ' a'.s?zr traler.t en intrants ('Droduz - a~_^e".r: <'r,a ba1~ ) t l`a'. eréat½ n c'es '[':2:s ':±!;o0 auY`-;

,'^ 7'cc--' so-ne nt des cIci5Cr_s cu turau x c. as

,1' dc--o:.d - ldes d seos .r ci.e &selcré2_a- vez s.s la e':ect*:a ` 're 1'e a c e.reces nt.p éve' C _ ave '

D'; ne m'rr-.era* ex.an.rale'- les respon'sables df L '&ft.e £ -asse an rcvuev tz_ es tstsipàz nrze atn s us c een ties ci' être obDsn a.x ` a z':SE tz d la :-Lse an oeuvre 'nu Dreoea:.. ' a reul2re s^,'_`era~5_f5.-D apntDréCeè aà -ol

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>~~~~~~~I r- ; a s (2 r '. za ' c, n -e1 _a.a rze r ;L> 1t,^.à*<-;xn!>? ev -e - i-s .rren 't~~~~~~~'t'`« sC!,cstcn'' rrt- sso'. rcSO i r z, fO' l^X-,-rC- t"t Cl îfi\ fr^>oé"r-

-rano_;' - Ws x[->-~.exr.nTot*Æ-,,, su4_r, n;as t> e ` - - 2. :

Le!~1-tudieran- de près ces rie.madat ons e-t les mOIIIoul-ron'ze, fcnct_~cn des analyses ~cie.z x.rn

- O' e' os nesures 'i.,

- Pr'aration d'un plan d'occuc)p.atîon des soi.s nour la zone . __ >-vc-^Zn dô_ ?roC-t. Ce 'alan d'ccc-2 nat_on des so`s nourra compren , `le -, dlibér, dee zn.eszones .? c^lŽ.r les * eaux de, dr-a-C saloes, zoneS bien crcons;rites Cui' seront; i cogressnvem'-tn_ st_éri Lsces men.èreade cLntrôle. Le choix, la ', irin:-o._atort. r-ise et le mode-de gesion/nrotection de telles zcnes sern arrc-és sur 1a bnase d'une nroposit_ion des consultant:_ anres -valicdation nar -ne ` arge auc'Sience (voir

i ~consultat ^::'du w bltic), .

- dve ccnemen dl'u-n DcroCram7Ie de ormat>on a l'utilisation

saine et 1 :amli.ica ton des croduts. .ro-wmiues ZvQc un ?tSDec- l' i;*nt -odtotsn d ap-_oches non-c` s:ocues ror __. 'ut contre le, cnnein-,s e.cn r os et plus n^raler.. d' uc'Cation ienvIrcnnc-en~l-a, e ar exe-nnle en synter92 e ax eo `e pro«raCI,r e iZ'.ur_cpnne,

r-:oc--Lndat_i ons en miati.erede ddar 'aC n;r c`to ilagro- '> f~orester-e n >- oxornme en s'>tns >*:'s tr`avau ) ectu>l un>^>4-)s Podork 'E;éndcx'L` avecae 'd'u Ponds uoen de Yv,eonenr\t

- concocti*on d'unX svst<;iw;e de pi4-en:erLnmaie ar)ronrie iour 'ez atoirs en ps.p'ace dans 'le cadre ru o:; et

j- cvelccer~ent Wde stratilciez de rer.forcoen-t dec synereies r ~~ acxr culur-d7 ,-..ovage (ex.fenpoe a.ccrosi.~' cSde lnan.b n çorQ=^.acesr ;-é c.__, c:D.)_n« ^ -

i ~ ~ ~ - aora^crarnon écts JeP ,ese.)renc-e. lture--s - ran -z-orent des actions d^e ornatio e- de v.u!Carisation nrùvues ozn _nL-)od^_uisant Ces asmects e_r- -ux (exeo'e: orration es aQents dans .les aspects ntax dd.'e giestion d1'une drir utu durable; ove'opDen _, _ nes derzinenzs sur- les rstcides. la. rotecticnon .ee' eau! eLa , synercoe coss le a e c -,es dCtvtsdes nrc-rs- ' serv.ce£ sricoles",

%- d'u:.ne. mani cre qen e, oot on e.es; act'vit s iccr.plc,entre.is ces ICt+_>Vis e.a r.-'arcolcs zr.diftionne''es, c '_>riS; a on c'-srS,-irocs.. ^- .n_ou-` n i aci_X.e''er.e.: r.on vxl_ce"so_-ren__ e-t }~~~~, c'vsn-:et ''.`>/~csa'ial s p.ev c-. dzan, u7nu lesprcoe ~c-'mre 'c est:> ort c`.es ;terroirs" et

