1 1. Révision du POS en PLU 1a Engagement de la procédure 1b Le cadre législatif et règlementaire 1c La nouvelle hiérarchie des normes 1d Les documents supra communaux 1e Schéma de la procédure

2. Diagnostic territorial 2a Situation géographique et contexte administratif 2b Environnement socio-économique 2c Le paysage 2d Les protections réglementaires 2e Le cadre bâti 2f Bilan de la consommation foncière depuis l’approbation du POS

2 1. Révision du POS en PLU

3 1a - Engagement de la procédure

LE POS ACTUELLEMENT EN VIGUEUR . 14/02/1985: Prescription par le Conseil Municipal . 02/02/1989: Approbation par le Conseil Municipal . 13/04/1990: Approbation de la modification n°1 . 15/06/2000: Approbation de la modification n°2 . 05/05/2006: Approbation de la modification n°3 . 28/02/2011: Approbation de la modification n°4

LA REVISION DU POS EN PLU . 26/09/2014: Délibération du Conseil Municipal pour engager la révision du POS en PLU

. 06/01/2015: Signature de l’acte d’engagement avec EUCLYD-EUROTOP (19 mois , date butoir: 06/08/2016) . 13/03/2015: Délibération complémentaire du Conseil Municipal relative à la révision du POS en PLU

4 1b - Le cadre législatif et règlementaire

 Loi SRU (13/12/2000, Solidarité et Renouvellement Urbains)

 Loi UH (02/07/2003, Urbanisme et Habitat)

 Loi ENE (12/07/2010, Engagement National pour l’Environnement dite loi Grenelle 2) Le territoire communal est concerné par deux zones Natura 2000 : •Directive Habitats (ZSC) : Littoral Cauchois (FR 2300139) •Directive Oiseaux (ZPS) : Littoral Seino-Marin ex Cap Fagnet (FR 2310045) Le projet de PLU devra faire l’objet d’une Evaluation Environnementale.

 Loi MAP (27/07/2010, Modernisation de l’Agriculture et de la Pêche) Le projet de PLU devra recueillir l’avis de la CDCEA sur la consommation foncière

5 1b - Le cadre législatif et règlementaire  Loi ALUR (24/03/2014, loi pour l’Accès au Logement et un Urbanisme Rénové) Publiée au JO le 26 mars 2014, elle est d’application immédiate.  instaure une nouvelle hiérarchie des normes (cf slides n°9 à 11)  réduit le seuil de mise à disposition gratuite des Services de l’Etat. A compter du 1er juillet 2015, elle ne bénéficiera plus qu’  aux communes de moins de 10 000 habitants qui ne font pas partie d’un EPCI regroupant 10 000 habitants ou plus  Aux EPCI regroupant des communes dont la population totale est inférieure à 10 000 habitants  Selon l’INSEE 2011, la Communauté de Communes de Valmont compte 11 226 habitants.  En conséquence, depuis le 1er juillet 2015, les Services de l’Etat ne sont plus à mis à disposition de la commune d’Elétot pour instruire les autorisations d’urbanisme.  La Communauté d’Agglomération est désormais compétente en termes d’instruction du droit des sols. Un service commun mutualisé a été créé depuis le 1er juin 2015.  Ce service mutualisé gère les demandes des communes de l’Agglomération de Fécamp Caux Littoral (sauf Saint-Léonard) mais aussi de 7 communes de la Communauté de communes de Valmont (Ancretteville-sur-Mer, Angerville la Martel, Elétot, Saint-Pierre-en-Port, Sassetot-le- Mauconduit, Valmont, Ypreville-Biville) mais aussi Etretat et Gonneville-la-Mallet sur la Communauté de communes de Criquetot l’Esneval.

6 1b - Le cadre législatif et règlementaire  Loi ALUR (24/03/2014, loi pour l’Accès au Logement et un Urbanisme Rénové) Publiée au JO le 26 mars 2014, elle est d’application immédiate.

 rend les POS caducs au 01/01/2016 sauf si une procédure de révision du POS a été engagée avant le 31/12/2015.  Vu la délibération du 26/09/2014 engageant la procédure de révision de POS en PLU, le POS d’Elétot sera opposable aux tiers jusqu’à l’approbation du PLU (août 2016) et au plus tard jusqu’au 27/03/2017.  reporte au 1er janvier 2017, l’obligation pour les PLU d’être compatible ave la loi ENE.  prévoit le transfert automatique de la compétence PLU des communes vers l’intercommunalité à la date du 26 mars 2017 sauf si ¼ des communes représentant 20% de la population s’y opposent entre le 26/12/2016 et 26/03/2017. Le 26/03/2017, le cas échéant, si la communauté de communes n’est pas devenue compétente, elle le deviendra de fait le 1er jour de l’année suivant l’élection du président de la communauté consécutive au renouvellement général des conseils municipaux et communautaires, sauf en cas d’opposition des communes dans les mêmes conditions que celles mentionnées précédemment. Notons qu’un transfert volontaire de la compétence PLU à l’intercommunalité est possible avant le 26 mars 2017 si 50% des communes représentant ⅓ des habitants ou ⅓ des communes représentant 50% des habitants y sont favorables.

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1b - Le cadre législatif et règlementaire

 Loi ALUR (24/03/2014, loi pour l’Accès au Logement et un Urbanisme Rénové) Publiée au JO le 26 mars 2014, elle est d’application immédiate.

Le règlement du PLU devrait être restructuré en 3 thèmes : 1) Usage du sol et destination des constructions 2) Caractéristiques architecturales, urbaines et écologiques 3) Equipement des terrains.

A cet effet, un projet de décret portant modification de la partie réglementaire du Code de l’Urbanisme est actuellement en cours de rédaction par le Conseil d’Etat.

