une histoire avec du cinéma

UN FILM DE FEDERICO VEIROJ

Festival International du Film MEILLEUR FILM MEILLEUR ACTEUR PRIX DU JURY MEILLEUR RÉALISATEUR Festival de La Havane Festival de LA ROCHE-SUR-YON 2011 Festival d'Istanbul Festival de Valvidia Prix du JURY INTERNATIONAL

UN FILM DE FEDERICO VEIROJ -Espagne / 67 mn / 35mm / Dolby SRD / 1.85 / Noir & Blanc SORTIE NATIONALE LE 28 MARS 2012

Distribution : A3 DISTRIBUTION Relations presse : RENDEZ-VOUS 50/52 rue du fbg Saint-Denis - 75010 Paris Viviana Andriani, Aurélie Dard Tel : 01 44 93 73 59 Tél. : 01 42 66 36 35 [email protected] [email protected] www.A3distribution.com www.rv-press.com Photos et dossier de presse téléchargeables sur www.rv-press.com « La vie utile » , définition : durée estimée dont peut

SYNOPSIS

Jorge travaille à la Cinémathèque uruguayenne depuis 25 ans et vit encore chez ses parents. Plus qu’une passion, le cinéma est sa vie. Mais le jour où la Cinémathèque rencontre quelques difficultés financières remettant en cause son activité, Jorge reconsidère sa vie et ose entreprendre une curieuse aventure... se prévaloir un objet, en s’acquittant correctement de la fonction pour laquelle il a été créé.

PRIX

PRIX DU JURY Festival International du Film de La Roche-sur-Yon (2011) Festival du Film d’Istanbul (2011) Festival du Film de Transylvania (2011) MEILLEUR FILM Festival du Film de la Havane (2011) MEILLEUR RÉALISATEUR Festival du Film de Valvidia (2010) MENTION SPÉCIALE Festival du Film de Varsovie (2010) Festival du Film de San Sébastien (2010) Festival International du Cinéma Indépendant de Buenos Aires (BAFICI) 2011 MEILLEUR ACTEUR (Jorge Jellinek) Festival International du Cinéma Indépendant de Buenos Aires (BAFICI) 2011 Représentant Officiel de l’Uruguay en 2010 pour les Oscar ® Prix de la Fédération Internationale de la Presse Cinématographique (FIPRESCI) au Festival du Film de Carthagène ENTRETIEN AVEC LE RÉALISATEUR