5- actons dcie V. dos, envnron.rentaux pourpinicateurs unf mei` llure co nnai ssance dos- chrinoe nos run- une mneille_,r a c2.on sur eu,rs '-cluse s (ex. 2'r-t; la i tr1 d0tti . . 7 oioez8lV . ^&'. n- arLùon c1Œs .terres'),

I «~~~~~~~~ est cors c.f cdlexa iner Les avantaces et incc ûnients x .(xarar m"~ rO ..,rZ en a rc r rcnouvtL` ab-e' CSrali&es rou,' C2z'`at ; -r') c. " ~~ ~ ~ t>e.`~- cs;-^z,.ca *ep id or.s..corr cçcn.ciaflte5-.~-

i T aq ecdarcyAe L'ét'e v a iLe :C.- lre de se iracor-a-.t.ze4:- o^; av¢c ce' ` e5 de ';L! c'ves `_^.-' c`.C- a";rds oronets c

serr e.r - ommLes su-z sa _a ns aIDec ts envL r-nnemer.ta I.-et. Siz_) Ies corlsaLtants ce La résenyze e_uc i~E + ,^:-b»>'--_SO2 _ 1 'é,'e>s~on d:ec eS're*a-s c'i' ,ltEe.t` ~ etc de zvv..c de 'a erésernte EE aux autrec <,rczets czncernrs, sc. des rne_-r2s suffsant lar-es (nar exr:X> rentorcer\ent ^i } ~~~~capac 't n,*»'! t î onnc' .'e-, ci 'iG!S les oano î'le c. .Mla _r_r~E e.r.-e -ncu--or contro` er/attbnucr 'les > -cr--ats C-ns C autr s or e azss_...

8 ;''Xn. an «t_revr ...... : _:re ca CC'a cnev

'.c p'u: s ~ nrr.st n cr i-.cte .c'LwTrj d e5 a 'cz Lti a î a ia srrv.ieance drc orr_ e': *l5 C^.v` -3~.n.e.x.en_, oDarric're J verte, brise -.er.t ; | ~... '=-' rér . __ pourra;: ' une est :.mr,i: - c'.cS COe

rqr (i.*,féL':_-.S~~~~icS-, e- e 02>.-ine.s.t:~~*e ~ ~~e-O~ r, ~~~urcaesttr - n>,f cie:Dar::orr\er~~~~.ac ->al!.en e:!C17O c

- ' e 'Z` roposc'ra une, Li'ste rF_> iste .'e.s LrrcteUrs \ m"tiu '!S `r` _S p~~~~~.ert-c,entzeFQ5 i.cre,a 'e '`onltl coilec 'L 'z:2s15'; r S_tit.>«t ` q iC TLesn5 COnselL ':an. t p r Do 2 ccD ne 1- ' t `c2- r se des ,a rr`tres dont 'e _:V.`v 'evraIt _

ef 2 .l .

il ga t^ra t'-''- co>,npte des do"nr-&es su_L:V.c-n: K--.le- activ4l envzis~c ,cc ni' re-: sc±entent c':' n:.- 2r%eLr c tra n c e d*'uln proc'rar -Lo,r -^:^ _ .. -`'«_e-_>tt '._o--.- ,.-`.`=e.rt

'1 - ISdes .. .: >.:..es d7onrees rŽe c tv:s è. ual±% -4r4;sde e3xn.s e-a'"c -" "nt_^a (1t La Cr'ion ' ococrz_x-l-' zl&menta: f ~ ~~i .2 >ao;:te : entLe.rOl.Cec: c rendre e.n4- \ __c'. C-'.S /? ..- -. ` a; ln<.«_E ror*_t '.5 cirarr

A z~~~t S u1 '- z:-~ c use L' tObscrva:oi re o: Js, Le...... r > enomre. y$. ? cra. ce':ro2 A_s r Cemnn-apar .- es moyen; cie s''e- 5u.1 ane en - e

'.r >m~°J-'v r r-~- tt `-'e sui vi des Impacts

_: L;:\ _*::VŽTl.VV_2.'X /rz` C''.:.cr t`«cl 'aZ:S ansQ~eSe C.' aCtt'lAv1t2on, ' e C'rec^'-- ^ cn sreVŽz':iv ' esz uras?t td en selr. s Cascc':.corzec ...... z cti.-'. C o . ivar.t2s:

, rtO. .2_ Sc'.e 12x conceptIon Ci les comss«^ s-dtu pr:ojet " ?or..i^ncr 'e s i7.x1Dacis posi 2.s e inin ser 2es l -. ao :.racs nbcatif s;

* ..'I.^4^ _e_ .s . a` DC C s e >c 2 r es car es . o`es :_-scs et &7. d -man»ei'zc_ en oexuvr u

n-f.

| . recruveentr éventes dans les sruc-tures techlniques et ! .vfia .:ivis c'haroées d.u xpr'je, .

or!xa;on à 1a cestIcn de l'enmi ronnmentr r,our les

i. <4ôl5es e rec.erc Ces comolén ent aies,

{~ ~ ~~~~.1'LVt _-iZ. zE.a; n^ç

_ c _cl.-,s -etre er. oeuvr pour e'd'er c'es

.t -ot; ` -,n,= - lC eir>aZronl-e".Xe!\t.ai.oS""_ civ.:r : .L; f4-'uturs `* ;b:8s - e-x)es r,or \ -:ri,ra's )r -`Yrr r ~Des rec D>.,nc.on^s serorvt e. -ectuPs su~ 'anarv?.n>e d'utilinser ; :Les ri.saZ' c'ii sui8^Vi pour ar: L .orer ' a c Top-h`cfnzion d'es 'anificateurs e' es a nz :es, air. cue l icacité` a e_' ces RCt'onc s.s en oeuvre dans r k ' ne sur -les

I 1 est forteeent. recommandi, que 1 es cons':l-tants c:n-:uent. pour ; cOc:np'DZ du 'iuauerniientNauritan.ien. o: on o::o concertat ion avec ,L.i D.L"-7 t p?r t a bi zs du Groocp c- e tL-:vaE '), une consu, _t:tio n ue sur Les résuLtats eo.ancations 's1so«zne.+~«' d > t' otu'.<. 'Dett:e zor.su t_at~o o-DulbL :.uC s' f,,_tl--i en c^`1renc axra. Lez spoOsi42i ns de ` r'`_l_{tin ;L 'inr7c- at ic- r'- ',an de s -r ' ,. Ba,riuc. :½v!ae voir en . t, ' . ?rt:c''uL` r rn :iC.'cac ion .Sou*rcebcook ee La Barnc:uc .}on9i.aLe -

f.

y r . .

- t - . :J O rI c;: e0) >) c. - -I? c'-f Il.4.).D _ U Jl v -I JU r l r'J>S";. J-, Co r i ' >r1 i1.î,f4- 4 > ,J p,>.î jci ~~~~~~a1:> > e> cl. -, O> ->.C rf't ,( ~4 4 ;) C) CO; ol- 0il) ` Xj xt i I l j- >) LIt 44>4 j . {i' 4 rt; :t i Il..., trQt j ' t 1 r'. 4 c) >i r7 'C' V ,>j,. s> t r ~ ~>: c> cr' :> > .> î - >1 oj >4 . (f4 VJ ci

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<' s s,r . .2,. 4.z.- s~~~~~~~~~~~~~~~~-i~~~~~~~~~~~~~~~~

L;''?<2'D e/t-ct«w8rc ccnsucl'-ants cdevra exaxni rnar 've,' n\-.alit.t die reni:crcer clc- .~ 5. ,D 27\ÀD Af R>e dC-,t>! ,>.3,F Ele rr- a .., a,t Dr r- a t.:0n - El. s"'t=`-';`r`ç , z : a»zr.s e:avi^ ntas . af `.'.art. auut- zie; =rF->Cn ^-et_-: coi at R'E a f n C`' ', fi , orer Za ccvnçO!Aca'_ ana':_oEdc'e- service centr a,x vers Les i, ja un-i ac t. vt. ao e ?. n i ur r.e :le. ... vour _ a

î -:r .0 co e "' ajecr e. r ce r u - _rz (`?r?'.-) . *2'`,. aur,a à ____>a: _- .:dre 'des ) co1r. >ndation-, rIuant. - La a rc tion dc ca:, aai :. . s ' .la:res a.u n.LaCes rmeicna.' de

?~_cL.e ?. ^__es r`,t___aS ,e_rzes de enz. _el- den'e ia | 't`? ~,'i3 2 s2 c t'' r, . 7ne d e la ...... "t*Ž'-~ . a 2sa_ rse7 n n5r.