Il a été soumis à l’avis du public du 23 juin 2015 au 17 juillet 2015 inclus à l’adresse mail suivante : [email protected]

8 1b - Le cadre législatif et règlementaire

 Loi d’Avenir pour l’Agriculture, l’Alimentation et la Forêt Publiée au JO le 14 octobre 2014, elle est d’application immédiate. Elle redonne de la souplesse en termes de constructibilité dans les zones agricoles et naturelles La CDCEA va devenir la Commission Départementale de la Préservation des Espaces Naturels, Agricoles et Forestiers (CDPENAF). Le décret d’application relatif à la composition de la CDPENAF et aux modalités de saisine a été publié le 9 juin 2015. Il est venu modifier le Code Rural et de la Pêche Maritime.  Le cas échant, Elétot devra donc recueillir l’avis de la CDPENAF sur l’ouverture à l’urbanisation des zones non constructibles du POS initial.  redonne de la souplesse en termes de constructibilité dans les zones agricoles et naturelles (L.123-1-5 CU)

 Loi relative à la simplification de la vie des entreprises Publiée au JO le 20 décembre 2014, elle est d’application immédiate. Elle prévoit qu’un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) compétent en matière de plan local d'urbanisme, de document en tenant lieu ou de carte communale puisse décider, le cas échéant après accord de la commune concernée, d'achever toute procédure d'élaboration ou d'évolution d'un plan local d'urbanisme, d'un document en tenant lieu ou d'une carte communale, engagée avant la date de sa création ou du transfert de cette compétence.

Si l’EPCI engage la procédure avant le 31/12/2015 et si le débat du PADD a lieu avant le 27/03/2017, le PLU intercommunal doit être approuvé au plus tard le 31/12/2019.

9 1b - Le cadre législatif et règlementaire

 Loi NOTR (Nouvelle Organisation Territoriale de la République) Promulguée par le Président de la République le 7 août 2015, elle a été publiée au JO le 8 août 2015, elle est d’application immédiate. La taille minimale des EPCI à fiscalité propre est fixée à 15 000 habitants.  Selon l’INSEE 2012, la population de la CC du Canton de Valmont est inférieure à 15 000 habitants (11 309 habitants) La création de l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre est prononcée par arrêté du ou des représentants de l'Etat dans le ou les départements intéressés, avant le 31 décembre 2016. En termes de transfert automatique de la compétence « urbanisme », la minorité de blocage issue de la Loi ALUR est maintenue, à savoir, une opposition de 25% des communes représentant au moins 20% de la population entre 26/12/2016 et 26/03/2017.

 Loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques dite « Loi Macron » Elle a été publiée au JO le 7 août 2015, elle est d’application immédiate. Elle redonne de la souplesse en termes de constructibilité dans les zones agricoles et naturelles.

10 1c – La nouvelle hiérarchie des normes

Depuis l’entrée en vigueur de la loi ALUR, le PLU d’Eletot s’inscrit dans une nouvelle hiérarchie des normes : il doit être uniquement compatible avec le SCOT.  SCOT du Pays des Hautes Falaises Approuvé le 14 mars 2014, entre autre : • Il fixe un objectif de croissance à 0,65% par an pour atteindre une population de 92 000 habitants à l’horizon 2030 nécessitant ainsi la production de 570 logements/an (PADD, p6)

• Il renforce les principaux pôles urbains (Fécamp, Criquetot-l’Esneval, , Fauville-en-Caux, Valmont) et laisse aux communes rurales les capacités de se développer, plus particulièrement pour celles qui connaissent une forte croissance dans le Sud-Ouest et celles qui sont reliées par les transports en commun. (PADD, p8) • Il vise une consommation de 30ha de foncier/an et une densité moyenne des opérations entre 16 et 20 logements par hectare. (PADD, p8) • Dans les communes rurales, l’accueil se fera au regard des capacités des équipements et des services existants afin d’y maintenir une vie active. (PADD, p11) • Il renforce la position structurante de l’agriculture en se fixant comme objectif d’enrayer le mitage lié au développement anarchique de l’habitat : la préservation des terres relève d’une priorité. (PADD, p14) …/…. 11 1c – La nouvelle hiérarchie des normes

…/…. • Il prévoit des capacité d’accueil dans les zones urbaines des pôles secondaires et des pôles de proximité pour pérenniser le tissu artisanal et commercial, en réservant l’implantation en zones périphériques aux activités qui ne peuvent s’inscrire dans le tissu urbain. (PADD, p17) • Il propose une remise en question du modèle de périurbanisation consommateur d’espace et une alternative à l’étalement urbain et fait la promotion de formes urbaines innovantes facilitant la réhabilitation, la rénovation et l’urbanisation à proximité des zones urbanisées, le développement de l’habitat durable et de logements diversifiés. (PADD, p28) • Il envisage la conservation d’une vie active dans les villages ruraux afin d’y maintenir les commerces et les activités en place. (PADD, p29) • Il vise une meilleure qualité de vie en invitant à dépasser les approches classiques de niveau d’équipement et de services, et à considérer les évolutions sociétales. (PADD, p30) • Il mentionne que le doublement de la RD 925 est envisagé en fonction de l’évolution du trafic en misant sur la capacité de report modal vers les transports en commun. (PADD, p33)