LA CINÉMATHÈQUE URUGUAYENNE JORGE JELLINEK Dans LA VIDA UTIL , je parle d’un monde auquel j’appartiens. Pendant l’écriture du film, je pensais à l’histoire d’un jeune homme Pas uniquement celui du cinéma, mais plutôt l’univers bien qui travaillait aux Archives du Film en Espagne et qui retournait particulier de la « Cinemateca Uruguaya », l’endroit où j’ai travailler à la Cinémathèque en Uruguay ; mais j’ai dû mettre cette découvert mon envie de faire du cinéma. De plus, j’ai travaillé histoire de côté pour me concentrer sur le film Acné . Mais au dans d’autres cinémathèques, et pas uniquement en Uruguay mais moment de la sortie de Acné , j’ai rencontré Jorge Jellinek, le aussi en Espagne aux Archives du Film. Ce film représente mon personnage principal de LA VIDA UTIL . Rencontrer Jorge m’a permis de repenser à cet ancien scénario parce que son physique correspondait à l’histoire... Je n’ai pas pu m’empêcher d’écrire cette histoire pour Jorge, pour ces endroits ; cet homme je ne sais pas pourquoi, en tant que spectateur imaginaire, je le voyais en format carré et noir et blanc. Cela peut être interprété comme un hommage à la manière dont on travaillait autrefois (et, peut-être que mon projet était un petit peu celui-là). Pouvez-vous imaginer cette histoire en Cinemascope ou en couleurs ? Non ! Cette histoire était faite pour le format carré et le noir et blanc. Si vous rencontriez Jorge dans la vie réelle, vous vous rendriez compte que c’est un homme en noir et blanc... DYPTIQUE Le film se compose de deux parties. Le scénario comprenait au départ uniquement la première partie, nous avions inclus des scènes de la vie domestique de Jorge, en contraste avec son travail quotidien mais j’ai changé d’avis. Je trouvais ça trop banal. J’ai décidé de faire de la première partie un bloc indépendant, se concentrant uniquement sur son travail. Puis dans la seconde partie du film, l’idée était de sauver notre héros une fois qu’il a perdu son univers. Je voulais raconter une histoire accessible à tous ceux qui travail. Je pensais que cet homme devait continuer à vivre et se aiment le cinéma mais sans la raccorder nécessairement à une raccrocher à une chose en laquelle il croit, à laquelle il est sensible. cinémathèque précise. Ce film n’est pas un documentaire sur la Qu’une autre vie vaut la peine d’être vécue ! Cette renaissance « Cinemateca Uruguaya », même si les protagonistes de l’histoire viendrait alors de lui-même. Il laisse derrière lui le monde qu’il ont véritablement travaillé là-bas... connaît déjà mais sa nouvelle vie s’appuie sur son expérience. C’est un désir « Don Quichottien » de vivre son propre film. LA MUSIQUE La chanson des « Deux chevaux » est inspirée d’un poème de peut-être pu également utiliser Le Dernier des Hommes de Leo Masliah, auteur, compositeur, acteur et humoriste uruguayen Murnau mais il y aurait eu un rapport trop direct avec mon très reconnu en Amérique Latine. Cette chanson provient d’un histoire... Mais il est évident que ce film était un allié très important poème écrit en 1980-81, pendant la dictature en Uruguay. Mais pour moi pendant le tournage - la fin fantasmée du Dernier des au-delà de la notion de passé, cette chanson symbolise surtout Hommes est pour moi une des plus belles séquences de cinéma. la perte de l'innocence et la nécessité de grandir. Mais, même si on n’a pas utilisé un seul extrait ou une seule L’ART DE MENTIR Le discours de Jorge a été écrit par Mark Twain (« Sur la décadence de l’art de mentir »). Je ne sais pas de quand date ce discours mais il l’a prononcé devant des étudiants d’université. Je voulais que le spectateur ait la sensation que Jorge est peut-être en train de réciter un dialogue d’un film, ou peut-être quelque chose d’autre, et j’aimais l’idée que c’était comme improvisé, comme un acteur qui essaye de se souvenir d’un monologue, mais n’y arrive pas. J’aime cette sensation dans ce genre de situation ! Parce qu’une fois qu’il a énoncé le texte, vous vous laissez embarquer par ce qu’il dit. Cela parle aussi de sa propre vie, du fait qu’il est en train de mentir à ce moment précis, mais que le cinéma lui aussi ment, ce qui nous ramène à la première partie du film (lorsque Frank Norris, l’auteur des Rapaces d’Erich von Stroheim, parle de la vérité) qui est une partie quasi documentaire, quelque chose de l’ordre du témoignage alors que la seconde partie s’ancre d’avantage dans la fiction, plus mensongère. LE DERNIER DES HOMMES Je voulais utiliser Les Rapaces de Von Stroheim, car son prologue référence à un autre film, il y avait des ambiances ou des influences traite de la vérité, et aussi parce que c’est un de mes films muets qui était proches de nous durant l’élaboration : le personnage de préférés. Même si on ne montre pas cette scène en particulier Guglielmo Bertone interprété par Alberto Sordi dans Guglielmo il dans LA VIDA UTIL , j’aime toujours penser que ces deux films dentone (1965), Ikiru d’Akira Kurosawa (1952) et le film argentin sont liés : la cruauté et la jalousie dans Les Rapaces , projeté dans Tute Cabrera (1968) de Juan José Jusid. Et les grands classiques cette petite salle de cinéma et les cartons lus par Martinez. J’aurais américains étaient bien sûr présents dans mon esprit... FICHE TECHNIQUE