Le cas é-':-, '0cTuipe c arcee der la decaarat.on lia prscente ôva'z' lat.L c v rnerrltale Droduira, * :r:It.e co` labo-at.o av^^c * s -r:z ;en. ants dc l a sociéea cS.v>.l'e >uanlt an>ene eC. a'-Zant. eu ncc:.:blc avec la nartie Sa n cala* c '. es termes dtc rc rcrxca -`., r .fl ci-dessus.

Ce -laan e' c'o;tiné à ôtre produ,_i t au c-o.rs R.s c-ux nreem ères

ar'.rev C' r - Je*. -"«'8 -'D Ci Las oc.<'~_(- ;>4é <-' cae c:e ?l. sa n.:

C.c`7 -:..``.2tr c.c nan.-~ra rrc r.-..~--- v,a;

'é~-'fOc. 'Ca ':err,e ces re_so_u-ces car.s `a r-t vcn/ezc e: .la Basse sS ~~.Lic>. tci: Ž.:ve Sô'nôEcal. X< cec.t e :nr, le plan, c c5renc.rad4az çlX a:zr~s znte.s_ - e o o u r (z*) dvr7 L . ec,r _' One-,~., ?ca, e E>Cr*let _ _ rcr.t`.c. :nr c dtu cti ve ncou cs naoza alŽ.. e:__;-.- r '- ca,-: et '?^'- ' ~ -_5z;!~5.n de re ce s cn ' ( \ rc Qvz,ez.tl es ra-o-e"rc

CC. ' `___ ` ` % ;, - 5-:> rcr u .n, rc a t, 0! C!u l a ds, s cc ni n 1 0abt é t-n t rs _ e s ?r :aC.vcsso r-ci a les. 'e -, a R ' a'r ra drt: I'cri-on O cYrr ai-:a ,uc cu nnza_ne cdl anne, e sera p r,>aDr é -par d es Li ~~ ~.=.:Oc.dz r _e ' `encn . artznciot.ives cc<_c` dà- ntraie .isôc-s t ainsant. r. ; -8dpr:iculc_' ^-r a.-cct.ie i;;rscc. -11 se-a a ensu i'e *~ ~ ... 8 i' .n';`C)`^'tt,#rancihe c.e '; an.s -.e u-o't. dw0'~Se dê"'si- ' o'-szer" >

- -'-o';:r:s et. rcsC.a. dans 'e cadee -. a sca'oacÎe c`.'- osc>_?:.~n oz.;-ae et nationale LJC`S act.V-Cs *.f' c. ` `,'2_X` - -_':_. n coanrrencront lta 'ranf aorna'ona Local e s '2r',c :` .r'_r-CDIOcs, lesxrloit.ation deut ressour>ces !biologielue se- r 'a_v'al~''' 2-. ^ ct>^' es à zdes : ins ali .enCair r cn a -ales e_

-r- : ' nzi ue le ci e1ov .- ,rnE d- ' __ r s ir e - >ô -:r eneniari en iani liei u ays n . Ces tvz'e sero.-

cts eA 'f 3 a,\!. d a r- c o r' cr- r- a sar-c r-. et 'a r,e_t '_,t fl n ccSanz( c.,' i- r a^.fi *~t-é, uc r:zn re .,se et. céla rt1aaOeime c- r art e lava ci n-a- r- ,rc O- :traspo'- . zaz:: . .. !s.'-`sc;-`r2A8)`lL n.,7 L r 0 n neIl,~e vey C>t^>-<.naJ?re c>.h>:;^ ;ti,) , ;\f-rz si2 cc.rxc1lsv'0On - ese act Lons rCCDrXaICkQc-man,-r - n nar -es s d;.e cQ` e 7zr Les ~~~"__~yr.:K .-- zcn 'r.~.e dcsi e5tr § t ir,te<-?ç-ae_z ( ~nn.-

ju dcl n r o a 'atre r ;r-ir .. s n_ laa..a ' 4 - "rce.