12 1c – La nouvelle hiérarchie des normes

Depuis l’entrée en vigueur de la loi ALUR, le SCOT du Pays des Hautes Falaises s’inscrit dans une nouvelle hiérarchie des normes. Il doit être compatible avec : • DTA Estuaire de la Seine (10/07/2006) • Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) du Bassin Seine-Normandie (2010-2015) et (2016-2021 à venir prochainement) Il doit prendre en compte : • Plan Régional d’Agriculture Durable (PRAD signé le 05/04/2013 pour la période 2012-2019) • Plan Régional de la Qualité de l’Air (PRQA élaboré en 2010 pour la période 2010-2015) • Plan Climat Energie Territoriaux (PCET élaboré pour la période 2013-2018) • Schéma Régional du Climat, de l’Air et de l’Energie de Haute-Normandie (SRCAE arrêté par le Préfet le 21 mars 2013, il remplace le PRQA et le Schéma Régional Eolien) • Schéma Directeur Territorial d’Aménagement Numérique (SDTAN adopté en juin 2012 par l’assemblée plénière du CG 76 pour une durée de 15 ans) • Schéma Régional de Cohérence Ecologique (SRCE, EP terminée le 23/06/2014) • … Pour rappel : Lorsqu’un document est approuvé après l’approbation d’un SCOT, ce dernier, doit, si nécessaire, le prendre en compte dans un délai de 3 ans.

13 1d – Les documents supra communaux COMPATIBILITÉ avec le SCoT du Pays des Hautes Falaises Retenons que :  Le territoire du Pays des Hautes Falaises est réparti en 4 grands espaces : . Fécamp et son espace périphérique proche . Espace littoral . Espace rural du Plateau de Caux . Espace Sud-Ouest de Pays sous l’influence de la périurbanisation havraise  Elétot appartient à l’espace littoral  Cet espace littoral est composé de 4 pôles : . Pôle de proximité des communes littorales . Pôle de proximité rural inclus dans la zone littorale . Communes touristiques . Communes littorales rurales  Elétot fait partie du pôle des communes littorales rurales et ce, avec les communes d’Heuqueville, Saint-Hélène-Bondeville, Ecretteville-sur-Mer, Ancreteville-sur-Mer, et Criquetot-le-Mauconduit

En cumul des communes pour la période 2009-2030, pour accueillir du logement : • il est prévu la consommation de 0,9 ha par an • il est prôné une densité moyenne de 20 log/ha Cette densité exprime le rapport entre le nombre de logements et la surface du terrain d’assiette de l’opération hors voirie publique.

14 1d – Les documents supra communaux

COMPATIBILITÉ avec le SCoT du Pays des Hautes Falaises

15 1d – Les documents supra communaux

COMPATIBILITÉ avec le SCoT du Pays des Hautes Falaises

Ancretteville-sur-Mer 193 Ancretteville-sur-Mer 114 Criquetot-le-Mauconduit 182 Criquetot-le-Mauconduit 84 Écretteville-sur-Mer 156 Écretteville-sur-Mer 61 Életot 618 Életot 288 Heuqueville 696 Heuqueville 261 Sainte-Hélène-Bondeville 701 Sainte-Hélène-Bondeville 292 Vinnemerville 217 Vinnemerville 124 Total 2763 Total 1224

Retenons qu’en 2012 , les communes littorales rurales comptent :  2763 habitants (∆≈ 300 habitants supplémentaires d’ici à 2030)  1224 logements (production souhaitée, en cumul des communes, entre 2009 et 2030 de 400 logements supplémentaires)

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f

Schéma de la procédure la de Schéma

- 1e 1e

17 2. Diagnostic territorial 2a Situation géographique et contexte administratif 2b Environnement socio-économique 2c Le paysage 2d Les protections réglementaires 2e Le cadre bâti 2f Bilan de la consommation foncière

18 2a – Situation géographique et contexte administratif

Arrondissement: Superficie de la commune: 681 ha Population légale: 618 habitants (INSEE 2012)

19 2a – Situation géographique et contexte administratif Canton: Fécamp (canton n°11) (Ancretteville-sur-Mer, Angerville-la-Martel, Colleville, , Criquebeuf-en-Caux, Criquetot-le-Mauconduit, Écretteville-sur-Mer, Életot, Épreville, Fécamp, , , , , , Les Loges, , , Saint-Léonard, Saint-Pierre-en-Port, Sainte-Hélène- Bondeville, Sassetot-le-Mauconduit, Senneville-sur-Fécamp, , Thérouldeville, Theuville-aux-Maillots, , Thiétreville, Tourville-les-Ifs, Toussaint, Valmont, Vattetot-sur-Mer, Vinnemerville, , Ypreville-Biville. Le bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Fécamp)

20 2a – Situation géographique et contexte administratif Pôles urbains à proximité de la commune: Infrastructures : - Fécamp 8 km (12min. en voiture) Gares SNCF les plus proches : - Cany 15 km (17 min. en voiture) Bréauté et - Bréauté 24 km (33 min, en voiture) - St Valéry 27 km (31 min. en voiture) - Yvetot 37 km (41 min, en voiture - Le Havre 51 km (1h en voiture) - 61 km (1h10 en voiture) - 75km (1h15 en voiture)

Le Havre Rouen 21 2a – Situation géographique et contexte administratif

Elétot fait partie du Pays des Hautes Falaises

22 2a – Situation géographique et contexte administratif

Eletot au sein de la CC du Canton de Valmont

La commune est membre de la Communauté de Communes du CC de la Côte Canton de Valmont : d’Albatre 22 communes CC de Fécamp 129 km² 11 309 habitants (INSEE 2012)

87 hab/km²

CC Campagne de Caux

CC Cœur de Caux

23 2a – Situation géographique et contexte administratif

LA CC DU CANTON DE VALMONT (Autorisée par AP du 30.12.1999) Les compétences OBLIGATOIRES sont :

•AMENAGEMENT DE L’ESPACE •DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE

Les compétences OPTIONNELLES sont :

•POLITIQUE DU LOGEMENT SOCIAL •SOCIAL ET LUTTE CONTRE L’EXCLUSION •PROTECTION / MISE EN VALEUR DE L’ENVIRONNEMENT •TOURISME •CONSTRUCTION, ENTRETIEN, FONCTIONNEMENT DES EQUIPEMENTS CULTURELS ET SPORTIFS

 Les statuts de l’intercommunalité disponibles en ligne sur le site de la CC du Canton de Valmont sont à jour.