Réalisateur Federic VEIROJ Scénario Inès BORTAGARAY & Arauco HERNÁNDEZ Gonzalo DELGADO & Federico VEIROJ Producteur exécutif Federico VEIROJ Co-producteur MEDIAPRO (Espagne) VERSÁTIL CINEMA (Espagne) Image Arauco HERNÁNDEZ Son Raùl LOCATELLI & Daniel YAFALIÁN Production Laura GUTMAN - Juan José LÓPEZ Assistant réalisateur Manuel NIETO Décors et costumes Emilia CARLEVARO Montage Arauco HERNÁNDEZ & Federico VEIROJ Musique Leo MASLIAH / MACUNAIMA, Eduardo FABINI 67’ - Noir & Blanc - 1:85 - SRD LE REALISATEUR

Federico Veiroj (, 1976) est diplômé en Sciences Sociales de la Communication. Programmateur de films, il produit et réalise des courts-métrages depuis 1996. Il apparaît en tant qu’acteur dans « 25 watts » de Juan Pablo Rebella et Pablo Stoll. ACNE, son premier long-métrage a notamment été présenté à la Quinzaine des Réalisateurs en 2008 et nominé pour le Goya du meilleur film Hispano-Americain en 2009. LA VIDA UTIL est son second long-métrage.

2010 2002 LA VIDA ÚTIL 50 AÑOS DE CINEMATECA URUGUAYA (67' / Uruguay - Espagne) (15' / Uruguay) 6 DE ENERO 2008 co-réalisé avec Daniel Hendler (10' / Uruguay) ACNÉ (87’ / Uruguay - Argentine - Espagne - Mexique) 2001 Quinzaine des Réalisateurs - Cannes 2008. DE VUELTA A CASA Primé aux Rencontres du Cinema Latino de Toulouse, (7' / Uruguay) au Festival de San Sebastian (Espagne 2007) LO QUE DEO MANDA et au Festival International du Nouveau Cinéma co-réalisé avec Damien Huyghe (11' / Espagne) à La Havane ( 2008). Meilleur Réalisateur au Sanfic de Santiago (Chili 2009), 2000 Prix du Jury à l’ AFI Festival (Los Angeles 2008). DREAMING ABOUT YOU Nominé aux GOYAS. (5' / Uruguay) 2004 1998 BREGMAN, EL SIGUIENTE (AS FOLLOWS) TOO MUCH DIVING (13' / Uruguay-Espagne) (4' / USA-Uruguay) Prix du Jury au Festival de Film de Gigon - Espagne I JUST WANTED TO TASTE A REAL BURGUER Prix du Meilleur Film au Festival de Cinema jove co-réalisé avec Omer Avarkan (5' / USA - Uruguay) à Valence - Espagne 1996 31 DE DICIEMBRE co-réalisé avec Daniel Hendler (8' / Uruguay) FICHE ARTISTIQUE

JORGE JELLINEK est programmateur de festivals et critique de cinéma à Montevideo.

MANUEL MARTÍNEZ CARRIL a été directeur de la Cinemateca Uruguaya pendant 35 ans. Aujourd’hui, il est critique et programmateur de salles.

PAOLA VENDITTO est comédienne au prestigieux Teatro Circular de Montevideo.

« J’aime penser Jorge comme un Don Quichotte des temps modernes, dont l’expérience et les connaissances cinématographiques lui permettent de vivre ses propres aventures. Il s’agit là de son unique moyen de survivre» FEDERICO VEIROJ

50/52 rue du Fb st Denis 75010 Paris Tel : 01 44 93 73 59 [email protected] www.A3distribution.com