__ rl cr' r:a,:.r ' n la ciace non tec1->.x.cue' \ {Cad.rac.e roL oicrsr "traLr{.e_ catnr ta_

5 3rsc~ :* -.:E. ^ -ro-e: - cnvn aca.;

;* ,tNxLvsd 'afs ,- rn-8ta: es cc* ?rDrersn4 r~ Qrn. tt-cr r?- -d'~ a5n_atÂon e de-suC )vi c`s inpacts *r-* L'e ' .- _o__--.- :

1 ; =rc récr-es érenceH.e DoU.r le an dece _ e>De.rx' Durabn e X.x V av-ye.nee ' e' L a R-, e"euve d. Sôr.éraaL

r __-~~~~~~~~ r'd m.na o _-r tt?'. rl ' n 0t t7 7l Ce

.~~~ *'`{-;'.tt'J'd2e r2ur\E r\ç:, e'e r tors) c'e s-~t9ée cw ;~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~3, x--"r1Or-. de cons' a*;Drl r'a: . x§' a,u. ir c.er s c. : r am_ o r

" T.~~es c Dru'~ .';ns four.« ...... n. on0 'O...... :e!|'.oa :res clu raDpor~

* '4rl>C>--- .~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~r \ j'8 t !J. u -a~ ~ n

in l'abencc id' instL ututorxo loc'esa1'a eab 7ea pDcrter ,`' enbsemb'L dos: c' L_aL s';esz n.rcessaa res a r.e 'ane c- n& e ite de 4'dtw3c e .._ o r:'. ctr~anc;^nsa a' u:-v' entrarc .Pt:rrrr.c_`. onaLe so'.-c

'`314_`-2.CtL``.c5e._n': `-t: ass '-C2*' "toi- Ltre C ouvernemer~t >e;s d'- La Cc~ndau t_' de ' 'nvaLuatlon o2nv±roncr'M>çn4a'Le et

$1 tôc:'`a a.-. . d5_ura!IDort f i- aL.

_es maemYares de !1' cuioe doivent âtre spêcr a istec des dcrai-.t' 4' su Nvan s: ;

' - aLu a c n s env o nner '.e ntaL'es - e rD _rn cce - rn d' n - c ex-Di- c d arns Le Jn cie L'Lrrc1L a`L`1

dLve><>rbent rna {Eét`rO: .2 X§L. -ue d`e L' 2Yes*:!- Cc4

t:- S°`ocau e ru ra' ayac- des conna.zsan-e±: en drroit foncae ruraL1

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i - v~~~~cOnOnm;.,ec'e 1' environnenent ; - _cc>LLste en i.' t3t`-ut ons cie ruvrca etene !fs oe. cXes mroie.ts avec emyvDra ?ncC ie. aerrac.-n dans des rome;_ --rnc-ncL%spar 'a E an a e, l:,Onci«a'

i*--. `;LéAste 'de santé iumwairne et de cestz.on eventie de

.8 . - _£nco a! st;e de. cfestioi d' incrrmaition écaraphLcmue (S

Tcus cns s'>cL a'_s':es devron't avoir une e.mceliente ne.atrise c r--ar.c2.a- r ci- et cr `

;u2ea cnterrat o.'e devra intégrer d, eta- aues consultants Arr^c.xns ayant ur,n cxtzcr en(

1e, D,\-;narL½ ' nu'neci' aZ.a'tir., .: r. ie.rx'.zUes. bcvr' conna, .- :n .e `. e nv oonn r.en., ci e ''rDonc\ven et. de so o s' 2e c&u `>assL, du feuve Sénàga' est autenent ddsrarz'D

Des4 p:e-%!.ere c'éi^erts cde ter.es dce rA-é'rence ind-ivdueIs so ; ~ ~~~~~~n %E;! -S^._' C' e de cens' t arts

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cncrcr'.c :rie, o-ara,on dri'iva.luat`ons ev~-onne'nrtaLes se' "'s ~Do rdurcz d- L aBa nacu-e zond Ia eou. d'Dai ~lle .r s -'onds nyt-rocàd.ures r=mpnx at!es rteiu.n~ 1neo ri''. e> s Dre abcn s nar ~ e e-~acXse m-' I e d.e r Lt e. ao.LOpc n1

ae Couv' rn,-%n :~:auL-',o c L Croupe2 de rvL,ain.

cLevrfa a x:- nr Lr,::ras~n r_ _ ene L-b C'_ns d c,_In- 's

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reca~ero:'.: ut de.. re2constitution -derevn2 a~nro et bc

c-e. L'&u? e,' us rjartiLcuLiîrelteit_ _-- aocLL:t.e d'e S ci. 3 t ,>c: c Ci W IO WO (n C.AI (1~) IA no< r-I fl0tJt~~~4'4Jrj O-, 1 c"ti'mmQj Ti V) til 1-1 oJ L -) 0 .c97--r:W Ct JCJiO(nd21(A ri~OCJ:- _-jO Ln ~ ci>- 1 r Ol QI '~,çC'~m'. )i C)E~~ Z-rt-r .11 ' Ci ~ ~ 1 1 5 4. kVr 0 r rO