24 2a – Situation géographique et contexte administratif

Elétot adhère également aux structures intercommunales suivantes :  SIAEPA de Colleville  SDE de la Seine-Maritime  SMBV Valmont Ganzeville

25 2a – Situation géographique et contexte administratif Elétot adhère également aux structures intercommunales suivantes :  SM de traitement et de valorisation des déchets du (SMITVAD) Créé en 2003, le SMITVAD, 3ème syndicat de traitement de déchets en Seine-Maritime, • intervient sur un territoire essentiellement rural de 116 000 habitants situé entre Dieppe, Rouen, Yvetot et Le Havre • traite chaque année 40 000 tonnes d’ordures ménagères et de déchets assimilés.

26 2b – Environnement socio-économique La répartition de la population dans la CC du Canton de Valmont

Selon l’INSEE 2012 : • 11 communes ont une population < 500 habitants • 9 communes ont une population entre 500 et 900 habitants • 2 communes ont une population > 900 habitants

27 2b – Environnement socio-économique La répartition de la population dans la CC du Canton de Valmont Ancretteville-sur-Mer 193 Angerville-la-Martel 926 Colleville 754 Contremoulins 189 Criquetot-le-Mauconduit 182 Écretteville-sur-Mer 156 Életot 618 Gerponville 390 Limpiville 348 Riville 327 Sainte-Hélène-Bondeville 701 Saint-Pierre-en-Port 842 Sassetot-le-Mauconduit 1050 Sorquainville 181 Thérouldeville 644 Theuville-aux-Maillots 508 Thiergeville 398 Thiétreville 385 Toussaint 759 Valmont 976 Vinnemerville 217 Ypreville-Biville 565 28 2b – Environnement socio-économique Evolution des populations communale et intercommunale de 1968 à 2012

Années 1968 1975 1982 1990 1999 2012 Elétot 508 516 510 552 537 618 CC du Canton de Valmont 8893 8345 9138 9798 9850 11309

Population de la CC du Canton de Valmont en 2012: 11 309 habitants

Population d’Elétot en 2012: 618 habitants soit 5,46% de la population de l’intercommunalité

Evolution similaire de la population à partir de 1982

29 2b – Environnement socio-économique

Evolution des populations communale et intercommunale de 1968 à 2012

SN = Naissances - Décès SM = Départs - Arrivées

Evolution similaire de la population à partir de 1982

30 2b – Environnement socio-économique Evolution de la population communale par tranche d’âge

Selon l’INSEE 2012 , entre 1990 et 2012 : • 0-14 ans : stabilité • 15-29 ans : recul d’1/3 • 30-44 ans : léger recul • 45-59 ans : doublement • 60-74 ans : léger recul • > 75 ans : légère augmentation

31 2b – Environnement socio-économique Evolution de la population intercommunale par tranche d’âge

Selon l’INSEE 2012, entre 1990 et 2012 : • 0-14 ans : quasi stabilité • 15-29 ans : recul d’1/3 • 30-44 ans : léger recul • 45-59 ans : augmentation d’1/2 • 60-74 ans : quasi stabilité • > 75 ans : légère augmentation 2b – Environnement socio-économique Evolution de la taille des ménages Selon l’INSEE 2012 : • Elétot :  Taux déjà bas en 1968 et évolution en « dent de scie » jusqu’en 1990  Taux en baisse entre 1990 et 2007  Taux stable depuis 2007 • CC du Canton de Valmont :  En baisse depuis 1968  En baisse constante depuis 1975 • Département :  En baisse depuis 1968  Baisse plus modérée depuis 1982

33 2b – Environnement socio-économique Composition du parc communal de logements entre 1968 et 2012

Parc de logements en 2012 : Le parc de logements a évolué de 39,3% en 44 ans 83,6% de résidences principales La proportion de résidences 9,4% de résidences secondaires secondaires est une des 7,0% de logements vacants caractéristiques des communes littorales (plage la plus proche à Saint-Pierre-en-Port) la proportion de logements vacants est >5%, le marché de l’immobilier n’est pas tendu à Elétot.

34 2b – Environnement socio-économique Composition du parc intercommunal de logements entre 1968 et 2012

Parc de logements en 2012 : Le parc de logements a évolué de 63,1% en 44 ans 80,3% de résidences principales La proportion de résidences 14,7% de résidences secondaires secondaires est une des 5,0% de logements vacants caractéristiques des communes littorales la proportion de logements vacants est à 5%, seuil à partir duquel le marché de l’immobilier est considéré comme tendu.

35 2b – Environnement socio-économique Logements accueillis à Elétot entre 2000 et 2015

55 nouvelles maisons d’habitation accueillies au sein du territoire communal entre 2000 et 2015 (comptage à partir de la date de dépôt de PC en mairie pour les chiffres de 2000 à 2014 et sit@del2 pour 2015) soit en moyenne 3,7 nouvelles maisons par an

 Sur cette période, le territoire communal a accueilli 14 logements sociaux

36 2b – Environnement socio-économique Statut d’occupation des résidences principales à Elétot et au sein de la CC du Canton de Valmont Les statuts d’occupation du logement à Elétot sont très proches des statuts d’occupation du logement au sein de la CC du Canton de Valmont

Résidences Résidences Résidences Résidences CC du Canton de Résidences Résidences Elétot HLM occupées TOTAUX HLM occupées TOTAUX en propriété en location Vamont en propriété en location gratuitement gratuitement 1999 151 36 6 5 198 1999 2679 658 207 109 3653 2012 180 37 14 9 240 2012 3466 747 178 73 4464

37 2b – Environnement socio-économique La répartition du logement social en 2012 au sein de la CC du Canton de Valmont (part de logements sociaux dans les parcs de RP des communes)

%HLM au Libellé géographique sein des RP

0 Ancretteville-sur-Mer 0 Angerville-la-Martel 4,5 Colleville 0 Contremoulins 4,4 Criquetot-le-Mauconduit 0 Écretteville-sur-Mer 5,9 Életot 0,7 Gerponville 0 Limpiville 1,6 Riville 2,6 Sainte-Hélène-Bondeville 5,9 Saint-Pierre-en-Port 5,3 Sassetot-le-Mauconduit 0 Sorquainville 4 Thérouldeville 0 Theuville-aux-Maillots 0 Thiergeville 6,1 Thiétreville 4,7 Toussaint 9,0 Valmont 8,9 Vinnemerville 5,5 Ypreville-Biville

38 2b – Environnement socio-économique Activités économiques : 57 emplois au sein d’Elétot Les activités présentes sur le territoire communal selon la CCI de Rouen :

- CUVIER Pascal, Commerce de détail alimentaire sur éventaires et marché - DEJARDINS Bertrand, Entreprise de pose de clôtures Source: CCI de Rouen http://www.decideco.fr

Les activités présentes sur le territoire communal en sus (source communale) :

- 1 maçon

+ Activité des services publics

 Fécamp répond aux attentes des habitants quant aux besoins de première nécessité (commerces et services de proximité)  Rouen et Le Havre répondent aux besoins plus spécifiques

39 2b – Environnement socio-économique Activité agricole

Selon le diagnostic agricole réalisé par la Chambre d’Agriculture en janvier 2015, Elétot comprend 5 centres d’exploitation dont : • 1 est une Installation Classée pour la Protection de l’Environnement (DSV) • 4 sont soumises au RSD (ARS, ex-DDASS)

40 2b – Environnement socio-économique Evolution de la répartition des actifs d’Elétot entre 2006 et 2012

dont élèves, dont actifs étudiants, dont retraités dont autres Élétot Actifs dont chômeurs Inactifs ayant un emploi stagiaire non pré-retraités inactifs rémunérés 2007 266 241 25 104 43 30 31 2012 299 272 27 97 30 39 28 Evolution 07-12 12,4% 12,9% 8,0% -6,7% -30,2% 30,0% -9,7%

41 2b – Environnement socio-économique Lieux de travail des actifs occupés résidents à Elétot en 2012

Bolbec 4 1,6% Bretteville du Grand Caux 4 1,6% Cany-Barville 12 4,7% Elétot 57 22,1% Fauville en Caux 4 1,6% Fécamp 85 32,9% Gonfreville-l'Orcher 4 1,6% Le Havre 12 4,7% Les Loges 4 1,6% Maniquerville 4 1,6% Notre Dame de Gravenchon 4 1,6% Octeville sur Mer 4 1,6% 4 1,6% 4 1,6% Saint-Eustache la Foret 4 1,6% Sainte Helene Bondeville 4 1,6% Saint Jacques sur Darnétal 4 1,6% Saint Léonard 8 3,1% SaintMartin aux Buneaux 4 1,6% Saint Pierre en Port 4 1,6% Saint Valéry en Caux 8 3,1% Saint Vigor d'Ymonville 4 1,6% 4 1,6% 4 1,6% Yport 4 1,6% Total 258 100,0% 42 2c – Le paysage

L’Atlas des Paysages de la Haute- Normandie réalisé par la DREAL de Haute-Normandie en 2010 identifient 44 unités de paysage au sein de la région.

Elétot figure au sein de l’unité de paysage « Caux Maritime »

43 2c – Le paysage

« Caux Maritime »

Elétot

• Un plateau ouvert sur les horizons maritimes • Les valleuses, des paysages intimes • Des falaises difficilement accessibles • Une agriculture simplificatrice du paysage • Une alternance entre plateau et vallées/valleuses • Une urbanisation récente qui colonise le plateau

44 1a – Le paysage

 Un plateau ouvert sur les horizons maritimes

Ce secteur du pays de Caux est marqué par de grands horizons de plus en plus larges au fur et à mesure que l’on se rapproche de la mer tandis que le ciel devient lui de plus en plus présent. L’horizontalité des champs, qui semble ne jamais s’interrompre, s’accompagne d’une raréfaction des clos-masures, des villages, des alignements d’arbres et des routes à l’approche des falaises. C’est cette lente métamorphose du paysage rural vers un paysage maritime qui est d’abord perçue, avant que l’on puisse appréhender physiquement la mer. Ces changements graduels se traduisent par exemple par l’anémomorphose des arbres qui adoptent un «port en drapeau».

Dans cette configuration où la mer dessine l’horizon du paysage agricole, il demeure cependant difficile de s’approcher sur les derniers kilomètres de la ligne de rupture pour admirer le paysage maritime. La route qui longe le littoral reste en retrait de 500mètres au minimum et les rares chemins qui mènent au bord de la falaise, sont peu mis en valeur (voie en cul de sac, stationnement sauvage, bornage béton). C’est aussi sur cette ligne de rupture que se maintiennent les derniers espaces naturels du plateau, riches d’une grande diversité végétale et faunistique.