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Di ~Lr-2o ... a 1Y.':, Foret, chas-.e e_ c'e la CcnservL-,on des Sols, Y.-ue_>S\: L. Seér~a', non. ck.rtte, Rxapport +.:an du Dr-o4et y s.esaun.-:.n -d" c' .e<._ !aturelN daranz le Déoar emr\ent c'e rFodor, DFZ`

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- '. -. -e nationa -d'ana eo.t dec -ts classées !t'>DR Jillat fr.9?!,Programme daisectrLe«.de lu\t'Ž contre la ;dése zxtL__àot Z , NSO/BI,S

":. ` , 1992, Détcr fCixan.t les a ::iutIon du ''!.-st-s-_ro du t` ~ . D'ave lo-e-.ent tRurale et d 1'e 'i7'"t;rnl.'>8'_ -- -- i:t on ; .v:ved n.'ra" s Ce, Jour"1;) -C!U

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octobre Q coasuI',` a E t d . de. i. s a d u

'v'R-. LLe .L95 rola:aenz l Ie D ,e 2. ".' r>.t itrt'r'C ie M'e\crccu ._re trtquaeer V'.acrit'anie - `c :•c "':. c.e 2..' ' £r0.t., sron!l ur : . a.

`J'OR-,i`eF 2995, ?rocamme c'e -~) ?ezntùnt E . -dcrm dle rcu:el r--^Cen r a.n.e e - Co2 tCXZ £C-7Qc-.o; '..

I tœV.DRS-gQN.ADE, oc_tore 12-99G, Etude c'e nz.isabiL tc.~d c'i z-o c.'r '_.2z' - 'l ..Sr o° 2e ad a n Le itl t. Oe L.e cv î ? L ,.. 2 acta raDzrt. d a nce:~.' () - _C

`'erziGerM c~. :e n- r .en en_, sa wà re L95,_n a Eva '-rci z e= revuer

* ' r.rx:' s' e è-. e rtr.t 5eur, dclérremb:e L'92, ,s -^e*'r\ clu,St 'e`et-''_^c ac l rfor.a2-ei szrat'.`'n'as'c,"e-a -

* . avs, Jui! LLz :ta99, aen Mtise oeuvredc n.' `ser or n .

I ': t_* s,L.`dez'- e2u~:, . de 'La sae a- n' aats;e`_ c'.e _ 'r : a e

IazzLrl .dur Le:.- > a2 êtuce2 de fsaiit'L ',"

: ~~ ~ ~.- : ~. ~ . - - : : vtIIZN, C rn;-:.a'n n et dd\f'veLo?pcOeTV: dtars Le dl;>. t. >>.<,,r_ur ''.' t~~~ ;'e*S-v-- '\rL-|trs.` :_anlMe.S:raF'c<,e iati n.aLe de.AQOt3â5^...... >

'UIN, 1.99°. }'{-.l- > _nien. _i raeé&'X eJ >at' orale dcif Cfs:-veX._or..

a ~ ~~~~~~ .aer Maure:aru': C:.v r26'5try' . ;.~:. r o . ~ ~ aetovsr . 2~~Q

j . t'.4 ( ;~~~~f_7'=9 `,

-s;e< jt > T t ;

n < _ ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~-`M', ` -

>_< _:B -- ~~~U.Vlm3 Eàla2o Eni-:nmetl du--s P.Ds« f il ANNEXE 11

Liste des principales abréviations

BDD Base De Données BM Banque Mondiale CPB Casier Pilote de Boghé CILSS Comité Intemationalde Lutte contre la Sécheresse au Sahel EA OD Environmental Assessment - Operational Directive (Directive Opérationnellepour les Etudes Environnementales) EAB Etude Après-Barrage EE Etude Environnementale MDRE Ministère du DéveloppementRural et de l'Environnement. PAN Programme d'Action National de lutte contre la désertification PANE Plan d'Action National de l'Environnement PPG Périmètre Pilote Gorgol PDIAIM Programme de DéveloppementIntégré de l'Agriculture Irniguéeen Mauritanie PFIE Programme de Formationet d'Information sur l'Environnement PGRNP Programrnede Gestion des Ressources Naturelles en Zones Pluviales SIG Système d'Information Géographique

Rapport final - Volume 3 Evaluation environnementale du PDL4WM