45 2c – Le paysage

 Un plateau ouvert sur les horizons maritimes

crédit photo: Euclyd-Eurotop

Vue sur les éoliennes installées à Fécamp depuis la Rue de la Mare Cordier

46 2c – Le paysage

 Des falaises difficilement accessibles

Si les falaises de la côte d’Albâtre sont, sans nul doute, un des lieux les plus emblématiques de la Haute-Normandie, s’en approcher et les admirer restent souvent difficile, si ce n’est depuis la mer à bord d’un bateau et depuis les plages. Par nature instable, le haut des falaises est en perpétuel recul et le bord du rivage forme une bande trop étroite pour y cheminer aisément. Seul le débouché des vallées et les caps dominant ces ouvertures offrent des vues panoramiques sur le défilé des falaises. Très ponctuels, ces espaces sont des lieux essentiels à la découverte des paysages maritimes.+

 Une alternance entre plateau et vallées/valleuses Le Caux maritime est aussi marqué par l’opposition entre les paysages ouverts des bords de falaises et les paysages des vallées et des valleuses. L’horizontalité du plateau est brusquement interrompue par les entailles profondes et brutales qui descendent à la mer. Il s’y produit un changement complet d’ambiance, passant d’un espace ouvert, lumineux et plat à un espace souvent boisé, confiné et intime. La route littorale qui longe la côte est l’axe privilégié pour apprécier ce contraste entre plateau et vallées. Rectiligne et dégagée sur le plateau, la route devient sinueuse dans les pentes raides et s’enfonce dans la pénombre des vallées végétales pour ressortir à la lumière sur le plateau suivant. Les lignes boisées de rebord de coteau sont particulièrement perceptibles depuis le plateau et forment des corridors écologiques précieux dans ce paysage où les monocultures dominent. 47 2c – Le paysage

 Des falaises difficilement accessibles

crédit photo : Google Earth

48 1a – Le paysage

 Une alternance entre plateau et vallées/valleuses

crédit photo : Google Earth

Alternance entre plateau agricole et la Valleuse d’Elétot

49 2c – Le paysage

 Les valleuses, des paysages intimes

Le relief très particulier de ces petites vallées ou valleuses et leur climat plus doux ont favorisé le développement d’un tourisme de bord de mer et d’une forme urbaine spécifique des stations balnéaires du 19e siècle. De part et d’autre d’une route principale située au fond du talweg, les villas anglo-normandes ou de style mauresque ou italiennes, occupent les pentes, dissimulées, au cœur d’une végétation luxuriante. L’ensemble compose un paysage de parc habité de grande qualité.

La Valleuse d’Elétot est peu urbanisée

crédit photo : Google Earth

Les constructions sont d’architecture simple crédit photo : Google Earth

50 2c – Le paysage

 Les valleuses, des paysages intimes

La Valleuse d’Elétot est peu urbanisée

crédit photo : Google Earth

L’habitat est constitué de constructions légères de loisirs

51 2c – Le paysage

 Une agriculture simplificatrice du paysage

Sur le plateau, l’agriculture de grands champs domine largement. Néanmoins, des cultures comme celle du lin ou les quelques parcelles de maraîchage encore présentes apportent une certaine diversité. Cette agriculture intensive a rejeté les espaces de biodiversité dans les valleuses et les vallées et les structures arbustives et arborés dans l’espace agricole deviennent de plus en plus rares. Les prairies restantes se concentrent au contact immédiat des villages, permettant du même coup le maintien de haies, souvent issues d’anciens clos-masures. La disparition des structures végétales provoque le même phénomène que celui constaté dans le pays de Caux voisin, c'est-à-dire l’érosion des terres et les inondations. Des ouvrages hydrauliques ont été aménagés pour tenter de palier ce problème.

52 1a – Le paysage

 Une agriculture simplificatrice du paysage

Vestiges de haies constituées d’arbres de hautes tiges en limite de prairies urbanisées récemment

crédit photo: Euclyd-Eurotop

crédit photo: Euclyd-Eurotop

53 1a – Le paysage

 Des clos-masures aux villages A la différence du cœur du Pays de Caux, l’habitat et les exploitations agricoles ont tendance à se regrouper pour former des villages, au tissu urbain relativement lâche. Ils sont, de manière générale, situés dans de légères dépressions les mettant à l’abri du vent. Ces bourgs issus du regroupement de maisons et d’exploitations agricoles ne possèdent pas réellement de centre urbain dense. Le carreau, place du village ou du bourg est toujours présent et regroupe les bâtiments principaux de la commune : l’église, la mairie et l’école.

Conservant les structures végétales qui délimitent les clos-masures, ces villages offrent une ambiance très végétale et jardinée, avec au cœur du tissu bâti des parcelles en vergers ou en prairies. Sous les effets de la pression immobilière liée à la proximité de la mer, la plupart des villages du Caux maritime s’agrandissent. Ces extensions se font généralement aux dépens de la ceinture végétale qui entourait la plupart de ces villages (haies d’arbres de haut-jet, jardins, etc…). Cette évolution rend les fronts bâtis très perceptibles sur le plateau.

54 2c – Le paysage

 Des clos-masures aux villages La ceinture végétale a disparu

Clos-masure Les vergers se sont raréfiés La ceinture Prairie végétale a disparu Prairie Prairie

Prairie Clos-masure Clos-masure

crédit photo: Géofoncier Ancien clos-masure loti 55 2c – Le paysage

 Une urbanisation récente qui colonise le plateau

Ces phénomènes d’urbanisation accélérés du plateau sont d’autant plus marquants qu’ils ont lieu dans des paysages ouverts et donc fragiles. Des urbanisations de toutes sortes, induites par l’attrait du bord de mer, ont tendance à «grignoter» le territoire. Dans certains secteurs, des villages se rejoignent formant ainsi des continuités urbaines dans l’espace agricole, notamment entre Etretat et Fécamp. A cela s’ajoute le mitage de certaines parcelles agricoles le long des axes de communication. Cependant, les extensions les plus marquantes sur les plateaux sont autour des grandes villes (Saint-Valéry-en-Caux et Fécamp) qui, faute de place, consomment les rebords de coteaux avant d’entamer le plateau proprement dit. Lotissements après lotissements, les villes font disparaître les lignes boisées des coteaux et occupent le plateau agricole sans qu’aucune limite naturelle ne puisse stopper leur progression. La ligne de leur front bâti, souvent banal, s’impose au paysage agricole.

56 2c – Le paysage

 Ligne de front bâti qui s’impose au paysage agricole

crédit photo: Euclyd-Eurotop

Rue de la Mare Cordier Absence d’insertion paysagère

Rue du Four à Pain Destruction du talus cauchois

57 2c – Le paysage

 Ligne de front bâti qui s’impose au paysage agricole

Perception de l’urbanisation de la Rue des Jonquilles depuis la Rue de la Cavée Absence d’insertion paysagère

crédit photo: Euclyd-Eurotop

Perception de l’urbanisation de la Rue des Jonquilles depuis la Rue de la Cavée Vestige d’un alignement d’arbres de haut-jet crédit photo: Euclyd-Eurotop

58 2c – Le paysage

 Ligne de front bâti qui s’impose au paysage agricole

crédit photo: Euclyd-Eurotop

Rue des Wagans Destruction de la ceinture végétale initiale Absence de nouvelle insertion paysagère

crédit photo: Euclyd-Eurotop

Perception de l’urbanisation de la Rue des Wagans à l’extrémité de la rue de la Corderie

59 2c – Le paysage

 La production d’énergie, source de transformation du Caux maritime

Le Caux maritime, comme le secteur littoral du Petit-Caux est un lieu majeur pour la production d’énergie. La première installation fut la centrale nucléaire de Paluel. Installée en contrebas de la falaise, comme celle de Penly, elle est relativement discrète. Néanmoins, beaucoup d’aménagements induits trahissent sa présence, des dispositifs de sécurité entourant son périmètre, aux lignes à haute-tension parcourant le plateau. Depuis quelques années, des parcs éoliens viennent compléter ces équipements. Isolés, ils ne comptent rarement plus de quatre à cinq éoliennes, ce qui est peu face à l’ampleur du paysage des grandes cultures. Cependant, leur positionnement peut poser problèmes notamment lorsqu’ils sont trop proches des vallées, les mâts provoquent des ruptures d’échelle avec les coteaux. Des projets de parcs éoliens offshores sont en cours d’élaboration notamment au large de Veullettes-sur-Mer. Leur impact à terme fait débat et aucun projet n’a encore été réalisé.

60 2d – Les protections règlementaires

crédit cartographique: DREAL HN En hachure : Espaces remarquables (loi Littoral) En bleu : Sites du Conservatoire du Littoral

61 2d – Les protections règlementaires Le programme Natura 2000 est un programme européen de conservation des espaces naturels qui se réfère aux Directives «Habitats» et «Oiseaux» de 1979 et 1992. Il prévoit la constitution d’un réseau de sites sur l’ensemble du territoire européen.

Ces sites sont choisis et désignés parce qu’ils abritent des habitats naturels et des espèces animales ou végétales d’intérêt Communautaire c’est-à-dire qu’elles sont devenues rares ou menacées à l’échelle européenne.

Deux types de sites interviennent dans le réseau Natura 2000 :

• les ZPS :zone de protection spéciale  zones jugées particulièrement importantes pour la conservation des oiseaux

• les ZSC :zone spéciale de conservation  zones jugées importantes pour la conservation d’habitats naturels ou semi-naturels rares et zones accueillant des espèces de faune et de flore d'intérêt communautaire

Pour chaque site du réseau Natura 2000, un document d’objectifs (DOCOB) définit les orientations de gestion, leurs modalités de mise en œuvre, et les moyens financiers prévisionnels pour maintenir les milieux naturels et espèces dits «d’intérêt communautaire» en bon état de conservation.

Le code de l’urbanisme prévoit que la procédure d’évaluation environnementale s’applique pour tous les plans locaux d’urbanisme (PLU) susceptibles d’affecter un site Natura 2000, compte tenu des travaux, ouvrages ou aménagements pouvant être permis.

 Elétot est concernée par 2 zones Natura 2000

62 2d – Les protections règlementaires

crédit cartographique: DREAL HN En vert : Natura 2000 Directive Habitat En bleu : Natura 2000 Directive Oiseaux

63 2d – Les protections règlementaires

ZNIEFF = Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique

On distingue 2 types de ZNIEFF :

• ZNIEFF de type I : secteurs de grand intérêt biologique ou écologique; • ZNIEFF de type II : grands ensembles naturels riches et peu modifiés, offrant des potentialités biologiques importantes. Cet inventaire doit être consulté et pris en compte dans le cadre de projets d’aménagement du territoire (document d’urbanisme….).

 Elétot est concernée par 2 ZNIEFF

64 2d – Les protections règlementaires

crédit cartographique: DREAL HN En vert : ZNIEFF de type 1 LA FALAISE DE FÉCAMP À SAINT-PIERRE-EN-PORT (62ha) En hachure verte : ZNIEFF de type 2 LE LITTORAL DE FÉCAMP À VEULETTES-SUR-MER (2036 ha) En hachure bleue : ZICO Zone Importante pour la Conservation des Oiseaux LE CAP FAGNET

65 2e – Le cadre bâti

 De l’habitat ancien majoritairement en R + comble aménagé ou non

Rue des Wagans / Rue des Falaises Rue des Mouettes

Rue de la Mare Cordier Rue de Boisval Chemin du Calvaire

crédit photo: Euclyd-Eurotop 66 2e – Le cadre bâti

 De l’habitat ancien majoritairement en R + comble aménagé ou non

Rue de Boisval Place du Marquais

Rue des Wagans / Rue de la Vierge Rue des Wagans Accès depuis la Rue des Wagans crédit photo: Euclyd-Eurotop 67 2e – Le cadre bâti

 De l’habitat ancien majoritairement en R + comble aménagé ou non

CR n°18 Rue des Wagans Rue de la Corderie

Rue de la Cavée CR n°19 crédit photo: Euclyd-Eurotop 68 2e – Le cadre bâti

 De l’habitat ancien mitoyen

Prolongement de la Rue des Mouettes Cour souveraine Place du Marquais

Rue des Wagans Rue de la Corderie crédit photo: Euclyd-Eurotop 69 2e – Le cadre bâti

 De l’habitat ancien de grande qualité

Rue des Falaises Rue des Mouettes Rue des Wagans

Rue des Oiseaux Place du Marquais crédit photo: Euclyd-Eurotop 70 2e – Le cadre bâti

 De la réhabilitation « contemporaine »

Rue des Oiseaux

crédit photo: Euclyd-Eurotop 71 2e – Le cadre bâti

 Du pavillonnaire de plus de 20 ans

Grand Rue Rue de la Prairie RD 79

RD 79 crédit photo: Euclyd-Eurotop 72 2e – Le cadre bâti

 Du pavillonnaire récent Rue du Four à Pain

crédit photo: Euclyd-Eurotop 73 1c – Le cadre bâti

 Du pavillonnaire de qualité

Rue des Oiseaux Depuis la rue de la Cavée

crédit photo: Euclyd-Eurotop 74 2e – Le bilan de la consommation foncière depuis l’approbation du POS

75 75 Rue de la Mare Cordier

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 884 12 60 1 B 885 10 82 1 Total 23 42 2 76 Rue des Mouettes

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 844 10 09 1 Total 10 09 1 77 Rue de Boisval

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 656 10 00 1 B 911 13 52 1 B 912 12 59 1 Total 36 11 3

78 Chemin du Calvaire

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 597 8 65 1 Total 8 65 1

79 Grand Rue

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 903 8 90 1 B 908 14 60 1 B 926 7 48 1 B 927 5 22 1 Total 36 20 4 80 Rue du Four à Pain

81 Rue du Four à Pain

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 846 07 56 1 B 847 07 56 1 B 848 08 37 1 B 849 07 50 1 B 850 07 61 1 B 851 11 86 1 B 852 10 38 1 B 853 10 25 1 B 854 20 98 Voirie B 861 06 00 2 B 862 14 22 4 B 863 15 82 Voirie B 869 12 77 1 B 920 12 92 1 Total 1 53 80 16

82 Rue de l’Eglise

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 717 10 13 1 (Ecole) B 754 18 20 4 B 755 7 48 1 (Mairie) B 756 5 22 4 Total 41 03 10 83 Rue des Wagans

84 Rue des Wagans

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 48 21 40 1 B 951 5 90 1 B 952 0 60 Voirie B 953 4 41 1 B 954 6 05 1 B 955 3 81 1 B 892 15 00 1 B 893 15 00 1 B 894 19 30 1 B 895 7 04 Voirie B 896 0 83 Extension B 714 19 52 0 B 789 20 00 1 Total 99 34 9

85 Rue des Oiseaux

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 676 1 17 0 B 713 20 82 1 B 765 2 24 0 B 790 11 20 1 Total 35 43 2 86 Rue de Saint-Pierre (RD 79)

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 584 18 76 1 B 585 13 88 1 B 586 11 78 1 B 587 10 40 1 B 588 4 59 Voirie B 590 0 28 Voirie B 700 11 12 2 Total 70 81 6 87 Rue de la Cavée

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 661 12 30 2 Total 12 30 2 88 Rue de la Prairie

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 719 19 71 2 ZD 58 15 00 1 ZD 59 15 00 0 Total 49 71 3

89 Rue des Jonquilles

90 Rue des Jonquilles

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 644 10 44 1 B 645 10 00 1 B 646 10 00 1 B 647 10 00 2 B 648 10 00 1 B 649 13 61 Voirie B 758 12 76 1 B 759 14 34 2 B 768 10 00 1 B 772 10 00 1 B 800 2 31 Voirie B 841 9 60 2 B 936 10 26 0 B 938 0 65 Voirie B 939 1 74 Voirie B 940 18 91 2 B 941 11 98 1 B 942 3 03 Voirie Total 1 69 63 16

91 Rue de Sainte-Hélène et Impasse du Village

92 Rue de Sainte-Hélène et Impasse du Village

Référence cadastrale contenance cadastrale consommée Nombre de constructions ha a ca B 943 17 55 1 B 944 21 51 0 B 945 1 03 Voirie B 946 18 61 0 B 890 31 30 3 B 891 8 00 1 B 595 15 59 1 B 682 24 43 1 ZD 61 10 00 1 ZD 62 10 00 1 B 742 13 37 1 B 743 17 00 1 B 744 16 00 1 B 745 6 23 Chemin B 898 11 40 1 B 899 30 59 1 Total 2 52 61 14

93 BILAN

Total_Mare Cordier 23 42 2 Total_Mouettes 10 09 1 Total_Boisval 36 11 3 Total_Calvaire 8 65 1 Total_Grand Rue 36 20 4 Total_Four à Pain 1 53 80 16 Total_Eglise 41 03 10 Total_Wagans 99 34 9 Total_Oiseaux 35 43 2 Total_RD 79 70 81 6 Total_Cavée 12 30 2 Total_Prairie 49 71 3 Total_Jonquilles 1 69 63 16 Total_Ste Hélène 2 52 61 14 Total 9 99 13 89

10 ha consommés depuis l’approbation du POS pour accueillir 89 constructions supplémentaires Soit 1,5 % du territoire en 26 ans

94 Mise aux normes des Centres d’Exploitations Agricoles

1300 m²consommés dans le cadre de la mise aux normes des CEA.

95 96